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Channel: Chez Andre 112
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Quand la voute plantaire est visible...

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Et pour  finir cette série:
voici la punition classique
 infligée par les reubeux 
quand tu n'obéis pas.
Je peux vous garantir la douleur!


Histoire du net. Auteur Inconnu. Ah les vrais mecs!!!

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Certains mecs ont du mal à comprendre rapidement.
Il leur faut le son et l'image.
Et même avec ça ils mettent un temps fou à piger..!


Ma copine baisée sous mes yeux par mon meilleur ami Victor et son père Hervé !

Cette histoire, bien qu'un peu romancée, est tirée de faits réels.
C'était l'année de mes 18 ans. Je venais de passer en terminale, dernière ligne droite avant le baccalauréat ! Bien sûr, à cet âge je n'avais pas uniquement la tête aux études : je passais énormément de temps avec mon meilleur ami Victor, que je connaissais depuis l'école primaire. Nous nous étions suivis pendant toute notre scolarité, et nous étions peu à peu devenus inséparables.
Nicolas n'allait jamais sans Victor, et vice versa. Depuis trois mois toutefois, je partageais mes loisirs entre Victor et ma petite amie, puisque je sortais avec Hélène, ma camarade de classe et ma première copine ! Tous les garçons sauront de quoi je parle, la première copine a vraiment quelque chose de spécial. On prend conscience que l'on peut plaire à quelqu'un, on échange des centaines de textos chaque soir après les cours, on commence même à penser au sexe...
De mon côté, j'y pensais de plus en plus : après trois mois passés avec Hélène, nous n'avions pas fait grand-chose à part quelques bisous et caresses... Pourtant, bien qu'Hélène était âgée de 17 ans comme moi, elle était sortie l'année précédente avec un étudiant de 22 ans, et elle m'avait confié qu'ils avaient couché ensemble. Je commençais donc à me demander pourquoi nous n'avions toujours rien fait tous les deux, et je me disais que le problème venait forcément de moi.
A cette époque, je faisais encore très gamin, j'étais assez maigre et pas très grand, et mes traits étaient très enfantins. Hélène, par contre, était déjà une très jolie fille : petite brunette d'1m60, elle avait les yeux bleus et des jolis petits seins qui pointaient à travers ses t-shirts moulants, ne laissant personne au lycée indifférent.
Clairement, elle était bien mieux que moi physiquement parlant, et c'était principalement mon humour qui l'avait séduite. Hélène était une fille sociable, elle s'était très rapidement intégrée à mon groupe d'amis. Elle était devenue bonne amie avec mon fameux pote Victor, que je considérais à l'époque comme mon frère. Il faut avouer que Victor était plus beau que moi : c'était un « grand brun ténébreux » comme disaient les filles, avec des yeux vert clair et une mèche de cheveux qui lui donnait un grand succès auprès des lycéennes. Pourtant, il était très timide et n'avait jamais eu de copine sérieuse.
Il était donc, comme moi, toujours puceau. Me sentant honteux de n'avoir toujours pas couché avec Hélène, je lui avais menti en lui disant que nous avions fait l'amour. Je n'étais pas fier de ce mensonge, mais cela me donnait une sorte de supériorité vis-à-vis de Victor, ce qui faisait beaucoup de bien à mon ego.

Pendant la semaine, Victor était venu nous trouver à la fin d'un cours, Hélène et moi, pour nous annoncer qu'il organisait une petite soirée chez lui le samedi suivant.
- Toi aussi tu es invitée, Hélène, avait-il annoncé à ma copine.
- Merci Victor, ce sera avec plaisir ! lui avait-elle répondu avec enthousiasme. J'ai hâte de voir Hervé, donc vous m'avez tant parlé ces derniers temps !
Hélène n'avait pas encore eu l'occasion de faire une soirée chez Victor et de rencontrer son père Hervé. Cet homme était une véritable institution pour les membres de mon groupe d'amis. Papa cool par excellence, il était âgé de 42 ans et était encore très bien conservé. Brun, le teint halé (Victor avait de qui tenir), il était séparé de son ex-femme depuis 15 ans, et ne s'était jamais recasé. Il aimait « toutes les femmes, et pas une seule ! », comme je l'avais souvent entendu dire dans mon enfance.
Quand Victor organisait une soirée chez lui, Hervé restait pour la passer avec nous.
Il n'hésitait pas à nous servir de l'alcool et à partager nos joints, ce qui, vous l'imaginez, lui valu rapidement une énorme popularité auprès de nos potes du lycée. Au fond de moi, je misais énormément sur cette soirée, car j'espérais que l'alcool aidant, je parviendrais à m'isoler avec Hélène pour enfin passer à l'acte. Toute la semaine, j'avais échafaudé des plans rocambolesques pour parvenir à mes fins le jour J. Quand je vous dis que le sexe m'obsédait !

Le samedi soir arriva finalement, après des jours qui me semblèrent une éternité. A 19h, je retrouvais Hélène au niveau d'un arrêt de bus situé tout près de la maison de Victor. Arrivé sur place, j'aperçus ma copine qui m'attendait sous l'abribus.
J'accourus vers elle, heureux de la retrouver.
- Salut mon chéri ! s'exclama-t-elle en venant vers moi.
- Hey ! Tu vas bien, mon cœur ? lui demandai-je en l'enlaçant.
- Très bien ! J'ai piqué une bouteille de rhum dans la cave de mon père avant de
venir, on va passer une super soirée !
Hélène s'était faite toute belle pour l'occasion. Il faisait encore chaud en ce début d'année scolaire, elle ne portait donc en haut qu'un petit chemisier blanc, à travers lequel on devinait nettement ses tétons, naturellement durs et tendus. Une jupe assez courte invitait n'importe quel amateur de belle fille à regarder ses belles jambes fines et impeccablement rasées, qui se terminaient sur des chaussures à semelles compensées. Hélène n'était pas vulgaire, mais elle était clairement désirable ! En l'observant, je me dis que j'avais énormément de chance d'être avec une fille pareille, et je me sentis très amoureux.

Nous arrivâmes quelques minutes plus tard devant la maison de Victor. Située en plein cœur d'un quartier cossu (le père de Victor était architecte), elle était assez grande et pourvue de nombreuses pièces dispersées dans les deux étages. J'espérais bien qu'une de ces pièces, d'ici quelques heures, serait le théâtre de mon dépucelage !
Une dizaine de personnes était déjà arrivée, et on en attendait une vingtaine d'autres. Victor et Hervé vinrent à notre rencontre pour nous saluer, et Hélène fit enfin la connaissance de ce Papa pas comme les autres. Ce dernier était en costume-cravate, mais il portait cet ensemble « à la cool », chemise sortie du pantalon et cravate fine : il faisait très bobo et ne manquait pas de charme.
- Alors voici la fameuse Hélène ! s'exclama-t-il en enlaçant ma copine. Victor m'a tant parlé de toi ! Tu es vraiment charmante !
Hélène sembla troublée par cette accolade aussi franche que spontanée.
- Mer... Merci, balbutia-t-elle. Moi aussi, on m'a beaucoup parlé de vous !
- En bien, j'espère ! Tu sais, tout ce qu'ils t'ont dit sur moi est faux... Hormis mes aventures extra-conjugales, pour lesquelles je plaide coupable !
Hervé éclata de rire en passant sa main dans le dos de ma copine. Je vis bien qu'elle était déstabilisée.
- Ah ! Euh... Non... On ne m'avait rien dit sur le sujet...
- Je plaisante, je plaisante ! la rassura Hervé. En tout cas, tu me plais beaucoup ! Tu vois, Victor, c'est une fille comme ça que tu dois me ramener à la maison, je me tue à te le dire !
- Bon, bon ! l'interrompit Victor. Arrête d'embêter Hélène, tu viens à peine de la rencontrer ! Installez-vous dans le salon, on vous rejoint tout de suite pour commencer à boire !
Notre génération avait un seul objectif pendant ces soirées : boire et se saouler au maximum ! Je dois dire qu'avec le recul, j'ai conscience que cette attitude était assez stupide et parfois franchement dangereuse, mais c'était ainsi ! Nous attaquâmes donc très rapidement les alcools forts, whisky, rhum, vodka... Hervé nous accompagnait, et comme d'habitude, il tenait bien plus la longueur que nous autres, jeunes adolescents maigrelets et inexpérimentés ! Hélène ne tarda pas à être, comme moi, un peu pompette, et cette euphorie facilita son rapprochement avec Hervé. La gêne des premiers instants fut vite oubliée, ils riaient comme des enfants à la moindre occasion. Le père de Victor roula deux joints pour ma copine, et me servit plusieurs
verres de whisky. Je le voyais parfois murmurer des choses à l'oreille d'Hélène, qui
réagissait en pouffant et en rougissant comme une midinette. Je n'y prêtai pas attention, car Hervé était d'un naturel farceur et tactile. Il avait « le sang chaud des Italiens », comme Victor aimait le rappeler.
Vers 23h, je constatai que les verres de whisky et les joints avaient eu raison de moi, car je somnolais déjà au fond du canapé. D'un coup, Hélène se leva et me posa un baiser sur la joue.
- Je vais aux toilettes ! affirma-t-elle avec entrain. C'est... c'est où que c'est ?...
Elle aussi était dans un sale état !
- A l'étage ! répondit Hervé. Je te montre si tu veux, et tu peux même t'y rendre à dos de cheval !
Hervé se pencha et fit signe à ma copine de monter sur son dos. Celle-ci explosa de rire et prit son élan pour mieux bondir sur lui. Il tituba un instant, car il avait bu et fumé comme nous tous, puis se stabilisa et partit en hennissant.
- Hihihi ! Hue ! Hue cheval ! Portez-moi au royaume des toilettes, messire cheval !
La tête lourde et les yeux à moitié fermés, je vis la cavalière et sa monture emprunter les escaliers qui se trouvaient dans l'axe du salon. Tous deux disparurent bientôt à l'étage.
Puis plus rien. Le trou noir. A mes côtés, Victor aussi sombrait dans un sommeil agité.

Lorsque je rouvris les yeux, tout était calme dans la maison. Victor et bien d'autres camarades du lycée dormaient toujours autour de moi, sur les canapés ou carrément sur le sol. Il me fallut quelques temps pour sortir totalement de ma torpeur. Un coup d'œil vers la pendule du salon m'indiqua qu'il était 2h30 du matin.
Nous avions tous beaucoup trop bu, ce qui, par la force des choses, avait drôlement écourté la soirée ! Je finis par me rappeler que j'étais venu chez Victor avec ma petite amie Hélène. Je la cherchais donc du regard à travers la pièce, mais dus rapidement me rendre à l'évidence : elle n'y était pas. Je me souvenais de l'avoir vue bourrée, j'imaginais donc qu'elle s'était affalée dans un coin pour s'endormir etcuver son vin...
Mais après tout, peut-être allait-elle émerger comme moi, et à ce moment-là, peut-être aurait-elle envie de... sexe ! Je décidai qu'il me fallait la retrouver et terminer la nuit à ses côtés, en espérant qu'elle se réveille et que j'obtienne ce que je souhaitais depuis des semaines...
Au rez-de-chaussée, je ne trouvai aucune trace d'Hélène. Mais les chambres étaient situées dans les étages, c'était donc là que j'avais le plus de chance de tomber sur elle. Je m'engageai dans les escaliers qui partaient du salon, ceux-là mêmes qu'avaient empruntés quelques heures plus tôt, en pleine euphorie, Hervé et ma copine. Arrivé au premier étage, je fis quelques pas et m'arrêtai soudain, interpellé par un bruit que j'avais cru entendre. Tendant l'oreille, je saisis en effet l'écho d'une agitation, qui venait vraisemblablement de la pièce au fond du couloir. D'un naturel curieux, je me rapprochai à pas feutrés de la porte, pour mieux comprendre ce
qui se passait dans cette pièce.
C'était un mélange de chuchotements et de gémissements qui filtrait au travers de la porte. Il me semblait bien que des gens baisaient là-derrière ! Je fus irrésistiblement attiré par une telle idée, et je voulus à tout prix observer la scène. Par chance, la porte en question était entrouverte, ce qui me permit de jeter un coup d'œil à l'intérieur.
Ce fut certainement la pire idée de ma vie. Ce que je découvris dans cette chambre me figea sur place, et je crus que j'allais m'évanouir. La cochonne qu'on entendait jouir depuis le couloir n'était autre que ma petite copine Hélène ! A quatre pattes sur un grand lit, cambrée au maximum, elle était complètement nue, à l'exception de ses petites chaussettes bleues qu'elle avait gardées aux pieds.
Derrière elle, entièrement nu également, se tenait ce salaud d'Hervé, qui besognait ma chérie en levrette ! Ses grandes paluches bronzées caressaient et claquaient le petit cul rebondi d'Hélène, qui émettait un léger cri de plaisir à chaque coup de butoir.
Son visage était transfiguré : les yeux fermés, la bouche entrouverte d'où s'échappait un mince filet de salive, elle semblait transportée par le plaisir et l'excitation. Encore plus humiliant pour moi, ma copine portait autour du cou la cravate d'Hervé, et ce-dernier en agrippait la pointe de sa main : il tenait ma petite amie en laisse ! Il tirait légèrement sur le bout de tissu, ce qui obligeait Hélène à maintenir la tête en
arrière.
- Han !... Han !... On dirait que tu l'aimes, ma bite de quadra ! lui souffla Hervé entre deux grognements.
- Ooooh ouais ! Han !... Je la sens... bien... votre queue !...
La voix que prenait Hélène était terriblement sensuelle, je ne l'avais jamais entendue parler ainsi.
- J'ai senti tout de suite que tu étais une petite affamée ! Han !... Je commence à connaître les femmes...
- Hmmmmmm... Ca se voit, Monsieur Hervé ! Allez !... Oui !... Baisez-moi plus fort !
Hélène allait même au-devant des coups de pine en reculant volontairement son bassin vers Hervé. Ce-dernier avait vu juste : ma copine semblait véritablement affamée de bite. Je voyais nettement sa jolie poitrine se balancer après chaque assaut de son amant. Parfois, Hervé passait sa main autour de la taille d'Hélène pour accéder à ses seins et lui pincer les tétons. Cela décuplait le plaisir de ma belle, dont le corps frissonnant ondulait d'excitation.
J'avais été figé sur place en découvrant Hélène et Hervé en plein ébat sexuel, et je me rendis compte que cela faisait plusieurs minutes que je les observais par l'entrebâillement de la porte, sans oser réagir. Dire que j'étais parti à sa recherche dans l'espoir de faire l'amour ! La petite salope ne m'avait pas attendu...
Je n'avais pourtant ni la force ni le courage d'intervenir. Elle avait l'air de bien prendre son
pied avec cet homme deux fois plus âgé qu'elle... Comment aurais-je pu l'en empêcher, moi qui n'étais même pas capable de coucher avec elle ? Impuissant, je restais là à les observer, à la fois jaloux et terriblement excité par la scène qui se jouait devant moi...
Les deux amants changèrent finalement de position. Hélène se retourna pour s'allonger sur le dos, plaça ses jambes en l'air, reposées sur les épaules d'Hervé. Puis elle lui agrippa la taille de ses deux mains pour l'encourager à venir en elle.
Le salaud ne se fit pas prier : il enfonça son sexe puissant, qui m'apparut d'ailleurs bien plus gros que le mien, dans le vagin de ma copine, puis se pencha vers elle pour l'embrasser. Ils échangèrent un long et tendre baiser, pendant qu'Hervé recommençait les vas-et-vient énergiques.
- Tu es sûre que Nicolas te baise comme il faut ? lui demanda soudain le père de Victor. Je sens bien que tu étais en manque !
- Non... Hmmm... Non ! On n'a jamais rien fait tous les deux ! Je n'en pouvais plus d'attendre, c'est pour ça que j'ai sauté sur votre queue !...
- Tu es sérieuse ? S’étonna Hervé. Mais qu'est-ce que tu fais avec ce mec ? Il n'est pas beau, et en plus il ne te baise pas ! Tu es bien trop belle pour lui !...
Cette discussion franchement humiliante pour mon grade sembla exciter encore davantage Hélène, qui changea la position de ses jambes pour les enrouler autour du bassin de son amant. Elle le serra avec force, pour l'obliger à aller toujours plus profondément en elle. Hervé lui embrassa les seins, ce qui lui arracha un petit cri aigu de jouissance.
- Je... sais !... Han !... Il ne m'excite pas beaucoup, mais il est gentil !...
- Ha ha !... Gentil ! C'est ce que les filles disent quand elles trouvent qu'un garçon est naze ! Hmmm... Regarde mon fils Victor, ça c'est un vrai mec ! Han !... Lui, je suis sûr qu'il te baiserait comme une reine !
- Hmmmm... soupira Hélène. S'il tient de vous, je n'en doute pas !... C'est vrai qu'il est mignon, mais... Han !... c'est le meilleur ami de Nicolas, et je suis sûre que je ne suis pas à son goût...
- Tu rigoles ! s'exclama le père de Victor. Il ne parle que de toi, et tu es une vraie bombe ! Il faut que tu prennes conscience de ton potentiel, tu es une vraie salope en herbe !...
Hervé s'allongea complètement sur ma copine et enfonça son visage dans son cou. Les deux corps étaient parfaitement imbriqués et ondulaient selon le même rythme, imprimé par les assauts répétés de ce vieux dégueulasse. Hélène se laissait complètement faire, la tête en arrière et les yeux fermés, les jambes solidement enroulés autour du corps puissant d'Hervé. D'une main, elle lui caressait les cheveux pour l'inviter à continuer ses bisous dans le cou, de l'autre elle agrippait les fesses musclées de son amant. C'est vrai qu'Hervé était drôlement bien foutu pour un homme de 42 ans. Ses muscles parfaitement dessinés et son corps bronzé donnaient l'impression qu'il sortait tout droit d'un film pornographique. Et quelle endurance !
Il baisait ma copine comme une reine depuis déjà longtemps (et encore, j'avais pris « le film » en cours) et ne semblait pas décidé à ralentir son rythme. Par-dessus le marché, il parvenait à la troncher de la sorte tout en discutant avec elle ! Aux anges, Hélène continuait de gémir et de le supplier « de la baiser plus fort ! ».
Heureusement pour moi, malheureusement pour ma copine, toutes les bonnes choses ont une fin. Hervé finit par se redresser et confia à Hélène qu'il allait jouir.
- Je vais me vider sur tes petits seins, ma chérie ! lui annonça-t-il fièrement.
- Oui ! Allez-y ! Je suis à vous, faites-vous plaisir !
Le regard que lança la salope à Hervé était plein d'admiration et de fierté.On sentait qu'elle prenait un plaisir pervers à vouvoyer son amant, comme pour renforcer l'idée qu'elle se faisait sauter par un homme mûr. Hélène attendait la semence de son mâle avec impatience et envie. A genoux sur le lit, elle fixait Hervé d'un air provocateur, pour mieux l'exciter et accélérer la jouissance.
- Aaaaaaaaaah ! Je vieeeens !
Une quantité impressionnante de sperme fut déversée sur la poitrine d'Hélène.
Hervé fut remercié par une dernière pipe, son gland fut nettoyé consciencieusement et langoureusement. Il tenait ma copine par les cheveux, comme pour prouver définitivement qu'elle lui appartenait. De mon côté, j'étais soulagé que tout soit terminé, et même si je restais dévoré par la jalousie et un sentiment d'humiliation, je me disais que tout pourrait maintenant revenir à la normale. Car non, je n'avais pas l'intention de larguer Hélène : comble de la soumission, j'avais toujours l'espoir qu'elle veuille bien faire l'amour avec moi. En attendant, elle était totalement absorbée par la verge d'Hervé, qui commençait à débander.
- Bon ! reprit Hervé. Comme tu es une vraie petite salope, j'ai un plan pour toi !
Il ramassa son pantalon à pinces et sortit un smartphone d'une poche. D'une main il commença à pianoter, de l'autre il frottait toujours son sexe sur le visage d'Hélène.
- Un plan ?... s'inquiéta timidement ma copine. De... de quoi parlez-vous ?
- J'écris à mon fils de nous rejoindre... Il est temps que Victor goûte au plaisir des femmes ! Et tu es parfaite pour lui servir d'entrée en matière...
- Mais ! Attendez, je...
- Ne rétorque pas ! Quand je t'ai parlé de Victor, j'ai bien senti que tu en avais envie ! Et ne t'inquiète pas, Nicolas comate en bas, vu son physique de poids plume il ne risque pas d'émerger avant demain midi !
Hélène fit un petit sourire à Hervé. Manifestement, elle était d'accord ! Je n'en revenais pas moi-même ! Le père de Victor voulait offrir ma copine à mon meilleur ami ! Je me rappelai qu'il dormait sur un canapé quand je m'étais levé, je priai de toutes mes forces pour qu'il ne se réveille pas...
Mes vœux ne furent pas exaucés. Quelques instants plus tard, j'entendis du bruit dans les escaliers. Quelqu'un montait à l'étage ! Etait-ce Victor ? J'eus très peur d'être surpris en train d'espionner aux portes, je me précipitai donc dans la salle de bain située juste à côté, en laissant la porte entrouverte. Il ne fallut pas longtemps avant que j'aperçoive une silhouette passer dans le couloir, et pénétrer dans la chambre où ma copine venait de me tromper avec un homme de 42 ans. Il me semblait bien avoir reconnu la carrure et la démarche de Victor !...

Depuis la salle de bain, j'entendis un cri de surprise. J'attendis quelques secondes, puis me précipitai dans le couloir pour reprendre ma place de voyeur, caché derrière la porte entrouverte. C'était effectivement Victor qui venait de rejoindre Hervé et ma copine Hélène ! Il se tenait debout près du lit, les bras ballants et l'air abasourdi. Sur la couette était étendue ma copine, allongée sur le ventre et complètement nue. Ses jambes étaient pliées vers l'arrière, de telle sorte que ses pieds pointaient vers le ciel. Elle regardait mon ami Victor avec un petit sourire, mêlé de gêne et de malice. Derrière elle, Hervé était à genoux, tenant sa bite à moitié molle d'une main, caressant les jolies fesses d'Hélène de l'autre. Son fils était en train de l'observer, nu aux côtés d'une petite bombe qui aurait pu être sa fille, et pourtant il gardait cet air fier et arrogant que je lui avais toujours connu. C'était définitivement un homme étrange !
- Mais... mais.... balbutia Victor. Qu'est-ce que... qu'est-ce que vous avez fait ?!
Hervé et Hélène eurent un sourire complice, amusés par la naïveté de Victor.
- Ce que nous avons fait ? ironisa son père. Je pensais que même pour un gamin sans expérience comme toi, cela tombait sous le sens... Je viens de baiser la copine de Nico !
- Non ! rétorqua Victor. Ce n'est pas possible ! Sérieusement, je n'y crois pas ! Je dois rêver, je...
Victor semblait réellement offusqué par les paroles de son père. Cela me rassura, je me dis qu'il n'était pas mon meilleur ami pour rien.
- Réveille-toi, fils ! lui lança sèchement Hervé. Tu vois bien que c'est la réalité ! Nicolas ne la baise pas, elle était en manque, j'étais là... Tu imagines la suite !
- Tout ça est complètement fou ! s'énerva Victor. Nico m'a dit qu'ils faisaient l'amour tout le temps ! Hélène, réponds-moi, qu'est-ce que c'est que ces conneries ?
Ma copine était belle comme une sirène dans cette position. Elle en avait forcément conscience, et j'étais persuadé qu'elle calculait chacun de ses mouvements pour exciter les deux hommes présents dans la pièce. Les caresses d'Hervé la faisaient frissonner de plaisir. Comme il passait sa main entre ses deux jolies fesses, elle sursauta légèrement et ondoya de la croupe, puis fit un sourire magnifique à mon ami.
J'aurais tout donné pour avoir droit à ce genre de sourire de sa part...
- Victor, ton père te dit la vérité, lui répondit-elle. Par contre, Nicolas t'a menti, nous n'avons jamais couché ensemble. D'une certaine façon, on peut dire qu'Hervé m'a rendu service, puisqu'il m'a donné ce que j'attendais depuis des semaines ! C'était une baise merveilleuse !
Le vilain mensonge qui m'avait permis de passer pour un dieu auprès de tous mes camarades de lycée venait de tomber ! Mais pour le moment, c'était loin d'être mon principal souci ! Je me rendais peu à peu compte de l'écart qui existait entre Hélène et moi. Je n'avais d'yeux que pour elle et son corps magnifique, et j'appelais chaque jour de mes vœux notre première relation sexuelle. De son côté, elle avait manifestement bien moins d'attirance pour moi, puisqu'elle m'avait toujours caché son amour du sexe. Heureusement, Victor ne semblait pas succomber à l'appel du désir, bien que je vis à plusieurs reprises son regard loucher sur les formes délicieuses de ma copine. Toujours aussi troublé, il se pencha pour ramasser la petite culotte d'Hélène et lui lança au visage.
- Rhabille-toi ! ordonna-t-il. On a encore une chance que Nicolas ne se rende compte de rien ! Encore heureux qu'il ait bu comme un trou hier soir !
Je crus un instant que notre amitié avait triomphé du sexe. Mais ni Hervé ni Hélène ne l'entendaient de cette oreille, et la petite salope lui adressa ces quelques mots d'un ton provocateur :
- Si c'est vraiment ce que tu veux, il faudra me l'enfiler toi-même... Tu sais, ton père ne m'a pas complètement rassasiée, j'ai encore de la place pour toi...
Ces paroles figèrent Victor sur place. C'est à ce moment précis que son esprit bascula. Ce qui n'était jusque là qu'un fantasme interdit et refoulé au plus profond de son être devenait soudainement réalité : une jeune fille dénudée et désirable l'invitait à lui faire l'amour. C'était la copine de son meilleur ami, mais quelle importance ? Après tout, il n'était pas capable de la satisfaire, ni même de la pénétrer, ce n'était donc pas vraiment de l'adultère. Et puis quoi, ils n'avaient que 17 ans, et n'étaient pas mariés ! Au contraire, la situation ajoutait du piment à la
proposition, ce qui excitait énormément Victor.
Je remarquai d'ailleurs qu'une bosse imposante s'était formée au niveau de son entrejambe. Elle trahissait son abandon : mon meilleur ami avait envie de baiser ma copine ! Le visage et la position d'Hélène, qui s'était redressée pour se mettre à genoux, prouvaient qu'elle aussi était bien décidée à me tromper une deuxième fois. Légèrement cambrée, elle présentait fièrement ses jolis seins, dont les tétons pointaient furieusement vers l'avant. Je pense que l'idée de se taper mon meilleur ami lui donnait également un regain d'excitation. Tout en eux trahissait l'envie irrésistible de me trahir, de me tromper en sombrant dans la débauche et le plaisir ! Je recevais cette énergie sexuelle jusque dans le couloir, et me sentais bien incapable d'y mettre un terme : j'étais condamné à observer la pièce jusqu'à la fin.
- Je... c'est-à-dire que... mais...
Les paroles de Victor étaient incompréhensibles. Il fixait sans pouvoir s'en détacher la traînée qui s'offrait à lui sur le lit. L'appel du stupre l'avait amenée à transgresser l'interdit pour se taper un homme de 42 ans. Il lui fallait maintenant goûter au fils. Observant la scène avec délectation, Hervé éclata de rire et prit la parole.
- Eh bien, Victor, je crois que tu commences à comprendre ! Je t'ai fait monter pour t'offrir la petite Hélène. Malgré son âge, c'est déjà une vraie salope, et je suis sûr qu'elle te fera passer un moment inoubliable ! Et qui sait, si tu tiens de ton père, peut-être lui donneras-tu également du plaisir...
Le vieux pervers termina sa phrase en donnant une petite claque sur les fesses de ma copine, ce qui la fit tressaillir et pouffer de rire. Visiblement décidée à passer aux choses sérieuses, Hélène se rapprocha jusqu'au bord du lit, toujours à genoux. Elle se trouvait maintenant à quelques centimètres de Victor, qui n'avait pas bougé depuis tout à l'heure. Sans aucune gêne, elle passa ses mains sous le t-shirt de mon ami, et commença à lui caresser le torse. Dans cette position, ses fesses rebondies ressortaient comme jamais. Le regard d'Hervé fut d'ailleurs rapidement attiré par ces deux petites pêches, rondes et irrésistibles.
- Hmmmmm, soupira Hélène d'un air satisfait. Ça, c'est un corps d'homme ! Et ces épaules ! Tu sais, il m'est arrivée plusieurs fois de me toucher en pensant à toi, depuis qu'on se connaît... J'ai souvent rêvé de ce moment !
Ma copine invita Victor à retirer son t-shirt, ce qu'il fit sans aucune hésitation. Elle découvrit alors un buste que j'aurais rêvé posséder ! Les pectoraux et les tablettes de chocolat étaient bien dessinés, sans que cela soit exagéré. La peau mate de mon ami lui donnait encore plus de charme. Il était vraiment comme son père, un homme fait pour combler les femmes ! Hélène était manifestement ravie de ce spectacle, et passait tendrement ses mains sur chacun des muscles qu'elle découvrait.
Aux anges, Victor respirait bruyamment et regardait la jeune fille qui s'offrait à lui dans les yeux. Il positionna ses mains sur les hanches de ma copine, et d'un geste autoritaire la colla contre lui. Surprise autant que comblée par cette initiative virile, Hélène passa ses bras dans le dos musclé de son nouveau copain, et l'embrassa.
Leur baiser fut long et passionné, et Victor le prolongea en passant ses lèvres dans le cou d'Hélène. Tête en arrière, le plaisir se lisait déjà sur le visage de la petite cochonne.
Heureux de voir son fils dans de pareilles dispositions, Hervé avait fini par quitter le lit pour s'installer sur un petit fauteuil, placé dans un coin de la chambre. Toujours aussi nu, il se caressait la verge en observant celle qu'il venait de dévergonder s'offrir à un nouveau partenaire. Il n'avait pas fallu longtemps à Victor pour qu'il se sente à l'aise. Sa façon de caresser et d'embrasser ma copine était incroyablement virile, et cela comblait Hélène qui s'abandonnait totalement entre ces mains déjà expertes.
Elle ondulait, ondoyait, frottait son ventre et ses seins contre le corps musclé de son nouveau jouet sexuel. Régulièrement, mon meilleur ami oubliait les lèvres rouges d'Hélène pour venir laper ses adorables tétons, ce qui donnait à la petite salope des frissons de plaisir. J'étais pratiquement certain que je ne me comporterais pas ainsi lors de ma première expérience sexuelle. Les hommes ne sont pas tous égaux, me disais-je : certains sont, dès la naissance, faits pour donner du plaisir aux femmes, d'autres pas. Force m'était d'admettre qu'Hervé et Victor étaient de la race des forts, des Casanova, de ceux qui faisaient frémir de plaisir
celles qui avaient la chance de croiser leur route. Et Victor me donna raison en
s'adressant à ma copine de la sorte :
- Moi aussi, il m'est arrivé de fantasmer sur toi et ton petit cul, Hélène. Et à chaque fois, tu commençais par me sucer comme une reine... Alors, qu'est-ce que tu attends ?!
La voix de Victor avait été franche et autoritaire. Ce n'était pas la voix d'un gamin de 17 ans, c'était la voix d'un homme décidé à guider sa petite femelle vers le plaisir. A ce moment, le regard que lança Hervé à son fils était rempli de fierté : Victor savait parler aux femmes !

