Histoires du net. Auteur Julien. Les aventures de Martine... Suite.

Martine Troisième
Suite
Satisfait du tableau qui lui est offert ,le chef fout une solide paire de claques à ma mère,ce qui la fait osciller dans ses liens de façon impudiqe . A l'intention de ses invités plus que de ma mère,il clame goguenard et sûr de lui :
- Tu peux toujours gueuler ma salope... Personne ne t'entendra ici ! ".
Un des nouveaux venu tend au chef une ceinture sortie du sac . L'homme s'en emparre,et se poste derrière elle en ricanant :
- On va commencer par t'apprendre qu'il ne faut pas voler le travail de ses petites copines ! "
L'homme,joignant le geste à la parole, lui fouette les fesses sans ménagement, mais avec science ; il le fait de façon a ne pas la blesser mais à lui infliger le plus de douleur possible.
En larmes, ma mère le supplie mais l'homme reste sourd et continue à lui fouetter le cul pendant 5 bonnes minutes devant l'assemblée pleinement satisfaite.du récital gratuit et charmant que ma mère leurs offre ...
Estimant avoir fait "ce qu'il fallait",et exténué par l'effort fourni, l'homme s'adresse à ma mère :
- Bon la pouf .... Maintenant je crois que t'as compris .....Tu vas répéter après moi : : "Mon Seigneur et maître, je ferai toujours tout ce que vous désirez . Vos désirs seront des ordres ,pour maintenant et pour toujours "
Ma mère lui répond un "Tu peux crever pauv ' type," ... qui consterne l'assemblée.
Stupéfait par l'insulte,le chef la gifle violement en lui hurlant à la figure :
- Je vois que t'as "rien" compris , sale pute ! ",
Il ordonne à un de ses complices de sortir une bougie qu'il allume aussitôt un sourire mauvais au coin des lèvres . En prenant tout son temps,il attend que la cire fonde . Une fois satisfait du résultat,et en expert,il la verse sur les nichons de ma mère qui hurle de douleur. Petit à petit,la cire recouvre ses seins énormes ,où elle durcit formant une fine pellicule rougeatre et encore bien chaude .
Satisfait du résultats et des cris de ma mère,l'homme reprend bien tranquillement son discours comme un père reprendrait un gosse peu raisonnable :
- Bon.... Alors "la pute"....T'as compris maintenant ' .... Bon,ben, tu répètes : "Mon Seigneur et maître, je ferai toujours tout ce que vous désirez . Vos désirs seront des ordres ,pour maintenant et pour toujours.
Ma mère ravallant ses larmes et follement désireuse que son calvaire cesse se lance péniblement :
- Mon Seigneur et maître.... Je ferai toujours tout ce que vous désirez . Vos désirs seront des ordres , pour maintenant et pour toujours "
- C'est bien,c'est bien ... Bon maintenant tu ajoutes : "Je le jure ! "...
Ma mère ferme les yeux et dis en sanglotant : " Je le jure ! "
En la détachant,l'homme lui sourit d'une façon terriblement perverse:
- Je te préviens "la pute" , crois-moi, ce sont pas des paroles en l'air ! ...
Ma mère à peine détachée de sa position inconfortable est projetée sur la table du fond solidement fixée au mur . Son calvaire ne fait que commencer,mais elle ne le sait pas encore ...
L'homme,tout en lui tirant brutalement les cheveux , fait un signe à un deux de ses comparses.
- Regardez moi cette pute... Je me demande combien de fois elle s'est faite défoncer le cul '... Ben J'espère pour elle que c'est "souvent" ....
Devant toute l'assemblée il lui écarte les fesses et expose à notre vue à tous son trou du cul si souvent ramoné. Il me regarde
- Regardez moi ça ! Quel honte ! Tu laisses ta propre mère se faire enculer comme ça et tu dis rien à ton père, toi ! Espèce de pervers ! Ta chère maman va devoir payer pour ça, aussi ! "
Là, l'un des comparses sort une solide matraque ,souvenir d'une échauffourée récente avec les "keufs" . D'un geste,il l'enfourne jusqu'à la garde dans le trou du cul de ma mère. Ma mère éclate en sanglot complètement humiliée par la situation ...
