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Histoire du net. Auteur: Muslimcefranc. Un Nouveau Monde

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Quand on trouve son Maître et qu'on se trouve...
Diégo...  Bien dans sa tête.... Bien dans mon cul.

Diégo
Auteur: Muslimcefranc
Tout commence le jour de mes 17 ans...
Je me présente, Hakim, rebeu bogoss, cheveux bruns ras, 1m85, 75kg, imberbe, monté 20cm en bandant, circoncis, gay actif, musclé par plusieurs années de natation... La natation, ma pratique sportive... C'est à la piscine que mon histoire prend naissance.
Entraînement, même le jour de mon anniversaire, le coach faisait chier ; mais bon, cela me permettait d'évacuer le stress du lycée. Je ne me considère pas comme une racaille, mais je suis toujours habillé en survêt, casquette et basket : la panoplie type ; ceci faisait peur à pas mal de mes coéquipier de l'équipe de natation, et m'attirait leur respect.
Après l'entraînement, j'aime traîner...
je porte mon super maillot de bain HOM, à la mode, certes pas pratique pour mon activité, mais tellement sexy : mon côté exhibitionniste. Il ne restait à la piscine que le coach dans son bureau avec le surveillant, 2 céfrans et moi... Un des céfrans est parti... moi je continue quelques longueurs... J'ai encore 2 heures à traîner avant de rejoindre la famille pour mon anniversaire.
Avec le dernier céfran, on se croise plusieurs fois en faisant les longueurs ; pas mal le type, la trentaine, brun, bel gueule, mal rasé, un peu typé, sûrement des origines latines... Le coach sort et me dit :
- Hakim, on ferme... Sors de là et va te changer ; j'suis pressé ainsi qu'Anthony (le surveillant).
- Coach, si vous êtes pressé, allez-y ; laissez-moi les clés, je fermerai, je l'ai déjà fait.
- Si tu étais seul oui, mais là...
Il me montre le céfran.
- Ok, Ok...
Le céfran sort de la piscine, direction vestiaire ; je suis en train de le suivre et là, mon coach me dit:
- Hakim, tiens les clés... Je compte sur toi... OK !
- Pas de problème, coach.
Là il sort avec Anthony. J'attends qu'ils partent en voiture et je ferme la piscine... Le céfran est déjà parti dans les vestiaires ; je prends la même direction. J'entends l'eau couler dans les douches, mais pas les douches individuelles, mais celles collectives ; là je vois le type de dos : sérieux, super mec, bien foutu, je vois son dos musclé, ses épaules larges, ses biceps et triceps, où l'eau s'écoule...
Je me dis : toi je vais t'avoir ; surtout que son boule est comme je les aime : petit et musclé. Certes, il est plus âgé que moi, mais cela ne me fait pas peur ; j'en ai baisé des mecs de la trentaine, même des pères de famille... Celui-là ne fera pas exception. Je pose ma serviette, garde mon gel douche et me dirige vers la douche à côté de lui... Je fais l'indifférent et commence à me savonner...
Là le céfran me demande :
- Excuse-moi, jeune homme, j'ai oublié mon gel douche, tu peux me prêter le tien.
- Pas de souci, M'sieur (j'aime jouer les mecs polis).
- Merci... Oh je me présente, Diego, et toi ?
- Hakim, M'sieur...
Là, je vois Diego, défaire le cordon de son maillot et l'enlever naturellement... Sa teub circoncise tombe ; elle mesure au bas mot environ 15cm au repos, je n’y crois pas... Il attrape mon gel douche et se savonne.
Moi, j'ai l'air con avec mon maillot ; allez, je me lance et l'enlève moi aussi... Diego me regarde me foutre à poil et me sourit ; je le lui rends... On se savonne pendant plusieurs minutes ; je le regarde le faire, et je sens son regard sur moi par moment... Voulant absolument me le faire, je passe à la vitesse supérieure, et me secoue le zboub afin de le titiller. Ma teub est bien raide, et je sens le regard de Diego sur moi...
Pas sur ma bite mais sur mon visage ; je le regarde et il sourit. Il me dit :
- Hakim, tu fais quoi là...
- Je me branle, Monsieur... Elle ne vous plaît pas.
- Là n'est pas la question, mais je ne suis pas gay.
- Et alors moi aussi (menteur)... Pourquoi vous ne le faîtes pas... Y'a pas de mal à se faire du bien...
Il ne répond pas mais garde son sourire ; je baisse la tête et je vois qu'il bande... Le salaud, sa queue est plus grosse que la mienne, mais moins longue... Putain, sa bite est un monstre...
- Tu es pressé, Hakim, me demande-t-il.
- Non, M'sieur...
- Alors suis-moi...
