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Un vendredi de brèves

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Certains trouvent leurs plaisirs 
dans certains "arts" de la baise...
Pourquoi pas tant que c'est librement consentis

Sévices militaires
Mon histoire se déroule au mois de décembre dans une caserne près de Châteauroux. Je faisais mon service militaire depuis un mois. Chacun d’entre nous avait des travaux d’intérêt généraux à effectuer. J’avais la chance d’être tombé sur le ménage du bureau des instructeurs, qui était juste à coté de ma chambrée, par rapport à d’autres qui avaient les salles de bains ou encore les toilettes. Tous les deux jours je devais faire les poussières, nettoyer le sol et vider les poubelles dans le bureau de l’adjudant chef et du maréchal des logis qui nous commandaient.
Les deux personnages étaient antipathiques a souhait et très autoritaires. Le Maréchal des logis, que l’on devait appeler " chef "était un homme un peu gros avec une petite moustache et de tout petits yeux. Il avait tout le temps dans les mains une cravache avec laquelle il jouait et qui lui donnait une contenance.
Un soir je me trouvais dans le bureau pour faire le ménage, mon attention fut attirée par un placard ouvert. Curieux, je regarde dedans. Il y a des vêtements sales des rangers usagés, quelques canettes de bières....
Et en haut sur une petite étagère deux ou trois livres empilés. Précautionneusement je tends l’oreille pour être certain que personne ne vient, mais à cette heure les instructeurs sont entrain de diner. J’attrape les livres et à ma grande stupeur je découvre des BD sado maso.
La première représente une succession d’illustration de jeunes gens ligotés dans des positions incroyables. Chaque tableau porte un numéro de punition. Le second montre des femmes transformées en objet dans un château ou règnent des femmes tyranniques. Je repose rapidement les livres à leur place de peur que quelqu’un n’entre et ne me découvre entrain de fouiller le casier.
Une fois installé dans mon lit, je revis avec une certaine excitation les images des livres que j’avais feuilletés top rapidement. J’avais déjà depuis longtemps des fantasmes qui tournaient autour de la domination. Je m’imaginais prisonnier de femmes habillées en cuir, portant des cuissardes à tallons aiguille me trainant à leurs pieds. Jamais je n’avais eu l’occasion de vivre, même de façon légère ce genre de fantasme.
J’avais juste enfilé quelques fois les bottes de ma mère, ainsi que son imperméable pour me masturber. Il m’était arrivé de m’attacher les pieds et le corps dans mon lit en m’imaginant esclave d’une créature féline qui disposait de moi comme elle le souhaitait.
Je suis retourné deux fois avec gourmandise durant la semaine, dans le placard pour regarder avec émerveillement les images extravagantes de bondage et de domination que contenaient les livres. J’étais fasciné, j’avais de plus en plus de mal à les remettre à leur place rapidement.
Je découvris aussi que le placard appartenait au maréchal des logis chef car il y avait des enveloppes à son nom ainsi que des papiers administratifs. À partir de ce moment mon regard changea sur celui qui se faisait appeler "chef Girodon". Je me surpris à plusieurs reprises à m’imaginer à son service, à lui obéir dans des situations très concrètes où je devais lui servir à manger, à boire, lui cirer ses chaussures...
J’avais d’ailleurs parfois l’impression qu’il sentait quelque chose car plusieurs fois il me prit à parti pour me menacer de punition si je ne m’améliorais pas au tir ou à d’autres activées sportives. Chaque fois je me sentais rougir, de peur que tout le monde se rende compte de mes fantasmes.
Durant la première permission que j’eus début décembre j’imaginais un scénario improbable. Je me mis à écrire une lettre anonyme, que je glisserai dans son placard et qui disait cela :
….“Bonjour,
J’ai découvert par hasard les BD qui se trouvent dans votre casier. J’ai le fantasme de trouver une personne qui m’apprenne progressivement à obéir. Ma démarche est inattendue car je n’aurais jamais pensé aller vers un homme pour réaliser cela. Je souhaiterai une relation sans sexualité, uniquement un rapport de domination physique et surtout morale. Si ma démarche vous intéresse je vous propose de dire à la fin du cour du mercredi après midi : "Demain il fera beau, mais il faudra vous couvrir". Je resterai alors assis pendant que tout le monde sortira.
