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Les brèves d'un Dimanche d'été...

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 Des fois on découvre jeune sa nouvelle vocation

Cocu mais excité
Bonjour à vous tous. Je me présente : je m’appelle Julien, j’ai 18 ans et suis en dernière année de secondaire. Je suis, je pense, quelqu’un de mignon mais sans plus. Je n’ai jamais eu de difficultés à me faire des filles mais je ne suis pas un tombeur- fou.
Depuis deux ans, je suis avec Leila qui, contrairement à ce que son prénom l’indique, n’est pas d’origine maghrébine. Un simple choix de ses parents, tous deux italiens. Je dois bien avouer qu’elle constitue ma meilleure conquête : petite, mince, belle poitrine, un magnifique petit cul, cheveux noires lisses,… Elle aime s’habiller sexy sans être provocante. Entendez par là : pantalon taille basse, mini jupe, blouse un peu décolleté,… Elle met en avance son joli corps.
Nous avons tous deux connu notre premier rapport sexuel ensemble. Depuis nous avons toujours été fidèles et plus amoureux de jour en jour. Pour revenir à cette première fois, à part le sang en abondance, tout s’est bien passé. Nous avons pris le temps, la pénétration fut lente et agréable,… Un très bon souvenir !
Depuis, c’est quatre, cinq fois par semaine, la totale et une quinzaine de pipes. N’ayons pas peur des termes : elle adore cela et c’est généralement moi qui ait dur à suivre avec, pour conséquence, quelques fois, des problèmes d’érection.
Nous n’avons pas encore essayé la sodomie et elle n’a jamais avalé. Nous ne sommes pas échangistes mais un peu exhibitionnistes. Elle a ainsi accepté que je la doigte sur un site de cams, avec nos visages cachés. Voilà, ainsi, le décor est planté, vous savez tout.
Nous sommes donc ensemble à l’école dans la même classe et sommes toujours avec le même groupe d’amis. Disons plutôt avec le même groupe de garçons : ma jalousie et ma possessivité ont fait qu’elle a eu de moins en moins de vraies amies et a passé ses temps de midi avec moi et quatre autres copains. Leurs copines étant extérieures à l’école, elle n’avait d’autres choix que de nous écouter et participer à nos conversations d’hommes. Honte à moi !
Pourtant un jour, tout a basculé.
Nous étions dans sa chambre et je cherchais désespérément un numéro de téléphone noté sur un bout de papier. Alors qu’elle était en bas, je fouillai dans sa poubelle et tombai sur deux capotes usagées, sentant encore la forte odeur de sperme. N’utilisant jamais le latex, je compris vite que ces préservatifs étaient à quelqu’un d’autre. M’avait- elle trompé ?
J’eu comme une boule au ventre mais, néanmoins, choisis de ne rien dire.
Durant les jours qui suivirent, je fouillai son GSM, son PC, observai avec qui elle parlait le plus,… mais aucun indice ne ressortit. Aucun sauf une fois, en classe. Assise entre moi et Hervé, mon meilleur ami, je fus sur que je vis sa main effleuré la cuisse de ma copine.
Mais ce n’est pas tout : suite à une émission de jean- Luc Delarue, sur l’échangisme et l’infidélité, nous avons abordé ses sujets et elle semblait fortement intéressé, notamment par la pluralité. Elle parlait mais me certifiait qu’elle ne se verrait pas avec un autre homme.

Mercredi après- midi, travail de groupe chez elle : Hervé, elle et moi. C’est ce jour- là que je décidai de mener mon enquête. Au bout d’une heure de travail, je fis sonner mon portable et fis croire que ma mère me demandait de rentrer afin de faire une course. Bête mensonge mais ils n’eurent pas l’air de s’en préoccuper.
Le lendemain, dans la poubelle, trois capotes pleines de sperme. Non seulement ils avaient baisé mais en plus, il y avait mis la dose. De nouveau, je fis semblant de rien mais la femme de votre vie et votre meilleur ami, ça fout un choc.
