Elle c'est une vraie de vraie....
Une salope d'anthologie.
Pour le plaisir de son cocu
Incertitudes
Comme bien des hommes, je fantasme sur ma condition de cocu.
Le suis-je ou pas encore ?
Certes, je l’ai déjà remarquée en train de minauder, de se faire séductrice devant quelque beau mâle lors d’invitations ou de réceptions. Mais a-t-elle déjà franchi le pas ? Son premier amant sera-t-il un collègue, un voisin, un ami, une vague connaissance ou un inconnu ? Est-ce que ce sera sans lendemain ou une histoire au long cours ? En tout cas, je l’observe mais n’y vois aucun signe. Je l’attends, peut-être l’espéré-je même ?
Souvent je l’ai imaginée entre des bras inconnus alors que je la laissais seule faire du shopping, le samedi. Je me branlais en lisant des récits de cocus ou en regardant des pornos. Je les choisissais toujours avec une fille qui ressemblait à Sophie. Brune, taille moyenne, belle poitrine mais pas trop grosse. Je souhaitais toujours en choisir une avec de vrais seins, comme ma douce. Je prenais mon temps, j’avais tout mon samedi. Pas encore d’enfant et pas de famille à proximité.
Puis une fois le film choisi, je me lisais un récit traitant d’un cocu. Et enfin, je passais le film. Ma femme prenait la place de cette fille et le récit me donnait la matière pour parfaire mon fantasme. Ma femme se faisait donc baiser sur internet au moins une fois par mois. Je profitais également de cette solitude pour fouiller tout ce que l’on peut fouiller dans un appartement, à la recherche d’indice confirmant ou pas mes doutes. Mais en vain.
Nous étions sans doute trop jeunes pour qu’elle s’adonne à ce genre de sport, faut dire qu’à 27 ans chacun et mariés depuis un an seulement, elle aurait été vite en besogne.
Mais moi je suis un fantasmeur, un rêveur, un pelleteux de nuages comme disent les Québécois. Pour ce qui concerne le sexe en tous cas. Pour le reste, je travaille dans une tour de verre de la Défense, dans un sens je pellette aussi les nuages. Mais c’est plutôt le rôle de la tour qui m’abrite, elle pellette les nuages et gratte le ciel, enfin, y paraît.
Sauf que, rivé devant un ordinateur, je vois défiler des chiffres, pas de nuages, pas de ciel. Pas vraiment le temps.
D’ailleurs, je suis assez loin des fenêtres. Les fenêtres, c’est les chefs qui sont à côté. C’est marrant qu’il faille être chef pour flâner à côté des fenêtres. Flâner, c’est plutôt une activité de salarié lambda. Attention, je suis cadre, moi, pas un salarié lambda. Mais je n’encadre personne, sauf moi. Et puis, je suis assez loin d’être chef aussi. Pas vraiment dans mon tempérament. Puis de toute façon, le salaire est confortable, pourquoi aller chercher des ennuis à devenir chef quand on est du genre dominé ? Sauf à vouloir travailler près des fenêtres.
Mais moi je préfère faire le boulot vite et bien. Pas de pause-clope, un café que si on me l’apporte, autant dire très peu de café, une pause-déjeuner minimaliste, sandwich ou salade au coin du bureau. Je fais le boulot dans les temps. Je ne rentre pas chez moi à point d’heure. Je reste bien concentré, le nez collé à mon ordinateur. Ainsi, je suis chez moi à 18 h 30. Une demi-heure de transport et me voilà tranquille à pouvoir fantasmer.
Je pense que j’ai beaucoup de temps pour ça, c’est pour ça que j’ai les fantasmes d’un homme de quarante ans. Ou peut-être que je suis programmé pour être cocu, tout simplement. Va savoir ! J’avais pensé engager un détective privé pour la faire suivre, mais j’aurais été trop déçu d’apprendre que rien ne se passait.
On baisait souvent avec ma Sophie, faut dire qu’après des heures de fantasmes, j’en avais plein le caleçon. Toujours partante pour une partie de jambes en l’air, c’est ce que j’avais aimé en elle. Elle aussi avait des idées cochonnes.
