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Histoire du net. Auteur inconnu. Le routiers.....

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Faut toujours se méfier dans des petits boui-bouis

La petite prune
J'ai toujours eu le fantasme de voir ma femme coucher avec un autre homme devant moi. Je n'ai jamais su pourquoi.. ou enfin si. Elle est tellement belle!! 30 ans, typée méditerranéenne, brune au cheveux longs, la peau hâlée, 1m70, de longues jambes bien galbées, un 90C à damner un saint, une bouche gourmande, des traits fins, et très féminine avec çà. Une bombe quoi!
Lorsque je suis sorti avec elle il y a 12 ans, je lui parlais déjà de ce fantasme lors de nos parties de baise. Oui, je dis bien de baise car je différencie le fait de baiser et de faire l'amour. Et il m'arrive plus souvent de la baiser que de lui faire l'amour. Il faut dire qu'elle préfère çà (même si comme toute les femmes elle a besoin de sexe plus "doux" de temps en temps). Bref! Toujours est-il qu'elle ne voulait pas en entendre parler au début, me menaçant presque de me quitter si je continuais à la saouler avec cette histoire. Mais quelques années après, cette idée ne m'ayant pas quittée, je réintroduisis ce voeux pendant nos ébats, et je remarquais qu'elle mouillait vraiment quand je lui parlais de çà. Et petit à petit c'est elle qui introduisait le fantasme de "l'inconnu" en baisant mais sans jamais vouloir franchir le pas séparant le fantasme de la réalité.
Puis un jour j'ai vraiment eu l'envie de franchir le cap du fantasme. J'avais déjà, pendant nos parties de baise, évoqué l'envie de la voir se faire prendre devant moi par un routier bien vicieux dans sa couchette, mais cette idée ne l'enchantait guère, au vu du stéréotype du routier barbu et bedonnant. Mais nous savions par des amis, qu'on mangeait très bien dans certains relais routiers. J'eus donc l'idée de rechercher un relais faisant une formule avec vin à volonté. J'en trouvais un pas mal, mais un peu loin de chez nous. J'allais donc voir mon épouse, lui proposant un week-end en amoureux sans lui parler bien sûr de mes projets. Elle accepta évidemment sans se faire prier.
Et nous voilà partis pour le week-end. Je lui parle du programme et donc du dîner dans le relais routier en lui disant qu'il m'a été conseillé par un couple d'amis. Elle ne percute pas et me donne son accord. La journée du samedi se passe, nous flânons dans les boutiques de la ville, elle trouve un petit haut "top-jupette" blanc sans bretelle à mettre avec un jean ou un leggings car un peu court seul. Nous rentrons pour nous préparer pour le dîner. Elle essaye son haut devant moi juste en string, et je tente de la convaincre de sortir comme çà juste avec des talons.
- Mais bien sûr! Comme çà tout le monde verra mon cul quand je me pencherai en avant" me dit elle.
Et elle enfile un leggings noir qu'elle associe avec des talons à lanières blancs. Elle se rend compte alors qu'elle a oublié son soutien gorge sans bretelle.
- On voit mes seins sans rien? " me demande t'elle.
- Non!" lui réponds-je.
- T'es sûr?" pas convaincu.
- Un petit peu, mais c'est sexy!".
Après une hésitation de 10 minutes elle se décide quand même à partir ainsi pour mon plus grand bonheur.
Maquillée, coiffée et habillée comme çà elle me fait déjà bander.
Lorsque nous arrivons au relais, il est 22H00 et il commence à faire nuit. Il faut dire que nous nous sommes arrêté dans un bar sympa pour prendre l'apéro en terrasse. Ma femme a eu droit à des regards appuyés par les hommes nous entourant durant tout le temps que nous avons passé dans ce café.
Je décide de garer ma voiture sur le parking réservé aux poids lourds, ce qui entraîne la désapprobation de ma douce:
- Tu n'as rien à faire là, c'est réservé aux camions!".
Je ne l'écoute pas et nous descendons de voiture. Des rideaux sont déjà tirés sur certains pare-brise de camions, ce qui signifie que leurs propriétaires dorment. Le restaurant est à 100 m, et encore une fois j'essuie des reproches de mon épouse.
- Tu aurais pu te garer devant, au lieu de te mettre sur le parking POIDS LOURDS, çà m'aurait évité de marcher".
- On est arrivé ma chérie" lui réponds-je.