Pourtant le soir, chez moi, dans mon lit, j’y repense, y repense et me branle. Elle m’a excité cette grosse conne. Mais je ne dis rien et cherche d’autres indices.
Un indice me parvint deux jours plus tard. Dans le portable de Leila : rien mais Hervé sembla moins préventif et il y avait deux messages de mon amoureuse. L’un d’eux disait qu’elle ne savait pas pourquoi elle avait eu mal au début et l’autre disait qu’elle m’aimait mais qu’au lit, elle ne saurait plus se passer de lui. Et surtout elle terminait le message par cette phrase : vivement que je l’aie encore dans ma bouche.
Pendant une semaine, plus aucun indice : la poubelle était toujours vide, le GSM d’Hervé aussi,… avaient- ils eu des soupçons ?
Lundi suivant, voyage à Bruges avec la prof de néerlandais. Pour ce cours, la classe est scindée deux groupes et comble de (mal)chance, nous ne sommes que trois avec qui nous nous entendons. Pour ne rien gâcher, Leila a aujourd’hui une petite jupe à carreaux, style écolière et des hautes bottes en cuir. Un léger maquillage et elle est splendide. Je l’ai toujours trouvé belle mais aujourd’hui sans doute plus que d’habitude.
La journée se passe bien. Nous rigolons mais ils n’ont aucun geste déplacé. Pourtant le moindre effleurement entre eux m’excite.
Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a une certaine complicité entre eux : ils rigolent, sont proches, parlent de tout et de rien,… Par moments, je me sens même un peu à l’écart.
Rentrant vers minuit du voyage, il était convenu que nous dormions tous les trois chez leila. Son père ne voulant pas que je dorme avec, je me retrouve dans la chambre d’ami, voisine de celle de ma chérie, avec Hervé. Moi dans le lit, lui au sol sur un matelas. J’avoue avoir dur à trouver le sommeil et au bout d’une heure, je ne dors toujours pas. Moment que choisit Hervé pour me demander si je dors. Je ne réponds pas. Il patiente encore dix minutes, me le redemande. Toujours pas de réponse. J’ai les yeux tournés vers le mur pour éviter de devoir les fermer. Je l’entends se lever, ouvrir la porte et d’après ces pas, il est chez mon amoureuse.
Je patiente dix grosses minutes, me lève, entrouvre ma porte et écoute les bruits venant de l’autre chambre. Elle gémit, j’en suis sur. Ce sont des gémissements de plaisir. J’en mets ma main à couper.
Je bande, j’ai envie de voir mais n’ose approcher. Pourtant leur porte n’est pas bien fermée. J’avance un peu et je les entends parler. Il me semble qu’elle dit qu’elle a peu que j’arrive mais les sons ne sont pas très audibles. Surtout qu’entre les paroles, il y a des bruits de bisous.
Tant pis, je me risque à avancer un peu et, si je distingue bien, je le vois, couché sur elle. Il la baise ! Ses mouvements sont clairs. Je l’entends encore mieux gémir et je la vois soulever ses jambes afin de mieux s’ouvrir.
Au bout de quelques minutes, ce sont les gémissements d'Hervé qui deviennent plus intenses. Et il jouit. Il jouit en elle-même. A- t- il une capote ? je n’en sais rien. De toute manière, je me dépêche à rejoindre mon lit et fait mine de dormir.
Le pire dans tout ça, c’est qu' Hervé ne revient pas. Je n’ose plus m’aventurer. Pourtant au bout de vingt minutes, je me décide et m’assied près de la porte de ma chambre. Je les entends discuter et rigoler. Puis Leila qui dit « en vitesse alors ». Quelques secondes plus tard, j’entends les mouvements sur le lit, puis les gémissements. Je bande mais ai horriblement mal au ventre. La jalousie me tiraille.
Je me remets au lit et me branle comme jamais et seul Johan qui revient me fait cesser. Je m’endors…
Au matin, je vais saluer ma princesse qui m’enlace dans ses bras et m’embrasse tendrement. Elle file sous la douche et directement je fonce vers la poubelle. Deux préservatifs, plein, y sont jetés. Il n’a donc pas joui en elle.