Electrisée par l'ordre qu'elle venait de recevoir, ma copine fit un bond en arrière pour se retrouver à quatre pattes sur le lit. Elle se cambra au maximum et approcha sa tête de l'entrejambe de Victor, qui était toujours debout et torse nu. Il me semblait qu'elle mettait tout en œuvre pour apparaître la plus obscène et la plus lubrique possible. Ondulant son bassin avec vigueur, relevant son bras pour continuer à caresser les abdominaux bronzés qui la surplombaient, elle goba avec envie le sexe de Victor à travers son jean. Je vis de la bave couler en abondance le long du pantalon. Malgré le tissu qui la séparait encore de l'objet de son désir, c'est une fellation de véritable salope qu'entreprit alors Hélène. Elle suçait, embrassait, lapait comme une affamée la bosse qui grossissait de plus en plus. Envoûté par le
petit cul qui bougeait sous ses yeux, Victor s'était légèrement penché pour lui donner
de puissantes fessées. Chaque claque arrachait à Hélène un cri aigu de satisfaction.
- Allez ! annonça soudain ma copine, reposant sa mâchoire quelques instants. Il faut que je la libère, on a trop de choses à se dire, toutes les deux !
Elle parlait bien sûr de la bite de Victor. En véritable experte, elle défit en quelques secondes la ceinture et la braguette qui lui barraient le passage, puis fit tomber le jean de mon pote jusqu'à ses chevilles. Sans attendre et comme si sa vie en dépendait, elle arracha le caleçon de Victor et libéra la verge qu'elle avait tant convoitée.
Ce fut un choc pour tous les observateurs. Hélène resta bouche bée. Hervé eut un léger sursaut et pouffa de rire. Moi-même, je fus scotché par la vision de l'objet qui se présentait au visage de ma copine. Le sexe de Victor était tout simplement énorme. Celui d'Hervé m'avait certes impressionné, mais ce n'était qu'un cure-dent au regard de la bite que j'avais maintenant sous les yeux. Elle avait bien sûr ce teint halé qui faisait le charme de Victor. Je pense qu'elle mesurait au moins 22 cm, mais c'était surtout son épaisseur, que j'estimais à 8 cm, qui la rendait impressionnante.
Déjà décalotté, le gland turgescent, qui reposait au sommet d'un tronc interminable, suintait légèrement. En mon for intérieur, je pensai qu'il devait y avoir des Africains parmi les ancêtres de mon ami, qui n'avait manifestement aucun défaut physique...
- Eh bien, mon salaud ! s'exclama le père de Victor. J'étais loin de me douter que tu cachais un tel engin...
Mon meilleur ami était manifestement fier de la stupeur qu'il venait de provoquer. Mais c'était l'avis d'Hélène qui semblait l'intéresser.
- Alors, demanda-t-il à ma copine, elle te plaît ? J'espère qu'elle sera à ton goût, tu es la première à y avoir droit...
- C'est... juste incroyable ! s'écria Hélène, qui louchait d'envie sur la bûche qu'elle avait en face d'elle. Je n'en ai jamais vu d'aussi grosse ! Tu... tu es plein de surprises, Victor !
- Héhé ! Ricana l'intéressé, maintenant certain de l'envie qu'il provoquait chez les femmes. Je vais donc te remplir comme jamais ! Mais si tu la veux, il va falloir la lubrifier... Au boulot !
Hélène ne se fit pas prier. Guidée par Victor qui lui agrippa fermement les cheveux, la salope saisit la sexe immense à sa base et avala avec appétit le gland qui s'offrait à elle. S'ensuivit une longue et gourmande fellation. La bite de Victor était bien trop grosse pour la frêle mâchoire de ma copine, qui s'étouffait régulièrement et devait la recracher pour ne pas vomir. Chaque régurgitation était pour elle l'occasion de déverser un flot conséquent de salive, qui coulait sur le dard et les testicules de son amant. Celui-ci poussait des grognements rauques et
maintenait autoritairement le visage de sa femelle. Rien de tout cela ne faisait baisser la libido d'Hélène, bien au contraire ! A en croire les gémissements qu'elle poussait, la petite pute semblait de plus en plus excitée par la position dominante que prenait Victor.
Ce beau gosse n'arrangea pas les choses lorsqu'il dirigea sa main vers le cul de sa traînée. Je le vis écarter habilement les petites fesses de ma chérie et y glisser deux doigts, pour commencer à lui titiller l'anus, les lèvres et le clitoris. Cette initiative rendit Hélène complètement folle : ses mouvements de bassin redoublèrent d'intensité, et seule l'imposante massue qu'elle avait en bouche l'empêchait d'hurler son excitation. On aurait dit qu'elle était possédée et que plus
rien ne comptait à part son plaisir. Un peu gêné, debout dans mon couloir sombre, j'eus soudain peur de la suite des événements : si ma copine se comportait déjà de cette façon au stade des préliminaires, elle allait réveiller toute la maison lorsque Victor la pénétrerait ! C'est ce moment qu'Hélène choisit pour se libérer de la bite qui lui baisait la bouche, et supplier son amant de passer la vitesse supérieure.
- Je... ne peux plus attendre ! déclara-t-elle, encore haletante. Je veux ta bite !... Viens, Victor ! Viens en moi toute de suite !
Il y avait de l'imploration dans la voix de ma copine. Elle s'affala sur le lit et déplia ses jambes, s'aidant de ses mains pour écarter ses cuisses au maximum. Elle présentait fièrement son vagin, détrempé par la mouille, à son bel amant et à sa verge dressée. La scène était terriblement excitante : ma copine s'offrait littéralement à mon meilleur ami ! Elle était une femelle en chaleur qui ne vivait plus que pour le désir de se voir remplir et ramoner par son mâle dominant. Chaque fibre de son corps, déjà ruisselant de sueur, appelait Victor à accomplir sa tâche, à venir prendre possession du trou que lui offrait cette petite pute. Hélène poussait des gémissements et lançait des regards de braise à son homme, qui se débarrassa
finalement de ses chaussures, du jean et du caleçon qui étaient restés à ses pieds, et vint enfin rejoindre ma copine sur le lit.
Il s'allongea tendrement sur elle, et les deux amants recommencèrent à s'embrasser fougueusement. Hélène enroula ses jambes autour de la taille de Victor et empoigna fermement sa verge, pour mieux la guider vers l'entrée de son antre. Doucement, je vis l'énorme sexe pénétrer le vagin de ma copine, dont le visage se crispa pendant quelques instants. 8 cm de diamètre lui forçaient l'entrejambe et la déformaient totalement. Puis, après quelques secondes de quasi-immobilisme, Victor et Hélène se détendirent. Les mouvements se firent plus amples, les baisers et les gémissements reprirent, les mains de ma douce passèrent dans le dos de son homme pour caresser ses fesses et ses épaules musclées. Mon ami finit par se redresser légèrement, alors que ses saillies à l'intérieur d'Hélène se faisaient de plus en plus rapides et assurées. Il surplombait le corps fragile de sa femme, qui commençait à apprécier le rythme qu'imposait le bel Apollon entre ses jambes. Elle lui faisait sentir en lui soufflant, entre deux gémissements, des mots qui décuplaient son excitation.
- Ouiii... Han... Plus fort, Victor !... Comme ça !... Je la sens bien, ta biiiite...
Les corps des deux amants semblaient parfaitement imbriqués. Ils ondulaient et frémissaient comme un seul homme, chaque coup de boutoir provoquant un flot de frissons, de gémissements et de remarques salaces. Après quelques minutes de cette danse sensuelle, où je vis ma copine faire l'amour, et pas simplement baiser avec Victor, ce-dernier se retira et demanda à sa femelle de venir s'empaler sur sa queue.
Il s'allongea sur le dos et attendit, le sexe pointé vers le ciel. Ma copine, docile et prête à tout pour se faire du bien, commença par donner quelques coups de langues sur le gland qui se présentait à elle, comme pour mieux le lubrifier, puis l'enjamba pour se placer à califourchon sur Victor. Folle de désir, elle ne prit aucune précaution et s'empala d'un coup sur la bite, jusqu'à la garde. Un cri puissant s'échappa de sa bouche, empreint de jouissance et de soulagement. Comme si ressentir le chibre de mon meilleur ami en elle, après quelques secondes passées au-dehors, lui faisait un bien fou. C'était à son tour de surplomber le corps de Victor, qui la tenait par les hanches pour la faire aller et venir sur sa verge. Les yeux fermés et la bouche entrouverte, Hélène se laissait une nouvelle fois aller au plaisir. Ses deux
mains étaient posées sur le torse de mon ami, sur lequel elle s'appuyait pour faire rebondir ses petites fesses autour de la verge qui visitait son antre. Les deux amoureux échangèrent des mots qui me glacèrent le sang.
- C'est boooon, soupira Hélène. C'est toi... Je le savais, c'est toi que je... Han !... que je voulais depuis le début...
- Han ! grogna Victor. Moi aussi, je voulais... ta petite chatte, ma belle ! C'est un mec comme moi qu'il te faut !...
- Ouiiiiii ! C'est clair ! Han... Vas-y ! Baise-moi, mon bébé !
Victor lâcha les hanches de sa femelle et lui saisit les seins, qu'il malaxa avec vigueur. Hélène, transportée par le plaisir, leva ses bras en l'air et attrapa sa tignasse de ses deux mains. Son visage était défiguré par le plaisir.
- Je vais te sauter encore et encore ! lui lança rageusement Victor. Et plus je te baiserai, plus tu seras accro à ma bite !
- Han !... Han !... Je l'aime déjà, ta belle queue, mon chérii ! C'est ta première fois, et tu me fais déjà plus de bien que ton père ! J'aime ça ! Han !... J'aime les vrais mecs comme toi !
Je ne rêvais pas : Hélène venait d'appeler Victor « mon bébé », et même « mon chéri » ! Deux surnoms qui, d'habitude, m'étaient destinés ! Cette baise de ma copine avec mon meilleur ami était encore plus excitante que celle à laquelle j'avais assisté un peu plus tôt avec Hervé, mais elle était aussi beaucoup plus dangereuse ! Hervé était un homme mûr qui avait servi de plan cul à Hélène, je n'avais pas vu de sentiments dans leur union. Cette fois, les choses étaient différentes, car les deux amants semblaient s'abandonner dans un mélange de folie sexuelle et amoureuse. J'avais accepté depuis quelques heures l'idée d'un partage du corps de ma chérie, mais je ne pensais pas devoir partager son cœur... C'était pourtant, si les choses continuaient
ainsi, ce à quoi Victor allait m'obliger.
Dans un élan de rage sexuelle, Victor se redressa brusquement et renversa Hélène sur le dos. La petite pute plaça ses jambes sur les épaules de son amant, qui la dominait de son corps puissant et luisant de sueur. Il avait voulu reprendre le contrôle sur sa nouvelle copine, en lui imprimant son propre rythme. Il donna de violents coups de reins, défonçant littéralement la chatte d'Hélène.
- Han ! Han ! Prends ça, salope ! J'ai toujours su que tu étais une petite pute ! Une affamée de bite ! Tiens ! Sens ma grosse queue en toi !
- Aaaaaaaaah ! cria Hélène. Ouiiiii ! Ouiii ! Défonce-moi, mon amour ! Je t'aime ! J'aime ta queue ! Je veux que tu me remplisses de sperme ! Je veux te sentir exploser en moi ! Han !...
Ma copine délirait complètement, et venait d'avouer un amour improbable quelques heures plus tôt à mon ami Victor. J'étais, évidemment, totalement effondré. Je ne voyais pas comment j'allais pouvoir conserver l'amour d'Hélène après ce qui venait d'être dit... J'étais complètement perdu !
Dans le coin de la chambre,
j'aperçus Hervé, dont j'avais oublié la présence, se tordre sur son fauteuil en éjaculant. Le salaud n'avait pas résisté à la déclaration d'Hélène ! Finalement, Victor acheva tous mes espoirs de retour à la normale en prononçant ces mots :
- Si tu veux que je jouisse en toi... Han !... Tu dois devenir MA copine ! Tu vas lâcher Nicolas demain matin, et ensuite ton cul, ton vagin, ta petite gueule de salope... tout ça 'appartiendra ! Tu viendras dormir à la maison, et on te passera dessus chacun notre tour, mon père et moi !
Hervé éclata de rire et approuva cette proposition.
- Oui ! Je... bien sûr ! Je... je suis à toi ! Ma chatte est à toi ! A vous ! Nicolas, je n'en ai rien à foutre !...
Comme pour sceller cette union, Hélène vint à la rencontre de Victor et l'embrassa fougueusement. Je la vis passer tendrement sa main dans les cheveux de son amant. Il était devenu son nouveau petit ami et, surtout, son compagnon de baise.
Cette prise de possession du corps et du cœur de ma copine vint à bout de l'endurance de Victor, dont le souffle se fit soudain plus saccadé et bruyant.
- Ça y est ! Je... je viens, j'arrive ! Je vais te remplir comme promis, ma salope !... Haaaaaaan ! Ouaaaaais !
Je vis Hélène enfoncer ses ongles dans le dos de son étalon, alors qu'il se vidait complètement en elle. Elle suffoquait de plaisir sous le coup des ultimes assauts menés contre son vagin. Dans la pénombre, les corps des deux amants luisaient par l'effet de la sueur qui suintait et dégoulinait le long de chaque membre. Leurs caresses et frottements laissaient d'ailleurs échapper des bruits de succion, trahissant l'intense effort physique que chacun avait produit. Les gestes brusques et les provocations sexuelles laissèrent bientôt la place aux baisers et aux mots doux.
- Reste en moi ! supplia Hélène. Je veux encore te sentir, je veux que tu débandes en moi !... C'était si bon... si bon !
- Oui, ma chérie... lui promit Victor. Tout ce que tu voudras... Tu es à moi, maintenant...
Hélène adressa un sourire amoureux à son petit ami.
- Je n'en reviens pas, reprit-elle, je n'avais jamais ressenti ça de toute ma vie ! Je sens que je ne pourrai plus me passer de ta queue ! Au lycée, ce sera trop dur de passer la journée sans y goûter... Je pense que les toilettes vont devenir notre repère pendant les pauses !...
- C'est clair ! répondit Victor avec enthousiasme. Ta chatte est géniale, je ne pensais pas prendre autant de plaisir pour ma première fois ! Vivement les vacances, que je puisse te baiser à longueur de journée ! D'ailleurs, on part une semaine à la montagne avec mon père pour la Toussaint, tu pourrais peut-être nous accompagner ? Tu ne seras pas déçue ! N'est-ce pas, Papa ?
Hervé eut l'air surpris, mais également ravi par l'idée de son fils.
- Aucun problème ! S’exclama-t-il. Si ta copine tient le choc, nous pourrions la prendre comme une reine pendant toute la semaine...
- Ce sera avec plaisir ! Acquiesça sans hésiter mon ancienne copine. Ces vacances seront inoubliables !

Je sentis ma gorge se nouer et mes jambes défaillir. Depuis mes dix ans, celui qui, chaque novembre, accompagnait Hervé et Victor en vacances à la montagne, c'était moi ! Cette année, c'était mon ex copine qui allait prendre ma place au chalet, pour s'offrir sans retenue aux fantasmes et aux lubricités de ces deux bêtes de sexe !
J'eus le sentiment d'avoir tout perdu. Pourtant, les ébats incroyablement excitants auxquels je venais d'assister me poussaient à reconnaître l'évidence : je ne méritais pas une fille aussi belle et chaude qu'Hélène. Ce genre de fille était destiné aux hommes, aux vrais ! Hervé et Victor en faisaient partie, pas moi... Meurtri, je tournai les talons pour retourner me coucher au rez-de-chaussée, seul et toujours puceau.
- Mais ?! Entendis-je alors que je m'éloignais. Qu'est-ce que je sens ? Tu rebandes, mon salaud ?
- Hmmmm... Répondit la voix de Victor. Oui, je crois qu'on n'est pas prêt de dormir, ma puce ! Tu vas subir mes assauts toute la nuit !

Vie de trouple!

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Vous savez ce qu'est une vie en trouple vous?
C'est comme vivre en couple;
mais à trois!


Un peu de culture en ce jour Quadriennal

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Connaissez vous le Professeur Milgram?
Et ses expériences...?
Lisez. Vous allez comprendre.



Mes débuts de lopette
Par Papapr

J'ai rencontré celle qui allait devenir ma femme sur les banc de l'école. A partir de cet instant on a tout partagé et on a institutionnalisé cette histoire par un mariage il y a trois ans. Depuis on peut dire qu'on est un couple heureux qui petit à petit sombre dans le confort matériel que nous refusions du temps de notre jeunesse.
Non pas qu'a trente ans on soit vieux, mais nous avions des idéaux différents quand on était fauchés que maintenant ou on gagne bien notre vie. Mais je ne savais pas que ce jour-là toute ma vie allait changer ....
- Demain j'ai rendez vous chez le gynéco, tu m'accompagnes ?
- Désolé, Liz, mais j'ai des réunion toute la journée demain.
- Fais chier, tu sais que j'aime pas y aller toute seule
- Oui je sais, mais je ne savais pas que ton rendez vous était demain, et c'est des réunions assez importantes, alors ... le travail avant tout, non ?
- Oui, oui tu as raison, mais bon tu pourrais faire une effort.
Ma douce est contrariée, elle a toujours une certaine appréhension avant d'aller chez son gynéco. Il faut dire que l'examen nue, les pieds dans les étriers n'est pas des plus agréable. Cela dis j'ai jamais compris pourquoi son docteur la fait déshabiller entièrement. Demain je ne pourrais pas y être et je m'en veux. Parce que je ne serais pas là pour elle quand elle en a besoin, mais aussi parce que son examen m'excite au plus haut point.
J'ai toujours été attiré par les jeux médicaux, sans que j'ai jamis eu le courage d'en parler à Liz. Sans doute par peur de passer pour un pervers. Ma belle est plutôt conservatrice niveau sexe. En tous les cas j'essaie de ne jamais rater une séance de gynéco, que je conclut d'une bonne branlette dans les toilettes du cabinet.
Le soir ma chérie est différente. Pas de changement radical, juste des petits détails invisible pour qui ne la connait pas bien mais qui ne m'échappe pas. Je met tout ça sur l'épreuve de son rendez vous médical. Finalement au repas, je rassemble tout mon courage et je lui pose la question fatidique;
- Ca c'est bien passé cet après-midi ?
Je m'attend à tout sauf à ce qu'elle va me répondre. Je me suis pourtant préparé à toute les éventualités, avec des arguments à l'appuie. Mais ça réponse va me laisser sans voix
- Super bien mon coeur. D'ailleurs il veut nous voir ensemble la semaine prochaine.
- Il veut « nous » voir ?
- Oui « nous », je crois qu'il c'est habitué à ta présence et que tu lui manques
- Ca va j'ai compris. Sinon tu vas bien ?
- D'abord c'est pas une plaisanterie, il veut vraiment nous voir la semaine prochaine, et oui ma petite chatte est en parfaite santé. Pour la peine c'est toi qui va faire la vaisselle, la lessive et le ménage jusqu'au rendez-vous. En plus tu me feras de bon petits plats et au moins une demi-heure de massage des pieds tous les soirs. Compris
- Oui chérie, dis-je un peu abasourdi par la rafale qui vient de me tomber dessus.
Je ne l'avait jamais vue comme ça, sure d'elle et autoritaire. On peut dire que normalement c'est plus moi qui suis dominant dans notre couple. Mais j'accepte ma pénitence sans broncher. Donc après manger je m'acquitte de toutes mes nouvelles charges ménagères puis je rejoins Liz dans notre chambre. Elle est en train de lire les jambes sous les couvertures. Sans lever les yeux de son livre elle se dégage les pieds.
- Trente minutes et pas une de moins, j'en ai vraiment besoin.
Je me met à genoux devant le lit et, après m'être huiler les mains, je lui masse consciencieusement chaque pieds. J'ai du mal à savoir si elle apprécie ou pas mes efforts tant elle reste imperturbable. Je m'applique deux fois plus sur mon ouvrage, je veux la voir au moins sourire. Pour lui faire plaisir, je rajoute un quart d'heure de plus à mon massage ... mais elle reste impassible. Résigné j'abandonne et quand je prends appuie pour me relever elle écarte grand les cuisses relevant par la même sa fine nuisette me dévoilant son sexe fourni.
- Bouffe moi la chatte, et n'espère pas plus se soir.
Je ne réfléchis même pas à sa phrase et je me jette entre ses douces cuisses. Je glisse ma langue entre ses grandes lèvres pulpeuses. Elle est trempée et son odeur est puissante. Je m'amuse à voyager de son clitoris encore dissimulé sous son capuchon à l'ouverture serrée de son vagin. Je ferme les yeux pour ressentir tous les fins détails de l'anatomie de Liz. Puis je remonte vers son bourgeon que ma langue débusque dans son abri.
Le petit organe érectile palpite sous ma langue. Je lui fais subir tout mon arsenal de tourment. Liz serre et desserre les cuisses dans un geste semi inconscient. Sa respiration s'accélère et un léger gémissement coule de ses lèvres dans mes oreilles. C'est le meilleur des euphorisants. Je redouble d'effort pour faire partir Liz.
Elle plaque ma tête de ses deux mains sur sa fleur. Ses gémissements se font continu et crescendo puis un tremblement parcours tout son corps des pieds à la tête. Elle serre ses cuisses au maximum que ma tête le permet. Elle vient de jouir. Et j'ai aimé ne pas la toucher plus qu'avec ma langue.
- Tu peux te branler devant moi si tu veux, cela dit je te le conseil parce qu'après c'est ceinture jusqu'à mardi prochain.
Je ne sais pas bien comment réagir à son propos. Plaisante-t-elle ou est-elle sérieuse. Je suis rappelé à l'ordre par ma verge tendue au maximum. Je suis toujours à genoux entre les jambes de ma femme et j'ai une vue dégagée sur son sexe encore luisant du mélange de ma salive et de son jus intime dont l'odeur puissante embaume la pièce.
Ma main va toute seule dans mon caleçon pour sortir mon sexe. Liz glousse quand je me retrouve nu devant elle. Elle me fixe avec un regard ironique qui me met à la fois mal à l'aise et la tête en feu. Sans trop réfléchir je prend ma queue à pleine main et je branle lentement. J'ai envie de faire durer. Sauf que mon corps en décide autrement et en moins d'une minute j'éjacule sur les draps.
Je suis encore dans le bain d'endorphine de mon orgasme quand je sens une main me tirer vers l'avant. Je perds l'équilibre et je me retrouve nez à nez avec ma semence qui souille les draps. La main de Liz me tient fermement le poignet.
- Tu es un gros dégueulasse, soit tu lèche, soit tu change les draps.
- Je ... je change les draps chérie ... pardon.
- Dépêche-toi je gèle.
Je cours presque pour refaire le lit et en moins de dix minute je livre un nid bien douillet à ma chère et tendre. Liz prend place et après m'avoir posé un chaste baiser sur le front, se retourne et s'endort dans la minute me laissant seule avec mes questions sur ce qui venait de se passer. J'ai eu les pires difficultés à trouver le sommeil.
Le lendemain c'est dérouler selon les souhaits de ma chérie, je me suis occupé de tout à la maison et le soir après le massage des pieds je me suis occuper de son petit minou. Seule différence par rapport à la veille; je n'ai pas eu droit de me soulager. J'aurais très bien pu le faire une fois qu'elle a sombré dans les bras de Morphée, mais je me suis retenu je dois faire pénitence comme elle le désir. Toute la semaine c'est passée de la même façon, et je crois que j'ai vraiment apprécié de me concentrer uniquement sur son plaisir. En tous cas j'espère qu'elle a aimé.
Arrive enfin le jour de la visite chez le gynéco. Liz passe de longues minutes dans la salle de bain avant d'en ressortir pimpante et assez excité, comme si ses ablutions avaient fait disparaitre sa peur du spéculum. Je suis content de la voir comme ça. On monte en voiture et je prends la direction de la grande maison du praticien. La route est assez courtes et on arrive vite en vue de la grande bâtisse ceinte de haut mur seulement percé d'un lourd portail noir. Je m'arrête près de la plaque en cuivre disant Dr Rool, Gynécologue, reçoit sur rendez-vous. Je presse la sonnette et avant que j'ai le temps de parler un grésillement dans le haut-parleur précède le lent mouvement de la grille qui s'ouvre. Je remonte lentement l'allée en gravier borée de platane et je me gare devant les escaliers qui mènent au perron.
Bizarre il n'y a pas d'autre voiture dans la cour. Liz me précède et le temps que je ferme la voiture elle est déjà en haut des escaliers le doigt sur la sonnette. J'arrive a mon tour devant la porte quand cette dernière s'ouvre sur une femme sublime d'une quarantaine d'année.
J'en reste bouche bée, je dois avoir l'air un peu idiot. Liz me tire par la main pour me faire rentrer. La belle infirmière nous indique la salle d'attente nous signalant que le docteur Rool arrive.
- Elle est belle Annette hein, elle fait pas ses quarante-huit ans
- Je ... c'est pas
- Arrête tu es pathétique, il aurait fallu être aveugle pour ne pas t'avoir vu baver sur ses gros seins.
- Le docteur Rool va vous recevoir, si vous voulez bien me suivre
La belle brune nous conduit dans le large couloir au murs encombré de vieux tableaux poussiéreux. Je lève les yeux au plafond, je n'avais jamais remarqué l'énorme lustre en cristal. L'infirmière entre suivie de Liz, je ferme la marche.
- Bonjour ma chère, c'est un tel plaisir de vous revoir.
- Je peux disposer docteur ?
- Non Annette veuillez rester je vais avoir besoin de vos bon office. Prenez place je vous en prie.
En disant sa phrase il nous indique les deux fauteuils rococo devant son bureau du même style. Je m'assois et je regarde autour de moi. C'est la première fois qu'on va au cabinet privé de docteur Rool, d'habitude Liz le consulte à la clinique. La pièce est immense et aussi lourdement décorée que le couloir. D'un côté il y a le bureau et de l'autre la partie examen ou brille tout un assortiment d'ustensile en inox. Le docteur prend place derrière son bureau et il ouvre le dossier qui l'y attendait.
- Alors Liz comment c'est passé la semaine ?
- Très bien docteur, je dois dire que ça c'est même passé mieux que je ne l'imaginais
- Parfait, je suis heureux de l'entendre. On va passer sans plus attendre à l'examen, si vous n'y voyez pas d'inconvénients.
Je vois Liz serrer les accoudoirs de son fauteuil et déglutir difficilement. Mais elle se lève finalement accompagnée par Annette dans le coin opposé de la pièce. La belle infirmière aide ma femme à se déshabiller. Je croyais Liz pudique. Annette lui retire son soutient gorge et lui masse énergiquement les seins.
Je ne peux que regarder méduser ma femme se faire peloter par cette inconnue. Puis Liz se penche en avant pour retirer son string et la je découvre ce qui lui a pris autant de temps à la salle de bain : elle c'est entièrement épilée. Annette s'accroupit devant ma femme et examine le travail, sans qu'aucune des deux ne soit gênée. Mais qu'est ce qui lui arrive. Annette fait signe au docteur.
- Bravo Liz, vous verrez vous serrez bien mieux ainsi. Venez je vais vous examiner.
Liz monte tout en souplesse sur la chaise d'examen. Annette aide Liz à mettre les pieds dans les étriers, elle est complètement exhibée devant leurs yeux. L'absence de poils donne à sa vulve encore plus l'aspect d'une orchidée. De ma place j'ai une vue imprenable sur l'entrejambe de ma belle et le moindre geste du gynéco. J'ai déjà un semblant d'érection. Je regarde Liz qui semble assez détendue.
- Vous êtes prete ?
- Oui docteur vous pouvez y aller.
J'assiste à l'examen sans en perdre une miette jusqu'à ce que les événements prennent une tournure inattendue.
- Je vais faire le test de réaction clitoridien
- Allez y docteur
Le docteur enlève son gant en latex et enfonce deux doigts dans le fourreau de Liz. Ma chérie ferme les yeux et soupir de bien-être. Je vois les doigts épais du praticien qui entre et sorte du ventre de ma femme sans aucune pudeur. J'en reviens pas, il est entrain de doigter ma femme sous mes yeux sans que je ne trouve quoique se soit à dire. Pire encore, ça me met à fleur de peau. Liz est dans un état second, qui vire à la pâmoison quand le pouce du docteur se pose sur le clitoris de ma belle et le masse délicatement.
- Je vois que vous réagissez très bien madame Rossi
- Hum ... oui docteur, votre traitement fait ... merveille
- Je vois, vous savez que c'est un traitement que vous pouvez réaliser à la maison, ou que je peux vous prodiguer en soin à domicile
- .... Ah ... oui ... à domicile ...
- Est ce que vous voulez tester votre résistance clitoridienne en plus
- ... oh docteur ... faites tout ce que vous voulez mais faites-moi jouir ...
J'assiste silencieux à cette scène surréaliste. Je devrais intervenir et faire cesser cette parodie d'examen. Je ne suis pas un expert en la matière, mais je suis sur qu'un gynéco digne de ce nom ne branle pas ses patientes lors d'un quelconque examen. Mais au lieu de réagir je regarde le médecin enfoncer profondément ses deux doigts dans la figue juteuse de Liz et son pouce expert agacer son petit bourgeon.
Mais surtout je regarde ma femme prendre du plaisir comme je n'avais jamais vu et pu lui donner. Elle est sublime, le corps vibrant sous les caresses du praticien. Ca m'excite de la voir sous les mains d'un autre, si j'osai je me masturberais. Sans ralentir le rythme le docteur me regarde de temps en temps, essayant sans doute de déceler mon état d'esprit. Ce qu'il voit doit le rassurer parce qu'il donne le coup de grâce à Liz.
Tous les muscles de son corps se contractent et sa respiration accélère se transformant en halètement. Elle essais de serrer les cuisses mais les étriers l'en empêche. Soudain, les halètements se transforment en gémissement puis, après un dernier spasme, son corps se relâche complètement.
De ma place j'ai clairement vu son petit anneau se contracter puissamment à plusieurs reprise, signe d'un vrai orgasme. Je ne l'avais jamais vu jouir aussi fort ... Le docteur retire ses doigts du ventre de mon épouse. Ils sont luisants des sucs de ma belle. Sans même prêté attention à ma présence, le docteur les tends à ma femme qui les lèche goulument. La perversité de la scène est incroyable, et pourtant je peux, et surement ne veux qu'en être spectateur. Je remarque à peine que Liz est revenue s'assoir à côté de moi complètement nue. Son sexe embaume toute la pièce
- Vous allez très bien madame Rossi, et vous avez une excellente résistance clitoridienne.
- Merci docteur
- Mais je crois que vous avez un autre problème, qui est en réalité l'objet de votre visite aujourd'hui.
- Oui, en effet ... c'est un peu délicat. Je ne sais pas trop comment aborder la question.
- Vous savez vous pouvez tout me dire, je suis médecin. Mais voulez-vous passez dans le salon, l'ambiance sera peut-être plus propice.
Annette ouvre une double porte donnant sur un grand salon. Ambiance feutrée, épais tapis et mobilier ample. La belle infirmière nous installe, moi sur un petit sofa et Liz sur une grande méridienne. Nous sommes face à face et je peux voir son sexe encore rougi par l'effort puisqu'elle ne croise pas les jambes. Ma femme est devenue étrangement impudique quand elle a passé le seuil de la porte de ce médecin. Les pas du docteur font vibrer le parquet et la double porte se referme. L'intensité lumineuse chute d'un coup, on se retrouve dans une ambiance tamisée. Le docteur prend place à côté de Liz et lui pose une main sur la cuisse. Un frisson imperceptible parcours ma belle.
- Bon, Liz dites-moi ce qui vous amène. J'espère que l'ambiance moins solennelle va vous aider.
- Oui merci docteur, je crois que là ça va.
- Allez-y on vous écoute.
- Voilà docteur, depuis ma dernière visite j'ai bien réfléchi à votre analyse de ma situation et je crois que je vais accepter votre traitement.
- Très bien, mais je crois que votre mari va vouloir savoir de quoi il en retourne et pourquoi vous voulez de ce traitement
- Oui chérie je suis curieux, dis-moi
- Si tu veux tout savoir Alain, tu n'es qu'une lopette et j'ai besoin d'un vrai mâle pour me faire jouir.
- Du calme Liz, il ne faut pas être aussi directe, bien qu'effectivement vous êtes une lopette qui s'ignore monsieur.
- Je ... je ne vois pas comment vous pouvez vous permettre ...
- Simplement parce que je viens de branler votre femme sous vos yeux et qu'un vrai mâle m'aurait mis son poing sur la figure, et qui si je ne me trompe pas ça vous a excité de me regarder la posséder.
- ....
- Ne dites rien, votre silence vos toutes les approbations. Regarder je vais re-doigter votre femme et vous n'allez rien dire, encore comme le font les vrais lopette
- Hum ... oui c'est si bon de vous sentir dans mon ventre.
- Alain, je crois que c'est le moment de faire votre profession de foi
- C'est à dire ?
- Et bien racontez-nous quand vous vous êtes rendu compte que vous étiez une lopette, parce qu'au fond de vous, vous le saviez n'est-ce pas ?
- Non ... non ... enfin si un peu ... mais je ne sais pas depuis quand c'est comme ça, peut être depuis toujours.
- Dites-moi, vous êtes fier que d'autres homme regarde vote femme
- Bien sûr, c'est elle la plus belle
- Je peux vous posez une question, est ce que vous l'aimez profondément
- Oui bien sûr.
- Alors jusqu'où iriez-vous par amour pour elle ? Seriez-vous prêt à la servir comme une princesse, de la chérir et de respecter ses ordres et ses envies.
- Oh oui
- Bien. Parlez-moi de votre vie sexuelle maintenant.
- Il n'y a pas grand-chose à dire, Liz n'est pas très portée sur la chose ...
- Je vous arrête tout de suite, Liz c'est donnée à un inconnu et je suis encore bien planté en elle, vous croyez que c'est le signe d'une femme qui n'aime pas le sexe.
- Non, vous avez raison. Je ... Je ... c'est dur à avouer.
- Surtout quand on se cache la vérité depuis si longtemps. Allez-y, vous vous sentirez mieux après
- Voilà, je ... je ne suis pas capable de la faire jouir.
- Vous voulez dire que vous ne faites jamais jouir ?
- Si avec ma langue, mais je ne peux pas la faire jouir en la pénétrant
- Par contre vous, vous jouissez en elle
- Oui
- Vous vous rendez compte du privilège que vous fait votre femme de vous laisser la souiller alors que vous ne pouvez pas assumer votre rôle de mâle
- Oui ... je suis vraiment en dessous de tout. Pardon ma chérie ... je ne te mérite pas
- N'exagérons rien, vous êtes incapable de la faire jouir, mais vous êtes un mari attentionné et aimant. Décrivez moi un de vos rapports sexuels type. Passez sur les préliminaires.
- Ben c'est que c'est un peu personnel ... je ... Liz se met sur le dos ou en levrette, elle me guide vers son vagin et je la pénètre et puis je ....
- Vous la limez
- Euh, oui
- Combien de temps environ
- Environ deux ou trois minutes
- Et vous éjaculez
- C'est ça
- Et comment votre épouse atteint l'orgasme.
- Elle ... elle se masturbe ... devant moi
- Pathétique. Vous vous rendez compte que vous êtes une lopette à la lumière de vos explications.
- Oui docteur. Je suis une lopette, j'ai une petite bite et je suis éjaculateur précoce. Je suis si nul que ma femme doit se donner du plaisir toute seule.
- Magnifique profession de foi mon chèr Alain. Je suis sûr que Liz a apprécié
- Oh oui docteur, merci de nous avoir ouvert les yeux.
- C'est mon devoir ma chère. Ma présence dans votre ventre ne vous gêne pas ?
- Oh non docteur c'est plutôt délicieux, et puis comme ça ma lopette vois comment un vrai mâle s'occupe d'une femme.
- S'il vous plait docteur faites du bien à ma femme.
- Je vais m'y employer si vous m'en faites la demande, mais avant je veux voir votre ridicule petite bite. Annette va vous aider à vous mettre nu.
Je ne peux pas m'empêcher d'obéir alors que j'aurais dû partir en courant. Mais la situation est tellement .... Perverse et ... juste. Parce que tout ce que je viens de dire au docteur est vrai, mais je croyais que Liz aimait bien se branlée. Je suis vraiment qu'une lopette. Annette vient derrière moi et pose sa main sur mon épaule.
Je me lève et je déboutonne ma chemise. Annette la prend et la met sur un cintre. Puis je quitte mon pantalon, j'ai honte en découvrant que je bande. Liz et Annette sourient en voyant la misérable bosse qui déforme à peine mon slip. Mon pantalon rejoint ma chemise. Je reste un peu tétanisé devant mes spectateurs.
Je suis tiré de ma rêverie par une violente gifle assénée par Annette. Je passe ma main sur l'impact sur ma joue pour soulager un peu la brulure. Le regard noir de l'infirmière me renvoi à mon objectif initial et je me penche en avant pour enlever mon slip. Me voilà complètement nu et en érection. Liz et Annette éclate de rire devant mon modeste vermisseaux.
Je me sens humilié, mais heureux d'être humilié.
- Donnez-nous vos mensurations mon chère Alain
- Je fais 13cm en érection et 4 de largeur
- Vous êtes en effet ce qu'on appelle une petite bite, regardez, je vais vous montrez ce que c'est un vrai mâle.
Le docteur se lève et se déshabille à son tour. Annette, toujours aussi diligente, range les vêtements qu'on lui tend. Devant moi se tient un homme de quarante-cinq ans, au corps parfaitement entretenu. Mes yeux tombent nez à nez avec la grosse verge noueuse qui grossie à vue d'œil. En un rien de temps j'ai un monstre devant moi. Le docteur se rapproche de moi et viens se mettre a quelques centimètres, nos verge se touchant presque.
- Voilà une vrai bite de mâle.
- Elle est magnifique.
- Tu veux la toucher.
Sans lui répondre je pose la main sur son puissant membre. Ce contact m'électrise. Je n'avais jamais touché le sexe d'un autre homme. Je tire sur le prépuce pour dégager complètement son gros gland violacé. Je ne peu pas détourner le regard de cette virilité qui remplit complètement ma main.
- Tu veux la gouter salope ?
- Je peux docteur ?
- Bien sûr que tu peux salope, les lopettes finissent toujours par sucer les amants de leur femme.
Je jette un coup d'œil à Liz qui me regarde narquoise les cuisses grandes ouverte. Je soutiens son regard, puis je baisse les yeux et je m'agenouille devant le médecin. Je tire fort sur le puissant membre et sans réfléchir je le mets en bouche. Je n'ai jamais sucé un autre homme, mais je sais suffisamment ce qui me fait du bien pour le reproduire sur la verge tendue dans ma bouche.
- Tu as une magnifique lopette Liz, si tu sais comment l'utiliser tu vas en tirer un plaisir fou.
- Je vois ça, je ne le savais pas pédé mais il a l'air d'aimer ça
- Toutes les lopettes adorent ça, c'est un privilège pour elle de sucer l'amant de leur femme, et puis c'est vrai qu'il est très doué
- Vous viendriez pas me saillir au lieu de vous occuper d'Alain, j'ai envie moi
- A quatre pattes femelle, viens salope tu vas me mettre la queue dans la mollusque baveux de ta femme.
A regret je lâche ma grosse sucette de chair. Liz c'est mise en position, la tête sur un coussin et les fesses en l'air le dos bien cambré. Le docteur se met derrière mon épouse et pose son gros mandrin sur les globes fessier de Liz. Je prends cette belle colonne et je lui fait faire plusieurs aller-retour glisser dans la raie de ma femme.
Le gros gland écarte les globes laiteux sur son passage et déverse son lubrifiant naturel sur l'anus de Liz. Le docteur se retrouve enfin devant l'entrée du ventre de ma femme. Il s'enfonce lentement en elle. Je peux voir chaque centimètre de sa virilité posséder mon épouse. Je me met à bander comme une bête. Liz se tourne vers moi le regard plein de luxure.
- Branle-toi lopette pendant qu'un vrai mâle me baise.
L'ordre de Liz à claqué comme un coup de fouet. Sans hésiter je me suis pris en main pour une lente caresse que j'espère libératrice. Bien sûr il ne me faut pas plus de trois minutes pour éjaculer de lourd paquet de sperme crémeux sur le tissu brocardé de la méridienne.
Je démontre à tous que je suis bien un minable éjaculateur précoce. Le docteur a retourné Liz sur le dos et il l'a pilonnée de tout son poids. Je ne peux pas m'empêcher de les regarder et de me dire qu'ils sont beaux. Le corps souple du médecin décrit d'ample arc faisant sortir et rerentrer son énorme verge de la douce gaine humide de ma femme. Liz gémie de plaisirs sous les coups de boutoir de son amant. Elle prend son pied. Le rythme augmente et la profondeur de la pénétration avec.
- Oh Michel c'est trop bon ta grosse bite dans ma petite chatte
- T'es étroite comme une pucelle, mais chaude comme la dernière des putes
- Vas-y bien à fond, que c'est bon
- Plus à fond je baise ton utérus salope
- Ah ... je vais jouir
- Laisse toi aller, moi .... aussi .... je vais jouir .... aahhgg
- Hum c'est bon de te sentir te vider en moi, tu m'as bien fais le plein.
Le médecin se retire de ma femme laissant sa vulve béante déverser son sperme. Je regarde le couple illégitime s'embrasser et se câliner. La brosse verge reprend une taille plus raisonnable. Je rebande, mais je sais que je n'aurais pas le droit de jouir à nouveau.
- Viens lopette, viens boire le jus de mon amant
- Tu vas voir c'est un délice ... pour les petites salope comme toi
Je me mets à quatre pattes entre les cuisses de Liz et, bien qu'un peu dégouté, je plonge ma tête vers le petit filet de liqueur blanchâtre. Je prends mon courage à deux mains et j'aspire tout ce que je peux. Le goût est salé et la texture visqueuse, mais je prends sur moi pour que ma femme soit fière de sa lopette. Les deux amants se moquent de moi et ça m'excite.
Vingt minutes plus tard nous sommes tous rhabillés et on est repassé dans le cabinet du médecin. Liz est radieuse et odorante. Je suis humilié et heureux.
- Bien vous avez passé la première étape avec succès. Toi Liz tu es une dominatrice en devenir et toi Alain une bonne petite lopette. Mais rien n'est encore gagné, un long chemin vous attend et je suis prêt à vous accompagner.
- Merci docteur. Je vais bien dresser ma petite lopette
- Je n'en doute ma chère Liz, et je vous saillirais quand bon vous sembleras. Mais vous devez définir un nouveau projet de vie entre vous, et pour ça il n'y a que vous qui le pouvez.
La consultation c'est arrêté là. J'ai payé et nous sommes rentrés à la maison.
A compter de ce jour Liz ne m'a plus jamais touchée, je dois le lécher quand elle le demande et me branler si elle m'en donne l'autorisation. Je m'occupe de tout à la maison pour que ma princesse soit heureuse.
Je suis sa lopette.

