Quantcast
Channel: Chez Andre 112
Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Quelques brefs témoignages de bonne salopes...

$
0
0
 Aventures de salopes..!
Le barJ'étais assise dans ce bar depuis le début de la soirée, profitant de la tiédeur du mois de mai pour dévorer un bouquin. J'y avais dîné, bu quelques verres sans réellement prêter attention à la faune qui changeait d'heures en heures.
Vers minuit tout changea, les couples et groupes d'amis firent place aux types du quartier, parfois un peu bourrés, souvent par groupes de 2 ou 3. Assise dans mon coin je détonnais. 25 ans, châtain, yeux verts, 1m65, environ 60kg mais surtout 95D, vêtue d'une longue jupe sombre et d'un chemisier blanc, je réalisais soudain que les regards étaient braqués sur moi et j'entendais des bribes de conversations.
- T'as vu ces seins... tu crois qu'elle a quelque chose sous sa jupe ?" etc.
Je me décidais à payer et sortir, j'appelais donc le serveur qui me proposa de m'offrir un verre, que je refusais. Là 4 des types qui étaient au bar s'approchèrent et s'assirent à coté de moi
- Ben alors ma chérie, on traîne dans les bars toute seule et on refuse un verre, ca ne se fait pas ça"...
Et là, au moment même où le patron fermait le rideau du bar, je sentis deux mains s'insinuer sur chacune de mes cuisses et remonter ma jupe. J'essayais de me débattre mais les deux autres m'attrapèrent les poignets.
- Allons, je suis sûr que tu vas aimer, détends-toi un peu"
Ils avaient commencé à déboutonner mon chemisier laissant mes seins à peine cachés par mon soutien-gorge en dentelle. Mes tétons pointaient déjà.
- Quelle paire de nibards, tu dois en attirer des mecs dans la rue... t'aimes ça pétasse, te faire tripoter hein "
Je dois dire que je commençais à trouver la situation excitante... 3 des types dont le patron étaient plutôt pas mal, la quarantaine, le serveur un black costaud la trentaine, et deux clients marocains peut être la cinquantaine. Je me voyais l'objet de ces types, un vieux fantasme.
Le serveur a été chercher des capotes dans les toilettes en disant
- Avec ce genre de salope, faut se méfier
J'étais sur la banquette la jupe remontée, ma culotte aux chevilles le patron était en train de caresser ma chatte épilée en sirotant une bière. Pendant ce temps là, un des 2 marocains tétait mes seins dont les bouts étaient tout durs. Assis à mes cotés, deux autres avaient sorti leur queue que je tenais à pleine main. Toutes ces mains qui couraient sur mon corps, m'écartant, me fouillant, le black approcha sa queue déjà dure près de ma bouche
- T'en a jamais sucé une comme ça, je suis sûr, espèce de petite chienne. Tiens, prends-la".
Il me l'enfonça dans la bouche en me tenant la tête, je ne voyais plus rien. Je sentis juste quelqu'un me soulever et m'enfoncer un doigt humide de mon jus dans le cul, pendant qu'une énorme bite, sûrement le marocain, s'enfonçait dans mon vagin. Le black se retira et jouit sur mes seins.
- T'aimes ça le foutre, espèce de pute, étale-le bien sur toi
Je les vis alors quasi en file indienne, la queue à la main. Le deuxième marocain vint s'asseoir sur la banquette, ils me soulevèrent et il m'enfila sa queue dans le cul sans ménagement.
J'étais prise par ces deux types, les plus vieux de l'assemblée qui malaxaient mes énormes seins en me traitant de petite pute, de chienne, les autres venant frotter leurs queues sur moi aussi...
Ils jouirent successivement et me prirent tous par les deux trous, sur des tables, par terre... Me laissant épuisée et honteuse... Au moment où l'équipe du ménage arrivait...

Jeune salope
Salut c’est moi Elodie !
Après ma première expérience à plusieurs qui me fit décoller au 7ème ciel, je devins une belle salope ! De toute façon je l’étais déjà mais je ne le savais pas.
Depuis je m’habillais beaucoup plus sexy et plus provocante. En fait je peux bien le dire, je ne recherche que de la baise pure et simple. Et quand on recherche le sexe, on le trouve toujours…
La fac est mon terrain de chasse, je fais du rentre dedans aux gars et le nombre de mes conquête augmente rapidement. Le problème c’est que ça commence à être voyant et je crois qu’on m’a décerné la palme de la meilleure pute de la fac. Je ne suis pas enchantée de ce sobriquet mais au moins il est juste !
