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Histoires du net. Auteur Julien. Les aventures de Martine... Suite.

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Je n'allais pas vous laisser sans nouvelles
de la maman de Julien voyons!!!


Martine Troisème.
Ca fait maintenant une bonne vingtaine de minutes que ma mère a disparu avec trois inconnus. Par les temps qui courent,avec les dingues qui circulent, je m'inquiète .
Mort d'angoisse,je décide de retourner chez moi ; j'y ai laissé mon portable et je vais prévenir les flics ... reste plus que "çà"à faire.... Bordel de bordel ..... Qu'est ce que je vais bien pouvoir raconter à mon père '''
Au bout de cinq minutes de marche, j'entends une voiture derrière moi ; une grosse Volvo qui freine d'un seul coup en arrivant à mon niveau. La vitre se baisse et un homme m'interpelle :
- Salut ... On te prend ... Ta mère est avec nous !
En regardant à l'arrière de la voiture,je distingue dans la pénombre une femme nue, "sérieusement occupée" avec deux hommes . C'est ma mère,et elle me fait signe de rentrer. Soulagé mais pas tranquille, je monte dans la voiture à côté du conducteur .
Je reconnais les trois hommes de tout à l'heure. Ma mère me sourit et me dit :
- Excuse moi, mon chéri, mais on a mis un peu plus de temps que prévu avec ces messieurs ...!
A peine à t'elle fini sa phrase que l'un des gars à coté d'elle l'embrasse à pleine bouche. La voiture démarre. Dans le rétro intérieur, je peux voir ma mère se faire soigneusement peloter.
Elle est assise au milieu de la banquette arrière, toujours à poil et encadré par deux gars d'environ trente cinq ans. Elle a les bras autour d'eux, et se fait rouler un langoureux patin bien baveux. Celui qui l'embrasse lui farfouille le sexe de ses doigts experts,tandis qu'elle de son coté, écarte bien les jambes afin de se laisser bien tripoter et doigter son vagin. Son copain lui,s'occupe de ses énormes seins qu'il pétrit avec une joie non dissimulée ...
La scène est bien perverse et me fout une gaule "pas croyable" . Je suis heureux de voir ma propre mère, cette bourgeoise puritaine, se laisser aller complètement à ce genre de luxure,surtout en ma présence .
Au bout de dix minutes de route , la voiture s'arrête.
- On est arrivé, ma salope ! dit l'homme au volant.
Je ne reconnais pas l'endroit. Il s'agit d'une cité sordide. Ma mère aussi semble surprise :
- Mais .... Vous aviez promis de nous ramener !
Le conducteur se retourne et sourit :
- Ouais, mais.... on a aussi fait une promesse à des copains !
Les deux gars à l'arrière sortent du véhicule tandis que ma mère commence à se rebiffer.
- Vous allez nous ramener sur le champ , sinon…
- Sinon quoi, ma salope '...."
- Ouais ! C 'est vrai çà ... T' iras dire aux flics que tu racolais sur le trottoir avec ton fils
- Ouais ! Et qu'en plus t'as même pas la décence d'enlever ton alliance
- Ouais...Il a raison m'dam' ... Ce serait dommage que cette histoire arrive aux oreilles de vot' mari ... !
Ma mère est consternée. des larmes commencent à perler aux coins de ses yeux.
On la tire sans ménagement hors de la voiture . Une fois "dehors",le ton change sensiblement :
- On va te montrer que c'est pas bien de faire de la concurrence à nos copines!
- Qu'est ce que vous voulez dire ' Je ne comprend rien ! J'ai fait de tort à personne!!!
L'homme poursuit :
- Tu comprends pas ! C 'est pourtant pas bien compliqué à comprendre.... Ca fait plusieurs week-end de suite que tu te radines dans not'troquet sans criller "gare" ..... Y a des filles qui bossent pour nous dans ce bar, et quand t'es là ,et qu'tu fais troncher "gratis",elles ramenent pratiquement rien comme fric... Alors elles sont pas "contentes" ...Et nous non plus par la même occasion ....
