Nymphomane à 55 ans
Je m'appelle Agnès, j'ai 55 ans et je tiens un magasin de tabac-presse à Lyon. Avec mon mari nous habitons dans un appartement situé en haut de mon bureau de tabac. Mon mari, Georges, a 62 ans. Il y a 12 ans il s'est mis à boire et depuis il est devenu impuissant.
En retraite, il passe ses journées à jouer aux cartes avec ses amis et à boire. Je ne l'intéresse plus et il me dégoûte de plus en plus. Pourtant je souffre de cette situation car j'aime beaucoup séduire.
Malgré mon âge, je suis très bien conservée. J'ai un corps mince et ferme, dont je prends beaucoup de soins en fréquentant un club de gym et des séances d'U.V. pour rester toujours bronzée, et j'ai surtout une poitrine opulente que j'aime mettre en valeur.
Etant en contact avec le public toute la journée je ne cesse pas de séduire. Les regards avides des hommes qui louchent sur mon décolleté très échancré m'émoustillent et me rassurent.
Je dois avouer que je suis surtout attirée par les jeunes hommes d'une vingtaine d'années. Quand j'en vois un mignon, je fais tout pour l'allumer et ça m'excite beaucoup de voir le désir dans ses yeux (et parfois dans la bosse de sa braguette !). Mon arme principale pour séduire ce sont mes gros seins que je découvre au maximum par une robe décolletée ou un corsage dont le haut est négligemment déboutonné.
Je porte souvent des bas noirs et un soutien gorge à balconnet en dentelle noir. Il y a parfois des petits jeunes qui reviennent quatre ou cinq fois dans la journée et à chaque fois ils partent plus excités qu'avant. Je mouille rien qu'en les imaginant en train de se branler en pensant à moi et à mon corps. Pourtant je dois avouer que jusqu'à l'été dernier je n'avais jamais trompé mon mari.
Au mois de juillet de l'année dernière j'ai goûté pour la première fois aux délices de l'adultère et, croyez-moi, je ne suis pas prête à m'arrêter. Mes aventures extraconjugales m'ont fait découvrir à moi-même sous un jour différent : aujourd'hui, je dois reconnaître que je ne me suis vraiment épanouie qu'à 55 ans mais, comme on dit, vaut mieux tard que jamais !
Depuis, mes tabous sont cassés et je suis devenue, sous mes apparences respectables de femmes mûres, mariée et honnête commerçante, une affamée de sexe. Jusqu'à l'année dernière j'étais une simple allumeuse qui n'avait jamais osé aller plus loin, maintenant je suis une vraie salope qui adore sucer son jeune amant et se faire jouir dessus, une salope perverse qui s'est découvert, à 55 ans, un goût insolite pour les jeux d'urine.
S'il m'arrive encore d'avoir parfois d'insupportables crises de culpabilité je dois avouer qu'en lisant votre revue et surtout en vous écrivant sans retenue je me sens libérée de tout sentiment de culpabilité et de toute contrainte morale et capable d'assumer mes désirs : je raffole de sucer une belle queue, je ne pense plus qu'à ça, je prends mon pied avec ça et j'en suis heureuse.
Et voilà l'aventure qui m'est arrivée l'été dernier et qui a pratiquement tout déclenché dans ma tête et dans ma vie.
Ce jour là il faisait très chaud à Lyon. Je portais mon tailleur beige qui est assez échancré et j'avais pour tout sous-vêtement un slip et des bas noirs. Ce tailleur est mon seul vêtement avec lequel je ne porte jamais de soutien gorge car je trouve ça peu élégant.
Il est entré peu après l'ouverture du magasin et m'a acheté un paquet de cigarettes Il était jeune, autour de 24 ans, brun, assez petit, il avait de petits yeux qui lui donnaient un air vicieux mais un visage très mignon. Dès l'instant où il est entré au magasin son regard, audacieux et timide à la fois, s'est posé sur ma poitrine opulente qui déformait le haut de ma veste. J'étais ravie et amusée.
Pour lui rendre la monnaie je me suis penchée au maximum sur le tiroir caisse lui offrant ainsi une vue très plongeante sur mes seins. Il est revenu 20 minutes après sous prétexte qu'il avait oublié d'acheter un briquet et puis, toute la matinée je l'ai vu passer et repasser devant le magasin ; prétextant regarder les articles qui se trouvaient dans la vitrine, il me regardait discrètement.
Il est repassé l'après-midi pour acheter encore des cigarettes et je me suis encore sentie déshabillée par son regard insistant et timide chargé à la fois de désir et d'une sorte de résignation.
Son regard m'intriguait de plus en plus, on aurait dit qu'il me suppliait, qu'il m'implorait du regard et cette sensation ne me laissait pas indifférent. J'avais envie de le provoquer encore plus. Ce manège dura une dizaine de jours, il passait me voir plusieurs fois par jour sous des prétextes différents et, toujours timide, il ne me disait pas un mot, par contre j'avais l'impression que son regard me parlait, me conjurait me saoulait en m'avouant son envie.
Il commençait à me plaire et au bout de quelques jours j'ai commencé à penser à lui les soirs dans mon bain. Je l'imaginais en train de se masturber devant moi en fixant mes seins avec son regard enfiévré. Je l'imaginais avec un beau et gros sexe érigé qu'il frottait contre mes seins et mon sexe et je finissais chaque soir par me masturber dans mon bain en repassant ses images dans ma tête.
Un jour il est arrivé quelques minutes avant midi et après avoir acheté des cigarettes s'est dirigé vers le présentoir des journaux, et s'est mis à feuilleter des revues érotiques qui se trouvaient sur le rayon tout en haut. Moi j'attendais avec impatience qu'il finisse de choisir sa revue pour pouvoir fermer la boutique et aller manger mais le jeune homme n'était pas pressé.
Je le voyais de profil et à chaque fois qu'il se levait sur la pointe des pieds pour prendre une revue sur le rayon du haut je pouvais deviner son sexe bandé à travers le tissu mince de son pantalon, il devait faire un peu exprès pour me montrer qu'il bandait. Je distinguais tout le contour de son sexe qui longeait en haut de sa cuisse. Son sexe me paraissait gros et long.
Regarder des revues de femmes nues à deux pas de moi devait drôlement l'exciter. C'était peut-être sa façon à lui de me parler de me faire part de ses désirs. Une façon de communiquer bien maladroite qui ne manquait pourtant pas de m'amuser car j'avais le sentiment d'avoir un grand pouvoir sur ce garçon, pouvoir de le mener par le bout du nez et de le dominer totalement.
La situation avait quelque chose de piquant, de pervers qui m'attirait. Tout ça me donnait l'envie de l'allumer, de le provoquer encore. Discrètement, j'ai défait deux boutons du haut de ma veste. Je ne portais pas de soutien gorge et il suffisait que je bouge un peu pour qu'on puisse voir mes seins dans l'échancrure de ma veste. Je bombais le torse et je lui lançais sur un ton impatient :
- Monsieur, il est midi dix, je vais fermer"
Il s'est présenté devant la caisse avec une revue de femmes aux gros seins et deux numéros de Lettres Magazine. Je me suis baissée pour prendre un sac en plastique pour ses revues et je suis resté un moment comme ça, feignant chercher le sac.
Mes seins pendaient et ballottaient à chacun de mes mouvements et à travers le haut de ma veste déboutonnée il pouvait tout voir. Lorsque je me suis redressée il était rouge d'émotion et son regard, m'implorant plus que jamais, a croisé le mien. Sous le poids de son regard, si vif et si chargé d'émotion, j'ai senti une bouffée de chaleur envahir mon corps, je crois que j'ai rougi, je me suis sentie toute mouillée et j'ai serré fort mes cuisses. Il est parti, j'ai fermé le magasin et je suis allée dans le restaurant d'en face manger comme d'habitude avec Paulette qui tient une mercerie pas loin de chez moi.
Au retour, vers 13 heures 30, il m'attendait devant mon bureau de tabac. D'une voix tremblante il m'a demandé d'emblée s'il pouvait m'offrir un café. Sûre de mon pouvoir sur lui et attendrie de le voir obligé de faire tant d'efforts pour m'aborder si maladroitement, je lui ai répondu que j'allais me faire un café et je l'ai invité à entrer et le prendre avec moi.
Après tout je n'ouvrais le magasin qu'à 15 heures et j'avais bien une heure et demi devant moi pour faire marcher avec ce petit gamin. J'avais envie de le provoquer encore et de voir ses yeux débordant de désir m'implorer et me supplier. On est entré. J'ai refermé la porte à clé et j'ai passé devant lui pour le diriger vers l'arrière boutique qui me servait également de cuisine.
J'ai mis en route la cafetière et on a commencé à discuter. Il m'a dit qu'il était étudiant et qu'il vivait dans le quartier. Il avait 23 ans, 32 ans moins que moi ! En me parlant son regard descendait sans cesse de mon visage vers ma poitrine et fixait la raie entre mes deux globes de chair. Il m'inspirait de plus en plus confiance. Il devait être quelqu'un de très seul. Tout en continuant à le questionner sur un ton faussement maternel je suis allée servir le café.
J'avais le dos tourné vers lui lorsque je l'ai senti derrière moi, avant même de pouvoir me retourner il s'est collé à moi, je sentais nettement sa virilité arrogante qui cherchait à se caler dans la raie de mes fesses et ses mains ont empoigné mes seins à travers ma veste.
Il se serrait contre mon dos et ses mains pelotaient énergiquement mes gros seins qu'elles avaient du mal à contenir. Je sentais son souffle, puis ses lèvres et sa langue sur ma nuque. Pour la première fois depuis des années je sentais mon corps se presser contre celui d'un homme. Il me parlait sans cesse, il me disait qu'il me trouve sexy et sensuelle, qu'il a toujours rêvé d'une femme comme moi, qu'il n'arrête pas de penser à moi depuis qu'il m'a vue. Le jeune homme timide s'était transformé en un mâle en rut.
Tout cela s'est passé en quelques secondes et dans ma tête l'idée de le repousser a vite cédé la place à une sensation de chaleur et de bien être. Une forte envie me serrait le ventre et mon cœur battait la chamade. J'ai commencé à onduler des hanches de plus en plus vite pour mieux sentir son sexe dur se frotter contre mes fesses.