C’est elle qui a voulu qu’on inaugure notre toute nouvelle Mégane d’occasion dans le parking souterrain de notre immeuble. On est descendus vers une heure du matin, on avait choisi le lundi – il n’y a pas beaucoup de fêtards de lundi, sans doute épuisés par le week-end de beuverie. Elle, en petite robe d’été, facile à mettre et à enlever, pas de culotte, comme lors de notre première rencontre, et pas de soutif ; moi, un vieux short et une chemisette déjà largement ouverte.
On recule les sièges et on les incline. On se déshabille l’un l’autre, je bande, elle ruisselle. Je me glisse sur elle, la position n’est pas aisée, mais quel pied je prends. Elle aussi. Elle ne met pas longtemps à jouir. Rapidement je sens sa chatte serrer ma queue, je lâche tout en étouffant mon râle dans son cou.
Ça n’a pas duré plus de quelques minutes, mais l’excitation du lieu et la préparation nous avaient bien échauffé les sens. Je me retire prudemment de sa chatte chaude et poisseuse, il ne faudrait pas souiller les sièges de notre nouvelle voiture d’occasion.
On s’habille succinctement, on ouvre la porte de la voiture et on sort. J’entends à ce moment-là une porte claquer. C’est celle qui mène à l’ascenseur. On se fige, observe. Personne. Il y avait quelqu’un.
On s’est fait mater en train de baiser dans la caisse. Je bande.
Elle le voit, s’approche, m’attrape le paquet et me tire devant le pare-chocs, en pleine lumière. Elle s’agenouille, met mon short à mi-cuisse et enfourne ma queue. Pour ça aussi, elle est douée ma belle.
C’est ce que j’avais aimé en elle. On ne lui sent pas les dents, mais elle sait serrer les lèvres. Elle salive beaucoup, c’est bon, c’est chaud. J’ai toujours envie de jouir dans sa bouche, mais ça elle ne veut pas. Ce sera pour ses amants. Comme son petit cul, la petite pastille sombre est inviolée. Cadeau pour un futur amant. J’y aventure bien ma langue ou un doigt sans remontrance, mais je n’ai pas le droit à plus. Et je n’insiste pas non plus. Bien heureux de trouver là une source de plus à mes fantasmes.
Et si elle ne voulait que la sodomie de ses amants ? Ainsi, je ne pourrais pas trouver de traces de ses méfaits dans ou sur l’autre orifice. Et comme je n’ai qu’un accès limité à la face nord, comment savoir si quelques amants n’y ont pas déposé du foutre ? Je ne saurais même pas s’il avait été forcé, baisé ou câliné, puisque moi-même ne l’ayant jamais pratiqué, je ne pourrais en reconnaître les traces.
Elle me tire sur la bite et me traîne jusque sur le bord du capot. Elle me mène par la queue et le cœur, depuis toujours. Elle me branle en me malaxant les couilles. Je lâche la semence qui se répand en traînées sur la carrosserie. Elle approche encore mon sexe de l’auto et la tapote de mon gland pour bien me vider les restes de sperme.
- La voiture est baptisée maintenant. Je la prendrai pour aller au boulot demain ! dit-elle en riant.
Ce qu’elle fit. À ma grande surprise, elle revint le soir sans même l’avoir nettoyée.
- Ben non ! Pourquoi tu veux que je la nettoie ? À chaque fois que je vois les taches de ton jus, ça me fait mouiller !
Elle a toujours été assez directe pour le sexe. C’est ce que j’avais aimé en elle. Elle m’avait tout de suite dit qu’elle avait eu pas mal d’expériences et connu beaucoup d’hommes.
Faut dire, la première fois que je l’ai vue, elle était ivre. Elle faisait la fête dans un bar-tabac avec des amies en pleine journée. Je suis entré pour acheter un ticket de jeu à gratter, je suis ressorti avec elle à mon bras. Elle m’a dit qu’elle avait envie d’une bonne bite au fond de la chatte, elle riait et me provoquait. Je lui répondis que j’habitais juste à côté.
Elle m’avait saisi le bras et suivi sans même faire un signe à ses amies.
- Moi, c’est Sophie ! rit-elle en se serrant tendrement, l’haleine chargée d’alcool.
- Moi, je suis puceau !
Elle me regarda avec un air très sérieux. Elle change vite d’humeur, quelles que soient les circonstances, c’est ce que j’avais aimé en elle.
