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Histoire culte du net. Auteur Inconnu. Nicky... Suite

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La suite des aventures de notre infirmière chérie
Chérie par pas mal de......

NICOLE
Épisode III
Nous étions allés passer quelques jours dans la famille près de Nantes et pour des raisons professionnelles j'avais été obligé d'avancer mon départ d'une semaine. Bien sûr en cette fin de mois de juillet pas de réservation possible et nous voilà vers 17h sur le quai de la gare de Nantes munis de deux billets de seconde classe.
Le train été bondé et nous parcourions le couloir des wagons à la recherche de deux places libres.
Au bout d'un certain temps j'aperçus un compartiment dans lequel se trouvaient quatre militaires , je m'adressais à eux pour leur demander si les deux places restantes étaient libres, Ils semblèrent hésiter mais finalement répondirent positivement à ma demande, je pense que la vue de mon épouse fit basculer leur décision dans le bon sens.
Nous prîmes dons place sur la banquette, face à face près de la portière, le train partit et au bout d'un moment la conversation s'engagea, les quatre jeunes gens faisaient leur service dans la marine à Toulon et rentraient de permission.
Dès que le train eut parcouru une centaine de Km vers le sud la température dans le compartiment s'éleva et mon épouse enleva la veste qu'elle avait mise pour se protéger du temps frais de Nantes Elle portait dessous un simple tee-shirt largement échancré et pas de soutien gorge comme elle en a l'habitude l'été .
Le léger tissu épousait la forme de ses seins soulignant la pointe de ses tétons. Je trouvais ma femme particulièrement désirable et je ne devais pas être le seul au vu des regards en coin que lui jetaient les autres passagers.
Un des jeunes gens proposa une partie de belote à ses compagnons mais celui assis à côté de ma femme déclina la proposition, ils me proposèrent de jouer, mais n'étant pas un fanatique des jeux de cartes je laissais jouer Nicky qui adore la belote.
Nicole changea donc de place avec son voisin et se retrouva assise au milieu de la banquette.
La partie commença la table été composée d'une valise mise à plat au sol et Nicky devait se pencher en avant chaque fois qu'elle avait à ramasser les cartes.
Dans ce mouvement son tee-shirt s'écartait et je pouvais voir ses seins par l'échancrure du vêtement.
Je n'étais pas le seul car dès qu'elle se baissait mes voisins fixaient leurs yeux sur les seins de mon épouse, son partenaire ayant renoncé à ramasser les cartes pour pouvoir apprécier le spectacle le plus souvent possible.
La partie avait d'ailleurs perdue tout intérêt, les trois hommes était obnubilés par la poitrine de Nicky tandis que ma femme qui s'était aperçue du manège sentait une certaine excitation la gagner.
La connaissant bien je m'en étais aperçu en voyant les mouvements de sa respiration s'accélérer et les mouvements de sa poitrines prendre de l'amplitude.
Entre temps la nuit ‚était tombée et la partie s'arrêta. Je m'adossais dans l'angle de la paroi en fermant les yeux comme pour dormir mais je les gardais légèrement entrouverts pour voir ce qui pourrait bien se passer. Nicole avait fait comme moi et au bout d'un moment donnait l'impression de dormir.
Ma femme été assise le dos appuyé sur la banquette ,les jambes à moitié écartées et sa robe avait glissé largement dénudant une grande partie de ses cuisses ce qui ne devait pas être accidentel.
Les quatre militaires ne dormaient pas et faisaient des gestes obscènes en montrant ma femme, gestes sans ambiguïté sur ce qu'ils avaient envie de faire.
Au bout d'un moment celui à côté de la fenêtre posa un doigt sur l'ourlet de la robe de Nicky et très lentement commença à la remonter, ce qui découvrait progressivement sa culotte. Mon épouse porte l'été des slips très larges ce qui fait que je pouvais apercevoir les poils de sa chatte.
Mon voisin fit un signe à son collègue qui cette fois posa son index sur le bord de la culotte et la poussa tout doucement sur le côté dévoilant la minette de mon épouse. Nicole ne pouvait pas ne pas sentir ce qu'on lui faisait mais les yeux fermés, était toujours plongée dans son sommeil qui devait ressembler au mien.
Les quatre soldats murmuraient des commentaires salaces tels qu'on peut les exprimer à cet âge, et avaient pratiquement oublié ma présence ce qui me permettait d'observer sans trop de difficultés.
Le garçon près de la fenêtre encouragés par les autres, effleura alors la chatte de mon épouse puis accentuant sa pression se mit à le promener le long du sillon bien visible au milieu de la toison châtain. Nicky exhala un soupir et écarta ses jambes encore plus.
L'homme ne s'y trompant pas prit cela comme un encouragement et appuya plus fermement son index et son majeur à l'entrée du sexe exposé à la vue de ses camarades. Les lèvres s'écartèrent alors et les doigts s'enfoncèrent dans la grotte de ma cochonne d'épouse.
