L’apothéose d'une salope qui s'ignore
Les tribulations de Béatrice
Fin
Quelques rires gras et des paroles en arabe sont très vite échangés. Ahmed, très pervers, relâche l'étreinte sur les cuisses, puis attrape les bras de la femme, la tire à lui pour la mettre debout, tout en ordonnant encore :
- Marches un peu dans la pièce qu'on voit comment tu t'en tires.
- Non, je ne veux...
- Ta gueule pouffiasse, quand on te faisait le cul pour ton petit plaisir de vieille bourge, tu faisais moins la fière...
- Mais vous n'avez...
- Fermes ta gueule, sinon on te fout une de ces raclée, que tu t'en souviendras toute ta vie de pute...
Sentant que l'homme n'a pas vraiment envie de plaisanter, elle se laisse aider et se retrouve debout devant la table. Là, elle sent que l'homme fait glisser sa robe vers le bas. Puis, une grande claque sur la fesse droite lui donne l'élan de départ, et elle commence, à pas menus, à se rendre vers le canapé où elle espère bien pouvoir s'asseoir.
Ahmed n'a pas dit son dernier mot, il attend que la blonde soit prêt du canapé, là il l'apostrophe à nouveau :
- Reviens ici maintenant vieille chienne.
Tout en se demandant comment elle va pouvoir se sortir de ce guêpier, la femme obéit et revient vers la table. Elle marche doucement, le plug lui faisant un mal de chien à chaque pas, de plus, elle n'est pas vraiment pressée non plus de voir la suite des événements, car elle commence à comprendre, que si elle n'obéit pas au doigt et à l’oeil à ces quatre hommes, elle risque de la payer chèrement.
L'homme tire une chaise en arrière, la désigne du menton et ajoute :
- Viens t'asseoir ici...
C'est avec une précaution extrême que Béatrice s'assoit sur la chaise. Le gros plug la contraint à rester la plus droite possible, mais même en restant telle un "i", elle souffre la martyr.
Encore quelques mots en arabes qui sont échangés sans que la pauvre femme ne puisse rien comprendre. Puisl'homme l'interroge à nouveau :
- Tu vas nous laisser ton numéro de téléphone fixe ma pute...
- Mais...
- Pas de "mais" qui tienne, tu nous donnes ton téléphone, un point c'est tout.
Béatrice se retrouve avec un stylo et une feuille de papier sous les yeux avant qu'elle n'est pu comprendre ce qui allait se passer.
- Voilà, tu nous laisses ton numéro qu'on puisse t'appeler quand on aura envie de se vider les couilles.
- J'm'en souviens plus...
- Attention! On vérifie tout de suite, et si ce n'est pas le bon numéro, on t'attache et te
fouette jusqu'à ce que tu finisses par donner le bon... Te voilà prévenue pauvre conne...
Sentant que les menaces sont de plus en plus précises, et ne voulant pas se faire découper en petits morceaux par ces hommes, elle note finalement son numéro sur le papier.
Ahmed se penche par-dessus son épaule, donne quelques indication à Aziz en arabe, et celui-ci décroche le combiné pour faire le numéro. Après quelques sonneries d'attente, l'homme fait un signe de tête prouvant que le numéro est bon. il vient de tomber sur le répondeur.
- Bien, une vieille bourge comme toi ça doit avoir un portable, allez, tu le notes aussi.
Cette fois la pauvre blonde ne cherche pas à se rebiffer et note directement le deuxième numéro.
- Pour le cas où il faudrait venir te chercher, tu vas nous noter également ton adresse exacte.
Sachant qu'avec le numéro de téléphone les sales types pourront toujours retrouver son adresse, une fois encore, sans lever le nez, elle note ses coordonnées.
- Parfait! Nous on a bien mérité un bon whisky, tu vas nous le servir.
- Mais! s'étonne la pauvre blonde en se demandant quand ces salauds vont enfin la laisser tranquille.
- Dans le bar du meuble, allez, magnes toi le cul!
A nouveau des phrases en arabes sont échangées, et les quatre hommes, goguenards, se rendent tranquillement dans le canapé. Seul Ahmed s'assoit dans le fauteuil.