Nous entrons, l'intérieur est propre, mais quasi désert.
- Bonsoir jeunes gens! Installez vous j'arrive!", nous lance le patron avant de disparaître dans la cuisine.
Nous nous asseyons à une table de 3 contre le mur, l'un en face de l'autre.
- Sympa ton resto." me lance mon épouse en voyant celui ci presque vide.
Je regarde autour de moi, nous ne sommes que 5. Deux hommes à une table, la cinquantaine, moches, surtout l'un d'entre eux, qui m'a l'air bedonnant. Ils regardent dans notre direction, enfin dans celle de ma femme, et le plus gros me fait un signe de la tête. Je lui réponds timidement. Un autre est seul, dos à nous et dîne tranquillement. Il s'en va d'ailleurs peu de temps après notre arrivée en saluant les deux autres, ce qui me laisse penser qu'ils sont tous les trois camionneurs.
Vu la tronche des mecs, mon plan s'annonce très mal.
- On va bien manger!" dis-je à mon épouse.
Pour seule réponse j'ai droit à un haussement d'épaules. Le patron revient avec les cartes, très souriant et sympa. Nous choisissons la formule avec vin rosé à volonté. Je me fais déjà à l'idée de dîner et rentrer. Nous vidons 2 pichets de rosé et demi, mangeons très bien, rigolons beaucoup. C'est juste un peu long car le patron est souvent dans sa cuisine.
Ma femme est déjà un peu pompette avec tous ces verres que nous avons bu en l'attendant, et balbutie déjà sur des phrases. Nous nous apprêtons à régler la note et partir, lorsqu'on voit le patron ressortir de sa cuisine avec deux verres.
- Tenez jeunes gens! Prune maison!" avec la même voix enjouée.
Nous nous regardons avec ma chérie.
- Merci!" lui dis-je.
- Oh mais c'est pas moi! C'est le monsieur là bas" en me montrant du doigt le gars qui m'avait salué.
Nous le remercions avec ma femme, ce à quoi il lève son verre en la regardant dans les yeux. Celle ci me glisse tout bas ou du moins essaie de me glisser:
- Je ne peux pas le boire je suis bourrée".
- Bois le sinon il va mal le prendre!".
Et pan! D'une traite elle le boit en grimaçant. Je fais de même et regarde la tête de ma femme. Elle n'est vraiment pas en forme. Nous payons le patron qui file à nouveau dans sa cuisine, et sommes prêts à partir.
- Je vais aux toilettes" me dit elle.
Elle se lève, et la voyant tituber un peu , je me lève à mon tour et l'accompagne dans le couloir. Elle rentre dans les toilettes dames. Je regarde en direction de la salle, le gros n'en a pas perdu une miette visiblement. Je vais pisser aussi, je ressors, pas de trace de mon épouse. Je pousse la porte des toilettes, entre, avance un peu, ma femme est assise sur la cuvette des toilettes, la porte grande ouverte, le leggings et le string en bas des chevilles, la tête contre le mur du fond, les yeux fermés.
- Ma chérie, çà va?".
Elle ne réponds pas. Je lui repose la question, elle balbutie:
- C'est pas la forme".
Et là en une seconde une idée perverse me traverse l'esprit. Je m'approche d'elle, m'accroupis et lui enlève son leggings et son string. Elle me demande ce que je fais les yeux à moitié fermés, ce à quoi je lui réponds qu'elle aura moins chaud comme ça. Je la lève des toilettes, tire un peu sur son haut. C'est vrai qu'il est court, il cache juste le bas de son cul. Elle est magnifique comme çà, perchée sur des talons hauts, ses longues jambes bronzées, son petit haut qui ne cache presque rien de son anatomie si parfaite.
Nous sortons des toilettes, j'espère juste que le patron sera encore et toujours dans sa cuisine. C'est le cas. Ma femme titube un peu, je lui propose de s'asseoir un peu avant de partir et nous nous posons à notre table. Je l'aide à s'asseoir, elle croise les jambes, on voit presque son cul. Je m'assieds et regarde en direction des deux. Le gros est bouche bée.
Il dit un mot à son pote qui regarde dans la direction de ma femme et sourit. Ce dernier lui réponds un truc à son tour et reprend la dégustation de son dessert. Le gros ne peut plus détacher son regard des jambes de ma femme. Il croise mon regard, pas gêné, se lève, vient vers nous, et sans rien demander s'assied entre ma femme et moi et engage la conversation.