Un jour, j’attendais tranquillement dans un couloir quand un type de l’administration vint de dire que mes tenues provocantes n’étaient guère très appréciées et qu’il faudrait que je me méfie. Je lui répondis que j’y veillerai en me penchant de manière à ce qu’il ait une vue imprenable sur ma belle poitrine. La réaction fut immédiate car il devint tout rouge de honte mais ce rinça bien l’œil !
Pour ce qui est de la tenue je suis uniquement en jupe assez courte et avec un bon décolleté ou un dos nu. Je ne porte plus que des soutient gorge pigeonnant et des strings quand je porte une culotte ! C’est sur que j’attire tous les regards mais je crains un peu pour ma scolarité. Et si ces crétins me renvoyaient pour ça ? Quelle honte ce serait !!
Je me sentis assez mal pendant toute la journée et mes craintes étaient fondées ! En effet au cours de l’après midi je fus appelée par le directeur de mon DEUG. Un homme assez austère qui me fait un peu peur.
J’arrive dans son bureau en ayant remonté un maximum mon petit haut et baissé ma petite jupe. Dès le premier coup d’œil qu’il me lança mon sang se glaça et je compris que ce ne serait pas une partie de plaisir…
- Mademoiselle… Je pense que vous connaissez la raison de votre venue dans mon bureau…
- Heu… pas vraiment, répondis-je maladroitement. Je n’allais tout de même pas lui dire que je pensais que cela pouvait provenir du fait que je m’habille comme une pute!
- Ah non ? Son regard se durcit encore plus et il me lança au visage : c’est peut être à cause des rumeurs à votre propos et de vos tenues qui sont mal appropriées pour un établissement scolaire !!
Je crus mourir sur l’instant, tant j’avais honte.
- Je m’excuse monsieur le directeur, je ferai attention à m’habiller… convenablement, dis je en baissant les yeux.
- Il aurait peut être fallu y penser plus tôt mademoiselle !! Vous vous croyez dans un pipe show ??!! N’avez-vous donc aucune PUDEUR et aucun RESPECT pour vous-même ??
Ces mots étaient si durs que je ne pus contenir mes larmes. C’était terrible et je pensais déjà à la réaction de mes parents s’ils apprenaient cela !
- Les filles d’aujourd’hui se dévergondent j’en suis conscient. Mais VOUS !! C’est un blasphème !! Vous êtes répugnante de honte !! Et ce n’est pas la peine de m’apitoyer avec vos larmes de débauchée ! Je vous VIRE !!! Allez donc trouver du travail au bois de Boulogne !!
Je crus à un cauchemar, ce ne pouvait être autre chose qu’un cauchemar !! Mais je me mis à supplier :
- Oh non je vous en pris ne me renvoyez pas !! Je ne suis pas une pute mais juste une jeune fille qui… qui à découvert des plaisirs inconnus (j’avais honte de dire cela mais je devais tout faire pour sauver ma place !). J’ai déliré et j’ai pêché mais je vous en prie ne me punissez pas ainsi !! Le suppliais je comme si je m’adressais à un prêtre. Je vais changer je vous le jure ! Croyez moi je vais rectifier ma conduite mais s’il vous plait ne me virez pas !
- Au moins vous reconnaissez vos fautes, petite débauchée !
Il se leva de son siège et m’agrippa par les épaules.
- Et bien je vais voir ce que je peux faire pour vous si vous êtes gentille…
- Pardon ? demandais-je incrédule.
- Une fille si dévastée par le sexe doit être pardonnée ainsi !
Je le vis descendre sa braguette doucement et son expression changea en celle d’un pervers démoniaque. J’avais du mal à comprendre ce qui m’arrivait car tout c’était passé si vite en si peu de temps.
Il baissa son pantalon et son slip et je pus découvrir une verge puissante et bien longue. Je n’aurais jamais cru qu’il soit aussi bien monté !
- Maintenant suce ! dit-il sans ménagement.
Et il prit ma tête pour l’avancer vers ce membre gigantesque.
J’ouvris la bouche et me mis à lécher le gland. Je le lapais comme un chat sur son bol de lait. Cette situation était troublante et excitante et je commençais à mouiller.
- On voit que tu as beaucoup pratiqué cela petite cochonne ! Tu es vraiment répugnante !!