Il y avait quelque chose dans la situation qui m'excitait énormément et que je ne sais pas expliquer. Peut-être était-ce sa personnalité timide ou son âge ou le fait que je trompais pour la première fois mon mari mais toujours est-il que j'avais tout le corps en feu. J'ai retroussé ma jupe et alors que ma main droite s'activait dans ma culotte, j'ai passé la main gauche derrière moi et j'ai empoigné sa queue. Quelle délicieuse sensation que de sentir ainsi entre les doigts l'effet que peut faire une femme de mon âge à un jeune homme de 23 ans. Quant à lui, il avait déboutonné ma veste et, tenant mes seins des deux mains les malaxaient vigoureusement.
Je me suis retournée et prenant sa tête entre mes mains je l'ai embrassé à pleine bouche. Un baiser fou et enflammé : je frottais mes lèvres contre les siennes, je les mordais, je léchais ses lèvres et son visage, je fouillais sa bouche avec ma langue.
Il répondait avec fougue à mon baiser, sa langue glissait frénétiquement sur ma peau, il léchait mon cou, mes épaules, mon visage puis nos langues et nos salives se mêlaient dans un baiser fougueux. Je mouillais abondamment et je me frottais contre sa cuisse.
Il s'agitait comme un fou sur ma poitrine, il suçait mes seins, les pelotait, y frottait son visage. Je n'y tenais plus, je me suis baissée et j'ai ouvert sa braguette, son sexe a jaillit, fièrement érigé en courbant vers le haut, il était gros et long. C'est difficile à expliquer mais dans l'état d'excitation où je me trouvais c'était comme si je découvrais pour la première fois un sexe d'homme.
C'était moins l'idée d'avoir ce sexe en moi que celle de le toucher, de le humer, de le sucer et de le découvrir qui m'excitait. Je le branlais lentement pour bien sentir sa chaleur et sa douceur. Sa queue palpitait sous le mouvement de mes doigts. Comme une jeune fille qui touche pour la première fois un sexe d'homme j'étais curieuse de connaître les secrets cette belle colonne de chair.
Je n'avais pas assez de la toucher je la mettais en contact avec ma peau, je la frottais contre mon cou, mes épaules, mon bras, mes seins et mon visage. Je l'embrassais amoureusement en la prenant entre mes lèvres et je la léchais sur toute sa longueur, puis je la frottais encore et encore contre mon corps, contre chaque centimètre de ma peau. Il gémissait fort et se baissait sans cesse pour palper mes seins. Je n'avais jamais connu un tel plaisir et un tel degré d'excitation. Tout était cérébral, tout était dans la situation.
L'idée de lui procurer du plaisir, de l'entendre et sentir jouir me tournait la tête comme si j'étais ivre. Je ne pensais qu'à ça, qu'à le faire jouir.
Il s'est baissé et s'est mis à se branler entre mes seins. Sa queue allait et venait entre mes deux globes de chair que je maintenais des deux mains. Ses mouvements étaient hâtifs, on aurait dit qu'il voulait tout essayer tout goûter avant que ça finisse. Il a frotter sa queue contre mes seins, avec son gland violacé et luisant il écrasait mes tétons.
Ensuite je prenais sa queue dans ma bouche et je la suçais énergiquement. Je voulais qu'il jouisse dans ma bouche mais d'un seul coup il a sorti sa queue et s'est mis à se branler vigoureusement sur mes seins. Une grimace a déformé son visage et il a crié. Il a éjaculé abondamment sur ma poitrine, j'ai reçu quelques gouttes sur le visage. Mes yeux ne quittaient pas sa queue qui s'agitait follement et lorsque son sperme chaud s'est écrasé sur ma peau j'ai eu un orgasme.
Des ondes de plaisir m'ont secoué de la tête aux pieds, un feu d'artifice, des frissons interminables, et une sensation de chaleur a traversé tout mon dos de la nuque jusqu'aux reins. Un plaisir cérébral que je n'avais jamais connu. Un agréable sentiment de bien être m'enveloppait.
Il a étalé son sperme sur ma poitrine. Le spectacle de mes seins barbouillés de son foutre crémeux et visqueux devait lui plaire car il les a ainsi massé un long moment. Mes seins et ses doigts dégoulinaient de sperme, il m'en a mis partout, sur le ventre, sur les hanches, sur le cou. Il a léché les quelques gouttes de sperme sur mon menton et mes joues puis m'a embrassé à plein bouche pour me les passer.
J'ai avalé le mélange de salive et de sperme qui m'emplissait la bouche. Ensuite il m'a fait lécher et sucer ses doigts pleins de foutre. Je m'y suis appliquée comme si chacun de ses doigts était une bite. Le goût de son foutre et la sensation formidable de me sentir toute barbouillée de sperme m'excitaient encore. Décidément ce garçon était fait pour moi, pour m'exciter. Je me suis nettoyé juste le visage et j'ai remis ma veste. Je voulais garder son foutre sur moi, je voulais être sale, souillée, barbouillée et ça me plaisait.
Jean-Luc (c'était son prénom) est parti et j'ai ouvert le magasin. Toute l'après-midi l'image de sa queue se frottant à moi m'obsédait. Chaque cellule de ma peau avait gardé le souvenir du passage de sa queue, de sa langue et de ses mains et en redemandait. Je ne me reconnaissais plus.
Comment ce jeune homme de 23 ans avait pu me faire un tel effet et me bouleverser à ce point ? L'odeur de son foutre séché sur mes seins qui me remplissait les narines me rappelait instamment que je n'avais pas rêvé. A 19 heures j'ai fermé le magasin et je suis remontée chez moi.
Après avoir dîné avec mon mari je l'ai abandonné comme d'habitude devant sa télé pour aller prendre une douche. Dans la salle de bain je me suis regardée nue dans la glace, je me trouvais belle et rajeunie. J'étais bien. Je me suis caressé les seins, j'en ai pris un dans ma main et je l'ai remonté, puis baissant la tête je l'ai léché sur toute la surface.
Le goût du sperme de Jean-Luc s'est ravivé dans ma bouche. Je léchais le foutre séché sur mes seins et l'envie de sa queue devenait de plus en plus forte. Je voulais qu'elle m'arrose encore de foutre, qu'elle me salisse le corps.
J'ai ressenti une envie de faire pipi et soudain une idée bizarre et excitante m'a traversé la tête. Et si j'arrosais mon corps avec mon urine ! Rien qu'en y pensant mon cœur s'est mis à battre très fort. L'idée était salace et perverse et elle m'excitait. Je me suis couchée sur le dos au fond du baignoire, j'ai relevé très haut mes jambes et je me suis mise à pisser en m'arrosant partout même sur la figure. Je dégoulinais d'urine. Ca coulait sur mon corps, c'était chaud et son odeur m'enivrait. En même temps je me touchais et j'ai joui très fort. C'était merveilleux.
Le lendemain et les jours suivants j'ai revu Jean-Luc. On se retrouvait entre midi et 15 heures et on faisait l'amour comme des bêtes. Le reste de la journée je ne pensais qu'à une chose : retrouver Jean-Luc, prendre sa queue dans ma main, la toucher, la sucer et la faire gicler. Lui, de son côté il était obsédé par ma poitrine et il me disait attendre impatiemment tous les jours le moment de les peloter, de les lécher et téter.
Aujourd'hui ça fait un peu plus d'un an qu'on se connaît et on se retrouve toujours avec la même fougue. Nous sommes devenus très proches, maintenant il connaît mon goût secret pour les jeux de pipi et ça l'excite terriblement. Il sait que j'aime l'amour mouillé et que plus c'est sale plus je perds la tête et je m'excite.
Un jour quand il est arrivé, il a sorti sa queue, m'a serrée contre lui et s'est mis à pisser. Il a du faire des efforts car il bandait déjà et ça ne venait pas facilement. Son pantalon et ma jupe étaient tout mouillés et son urine chaude coulait merveilleusement sur mon ventre et mes cuisses.
Ensuite je me suis déchaînée sur sa bite, je l'ai branlé et sucé comme une dingue et il a joui sur mes seins. Je me rappelle que ce jour là je ne me suis pas nettoyée, j'ai juste changé mes vêtements trempés et lavé le sol de la cuisine et l'après-midi j'ai repris mon travail toute trempée de pipi et de foutre de Jean-Luc.
Le soir je me suis encore branlée au fond de ma baignoire en m'arrosant de pipi.
Un autre soir alors que mon mari dormait et moi je lisais un numéro de Lettres Magazine dans la cuisine, j'ai été prise d'une forte envie de pisser. Et toute excitée que j'étais par la lecture de votre revue, je me suis laissée aller. J'ai pissé comme ça assise sur ma chaise. L'urine coulait sur le siège puis sur le carrelage et formait une grosse flaque par terre. J'y ai trempé mes doigts et je les ai portés à mes seins puis à ma bouche pour les sucer comme une bite.
Ensuite, tremblante d'excitation, je me suis déshabillée et je me suis roulée toute nue sur le carrelage dans la flaque de pipi. Je me suis branlée couchée par terre, toute trempée d'urine et j'ai joui alors que l'odeur d'urine me remontait les narines.
Et enfin, je n'oublierais pas le jour où Jean-Luc, connaissant bien mes fantasmes, a littéralement couvert mon buste de crème chantilly et s'est mis ensuite à se frotter à moi et me lécher. Il en a mis aussi sur sa queue que j'ai léchée avec gourmandise. Nous étions tous les deux barbouillés de crème chantilly et nous n'arrêtions pas de nous caresser pour bien l'étaler, de nous lécher partout et de nous amuser en nous frottant l'un à l'autre.
C'était très excitant. A la fin je me suis régalée en avalant un mélange de son sperme et de crème chantilly. C'était délicieux.
Pour terminer ma lettre je vous avoue que depuis quelques jours j'ai un fantasme qui me travaille de plus en plus et dont je n'ai pas encore parlé à Jean-Luc. Je m'imagine en train de branler et sucer trois hommes à la fois. Je m'imagine à moitié dénudée et assise par terre entourée de trois hommes qui frotte leurs grosses queues sur mon corps. Alors qu'un des hommes me caresse la nuque et le dos avec sa queue, je prends les queues des deux autres dans les mains et je les frotte l'une contre l'autre avant de les sucer comme une hystérique. Je finis par faire jouir deux des hommes sur ma figure et mes seins. J'étale bien leur foutre et ma poitrine et mon visage se trouvent ainsi couverts de sperme chaud et gluant (rien que d'y penser j'ai le ventre serré et je mouille). Le troisième éjacule dans ma bouche. Je garde son sperme un instant dans la bouche pour bien le délecter puis je l'avale. Quel délice !