On quitte les douches, direction les vestiaires... On arrive devant son casier, il l'ouvre sort son sac et prends une petite fiole ; il me la tend.
- Tu connais ?
- C'est quoi ?
- Du poppers.
- J'en ai entendu parler, mais je n'ai jamais essayé...
- Ouvre-le et sniffe...
- Pourquoi ?
- Tu verras, t'inquiète je vais en prendre moi aussi... Cela décuple tes sens... t'es un mec ou pas ?
- Oui j'suis un mec...
Putain, il me nargue là... Allez, je me lance. J'ouvre la fiole et renifle le produit, et là... Une bouffée de chaleur m’envahit ; un truc de fou. Diego sniffe à son tour et me repasse la bouteille...
- Vas-y, recommence et plus longtemps...
Je recommence plusieurs fois, et je me sens bien. Je suis sur un petit nuage, complètement popperisé. Diego s'approche de moi, et là surprise, m'attrape la tête et me roule une putain de pelle...
Je me laisse aller, il me bouffe la gueule. Ensuite, il me fait mettre à genoux et me présente sa teub à sucer. Normalement je suce rarement, mais là sous l'emprise du poppers, je prends sa bite et je lui taille une pipe d'enfer, je bouffe son zboub.
- Mouais Hakim, c'est bien, continue... tu me fais du bien...
Je le suce pendant au moins 15 minutes, mais une suce de garce... je suis un peu déconcerté, moi qui d'habitude mène la danse, là je me laisse diriger par Diego...
- Hakim, reprends un peu de poppers...
Je me surprends à lui obéir ; ce truc est ouf. Je me lève et re-sniffe le produit... J'aime ça... Diego m'embrasse de nouveau à pleine bouche, puis mon cou, les oreilles ; je kiffe grave. Il me retourne, et m'embrasse le dos. Il m’appuie sur la tête et je me courbe... Il veut quoi là... Putain, il me bouffe le cul et là, une sensation de bien-être m'envahie. J'aime ça, et il fait cela bien. Je me surprends même à gémir... J'essaye de me ressaisir mais c’est trop bon.
- Hakim, allonge-toi sur le banc, sur le ventre.
Je me surprends à le faire… Totalement soumis… Diego reprend son travail sur mon boule et moi, je sniffe son popper…
- Hakim, ton cul est un délice…
Il me titille la rondelle, me lèche le trou du cul ; c’est trop bon… Je gémis de plus en plus… Je ne reconnais pas. Moi l’actif je me laisse dominer par ce mec… Je ne comprends pas. Je ne fais pas le lien avec le poppers, c’est pourquoi je continue à sniffer… Si j’avais su!
Tout est allé très vite… Sous l’emprise du poppers, je suis sous l’entière emprise de Diego. Il change son comportement…
- Putain, t’es chaude comme de la braise, ma p’tite salope…
Je me surprends encore ; Diego parle de moi au féminin, et m’insulte et JE NE FAIS RIEN. Il me donne tes tapes sur mes fesses, tout en continuant à me bouffer le trou et tout en m’insultant.
- Salope, t’es vraiment une p’tite salope Hakim… ou plutôt, Hakima…
Soudain, il se lève, prend son sac et sort du gel et une capote. Il me regarde et me sourit. Pour quelqu’un d’hétéro, il a du matos de « rattaye ». Il se met la capote, du gel dessus. Je comprends qu’il veut me baiser.
Là je ne suis pas d’accord, mais je ne suis pas assez rapide… Encore sur un nuage à cause du poppers, Diego est plus rapide et me coince. Il me dit à l’oreille…
- Je t’ai menti ; je suis gay… Et j’aime surtout me faire des mecs actifs dans ton genre. T’inquiète pas, je vais bien te faire mouiller ma p’tite salope.
Il appuie son gland sur mon trou, bien dilaté par ses soins, et il entre tout doucement… Je n’ai pas mal, au contraire, j’aime ; plus il entre, plus j’aime. Il commence tout doucement à me limer, pas de brutalités, avec art… Il sait y faire. Je prends mon pied… Je gémis ; je me surprends à gémir, mais pas comme un mec mais comme une femme… Ce n’est pas vrai, je gémis comme une femme. La tonalité est aigüe.
- Et bien Hakima, tu prends ton pied… T’aime ma salope, dis-le moi.
- J’aimeeeeee, ouiiiiiii…
- T’aime ça ma garce… Je vais faire de toi ma p’tite pute à moi, hein ça te dit…
Je suis en plein délire :
- Oui, Diego, je suis ta pute.