Gynécologie Africaine

Cette année-là, nous étions partis en vacances en Afrique. Le séjour était très agréable, mais au bout d’une semaine, ma femme commença être malade. Elle se sentait fatiguée, vomissait et avait des douleurs au ventre : elle avait les symptômes d’une femme enceinte alors qu’elle prenait la pilule...
Je décidai donc de la conduire chez un médecin.
Après m’être renseigné à la réception de l’hôtel, j’optai pour l’hôpital qui me semblait offrir de meilleures garanties sanitaires...
Arrivés à l’hôpital, j’expliquai le problème à l’infirmière qui se trouvait à l’accueil. Celle-ci appela une de ses collègues qui nous demanda de la suivre.Après un long parcours dans les couloirs qui me permit de constater que l’établissement était assez moderne, l’infirmière nous dit que nous étions arrivés.
Je remarquai aussitôt l’écriteau qui indiquai : ’Service GYNECOLOGIE’.
L’infirmière nous introduisit dans la salle d’attente.
Le médecin sortit du cabinet et appela la patiente qui était juste avant nous, ce qui nous permit de constater que c’était un homme, un noir d’une cinquantaine d’année. Ma femme choisissait toujours des médecins femmes et je pensais bien que la perspective d’être examinée par un homme ne l’enchantai guère. Tout à coup, elle me demanda :
- Tu viendras avec moi quand il m’appellera ?
- Oui, je t’accompagnerai dans le cabinet, si ça te rassure lui répondis-je.
Après un instant de réflexion, elle me dit à nouveau :
- Oui et j’aimerais que tu reste avec moi pendant qu’il m’examinera. Je préfère que tu sois là s’il me fait me déshabiller.
Cette idée me fit aussitôt fantasmer : j’allai pouvoir observer ma femme en train de se faire examiner par un homme...Maintenant, mon problème était de savoir jusqu’où irait l’examen. Je pensais bien qu’il la ferait mettre au moins en sous-vêtements, mais j’espérait secrètement qu’il lui demanderait de retirer sa culotte.
Enfin, le médecin nous fit signe d’entrer.
Après que ma femme lui eut expliqué les troubles qu’elle ressentait, il indiqua que nous allions passer à l’examen.
Juste au même moment, la porte s’ouvrit et deux hommes assez jeunes entrèrent. Le médecin nous précisa qu’il s’agissait de deux internes en fin de formation et qu’ils allaient assister à la visite.
Le médecin demanda à ma femme de passer dans la salle d’examen et de se dévêtir en attendant qu’ils arrivent. Elle se leva et je la suivis aussitôt.
Alors que nous étions seuls, elle commença par enlever ses chaussures, puis dégrafa sa robe légère qu’elle retira et posa sur une chaise. Elle ne portait plus qu’un soutien-gorge blanc et un string ficelle de la même couleur, dont la transparence permettait d’entrapercevoir sa toison rousse.
Le médecin toujours dans la pièce adjacente dit d’une voix forte :
- Vous pouvez garder que votre culotte.
Comme ma femme ne bougeait pas, je lui précisai qu’à mon avis, ça voulait dire qu’elle devait retirer son soutien-gorge. Elle s’exécuta et était les seins à l’air lorsque le médecin et les deux internes entrèrent.
Alors que ma femme était debout les bras ballants, les deux internes l’observait d’un œil qui ne me semblait pas spécialement ’professionnel’... L’un avait le regard fixé sur ses seins très blancs et un peu tombants, pendant que le second regardait avec insistance son pubis.
Le médecin fit allonger ma femme sur la table d’examen et aussitôt se mit à lui palper les seins.Puis au bout de quelques minutes, il demanda à l’un des internes de le remplacer et de lui donner son avis.
Le jeune black commença donc à palper les seins de ma femme, semblant attacher une attention toute particulière aux mamelons qu’il faisait rouler entre son pouce et son index et qui se mirent à durcir.
Alors que celui-ci continuait son examen, le médecin commanda au second d’effectuer une palpation du ventre. Il se mit donc à palper le ventre de ma femme, et afin de lui faciliter la tâche, le médecin baissa un peu le string de ma femme.
Tous pouvaient voir désormais une partie de sa toison et la naissance de sa fente.
Ces palpations se poursuivirent quelques minutes.
Le médecin enfila alors un gant en latex et demanda à ma femme de retirer sa culotte et de bien écarter les jambes.
Elle semblait terriblement gênée par cette situation, mais fit tout de même ce qui lui était demandé. Elle se retrouva donc entièrement nue sur la table, les cuisses largement ouvertes. Le médecin lui écarta la vulve et lui introduisit deux doigts dans le vagin.
Pendant qu’il inspectait les moindres recoins de son intimité, le jeune interne avait repris l’examen mammaire. Je vis alors le second interne enfiler un doigtier en latex et l’enduire de lubrifiant. Puis il s’approcha de ma femme, lui écarta les fesses et lui introduisit un doigt dans l’anus. Ma femme avait fait une grimace lorsque le doigt lui avait pénétré l’anus, et avait maintenant les yeux clos.
Je n’avais pas osé rêver d’un tel spectacle : ma femme entièrement nue, les cuisses complètement écartées, un homme qui lui malaxait les seins, un autre qui faisait aller et venir deux doigts dans son vagin et enfin un troisième qui de son doigt lui fouillait le rectum.
Je me suis alors approché de son visage et j’ai commencé à l’embrasser.
Elle m’a regardé d’un air affolé, mais je lui ai dit :
- Laisses-toi faire chérie.
Le black qui s’occupait de ses sein a alors sorti son sexe. J’ai tourné la tête de ma femme dans sa direction et lui ai demandé d’ouvrir la bouche. Elle a commencé à le sucer. Pendant ce temps le médecin avait sorti son sexe et je l’ai vu pénétrer ma femme.
Pendant un quart d’heure j’observai ma femme en train de se faire défoncer la chatte pendant qu’elle suçait un autre mec. Puis soudain, les deux se mirent à éjaculer en même temps. Bien qu’en avalant une partie, je voyais du sperme qui coulait de sa bouche et de son vagin lorsque l’autre s’est retiré.
Alors qu’elle était pantelante, j’en profitai pour la faire se retourner et la faire mettre à quatre pattes. Le troisième black, qui n’avait pas encore participé, s’enduisit la queue de lubrifiant.
Ma femme eut un sursaut lorsqu’elle sentit son gland se frotter sur son anus. Elle protesta :
- Non, pas dans mon cul !
Mais malgré son refus le black la fit hurler de douleur en la pénétrant violemment.
Il la sodomisa pendant au moins vingt minutes alors que la douleur semblait s’être estompée et que pendant ce temps je la masturbais avec quatre doigts dans le vagin (la queue du médecin l’avait bien dilatée et elle était encore gluante de sperme...), puis éjacula au fond de ses entrailles.
Lorsqu’il se retira, ma femme avait l’anus béant et dégoulinant de sperme.
Elle était tellement épuisée que je l’aidai à s’habiller puis nous rentrâmes rapidement à l’hôtel pour qu’elle puisse se laver. Ce traitement avait surement été salutaire car elle ne fut plus malade de toutes les vacances...

Pour votre culture mes ignares chéris...
L'expérience de Milgram est une expérience qui cherchait à évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission
à une autorité reconnue


Mon autorité reconnue à moi c'est ma femme LOL...
Elle paraît qu'elle a toujours raison... Et la vôtre... ???


Paraît que c'est la fête des grand-mères aujourd'hui..!

Hommage aux culs avec un grand Q..!

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Rien de plus beau qu'un cul.
De mec  ou de nana... Offert ou ouvert...
Neuf ou usagé...Fermé ou éclaté.
Vide ou occupé!












Les brèves du net. Question d'âges enf ait..!

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Quelques soit l'âge, la fougue existe 
et l'envie de découverte aussi.
Quand tu veux, tu peux... LOL

Julien
Salut, je m’appelle Julien, j’ai 24 ans et je vais vous raconter ma première expérience sexuelle avec mon meilleur pote. Nous avions 15 ans et Nicolas et moi étions dans la même classe depuis le CP. Un mercredi après-midi où nous étions chez lui, soi-disant pour travailler, nous avons regardé un film X qu’il avait pu enregistrer à l’insu de ses parents.
Nous étions tous les deux puceaux et la vue de ce film nous excitait fortement. Je vis que Nico bandait et il me proposa de comparer nos sexes en érection. Nous étions tous les deux assis côte à côte le sexe à l’air. La vision de la bite tendue de mon pote me troubla, je n’arrêtais pas de la fixer. Nico me dit qu’il aimerait bien qu’une fille soit là pour nous sucer, ça devait être tellement bon!!!!!!
A ce moment-là nos regards ce croisèrent et il se passa quelque chose. Je n’ai jamais été attiré par les garçons et Nico non plus mais nous avions un besoin urgent de nous soulager. Sans réfléchir je pris la bite de Nico dans ma main, je commençais à le branler doucement, il ne dit rien mais glissa un peu plus dans le canapé et écarta de plus en plus ses cuisses.
Sans un mot, j’ai approché ma bouche de son sexe qui étais plus long mais moins large que le mien. Je commençais par de petits baisers sur son gland puis je le lui léchais. Pour être plus à l’aise je me mis à genoux devant lui, il enleva son t-shirt et se débarrassa de son pantalon pour bien pouvoir écarter les jambes.
D’une main je lui saisis la bite et de l’autre je lui caressais la torse, je passais ma langue sur ses couilles bien pleines et poilues et je remontais le long de sa verge. Quand je fus au niveau de son gland, il appuya sur ma tête pour me faire comprendre qu’il voulait que je le prenne tout en bouche.
Je commençais alors un va et vient un peu maladroit du à mon inexpérience mais je sentais le corps de Nico se tendre et il laissait échapper de petits soupirs de plaisir. Son excitation était de plus en plus grande, il glissait vers le bord du canapé. Soudain il releva ses jambes toujours écartées, je pouvais ainsi mieux lécher et malaxer ses couilles.
Nico était maintenant sur le dos, les jambes en l’air et écartées. Nous étions dans un état second, je sentis vite qu’il allait jouir mais je ne voulais pas que ça arrive encore. J’abandonnais alors sa bite et je lui léchais uniquement les bourses mais ma langue se rapprochais de plus en plus de sa raie de fesses. Cela devait lui plaire car il souleva légèrement son cul et écarta ses fesses avec ses mains m’indiquant ainsi le chemin à suivre. Ma langue allait de ses couilles à son anus, je m’attardais sur son petit trou. Nico n’en pouvait plus, il me criait de continuer, c’était tellement bon. Quand sa rosette fut bien humide, j’y introduisit mon index, Nico émit un râle de plaisir et se cambra.
Tout en continuant à travailler son trou du cul avec mon index, je repris ma pipe de plus belle. A peine j’eus sa bite au fond de ma bouche, que je sentis son sperme jaillir. Je fus surpris mais j’adorais le goût de ce liquide visqueux. J’en avalais un peu et gardais le reste en bouche.
Je me relevais et je regardais un bref instant le corps de Nico, sa peau blanche avec quelques poils naissants sur le torse. Il me regardait, les yeux mi- clos et brillants, je me penchais vers lui, il me prit dans ses bras. Nous nous sommes longuement embrassé et je lui fis goûter son sperme. Il me déshabilla alors entièrement.
J’étais encore très excité et le frottement de nos deux corps nus ne faisait qu’accentuer cela. Pour éviter être surpris par ses parents où sa grande sœur, nous avons remis le salon en ordre et nous sommes allé dans sa chambre.
Nico me dit qu’il n’avait jamais eu de telles sensations, il avait été particulièrement excité par mon index dans son anus. Je lui dis alors que j’aimerais l’enculer. Nico avait un peu peur d’avoir mal mais il en avait aussi très envie. Nous savions qu’il fallait d’abord bien lui préparer l’anus, il y avait de la vaseline dans la pharmacie, Nico me la donna et s’allongeait sur le dos pour m’offrir son cul.
- Lèche- moi l’anus!’ me dit- il.
Je recommençais à passer ma langue sur sa rosette puis je l’enduisis de vaseline. J’y introduis un doigt puis deux plus difficilement. Nico avait les yeux fermés et me suppliait de continuer. Petit à petit, je sentais son petit trou se dilater, je limais de plus en plus vite avec deux doigts puis trois. De mon autre main je me masturber pour avoir une érection maximum.
Je mis alors Nico à 4 pattes, sa croupe offerte avec les fesses bien écartées. Je collais ma bite gonflée à bloc contre sa rondelle et je poussais légèrement, mon gland avait du mal à rentrer et je ne voulais pas lui faire mal. Je remis de la vaseline sur ma bite et je recommençais par lui introduire deux doigts. La tête sur la couette, Nicolas gémissait de plus en plus fort, sa rosette se relâchait et il me supplia de le prendre.
Je revins à l’assaut, mon gland rentrais petit à petit dans son anus. Nico avait mal mais me disait de continuer, mon gland rentra puis tout le reste, je le laissais récupérer un peu puis je commençais à le limer de plus en plus vite, Nico ne se retenais plus du tout de crier. Je sentis la jouissance arriver très vite et je ne pu me retenir de lui éclater au fond de son trou du cul.
Nous nous sommes écroulés dans les bras l’un de l’autre.
Avec une infinie douceur nous caressions nos corps recouverts de sueur, mon sexe était endolori par cette première pénétration ainsi que l’anus de mon ami. Nous sommes restés ainsi un moment et sous la douche qui suivit Nico me gratifia de ma première pipe et lui aussi me fis goûter mon sperme.
Après cette après- midi torride, je me posais beaucoup de questions, j’avais un peu honte de moi. Est- ce que j’étais vraiment homo, est-ce-que j’avais envie d’autres garçons ou seulement de Nicolas, et lui que ressentait-il vraiment, si cette histoire venait à s’ébruiter qu’est-ce que cela entraînerait comme connaissance dans ma vie.
Enfin bref, j’étais mal à l’aise. Au bahut avec Nico, nous avons essayé de faire comme avant mais quelque chose était définitivement changé entre nous deux. Un soir nous sommes rentrés tous les deux ensembles à pied, arrivés chez lui nous sommes montés dans sa chambre pour clarifier cette situation.
Nico me dit que maintenant, il regardait les autres garçons différemment quand nous étions sous la douche après le cours de sport ou les entraînements de foot. Souvent il allait aux WC pour se soulager en pensant à ces corps nus et notamment et au mien.
Moi depuis nos ébats sexuels, j’étais plus distant de lui et la vue de mes camarades à poil ne me faisait aucun effet, mes rêves érotiques étaient remplis de femmes et notamment de certaines filles de ma classe. Je gardais pourtant un bon souvenir de mon expérience avec Nico. J’étais d’accord pour continuer nos jeux sexuels mais il n’y avait aucune obligation entre nous, cela resterait notre secret.
Cette mise au point faite, la vie repris son cours normalement, je tentais désespérément de sortir avec Audrey mais le mercredi après-midi étaient souvent consacrés à Nicolas. Nous progressions dans nos performances, ma seule expérience de sodomie ne plut pas du tout alors que Nico y prenait de plus en plus goût.
Un jour nous faisions l’amour dans la cuisine chez mon pote, il était allongé sur la table, les jambes relevées sur son torse, je lui limais l’anus. Nicolas poussait de petits cris de plaisir et j’étais prêt à exploser au fond de son cul quand sa sœur entra dans la cuisine.
Stéphanie avait 20 ans, plutôt petite et rondelette avec des cheveux bruns et bouclés. Elle n’était pas vraiment belle mais je lui trouvais un certain charme et elle avait déjà hanté quelqu’un de mes rêves de petit puceau. Elle était étudiante, ses cours de après-midi avaient été annulés et elle était rentré pour bûcher ses futurs partiels.
Elle poussa un cri d’horreur à la vision de son frère en train de se faire défoncer le cul, mais ne quitta pas la pièce, j’avais retiré précipitamment ma bite du cul de mon pote et je la cachais, honteux avec les fringues qui étaient par terre.
Nico, un moment surpris, ne se démonta pas et fit sortir sa sœur ébahie et muette. J’avais perdu tous mes moyens et j’étais effrayé à l’idée que notre secret était percé, Nico essaya de me rassurer, il s’accroupit devant moi et suça ma bite qui lui bourrait le cul une minute plus tôt. La langue devenue experte de mon ami me fit rebander rapidement, quand mon sexe fut bien gonflé, Nico se remis sur la table et me dit :
- Finis ce que tu as commencé.
Je m’approchais, il posa ses pieds sur mes épaules et écarta les fesses, je lui enfilais ma bite assez facilement et je repris mon va et vient comme si rien ne c’était passé. Pendant que je l’enculais, Nico se branlait et criait assez fort pour que sa sœur l’attende. J’éjaculais en premier sur son ventre et son sexe pendant qu’il continuait à se branler.
Je me penchais et suçais son sexe couvert de mon sperme, Nico vint rapidement au fond de ma bouche, j’avalais et je léchais tout afin de bien nettoyer mon ami. Nous nous sommes rhabillés, Stéphanie nous attendait dans le salon :
- Alors vous êtes PD!
Je n’osais pas parler mais Nico répondis avec un regard de défi:
- Moi oui. Mais cela est notre secret alors j’aimerais que tu gardes cela pour toi
Stéphanie me regarda et me demanda:
- Toi aussi tu préfères les garçons?
- Je ne l’ai fait qu’avec ton frère et jamais avec une fille’ lui répondis-je.
Elle nous promis que notre secret était bien gardé mais nous conseilla d’essayer toutes les formes de sexe avant de faire un choix. Elle se leva et m’embrassa comme jamais, elle passa sa main sur mon sexe ramollit, elle le pressait à travers mon pantalon de jogging. Sans un mot, elle s’agenouilla, baissa pantalon et caleçon et prit mon sexe mou dans sa bouche.
Je regardais du coté de Nico, il sourit et s’assis dans le canapé pour assister au spectacle. Stéph était une experte, bien meilleure que son frère car plus expérimentée. Je reprenais de la vigueur sous les coups de langue de la sœur de mon ami- amant.
Elle se déshabilla et s’assis sur la canapé à coté de Nico, qui lui aussi s’était foutu à poil, elle écarta les jambes me montrant sa chatte bien taillée qui commençait à être humide. Je compris le message et comme la première fois où j’avais sucé Nico au même endroit, je léchais ma première chatte.
J’étais à quatre pattes sur le tapis, Nico vint derrière moi et pendant je goûtais sa sœur, il se mit à me lécher l’anus. Nous nous sommes retrouvés tous les trois sur le tapis, je léchais Stéph, je lui introduisais un doigt puis deux, c’était bien plus chaleureux et doux que le cul de mon pote.
Nico profitait de mon état d’excitation pour me mettre 2 doigts dans le cul ce qui eut pour effet de l’augmenter encore. Soudain il retira ses doigts pour me sodomiser violemment, je poussais un cri de surprise et de douleur, Stéph appuya sur ma tête pour que je continue à passer ma langue sur ses lèvres et son clitoris maintenant bien humides.
Nico se retira et alla mettre sa bite dans la bouche de sa sœur juste au moment où il giclait. Elle avala tout, son corps se cambrait et sa mouille était plus abondante. Elle gémit de plaisir puis me releva la tête et me dit
- Prend moi
Je remontais le long de son corps, je m’attardais sur ses seins de taille correcte et bien faits. Mon sexe s’était légèrement ramolli mais il se durcit dès qu’il entra en contact avec la toison humide de Stéphanie. Elle se cambra, souleva ses jambes et avec l’aide de ma main droite je trouvais l’entrée de son vagin.
J’y pénétrais sans mal, je découvris une sensation extraordinaire bien meilleure que celles que j’avais connu avec Nico. J’étais tellement excité que je ne pus me retenir de lui gicler rapidement dans la chatte.
Nous avons passé un long moment dans les bras l’un de l’autre. Nico nous regardait sur le canapé, il avait compris où allait ma préférence... Il me dit qu’il comprenait et qu’il ne parlerait à personne de notre secret.
Je continuais à voir Stéphanie qui m’avoua qu’elle n’avait pas beaucoup de petit ami. Il n’y avait pas de sentiments entre nous mais nous nous rendions un service mutuel et je continuais de temps en temps à baiser Nicolas en présence de sa sœur.
Un jour Stéphanie amena un copain homo de la fac et le présenta à son frère qui ne me demanda plus jamais de l’enculer. Nous sommes resté potes jusqu’à ce que nos chemins se séparent, je n’ai plus jamais eu de relations homos, mais de temps en temps je repense la bite et au goût du sperme de Nicolas et je frissonne.


Les joies de la campagne.