Et il me maintint la tête pendant qu’il me baisait fortement la bouche. J’eus l’impression d’étouffer et la sensation de plaisir se transforma en une peur. Il me bloquait complètement la tête et me pistonnait la bouche de cette bite monstrueuse.

- Sale petite débauchée !! Je vais t’apprendre à avaler moi !! Tu ne mérites aucune compassion, tu es une pute et tu dois être traitée comme telle !
J’essayais de me dégager de cette étreinte tant bien que mal et je recommençais à pleurer.
- Pleure donc chienne, je vais te laver la bouche de mon foutre !
Et je sentis son sexe gonfler une dernière fois dans ma bouche avant de lancer des longues giclées au fond de ma gorge. Heureusement il relâcha son étreinte et je pus respirer confortablement. Je recrachais un peu de sperme en même temps qui coula sur ma poitrine et dans mon décolleté.
- Petite dégoûtante tu en as foutu partout !! Tu as intérêt à tout lécher, je ne veux plus voir de trace de souillure sur ce corps déjà sale !
Je fis ce qu’il dit et je ramassais le sperme avec mes doigts avant de les lécher.
- Fais moi voir ce corps souillé ?
Aussitôt il m’enleva mon haut et ma jupe et je restais en string et soutient gorge devant ce tortionnaire.
- Un corps splendide ! Des gros seins comme les tiens doivent bien plaire !!
Il sortit mes tétons de mon soutien gorge et les pinça sans ménagement. Je ne pus retenir un petit cri. Il me pelota sans délicatesse, soupesa mes seins, les mesura, les tordit dans tous les sens. Je me sentais sale à présent ainsi offerte, sans défense à ce malade mental. Puis il me lécha les tétons tel un bébé agrippé au sein de sa mère. Il les aspirait et cela me faisait très mal.
- Aïe !! S’il vous plait ! Vous me faites mal !!
- Rebelle en plus ? Si tu tiens à garder ta place ici je te conseille de la fermer idiote !!
Alors je me tus. Il me léchait les seins, me pinçait les tétons tant bien que mal qu’à force je ressentis du plaisir. Je me mordis la lèvre en penchant ma tête en arrière. C’était trop bon.
- Tu aimes ça petite cochonne. Et bien c’est pas fini !
Il rebandait sec et je voyais son membre de taureau qui se frottait contre mon ventre.
Il me souleva et m’assis au bord de son bureau. Il écarta mon string et me présenta son énorme gland à l’entrée de ma chatte complètement trempée. Je le sentis poussé et cela me fis mal.
- Tu as mal ? Tu n’as encore rien vu ! Je vais te baiser à tel point que tu ne pourras plus t’asseoir normalement !
Cela promettait !
En effet sa verge continuait son entrée dans ma caverne et je ne contrôlais plus rien (je veux parler de mes sens). Il était si énorme ! Si gros !!
- Ahh c’est un monstre !!!
- Oh oui et il va te bourrer comme jamais ma salope !
Il accéléra le mouvement et me pistonna plus vite. J’avais toujours un peu mal mais je savais que j’allais jouir peu de temps après ! Il m’agrippait bien les fesses, et les tripotait en même temps, et il me pistonnait maintenant sans retenue.
- Hummm oui… continuez…. Oh, oui… c’est bon !
Mes sens devinrent fous et je me lâchais complètement. Je ondulais comme je pouvais pour aller à la rencontre de cette énorme pine.
- Oh OUI, encore !! N’arrêtez pas s’il vous plait ! C’est si bon. Ahhh. OUI !! Hum… comme c’est bon !! OHH AHH vous me déchirez bien !! Oh, votre sexe est tellement gros !! Il me remplit complètement AHHHHHH. Oh OUIIII encore OUIIIII. Allez y !!! Défoncez moi ma chatte de salope !!!!!!
Et je me mis à jouir très fort et très bruyamment. C’était exquis et j’en redemandais encore ! Je me contorsionnais littéralement sous l’effet de la jouissance. C’était trop bon !!!!
- Ah petite salope, maintenant je vais m’occuper de ton cul de pute !
Cette idée me ravit tout d’abord puis j’eus très peur à cause de la taille de sa queue.
- Oh mais elle ne va jamais rentrer dans mon cul ! Elle va me déchirer le cul !
- C’est le but petite pute ! Je vais te péter le cul !!
Plus la tension était sexuelle plus son vocabulaire était cru. Aucun de mes amants ne m’avait dit qu’il allait me « péter le cul » ! Mais j’adore les mots crus et cela ne me gêna pas trop.