- Ouais... C'est "çà" ... Et en tant que responsable d'une certaine catégorie du personnel, on a décidé de s'attaquer à la concurrence "sauvage" de façon à éviter une baisse de notre chiffre d'affaire et une compression des effectifs ....Ce qui irait à l'encontre de notre politique patronale et de l'esprit "social" de notre entreprise ...
- Ouais ... Il cause,il cause,mais en gros,c'est"çà" .... .Alors après,ça n'a pas été compliqué... On t'as attendu à la fermeture du bar et on t'a suivi !
- Ouais...il a raison : fallait pas te ramener, toi, et ta gueulle de pute !....
- Ouais bordel... les bourges "en manque", elles peuvent se payer des jeunes puceaux où des amants !... Ici, il y a des gens qui "travaillent" .... On t'as jamais appris à respecter le travail des autres ' ... Bordel qu'est ce qu'il ne faut pas entendre ....!
Ma mère les larmes plein les yeux leurs demande ce qu'ils comptent faire de nous. Un des types lui répond d'un air goguenard :
- Rien qui ne te sois déjà arrivé je crois .... Ton fils ira bien s'il se tient peinard ,et comme on est "des gentils" malgré tout,il va pouvoir regarder toute la scène !
Ma mère commence à se débattre en hurlant mais les hommes sont trop forts.
Quant à moi, j'ai tout de suite compris que si je tiens à éviter de me faire casser la gueulle, j'ai tout intéret à me faire "tout petit" ... Je ne fais vraiment pas le poids face à ces brutes.
Pour moi,c'est "clair" ; ma mère va se faire violer dans une cave toute la nuit...
Après tout ... Elle l'a bien cherché ....
ma mère pleure à chaudes larmes,on ne parvient plus à comprendre ce qu'elle veut dire. Les types s'en fouttent complètement et se payent même sa gueulle :
- J' vois pas pourquoi tu chiales, ma salope ..."
- Après tout ce que t'as fait ce soir... Vois vraiment pas d' quoi t'as peur ...
- Putain,bordel.... t'es "impressionable toi .... Je croyais pas que te faire baiser à la chaîne toute une nuit ça allait te traumatiser tant que ça !
Le chauffeur qui parrait être le chef reprend la parole :
- Bon, on y va les mecs ..." , puis se tournant vers ma mère il enchaine : "Va falloir te décrasser un peu ma vieille .... T'es pas présentable comme çà ... T'es toute couverte de foutre ... C'est "dégeu" ... Tu parles d'une bourg'...
Ma mère s'effondre en larme devant cette nouvelle humiliation,et peut-être plus encore à cause du choix délibéré des mots ,des mots qui blessent et qui font mal .
Les type se marrent :
- Pleure pas comme çà....On va t' refaire une beauté.
Maman tente de résister une fois de plus mais en vain . Moi, prudement, je me contente de suivre le petit groupe sans trop me faire remarquer . Alors que nous sommes en route,le chef passe un coup de fil à une de ses filles pour qu'elle apporte "au trot" du rouge à lèvre , maquillage et le "toutim" ....
La fille nous rejoint au bout de quelques minutes .
Je la reconnais c'est une des filles que j'ai croisé au bar .
En voyant ma mère ainsi réduite à la merci de ses proxos,elle ne peut s’empêcher d'ébaucher un sourire carnassier . A voir le regard vicelard de la pute, j'ai vite compris qu'elle ne se fera pas prier pour "la suite des événements" ...Des événements regrettables mais qu'elle connait pour les avoir vu infliger bien des fois aux récalcitrantes ...
Mais non,pas de chance... son "mac" n'est pas d'humeur joyeuse aujourd'hui ...Avec la concurrence "gratos" de ma mère, elles n'ont pas beaucoup rapporté ... Les affaires sont les affaires ...
- Qu'est ce que t'attends ici "pouffiace" T'as pas encore atteint ton chiffre ce soir!... Faut que j'te foutte une danse
La fille ne se le refait pas dire deux fois,et file sur son scooter , trop heureuse de s'en être tirée sans dégats ...
