Ou la malheureuse mère de famille
(pas si malheureuse que cela)
s'enfonce dans stupre et la prostitution collégienne
Les aventures de Delphine
auteur SCAE
Fin
Les roms et le SDF
Depuis plusieurs semaines, Delphine était devenu la pute de son fils Jean et de ses potes Marc et Mathieu. Elle aimait cette situation, elle se sentait enfin vivante, elle adorait baiser pour baiser et ne laisser aucune place au sentiment. Etre une chienne était devenu une seconde nature pour elle, que ce soit au boulot ou dans sa vie privée elle se faisait baiser. Son fils lui dictait sa façon de s’habiller et l’obligeait de coucher avec quiconque voulait bien d’elle. Sa journée avait été assez longue, elle s’était comporter comme une bonne salope, elle s’était comporter comme son fils lui avait dit. Sa voiture en panne, elle avait du aller à son travail en transport en commun, habillée comme une bourgeoise coincée, le matin avec le monde dans les transports, ça ne gêne pas trop mais elle finissait tard le soir, et à cette heure il n’y avait guère de monde et ils étaient peu fréquentables . Voila à quoi elle pensait, au moment de rentrer chez elle, il n’y avait personne dans le wagon que ce soit au 1er niveau ou au 2eme à part un SDF qui dormait. Sa journée avait été longue, épuisante mais très satisfaisante. Son fils lui avait comme d’habitude dit (maintenant) comment elle devait s’habiller.
« Bon, aujourd’hui tu vas mettre ta chemise habituel ‘’Au….’’, tu vas mettre des talons noirs, avec des bas auto-fixant marrons, tu mettras avec ça une mini jupe noir, tu rajouteras à ta panoplie un soutif et un string de ton choix »
« Mais la tenue ‘’réglementaire’’ c’est un pantalon pour éviter certains problèmes avec des clients du magasin »
« Démerde toi, c’est ton problème, tu peux être convaincante quand tu veux et puis dis toi que justement je veux que t’ais certains problèmes avec les clients ou même avec tes collègues et dis toi autre chose, si tu fais bien ce que je te dis tu seras épargner de la petite sauterie organiser pour ta copine Sylvie »
Effectivement elle eut quelques petits problèmes avec des clients et des collègues.
Tout commença le matin avec le petit chefaillon de son magasin, il remarque la tenue de Delphine au premier coup d’œil.
« Ahhh bah Delphine c’est quoi cette tenue, vous savez qu’ici nous sommes dans une grande enseigne d’hypermarché pas dans un quelconque sex-shop »
« Je sais Mr Pudux mais je n’avais plus aucun pantalon à me mettre »
« Enfin passer d’un simple pantalon à une mini jupe au ras des fesses, il y a une limite »
« Je suis vraiment désolée, je pensais que habiller j’allais plaire à une certaine clientèle »
« Faites voir, penchez vous en avant » En se baissant, la jupe de Delphine remonta et laissa une vue imprenable sur tout son arrière train
« Ca me rassure vous avez quand mis un string, mais cela n’empêche que je ne peux vous accepter habiller comme ça » En disant cela, il regarda sa croupe et réfléchit, cette femme était une incapable toujours en arrêt maladie alors si elle pouvait servir à quelque chose et encore plus de vide couille, que ce soit pour le client ou pour le personnel, ce n’est pas plus mal.
« Finalement, je vais vous faire une fleur, vous pouvez y aller comme ca mais je veux que vous fassiez un truc pour moi » Elle se releva, remis sa jupe un peu plus convenablement et accepta. Il l’emmena non dans son bureau mais juste à l’accueil.
« Mon bureau est trop loin, il faut éviter qu’on nous voie ensemble, avec la réputation que vous allez vous tailler ce n’est pas bon pour mon image, allez y Delphine mettez vous à genoux et ouvrez mon pantalon » En s’agenouillant elle avait l’impression que ce n’était pas la seule bite qu’elle allait sucer, en attendant elle s’appliqua pour faire une bonne pipe à son chef . Cette place à l’accueil était parfaite pour les pipes, l’homme pouvait vaquer à certaine paperasses tandis que la femme pouvait elle sucer des bites en toutes impunités. Pudux serra quelque main, tandis que son employée, cette bonne à rien, tire au flanc, était en train de lui tailler une pipe monstrueuse. Elle allait enfin servir à quelque chose, dès qu’il n’y avait personne, il l’insulta copieusement.
« Allez suce salope, vide couille, bonne à rien, garage à bite » Et au bout d’une quinzaine de minutes, il lui bloqua la tête et éjacula dans sa bouche. Elle faillit vomir mais ne perdit pas une goutte de foutre.
« Avale tout salope, et va travailler ça te changera » Toujours à genoux elle avala tout le sperme sous les yeux de son chef.
« Merci Monsieur » Elle partit pour de nouvelle aventure.
La matinée s’était plutôt bien passée, à part des regards mal placés, deux-trois commentaires bien salace, elle n’avait rien eu à faire sexuellement parlant. Enfin jusqu’au moment où elle se retrouva dans la réserve. Juste avant la pose déjeuner, elle dut y chercher plusieurs produits pour remplir des rayons. Au début seul, elle ne se rendit pas compte que quatre collègues l’avaient suivie, elle ne les avait toujours pas remarqués quand elle prit ses produits. Elle ne les vit qu’au moment où les quatre se dressaient devant elle.
« Alors Delphine où tu pensais aller comme ça, habiller de cette façon »
« Nulle part, j’attendais ce moment » Les quatre hommes s’approchèrent d’elle et commencèrent à la peloter. En deux temps trois mouvements, elle se retrouva à genoux, la jupe retroussée, les seins sortis du soutien-gorge et surtout entourée de quatre bites. Elle suça chaque bite avec la même envie et laissa les hommes jouer avec elle. Une fois ces préliminaires finit, elle se releva, alla s’empaler sur le premier venu. Il la retint par les jambes et la pilonna comme un forcené, un autre arriva par derrière et la prit par l’anus. Elle était coincée entre ses deux hommes, sa chatte était en feu son anus était bouillant, ils ne mirent pas longtemps à la remplir. Elle se détacha des deux hommes, les orifices déglutissant de sperme, elle n’eut pas le temps de se remettre de ses émotions que les deux autres enfonçaient déjà leurs bites. Elle était prise en double pénétration, un mec en dessous qui lui faisait la chatte et l’autre qui s’occupait de son anus, ses deux orifices étant déjà largement lubrifié elle se fit littéralement déchirée, elle était toute rouge dégoulinante de sueur. Ils ne tardèrent pas à lui remplir ses deux orifices déjà bien plein.