Le militaire assit à sa gauche s'était mis lui aussi de la partie et avait fait glisser le tee-shirt sur une épaule dénudant à moitié un des seins et commençant à le peloter. A ce stade là Nicky ne pouvait plus faire semblant de dormir, elle ouvrit les yeux et leur sourit.
Alors les choses s'accélérèrent.
Le gars qui branlait la chatte de mon épouse saisit sa culotte et la lui arracha littéralement, voyant cela, celui qui lui caressait les seins releva le tee-shirt et le fit glisser par dessus la tête de Nicole, la scène ‚était d'un érotisme torride et je bandais comme un fou , je n'étais pas le seul dans ce cas là car les deux militaires assis face à ma femme commencèrent à la caresser eux aussi.
J'avais envie de participer moi aussi mais j'arrivais encore à me maîtriser et dans un dernier réflexe raisonnable je fermais le verrou de la porte du compartiment.
Nicky embrassait à tour de rôle sur la bouche les gars à côté d'elle tandis que quatre paires de mains parcouraient son corps, sa moule ses cuisses son ventre ses seins , ses longs cheveux, son clitoris .
Nicky s'offrait sans retenue mais sans rester inactive car elle avait défait la braguette d'un des gars et le branlait.
Le militaire assis en face de ma femme se leva abaissa son pantalon et son slip , il s'accroupit et présenta son membre à l'entrée de la pachole juteuse. Il appuya et s'enfonça lentement dans les profondeurs humides. Nicky gémit et pour faciliter la pénétration fit glisser ses fesses sur la banquette en remontant ses jambes vers le haut.
Alors dans un bel ensemble les trois autres se déshabillèrent.
Ma femme prit alors dans sa bouche le zob le plus près de son visage pendant qu'elle se faisait tringler. Elle avait à peine pompé trois fois le sexe rigide qu'il explosa dans sa bouche à long jets chauds et onctueux. Nicky avait du mal à avaler tout ce foutre venant d'un homme dans la force de l'âge et ayant fait abstinence pendant six mois.
Presque en même temps celui qui la baisait éjacula dans sa chatte sans retenue. Les deux garçons cédèrent aussitôt leur place à leur compagnons en les encourageant:
- Allez y elle bonne elle a une chatte divine elle m'a fait jouir tout de suite
- Elle suce comme une professionnelle
Il n'avait certainement pas pu apprécier tout le talent de pipeuse de mon épouse vu la vitesse avec la qu'elle il avait joui. Un deuxième membre s'enfonça donc dans la fente avec un bruit de gargouillis tandis que la bouche de ma femme accueillait une nouvelle queue. Les deux garçons étaient si excités qu'il jouirent instantanément. Cette fois Nicky ne put avaler tout ce sperme qui se mit à couler lentement sur son menton ,le long se son cou et jusqu'à ses seins.
En même temps du foutre s'écoulait de sa chatte mouillant la banquette du compartiment.
Nicky s'essuya avec son tee-shirt, elle n'avait pas eu le temps de prendre son pied et se mit à dire: -Oh baisez moi encore tout les quatre, défoncez moi la chatte, je veux vos bites, faites-moi jouir.
J'étais comblé au delà de toute espérance, Nicky m'avait bien raconté ses aventures, je l'avais aperçue se faire prendre par Pierre et Robert dans le bungalow mais là de la voir à moitié déshabillée au milieu de ces quatre mâles en rut m'excitait tellement que j'ai failli décharger tout seul dans mon pantalon.
Le militaire continuait à s'occuper de ma dulcinée, il lui avait enlevé sa robe et fait mettre à quatre pattes sur la banquette. Le premier qu'elle avait sucé la prenait en levrette tandis que l'autre se faisait tailler une pipe à son tour. Le troisième avait glissé sa tête sous la poitrine de mon épouse et lui léchait la pointe des seins tandis que le dernier s'occupait de son cul caressant les fesses et enfonçant de temps à autre un doigt dans la rondelle.
Malgré la bite qui lui emplissait la bouche, Nicky laissait échapper des grognements et soupirs qui nous en disait long sur le pied qu'elle était en train de prendre. Le compartiment était rempli de gémissements de halètements d'exclamations de jouissances du bruit de la bite entrant et sortant de la moule pleine de foutre et du jus intime de la femelle. Heureusement le bruit du convoi couvrait toutes ses sonorités qui ne devaient pas être entendues du couloir.
Le train poursuivait sa route, s'arrêtant successivement dans les différentes gares, de temps en temps quelqu'un frappait bien à la porte du compartiment mais cela ne perturbait pas les participants à l'orgie entrain de se dérouler sous mes yeux. Heureusement que le contrôleur était passé avant le début de cette fête charnelle.