Mon mari venait d’être muté dans une petite ville de province. Nous étions marié depuis 3 ans (j’en avais 25 à l’époque) et pour le suivre j’avais quitté mon travail pour le suivre. Il avait été mon premier amour et c’est lui qui m’avait dépucelée. Pour tout dire notre vie sexuelle ne m’avait jamais vraiment satisfaite mais je m’y étais habituée.
Je finis par être engagée par le boulanger pour aller livrer le pain dans le village voisin et les fermes environnantes. Au bout de 3 semaines je commençais à bien connaître les clients ; un matin j’arrivais dans la ferme de monsieur Guibert, un vieux garçon de 45 ans qui vivait avec son père.
Je toquai à la porte et entrai dans la cuisine. Monsieur Guibert était là et me regardait d’un drôle d’air ; sur la table il y avait un litre de vin bien entamé.
- Bonjour monsieur, je vous pose votre pain sur la table comme d’habitude?
Je n’avais pas fini ma phrase qu’il se jeta sur moi me coinçant contre la table par derrière. Il saisit mes seins à travers mon pull et se mit à les malaxer. J’essayais de me débattre mais en vain : il était trop costaud pour moi.
- Arrêtez, mais qu’est- ce que vous faites,
- T’en as bien une idée ma salope !
- Non arrêtez, non ! ’
Mes cris ne faisaient que l’exciter davantage et il me retourna pour que je me retrouve face à lui. En une seconde il réussit à m’enlever mon pull. Il dégagea mes seins de mon soutien- gorge et se mit à les malaxer et à les pincer brutalement puis il se pencha pour les sucer avidement. Une de ses mains passa sous ma jupe et entra dans ma culotte. Il commença à titiller mon clitoris. A ma grande honte je commençais à apprécier malgré moi ce qu’il me faisait et à mouiller, et il s’en rendit compte.
- Ah ben on dirait que t’aimes ça ma cochonne, on va pouvoir passer aux choses sérieuses
D’un geste il enleva ma culotte, remonta ma jupe et m’assit sur la table. Il m’embrassa tout en ouvrant son pantalon. Il en sortit une queue bien bandée que je ne pus m’empêcher d’admirer: elle devait bien mesurer 23 cm et avait un gros gland .
- Depuis le temps que j’ai envie de te la mettre ma petite salope, tu vas voir qu’on sait y faire à la campagne ! Je parie que ton mari n’en a pas une si grosse?
(Il avait raison !) Il présenta son engin à l’entrée de ma chatte et me pénétra sans ménagement puis il commença à me besogner.
- Tu la sens bien hein, ça te plaît ma salope
Je ne pouvais m’empêcher de gémir à chaque coup de butoir car c’était vrai j’aimais sentir pour la première fois une si grosse queue dans mon vagin et je dois dire que la situation m’excitait : me faire baiser brutalement par un étranger, ses grossièretés, ses gestes brusques? Ma chatte était d’ailleurs toute dégoulinante de mouille et sa bite n’avait aucun mal à aller et venir si bien que j’eus un premier orgasme. Jamais je n’avais ressenti cela avec mon mari.
- Eh ben dis donc je ne m’étais pas trompé tu es une vraie salope, elle t’as fait jouir ma bite et tu mouilles comme une fontaine. Attends j’en ai pas fini avec toi !
Il me fis descendre de la table et mettre à 4 pattes par terre. Là il me pénétra de nouveau ; il attrapa mes hanches et se mit à me limer encore plus vigoureusement. Quand il se retira je n’eus aucune idée de ce qu’il allait faire. J’étais très innocente et ne connaissais pas la sodomie. Aussi je n’eus pas le temps de protester quand il se mit à lécher mon anus et à le mouiller de sa salive, je dois même dire que j’appréciais quand il me mit un doigt dans le cul, mais je n’imaginais pas ce qui allait suivre.
Il présenta son gourdin bien lubrifié par ma mouille et posa son gros gland sur ma rosette et commença à pousser : alors je compris mais je ne pus réagir. Mon sphincter s’ouvrit sous la pression et c’est dans la douleur que son gland d’abord puis sa queue entière pénétra mon petit trou ; il poussa un grognement de plaisir et commença à bouger tout en branlant mon clitoris. Ses mouvements s’amplifièrent, il prenait soin de bien me la mettre jusqu’à la garde.
- Tu la sens bien ma queue dans ton petit cul de salope, depuis la première fois que je t’ai vu j’ai eu envie de t’enculer
Cela commençait à me plaire malgré la douleur ; ses va et vient étaient de plus en plus rapide, et il grognait de plus en plus visiblement il aimait malmener mon petit cul avec son gros pieu. Je finis par jouir une deuxième fois, d’emblée convertie à la sodomie. Mais lui était toujours en pleine forme. Il se retira et s’allongea sur le sol.
- Allez viens chevaucher ton étalon
J’obéis et plaçais sa queue à l’entrée de ma chatte et je m’empalais dessus en gémissant. Je bougeais mon cul et me soulevais à un bon rythme
- Allez plus vite salope ’dit- il en me mettant une claque sur les fesses .
J’accélérai, je sentais son gourdin coulisser dans mon con détrempé. Il me pétrissait les seins et je jouis encore une fois quand il envoya son jus au fond de ma chatte : pas moins de 5 longs et chauds jets de sperme !
- Ahhhhh ! Je me suis bien vidé les couilles et t’en as bien profité ma cochonne, ça t’as plu de te faire mettre par un paysan pas vrai ?
Après cela je me rhabillais et reprit ma tournée pensant déjà à ce qui allait se passer le lendemain?
Le lendemain je m’arrangeais pour terminer ma tournée par la ferme de Guibert et je pris soin d’enlever ma culotte avant de descendre de ma camionnette. La première chose qu’il fit quand j’arrivai fut de passer la main sous ma jupe.
- Ca t’a plu la petite séance d’hier hein pour que tu te ballades les fesses à l’air? Tu vas voir ce sera encore mieux aujourd’hui ; mets-toi à genou et suce ma bite je sais que tu en as envie
J’obéis et m’agenouillais devant lui ;je caressais sa queue à travers le pantalon puis j’ouvris la braguette pour la faire jaillir, bien dure et dressée. Je léchais délicatement son gland turgescent pendant un moment avant de prendre l’engin en bouche.
Je pompais du mieux possible, faisant entrer la grosse bite jusqu’au fond de ma gorge, tout en massant ses couilles d’une main. J’étais très excitée et je sentais ma chatte qui dégoulinait. J’attendais qu’il me dise d’arrêter mais brusquement je le sentis se crisper et il éjacula dans ma bouche en poussant un cri rauque ; pour la première fois de ma vie j’avalais le sperme d’un homme.
- Maintenant suis moi
Il m’emmena à l’étage et me fit entrer dans une chambre ; là assis sur le lit était son père :il devait bien avoir 70 ans, il était gros et je vis qu’il lui manquait des dents.
Pourquoi m’amener ici ?
- Papa voilà la salope que j’ai baisé hier, et en plus elle suce bien.
- Mets la à poil que je me rende compte
- Tu as entendu déshabille toi
Je n’avais aucune envie de me mettre nue devant cet homme répugnant et je refusai. Mais le fils baissa ma jupe d’un coup et arracha mon chemisier sans que je puisse résister. Je me sentais rougir de honte et pourtant cela m’excitait d’être traitée comme un objet.
- Alors t’en dis quoi ?
- C’est vrai qu’elle est bandante
Le fils me força à m’approcher du lit et à me mettre à genou devant son père qui était déjà en train de déboutonner son pantalon.
- Tu vas faire plaisir à Papa, ça fait des années qu’il n’a pas touché une femme :suce le
Le père fit jaillir sa queue devant moi : je fus impressionnée car elle était encore plus longue que celle de son fils, 25 cm au moins, et bien dure malgré son âge. Je commençais à branler ce vieux cochon mais il saisit ma tête et la força à la descendre je dus me résoudre à le sucer.
A ce moment le fils sortit de la pièce et revint avec un caméscope ; il nous filma pendant que je pompais avidement son père. J’étais de nouveau toute mouillée et je ne pus m’empêcher de glisser une main entre mes cuisses pour me caresser, et même de glisser un puis deux doigts dans ma chatte. Le fils s’en aperçu et me filma en gros plan, des doigts dans la chatte et un queue dans la bouche.
- Papa je crois qu’elle veut qu’on la baise !
Aussitôt le père m’allongea sur le lit et écarta mes cuisses ; il s’approcha de moi et se mit à lécher mes seins, puis il descendit sur mon ventre et enfin entre mes cuisses ; il se mit à me lécher la fente, le clitoris et je ne pouvais retenir mes gémissements. Rapidement il se redressa et s’effondra sur moi en enfilant d’un seul coup sa grosse bite dans mon con ; toujours sous l’oeil du caméscope de son fils il commença à me limer avec une vigueur incroyable pour son âge.
- Ca te plaît de te faire baiser par un vieux, t’aimes la bite toi ma salope
- Oui, oui j’aime ça , oh oui c’est bon, oui oui !
- Je vais t’envoyer la sauce salope
Et il éjacula au fond de mon ventre. Je n’arrivais pas à croire que j’avais joui sous les coups de boutoir d’un personnage aussi répugnant.
Mais ce n’était pas terminé car le fils excité par le spectacle prit la place de son père quand celui-ci se retira et me besogna à son tour. Il donnait de grands coups de reins pour bien me faire sentir son pieu.
- Tu la sens bien ma queue
- Oui vas- y bourre moi à fond
- Il te baise pas comme ça ton mari
- Oh non
- Mais ça te plaît hein
- Oui , vas- y plus vite.
Il se retira et s’allongea sur le lit pour que je puisse monter sur lui et m’enfiler sa bite bien au fond.
- Je crois que tu plais bien à Papa
En me tournant je vis que le père avait retrouvé toute sa virilité et se branlait en me regardant monter et descendre sur la queue de son fils .
- Tu sais Papa tu pourrais t’occuper de son autre trou?
Le père se déshabilla (je pus voir à quel point il était laid avec son gros ventre et sa peau ridée) et s’approcha de nous. Il commença à caresser mes fesses, puis à titiller mon anus avant d’y mettre un doigt.
Puis ce fut son gland qu’il présenta sur mon œillet il poussa et fit entrer doucement sa queue ; je criais mais rien à faire :j’étais bel et bien enculée par un vieux dont le fils occupait ma chatte . Le père se mit à aller et venir, faisant par moments presque sortir sa queue pour mieux l’enfoncer l’instant d’après. j’avais l’impression d’être un objet, la situation était terriblement humiliante et pourtant je sentis la jouissance monter et exploser : j’avais deux grosses bites pour moi une dans le con et une dans le cul, et j’aimais ça, j’étais vraiment une salope?
Le fils jouit en premier puis le père se retira pour éjaculer et envoyer son sperme sur mes fesses.
- Allez maintenant tu peux rentrer chez toi et aller voir ton mari dit Guibert en riant
Et c’est ce que je fis?
Croyez-le ou non, le soir même le père Guibert fit un malaise cardiaque et fut hospitalisé en maison de retraite ; ce qui n’empêcha pas son fils de continuer à me baiser chaque jour !

Bonne fête Pépé..!

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Et c'est quand la fête des papys..?
Et des plombiers?... LOL




Hommage aux culs avec un grand Q..!

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Rien de plus beau qu'un cul.
De mec  ou de nana... Offert ou ouvert...
Neuf ou usagé...Fermé ou éclaté.
Vide ou occupé!











Histoire du net. Auteur inconnu. Monde à part...

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C'est un monde secret.
Des règles imposées.
Mais là  ils sont bavards... Lol


Les dortoirs de l’internat.
Issu d’une famille de la petite bourgeoisie, mes parents étaient commerçants dans l’alimentation, dernier de la fratrie, j’ai été le seul des trois enfants à faire des études, ma sœur s’est mariée jeune, enceinte de son futur, et notre frère ainé à pris la suite de mes parents.
Habitant dans une ville de faculté, je n’ai jamais eu à me loger ailleurs que chez mes parents, durant mes études.
Mon père ne me donnait, en argent de poche, que le minimum ’’syndical’’, tenant à mon autonomie financière je me suis trouvé un boulot de pion.
J’avais le choix entre deux options, trois jours et trois nuits de garde et deux jours ’’off’’, ou cinq jours et cinq nuits de garde, j’ai choisi les cinq jours qui me donnaient tous mes week- end libres, avec une obligation cependant, d’assurer un weekend de garde sur cinq ou six.
La rémunération était correcte, j’officiais dans l’internat d’un collège d’enseignement technique, m’occupant des troisièmes jusqu’à la terminale.
Les plus jeunes élèves avaient au minimum 16 ans pour les troisièmes, et 19 ou 20 ans pour les ’’terminale’’
Ces garçons étaient parfaitement ’’acclimatés’’ à leur état de pensionnaire, la plupart était dans ce bahut depuis la 6ème. Je les prenais en étude après les cours, puis une heure et demi après le repas du soir, et je gardais le dortoir.
Ma ’’carrée’’ était située exactement entre les deux dortoirs reliés par un couloir, en face des lavabos, des douches et des toilettes, séparés les uns des autres évidemment.
Extinction des ’’feux’’ à 10 heures et demi, en général tout se passait bien.
Dans la semaine, l’heure de lever était fixée à 7 heures, personne ne trainait au lit, un retard de dix minutes au réfectoire était sanctionné par une interdiction d’y entrer donc pas de petit déjeuner.
Le samedi matin tout le monde n’avait pas cours à la première heure, certains se passaient de déjeuner pour faire un peu de ’’grasse mat’’’.
Le vendredi soir, la surveillance était plus ’’souple’’, je laissais les garçons discuter ou jouer aux cartes jusqu’à minuit, sans bruit bien sûr.
De mon côté, je lisais ou travaillais mes cours, il m’arrivait même de regarder la télé sur un petit poste portable.
A la fin du premier mois, ayant affirmé mon autorité, je n’avais plus à me gendarmer, me contentant de faire quelques rondes ’’inopinées’’.
Un week- end de garde, vers minuit et demi, heure de ma dernière ronde en général, je constate qu’un garçon se tient bizarrement pour dormir, et pour cause, il était sous les couvertures, lisant un bouquin en s’éclairant d’une lampe électrique.
Sans faire de bruit je lui tape sur le dos, il sort la tête, affolé de s’être fait prendre.
- C’est l’heure de dormir, tu liras ton bouquin demain, lui dis-je à voix basse.
- Oui monsieur, j’avais presque fini.
Après avoir posé sa lampe sur sa table de chevet et le bouquin dans le tiroir, il s’allonge sur le dos et me fait signe qu’il va dormir. Les veilleuses distillent peu de lumière mais on peut quand même voir assez bien autour de soi. Avant de partir, il m’a semblé voir la couverture ’’soulevée’’ d’une belle façon, j’en déduis immédiatement que le bouquin n’était certainement pas un précis de technologie.
A la fin de ma ronde, je reviens voir si le ’’bandeur’’ dort et je lui pique le bouquin pour l’emmener dans ma chambre.
Couverture blanche titrée ’’INFLUENCES’’ au centre sans autre indication, les premières pages sont suffisamment ’’explicites’’, c’est un bouquin porno dans la plus pure tradition, édité en 1955.
Les quelques pages lues m’ayant particulièrement excitées, je me suis retrouvé avec une érection impossible à maitriser au point d’être obligé de me masturber pour me calmer.
En catimini, je vais pour remettre le bouquin dans le tiroir et j’entends le garçon murmurer :
- Alors, il vous à plu mon bouquin ?
- Euh. Oui, mais je ne l’ai pas tout lu, tu me le prêteras ?
- Vous pouvez le garder, j’ai presque fini celui-là et j’en ai un autre.
- Merci, à demain. dis- je en repartant avec le bouquin.
L’envie de terminer le chapitre commencé me taraude l’esprit mais il est tard, je remets ça au lendemain.
- - - - - - - - - - - -
Samedi soir, les garçons ont permission de minuit à condition qu’ils ne fassent pas de bruit mais je les laisse faire ce qu’ils veulent.
J’attendais le moment de pouvoir parler avec celui du bouquin, ne serait- ce que pour savoir où il s’est procuré ce livre quasiment classé collection. C’est lui qui est venu me voir en sortant des toilettes.
- Je voulais justement te voir. Tu peux me dire où tu as trouvé ce bouquin ?
- Dans mon garage. En aidant mon père à ranger, nous avons bougé des cartons dont un contenait des livres parmi lesquels, j’ai trouvé 6 bouquins comme celui-là. Ils sont neufs, les pages ne sont même pas découpées.
- Le tien est bien coupé pourtant.
- Je l’ai fait massicoter par un copain dont le père est imprimeur.
- Ton copain ne l’a pas regardé ?
- Non, j’étais derrière lui et je ne lui en ai pas laissé le temps. J’avais découpé une dizaine de pages donc je savais ce qu’il contenait.
- Je n’ai lu qu’une partie du premier chapitre, c’est hard dis donc.
- Et encore, le vôtre n’a pas de planches dessinées.
- Hier soir j’ai vu que tu étais en forme.
- Ben oui. Quand vous êtes venu, j’étais tellement excité que j’aillais me masturber sinon je ne peux pas m’endormir.
- Tu le fais à chaque fois que tu lis ?
- Oh oui, mais je ne lis pas plus d’un chapitre à la fois sinon je me branlerais tout le temps.
- Tu sais qui a amené ces livres chez toi ?
- Non, mais ça peut être mon père, il en a d’autre dans sa bibliothèque.
- Les mêmes ?
- Non, plus beaux et bien reliés, dedans c’est la même chose. j’en ai compté une dizaine.
- Tu les as lus aussi ?
- Non, si j’en enlève un ça se voit.
- Tu en as prêté à tes copains ?
- Non, enfin si. à mon voisin de lit, un soir il m’a entendu me masturber, je croyais qu’il dormait.
- Et alors, il s’est masturbé aussi ?
- Oui.
- Devant toi ?
- Oui, nous sommes allés aux toilettes.
- Vous l’avez fait tous les deux ?
- Oui. Nous ne sommes pas les seuls à venir faire ça aux toilettes, il y en à même qui font autre chose.
- Quoi par exemple ?
- Vous ne devinez pas ?
- Je m’en doute mais j’aimerais que tu me le confirmes.
- Et bien oui, ils le font.
- Ils font quoi ?
- Vous le savez bien.
- Mais non.
- Ils se sucent monsieur, et certains font autre chose encore.
- Tu peux me le dire ce qu’ils font, ça ne sortira pas d’ici.
- Ils se baisent.
- Ils s’enculent, c’est ce que tu veux dire ?
- Oui monsieur.
- Tu l’as vu souvent ?
- Non, en général ça se passe le samedi soir.
- Nous sommes samedi, tu crois que ce soir, ils vont le faire ?
- Oh oui ! Comme c’était les vacances la semaine dernière, personne n’est parti ce weekend.
- Quand tu les vois faire, tu restes à regarder ou tu participes ?
- Au début, je ne faisais que regarder sans rien faire d’autre, maintenant je me branle en les regardant.
- Tu ne participes pas alors ?
- Euh. Non sauf si on me touche.
- Et ’’on’’ te touche ?
- C’est arrivé deux fois. J’ai touché aussi.
- Toucher, c’est branler ?
- Oui, et on se suce aussi. Un garçon à voulu me prendre mais je n’ai pas pu.
- Tu n’as pas pu quoi faire ?
- Le supporter, il a essayé mais ça m’a fait mal.
- Il voulait t’enculer ?
- Oui. Sa bite est bien plus grosse que la mienne, même avec du lubrifiant, ça n’a pas marché.
- Dis-moi ?...
- Laurent.
- Laurent, on dirait que ça t’excite d’en parler.
- Vous aussi monsieur, je le vois bien. La bosse de votre pantalon est énorme.
- La tienne n’est pas mal non plus. je suis Claude, mais tu le sais, c’est marqué sur ma porte.
- Claude, je viens de voir passer trois garçons, je suis sur qu’ils vont aux toilettes.
- Pourquoi les toilettes et pas les douches par exemple ?
- Parce qu’aux toilettes on n’a pas besoin d’allumer, le réverbère de la rue éclaire par les fenêtres.
- Tu vas y aller ?
- J’aimerais bien, dans l’état où je suis. Vous pouvez venir aussi.
- Non Laurent, je suis votre pion, je ne peux pas.
- Et alors, vous croyez que votre collègue se gêne lui ?
- Ah bon, parce que Michel le fait aussi ?
- Oh oui. Et lui, il se fait enculer, et pas qu’une fois certains soirs.
- S’il se fait enculer, il encule aussi ?
- Non Claude, ça lui arrive même de ne pas bander. Sa bite est toute petite. Je vais y aller, ma pine me fait mal tant je bande.
- Et tu mouilles, ton pyjama est taché.
- Ça m’arrive à toutes les fois maintenant.
- C’est normal, moi aussi je mouille.
- Elle doit être belle votre queue, quelle bosse ! Bon j’y vais, si vous voulez venir, je vais les prévenir avant pour qu’ils ne paniquent pas.
- Ok, j’attends un peu.
Ma porte restée entrouverte me permet de voir les allers et venues, ça n’arrête pas, le dernier qui vient de passer avait la bite sortie de son pantalon de pyjama, un beau chibre.
J’attends encore trois minutes et je sors de ma chambre, n’ayant que le couloir à traverser pour entrer dans la pièce, dévolue aux cabines des WC flanquées de trois lavabos, à peine éclairée par l’ampoule de la rue.
Sur les paillasses des lavabos, sont entassés les pyjamas des participants, une dizaine à première vue.
Devant moi, deux garçons sont debout devant un autre penché en avant, qui les suce à tour de rôle, ma première réaction est de regarder les bites en érections, de beaux engins bien raides.
Etant le seul encore habillé, je retourne dans ma chambre enfiler un pyjama et je reviens vite en laissant ma pine sortir de mon pantalon.
Ma queue raide se balance devant moi, je l’empoigne pour me palucher un peu, mon gland s’englue de mouille.
Je contourne le trio pour chercher Laurent qui reste invisible, le garçon qui suce est toujours penché en avant, les jambes tendues et les pieds écartés, sa raie offerte laisse voir une rosette légèrement poilue.
Je pense que je pourrais surement enculer ce garçon mais je n’ai pas de capote, même dans ma chambre.
Entre deux lavabos, une soucoupe est pleine d’étuis carrés en plastique, capotes et lubrifiant à volonté, ils pensent à tout, ces garçons ! Je prends un étui et je déroule la capote sur ma bite le plus loin possible. La capote est fine, dans le peu de lumière, on dirait que je n’en ai pas tant elle est transparente.
En revenant vers le garçon qui suce, toujours penché en avant, je le vois se taper sur une fesse et m’indiquer sa raie d’un doigt tendu. L’invitation est trop belle, je m’avance la pine en main et je la glisse dans la raie pour constater qu’il s’est déjà préparé, sa rosette est lubrifiée.
En le saisissant par les hanches, je pose mon gland sur la rosette, c’est lui qui s’encule en donnant un coup en arrière et je m’enfonce jusqu’aux couilles !
Je n’avais pas remarqué qui se faisait sucer, Laurent me fait un grand sourire le pouce levé.
Ma pine nage littéralement dans le cul du garçon, sans prétention je pense être bien ’’équipé’’, mais là, je ne lui ferais pas de mal !
Je l’encule pour jouir et je me concentre, Laurent laisse son suceur s’appuyer sur un lavabo et passe derrière moi, je sens sa bite sur mes fesses. D’une main je cherche à savoir s’il est couvert, mais je sens son gland et le prépuce qui bouge donc il ne m’enculera pas.
Sa pine glisse entre mes fesses et appuie sur ma rosette sans pénétrer, il ne m’en faut pas plus pour déclencher mon orgasme, je décharge dans le réservoir de la capote puis je me retire lentement.
Sans voir si la capote est nette ou pas, je l’enlève avec du papier essuie mains et je me rends compte qu’il est bien maculé en le jetant dans la cuvette. Le garçon ne s’est même pas retourné pour voir qui l’enculait, libre il se rue sur une nouvelle bite à sucer.
Laurent me fait venir dans un coin, derrière la porte.
- Vous voyez ce que je vous disais.
- Laurent, si tu avais été couvert, tu pouvais.
- Je m’en suis douté, mais regardez, comme je viens de jouir dans la bouche du garçon, je ne bande plus. Vous n’avez pas joui non plus ?
- Si, j’ai déchargé dans la capote.
- Et vous bandez encore ?
- Oh oui, je peux jouir deux fois avant de débander, et même plus si je suis très excité. Tu vas mettre longtemps avant de rebander ?
- C’est variable, mais au moins 10 minutes. Venez voir dans le fond.
Un groupe fait un U autour d’un garçon qui, dos au mur, s’encule avec un gode fixé sur le carrelage.
- Celui-là, c’est le plus vieux du dortoir, il ne se fait jamais baiser, il parait que son trou du cul est tellement large qu’on ne sent rien.
- Si j’en juge par la taille du gode, ça ne m’étonne pas.
- L’année dernière, un soir, ils se sont mis à deux pour l’enculer, même comme ça, ils ont du se branler pour jouir !
Quand le garçon se redresse, je suis effaré par ce qui lui pend sous le ventre, une grosse pine au gland violet qui ne raidit pas, sur une grosse paire de couilles.
- Vous voyez, il ne bande jamais, mais on peut le sucer et le faire jouir, quand il décharge on dirait qu’il pisse !
Dans la mêlée, un garçon me touche la queue et me branle un peu, Laurent me dit tout bas à l’oreille :
- Lui, c’est une vraie gonzesse, il a même des seins.
Effectivement, deux mamelons aux tétons qui pointent sont bien visibles, sa pine raide est à peu près de la taille d’un pouce en longueur et en grosseur.
- Un copain m’a dit qu’il a une chatte comme les filles.
- Un hermaphrodite alors ?
- Je n’en sais rien, il faudrait le voir en pleine lumière.
- Demande lui s’il veut venir dans ma chambre, nous serons plus tranquille.
- Ok, j’y vais.
Je prends deux étuis de capote, du lubrifiant et je cherche mon pantalon de pyjama dans le tas.
Arrivé dans ma chambre, je tamise la lumière de la lampe de chevet et je les attends.
- Fermez bien la porte s’il vous plait.
Avec un peu plus de lumière que dans les toilettes, le garçon qui ne s’est pas rhabillé, m’apparait bien particulier, sa poitrine ressemble à celle d’une gamine à peine pubère, sa petite bite bien raide surmonte une toute petite paire de couilles toutes rondes.
Laurent lui demande de s’allonger sur le lit et de remonter ses jambes en les écartant, effectivement, sous la paire de petites couilles, une fente de cinq centimètres baille un peu, le périnée est ’’fendu’’ avant l’anus, sa rosette n’a plus un seul pli et bouge quand il se contracte.
- Vous voyez, c’est comme une chatte. Tu peux l’ouvrir ?
- Oui, mais vous ne verrez rien de plus et ce n’est pas profond.
- On peut te baiser là-dedans ? Demande Laurent.
- Oui, mais c’est nul et ça ne me fait rien.
En y regardant bien, rien à voir avec un sexe féminin que pourrait avoir un hermaphrodite, mais c’est quand même étonnant.
- On t’a dit ce que tu avais là ?
- Oui et non, un professeur à dit à ma mère que c’était une erreur de la nature. Je suis raté sexuellement, ma bite est toute petite et je n’arrive pas à jouir ni décharger en me branlant, par contre j’ai du plaisir en me faisant enculer.
- Tu jouis en te faisant enculer ?
- Pour ça, il faudrait que je sache ce que c’est que jouir, je n’ai fait qu’en entendre parler.
- Mais tu aimes te faire enculer ?
- Oh oui. Plus les bites sont grosses, meilleur c’est.
- Tu t’es déjà fait enculer par de très grosses bites ?
- Deux fois. Aux Antilles, en vacances avec ma mère. Un black est venu la baiser dans notre chambre, au bout de deux heures elle n’en pouvait plus mais il bandait encore, alors c’est moi qui me le suis pris.
- Il t’a baisé dans la chambre où était ta mère ?
- Oui, nous n’en avions qu’une.
- Et toi, tu les avais vus baiser ?
- Oh oui ! J’ai même été obligé d’empêcher ma mère de crier quand il l’enculait. Le lendemain, il est venu avec un copain à lui et ils m’ont baisé l’un après l’autre.
- Et ta mère aussi je suppose ?
- Oui, ils l’ont même pris à deux.
- Qu’est-ce que tu faisais pour l’empêcher de crier ?
- Je lui mettais ma bite dans la bouche.
- Parce qu’en plus, tu te fais sucer par ta mère ?
- C’était la première fois.
- Chez toi, tu la vois baiser aussi ?
- Non, mais je l’entends.
- Tu n’as pas de père ?
- Ils sont séparés mais mon père vit près de chez nous, je le vois tous les jours.
- Ton père sait ce que tu fais avec les hommes ?
- Non, mais je crois qu’il s’en doute, un jour il à failli me surprendre avec notre voisin.
- Que faisais- tu avec lui ?
- Je venais de le sucer et il allait m’enculer, mais mon père est arrivé. Je suis sur qu’il a vu que mon voisin bandait.
- Tu baises souvent avec ton voisin ?
- Pas souvent, mais de temps en temps, quand je rentre le week- end. j’aime bien qu’il me baise avec sa grosse queue, et il jouit dans mon cul.
- Sans capote ?
- Oui.
- Tu ne devrais pas baiser sans capote.
- Je sais, mais avec lui j’ai confiance.
- Ben voyons, tu sais ce qu’il fait quand tu n’es pas là ?
- Oui.
- Et que fait- il ?
- Il baise sa belle sœur et son demi- frère. Le fils d’un premier mariage de son père et sa femme.
- Et ben dis donc, quelle famille !
- J’aimerais bien retourner aux toilettes.
- Tu peux y aller, dis- je soulagé qu’il veuille partir.
Laurent, qui n’a pratiquement rien dit, semble dubitatif :
- Je n’y crois pas à son histoire.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas, comme ça.
- En attendant, ça t’a fait bander.
- Vous aussi.
- Laurent, tu veux te vider les couilles ?
- Euh. Oui, je veux bien.
- Alors couvre- toi et bourre- moi le cul. Tu en as envie n’est-ce pas ?
- Oui. J’aimerais bien essayer de me faire prendre aussi.
- Pas avec moi, je vais te dévaster le cul si tu ne l’as jamais fait.
- Je ne commencerais jamais alors.
- Mais si Laurent, il faut simplement que tu trouves un garçon avec une pine moins grosse que la mienne et tout se passera bien.
Je lui tends un carré de plastique et il se couvre avec dextérité, preuve qu’il a déjà pratiqué.
- Je vais m’agenouiller, comme ça je pourrais me branler en même temps.
Debout le long de mon lit, il attend que je prenne place et, avec délicatesse, il pose son gland sur mon trou et pousse doucement.
- Pousse Laurent, mon cul est préparé, tu peux y aller, bourre- moi.
Il s’enfonce et entame un pistonnage lent que je lui demande d’accélérer, au bord de la jouissance, il devait se retenir.
- Je jouis, excusez-moi, je ne peux pas me retenir.
- Mais c’est bien Laurent, je voulais te faire jouir.
Il sort de mon cul et je regarde la capote nette de souillure, le réservoir est plein, il l’enlève et fait un noud. Je me branle en regardant sa bite débander lentement, il s’avance et embouche mon gland au moment où je décharge. Sans reculer, il ingurgite tout mon foutre et lèche mon gland pour en extraire la dernière goutte.
- Laurent, tu suces très bien.
- J’aime ça, alors je m’applique.
- Tu aimes sucer, ou tu aimes le foutre ?
- Les deux. Chez moi, je sors le soir et je vais dans un endroit où viennent les hommes.
- Tu y vas pour sucer ?
- Certains demandent qu’on les baise aussi.
- Personne n’a jamais voulu te prendre ?
- Si, mais je vous l’ai dit, ça ne passe pas. Un type a réussi à rentrer son gland une fois, c’était bien pour moi, mais il a joui tout de suite.
- Tu as une très belle bite Laurent, mais tu pars trop vite.
- Je sais, c’est parce que je me branle trop.
- Comment ça ?
- Si je vois quelque chose qui m’excite, ça me donne envie de me branler et ce n’est pas toujours l’endroit idéal pour le faire, donc je jouis vite.
- Je comprends. Tu peux me dire ce qui t’excite ?
- Euh. Beaucoup de choses. Voir sous les jupes des filles par exemple, chez moi, c’est facile.
- Ah bon ?
- J’habite près d’un château fort à demi ruiné, dans la partie restée debout, les gens montent au donjon par un petit escalier, en se mettant dessous en bas, on voit tout.
- Les gens ne te voient pas ?
- Non, pas de la façon dont c’est fait, ou alors il faudrait qu’ils se penchent mais personne ne le fait, il n’y a rien pour se tenir.
- Tu vois les culottes des femmes, alors ?
- L’été, plus de la moitié des femmes portent des strings ou rien du tout, on leur voit très bien la chatte, surtout qu’elles sont obligées d’écarter les jambes pour monter.
- Tu fais ça tout seul ?
- Oui, ou avec un copain dont la mère fait le guide quand il y à des groupes, le week-end.
- Elle monte aussi au donjon ?
- Quelques fois.
- Donc il voit le cul de sa mère.
- Oui, et elle fait partie des femmes qui ne mettent pas toujours une culotte !
- Vous vous branlez en matant ces culs ?
- Oh oui ! Dans l’après-midi on peut se branler deux fois.
- Laurent, tu as déjà baisé une fille ?
- Oui, mais pas une fille.
- Comment ça pas une fille ?
- Une femme, je veux dire. La mère de mon copain justement, mais il ne le sait pas. Un jour, j’étais seul sous l’escalier et j’ai toussé à cause de la poussière, elle est venu voir.
- Tu faisais quoi ?
- Je me branlais, le pantalon sur les pieds. Elle descendait devant un couple qui s’est arrêté pour regarder par une meurtrière. Le type touchait les fesses de la femme en lui mettant la main dans la raie, je l’ai même vu lui titiller l’anus.
- Et alors, comment a- t- elle réagit en te voyant ?
- Mieux que j’aurais cru. Ne l’ayant pas entendu arriver, je regardais en l’air en me branlant, elle s’est penchée pour me sucer au moment où j’allais décharger. Ça m’a tellement surpris que je n’ai pas joui !
- Tu l’as baisée sous l’escalier ?
- Oh non, ce n’est pas possible ! Chez elle, dans sa chambre, mais pas le même jour.
- Elle n’a pas de mari cette femme ?
- Euh. Si. Il est au courant.
- Laurent, il est au courant que tu baises sa femme ?
- Oui. Un après midi, je la baisais dans leur chambre et il est arrivé, nous ne l’avions pas entendu venir. J’ai senti une main qui me touchait les fesses et j’ai fait un bond de coté qui m’a fait ’’déjanter’’, en plus, je venais juste de la prendre derrière.
- Et alors ?
- Alors, il n’a rien dit mais il a souri en voyant le trou du cul encore ouvert, puis il s’est penché et il m’a sucé sous les yeux de sa femme.
- Qui n’a rien dit je suppose ?
- Non, rien. Elle s’est mise à sucer son mari pendant qu’il me pompait le dard et après, il l’a enculé.
- Ton copain ne sait rien, tu en es sur ?
- Oh oui ! S’il apprend que je baise sa mère, il va me foutre une tannée.
- Et s’il apprend que tu fricotes aussi avec son père, il va te tuer !
- Non, il ne le saura pas. Il m’a semblé comprendre que ce n’était pas la première fois qu’ils faisaient ça, je les ai trouvés bien complices.
- Tu as touché le mari ?
- Oui, mais juste touché.
- Ça veut dire quoi ’’juste touché’’ ?
- J’ai pris sa pine dans ma main pour le branler, je l’aurais bien sucé mais il n’a jamais voulu.
- En dehors de te sucer, il t’a fait autre chose ?
- Non, d’ailleurs il ne l’a jamais refait mais ça l’excite de me voir baiser sa femme. Il se branle et n’arrête pas de la traiter de tous les noms, c’est un jeu entre eux.
- Laurent, tu peux me dire comment se termine un plan cul comme celui- ci ?
- Euh. Simplement, je me rhabille pendant qu’il la baise et je pars.
- Vous ne parlez jamais ?
- Pas le temps, et puis je pense qu’ils n’en ont pas envie.
- Tu as refait quelque chose avec eux ?
- Pas encore, c’est assez récent.
- Si j’ai bien compris, tu baises cette femme sans capote.
- C’est elle qui ne veut pas que j’en mette pour sentir quand je décharge.
- Laurent, ça va être l’heure.
- Ok, je vais me coucher.
- Je vais aller voir s’il y a encore du monde aux toilettes.
Laurent parti, je traverse le couloir sans entendre le moindre bruit, dans les toilettes flotte une odeur mélangée de foutre et de merde, tout le monde est parti, j’ouvre la fenêtre pour aérer.
Le mur de séparation avec les douches ne montant pas jusqu’au plafond, j’entends un bruit d’eau et un peu de vapeur s’échappe, quelqu’un se douche, je vais voir dès que l’eau s’arrête.
Un garçon que je n’avais pas encore vu, s’essuie et semble étonné de me voir.
- Ça fait du bien une bonne douche, dis- je en entrant.
- Oui, j’en avais besoin. Je peux vous parler ?
- Bien sûr, je vais dans ma chambre, tu peux venir.
Il entre après avoir frappé et referme la porte avec précaution.
- Tu voulais me parler ?
- Oui. C’est sympa de nous laisser faire ce qu’on veut, vous êtes le seul.
- Ah bon ?
- Un de vos collègues était comme vous, mais il ne vient plus.
- Donc avec les autres vous ne faites rien ?
- Si, mais c’est plus difficile. J’ai vu que vous avez parlé avec Gabriel.
- Gabriel ?
- Le garçon avec la petite bite, c’est bizarre son truc.
- Une erreur de la nature.
- Je suis Christian. D’après vous, c’est une fille ou un garçon ?
- C’est peut être un hermaphrodite, Christian.
- C’est courant ça ?
- Non. Au départ, l’ovule comporte les deux sexes et la séparation se fait pour ne laisser qu’un male ou une femelle, quelque fois la séparation se fait mal, c’est son cas.
- Un copain m’a dit qu’on pouvait le baiser comme une fille.
- Oui, mais ce n’est qu’une cavité peu profonde, rien à voir avec le sexe d’une femme. Tu as fait quoi ce soir ?
- Pas grand- chose.
- Mais encore ?
- Je me suis fait sucer.
- C’est tout ?
- Euh. Non, je me suis fait prendre aussi, mais ça s’est mal passé.
- Ah bon ? Tu as eu mal ?
- Oh non, mais ça va trop vite !
- Qu’est- ce qui va trop vite ?
- Les garçons sont trop excités alors ils jouissent vite, c’est pour ça que Francis vient avec son matériel.
- Francis, c’est celui qui se mettait un gode, tout à l’heure ?
- Oui, vous avez vu sa pine ?
- Une belle pine mais je ne l’ai pas vue raide.
- Moi non plus. Il nous a dit que le gode appartient à sa mère.
- On en trouve dans tous les sexe-shops.
- C’est ce que je me suis dit.
- Il ne fait rien d’autre que ça ?
- Non. De toute façon, je ne vois pas qui il pourrait baiser avec sa grosse bite.
- Surtout s’il ne bande pas.
Sa culotte de pyjama est ouverte au niveau de la braguette, il suit mon regard et sourit.
- Vous essayez de voir ma bite ?
- Pas spécialement.
Sans rien dire, il baisse le pantalon jusqu’aux genoux et m’offre sa bite en érection.
- Ça me fait bander de parler de cul.
- Je vois ça. Belle pine dit donc. Tu as quel âge ?
- J’ai eu 17 ans le mois dernier, je suis en seconde.
- Une question Christian, tu es homo ?
- Non monsieur, d’ailleurs, je ne savais même pas que j’aimais ça, c’est la deuxième année que je le fais. J’aime le sexe alors plutôt que de me branler tout seul dans mon lit.
- Mais tu te fais prendre, c’est bien ce que j’ai compris ?
- Oui, ça aussi je ne savais pas que je pouvais le faire. Il m’arrivait de me toucher le cul en me branlant la bite et même d’y fourrer un ou deux doigts, un soir, un garçon m’a lubrifié le trou avant de me là mettre, c’est rentré tout seul.
- Avec une capote j’espère ?