Il me retourna alors de sorte que mon cul était bien à sa portée et je m’étalais sur son bureau en m’accrochant comme je pouvais. Il prit quand même la peine de ma lécher le trou du cul pour l’humidifier encore plus et entreprit de le préparer en m’enfonçant 2 doigts d’un coup !
- Oh !! Vous m’avez surprise ! Mais… oh oui… continuez…. Humm…
Ses caresses me ravirent et je me laissais aller à ce plaisir quand il retira ses doigts soudainement pour faire place à sa queue gigantesque. Je crus qu’elle ne rentrerai jamais mais je sentis que mon « agresseur » s’y connaissait en sodomie !
Peu de temps après je pus apprécier une formidable enculade que j’appréciai complètement. J’adore me faire enculer, et qu’une si grosse bite le fasse m’enchantait.
- Tu l’as sens ma grosse bite dans ton cul ? Tu la sens bien ? Elle te fais du bien n’est ce pas ? Tu aimes te faire enculer ça se voit ! Et ben tu vas être servis !!
Et il me bourra le cul à fond ! Il me prit aussi fort qu’il pouvait.
Je ne tardais pas à sentir monter ma jouissance que je joignis de paroles de folle.
- OH OUIIIII !!! Elle me défonce bien le cul !!! Oh que c’est BON !!!! J’aime me faire enculer comme ça !! Oh encore !!! OUI ENCORE !!!! VAS Y DEFONCE MOI !!! OH OUI DECHIRE MOI LE FION !!! AHHHHHHHH
Je jouis comme jamais avec cette immense queue au fond de mon cul !!! Et mon directeur ne tarda pas à me rejoindre…
- Prends tout petite pute !!! Ce que tu te prends dans le cul ma salope !! AHHHHH OUIIIIII !!! C’est BONNNNNN
Et je sentis sa décharge de foutre au fond de mon cul. Il sortit de mon cul et me présenta sa verge encore dure que je m’empressais de sucer autant que je pouvais. Elle m’avait fait tellement de bien…
On se rhabilla et il reprit calmement.
- Mademoiselle, je pense vous donner une chance de vous racheter (c’est pas ce que je venais de faire ??). J’exige de vous une attitude respectable et je reverrai votre cas à la fin de semaine pour voir vos progrès. Retournez en cours !
- Bien monsieur. Merci beaucoup de votre compassion. Je saurai être reconnaissante.
Et j’attendis la fin de semaine avec impatience…

Supermarché
La grande surface où je vais fréquemment faire mes courses a récemment été refaite de fond en comble, et n'a bien sûr pas été fermée pendant cette période, bien que les désagréments inhérents à de tels évènements aient poussé la plupart des clients habituels à changer de crémerie pendant cette période.
J'y allais de préférence en milieu de matinée ou d'après-midi, car c'était là que les rayons et les caisses étaient le plus tranquilles, et c'est exactement ce que j'ai fait en ce radieux jeudi, mon panier à la main et mon walkman sur les oreilles.
Alors que je me promenais parmi les gâteaux apéritifs, j'ai remarqué un jeune homme de mon âge qui me fixait. Il était plutôt bien habillé, et avait fière allure, ce qui n'était pas pour me déplaire. Il m'a souri, et je lui ai rendu son sourire, ce qui ne coûtait rien. Il a continué de fouiller parmi les chips et divers crackers, tandis qu'ayant terminé avec ce rayon je me dirigeais vers les yaourts.
Sans penser davantage à lui je me suis plongée dans la dure tâche de sélectionner ma pitance, et au bout de quelques minutes je l'avais totalement oublié. Quelques ménagères poussaient ça et là leurs caddies, mais l'endroit était vraiment plus désert que jamais. Les caissières devaient jubiler.
J'ai soudain senti quelque chose me frôler, et me retournant j'ai vu le même mec qui m'avait rejointe. Sans s'arrêter il a tourné la tête pour m'adresser un sourire plus ravageur encore et s'est posté à quelques mètres de moi, devant les crèmes au chocolat.
Ses regards constants finissaient par me mettre mal à l'aise, et aussi par me donner des envies des plus perverses. Je lui souriais parfois, faisant mine de ne pas le voir le reste du temps, et je remplissais peu à peu mon panier de victuailles.