Une fois lavée, elle remet sa nuisette et nous descendons déjeuner. Vers 7h45, elle dit qu’elle va réveiller Hervé. Plus rien ne me fait peur. Je la suis. Si ils me voient, je dirai que je suis venu chercher mon GSM. Je monte quand même discrètement et les entend parler.
- C’est exagéré, j’ai envie de toi ! dit- elle.
- Viens vite.
- Non, Julien est en bas
- Juste un petit doigt.
Là je n’entends pas sa réponse et je ne sais même pas s’il l’a fait. En tout cas, ils sont restés une petite minute sans rien dire. Je n’ai tellement rien entendu que je n’entends pas Leila revenir dans les escaliers. Elle sursaute ! Et je prétexte mon GSM, comme prévu. Je vais dans la chambre et vois Hervé, nu sous la couette dont il se recouvre vite. Je fais semblant de rien et lui parle comme d’habitude.
Nous déjeunons et allons à l’école.
En troisième heure, nous avons biologie où je suis seul avec Hervé. Leila n’a pas cours Au bout de quinze minutes, il demande pour aller aux toilettes. Il quitte la classe et reste au moins quinze minutes. Je me décide à en parler à Nicolas, un autre garçon du groupe.
- Ecoute, on doit avoir une conversation entre nous.
- Dis- moi.
- Tu savais que Leila et Hervé couchaient ensemble ?
Il rougit.
- Pourquoi dis- tu cela ?
- Je les ai vu cette nuit. Tu le savais ? réponds- moi !
Il ne répond rien.
- Allez, dis- moi.
- Ecoute, ça fait dix minutes qu’il est parti, tu crois qu’il est où ?
- Même ici ?
- Évidemment dans les toilettes près de la salle de gym, il n’y a jamais personne là- bas.
- Et ça fait longtemps ?
- Un gros mois mais c’est parfois trois fois par jour. Excuse- moi car c’est ton amoureuse mais elle aime ça.
Je ne dis rien.
- Et toi, tu es déjà passé dessus ?
- Passé dessus ? Non.
- Vous avez quand même fait des choses.
- Juste s’embrasser une fois et je l’ai peloté mais au- dessus des vêtements.
- Et tu as aimé ?
- Qui n’aimerait pas avec elle. Tu sais, Julien, ta femme est magnifique et bandante.
- Il y en a eu d’autres à part vous deux ?
- Je ne pense pas. Et puis merde ! Tiens.
Il me tend son GSM et je vois une vidéo de dix minutes de Leila avec Hervé. Elle le suce, se fait prendre en missionnaire et en levrette.
- Tu en as d’autres ?
- Oui quelques unes chez moi.
Nicolas m’en envoya via MSN. En tout cas, car ils en firent d’autres, j’en reçus une petite dizaine que j’ai regardé et regardé, en me masturbant.
Un jour, Nicolas m’a dit qu’elle avait cessé car elle s’était engueulée avec Hervé qui tombait amoureux. Je n’ai jamais osé lui en parler, ai continué à regarder les vidéos puis les ai effacé.
J’aurais franchement bien voulu faire quelque chose à trois mais ça ne se fit pas. Je ne lui en ai jamais parlé. J’ai eu très mal au ventre de jalousie mais j’avoue que ça m’a aussi excité terriblement

  Des fois on découvre jeune sa nouvelle vocation
Ou alors bien plus vieux mais plus hard.
Mais les sentiments éprouvés sont identiques...  
Enfin cocu
Marié depuis 20 ans, ça fait longtemps que j'ai pour fantasme que ma femme se fasse baiser par d'autres hommes. Elle le sait, mais m'a toujours dit que ça resterait un fantasme car elle n'a pas envie d'un autre homme.
Dans nos jeux sexuels, elle me domine de façon soft. Elle aime choisir comment elle va jouir, même parfois en me privant de pénétration et d'éjaculation. J'aime la soumission et l'excitation qui ressort des frustrations ou moqueries qu'elle me fait subir. Mon envie d'être cocu va dans la suite de ces jeux.
