Fantasmes de femmes
Enfin... J'espère pour elles
Quand on étouffe chez soi autant prendre l’air…
Une fille de mon âge devrait savoir profiter d’avantage de la vie.
C’est ce que je me dis en franchissant la porte de chez moi ce jour là, mon petit ami gentiment endormi sur le canapé après un dvd vu et revu. Je manquais de tout, de force , de domination de brutalité de testostérone et d’adrénaline. Mon fantasme de ces derniers temps bien trop présent pour que je n’accède pas à la demande de mon corps.
Je suis partie sans rien dire, j’ai pris ma voiture habillée d’une petite robe, et uniquement d’une robe ; la chaleur de la soirée d’été me faisant monter les sensations je filais direction l’autoroute, sans même connaître ma destination. Pleine d’idées chaudes et d’envies de sexe je ne cherchais qu’une chose, être pour cette fois la femme objet.
Mon amant bien trop doux m’avait lassée, mon corps réclamait la domination d’un homme, et même de plusieurs, même si mes désirs quotidiens étaient orientés différemments je voulais qu’on me malmène un peu… Beaucoup même…
Au bout d’une heure de route et de pensées salaces, je m’arrêtais faire une pause sur une aire. La station fermée abritant uniquement le veilleur de nuit. Je décidais de rouler un peu pour me mettre tranquillement en retrait, mais pas trop, je savais ce que je cherchais. M’arrêtant entre deux véhicules poids-lourds je coupais mon moteur et sortis chercher un soda au veilleur.
Hors les veilleuses des routiers au repos dans leur cabine la nuit étaient fort silencieuses. Le bruit de mes talons se mit à résonner , m’envahissant d’un frisson j’espérai attirer l’attention, pour le coup réussi.
En arrivant au devant du veilleur, celui-ci m’attendait déjà, en attendant mon soda j’imaginais ses pensées la queue déjà à la main à se branler dès mon dos tourné… Avec un sourire aguicheur je repartis à mon véhicule lentement, comme si mon corps appelait quelque chose.
Une silhouette descendit du camion garé à côté de ma voiture et commença à se diriger vers moi. Quand sa voix résonne pour me demander où j’allais et si je souhaitais de la compagnie. Je m’approchais doucement de lui comme pour lui faire comprendre que les mots étaient inutiles que je voulais jouer et que oui je voulais de la compagnie.
Sans parler je me mis à quelques centimètres de sa bouche lui empoignant fermement la queue, qu’il avait déjà bien dure. Sa réaction fut instinctive, animale, exactement ce que j’attendais il devait déjà bien s’occuper. Il m’empoigna les cheveux et violemment me fit mettre à genoux
- Tu veux de la bonne queue, pas de soucis trésor”,
De l’autre main il arracha sa braguette et laissa sortir sa queue bien plus grosse que je ne l’aurais pensé… Sans que j’ai le temps de comprendre que j’avais enfin déclenché la bestialité, je laissais tombé mon soda forcée à avaler son énorme bite jusqu’au fond de la gorge, ses à-coups si violents que j ai cru m'étouffer.
Au bout de quelques minutes il me gicla tout son foutre dans la gorge. M’étalant à terre pour reprendre mon souffle, je pris conscience que l’on étaient observés depuis le début.
Deux hommes se tenaient très près, l’un se branlait frénétiquement et l’autre doté d’un large sourire pervers, matait la scène en caressant la bosse de son jean. Regardant celui que j’avais sucé je compris que le moment à venir allait être aussi douloureux que je le rêvais malgré que la situation risquait de m’échapper totalement. Souriant tant bien que mal et m’essuyant la bouche recouverte de foutre, je m’adressais alors aux autres gars, leur proposant de me mettre leur bite dans tous les trous.
Ravi par ma proposition l’un d’eux me releva puis exhibant mon corps aux autres fit glisser ma braguette et rentra vulgairement sa main jusqu’à ma chatte. Ils débattaient de mon sort quand il tenta d’arracher ma robe. La bretelle craqua laissant dégager un de mes seins qu’il empoigna aussi sec.