Béatrice vient servir ses persécuteurs pendant que Ahmed discute aimablement, semble t il, avec ses amis. Frissonnant dans l'atmosphère qui se rafraîchit un peu, elle en profite pour demander :
- Je peux avoir ma robe?
- Non, je la garde en souvenir, on te ramènera chez toi, mais nue.
- Mais! S'offusque la blonde qui estime qu'il est grand temps de mettre un terme à ce petit jeu pervers.
- J'ai dit non connasse!
L'homme en profite pour lui donner une grande claque sonore sur la fesse à sa porté, puis il ordonne encore :
- Mets toi à genoux devant moi salope.
Avec la peur au ventre, elle s'agenouille devant ce monstre d'homme qui lui a fait perdre la tête en début de soirée. Évitant de croiser son regard, elle fixe le sol sous elle.
Ahmed demande à ses acolytes qu'on lui passe la bouteille de whisky, puis, quand il la tient, il attrape à nouveau le menton de la pauvre femme, et porte le goulot de la bouteille à ses lèvres pour la faire boire.
Surprise, la blonde, après un petit temps d'arrêt, se laisse faire et boit de grandes gorgées d'alcool en espérant que le breuvage puisse lui faire oublier et sa douleur rectale, et l'humiliation qu'elle subit en ce moment même.
- Boit pétasse, comme ça, quand on te lâcheras devant chez toi, nue comme la grosse pute que tu es, tes voisins pourront se rendre compte que tu es aussi une poivrote...
Les larmes montent immédiatement aux yeux de Béatrice qui s'imagine déjà descendre de la voiture sous les regards de tous ses voisins, et la honte qu'elle aura à traverser son jardin pour aller à la porte d'entrée.
Repoussant si violemment la pauvre femme qu'elle se retrouve sur le cul par terre, ce qui a pour effet de raviver instantanément la douleur rectale que l'alcool avait quelque peu apaisée, Ahmed, d'un ton de plus en plus mauvais, ordonne encore :
- Vas chercher les capotes qui traînent sur la table vieille pute.
La blonde a un mal fou à se relever. De plus, pas un de ces quatre monstres en lui prêterait assistance, bien au contraire, ils la regardent en rigolant. Une fois debout, voulant éviter toutes sources de conflit ou d'humiliation, elle va chercher les trois préservatifs posés sur la table pas loin d'où elle était allongée quelques minutes plus tôt. Elle s'en empare, et les ramène à Ahmed, toujours
les yeux fixés sur le sol.
- Manges les! Je veux que tu les gardes en bouche jusqu'à ce qu'on te ramène chez toi, ainsi, tu auras la véritable haleine des putes en fin de soirées...
- Non! S'écrit la pauvre femme.
- Ta gueule, sinon t'en prends une, et une bonne encore... Si ça se trouve, ça excitera ton mari!
- Pitié...
- Pas de pitié pour les vieilles putes qui trompent leur mari! Tu restes debout devant nous, tu gardes les capotes en bouche et tu la ferme, les hommes boivent, toi tu trinques, compris?
- Oui...
Et Béatrice baisse à nouveau les yeux en priant secrètement que son martyr finisse au plus tôt.
Un bon quart d'heure s'écoule, les hommes discutent en arabe et ne s'occupent plus du tout de la pauvre femme qui reste debout devant eux, comme si elle faisait déjà partie du décor.
Malheureusement pour la blonde, tout l'alcool qu'elle a ingurgité durant la soirée demande à ressortir, commençant à danser d'une jambe sur l'autre pour attirer l'attention sur elle, et ne voyant aucun résultat, elle finie par demander le plus poliment du monde, d'une voix bizarre dû aux trois préservatifs qu'elle a
toujours en bouche :
- Excusez moi, pourriez vous me dire où se trouve les toilettes?
- Tu ne crois tout de même pas que je vais laisser une pute comme toi saloper mes toilettes non!
- Oui mais j'ai très envie...
- Pisses devant nous, tu nettoieras après...
Et Ahmed reprend sa conversation en arabe comme si de rien n'était.
Une autre demi-heure se passe, cette fois la pauvre ne tient plus, elle se risque à faire un pas en direction de la sortie pour aller uriner dehors, quand elle est retenue par le bras et entend :
- Tu pisses ici vieille conne, devant nous...
