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Channel: Chez Andre 112
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Quelques brèves du sud...

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Quel que soit le coté de la méditerranéenne, 
ils baisent bien..! Et même à Paris.

Brève : Bien au chaud
Il pleuvait a verse dans cette rue étroite du Vieux Marseille et je m'étais réfugié sous un abri de magasin pour m'abriter des bourrasques de vent qui m'arrosaient copieusement.
J’aperçus en face un homme d'une cinquantaine d'années me faire signe de m'approcher. Je traversais, je le saluais et il me m'invitait, avec un fort accent maghrébin, à entrer dans un couloir qui menait à son logis, l'endroit était plutôt sordide mais je le suivis sans me poser de question, poussé par la crainte de détériorer mon beau costume.
Il me fit entrer dans son logis en me tenant par l'épaule. Son geste me surpris et éveilla en moi une sorte d'émotion qui accéléra ma respiration. La pièce était chaude, accueillante. Il m'invita à m’asseoir dans un large canapé et il m'offrit avec gentillesse une tasse de café que j'acceptais avec plaisir. L'homme était d'une carrure imposante, grand, les épaules larges, les membres musclés.
Il me raconta qu'il était seul depuis quelque semaines car son épouse était rentrée au pays et que cela lui manquait beaucoup. Il brancha la télé après avoir inséré un DVD il vint me rejoindre dans le canapé. Les premières images se montrèrent très chaudes, il me demanda si j'aimais. Oui, bien sûr, j'aime toujours découvrir et alors je me laissais aller.
Mon hôte ne tarda pas à se manifester.. Il posa sa main sur son entre jambe et se caressa, je m'aperçu qu'une bosse grossissait, et comme je ne manifestais aucune gêne ou réprobation, il défit sa braguette et en sortit un sexe de bonne taille et commença à se masturber en mouillant le bout de ses doigts de salive. Il était maintenant gros et dur, son gros gland violacé brillait de ses sécrétions, je surveillais du coin de l'œil ce que mon hôte ne manqua pas de remarquer.
Il passa son bras autour de mon cou, força doucement ma tête vers le bas et me demanda avec un ton assez autoritaire de le sucer. Son gland toucha mes lèvres, son odeur de mâle me fouetta les narines, il força son gland, mes lèvres s'ouvrirent et accueillirent le sexe du mâle.
Je me mis à téter ce beau gland lisse et doux, à prendre cette tige dure au fond de ma gorge, à goûter la sève salée qui suintait.... hummm, quel délice. Je tâtais ces grosses couilles, qui semblaient bien pleine, les aspiraient dans ma bouche, pendant que je branlais fermement sa bite.
L'homme gémissait de bien être.
- Tu fais bien ,me dit-il. Très bien comme une salope.
Puis, le sexe toujours planté dans ma bouche suceuse, il défis ma ceinture, baissa mon pantalon, l'ôta et me caressa les fesses que j'ai bien rondes et profondes, il glissa ses doigts tout le long de ma raie appuya et rentra un, puis deux doigts dans mon anus qui est bien ouvert. Je gémissais, il se mit à me lécher l'anus, à rentrer sa langue profondément, à injecter sa salive.
- Tu aimes ça salope me dit-il , couche toi sur le dos que je te prenne comme une femelle.
Ouiii, je ne me fis pas prier, le ventre tenaillé par l'envie de sentir ce mâle s'occuper de moi. Je me retrouvais sur le dos, les jambes bien écartées , les jambes relevées posées sur ses puissantes épaules.
Il enfila maladroitement la capote que je lui tendis. Je sentais son sexe dur et puissant appuyer sur mon anus qu'il ouvrait progressivement donnant de petits coups secs, je gémissais de douleur et de plaisir, puis son gland passa l'entrée et je sentis la profonde pénétration de sa bite dure qui se mit à me pistonner.
Plus je gémissais, plus l'homme me baisait profondément, Je sentais ses grosses couilles frapper contre les miennes. Il glissait bien, bien profond, il me laissait une sensation de femelle prise par un animal. Dans un miroir placé près du canapé, je voyais ses fesses marteler mon ventre entre mes cuisses ouvertes.