- Alors les tourtereaux, elle était bonne ma prune?" dans ma direction Et tout en matant ma chérie.
- Oui, mais elle nous a achevé, surtout ma femme. Elle est bourrée et a très chaud!". Je le vois sourire, et de me demander si on vient souvent dans le coin, d'où on vient, un tas de banalités, alors que je vois son bras droit qui bouge, me laissant à penser qu'il est entrain de caresser les cuisses de ma femme qui ne réagit que par à-coups maladroits en le repoussant timidement. Je fais le mec bourré et je lui dis que nous allons rentrer. Le mec, pas démonté nous lance:
- Je vous raccompagne!" et il se lève.
J'aide ma femme à se relever, le gros gueule un "salut Gilbert, bonne nuit, je raccompagne les jeunes à leur voiture!"à son pote et nos sortons. Ma femme me glisse un "On rentre"étouffé, et je lui glisse un "Oui, oui ma chérie".
Il me demande où nous sommes garer, je lui réponds que nous sommes sur le parking poids lourds. Et là la phrase que j'attendais et que je n'espérais plus fuse:
- Ah bon vous êtes sur mon parking?" comme si il lui appartenait, "venez je vais vos faire visiter mon camion".
Je lui réponds que je ne suis pas sûr, que nous sommes bourrés et fatigués. Il insiste en me disant que ce sera juste un petit coup d'oeil, je lui donne mon accord. Nous arrivons à son camion qui n'est pas loin de ma voiture. Un gros camion. Le type me dit qu'il est transporteur indépendant, me parle de son bébé (son camion bien sûr), et nous montons à bord. Lui le premier, ma femme en second, qui monte avec peine, et moi.
La cabine est immense. A mon regard le mec est tout fier. Et surtout de la partie couchette. Un grand lit surélevé, un frigo, une douche, la grande classe quoi.. Ou presque! Quelques posters de nanas à poils ou en petites tenues sont affichés sur un pan de cloison. Il voit que je les regarde et me lance un "çà c'est mes petites chéries. Elles sont toutes passées dans mon lit" en rigolant.
Il nous propose une boisson fraîche en nous disant qu'elle nous fera du bien. Il ferme les rideaux qui séparent la couchette du pilotage en balançant un "voilà on est tranquille là". Nous nous asseyons sur le lit, ma femme à encore le réflexe de tirer un peu sur son haut, mais toujours maladroitement, ce qui couvre juste le haut de ses cuisses. Bourrée elle n'a même pas percutée qu'elle n'avait plus de string.
Le gros s'installe vers nous, nous buvons, discutons, pas trop ma femme, qui cuve un peu, il reluque les cuisses et les seins de ma femme, qui de ma position et de la sienne sont presque visible entièrement par transparence due à la lumière. Je fais alors semblant de ne pas être bien, et je lui dis qu'on va partir.
Il me rétorque alors que je ferais bien de dormir un peu, car ce n'est pas prudent de prendre le volant dans mon état, il ajoute qu'on peut dormir dans sa couchette une heure ou deux si on le veut, et que lui dormira dans le poste de pilotage. Je lui réponds que je préfère aller somnoler dans ma voiture, mais que je veux bien que ma femme dorme un peu sur un lit plus confortable. Ma chérie ne réagit pas trop sur le coup, puis me bafouille un
- On rentre mon amour?".
Je lui réplique alors qu'elle va se reposer un peu là, et que je ne suis pas loin, que je viens la chercher dans peu de temps. Je dis au gros que je vais à ma voiture et qu'il vienne me réveiller dans une heure. D'un ton tout mielleux il m'assure que ce sera fait, et sort une couverture pour ma femme. Ma femme me demande un bisou, me redemande de venir la chercher vite. Je lui réponds de ne pas s'inquiéter. Je fais deux pas, tire le rideau, regarde le gros qui fait mine de déplier la couverture, mon épouse me regarde tristement, les yeux embués par l'alcool. J'hésite presque à tout arrêter et partir avec elle, je dis au gros que je claque la porte. Celui ci me réponds:
- Pas de soucis je la bloquerai en me couchant",
Et finalement je referme le rideau, me glisse vers la porte passager, et fait mine à mon tour de partir, l'ouvrant et la claquant quelques secondes après. Je ne bouge pas pendant quelques instants tout en craignant que le gros ne surgisse de la couchette. J'ai le sang qui bouillonne au niveau de mon visage, les jambes qui flagellent un peu. J'attends. Rien. Je me rapproche de l'ouverture des rideaux, et les écartent un peu...
