Tout commence par des fantasmes...
Et après?.. Cela dépend de vous
Femme soumise
Bonjour, je m'appelle Christine. Je suis mariée et j'ai plus de quarante ans. Je suis encore mignonne et c'est vrai que je m'entretiens pour ça. Vous savez je suis tout à fait normale et ma vie sexuelle est aussi bonne qu'elle puisse l'être et elle me convient tout à fait. En fait, je suis heureuse et je n'ai pas à me plaindre. Malgré ce doux tableau, j'ai parfois des pulsions et pendant des années j'ai toujours pu retarder ces moments et j'ai pu me calmer puis oublier.
Dernièrement, j'ai eu très envie, et je ne sais pas encore pourquoi aujourd'hui, de ne pas mettre de culotte sous ma jupe. Je ne voulais pas non plus me promener cul nu de peur d'être vite remarquée, mais simplement être sans culotte. J'ai vainement essayé d'oublier, mais mon mari aussi coquin que pervers ne m'a absolument pas découragée et chaque soir en rentrant me soulevait mes jupes pour voir.
Finalement, un matin, je me suis décidée. Lavée, maquillée pour sortir je n'ai mis qu'un collant sous ma courte jupe. Avant de sortir, je suis passée plusieurs fois devant la glace soulevant ma jupe pour me regarder. La collant transparent très fin ne cachait rien de mes fesses rebondies et encore moins de ma vulve lisse. J'ai même mis une chaise face à la glace pour vérifier lorsque que je m'asseyais si des regards indiscrets pouvaient voir mon intimité.
Toutes les vérifications faites, je me décidais à passer une journée complète ainsi vêtue (ou plutôt dévêtue) pensant déjà à ce soir lorsque mon mari me verrait ainsi. Je ne me doutais pas à cet instant que le déroulement de cette journée allait être bien différent.
Je me dirigeais vers le supermarché du coin ou dans les rayons et je déambulais lascivement. Intérieurement je riais, tant les regards des femmes et des hommes ne se doutaient pas de mon état sous ma jupe.
Dans le rayon des vêtements, je pris quelques jupes pour aller me faire une petite séance d'essayage. Seule dans la cabine j'ai d'abord hésiter à retirer ma courte jupe. Encore timide, j'avais trop peur que la vendeuse vienne et me voie presque nue. Prenant un peu de courage, j'ai essayé toutes les jupes et dans diverses positions face à la glace je me suis amusée à montrer le haut de mes cuisses, mon petit cul, mon intimité.
J'étais simplement à moi toute seule en train de m'exciter et je commençais à adorer çà. Puis assise sur le tabouret de la cabine je remarquais que mon entrejambe était tout simplement taché. Je me rajustais, remerciait la vendeuse de sa patience et achetait la jupe la plus courte. Dehors je riais encore de mon audace.
Sur le chemin du retour, je m'arrêtais chez Anna, mon amie. Anna est ma confidente de tous les jours, c'est elle qui connaît toute ma vie. Dans son salon, nous papotons de choses diverses de nos maris, de nos enfants. Puis, je lui montre ma dernière emplette.
Très normalement Anna me dit :
- Vas-y Christine essaye la jupe, je te ferai une retouche si tu veux
Oubliant comment je suis habillée, je me lève et quitte ma jupe que je pose sur le canapé. Anna rit de bon cour :
- Dis donc Christine, où vas-tu comme çà, tu as un rendez-vous galant ou tu as oublié quelque chose ce matin".
Plus du tout étonnée de son rire, je lui réponds rouge de honte :
- Non, non attends je vais t'expliquer. Ce matin je me suis mise sans culotte sous mon collant par envie et puis tu sais Alain, mon mari me le demande depuis tellement longtemps que je veux lui faire une surprise".
Anna encore plus rieuse :
- Je vois, tout à l'heure tu vas faire crac crac, mais dis moi Christine, il ne va pas falloir qu'il traîne ton homme parce que cela se voit que tu as envie".
Je suis encore plus rouge que tout à l'heure et j'ouvre mes cuisses pour m'apercevoir que la tache humide de tout à l'heure s'est agrandie et que je sens mes lèvres s'ouvrirent doucement. Anna est morte de rire et par jeu elle me pince les cuisses, les fesses, mon entre-jambe. Je me dégage prestement et je me dépêche de me rhabiller.