Rassuré de la situation,et estimant sans doute avoir suffisament étudié cet aspect de son anatomie,l'homme la retourne sans ménagement lui écarte les cuisses et examine maintenant sa chatte. Il ne se gène pas pour faire ses commentaires à haute voix.
- Au moins la chatte de cette "pute" est bien entretenue..... Mais j'aime pas les poils ! .... .
Puis,s'adressant çà ses copains :
- Restez pas là à sourire bêtement comme des "caves"à tout ce que je dis ... Ecartez-lui bien la chatte,et filez-moi "le nécéssaire" vous autres ...
Aussitôt, on lui apporte de la mousse à raser et un rasoir,ce que je comprends,mais aussi une énorme batte de Base-ball,ce que je comprends beaucoup moins ...
Surprenant mon regard interrogateur,le type s'adresse à moi :
- T'as pas une tête à avoir du raser bien des chattes toi".... sans attendre ma réponse, il poursuit ....Ben,une chatte,c'est comme ta gueule que tu rases le matin"... Si tu veux faire "çà" proprement,tu dois bien tendre la peau ... Bon alors ici, si tu veux bien tendre la peau,faut rentrer ta main dans sa chatte ... Mais alors là, t'es un peu coincé dans tes mouvements ... Non... Crois-moi... Quand t'as à faire avec une pute comme çà, qui s'est déjà fait ramoner par "tout le monde", tu peut y aller "franco" ... Regarde ce que je vais faire .... Je vais lui entrer la batte dans la chatte par le gros bout, ça chatte va prendre une belle forme en dôme,et puis je vais la raser "impec" ...". Et après.... Ben... Tu verras.... Pour que le travail soit vraiment "impec", j'ajouterai une "petite touche personnelle"...."
Je ne sais plus ce que je dois dire... Je ne sais pas si c'est le discour ou le ton neutre,naturel,professionnel et détaché avec lequel il a été prononcé,mais je ne sais plus "quoi dire" ,j'en reste sans voix .
A la vue de l'énorme batte,je crois que ma mère va défaillir .
Voyant la terreur dans ses yeux, l'homme ne se prive pas de lui montrer l'engin et dans faire un descriptif détaillé :
- T'as pas du souvent voir un mandrin de cette taille hein "la bourg' ... Tu vas voir ... Au début ça fait "assez mal"...mais après, on s'y fait ...et il y en a même qui trouvent ça assez agréable ... Parrait que c'est à çà qu'on reconnait les vraies putes ...
Ma mère terrorisée par ce qui l'attend reste sans voix .
C'est avec horreur qu'elle voit l'énorme engin s'approcher de sa chatte .
Complètement détruite moralement,elle reste sans réaction . Deux types lui écartent largement les jambes ,tandis que deux autres lui tiennent fermement appliqué le tronc à la table ...
Ce ne sont pas des débutants,ils savent d'expérience qu'une femme martyrisée de la sorte peut tenter de se dégager avec une force stupéfiante, alors même qu'on pourrait la croire au bout de toute ressource .
Sous les encouragements de l'assistance,le type approche lentement le gigantesque mandrin de la chatte qui lui est si complaisement offerte . Il est clair qu'il va avoir des difficultés à rentrer;la différence de tailles est trop manifeste .
Cette considération ne semble même pas effleurer son tourmenteur qui bien conscient des capacités réelles d'une femme s'évertue à faire pénétrer l'incroyable engin dans sa chatte ,tout .en négligent complètement les pleurs,et supplications de la malheureuse.
Je ne peux pas m'empécher de penser que "sur le fonds" il a raison; une batte ce n'est pas bien plus grand qu'une main àprès tout ... et toute femme sait être fistée avec un peu de bonne volonté ...
Néanmoins,je dois bien admettre que "vu d'ici", c'est impressionnant ...
Après bien des efforts,et bien des mouvements rotatifs,la batte finit par pénétrer.
Une fois la tête de la batte passée,le reste n'est plus qu'un jeux d'enfant ; c'est uniquement "pour le fun" qu'il s'évertue à faire rentrer l'essentiel de l'engin dans les parties intimes de la femme martyrisée .