- Non!
- Si! Avec ce qu'on a déjà vu de toi, c'est pas une petite pissette de pute qui va nous rendre aveugle!
Les trois autres hommes rient de bon coeur, autant d'entendre les propos vicieux de leur pote, que de voir la tête qu'affiche la pauvre femme qui se remet à pleurer.
- Allez, écartes tes cuisses et pisses tout debout...
Béatrice reprend sa place, les yeux au sol, mais n'écarte pas les cuisses et tente encore de se retenir.
- Si tu n'obéit pas, je vais défaire ma ceinture et t'en donner quelques bons coups sur le cul pour t'apprendre ta place chienne!
Sur ce, il s'empare du caméscope qu'il avait posé près du fauteuil, le rallume, et commence à filmer l'entre-jambe de la femme. Toute honte bue, pressée par sa vessie, la blonde finie par obtempérer. Elle écarte ses cuisses et laisse l'urine chaude jaillir vers le sol en éclaboussant ses chevilles.
Une bonne minute passe, le jet ne tarie pas, et c'est une grande flaque qui inonde le carrelage. Les quatre hommes regardent avec un air narquois la pauvre femme uriner. Béatrice se sent soulagée, un mince filet coule maintenant le long de ses jambes, mais elle n'en a cure, dans l'état de nerf où elle se trouve, ce n'est plus un peu d'urine sur ses cuisses qui va déranger grand-chose.
Ahmed coupe l'enregistrement et se lève sans mot dire. Il sort de la pièce et revient très vite, cette fois il porte un seau qui contient une serpillière. Il s'arrête devant la pauvre femme et lui tend l'objet en lui ordonnant :
- Ramasses ta pisse salope...
Puis il retourne s'asseoir
confortablement dans son fauteuil et remet en route le caméscope. Béatrice passe plusieurs minutes à éponger son urine et à tordre la serpillière dans le seau. dans cette position accroupie, le plug se rappelle à son bon souvenir, et elle
tente désespérément de trouver une position qui lui fasse moins mal, mais c'est peine perdue. Elle se sent humiliée comme jamais auparavant, mais toutefois, cette tache ménagère, même si elle n'est pas agréable, lui permet de
s'échapper de ses peurs durant toute l'opération.
Lorsque la femme a finie de ramasser son urine, Ahmed ordonne encore en faisant un gros plan sur le visage de la pauvre :
- Ouvres la bouche que je vois que tu as toujours tes capotes...
Sans aucun commentaire, la femme s'exécute en ouvrant la bouche en grand. Elle attend quelques secondes que l'homme lui autorise de refermer la bouche, puis reprend sa position debout, droite, à attendre.
- Tournes toi et penches toi en avant que je vois une fois encore si le plug est bien en place.
Une fois encore, sans broncher, la belle se tourne et se penche en avant. Le mouvement est assez douloureux, mais moins tout de même que lorsqu'elle était accroupie.
- Je suis sur que ton mari va apprécier de te retirer ton plug tout à l'heure, remarques, ça lui donneras peut être quelques idées neuves pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu.
Béatrice est tout à coup effrayée, elle sent que l'homme va mettre ses menaces à exécution et qu'il va la ramener nue chez elle, elle tente de se diriger vers la table pour prendre sa robe qui traîne par terre, mais la main puissante de Ahmed
la bloque à nouveau.
- A poils! je t'ai dis que je te ramène à poils, t'as pas encore compris ce que veux
dire : A poils?
- pitié...
Une grande gifle vient en guise de réponse, puis l'homme poursuit encore :
- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors! maintenant ce sont nos conditions, un point c'est tout!
- Mais je ne peux pas...
une nouvelle gifle vient la faire taire.
- A poils comme la vieille pute que tu es! Et il entraîne la pauvre femme vers l'extérieur.
Les trois complices suivent le couple en faisant de fines allusions sur le plug mais en arabe, si bien que la femme ne comprend pas ce qui se dit, néanmoins, elle se doute bien qu'elle est l'objet des quolibets qui fusent, fussent-ils dans une langue étrangère. chacun reprend sa place dans la voiture, et bientôt la voiture démarre. Dès qu'elle commence à rouler, Ahmed défait sa braguette et ordonne encore à la pauvre blonde :
- Profites du voyage pour me sucer la bite.