Pour lui donner envie de "voir ailleurs", je lui ai offert un gode de belle taille (20 x 5 cm) qu'elle adore utiliser. Je précise que mon sexe est de taille un peu en dessous de la moyenne (14 x 3.5 cm). Ayant compris mon goût pour les moqueries, elle a surnommé mon sexe "cinq centimètres".
Toujours dans l'idée de l’inciter à réaliser mon fantasme, souvent je ne cherche pas à me retenir. Je n'étais déjà pas très endurant avant (3 à 5 minutes), mais maintenant c'est entre 30 secondes et 2 minutes que dure la pénétration. D'ailleurs il lui arrive de rigoler en me traitant d'éjaculateur précoce.
Pour compléter la description de notre couple, sachez que j'ai 46 ans que ma femme est une belle brune de 44 ans. Elle mesure 1.69m pour 60 kg. Sa poitrine est de 95b et elle s'épile entièrement depuis longtemps.
L'histoire :
Nous partons pour 4 jours à Paris avec nos deux garçons adolescents. Dans le TGV ma femme me fait discrètement remarquer qu'un jeune homme la regarde beaucoup. Il faut dire que son jeans serré et son chemisier sans manche la mettent en valeur. Elle se sent troublée d'être ainsi détaillée avec envie par un jeune homme qui doit avoir entre 20 et 25 ans. Elle me dit :
- Il est plutôt beau gosse. Plus jeune je lui aurais volontiers fait une place dans mon lit.
- Et pourquoi pas à ton age ? Ça doit être flatteur de plaire à un jeune homme.
- Oui bien sur que c'est flatteur.
- Tu pourrais décrocher discrètement un bouton de ton chemisier, je suis sur que ça va lui plaire.
- Tu peux toujours rêver, me dit-elle en rigolant, je ne suis pas exhibitionniste.
Pourtant, un peu plus tard je remarque que son décolleté s'est ouvert et que, par moment, on devine la dentelle de son soutien gorge rouge. Le jeune homme la regarde sans gêne, lui montrant clairement qu'elle est à son goût. Je dis à ma femme :
- Allons au wagon bar pour boire un café. Fait lui un joli sourire si tu veux qu'il te suive.
- Tu es sur que tu en as vraiment envie ? Parce que si je vais trop loin, je ne pourrai plus reculer
- Oui. Et toi, tu as envie qu'il te drague ?
- C'est tentant.
Je me lève et part devant. Elle me suit. Nos enfants, occupés à un jeu restent à leurs places. Alors que nous buvons notre café, je vois arriver le jeune homme. Je me plonge dans la lecture d'un journal pour lui laisser la possibilité de reluquer librement Sylvie.
Il se retrouve, comme par hasard, à coté d'elle. Il ne dit rien à ma femme, mais je la sens troublée. Un mouvement du bras de son voisin me fait comprendre : il doit avoir sa main sur les fesses de Sylvie et elle se laisse faire.
Comme il me croit occupé à ma lecture, il ose dire quelque chose à l'oreille de ma femme avant de partir. Sylvie m'a confirmé l'audace du jeune homme qui lui a bel et bien palpé les fesses. Il lui a dit qu'il l'attendait dans les premiers WC. Je lui demande :
- Tu vas y aller?
- Je ne sais pas. J'ai peur qu'on le regrette après. Puis des WC de TGV ce n’est pas très romantique.
- Tu sais que j'ai envie que tu y ailles et je suis sur que ça va souder notre couple si tu réalises mon fantasme. Mais je te laisse faire comme tu veux. De toute façon je t'aime.
Après une courte hésitation, elle m'embrasse et me dit :
- Quand il s'est collé à moi, j'ai senti son sexe. Ça me changera de "cinq-centimètre". Attends-moi ici !
Elle est revenue 15 minutes plus tard. Un peu gênée, elle est venue m'embrasser et m'a dit :
- Serre moi dans tes bras. Je suis folle de l'avoir fait, mais j'ai adoré.