Il regardait aussi le spectacle et accélérait sa cadence et forçait à fond tant il était excité par ce qu'il voyait. Je sentis son membre dur se contracter et il lâcha de nombreux jets de sperme bien chaud.
Il resta dur, planté entre mes fesses de salope pendant au moins dix minutes. J'étais exténuée par la force de cet homme. Il se retira, retira la capote bien pleine et déversa le sperme sur mon visage, et l'étala avec ses doigts. J'adorais cette odeur, je me pourléchais les lèvres.
Puis, je me nettoyais rapidement. L'homme me dit qu'il avait des copains et qu'on pourrait se revoir si je le désirais. Je me retrouvais dans la rue, avec son numéro de téléphone, encore tout excité, émoustillé par de futures rencontres.

Brève : Notre premier partage de foutre marocain
Mireille et moi sommes parti une semaine au Maroc.
Nous avions opté pour le car comme mode de transport. Ca faisait quelques heures avant de rejoindre Marseille pour prendre le ferry. Dans nos bagage quelques short et robes pour Mireille. Le type de robe à fermeture éclair sur toute la longueur.
Nous avions décidé de ne prendre aucun sous-vêtement.
Je porte un pantalon de lin très ample avec une petite corde pour le fermer et une chemise assortie. Mireille juste une de ses robes. Celle qu'elle a choisie pour le voyage est assez légère et a une fermeture éclair qui s'ouvre dans les deux sens.
On distingue, en faisant attention, ses tétons. Et en plein soleil la robe est bien transparente.
Mais il fait déjà nuit au moment de l'embarquement. Le car est complet.
Nous sommes installé à l'avant, dernière rangée, à notre gauche, deux mecs d'une 50aine d'années, devant ils sont un peu plus jeunes. Derrière un couple dans la 40aine. Mireille est côté vitre et moi couloir.
Après une heure de route Mireille ne peut s'empêche de me masturber, elle glisse sa main par ma boutonnière et me masturbe lentement de la main gauche tout en se caressant. Elle n'avait pas pu s’empêcher de remonter sa fermeture éclair de quelques centimètres.
Je bande bien et après 10 minutes elle laisse complètement sortir ma bite de mon pantalon et descend la partie supérieur de la fermeture éclair afin de laisser entrevoir un de ses gros seins afin d'alterner entre son clito et ses seins.
On est observé par les deux mecs à notre gauche, à quoi bon si cela peu les exciter et leur procurer du plaisir tant mieux.
J'entends à sa respiration qu'elle va jouir. mmmh un petit gémissement elle jouis dans une très grande discrétion. Elle continue à me branler mais s'arrête car elle doit à présent uriner.
D'un air coquin elle me dit ne bouge pas j'arrive, enjambe de face. A ce moment, je ne peux m'en empêcher, je l’attrape par la taille et l'empale sur ma bite. Elle aime, sa chatte de salope est trempée. Elle bouge son petit cul et fait des vas et viens, j'adore !
A côté de nous les deux mecs sont maintenant en train de se branler, Mireille dans sa position regarde le couple sur les places derrières nous. Elle se tient sur l'appuie-tête et me dit entre ses soupirs :
- Le mec derrière me tient les mains.
Je trouve ça excitant.
Elle ne tient plus, elle doit aller uriner, se relève et descend les quelques marches. Pendant ce temps je prends le relais et me branle un peu. Un des gars à côté me dit avec son accent typique :
- Ta femme est bonne"
Je lui réponds qu'elle est toujours comme ça.
Il me demande sans gêne :
- On peut la toucher ?
Moi sans hésitation et sachant que Mireille va accepter je lui réponds naturellement :
- Vous pouvez.
Mireille remonte, Elle veut m'enjamber à nouveau mais je la retiens et lui demande de me sucer. Sans hésiter, elle se met à genoux dans l'étroit couloir et commence à bien me sucer.