Et là, la douceur fait place à la brutalité… Je reçois une putain de claque sur la tête, puis sur les fesses… Je ne comprends pas :
- Attends, ma pute… Tu m’as tutoyé… t’es ouf toi…
Il sort sa queue d’un coup, me retourne et me met sur le dos, jambes relevés ; il me rentre de nouveau dans mon cul bien dilaté et bien large, d’un coup sec mais je kiffe… Il me fout une claque sur le visage, puis une autre :
- Je t’interdis de me tutoyer… Une pute respecte son maître… C’est soit Monsieur, soit Maître… et le vouvoiement de rigueur… Ok, t’as compris…
- Oui.
- Oui qui ?
Et encore une claque ; j’ai les joues en feu… Il me claque à la face…
- Oui qui ?
- Oui, Maître…
Ça y est, je vois son sourire, devenir une sourire pervers : il m’a dressé, et il le sait… Il attrape la bouteille de poppers, l’ouvre et me fait sniffer… Je repars… Il me défonce pendant des minutes, dans plusieurs positions ; le pire c’est que j’aime ça et… JE NE BANDE PAS… Je jouis du cul ; il a raison je suis femelle… Il m’a fait découvrir un truc de malade…
La sodomie dure plus de 30 minutes ; à un moment donné, je bandouille, mais je ne me touche pas… Le poppers agit bien, je prends mon pied du cul… Il sort sa queue, et retire sa capote, et me dit :
- Tu me plais Hakima, je veux que tu sois à moi, et d’ailleurs tu es à moi…
Et tout en regardant, il me met sa queue sans capote. Je le laisse faire. Je suis à lui… Il me défonce encore plusieurs minutes…
Il a une putain d’endurance, ce mec…
Et soudain, je sens de nouveau le plaisir monter ; je jouis sans me toucher, plusieurs jets, un me touchant le visage, un truc de ouf… Soudain, un bruit d’appareil-photo. Mon Maître Diego a pris une photo de moi en train de jouir avec son téléphone portable…
- Ma pute, t’as aimé ; ça se voit… sans te branler… j’suis un as, hein ma pute.
- Oui Maître.
Il prend encore quelques clichés. Quelques minutes après, dans un grand râle, il m’inonde les intestins…
- Une femme, ça s’engrosse…
Je sens sa semence en moi, c’est grave
- Mais t’inquiète, ma pute, je fais le test très souvent, t’as rien à craindre, j’suis clean… Maintenant tu es à moi…
J’suis naze ; je le regarde, il me sourit de nouveau de façon pervers. Je reçois de nouveau une claque sur la gueule, encore un mollard…
- Hakima, retourne toi tout de suite et montre-moi ta chatte…
Je m’exécute sans broncher. Aidé par le mélange de sperme, de gel et la dilatation, il entre trois doigts… Je kiffe et je gémis… Le quatrième arrive, suivi du pouce, de la main… Mon Maître Diego me fiste… J’ai un peu mal.
- Hakima, sniffe encore du poppers, et détends toi…
Je suis les conseils de mon Maître, et là la douleur fait place au plaisir… Soudain, il s’arrête, me fait lever et me roule de nouveau une pelle… Il me fait mettre à genoux et me dit :
- Maintenant, nettoie-moi ma bite… Ensuite nous irons nous doucher…
Je prends son zboub en bouche et le lui lave avec ma bouche. Après nous repartons vers les douches… Pendant que l’on se lave, il m’informe des décisions qu’il a prises pour moi :
- Hakim, à partir de maintenant tu es à moi ; je suis ton mec et toi ma femelle. Je t’appelle tu viens le plus rapidement possible ; je peux comprendre les impératifs liés à ton âge : la famille, l’école et la natation. Mais pour le reste, c’est avec moi que tu vois.
Je l’écoute attentif, sans le couper.
- Nous sommes en public, je t’appelle Hakim et toi, tu donnes du Monsieur… Nous sommes en privé, pour toi c’est Hakima, et moi…
Il attend ma réponse.
- Maître, lui répondis-je.
- C’est bien, t’as compris… Allez, on s’habille, tu me donnes ton portable et je te raccompagne chez toi en voiture ; Djamila doit m’attendre… Tu vas voir, tu vas l’aimer…
De retour aux vestiaires, on s’habille. Je rouvre la porte d’accès et la referme à clé derrière nous. Maître Diego me montre une BMW 320d cabriolet noire sur le parking… Je me demande qui est cette fille : sa nana ?
Et là surprise, au volant, un mec super canon, stylé racaille, débardeur et bas de survêt, musclé sec, casquette sur la tête… Il sort de la voiture, et nous regarde. Il s’adresse à Maître Diego :
- Bonsoir, M’sieur.
- Salut Djamil, je te présente Hakim ; il est comme toi ; il est au courant des règles…
- Bien reçu Maître, répond-il.