Le premier gars se rapprocha soulevant ma jupe et éclata de rire en découvrant ma petite chatte épilée à nue
- Tu vas te faire éclater ma belle t’en es consciente j'espère”
Le 3ème avait l’air d’être le plus trash, pervers à souhait, une queue gigantesque et humide en main :
- Consciente ou pas maintenant que t’es là tu vas bouffer de la bite sale chienne”.
Leur mains excitées malaxaient mon corps quand on me retourna sur le capot, les seins écrasés sur la tôle encore très chaude de ma caisse. La douleur se mêla à mon excitation. Le plus speed susurra dans mon Oreille :
- Je vais t'enculer ma salope tu vas gueuler “ …
Il s'exécuta, je sentis son gland sous pression forcer l’entrée de mon trou il m’écartait les fesses brutalement d’une main en crachant sur ma raie.
- A sec c’est mieux t’inquiète viens là”
je m'apprêtais à riposter quand sa queue me déchira l’anus. Elle rentra d’un coup me faisant crier de douleur et pleurer. Je n’étais plus sûre de vouloir ça mais j'allais devoir assumer. Les deux mains liées par les deux autres, il m'enculait sévèrement.
- T’aimes qu’on t’encule sale pute hein, c'est ce que tu voulais
- C’est ce qu'elle veux donne lui vas-y fais lui mal elle le mérite
Ses couilles giflant ma chatte mouillée retentissaient sur toute l’aire de repos, je pensais un instant au veilleur nous observant et un bref instant j'espérais qu’il nous rejoigne ce vicieux…
Il se retira pour laisser celui de droite se glisser sous moi. Ce porc était pantalon baissé, il n’avait même pas pris le temps de virer son t-shirt, il m’agrippa le visage et me le lécha. Mes mains retenues dans mon dos par une main et la tignasse tirée par une autre il me mit sur sa queue et m'empala sans aucune résistance, sa bite énorme rentra profondément dans ma petite chatte en glissant.
Je sentis son gland frapper au fond de mon ventre et je jouis instantanément. Sans prendre le temps de me laisser me remettre, celui placé derrière moi me pénétra par le cul, j'avais deux queues me défronçant les orifices, mêlés aux gifles et aux fessées mes hurlements suppliaient d’arrêter
- Tu vas bouffer de la bite salope je te l’avais dit, tiens ! tiens ! tiens t’aime te faire défoncer les trous, viens là poupée bouge pas je t’ai dit, viens, plus tu bouges pire ce sera, tu le sens mon chibre qui t’éclate ? Tu sens petite putain ? Il ramasse ton petit cul je vais te le remplir de jus “
Leur bestialité se répondait, à celui qui me ferait le plus mal. Le troisième monta sur le capot il m’obligea à lui bouffer la queue. Il m’étouffait à grands coups de reins, me violant la bouche pendant que les autres pervers bourraient mon cul. Une voix se fit entendre entre mes cris et le claquage de leur couilles qui me frappaient
- Si je regarde et que je dois rien faire c’est pas possible, alors à vous de voir j’appelle les flics ou je participe les gars ?! ”
Il s'approcha de moi, toujours un gland au fond de ma gorge, l’un des routiers accepta sans problème, même excité de le faire participer.
Le veilleur enchanté déboutonna son pantalon l’arracha et enfonça ses doigts dans ma bouche entre deux coups de rein. Il s’astiqua avec et son autre mains me gifla violemment les fesses.
- Elle est chaude cette salope, je le savais que tu voulais te faire baiser”
Celui qui me sodomisait grimpa sur le capot laissant de la place à une troisième queue. Je sentais son gland chercher mon petit trou du cul, il glissa sa queue en arrachant tout au passage, m’arrachant larmes et hurlements étouffés, il était maintenant à quatre dans mes trous.