Respectueusement. "….
Dés mon retour à la caserne le dimanche soir je décidais de glisser le mot dans son placard, tout de suite pour ne pas tergiverser trop longtemps. À partir de ce moment là une excitation incroyable monta en moi, par ce que je savais que j’avais fait un premier pas qui pouvait me faire basculer du rêve à la réalité.
Le mardi après midi j’ai senti qu’il avait trouvé mon mot, car il nous a tous dévisagé de manière inhabituelle. Je me suis aussi rendu compte qu’il ne m’avait pas découvert, même si à chaque fois qu’il passait à coté de moi je frissonnais.
Pendant ces trois jours je me suis posé beaucoup de questions, car j’avais encore le choix de ne pas être découvert, mais j’étais terriblement excité de me lancer dans l’aventure.
Le cours du mercredi après midi arriva. J’étais très angoissé, comme si j’allais passer un examen. Pendant tout le cours j’avais du mal à retenir mon attention, je ne pensais qu’à ce qui allait se passer à la fin du cours. Puis à l’instant fatidique de fin de cours il y eut un silence qui me parut durer des heures et il dit
— Demain il fera beau mais couvrez vous ".
Ce n’était pas la phrase exacte, mais je savais qu’il avait dit ce que j’avais évoqué dans ma lettre. À cet instant précis j’ai senti une bouffée de chaleur intense m’envahir. J’ai eu l’impression que ma tête allait exploser. Les minutes qui ont suivit m’ont semblé des siècles.
J’ai regardé tout le monde sortir de la salle, comme si tout se passait au ralenti. Moi je me sentais comme pétrifié, incapable de bouger. Plus les secondes s’écoulaient plus je sentais que je m’engageais dans une aventure vertigineuse.
Je me suis rapidement retrouvé seul assis sur ma chaise d’écolier. Le chef qui était resté sur l’estrade est parti fermer la porte de la salle à clés. Il s’est retourné pour venir vers moi. J’ai réalisé à cet instant que j’avais basculé, il était trop tard pour faire marche arrière.
Il s’approche en souriant ironiquement, sa cravache à la main qu’il tapote machinalement dans sa main. Il s’assoit sur ma table et pose ses deux pieds sur mes cuisses pour les essuyer sur mon pantalon. Je suis pétrifié.
Avec un sourire narquois il me dit :
— Alors c’est toi la petite fiotte qui a fouillé dans mon casier ?
J’acquiesce machinalement. Il enchaine :
— Comme ça tu cherches un maître pour t’apprendre le respect....Et ben tu l’as trouvé ! Déjà pour ce que tu as fait je vais te punir et puis les tarlouses comme toi j’en fais mon affaire !
Sur ce il m’attrape par l’oreille pour m’entrainer vers le bureau qui se trouve au fond de la salle de classe. Il me tire tellement fort que j’ai l’impression que mon oreille va se décrocher.
Arrivé dans le bureau il m’oblige à m’assoir sur un tabouret, puis vas fermer à clés les deux portes de la pièce. Il attrape un sac qu’il prend dans son casier et me le jette dans les bras. D’un ton tranchant il me dit :
— Met toi à poil et enfile ce qu’il y a dans le sac !
Transi de peur je lui réponds :
— Mais si quelqu’un entre, je peux pas me déshabiller...
Je n’ai même pas le temps de fermer les yeux que je reçois une gifle comme je n’ai jamais reçu de ma vie. Un flashe blanc m’envahit et un bruit sourd me traverse.
— Tu fais ce que je dis maintenant... tu fermes ta gueule.... c’est moi qui décide ! Met toi à poil et vite !
Tremblant j’enlève mon treillis, puis mon pantalon et comme je tarde un peu à retirer mon slip je reçois plusieurs coup de cravache sur les fesses. Comme je me suis tourné pour dissimuler mon sexe, il me fait signe de me mettre face à lui
— Met tes mains dans ton dos !
Je me retrouve nu face à lui. Il se met à rire ironiquement....
— Mais c’est pas une bite que t’as c’est un clitoris ! T’es pas un mec avec un truc Pareil !