Et pour que les choses aillent dans son sens, il prend la nuque et baisse la tête de la femme sur sa queue. Le conducteur ne pose pas de question car il a noté tout à l'heure mentalement l'adresse de la femme, et, connaissant bien la ville, il sait exactement où il doit se rendre pour la déposer.
- C'est trop marrant une pute qui te suce avec des capotes en guise de chewing-gum...
Les trois autres hommes rigolent à nouveau, et reprennent leur discutions en arabe. Béatrice essaye de sucer cette queue dont elle avait pourtant une énorme envie en début de soirée, mais avec tous ces événements, c'est bien à contrecœur qu'elle prend le membre en bouche. Mais ne voulant pas provoquer l'homme qu'elle sait maintenant être dangereux, elle s'applique en se disant que son calvaire touche à sa fin. Commençant à se dégriser, sa propre haleine commence
aussi à la gêner, seul le plug devient de moins en moins douloureux au fur et à mesure que le temps passe.
La voiture s'arrête enfin. sans aucun ménagement Ahmed attrape les cheveux de la blonde et la retire en arrière. Il la lâche pour rentrer son dard dans son pantalon et refermer sa braguette, puis la reprend par las cheveux et la tire derrière lui en sortant de la voiture.
Béatrice voudrait crier, appeler au secours, mais nue, cela lui parait être la dernière des choses à faire. Elle suit donc le mouvement et se retrouve dans la rue, debout sur la chaussée, nuecomme au premier jour, avec l'homme qui se tient devant elle. Ahmed fixe la blonde dans les yeux, puis, sans crier gare, il lui crache au visage en lui disant:
- Rentres chez toi vieille pute, vas retrouver ton mari à qui tu as fait du mal pour ton unique plaisir de salope en chaleur.
L'homme se retourne et entre dans la voiture qui redémarre avant qu'il n'est eut le temps de claquer sa portière.
Béatrice se retrouve sur la chaussée, le regard perdue, les larmes lui montent aux yeux. Elle entrevoit tout juste ce qu'elle vient de faire car les vapeurs de l'alcool commencent à se dissiper. Elle reste plantée, nue, pluggée, les capotes toujours en bouche dans la fraîcheur du début de matinée, son cerveau se refusant de croire ce qui vient de se passer.
Le voisin d'en face aperçoit sa voisine et reste figé pendant quelques instant de voir cette femme, souvent sympathique, mais qui reste comme inaccessible, là, devant lui, nue à pleurer. Le premier moment de stupeur passé, il se précipite à l'intérieur, attrape le téléphone et compose le numéro de son voisin. Après de nombreuses sonnerie, et tout en vérifiant par la fenêtre que la femme est toujours sur la route, il entend :
- Oui?
- salut Richard, c'est Maurice, ton voisin, sais tu que ta femme est nue sur la route devant chez toi?
- Heu!
- je t'assure, je la vois en ce moment même, elle est comme pétrifiée...
- Ha bon!
Et le mari se précipite à son tour à la fenêtre, il voit effectivement sa compagne
nue sur la chaussée. il lâche le téléphone qui tombe au sol et se rue dehors en courant.
Comme dans un rêve, Béatrice voit son compagnon de toujours courir vers elle, mais elle ne peut bouger tant la honte l'envahie subitement.
Richard La prend dans ses bras et la ramène en essayant de faire vite dans le pavillon. Malheureusement il sent bien que son épouse a du mal à marcher, aussi fait-il l'effort de ralentir pour qu'elle puisse avancer sans trop souffrir. il voit parfaitement sa femme cracher trois morceaux de latex dans la pelouse, mais le moment n'est pas aux questions, il est urgent de faire rentrer son épouse avant que tout le voisinage ne la surprenne ainsi.
Dès que la porte d'entrée est refermée derrière elle, la pauvre femme éclate en sanglot. Une longue plainte lugubre s'échappe de sa bouche entrouverte. Puis elle se laisse tomber aux pieds de son époux et s'écrie :
- Pardon, mille fois pardon mon chéri, si tu savais comme je regrette...