Le mec côté couloir me regarde et d'un signe de la tête je lui fait "ok"
Je vois sa main disparaître en dessous de la robe de Mireille enfin si on peu dire car vu la position dans laquelle elle est, sa robe ne cache quasi rien de son cul. Elle sursaute, j'imagine qu'il la doigte, de l'autre main, il se branle toujours.
Après, disons 10 minutes il se retire et échange sa place avec son compagon de voyage.
C'est à son tour de triturer la chatte de Mireille, elle adore ça, le premier l'avait déjà fait jouir, voilà que le deuxième arrive également à lui donner un orgasme.
Il est moins fort mais je sens à la pression de la bouche de Mireille sur ma bite qu'il est quand même bon.
Elle se relève et me demande de l'enculer, je lui dis de venir s'empaler sur moi
Elle est à nouveau face à moi et glisse ma bite dans son fion. C'est bon je vais vite jouir je crois.
Tout en se faisant enculer, elle déboutonne ma chemise et me l'enlève. Je suis torse nu. Ses mouvement sont lent et doux. Mon gland est tout gonflé. C'est bon.
Je n'avais pas fait attention dans la pénombre mais les deux mecs des places à côté, ceux qui l’avaient masturbé sont debout et se branlent à quelques centimètres de nous, Mireille spontanément, en masturbe un, l'autre se met un peu en décalage derrière de telle sorte qu'elle puisse les prendre tous les deux.
Ils bandent comme des porcs. Je vois leur mouille.
Par moment Mireille prend leur glands en bouche en alternance.
Elle adore le goût de la mouille.
Quand elle me suce elle lèche bien ma mouille et la partage avec moi en m'embrassant. Visiblement elle ne fait ici aucune différence et me dit que c'est bon.
Elle m'embrasse, mmmmh oui, je sens mais je sens aussi la forte odeur de sexe qu'ils dégagent. Mireille s'enfonce bien sur ma bite et se cambre légèrement pour que nous puissions bien nous embrasser. D'un coup lors d'un long baisé je sens la bite d'un des deux voulant s’intercaler entre nos bouches.
Nous nous écartons, il passe, nous lui léchons le gland. Il commence à gémir fortement, Mireille me dit il va cracher !
Nous orientons nos bouches ouvertes. Il n'a pas fallu 10 secondes pour qu'il crache un nectar épais très blanc et bien épicé. C'est trop bon je sens que ça coule sur mon torse.
Mireille telle une chienne lape les dernière giclées et m'embrasse à pleine langue.
Je décharge dans son cul. Quel orgasme !
Elle me regarde et me dit "c'était bon"
Je lui répond que oui, excellent.
Mireille étale de ses mains le foutre de mon torse quand nous entendons d'autres gémissement. Oui nous avions oublié que le deuxième se branlait !
On se retourne au moment où il décharge toute sa semence sur mon torse. Il est un peu plus liquide mais qu'elle quantité ! Avant même d'étaler, Mireille en ramasse un peu sur ses doigts et lèche pour ensuite me masser le torse.
Elle se retire, une partie de mon foutre ressort de son fion sur ma bite, elle s'installe à côté de moi relèche et referme mon pantalon.
Je remets ma chemise. On est épuisé, on s’endort l'un contre l'autre.

Couscous Partie
C’était à un restaurant tunisien, où ma femme et moi avions pris l’habitude d’aller depuis quelques temps. La cuisine était très bonne et le restaurant avait une petite particularité, c’est que le week-end, à la mi-repas, une danseuse du ventre venait faire le spectacle.
Ce soir-là, la danseuse était là et au beau milieu de sa danse, je la vois qui s’approche de notre table et invite ma femme à danser avec elle. À ma grande surprise ma femme accepta.
Ma femme avait sa jupe noire mi-cuisse et un pull col roulé blanc qui moulait sa poitrine plutôt opulente. Elle dansait face à la danseuse professionnelle et ondulait son corps. Je commençais à voir ses seins prendre le rythme approprié. Elle s’enivrait à cette danse. Les clients et les clientes tapaient dans leurs mains et ma femme ondulait de plus belle.