« Remets bien ton string, salope, comme ça tu garderas bien au chaud nos spermes »
Les 4 collègues partirent sans même la remercier ou un simple regard. Elle se rhabilla (remit son string convenablement!) et alla manger. Elle sentit tout le sperme se répandre, humidifié tout son string, tout son entrejambe était noyé dans le foutre.
Elle ne remarqua pas ce petit vieux qui la suivit pendant une bonne partie de l’après midi dans les rayons. A vrai dire elle ne le remarqua qu’au moment de sa question
« Excusez moi Madame, vous pouvez peut être me renseigner? »
« Oui Monsieur, que puis faire pour vous? »
« C’est au sujet des bas » Elle était entrain de mettre en rayon des bas et des collants
«C’est pour votre femme c’est ça? Il y a différents types de bas… »Il ne la laissa pas finir sa phrase
« Malheureusement ma femme est décédée, non je posais la question au sujet de vos bas à vous »
« Quoi comment ça? »
« Je suis vos déambulations depuis un certain temps déjà, et je me demandais ce que vous pourriez avoir sous votre jupe »
Il commença à se rapprocher d’elle, il commença également à jouer avec sa jupe. Elle écarta sa main
« Je ne vous permet pas, vieux pervers »
« Allez fais pas ta princesse, t’es la seule à avoir mis une jupe aussi courte, ce n’est pas pour faire jolie »
Il avait raison, complètement raison. Elle se laissa faire.
« Humm, des bas-auto fixant » Il se rapprocha, toucha la cuisse gainée de nylons, passa la main sur les motifs puis passa sa main a l’intérieur.
« T’aime ça gros pervers »
« Oh oui et ce n’est pas fini » Il baissa sa braguette, sortit sa bite de son caleçon. Il tira sur un des bas et mis sa queue à l’intérieur et il commença les va et vient. Le vieux se branla sur sa cuisse. Le tableau n’était guère reluisant pour Delphine, elle était dans le rayon lingerie, un vieux était en train de se branler avec sa jambe comme un petit chien. Elle sentait son souffle sur son cou, il haletait. Il avait une main en train de lui pétrir ses seins l’autre en train de farfouiller son string, sa jupe était remontée. N’importe quel client qui passait dans ce rayon pouvait se douter de ce qu’il se passait. Il faut dire que Delphine ne faisait rien pour être plus discrète, elle commença à gémir et à onduler son corps pour mettre le vieux dans des meilleurs conditions car le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il était endurant. Elle se mit à crier quand il lui attrapa le clitoris.
« Ah je crois qu’on vient de toucher un point sensible, on va jouer un peu avec » Il le fit rouler entre ses deux doigts, elle cria plus fort.
« Doucement, tu veux ameuter tous les clients » Tout en disant cela il continua de le faire rouler.
« AH…AH…AH… » Elle essaya de se mordre les lèvres pour éviter de crier mais rien n’y fait le plaisir était plus fort. Il prit une boite de collant sur l’étalage, ouvrit la boite et enfonça les collants dans sa bouche. Son image n’allait pas en s’améliorant. Comme si de rien n’était il continua son travail sur son clito. De la sueur commença à couler sur le visage tout rouge de plaisir de Delphine, un bout de collant sortait de sa bouche. Elle sentait poindre l’orgasme.
« Humpf…Humpf…HUMPF » Ca y est l’orgasme était arrivée, il avait été dévastateur, elle expulsa un tel jet de mouille que malgré les doigts et le string, la mouille coula sur ses cuisses et laissa une flaque sur le sol et elle faillit perdre l’équilibre. Sans le petit vieux elle serait tombée sur sa propre flaque.
« Et bah dis donc, si s’est pas du plaisir ça je m’y connais pas, flûte j’en ai plein les doigts » Il essuya ses doigts sur le visage de Delphine. Elle essaya de recracher le collant mais il l’en empêcha.
« Non, non, non tu garde ça, je n’ai pas envie de t’entendre quand je vais jouir, AHHH » Il éjacula sur sa cuisse un véritable jet de foutre qui dura au moins 10 bonnes secondes. Il resta collé à sa cuisse pour les dernières gouttes, puis il se retira et claqua le bas sur sa cuisse. Le tissu alla se coller au sperme et l’étala sur toute sa longueur. C’est simple, du haut de la cuisse et le liseré du bas jusqu’au genou, on pouvait voir des flaques de spermes étalés.
Tout en se rhabillant il lui glissa quelque mots.
« Merci petite pute, je me suis bien amusé, on se reverra, t’aime ça te faire baiser par des vieux, hein ? » Elle hocha la tête.
« Compte jusqu’a 10 et tu pourra enlever ton bâillon et te rhabiller et surtout laisse ta cuisse comme elle est »
Arriver à 10, elle recracha le collant, enfin elle respirait, elle avait les jambes en coton. Elle regarda sa cuisse et vit toute ses traces blanches, ses flaques. Elle allait essuyer quand elle se ravisa. Elle remit son chemisier, son string et essaya de réajuster sa jupe. Sa journée se terminait dans 2 heures, cela restait acceptable, elle pouvait rester comme ça.
Et la voila maintenant assise dans le train, elle avait croisé ses jambes sans faire attention au fait qu’on ne voyait que sa cuisse recouverte de sperme et que sa jupe s’était relevé et laissai voir la lisière de son bas et le haut de ses cuisses, une voix la tira de ses pensées:
« Madame, une petit pièce, s y ou plaît? » Encore un de ses roumains qui font la manche et qui dérange les gens, vraiment aucune considération pour les autres ces gens pensa-t-elle
« Non » Il remarqua la cuisse dévoilée de la femme, Delphine elle ne vit pas le regard du roumain sur sa cuisse découverte. Elle ne comprit pas non plus pourquoi il repartait avec le sourire.