- Hakima, tu roules une pelle à Djamila, tout de suite, afin de sceller votre rencontre.
Djamel s’approche de moi et me roule une pelle directe ; je me laisse faire. Il se retire, me sourit :
- Enchanté, me dit-il.
- Moi aussi, lui répondis-je.
Maître Diego monte dans la voiture, s’installe au volant, Djamel à côté de lui et moi derrière…
- Maintenant les filles, vous faîtes parties de mon Harem… Aussi salope l’une que l’autre… Avec vous deux, je ne vais pas m’ennuyer. Hakima, dis-moi où tu habites…
Pendant que je lui explique, Maître Diego démarre et prend la direction de mon quartier ; Djamel me regarde, me sourit et me fait un clin d’œil…
Ma nouvelle vie de lope à céfrans commence…
…...................................
Pendant le trajet, j’écoute Maître Diego parler à Hakim… Mon esprit s’éloigne et je me rappelle de ma vie d’avant mon maître…
Il y a 2 ans, j’ai 19 ans… Je vis à Cergy-Pontoise, chez mes vieux, avec mes sœurs et mon petit frère… Je glande la journée avec ma bande ; on deale un peu pour gagner de l’argent. J’ai rien foutu à l’école, pas de diplôme mais je m’en fous…
Mes vieux m’assurent le gîte et le couvert ; je les domine, donc ils me foutent la paix, je fais ce que je veux… Je suis hétéro même si avec mes potes, on baise parfois un dep qu’on s’est chopé. J’aime surtout les culs serrés des p’tits bourges. J’ai ma régulière, Virginie… Cette salope, elle aime ma bite, 22 cm en érection ; j’aime quand elle me taille une pipe ; j’aime lui bouffer sa chatte avant de la baiser pendant plus d’1 heure dans différentes positions…
Un soir, avec ma bande, composée de 6 personnes, Youssef, Abdel, Karim, Ydriss, Michaël et moi-même, on décide d’aller sur Paris ; on prend le RER et on descend à Châtelet. Youssef décide que nous allions chez les « ratailles » dans le quartier du Marais, histoire de rigoler et d’éventuellement nous vider les burnes ; personnellement, j’avais vu quelques heures avant Virginie.
J’avais pas forcément envie de baiser. Dans le quartier, les potes se fendent la gueule, se moquent des folles ; moi, je m’en fous. Je sens un regard sur moi : un mec, la trentaine, nous mate ; il est en terrasse d’un café, avec 3 types. Ces derniers parlent ensemble, mais ce type ne semble pas prêter attention à leur conversation. Il regarde Abdel en train d’essayer d’emballer une folle ; son regard fixe m’intrigue et il me semble qu’il sourit de façon perverse. Abdel se prend une gifle phénoménale et les autres éclatent de rire…
La folle continue de se défendre et Abdel réplique… Tout le monde regarde, même les 4 types en terrasse qui se lèvent et se dirigent vers nous.
- Oh les mecs, vous faites quoi là ? demande un des 4.
- Mêle-toi de tes affaires, « rataille » ! répond Youssef.
Je me mets en position défensive ; nous sommes minoritaires en nombre, surtout que le café où se trouvaient ces mecs, est en fait un bar « Cuir » ; des molosses en sortent, attirés par l’altercation…
- Les mecs, on se tire, maintenant ! dis-je.
- Djamel a raison, rendez-vous au RER ! rajoute Ydriss.
Là, on se met tous à courir, poursuivi par des types baraqués ; j’suis pas lâche mais là, même notre bande ne fait pas le poids. Je me retrouve seul, mes potes sont partis dans d’autres directions. Je me retrouve devant le bâtiment le « Sun City », sauna… Je me retourne et vois un des types me suivre… Un seul visible, mais peut-être d’autres derrière. Allez, je me lance et rentre dans le sauna, histoire de me faire oublier et de les semer…
Cette décision me ramène à la réalité…
Maître Diego parle toujours avec Hakim ; nous sommes sur le périphérique ; je regarde mon Maître, il fait de même en continuant à parler. Il pose sa main sur ma cuisse : j’aime ce contact, j’aime mon Maître… Je lui souris et il me fait un clin d’œil…
Ce sentiment que j’éprouve pour lui, est la conclusion de ma décision d’entrer dans ce sauna…
J’entre et me dirige vers la caisse ; je paye ma place. On me donne une serviette, la clé de mon casier, une capote et un sachet de gel. J’ m’en fous, j’viens pas pour baiser mais pour me cacher et me faire oublier pendant quelques heures… Putain le monde aux vestiaires : il y a de tout, même quelques rebeus ; on me mate d’enfer.