La fraîcheur du rayon faisait durcir mes tétons et j'ai vite remarqué que les yeux de mon admirateur ne les lâchaient pas. Me cambrant, je n'ai pu résister au plaisir d'améliorer un peu le spectacle en rejetant ma poitrine en avant. Jetant un œil à son pantalon j'ai remarqué qu'il bandait distinctement.
Le jeune homme s'est rapproché de moi, et se plaquant sur mon côté gauche il a posé une main ferme sur ma fesse droite. Le contact de sa main sur ma peau à travers le tissu m'a semblé très électrique, et j'ai réprimé un tremblement. Ses doigts ont lentement dévié vers mon entrecuisse, et se sont arrêtée sur l'élastique de mon slip. Car, oui, je vous l'avouerai mes chers lecteurs, il m'arrive, assez rarement j'en conviens, d'en porter.
A cette découverte il a émis un petit claquement de langue pouvant s'apparenter à de la désapprobation, et j'ai compris qu'il m'aurait préférée nue sous ma jupe.
J'ai souri à cette idée: nue sous ma jupe à me faire caresser devant le rayon yaourts, quelle excentricité!
Un bruit de caddie s'est soudain rapproché. En un éclair nous nous étions séparés de quelques mètres lorsqu'une vieille dame est apparue. Elle est restée environ trente secondes à hésiter devant les fromages blancs, et pendant ce temps ma nouvelle connaissance s'est éclipsé vers le fond du magasin.
Je ne savais pas où j'allais le retrouver, aussi me suis-je remise à remplir mon panier, me concentrant à nouveau sur mes courses.
Le bref contact que nous avions partagé avait su il est vrai m'exciter, comme m'excite généralement toute aventure sexuelle impromptue, et je sentais mon bas ventre envahi par une vague impression de désir, non encore trop virulente, mais délicieusement insistante néanmoins.
Je savais que ma vulve était chaude et trempée, et repensant à la rapide caresse que le jeune homme m'avait faite je songeais combien elle aurait été meilleure encore si il avait pu se laisser aller librement à toutes sortes d'inquisition.
Arrivée dans le rayon des nouilles et du riz j'ai été prise d'une inspiration subite et j'ai vivement retiré ma culotte, la glissant dans mon sac à main. Elle était aussi mouillée que je le pensais.
J'ai avancé le long du rayon, et j'ai entendu un bruit derrière moi. Jetant un œil, j'ai reconnu le jeune homme du rayon yaourts, qui avançait vers moi, l'air de ne pas y toucher. J'ai reculé jusqu'au rayon suivant, et j'ai relevé ma jupe, pour montrer que j'avais saisi son message.
Les yeux fixés sur sa queue je l'ai vue rapidement gonfler son pantalon, et je me suis approchée jusqu'à pouvoir poser tranquillement la main dessus.
Elle avait l'air d'une taille imposante, et la sentir ainsi sous ma paume n'a fait qu'augmenter mon excitation. Je mouillais de plus en plus, sans savoir comment satisfaire en un tel lieu mes instincts les plus pervers.
M'attrapant la main mon compagnon m'a entraînée vers un recoin désert du magasin, l'un des endroits les plus dérangés par les travaux et par conséquent désert, hormis quelques bâches et escabeaux.
Me plaquant contre le mur il a posé sa main sur ma cuisse et l'a lentement remontée vers ma chatte palpitante, avant d'y enfoncer soudain deux doigts énergiques.
Sous l'intensité de l'attouchement j'ai failli gémir, mais j'ai réussi à me retenir en me mordant nerveusement la lèvre.
Ne voulant pas être en reste j'ai posé mon panier à terre et j'ai fébrilement ouvert sa braguette, dévoilant un caleçon de soie grise du plus bel effet.
Je l'ai déboutonné et en ai sorti une queue énorme, bien droite et bien veinée.
Ses doigts en moi ont remué légèrement, en une caresse étrange au commencement puis de plus en plus excitante. Cette sensation de bouillonnement m'a arraché des soupirs, et j'ai lentement commencé à le branler, ne quittant pas des yeux cette masse imposante de chair, offerte à mes caresses avides le temps d'une étreinte volée.
Ajoutant encore un doigt afin de me remplir bien à fond, le jeune homme a commencé un mouvement régulier et puissant de va-et-vient qui me donnait l'impression de me faire baiser par une grosse queue à la morphologie un peu bizarre.
J'ai un peu fléchi les jambes afin de pouvoir écarter les cuisses; j'avais envie de m'ouvrir, de m'écarter, de recevoir en moi tout ce qu'il voudrait me donner...