Anna s'excuse de ses remarques :
- Excuse-moi Christine, je plaisantais, si tu veux aller te rincer, vas à la salle de bains, prends une douche, enfin tu fais ce que tu veux si tu souhaites te rafraîchir".
Très en colère, je la remercie :
- Non tu es gentille, mais il faut que je rentre pour préparer le repas et tu sais ne me juges pas et ne me prends pas pour ce que je ne suis pas parce que je n'ai pas de culotte !
- Christine, tu es mon amie et je sais que tu le fais par jeu sexuel pour ton mari, mais tu sais, fais attention dehors, il y a peut-être des sadiques qui eux ne joueront pas avec toi. Fais attention à toi ma chérie je ne voudrais pas qu'il t'arrive quelque chose".
- Merci, Anna tu es gentille, mais je vais vite reprendre ma voiture et rentrer directement à la maison".
Nous nous saluons et je prends l'ascenseur jusqu'au parking souterrain ou le fils aîné d'Anna, Yves, âgé d'une vingtaine d'années et un de ses copains Louis sont là pour réparer leur moto. Je m'approche de ma voiture, cherchant mes clés dans mon sac, quand j'entends derrière moi :
- Dis donc salope, tu ne mets pas de culotte sous tes jupes et en plus tu te montres à ma mère, alors tu vas nous montrer à nous aussi".
Je me retourne énervée face à ces deux garçons cherchant à me justifier :
- Qu'est-ce que vous voulez enfin, ma vie ne vous regarde pas et vous dites n'importe quoi !".
Yves sourit :
- Ecoute Christine, si je dis à ton mari que tu couches avec ma mère je pense qu'il sera surpris et pas du tout content. C'est simple, je sais que tu n'as pas de culotte sous ta jupe, tu nous montres ta petite chatte, nous on regarde et puis tu pars c'est tout. Nous ne voulons pas coucher avec toi mais voir une vraie salope sans culotte sous sa jupe".
Je suis embêtée, gênée. Ils sont deux, ils peuvent faire de moi ce qu'ils veulent. Je leur réponds :
- Bon écoutez, je ne veux pas que vous me fassiez de mal, je veux bien vous montrer mes cuisses mais vous ne vous approchez pas de moi, hein".
Ma voix n'est pas du tout assurée et ils sentent ma faiblesse.
- Christine, tes cuisses on s'en fout c'est ta chatte que je veux voir. Regarde, nous on ne bouge pas de là et toi tu restes vers la voiture. Promis que nous voulons juste voir".
Soumise, je leur dis que c'est OK. Puis, je remonte ma jupe le long des cuisses découvrant mes jambes et le tissu à ras mon entrejambe laisse découvrir ma vulve bombée. Yves siffle d'admiration :
- Mais tu es toute lisse ma coquine, allez remonte plus haut pour bien nous la faire voir. Elle est belle la copine à ma mère, hein Louis elle est belle la garce".
Louis est resté silencieux jusqu'à présent.
- Allez tourne toi et montre-nous ton cul et penche sur le capot de la voiture que l'on voie bien ta raie de salope".
Je fais un demi-tour tenant ma jupe d'une main et me pose sur le capot de la voiture.
- Ecarte tes jambes, ah oui quel cul dis donc ton mari doit bien s'amuser !!".
Soumise à leurs ordres je sens mon désir monter, je sens mes tétons pousser le tissu fin du soutien gorge. Mais le pire je sens ma petite chatte se remplir de ma sève et je sens mon clitoris s'éveiller et réclamer des caresses pour le calmer.
Yves reprend la parole :
- Allez retourne-toi maintenant et couche-toi sur le capot et écarte bien les cuisses que l'on te voie encore mieux".
Je me retourne lentement essayant mentalement de calmer mes sens et face à eux je les découvre pantalon baissé, le sexe dans la main en train de se masturber. Je ferme les yeux sentant mon désir monter encore d'un cran.
Je m'assois sur le bord de la voiture et me couche dos sur le capot les jambes pendantes écartées en grand sachant pertinemment qu'ils vont découvrir mon intimité trempée. Yves le premier réagit :
- Regarde Louis elle mouille la salope et elle nous fait bander. Putain, la garce elle a envie comme nous, allez caresse toi Christine masturbe-toi aussi tu vas nous faire jouir. Je te jure que nous ne dirons rien à ton mari."