Agnès 55 ans
Une noce Alsacienne
Par Alain
La noce s’est passée somme toute comme tous les mariages. L’énervement des préparatifs dès le matin, la future épouse habillée par ses tantes tandis que le jeune marié se préparait chez lui. Puis le départ pour la mairie, la cérémonie, la traversée de la place en cortège et la célébration religieuse. Et ensuite toute la noce est remontée en voiture pour retourner à la maison de la fille où étaient organisés le lunch et le repas.
Comme il est de tradition, le repas ne commence que vers quinze heures. Avant les invités se pressent autour du buffet, picorent les toasts et bien sur trinquent à la santé des jeunes mariés. Mais peu à peu les invités au lunch prennent congé, et il ne reste dans la salle que celles et ceux qui sont invités au repas, ce qui fait quand même une bonne cinquantaine de personnes. Mais chacun sait qu’on ne passera pas à table avant “ le ” moment.
Tous savent en effet que dans la famille on est très attaché aux traditions. Et comme une bonne partie des invités fait partie de la famille ou sont des amis proches, la plupart des femmes présentes ont sacrifié à cette tradition, et ne comprendraient pas que la jeune mariée en soit dispensée.
Dire que celle ci se réjouisse du moment qu’elle sait inéluctable serait mentir. Mais en même temps elle n’a jamais vraiment pensé qu’elle pourrait y échapper. Elle ne doute donc pas un instant de ce que veut son mari quand celui-ci le rejoint alors qu’elle parle avec quelques copines, l’embrase dans le cou, tendrement, et lui souffle “ on y va ma chérie ? ”
Elle n’hésite pas un instant, même si, malgré elle, ses joues se colorent en rose vif, et prend la main de son mari pour lui emboîter le pas. Délicatement les invités font mine de ne pas remarquer que les jeunes mariés se dirigent vers le fond de la pièce et s’éclipsent. Ils passent dans la pièce voisine, seulement séparée par un petit couloir dont les portes restent entrouvertes.
Le jeune homme enlace sa femme et dépose un baiser sur ses lèvres. Puis il prend une chaise et s’y assoit en tendant les mains à sa femme. Un instant il hésite, malheureux de voir le visage inquiet de son épouse, et de constater qu’elle respire plus vite, visiblement angoissée.
Mais il sait qu’il ne renoncera pas. Et, surtout, il sait qu’elle n’a même pas l’espoir qu’il y renonce. Il est d’ailleurs inutile de parler, ils savent l’un et l’autre ce qui va se passer, presque ce qui doit se passer. Le jeune homme demande juste en souriant “ Aide moi ma chérie, avec cette robe de mariée je n’y arriverai jamais tout seul ”. Malgré son angoisse réelle la réflexion la fait sourire. Elle se retourne, comme si le fait de ne pas le voir l’aidait, et entreprend de relever l’ample corolle blanche de sa jupe.
Et comme elle reste là, sans bouger, il doit lui demander encore “ Viens t’allonger ma chérie ”. Elle le fait, cherchant à trouver une position la moins inconfortable possible, en posant les mains sur la table basse qui est à coté de la chaise pour ne pas basculer. Son mari l’aide à rester en place en la maintenant de la main gauche, tandis que de la droite il s’attaque au jupon qu’il fait remonter au dessus des reins.
Soigneusement il dégage ainsi les cuisses gainées dans les bas blancs, puis le derrière qu’il dégage de sa gangue de tissus soyeux comme s’il ouvrait un cadeau. Il sent sur ses propres cuisses le frémissement de sa femme, et sa respiration plus rapide, presque saccadée. Mais en même temps son cœur à lui bat aussi la chamade devant l’image de ce derrière rond et ferme, enveloppé dans une petite culotte ivoire bordée de dentelles. Il ne peut s’empêcher de passer délicatement la main ouverte sur ce triangle de tissus satiné.
Mais sa main ne s’attarde pas, il serait presque malhonnête de lui laisser croire autre chose que ce qu’elle sait devoir arriver. Alors les doigts se glissent sous l’élastique et il fait glisser la culotte d’où les fesses semblent presque jaillir alors qu’il réduit le slip à un petit ramassis de tissus juste sous les fesses.
Depuis qu’ils sont sortis de la salle du lunch le silence s’est fait. Les conversations se sont tues, le cliquetis des verres s’est arrêté. Les femmes s’échangent des regards entendus, les hommes font mine de regarder les murs. Et soudain le silence devenu presque pesant se déchire.
Nul ne peut douter de l’origine de ce bruit. Il semble emplir la pièce, aussi net et aussi clair que si le claquement provenait de la pièce même. Inconsciemment toutes les femmes ont crispé un bref instant le visage.
Celles qui ont déjà connu cette épreuve ressentent presque physiquement la claque qui vient de s’abattre comme si c’était sur leur propre derrière. Mais déjà d’autres claquements secs viennent se superposer au premier. Et le rythme est tel que les uns retentissent avant même que les précédents aient fini de résonner. Cette avalanche bruyante a brusquement fait baisser la tension devenue presque palpable.
Une sorte de soupir de soulagement s’exhale de l’assemblée. Sans se l’avouer peut-être, chaque homme présent imagine par brefs flashs ce postérieur dénudé qui doit déjà rosir. Et beaucoup d’entre eux glissent vers leurs épouses un regard brusquement attendri.
Mais celles-ci, même si elles répondent par un sourire à peine esquissé, comprennent immédiatement que leur époux pense déjà qu’il ne leur sera pas difficile de trouver un prétexte pour retrouver ce soir les émotions lointaines du jour de leurs propres noces. Personne de doute que, ce soir, d’autres derrières rosiront.
Celui de la mariée est déjà au delà du rose vif. Après une dizaine de claques, il est déjà orné d’une calotte rouge. Les claques sont alors distribuées sur l’intégralité des hémisphères présentées, et la couleur pourpre s’étend régulièrement jusqu’à les transformer en un globe presque luminescent.
Malgré ses efforts, la jeune mariée ne peut réprimer quelques brefs cris qu’elle tente d’étouffer en pressant sa main contre sa bouche. Pourtant les invités n’ont pas pu ne pas entendre ces petits cris de souris prise au piège. Ils indiquent aussi au marié qu’il est temps de mettre fin à l’épreuve.
Mais pas tout de suite, il ne serait pas bon qu’un cri, même s’il ne doute pas un instant qu’il n’est pas simulé, suffise à imposer la fin de la fessée. Au contraire, sachant la fin de la séance proche, il accélère un peu le rythme des claques, comme pour une apothéose, ou le bouquet d’un feu d’artifices. Il sent alors le corps de son épouse se crisper un instant, se tendre comme un arc, puis, brusquement, se relâcher complètement.
Il doit même affermir sa pression sur les reins pour éviter que sa femme ne glisse hors de ses genoux. Et si le bruit de la rafale de tapes couvre celui du sanglot de sa femme, il en ressent la secousse. Et quand il cesse de frapper ce derrière maintenant rouge vif, le corps tout entier de sa femme reste un instant agité par de brefs sanglots qui la font sursauter. Il lui laisse le temps de se reprendre, puis il rabat le jupon, indiquant explicitement ainsi que la fessée est terminée.
La jeune mariée se relève alors, elle s’essuie les yeux du revers de la main, puis elle passe les mains sous le jupon et se frotte doucement les fesses en reniflant. Alors seulement elle saisit sa culotte et la remonte doucement, esquissant une grimace de douleur quand elle vient frotter sur les fesses endolories.
Elle fait retomber sa robe, et rectifie soigneusement les plis. Une fois qu’elle a repris sa tenue de jeune mariée, elle revient vers son mari, et dit seulement :
- Je t ’aime ”.
Il se lève, l’embrasse tendrement, mais lui dit aussi:
- C’était ta première, ce ne sera peut être pas la dernière ”.
Et elle répond en baissant les yeux
- Je le sais”.
Il l’embrasse de nouveau, la prend par la main, et ils rejoignent leurs amis. Dés qu’ils pénètrent dans la pièce les applaudissement crépitent. Ils ne voient autour d’eux que des regards amicaux, rieurs, chaleureux.
Des femmes s’approchent d’elle et l’embrassent sur les deux joues. Elle rit aux éclats, malgré la sensation de brûlure qui persiste sur ses fesses. Elle sait que toutes les femmes présentes ou presque ont connu avant elle ces moments de douleur et de joie mêlées. On lui avance une coupe. Un cri retenti “ Vive la mariée ”.
Quand elle rejoint sa place à table, elle ne peut s’empêche de grimacer. Et comme son mari semble s’inquiéter elle lui glisse tout bas:
- Tu m’a fait bien mal tu sais ! ”
Il lui répond seulement avec juste un petit sourire
- Je le sais, et tu sais que c’était nécessaire hein ? ”
Elle ne juge pas utile de répondre. Ce n’est que bien plus tard, quand ils dansent enlacés pour ouvrir le bal qu’elle lui dira toujours à l’oreille
- J’ai encore le derrière tout chaud tu sais, je ne peux pas rester assise ”.
Cet aveu le remplit d’une sorte de fierté.
- Si tu es bien sage ça n’arrivera pas trop souvent tu sais ”, souffle t il.
Alors elle lève les yeux vers lui, et incapable de renoncer à une petite provocation elle répond
- Ho ! tu sais, ce n’est pas une petite fessée qui me fait peur, j’ai été habituée ”.
Qu’elle qualifie cette séance de “ petite fessée ” n’est pas loin de le vexer. Il glisse les mains sur les fesses de sa cavalière et ajoute
- La prochaine fois je serai plus sévère ”.
Mais il sait bien qu’en effet, si la derrière de sa femme a reçu sa première fessée d’épouse, il n’a pas découvert la fessée ce jour là. Dés le début de leur fiançailles, et même de leur flirt, il a compris que celle qui allait devenir sa femme était élevée selon la tradition de beaucoup de familles de cette région. Bien entendu il n’a jamais assisté à une punition, mais la mère de celle qui allait devenir son épouse n’a jamais hésité menacer sa fille, même devant son fiancé. Il se souvient encore d’un soir, au début de leur relation, où la maman a lancé à sa fille, au moment où ils quittaient la maison
- Pas après deux heures hein ? Sinon gare à tes fesses ”.