Avec le bout de sa cravache il joue à secouer mon sexe dans tous les sens
— Je vais faire de toi une vraie petite nana... De toute manière je préfère les nanas aux mecs. Allez ! Habille toi avec ce qui est dans le sac.
Je sors du sac une combinaison en caoutchouc brillante très épaisse.
— Enfile ça, c’est une combinaison de protection chimique qui est faite pour résister à tout. Vite, magne toi !!! J’ai pas que ça à foutre...
Je me glisse avec beaucoup de difficulté dans la combinaison trop petite pour moi. Les orifices des pieds se terminent par une sorte de chaussette en caoutchouc renforcé, et les mains par des gants très épais. Une capuche cintrée vient enserrer ma tête ne laissant que le centre de mon visage dégagé. Le tout est clos par une grande fermeture éclaire qui part de l’entre jambe jusqu’au menton.
— Enfile les bottes aussi !
Je sors du sac une paire de bottes noirs en plastic que j’enfile avec penne à cause de leur taille trop petite. En souriant ironiquement il me fait tourner sur moi même pour m’observer sous tous les angles.
— Ah !...Voilà.....Ça commence à ressembler à quelque chose. Viens ici ! Retourne toi, et met tes mains dans le dos.
Tellement la combinaison est serrée, c’est un effort de me déplacer et de mettre mes mains dans mon dos. Il sort un sac de sport du casier et en retire une corde bien roulée. Je me retrouve rapidement avec tout le haut du corps ligoté efficacement. Je me rends compte qu’il fait ça avec une grande dextérité et que je ne suis pas le premier à passer entre ses mains. Pour terminer il me fait fermer mes poings déjà solidement entravés dans mon dos pour les immobiliser à l’aide de plusieurs tours de bande adhésive. Je me retrouve avec les deux poings serres incapable de bouger les doigts.
— Ça t’évitera que tu fasses joujoux avec tes doigts pour essayer de te libérer. J’aime bien le travail bien fait. Tu verras que je suis un perfectionniste. Bon...On va y aller avant que tes petits camarades ne reviennent, faudrait pas qu’ils te trouvent comme ça (rire ironique)
Je panique à l’idée de devoir aller quelque part accoutré comme je suis. Je prend sur moi pour oser lui dire timidement :
— Mais chef, je peux pas sortir comme ça ?
Je reçois une seconde claque qui manque de me faire tomber.
— D’abord tu ne m’appelles plus chef, mais maitre. Je ne veux plus avoir à te le dire. Tu termines toutes tes phrases par : Oui maitre, très bien maitre.....Mais tu as raison il manque quelque chose....
Il prend à coté du casier dans une paire de rangers recouvertes de terres, une chaussette usagée. Il me la frotte sur le nez. Une odeur de moisi de saleté m’envahit. Il continue à me passer la chaussette sur tout le visage comme si il me débarbouillait. Après une bonne minute, il la replie pour en faire une boule et me l’introduit dans la bouche avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit. Une nausée m’envahit, j’ai l’impression que je vais vomir, mais rien ne vient.
— Arrête de gesticuler. Plus tu bouges plus ça sera dur ! Ferme tes lèvres je veux plus voir la chaussette...Allez encore....
Il m’enfonce la chaussette de plus en plus profond jusqu’a ce qu’elle disparaisse complètement dans ma bouche. Il se saisi du rouleau de bande adhésive et commence par faire plusieurs tours verticalement pour que je ne puisse plus ouvrir la bouche. Puis il fait la même chose horizontalement pour couvrir ma bouche de plusieurs tours de bande adhésive.
Énergiquement avec ses deux mains il se met à frotter ma tête pour que le scotche s’applique bien partout. Je commence à sentir le gout de la chaussette qui se mélange à ma salive couler dans ma gorge. Je doit être écarlate, j’ai l’impression que je vais exploser tellement je me sens compressé de partout.
— C’est mieux comme ça. Ça t’évitera d’parler pour rien dire... Approche !...Encore ! .... Encore je te dis !
Je me retrouve à 5 cm de son visage, je sens son haleine chargée d’odeurs de bière, de clope et certainement du manque d’hygiène. D’un seul coup il me crache au visage. Il recommence une dizaine de fois pour en mettre un peu partout. Je sens la salive dégouliner sur mes joues. J’en ai tellement dans l’œil droit que je vois complètement floue.