J'avais trop envie, rien qu'au contact de mes doigts je me suis sentie partir. L'ongle de mon pouce a dégagé mon clitoris que j'ai frotté avec le collant, pendant que mes doigts lissaient ma fente ouverte et baveuse. J'ai joui rapidement et j'ai entendu les deux compères pratiquement jouir en même temps là devant moi.
Je me suis relevée doucement, la tète me tournait prise par le plaisir. Ils avaient fuit l'un et l'autre laissant sur le sol les traces de leur semence chaude. Mon collant était trempé à l'entre jambe. Je me rajustais, puis je pris la voiture pour rentrer à la maison.
Tout le long du trajet, je n'arrivais à me sortir cette scène de la tête et a chaque fois je sentais le désir remonter et à chaque fois ma chatte se remplissait d'une douce chaleur. Tout l'après-midi j'ai résisté à l'envie de me caresser à l'envie me donner ce plaisir inachevé.
Lorsque le soir mon mari est rentré et qu'il a soulevé ma jupe pour voir si j'étais nue. Il a eu une grande surprise, non seulement j'étais nue mais en plus j'étais trempée et croyez moi il n'a eu aucun mal à m'honorer ce soir là.
De mon côté ce n'est que tard dans la nuit que j'ai pu assouvir ma soif de jouissance.
Depuis je n'ai jamais recommencé, j'ai trop peur, imaginez-vous que ce soit vous lecteur homme qui m'a fait çà, je ne suis pas certaine que vous vous soyez contenter de vous caresser devant moi et qui sait si je n'aurais pas accepter d'autres propositions, à vous de me dire.
Et vous femmes lectrices, auriez vous capitulé comme moi aux ordres de ces jeunes hommes ou seriez vous allez de l'avant pour leur donner le plaisir. A vous de me dire aussi.
Le bivouac
Yann Kowalski n'arrivait pas à dormir. Il faisait une chaleur atroce sous la grande structure de toile qui servait de dortoir à la Section. De plus, comme presque tous les soirs, Ribeiro était venu rejoindre le petit Metzger dans le lit voisin du sien et leurs soupirs, leurs gémissements et leurs cabrioles l'exaspéraient. Lui aussi était excité mais ce n'est pas pour ça qu'il allait s'envoyer en l'air avec un mec! Il attendrait de retrouver Yasmina lorsqu'ils reviendraient à la base a la fin des manoeuvres.
Excédé, il se leva pour aller pisser dehors. En traversant la tente entre les deux rangées de lits de camp, il put constater que ses voisins n'étaient pas les seuls à se donner du bon temps. D'autres qu'eux, dans d'autres lits, s'ébattaient de la même façon et sans se gêner.
Il n'y comprenait rien. C'étaient pourtant tous de vrais durs dans sa Section, pas des pédés! Depuis six mois qu'il avait été affecté dans cette unité d'élite chargée du maintien de l'ordre dans ce petit pays centrafricain, il avait eu plus d'une fois l'occasion de s'en rendre compte.
Même Metzger le petit blondinet qui, en ce moment se faisait joyeusement défoncer le cul par le beau Ribeiro, avait prouvé qu'il avait des couilles lors des divers affrontements qui les avaient opposés à la rébellion. À voir l'ardeur que mettaient tous ces gars à baiser entre eux, on pourrait croire qu'il s'agissait d'une autre forme de combat tout aussi exaltante que celui qui se livrait avec des armes face à l'ennemi.
En sortant, il fut surpris par la luminosité qui régnait à l'extérieur. C'était la pleine lune. Son grand disque lumineux baignait la Savane qui s'étendait devant lui et découpait en ombres chinoises les pitons rocheux qui dominaient leur camp. Au loin, tout autour s'étirait la longue clôture de fil de fer barbelé le long de laquelle déambulaient et se croisaient les sentinelles.
Délaissant les latrines à l'odeur infecte de grésil, il contourna les autres tentes pour s'enfoncer de quelques mètres dans le petit bois contre lequel elles étaient adossées. Il y régnait une légère fraîcheur et même s'il y faisait plus sombre, la clarté était suffisante pour s'y diriger.
Faisant glisser sur ses cuisses le léger caleçon dont il était seulement vêtu, il se mit à pisser. Le bruit du jet dru frappant le sol surprit sans doute quelque oiseau nocturne qui poussa un cri strident.