La musique s’arrêta enfin et ma femme regagna sa place à mes côtés. Elle riait à pleine dents et je la voyait surexcitée. Elle me glissa rapidement :
- J’ai chaud !…
À ce moment-là, je ne sais pas ce qui m’a pris mais je m’approche d’elle et lui glisse à l’oreille :
- T’avais envie d’enlever ton pull et de danser en soutien gorge hein ?
Elle rigole et me dit un petit « oui » dans le creux de l’oreille.
Ce sur quoi tout s’enchaîna si vite…
Je me suis levé pour aller aux toilettes et sur le chemin j’ai glissé discrètement à Ali, le patron, que ma femme aurait bien été un peu plus loin, et dansé en soutien gorge, mais qu’elle n’avait pas osé pour ne pas choquer les clients… Mais s’il avait un sous-sol ou une arrière salle, elle pouvait le faire devant un cercle confidentiel de bons clients à lui.
Ali me répondit qu’il avait une salle au sous-sol qu’il n’ouvrait que rarement, seulement quand le restaurant était bondé, mais que ce soir elle était vide et qu’il allait voir si cela intéressait certains de ses habitués.
J’allais aux toilettes, un long moment, car ma femme m’avait excité et je n’arrêtait pas de penser à elle et il m’était difficile de pisser. Mais au moment ou je suis sorti et où j’allais regagner ma table, Ali me glissa discrètement qu’il y avait une table de quatre jeunes tunisiens très sympathiques et discrets que ça intéressait.
Une fois rassis, je regardai discrètement la table des quatre jeunes et je glissais dans le creux de l’oreille de ma femme que si elle voulait, elle pourrait continuer sa danse toute à l’heure au sous sol devant deux ou trois habitués et qu’Ali, le patron, allait nous offrir le dessert.
Un quart d’heure après, je vis Ali dire aux quatre jeunes de descendre pour le digestif. Ali remonta et me dit que l’on pouvait le suivre si l’on voulait, qu’il allait nous offrir le dessert ou le digestif comme on voulait.
Nous descendîmes ma femme et moi et en-bas la musique était déjà endiablée. Ali fît les présentations et nous nous assîmes tous sur des petits poufs autour d’une table basse. Ali mit ma femme en confiance en lui disant qu’elle pouvait continuer à danser ici sans aucun problème qu’elle n’avait rien à craindre.
Les quatre jeunes la complimentèrent en l’incitant à continuer la danse qu’elle avait commencé en haut. Ma femme se leva et commença à onduler sous les encouragements des quatre jeunes qui tapaient dans leurs mains au rythme de la musique arabe.
Ses hanches se libéraient sous les encouragement et rapidement ma femme ôta son pull col roulé et se retrouva en soutient gorge avec ses énormes seins qui ballotaient de gauche à droite au son des tambours arabes.
Aussitôt un des quatre jeune se leva, ôta son tee-shirt et commença à danser torse-nu autour de ma femme en riant. Très vite, deux autres l’imitèrent et tout ce petit monde dansait en levant les mains et en riant, l’ambiance était bon enfant.
Un seul était resté assis et regardait le spectacle, il semblait plus sérieux.
Au bout d’un moment ma femme commençait à s’enivrer de cette danse à quatre et les jeunes arabes commencèrent à scander quelque chose en arabe. Ma femme riait et leur montra qu’elle ne comprenait pas. Ils lui indiquèrent par des gestes qu’ils n’attendaient qu’une chose : c’est qu’elle dégrafe son soutient gorge. Ma femme joua la timide et fit non de la tête.
Les jeunes commencèrent alors à scander autre chose en direction du seul jeune qui était resté assis. Apparemment, ils ne faisaient que scander son prénom, car au bout d’un moment le jeune commença à se lever et à danser en approchant du cercle où se trouvait ma femme et les trois jeunes tunisiens.