Le gros n'a même pas pris le temps de vérifier si j'étais bien parti. Ma femme est toujours assise sur le bord du lit, le gros est collé à elle à sa droite. Il lui caresse le genou avec sa main gauche. La couverture qui était destinée à ma femme est en boule dans un coin du lit. Celle ci ne le regarde même pas et n'émet aucune protestation quand le gros allonge ses caresses jusqu'au milieu de sa cuisse.
- Tu es belle!" lui dit il, tout en accélérant ses caresses. "Avec ta tenue, on dirait une des petites salopes de mes posters".
Ma femme ne bronche pas. Elle lui demande seulement:
- Ma couverture?".
- Je vais te donner mieux qu'une couverture ma belle!".
Et il tire un grand coup sur le haut de mon épouse, laissant apparaître ses deux gros seins bronzés. Il passe son bras gauche derrière le dos de ma femme, et lui attrape ses deux nichons. Je bande comme un âne en voyant cela. Il commence à lui peloter les seins et lui pincer les tétons.
- Qu'est ce que tu fais!" souffle ma femme en essayant de le repousser comme elle peut, mais l'autre n'en a cure.
D'un coup il lui lâche les seins, la prend par le menton et lui dit:
- Suce mon doigt!".
Ma femme ne bronche pas. Une petite claque s'abat sur le sein de ma chérie, qui grimace et émet un petit "han!" de douleur, mais ne fait toujours rien. Paf! Une deuxième s'abat à nouveau sur son sein, avec la même demande.
- Tu me fais mal!" bafouille ma femme en hochant la tête pour qu'il la lâche.
Le gros lui bloque le menton et lui ordonne:
- Tu veux plus que je te fasse mal? Alors suce mon doigt!'".
Je me dis que çà va peut être un peu trop loin, et m'apprête à intervenir, avant que cela ne dégénère, lorsque devant mes yeux ébahis, ma femme entrouvre la bouche laissant le gros y introduire son index. Celui ci commence à le faire coulisser entre les lèvres de ma chérie qui se sont refermées, et elle le suce les yeux fermés. - C'est bien!" lui dit il. "Regarde moi dans les yeux" lui ordonne t'il tout en lui malaxant chaque sein et lui pinçant les tétons.
Ma femme ouvre les yeux et le regarde, son regard a changé, il est toujours embué par l'alcool, mais il est plus lubrique.
- Écartes les cuisses maintenant!" lui réclame t'il.
Pas de réaction de mon épouse qui suce toujours l'index. Paf! Une petite claque sur le sein, qui la fait pousser un petit cri étouffé. Ses cuisses s'écartent. Le gros prend la jambe la plus proche de lui, la passe par dessus son genou, et entreprend une caresse du genou jusqu'en haut de la cuisse.
- Quelles jambes!" dit il en faisant cela à ma femme suçant toujours le doigt les yeux clos maintenant. Il arrive à sa chatte et lui lance un:
- T'as même pas de culotte petite chienne", en contemplant cette chatte épilée avec juste le petit ticket de métro au dessus de la vulve. Il y introduit alors l'index et s'écrit:
- Mais t'es toute trempée ma salope", avant d'y ajouter deux doigts supplémentaires et d'entamer une branlette en bonne et due forme.
Je n'en crois pas mes oreilles. Ma femme rouvre les yeux, et le fixe avec le même regard qu'auparavant, tout en continuant à lui sucer l'index, en poussant des petits gémissements étouffés.
Ma femme! Elle, si belle, qui détestent ce genre de mec, moche, gras, vulgaire.
Elle est sous son influence, complètement à sa merci, alors qu'elle le repoussait quelques minutes avant. Il ordonne, elle obéit. Est ce l'alcool? Sûrement. Un fantasme qu'elle avait au fond d'elle? Peut être.
La scène à laquelle j'assiste est irréelle, je pensais qu'elle resterait à jamais de l'ordre du fantasme, surtout avec le physique du gars. Je sors mon sexe de mon jean et commence à me masturber doucement en regardant, de peur d'éjaculer trop vite.
- Tends tes beaux nichons vers moi!'' lui ordonne t'il.