Arrivés dans les caves,nous nous dirigeons vers un petit robinet servant de point d'eau . Les types ordonnent à ma mère de se décrasser et de se faire "présentable" ....
Au bout d'un quart d'heure durant lesquelles ils ne se sont pas privés de la reluquer sous tous les angles,et de se fouttre de sa gueule ,la voilà prête ;elle s'est recoiffée , maquillée,et même remis du rouge à lèvres .
Une touche de parfum souligne l'ensemble. On dirait que pour elle "rien ne s'est passé" ,et que la soirée ne fait que commencer ... Ce qui est d'une certaine façon "assez vrai" d'ailleurs ....
Elle a repris ses esprits; je la connais bien,c'est ma mère après tout ; je sais qu'elle est physiquement et mentalement "fin prète" pour la suite de la soirée.
Elle ne porte comme seul vêtement que ses escarpins et ses Dim Up à coûture échappés on ne sait trop "comment" du massacre ....De tout façon, à quoi bon porter des vêtements au point ou elle en est .....et avec ce quil'attend ....
L'un des hommes lui tend une fiole d'alcool en disant :
- Bois ça ! Ca va te décoincer!
Ma mère,un instant hésitante, s'empare de la petite bouteille et boit plusieurs gorgées ; elle sait que ce soir, elle va subir les pires sévices ....
La dernière gorgée à peine avallée,les deux hommes la saisissent, et nous voilà reparti un étage plus bas . Aussi incroyable que ce soit, ici , les caves aux portes quasiment toutes défoncées sont encore plus miteuses qu'à l'étage du dessus ... Difficile à croire ,mais c'est "ainsi" ....
Nous nous arrètons devant une cave "comme les autres", à la différence que celle-çi est fermée par une porte métallique .
A l'intérieur,elle est "comme les autres" : poisseuse, immonde et en plus sent fortement l'urine. L'endroit semble désert ,mais il y a partout des traces qui témoignent d'un sérieux passage ... des canettes de bières vides, des mégots , des préservatifs usagés et bien d'autres détritus en tous genres.
Au centre de la pièce, un grand matelas dégueulasse ne laisse aucun doute sur l'utilisation principale de ce local .... Au fond,solidement vissée au mur , une grande table recouverte de bouteilles d'alcools vides, un cendrier débordant de mégots écrasés,et un tas impressionnant de revues pornos particulièrement "hard".
En regardant au plafond, je suis étonné de la présence de solides anneaux de fer. La situation me semble assez claire ...
Le chef,toujours sur son portable, appelle maintenant une de ses connaissances :
- Bon, elle est là ! N'oubliez pas le "matos" ! Il faut pas qu'elle oublie cette soirée, hein ! Ca lui évitera de recommencer, à cette salope !
Ma mère qui a tout entendu de la conversation,ferme les yeux et baisse la tête. Elle est résignée et se fait à l'idée de subir ici les pires humiliations.
Une fois le coup de fil passé, le chef se met à lorgner en professionnel sur la poitrine de ma mère. Il plaque lentement ses deux mains sur ses gros seins chauds et les pétrit avec délectation, en savourant avec joie les plaisirs nombreux et variés que lui réservent sa dernière découverte commerciale....
Il ne tarit pas d'éloges sur ma mère qui ne sait plus quelle attitude prendre ...
- Hhumm, ma salope !!! ... On peut vraiment dire qu'ils sont "gros" bordel....
Vraiment "gros" !... Une pute avec des seins et un cul comme le tien,ça peut rapporter un max. de blé ...
Voir ainsi ma mère considérée comme une vulgaire marchandise me fait bander;en fait je sens que la situation commence à nous exciter tous très sensiblement .