Les jeunes gens en même temps qu'ils s'occupaient de mon épouse s'exclamaient:
-Oh que c'est bon , je n'ai jamais été sucé comme ça elle a une langue!!! je vais pas tarder à lui balancer ma crème dans la bouche
- Tu as raison et sa chatte je me régale, ça glisse tout seul
- Et son cul au fur et à meure que je lui met le doigt il s'élargit; je la prépare bien et tout à l'heure je l'encule, je suis sûr qu'elle adore ça.
Seul le quatrième ne disait rien la bouche pleine des nichons de ma femme; Puis pour la troisième fois Nicky se prit dans la bouche la semence qu'elle put à nouveau avaler complètement, ce soir elle avait assez de vitamines même sans avoir dîner. Puis relâchant le sexe elle se mit à extérioriser sa jouissance,
- AAAAH je jouis sans arrêt plus vite plus vite, oui tes doigts dans mon cul, que c'est bon, suce moi les seins oui comme ça bien les tétons encore ne vous arrêtez pas
Celui qui la baisait explosa à son tour dans un cri de jouissance qui cette fois avait du franchir les parois du compartiment mais qui n'entraîna aucune réaction des autres passagers, heureusement d'ailleurs.
Le militaire qui doigtait le cul de Nicky confirmant ses paroles passa derrière Nicole et mit son zob à l'entrée de son trou du cul. Il était bien plus gros qu'un doigt et il dû appuyer fortement pour s'enfoncer dans l'anus .
Je regardais la scène et je voyais la rondelle de mon épouse s'ouvrir et le membre s'enfoncer lentement jusqu'à ce que les couilles de l'homme viennent buter contre les fesses . Puis le jeune militaire se mit à lui tringler le cul. Ma femme ne disait plus rien car elle avait à nouveau une bite dans la bouche et s'activait à la pomper.
Celui qui l'enculait poussa un gémissement et dit:
-Putain elle me serre trop je jouis , elle en prend plein le cul
Il se retira alors , je n'y tenais plus , j'enlevais mon pantalon et mon slip et m'approchais de mon épouse. Elle me présentait sa croupe et je voyais sa chatte et son cul grand ouvert, avec du foutre à ras de la rondelle et les poils du pubis collés par la gelée.
J'ai pris ses hanches à pleines mains et mon sexe a trouvé tout seul une ouverture dans laquelle il s'est enfoncé, j'ai cru d'abord que c'était sa chatte tellement s'était ouvert et humide , mais j'ai vite compris que c'était son cul que j'étais en train de limer.
Nicky continuait à sucer le concombre , je voyais le va et vient de sa bouche qui s'activait sur la hampe raide ce qui ne pouvait qu'accroître mon excitation. D'ailleurs après être rentré et sorti une dizaine de fois de l'anus béant j'ai perdu tout contrôle et je balançais mon foutre dans le cul et sur les fesses de Nicole.
Alors je suis resté immobile mon aubergine enserrée dans ce cul que j'adore et regardant comme les autres mon épouse recevoir pour la quatrième fois la chantilly d'un homme et l'avaler avec délectation.
Nicole alors se releva essuya le liquide qui lui coulait entre les jambes et s'assit sur la banquette.
Quand elle me vit nu comme les autres elle me sourit et me dit:
- Tu t'es mis de la partie toi aussi
- Et comment qu'il s'y est mit il t'a même défoncé le cul , mais il doit avoir l'habitude avec une cochonne comme toi il ne doit pas s'ennuyer ton mari.
A ce moment là un des militaires s'allongea sur la banquette et appela Nicole,
- Viens ,viens ici j'ai encore une belle pine bien raide pour toi...
Ma femme sans se faire prier enjamba le gros saucisson et se l'enfila dans sa cramouille en riant et en présentant ses petits melons à lécher à la bouche gourmande de l'étalon qui la pénétrait.
Dans ce mouvement elle se cambra présentant sa croupe à notre vue ou au dessus de la chatte bien pleine se voyait sa rondelle accueillante qui le resta pas longtemps car le plus âgée des quatres troufions grimpa à son tour sur la banquette et enfila sa bite dans le cul. Les deux hommes commencèrent à la ramoner, ma femme accompagnant leurs coups de boutoir par des mouvements de reins.
Le spectacle de ma femme prise en sandwich, en train de se faire défoncer ,ses seins remuant en cadence avec le va et vient des queues ,ses longs cheveux défaits encadrant son visage juvénile ,ne pouvait que nous redonner l'énergie nécessaire à une nouvelle baise.
Je m'approchais avec un des militaire de Nicky jusqu'à ce que nos bites touchent son visage, alors elle commença à nous sucer à tour de rôle. Le dernier des quatre soldats se branlait lentement en attendant son tour. A part moi et ma femme qui avait eu de multiples orgasmes, ils avaient tous joui deux fois.