- Je crois qu’on va bien s’entendre tous le deux ! me répondit-elle.
- J’espère !
Je l’aimais déjà.
Arrivée dans mon minuscule studio, elle me demanda un café. Pendant que je le préparais, elle s’allongea sur le clic-clac et s’endormit. Moi, je bandais. Moi, j’étais encore puceau à 24 ans.
Je la regardai dormir. Elle était belle, ma Sophie. J’avais enfin une femme qui dormait dans mon lit. Sa jupe remontait haut maintenant sur ses cuisses. Ma queue, c’était sur mon ventre qu’elle montait haut.
D’une main tremblante, j’aidai la jupe à progresser vers son ventre. Mon cœur et mon sexe firent des bonds en ne découvrant pas la moindre petite culotte ou le plus petit string qui soit.
La nudité la plus obscène, sans un poil pour recouvrir cette petite chatte si lisse, qui avait l’air si douce, si fragile. C’est ce que j’avais aimé en elle.
Elle se retourna, ce qui me glaça de peur, allait-elle se réveiller et me découvrir en misérable voyeur ? Non, elle dormait et présentait à ma vue une belle paire de fesses qui avaient l’air aussi douces que sa chatte.
Ma main, à quelques millimètres de la peau, sentait la chaleur mais ne put se résoudre à entrer en contact. Sans doute le fruit de l’expérience que je n’avais pas. Je la laissai ainsi, cul nu, sur le convertible. Je m’assis sur la seule chaise présente et devins spectateur de la première femme demi-nue dans mon lit. Elle bougea peu. Juste les jambes un peu de côté, ce qui me donna une vue sur son cul et sa chatte en même temps pendant plusieurs minutes.
Puis mon cerveau se mit à bouillir. Et si elle ne se souvenait pas de ce qu’elle foutait ici à son réveil ? Si l’alcool lui effaçait les menus souvenirs de notre rencontre ? Serais-je encore puceau demain ? Les yeux fixés sur son joli derrière et mes pensées perdues dans un tas de scénarios possibles, je n’avais pas remarqué que la belle au clic-clac dormant s’était réveillée. Ses mots me fient sursauter :
- Il est prêt mon café ?
- Euh ! Oui ! Pardon, je crois qu’il est même déjà froid.
- Je le préfère chaud, dit-elle en souriant.
- Oui, bien sûr, mais je ne voulais pas te réveiller, tu dormais si bien.
- J’ai dormi longtemps ?
- Un peu plus de deux heures.
- C’est toi qui as relevé ma jupe, petit cochon ?
- Euh ! Bah ! C’est que…
J’étais rouge pivoine. Elle rit très fort.
- T’es trop mignon quand tu rougis ! C’est vrai que tu es vierge ? Tu n’as jamais couché avec une fille ?
- Oui, c’est vrai ! répondis-je, gêné.
- Eh bien moi, je n’ai jamais rencontré de garçon puceau, ce sera une première pour moi aussi.
En disant cela, elle m’avait fait signe de m’approcher. Restant assise, elle me laissa debout, dégrafa mon pantalon et en sortit mon sexe. Première main féminine. Mon organe était gluant des deux heures d’observation excitante passée, je me sentais un peu honteux. Pas elle.
Elle essuya le gland et le reste avec ma chemise. Elle scrutait attentivement ma queue en la branlant doucement. Sa langue se posa sur le bout. Quelques soubresauts annonciateurs la firent diriger la colonne de chair vers le canapé qui subit une éjaculation abondante. Elle l’agita rapidement en experte pour en extraire le plus de jus possible.
- Maintenant, je crois que tu es prêt.
Elle retira sa jupe, sa veste et son soutien-gorge, s‘allongeant nue, les cuisses largement ouvertes. Elle reprit ma queue et la guida vers son antre chaud et humide. Moment de plaisir intense et profond.
M’empêchant de bouger, elle dirigea la manœuvre, experte. Après dix minutes ou dix secondes, j’envoyai déjà une deuxième salve. Elle réagit immédiatement, sa chatte était animée de mouvements qui serraient fortement mon sexe, je ne savais pas encore que je venais de faire jouir une femme.