J’arrive devant mon casier. Je commence à me dépoiler ; je sens des regards sur moi. C’est excitant. Je retire mon caleçon, ma queue est à la vue de tout le monde… Je me marre en voyant tous ces types baver dessus.
Soudain, je sens une présence à côté de moi… Je me retourne et là, je blêmis ; le mec de la terrasse de café est là. Je fais style de ne pas le connaître… Et lui ne semble pas me reconnaître. Je mets ma serviette autour de ma taille et file en direction des pièces du sauna.
Bon dieu, mais qu’est-ce que je fais là… Je tourne, on me matte, on bave d’envie en me voyant ; j’ai l’impression d’être une chose que ces mecs souhaitent avoir… Je rentre dans le Hammam, histoire d’être un peu tranquille ; dans le brouillard, je vois des mecs qui s’embrassent, qui se touchent ; d’autres se font sucer, voir se font mettre…
Putain ça fout la gaule, mais je veux pas baiser… J’suis pas là pour ça. Je sors de cette pièce de baise, et décide d’aller prendre une douche ; putain que cela fait du bien, je suis seul dans les douches.
- Alors tu t’éclates, racaille ? entendis-je derrière moi.
Je me retourne et là, je vois le mec de la terrasse de café, dans l’encadrement de la salle de douche.
- Pardon, comment tu m’as appelé, mec ? lui répondis-je.
- Racaille, pourquoi ce n’est pas ce que tu es ? Toutefois je ne connais pas ton prénom, donc…
- Je ne me considère pas comme une caillera, j’suis juste un rebelle, mec.
Il se met à rire…
- J’ m’appelle Diego et toi ?
- Djamel… Tu veux quoi ?
- Rien de particulier… J’ai l’impression que tu cherches à te cacher, non ?
Quoi lui répondre ? La vérité ou un bon et gros mensonge… J’en ai marre de ce lieu et j’veux rentrer, donc décision : la vérité.
- Oui je me cache… T’étais pas en train de me courser tout à l’heure…
- Pour la folle, non… Uniquement pour toi…
- Quoi ?
- Tu me plais ; et là c’était l’occasion de t’aborder…
- Diego, t’es ouf… J’suis pas PD.
- Et alors ?
- Tu veux que j’ t’baise ? C’est ça ?
- Viens avec moi. Tiens, ta serviette.
Je lui prends ma serviette qu’il me tend. Je la mets et le regarde…
- Viens avec moi…
- Pour aller où ? Moi je me casse d’ici si t’es pas là pour moi… Je rentre chez moi.
- Ok. Je te dépose. T’es d’accord ?
Ce mec est trop ; il veut ma bite, là j’en suis sûr… Allez Djamel, passe en mode actif. Je m’approche de lui ; je le toise… Il fait de même… Putain le regard ; il est impressionnant, mais je me démonte pas. J’appuie ma main sur son épaule, et le fais mettre à genoux… Il en veut le mec. Il tire sur ma serviette, et mon zboub apparaît ; je bandouille. Il approche sa bouche du gland et le gobe… Putain c’est bon ; sa bouche est chaude…
- OK, Diego. Je te suis…
Il se relève, je remets ma serviette et on prend la direction des vestiaires. On se rhabille et on sort.
- Ma voiture est par là ; On va chez moi.
On arrive devant sa caisse, une BMW 320D cabriolet noire ; on monte.
Sans le savoir, je vais en direction de mon destin…
…..............................................
Putain… il fait noir… Je ne distingue rien ; j’ai mal au crâne… J’ai l’impression d’avoir un bandeau sur les yeux. Je veux essayer de passer ma main sur mon visage, mais je ne peux pas. Mes mains sont attachées, de même que mes jambes ; d’ailleurs elles sont relevées… Où suis-je ? J’essaye de me souvenir… Putain de mal au crâne. C’est quoi dans ma bouche…
- Hummm, hummmm, fais le son qui sort de ma bouche…
J’essaye d’appeler au secours, mais le seul son que j’entends c’est ce « hummmm ».
Djamel, rassemble tes souvenirs, essaye de te rappeler… Oui ça y est : Diego… En sortant du sauna, nous avons pris sa voiture ; il voulait me ramener, mais une fois dans sa caisse, nous avons pris la direction de sa maison, près de Versailles ; une maison bourgeoise, avec du terrain tout autour. Nous nous sommes installés dans son salon ; il m’a offert un verre, et tout en savourant cette vodka, il m’a sucé… Puis le trou noir…
- Hummm, hummmm…
- Je vois que tu es réveillé ma belle.
Cette voix, c’est Diego ; « ma belle », qu’est-ce qui lui prend de me parler comme ça… Le bandeau m’est enlevé et là je distingue Diego ; je regarde autour de moi. Je suis allongé sur un sling, en jocktrap en cuir, mes bras et mes jambes attachés ; Diego est torse nu, avec comme seul vêtement un slip en cuir. Nous sommes dans une pièce spéciale.