Il revient après 5 minutes mais il n’était plus seul il était revenu avec 4 autres roumains comme lui. Ils regardèrent Delphine, sourirent et s’assirent sur la même banquette. Delphine commença à renifler le coup fourré, le wagon était entièrement vide mais non ils fallaient qu’ils s’assoient à coté d’elle. Elle remarqua également les regards sur son bout de cuisse dévoilée, elle tira sur sa jupe, on ne voyait plus que le haut de son bas mais elle ne pouvait rien faire pour les taches de spermes sur ses bas.
« Madame, une petit pièce, s y ou plaît ? » C’était le même roumain qui posait la question
« Je vous ai déjà dis non, laissez moi tranquille » Elle était de plus en plus gênée, de plus en plus mal à l’aise. Les 5 roumains se rapprochèrent d’elle. Un premier mit sa main sur le bas souillé, il retira sa main poisseuse et la montra à ses collègues et ils se mirent à rigoler.
« Laissez moi, je ne vous permets pas » Elle essaya de retarder le moment où elle allait passer à la casserole
« Dis moi madame, c’est quoi ton travail, t’es une pute ? »
« Ne me parlez pas sur ce ton là et arrêtez de m’insulter » Il recommença à mettre sa main sur sa cuisse et frotta le bas. Le sperme s’étala encore plus. Sa main était maintenant pleine de foutre, il la tendit à Delphine
« Lèche, pute »
« Non, me parlez pas comme ça, j’suis pas une pute, je travaille à Auch… »
« Ah comme ça t’as un travail normal, madame et ils te laissent travailler dans cette tenue ou tu te mets à quatre pattes »
Elle ne répondit pas à la question
« Réponds ou lèche »
« Vous faites chier, vous vous voulez une réponse, et bah oui je me mets à quatre pattes, voila vous êtes contents » Vu leurs mines ils avaient l’air contents
« Oh oui, on est contents maintenant lèche » Il avait toujours la main en l’air
« Mais…j’ai répondu à votre question »
« On s’en fout lèche ou je te le mets dans la gueule » A contre cœur elle lécha la main du roumain, elle trempa sa langue et aspira le sperme.
« C’est quoi ton prénom, Madame ? »
« …Delphine… » .
« Moi je m’appelle Alin, lui c’est mon frère Petru, mon cousin Cosmin, mon autre frère Cornel et un autre cousin Grigore » Il y avait toute la famille et ils allaient baiser cette pute hautaine. Cornel prit la parole dans un ersatz de français
« Maintenant madame, tu vas nous sucer la bite »
« Non, c’est hors de question je lui ai déjà léché la main, je ne suis pas à votre service » Elle se doutait que ce genre de réponse n’arrangerait rien mais elle devait gagner du temps pour retarder au maximum la sauterie qui s’annonçait assez hardcore
« Soit tu suces soit tu: comment on dit en français, tu lèches nos pieds » Elle regarda leurs pieds, des vielles baskets, sales, ils n’avaient pas de chaussettes. Cornel enleva ses chaussures et tendit un pied à Delphine.
« Tiens, un avant goût »
« Ca va pas vous êtes malade, j’appelle la police » Elle se releva, pris son portable mais Grigore se leva
« Assieds toi et donne ton portable » Comme envoutée Delphine s’assied et donna son portable.
« Lèche le pied et après tu nous suces, Ok » Elle hocha la tête, elle avait perdu toute force de se battre, elle avait juste envie que ca se termine. Au fur et à mesure qu’elle approcha sa tête du pied, elle sentit l’odeur et eu des hauts de cœurs, l’odeur était semblable au roquefort. Elle commença par embrasser le coup-de-pied puis les orteils et enfin la plante. Puis elle sortit sa langue et lécha le pied du roumain avec un dégoût non dissimulé. Enervé par ce manque d’envie, Alin prit Delphine par le cou et la força à avaler un bout du pied, elle avait les cinq doigts de pied dans la bouche Cornel accéléra le mouvement, elle effectua une véritable fellation à un pied. Son visage rougit, de la bave coulait de la commissure de ses lèvres. Cornel retira enfin son pied.
« Quelle pute, t’aimes ça les pieds hein, allez tu vas tous nous les sucer » Delphine se décomposa, revivre ça plus jamais
« Non je rigole, tu vas juste passer aux bites maintenant » Elle décrocha un petit sourire. Alin reprit la parole
« Mets toi à genoux, tu vas nous sucer à la chaine madame » Elle s’exécuta, elle était à genoux entre les roumains qui était chacun d’un coté, ils sortirent tous leurs bites, elles n’étaient guère plus propre que le pied de Cornel. Elle commença avec la bite de Petru, elle dut d’abord le branler puis une fois de taille acceptable, elle se le mit en bouche. Elle fit quelque aller retour puis la recracha et regarda à nouveau la bite, elle était devenu énorme, une vingtaine de centimètres, 4 à 5 centimètres d’épaisseur, aussi gros que son gode. Elle regarda autour d’elle et elle vit que les autres avaient une bite comparable. En voyant la tête de Delphine, ils rigolèrent.