Plein de ressources, je ne débandais pas. Elle se mit sur moi, à genoux, glissa sur mon sexe et commença de lents va-et-vient, prit mes mains pour les mettre sur ses jolis seins bien ronds avec de larges aréoles et des tétons qui dardaient durement, l’un d’eux était orné d’un piercing doré.
Je pus tenir 57 secondes et 48 centièmes ou peut-être moins, ou peut-être plus. Cette fois, elle n’eut pas de contractions, elle continua de monter et de descendre. Cette fois, je tiendrai !
J’ai tenu. Elle se mit à quatre pattes, offrant à ma vue le plus beau des spectacles. Elle se caressait le clitoris pendant que je la prenais. Ses ongles me griffèrent gentiment les couilles, sa chatte se serra de nouveau, nous jouîmes pour la première fois de concert.
Elle était heureuse, moi aussi, j’étais devenu un homme, un vrai, qui fait jouir les femmes, enfin une femme, cette femme. On ne s’est plus quitté. Mariés après deux ans de baise intensive. J’avais du retard à rattraper. Elle, elle avait juste envie de baiser.
Elle me raconta toute sa vie, seule la partie sexuelle m’intéressait. Elle s’en rendit compte, je bandais à chaque fois qu’elle me détaillait une de ses relations, ce qui l’incitait à me donner toujours plus de détails, puis après je la baisais comme elle l’avait fait avec un autre.
Et il y en eut beaucoup, des autres.
Entre les officiels, les occasionnels, les coups d’un soir ou d’une fois, en boîte, au bar, à la fac, en stage, au boulot, les inconnus, les amis, les collègues, les blancs, les noirs, les asiatiques, les Arabes, les grosses bites, les petites, les longues, les larges, les bizarres, de seize à cinquante-cinq ans, de deux minutes à deux ans, dans un lit, un champ, une voiture, un camion, les toilettes, la forêt, le bureau, une tente, l’hôtel, des couloirs et des escaliers, des apparts et des apparts, des pipes, des missionnaires, des levrettes, debout par-devant, debout par derrière, elle au-dessus, à deux, à trois, à quatre, des dizaines d’hommes sont passés par là où je suis devenu un homme. L’experte et le candide.
Elle avait débuté sa vie sexuelle huit ans avant la mienne. Elle en avait bien profité, abusé diraient certains, mais je dis profiter. Abuser, c’est lorsqu’une activité devient préjudiciable à l’une ou l’autre des parties en cause. Elle avait pris beaucoup de plaisir, en avait donné à beaucoup d’hommes.
C’est une salope ? Oui, et alors ! C’est pour ça que je l’aime.
Ma salope à moi. Elle aime que je le lui dise.
Elle m’en fait souvent la démonstration.
J’en étais là de mes réflexions sur mon état de cocu ou cocu en devenir, lorsque je fus surpris par ma belle. À pas de loup, elle était entrée jusque dans le petit bureau de l’appartement que nous occupions depuis huit mois.
Celui-là même où se trouve l’ordinateur. C’était un samedi de shopping. Sauf qu’elle était devant moi, penaud, la queue à la main devant un porno et un récit de femme infidèle.
Pas de scandale, pas d’esclandre, pas son genre. Elle tire l’autre chaise, s’y pose. Sa main attrape ma virilité devenue molle. Elle se met à lire silencieusement le texte.
Silence perturbé par les gémissements du film.
Mon sexe est serré, griffé, agité, il reprend vie. À la fin de la lecture, elle clique sur le site, observe les textes signalés comme lus. En lit quelques extraits. En me jetant parfois un regard que je ne saurais décrypter.
- Pourquoi tu ne m’as jamais dit que tu voulais être cocu ?
- Je… je sais pas trop ! C’est gênant !
- Oui ! C’est gênant, tu as raison. Mais je crois que nous allons rapidement remédier à cette gêne.
- C’est-à-dire ! On va faire quoi ?