Lorsqu'il eut terminé, Yann secoua longuement sa queue pour en chasser les dernières gouttes. Elle était lourde, gonflée et très vite il la sentit grossir et se redresser. Excité, il se mit à penser tout naturellement à Yasmina, la jeune métisse qu'il retrouvait tous les soirs lorsqu'ils étaient à la Base.
Depuis quinze jours qu'ils étaient en manoeuvres il était privé de ses caresses et cette abstinence lui devenait insupportable. Avec délectation, il se mit à évoquer son petit corps mince et souple, sa peau de pain d'épices, ses seins menus et fermes ses petites fesses rondes avec leur sillon où se nichait ce petit cratère rose, seul orifice qu'elle lui accordait de visiter, réservant à son mari le soin de la déflorer par la voie naturelle.
C'était assez frustrant car son anus était si étroit et la queue de Yann si épaisse qu'il avait toutes les peines du monde à y faire pénétrer ne serait ce que son gland. Toutefois l'antre était si chaud, si serré que très vite la jouissance déferlait sur lui. Heureusement Yasmina était vicieuse et avait d'autres caresses pour le satisfaire.
Il bandait bien maintenant et très excité, il commença à se masturber tout en se caressant les couilles. Déjà il haletait lorsque soudain sur sa gauche, il entendit un léger bruit et vit jaillir la flamme d'un briquet qui allumait une cigarette. Pris de panique, il remonta rapidement son caleçon et par réflexe comme en patrouille il s'écria:
- Qui va là?
Un rire étouffé puis une voix basse lui répondirent:
- Ne t'affole pas, c'est Blanchet... Eric, quoi! Moi non plus je ne peux pas dormir. Tu veux une cigarette?
Yann s'approcha lentement, tentant désespérément de dissimuler son érection en rabattant avec la main sa queue qui s'obstinait à tendre son caleçon. Il découvrit alors Eric allongé sur une couverture au pied d'un arbre. Il était complètement nu. Tout en s'accroupissant pour prendre la cigarette qu'il lui tendait, Yann lui demanda:
- Il y a longtemps que tu es là?
- Si tu veux savoir si j'ai vu ce que tu allais faire, c'est oui mais ne sois pas gêné je m'apprêtais à en faire autant. Avec une chaleur pareille et la pleine lune, ce qui serait étonnant c'est qu'on n'ait pas envie de se vider les couilles.
Yann se sentait troublé par la nudité de son copain. C'était un très beau mec. Brun avec de grands yeux bleus, des épaules larges, des hanches étroites et ce qui malgré lui attirait son regard, une queue longue et gonflée qui tressaillait sur un épais buisson de poils noirs. Avec étonnement il sentit son propre sexe toujours dressé se cabrer convulsivement. Comme pour expliquer son émoi, il murmura:
- Quinze jours sans femmes, c'est trop dur! Moi, je ne tiens plus!
- Tu n'es pas le seul! Et encore on en a pour plus d'une semaine!
Eric ne semblait nullement embarrassé de s'exhiber ainsi devant Yann. Au contraire, après avoir éteint sa cigarette, il se caressait sans pudeur. Une de ses mains pétrissait ses seins et en pinçait les pointes tandis que l'autre avait empoigné sa verge bien bandée et la branlait doucement. Fasciné, la gorge serrée, Yann le regardait et soudain, sans prendre conscience de ce qu'il disait, il demanda d'une voix rauque:
- Tu as déjà baisé avec un mec?
Il regretta aussitôt d'avoir ainsi dévoilé sa pensée mais Eric n'en parut pas choqué. Il répondit simplement:
- Oui, l'hiver dernier, quand je suis allé à l'hôpital pour ma tendinite. L'infirmier qui était chargé de me masser était une vraie petite salope. On a baisé comme des fous pendant huit jours. Et toi? Tu l'as fait aussi?
- Non! Jamais!
Il avait répondu très vite presque avec violence comme pour affirmer sa virilité mais réalisant combien c'était dérisoire, il ajouta plus doucement:
- Et... C'était bien?
- Bien? C'était super, tu veux dire! Ce petit salaud avait un cul! Une vraie merveille, j'arrêtais pas de bander pour lui. Pourquoi tu demandes ça?
- Oh... Parce que dans la Section il y a plusieurs types qui baisent ensemble et je me demandais quel plaisir ils pouvaient bien y trouver.