Le chef en premier décide de "reprendre la conversation"là où ils l'avaient laissé "tout à l'heure" ; il fait s'agenouiller ma mère,et sans un mot pour elle,lui fourre son sexe dans la gueule
Délicatement,faisant comme si de rien n'était,ma mère commence à lui entamer une magnifique fellation. Elle engouffre le gros mandrin dans sa bouche et effectue des va et vient tout en malaxant les gros testicules remplis.
L'homme ravi de la collaboration de sa victime saisit ma mère par les cheveux et grogne :
- Toi, t'es vraiment une salope de première... On va pas te lâcher comme ça, toi ! OOOHHH que non !
Ma mère ne fait pas attention à ces paroles pourtant si explicites,elle se contente de pomper de sa bouche avide et experte. Elle suce l'homme avec un enthousiasme déconcertant : une véritable chienne en manque de queue sa bouche se referme délicatement sur le gland de l'homme et sa langue le titille afin de bien le stimuler.
Le type est sur le point de se lâcher, mais il se reprend,et gifle ma mère.
- Grosse pute...Tu croyais peut être que t'allais m'avoir comme ça ' Tu me prends pour "un cave" ... Je crois que t'as aucune idée de ce qui t'attends .... Voudrais pas t'inquiéter,mais on t'as réservé une petite surprise que t'es pas prête d'oublier!
Non,décidément,ma mère n'a toujours rien compris ...
L'homme la gifle à nouveau et la tire par les cheveux. Le visage de ma mère se crispe sous la douleur mais elle n'ose pas crier. A ce moment là, on entend des ricanements et d'un seul coup une quinzaine d'hommes de tout âges et de toutes races pénètrent dans la cave putride .
Sur un ton faussement réprobateur,l'un deux l'interpelle:
- Bordel ... T'as commencé sans nous ! ....Montre nous le matos !
Avec un sourire carnassier, il soulève ma mère par les cheveux et l'exhibe devant l'assemblée plutôt satisfaite et surprise de la qualité de l'offrande qui lui est faite.
Tous ont les yeux rivé sur les énormes nichons de ma mère.
- Quelle paire de nibards ! C'est pas croyable ! Tu l'as trouvé où cette pute ' Elle est actrice de cul ou quoi ‘
Le chef leurs répond :
- Cette pute de bourg' faisait le trottoir avec son fils et je peux te dire qu'elle nous a fait une sérieuse concurence ... ! Regarde, elle est tellement salope qu'elle n'a même pas enlevée son alliance !
Les hommes la regardent d'un air méprisant,et l'un d'eux dit :
- Et ton mari ' Il te baise pas assez on dirait ! Pourtant, si j'avais une femme comme toi,crois moi ... j'en profiterais !
Les hommes qui viennent d'arriver ont ramené deux sacs avec eux.
Du premier on sort du matériel video ,un pied,et un appareil numérique,tandis que du deuxième sort un matériel "inquiétant" : cordes, godes, battes de Base-ball,cravaches,quelques solides sections de bambou munies d'anneaux ...bref tout le matériel qu'il faut pour une bonne soirée entre amis ....
Sans qu'un seul mot ne soit échangé ,les hommes s'en emparrent et s'efforcent de l'attacher avec les cordes aux énormes anneaux de fer fixés au plafond.
Ma mère comprend tout de suite et tente de s'enfuir mais trois hommes l'en empêchent. Elle se débat en hurlant mais pour elle,cela se termine par une bonne paire de gifles. Sans ménagement aucun , elle est hissée par deux solides gaillards .
Je ne peux pas m'empécher de la trouver ainsi splendidement mise en valeur ...
Elle est incroyablement "sexy" ,si fragile ,si "offerte" suspendue au plafond, les bras en croix et bien écartés. Ces pleurs et ses cris de douleur ne font que pimenter un tableau déjà à lui seul bien charmant ...
Sans qu'on ait rien dû leurs dire,deux hommes se sont emparés de ses jambes, toujours garnis de leurs bas et de leurs escarpins , pour les entraver fermement de part e( d'autres d'une canne de bambou d'un bon mètre de long .
Sa chatte est ainsi superbement mise en valeur,et offerte au regard de tous

A suivre bientôt

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