La réponse demain...

Histoire du net. Auteur inconnu. Monde à part... Fin

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Dans ce monde toutes les expériences coexistent.
Et se transmettent... Enfin...
Ça cause quoi..! Et ça b......

Les dortoirs de l’internat.
Fin
- Oui, ça je ne l’oublie jamais pour moi et pour les autres.
- Tu as une copine ?
- Oui, et j’ai la chance qu’elle aime bien baiser aussi mais on ne se voit pas souvent, ses parents sont très sévères et ne lui laissent pas de liberté.
- Les tiens sont plus cool ?
- Oui, j’ai de bons résultats alors ils me fichent la paix.
- Tu peux sortir le soir ?
- Oui, j’ai une bande de copains dans mon village, on se marre bien.
- Les garçons, tu ne les touches qu’ici, alors ?
- Pas vraiment. J’habite Corme l’Ecluse au bord du canal, l’été c’est gavé de touristes avec leurs bateaux, ils doivent attendre pour passer l’écluse.
- Et alors ?
- En attendant ils se baladent sur le bord du canal, on peut faire de bonnes rencontres, même avec des étrangers.
- Tu montes à bord des bateaux ?
- Ça m’arrive mais je n’aime pas trop, j’aime mieux faire ça dans la nature.
- Et tu fais quoi sans indiscrétion ?
- Tout ce qui se présente. Le dernier bon plan en date, c’était début septembre, il faisait super beau, les gens rentraient et il y avait la queue à l’écluse. Plein de gens se promenaient en attendant leur tour, c’est ceux-là que je piste en général. Je repère une nana qui va vers un petit bois un sac à la main, je sais que les gens vont faire leurs besoins au bord d’un petit ruisseau, ça leur permet de cacher ce qu’ils viennent de faire. J’ai un point d’observation qui surplombe un peu le chemin, donc je suis la nana et je me planque pour la voir faire. D’habitude, les gens font ça tourné vers le ruisseau, elle lui tournait le dos, avec mes jumelles, je voyais sa chatte ouverte quand elle s’est mise à pisser, et un petit étron tomber. Elle s’est essuyée derrière d’abord et devant après mais là, ça durait. La fille se caressait, j’ai même cru qu’elle s’était fait jouir. Absorbé par le spectacle, je n’ai pas vu arriver un couple, une grande femme blonde et un type baraqué couvert de tatouages.
- On ne peut vraiment pas te voir ?
- Si, mais il faudrait penser à regarder en l’air, je me cache dans un saule pleureur penché, moi je vois tout mais on ne me voit pas.
- Le couple allait vers la fille ?
- Oui, ils se connaissaient. J’ai compris que c’était des hollandais et en regardant bien, la fille ressemblait à la femme comme deux gouttes d’eau.
La fille ne s’est même pas levée, elle se caressait pendant que le type pissait et que la femme, accroupie, pissait aussi. Ils se parlaient en riant, ça commençait à m’exciter, quand le type s’est tourné, j’ai vu qu’il bandait, une grosse pine décalottée.
- Christian, tout le monde vient au même endroit ?
- Les gens suivent un petit chemin qui mène au ruisseau, une vingtaine de mètres est dégagée, ils ne peuvent pas aller ailleurs ! Le type s’est approché de la fille qui se touchait toujours et il s’est fait sucer, la femme est allé le sucer en même temps. J’étais affolé de voir la bite du type, un gros mandrin qu’elles avaient du mal à emboucher puis, la fille s’est levée et, appuyée sur la femme, elle s’est fait baiser. Ça m’avait foutu la gaule et je me branlais, la femme les regardait faire la main entre les cuisses, ça me rendait fou !
- Il fallait y aller.
- Attendez. J’en avais envie, mais comment faire sans qu’ils sachent que j’étais déjà là. J’ai rentré ma bite et je me suis laissé glisser au pied de l’arbre sans bruit, ils n’ont rien vu. En les contournant, je suis revenu par le petit chemin, la femme était collée contre le type qui baisait toujours la fille, le pantalon sur les pieds. La femme lui touchait les fesses d’une main et se branlait de l’autre. C’est elle qui m’a vu la première et n’a pas paru étonnée quand je me suis approché la bite à la main.
- N’importe qui aurait pu venir, c’est dingue ce truc.
- C’est vrai et je l’ai déjà vu. La femme à dû leur dire que j’étais là puis elle a pris ma bite pour me sucer. Excité comme je l’étais, j’ai joui tout de suite mais heureusement je n’ai pas débandé. la fille poussait des petits cris à chaque fois que le type s’enfonçait et il s’est bloqué. Il n’y à rien pour s’appuyer en dehors du saule, la femme s’est mise à genoux et je l’ai baisée comme ça, sans capote. Le type s’est retiré et j’ai compris pourquoi la fille couinait, il là prenait dans le cul, sa bite était gainée de merde !
- Pourtant, elle venait de faire, m’as- tu dit.
- Il devait en rester ! Il s’est nettoyé avec du papier hygiénique, ça puait, une horreur ! La fille s’est essuyée aussi, je ne l’ai même pas vu partir. Le type me touchait la tête, sa bite passait près de mon visage et je sentais l’odeur.
- Tu l’as sucé ?
- Je ne voulais pas mais en le voyant bander, j’ai ouvert la bouche. Ça puait un peu et presque pas de goût. Je l’ai sucé en baisant la femme, sa chatte dégoulinait, je glissais dedans sans rien sentir.
- Tu aurais dû lui mettre dans le cul.
- C’est ce que je voulais faire mais quand je me suis retiré, elle s’est levée croyant peut être que j’avais joui. Du coup, c’est moi qui me suis fait enculer !
- Tu as supporté la grosse pine du type ?
- Oui. Sans problème. Elle me suçait pendant qu’il m’enculait, il a joui dans mon cul et moi dans la bouche de la femme.
- Et bien dit donc. Tu en as fait beaucoup des plans comme ça ?
- Non, mais quelques-uns quand même. Un jour j’ai baisé une fille, et j’ai sucé son grand-père !
- En même temps ?
- L’un après l’autre, mais elle m’a vu faire.
- Ouah ! Toujours au bord du canal ?
- Oui. Mais dans un bateau pour une fois.
- Raconte, ça m’excite tes histoires !
- Ça je le vois, votre pine coule et votre pantalon est taché.
- Je suis comme toi, parler de cul ça m’excite, tu veux voir ma queue ?
- Oui, j’aimerais bien.
Je baisse mon pantalon et je décalotte mon gland, une bonne odeur me monte aux narines. En le regardant bien dans les yeux, j’empoigne ma pine et je me branle lentement.
- Elle est belle et j’aime l’odeur qui s’en dégage.
Il se penche et l’embouche pour me tailler une pipe magistrale, venant de jouir je sais pouvoir tenir, sa main vrille mon chibre et me branle, sa bouche ne quittant pas mon gland. Penché en avant, il m’empêche de toucher sa bite qui se dresse fièrement alors je m’occupe de ses fesses en glissant ma main dessous.
Il se soulève un peu pour me faciliter la tâche, mes doigts se posent sur sa rosette qui s’ouvre sous ma poussée, j’enfonce deux doigts facilement.
Sans quitter ma bite, il me fait signe qu’il apprécie en clignant des yeux, je pousse encore sur mes doigts pour les enfoncer le plus loin possible.
- Oui, vous pouvez y aller, branlez moi le cul.
Agenouillé, il m’offre plus de facilité, son cul est ouvert et trois doigts y nagent, ma main en tuile j’enfonce les quatre jusqu’à la base.
- Ton cul est très accueillant dit donc !
- Je sais, je me suis amusé à m’enculer avec un gros gode, ça marche bien.
- Ça te fais quoi de t’enculer ?
- Du bien, mais pour jouir, je dois quand même me branler la bite.
- Tu l’as pris où ce gode ?
- Dans la panoplie de ma mère.
- Elle en a combien ?
- Quatre, celui dont je me sers est un vieux qu’elle n’utilise plus.
- Comment sais-tu qu’elle ne l’utilise plus ?
- Parce qu’il n’était pas au même endroit que les deux dont elle se sert. Le quatrième, c’est ma sœur qui l’a pris.
- Quel âge ta sœur ?
- Deux ans de plus que moi.
- Pas de petit copain ?
- Non, mais je n’en sais rien en fin de compte, elle bosse pour passer sa licence et ne sort presque jamais.
- Comment sais-tu que c’est elle qui a pris l’autre ?
- Parce que je l’ai vu dans sa chambre, il dépassait de son oreiller.
- Ta mère aurait pu le voir aussi, non ?
- Et je pense qu’elle l’a vu, je suis allé dans la chambre de ma sœur pour l’aider à déplacer une commode, si je l’ai vu, elle doit l’avoir vu aussi.
Il se lève pour étendre une jambe.
- J’ai une crampe.
Sa pine raide se balance devant lui, tourné vers moi je le fais avancer et j’embouche sa bite.
- Pas trop vite, sinon je vais jouir.
Je me retire pour qu’il ne jouisse pas mais je le vois prendre sa queue et l’astiquer, la bouche grande ouverte j’attends la décharge.
- Excusez-moi. je n’ai pas pu me retenir, j’étais trop excité, j’adore me faire branler le cul.
- Mais ce n’est pas grave, j’aime qu’on me décharge dans la bouche.
- Je voudrais vous demander quelque chose. C’est grave si un frère baise sa sœur ?
- S’il n’y a pas contrainte et que personne d’autre ne le sait, ce n’est pas grave, mais c’est quand même de l’inceste. Pourquoi me demandes-tu ça, tu as envie de baiser ta sœur ?
- Oh non et je n’y pense même pas ! J’ai un copain de mon âge qui habite la maison voisine de la nôtre, on se voit souvent, il vient chez moi, je vais chez lui, sa sœur se balade tout le temps à poil dans leur maison. Je lui ai fait remarquer qu’elle ne devrait pas le faire, elle m’a répondu
- Du moment que ça excite mon frère, c’est moi que ça arrange
- Tu en as déduis que c’est pour qu’il là baise qu’elle fait ça ?
- Il m’a dit qu’il la baisait et que si je voulais, je pourrais la baiser aussi.
- Tu l’as fait ?
- Non, l’occasion ne s’est pas présentée.
- Elle est bien cette fille ?
- Physiquement ?
- Oui.
- Pas mal, belle paire de seins et beau cul. son corps est bien mais sa tête.
- Tu t’en fiches, c’est son cul que tu baises, pas sa tête !
- Je préfèrerais baiser la mère. Un jour je l’ai vue en maillot de bain, super bien foutue, même mon père le dit.
- Si tu vas souvent chez eux, tu dois savoir comment ça se passe, non ?
- Je sais comment fonctionne le couple, le père de mon copain est directeur commercial et s’absente du lundi au jeudi soir, la mère et la fille sortent ensemble.
- Pas de quoi fouetter un chat, elles vont où ?
- En boite ou dans un bar interdit au moins de 18 ans.
- Comment le sais- tu ?
- Un soir avec mon copain, nous sommes allés au cinéma pendant les vacances, en sortant vers minuit, il m’entraine dans une petite rue où il y à un sexe- shop.
- Vous êtes mineurs, vous ne pouvez pas y entrer.
- Nous connaissons les propriétaires, ils habitent deux maisons plus loin que chez nous. De temps en temps, c’est la fille qui tient le magasin quand ses parents sont absents, elle nous laisse entrer. le problème c’est de savoir si c’est elle qui est là, alors on marche dans la rue jusqu’à ce qu’un client entre et on piste pour voir qui est à la caisse. Le bar dont je vous parle est au bout de cette rue, le ’’Vice et Versa’’, club privé. Mon copain avait vu qu’un client allait entrer dans le magasin et il essayait de voir qui était à la caisse et moi, j’ai vu sa mère et sa sœur entrer dans ce bar.
- Tu es sur que c’était elles ?
- Oh oui, aucun doute là- dessus, je les connais bien, j’ai même pensé qu’elles m’avaient vu tant elles sont entrées vite.
- Vous y êtes déjà entrés dans ce sexe- shop ?
- Deux fois. La première, il n’y avait pas beaucoup de monde, deux types qui mataient des pornos en cabine et un vieux qui attendait dans le couloir.
- Qu’est-ce que vous y faites, vous matez des pornos aussi ?
- Non, aucun intérêt, mais on peut voir les mecs se branler par les trous dans les cloisons, on peut sucer aussi quand un mec met sa bite dans un trou...
- C’est tout ?
- La deuxième fois, c’était un vendredi soir, nettement mieux, il y avait trois couples et une dizaine d’hommes.
- Ça baise ?
- Ça devrait baiser, mais il faut vraiment les provoquer sinon les mecs se branlent, sucent un peu mais ne se font pratiquement pas baiser, ni ne baisent d’ailleurs.
- Vous foutez le bordel si je comprends bien ?
- Oh oui ! Mon pote se fout à poil et tripote tout le monde.
- Et toi ?
- Moi, je suce, je touche des culs, j’encule ou je me fais enculer, comme il fait presque noir, personne ne voit que nous sommes jeunes.
- Ton copain se fait enculer aussi ?
- Oui, ça ne fait pas longtemps, mais il y est venu et ça lui plait bien.
- Donc tu penses pouvoir baiser la mère de ton copain ?
- Je n’en sais rien mais j’aimerais bien. Un jour je l’ai surprise en train de changer son tampon périodique, je ne la pistais pas, j’allais aux toilettes. La porte de la salle de bain était entrouverte, elle me tournait le dos mais j’ai tout vu quand même dans une glace. Je n’arrivais plus à pisser tant je bandais.
- Normal, on ne peut pas pisser si on bande.
- J’avais remarqué ça. Un jour, un type voulait que je lui pisse dans le cul, je n’ai pas pu le faire quand il me l’a demandé, j’ai du attendre d’avoir joui et débandé un peu. Je ne sais pas comment faire avec elle, pourtant elle est super sympa, je lui ai même touché les seins une fois, ça l’a fait rire.
- Je n’ai pas de conseil précis à te donner, mais essaie un truc qui peut marcher. Pour ça, il faut que tu sois en érection et que tu te débrouilles pour qu’elle puisse le voir quitte à te toucher de temps en temps. Tu verras sa réaction, si elle se met à rire, tu as toutes tes chances.
- Pour bander chez elle c’est facile, je mate la fille qui passe son temps à nous montrer sa chatte ou son cul.
- Elle le fait même quand sa mère est là ?
- Disons qu’elle ne passe pas devant sa mère. C’est incroyable comme votre pine coule.
- Je sais. ça m’aide souvent pour graisser les capotes.
- Vous avez envie de jouir ?
- Euh. Oui.
- Vous pouvez m’enculer si vous voulez.
- J’allais te le proposer. Tu t’agenouilles ?
- Oui, j’aime bien cette position.
Je laisse couler un peu de mouille sur sa rosette et je me couvre avec une capote très fine qui me colle bien à la pine. Avant d’entrer, je glisse trois doigts et je les remplace par ma queue.
- Ouah, quelle pine ! Ça me fait du bien. bourrez moi fort, je vais me branler.
Dire que ma pine nage dans son cul serait mentir, mais elle n’est pas serrée ce qui me procure de bonnes sensations. Je lui bourre le cul en alternant, plusieurs coups très vite et très forts, puis j’entre et je sors lentement, dégageant complètement le trou qui reste ouvert.
- Bourrez- moi, je vais jouir.
Je replonge et entame un pistonnage rapide qui me fait jouir aussi puis je me bloque contre ses fesses. Je sors ma queue aussi nette qu’en entrant, son trou se referme doucement et il se retourne.
- Fabuleux, j’adore me faire bourrer par une grosse pine bien dure. Quelle décharge, le réservoir est plein !
J’enlève la capote délicatement pour ne pas la renverser et je la noue.
- Je peux vous sucer ?
- Tu peux.
- C’est pour la dernière goutte de sperme.
Il me tète le gland pour extraire la dernière goutte, sa main passée entre mes cuisses glisse sur mon périnée et touche ma rosette.
- Vous aussi, vous devez vous faire enculer par de grosses pines, votre cul s’ouvre dès qu’on le touche.
- Tu as raison, ça m’arrive.
- Je peux savoir où vous allez pour ça ?
- Euh. Je n’ai pas d’endroit précis. C’est au petit bonheur la chance.
- Attendez, on ne se fait pas enculer n’importe où.
- Bien sûr. Tu sais, je ne cherche pas, je prends ce qui vient.
- Comme moi.
- Tu es encore très jeune.
- Je sais mais j’ai déjà pris quelques bons coups et j’espère que j’en prendrais encore.
- Tu as vu l’heure ?
- Oui, deux heures et demi.
- Il faudrait peut-être dormir.
- Je n’ai pas sommeil. le week- end prochain, je rentre chez moi, ça va me permettre de tester votre idée pour la mère de mon pote.
- Il doit bien y avoir des indices qui te font supposer que tu peux arriver à tes fins, sinon c’est du temps perdu.
- Une intuition, rien d’autre et elle me fait bander, bien sur.
- Tu me disais que tes parents sont cool.
- C’est vrai, surtout ma mère, elle est adorable avec nous.
- Nous, c’est ta sœur et toi ?
- Oui.
- Dis-moi, tout à l’heure tu me disais qu’un jour tu as baisé une fille et sucé son grand père, ça me revient d’un seul coup.
- Alors ça, c’est un bon souvenir. Toute une famille sur un bateau, un couple, leur fils et leur fille, un papy et une mamie, pas vieux les anciens, la soixantaine à peine passée. pendant l’attente, tout le monde s’en va sauf la fille qui reste sur le pont à bronzer, au bout d’un quart d’heure, le papy revient et entre dans le bateau, cinq minutes après la fille entre aussi et on ne les revoit plus. De temps en temps, l’éclusier me demande d’aller prévenir les gens que le bateau va bouger qu’ils ne s’inquiètent pas. Je vais à bord, je frappe au carreau mais personne ne répond alors j’entre et je descends dans le carré. La fille était à poil en train de se branler devant le papy qui s’astiquait le manche, visiblement elle venait de pisser dans une cuvette.
- Ça ne leur a pas fait un choc de te voir ?
- La fille à sursauté mais sans plus, le papy ne s’est pas arrêté de se branler. Je leur ai dit que le bateau allait bouger et j’allais repartir, c’est la fille qui m’a demandé de rester, pour faire court, j’ai sorti ma bite et je l’ai prise sur la table, je voulais l’enculer mais elle n’a pas voulu.
- Le papy regardait toujours ?
- Il s’était levé pour faire le guet toujours en se branlant. Je regardais sa pine, un bel engin pas très gros mais assez long. Il s’est avancé, je l’ai branlé un peu, puis je l’ai sucé.
- Et la fille ?
- Elle n’arrêtait pas de bouger, impossible de rester dedans. Nous avons entendu du bruit, sinon j’enculais le papy ou il m’enculait, finalement il m’a joui dans la bouche, j’avais du sperme jusque dans la gorge ! En le suçant je lui ai mis deux doigts dans le cul et j’ai compris.
- Tu en as fait des choses.
- Parce qu’on est jeunes, les gens ne pensent pas qu’on puisse faire la même chose que les adultes, mais je crois que c’est pire pour certains. Dans mon bled, nous sommes un groupe de garçons, qui ne pensent qu’au cul.
- Si vous arrivez à concrétiser, tant mieux.
- On y arrive mais ça ne vient pas tout seul, il faut chercher et ne pas être trop regardant. avec un copain, nous avons fait un plan cul avec des gens bien plus vieux que mes parents, et nous ne nous y attendions pas.
- C’est toujours comme ça, il te tombe un plan et tu n’as pas le temps ou tu es tellement surpris que ça dérape.
- Nous avions le temps mais nous n’avions pas vu le coup venir. On se baladait avec mon copain, un homme, dans son jardin, nous demande de venir l’aider à tenir un gros piquet de clôture qu’il voulait enfoncer, ça s’est bien passé et il nous à invité à boire un coup. Après nous avoir servi sa femme s’est assise en face de nous, j’ai cru que mon copain allait s’étrangler en buvant, elle nous montrait sa chatte en écartant les genoux.
- Volontairement ?
- Pas facile à dire. Il a toussé et craché ce qu’il avait dans la bouche, elle s’est levée pour lui donner une serviette, en se rassoyant même topo, cuisses écartées et foufoune bien en évidence, on ne voyait que les poils et un peu la fente mais ça suffisait pour nous exciter.
- Donc c’était voulu.
- Une fois, ça peut être un oubli, mais deux fois. Pourtant sa jupe n’était pas très courte. Mon copain s’est levé pour aller tousser dehors accompagné du monsieur qui lui tapait dans le dos, la femme m’a demandé en riant si j’appréciais ce qu’elle me montrait. Je n’ai pas su quoi répondre mais comme je bandais et que la bosse devenait bien visible, ’’ne me dit rien, je vois que ça te plait’’. Elle s’est levée et m’a pris par la main pour aller dans une pièce très peu éclairée avec un billard recouvert d’une épaisseur de mousse au milieu, des sièges rembourrés tout autour de la pièce et un beau lustre au-dessus du billard. Elle s’est déshabillée en trente seconde et m’a demandé d’en faire autant puis elle s’est ruée sur moi, une furie !
- Et ton copain ?
- Assise et moi debout, elle me suçait en prenant ma pine jusque dans sa gorge, je n’avais jamais vu ça ! En me suçant, elle me touchait les fesses et le trou du cul, j’ai bien compris qu’elle voulait savoir si mon cul était ’’disponible’’. J’avais envie de jouir mais je me retenais puis elle a dû fourrer deux ou trois doigts dans mon trou, ça m’a fait décharger aussitôt, c’est à ce moment-là qu’ils sont arrivés.
- Ton copain a dû être étonné, non ?
- Leur tournant le dos, je ne me suis pas retourné. Ils se sont approché, le type a sorti sa bite pour que mon pote le suce et c’est parti comme ça. Nous avons pris la femme à deux, puis mon copain à baisé son mari pendant que je le suçais. Dans la douche, il a fallu qu’on leur pisse dessus, un peu plus ils nous demandaient de leur chier dessus.
- Vous l’auriez fait ?
- Mon copain mais pas moi, le pipi ça passe encore mais le caca ça coince à tous les niveaux ! Si je sors ma bite pleine de merde d’un cul, ça ne me plait pas, moi, si je dois me faire enculer, je vais chier avant.
- Sage résolution.
- A l’inverse, si je me fais prendre et que le type se retrouve avec de la merde sur la bite, capoté ce n’est pas un problème mais si j’ai de ma merde plein la raie et rien pour m’essuyer, c’est moi qui suis dans la merde ! Ici c’est super, on peut se laver et même se doucher.
- Tu les revois ces gens ?
- Oui. Je ne fais plus rien avec eux, mais on se voit et on se parle. Elle m’a montré avec quoi elle se branle pendant que son mari l’encule, un super gode qui bouge dans tous les sens. Un après midi, je l’ai rencontrée avec sa nièce, une belle nana qui vient de temps en temps en vacances chez eux. J’ai cru comprendre qu’elle aimerait bien que je vienne la baiser devant eux.
- Tu as accepté ?
- Bien sûr, la fille est superbe mais je ne sais pas si elle sera d’accord pour faire ça devant son oncle et sa tante !
- Tu as pu lui parler ?
- Oui, j’ai essayé de la toucher et elle ne s’est pas défilée, je lui ai même mis un doigt dans la chatte. A chaque fois que je passais mon doigt sous mon nez, ça entretenait mon érection, je suis rentré chez moi dans cet état.
- Tes parents n’ont rien vu ?
- Je me suis débrouillé pour aller dans ma chambre tout de suite et j’ai fini par me calmer.
- Tu t’es masturbé ?
- Même pas, c’est tombé tout seul !
- Christian, tu dois aller te coucher maintenant sinon tu ne pourras pas te lever demain matin, dernier carat 9 heures et demi.
- Ok, j’y vais.
Rhabillé, je jette un œil dans le couloir et il sort, tout semble calme, je remets mon pantalon de pyjama et je vais faire une dernière ronde.
Tous les lits sont occupés donc tout va bien, juste avant de sortir, le dernier lit grince un peu, j’écarte le rideau et je marque un temps d’arrêt. Le garçon est à poil sur son lit, les genoux relevés et les pieds à plat, il se branle d’une main et se touche le cul de l’autre.
Je fais un pas et laisse retomber le rideau derrière moi, je le regarde se branler ou plus exactement, je regarde la bite qu’il astique à toute vitesse, un beau mandrin au gland luisant.
Je sors ma bite et je me branle à côté de lui, sa main ralentit et il lâche sa pine pour me faire le signe de baiser avec ses deux mains, j’opine du chef.
Nous allons dans ma chambre que je referme soigneusement.
- Tu veux me baiser ou tu veux que je te baise ?
- Je veux bien me faire baiser, mais je veux baiser aussi.
- Tu as du lubrifiant ?
- Pas besoin pour moi.
- Pour moi non plus. Couvre- toi.
- C’est moi qui baise le premier alors ?
- Oui, j’ai le cul préparé, tu peux y aller.
A peine suis- je en position qu’il me fourre sa pine dans le cul et me pistonne à toute vitesse, comme il se branlait tout à l’heure.
- Doucement, tu vas jouir trop vite.
- Pas un problème, je peux jouir plusieurs fois de suite dans débander.
J’ai l’impression que sa pine grossit dans mon cul, une bonne chaleur monte dans mes reins, je ne me branle pas pour garder ma bite raide. D’un seul coup, il se bloque et ne bouge plus.
- Je jouis, putain que c’est bon de se branler dans un cul.
Il se retire et je me retourne pour voir l’engin, effectivement, il me semble qu’elle est nettement plus grosse mais pas plus raide.
- Ta pine à grossit dans mon cul, non ?
- Ça me le fait depuis 6 mois, des fois, elle devient énorme. Ça ne le fait pas si je me branle.
Il retire la capote avec difficulté tant elle est tendue, heureusement qu’elle n’a pas explosé. Il empoigne sa bite et recommence à se branler.
- Je vais encore décharger, si tu veux en profiter.
Je n’ai pas le temps de me pencher qu’il crache son foutre et je reçois tout sur la bite.
- Putain, j’étais vachement excité, ça fait trois fois que je décharge en une demi- heure ! Tu veux toujours me baiser ?
- Euh, oui.
- Tu vas devoir mettre une cale, mon cul est bien plus ouvert que le tien.
D’un seul coup, je reconnais celui qui s’enculait avec le gode collé au mur et tout le monde autour.
- Si je ne dois rien sentir, autant que je me branle.
- Alors fais-le, je te regarde.
- Montre- moi ton cul s’il te plait.
- Pas de problème, je te montre ça.
Agenouillé, il écarte ses fesses et je découvre un cul complètement dévasté et ourlé de rouge vif dans lequel il fourre ses quatre doigts.
- Comme ça, tu vois bien ?
- Très bien, retire ta main que je puisse voir le trou.
Ma pine ne toucherait même pas les bords si j’étais dedans, je me demande comment il peut se retenir, son sphincter semble inopérant. Je me branle vite et m’avance pour décharger sur le trou qui se referme doucement et l’anus redevient ’’normal’’ si je puis dire. Ma pine débande doucement, il se retourne, lui aussi débande doucement, dégrossit devrais- je dire, car sa bite ne devient jamais raide.
- C’était bien ?
- Parfait. Dit donc, ton cul s’ouvre vachement !
- Normal, je me fais enculer depuis l’âge de 13 ans et j’en ai pris des grosses !
- Tu as fait vérifier ton sphincter ?
- Oui, il se referme parfaitement, je n’ai aucun problème. Tu aurais vu la tête du procto quand je lui ai fait voir mon cul, ma mère avait peur que j’aie des problèmes.
- Ta mère sait que tu te fais enculer ?
- Euh. Ouais. Elle le sait. Un jour, elle cherchait partout un de ses godes, c’est moi qu’il l’avait dans ma chambre...
- Tu as dû te faire engueuler, non ?
- Ben non. Elle ne comprenait pas à quoi il pouvait me servir, normal.
- Et alors ?
- Alors, je lui ai montré.
- Tu lui as fait voir ou tu lui as dit ?
- Je lui ai fait voir, elle n’en revenait pas.
- Tu m’étonnes. Elle à fait quoi en te voyant ?
- Je me suis aperçu qu’elle regardait plus ma pine que son gode que je me fourrais dans le cul. ça l’excitait.
- Et qu’a- t- elle fait ?
- Tu ne le répéteras pas, hein ?
- Non, je te le promets.
- Elle m’a demandé de la baiser.
- Je m’en doutais un peu.
- Mais je n’ai pas voulu, je ne peux pas baiser ma mère quand même ! Alors elle m’a piqué le gode pour se branler, comme ça, devant moi, en plus il n’était pas très propre.
- Elle s’est lavé, ce n’est pas grave.
- Le soir, elle a baisé avec mon père, le pauvre, elle l’a séché !
- Tu les as entendus ?
- Et vu aussi, ils ont fait ça dans le salon devant un porno !
- Non, ce n’est pas possible !
- Si, mais j’ai su, bien après, qu’elle l’avait fait exprès, et mon père était d’accord.
- Dis- moi, tu te fais sodomiser depuis l’âge de 13 ans ? C’est dingue ça.
- Je sortais avec une bande de ’’grands’’, ils avaient 5 ou 6 ans de plus que moi, mais j’étais de leur taille. Un soir, ils ont chopé trois nana et deux mecs et on a fait une partouze, j’ai baisé mais je me suis fait baiser aussi, c’est parti de là. Une nana voulait absolument baiser avec moi en voyant ma bite et un garçon m’a pris pendant que je la baisais. Je n’avais jamais fait ça, c’est hyper bandant !
- Tu restes en érection si tu te fais prendre ?
- Ma bite est grosse mais ne tient pas en l’air.
- C’est parce qu’elle est trop lourde.
- Mon kiné m’a fait toute une théorie là- dessus.
- Comment a- t- il sut que.
- M’étant vrillé le genou, j’ai été plâtré et il m’a fallu de la rééducation. Un jour j’ai eu une crampe alors il m’a massé la cuisse et ça m’a fait bander.
- Il l’a vu ?
- J’étais en flottant et ma bite dépassait. Il s’est étonné qu’elle ne raidisse pas alors je lui ai dit que c’était toujours comme ça. Après le massage, il m’a posé des questions, ma bite avait encore grossi sans être raide. C’est le muscle qui fait tenir les bites à l’horizontale, le mien est atrophié. Du moment que ça ne m’empêche pas de baiser, je suis obligé de la tenir, mais sinon ça marche très bien.
- Tu débandes si tu te fais prendre ?
- Non, je reste comme je suis. Ça me permet de me branler.
- Il faut dormir maintenant.
- Oui, j’ai assez joui. Demain après-midi, si vous voulez, je vous ferais voir quelque chose qui devrait vous intéresser, pendant la promenade.
- Encore du cul ?
- Oh oui, et du beau cul ! Bonne fin de nuit.
Je ne sais pas combien de temps j’ai mis pour m’endormir, mais je devais déjà ronfler avant de toucher l’oreiller !
Fin.