- Hummm, refais je.
- Oui, ma belle ; tu ne peux pas parler. Je t’ai installé un bandeau spécial sur ta bouche ; il permet de garder la bouche ouverte ; tu vois le trou à l’intérieur permet à une bite de rentrer : conséquence la personne qui le porte n’a pas le choix, elle doit sucer…
Il est zarbi ce mec… Putain, il enlève son slip ; il bande… Sa bite est énorme. Il s’approche et me tourne la tête ; il entre sa bite dans le trou spécial ; je sens son gland sur ma langue. Il enfonce sa bite entièrement : putain il me fait faire une gorge profonde…
J’étouffe, des larmes coulent sur mes joues mais il continue… Il me viole la bouche. Cela dure plusieurs minutes ; il m’a humilié… Je ne suis pas un dép ; je ne suis pas un mec qu’on baise ; c’est moi qui baise…
- Ma p’tite beurette, je vais t’expliquer quelque chose… Pendant que tu dormais, je t’ai rasé ton pubis, tes couilles et ton cul ; je t’ai mis ce jock, car dorénavant ce sera les seuls sous-vêtements que tu porteras. Tu dois te dire, pourquoi je pense cela ? Car une fois que j’en aurai fini avec toi, tu seras à moi et tu feras tout ce que je voudrai ; ça c’est une certitude…
Diego s’approche de moi ; il me montre une petite fiole… Je crois reconnaître ce que c’est. J’ai déjà vu un des pédés que j’ai baisé en sniffer : c’est du poppers. Il met la bouteille ouverte face à mon nez et me bouche une de mes narines ; j’évite de respirer par le nez et le fais par la bouche.
- Djamel, je vais te donner un conseil : sniffe, sinon tu vas déguster…
Je ne comprends pas ce qu’il veut dire mais je ne cède pas…
- Ok Je vais te montrer…
Après ces paroles, Diego me remet sa bite en bouche, et recommence une gorge profonde ; je n’ai pas le choix que de respirer par le nez, et donc de respirer le produit, Diego ayant remis la bouteille face à moi… Putain la bouffé de chaleur, ma tête me tourne un peu… Diego me fait sniffer plusieurs fois… J’ai l’impression d’être sur un nuage… Ce produit est bizarre et me rend bizarre… J’arrive à supporter ses assauts dans ma bouche ; pire, cela commence à m’exciter…
- Oui Djamel, c’est bien ; tu vois, il suffit de peu de chose pour que tu comprennes…
Diego se retire et se dirige face à moi ; il a une vue sur mon corps, sur mon jock, sur mon cul… Il s’abaisse ; je sens sa langue sur mes fesses. Elle se dirige vers mon trou : putain il me bouffe le cul.
- Haaaaaaaaaaaaaaaaaa, m’entendis-je.
- « Ha », cela change de « hummmmmmmmmmm », tu aimes ça, répondit Diego.
Je sais si c’est le poppers, mais cette sensation est bonne. Diego me bouffe le trou ; il rentre et sort sa langue. C’est bon. Jamais je n’aurais cru aimer cela… Moi Djamel, l’hétéro, j’aime me faire bouffer le cul. Diego me fait cette feuille de rose pendant au moins 15 minutes ; mon trou est dilaté. Plusieurs fois, il m’a refait sniffer son produit. Je me suis totalement ouvert. Il me retire le bandeau.
- Alors mon p’tit beur, tu aimes ça…
- Putain, t’es grave mec ; tu as de la chance que je sois attaché.
- Tu aurais fait quoi : me casser la gueule. Djamel, tu aimes ça ; tu bandes…
Putain, c’est vrai ! Je bande comme un âne.
- Tu viens de te découvrir ; tu aimes te faire dominer. Et tu vas devenir ma chose…
- À l’aide, au secours, gueulais-je.
- Tu peux hurler… Cette pièce est en sous-sol ; dans ma propriété. Personne n’est là sauf nous deux.
- Arrête mec. Je suis hétéro, un actif ; j’ai une copine…
- Ah bon… Mais là, tu vas devenir homo et passif…
- Non, s’il te plaît, pourquoi tu fais ça Diego.
Soudain, je reçois un aller-retour sur mon visage.
- Dorénavant, quand tu t’adresses à moi c’est Maître, et tu me vouvoies.
- Va te faire foutre, sale con !
Deuxième aller-retour ; je serre les dents. Il me crache à la figure ; je fais de même. Troisième aller-retour. Mes joues sont en feux… Quatrième, suivi du cinquième.
- Alors… me demande-t-il.