- C'est simple. Il n'y a qu'un mec pour savoir ce qui peut bien en faire jouir un autre alors, lorsqu'il te le fait c'est le pied et bien mieux qu'avec une bonne femme. De plus, si tu veux enculer une nana, elle fait des tas d'histoires parce qu'elle ne jouit pas avec son cul. Alors qu'un mec, quand tu l'encules tu lui masses la prostate et ça le rend complètement dingue. Le petit gars que j'ai connu, il aimait vraiment ça. Son cul mouillait autant qu'une chatte de bonne femme. Tu ne peux pas savoir comme c'était bon d'enfoncer ma bite là-dedans! C'était chaud bien serré et je limais au poil. Quant à lui j'étais obligé de lui mettre la main devant la bouche pour l'empêcher d'ameuter le voisinage tellement il gueulait que c'était bon! Je t'assure, tu devrais essayer. Tiens, rien que d'en parler, regarde dans quel état je suis!
Il brandissait sa queue raide et bien dure et la faisait claquer sur son ventre. Yann sentait s'envoler toutes ses convictions. La vue d'Eric, ce qu'il venait de raconter l'excitait au plus haut point et l'esprit en déroute, la tête en feu, il s'entendit répondre d'une voix mal assurée:
- J'sais pas... Peut-être mais... Il faudrait que je connaisse bien le gars. Je voudrais pas qu'il me prenne pour un pédé!
- Qu'est-ce que tu vas chercher! Bâti comme tu l'es et avec la gueule que tu as, personne ne peut penser que tu es pédé! Si tu as envie de te vider les couilles avec un copain, on trouvera ça normal. Tu le dis toi même, dans la Section il y en a plein qui le font et personne n'y trouve à redire.
- Et... Et si j'y prends goût?
- Et alors? Qu'est ce que ça peut faire si tu trouves ça bon! Tiens, je vais te dire, je suis tout prêt à baiser encore avec un mec mais cette fois, je me ferai mettre. À voir le pied que prenait le petit mec de l'hôpital, j'ai trop envie de connaître ça. Tant pis si j'y prends goût et que je devienne une paillasse à bites, la vie est courte et il faut savoir profiter de ce qui est bon. Et si il y en a un qui s'avise de rigoler, je lui rentre dedans et je l'encule pour qu'il évite de parler sans savoir.
- À ce point là?
- Parole d'homme! Je peux même te le prouver tout de suite. Nous sommes excités tous les deux alors, si tu veux essayer c'est l'occasion où jamais... Je te prête mon cul... Alors, ça te dit?
Depuis un moment déjà Yann n'en pouvait plus de se caresser à l'intérieur de son caleçon. Au lieu de répondre, il le fit glisser sur ses cuisses libérant sa queue qui se cabrait convulsivement. Sans hésiter, Eric tendit la main et s'en saisit. Poussant un petit sifflement, il murmura d'une voix basse:
- Ben, mon salaud, tu es drôlement monté!
- T'as rien à dire la tienne est plus longue que la mienne!
- Peut-être mais la tienne est beaucoup plus grosse. C'est une vraie matraque! Tant mieux, tant qu'à me faire casser le cul que ce soit par un gros calibre, après ça je serai bien rodé. Viens là qu'on fasse ça dans les règles!
Il l'entraîna sur la couverture où il roulèrent en s'étreignant. Yann s'étonna d'éprouver une telle volupté à se frotter contre ce corps dur et musclé mais dont la peau était si douce qu'il se mit à le caresser fébrilement.
Même la rigidité brûlante de cette bite qui se pressait contre la sienne stimulait son excitation et lorsque les lèvres d'Eric s'écrasèrent sur les siennes, c'est tout naturellement qu'il ouvrit la bouche pour un affrontement de leurs langues.
Allongé sur le dos, il s'abandonnait aux mains expertes d'Eric. Il était fier de son corps dont il avait patiemment modelé la musculature et il était heureux de voir qu'Eric prenait un plaisir évident à pétrir sa poitrine aux mamelons saillants comme les seins d'une jeune adolescente. Il ne put réprimer un gémissement de volupté lorsqu'il y planta ses dents faisant s'ériger et durcir les gros bourgeons qu'il mordillait et agaçait de la langue.
Jamais, il n'aurait crû qu'il put y être si sensible. Jusqu'alors, c'était lui qui faisait gémir Yamila en lui mordant les seins et voilà qu'à son tour et à sa grande confusion il éprouvait ce même plaisir mais c'était un homme qui le lui donnait.