Hommage aux culs avec un grand Q..!

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Rien de plus beau qu'un cul.
De mec  ou de nana... Offert ou ouvert...
Neuf ou usagé...Fermé ou éclaté.
Vide ou occupé!












Les brèves du net. A trop vouloir...

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Vous connaissez ce fameux proverbe:
Qui sème le vent récolte la tempête?
Lisez ces deux textes.
Attention: extrême...


La femme de Jacques

Cette histoire date d’un mois. Je me présente, je m’appelle Jacques 44 ans, marié à Sophie 41 ans, parent d’un garçon qui vient de prendre son envol.
Il y a quelque temps, nous avions fait une extension de notre habitation pour notre fils. Chambre avec douche plus une lingerie. De ce fait, nous avions mis en location cette chambre depuis la rentrée pour un étudiant. La location fut vite prise et un jeune homme se prénommant Thomas était notre locataire. Il avait l’air sérieux et tout se passait bien.
Pour revenir sur notre couple, depuis le début de notre mariage, j’ai toujours souhaité exhiber ma petite femme. Au début, elle était très prude mais au fil du temps, il y a eu du changement. J’ai arrivé à lui faire abandonner ses collants pour des bas, puis avec de la patience, ses jupes se sont raccourcies et même ses sous- vêtements sont devenus plus affriolants avec maintenant des chemisiers plus transparents pour apprécier la dentelle de ses sous- vêtements. Il lui arrive même lors de nos weekend, lorsque nous sommes sur de ne pas être dérangés de la voir déambuler en guêpière dans la maison, avec un léger peignoir.
Lorsque je l’accompagne dans les magasins de vêtements, lors de ses essayages; je profite à chaque fois de tirer le rideau au moment opportun pour l’exhiber en sous- vêtements et a chaque fois j’espère qu’un ou plusieurs voyeurs profiteront de l’aubaine. A ces moments là, elle me traite de pervers mais ne se fâche jamais longtemps.
Cette histoire a commencé bizarrement. J’étais en train de ranger du matériel dans le fond de mon jardin quand subitement, j’aperçu une silhouette. Intrigué, je me dissimulais quand je reconnus notre locataire. Que faisait- il derrière en ayant une entrée sur le devant ?
Je fus vite fixé, il se dirigea directement vers la fenêtre de notre chambre et se dissimula derrière un thuya. A la façon de se positionner, je compris vite que ce ne devait pas être la première fois. Je me déplaçais doucement et m’approchant délicatement, je vis que la lumière de la chambre était allumée et ma petite Sophie, nue venant de sortir de sa douche, était en train de se sécher. Notre locataire avait sorti son sexe et se masturbait doucement. Cela confirma qu’il devait être coutumier du fait pour mater ma femme. J’étais flatté mais le bruit de craquement d’une branche sur laquelle je venais de marcher, lui fit tourner la tête dans ma direction. Il m’aperçut, pris peur, se réajusta puis disparut.
Cette affaire me trotta dans la tête toute la soirée et le soir au moment du coucher, volontairement j’entrouvris un peu les rideaux et demanda a Sophie de mettre sa guêpière puis je lui fis l’amour en laissant la lumière allumée. Elle voulait que j’éteigne mais pour la rassurer, je lui rappelais que nous étions à l’arrière de la maison et le terrain était complètement clôturé, donc il n’y avait rien à craindre. Au plus profond de moi, j’espérais que notre locataire était là et je l’avoue, je fus plus performant ce soir- là.
La nuit porte conseil et le matin en me réveillant, j’avais pris une décision, j’avais décidé d’aller plus loin. En allant chez le boulanger, je croisais notre locataire qui essayait de m’éviter. Je l’interpellais en lui disant que j’avais deux mots a lui dire, je le vis blanchir.
A la sortie du boulanger, je l’invitais à venir boire quelque chose au café qui était au coin, tout de suite, je pris un ascendant sur lui en l’obligeant à m’avouer depuis combien de temps il matait Sophie. Il m’avoua que cela faisait un mois qu’il profitait du spectacle. La deuxième question fusa aussitôt :
- A chaque fois tu te masturbes ?
La réponse fut oui.
- Est ce que tu es revenu voir hier soir pendant que je faisais l’amour à ma femme ?
La tête baissée, il avoua qu’il avait même éjaculé deux fois.
J’étais aux anges.
Puis, je me surpris à lui poser la question à savoir s’il voulait baisser Sophie. Là son regard remonta et me fixant dans les yeux, il m’avoua qu’il ne pensait qu’à ça.
Je lui expliquais donc le plan que j’avais muri depuis le matin. Il devait partir le samedi matin comme s’il partait en weekend, puis laisser sa voiture dans la rue, revenir à pied, passer par derrière et attendre à 15h00 précise à la porte de service.
Toute la semaine me parut interminable. Le samedi, j’étais anxieux, j’espérais que mon plan allait se dérouler comme prévu. En fin de matinée, je demandais à Sophie de mettre sa guêpière. Au début, elle refusa rétorquant qu’il y avait le locataire. Pour la rassurer, je lui indiquais que je l’avais rencontré la veille et qu’il était reparti dans sa famille.
Pour me faire plaisir, elle alla se changer. Je bandais comme un fou. Un peu avant 15H00, je demandais expressément à Sophie si elle avait lavé mes affaires de travail, sa réponse fut négative et elle se dirigea vers la lingerie, je jubilais, après quelques instants je la rejoignais dans la lingerie.
Elle était à quatre pattes devant la machine. Aussitôt, je me mis à la caresser. Tout en continuant de charger la machine sans se soustraire, elle me traita de cochon. J’entrepris de saisir un torchon dans le bac de linge, aussitôt j’en fis un bandeau avec lequel je lui couvris les yeux. Sophie se laissa faire, je me relevais en lui demandant de ne pas bouger et le sang battant dans ma tête, je me dirigeais vers la porte de service.
En l’ouvrant, je vis notre locataire, lui faisant signe de ne faire aucun bruit, je l’invitais à me suivre. Un petit coup d’œil discret dans la lingerie me confirma que Sophie n’avait pas bougé, et là, chose que je n’aurais jamais pensé au plus profond de mes phantasmes, je me vis faire signe au petit jeune qu’il pouvait y aller.
De suite il se libéra de ses vêtements et là je vis qu’il était bien doté par la nature. Son sexe était un peu plus long que le mien mais nettement plus gros et plus nervuré. Il se positionna derrière Sophie et joua à le faire aller de bas en haut en prenant bien soin à chaque passage d’exciter son petit clitoris.
En peu de temps, la respiration de ma petite femme s’accéléra et donnant des coups de bassin en arrière me demandant de la prendre, il ne s’en priva pas et doucement, il pénétra ma moitié. Lorsqu’il fut au fond, il commença à la pistonner doucement puis accéléra. Sophie était aux anges. Elle fit la remarque que j’étais un gros salaud car j’étais drôlement excité, elle avait la sensation que j’étais plus en forme que d’habitude.
Excité, je l’étais et j’avais sorti mon sexe que je masturbais devant ce spectacle incroyable. Je m’approchais de notre locataire pour pouvoir donner le change avec ma voix pour ne pas la faire douter et je la traitais de salope, et de toutes sortes de mots qui déclenchèrent son premier orgasme.
Notre locataire augmenta encore la cadence. J’étais stupéfait de le voir tenir ainsi. Car souvent, après avoir fait jouir ma femme, je prends mon plaisir et ça s’arrête. Mais là, il entreprit de se saisir de ses seins tout en la pistonnant profondément. Il jouait avec ses tétons, puis voyant le plaisir monter à nouveau, les pinça. Ce qui déclencha un nouvel orgasme bruyant, il venait de faire jouir ma femme deux fois en peu de temps et il continuait toujours à la pénétrer. Il ralentit le rythme mais il la pénétrait totalement.
A chaque fois qu’il était au fond, j’entendais un petit feulement sortir de la bouche de Sophie. Puis je le vis humecter son doigt puis venir flatter sa rondelle. Il appuya doucement et son doigt entra dans son fondement. Elle me traita à nouveau de salaud et sa respiration s’activa de nouveau. Il retira son doigt qui fut remplacé par son sexe. Doucement il poussa, je vis la tête rentrer puis le reste suivi. Petit à petit, son sexe pris possession de son cul. Sophie respirait de plus en plus vite. Le locataire commença doucement puis activa la cadence, j’étais en transe, au bord de l’éjaculation.
Sans réfléchir, je me mis devant Sophie et lui retirait son bandeau. Elle comprit tout de suite qu’il y avait une anomalie, car quelqu’un était toujours en elle et j’étais devant son visage. Jetant un coup d’œil à l’arrière, elle me demanda de le faire arrêter car il avait l’âge de notre fils. Mais moi trop excité, je la traitais de salope car elle avait joui déjà deux fois et qu’elle s’en prenait plein le cul. Le locataire accéléra la cadence, ce qui déclencha des spasmes chez Sophie, je vis ses yeux se révulser et dans un râle profond elle monta au septième ciel, je me soulageais sur son visage et dans ses cheveux.
Le soir pendant tout le repas, le regard de Sophie me fuyait. Au lit, je me mis à la caresser et doucement je revins sur l’aventure de cet après- midi. A lui rappeler ses aventures, je me rendis compte qu’elle mouillait beaucoup, plus que d’habitude et la traitant de grosse salope, qu’elle s’était livrée a un petit jeune les yeux bandés, elle jouis presque aussitôt sous mes doigts. M’étant excité moi- même, j’entrepris de la pénétrer aussitôt. Je la traitais de tous les noms et je voyais que cela lui faisait de l’effet.
Je l’obligeais à dire tout haut qu’elle était une grosse salope en manque et docilement, elle le répéta, plus fort
- Je suis une grosse salope en manque
- Plus fort
- Je suis une grosse salope en manque
J’étais excité au plus haut point, le rideau de la chambre était entrebâillé et après avoir crié comme ça notre locataire qui était je suis sûr, devant la fenêtre pouvait savoir qu’il avait une grosse salope comme propriétaire. Sentant son plaisir monter, je dis tout haut que j’allais livrer ma petite bonne le mercredi après- midi en guêpière pour faire le ménage. J’obligeais Sophie à accepter et a répéter tout haut ce qu’elle allait faire le mercredi après- midi quand le locataire n’a pas cours.
- Je serais sa petite bonne, le mercredi après- midi, je serais sa soubrette, je ferais son ménage et plus s’il veut
- Plus fort
- Je serais sa chose
Et dans un spasme profond, elle s’effondra sur le lit, pendant que je me vidais en elle.
J’attendis le mercredi soir avec impatience. En rentrant, en voyant les cernes sous ses yeux, il ne fallait pas être dupe pour voir que Sophie avait fait l’amour fortement.
Au lit, elle m’avoua que le locataire lui avait demandé de lui faire un strip- tease, puis elle avait dû lui faire une fellation à genou devant le fauteuil pendant qu’il regardait la télé.
Puis il l’avait prise pratiquement dans toutes les positions possibles, c’était un amant formidable et de plus bien monté, il avait pris un ascendant sur elle car il avait bien compris que pour la faire jouir plusieurs fois, il l’avilissait en la traitant de salope, d’exhibitionniste, qu’il lui en fallait de la queue a un folle du cul comme ça.
Tous ces mots dans sa tête la rendaient encore plus accessible. Il lui a même dit que le mercredi suivant, il allait lui faire une surprise et qu’elle devrait venir avec sa guêpière. J’étais excité, mes plus gros phantasmes se réalisaient.
Le mercredi suivant, j’étais encore plus excité que la semaine précédente et en franchissant le seuil, je fus étonné de ne pas voir Sophie. Après un moment d’inquiétude, je finis par la retrouver endormie dans notre lit, les cheveux en bataille, elle portait encore sa guêpière, son visage était ainsi que ses cheveux maculés de sperme. Le lit était défait. Sur la table de nuit gisaient les vibromasseurs avec lesquels nous jouons de temps en temps, je compris vite la situation. Elle avait fait ça dans notre lit conjugal. Je la réveillais doucement et dès qu’elle me vit, elle se mit à pleurer. Au bout de quelques minutes après s’être calmée un peu, elle me raconta avec une voix tremblante son après- midi.
‘’ Comme convenu, elle était chez le locataire en guêpière. Comme la semaine précédente, il avait pris possession de son corps quand elle entendit taper à la porte. Avec un large sourire, il lui dit que c’était la surprise. Affolée, elle se cacha dans la douche, la porte du studio s’ouvra et elle entendit distinctement deux voix inconnues, elle était paniquée, une des voix demanda si la petite soubrette était là. Le locataire pris les devants en leur disant de payer avant de s’amuser et elle entendit des bruissements de billets. Le salaud, il était en train de se faire payer et allait la livrer à des inconnus. La porte de la salle de bain s’ouvrit et la prenant par le bras tout en lui disant qu’une grosse cochonne comme elle, allait connaitre l’extase en devenant la chose de trois hommes. Arrivée devant les deux autres garçons, qui étaient à peu près du même âge que le locataire, un silence pesant, tomba. Leurs yeux étaient fixés sur moi et un sourire malicieux apparaissait sur leurs visages.
Tout à coup, six mains prirent possession de mon corps, une main était déjà entre mes cuisses, d’autres me caressaient les seins en étirant mes tétons, pendant que d’autres me caressaient le corps et me flattaient le cul. La sensation d’être caressée ainsi m’amena aussitôt a l’orgasme, une grande satisfaction se lisait sur leurs visages.
L’un des garçons félicita même notre locataire d’avoir déniché une grosse vicieuse. Les mots résonnaient dans ma tête et me stimulaient encore plus. Puis ce fut la curée, je fus prise dans toutes les positions, dès que l’un avait pris son plaisir, un autre le remplaçait, elle ne pouvait même plus dire le nombre de fois qu’elle avait jouie.
A un moment, l’un des deux inconnus me demanda si j’avais un caméscope. Devant ma réponse positive, ravi, il proposa à ses amis de faire un film. Il me demanda d’aller le chercher. Le deuxième proposa de me suivre et c’est ainsi qu’ils débarquèrent dans notre chambre. Je fus filmée sous toutes les coutures même qu’à un moment ils posèrent le caméscope sur la table de nuit en direction du lit et ils me prirent à trois en même temps. L’un me sodomisait, l’autre me pénétrait par devant et j’avais le troisième en bouche.
D’être ainsi à leurs merci je m’effondrais en jouissant très profondément, après un des deux plus curieux, informa ses camarades qu’une salope de mon genre devait avoir ses petits gadgets cachés quelque part et en fouillant, il découvrit la boite ou je mets mes vibromasseurs, ils m’obligèrent à me pénétrer avec l’un pendant qu’un des gars me sodomisait avec un autre. Le deuxième gars n’en perdait pas une miette en me filmant en gros plan et quand j’entendis le locataire dire qu’il allait mettre la vidéo sur un site porno en proposant mes services à des vieux vicieux près à payer pour s’offrir une grosse salope, je sentais monter le plaisir à grand pas.
Le locataire m’obligea même à dire devant la caméra que j’étais une femme gourmande et disponible avec de gros besoins et que je savais satisfaire tous les vices. Le fait de le répéter devant l’objectif, un pied merveilleux me tétanisa et j’explosais bruyamment.
Aussitôt, les trois compères excités, me reprirent dans toutes les positions et se soulagèrent sur mon visage et dans mes cheveux. C’est ainsi que tu m’as retrouvé. ‘’
J’étais furieux de ce qui venait de se passer mais en même temps super excité, car son histoire m’avait tellement stimulé que j’avais éjaculé dans mon slip sans me toucher.
J’ai revu mon locataire et il m’a fait des éloges sur ma femme et gonflé, il m’a proposé de partir un weekend avec Sophie car suite à sa vidéo qu’il a posté sur le net, il avait reçu énormément de propositions dont une pour ce weekend, pour offrir ma femme a un homme de soixante ans qui lui a proposé de l’argent, il eut même le culot de me proposer de partager avec moi si j’étais d’accord.
Il me laisse jusqu’à demain pour lui donner une réponse. Je suis tiraillé entre deux choses. L’une, virer ce petit goujat et l’autre pervertir cette petite Sophie, qui je le reconnais devient bien plus gourmande, mais est ce que mon couple résistera a ces dérives ?
Jacques

Mélanie
Je m’appelle Mélanie, j’ai 18 ans et ma mère Sylvie a 34 ans, elle m’a eu à 16 ans et comme déjà elle avait plusieurs copains, je ne sais pas qui est mon père. Nous vivons dans la banlieue nord- est de Paris, dans un petit immeuble à la Courneuve, ma mère travaille comme caissière dans un supermarché et moi je vais passer mon Bac au mois de Juin.
J’ai un copain qui s’appelle Mouloud, qui est au chômage et passe sa journée à traîner dans la cité. Quand je rentre du lycée, les copains de Mouloud sont toujours dans l’entrée de l’immeuble et à mon passage, se caressent la queue à travers leurs jeans pour me faire comprendre qu’un jour ils me baiseront. Ça m’amuse, mais ils me laissent tranquille parce que je baise avec leur chef de bande.
Souvent, Mouloud m’attend à la maison et sans attendre, il sort son énorme queue que je prends tout de suite dans ma bouche, il me déshabille pour me baiser ou m’enculer quand j’ai mes règles et j’aime sentir sa grosse queue en moi, elle rentre sans difficultés car je mouille beaucoup.
A chaque fois, je prends mon pied, et je jouis très fort, je raconte l’attitude de ses copains sur mon passage et je lui dis que si il me trompe, je me fais baiser par tous tes copains qui ne demandent que cela.
La nuit, quand je ne dors pas, j’entends des bruits venant de la chambre de ma mère et souvent ils ne sont pas que deux, elle aime jouir de tous ses trous et je me masturbe en imaginant ses nuits agitées.
Un soir, alors que je rentre du lycée un peu plus tôt que prévu, les copains de Mouloud me disent en se caressant la bite: « Ne monte pas, Mouloud est entrain de niquer ta mère, viens avec nous dans la cave, on va te baiser et tu vas jouir avec nos cinq grosses bites », sans les écouter, je monte chez moi et en entrant, je vois ma mère dans le salon, en train de faire une pipe à Mouloud. Je jette mes affaires par terre et redescend de suite. Arrivée dans le hall, je prends l’escalier de la cave, suivi par les cinq copains de Mouloud.
Je me dirige vers la cave, ou ils ont l’habitude de baiser leurs copines et sans attendre, je me déshabille et commence par sucer leurs grosses queues. Mouloud, suivi de ma mère arrivent pour m’empêcher de me faire baiser à la chaîne, mais c’est trop tard, j’avais les jambes écartées et déjà une bite dans ma chatte et une autre dans la bouche, je dis à Mouloud, dans une tournante, le mec de la nana passe en premier et bien aujourd’hui tu passes le dernier et tu baises ma mère en attendant.
Tous ses copains me baisent et m’enculent, puis ils prirent ma mère par tous ses trous et apparemment elle connaissait déjà toutes ces bites, elle avait déjà baisée avec tous les copains de Mouloud.
A chaque nouvelle queue dans ma chatte ou dans mon cul, je jouis très fort et j’envoie un jet de mouille à chaque fois. Mes amants me disent: « Tu es aussi salope que ta mère et on va te faire baiser par tous les hommes de l’immeuble comme elle le fait ».
Pendant plus de deux heures, nous nous faisons défoncer la chatte et le cul, nous avalons le sperme à chaque fois que cela était possible. Mouloud nous dit que maintenant, nous allons travailler pour lui, que nous serons ses putes et que c’est lui qui décidera avec quels hommes ont baisera.
Pour ma mère, cela n’avait pas d’importance, car depuis quelques mois, elle baisait avec un peu n’importe qui en échange de quelques billets.
Tous les soirs, en rentrant du lycée, Mouloud, comme avant m’attend pour me baiser, quelquefois, avant de rentrer chez moi, je fais un petit détour par la cave pour me prendre deux ou trois bites afin de me mettre en forme et quand j’arrivais à la maison, Mouloud, en m’attendant se fait faire une petite pipe par ma mère.
Mouloud nous amène souvent des hommes d’âge mur afin qu’ils nous baisent, le plus souvent, ils nous baisent toutes les deux, mais ils préfèrent que maman les suce et après, quand ils bandent bien ils m’enculent.
Ils jouissent dans mon petit trou et je sens leur foutre chaud envahir mon cul. Comme ils nous laissent toujours sur notre faim, Mouloud fait monter un ou deux copains pour nous finir et nous prenons un super pied avec leur grosses queues, qu’ils nous mettent partout où nous voulons, plutôt ou Mouloud veut, nous sommes vraiment devenus ses putes ( e trottoir ne va pas tarder)
Régulièrement, nous descendons à la cave, pour nous faire baiser par cinq ou six mecs, quelquefois par ses copains, mais souvent par des inconnus, ce qui dérange ni ma mère, ni moi.
Souvent, le soir, Mouloud nous emmène dans un sexe shop, pour faire des pipes aux clients qui regardent des films pornos et nous ramène chez nous pour nous faire baiser par ses copains.
Nous ne dormons pas souvent, car les mecs, avec de grosses queues sont dans notre lit et pendant que nous baisons, Mouloud se masturbe et envoi son sperme sur le visage de ma mère ou sur le mien.
Mouloud nous a fait connaître toutes les humiliations qu’un homme peut faire subir à une femme, nous avons même du, sur son ordre, se gouiner ensemble, en position de 69, nous nous léchons jusqu’à l’une envoie un jet de mouille au visage de l’autre et après, une fois nos chattes bien mouillées, nous enfile à défaut de bite, un gros gode pour bien nous défoncer.
Hier soir, Mouloud, nous a prévenues que demain il nous fera baiser avec un berger allemand avec une énorme queue et que nous devrons nous laisser verrouiller, afin qu’il puisse bien se vider en nous et qu’un chien, c’est infatigable.
Ma mère et moi, nous n’avons pas dormi de la nuit et c’est pour ce soir.
Mouloud arrive vers 20 heures, avec un copain que nous ne connaissons pas avec un beau chien, son copain nous demande de quitter notre jupe, mais de garder le haut, puis de caresser son chien entre les pattes arrière et nous voyons sortir de son fourreau de poil, une queue dure et toute rouge, nous caressons cette chose, qui ne ressemble pas à celle d’un homme, mais qui est plus grosse que celle que l’on connait et surtout une grosse boule à sa base.
Le copain de Mouloud nous explique que cette boule entre dans le vagin et grossi à peu près du double pour ne pas pouvoir se retirer afin de prendre toute sa semence et que nous jouirons comme jamais et que son chien est capable de recommencer autant de fois de nous le désirons.
Mouloud prépare notre chatte en nous léchant, pendant que son copain enfile des chaussettes au chien afin que celui- ci ne nous griffe pas. Je suis désigné pour être la première, mouloud me fait mettre à quatre pattes, comme pour un levrette et je sens le chien venir sur moi, il trouve ma chatte tout seul, ce n’est pas son premier coup d’essai.
Dans un va et vient rapide, je senti sa queue devenir de plus en plus grosse et les parois de mon vagin semblaient devoir exploser quand le berger allemand entre son nœud en moi, mais celui- ci se dilate et je me retrouve verrouiller au chien qui déverse en moi une quantité de sperme incroyable (5 ou 6 fois plus qu’un homme) et jamais je n’ai autant jouis.
Au bout de quelques minutes, sa boule dégonfle et se retire de moi et vient me lécher comme pour faire ma toilette, sa langue râpeuse me fait jouir à nouveau. Ma mère pendant ce temps s’est préparé la chatte avec son gode et comme elle m’a vu jouir intensément, attend son tour avec impatience.
Mouloud la fait mettre à quatre pattes et présente la queue du chien devant sa grotte, comme pour moi, il introduit sa queue en elle et, de toute sa vie, n’a jamais tant joui.
De mon côté, je fais une pipe en avalant tout, à son copain pour le remercier qu’un si grand bonheur.
Nous nous quittons, et Mouloud nous dit qu’il va nous faire essayer tous les chiens de l’immeuble, et que nous devrons entraîner dans notre perversité toutes les femmes et filles de la cité dans nos jeux afin que toutes les femmes deviennent ses soumises.
La cave a été visitée par beaucoup de voisines et voisins, et Mouloud et sa bande en ont bien profité. Maintenant, nous baisons tous ensemble, femmes, filles, maris, garçons et nous nous entendons tous bien, il n’y a plus de disputes dans l’immeuble et pour ma mère et moi, la prostitution c’est finie puisque les maris et les femmes baisent ensemble et le savent.
Depuis quelques temps, les chiens viennent roder au pied de l’immeuble, est ce que le bouche à oreille existe aussi chez eux?
Bientôt, les chiens n’aboieront plus la nuit.

Obéir... Obéir... Toujours obéir.

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Voilà un bon maître qui sait ordonner
et se faire respecter.
Par expérience je peux confirmer
que tout dépend du maître.



Hommage aux culs avec un grand Q..!

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Rien de plus beau qu'un cul.
De mec  ou de nana... Offert ou ouvert...
Neuf ou usagé...Fermé ou éclaté.
Vide ou occupé!















Les brèves du net.

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Deux petits textes superbes.
A déguster.