« N’aie pas peur, continue, tu vas voir ça passe tout seul » Elle repartit à l’assaut de la queue, s’enfonça une bonne quinzaine de centimètres d’un coup mais elle eu plus de mal pour les 5 derniers. Voyant la difficulté, Petru lui appuya sur le crane et la força à tout gober. Cette première fellation lança les hostilités, on lui enleva le chemisier, lui sortit les seins du soutif, on lui enleva son string, remonta sa jupe d’un coup jusqu'à quasiment sa poitrine et on pelota sans vergogne. Elle continua de sucer ces bites mais maintenant on la fouilla de partout. Les 5 hommes sentirent sa chatte pleine de mouille et rigolèrent à gorge déployée. Elle était maintenant debout toujours à sucer, dans cette position on pouvait sans mal voir tout l’arrière train de Delphine, on lui enfonça trois doigts dans son anus, puis Cornel lui enfonça sa bite. Son cri fut étouffer par une bite mais elle fut très surprise, elle commença à aimer cette petite sauterie. Chacun leur tour ils la pénétrèrent analement puis on varia les plaisirs, elle était maintenant prise en sandwichs puis avait une bite dans la bouche et avec ses deux mains libres elle branlait les deux derniers. On changea encore de position, elle était maintenant dans le couloir central avec les deux bras attachés au montant des sièges avec ses bas, la tête collée au sol. La croupe relevée au maximum, ils la pénétrèrent vaginalement chacun leur tour en mettant un pied sur son visage pour une meilleur prise. Ils la détachèrent pour l’éjac finale, elle était allongée sur le sol se touchant les seins et la chatte en attendant le grand final. Ils la recouvrirent de sperme mais ce n’était pas tout, ils lui pisèrent dessus également, Delphine était au ange, jamais on ne l’avait traité de cette façon (ça n’allait pas durer). Pour l’humilier davantage on la força à marcher à quatre pattes dans l’allée avec un de ses escarpins dans le cul. Alain prit la parole:
« Bon on est épuisés, Madame, on va te regarder faire, tu vois le SDF la bas, tu vas le baiser » Elle ne fut même pas surprise et alla voir le SDF, boitante.
« Excusez-moi monsieur » Il empestait l’alcool, la sueur, il était surtout dégoutant.
« Hmmm qu’est ce que tu me veux »
« Ca vous dira de vous vider les couilles »
« Hmmm pourquoi pas »
Il se leva, sortit sa bite et sans se poser de question elle se le mit en bouche sous les rires, les insultes des roumains. Le SDF lui vida sa bouteille de rouge sur la gueule et sa canette de bière. Elle s’assit sur la banquette et se fit mettre par le SDF, il éjacula comme les autres sur son visage. Alin reprit la parole:
« Avant de partir, je veux voir un truc, la canette de bière et la bouteille, on va te les enfoncer »
Elle se remit à quatre pattes et fit même des petits va et vient d’impatience, la canette de bière ne posa aucun problème que ce soit dans sa chatte ou dans son cul. La bouteille de vin par contre ce fut plus compliqué, le goulot rendra comme dans du beurre dans les deux orifices, mais à la demande de Delphine ils essayèrent le culot.
« Mets-moi la base de la bouteille dans le cul »
« T’es sérieuse madame, y a au moins 7-8 centimètres, tu vas avoir mal »
Elle sourit et écarta encore plus les cuisses comme signe d’acquiescement, Alin ne se fit pas prier, il bloqua à l’entrée mais il força et sous les hurlements de plaisir de Delphine il réussit à rentrer le culot de la bouteille dans son anus, il prit une photo sur le portable et lui tendit.
« C’est bon, tu peux partir maintenant »
Elle embrassa chacun des roumains et même le SDF, il ne restait plus qu’Alin, il avait son string dans la main, il l’embrassa et lui enfonça son string dans la bouche.
« Dernier cadeau, adieu »
Elle ne se rhabilla même pas, elle prit juste ses bas et partit, le train s’arrêta pile à sa gare. Elle ressortit du train comme si on ressortait d’une machine à laver, elle avait son chemisier ouvert, ses seins sortaient de son soutif, sa jupe n’était plus qu’un vulgaire bout de tissu, elle avait son string dans sa bouche, ses bas aux mains comme ses chaussures. Elle rentra chez elle dans cet état beaucoup trop crevée pour se rhabiller, sur le chemin elle se fit siffler par un groupe de jeune mais ce fut les seuls personnes qu’elle rencontra. A la vue de son immeuble, elle vit que son appartement était le seul encore allumé. Elle prit les escaliers et entendit des bruits venant de son appart, elle tapa à la porte et son fils qui ouvrit la porte. Il était à poil.
« Ah maman, ça faisait longtemps, vu ton état t’as bien suivi mes conseils, tu me raconteras, mais comme promis tu évites la sauterie prévue pour ta copine »
Elle entra et vit au moins 25 personnes et entendit les cris d’une femme. Cette femme c’était Sylvie, elle était genoux les bras attachés et un masque harnais sur le visage, elle se faisait fouetter. Jean annonça qu’elle ne faisait pas partie de la sauterie, elle put ainsi aller dans la salle de bain, prendre un bon bain, en entendait les bruits de la partouze qui se déroulait, elle resta une bonne demi heure dans l’eau et sortit nue. Elle vit Sylvie sans son masque harnais mais avec deux bites dans l’anus, deux dans le vagin, deux dans la bouche. Elle était bien contente de ne pas participer à la sauterie, elle alla se coucher et s’endormit très rapidement.
Delphine et les rugbymans
Depuis cette journée où elle s’était fait baiser quasiment toute la journée, Delphine avait repris son petit train-train quotidien. De temps en temps une petite partie de jambes en l’air avec son fils, une pipe dans les toilettes de son travail mais plus de gang-bang et d’humiliation en tout genre. Elle avait repris possession de son corps. Une fois par semaine elle allait chercher son fils au rugby et des fois elle s’occupait du linge sale de l’équipe. Malgré la pluie, elle décide de ne pas mettre de manteau et s’habille de façon simple: un tee-shirt blanc, un jeans, des collants couleurs chair avec un soutif noir et une culotte de même couleur, sans oublier ses baskets, bref elle n’avait vraiment rien pour elle et pensait aller chercher son fils pour ensuite se coucher.
Une fois sur le terrain la pluie avait cessé. Elle sort de la voiture et son pied s’enfonce dans la boue. Il y en avait tellement qu’elle ne voyait pas sa chaussure, elle tente d’enlever son pied, mais il était tellement enfoncé que seul le pied vint, la chaussure était restée dans la boue. Elle enlève la deuxième et part en direction du groupe. Le contact de ses collants avec la boue était froid, le bas de son jeans était marron, elle arrive enfin prés des joueurs. Ils étaient tous également dans un sale état, de la boue de la tète aux pieds. Elle fait la bise à tout le monde, une quinzaine de mecs.