Après quelques minutes de ce jeux immonde,après avoir bien pu jouir des prières de supplication de ma mère,la batte toujours profondément fixée dans son con ,le type lui rase maintenant la chatte d'une façon experte et soigneuse.
Il prend son temps et s'applique à la tache;il n'hésite pas à manipuler l'énorme mandrin pour faire mieux ressortir l'une ou l'autre aspérité de l'anatomie intime de la malheureuse . L'assemblée s'amuse de voir cette bourgeoise aux gros seins, attachée et humiliée de la sorte .
Une fois sa chatte bien rasée, son tortionnaire écarte les lèvres de son vagin et le montre à son public visiblement convaincu. Puis ce retournant vers moi, comme si j'étais son stagiaire, et en négligent complètement la femme qu'il martyrise et son public, il me dit
- Bon....Maintenant tu vois ... La chatte, elle est "nickel" ... Du moins en apparence ... Mais c'est "pas" du travail "soigné" ... Reste encore quelque chose .... Regarde... Si tu passes délicatement ta main dessus tu vas sentir ... Reste quelque chose ... C'est pas "du travail de "pro" ..."
En passant comme il me l'indique ma main sur la chatte de ma mère horriblement distendue par cette énorme batte ,je dois bien admettre qu'il a raison ... Ca gratte!
Satisfait de ma réaction, il enchaine :
- Bon alors,c'est "ici" qu'intervient ma "petite touche personnelle" ... "
Se retournant vers ces potes comme un chirurgien vers son assistant,il leurs dit sur le même ton :
- Bougie !!!
Un de ses potes lui tend avec empressement la bougie qui a déjà rendu bien des services tout à l'heure ... La cire fondue,s'est déjà figée ,mais rien ne presse...
On a tout son temps ... Du moment qu'on a des choses d'intéressant à faire....
Malgrè son profond état d'abattement,ma mère réagit immédiatement;ces cris redeviennent stridents,hystériques même ,elle sait ce qui l'attend et ça la terrorise.
Totalement indifférents aux cris de ma mère , l'homme regarde comme hypnotisé la flemme lécher la cire en creusant à sa base une petite cuvette qui se remplit lentement d'un liquide brulant .
Quand il estimme que le moment est venu,et agissant avec cérémonial comme un prètre qui officierait un sacrément,il s'approche de sa victime un énorme sourire aux lèvres .
Ma mère fixée sur la table comme un insecte dans sa boite ,hurle sa terreur et se débat comme une folle. Les hommes qui l'immobilisent ont toutes les peines du monde à la maintenir. Tout en fixant sa victime dans les yeux ,son bourreau commence à verser lentement, goutte à goutte, la cire fondue sur son pubis déjà rendu hypersensible par l'épreuve toute récente du rasage .
Immédiatement ses hurlements stridents font place à un râle puissant et continu de bête à l'agonie. La cire se répend sur sa chatte, s'insinue entre ses lèvres, s'accumule sur son clitoris déjà ce soir soumis à bien des épreuves ...
Autour d'elle, les hommes sont hypnotisés par ce tableau rare et fabuleux qui leurs est offert ... Moi même je bande comme un taureau et je voudrais me la faire "ici" ,"tout de suite","comme une bête",et devant tout le monde.
Jugeant en avoir fait "assez", l'homme se retourne vers moi,et indifférent à mon état d'excitation pourtant "bien visible" me dit :
- Tu vois... Maintenant elle est "à point"... Maintenant elle ferait "tout ce que tu veux pour que t'arrètes...
Puis,tout en arrachant d'un seul coup la masse de cire déjà figée ,et sans aucun égard pour les cris de la femme abonminablement torturée ,il enchaine immédiatement à mon adresse :
- Tu vois...Tu peux lui mettre la main sur la chatte maintenant.. Tu vois ....Elle est "toute lisse" ... Un vrai plaisir .
Se retournant ensuite vers ses aides en constatant que ma mère a perdu connaissance sous la douleur de la cire brûlante il les reprend sur un ton agacé comme un maître reprendrait un stagiaire distrait en train de gâcher son travail :
- Ranimez-là vous autres!