Ils se contrôlaient beaucoup mieux et la séance de baise durait beaucoup plus longtemps. Par contre, j'avais encore du mal à me retenir et chaque fois que Nicky me suçait j'étais tout près de prendre mon pied.
Ce qui arriva quand ma femme pressa un peu trop fort ses lèvres sur mon gland, elle sentit que j'allais jouir et relâcha mon concombre pour avaler celui du militaire , mais trop tard sans pouvoir me retenir je lâchais mon foutre par grandes giclées dans les cheveux sur les joues et l'épaule de ma compagne.
J'allais m'asseoir dans mon coin ressentant subitement la fatigue de la nuit et je regardais l'heure c'était 4 heure du matin. Les quatre troufions continuaient infatigables à baiser Nicole par tous les trous lui faisant éprouver orgasme sur orgasme et l'inondant de leur foutre épais Alors le militaire qui enculait Nicky retira son zob avec un grand bruit de succion.
Ma femme se releva alors et très lentement relâcha la bitte qui lui remplissait la moule. Ma femme s'essuya à nouveau avec son tee-shirt remis sa robe et enfila un tricot propre qu'elle avait dans sa valise. Sa culotte était irrécupérable souillée déchirée et elle du se résoudre à rester nue sous sa robe ce qui ne lui posait pas de problème en réalité.
Entre temps le train avait dépassé la Ciotat et les militaires n'eurent que le temps de se rhabiller et de préparer leurs affaires avant d'entrer en gare de Toulon. Ils embrassèrent ma femme, me serrèrent la main et nous quittèrent comme si tout ce qui s'était passé était naturel ce qui m'étonna beaucoup.
Je restais seul avec mon épouse qui s'endormit , je la regardais dormir son visage juvénile ne laissait rien paraître de la folle nuit passée et si ce n'était les traces de sperme encore perceptibles sur son épaule et son genou on aurait pu croire que rien ne s'était passé.
Le train arriva à Nice et nous regagnâmes notre logis, les vacances étaient finies et la vie courante allait reprendre ses droits
…..................................
Peu de temps après j'obtins une promotion à l'agence de Toulouse et nous dûmes préparer notre déménagement d'une manière précipitée. Au milieu des préparatifs pour comble de malchance Nicky se fit emboutir sa voiture qui se trouva hors d'usage.
Le jour du déménagement j'avais chargé mon break d'affaires que je devais déposer à notre résidence secondaire, l'appartement que nous avions loué étant nettement plus petit que celui d'Antibes. Nicky devait elle prendre le train pour attendre les déménageurs.
Or des perturbations dans le trafic ferroviaire ne lui permettait pas d'arriver avant le camion et nous étions dans l'embarras quand un des camionneurs proposa à ma femme de l'emmener étant donné que seulement le chauffeur et un employé faisaient le voyage. Cette solution était la plus approprié à la situation on accepta sans hésitation. Les meubles chargés Nicole pris place dans la cabine entre le chauffeur et l'autre déménageur pour des raisons de sécurité affirmèrent t'ils et le camion démarra.
Après l'échange de quelques banalités les deux hommes commencèrent à draguer ma femme plus ou moins finement :
- On a pas l'habitude de transporter de si belles femmes pas vrai Polo
- C'est sûr Madame est vraiment bien roulée, je me sens tout troublé de l'avoir à côté de moi , .
- Hé Maurice regarde la route, la dame a des belles jambes mais ce n'est pas une raison pour se planter .
- Polo reluque pas ses nichons comme ça, tu as les yeux qui te sortent de la tête
- M'en parle pas Maurice, je suis sûr qu'on doit en avoir plein les mains, en plus face est encore mieux que pile, je regardais son cul quand elle est montée dans le camion aie aie aie.
Ma femme ne disait rien mais les plaisanteries des deux camionneurs l'amusaient beaucoup.
Les deux hommes n'étaient ni très beaux avec leur embonpoint, ni très jeunes, et dégageaient une forte odeur de mâle et de sueur dans l'espace confiné de la cabine.
Nicky avait ôté son manteau étant donné la chaleur qui régnait dans l'habitacle et ne portait plus qu'une chemisette à manches longues, une petite jupe courte et serrée par dessus des collants noirs.
Ses seins emprisonnés dans un soutien gorge blanc pointait à travers le fin tissu de la chemisette et attiraient incontestablement les regards des deux hommes. La tenue de ma femme n'était vraiment pas adaptée à ce voyage en camion mais plutôt au wagon de première qu'elle aurait du prendre.