Mais plus il approchait, plus les trois autres passaient derrière ma femme, la laissant seule face au nouvel arrivant… En approchant de ma femme, je m’aperçus que le jeune commençais à mettre progressivement la main à son pantalon, comme s’il allait défaire sa ceinture…
Arrivé à la hauteur de ma femme, il commença effectivement à défaire la boucle de sa ceinture, puis déboutonna son pantalon en plantant ses yeux droit dans ceux de ma femme. Ma femme s’en amusait et le mec ondulait tout doucement en défaisant sa braguette. Il dansa ensuite un long moment, la braguette entre-ouverte sur ses poils pubiens, face à ma femme. Le spectacle était très érotique.
Mais soudain, il ouvrit sa braguette en entier et en fit sortir un membre d’une longueur et d’une grosseur exceptionnelle… Puis il leva les mains et se mis à onduler en face de ma femme avec ce chibre énorme qu’il faisait balancer de droite à gauche.
Ma femme était interloquée, et ne sachant quoi faire, elle continuait à danser en rigolant bêtement et en me jetant des coups d’œil rapides. Elle regardait la chose à laquelle il était impossible d’échapper et les trois jeunes en profitèrent pour scander une nouvelle fois en arabe ce qu’ils avaient déjà réclamé : qu’elle enlève son soutien gorge !
Le deal était comme sous-jacent : tu vois, y en a un de nous qui te montre son énorme queue, donc montre nous tes seins en échange…
Je pense que c’est ce qu’a compris ma femme et, après m’avoir longuement regardé, je la vis qui commença à porter ses mains derrière son dos en me regardant, et, après s’être tournée vers le jeune à la grosse bite, le fixa du regard et dégrafa d’un coup son soutien gorge comme par provocation.
Des holà se firent entendre et les trois autres jeunes étaient surexcités.
La musique endiablée redoubla et les seins de ma femme étaient offerts ballotant aux yeux des jeunes tunisiens. Elle devait être manifestement excitée car je crois que je n’avais jamais vu ses tétons aussi bruns, aussi longs et aussi durs.
Je savais à ce moment là que les choses pourraient difficilement s’arrêter. Les jeunes commencèrent à scander d’autres choses en arabes et quelques “salopes” commentèrent à fuser discrètement au milieu de tout ce brouhaha.
Voyant que ma femme continuait, un des trois jeunes s’approcha de ma femme en dansant et lui dit clairement :
-  Fait bander la grosse bite, fais la bander !
Puis le mec me regarda, et comme je ne bronchais pas, il se rapprocha de ma femme et lui redit :
-  Fait bander la grosse bite, fais la bander devant ton mari !
Ma femme me regarda alors, et comme je ne bronchais toujours pas, elle se remit face au mec à la grosse queue et commença à porter ses mains à ses seins et les empoigna comme pour mieux lui montrer. Elle n’arrêtait pas d’onduler en empoignant ses globes et se mit à sucer ses tétons turgescents.
Les trois jeunes s’y mirent tous ensemble en s’approchant tout prêt d’elle et en lui susurrant près de l’oreille :
- Vas-y fait bander la grosse queue, suce-la, suce-la !
Ma femme continuait de se sucer les tétons et un des jeunes, prît la nuque de ma femme et l’appuya en avant comme pour lui faire sucer la grosse queue. Ma femme se dégageât en riant bêtement et me regarda.
Je ne bougeait pas, je pouvais rien faire, j’avais envie de voir ma femme sucer cette énorme queue. J’en avais envie…
Maintenant c’était un brouhaha qui couvrait la musique, ça fusait de partout, des trois jeunes, chacun à leur tout lançait des saloperies pour exciter ma femme :
-  Vas-y fait bander la grosse queue, suce-la, suce-la, suce-la devant ton mari !
-  Salope !
-  Salope de blanche suce la grosse queue d’arabe !
J’étais comme fou, tétanisé par le spectacle.
Un des jeunes recommença, reprît la nuque de ma femme et l’appuya en avant comme pour lui faire sucer la grosse queue. Cette fois, ma femme donna au passage un coup de langue sur la grosse bite avant de se dégager et me regarder à nouveau.