Je sentis la queue dans ma bouche monter en pression
- Tiens avale bien sale chienne ! Humm oui… oui, bouffe la je vais tout te juter dans la gorge catin”
Une première giclée puissante me brûla la trachée, laissant échapper du foutre sur les bords de ma bouche qui dégoulina jusqu’à mes seins.
- Attends tu vas en bouffer encore petite pute viens là”
Le veilleur fit le tour pour prendre place dans ma bouche , il m’étalait le sperme sur les seins et me rentrait ses doigts dans la bouche, à m’étouffer avant de les remplacer par son gland
- Tiens voilà suce mon dard, suce bien à fond , encore…. Viens là je t'ai dit salope !
Il forçait le passage en me giflant, je suppliais entre deux coups de bite qu’il me laisse respirer. Derrière moi l’autre gueulait de plaisir à deux doigts de jouir,
- J'aime te péter le cul salope ohhhh ouais J'aime tu la sens là, hein tu la sens ma bite qui t’éclate le trou du cul, tu peux plus gueuler sale chienne hein haaaaa tiens !”
Je m étouffais avec le foutre, la queue du veilleur claquait tout au fond de ma gorge, il tenait ma tête à deux mains, il baisait ma bouche comme une chatte en la défonçant avec autant de brutalité.
Celui du dessous mordait les tétons et les giflait, je jouis encore, le cul en feu… Je sentais leurs grosses bites buriner quand soudain mon cul explosa littéralement. Le routier éjacula dans mon cul en gueulant comme un porc. Le foutre explosa tellement fort qu’il gicla de partout sur mes fesses.
Le veilleur suivit en me giclant au visage un quantité impressionnante de foutre. Le troisième se dégagea et vint au-dessus de ma bouche mettant de puissants coups de reins. Je pensais qu’il ne finirait jamais…
- Tiens garce, hummm ouais tiens tiens sale putain hummm ouaisouais oauisss, humm avale… avale je te dis… tiens haaahaaaaaaaaa…”
Il m'obligea à avaler la moitié et cracha le reste autour de ma bouche. J’ai perdu connaissance les fesses nues et la robe déchirée sur le parking.
Au réveil je me trouvais attachée dans une salle d'arrière boutique. Ne comprenant pas trop je me remémorais la scène…. Les routiers, le veilleur, le viol consentant, enfin jusque là.
Après un long moment je vis le veilleur arriver, un sourire de pervers sur son visage :
- J'ai une bonne proie ce soir, en plus t’aime ça toi bouffer de la viande ! je vais t’enculer jusqu'à demain on verra si t'aime toujours ça dans quelques heures….. Tes potes ne sont plus là mais t’inquiète je suis là moi … et tu vas avoir bien mal au cul, crois moi ma chienne”……..
Les vigiles
J’avais 38 ans quand cela a commencé. Je venais de divorcer. Un vendredi soir, je sortais du supermarché, près de chez moi.Immédiatement après le passage en caisse, j'ai été abordé par deux vigiles, l'un des deux était Robert, le mari d'une collègue et amie, nous étions voisine également.
Comprenant de quoi il s'agissait, je les ai suivis sans histoires. Arrivé dans un local ils m'ont fait vider mon sac et mes poches. Il y avait deux strings roulés en boule dans mon sac. Celui qui paraissait le chef a demandé à me fouiller. J'ai demandé:
- Il n'y as pas de femmes dans votre équipe?"
- Non, nous pouvons appeler le commissariat, mais nous devront porter plainte pour ceci" dit-il en montrant les strings.
Résignée, je l'ai laissé remonter ma jupe. Sont apparus, alors deux autres strings que j'avais enfilés par-dessus mon collant.
- Cette fois c'est trop grave nous devons porter plainte"
Affolée j'ai eu cette phrase malheureuse:
- S’il vous plait, ne dites rien, je ferais ce que vous voulez"
- Très bien" dit le chef en s'approchant.