Le dénommé Polo assit à sa droite s'était poussé vers elle et plaquait sa cuisse contre la sienne, Nicky pour éviter ce contact s'était elle aussi déplacée vers la droite et de ce fait se retrouvait serrée entre les deux hommes ayant ses deux cuisses contre celle des deux camionneurs. Dans ces mouvements sa jupe était remontée et dévoilait une fine bande de peau entre la jupe et la naissance des collants. Le spectacle était particulièrement excitant et Polo ni tenant plus posa sa main sur la cuisse de mon épouse. Nicky ôta la main de l'homme en disant :
-Laissez-moi tranquille , ne me touchez plus
La rebuffade de mon épouse loin de décourager l'homme l'excita davantage et il posa à nouveau ses mains sur les cuisses de ma femme en tentant de les écarter. Nicky tentait de se protéger en serrant les jambes et en repoussant les mains de l'homme mais à ce moment là elle s'aperçut que le camion quittait l'autoroute et s'engageait sur une aire de repos.
Le camion s'arrêta dans un coin isolé, et elle vit Maurice le chauffeur tirer les rideaux de la cabine de son côté, Polo en fit de même et la cabine se retrouva dans la pénombre. Alors les deux hommes commencèrent à lui mettre les mains partout.
Les pressions de la chemisette cédèrent dévoilant les seins de Nicky dont le soutien gorge s'arrêtait au ras des tétons. Maurice fit glisser le soutien gorge vers le bas dénudant la poitrine de ma femme et saisit les seins à pleine mains. Polo avait réussit à glisser sa main entre les cuisses de ma femme remontant la jupe au niveau du nombril et s'évertuait à tenter d'arracher sa culotte. Il y arriva assez facilement le fin tissu ne tardant pas à céder sous la poigne vigoureuse du camionneur.
La vue de la chatte dénudée accentua le désir des deux hommes, Maurice se pencha en avant et prit à pleine bouche l'un des seins de ma femme tandis qu'il pelotait l'autre. Polo passait ses doigts sur les lèvres du sexe de mon épouse en essayant d'enfoncer ses doigts dans la moule.
Ma femme avait cessé de se débattre et malgré elle ces attouchements commençait à l'exciter.
Sans qu'elle puisse rien y faire sa chatte s'ouvrait et sécrétait un liquide de plus en plus abondant tandis que la pointe de ses seins durcissait. Polo réussit alors à enfoncer un puis très facilement deux et trois doigts dans la pacholle alors il dit:
- Putain Maurice elle est prête, elle mouille la garce, je vais pouvoir l'enfiler
-Te gêne pas pour moi Polo ,je lui réserve un sucre d'orge , je crois qu'elle n'en a jamais goûter d'aussi gros,
En même temps qu'il prononçait ces paroles les deux hommes avaient dégrafé leur pantalon et sorti leur pine dont l'érection en disait long sur leur excitation . Si celle de Polo était d'une taille normale, effectivement celle de Maurice était vraiment très grosse et quand il prit la tête de ma femme entre ses mains pour la lui abaisser vers sa pine et se faire sucer, Nicky en avait vraiment plein la bouche.
Polo, avait soulevé la jambe droite de ma femme, dont il avait reposé le pied sur le tableau de bord et après quelques acrobaties avait réussit à enfiler son membre dans la fente de sa passagère et la limait vigoureusement.
Nicky commençait vraiment à apprécier l'insolite de la situation, cette queue qui lui ramonait sa chatte tandis que les rudes mains des camionneurs caressaient son corps et malaxaient ses seins lui procurant de nouvelles sensations. Elle appréciait aussi cette énorme aubergine qu'elle pouvait tenir à pleines mains avec sa fève gonflée que ses lèvres et sa langue pressait et caressait.
Sa bouche commença s'activer de manière de plus en plus experte léchant, suçant avalant léchant pressant, engloutissant, tandis que sa main dont les doigts ne faisait pas le tour complet du membre le branlait lentement arrachant des exclamations à son possesseur.
- Putain Polo elle suce comme une pro, elle a une langue je te dis pas je vais pas tenir longtemps je vais gicler dans sa bouche elle va se régaler, comme apéro y a pas meilleur
-et sa chatte Maurice j'en n'ai jamais baisé une si bonne en plus elle remue le cul
- ça y est ça vient je jouis j'explose
Effectivement le foutre de l'homme jaillit dans la bouche de mon épouse et elle n'aurait pas cru qu'elle prendrait autant de plaisir à le sentir couler sur sa langue, dans sa gorge, mouiller ses lèvres, remplir sa bouche d'une crème onctueuse, Maurice avait raison c'était le meilleur apéro.
Tandis qu'elle finissait de lécher les dernières gouttes de foutre sur le gland de Maurice, elle sentit le va et vient de Polo s'accélérer, elle se cambra au maximum pour faciliter la pénétration de l'homme et sentir le membre au plus profond d'elle .
Des vagues de plaisir commençaient à l'envahir mais l'homme poussa deux ou trois grognements et déversa sa semence dans la grotte accueillante sans se soucier du plaisir de Nicky qui se retrouva complètement frustrée à la limite de l'orgasme.