Je ne bougeai toujours pas, ça m’était impossible.
-  Suce-la queue salope, suce-la devant ton mari !
-  Salope !…
-  Suce la grosse queue d’arabe !…
-  Suce-la devant ton mari salope !…
Le jeune recommença une troisième fois à reprendre la nuque de ma femme pour l’approcher de la grosse queue. Cette fois ma femme se laissa faire et lapa de grands coups de langue le long de l’énorme bite et finit par l’enfourner dans sa bouche. Les mecs explosèrent de joie !
À partir de ce moment, le mec à la grosse queue prit tout en main. Il prit ma femme par la nuque de la main droite et l’éloigna de sa bite qu’il tenait de la main gauche, et lui demanda :
-  T’as envie de sucer ma grosse bite ?
Ma femme hésita et il lui reposa la question :
-  T’as envie de sucer ma grosse bite salope ?
Ma femme me regarda rapidement et répondit alors un « oui » timide. Sans la lâcher il lui reposa une troisième fois la question :
- T’as envie de sucer ma grosse bite d’arabe devant ton mari hein salope ?
Ma femme affirma sa réponse d’un « oui… » beaucoup plus prononcer qui se finissait en râle. Alors il rapprocha la tête de ma femme de son énorme queue et lui dit :
-  Allez vas-y suce salope !
Ma femme se jeta sur sa queue et les trois autres jeunes explosèrent une nouvelle fois de joie. Ils commencèrent également à déboutonner leur pantalon et à sa branler et en me regardant m’invitèrent à faire de même. Ils insistaient et je pu difficilement faire autrement tellement je bandais déjà. Je défit ma braguette et sortit ma petite bite et lorsqu’ils virent qu’elle était déjà toute dure, ils explosèrent de rire en continuant à se branler : je fis de même.
Ma femme qui s’était retournée en entendant l’explosion de rire, me vit me branler à son spectacle.
Le mec à la grosse queue la remit immédiatement au travail en lui lâchant :
- T’occupe pas salope, dégrafe ta jupe et suce moi la queue.
Ma femme s’exécuta. Elle mit ses mains dans son dos à hauteur de l’agrafe de sa jupe et la dégrafa d’un seul coup. Elle la fit glisser, se remit à genoux et se masturba en suçant la grosse queue.
Un moment, le mec recula, se baissa et mis la main à la chatte de ma femme. Il remua violemment sa main dans son vagin et ma femme éjacula un long jet en un râle d’épuisement.
Il la remit à lui sucer bite, ma femme était ivre de plaisir et recommença à se masturber. Il l’encourageait :
- Vas-y suce salope de blanche, je vais te la mettre dans le fond de la gorge !
Ma femme râlait à chacune de ses insultes.
- Vas-y suce, ton mari aime-ça il se branle sa petite bite en te regardant !
À ses mots ma femme convulsa et gicla toute seul en un long jet.
À ce moment le mec la regarda et lui demanda :
- T’as envie de te faire baiser salope ? T’as envie de te faire baiser par ma grosse queue hein ?
Ma femme émit un petit son qui ressemblait à « oui ». Le mec répliqua :
- Dis  à ton mari que t’as envie de te faire baiser par ma grosse queue ! Dis lui !
Elle ne s’adressa même pas à moi mais directement à lui :
- Baise moi avec ta grosse queue !
Il se calma et dit d’une voix plus douce :
-- Allonge toi salope !
Ma femme s’allongea sur une banquette et écarta les jambes attendant le gros membre qui s’approchait. Tellement ma femme était trempée, qu’il l’enfourna d’un coup et elle éclata en long râle de plaisir : il venait déjà de la faire jouir !
À partir de ce moment-là, le mec à la grosse queue fut plus doux avec ma femme et lui parla plus tendrement. Les trois autres s’approchèrent et se répartirent autour de ma femme tout en continuant à se branler. Ils m’invitèrent à les rejoindre et ma femme me vit approcher avec ma petite bite à la main.