Mais il oublia vite sa gêne car les lèvres d'Eric glissant sur son ventre venaient de s'emparer de sa queue. Lorsque Yamila le suçait, elle s'y prenait comme un petit chat, à petit coups de langue. Elle lui mignotait la bite, la léchant, la mordillant mais sa bouche était trop petite pour la prendre en entier. Elle ne pouvait téter que le bout du gland et jouer sur le bourrelet. C'était assez excitant mais jamais elle n'avait réussi à le faire jouir ainsi.
Cette fois, ce fut différent. Tellement plus fort, plus violent. Plus complet aussi. Il se sentit aspiré comme dans un gouffre chaud où après deux tentatives, il s'enfonça totalement. Pour la première fois il était sucé à fond et c'était par un mec. C'était bien vrai, il n'y avait qu'un homme pour savoir comment donner du plaisir à ses pareils. Agrippé aux cheveux d'Eric il se laissait emporter par la jouissance.
Confiant dans le savoir faire de son partenaire, il ne songea même pas à s'étonner lorsqu'il sentit une main glisser sous ses couilles et un doigt s'insinuer entre ses fesses. C'était si agréable qu'il écarta les cuisses et qu'il ne chercha pas à repousser l'intrus qui après avoir bien caressé son petit trou, le pénétrait et tournicotait profondément en lui.
Au contraire, c'était une sensation nouvelle qui décuplait son plaisir. C'était si fort qu'il craignit de jouir trop vite et préféra prévenir Eric. Celui-ci se releva et, en souriant, vint le chevaucher. Tenant dans sa main la queue de Yann toute dégoulinante de salive, il s'appuya dessus pour s'empaler.
Malgré son impatience et son excitation, Yann n'osait bouger. Il savait trop bien le mal qu'il avait à pénétrer sa petite métisse par derrière. Encore usait-il du lubrifiant. Alors, comme ça, juste avec un peu de salive, jamais ils n'y arriveraient. Il préféra laisser opérer Eric, ce serait à lui d'arrêter le massacre lorsqu'il le voudrait.
Celui-ci pourtant, la tête renversée en arrière ne désarmait pas. Patiemment, il forçait sur le gland en remuant doucement ses fesses. Soudain, alors que Yann commençait à désespérer, l'anneau étroit céda pour accepter toute la tête de sa bite. Au passage du bourrelet, Eric avait pousse un léger cri mais après quelques secondes sans bouger, il soupira avec un petit sourire crispé:
- Ouf! Le plus dur est fait. Maintenant ça devrait aller mieux.
- Tu as mal?
- Oui, ça brûle un peu mais on m'avait prévenu. La première fois c'est normal. Après ça se calme et c'est là que ça devient bon.
Lentement, il se mit à onduler en se vrillant sur le manche épais et dur et Yann sentit alors sa queue s'enfoncer peu à peu dans un fourreau soyeux et chaud dont les palpitations le firent frissonner. Incrédule, il la vit disparaître totalement entre les fesses d'Eric qui vinrent s'écraser contre les poils de son pubis.
Et voilà, ce qu'il avait vainement tenté avec une femme, ce dont il rêvait tant, il était en train de le réaliser avec un homme! Quelle importance après tout puisque le plaisir qu'il éprouvait dépassait toute ses espérances. Eric s'était mis à bouger. Il se soulevait en cadence et imprimait à ses hanches un mouvement rotatif pour se faire fouiller dans tous les sens par cette bite énorme sur laquelle il se contractait convulsivement. Cela devait lui procurer une telle jouissance que sans aucune pudeur, il se mit à délirer:
- Ah comme c'est bon! Je sens bien ta bite! Comme elle est grosse! Elle m'éclate le cul mais qu'est-ce que c'est bon!!! Ah mon salaud, tu me fais mouiller comme une bonne femme. Mets moi sur le dos et baise moi bien, je veux te voir me défoncer.
Yann souleva ses hanches et tenant Eric bien emmanché, il le fit rouler sur le dos et lui soulevant les jambes il réussit à s'agenouiller entre ses cuisses tout en restant bien ancré en lui. Il se mit alors à limer profondément. Doucement d'abord puis en voyant le visage d'Eric transfiguré par le plaisir, il se mit à le labourer de plus en plus fort. Agrippé à ses cuisses dans lesquelles il enfonçait ses ongles, Eric gémissait, râlait puis se mit à crier:
- Oui! Comme ça! Défonce moi bien! T'arrête pas, continue encore plus fort, j'aime ça! Ah ce que tu me baises bien! C'est bon de se faire enculer, tu sais!!!