Elle a senti que je bandais, à souris et a dit, moqueuse :
- On dirait que "cinq centimètre" a envie de ses 15 secondes de plaisir !
Elle m'a ensuite raconté : sans dire un mot il l'a mise nue. Elle l'a sucé avant qu'il ne sorte un préservatif puis la prenne debout. Son sexe était plus gros que le mien et l'a faite jouir plusieurs fois. Il a gardé son string en lui disant qu'il le lui rendrait plus tard. Un mec dont ma femme ne savait même pas le prénom venait de la baiser. J'étais cocu et très excités….
Peu avant l'arrivée à Paris, alors que nous étions à nos places, son amant fait signe à ma femme et va vers les WC. Ma femme hésite à peine avant de le suivre.
Lorsqu'elle revient je remarque que sa poitrine est libre sous le chemisier. Au lieu de lui rendre son string, il lui a confisqué son soutien gorge. Ma femme me racontera que son amant l'a de nouveau faite jouir avant de la sodomiser. Comme je ne l'ai jamais sodomisée, je suis un peu surpris :
- Tu l'as laissé t'enculer ?
- Il m'a tellement bien faite jouir, Je ne pouvais rien lui refuser.
Elle me dit, moqueuse :
- Toi tu pourras me sodomiser quand tu auras tenu 10 minutes dans mon sexe.
Arrivé à l'hôtel, elle m'a laissé lui faire l'amour. J'étais si excité que j'ai éjaculé en quelques secondes. Elle a rigolé et m'a dit :
- Dix secondes, tu t'améliores de jour en jour. Heureusement qu'il a su me baiser. Tu n'es pas prés de me sodomiser. Nettoie-moi avec ta langue maintenant !
Pendant que je nettoyais, elle me dit :
- Il sait le nom de notre hôtel et je lui ai donné mon numéro de téléphone.
Ces 4 jours commençaient bien !
Enfin cocu 02
Après cette baise rapide qui a encore une fois mis en évidence mes qualités d'éjaculateur précoce, ma femme me dit :
- Va rincer "5 centimètres" et revient ici, j'ai une surprise.
De retour de la salle de bain, je vois la cage de chasteté qu'elle me fait parfois porter, posée sur le lit. Elle sourit et me dit :
- Je l'ai prise avec sans être sur de te la faire porter, mais pour te punir d'éjaculer si vite, tu va passer le week-end avec.
J'ai obéis et enfilé la cage qu'elle a ensuite cadenassée, puis mis la clé à la chaînette qu'elle a autour du cou.
Elle s'est vêtue d'un pantacourt blanc, d'un débardeur assez sexy avec un décolleté en V qui attirait les regards. Dessous elle a enfilé un string et un soutien-gorge.
Nous sommes partis nous balader en ville, il était environ 15h00.
Ma femme a reçu un texto : "Il y a un bar sympa où je serai ce soir, si tu arrives à t'échapper de la surveillance de ton mari un moment tu peux m'y rejoindre. Ton amant du tgv"
Elle m'a fait taper la réponse : "pas de soucis pour mon cocu, il n'a rien à dire et il porte une cage de chasteté. J'essaierai de venir. Sylvie"
Il a répondu "heureux de connaître ton prénom, mais dorénavant j'aimerai que tu signes tes textos votre femelle". A plus. Ton amant du tgv"
Elle a répondu : "avec plaisir. Votre femelle"
Ce mec avait dû vraiment la faire bien jouir pour qu'elle, qui me disait ne pas être attirée par la soumission, obéisse si facilement, à moins que ce soit juste pour m'humilier un peu.
Le soir, après un repas dans une brasserie, nos deux garçons sont partis se balader de leur coté. Il faut dire qu'à 16 et 17 ans, ils n'avaient pas envie d'être avec leurs parents. J'ai donc amené ma femme dans le bar dont nous avait parlé son amant.
Elle l'a repéré à une table avec un jeune homme noir qui semblait assez sportif.