Le camionneur se retira et rajusta son pantalon. Nicky s'occupait toujours du sexe de Maurice qui n'avait pratiquement pas débander et qui apostropha son collègue.
- Polo vient prendre le volant on est en retard, je vais m'occuper encore un peu de Madame.
Polo sortit du camion pour faire le tour de l'habitacle et remonter par la portière gauche, Maurice et mon épouse s'étaient glissés vers la droite pour libérer la place du chauffeur. Maurice s'installa confortablement sur le siège et saisit ma femme par les hanches:
-Viens ici ma poule je n'ai pas fini avec toi
Il souleva ma femme et l'installa sur ses genoux, Nicky, dans le même mouvement avait prit sa bite à pleines mains et l'avait guidée entre les lèvres de sa fente et quand l'homme la reposa, son vier écarta les parois de la moule complètement lubrifiées par le coït précédent et le foutre qui la remplissait et s'enfonça au plus profond de son vagin.
Ma femme exhala un grand soupir de satisfaction en sentant cet énorme engin la défoncer tandis que sa chatte épousait et enveloppait parfaitement le gros concombre Le camion était reparti et les vibrations de l'engin se transmettaient à la pine qui se comportait comme un gros vibro masseur vivant, arrachant des gémissement de plaisir à Nicky.
De temps en temps un autre camion doublait le véhicule suivi, d'un long coup de Klaxon, indiquant que le chauffeur avait certainement vu ma femme, ses beaux seins à l'air, le visage en extase, en train de se faire baiser assise sur les genoux de Maurice.
Nicky se mit à se relever ne gardant que le gland à l'entrée de sa cramouille, puis s'abaisser enfilant toute la queue dans la chaleur de son intimité. Elle avait pris le contrôle de la situation, bougeant avec lenteur, laissant son plaisir croître lentement. Maurice grognait et avait enfouit sa tête dans la chevelure de mon épouse tandis que ses deux mains enveloppaient ses seins et en titillaient la pointe.
Polo tout en conduisant jetait un oeil de temps en temps sur le côté s'exclamant/
- Oh Maurice je t'entends plus, arrête de presser ses nichons tu vas faire sortir du lait, elle prend son pied la dame vas y et dépêche toi j'ai mon zob c'est une vrai barre de fer, oueh elle jouit la salope En effet Nicky au bord de l'orgasme avait accéléré ses mouvements et s'était mis à gémir tandis que la jouissance envahissant tout son corps la laissa retomber pantelante sur les genoux de Maurice.
Nicole les yeux fermés se reposait et sa chatte commença à se resserrer sur le vier qu'elle emprisonnait. Cet étui brûlant qui se refermait sur sa verge accentua le plaisir de Maurice qui à son tour jouit balançant de grandes giclées de foutre au fond du con de sa passagère.
Nicole en sentant le foutre chaud jaillir poussa un soupir de satisfaction, elle n'aurait pas cru prendre autant de plaisir dans ce voyage avec ces deux rustres et elle se disait que cette expérience lui ouvrait des horizons nouveaux.
Absorbée dans ses pensées la tête appuyée sur l'épaule de Maurice, les cuisses toujours écartées elle sentait la queue débander lentement laissant la place à la semence pour s'écouler lentement sur ses cuisses et sur les couilles du camionneur. Polo prit alors la parole:
- Oh à moi maintenant, viens me sucer allez te fais pas prier, tu aimes ça tu nous a fait une démonstration tout à l'heure;
Maurice fit alors se pencher ma femme vers la pine de Polo qui s'était dégrafé le pantalon. Nicole la prit dans sa bouche et se retrouva la tête coincée ente le volant et le ventre proéminent du chauffeur.
Pour se dégager elle tourna sur elle même chassant avec un grand bruit de succion le membre de Maurice hors de son vagin. Alors sans cesser de pomper, elle se mit à genoux sur le siège les fesses reposant sur ses cuisses et exposant son cul et son intimité à la vue de Maurice.
Celui ci enfonça ses doigts dans la chatte dilatée faisant ressortir le reste de crème qui la remplissait et qui s'écoula sur les poils du pubis de ma femme. Il la branla deux ou trois fois puis les ressortit pour essayer de les mettre dans son cul.
Sa tentative fut vite couronnée de succès car il y a longtemps que le cul de ma femme n'était plus vierge et comme il hésitait un peu de peur de déchirer l'anneau qui cerclait ses doigt, ma femme arrêta un instant sa pipe pour l'encourager:
- Vas-y enfonce tes doigts oh oui, branle moi le cul, j'adore, mets ton autre main dans ma chatte c'est çà, fais-moi jouir !!!!!!!!!!!!!
Le reste de ses paroles se perdirent dans un gargouillement car Polo avait enfilé sa queue impatiemment dans sa bouche et si profondément que ses couilles butaient contre le menton de la passagère. Nicky se mit alors à engloutir goulûment le concombre au rythme des doigts qui lui limaient la pacholle et le cul.