Elle s'exécute. Il enlève son doigt qui était dans la bouche de ma femme, attrape un de ses seins et se met littéralement à le bouffer, tout en continuant à la branler. A son visage, elle a l'air d'aimer çà. Ses yeux sont fermés, sa bouche entrouverte, et des petits soupirs se font entendre au milieu des bruits de succion.
Le gros la bascule en arrière, la tête sur la couverture en boule. Par chance, celle ci est dans le coin me laissant un bon angle de vue. Il continue de lui dévorer les nichons, l'un après l'autre cette fois. Sa main est presque entièrement dans la chatte de ma femme, qui a complètement écartées les cuisses et dont la respiration et les gémissements sont de plus en plus fort.
Après quelques minutes de ce traitement, le gros se redresse, contemple quelques secondes mon épouse les jambes toujours grande écartées et lui lance:
- 'J'étais sûr que t'étais une petite salope! Je l'ai dis à Gilbert, quand t'es revenue des toilettes, y voulait pas me croire!''.
Ma femme le regarde la bouche entrouverte, mais ne dit rien. Il enlève son T-shirt. Il est gras et poilu sur le torse et les épaules. Il fait de même avec son pantalon. La bosse qui se dessine à travers son slip est impressionnante. Moi qui n'ai pas à me plaindre concernant la taille ma queue, je suis interloqué. Il enlève son slip. En effet. Elle est large, et à première vue doit faire au moins 25 cm. Il la dresse fièrement devant ma femme et lui dit:
- J'en ai baisé des putes, sur l'autoroute! Mais des beautés comme toi, jamais! Je vais te baiser comme jamais on t'as baisé! Même pas ton petit mari!!
Il se met à genoux entre ses cuisses, remonte le haut de ma femme qui n'est plus qu'une fine ceinture, sur son ventre, lui attrape les chevilles, lui replie un peu les jambes et enfonce sa grosse queue dans la chatte de ma femme qui pousse un râle de plaisir. Il l'enfonce complètement et la ressort doucement. Il fait ça plusieurs fois. Je regarde son mandrin énorme entrer et sortir du fourreau de ma chérie. Je me branle de plus en plus doucement car je suis prêt à exploser.
- Elle te plaît ma grosse bite, hein? Elle glisse bien dans ta p'tite chatte trempée, hein?''.
Ma femme ne réponds pas, mais je remarque que son regard est encore plus vicieux qu'avant. Pendant tout le temps ou le gros effectue ces allers-retours, elle fixe sa bite, et ouvre plus grand sa bouche à chaque fois qu'il la pénètre. Je remarque aussi qu'elle se caresse doucement le sein droit.
- Hein tu l'aimes?''.
Et il se met à accélérer le rythme provoquant un rictus de douleur sur le visage de ma femme. Il lui lâche les chevilles et s'allonge sur elle, elle laisse retomber ses jambes pliées, les talons posés sur le lit. Il lui chope les deux seins et se met à les lécher et les téter à tour de rôle tout en la pilonnant. Son ventre et sa queue claque contre sa chatte. Ma femme à les yeux fermés, la bouche grand ouverte, et émet de grands gémissements sonores.
- T'aime çà petite pute! Hein t'aimes çà? Pas de réponse. ''Dis le que t'aime çà!''.
Ma femme soupire un petit ''Oui!''. Je lâche ma bite, je suis à deux doigts de venir.
- Ah oui t'es une belle petite pute, hein? Hein? '
- Oui!'' lui soupire à nouveau ma femme.
Et il la pilonne encore plus fort, la faisant râler longuement de plaisir. Il l'a fait jouir! Ce gros sac hideux l'a fait jouir. Et rapidement avec çà.
- Ha! Ha! Ha! C'est pas encore fini ma jolie!'' lui lance t'il alors qu'elle reprend son souffle.
Il lui bouffe encore les seins quelques secondes.
- Tourne toi sur le côté!''.
Et il la retourne dans ma direction comme une marionnette, passe derrière elle, lève une de ses jambes en la tenant par le genou, et s'enfonce à nouveau dans sa chatte. Il la pénètre à une vitesse moyenne, mais constante. Je reprend ma masturbation et regarde ma femme.
Elle est superbe. Les yeux mi-clos, la bouche entre-ouverte, sa petite langue en sortant légèrement, ses gros seins bronzés ballottant au rythme des pénétrations. Dans cette position, je vois parfaitement la bite énorme du gros entrer en elle et en sortir aussi vite. Je me demande comment il fait pour tenir aussi longtemps sans jouir, en baisant une femme aussi belle. Il la baise comme çà pendant plusieurs minutes.