Je serre les dents. Je ne dis rien. Sixième, Septième… Je cède…
- Maître, s’il vous plaît, arrêtez…
- C’est bien ma beurette… Ça rentre dans ta p’tite tête… Maintenant tu vas être docile ; tu vas bien sniffer le poppers. Je vais légèrement desserrer tes liens au niveau de tes mains et les mettre au niveau des coudes. Comme ça tu gèreras ta sniffe comme tu le sens.
Après avoir fait ce qu’il m’a dit, il se retourne vers mes fesses. Il positionne sa bite raide face à mon trou. Je serre les dents, me popperise à fond et pousse à max. Sa bite entre comme dans du beurre ; j’ai mal mais je ne dis rien.
- Ton cul est bon, ma belle ; je vais tellement bien te bourrer ta chatte que tu me demanderas de recommencer. Tu vas aimer ça être ma chienne…
Il m’a baisé pendant une heure… Oui, je vous l’assure, pendant une heure… Il m’a bourré ma chatte et oui j’ai aimé… Oui, je lui ai dit pendant notre baise que j’aimais ça. Pendant qu’il me baisait, il s’est penché, m’a regardé dans les yeux ; ce regard, le même qu’il avait sur la terrasse du café. Ce regard qui m’avait hypnotisé. Il m’a embrassé, et je me suis laissé aller. J’ai joui… Certes il m’a branlé plusieurs fois, mais j’ai joui sans me toucher… Un orgasme tellement puissant, que plusieurs jets de sperme ont atteint mon visage. Lui, il s’est vidé en moi, pour marquer son territoire m’a-t-il dit.
- T’inquiète ; j’suis sain. Je fais le test tous les mois et toi ?
- Je n’ai jamais baisé sans capote, Maître.
- C’est bien. Maintenant tu es à moi, Djamila. Ok ?
- Oui Maître.
Il me détache ; je suis debout, nu, face à lui ; il me regarde. Je baisse la tête, me mets à genoux et lui lèche les pieds… Je ne reviens pas de ce que je fais… Il ne me l’a même pas demandé d’ailleurs. Je le fais d’instinct. Je suis à lui.
- C’est bien Djamila. Deux règles s’imposent à toi dorénavant : La première, en public c’est Monsieur, et toi Djamel. En privé c’est Maître et toi Djamila. Le vouvoiement, toujours de rigueur… La deuxième, tu fais tout ce que je veux ; d’ailleurs tu t’installes ici avec moi. Une nouvelle vie s’ouvre à toi ; j’ai besoin d’un majordome. Ok ?
- Oui Maître.
- Parfait…
Il me montre ma chambre?; une superbe chambre… Rien ne manque : superbe lit, commodes, table de nuit, télé, HI-FI, cabinet de toilette privé… Dans l’armoire, quelques fringues à ma taille, il me semble… À croire qu’il m’attendait.
Nous dormons ensemble et je me blottis sur son torse, je suis bien. Le lendemain, nous arrivons dans ma cité. Je rentre chez mes parents et je prends mes affaires.
- Tu nous quittes fils, dit mon père.
- J’ai trouvé du boulot à plein temps.
- C‘est vrai ? demanda ma mère.
- Oui… une place de majordome sur Versailles.
- C’est bien mon fils, répondit mon père.
Je les embrasse et leur demande de dire au revoir à mon frère et à mes sœurs. Maître Diego m’attend à côté de sa voiture et il me regarde pendant que je me dirige vers lui.
- Ce ne sont pas tes potes là-bas, me demanda-t-il en montrant du doigt un groupe de jeunes.
Karim et Abdel…
- Oui Monsieur…
- Appelle-les.
- Pourquoi??
- Tu discutes mes ordres ?
- Non Monsieur. Oh les mecs!
Ils m’ont vu et se dirigent vers nous.
- Djamel, t’étais où, me demanda Karim.
- Je vous présente, Monsieur Diego, les gars, leur dis-je.
- T’es zarbi Djamel, bonjour Monsieur, répondit Abdel.
- Bonjour les jeunes, une question… Ça vous intéresse un boulot pas chiant et bien payé?.
- Bien sûr, dirent-ils de concert.
- Tenez, allez à cette adresse de ma part. Toi tu demanderas Pierre, et toi Philippe. Ok??
- Ok…
- À plus les garçons! Djamel, on y va.
Je monte dans la voiture, fais signe à mes potes, et nous partons en direction de mon nouveau foyer.
- Je peux vous poser une question Maître??
- Je la connais déjà, Djamila. Pierre et Philippe sont comme moi?; d’ailleurs, tu les as aperçus hier au bar. Bientôt, tes potes s’appelleront Karima et Abdale.