— T’as une gueule à crachat.
Il s’approche à nouveau de mon visage pour embrasser le bout de mon nez. Au début doucement puis progressivement il se met à sucer mon nez frénétiquement. Je sens son excitation monter. Il me plaque contre le mur et colle son corps contre le mien. J’ai du mal à respirer, sa salive entre par mon nez, je suffoque.
Sentant que je m’étouffe il arrête. Il attrape dans le sac de la combinaison un masque a gaz qu’il me met sans ménagement. Il serre fortement les lanières. Puis il m’enfile un poncho Kaki qui nous sert en général d’imperméable. Il termine en fermant la capuche du poncho au dessus du masque à gaz. Je me rend compte que je suis ligoté et bâillonne, prêt à sortir sans que personne puisse se rendre compte de ce qui m’arrive. Je ressens d’un seul coup un frisson mélangé de plaisir et de crainte.
— Tu vas marcher sagement derrière moi, je t’emmène à mon logement de fonction dans la caserne. C’est de l’autre coté du camp juste derrière le garage des chars. C’est un local de gardiennage. On va prendre ma voiture, ça t’évitera d’être ridicule en traversant le camp.
Nous sortons du bâtiment sans rencontrer personne. Arrivé au parking il me fait entrer par l’arrière dans une camionnette. Il me force à m’agenouiller et commence à m’attacher les jambes solidement. Pour terminer il me couche à plat ventre, me retire le masque à gaz et dit :
— Je suis certain que tu vas être très sage. Fais attention dans les virages de pas te fracasser...... (Avec un rire sournois...)
Il referme la porte. La camionnette démarre.
Je suis en train de comprendre que J’entre dans un autre monde. C’est un peu ce que j’avais souhaité, sans me rendre compte que je ne pouvais ni maitriser ce qui m’arrivait, ni appuyer sur le bouton stop.
Au fond de moi je me disais qu’il devrait rapidement me ramener pour que ma disparition reste discrète, mais je sentais qu’il pouvait aussi faire ce qu’il voulait car il avait tous les pouvoirs pour justifier mon absence. C’est envahi par toute ces pensées que je me dirigeais, secoué à l’arrière du véhicule vers son logement.....
Pas de suite....


Charcutailles...
Maryse est une grande et belle femme de 45 ans. Elle pèse 85 kgs pour 1 mètre 75, et ses formes sont abondantes. Ses nichons de 120 tombent sur son ventre dodu, et son fessier tend son tablier. Son chignon roux, sous une coiffe blanche, lui donne une allure autoritaire.
Elle est charcutière, et exploite son magasin avec une ouvrière charcutière, qui est aussi sa gougnotte, Colette. Elle l'a choisie plus jeune qu'elle, mais aussi vigoureuse. Colette a 35 ans, et elle est devenue vicieuse comme sa patronne.
Elles se gougnottent tous les jours, elles y arrivent sans peine, aidées par les saucissons qu'elles fabriquent. En dehors de ces activités baisatoires, elles sont toutes deux dominatrices et aiment soumettre les couples.
Elles ont fait connaissance avec un couple de clients, Roselyne et Jean.
Après quelques rencontres, elles ont découvert le goût de ceux-ci pour la soumission. En effet, invités chez Maryse, ils aimaient porter les plats, insistaient pour faire la vaisselle. Un jour, Maryse a provoqué une dispute avec eux, les accusant à tort d'une parole blessante, et a menacé de ne plus les voir. Roselyne lui a répondu:
- Non, ce serait trop bête. Si tu m'en veux, donne-moi une paire de gifles, et pardonne-moi."
Maryse l'a alors giflée, et Jean s'est approché.
- Moi aussi, passe ta colère." Et il a tendu les joues.
Une fois la paire de claques donnée, Maryse les a embrassés, et a appelé Colette.
- Faites la paix avec Colette aussi. Colette, punis-les toi aussi."
Colette leur a mis à chacun une claque sur les fesses, et le cas a été réglé.
Revenant plus tard sur l'incident, Jean et Roselyne ont avoué leurs goûts pour la soumission. Maintenant, une fois par semaine, le soir, ils viennent dans l'arrière-boutique, après la fermeture, et servent aux plaisirs de leurs maîtresses.