Quelques baffes bien assénées et surtout une cigarette sournoisement éteinte sur une de ses cuisses ont tôt fait de ramener ma mère à l'horreur de la réalité .
C'est avec un soulagement immense qu'elle sent qu'on la détache.
Le chef avait "raison"; arrivée à ce stade de terreur,elle serait prête "à tout" pour empêcher que celà ne recommence .... Il ne faut plus la forcer maintenant ; il est clair pour tous que c'est désormais avec empressement qu'elle fera "tout ce qu'on lui demande" , même les choses les plus obscènes , même les choses les plus dégradantes .... et des choses obscènes et dégradantes,ils en ont quelques unes "en réserve" ...
Pour ceux qui n'ont pas d'imagination, les livres pornos "hard" qui encombraient tantôt la table sont là pour leurs donner des idées . Deux types d'ailleurs sont occupés à consciencieusement éplucher les revues à la recherche d'une idée plus perverse que les autres ,et se donnent de temps en temps des coups de coude espérant chacun l'approbation de l'autre ...
La batte toujours profondément enfoncée dans son cul,son tourmenteur estimme qu'il est temps de faire participer l'assemblée ...
- Alors les mecs... C'est qui qui a "la plus grosse"'... Quelqu'un veut voir ce que ça fait de besogner une pute avec un braquemart pareil...
Aussitôt les candidats affluent ...
L'énorme batte est secouée dans tous les sens arrachant à chaque fois d'horribles cris à ma mère . Son visage n'est plus qu'un rictus déformé par la douleur. La scène dure une éternité je crois .
Brusquement,jugent qu'ils ont assez joué avec leur victime,et qu'elle a encore bien assez d'épreuves à passer ce soir ,le chef décide de mettre fin à petit jeu en reprenant le gigantesque mandrin dans ses mains .
C'est presque avec soulagement et reconnaissance que ma mère le voit faire ...
- Bon ... Salope... Ta chatte "ça va" ... T'es enfin "présentable" .... "C'est bien" ...
"Bon,ben ... Pour commencer tu vas sucer tout le monde ... T' entends salope '
Un faible "oui" lui répond ... Une formidable baffe tout à fait innatendue la fait vaciller .
- Oui ... Qui '" .
- Oui ... Maître !" .
- J'aime mieux çà "Salope" ... Ne l'oublie "jamais" .... Nous tous ici,et d'une façon générale tout ce qui porte une paire de couilles,nous sommes "tes maîtres",et toi, toi tu n'es rien,rien que l'objet de nos caprices et de notre plaisir... Tu ne vis que parceque nous le voulons bien... et tant que nous le voulons bien ....
Ma mère a visiblement bien compris la leçon,et c'est une femme "brisée" qui sans rien dire se met conscienscieusement à l'ouvrage. C'est une femme obéissante et soumise qui enfourne les queues dans sa bouche et commence à pomper les uns après les autres.
La plupart des types éjaculent et leur sperme recouvre son visage sans qu'elle ne marque la moindre attitude de rebellion . Le sperme gicle à flot . Soucieuse de s'épargner des représailles,elle tente d'avaler le plus de foutre possible et se tartine le reste sur tout son corps et en particulier sur ses gros nichons quelle caresse outrageusement avec une moue perverse ,allant en celà au devant des attentes de ses tourmenteurs qui n'en demendaient pas tant .
Certains plus exigents, lui réclamment une branlette espagnole .
Toujours sans un mot,et avec empressement,elle enfourne la queue de ses tortionnaires entre ses gros seins et les branle magnifiquement,tandis que quelques impatients continuent à se branler et à lui cracher leur fouttre à la gueule. Après que tout le monde ait bien pu profiter de la situation,le chef s'avence solennel . Il retire sans plus de précautions la batte de la chatte de ma mère ,qui le remercie d'un sourire de soulagement. Satisfait de la soumission totale de la femme,il lui dit :
- Bon la pouf" ... Fini de rire .... ... Changement de régistre .... Maintenant , on va tous t'enculer...

Donc il y a une suite...