Je souris et Maître Diego le vit. Il me passa sa main sur ma tête et me secoua cette dernière de façon amicale.
- Tu es content à ce que je vois, me dit-il.
- Cela veut dire que je vais les revoir bientôt Maître.
- Exact… Et comme toi, ils vont aimer être des chiennes.
Je suis heureux…
Je sors de mes pensées et de mes souvenirs. Maître Diego a arrêté la voiture. Nous sommes dans un lotissement de maisons individuelles dans Versailles. La maison devant laquelle nous nous sommes garés est belle avec un jardin devant et derrière?; de la lumière sort par les fenêtres, indiquant des personnes à l’intérieur, sûrement les parents d’Hakim. Maître Diego se retourne et s’adresse à ce dernier.
- Je t’appelle bientôt, Hakima.
- Oui Maître! À bientôt Djamel.
- Salut mec, lui répondis-je.
Hakim se dirige vers l’entrée de la maison, se retourne et nous fait signe. Notre maître lui répond et il rentre. Nous repartons?; mon téléphone portable vibre, je regarde qui m’appelle : Virginie.
- C’est qui??
- Virginie, Maître, répondis-je.
- Tu ne réponds pas ?, demanda-t-il.
- Pour lui dire quoi??
- T’es pas sympa avec elle; tu devrais rompre.
- Si je ne réponds pas, elle comprendra d’elle-même.
Maître Diego s’arrête sur le bas-côté. Il me regarde. Je lui souris.
- Elle comprendra quoi, Djamila?? Cela fait deux ans que tu la mènes en bateau à ne pas répondre.
- Que je ne veux plus la voir, que c’est fini.
- Et pourquoi??
- Parce que je vous ai, vous, mon Maître??
- Et??
- Que je suis à vous?! Et non à elle?!
- Et??
Il me sourit?; il rapproche son visage du mien. Il m’enlève ma casquette.
- Et?? Insiste-t-il??
- Que je vous aime, mon Maître.
Maître Diego m’embrasse, il me roule une pelle comme si sa vie en dépendait. Oui, je l’aime?; je suis à lui. Il se retire et redémarre.
- Tu lui envoies au moins un SMS. Tu lui dis que c’est fini ok ?
- Oui Maître.
Et pendant que j’écris ce message, il me dit : « Ce soir, on est invité chez Pierre, mon pote?; il veut nous présenter sa dernière trouvaille. » Je rigole et mon Maître fait de même.
- Elle s’appelle Karima, c’est ça, Maître?
- Tu as deviné juste, ma belle?; Pierre souhaite que tu la prennes comme une chienne.
Je le regarde, étonné.
- C’est un cadeau que je te fais?; c’est grâce à toi que nous avons de nouvelles recrues. Et d’ailleurs, tes autres potes, Youssef, Ydriss et Michaël, ils sont dressés aussi.
Je rigole de plus belle?; mon fou rire entraîne Maître Diego. Nous rigolons pendant plusieurs minutes tous les deux. Ma bande de potes, tous devenus des lopes à céfrans, excellent.
- Et les autres aussi, je vais pouvoir me les faire, demandais-je.
- Ça peut s’arranger, Djamila?; Pourquoi, y’en a un que tu veux te faire en priorité ?
- Oui, Ydriss?; il a un cul d’enfer.
- Ok. Arrivé à la maison, j’appelle son maître.
- Merci Maître.
Nous arrivons chez nous, la voiture garée dans l’allée, nous rentrons dans la maison. Les domestiques ne sont pas là, je leur ai donné leur soirée.
Maître Diego est devant moi. Je m’arrête et lui dis :
- Maître, baisez moi maintenant, s’il vous plaît?!
Il se retourne, s’approche, me retourne, me baisse mon survêt et me la rentre direct. Rien que le fait de lui demander, le fait bander. Putain, c’est bon! Je sors ma bouteille de poppers de ma poche et je sniffe. Je suis aux anges. Je m’appuie contre le mur; il m’attrape la tête, la met en arrière et me roule une pelle d’enfer. Ces coups de butoir me font couiner ; il prend plaisir à sortir entièrement sa queue et à la rentrer d’un coup sec. Et à chaque fois, je pousse un couinement. Je jouis, sans bander et sans me toucher; j’inonde mon jockstrap. Je suis une vraie salope. Maître Diego vient à son tour, et m’inonde les intestins.
Mon téléphone vibre?; j’ai reçu un SMS de Virginie : « Sale con ».
Non Virginie maintenant c’est « Sale connasse ».
Je ris tout en montant les escaliers pour aller me laver; je me retourne et je vois mon Maître en bas. Il me regarde, me sourit; il a ma vie, il a mon cul, il a mon cœur, il a mon âme…

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