Il me fit enlever mon imper, puis il ouvrit mon chemisier. Il sortit mes seins du soutien-gorge, se pencha et attrapa un téton avec ses lèvres. En même temps sa main remonta ma jupe et atteignait mon pubis. J’étais tétanisée.
Un instant plus tard il enlevait ma jupe, descendait mon collant et mon slip. Il a introduit un doigt dans ma chatte, puis deux. Son autre main caressait mes seins. Malgré moi mon corps réagissait à ses attouchements. Il m'a poussée vers la table, m'a couchée en travers. Il est venu derrière moi.
A ce moment Robert, qui n'avait rien fait jusque à présent est venu devant moi, il a ouvert a braguette, a sorti sa bite et me l'a présenté, je l'ai regardée et j'ai pris sa queue en bouche. Pendant ce temps le "chef" m'avait pénétrée, et commençait ses va-et-vient. Robert à son tour a commencé à me baiser la bouche.
Les cuisses du type qui baisait ma chatte claquaient sur mes fesses, il m’a attrapé par les hanches, il me besognait de plus en plus fort. Soudain, Robert a attrapé ma tête à deux mains, il a jouit dans ma bouche, je n'avais jamais reçu du sperme ainsi. J'ai eu un mouvement de recul mais il me tenait fermement. Il m'a dit:
- Avale".
Ne pouvant résister, j'ai dégluti. Pendant ce temps, l'autre me baisait de plus en plus fort. IL s'est enfoncé le plus profond possible, s'est arrêté et je l'ai senti déchargé en moi.
Ils m’ont laissé partir avec mon chariot, mon collant et mon slip roulés en boule au fond du sac. Je sentais encore le gout du sperme dans ma bouche, et aussi la semence couler de ma chatte. Rentrée à mon appartement j'ai pris une douche. J'aurai voulue tout oublier.
Le lendemain matin, samedi, Julia ma copine est venue m'inviter pour boire un café avec un bon gâteau. Ce n'était pas la première fois, aussi j'ai accepté sans méfiance.
Robert était présent, après le café, Robert s'est dirigé vers le poste de télévision, qu'il a allumé, il a introduit un CD dans le lecteur. Et j'ai vue, affolée, des images filmées dans le local des vigiles. Je me voyais en train de me faire baiser par ses deux hommes. Julia avais l'air abattue. Robert m’a dit:
- Si tu ne veux pas que ces images circulent dans le quartier, l'immeuble ou même dans l’entreprise qui t'emploie tu feras ce que l'on t'ordonne.
Il m'a alors ordonné de me déshabiller. Pendant que je m'exécutais, il ouvrait la robe de Julia qui était boutonnée sur le devant. Elle m'apparue, alors, en bas, porte-jarretelles et un soutiens- seins qui laissai les bouts apparents, son sexe n'avait aucun poils.
- Tu ne porteras, dorénavant que ce genre de sous-vêtements, et tu seras lisse également".
J’étais nue, maintenant; il m'a fait allonger sur la table du salon. Julia est revenue avec une bassine. Elle a enduit mon pubis de mousse et a entrepris de me raser. Robert a bien précisé que je devrais maintenant être constamment épilée. Mais pour aujourd’hui il y avait urgence. Et le rasage suffirait.
Une fois lisse, entièrement nue, il m'a fait redescendre à mon appartement. Heureusement nous n'avons croisé personne. Chez moi il a inspecté ma garde-robe. J’avais des bas et des porte-jarretelle, il a choisi. Puis il a désigné la plus courte de mes jupes et un chemisier presque translucide. Il a bien précisé que je ne devais, en aucune façon porter un slip ou un string. (Quelle ironie)
Il a sorti son téléphone et a seulement dit:
- Elle est prête".
Nous avons rejoint le parking.
Nous attendaient deux hommes: le vigile que je connaissais et un inconnu, ainsi que Julia, sa robe toujours grande ouverte. L'inconnu fouillait sa chatte avec les doigts et Julia, l'ai résigné, le laissait faire.