« Ah, maman tu es là on va pouvoir rentrer »
Jean n’avait qu’une envie rentrer chez lui, il avait passé 1h30 sous la pluie et voulait se mettre au chaud. Mais ses coéquipiers à la vue de sa mère n’étaient pas du même avis, il y avait peu de femmes qui se mêlaient d’aussi prés à l’équipe. Elle, avait fait la bise à tout le monde sans se soucier de la boue sur leur visage, leur maillot sale ou l’odeur de la transpiration. Ils se devaient de tenter leur coup avec ou sans l’avis de Jean.
Au vu de la protestation de l’équipe, elle se dit qu’elle n’était plus si pressée que cà de rentrer chez elle.
« Jean, nous ne sommes pas pressés, pourquoi ne pas me montrer une petite démonstration de votre entraînement ? »
Jean ne dit rien et c’est un camarade qui prend la parole.
« Pourquoi pas madame »
« Appelez moi Delphine, je suis encore assez jeune pour que l’on ne m’appelle pas madame »
« Très bien Delphine, on va s’essayer à la transformation » Il pose le ballon sur le tee.
« Et si on laissait notre invitée tirer, qu’est ce que vous en pensez les mecs ? » Un brouhaha d’acclamations se fait entendre.
« Mais je ne suis pas habillée pour ça je vais être ridicule »
« Mais non, mais non, tu cours et tu tapes dans le ballon, c’est tout »
« Bon d’accord »répondit Delphine.
Elle recule pour prendre de l’élan, sous les acclamations de l’équipe, elle se met à courir. A cause de la boue et avec ce qu’elle avait aux pieds, c’est-à-dire rien, mise à part des collants, sa course n’avait rien de gracieuse et ce que tout le monde attendait et espérait même son fils, arriva. Elle tombe de tout son long dans la boue dans un SPLASH bruyant. Les deux piliers de l’équipe la relèvent.
Elle était littéralement marron de la tête au pied, son tee-shirt dégoulinait de boue, son jean avait changé de couleur, son visage en était également recouvert, ses cheveux comme ses vêtements dégoulinaient. Toute l’équipe riaient, Delphine dut admettre également que c’était plutôt marrant.
« Bon voila tu es baptisée, bienvenue dans l’équipe .
Tous applaudissaient, des voix s’élevèrent dans l’assemblée ‘’Encore’’ ‘’Encore’’
« Delphine, ça te dirait de recommencer ? »
« Pourquoi pas, je m’amuse bien »
Elle commençait à se douter de comment allait se terminer cet entraînement, ce n’était pas pour lui déplaire.
« Par contre j’ai l’impression que ton pantalon te gène, tu devrais faire sans. »
« Tu crois ? Pourquoi pas, vous n’avez pas l’air méchant »
Et sous les sifflets de toute l’équipe, elle enlève son pantalon, elle se retrouve en collant sa petite culotte noire en transparence. Comme la dernière fois elle prend son élan et se met à courir. Son cul bouge dans tous les sens et ne réclame qu’une chose d’être libéré de cette étau de tissu. Et comme tout à l’heure elle tombe dans la boue et se retrouve dans la même position que tout à l’heure, le pantalon en moins. Les deux mêmes piliers la relèvent sans se gêner pour la peloter. Toute l’équipe était morte de rire et une tension sexuelle commençait à monter.
« Je ne suis vraiment pas douée au rugby »
Des ‘’A poil’’ commencent à monter dans le groupe, Cédric le jeune qui depuis tout à l’heure initie Delphine commence à la toucher de plus en plus sérieusement.
« Mais si, mais si, par contre tu devrais enlever ton tee-shirt, tu seras plus libre dans tes mouvements »
Delphine enlève rapidement le vêtement, rajuste son soutien-gorge. Les insultes fusent, les sifflets pareils, tout le monde est chauffé à blanc. La situation est pesante.
Comme les deux premiers essais elle prend son élan et s’élance, ses seins bougent son cul aussi. Toute l’équipe n’a qu’une envie, baiser cette femme recouverte de boue en train de courir en sous vêtements et qui tente de taper dans un ballon.
Évidemment elle échoue et retombe, à croire qu’elle le fait exprès, elle reste allongée dans la boue, elle se prépare à ce qui va se passer. Cette fois ci toute l’équipe la palpe et la relève.
« Je ne suis vraiment pas faite pour le rugby »
« Je suis sûr que tu es douée dans d’autres domaines » lui dit Cédric il commence à lui toucher le cul et à la doigter à travers son collant et sa culotte.
« C’est vrai, vous voulez une démonstration ? »
Sous les acclamations, elle se met à genoux et baisse le short et le caleçon de Cédric
« Attends, Jean est d’accord pour qu’on baise sa mère »
Il ne réfléchit pas bien longtemps
« Bien évidemment, nous allons la fourrer cette salope »
Toute l’équipe se déshabille, elle est impressionnée par la taille des bites et elle se dit qu’elle va en prendre pour son grade. Ils se positionnent en rond autour de Delphine, une quinzaine de queues de toutes tailles, assez impressionnant. Elle commence par Cédric, elle donne deux trois coups de langue et elle s’enfonce une partie de son pénis, elle a du mal à toute avaler, mais au final elle a réussi à prendre toute la bite dans sa bouche.
Elle gobe également ses boules pour ne pas faire de jaloux. Avec ses mains elle masturbe tout ce qui est à portée de mains. Elle se fait peloter, ses seins sont sortis de son soutif et pétris par des mains sales habituées à tâter le ballon. Une fois le tour terminé, elle se relève et se frotte comme une professionnelle avec sa barre. Elle sent les grosses pines dans son sillon, prêtes à exploser.
Elle suce le premier venu, ainsi cambrée elle offre sa croupe à tout le reste de l’équipe, on ne tarde pas à lui baisser son collant et sa culotte, on lui fesse le cul, devenu rouge et boueux comme tout le reste de son corps.
On la prend vaginalement, les commentaires fusent, du style ‘’Un vrai garage à bites cette salope ‘’ ‘’Elle a dû s’en prendre des kilomètres de bites celle la ‘’. Ils passèrent tous dans sa chatte.