L'arrière-boutique est une grande pièce qui sert surtout à préparer les produits, avec des étals en bois, des paillasses carrelées, etc... Des crochets pendent du plafond, dans un coin un bac, plus grand qu'une baignoire, sert à faire dégorger les tripes. Le tout n'est pas très propre, rempli de marchandises, de plats en préparation, de linge d'office sale.
Pendant que Maryse et Colette ajustent leurs tenues de travail: blouse et tablier par dessus, calot sur la tête, Jean et Roselyne attendent, nus, agenouillés. Jean est brun, petit et mince, il a l'entrecuisse rasée, ses couilles sont exposées aux regards. Roselyne est brune aussi, dodue et migonne, des cheveux courts et frisés, de jolis seins, la moune rasée.
La course à la pachole
Une fois prêtes, Maryse et Colette s'avancent vers leurs esclaves. Maryse tient dans ses mains des liens de toile. Elle attache, dans le dos, les poignets de Jean et de Roselyne. Elle leur entrave les chevilles, laissant juste de quoi faire des pas de 20 centimètres. Colette retrousse son tablier, déboutonne sa blouse et sort sa pachole, puis va s'asseoir à l'autre bout de la pièce.
- A mon signal, vous ferez la course à genoux pour venir me sucer. Le perdant sera fessé par Maryse."
Elle tape dans ses mains. Jean et Roselyne, sur les genoux, avancent vers elle, coude à coude. Roselyne se dépèche, mais Jean est plus rapide, et arrive le premier entre les cuisses de Colette. Maryse attrape alors Roselyne par le bras.
- "Salope! Toujours à vouloir courir sur mon amie pour la manger. Tu ne perd rien pour attendre!"
Pendant ce temps, Jean à pris place entre les cuisses de Colette, et la suce goulûment. Il y rentre la langue tout au fond, suce le bouton, tire sur les lèvres, et Colette mouille abondamment.
Maryse traine Roselyne près de son mari.
- Ah le joli couple: un suceur et une suceuse!"
Et elle abat sa main sur son cul, et la fesse à genoux, jusqu'à ce que Colette, qui a déjà joui une fois, arrête la sucette.
 
Sur l'étal de la charcutière
Après cette petite mise en train, Colette et Maryse passent aux choses serieuses. Sur un étal de bois, elles posent une vielle nappe tachée. Elles y couchent Roselyne sur le dos. Ses reins sont à l'extrémité de l'étal, les jambes pendent.
Colette attache un torchon autour de chaque cheville, et au torchon un lien de toile. Elle relève les jambes de Roselyne et lui soulève les reins, sous lesquels Maryse mets des nappes pliées, pour que leur épaisseur relève le cul de Roselyne.
Les jambes de la malheureuse sont largement écartées et attachées en l'air à des crochets. Ses deux trous sont au ras du bord de l'étal. Pour compléter son ligotage, elle a les mains attachées aux pieds du meuble.
Elle offre ainsi sa moule et son trou du cul rasés, ainsi que ses cuisses et ses fesses pour les cinglades. Jean monte sur sa femme, mettant ses jambes de chaque côté de son ventre, et se couche sur elle, le cul tourné dans la même direction que celui de Roselyne. Deux liens, un sur les reins et un sur le cou, le plaquent contre Roselyne, l'empéchant de bouger.
Maryse commence à introduire ses doigts dans ces trous offerts. Elle explore la tarte de Roselyne avec l'index, puis y met le majeur, puis un troisième. Elle les frotte dans son trou gluant, puis elle fait pareil avec le cul.
Son autre main explore le troufignon de Jean, qu'elle dilate pour y remuer avec deux doigts les bouts de merde à l'intérieur. Elle ressort ses doigts merdeux, et va les essuyer sur les visages des deux esclaves, qui sont presque l'un contre l'autre.
- Léchez vos merdes, allez!"
Avant qu'ils aient pû obéir, Colette à flanqué deux claques sur les culs offerts. Jean et Roselyne sucent alors bien vite les doigts de Maryse, et lappent leurs merdes et la mouille de Roselyne.