Et d’autres fois où au contraire la maman a fait allusion à “ celle d’hier ”, faisant immédiatement rougir sa fille jusqu’aux oreilles.
Et si jamais sa fiancée ne lui a fait d’aveux sur les fessées qu’elle avait reçues dans sa jeunesse, et qu’elle recevait encore à l’occasion alors qu’ils sortaient déjà ensemble, il n’a pas pu ignorer que sa petite sœur, quinze ans à l’époque, n’y échappait pas pour la moindre incartade.
Un soir qu’ils dînaient chez ses futurs beaux parents, la jeune fille avait eu un mouvement d’humeur alors que sa maman lui demandait de l’aider à servir à table. Celle-ci n’avait rien dit sur le moment, mais dès la fin du repas, alors qu’ils allaient passer au salon pour prendre le café, la maman avait brusquement dit à sa fille:
- Toi tu montes dans ta chambre et tu m’attend, prépare toi on gagnera du temps.
Et comme la jeune fille s’apprêtait à protester elle avait ajouté:
- A moins que tu ne préfères qu’on règle ça ici tout de suite ? ”
Cela avait suffit pour que la petite sœur se dépêche de disparaître. La maman avait alors apporté le café, puis avait quitté la pièce sans explication. Quelques instants plus tard tous avaient entendu le bruit caractéristiques des claques. Et sa fiancé lui avait raconté le lendemain que sa sœur “ en avait reçu une bonne ” la veille au soir.
D’ailleurs lors d’un repas quelques semaines plus tard il avait remarqué que la jeune fille n’attendait pas les demandes de sa mère pour apporter son aide. Et quand le moment de préparer le mariage était venu, c’est encore la maman qui avait dit un jour, comme sans y apporter plus d’importance
- En tout cas j’espère que se sera un vrai mariage de chez nous, avec tout ce qu’il faut ”.
Et quand, plus tard, il lui avait demandé ce qu’elle voulait dire, elle n’avait eu aucun scrupule à lui expliquer.
- Vous voyez, chez nous, la coutume veux que le jour de ses noces la mariée reçoive une bonne fessée. Pour qu’elle sache désormais ce qui arrivera si elle le mérite ”
Et elle avait ajouté fort sérieusement que ce n’était pas seulement une coutume symbolique.
- Je suis vraiment persuadé qu’un couple qui tient c’est d’abord un couple où l’homme sait parfois faire preuve de son autorité ” Et comme son futur beau fils avait l’air étonné de cette déclaration de la part d’une femme qui n’avait certes pas la réputation d’être timide et encore moins soumise, elle avait ajouté:
- Bien sûr que je n’ai pas toujours été à attendre les ordre de mon mari. Vous le connaissez, il n’a pas le tempérament à ordonner, et je n’ai pas une nature vraiment obéissante. Et pourtant il m’est arrivé d’en prendre de bonnes vous savez. Je n’en suis pas morte, et je pense que cela nous a évité bien des disputes inutiles.”
Un tel aveu d’une femme qu’il respectait et qui même l’impressionnait avait vraiment mis le jeune homme mal à l’aise. Sa belle mère avait alors éclaté de rire en disant:
- Mais enfin, mon petit, ça n’a rien de si terrible vous savez. Il y a des couples où les disputes et les discussions s’éternisent, et même parfois où les insultes se croisent. Chez nous rien de tout cela. Vous savez, il m’arrive comme à tout le monde d’être énervée, injuste, acariâtre. En un mot pas à prendre avec des pincettes. Dans ces cas là mon mari sait bien ce qu’il me faut. Et quand j’ai les fesses bien en feu on oublie tout ”
Cet aveu avait vraiment troublé le jeune homme, et il n’avait pas résisté à interroger discrètement sa future épouse. Elle n’avait pas répondu tout à fait directement, mais il avait bien compris qu’elle n’ignorait pas qu’il arrivait à sa maman de connaître le même sort que ses filles. Visiblement elle ne tenait pas à en dire plus, mais il avait compris que cela lui semblait somme toute assez banal.
D’ailleurs quand il avait fait une allusion à “ la tradition ” elle ne s’était pas récriée, disant juste qu’elle savait que sa mère “ voulait une cérémonie comme celle qu’elle même avait connue en son temps ” Simplement elle avait ajouté
- Mais je veux que nous soyons seuls ”
Sur l’instant il avait juste répondu un “ Bien sur ” un peu évasif, n’ayant à vrai dire jamais imaginé qu’il puisse en être autrement.
Mais en bavardant çà et là avec des habitants de la région il s’était entendu dire que, naguère, la fessée inaugurale d’une vie conjugale était donnée en présence de la mère de la mariée, et souvent de ses sœurs ou de ses tantes plus âgées ou déjà mariées.
- Vous comprenez, lui avait dit sa future belle mère, les jeunes filles de ce temps là ne sortaient presque jamais seules, même quand elles fréquentaient un garçon. L’habitude était que les mamans les accompagnent au bal par exemple. Et bien de la même manière, le jour des noces, la maman de la mariée accompagnait le jeune couple. Et je vous assure que les filles n’auraient sûrement pas compris qu’il en soit autrement. Bien au contraire cela les rassurait en quelque sorte. De toutes façons, après tout, toutes les mamans avaient été les premières à chauffer le derrière de leur fille n’est ce pas ? Franchement je ne pense pas que les filles d’alors aient eu honte. Peut-être même que c’était alors moins difficile que maintenant. Vous savez, c’est étonnant, mais quand j’étais jeune, les critères de pudeur étaient bien plus stricts qu’aujourd’hui où toutes les jeunes filles montrent leurs cuisses quand ce n’est pas plus dès qu’il y a un rayon de soleil. Et en même temps personne ne s’étonnait qu’une petite fille - et même pas si petite que cela - ait le derrière mis à l’air pratiquement en public. Je veux dire bien sûr entre femmes, il n’a jamais été question qu’un homme autre que le père quand la fille était jeune, ou bien sur le mari, soit présent. Par contre je me souviens très bien d’avoir vu une de mes cousines qui avait presque vingt ans recevoir un jour une fessée mémorable de sa maman alors que la mienne et moi étions en visite chez elle. Ma cousine a été troussée devant nous sans que ma mère ait eu l’air de trouver cela anormal, bien qu’une autre sœur de la maman et une vieille voisine aient aussi été dans la cuisine. Il faut dire que ma cousine en question avait la réputation d’être une sacrée gamine. Je me souviens même que la maman nous a dit après en riant qu’il se passait rarement quinze jours sans qu’elle doivent lui en flanquer une bonne. Et elle ajoutait qu’elle avait hâte qu’elle trouve un mari pour qu’il s’en charge lui même. Et pourtant je pense qu’en étant mariée elle en a plutôt reçu moins. Son mari était un garçon plutôt doux et calme, et qui en plus a été cocu il me semble. Alors que la mère, elle, n’y allait pas de main morte, je vous assure. Elle était plus sévère que ma propre mère, et j’étais aussi peut-être plus sage que ma cousine. En tout cas, moi, jusqu’à mon mariage, je n’ai connu le martinet que quatre ou cinq fois. Alors que chez ma tante la ceinture était toujours prête à servir, pendue à côté de la cheminée dans la grande cuisine où les femmes passaient presque toute la journée. Je la vois encore, c’était une vieille ceinture du père, large d’au moins trois centimètres, suspendue par la boucle. Ce jour là ma tante l’a décrochée et, directement, elle a cinglé les mollets de ma cousine. Celle-ci s’est mise à piailler et, tout de suite, a relevé son tablier noir jusqu’à sa taille. A cette époque, je vous parle là des années d’avant guerre, les filles comme nous ne portaient pas de collants ou je ne sais quoi. Nous avions toutes des bons bas épais retenus par des portes jarretelles. Mais pas de ces trucs en dentelles que portent les cocottes, hein ! Et pareils pour le reste, à cet âge là je n’avais jamais vu un slip. Nous mettions toutes des grandes culottes de toile blanche qui couvraient bien les reins. Mais ça n’a pas empêché ma cousine de la baisser prestement, sans même que sa mère le lui demande. Elle est restée là, au milieu de la cuisine, le tablier retenu sous ses bras et la culotte tombée à ses pieds. Ma tante a plié la ceinture en deux et s’est mise à frapper à la volée, un coups à droite, un coups à gauche. Je me souviens d’avoir été étonnée d’entendre ma cousine crier à tue tête, comme un cochon qu’on égorge, mais rester immobile comme une statue, bien qu’en deux minutes son derrière ait été couvert de traces violettes. Et en plus elle n’a pas eu une larme. Quand sa maman a eu fini, elle a remonté sa culotte sans un mot et elle est sortie de la cuisine les yeux toujours secs. Vous comprenez que cette cousine n’a pas du tout trouvé drôle que ma mère l’accompagne le jour de son mariage. Je sais que je vais vous faire rire, mais refuser aurait été presque une incorrection ! Surtout qu’avec l’habitude qu’elle avait, la cousine a du prendre la fessée de mariage pour une plaisanterie. Quand, moi, je me suis mariée, les habitudes avaient déjà évoluées. Le plus souvent le mari se chargeait déjà de la chose seul, mais toujours dans la pièce à coté. Moi-même je n’ai assisté qu’à une fessée de mariage, celle qu’a reçue une de mes copines d’enfance. Elle n’avait plus sa maman et c’est elle-même qui m’a demandé de ne pas la laisser toute seule. Et sa grande sœur et moi, qui étions mariées toutes les deux depuis peu, nous sommes passées dans la chambre des futurs époux avec le mari. Et je vous jure qu’après ma copine m’a embrassée et m’a remerciée. Et pourtant sa sœur que je voyais encore il y a quelques années m’a dit qu’avec son mari elle en avait reçu bien d’autres. Et, peut être à cause de cette fessée initiale reçue en sa présence, il lui arrivait de venir pleurnicher après une bonne fessée dans le giron de sa grande sœur, et même, il parait, de lui faire constater de visu les effets de celle ci ! Mais tout cela c’est le passé, on ne vivait pas comme aujourd’hui. Très souvent les familles partageaient la même maison pour plusieurs couples. Et quand une des femmes de la maison la prenait il était difficile aux autres occupants de la maison de ne pas l’entendre. De nos jours tout est différent, bien sûr. Il ne serait plus question qu’une maman accompagne sa fille comme chaperon, et encore moins pour ce que vous savez ”
Et il était passé dans ses yeux comme une sorte de nostalgie …
Je m'appelle Agnès, j'ai 55 ans et je tiens un magasin de tabac-presse à Lyon. Avec mon mari nous habitons dans un appartement situé en haut de mon bureau de tabac. Mon mari, Georges, a 62 ans. Il y a 12 ans il s'est mis à boire et depuis il est devenu impuissant.