Nous avons embarqués dans un minibus. Moi avec le vigile, Julia avec l'autre homme. Robert conduisait. Pendant tout le trajet ma chatte a été explorée, mes seins triturés. Il en était de même pour Julia. Nous sommes arrivés dans un hangar.
Là une quinzaine d'hommes attendaient. Deux matelas étaient posés sur le sol. Quelques secondes plus tard nous étions nues toute les deux. Poussées sur les matelas. À quatre pattes un homme a présenté sa bite à ma bouche, j'ai senti qu'un autre passait derrière moi sans précaution il s'est introduit en moi.
Et le défilé a commencé, les bites succédaient à la bite, un moment j'ai été empalée sur un homme couché sur le dos, un autre a voulu me sodomiser, j'ai voulu le repousser mais l'homme couché m'a ceinturé avec ses bras.
C'était ma première sodomie. J'ai crié mais cela ne l'a pas arrêté.
Il a introduit le gland, s'est immobilisé, puis lentement s'est enfoncé dans mon anus. J’ai senti les parois s'écarter la douleur était insupportable, je gémissais mais cela semblait l'exciter encore davantage. Il a commencé à me pilonner.
Un autre homme a entré sa bite dans ma bouche. J’étais baisée par tous les trous. C'est ce que j'entendais. Mes gémissements étaient ainsi étouffés. Une grande partie de la nuit, Julia et moi nous avons été baisés. Selon le mot de Robert nous étions devenues de simples vide-couilles.
Lundi matin, Robert attend dans le hall de l'immeuble en compagnie de Julia. Il soulève ma jupe pour vérifier si j'ai respecté son ordre de ne plus porter de culotte. Il passe sa main sur ma chatte lisse. je suis mortifiée. Il nous laisse partir.
Pendant le trajet Julia m'explique qu'elle est soumise depuis quatre ans, au début elle était rétive et souvent elle a été punie. Aussi pour la dresser, pendant son mois de congé, il l'a emmené à Marseille. Là elle a été confié à un type qui l'a mise à "l'abattage" dans un "clandestin". Pendant quatre semaines elle recevait 50/60 hommes par jour, dans tous les orifices, sinon elle était punie.
Cela l'a mise à la raison. Depuis elle accepte tout.
Le plus souvent, Robert la prête à un ou deux hommes rarement plus. Il lui donne une enveloppe contenant l'adresse ou elle doit se rendre et se livrer sans restriction. cela une ou deux fois par semaine, Il organise, aussi, une ou deux fois dans l'année des gang-bang comme celui ou nous avons été conduit.
Le soir même, à peine suis-je rentrée que Robert arrive suivi de son collègue. Il me fait déshabiller. Il Précise à ce moment:
- Tu dois en rentrant , systématiquement, avant de faire quoi que soit d'autre te déshabiller et rester en sous-vêtements, cela dans toutes circonstances".
Il sort sa queue déjà en érection et m'appuie sur la tête, je m'accroupis et je prends sa bite en bouche, elle ne tarde pas à grossir encore. pendant ce temps l'autre caresse mes seins et mes fesses.
Positionnée à quatre pattes, Robert réintroduit sa bite dans ma bouche pendant que l'autre me fait écarter les cuisses; il entre sa queue dans ma chatte, en Faisant remarquer que je mouille. Pilonnée dans mes deux orifices, mon corps réagit malgré moi. Même humiliée je jouis.
Robert éjacule dans ma bouche, comme il me tient la tête je suis contrainte d'avaler son sperme. L'homme derrière moi décharge à son tour, je le sens se répandre en moi.
Robert, avant de partir, me tend une enveloppe
- A ouvrir demain en rentrant".
Le lendemain au retour, Julia me suit jusque chez moi. Après m'être dévêtue, j'ouvre l'enveloppe. Je dois être initiée à l'amour lesbien et Julia sera mon initiatrice. Elle ouvre alors sa robe qui est boutonnée de haut en bas.