Elle jouissait lentement sous le va et vient profond de la grosse bite. Les deux arabes en face de moi lui demandèrent de prendre ses seins dans ses mains, celui qui était à mes côtés ne bronchait pas et se branlait doucement comme moi.
Soudain, sous l’excitation de ma femme, un des deux arabes qui étaient en face de moi se mit à jouir et lâcha tout son sperme chaud sur le ventre de ma femme. Aux jets de spermes qui tombaient sur son ventre ma femme accéléra sa jouissance et le mec à la grosse queue son rythme. Le flot de sperme écoulée le mec à la grosse queue se retira momentanément et mit ses gros doigts dans le vagin de ma femme qui éjacula immédiatement comme une salope en chaleur. Elle avait sentit le sperme arabe et avait immédiatement jouit.
Le mec à la grosse queue réitéra l’opération lorsque le mec à côté de moi, puis le mec en face lâchèrent successivement leur sperme sur le ventre et les seins de ma femme. Celle-ci devait être excitée par l’odeur du sperme arabe.
Après avoir jouit, les mecs se rhabillèrent un à un et remontèrent dans la salle du restaurant.
Nous étions désormais plus que trois : ma femme qui était en train de se faire baiser par l’arabe à la grosse queue et moi, qui me branlait au-dessus des seins de ma femme.
C’est là que le mec à la grosse queue se remit à parler à ma femme :
- Ça te plaît de voir ton mari branler sa petite bite pendant que tu te fais baiser par ma grosse queue d’arabe hein ? Ça te plaît de faire la salope devant ton mari hein ?
Puis il s’adressa directement à moi :
-- Et toi ça te plaît de voir ta femme se faire défoncer par une grosse queue d’arabe hein ? Ça te plait de voir ta femme se faire traiter comme une salope hein ? Allez branle-toi sur ta salope… vas-y branle ta petite bite sur ta salope !…
Le mec s’excitait tout seul et ses coups de queues devenaient de plus en plus rapides et saccadées, et à ces mots, je pus difficilement retenir plus longtemps mon éjaculation. Ma femme le senti en même temps qu’elle était assaillie par des coups de boutoir de plus en plus violent.
-- Ah oui ça te plait de voir ta femme se faire traiter comme une salope par des arabes hein ?
Je ne pus me retenir… J’éjaculai à long jets fins et puissants sur ma femme qui exultait… Quand au mec, sa propre excitation avait pris le dessus et il retira soudain sa queue pour éjaculer sur le pubis de ma femme à longs jets épais. Ma femme gueulait comme une guenon en rut, nous avions jouis tous les trois ensemble.
À peine finit de jouir, le mec m’ordonna de me pousser et vint à ma place pour se faire sucer les dernières gouttes de sperme par ma femme… Je me poussa et vint à la place du mec, entre les jambes de ma femme. Celle-ci était encore manifestement excitée et suçait la grosse bite avec de doux râles…
Je compris qu’il ne me restait qu’une chose à faire. Je m’accroupi et me mis à lécher a chatte de ma femme. Elle était toute humide et défoncée, et l’odeur âcre du sperme épais de l’arabe envahissait mes narines.
Le mec fini par se rhabiller et remonter dans le restaurant, tandis que sous mes coups de langues, ma femme continuait à jouir clitoridiennement toutes les trois ou quatre minutes.
Nous étions là tous les deux, moi à branler ma petite bite qui redurcissait du fait de l’excitation terrible que nous avions vécu, et ma femme qui jouissait sous mes coup de langues, lorsqu’Ali, le patron, descendit les escaliers.
« Allez vous, nous dit-il, c’est fini on ferme, j’ai pas que ça à faire… C’est pas un hôtel de passe ici ! »
Nous nous rhabillâmes et au moment de remonter et de sortir, Ali nous demanda :
-- Dîtes donc, c’est pas tout ça mais les gars ont consommé une bouteille et ils ne l’ont pas payé. Vous me devez vos deux repas plus une bouteille. Ça fera 200 € j’arrondis.
J’ai de suite payé et nous partîmes sans discute





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