Jean s’allonge par terre, Delphine a droit à quelques secondes de repos. Cédric prend la parole :
« Bon la salope, tu vas te faire mettre par ton fils »
Elle se positionne sur la bite de son fils et colle son corps sur le sien. Il commence les va-et vient, il lui claque le cul, lui enfonce un doigt dans son anus. Elle crie, toute décoiffée, pleine de boue et de sueur mais elle en redemande.
« Prenez-moi tous »
Ils ne se font pas prier, toute l’équipe se rapproche d’elle. Au final elle a une bite dans son cul, se fait prendre vaginalement par son fils, suce une bite et branle ceux qui lui passent à portée de main. Elle se fait enchaîner ainsi par toute l’équipe jusqu'à la grande éjaculation, tout le monde se retire, elle reste allongée dans la boue en attendant le feu d’artifice final, ils sont tous en rond autour de Delphine, la bite à la main en train de s’astiquer la tige. Le moins que l’on puisse dire c’est que le feu d’artifice fut grandiose, aucune partie de son corps ne fut épargné. Sur tous son corps il y a de la boue et du sperme, sur tout son corps. Elle essaye de se relever mais son équilibre est sommaire. Les jeunes sont tous en train de se rhabiller.
Cédric prend la parole
« Ton fils nous a donné ton numéro de téléphone, ne t’étonnes pas de recevoir certains appels, on va garder ton soutif et ta culotte en souvenir, ça ne te déranges pas au moins ? »
« Non, aucun »
« Tu es vraiment une salope, allez rhabilles toi sale pute » dit Cédric tout en mettant une grosse claque sur son cul.
Sur ces derniers mots Delphine se rhabille et rentre avec son fils. Elle est trop fatiguée pour conduire, elle laisse faire son fils. A peine installé son fils lui demande :
« J’espère que tu as encore faim » Il sort sa bite
« Suce salope » C’est ce qu’elle fait en s'appliquant.
Delphine et le lesjeunes clients blacks
Depuis sa partouze avec tous ces jeunes, Delphine avait fait du chemin dans la débauche sexuel. Elle était passée de mère de famille tout ce qu’il y a de plus classique à une véritable pute, elle se faisait baiser au travail et a la maison. Au travail c’était soit les clients du magasin, son chef de rayon ou ses collègues, le pire étant chez elle, elle se faisait prendre par son fils, ses copains et était vendu par le fruit de ses entrailles a de parfait inconnu, elle enchainait ainsi jusqu'à tard dans la nuit les clients dans sa chambre.
Durant cette épreuve elle n’était pas seule et pouvait compter sur l’aide de son amie et également la mère du meilleur copain de son fils. Sylvie avait également participé à cette fameuse partouze et tout comme Delphine cela avait été le début de la fin pour sa réputation et son amour propre. Elle était également devenue une véritable pute, mais le pire pour elle c’était au travail. Etant CPE dans un lycée professionnel, elle était donc en contact avec des jeunes toute la journée et ils étaient donc tous plus ou moins gérable, elle devait représenter l’autorité et non une vulgaire trainée. Malheureusement pour elle sa nouvelle réputation ne tarda pas a interféré dans son travail. Certains jeunes lancèrent des rumeurs sur son compte, ses rumeurs qui allaient être confirmé par l’arrivée de la vidéo de la partouze. A partir de ce moment que commence la descente au enfer de Sylvie qui commença par l’ignoble chantage fait par le groupe de jeune sur sa personne. Ils la baisèrent dans le parking du lycée a l’abri des regards, une fois recouverte de sperme ils la prirent en photo et diffusèrent comme même la vidéo et les clichés de sa dernière baise. Elle était devenue la pute de tout un lycée mais ca c’est une autre histoire.
Revenons à Delphine.
Elle était assise sur son canapé, les jambes repliées, devant sa télé en train de récupérer de sa journée de travail bien remplie. Elle s’était encore faire prendre par des clients de son hypermarché et comme d’habitude elle s’était laisser faire et en avait tiré un certain plaisir, certain de ses collègues en avait également bien profité, mais elle s’était fait une raison, c’était une chienne juste bonne a se faire saillir par des hommes. Elle s’était changer, mis un vieux jogging, un vieux t shirt blanc et n’avais qu’une crainte le retour de son fils, quel tourment va-t-il lui faire subir. Elle entendit la porte s’ouvrir, son fils venait d’arriver.
« Alors, salope on dit plus bonjour »
« Bonjour Jean tu as passé une bonne journée »
« Pas a moi, chienne, mets toi a genoux et dit bonjour a ma queue »
Docile elle se mit a genoux, baissa le pantalon, sortit la queue du caleçon et commença sa fellation, une fois bien dur, il bloqua la tête de sa mère, il accéléra le mouvement a tel point qu’une fois la fellation finit, elle avait le visage rouge et sa bave se mélangeait au sperme de son fils.
« T’es vraiment qu’une grosse salope, juste bonne a te faire baiser, m’enfin bref, va te changer j’ai un truc pour toi, y a deux clients qui arrivent et qui vont passer la nuit avec toi et ton cadeau »
Elle qui avait pensé passer une soirée tranquille, c’était raté. Elle allait faire la pute pour deux clients. Elle ouvrit sa commode prit un porte-jarretelle avec les bas noirs qui allait avec et pris un string et un soutif de même couleur, se changea et sortit de la chambre.
« Ah la voila avec sa tenue de travail »
Il avait dans ses mains, un sac en plastique et une bouteille d’huile et l’air ravis.
« Et voila ton cadeau »
Il sortit de son sac, un plug anal aux dimensions surhumaines, de couleur noir. Il était vraiment monstrueux mais le plus monstrueux était le sourire de son fils. Delphine était elle horrifié, jamais un tel engin allait rentrer dans son anus, elle allait avoir très mal, il faisait un bon 8 cm de diamètre et connaissant son fils elle allait se faire défoncer.