En retraite, il passe ses journées à jouer aux cartes avec ses amis et à boire. Je ne l'intéresse plus et il me dégoûte de plus en plus. Pourtant je souffre de cette situation car j'aime beaucoup séduire.
Malgré mon âge, je suis très bien conservée. J'ai un corps mince et ferme, dont je prends beaucoup de soins en fréquentant un club de gym et des séances d'U.V. pour rester toujours bronzée, et j'ai surtout une poitrine opulente que j'aime mettre en valeur.
Etant en contact avec le public toute la journée je ne cesse pas de séduire. Les regards avides des hommes qui louchent sur mon décolleté très échancré m'émoustillent et me rassurent.
Je dois avouer que je suis surtout attirée par les jeunes hommes d'une vingtaine d'années. Quand j'en vois un mignon, je fais tout pour l'allumer et ça m'excite beaucoup de voir le désir dans ses yeux (et parfois dans la bosse de sa braguette !). Mon arme principale pour séduire ce sont mes gros seins que je découvre au maximum par une robe décolletée ou un corsage dont le haut est négligemment déboutonné.
Je porte souvent des bas noirs et un soutien gorge à balconnet en dentelle noir. Il y a parfois des petits jeunes qui reviennent quatre ou cinq fois dans la journée et à chaque fois ils partent plus excités qu'avant. Je mouille rien qu'en les imaginant en train de se branler en pensant à moi et à mon corps. Pourtant je dois avouer que jusqu'à l'été dernier je n'avais jamais trompé mon mari.
Au mois de juillet de l'année dernière j'ai goûté pour la première fois aux délices de l'adultère et, croyez-moi, je ne suis pas prête à m'arrêter. Mes aventures extraconjugales m'ont fait découvrir à moi-même sous un jour différent : aujourd'hui, je dois reconnaître que je ne me suis vraiment épanouie qu'à 55 ans mais, comme on dit, vaut mieux tard que jamais !
Depuis, mes tabous sont cassés et je suis devenue, sous mes apparences respectables de femmes mûres, mariée et honnête commerçante, une affamée de sexe. Jusqu'à l'année dernière j'étais une simple allumeuse qui n'avait jamais osé aller plus loin, maintenant je suis une vraie salope qui adore sucer son jeune amant et se faire jouir dessus, une salope perverse qui s'est découvert, à 55 ans, un goût insolite pour les jeux d'urine.
S'il m'arrive encore d'avoir parfois d'insupportables crises de culpabilité je dois avouer qu'en lisant votre revue et surtout en vous écrivant sans retenue je me sens libérée de tout sentiment de culpabilité et de toute contrainte morale et capable d'assumer mes désirs : je raffole de sucer une belle queue, je ne pense plus qu'à ça, je prends mon pied avec ça et j'en suis heureuse.
Et voilà l'aventure qui m'est arrivée l'été dernier et qui a pratiquement tout déclenché dans ma tête et dans ma vie.
Ce jour là il faisait très chaud à Lyon. Je portais mon tailleur beige qui est assez échancré et j'avais pour tout sous-vêtement un slip et des bas noirs. Ce tailleur est mon seul vêtement avec lequel je ne porte jamais de soutien gorge car je trouve ça peu élégant.
Il est entré peu après l'ouverture du magasin et m'a acheté un paquet de cigarettes Il était jeune, autour de 24 ans, brun, assez petit, il avait de petits yeux qui lui donnaient un air vicieux mais un visage très mignon. Dès l'instant où il est entré au magasin son regard, audacieux et timide à la fois, s'est posé sur ma poitrine opulente qui déformait le haut de ma veste. J'étais ravie et amusée.
Pour lui rendre la monnaie je me suis penchée au maximum sur le tiroir caisse lui offrant ainsi une vue très plongeante sur mes seins. Il est revenu 20 minutes après sous prétexte qu'il avait oublié d'acheter un briquet et puis, toute la matinée je l'ai vu passer et repasser devant le magasin ; prétextant regarder les articles qui se trouvaient dans la vitrine, il me regardait discrètement.
Il est repassé l'après-midi pour acheter encore des cigarettes et je me suis encore sentie déshabillée par son regard insistant et timide chargé à la fois de désir et d'une sorte de résignation.
Son regard m'intriguait de plus en plus, on aurait dit qu'il me suppliait, qu'il m'implorait du regard et cette sensation ne me laissait pas indifférent. J'avais envie de le provoquer encore plus. Ce manège dura une dizaine de jours, il passait me voir plusieurs fois par jour sous des prétextes différents et, toujours timide, il ne me disait pas un mot, par contre j'avais l'impression que son regard me parlait, me conjurait me saoulait en m'avouant son envie.
Il commençait à me plaire et au bout de quelques jours j'ai commencé à penser à lui les soirs dans mon bain. Je l'imaginais en train de se masturber devant moi en fixant mes seins avec son regard enfiévré. Je l'imaginais avec un beau et gros sexe érigé qu'il frottait contre mes seins et mon sexe et je finissais chaque soir par me masturber dans mon bain en repassant ses images dans ma tête.
Un jour il est arrivé quelques minutes avant midi et après avoir acheté des cigarettes s'est dirigé vers le présentoir des journaux, et s'est mis à feuilleter des revues érotiques qui se trouvaient sur le rayon tout en haut. Moi j'attendais avec impatience qu'il finisse de choisir sa revue pour pouvoir fermer la boutique et aller manger mais le jeune homme n'était pas pressé.
Je le voyais de profil et à chaque fois qu'il se levait sur la pointe des pieds pour prendre une revue sur le rayon du haut je pouvais deviner son sexe bandé à travers le tissu mince de son pantalon, il devait faire un peu exprès pour me montrer qu'il bandait. Je distinguais tout le contour de son sexe qui longeait en haut de sa cuisse. Son sexe me paraissait gros et long.
Regarder des revues de femmes nues à deux pas de moi devait drôlement l'exciter. C'était peut-être sa façon à lui de me parler de me faire part de ses désirs. Une façon de communiquer bien maladroite qui ne manquait pourtant pas de m'amuser car j'avais le sentiment d'avoir un grand pouvoir sur ce garçon, pouvoir de le mener par le bout du nez et de le dominer totalement.
La situation avait quelque chose de piquant, de pervers qui m'attirait. Tout ça me donnait l'envie de l'allumer, de le provoquer encore. Discrètement, j'ai défait deux boutons du haut de ma veste. Je ne portais pas de soutien gorge et il suffisait que je bouge un peu pour qu'on puisse voir mes seins dans l'échancrure de ma veste. Je bombais le torse et je lui lançais sur un ton impatient :
- Monsieur, il est midi dix, je vais fermer"
Il s'est présenté devant la caisse avec une revue de femmes aux gros seins et deux numéros de Lettres Magazine. Je me suis baissée pour prendre un sac en plastique pour ses revues et je suis resté un moment comme ça, feignant chercher le sac.
Mes seins pendaient et ballottaient à chacun de mes mouvements et à travers le haut de ma veste déboutonnée il pouvait tout voir. Lorsque je me suis redressée il était rouge d'émotion et son regard, m'implorant plus que jamais, a croisé le mien. Sous le poids de son regard, si vif et si chargé d'émotion, j'ai senti une bouffée de chaleur envahir mon corps, je crois que j'ai rougi, je me suis sentie toute mouillée et j'ai serré fort mes cuisses. Il est parti, j'ai fermé le magasin et je suis allée dans le restaurant d'en face manger comme d'habitude avec Paulette qui tient une mercerie pas loin de chez moi.
Au retour, vers 13 heures 30, il m'attendait devant mon bureau de tabac. D'une voix tremblante il m'a demandé d'emblée s'il pouvait m'offrir un café. Sûre de mon pouvoir sur lui et attendrie de le voir obligé de faire tant d'efforts pour m'aborder si maladroitement, je lui ai répondu que j'allais me faire un café et je l'ai invité à entrer et le prendre avec moi.
Après tout je n'ouvrais le magasin qu'à 15 heures et j'avais bien une heure et demi devant moi pour faire marcher avec ce petit gamin. J'avais envie de le provoquer encore et de voir ses yeux débordant de désir m'implorer et me supplier. On est entré. J'ai refermé la porte à clé et j'ai passé devant lui pour le diriger vers l'arrière boutique qui me servait également de cuisine.
J'ai mis en route la cafetière et on a commencé à discuter. Il m'a dit qu'il était étudiant et qu'il vivait dans le quartier. Il avait 23 ans, 32 ans moins que moi ! En me parlant son regard descendait sans cesse de mon visage vers ma poitrine et fixait la raie entre mes deux globes de chair. Il m'inspirait de plus en plus confiance. Il devait être quelqu'un de très seul. Tout en continuant à le questionner sur un ton faussement maternel je suis allée servir le café.
J'avais le dos tourné vers lui lorsque je l'ai senti derrière moi, avant même de pouvoir me retourner il s'est collé à moi, je sentais nettement sa virilité arrogante qui cherchait à se caler dans la raie de mes fesses et ses mains ont empoigné mes seins à travers ma veste.
Il se serrait contre mon dos et ses mains pelotaient énergiquement mes gros seins qu'elles avaient du mal à contenir. Je sentais son souffle, puis ses lèvres et sa langue sur ma nuque. Pour la première fois depuis des années je sentais mon corps se presser contre celui d'un homme. Il me parlait sans cesse, il me disait qu'il me trouve sexy et sensuelle, qu'il a toujours rêvé d'une femme comme moi, qu'il n'arrête pas de penser à moi depuis qu'il m'a vue. Le jeune homme timide s'était transformé en un mâle en rut.
Tout cela s'est passé en quelques secondes et dans ma tête l'idée de le repousser a vite cédé la place à une sensation de chaleur et de bien être. Une forte envie me serrait le ventre et mon cœur battait la chamade. J'ai commencé à onduler des hanches de plus en plus vite pour mieux sentir son sexe dur se frotter contre mes fesses.