Une fois que ses doigts sont propres, Maryse ramasse un vieux torchon sale et le glisse entre les deux visages.
- "Comme ça, vous ne pourrez pas en profiter pour vous gameler, salopards."
Colette a retroussé son tablier et s'est attaché autour de la taille, bien dressé, un godemichet. Elle attrape dans ses mains les mollets pendus au plafond, et écarte encore les cuisses de la pauvre écartelée. Elle enfile la moule de Roselyne, qui est juste au bord de l'étal, ouverte et offerte. Elle donne de grands coups de reins qui bourrent la malheureuse; elle gémit un peu, puis râle des remerciements.
Maryse est allée près de Colette et lui caresse les miches pendant qu'elle travaille Roselyne. Elle lui presse doucement les fesses, et lui rentre délicatement un doigt dans le trou du cul, puis un autre dans la moule. Déjà excitée par la sucette de Jean tout à l'heure, Colette finit par jouir encore une fois des doigts de Maryse dans son con gluant.
Elle sort son godemichet, que Maryse lui essuie avec un torchon. Puis, avec le même, elle cure la tarte de Roselyne, tournant son doigt enveloppé du torchon à l'intérieur, et le ressort imbibé de mouille.
 
Enculage et fessée
Colette est revenue avec un gros saucisson, et un morceau de saindoux. Avec ce dernier, elle tartine abondamment la choline et les deux camemberts, puis graisse le saucisson qu'elle a dans la main. Il est plus gros qu'une bitte, de forme pas très régulière, assez court. Elle l'enfonce dans la pachole grasse, dilatant celle-ci au maximum, pendant que la pauvre Roselyne gémit:
- J'ai mal, c'est trop gros!"
- Il faut bien ça, pétasse", répond Maryse, qui lui mets une claque à l'intérieur des cuisses, là où la peau est tendre.
Le saucisson sort de la moune rasée, assez pour le tourner et le remuer avec la main. Maryse s'y emploie un petit moment, pendant que Colette revient avec deux autres saucissons, plus longs et plus minces, tartinés de saindoux.
Elle en donne un à Maryse et garde l'autre.  Puis chacune encule un troufignon, Colette celui de Roselyne et Maryse celui de Jean. Elles rentrent les saucissons lentement pour faire durer le plaisir de l'enculade. Le spectacle est complet: deux culs posés l'un sur l'autre, les cuisses de Roselyne en l'air, les jambes de Jean pliées, les trois trous bouchés par les saucissons qui sortent d'eux.
Maryse prend le martinet, et commence à fesser les deux esclaves. elle frappe au hasard: il y a toujours une miche ou un jambon pour recevoir les lanières. La peau des esclaves rosit, puis devient rouge. Ils geignent et ils halètent, mais ces bruits ne font que renforcer la méchanceté de Maryse. Elle s'acharne maintenant sur les endroits pas assez rouges, pour égaliser les couleurs.
De temps en temps, elle s'arrête quelques secondes pour embrasser Colette, qui lui caresse les fesses, debout à côté d'elle, puis elle reprend la flagellation. Quand les deux esclaves commencent à crier, à supplier, à pleurer, elle ralentit la cadence, passe le martinet à Colette qui continue lentement.
Pendant ce temps, Maryse va mouiller deux torchons avec de l'eau très chaude, et les rapporte. Colette arrête les coups, et elles étalent les deux torchons sur les fesses rouges, ce qui provoque de nouveaux gémissements de douleur. Elles appliquent bien le tissu sur la peau, puis laissent les esclaves dans leur position inconfortable.
 
Farcissage conjugal
Colette et Maryse enlèvent les torchons qui recouvrent les fesses de leurs victimes, puis les saucissons qui leur bourrent la tarte et les troufignons. Elles détachent Jean, qui descend de Roselyne. Les jambes de celle-ci sont détachées du plafond et laissées pendantes sur le bord de l'étal, ce qui lui fait pousser un soupir de soulagement.
- Merci, maîtresse", dit-elle.
Maryse prend un pot de moutarde forte, une cuillère en bois et une pince à cornichons. Avec la pince, elle attrappe la saucisse de Jean, et, avec la cuillère, la lui enduit de moutarde. Jean bande encore assez fort, et la moutarde le réveille. Colette prend ensuite le pot, et barbouille de jaune la pachole rasée de Roselyne.