Contrôle technique
Auteur :Erasmus 31
Notre conversation téléphonique avait débuté ainsi :
- Allo, oui ?
- Mon cœur, il faut absolument faire le contrôle technique de la voiture, nous sommes en retard.
- Oui, tu veux que je m’en occupe ?
- Oui, j’ai trouvé un petit garage a côté de mon travail où ils font ça très bien. Il s’occupe de tout… du contrôle approfondi, refaire les niveaux, et des réparations si nécessaire. J’y suis passé tout à l’heure, et ils peuvent te *prendre* en fin de journée, avant la fermeture, vers 18:00. Ils sont trois garçons biens sous tous les rapports, et semblent prêts à se mettre en quatre pour satisfaire la clientèle féminine. Ils proposent même un forfait complet qui devrait te convenir.
- Parfait, je suis disponible, et prête, comme toujours. Je me ferai un plaisir de ce checkup
- Je leur ai dit de bien tout vérifier, de ne rien laisser au hasard, que tu étais exigeante mais que tu savais aussi remercier les employés dévoués.
- Oui, bien sûr, je me ferai un plaisir de les mettre à l’aise… et qui sait ?…
- Vas- y légèrement habillé, il fait chaud… et je te fais confiance pour les mettre à l’aise et les chauffer un peu si ça te dit. Je passerai vers 18:30 en sortant du travail voir si tout va bien, nous rentrerons ensemble ensuite.
- Peux- tu me donner l’adresse, je vais me préparer.
- Oui, c’est ici… à tout à l’heure mon cœur. Amuse- toi bien ! je te rejoins dès que j’ai terminé au bureau.
Anne- Lise raccroche le téléphone, non sans un léger doute sur ce contrôle technique. Christian lui prépare régulièrement des surprises, ou elle finit avec du foutre qui dégouline de tous ses orifices… Rien que l’idée l’excite et elle sourit en allant se préparer.
Il est déjà 17:00, et elle se dirige vers sa garde- robe pour choisir une tenue appropriée. Il fait déjà chaud en ce mois de mai, et elle opte pour une petite robe bien décolletée, moulante et courte qui met bien en valeur ses courbes généreuse. String ou pas ? Elle décide de ne pas en mettre. Elle aime être nue sous sa robe, et se sentir prête à être prise sans retenue, par le premier venu. Une paire de talons hauts qui accentue sa cambrure, un peu de maquillage, et elle est prête.
Elle sort de l’appartement, et commence à gamberger sur ce qui l’attend ou pas… peut être rien in fine. Qui sait, elle se fait peut être des idées, mais les idées qui lui traversent maintenant la tête commence à l’échauffer et elle sent son sexe qui commence à mouiller.
Elle se dit que de toutes façons, ça ne coûte rien d’essayer, elle va les chauffer un peu voir s’ils sont prêts à la satisfaire comme elle aime. Elle monte dans la voiture, et se dirige vers le garage ou Christian a pris rendez- vous pour la voiture… et pour elle.
Elle y arrive en quelques minutes, et entre avec sa voiture à l’intérieur. Elle remarque immédiatement les trois hommes qui travaille là, ils sont tous les trois en bleu de travail, occupés chacun sur une voiture. Elle stoppe son véhicule, et l’un des hommes charmants qui semble être le responsable se dirige vers elle. Elle baisse sa vitre, et s’adresse à lui.
- Bonsoir, mon mari est passé ce matin et a pris rendez- vous pour un contrôle technique.
- Oui oui, nous sommes au courant, il a pris l’option " checkup complet " et doit nous rejoindre d’ici une demi- heure. " dit- il en lui ouvrant la portière.
" Hum, checkup complet, ça s’annonce bien. Je vais le tester un peu. " pense- t- elle.
Elle sort doucement de la voiture, et en se tournant vers lui elle écarte et lève suffisamment sa jambe gauche pour qu’il puisse remarquer qu’elle ne porte pas de culotte. Elle feint de chercher une bricole dans le vide poche de la portière afin de rester dans cette position quelques secondes de plus. Les yeux de l’homme n’ont rien manqué de la vue de sa chatte lisse et de ses lèvres rose et déjà humide… il sourit…
En sortant de la voiture elle lui demande :
- Checkup complet, donc… Ça consiste en quoi ?
- Nous en avons parlé avec votre mari ce matin. Il nous a donné carte blanche. Nous allons faire le tour de la voiture ensemble, et voir les problèmes que vous avez pu rencontrer… mes assistants se feront un plaisir de se joindre à nous si nécessaire.
" hum… trois professionnels pour moi toute seule " pense- t- elle… " J’adore cette configuration… "
Il monte dans la voiture, et s’assied au volant en faisant semblant de vérifier les commandes. Elle s’appuie alors à la fenêtre ouverte, et sa poitrine généreuse qui peine à rester dans son décolleté est juste devant ses yeux. De plus, penchée de la sorte, les deux autres garagistes peuvent déjà de loin admirer ses jambes et le bas de ses fesses cambrées qui apparaissent juste sous la robe qui est remontée légèrement lorsqu’elle s’est penchée.
Elle se doute bien qu’ils ne perdent rien de la vue qui leur ai offerte, et balance légèrement son cul de gauche à droite… comme un appât qu’elle agiterait devant eux pour bien les exciter et les inviter à s’approcher. Elle lui demande :
- Quel genre de problème voulez- vous que je vous rapporte ? "
Sans quitter son regard, même s’il peine à ne pas regarder ses seins, il répond.
- Nous travaillons vraiment sur le véhicule *et* son conducteur à la fois… votre confort bien sûr, la carrosserie, les problèmes de lubrification, le parallélisme, mais aussi les joints, les fuites éventuelles, ou les problèmes d’échappement… n’hésitez pas à nous signaler tous problèmes.
- Bien, bien, je ne suis pas très technique, mais faisons le tour ensemble, nous verrons bien…
Elle se relève, et entend l’un des deux autres garagistes fermer le volet d’entrée du garage… C’est l’heure de la fermeture officielle, ils sont maintenant seuls : elle et ces trois hommes plutôt charmants.
L’homme au volant ressort du véhicule, alors que les deux autres mécanos se sont approchés. Elle se dirige vers l’arrière de la voiture en balançant bien les fesses qui restent encore légèrement visibles puisqu’elle a bien pris soin de ne pas redescendre sa robe moulante après s’être relevée.
Elle se retourne pour constater que les trois hommes regardaient bien son cul avec envie et s’accroupit face à eux, à côté de l’échappement et écartant légèrement les jambes elle reprend
- Il y a peut- être un problème d’échappement, il arrive que la voiture au démarrage fume un peu.
Chacun d’eux regarde entre ses jambes avec une envie non dissimulée sa chatte humide. L’un d’eux ne peut s’empêcher de passer sa main sur son sexe qui se durcit sous son bleu de travail. Un autre a une main dans la poche, et clairement, il caresse son sexe qu’elle devine déjà bandé derrière l’étoffe. Elle se relève doucement, satisfaite de l’effet produit… et poursuit son tour.
- La carrosserie a légèrement été enfoncée là par un conducteur qui manquait de douceur et de doigté… "
Elle se penche alors de nouveau pour montrer un choc léger sur l’aile arrière.
L’un d’eux pose alors la main sur sa hanche, et lui caresse les fesses sur sa robe.
- Oui, il faut du doigté et de la douceur, mais ça ne semble pas être trop grave. " dit il en appréciant les courbes sous sa main.
L’un d’eux s’approche d’elle, et en lui indiquant son bas ventre ou un renflement est clairement visible, lui dit :
- Vous voyez, en carrosserie, il y a parfois des bosses ou des creux, mais nous savons comment les résorber rapidement…
Elle passe alors sa main sur la bosse que l’homme lui montre et sent clairement le sexe de l’homme bien bandé, et prêt à la saillir.
- Oui, c’est une belle bosse que vous avez là, je pense qu’il va falloir faire quelque chose. " dit- elle en souriant.
Tout en restant légèrement penchée, elle leur demande :
- Est ce que l’un de vous messieurs peut ouvrir le capot moteur ? J’aimerais vous montrer quelque chose…
L’un d’eux se dirige vers l’intérieur de la voiture pour actionner l’ouverture, mais celui qui caressait sa hanche fait une toute interprétation de sa demande, et glisse maintenant une main sous sa jupe qu’il relève et commence à caresser doucement ses fesses, en glissant son doigt dans la raie de son cul… C’est bien à cela qu’elle pensait en voulant leur montrer *son* moteur… Elle le laisse faire et se penche sur l’avant de la voiture qui a maintenant le capot ouvert…
La main de l’homme se fait plus insistante, et afin de lui faciliter la tâche et l’accès à sa chatte, elle écarte légèrement les jambes, tout en gémissant de plaisir.
- Pour le moteur, vous avez constaté des problèmes particuliers, lubrification, fuites ? " demande l’un des hommes.
Celui qui lui caresse maintenant l’entrejambe reprend :
- Le moteur semble sain, peut- être quelques traces de liquide là à vérifier. " tout en glissant un puis deux doigts sans sa chatte qui est maintenant gonflée et de plus en plus chaude.
Toujours penchée sur l’avant de la voiture… elle reprend :
- Oui parfois des difficultés peut- être de lubrification lorsque le moteur est froid, mais cela passe en général assez vite.
- Nous avons une solution pour chauffer le moteur plus rapidement… c’est vraiment une question d’outillage
Et alors que l’homme derrière la caresse de façon de plus en plus insistante, en glissant plusieurs doigts entre ses lèvres et parfois en appuyant sur son anus encore sec, les deux autres ouvrent leur bleu de travail et laisse apparaitre deux superbes queues.
- Ah oui ! quels beaux outils… vous avez là Messieurs, vous permettez ? "
Et sans même attendre une réponse qu’elle sait positive, elle les saisit, et les caresse doucement. Les deux queues se bandent et se durcissent sous ses caresses.
- Vous pensez que cela permet une chauffe plus rapide ? " demande- t- elle avec une fausse naïveté malicieuse.
- Oui, prenez les dans la bouche, vous allez voir…
Et il accompagne le geste à la parole, et l’un d’eux lui enfile sa queue dans la bouche, elle le prend sans rechigner et commence a le pomper avec plaisir.
L’homme qui lui caressait les fesses s’est maintenant mis sur une de ces planches à roulette qui permettent de se glisser sous les véhicules. Il vient se positionner sous elle, comme s’il voulait faire une inspection par dessous et peut admirer la vue qui s’offre à lui.
- Accroupissez- vous que je vérifie bien les joints.
Elle ne se fait pas prier, et s’accroupie en venant poser sa chatte sur la bouche de l’homme dont elle sent immédiatement la langue qui commence à la lécher le con et le cul… Suivant son désir, elle se déplace d’avant en arrière afin de lui offrir l’orifice qu’elle désire lui voir inspecter de sa langue agile. Il finit sa besogne, et se relève… Elle se relève aussi, mais sans lâcher les deux sexes, qu’elle pompe et branle à tour de rôle.
Alors qu’elle ne s’y attendait pas, toute concentrée sur ses deux queux qui lui sont si aimablement offertes, le troisième s’est maintenant positionné derrière elle, baissée sa braguette, et vient poser son gland sur la chatte qu’il lui enfile sans prévenir.
Elle sent sa bite qui entre en elle, et vient en un seul coup se loger bien au fond. Il l’a tellement bien léché que toute « fausse » résistance serait futile.
- Wouah, quelle belle queue vous m’enfilez là… " dit- elle en se tournant vers lui sans lâcher les deux autres dressées devant elle.
- Pas de problème de lubrification particulier… " répond l’homme en allant et venant doucement mais longuement dans son con… Peut être sur l’échappement, mais nous allons voir ça tout a l’heure. " dit il en appuyant avec son doigt sur son anus qui quoique déjà humide de sa salive reste plus serré, et résiste encore….
" Mais pour combien de temps ?… " pense- t- elle avec délice.
Ils la prennent ainsi à tour de rôle, lui caressant les fesses et les seins, sa robe étant maintenant complètement relevée pour découvrir ses fesses et abaissée pour dégager ses seins généreux.
Chacun l’enfile assez directement, sans ménagement, pendant que les deux autres se positionnent face à elle pour qu’elle les branle et les suce à tour de rôle. Elle sent le goût de sa mouille sur leur queue, et n’en perd pas une goutte.
- Voyons voir l’intérieur du véhicule " dit l’un d’eux.
- Oui, la banquette intérieure a tendance à grincer " dit- elle avec malice.
Ils la relèvent aimables et l’emmènent dans la voiture. Ils la positionnent alors de telle façon qu’elle se retrouve à quatre pattes sur la banquette arrière, de telle sorte que son cul est offert d’un côté, et sa tête de l’autre…
Ils la reprennent de nouveau en levrette, d’un côté, pendant que les autres se font sucer et branler de l’autre, a tour de rôle, commentant par- dessus le toit de la voiture sur leur piston qui lui ramone bien le cylindre…
L’un d’eux revient devant, et referme le capot moteur…
- Venez par ici de nouveau. " dit- il en lui tendant le bras.
Il la positionne devant une aile, face à la voiture.
- Penchez- vous bien en avant sur le capot… nous allons vérifier cet échappement… qui est souvent l’un des points les plus délicat.
Elle se doute bien de quoi il parle, et sans se faire prier se penche sur le capot, et lui tient même ses deux superbes fesses bien écartées, leur offrant la vue de sa chatte maintenant dégoulinante, et juste au- dessus son trou du cul qui n’attend plus que de se faire enfiler à son tour.
- Allez y messieurs, j’adore bien me faire ouvrir le cul, et me le faire remplir de foutre.
L’un des homme vient alors poser sa bouche sur sa fleur de rose, et inspecte son anus avec sa langue. Elle gémit de nouveau, et rapidement un sexe vient étouffer ses petits cris en se fichant avec des vas et vient dans sa bouche.
L’homme derrière se relève et sort une bouteille de lubrifiant de sa poche, et en mets sur son doigts et sur son anus. Doucement, il insère un index dans son cul, tout en enfonçant les trois autres doigts dans sa chatte dégoulinante…
- Petit problème de lubrification ici. Bien humide devant, mais un peu sec derrière. Classique.
Il ajoute du lubrifiant, et doucement, il lui met le doigt complètement dans le cul, il masse son anus, en l’élargissant, il ajoute copieusement du lubrifiant et poursuit son exploration.
Elle gémit sourdement en suçant l’une après l’autre les queues qui se sont mises devant elle.
- Un peu de calamine dans ce pot… il va falloir le ramoner un peu. La routine…
Il vient alors la caler sur le capot, les deux autres hommes l’immobilise et lui tienne maintenant les fesses bien écartées. Elle se sent offerte, sans défense, mais excitée de cette position. Soudain elle sent le sexe de l’homme qui entre profondément et sans difficulté dans son con déjà bien ouvert.
- C’est un problème de gestion de lubrifiant, on prend un peu de lubrifiant ici, pour entrer ensuite là
Et disant ça, il se retire humide de son con et pose son gland mouillé sur son anus, qu’il pénètre doucement mais surement. Elle gémit de plus en plus fort, mais apprécie sa douceur et sa progression par petites touches, mais sans retenue, elle sent quand le gland y est totalement, à ce renflement caractéristique qu’il a franchi son muscle anal.
Apres quelques vas et viens, il est bien dans la place, complètement au fond et commence à lui ramoner maintenant le cul avec de longs coups de rein. Son sexe y pénètre complètement, aidé en cela par ses fesses tenues bien écartées par ses collègue. Elle sent même ses couilles qui viennent taper sa chatte en rythme, lui indiquant qu’il est bien au fond.
Elle le sent qui grossit, et se raidit de plus en plus, il vient d’un seul coup en poussant un râle de soulagement, sans prévenir, et elle sent le foutre gicler en trois fois bien au fond de son cul:
- Voilà, une bonne giclée, rien de tel pour lubrifier et décalaminer un cul comme celui la… Il est tellement beau, que ça serait bête de ne pas bien l’entretenir… Je suis sûr que votre mari va apprécier. Mais il est préférable de s’y mettre à plusieurs, à vous messieurs… " dit il en se retirant, la queue toujours dure, mais humide de foutre.
- Allons sur le canapé de la salle d’attente " dis l’un d’eux. Votre mari ne devrait pas tarder à arriver, et pouvoir profiter du spectacle.
Ils la relèvent et l’emmènent chancelante là où les clients attendent normalement que leur voiture soit prête. L’un des hommes s’assoie sur le canapé, et les deux autres la positionne pour qu’elle vienne s’assoir dos au premier, en s’empalant le con sur son sexe bien raide. Elle fait quelques vas et vient de la sorte, et sans qu’on ne le lui demande, elle se relève légèrement et vient glisser le sexe qu’elle saisit d’une main, dans son cul, en s’asseyant dessus.
- Hum… le foutre que j’ai dans le cul devrait permettre de bien me pénétrer sans problème… j’adore chevaucher une belle queue de la sorte… " dit- elle en s’empalant et en faisant disparaître complètement le sexe dans son cul. Elle reste la, assise, et ajoute :
- Mais ce que j’adore le plus c’est qu’un autre vienne me prendre devant en même temps.
Le troisième homme ne se fait pas prier, et se mettant face a elle, enfile sans difficulté son con dégoulinant. Elle a maintenant une queue dans chacun de ses orifices et pousse des râles a chaque coup de rein des hommes.
Au bout de quelques minutes, l’homme face à elle se relève, et s’allonge sur le canapé, elle se relève aussi et vient s’empaler de face sur son sexe, guidée par l’homme qui a déjà joui dans son cul.
Celui qui était assis jusqu’alors se relève et vient maintenant se positionner derrière pour lui reprendre de nouveau le cul. Le troisième dont le sexe a repris une belle rigidité vient lui se mettre devant elle et le lui donne a sucer.
Emplie par ses trois orifices, elles sent ces trois sexes qui vont et viennent en elle. Doucement, et profondément. Quel plaisir de se sentir bien prise et bien pleine.
La sonnette retenti, l’homme devant elle va ouvrir à Christian apparaît.
- Bonsoir Messieurs, bonsoir mon cœur, je vois que tu es bien occupée, que tu te fais bien prendre comme une salope. Tu les as bien excité je vois.
- Oui mon cœur, il ne sont pas fait prier pour s’occuper de ta salope, et ils me baisent par tous les trous depuis un bon quart d’heure. Tu vas pouvoir en profiter, regarde les biens.
- Bonsoir, on a presque terminé, si vous voulez venir voir avec nous. " reprend l’un des hommes.
- Avec plaisir, alors ? Votre diagnostic ? Ce checkup ? La voiture, la salope, qu’est- ce qui vous semble aller le mieux ? .
- Ecoutez, tout nous semble normal, cette coquine prend bien, dans tous les trous, et nous allons finir de lui faire un graissage du cul qui est semble- t- il un peu dur au début .
A ce moment- là, l’homme qui la sodomise se raidit et en deux coups de reins lui balance une deuxième giclée généreuse de foutre tiède.
- Voilà pour moi, un graissage en bonne et due forme, offert par la maison. " se félicite- t- il
Il se retire, doucement, et avant que son anus ne se referme, elle sent un peu de foutre qui en sort et coule sur sa chatte.
- Ah oui, je pense que vous lui avez fait le plein là, ça déborde même un peu. Bien bien, je savais que vous sauriez bien vous occuper d’elle. "Vous permettez que je regarde.
- Mais le client est roi, je vous en prie…
Christian baisse son pantalon, et vient présenter son sexe déjà bandé à Anne- Lise qui le suce quelques secondes.
- Pas nécessaire de trop le mouiller mon cœur, ton cul semble être complètement ouvert, et bien gras, je vais aussi te le prendre.
- Oui, Vas- y il me l’ont bien rempli déjà, mais tu sais bien que je n’en ai jamais assez là
Il vient alors se présenter derrière et l’homme allongé qui lui faisait balancer son cul d’avant en arrière, la stoppe pour lui tenir ses fesses bien écartées. On voit son con empalée sur cette belle queue, et son anus ouvert bien rose et bien gras. Christian s’en approche et l’enfile d’un seul coup, sans difficulté.
- Bravo messieurs, elle est parfaitement ouverte et bien graissée, je sens votre foutre qui lui tapisse le cul, et c’est un plaisir de la prendre. Je pense qu’il est temps de terminer cette séance… "
Les deux homme libres ont pris place devant elle, et lui redonne leur sexe a sucer.
Christian et l’homme dessous s’activent maintenant en rythme.
- Alors ma salope, ce checkup te convient ?
- Oui oui… quel plaisir que tu m’aies pris ce rendez- vous pour que je me fasse mettre. Allez y mettez moi tout, vider vous les couilles tous en moi
Et elle les sent tous le deux qui jouissent chacun avec un râle et le foutre qui inonde et se répand dans ses deux orifices, ce qui la fait jouir à son tour de façon violente.
Tout le monde se retire et se relève, calme… repus…
- Bon, je pense que cette petite séance pour ma salope n’était pas du luxe, peut être va- t- on prendre un forfait, ou mieux mon cœur, tu peux passer pour une vérification du niveau d’huile quand tu veux je suis sûr que ces messieurs se feront un plaisir de te refaire le plein des carters. N’est ce pas ?
- Pas de souci, les clientes comme ça sont toujours les bienvenus… à toutes heures.
Anne- Lise réajuste sa robe, et leur sourit…
- Je crois que je vais venir de temps en temps chercher mon mari au travail et je passerai par ici pour une remise a niveau de toutes façons, il va falloir que je repasse pour le contrôle technique de la voiture. J’imagine que vous pouvez vous relayer, l’un de vous s’occupera de la voiture pendant que deux autres s’occuperont de moi… " dit- elle en leur faisant un clin d’œil.
Elle se dirige maintenant avec Christian vers la voiture, et elle sent le foutre qui dégouline doucement de son cul et de son con le long de sa jambe.
- Merci mon cœur de m’avoir offert ce contrôle technique ils sont vraiment très bien ! Tu m’autorises à revenir de temps à autres ?
- Oui, bien sûr, si tu m’appelles que je passe ensuite te prendre, ou bien que tu me racontes tout dans les moindres détails.
Christian et Anne- Lise remontent dans la voiture et partent en saluant les trois hommes qui semblent satisfait de leur travail.



Promotion canapé.
Auteur :Georges
Mireille, une très bonne amie de boulot, qui entre parenthèses est secrétaire de direction, m’a convoquée hier dans son bureau….
- Annie, j’ai quelque chose à te proposer,
- Ha !! Dit toujours … c’est la porte ??
- Hoo !! Non, loin de là !! … C’est ma place …
- ….. Tu plaisante ??
- Pas du tout, voilà en deux mots, je ne suis plus assez rentable, je ne pars pas de la boite, mais on me met sur une voie de garage ….pour faire signer des gros contrats, il faut être attirante, et moi le patron m’a fait comprendre que je ne l’étais plus assez
- Tu plaisante, toi ?? …..
- Hé oui !! C’est la loi de la jungle ! Ceci dit c’est un job en or, il te suffit de savoir jouer de tes charmes, pour aider a la signature d’un contrat, mais, sans toutefois coucher, c’est même interdit, mais après la signature … tu fais comme tu veux !!Tu double, voire même triple ton salaire … tous tes frais sont payés, tu as même une voiture de fonction ….
- Je dois en parler avec Georges mais qui me dit que je serais l’élue ???
- Je suis chargée par le boss de choisir moi- même ma remplaçante, et j’ai tout de suite pensé à toi, tu à de la prestance, tu n’a pas froid aux yeux !! Je te connais !! ill y aura juste un petit casting avec le patron, alors à savoir, pas de pantalon, jupe ou robe courte si tu veux, bas, poitrine suggestive, avec soutien- gorge ou pas ne jamais serrer les genoux, u n’as rien à craindre, il est impuissant, mais il aime bien voir quelque chose de sexy !!
- Et ce serait pour quand ??
- Si tu y es prête, demain matin ….
Le soir à la maison, j’en parle à Georges,
- Évidement, la proposition est alléchante, mais je ne tiens pas a ce que tu fasse la pute pour enrichir ton patron, une feuille de paye en bonne et due forme ok, mais pas de dessous de table , pour le reste je te fais confiance, c’est toi qui voit ….
Le lendemain, je me présente au bureau de Mireille, habillée d’un petit tailleur gris, mi saison, la jupe m’arrive bien au- dessus du genou, j’ai mis des bas autos fixant, un string léger, et pour le haut, la veste de tailleur boutonnée par un seul bouton, sans soutien- gorge.
On le devine aisément vus la profondeur du décolleté !!
- Houa ! Magnifique, je crois qu’il va aimer tu es prête ?? Je l’appelle….voilà, il t’attend bonne chance !!
Je meurs de trouille, je frappe … la voix du gros bonhomme se fait entendre
- Oui ! Entrez !! Ha, c’est vous Annie, c’est donc vous qu’elle a choisie, pour être honnête, je savais que Mireille vous choisirait !!!! Çà vous change de la blouse !!! Mais asseyez- vous, décontractez- vous, ça va aller mon petit.
Je m’assois dans ce large fauteuil, ce qui fait remonter un peu plus ma jupe, mais je me garde bien de tirer dessus !! Il me dévisage longuement sans parler, c’est stressant, ses yeux vont de mes cuisses a mes seins, je ne sais pas quelle contenance avoir, dois- je croiser les jambes, les ouvrir un peu ?
- Faite comme si vous étiez chez vous, laissez- vous aller !!Voilà, j’ai besoin d’une collaboratrice pour m’accompagner lors de rendez- vous avec des clients importants souvent au restaurant, le soir principalement, Mireille vous a déjà expliqué tous les a côtés, vous devez vous montrer agréable avec eux, mais, il n’est pas question de coucher, du moins pendant le travail, après, cela ne regarde pas.
Je commence à me détendre, je finis par croiser les jambes assez haut, il doit voir la lisière de mes bas, peut- être même la bande étroite de mon string. Car son regard ne bouge plus de cet endroit !!!
- Venez à côté de moi, prenez ma place devant l’ordinateur, vous savez vous en servir ??
- Oui, bien sûr monsieur.
- Alors allez- y
En fait c’est pour mater dans mon décolleté, les deux pans de la veste baillent, une partie de mes seins doit lui être visible.
- Vous êtes magnifique, elle a fait le bon choix, levez- vous s’il vous plaît.
Une fois devant lui ses grosses mains cherchent le boutonnage de ma veste.
- Vous permettez ??? N’ayez pas peur
Il ouvre tout simplement le vêtement, et reste en admiration
- Très jolis
Dit il en passant une main sous un sein comme pour en tester la fermeté, puis il remonte vers le téton, qui réagit immédiatement, en même temps qu’un frisson que je connais bien passe entre mes cuisses !!!
- Bien !! Vous êtes engagée sur ce poste !! Après demain, nous avons un diner avec des allemands, le père et le fils, il s’agit d’un gros contrat, s’ils signent, vous avez une belle prime à la clé !!! Passez prendre une avance sur les frais de coiffeur et vêtements, vous êtes libre jusqu’à demain soir Annie.
Le sort en est jeté, je suis à la fois euphorique et inquiète, j’ai employé mon temps à me faire belle, et réviser le contrat.
Le soir fatidique, ma tenue est simple!! Jupe courte, très vaporeuse, bas, mini string, talons hauts, et corsage, un point c’est tout, les seins libres. C’est moi qui suis chargée de convoyer tout le monde avec ma voiture de fonction, une superbe voiture !!!
Déjà, à notre arrivée à leur hôtel, les deux clients restent un moment à me détailler, çà fait sourire le patron. Le père a un bide plein de bières!! Mais le fils lui, est athlétique, beau mec ! Qui ne décolle pas le regard de mes nichons !!
Dans la voiture tous essaient de mater mes cuisses, qui, pour la conduite ne peuvent pas être serrées, moi- même je vois la lisière de mes bas !!Je m’attends à tout moment qu’il y en est un qui passe sa main !! Mais non !!
Arrivée au restaurant, un grand complexe, salles immenses, privées, discothèque. D’abords passage a un petit salon privé pour l’apéritif et mettre le contrat à jours avant le diner.
Placés en rond dans des fauteuils confortables, je croise les jambes, la conversation n’est pas facile !! Et pour le contrat et pour la vue !! Je me marre à les voir se tordre le cou !!!
Mes tétons percent mon corsage pour ne rien arranger !! Et sincèrement, la situation me fait mouiller. Tour a tour je leur fait profiter de la vue de mon entrecuisse en dirigeant mes jambes vers eux.
Diner, là aussi salon privé, je suis placée entre les deux clients, bizarrement, la table est assez grande mais je ne tarde pas à sentir des genoux se coller aux miens !! Je ne fais rien pour resserrer les miens, au dessert la main du père tente une approche sur ma cuisse, je fais comme si rien n’était, car ils commencent à parler signature !!! Voyant cela le fils fait de même, et remonte vers la fourche du bonheur, pour s’arrêter à la limite de mon string, juste un doigt effleure ma vulve.
Après diner, Discothèque ! En cabine privée, munie d’un téléphone car nous pouvons commander une stripteaseuse pour nous seuls !!!! Il y a même un billard, une vue sur la piste par une glace sans tain, champagne, et c’est là que mon patron me dit :
- Annie, vous avez carte blanche, vous n’avez qu’à signer la note pour moi, je vous laisse en compagnie de ces messieurs, à vous de me ramener le contrat signé, je vais prendre un taxi bonne soirée !! Je me fais trop vieux pour continuer la soirée !!! Demain, restez chez vous pour vous reposer.
Très vite le père me dit :
- Annie nous pouvons avoir un striptease ??
- Mais bien sur monsieur
Je saisie le téléphone, et je demande qu’une fille vienne, une minute plus tard elle est là, un fond sonore et la fille, très bien faite, commence à se lover autour d’une barre prévue à cet effet, c’est là que le vieux me dit !
- Non Annie !! Pas elle !! Mais vous le striptease !!!
Il est fou ?? Mais il me montre son stylo pour me motiver, après tout ce ne seras pas la première fois que je me mets nue devant des inconnus !! Je le fais souvent en boite, mais en présence de Georges !!
Je renvoie donc la fille qui ne comprend plus rien !! Et je vais moi- même à la barre.
Ils en restent bouche bée !! Je les aie bluffés !!
Lentement je commence mon effeuillage, après avoir monté mes cuisses jusqu’à ma petite culotte, ma jupe tombe au sol, un à un les boutons de mon chemisier sont défait. Tous les deux ont la main à leur braguette, l’un après l’autre je montre mes seins, le chemisier s’envole, il ne me reste plus que mes bas et mon string. Dans un geste lent je fais glisser mes bas, puis je me penche en avant leur exposant mon derrière bien cambré, ma chatte doit être en saillie sous mon string. Après quelques mouvements langoureux je saisie l’élastique pour baisser mon dernier rempart, j’arrive a mis cuisses, ma vulve est en gros plan
- Stop !!Arrêtez Annie !! Bravo, je vous félicite vous avez du cran !! Hans, tu signes tout de suite le contrat !! Et moi je vais vous dire bonsoir, je prends aussi un taxi pour rentrer !!
Me voici seule avec cet allemand, blond, carré, les muscles saillant sous la chemise, je m’apprête à me rhabiller
- Je vous en prie Annie, restez comme çà encore un peu
Il s’approche, me saisit aux épaules, embrasse chacun de mes seins. Et puis il se ravise
- Vous prendriez un dernier verre chez moi  ??
- Je n’y vois aucun inconvénient Hans, allons- y.
Chez lui, sa signifie dans sa chambre d’hôtel, j’ai envie que cette soirée se termine bien, je suis toute excitée. Je me rhabille quand même un peu !! Un peu c’est jupe souliers et corsage, le reste va dans mon sac à main !!
Dès que nous roulons celui- ci s’approche de moi pour me faire des bisous dans le cou, sa main part entre mes cuisses, il y trouve des poils mouillés, des lèvres entrouvertes, entre lesquelles il n’a aucun mal à glisser deux doigts, ils les portent ensuite a son nez
- J’adore ton odeur de femme, rentrons vite
Mes seins sont malaxés, j’ai de la peine à me concentrer a la conduite !! Il a même sortit sa queue et me pose une main dessus, une barre de fer sa bitte !!
Enfin, le parking de l’hôtel, nous prenons l’ascenseur sous le regard complice du veilleur de nuit !! Une fois dans l’ascenseur, il prend ma bouche, remet sa main entre mes cuisses pour branler mon clitoris, je me cambre en avant pour lui faciliter l’accès, nous voilà dans la chambre ou il me jette carrément sur le lit, en toute hâte il se met à poil, une queue bandée pointe au plafond, comme un vorace sa bouche se colle sur ma chatte pour laper les sécrétions qui s’en écoulent.
- Hans, donne- moi ta queue en même temps, je veux te sucer
Couchés sur le côté nous nous dégustons mutuellement, d’une main, je le branle doucement, tandis que de l’autre je lui malaxe les couilles, au passage je remarque que ses poils du cul sont roux.
En tous cas cet allemand se sert bien de sa langue et de ses doigts, mon plaisir monte, mes cuisses se serrent sur ses oreilles.
- Ouiiiii, c’est boooooonnn… avale ma mouille !!!!
- Haaaaaaaa, tu me fais jouir aussi…
J’avale rapidement une bonne rasade de sperme tout gluant.
Après un jus de fruit pour nous rafraichir il bande encore !!!
- Tu veux venir sur moi Annie ? J’aime baiser comme ça !!
Qu’à cela ne tienne !! Je l’enjambe, de deux doigts j’ouvre ma minette, et je me laisse descendre sur son phallus, une fois que nos poils sont mélangés je glisse d’avant en arrière, je ressens pleinement le frottement sur mon point G
- Huuumm, c’est boooon, tu me remplis bien, elle est très dure et douce
- Toi tu a un sexe très étroit, c’est agréable, baise moi
Alors que je fais tout le travail, j’entends derrière moi une porte qui s’ouvre, celle qui communique entre les deux chambres ? Je tourne la tête
- Mon dieu !! Ton père !
- Ça te dérange s’il reste un peu ??
Pour toute réponse je m’allonge sur lui, les fesses bien cambrées, et je reprends ma partie de baise
- Excusez- moi, mais vous faites tellement de bruit ! je ne peux pas dormir!!! Alors je viens vous voir un moment !!C’est plutôt jolis ce que je vois
Et voilà deux mains qui me caressent le cul, maintenant il ouvre mes deux lobes pour mieux voir, regarder son fils en train de baiser !! Ce n’est pas banal !!!
Après tout, c’est leur problème !! Je me concentre sur la bitte qui me perfore la moule, pas pour longtemps car une langue vient titiller mon anus, elle se fait pointue pour mieux entrer dans mon conduit étroit, finalement c’est plutôt agréable ! Je ralentie donc ma cadence pour en profiter pleinement.
Puis, plus rien, il se retire d’entre mes fesses, j’entends un bruit léger… je crois bien qu’il se met à poil le gros !!! Il a compris que si je le laissais me lécher, j’en accepterais peut être plus.
Effectivement, la première chose que je sens c’est son énorme ventre sur mes fesses !! Puis, quelque chose de rond et dur frotte sur ma raie… mais c’est gros!!!
- Ne bouge plus un instant Annie, s’il te plait …. Voilà, je vais trouver le passage ….
- Aiiiiie !!!
Il vient effectivement de le trouver !!! Je suis belle et bien enculée par le père et baisée par le fils !! Sa queue est en rapport avec sa corpulence!! Malgré le ventre qui prend de la distance il réussit à m’en mettre quand même une bonne longueur !!!
- Vous êtes des salauds !!! Allez y baisez moi maintenant !! Je suis pleine de vos bittes !!
Malgré le poids qu’il fait il se démène entre mes reins comme un gamin !! Le fils, lui, donne des coups de cul à me soulever de terre.
- Ouiiiii … Videz vos couilles dans mon ventre, plus fooooort, je Jouiiiiiis
- Haaaaaaaa…. Tien !! Je t’en mets plein la chatte Ouiiiii
- Hoooo elle est booooone, je lui décharge dans le cul !!!!
Des coups ont étés frappés a la cloison !!!! Je me suis rhabillée, pris la sacoche ou se trouve le contrat signé, et je suis rentrée vite fait a la maison.
Malgré l’heure tardive, ou plutôt matinale mon chéri m’attend, je lui raconte en détails ma nuit, et lui fait examiner mes trous encore élargis et suintants, et certifié que ceci c’est passé après la signature, donc pas un acte de pute pour obtenir un accord, j’aurais pu me faire baiser par n’importe quel autre individus, il l’a très bien admis et m’a refait l’amour.
Le lendemain, j’ai appelé mon patron pour le rassurer.
- Je n’en attendais pas moins de vous Annie !! Et ces messieurs m’ont affirmés que vous aviez un fort tempérament !!!! Et vous avez deux milles euros de prime sur votre fiche de paie.