- Toi rien ! Moi, je vais aller me faire baiser. Tu sais que j’adore ça et j’ai envie de faire plaisir à mon petit mari. Tu sais aussi que je t’aime comme une folle. De toute façon, je me doutais bien que tu étais comme ça. Je connais bien les hommes, tu le sais aussi, ça ! Depuis qu’on est ensemble, les fois où tu es le plus excité, c’est quand je te raconte mes parties de cul avec d’autres mecs ou quand on croise un de mes ex. J’en ai connu des mecs et des bites, donc un peu plus, un peu moins, si toi et moi on prend du plaisir, je suis OK. J’y pense depuis un certain temps, alors voilà comment je vois les choses. Je viens de me faire mettre deux nouveaux piercings, ils sont sur chacune de mes lèvres. Voici un petit cadenas, quand tu auras envie que je baise avec un autre mec, tu l’enlèveras. Si tu ne veux pas, tu me le remets. Je choisis qui et où. Et ce n’est pas parce que tu me l’enlèves que je le ferai forcément, il faut que j’en aie envie et qu’un mec me plaise. Si tu es d’accord, tu prends le cadenas, sinon, laisse-le sur le bureau et passons à autre chose.
Pendant son long monologue, elle m’avait exposé les deux anneaux dorés posés sur les grandes lèvres glabres de sa chatte. Elles étaient gonflées par le traitement qu’elles venaient de subir. Il lui faudrait une à deux semaines pour s’en remettre. Elle accrocha et décrocha le petit cadenas, pour montrer la manœuvre. Je m’y essayai, faisant très attention de ne pas faire mal à ses lèvres endolories. Ce qui fut difficile.
Elle me dit qu’elle était excitée. Que la douleur lui donnait envie de baiser, mais que le mec qui lui avait fait lui avait déconseillé de le faire pendant quelques jours. J’avais le cadenas en main :
- Alors, tu me le mets, tu le gardes ou tu le reposes ?
- Je le garde !
Ses yeux brillaient d’excitation. Elle plongea sur ma bite et me suça comme une furie. Elle me fit jouir sur mon ventre.
- Je retourne voir le perceur. Tu sais, c’est celui qui est à l’angle de la rue. Il a bandé pendant toute l’opération. Il a dû m’essuyer plusieurs fois le minou tellement je mouillais. Il a fait du bon travail, il mérite bien une petite gâterie, tu crois pas ? Tu seras bientôt cocu, mon chéri, plus que quelques minutes. Ne te branle pas, je reviens tout de suite
Elle retira son soutien-gorge et quitta l’appartement sans me laisser répondre. Moi, je bandais de nouveau.
Effectivement, elle ne fut pas longue. Elle revint un quart d’heure plus tard.
Elle me roula une grosse pelle qui sentait la bite. Elle-même sentait le sperme. Elle ouvrit sa veste et je la découvris souillée de semence. Son décolleté en était recouvert. Elle le retira ainsi que mon t-shirt et se colla et se tortilla contre moi, comme pour me faire partager ce jus d’homme. Je bandais toujours.
Elle m’installa dans le fauteuil du bureau et entreprit de me faire ce qu’elle avait fait à l’autre. Une bonne fellation, elle me mit entre ses seins pour me finir en branlette espagnole, comme lui, sauf que moi, je baignais dans sa semence. J’ai joui entre les seins de ma femme, mélangeant nos gènes. Elle recueillit du liquide poisseux dans sa main et m’en badigeonna les couilles et l’anus. Ma bite tressautait encore de ce traitement.
Elle me tira dans le salon, retira sa jupe et s’allongea impudiquement, jambes écartées. Elle était merveilleuse, j’étais cocu. Je me précipitai pour dévorer le bel abricot bien mûr. Stoppé dans mon élan, Sophie me rappela l’impossibilité de toucher son minou, mais qu’elle avait besoin de plaisir, qu’il fallait que je m’occupe de sa jolie poitrine.
Je le fis avec beaucoup de tendresse. Je caressai ses seins, j’en enduisis le moindre recoin de crème masculine. Jouant avec les tétons, les serrant l’un contre l’autre, les pressant comme elle me l’avait montré lorsqu’elle m’avait guidé sur les chemins du plaisir.
- Tu sais que j’aime quand tu me les lèches, que tu me les suces !
- Mais, je…
Je la regardai, interrogatif. Ses seins étaient pleins de sperme. Je n’allais quand même pas… Elle ne me laissa pas le temps de finir ma pensée qu’elle m’attira par la nuque et écrasa mon visage contre son sein droit. Mon visage se barbouilla de cette substance.