- Enfile ta grosse, allez!" dit Colette.
- Oui, à toi de jouir maintenant", reprend Maryse.
Jean doit alors rentrer son boudin barbouillé de moutarde forte dans la mounine de sa femme. L'assaisonnement les pique tous les deux, surtout Roselyne dont la tartoune est irritée par tout ce que lui a déjà mis Colette. Elle pleure doucement, n'osant rien faire de plus, pendant que Jean va et vient en elle, les mains accrochées à ses hanches, debout face à la table.
Le martinet à la main, Maryse se place derrière lui. Elle lève le bras, et les lanières s'abattent sur les jambons du pauvre esclave, qui donne un coup de rein dans la viande de sa femme. Maryse, tranquillement, cingle Jean, des épaules au mollets, en rythmant avec le martinet son travail de mari besogneux. Puis il gicle dans la pachole de sa femme, et ressort sa saucisse molle et pendante.
 
La choucroute
Pendant ce temps, Colette a mis à réchauffer dans le micro-ondes une grande boîte de choucroute, mais sans garniture. Elle a vidé la boîte dans un plat couvert d'un torchon, et posé le plat par terre, en attendant que Maryse ait fini de flageller les esclaves.
Ceux-ci enfilent une vieille blouse sale et mettent par dessus un grand tablier à bavette. Avec la ceinture, Maryse et Colette leur attachent les mains dans le dos. Puis, elles leur nouent autour du cou un torchon humide en guise de bavoir.
Maintenant, elles font allonger par terre les deux esclaves, tout près du plat. Avec les mains, Colette écarte la choucroute, pour y laisser un petit creux. Elle enjambe ensuite le plat, et s'accroupit au-dessus, après avoir retroussé sa blouse. Jean et Roselyne peuvent voir son gros cul, la raie culière profonde, qui arrive au trou marron, ce trou si joli dont ils sentent déjà l'odeur.
Cuisses écartées sur la choucroute, Colette se concentre, force un peu, et, en se retenant pour ne pas pisser, commence à chier. Un gros étron marron foncé sort de son trou, pointu d'abord, puis bien large. Il pendouille un peu quand il sort, et finit par tomber dans la choucroute, comme une belle saucisse de Francfort, naturellement puante et grasse.
 -Que pensez-vous de la garniture? dit-elle en riant de façon lubrique."
Maryse répond:
- Mais, ma chérie, il n'en auront pas assez ces pauvres petits, je vais leur rajouter une saucisse moi aussi."
Elle prend la place de Colette au-dessus du plat, après s'être troussée aussi. De ses énormes fesses, jaillit bien vite une merde marron clair, un peu plus molle que celle de Colette, qui sent bien plus fort, aussi, et qui vient tomber dans le plat, à quelques centimètres de l'autre.
 -Mais cette choucroute est bien sèche, nous allons l'arroser, sinon vous n'allez pas pouvoir la manger!"
Colette, assise par terre près de sa patronne, mélange le chou aigre et les deux étrons. Puis Maryse lache dessus un jet de pisse, qui embaume l'air et, quelques instants, fait oublier l'odeur de merde pour la remplacer par celle du pissou. La choucroute absorbe l'urine, il en reste quand même un peu au fond du plat, qui est maintenant prêt à servir.
Les deux servantes sont à plat ventres face à face de chaque côté du plat, elles savent ce qui les attends. Mettant le nez dans la choucroute pisseuse, elles mangent comme des truies le choux aigre et puant de merde.
Elles essaient d'éviter les étrons qui le garnissent, mais Maryse attrape Jean par une oreille et le tire le nez au-dessus de la merde:
- Mange ce bon boudin marron, en s'est pas fatiguées à le chier pour rien, quand même".
Jean attrape la merde gluante et la lèche, puis il la prend entre les lèvres et en détache un morceau, qu'il mache et avale avec le chou. Roselyne, plus salope ou plus craintive, n'attends pas qu'on l'y oblige, et elle lèche une merde molle et jaune, elle l'écrase avec son nez et enfouit son joli petit visage de servante vicieuse dans l'infâme plat de choucroute que ses maîtresses lui ont préparé.

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