Son amant s'est levé pour embrasser ma femme. Il l'a enlacée et a pris directement sa bouche. D'abord surprise Sylvie s'est laissée faire et ils se sont roulé une pelle. Il a ensuite dit à son ami :
- Je te présente ma femelle et son cocu
Il invite ma femme à s'asseoir à coté de lui et dit hilare:
- Tu as mis une cage de chasteté à ton cocu?
- Oui, il a éjaculé en moins de dix secondes en essayant de me faire l'amour à l'hôtel alors je l'ai enfermé. Son sexe ne mérite pas mieux.
Les rires moqueurs m'ont fait rougir. Ils discutaient les trois, faisant souvent rire et un peu boire ma femme. J'appris que l'amant s'appelait Jérôme et son copain noir Mathieu.
A un moment Jérôme dit :
- Tu n'aurais pas du mettre de sous-vêtement, tu sais bien que je déteste ça! Va les enlever!
Étonnamment, ma femme a à peine hésité avant de partir en direction des toilettes. Elle est revenue un moment après ses seins libres dans son décolleté et sans string sous son pantacourt. Son amant lui dit :
- Donne-moi tes dessous
Gênée, elle regarde autour d'elle, puis sort discrètement son soutien-gorge et son string de son sac à main. C'est Mathieu qui les prend et les déplie devant lui et les commentant :
- Joli dentelle de bourgeoise! Des dessous rouges, ça fait pute, mais Jérôme a raison, tu es mieux sans rien!
Quelques têtes se sont tournées amusées. Sylvie voudrait pouvoir se cacher sous la table.
On a fini nos verres et ils ont décidé d'aller chez Jérôme en laissant les dessous de Sylvie sur la table. Je les suis portant le sac de ma femme.
Ils avaient les deux la main sur ses fesses pendant le trajet à pied. Dans le couloir de l'immeuble, Jérôme lui dit :
- Tu ne rentreras jamais autrement que nue dans mon appartement. Déshabille toi!
- Ici?
- Oui ici et dépêche-toi! Le cocu, tu te fous aussi à poil!
Nous nous sommes déshabillé. Ma cage de chasteté les a bien fait rire. Mathieu a doigté ma femme pendant que Jérôme ouvrait la porte.
Une fois dedans, ils m'ont demandé de leur servir à boire. Ils se sont aussi déshabillé. Tous les deux bandaient déjà. Jérôme a un sexe plus long et plus gros que le mien. Celui de Mathieu est encore plus impressionnant.
Quand je suis revenu avec une bouteille de vin, Sylvie, à genoux, suce Mathieu. Jérôme m'a fait asseoir sur une chaise dans le coin de la pièce et m'a attaché les mains dans le dos.
- Regarde bien l'horloge, tu me diras combien de temps on a limé ta pute. Ça lui changera de tes 10 secondes.
Il a ensuite demandé à Sylvie de se mettre à 4 pattes. Il lui a doigté l'anus puis a mis du gel, le préparant manifestement à une sodomie.
Il a ensuite mis un préservatif et l'a sodomisée. Ma femme, très "chienne" cambre les reins et suce le sexe noir avec un plaisir non dissimulé. Je ne l'ai jamais vue comme ça…
Aprés 15 minutes, ils ont décidé de faire une pose pour faire languir Sylvie. Ils ont trinqué, tous les trois assis dans le canapé. Leurs mains doigtent et pelotent Sylvie qui gémit de plaisir. Les salauds savent faire monter le plaisir de Sylvie qui commence à les supplier de la baiser. Mathieu lui dit :
- Montre-nous que tu es une bonne chienne, mets-toi à 4 pattes.
Elle obéit. Ils s'amusent à lui faire faire le tour de la pièce comme ça. Jérôme sort alors un collier composé de 4 bandes de cuir rattachées entre elles pas des anneaux métalliques. Il ferme le dernier anneau après l'avoir mis autour du cou.
- Ce collier à la particularité de ne pas pouvoir s'ouvrir. Tu le garderas tout ton séjour à Paris en signe de mon appartenance.
Elle proteste :
- Je ne peux pas me promener avec un collier de chienne dans la rue et surtout devant mes enfants.