Puis il lâche à nouveau sa jambe, la replie sur l'autre et l'enfile aussi sec. Je vois ma femme grimacer légèrement. Puis quelques secondes plus tard son visage se détend. Le gros en profite pour lui enfoncer un doigt, puis deux dans l'anus. Il accélère petit à petit en guettant sa réaction, puis en entre un troisième et entreprend un mouvement circulaire pour élargir le trou.
Pourtant plus du tout habituée à ce traitement qu'elle me refuse depuis quelques années , ma femme n'émet aucune protestations. Sa bouche s'ouvre et se referme à chaque mouvement circulaire, et sa respiration se fait plus forte, mais elle ne bronche pas. Ce spectacle me rend un peu jaloux, mais l'excitation de voir ma femme dans cette situation prend le dessus.
- Je vais t'enculer ma jolie! Tu vas aimer çà, hein petite salope?! Rugit il.
Tout à coup, j'entends un léger bruit métallique qui vient de la portière passager. Par réflexe, je remballe ma queue. La porte s'ouvre!!..
J'essaie de discerner le visage de l'homme qui vient d'ouvrir la porte dans la pénombre. C'est Gilbert, le pote du gros! Il est aussi surpris de me voir, que moi de le voir. Nous sommes tous les deux décontenancés sur le moment.
- Mais qu'est ce que?..''.
Je ne laisse pas poursuivre sa phrase, je lui fait signe de se taire et jette un œil entre les rideaux. Le gros n'a rien entendu. Il est toujours entrain de limer ma femme en lui bouffant un sein, tout en continuant de lui doigter l'anus. Je fais à nouveau signe à son pote, mais pour lui indiquer qu'il peut monter, en l'enjoignant encore une fois de ne pas faire de bruit.
Il monte, méfiant, et referme la portière doucement. Il ne lui faut pas beaucoup de temps une fois monté pour percevoir les gémissements de ma femme, et les grognements de son pote. Je l'invite à regarder entre les rideaux. Il reste bouche bée devant la scène. Son pote entrain de baiser ma bombe de femme complètement consentante.
- Mais... c'est ta nana!! Comment il..?'' me dit il à voix très basse, complètement ahuri et subjugué.
- Ma femme.'' lui répond-je.
- Ta femme?''. Mais tu la laisse.., enfin.. tu le laisse la sauter sans rien dire?
- Ton pote ne sais pas que je les mate''.
- Ah bon il sait pas?'
Il n'arrive pas à détourner son regard de la scène qu'il a devant les yeux.
- Elle est excitante ma femme! Hein?''.
- Ah, oui, oui, beaucoup! On dirait une actrice de films pornos! me chuchote t'il.
- De films pornos? Rien que çà?''.
- Ouais. Te vexes pas, mais.. comme elle est gaulée, et là entrain de se faire baiser devant mes yeux, c'est à çà qu'elle me fait penser.. Et c'est un compliment!!'' me lance t'il, de peur de m'avoir froissé.
- 'Tu veux y aller?''.
Il me regarde éberlué.
- Et toi t'y vas pas?'' me demande t'il.
- Non! Ton pote pense que je dors dans ma voiture.''
- Ah! C'est ta bagnole, la noire plus loin? J'trouvais çà bizarre, justement une bagnole garée là. Je venais prévenir Michel. Il a le plus beau camion. Il a même installé une douche. Il est long, il a eu du mal à rouler avec chez nous... ''
Je le coupe.
- Ouais, ouais j'ai vu.''...et je lui lance: ''Allez,vas y et fais toi plaisir!''. Et je me pousse sur le côté. ''Vas-y!''.
Le mec n'en revient pas. Moi non plus je n'en reviens pas de m'entendre dire çà. Il hésite un peu, regarde entre les rideaux, me regarde à nouveau, puis il les écarte et se glisse dans la couchette.
J'entends le gros bégayer un ''c'est qui..?'' Puis gueuler:
- Putain, c'est toi Gilbert! Tu m'as fait peur du con! Qu'est ce que tu fous là?''.
Je me rapproche des rideaux, et les écarte à nouveau légèrement. Le gros est toujours dans la même position, sa queue enfoncée dans la chatte de ma femme, une main devant sa bouche et l'autre bras devant ses seins.
- Ben et toi?'' lui réponds son pote.
- Tu le vois pas, ce que je fais?''......
A suivre....

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