« Mets toi a quatre patte et prépare toi à subir ta pire humiliation »
Elle s’exécuta, écarta au maximum les cuisses et attendit son affront. Elle sentit un liquide tiède sur ses fesses, son fils commença a la badigeonner d’huile, le liquide coulait le long de ses cuisses sur ses bas. Il lui tendit le plug et lui dit
« Tiens dis bonjour a ton nouvel ami »
Elle embrassa le bout du plug, l’entoura de sa langue et commença des petits va et vient.
« Doucement, doucement, ce n’est pas une bite, hein mais si t’y tiens, prends le plus profond » Et il enfonça le plug dans la bouche de sa mère en l’étouffant a moitié »
« T’aime ca, hein » Il n’eu comme réponse qu’un bruit de succion et de crachat. Il retira le gode et elle recracha une quantité astronomique de bave, une flaque se format sur le sol. Elle s’essaya d’aligner deux mots :
« Ha….ha….ha….ha pourquoi tu me fais ca ? A quoi ca t’avance de m’humilier de cette façon, je suis ta mère comme même »
« Toi ma mère, m’ouais avant que je voie la vidéo c’est ce que t’étais pour moi, maintenant t’est qu’une vulgaire trainée, qui aime bien la baise et concernant ton humiliation, ca te plait n’est ce pas, ose me dire le contraire »
Elle ne répondit rien, oui elle aimait être traitée comme une chienne, être humilié de la sorte lui apporta autant de plaisir que l’acte en lui même , ce qui la gêna c’est que ce soi son fils qui lui fasse ca , que ce soit son fils qui l’ai humilié le plus et qui l’ai poussée le plus dans la dépravation . Mais elle l’avait bien cherché, forcement qu’a 20 ans son fils allait tomber sur la vidéo porno. Finalement elle se dit qu’elle préféra rester esclave de ses désirs et de se laisser totalement faire que ce soit avec son fils ou avec n’importe qui. Delphine écarta encore plus les cuisses, elle se cambra au maximum a tel point qu’elle avait sa joue dans sa flaque de bave. Avec ses mains expertes elle écarta son string et s’enfonça un doigt dans son anus.
« Enfonce-moi le plug »
Jean à peine choqué par les paroles de sa mère, huila le plug et commença son travail. En une seule pousser il lui enfonça la moitie de l’objet, Delphine poussa un cri de démente, elle écrasa son visage encore plus fort sur le sol. Il retira le gode, prit la main de sa mère, la huila et la guida vers l’anus, il la força à se mettre un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre et enfin le 5eme. Delphine était dans une sale position, la tête dans la bave, la main dans le cul, plié en deux. Jean prit une photo de sa mère et lui retira sa main. Il lui mit sans plus tard le plug qui cette fois rentra en entier jusqu'à la butée et Delphine se remit à crier.
« Et bah voila, c’est rentré comme dans du beurre finalement, ce n’était pas si terrible »
En disant cela il regarda sa mère a quatre pattes, la tête dans une marre de bave, le cul éclaté par un bout de plastique, elle essaya de retrouver sa respiration.
Il lui remit son string en place, lui administra une bonne claque au cul, la fit remettre debout et lui dit de marcher. A première vue rien ne faisait penser au 8 cm de diamètre en plastique qui lui labourait le cul, par contre la deuxième vue n’était pas glorieuse pour la mère de famille, sa démarche était vraiment ridicule (en même temps avec un trou du cul élargit de 8cm) elle était obligé de se cambrer a moitié, son visage était rouge et dégoulinait de sueur et de bave.
« T’es vraiment parfaite comme ca , une vraie chienne soumise , enfin bref les client ne vont pas tarder a arriver , va refaire ton maquillage , nettoie toi un peu , surtout garde le plug , tu me remerciera plus tard .»
Elle y alla sans demander son reste. Tandis que son fils réglait les derniers détails au niveau de la vidéo car évidemment tout ce qui ce passait dans la chambre de sa mère était diffusé sur internet, même en live lorsqu’il s’agissait de clients aussi bien membrés, car vu les deux clients sa mère allait prendre très cher. On toqua a la porte, Delphine eu le temps de se refaire une beauté et alla ouvrir. 2 jeunes noirs était a l’entrée et rentrèrent directement dans le vif du sujet.
« C’est toi Delphine ? »
« Oui »
« Moi, c’est Kenny et lui Kelvin et t’es a nous pour la nuit »
« Exact, rentrez j’ai hâte »
Les deux étaient très grands, blacks, plutôt pas mal physiquement, ca lui mettait déjà l’eau a la bouche. Kelvin prit la parole :
« Au fait on est dans le lycée d’une certaine Sylvie ca doit te dire quelque chose, Non ? Vous formez un beau duo de salope »
« Oui bien sur, vous l’avez baisée ? »
Delphine se sentait coupable de la situation de Sylvie, après tout c’était elle qui l’avait embrigadée dans cette partouze.
Des grands éclats de rire éclatèrent.
« Oh oui et pas qu’une fois et pas que par nous, cette chienne se fait prendre par tout le monde, les élèves, les profs, les pions et même les agents d’entretiens. Mais on nous a dit que t’était pas mal non plus, voir même mieux » Ils commencèrent à la peloter, a l’embrasser, la doigter, ils découvrirent ainsi le plug.
« Oh la salope, elle à déjà un truc dans le cul » dit surpris Kelvin
« On m’a prévenu que vous étiez plutôt bien membrés, j me suis préparé » répondit Delphine en leur touchant la queue a travers leurs pantalons.
« T’inquiète pas ce soir tu vas être servie »
Kenny cambra la mère de famille, lui écarta les cuisses et son string, ainsi positionnée on pouvait voir tout l’intimité de Delphine et surtout ce plug qui écartait son anus. Sans aucune douceur Kenny le lui retira, avec la surprise sur le coup elle ne sentit même pas la douleur, elle vint juste après, elle poussa un cri.
Sa situation n’était pas glorieuse, cambrée dans son entrée en lingerie fine, avec 2 mecs qui étaient occupé avec ses fesses, son cul tellement éclaté. Kenny et Kelvin était surexcités a la vue de cette blanche a l’anus éclaté et prête a se faire baiser comme la dernière des chiennes.