Maurice en même temps qui le branlait se mit à pincer son clitoris entre le pouce et l'index, cette dernière caresse eut pour effet de déclencher de nouvelles jouissances chez Nicole.
Polo gagné par l'extrême excitation de la femme, explosa à son tour et pour la deuxième fois de la journée Nicole eut droit à une bonne ration de gelée blanche qu'elle dut avaler à nouveau, non sans que quelques giclées se répandent sur ses seins quand la bouche pleine elle dut relâcher la lance du mâle.
Elle se redressa alors et s'aperçut qu'ils n'étaient plus qu'à quelques kilomètres de leur destination , et que le camion ralentissait , le péage ne se trouvant plus qu'à quelques centaines de mètres.
Nicole n'eut que le temps de rajuster son soutien gorge, agrafer sa chemisette et rabattre sa jupe avant que le camion ne stoppe devant la guérite du préposé.
Quand le camion redémarra, elle ramassa sa culotte mais ne put la remettre , Maurice l'ayant carrément fendue en deux. La circulation étant fluide et notre nouvelle résidence dans les quartiers Est de Toulouse, le véhicule s'arrêta 10 minutes après devant l'entrée du pavillon.
L'équipe de manutentionnaires était déjà là , ma femme leur ouvrit la porte et se précipita à la salle de bain pour faire un peu de toilette.
J'arrivai quelques minutes après, je déchargeais la voiture de nos affaires personnelles, et Nicole se changea aussitôt sa tenue étant complètement froissée pour des raisons que j'ignorais encore.
Les déménageurs étaient nombreux et il ne leurs fallut pas plus d'une heure pour décharger et mettre en place notre mobilier et ils prirent congé non sans que Maurice discrètement, avec un sourire salace glissa dans l'oreille de Nicky:
-A votre disposition Madame, mon camion est à votre service et son personnel aussi, si tu veux te faire tringler appelle nous, on se fera pas prier pour te le mettre partout ou tu voudras;.
Avec Nicole nous avons rangé jusqu'à huit heure puis, après une bonne douche, je lui proposais d'aller au restaurant.
Je l'amenais dans un petit établissement du centre de Toulouse, et nous nous installâmes un peu à l'écart des autres consommateurs. Au milieu du repas, elle me dit:
- Au fait le voyage n'a pas été de tout repos,
Et elle me raconta ses aventures dans le camion telles que je vous les ai décrites avec force détails et exclamations qu'il ne m'a pas été possible de traduire en mots.
Je l'écoutais captivé par le récit, une trique dans le pantalon qui me faisait mal tellement elle était dure, n'ayant plus qu'une chose en tête retourner à la maison.
Je n'avais plus été excité comme cela depuis ce fameux voyage en train, notre vie sexuelle ayant été bien monotone depuis trois mois et enfin je retrouvais le piment de notre vie à Antibes.
Le repas touchant à sa fin je m'empressais de régler l'addition et je ramenais Nicole à la maison.
Je l'entraînais aussitôt dans la chambre et je la baisais de toutes les façons possibles jusqu'à ce que mon sexe complètement vidé n'arrive plus à se dresser malgré les gâteries de ma femme.
Avant de m'endormir je lui murmurais: .
- J'adore que tu me racontes tes aventures, elles m'excitent, elles me font bander ,mais j'aimerais te regarder pendant que tu fais l'amour avec d'autres et même participer comme dans le train.
- Je suis d'accord mais comment faire,
Je vais y réfléchir en tout cas si tu as de nouvelles occasions n'hésite pas et surtout raconte le moi comme aujourd'hui . Le lendemain je pris mes fonctions comme adjoint au chef d'agence, tandis que Nicole retrouvait un poste de Puéricultrice de nuit dans une clinique privée.
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Mon nouveau poste me prenait énormément de temps, d'énergie, occupait mes pensées et mes loisirs faisant passer au second plan mes envies de sexe et mes perversions. Pendant les trois mois qui précédèrent le début de l'été je baisais ma femme une dizaine de fois la laissant sur sa faim.
L'été arriva et Nicky continuait à occuper un poste de nuit rentrant à la maison un jour sur trois à 7h du matin L'après-midi Nicky s'allongeait sur une chaise longue dans le jardin vêtue seulement d'un bas de maillot pour se reposer et se faire bronzer.
Notre jardin était séparé de celui d'à côté par une haie assez haute et Nicole pouvait entendre le fils du voisin et ses copains chahuter et se baigner dans leur piscine. Au bout de quelques jours quand elle arrivait les garçons disparaissaient dans la maison.
Nicky n'y prêtait pas attention jusqu'au jour où son attention fut attirée par des chuchotements en provenance de la maison d'à côté. Elle leva la tête et s'aperçut que les 3 jeunes gens la mataient à travers les volets à demi fermés.