Il y avait quelque chose dans la situation qui m'excitait énormément et que je ne sais pas expliquer. Peut-être était-ce sa personnalité timide ou son âge ou le fait que je trompais pour la première fois mon mari mais toujours est-il que j'avais tout le corps en feu. J'ai retroussé ma jupe et alors que ma main droite s'activait dans ma culotte, j'ai passé la main gauche derrière moi et j'ai empoigné sa queue. Quelle délicieuse sensation que de sentir ainsi entre les doigts l'effet que peut faire une femme de mon âge à un jeune homme de 23 ans. Quant à lui, il avait déboutonné ma veste et, tenant mes seins des deux mains les malaxaient vigoureusement.
Je me suis retournée et prenant sa tête entre mes mains je l'ai embrassé à pleine bouche. Un baiser fou et enflammé : je frottais mes lèvres contre les siennes, je les mordais, je léchais ses lèvres et son visage, je fouillais sa bouche avec ma langue.
Il répondait avec fougue à mon baiser, sa langue glissait frénétiquement sur ma peau, il léchait mon cou, mes épaules, mon visage puis nos langues et nos salives se mêlaient dans un baiser fougueux. Je mouillais abondamment et je me frottais contre sa cuisse.
Il s'agitait comme un fou sur ma poitrine, il suçait mes seins, les pelotait, y frottait son visage. Je n'y tenais plus, je me suis baissée et j'ai ouvert sa braguette, son sexe a jaillit, fièrement érigé en courbant vers le haut, il était gros et long. C'est difficile à expliquer mais dans l'état d'excitation où je me trouvais c'était comme si je découvrais pour la première fois un sexe d'homme.
C'était moins l'idée d'avoir ce sexe en moi que celle de le toucher, de le humer, de le sucer et de le découvrir qui m'excitait. Je le branlais lentement pour bien sentir sa chaleur et sa douceur. Sa queue palpitait sous le mouvement de mes doigts. Comme une jeune fille qui touche pour la première fois un sexe d'homme j'étais curieuse de connaître les secrets cette belle colonne de chair.
Je n'avais pas assez de la toucher je la mettais en contact avec ma peau, je la frottais contre mon cou, mes épaules, mon bras, mes seins et mon visage. Je l'embrassais amoureusement en la prenant entre mes lèvres et je la léchais sur toute sa longueur, puis je la frottais encore et encore contre mon corps, contre chaque centimètre de ma peau. Il gémissait fort et se baissait sans cesse pour palper mes seins. Je n'avais jamais connu un tel plaisir et un tel degré d'excitation. Tout était cérébral, tout était dans la situation.
L'idée de lui procurer du plaisir, de l'entendre et sentir jouir me tournait la tête comme si j'étais ivre. Je ne pensais qu'à ça, qu'à le faire jouir.
Il s'est baissé et s'est mis à se branler entre mes seins. Sa queue allait et venait entre mes deux globes de chair que je maintenais des deux mains. Ses mouvements étaient hâtifs, on aurait dit qu'il voulait tout essayer tout goûter avant que ça finisse. Il a frotter sa queue contre mes seins, avec son gland violacé et luisant il écrasait mes tétons.
Ensuite je prenais sa queue dans ma bouche et je la suçais énergiquement. Je voulais qu'il jouisse dans ma bouche mais d'un seul coup il a sorti sa queue et s'est mis à se branler vigoureusement sur mes seins. Une grimace a déformé son visage et il a crié. Il a éjaculé abondamment sur ma poitrine, j'ai reçu quelques gouttes sur le visage. Mes yeux ne quittaient pas sa queue qui s'agitait follement et lorsque son sperme chaud s'est écrasé sur ma peau j'ai eu un orgasme.
Des ondes de plaisir m'ont secoué de la tête aux pieds, un feu d'artifice, des frissons interminables, et une sensation de chaleur a traversé tout mon dos de la nuque jusqu'aux reins. Un plaisir cérébral que je n'avais jamais connu. Un agréable sentiment de bien être m'enveloppait.
Il a étalé son sperme sur ma poitrine. Le spectacle de mes seins barbouillés de son foutre crémeux et visqueux devait lui plaire car il les a ainsi massé un long moment. Mes seins et ses doigts dégoulinaient de sperme, il m'en a mis partout, sur le ventre, sur les hanches, sur le cou. Il a léché les quelques gouttes de sperme sur mon menton et mes joues puis m'a embrassé à plein bouche pour me les passer.
J'ai avalé le mélange de salive et de sperme qui m'emplissait la bouche. Ensuite il m'a fait lécher et sucer ses doigts pleins de foutre. Je m'y suis appliquée comme si chacun de ses doigts était une bite. Le goût de son foutre et la sensation formidable de me sentir toute barbouillée de sperme m'excitaient encore. Décidément ce garçon était fait pour moi, pour m'exciter. Je me suis nettoyé juste le visage et j'ai remis ma veste. Je voulais garder son foutre sur moi, je voulais être sale, souillée, barbouillée et ça me plaisait.
Jean-Luc (c'était son prénom) est parti et j'ai ouvert le magasin. Toute l'après-midi l'image de sa queue se frottant à moi m'obsédait. Chaque cellule de ma peau avait gardé le souvenir du passage de sa queue, de sa langue et de ses mains et en redemandait. Je ne me reconnaissais plus.
Comment ce jeune homme de 23 ans avait pu me faire un tel effet et me bouleverser à ce point ? L'odeur de son foutre séché sur mes seins qui me remplissait les narines me rappelait instamment que je n'avais pas rêvé. A 19 heures j'ai fermé le magasin et je suis remontée chez moi.
Après avoir dîné avec mon mari je l'ai abandonné comme d'habitude devant sa télé pour aller prendre une douche. Dans la salle de bain je me suis regardée nue dans la glace, je me trouvais belle et rajeunie. J'étais bien. Je me suis caressé les seins, j'en ai pris un dans ma main et je l'ai remonté, puis baissant la tête je l'ai léché sur toute la surface.
Le goût du sperme de Jean-Luc s'est ravivé dans ma bouche. Je léchais le foutre séché sur mes seins et l'envie de sa queue devenait de plus en plus forte. Je voulais qu'elle m'arrose encore de foutre, qu'elle me salisse le corps.
J'ai ressenti une envie de faire pipi et soudain une idée bizarre et excitante m'a traversé la tête. Et si j'arrosais mon corps avec mon urine ! Rien qu'en y pensant mon cœur s'est mis à battre très fort. L'idée était salace et perverse et elle m'excitait. Je me suis couchée sur le dos au fond du baignoire, j'ai relevé très haut mes jambes et je me suis mise à pisser en m'arrosant partout même sur la figure. Je dégoulinais d'urine. Ca coulait sur mon corps, c'était chaud et son odeur m'enivrait. En même temps je me touchais et j'ai joui très fort. C'était merveilleux.
Le lendemain et les jours suivants j'ai revu Jean-Luc. On se retrouvait entre midi et 15 heures et on faisait l'amour comme des bêtes. Le reste de la journée je ne pensais qu'à une chose : retrouver Jean-Luc, prendre sa queue dans ma main, la toucher, la sucer et la faire gicler. Lui, de son côté il était obsédé par ma poitrine et il me disait attendre impatiemment tous les jours le moment de les peloter, de les lécher et téter.
Aujourd'hui ça fait un peu plus d'un an qu'on se connaît et on se retrouve toujours avec la même fougue. Nous sommes devenus très proches, maintenant il connaît mon goût secret pour les jeux de pipi et ça l'excite terriblement. Il sait que j'aime l'amour mouillé et que plus c'est sale plus je perds la tête et je m'excite.
Un jour quand il est arrivé, il a sorti sa queue, m'a serrée contre lui et s'est mis à pisser. Il a du faire des efforts car il bandait déjà et ça ne venait pas facilement. Son pantalon et ma jupe étaient tout mouillés et son urine chaude coulait merveilleusement sur mon ventre et mes cuisses.
Ensuite je me suis déchaînée sur sa bite, je l'ai branlé et sucé comme une dingue et il a joui sur mes seins. Je me rappelle que ce jour là je ne me suis pas nettoyée, j'ai juste changé mes vêtements trempés et lavé le sol de la cuisine et l'après-midi j'ai repris mon travail toute trempée de pipi et de foutre de Jean-Luc.
Le soir je me suis encore branlée au fond de ma baignoire en m'arrosant de pipi.
Un autre soir alors que mon mari dormait et moi je lisais un numéro de Lettres Magazine dans la cuisine, j'ai été prise d'une forte envie de pisser. Et toute excitée que j'étais par la lecture de votre revue, je me suis laissée aller. J'ai pissé comme ça assise sur ma chaise. L'urine coulait sur le siège puis sur le carrelage et formait une grosse flaque par terre. J'y ai trempé mes doigts et je les ai portés à mes seins puis à ma bouche pour les sucer comme une bite.
Ensuite, tremblante d'excitation, je me suis déshabillée et je me suis roulée toute nue sur le carrelage dans la flaque de pipi. Je me suis branlée couchée par terre, toute trempée d'urine et j'ai joui alors que l'odeur d'urine me remontait les narines.
Et enfin, je n'oublierais pas le jour où Jean-Luc, connaissant bien mes fantasmes, a littéralement couvert mon buste de crème chantilly et s'est mis ensuite à se frotter à moi et me lécher. Il en a mis aussi sur sa queue que j'ai léchée avec gourmandise. Nous étions tous les deux barbouillés de crème chantilly et nous n'arrêtions pas de nous caresser pour bien l'étaler, de nous lécher partout et de nous amuser en nous frottant l'un à l'autre.
C'était très excitant. A la fin je me suis régalée en avalant un mélange de son sperme et de crème chantilly. C'était délicieux.
Pour terminer ma lettre je vous avoue que depuis quelques jours j'ai un fantasme qui me travaille de plus en plus et dont je n'ai pas encore parlé à Jean-Luc. Je m'imagine en train de branler et sucer trois hommes à la fois. Je m'imagine à moitié dénudée et assise par terre entourée de trois hommes qui frotte leurs grosses queues sur mon corps. Alors qu'un des hommes me caresse la nuque et le dos avec sa queue, je prends les queues des deux autres dans les mains et je les frotte l'une contre l'autre avant de les sucer comme une hystérique. Je finis par faire jouir deux des hommes sur ma figure et mes seins. J'étale bien leur foutre et ma poitrine et mon visage se trouvent ainsi couverts de sperme chaud et gluant (rien que d'y penser j'ai le ventre serré et je mouille). Le troisième éjacule dans ma bouche. Je garde son sperme un instant dans la bouche pour bien le délecter puis je l'avale. Quel délice !