La bouche sur le téton dardé, je l’ouvris et en appréciai le goût. Le mauvais goût, mais qui m’excitait. J’entrepris de le lui lécher. Je faisais ce qu’elle ne faisait pas. J’avalais. Elle aimait et se tordait en gémissant de désir sous mon corps.
Elle se tira de côté, je sentis sa main descendre sous mon ventre, caresser un peu mon chibre prêt à exploser, continuer sur mes bourses encore recouvertes de jus, les flatter, les soupeser, puis poser un doigt sur ma rondelle, elle aussi toujours crémeuse.
Sophie aimait me taquiner la petite étoile, parfois avec la langue, parfois avec le doigt. Elle y aventurait ce dernier, mais jamais plus d’un. J’aimais. Elle me disait alors qu’elle aimerait me baiser, qu’elle aimait mon cul, qu’elle aimerait avoir une bite pour m’enfiler. Moi je ne répondais pas, je rêvais à ce jour.
Cette fois, elle dut sentir mon relâchement dû à l’excitation, le lubrifiant était déjà posé entre mes fesses. Après quelques va-et-vient de son doigt, un deuxième se fraya un chemin. Je fus étonné et je crois que Sophie aussi, de la facilité avec laquelle il était entré. Elle se redressa et me demanda de me mettre à genoux sur le canapé. Les bras sur le dossier, ses doigts toujours fichés en moi.
Ma femme m’enculait en me pétrissant les boules et la queue. J’adorais ça, elle aussi. Elle me disait que le temps que sa chatte puisse recevoir de la bite, elle pourrait au moins jouer avec mon petit trou. Alors qu’elle tentait d’en insérer un autre, je me répandis en ajoutant de nouvelles taches, déjà nombreuses sur le convertible.
Son sexe ne put rien supporter pendant dix jours. Je profitais de sa bouche, elle de mes fesses. Au bout de deux jours, elle était revenue avec un gode ceinture, heureusement pas bien gros. Elle m’a baisé avec. C’était divin.
Je me faisais sodomiser, pas elle. J’étais l’enculé de la maison, elle aimait me dire ça pendant qu’elle me prenait. Moi aussi, j’aimais.
Je ne lui ai pas remis le cadenas durant cette période, histoire qu’elle guérisse plus vite. Elle ne profita pas de sa liberté, trop occupée à torturer ma petite rondelle. Je pensais qu’elle sucerait bien un mec,, mais non. Elle préférait attendre pour les recevoir en elle, comme elle me disait. « Les recevoir », me répétais-je sans cesse, en bandant.
Le soir du dixième jour, après la deuxième abstinence la plus longue de sa vie sexuelle, la précédente avait duré trois semaines – elle s’était concentrée à l’époque pour avoir son bac – elle me fit une surprise. Non au fait de sa nouvelle disponibilité sexuelle, elle me le signifia en m’accueillant après le travail par un gémissement que lui procurait un grand type tatoué de partout.
À quatre pattes derrière elle, il semblait lui pilonner très vigoureusement la chatte. J’estimais enfin être cocu pour de bon. Sucer n’est pas tromper, selon un grand philosophe contemporain. Je bandais. Je m’approchai.
- Ton cocu est là, ma chérie !
Elle se redressa et me sourit :
- Regarde chéri, il a un nouveau tatouage sur la queue ! Il est gentil, il a voulu que j’en profite la première.
Il sortit une belle grosse queue bien lourde de ma femme et me présenta son œuvre. Effectivement, la bite et même les couilles étaient couvertes de dessins. Il replongea la chose dans des profondeurs marécageuses. Je n’avais pas touché, ni baisé le sexe de ma femme depuis dix jours, et c’est un autre qui profitait de cet antre.
J’en savais la douceur, la chaleur. J’imaginais l’excitation et l’étroitesse, la jeunesse vaginale retrouvée, anéanties par un colosse à la bite multicolore. J’étais cocu. Je bandais.
Il était puissant ce gaillard. La sueur luisant sur les tatouages dépourvus de toutes pilosités faisait ressortir une musculature imposante. Je voyais clairement les muscles du dos, des fesses, des cuisses onduler sous la peau au rythme des coups de boutoir. Boutoir multicolore, boutoir épilé, mais boutoir quand même. Et pas des moindres. Détail anatomique qu’elle n’avait pas mentionné lors de nos premiers ébats le concernant. Elle voulait m’en faire la surprise.