L'homme, malgré la soirée épouvantable qu'il vient de passer se baisse et aide sa compagne à se redresser. C'est en la voyant horriblement grimacer qu'il omprend qu'elle est blessée quelque part, aussi il demande d'une voix compatissante :
- Mais tu as mal où?
- Les salauds, ils m'ont mis un énorme god et j'ai mal au cul, pardon mon chéri...
Et elle éclate à nouveau en sanglots.
Comprenant qu'il est arrivé quelque chose de grave à son épouse, Richard se penche sur le coté et constate effectivement que sa femme a un gros morceau de
caoutchouc blanc qui lui marque ses fesses plates. Il passe derrière sa femme et lui demande gentiment de se pencher en avant.
Cette fois, se sentant enfin en sécurité, Béatrice se penche en avant en faisant tout de même attention à laisser son dos le plus droit possible. maintenant que les effets pervers de l'alcool se sont évanouis, elle écarte ses jambes et tend son intimité à l'homme qu'elle a choisie jadis pour la vie.
- Les salauds! Les salauds! répète continuellement le pauvre homme pensant que son épouse a subi de terribles sévices sexuels contre sa volonté. Les salauds! On va porter plainte contre ces malades...
Les souvenirs reviennent très vite à la mémoire de Béatrice. Et si elle se souviens bien des horreurs qu'elle vient de subir, elle se souviens aussi de l'excitation et des orgasmes que les quatre salopards lui ont tout de même apporté. Elle se souviens même de s'être laissé entraîner, et avoir pris du plaisir à être exhibée, triturée, malaxer par des mains inconnues. Et, malheureusement, elle a également le souvenir du caméscope qui a enregistrer toutes les scènes, et là, elle sait que tout n'est pas à son avantage, de loin s'en faut. aussi décide-t-elle de temporiser la légitime colère de son mari en disant :
- Non! Pour le moment j'ai besoin de repos, pas question que je me fasse encore toucher, ne serait-ce que par un médecin.
Richard a bien essayé de tirer sur la base du plug, mais il s'est vite aperçu que l'objet était bien arrimé et que sa sortie risquait fort d'être des plus douloureuse. Mais il n'est pas question non plus de laisser ce symbole de torture en place, aussi demande-t-il à sa femme :
- Tu as mal quand je tire doucement comme ça?
- Aie! Oh que oui! Tires d'un coup sec, je crois que c'est encore la meilleure solution...
- Alors attention, cramponnes toi...
Et, à deux mains, Richard tires l'objet de toutes ses forces. Le peu de force qui reste à Béatrice lui sert à pousser pour faire sortir l'infernal objet de ses entrailles.
Le plug fini par sortir en faisant un bruit de bonde de lavabo. Puis, tout de suite après, alors que l'homme est encore juste à côté de l'anus, un pet pestilentiel sort du trou encore béant. Ensuite, suinte un jus infâme.
Richard fâché de l'incident, mais aussi et encore après son épouse dont les frasques de la veille l'ont mis à mal, regarde fixement le diamètre impressionnant du jouet et ne peut s'empêcher de dire :
- Tu devais être sacrément excitée pour qu'un tel monstre puisse entrer dans ton cul!
- Je t'en prie chéri, ne parlons pas de ça maintenant, j'ai réellement besoin de me reposer, pardonnes moi encore pour hier soir, si tu savais comme j'ai honte de moi.
- Mais comment t'es tu retrouvée devant la maison?
- Ces infâmes salauds m'ont déposé en voiture et m'ont laissé nue.
- Attends! ils t'ont violée?
- Oui... Enfin non... Peut être qu'ils m'ont droguée, je ne me souviens plus exactement.
- C'est pas très claire ton histoire...
- Je t'en prie chéri, laisses moi aller me coucher pour le moment, je t'en supplie!
En colère mais sans être inhumain, Richard accompagne son épouse au bord de l'épuisement dans la chambre à coucher. Là, tout doucement, il l'aide à s'allonger, puis la recouvre du drap.
Béatrice ferme les yeux et tente de s'endormir, mais c'est peine perdue, toute la soirée lui revient sans cesse en mémoire, et avec de plus en plus de détails.
L'histoire se fini comme cela!