Ma femme se leva, s'étira pour bien mettre en valeur ses seins, enleva son maillot et s'allongeât à nouveau en écartant bien les jambes pour que les garçons puissent apercevoir sa chatte.
Elle s'exhiba ainsi un moment puis glissa sa main entre ses cuisses et se caressa le clitoris un instant.
Elle imaginait la trique des garçons qui aux premières loges ne la quittaient pas des yeux et cela l'excitait profondément Elle se retourna et exposa son cul prenant bien soin de garder les jambes bien écartées pour ne rien dissimuler de son anatomie. A ce moment là ,la voiture des parents entra dans le jardin et Nicky se releva et regagnât l'intérieur de la maison , les trois voyeurs ayant dû abandonner leur poste d'observation.
Le soir je rentrais assez tard du boulot et ma femme était déjà partie à son travail, déjà trois jours que ce cas de figure se produisait et je commençais à culpabiliser de la négliger à ce point.
Le lendemain matin Nicky s'était arrêtée faire les courses de la semaine avant de retourner à la maison. Le coffre était plein elle se gara devant la maison et commença à décharger. Le jeune voisin bricolait sa moto devant sa porte et proposa à mon épouse de l'aider. Celle ci trouvant l'occasion rêvée s'empressa d'accepter son offre.
Le coffre vide, Daniel voulut prendre congé mais mon épouse lui dit:
- Attends tu as été super sympa je vais faire un café, on va le prendre ensemble, assied toi là
Puis elle le laissa , se rendit dans la cuisine, mit le café en route et dit à nouveau:
- Je vais me changer tu peux surveiller le café pendant ce temps
Daniel se rendit dans la cuisine tandis que mon épouse se déshabillait, et se mettait simplement un tricot sur ses seins nus et un petit maillot qui mettait en valeur son cul d'une façon fantastique. Elle rejoignit Daniel dans la cuisine, prit la cafetière et deux tasses et le précéda dans le salon. Il doit avoir ses yeux fixés sur mon cul pensait d'elle.
Ils s'assirent face à face, Nicky servit le café et ils se mirent à discuter . Elle apprit que lui et ses deux camarades faisaient du rugby et Nicole n'en fut pas étonné vu la taille et la musculature des jeunes gens.
Pendant qu'il parlait Nicole écartait les jambes, mettait ses seins en valeur, se levait pour aller prendre un objet dans la cuisine afin de bien montrer à nouveau son cul.
Daniel avait fini son café et n'avait manifestement pas envie de partir, Nicky, le resservit alors et quand elle se pencha sur la tasse, elle aperçut une gosse bosse dans le pantalon du garçon, ce qui prouvait que ses efforts étaient loin d'être vains.
Daniel avait fini pour la deuxième fois son café quand Nicole lui demanda:
- Tu peux m'aider à déplacer un guéridon, il n'est pas très lourd mais à deux je suis sûre de ne rien casser.
Bien sur Daniel était d'accord et elle l'amena dans la chambre. Il déplacèrent le guéridon de 50cm, alors, ma femme enleva son tee shirt, puis dans la foulée sa culotte et dit:
- Regarde maintenant de près, ça te plaît c'est mieux que de derrière les volets, tu peux même toucher.
Puis elle avança d'un pas et se colla contre le jeune homme, dégrafa sa chemise et commença à lui embrasser et lécher la poitrine, et à lui caresser le dos, elle sentait contre elle le garçon tremblait et vibrer tandis que sa bite gonflait contre son ventre.
Ma femme lui abaissa le short et le slip, se redressa sur la pointe des pieds pour la glisser entre ses jambes et l'embrassa sur la bouche.
Sa langue s'enroulait autour de celle de son partenaire, puis elle la prenait entre ses lèvres pour la sucer tandis qu'elle aspirait la salive du jeune homme. En même temps à cheval sur la trique elle frottait son clitoris d'un lent va et vient en ayant l'impression qu'elle allait être soulevée.
Subitement, elle sentit ses jambes se mouiller.
Daniel venait d'éjaculer mouillant les cuisses de mon épouse mais surtout répandant sa semence 2 mètres plus loin sur le guéridon qu'ils avaient déplacé. Le garçon poussa un "merde" confus, ma femme lui sourit et dit "ce n'est rien".
Elle mit son doigt dans le foutre chaud, le porta à sa bouche et dit
-hum c'est bon, allonge toi sur le lit
Daniel s'allongea, Nicky se pencha vers lui et prit sa pine dans la bouche. Elle n'eut pas à sucer longtemps pour la raidir et la durcir arrachant des gémissements au garçon dont c'était la première fellation. Nicky s'arrêta très vite de sucer et elle vint s'asseoir sur le vier.
A suivre bien sur....

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