Agnès 55 ans
Une noce Alsacienne
Par Alain
La noce s’est passée somme toute comme tous les mariages. L’énervement des préparatifs dès le matin, la future épouse habillée par ses tantes tandis que le jeune marié se préparait chez lui. Puis le départ pour la mairie, la cérémonie, la traversée de la place en cortège et la célébration religieuse. Et ensuite toute la noce est remontée en voiture pour retourner à la maison de la fille où étaient organisés le lunch et le repas.
Comme il est de tradition, le repas ne commence que vers quinze heures. Avant les invités se pressent autour du buffet, picorent les toasts et bien sur trinquent à la santé des jeunes mariés. Mais peu à peu les invités au lunch prennent congé, et il ne reste dans la salle que celles et ceux qui sont invités au repas, ce qui fait quand même une bonne cinquantaine de personnes. Mais chacun sait qu’on ne passera pas à table avant “ le ” moment.
Tous savent en effet que dans la famille on est très attaché aux traditions. Et comme une bonne partie des invités fait partie de la famille ou sont des amis proches, la plupart des femmes présentes ont sacrifié à cette tradition, et ne comprendraient pas que la jeune mariée en soit dispensée.
Dire que celle ci se réjouisse du moment qu’elle sait inéluctable serait mentir. Mais en même temps elle n’a jamais vraiment pensé qu’elle pourrait y échapper. Elle ne doute donc pas un instant de ce que veut son mari quand celui-ci le rejoint alors qu’elle parle avec quelques copines, l’embrase dans le cou, tendrement, et lui souffle “ on y va ma chérie ? ”
Elle n’hésite pas un instant, même si, malgré elle, ses joues se colorent en rose vif, et prend la main de son mari pour lui emboîter le pas. Délicatement les invités font mine de ne pas remarquer que les jeunes mariés se dirigent vers le fond de la pièce et s’éclipsent. Ils passent dans la pièce voisine, seulement séparée par un petit couloir dont les portes restent entrouvertes.
Le jeune homme enlace sa femme et dépose un baiser sur ses lèvres. Puis il prend une chaise et s’y assoit en tendant les mains à sa femme. Un instant il hésite, malheureux de voir le visage inquiet de son épouse, et de constater qu’elle respire plus vite, visiblement angoissée.
Mais il sait qu’il ne renoncera pas. Et, surtout, il sait qu’elle n’a même pas l’espoir qu’il y renonce. Il est d’ailleurs inutile de parler, ils savent l’un et l’autre ce qui va se passer, presque ce qui doit se passer. Le jeune homme demande juste en souriant “ Aide moi ma chérie, avec cette robe de mariée je n’y arriverai jamais tout seul ”. Malgré son angoisse réelle la réflexion la fait sourire. Elle se retourne, comme si le fait de ne pas le voir l’aidait, et entreprend de relever l’ample corolle blanche de sa jupe.
Et comme elle reste là, sans bouger, il doit lui demander encore “ Viens t’allonger ma chérie ”. Elle le fait, cherchant à trouver une position la moins inconfortable possible, en posant les mains sur la table basse qui est à coté de la chaise pour ne pas basculer. Son mari l’aide à rester en place en la maintenant de la main gauche, tandis que de la droite il s’attaque au jupon qu’il fait remonter au dessus des reins.
Soigneusement il dégage ainsi les cuisses gainées dans les bas blancs, puis le derrière qu’il dégage de sa gangue de tissus soyeux comme s’il ouvrait un cadeau. Il sent sur ses propres cuisses le frémissement de sa femme, et sa respiration plus rapide, presque saccadée. Mais en même temps son cœur à lui bat aussi la chamade devant l’image de ce derrière rond et ferme, enveloppé dans une petite culotte ivoire bordée de dentelles. Il ne peut s’empêcher de passer délicatement la main ouverte sur ce triangle de tissus satiné.
Mais sa main ne s’attarde pas, il serait presque malhonnête de lui laisser croire autre chose que ce qu’elle sait devoir arriver. Alors les doigts se glissent sous l’élastique et il fait glisser la culotte d’où les fesses semblent presque jaillir alors qu’il réduit le slip à un petit ramassis de tissus juste sous les fesses.
Depuis qu’ils sont sortis de la salle du lunch le silence s’est fait. Les conversations se sont tues, le cliquetis des verres s’est arrêté. Les femmes s’échangent des regards entendus, les hommes font mine de regarder les murs. Et soudain le silence devenu presque pesant se déchire.
Nul ne peut douter de l’origine de ce bruit. Il semble emplir la pièce, aussi net et aussi clair que si le claquement provenait de la pièce même. Inconsciemment toutes les femmes ont crispé un bref instant le visage.
Celles qui ont déjà connu cette épreuve ressentent presque physiquement la claque qui vient de s’abattre comme si c’était sur leur propre derrière. Mais déjà d’autres claquements secs viennent se superposer au premier. Et le rythme est tel que les uns retentissent avant même que les précédents aient fini de résonner. Cette avalanche bruyante a brusquement fait baisser la tension devenue presque palpable.
Une sorte de soupir de soulagement s’exhale de l’assemblée. Sans se l’avouer peut-être, chaque homme présent imagine par brefs flashs ce postérieur dénudé qui doit déjà rosir. Et beaucoup d’entre eux glissent vers leurs épouses un regard brusquement attendri.
Mais celles-ci, même si elles répondent par un sourire à peine esquissé, comprennent immédiatement que leur époux pense déjà qu’il ne leur sera pas difficile de trouver un prétexte pour retrouver ce soir les émotions lointaines du jour de leurs propres noces. Personne de doute que, ce soir, d’autres derrières rosiront.
Celui de la mariée est déjà au delà du rose vif. Après une dizaine de claques, il est déjà orné d’une calotte rouge. Les claques sont alors distribuées sur l’intégralité des hémisphères présentées, et la couleur pourpre s’étend régulièrement jusqu’à les transformer en un globe presque luminescent.
Malgré ses efforts, la jeune mariée ne peut réprimer quelques brefs cris qu’elle tente d’étouffer en pressant sa main contre sa bouche. Pourtant les invités n’ont pas pu ne pas entendre ces petits cris de souris prise au piège. Ils indiquent aussi au marié qu’il est temps de mettre fin à l’épreuve.
Mais pas tout de suite, il ne serait pas bon qu’un cri, même s’il ne doute pas un instant qu’il n’est pas simulé, suffise à imposer la fin de la fessée. Au contraire, sachant la fin de la séance proche, il accélère un peu le rythme des claques, comme pour une apothéose, ou le bouquet d’un feu d’artifices. Il sent alors le corps de son épouse se crisper un instant, se tendre comme un arc, puis, brusquement, se relâcher complètement.
Il doit même affermir sa pression sur les reins pour éviter que sa femme ne glisse hors de ses genoux. Et si le bruit de la rafale de tapes couvre celui du sanglot de sa femme, il en ressent la secousse. Et quand il cesse de frapper ce derrière maintenant rouge vif, le corps tout entier de sa femme reste un instant agité par de brefs sanglots qui la font sursauter. Il lui laisse le temps de se reprendre, puis il rabat le jupon, indiquant explicitement ainsi que la fessée est terminée.
La jeune mariée se relève alors, elle s’essuie les yeux du revers de la main, puis elle passe les mains sous le jupon et se frotte doucement les fesses en reniflant. Alors seulement elle saisit sa culotte et la remonte doucement, esquissant une grimace de douleur quand elle vient frotter sur les fesses endolories.
Elle fait retomber sa robe, et rectifie soigneusement les plis. Une fois qu’elle a repris sa tenue de jeune mariée, elle revient vers son mari, et dit seulement :
- Je t ’aime ”.
Il se lève, l’embrasse tendrement, mais lui dit aussi:
- C’était ta première, ce ne sera peut être pas la dernière ”.
Et elle répond en baissant les yeux
- Je le sais”.
Il l’embrasse de nouveau, la prend par la main, et ils rejoignent leurs amis. Dés qu’ils pénètrent dans la pièce les applaudissement crépitent. Ils ne voient autour d’eux que des regards amicaux, rieurs, chaleureux.
Des femmes s’approchent d’elle et l’embrassent sur les deux joues. Elle rit aux éclats, malgré la sensation de brûlure qui persiste sur ses fesses. Elle sait que toutes les femmes présentes ou presque ont connu avant elle ces moments de douleur et de joie mêlées. On lui avance une coupe. Un cri retenti “ Vive la mariée ”.
Quand elle rejoint sa place à table, elle ne peut s’empêche de grimacer. Et comme son mari semble s’inquiéter elle lui glisse tout bas:
- Tu m’a fait bien mal tu sais ! ”
Il lui répond seulement avec juste un petit sourire
- Je le sais, et tu sais que c’était nécessaire hein ? ”
Elle ne juge pas utile de répondre. Ce n’est que bien plus tard, quand ils dansent enlacés pour ouvrir le bal qu’elle lui dira toujours à l’oreille
- J’ai encore le derrière tout chaud tu sais, je ne peux pas rester assise ”.
Cet aveu le remplit d’une sorte de fierté.
- Si tu es bien sage ça n’arrivera pas trop souvent tu sais ”, souffle t il.
Alors elle lève les yeux vers lui, et incapable de renoncer à une petite provocation elle répond
- Ho ! tu sais, ce n’est pas une petite fessée qui me fait peur, j’ai été habituée ”.
Qu’elle qualifie cette séance de “ petite fessée ” n’est pas loin de le vexer. Il glisse les mains sur les fesses de sa cavalière et ajoute
- La prochaine fois je serai plus sévère ”.
Mais il sait bien qu’en effet, si la derrière de sa femme a reçu sa première fessée d’épouse, il n’a pas découvert la fessée ce jour là. Dés le début de leur fiançailles, et même de leur flirt, il a compris que celle qui allait devenir sa femme était élevée selon la tradition de beaucoup de familles de cette région. Bien entendu il n’a jamais assisté à une punition, mais la mère de celle qui allait devenir son épouse n’a jamais hésité menacer sa fille, même devant son fiancé. Il se souvient encore d’un soir, au début de leur relation, où la maman a lancé à sa fille, au moment où ils quittaient la maison
- Pas après deux heures hein ? Sinon gare à tes fesses ”.