J'adore les films de gladiateurs..!

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C'était la grande époque des films de péplums.
Pas celui-là bien sur...
Là c'est pas les mêmes épées LOL

Hommage aux culs avec un grand Q..!

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Rien de plus beau qu'un cul.
De mec  ou de nana... Offert ou ouvert...
Neuf ou usagé...Fermé ou éclaté.
Vide ou occupé!












Brèves du net. Découvertes

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Quelques fois
la vie nous réserve bien des surprises.
Si.. Si..
Et le sexe aussi..!


Ma femme et les bergers
Mon épouse et moi-même sommes un couple de 35 ans, heureux dans la vie, mais dont la vie sexuelle est loin de me convenir, et c’est un euphémisme. Nous faisons l’amour environ 2 à 3 fois par mois, et toujours de manière très conventionnelle. Pas de fellation, encore moins de sodomie, le calme plat quoi. J’ai souvent demandé à mon épouse plus de relations, plus de variations et une fin de non-recevoir est venue ponctuer chaque fois ces demandes. Et quand j’avais évoqué mon fantasme de la voir prise par d’autres hommes, j’ai été à ses yeux catégorisé parmi les malades mentaux.
Et pourtant mon épouse a tout pour l’amour. Pas très grande, ses formes sont pleines, une superbe poitrine, des hanches rondes et une magnifique chevelure rousse entourant un très joli visage, ce qui ne gâche rien. Mais bon apparemment le sexe n’est pas vraiment son affaire, ce qui me navre un peu plus chaque jour.
Nous étions il y a quelques semaines partis en vacances dans les Pyrénées, laissant nos deux enfants à leurs grands-parents, dans l’optique de faire des ballades en montagne. Nous dormions à l’hôtel dans un petit village de la vallée.
Ce matin-là nous sommes partis relativement tôt, emportant un petit sac à dos avec un piquenique et deux gourdes d’eau. Il faisait déjà très chaud, et nous avions opté pour une tenue très légère, short et tee-shirt, et bien sûr chaussure de marche. Mon épouse portait un short de marche blanc, un peu transparent et un léger tee-shirt de la même couleur.
Nous avons marché une bonne partie de la matinée, puis vers 13h nous nous sommes arrêtés au bord d’un petit ruisseau pour pique-niquer. Après une courte sieste (malheureusement pas crapuleuse), nous sommes repartis vers les hauteurs. Peu de temps après nous passâmes devant un refuge, vide à cette heure de la journée. Je proposais sur le ton de la rigolade à mon épouse d’essayer les lits du refuge et d’un ton sec elle me répondit que je disais n’importe quoi. Nous repartîmes donc vers le col qui devait être le but de notre randonnée.
Peu avant l’arrivée au col, de gros nuages noirs commencèrent à monter de derrière la montagne et mon épouse souhaitait que nous rebroussions chemin avant que l’orage n’éclate. Comme nous n’étions qu’à une ½ h du col, j’insistais fort pour y aller quand même et à force de persuasion mon épouse accepta. Arrivés au col, la vue était magnifique, mais les premières gouttes de l’orage nous touchèrent. Le tonnerre gronda très fort et des éclairs zébrèrent le ciel. Nous nous hâtâmes donc de redescendre sous des trombes d’eau. On n’y voyait pas plus loin que 15 m, heureusement que le sentier était bien balisé.
Arrivé au bord du ruisseau auprès duquel nous avions pique-niqué, nous nous rendîmes rapidement compte que celui-ci était transformé en torrent. La colère de mon épouse se déversa alors sur moi, elle me dit que tout cela n’était que de ma faute, qu’on aurait du descendre plus tôt. Nous nous sommes donc disputé de manière assez violente, comme on peut le faire quand on est fatigué et dans une situation délicate. Je lui ai dit qu’elle faisait ce qu’elle voulait, mais que moi je retournais au refuge entrevu plus tôt pour y passer la nuit. Et sur ces paroles je partais sur le chemin en direction du refuge. Au bruit que faisaient ses chaussures sur le chemin, je savais qu’elle me suivait mais je ne me retournais pas. J’étais très en colère après elle.
Quand j’arrivais au refuge, celui-ci était occupé par un groupe de bergers espagnols. Ils me saluèrent puis restèrent bouche bée. Surpris pas leur réaction, je me retournais et voyait mon épouse qui venait d’entrer dans le refuge, trempée de la tête au pied. L’eau avait rendu ses vêtements entièrement transparents, et non seulement on voyait se parfaitement se dessiner sa poitrine, avec ses grosses auréoles sombres et ses tétons érigés par le froid, mais son short et sa culotte blanche ne cachaient absolument rien de son anatomie.
Son pubis apparaissait comme nue à la vue de tous. Elle s’aperçut rapidement de nos regards et protégea la vue sur sa poitrine par ses mains. Mais elle ne fit pas attention que son short avait lui aussi été rendu transparent et ne cacha donc pas son sexe à notre vision. Toujours en colère, je décidais de ne rien dire, et puis la situation commençait à m’exciter au plus haut point.
Ma femme grelottant, elle récupéra sur l’un des lit une petite couverture et demanda si il y avait un endroit pour se changer. Un des espagnols lui montra un petit réduit où l’hiver les randonneurs pouvaient laisser leurs skis. Elle s’y précipitât, nous tournant le dos et dévoilant par la même occasion ses fesses pleines.
Je remarquais une déformation bien visible sur beaucoup d’entrejambes des bergers. Ils étaient au nombre de 7, le plus jeune devait avoir 16 ans et le plus âgé peut-être 60. Il avait un ventre énorme et je me demandais comment il avait pu grimper jusqu’ici. C’est lui qui, voyant que je n’avais pas cherché à dissimuler la nudité de ma femme, et lorgnant sur la protubérance que mon petit short avait bien de la peine à cacher, s’avança vers moi et me dit dans un français approximatif qu’il trouvait ma femme très belle et si il y avait moyen de toucher ce qu’ils avaient pu bien admirer grâce à la pluie.
Je lui répondis que si cela ne dépendait que de moi ce serait avec plaisir, mais que mon épouse ne voudrait jamais étant très prude et pudibonde. A cela Juan, c’était son prénom, me dit que si j’étais d’accord, il ne coûtait rien d’essayer et que peut-être le charme espagnol agirait. En le regardant, ainsi que la plupart des autres bergers, tous bedonnant et très poilus, je me dis que le charme espagnol avait du souci à se faire.
Ma femme sorti de la remise avec la couverture comme paréo, cachant sa nudité du haut de la poitrine jusqu’à mi-cuisse. Elle étendit ses vêtements trempés sur une chaise et nous pûmes constater qu’elle n’avait gardé ni sa culotte, ni son soutien-gorge, trempés eux aussi. L’Espagnol qui m’avait parlé nous proposa de nous préparer un grog pour nous réchauffer, ce que nous acceptâmes.
Mon épouse ne m’avait toujours pas adressé la parole et me jetait des regards encolérés. Le grog fut le bienvenu, même si je le trouvais chargé en alcool. Nous le bûmes pratiquement d’un trait. Il fallut après s’organiser à la fois pour le repas (que nous n’avions pas prévu) pour lequel les espagnols nous invitèrent à partager le leur et pour les lits, où il n’y a avait que 8 lit individuels.
Un des espagnols proposa à la rigolade de partager le sien avec ma femme. Elle le foudroya du regard et répondit qu’elle dormirait dans le lit et que je dormirai par terre. Je ne répondis pas à cette nouvelle provocation. Nous passâmes à table.
Ma femme est moi ne nous installèrent pas à côté, elle fût entourée par Juan et par un autre berger, la cinquantaine bien dépassée. Nous étions quelque peu serrés étant donné que la table aussi était prévue pour 8. Le repas était composé de charcuterie, de pain et de fromage, arrosé d’un vin épais. Le verre de mon épouse était toujours plein, mais elle n’y touchait que peu, ne résistant pas à l’alcool.
A un moment donné, je fis tomber un morceau de pain par terre par inadvertance et quand je me penchais pour le ramasser, je m’aperçus que Juan et son acolyte essayaient chacun de mettre une main sur le genou nue de mon épouse. Celle-ci repoussait leur main de manière assez violente tout en serrant les jambes au maximum.
Le « charme » espagnol avait du mal à agir. En me relevant je scrutais son visage, mais celui-ci paraissait presque impassible et elle ne cherchait pas du support de mon côté. Toujours fâchée, elle était trop fière pour cela. Durant le repas, je la vis se démener à 2 ou 3 reprises et j’imaginais qu’elle repoussait toujours les assauts de ses voisins.
Au moment du dessert, mon épouse avait une drôle de tête, un peu comme dans un état second. Je mis cela sur l’effet de l’alcool. Elle ne bougeait plus et avait les yeux dans le vide. Je pensais que ses voisins s’étaient lassés car elle ne faisait plus de mouvement de bras. Je fis, volontairement cette fois, tomber un couvert par terre. Quelle ne fût pas ma surprise en voyant ma femme, les cuisses largement ouvertes, les genoux posés sur chacune des jambes de ses voisins, la couverture relevée jusqu’à ses hanches, en train de se faire fouiller l’intimité par les gros doigts de Juan, tandis que l’autre berger lui caressait le clitoris. Connaissant ma femme, le spectacle était surréaliste.
Juan faisait coulisser deux doigts, les sortants en entier pour les renfoncer complètement. Je ne pouvais pas détacher mon regard de cette pénétration et cela provoquait chez moi une très forte érection. Je ne sais combien de temps dura cette observation, peut-être 30 secondes, avant que je ne me relève. Juan me regardait avec un grand sourire alors que ma femme paraissait toujours aussi indifférente.
Le berger se leva, essuya ses doigts sur le visage de ma compagne et lui prit la main pour la faire monter sur sa chaise. Là, il tira violemment sur la couverture qui s’enleva, dévoilant l’ensemble des attraits de mon épouse. En la tenant toujours par la main, il la fit tourner sur elle-même pour que l’on puisse voir toute son anatomie.
Certains des bergers avaient sorti un appareil photo et mitraillaient alors que d’autres avaient déjà sorti leur sexe et se masturbaient. Les commentaires salaces en espagnol fusaient. En la faisant tourner, Juan malaxait fortement les gros seins de mon épouse, qui paraissait ailleurs et se laissait faire de manière indifférente.
Puis, d’une poussée sur le dos, il la fit se pencher en avant, dévoilant son sexe et son anus.
Il mit un doigt entre ses lèvres et le fit pénétrer. Il le ressortit et l’appuya sur l’œillet de ma femme, et d’une pression un peu forte le fit pénétrer de 2 phalanges. Je ne comprenais pas ce qui se passait car même cela ma femme me l’avait toujours refusé.
Il fit alors asseoir mon épouse sur la chaise, défit son pantalon et en sortit un sexe d’une taille impressionnante (au moins 22 cm). Il le présenta à la bouche de ma femme, mais elle ne réagissait pas, ni ne refusait d’ailleurs. Il lui attrapa les cheveux et tira sa tête en arrière, ce qui eut pour conséquence de lui faire ouvrir la bouche. Il s’y engouffra aussitôt et commença de longs va et vient, en lui maintenant la tête.
Pendant ce temps-là, les autres bergers s’étaient rapprochés et tous avaient posés leur short ou leur pantalon, présentant des sexes plus ou moins large, plus ou moins gros ; mais aucun ne rivalisant avec celui de Juan. Deux ou trois continuaient à prendre des photos.
Juan se retira de la bouche de ma femme. Son sexe paraissait encore plus gros qu’avant cette fellation, avec un gland énorme. Un autre berger pris sa place, puis encore un autre. Quand se fût le tour du plus jeune, celui-ci ne put se retenir et éjacula dans sa bouche après trois ou quatre allers retours, ce qui provoqua les quolibets de l’assistance. Ma femme déglutit et avala la majeure partie de la semence, juste un petit filet s’écoulait de sa bouche.
Tous se succédèrent dans sa bouche, les autres en profitant pour malaxer ses seins et caresser sa croupe. Puis ils la firent se lever et l’emmenèrent sur un matelas qu’ils avaient posé par terre. Ils la positionnèrent à quatre pattes et un berger présenta son membre à l’entrée de ses petites lèvres et d’une poussée la pénétra.
Un autre homme que moi était en train de baiser ma femme et je n’en éprouvai aucune jalousie, mais une excitation intense. J’avais moi aussi sorti mon sexe et me masturbais en la regardant subir les assauts de cet inconnu. Pendant qu’il l’assaillait, un autre s’était mis a genou devant elle et lui baisait la bouche. Celui qui la pénétrait se retira et éjacula dans un grand cri sur ses reins. Un autre pris sa place, puis un autre et encore un autre.
Tous lui éjaculaient sur le dos. N’y tenant plus, je demandais à celui qui lui pénétrait la bouche de me laisser sa place, ce qu’il fit à regret. A peine introduit, je sentis monter le plaisir et déchargeais dans sa bouche une quantité de sperme importante, dans un orgasme comme je n’en avais encore jamais eu.
Quand ce fut au tour de Juan de la pénétrer, il pressa son sexe sur les lèvres et, aidé par les pénétrations successives réussit à l’introduire du premier coup, malgré sa taille. Ma femme ne disait toujours rien, on sentait juste sa respiration s’accélérer. Juan passa ses doigts sur le sperme répandu sur ses reins et s’en servit de lubrifiant pour faire entrer un de ses doigts, puis deux, dans l’anus de ma femme. Toujours en lui labourant le sexe. Quand il introduit le deuxième doigt, mon épouse poussa quand même un petit cri de douleur, mais il fût vite étouffé par un sexe lui déchargeant sa semence au fond de la gorge. Après quelques allers-retours, Juan sortit son sexe et en appuya le gland sur la rondelle.
Ma femme s’effondra sur le matelas et Juan poussa de tout son poids pour faire pénétrer son gland. Mon épouse poussait des petits cris à chaque tentative. Et puis la rondelle se dilata et le gland disparut intégralement. Juan fit alors pénétrer son sexe petit à petit. Ma femme haletait. En deux minutes, Juan avait réussi à faire pénétrer l’intégralité de son sexe dans le cul de ma femme. Il commençait alors des allers retours lents, puis la fit se remettre à quatre pattes pour qu’il ait une meilleure position de pénétration. Il commença alors à accélérer la cadence en donnant de violents coups de reins qui chaque fois faisaient avancer ma femme de quelques centimètres. La scène était grandiose et je recommençais à avoir une érection imposante.
Un des bergers vint se positionner sous mon épouse et entama une double pénétration. Un autre, ne pouvant plus se retenir, s’approcha et lui gicla sa semence sur le visage et dans les cheveux, puis s’essuya le gland avec ces derniers.
Tout à coup Juan se contracta et poussa un gros râle, il éjacula puissamment au fond du postérieur de ma femme puis se retira. A la place où était son sexe il y avait un trou béant, d’où coulait un ruisselet de sperme. Je pris sa place immédiatement, avant que l’anus ne puisse se re-contracter. Je labourais ma femme le plus violemment possible, lui faisant payer son humeur du jour. Je jouis à mon tour au bout de quelques minutes, inondant à nouveau son fondement.
Tous, nous nous succédèrent alternativement dans chacun de ses orifices, pendant plus de 2 heures. Un des bergers lui mit même une bouteille vide dans l’anus pour prendre des photos. A la fin de cette séance, elle était recouverte de semence, nous avions tous jouis au moins trois fois chacun.
Ma femme s’endormit aussitôt que le dernier berger, qui n’était autre que Juan, lui ait éjaculé une dernière fois sur le visage.
Je lui dis alors que je n’aurais jamais cru que ma femme aurait pu se prêter à de telle pratiques, même en ayant bu un peu d’alcool. A quoi il me répondit que le charme espagnol avait parfois besoin d’être un peu aidé par des substances. Je compris alors que ma femme avait été droguée, ce qui expliquait son apathie. Il me dit que le lendemain, elle ne se souviendrait plus de rien.
Nous la portâmes dur un lit, la nettoyèrent avec un gan et la recouvrirent de sa couverture. Puis, éreintés, nous sommes allés nous coucher.
Le lendemain quand je me réveillais, les bergers étaient partis, nous laissant du pain et du fromage pour le petit déjeuner. J’appréhendais un peu le réveil de ma femme, mais celle-ci se leva et dit : « Ils sont partis, et bien bon débarras, ils étaient un peu lourds », puis elle me demanda comment s’était passé la soirée d’hier soir car elle ne se souvenait plus de grand-chose après le début du repas.
Je lui racontais qu’elle avait un peu trop bu et s’était endormie, alors que je l’avais couché. Puis elle se rappela que nous étions fâchés et se remis à me faire la tête, ce qui enleva les derniers de mes remords. Je ne regrette qu’une seule chose, c’est de ne pas avoir pris de photos car chaque fois que j’y repense, je suis terriblement excité.


Joyeux Noël
Medhi était nerveux, ce soir c'était la veille de Noël et sa petite-amie Juliette en profitait pour le présenter à sa famille. En plus il n'avait jamais vraiment fêté Noël dans sa famille, un petit sapin, un repas de fête mais pas à proprement parler d'"esprit de Noël" comme cela semblait se passer dans la famille de Juliette.
Arrivé à 18h30, un peu à l'avance, Medhi s'était fait accueillir comme un prince "voilà donc enfin le fameux fiancé!!""Mais c'est qu'il est beau garçon! Fais attention que je ne te le vole pas!""Un grand garçon comme ça doit avoir de l'appétit!""Heureux de te rencontrer fiston!"... Ouf! Ils étaient tous tellement amicaux que ça en devenait gênant!
Le repas fut copieux et délicieux. Etaient présents à la table le père de Juliette Mr Deschamps ("appelle-moi Georges!"), sa femme Danielle, Juliette bien sûr, son petit frère Damien d'à peine 18ans, sa petite sœur Anaïs de 5ans, l'oncle paternel de Juliette -qui s'appelait Henri si Medhi avait bien compris, sa femme, ses deux fils de l'âge de Juliette, une fille de 7ans et le petit dernier de 5ans...Quelle tribu!! Et au bout de la table trônait bien entendu le Grand-père, Jean, heureux comme un roi au milieu de ses petits enfants...
Bien sûr Medhi était totalement intimidé d'être au milieu de tant d'inconnus, mais Juliette était à côté de lui et lui serrait la main dans la sienne pour le rassurer, et puis ces gens étaient si amicaux que c'était difficile de ne pas se sentir membre de leur famille!
Vers 22h00 le grand-père s'éclipsa de la table prétextant une légère somnolence, et vers 22h15 le Père Noël débarquait dans le salon à la plus grande joie des enfants, distribuant cadeaux et bisous aux trois plus jeunes, Medhi fut impressionné par toute cette mise en scène, ces enfants avaient vraiment un Noël parfait! Pendant que les plus jeunes déballaient bruyamment leurs cadeaux Georges invita Medhi à prendre un digestif dans son bureau, Henri et ses fils les suivirent, "Ah les hommes nous laissent enfin entre filles!" s'exclama Danielle alors que Georges refermait la porte.
- He bien Medhi tu passes une bonne soirée? Ça doit être intimidant d'avoir tous ces Deschamps autour de toi!
- Je passe une excellente soirée à vrai dire vous êtes tous très aimables!
- Je vous offre un verre?"
Medhi dut lui rappeler qu'il ne buvait pas d'alcool
- Hé bien tu as bien raison! Moi-même je devrais arrêter pour mon foie, mais bon ce soir c'est particulier!
Tandis que les autres furent servis en divers alcools Medhi se vit offrir un verre de jus de raisin en lot de consolation. Le petit incident fut oublié aussi vite et la conversation devint plus amicale au fur et à mesure que les verres se vidaient. Justement quand Georges allait évoquer les fiançailles, Damien rentra dans la pièce accompagné de son grand-père toujours radieux dans ses habits de Père Noël.
- Ah justement Papa! Nous allions commencer à parler des affaires de famille!
- Hé bien c'est une bonne chose que nous arrivions alors! s'exclama Jean.
Le grand-père s'avança vers le canapé qu'occupait Medhi,
- Mon cher, tu sembles très bien t'entendre avec ma petite-fille!
- Je plaide coupable! Juliette est une fille merveilleuse!
- He bien naturellement nous voyons tous le mariage arriver très bientôt!
- Euh...Nous n'avions rien de prévu, juste des discussions pas de projets définitifs...!
- Oui mais si je tu avais notre bénédiction tu n'hésiterais pas une seconde n'est-ce pas?
- Pas une seconde j'aime Juliette et si je pouvais passer le restant de ma vie à ses côté, ça serait merveilleux!
Medhi ne voyait pas trop où la conversation allait et il n'avait pas l'habitude de parler d'amour comme ça...Georges prit la parole.
- Eh bien fiston sache que nous sommes tous favorables à ce mariage! Tu es un garçon bien éduqué, attentionné, en bonne forme et -le plus important- tu as les yeux qui pétillent quand tu regardes ma fille!...
Medhi ne savait pas trop quoi répondre...
- Il reste cependant un petit détail à régler.
Aie! C'est maintenant que ça va se corser!! Pensa -à raison- Medhi.
- Il faudrait que tu nous montres à quel point tu es prêt à t'investir et à t'intégrer dans notre famille. Vois-tu dans toute famille nous avons des responsabilités les uns envers les autres, mais la nôtre va un peu plus loin dans ces relations...
Georges vint s'assoir à côté de Medhi.
- Damien? Montre à tout le monde à quel point tu aimes et respecte ton grand-père, veux-tu?
Sous les yeux médusés de Medhi, Damien baissa son pantalon et se pencha sur le bureau.
- S'il te plait grand-père donne-moi mon cadeau de Noël !!
- Qu'est-ce que c'est que ce bordel?!?
- Calme-toi Medhi, reste calme et regarde, nous n'en demanderons pas plus...
- Mon petit Damien le Père Noël a un gros cadeau pour toi! s'exclama Jean en baissant son pantalon de Père Noël.
Jean ouvrit un tiroir du bureau et en sortit un tube de lubrifiant, puis s'en enduit le sexe. Il était bandé au maximum semblait-il et Medhi fut hypnotisé malgré lui par l'énorme membre se dirigeant vers les fesses du petit-fils. Georges s'était rapproché de Medhi pour mieux lui parler dans l'oreille.
- Tu vois à quel point Damien est content? C'est ce soir la première fois que son grand-père va l'enculer! Avant j’étais le seul à avoir ce droit...Mais aujourd'hui c'est Noël, tous les souhaits se réalisent!
Medhi ne parla pas, la présence de son beau-père se faisait envahissante, tout cela était horriblement malsain. Pourtant il ne trouva pas la force de se lever et de quitter la pièce. Henri et ses fils regardaient la scène avec une excitation mal contenue.
- Allez bébé tends bien ton cul pour accueillir ton grand-père!
Jean saisit Damien par les hanches et s'enfonça d'un coup dans ses entrailles.
- Ha!! Tout ce lubrifiant était inutile son cul est déjà plein de sperme!
- Oui Papa je n'ai pas résisté à le doser ce matin, et ce midi...et cet après-midi! Son petit cul est tellement excitant, je ne peux pas me retenir!!
- Hé hé tu entends comme ton père est fier de sa petite pute de fils?
Jean se mit à faire de grand va-et-vient, secouant Damien comme une poupée de chiffon, l'empalant sur son sexe toujours plus fort et profonds.
- Dis à tout le monde ce que tu es mon chéri!
- Je suis...une petite pute! Une pute à jus qui adore se faire remplir par son grand-père!
- Oh le petit con est si serré autour de mon chibre!! Ah c'est exquis mon petit Damien!!
Après quelques coups de reins supplémentaires, le grand-père vida ses couilles dans le cul de son petit-fils.
- Ouf! Il est aussi accueillant que tu l’étais à son âge Georges!
- Bien! Ton cadeau t'a plu Damien?
- Oh oui Papa!!
- Passons à Medhi maintenant!
- Moi? Je ne ferai rien de vos saloperies!!
- Au contraire. Si tu veux faire partie de notre famille, tu te plieras à nos traditions! Encule Damien!
- Oh Oui! s'exclama Damien fou de joie
- Mais non ! Mais enfin vous êtes tous devenus fous c'est pas possible!!
- S'il te plait fiston ne gâche pas la veillée de Noël !!
- Oui allez Medhi viens dans mon cul!!
- Si tu nous gâche ce Noël, il n'est plus question que tu revois Juliette!!
Medhi se leva, il voulait s'enfuir de toutes ses forces, sortir de cette maison de tarés!
Mais Jean ne le voyait pas de cette manière, il prit le jeune homme par les épaules et le dirigea vers le bureau sur lequel Damien se cambrait, prêt à recevoir son deuxième cadeau de Noël.
Une fois derrière l'ado, Jean prit le paquet de Medhi à pleine main:
- Allez sors-moi ton engin et fait plaisir à mon petit-fils!!
Au contact de Jean, Medhi se rendit compte qu'il bandait comme un taureau, dégueulasse! Alors même sa bite avait décidé de le trahir ce soir apparemment! Medhi prit une grande respiration et baissa son pantalon et son slip sur ses chevilles, aussitôt libérée sa queue pointa droit vers le plafond.
- Bravo! Bien dure et aussi grosse que la mienne! Je n'en attendais pas moins de mon futur beau-fils! Commenta Georges
Sans plus réfléchir une seconde Medhi plaça son gland sur le petit trou de Damien et s'enfonça d'un coup de reins. Damien gémit de plaisir. Henri et ses fils approuvèrent tandis que Georges et Jean se congratulaient entre eux:
- Juliette a décidément très bon gout en matière d'homme! Il bande bien dur et sait comment faire jouir son partenaire!
- Quel beau corps en plus! Regarde-moi ce petit cul poilu!"
Medhi n'entendait rien de tout cela, il était dans une autre dimension, seule sa queue entrant et sortant du cul de Damien existait pour lui; il n'avait jamais enculé personne avant ce soir et voilà qu'il défonçait son beau-frère! C'était de la folie!!
Tout à coup, il prit conscience d'une nouvelle sensation...
Quelqu'un était en train de lui lécher le cul!!
Il paniqua et voulut se retourner mais Jean lui tint les épaules: Georges était agenouillé entre ses jambes et lui dévorait la raie. Cette langue, la langue de son beau-père, rendait Medhi fou : elle lui faisait découvrir des sensations totalement inédites, la raie, les fesses, le scrotum et....Ah! George venait de lui rentrer sa langue dans le cul! Pénétration exquise et étrange, Medhi décida de ne plus lutter et se concentra sur le cul de Damien. Ses barrières étaient tombées et désormais il ne réfléchissait plus, il pilonnait le petit cul de l'adolescent, alternant les coups de reins profonds avec les doux va-et-vient. Damien jouissait comme une belle salope!
- Oh oui beau-frère défonce-moi bien! Oui! Ah!! Tu es aussi bon que Papa!! Ah oui continue !
Medhi se rendit compte que Georges avait stoppé son rimming et s'était relevé.
- Hé! Si tu veux vraiment devenir mon beau-fils, il va falloir m'honorer comme un fils honore son père!!
L'instant d'après Medhi sentit quelque chose d'énorme presser contre son petit trou.
Arg! Trop tard, Georges l'avait pénétré.
- Reste calme et relaxe-toi fiston! Laisse-moi rentrer en entier et tu auras la main de ma fille!
Petit à petit le membre pénétra Medhi jusqu'au bout, puis après une petite pause Georges se retira du cul de son futur gendre, puis le repénétra jusqu'à la garde. Medhi était encore sur un nuage, il y a moins d'un quart d'heure, il tenait encore la main de sa petite-amie et voilà qu'il se retrouvait en sandwich entre son frère et son père!
- Ah ce petit cul vierge est trop bon! Ça sera un plaisir pour moi d'y revenir avant ta nuit de noce avec ma fille!!
-Allez fiston laisse la place à la famille! demanda Jean
Henri et ses fils déboutonnèrent leurs pantalons en s'approchant. Georges se retira du prétendant de sa fille et laissa la place à son frère. Henri avait la bite d’une taille plus raisonnable que Georges et le jeune homme l'accueillit avec plus de facilité...
- Hum, tu es aussi serré que mes fils la première fois que je les ai embrochés sur ma queue!
Medhi ne répondit pas, tout cela était trop pour lui, tant de plaisir et tant de perversité...
Il reprit les va-et-vient dans la chatte de Damien tandis qu'Henri prenait son pied en lui.
Après Henri ce fut son fils ainé, puis le cadet, et enfin Jean, toujours dans son habit de Père Noël.
Une fois que Jean eut déversé sa semence dans le cul de Medhi, ses fils et petits-fils firent de même, Georges fut le dernier et lorsqu'il juta en le traitant de salope, Medhi lâcha lui aussi son foutre dans les entrailles de Damien.
- Voilà! Ça c'est l'esprit de la famille! C'est ça l'esprit de Noël!!"
Alors qu'ils se rhabillaient et remettaient de l'ordre dans leur tenue, Jean déclara qu'il serait le plus heureux des grands-pères si Medhi épousait sa petite-fille.
Ainsi plus tard dans la soirée c'est le cul plein de sperme incestueux que Medhi fit sa demande en mariage a Juliette.

Joyeux Noël à tous!

Curiosité à découvrir...

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Court métrage surprenant....?
Ou utilisation d'un jeune homme...?
Ou film de cul..?
Je sais pas trop d’où sort cet extrait...

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