Jérôme qui a réponse à tout dit :
- Il n'a pas l'allure d'un collier de chien et seul les initiés devineront que tu es une femelle soumise. Pour tes enfants, tu n'as qu'à leur dire qu'on t'a donné ça comme un porte-bonheur que tu dois garder tout le week-end.
Les yeux baissés, dans une attitude de parfaite soumise que je ne lui connaissais pas elle dit :
- Comme vous voulez Monsieur, je vous obéirai
Ils l'ont ensuite fait coucher sur le dos sur la table. Jérôme la prise assez violemment en baisant son vagin. Il l'a pilonnée pendant de longues minutes, la faisant jouir comme je n'avais jamais réussi à le faire. Il a ensuite été remplacé par Mathieu qui a continué à faire gémir et même crié de plaisir. Elle jouit sans discontinuer.
Alors qu'ils n'avaient toujours pas jouis, Mathieu se couche parterre en demandant à Sylvie de venir s'empaler sur lui. Jérôme vient alors la sodomiser. Prise ainsi en double, elle a encore jouis. Les deux compères ont éjaculé en même temps.
Alors que Sylvie affalée dans un canapé récupère, Jérôme lui palpe les seins en lui disant :
- Tu n'es plus de première fraîcheur, mais tu es une bonne pute. On va pourvoir faire quelque chose de toi.
Puis se tournant vers moi :
- Alors cocu, tu as vu ce que s'est de faire jouir ta femme. Je suis sur que tu ne l'as jamais fais crier comme ça!
Mon sexe comprimer dans sa cage n'avait pas pu bander, portant la scène m'avait beaucoup excité. Et comme chaque fois que je suis excité avec la cage, je mouille énormément, ce qui les a bien fait rire. Jérôme me demande:
- Alors tu as regardé combien de temps on l'a baisée?
- Oui, vous l'avez sodomisée 15 minutes, puis sur la table baisée de nouveau 10 minutes avant de finir avec 10 minutes dans son cul. Votre ami a été 15 minutes dans sa bouche, puis 20 minutes quand elle était sur la table et 10 minutes pour finir dans son vagin
- Tu la baises souvent ta femme?
- Une à deux fois par semaines
- Chaque fois en 10 secondes
C'est Sylvie qui a répondu :
- Non parfois ça dure un peu plus, en moyenne je dirais qu'il éjacule en 30 secondes
Il fait un petit calcul et me dit :
- Tu la baise environ 80 fois 30 secondes par année, ça fait 40 minutes. Aujourd'hui, Mathieu en est déjà à 45 minutes et moi, si on rajoute environ 20 minutes dans le train, j'en suis à 55 minutes. A ce rythme, dans très peu de temps tu ne seras plus qu'un pourcentage négligeable des pénétrations qu'aura connu son corps et même si vous êtes mariés depuis passé 20 ans!
Les deux garçons et ma femme ont ri. Jérôme dit à ma femme :
- Demain je travaille. J'espère que tu peux te libérer en fin de journée.
- Oui, dit-elle, nos enfants vont passer le reste du week-end avec des amis qu'ils ont ici à Paris. Je n'aurai donc plus de contrainte jusqu'à dimanche.
- Trouve-toi une tenue un peu plus sexy que ce que tu as mis ce soir, sous-vêtement interdits!
Mathieu dit :
- Je passe vers 11h à ton hôtel, débrouille-toi pour y être seule. Ton cocu a qu'à s'occuper de tes enfants.
Souriante, ma femme accepte. Ils me détachent et nous amènent dans le couloir ou ils roulent une pèle à ma femme avant de nous rendre nos habits.
De retour à l'hôtel, ma femme me demande si le spectacle m'a plu. Comme je lui avoue que oui et lui dit que je l'aime, elle le répond :
- Moi aussi je t'aime et j'avoue que je n'aurai jamais pensé prendre autant de plaisir de me faire enfiler par des inconnus. Si on continue ce petit jeu, je risque de devenir accro.
Je l'ai embrassée en lui disant :
- J'espère bien !
Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre

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