Et d’autres fois où au contraire la maman a fait allusion à “ celle d’hier ”, faisant immédiatement rougir sa fille jusqu’aux oreilles.
Et si jamais sa fiancée ne lui a fait d’aveux sur les fessées qu’elle avait reçues dans sa jeunesse, et qu’elle recevait encore à l’occasion alors qu’ils sortaient déjà ensemble, il n’a pas pu ignorer que sa petite sœur, quinze ans à l’époque, n’y échappait pas pour la moindre incartade.
Un soir qu’ils dînaient chez ses futurs beaux parents, la jeune fille avait eu un mouvement d’humeur alors que sa maman lui demandait de l’aider à servir à table. Celle-ci n’avait rien dit sur le moment, mais dès la fin du repas, alors qu’ils allaient passer au salon pour prendre le café, la maman avait brusquement dit à sa fille:
- Toi tu montes dans ta chambre et tu m’attend, prépare toi on gagnera du temps.
Et comme la jeune fille s’apprêtait à protester elle avait ajouté:
- A moins que tu ne préfères qu’on règle ça ici tout de suite ? ”
Cela avait suffit pour que la petite sœur se dépêche de disparaître. La maman avait alors apporté le café, puis avait quitté la pièce sans explication. Quelques instants plus tard tous avaient entendu le bruit caractéristiques des claques. Et sa fiancé lui avait raconté le lendemain que sa sœur “ en avait reçu une bonne ” la veille au soir.
D’ailleurs lors d’un repas quelques semaines plus tard il avait remarqué que la jeune fille n’attendait pas les demandes de sa mère pour apporter son aide. Et quand le moment de préparer le mariage était venu, c’est encore la maman qui avait dit un jour, comme sans y apporter plus d’importance
- En tout cas j’espère que se sera un vrai mariage de chez nous, avec tout ce qu’il faut ”.
Et quand, plus tard, il lui avait demandé ce qu’elle voulait dire, elle n’avait eu aucun scrupule à lui expliquer.
- Vous voyez, chez nous, la coutume veux que le jour de ses noces la mariée reçoive une bonne fessée. Pour qu’elle sache désormais ce qui arrivera si elle le mérite ”
Et elle avait ajouté fort sérieusement que ce n’était pas seulement une coutume symbolique.
- Je suis vraiment persuadé qu’un couple qui tient c’est d’abord un couple où l’homme sait parfois faire preuve de son autorité ” Et comme son futur beau fils avait l’air étonné de cette déclaration de la part d’une femme qui n’avait certes pas la réputation d’être timide et encore moins soumise, elle avait ajouté:
- Bien sûr que je n’ai pas toujours été à attendre les ordre de mon mari. Vous le connaissez, il n’a pas le tempérament à ordonner, et je n’ai pas une nature vraiment obéissante. Et pourtant il m’est arrivé d’en prendre de bonnes vous savez. Je n’en suis pas morte, et je pense que cela nous a évité bien des disputes inutiles.”
Un tel aveu d’une femme qu’il respectait et qui même l’impressionnait avait vraiment mis le jeune homme mal à l’aise. Sa belle mère avait alors éclaté de rire en disant:
- Mais enfin, mon petit, ça n’a rien de si terrible vous savez. Il y a des couples où les disputes et les discussions s’éternisent, et même parfois où les insultes se croisent. Chez nous rien de tout cela. Vous savez, il m’arrive comme à tout le monde d’être énervée, injuste, acariâtre. En un mot pas à prendre avec des pincettes. Dans ces cas là mon mari sait bien ce qu’il me faut. Et quand j’ai les fesses bien en feu on oublie tout ”
Cet aveu avait vraiment troublé le jeune homme, et il n’avait pas résisté à interroger discrètement sa future épouse. Elle n’avait pas répondu tout à fait directement, mais il avait bien compris qu’elle n’ignorait pas qu’il arrivait à sa maman de connaître le même sort que ses filles. Visiblement elle ne tenait pas à en dire plus, mais il avait compris que cela lui semblait somme toute assez banal.
D’ailleurs quand il avait fait une allusion à “ la tradition ” elle ne s’était pas récriée, disant juste qu’elle savait que sa mère “ voulait une cérémonie comme celle qu’elle même avait connue en son temps ” Simplement elle avait ajouté
- Mais je veux que nous soyons seuls ”
Sur l’instant il avait juste répondu un “ Bien sur ” un peu évasif, n’ayant à vrai dire jamais imaginé qu’il puisse en être autrement.
Mais en bavardant çà et là avec des habitants de la région il s’était entendu dire que, naguère, la fessée inaugurale d’une vie conjugale était donnée en présence de la mère de la mariée, et souvent de ses sœurs ou de ses tantes plus âgées ou déjà mariées.
- Vous comprenez, lui avait dit sa future belle mère, les jeunes filles de ce temps là ne sortaient presque jamais seules, même quand elles fréquentaient un garçon. L’habitude était que les mamans les accompagnent au bal par exemple. Et bien de la même manière, le jour des noces, la maman de la mariée accompagnait le jeune couple. Et je vous assure que les filles n’auraient sûrement pas compris qu’il en soit autrement. Bien au contraire cela les rassurait en quelque sorte. De toutes façons, après tout, toutes les mamans avaient été les premières à chauffer le derrière de leur fille n’est ce pas ? Franchement je ne pense pas que les filles d’alors aient eu honte. Peut-être même que c’était alors moins difficile que maintenant. Vous savez, c’est étonnant, mais quand j’étais jeune, les critères de pudeur étaient bien plus stricts qu’aujourd’hui où toutes les jeunes filles montrent leurs cuisses quand ce n’est pas plus dès qu’il y a un rayon de soleil. Et en même temps personne ne s’étonnait qu’une petite fille - et même pas si petite que cela - ait le derrière mis à l’air pratiquement en public. Je veux dire bien sûr entre femmes, il n’a jamais été question qu’un homme autre que le père quand la fille était jeune, ou bien sur le mari, soit présent. Par contre je me souviens très bien d’avoir vu une de mes cousines qui avait presque vingt ans recevoir un jour une fessée mémorable de sa maman alors que la mienne et moi étions en visite chez elle. Ma cousine a été troussée devant nous sans que ma mère ait eu l’air de trouver cela anormal, bien qu’une autre sœur de la maman et une vieille voisine aient aussi été dans la cuisine. Il faut dire que ma cousine en question avait la réputation d’être une sacrée gamine. Je me souviens même que la maman nous a dit après en riant qu’il se passait rarement quinze jours sans qu’elle doivent lui en flanquer une bonne. Et elle ajoutait qu’elle avait hâte qu’elle trouve un mari pour qu’il s’en charge lui même. Et pourtant je pense qu’en étant mariée elle en a plutôt reçu moins. Son mari était un garçon plutôt doux et calme, et qui en plus a été cocu il me semble. Alors que la mère, elle, n’y allait pas de main morte, je vous assure. Elle était plus sévère que ma propre mère, et j’étais aussi peut-être plus sage que ma cousine. En tout cas, moi, jusqu’à mon mariage, je n’ai connu le martinet que quatre ou cinq fois. Alors que chez ma tante la ceinture était toujours prête à servir, pendue à côté de la cheminée dans la grande cuisine où les femmes passaient presque toute la journée. Je la vois encore, c’était une vieille ceinture du père, large d’au moins trois centimètres, suspendue par la boucle. Ce jour là ma tante l’a décrochée et, directement, elle a cinglé les mollets de ma cousine. Celle-ci s’est mise à piailler et, tout de suite, a relevé son tablier noir jusqu’à sa taille. A cette époque, je vous parle là des années d’avant guerre, les filles comme nous ne portaient pas de collants ou je ne sais quoi. Nous avions toutes des bons bas épais retenus par des portes jarretelles. Mais pas de ces trucs en dentelles que portent les cocottes, hein ! Et pareils pour le reste, à cet âge là je n’avais jamais vu un slip. Nous mettions toutes des grandes culottes de toile blanche qui couvraient bien les reins. Mais ça n’a pas empêché ma cousine de la baisser prestement, sans même que sa mère le lui demande. Elle est restée là, au milieu de la cuisine, le tablier retenu sous ses bras et la culotte tombée à ses pieds. Ma tante a plié la ceinture en deux et s’est mise à frapper à la volée, un coups à droite, un coups à gauche. Je me souviens d’avoir été étonnée d’entendre ma cousine crier à tue tête, comme un cochon qu’on égorge, mais rester immobile comme une statue, bien qu’en deux minutes son derrière ait été couvert de traces violettes. Et en plus elle n’a pas eu une larme. Quand sa maman a eu fini, elle a remonté sa culotte sans un mot et elle est sortie de la cuisine les yeux toujours secs. Vous comprenez que cette cousine n’a pas du tout trouvé drôle que ma mère l’accompagne le jour de son mariage. Je sais que je vais vous faire rire, mais refuser aurait été presque une incorrection ! Surtout qu’avec l’habitude qu’elle avait, la cousine a du prendre la fessée de mariage pour une plaisanterie. Quand, moi, je me suis mariée, les habitudes avaient déjà évoluées. Le plus souvent le mari se chargeait déjà de la chose seul, mais toujours dans la pièce à coté. Moi-même je n’ai assisté qu’à une fessée de mariage, celle qu’a reçue une de mes copines d’enfance. Elle n’avait plus sa maman et c’est elle-même qui m’a demandé de ne pas la laisser toute seule. Et sa grande sœur et moi, qui étions mariées toutes les deux depuis peu, nous sommes passées dans la chambre des futurs époux avec le mari. Et je vous jure qu’après ma copine m’a embrassée et m’a remerciée. Et pourtant sa sœur que je voyais encore il y a quelques années m’a dit qu’avec son mari elle en avait reçu bien d’autres. Et, peut être à cause de cette fessée initiale reçue en sa présence, il lui arrivait de venir pleurnicher après une bonne fessée dans le giron de sa grande sœur, et même, il parait, de lui faire constater de visu les effets de celle ci ! Mais tout cela c’est le passé, on ne vivait pas comme aujourd’hui. Très souvent les familles partageaient la même maison pour plusieurs couples. Et quand une des femmes de la maison la prenait il était difficile aux autres occupants de la maison de ne pas l’entendre. De nos jours tout est différent, bien sûr. Il ne serait plus question qu’une maman accompagne sa fille comme chaperon, et encore moins pour ce que vous savez ”
Et il était passé dans ses yeux comme une sorte de nostalgie …