Stimulé par ces propos obscènes qui l'excitaient au plus haut point, Yann se déchaîna. À grands coups de reins puissants, il se mit à pilonner sauvagement ce cul qui s'offrait à lui. Au plaisir qu'il éprouvait à s'enfoncer dans ce fourreau étroit mais souple qui épousait si bien sa bite, s'ajoutait celui de la jouissance qu'il procurait à son copain. Car il ne pouvait se leurrer, c'était bien un mec qu'il tenait au bout de sa queue. Un beau mec avec une belle bite bien raide et bien dure qu'il n'hésita pas à saisir pour la branler avec délectation.
Tous ses scrupules avaient disparu. Que deux garçons virils comme Eric et lui baisent ensemble ne lui paraissait plus vil ou dégradant. Au contraire c'était la suite logique de ce qu'il avait cherché en s'engageant dans ce corps d'élite.
Une fraternité dont ils étaient tous fiers. Pourquoi vouloir la limiter au combat ou à la vie quotidienne? Dans le sexe aussi ils pouvaient retrouver cette merveilleuse complicité qui faisait leur force. Si cette fois c'était Eric qui lui avait prêté son cul, Yann n'hésiterait pas lui aussi à offrir ses fesses à son copain. Par solidarité bien sûr mais aussi, pourquoi s'en cacher, pour connaître à son tour et sans en avoir honte, le plaisir de se faire défoncer par la belle bite qu'il tenait dans sa main.
Ce fut Eric qui jouit le premier. Se cambrant pour mieux se faire pénétrer, il se mit à gémir plus fort tandis que sa queue manipulée par Yann, se mit à cracher de longues giclées blanches et épaisses qui allèrent s'écraser jusque sur son visage. Tandis que son corps se tordait en spasmes violents, son sphincter se contractait si fort sur le pieu qui l'empalait que Yann n'y résista pas et il vida ses couilles au fond de ces entrailles brûlantes.
Un peu plus tard, lorsqu'ils eurent repris leurs esprits, Eric se mit à rire:
- Eh bien, mon salaud, qu'est-ce que tu m'as mis!!! Tu m'as cassé le cul mais que c'était bon! J'ai vraiment pris mon pied!
- J'ai vu ça. Moi aussi j'ai bien joui, tu sais! J'ai jamais éprouvé un tel plaisir.
Puis Yann attendit un peu pour ajouter:
- Je voudrais te dire... Quand tu en auras envie, je te prêterai mon cul.
- C'est vrai? Tu voudras bien te dévouer?
- Oh, je ne me dévouerai pas. Maintenant que j'ai vu ce que ça t'a fait, je meurs d'envie d'essayer.
Ils éclatèrent de rire tous les deux et repliant la couverture et, encore nus, ils revinrent vers le campement en se tenant par le cou. C'est alors qu'ils croisèrent Ribeiro qui, après ses exploits avec Metzger, sortait pour pisser. En les voyant ainsi enlacés, il eut un grand sourire et s'exclama:
- Mais voilà une excellente surprise! Bienvenue au Club les mecs! Vous nous manquiez!
Tout en parlant il avait lancé ses mains et palpait leurs bites et leurs couilles.
- Mais c'est du premier choix tout ça! Je me doutais bien que vous pourriez être d'excellentes recrues. Il faudra en faire profiter les copains. À ce propos, le sergent organise demain soir une petite réunion dans sa tente. Une dizaine de mecs bien motivés. Il y aura du cul et de la bite à volonté. Si ça vous dit, on sera heureux de vous accueillir.
Eric et Yann échangèrent un clin d'oeil complice et répondirent en souriant:
- Pourquoi pas? Ce sera avec plaisir.
- Super, les mecs! Alors à demain soir!
Lorsqu'il se fut éloigné, Eric se mit à rire:
- Je crois que nous ne serons plus en manque.
- Je crois aussi. Mais avant demain soir, je préférerais que ce soit toi qui... que... que tu sois le premier à me...
- Sans problème, vieux frère. Touche, je bande déjà.
- Moi aussi. Alors... Pourquoi attendre davantage?
Et ils retournèrent en courant vers le petit bois