Delphine toujours cambrée dans son entrée, était en train de sentir les doigts de Kenny de plus en plus profond, elle vit également Kelvin en train de baisser son pantalon, elle put donc voir sa bite a travers son boxer.
« On adore les putes blanches dans ton genre, t’aime ca te faire humilier par des blacks, hein salope, allez sort ma bite de mon boxer et suce moi »
« La, dans l’entrée, on sera plus a l’aise dans ma chambre ? »
Kenny la fessa violement et lui dit :
« Ta gueule, sale pute, on t’a pas demandé ton avis, on n’est pas la pour que tu sois a ton aise, on est la pour se vider les couilles et humilier une blanche alors tu vas le sucer et pendant ce temps je vais t’enculer et on fera ca dans ton entrée »
Il enleva son pantalon et son boxer et sans aucun préliminaire. Il enfonça sa bite dans son cul, il s’enfonça jusqu'à la garde puis commença des allers-retours frénétiques. Malgré les assauts répétés Delphine réussit à sortir la bite de Kelvin de son boxer, elle eut un léger mouvement de recul au vu de la taille de la queue du premier, le deuxième qu’elle sentait dans ses entrailles devaient être de la même taille.
Kelvin la prit par les cheveux et la força a sucer sa bite, elle dû tout gober. Elle avait eu rarement aussi gros dans la bouche et dans le cul , elle recracha tout sa salive sur la bite , le mélange de sa propre salive avec la bite noire était parfait . Après cette première pénétration buccale, elle fit elle même la fellation, elle essaya également de calquer ses va et vient en fonction des bourrades qu’elle recevait. Kenny était déchainé :
« Oh putain, cette salope a un trop bon cul, on va bien l’éclater cette chienne »
Kelvin lui aussi était également bien chaud :
« T’inquiète qu’elle suce bien aussi, elle doit avoir de l’expérience, avec toi et Sylvie ont a bien la preuve que les vieilles blanches sont vraiment les plus gros chiennes, allez lèche moi les couilles. » Ce que fit Delphine avec gourmandise. Elle sentit un liquide chaud au fond de ses entrailles, Kenny venait d’éjaculer dans son trou du cul. Les coups de langues sur ses boules ne fit pas durer longtemps Kelvin non plus, il aspergea de longues giclées de sperme le visage de Delphine. Les deux prirent la mère de famille en photo.
« T’es parfaite recouverte de sperme, on va envoyé ces photos a des potes , ils vont pouvoir comparé a ta copine , tiens donne nous ton numéro , il faut absolument qu’on vous emmènent toi et l’autre pute dans une petite boite antillaise où tu vas comprendre ce que c’est de ce faire baiser , Allez on va dans ta chambre »
Delphine donna son numéro a Kelvin et commença a marcher douloureusement vers sa chambre quand on la tira en arrière par les cheveux. C’était Kenny
« A quatre patte, chienne, reste a ton niveau de pute, tu ne vaux pas plus » Soumise, elle se mit a quatre et alla vers sa chambre.
Elle s’allongea sur son lit, se titilla le clitoris et attendit son heure. Kelvin lui adressa la parole
« Tiens je t’ai ramené ton vieux pote, lave le un peu, il sort de ton cul, et on sait très bien qu’il est plus tout propre » Il lui tendit son plug, Delphine s’exécuta lécha d’abord le plug puis se l’enfonça entièrement dans la bouche et mima une fellation baveuse. Les deux clients étaient surexcités, ils allaient défoncer cette pute. Kenny était comme fou en voyant cette femme, il lui retira le plug et il le remplaça par sa bite
« Allez chienne finit de jouer passe a une vraie bite »
Sans aucune forme de pitié, il lui enfonça sa queue jusqu'à la garde puis commença les va et vient d’une violence inouïe. Les bruits de succions emplissait la chambre, la tête de Delphine était complètement enfouie sous le corps de Kenny .Quand il se retira le visage de Delphine avait changé, les filets de baves reliaient son visage a la bite , sa salive coulait de sa bouche , son maquillage avait coulé. Kenny essuyait sa queue sur la face ravagé de la pute.
« Alors la chienne, t’as aimé te faire baiser la bouche »
Delphine incapable de prononcer le moindre son, hocha positivement la tête. Il s’adressa alors a son pote :
« Tu vas la lécher cette pute »
« Non, je ne sais pas où elle a trainé, celle la »
Il commença a lui toucher la chatte, remarqua qu’elle était mouillée, rigola un bon coup puis il la doigta avec quatre de ses doigts. Tout comme Kenny les va et vient étaient violents, les bruits des clapotis emplissait également la chambre. Delphine se débattait avec son orgasme, elle n’en pouvait plus, ces deux jeunes la rendait folle, elle bougea dans tout les sens, attrapa ses couvertures et laissa l’orgasme la dévaster. Kenny et Kelvin étaient hilares
« A peine doigté, elle jouie déjà, une vrai bonne grosse pute comme je les aime » Il lui retira son string. A partir de ce moment Delphine n’avait plus que des brides de souvenir, des rires, des insultes, son corps qui bougeait de tous les cotés et l’effet qu’avait ses 2 bites sur son corps.
A son réveil, elle sentit un liquide chaud qui coulait sur son corps, elle ouvrit les yeux et vit les deux mecs en train de lui pisser dessus.
« Regarde, la salope est réveillée, ca te plais la pisse comme réveil, grâce a toi on s’est bien vider les couilles, t’es une super pute comme ta copine, on vous appellera pour la virée en boite » Ils quittèrent la chambre et l’appartement laissant Delphine sur son lit recouverte de pisse, de sperme et de salive.
Mais ce n’était pas tout, Delphine était attaché au niveau des pieds et des mains avec ses bas et avait son string dans la bouche.
Elle sentit son corps vibrer, elle ne comprit pas sur le moment puis se contorsionna et vit c’était son téléphone qui vibrait et qu’il était enfoncé dans sa chatte. C’était surement son fils qui lui envoyait un message.
Ainsi bloqué, puant la pisse et le sexe elle attendit son retour.
Pas de suite...