Dessous elle porte le même type de sous-vêtements. Elle s'assoit sur le canapé et ouvre les cuisses. Elle m'explique comment faire: écarter ses lèvres, lécher la fente, enfoncer ma langue, faire sortir le clitoris de son capuchon le lécher, l'aspirer.
Elle commence à répondre à mes caresses, son bassin ondule, sa mouille coule jusque sur mon menton et je commence à aimer ça. Elle appuie sur ma tête et jouit bruyamment. Ensuite ce fut à elle de s'occuper de moi et de me donner du plaisir, nous avons terminé en 69. Cette "épreuve" se révélait finalement agréable.
Le lendemain Robert me félicita de ma prestation et du spectacle que je lui avais offert. je compris qu'il avait installé des caméras, ce qu'il confirma. Il pouvait,ainsi me surveiller.
Le vendredi, un paquet et une enveloppe m'attendaient. dans l'enveloppe l'adresse, l'heure du rendez-vous, comment m'y rendre et des consignes pour me préparer. J'épile ma chatte avec de la crème, je me douche et je me maquille, un maquillage très chargé.
Je mets les sous-vêtements tirés du colis: une guêpière qui laisse les bouts de mes seins apparents, des bas résilles à couture, une mini-jupe en satin, j'ajoute un haut en dentelle, des escarpins. Je me regarde dans le miroir de l'entrée: une vrai pute. J'enfile un imper et je sors.
Je dois m'y rendre en transport en commun. Heureusement je ne croise personne de ma connaissance. Je suis humiliée d'être dévisagée.
J'arrive, je sonne un homme ouvre, environ quarante ans, il me fait entrer. Il enlève mon imper et me pousse vers le salon. Deux hommes attendent, assis sur le canapé, nus de la taille aux pieds.
- C'est toi la pute ? demande l'un d'eux, je ne sais quoi répondre.
Le type derrière moi me force à m'agenouiller devant celui qui a posé la question, celui-ci me présente sa bite déjà raide, elle est impressionnante,au moins 20 cm et 5 de diamètre. Je commence à sucer, arrondissant bien les lèvres, mes mâchoires sont distendues. Je m'applique à le satisfaire, ma salive coule sur mon menton. Cela dure malgré mon application. Il ne se décide pas à éjaculer, je commence à avoir mal. Enfin il jouit, le flot envahit ma bouche, je n'arrive pas à tout avaler.
On me relève, ma jupe et mon haut sont enlevés. je suis allongée en travers de la table du salon, un homme présente sa bite devant ma bouche, l'autre écarte mes cuisses, entre un doigt dans ma chatte puis deux,il se décide à me pénétrer avec sa queue, lentement, il commence à bouger de plus en plus vite.
La table tremble, il est très endurant lui aussi. il n'a rien à envier à son camarade, je suis remplie comme jamais. Il me pilonne, l'excitation monte, j'ai un premier orgasme. Il continu ses coups de butoir, les orgasmes se succèdent, enfin il se vide en moi.
Celui que j'ai sucé en premier a repris des forces, il veut me sodomiser. Folle de peur je refuse, les deux autres viennent me maintenir. Puis il me déplace au bout de la table, Je suis attachée: poignets et cuisses aux pieds de la table, une sangle passée sous la table et sur mes reins me maintient.
Je suis sans défense, je hurle mais on me bâillonne.
Maintenant il introduit sa bite, il entre le gland, s'interrompt un moment. La douleur est insupportable. Je pleure, il se retire, puis il entre à nouveau. il me laboure l'anus. Le plaisir vient, incroyable, maintenant je n'ai plus mal. Encore plus incroyable, Malgré ma mortification, je jouis par le cul. Quand il a pris son plaisir les autres se succèdent dans mon cul. Enfin leurs couilles sont vides. Je suis épuisée de jouissance. Heureusement je suis raccompagnée en voiture.