Peu importe, je suis cocu, je bande, je l’aime ma salope.
Je regardai la chose imposante coulisser en elle. Elle en avait connues de bien plus grosses par le passé, elle l’encaissait bien, en jouissait même bruyamment. Colonne colorée, luisante des saintes sécrétions, encadrée par des lèvres gonflées d’excitation, ornées de dorure.
Fasciné par le spectacle, j’attendais de dénouement. Le bâton disparut complètement, je voyais juste les hanches du tatoueur collées aux fesses de Sophie. Il éjaculait profondément en elle. Elle criait sa jouissance, bien plus fort qu’avec moi me semblait-il, bien trop fort pensais-je. J’étais cocu.
Elle paraissait évanouie. Lui se rhabilla. Un petit signe de la main et il nous quitta sur un :
- À la prochaine, les amoureux, c’est quand vous voulez.
Il est sympa l’amant de ma femme, il la fait jouir et nous appelle les amoureux. Je l’aime bien, il pourra revenir quand il voudra, ou plutôt quand elle voudra. Si je devais donner un double des clés du cadenas, ce serait à lui.
Elle émerge doucement. Toujours sur les genoux, la tête dans les coussins, elle laisse s’échapper les preuves de son infidélité par la béance que me propose cette vue. Les filets de sécrétions et de sperme viennent rejoindre d’autres souvenirs sur le canapé.
- Prends-moi, chérie ! Vite !
Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me paraît petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. C’est chaud, c’est bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement.
Elle se met à gémir. Ses organes sont sensibles, rougis, irrités d’avoir été pilonnés par le colosse multicolore après dix jours de vide. Je regarde mon sexe aller et venir dans ce con si large. J’ai du sperme jusqu’aux burnes. Elle a un orgasme, je la sens de nouveau, elle se serre autour de moi. Le jus de notre ami s’en trouve expulsé, ça me coule le long des jambes. Je ne tiens plus et me laisse aller en elle. Alors que je m’effondre de sommeil :
- Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri ?
- Comment ça ?
- Tu vas pas me laisser pleine de la semence d’un autre ? C’est pas bien ! Ça pourrait me rendre amoureuse de lui. Et puis tu ne m’as pas léchée depuis des siècles. C’est pas très gentil ça !
Comme d’habitude, ne prenant pas de décision, elle m’attrapa par la nuque et me plaqua le visage contre sa chatte spermeuse. Elle me garda bloqué ainsi. Elle attendait que ma langue se mette en action. J’obtempérai. Je bandais.
Je partis explorer cette chatte que je redécouvrais. Dilatée, rougie, ornée, spermée. Je la nettoyai consciencieusement, sa chatte, sa petite rosette, ses cuisses. Même ses seins, ils avaient joué assez longtemps ensemble, attendant mon retour. Selon Sophie, je suis arrivé pour la troisième et dernière salve. Ses seins et deux fois son minou ont été honorés par le colosse multicolore. Deux heures et demie de baise intensive. Je comprends les irritations vaginales. Je suis cocu, je bande.
Je décidai de lui remettre le cadenas pour plusieurs jours afin que son vagin reprenne forme. Mais excité par cette première expérience, je rendis sa liberté à cette jolie petite chatte. Elle-même très excitée, elle courut en cette soirée vers les bars du quartier, sans culotte, sans soutien-gorge et jupe ras-la-touffe. Je me suis caché dans le bureau et j’ai attendu.
Une heure plus tard, elle revenait avec un gars d’une quarantaine d’années. Un costaud qui riait fort. Il ne fit pas dans la dentelle, il l’a poussée sur l’accoudoir du canapé, le cul tendu. Il releva la jupe et la fourra directement.
Il la bourra dans une cadence infernale pendant très longtemps, ma petite femme avait orgasme sur orgasme. Décidément, elle savait les choisir. Au moment de jouir, il l’attrapa par les cheveux et lui fourra sa belle queue dans la bouche.
Il lui maintint la tête et se répandit dans sa gorge. Bon sang, il avait osé, il l’avait fait. Elle n’a même pas bronché. Elle a juste avalé en le regardant, un beau regard de salope gourmande. Moi, je bandais à me faire mal.
Auteur: Divadation