A ce moment, un bruit nous a troublés. Relevant la tête, j'ai vu une femme tourner au coin du rayon, poussant un caddie déjà bien rempli. Elle était assez jeune, assez mignonne, mais paraissait épuisée comme une femme usée trop tôt par la vie de femme au foyer.
A notre vue elle a rougi violemment et a fait mouvement arrière. Sans nous troubler, nous avons continué, nous sentant bien à l'abri derrière notre bâche, moi qui branlais mon compagnon et lui qui me doigtait avec art.
Soudain j'ai vu dans mon champ de vision une tache sombre qui s'avançait sur ma gauche. C'était la femme au caddie, cette fois les mains libres. Elle avançait silencieusement vers nous, les yeux fous, la bouche entrouverte.
Ses vêtements étaient de mauvais goût, mais déjà elle glissait une main sous sa jupe, cherchant à satisfaire les envies que cette vision avait du lui donner.
Mon camarade ne l'avait pas encore vue.
Je lui ai chuchoté à l'oreille ce qui se passait, et il s'est tourné vers la femme. Elle a tressailli. Otant sa queue de mes mains, il l'a dirigée vers elle, et brusquement elle s'est précipitée à ses genoux.
Etonnée par la violence de son geste je me suis légèrement poussée de côté, et je l'ai regardée engloutir le membre qu'on lui offrait. A y regarder de plus près elle était loin d'être laide, tout au plus était-elle désavantagée par un maquillage ringard et une coiffure terne. Je me suis agenouillée à ses côtés, et j'ai commencé à lécher ses lèvres tendues par l'énorme queue qu'elles entouraient.
Nous nous sommes mises à la sucer ensemble, mélangeant nos salives et nos langues sur un gland brillant et une hampe large et délicatement veinée.
Par moment je délaissais un peu cette queue pour embrasser la nouvelle arrivante, qui paraissait assoiffée de sensualité et d'émotions fortes.
Tandis que nous sucions ensemble elle avait mis une main sous sa jupe et se caressait rapidement. Alors que notre partenaire lui remettait sa queue au fond de la gorge, ses yeux se sont révulsés et elle s'est abandonnée à un orgasme dévastateur, perdant à moitié l'équilibre et prenant appui sur mon épaule.
A mon tour très excitée par cette vue et ces bruits je me suis relevée et j'ai empoigné la bite bien dure de l'homme. Me tournant de façon à lui montrer mon dos, j'ai caressé mon clitoris de son gland recouvert de salive et de mouille puis je l'ai dirigé vers ma chatte qui attendait son heure depuis un moment déjà.
Il a commencé à me prendre très lentement, pénétrant centimètre par centimètre dans mon fourreau, sous les yeux de la femme, qui n'a pas tardé à joindre la langue au regard pour lécher alternativement mon clito et sa queue qui disparaissait progressivement en moi.
Ultra-excitée par ce concept, je n'ai pas tardé à avoir envie de jouir, et j'ai porté mon poing à ma bouche pour étouffer mes cris. Le jeune homme ne semblait pas avoir envie d'arrêter de me limer et continuait ses mouvements, imperturbable.
Au bout de quelques minutes, j'ai joui à nouveau, atteignant mes limites personnelles en ce qui concernant l'équilibre et la maîtrise de soi. Je me suis laissée retomber à quatre pattes sur le carrelage froid, et j'ai senti aux mouvements de mon étalon qu'il allait jouir lui aussi.
En un clin d'œil, je me suis dégagée de son étreinte, et j'ai attrapé la tête de la femme qui se trouvait toujours près de nous, que j'ai guidée afin qu'elle prenne dans sa bouche une dernière fois la belle queue de notre amant-surprise.
Après deux ou trois va-et-vient, j'ai fait reculer sa tête afin que quelques centimètres séparent le gland des lèvres qui le dorlotaient, et c'est à ce moment que l'homme a joui, libérant par saccades de longs jets blanchâtres qui se sont écrasés sur le visage de notre compagne.
Ensuite je l'ai léchée consciencieusement, ne laissant plus sur ses joues ni son menton une seule goutte de sperme, me délectant du nectar tiède autant que de l'endroit où je venais le recueillir.
Puis je me suis relevée et, sans remettre ma culotte, je les ai abandonnés là tous les deux, pressée de terminer mes courses et de rentrer chez moi pour raconter cette histoire.
Je n'avais pas seulement retiré mon walkman.

Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Trending Articles