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En quelques traits... Imaginez....!
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Histoire du net. Auteur inconnu. Intégration.
Comment elles vont faire
nos femmes volages pour vivre
leurs envies en cette périodes..?
nos femmes volages pour vivre
leurs envies en cette périodes..?
Lopette de campagne
Nous sommes un couple, elle 44 ans et moi 47 ans, nous sommes ensemble depuis l'été 2010.
Une fois ses deux enfants partis, nous décidons de nous installer à la campagne et bénéficier d'une petite maison, pour le charme de la campagne.
Nous voilà en mars 2016 et cela fait 2 ans que nous sommes dans ce village. Sabine sympathise très vite avec les habitants du village, puisque 3 fois par jour, elle y promène notre petit chien.
Moi, je leur parle très peu, puisque je pars au travail le matin et reviens le soir pour manger.
Quand il m'arrivait d'avoir des repos dans la semaine, je m'apercevais que la promenade du chien durait un peu longtemps.
Quand elle rentrait, elle me disait : « j'ai discuté avec untel et puis untel, des noms qui, au fil du temps, j'arrivais à mettre un visage en les croisant par un « bonjour, bonsoir ». Un soir, vers 20 h, je décide d'aller faire la promenade avec elle et on passe devant une maison et un homme lui dit :
- Salut Sabine, tu passes me voir après, boire un café ?
- Non pas ce soir, Christian , je passerai demain !
- Tant pis pour toi, Sabine, bonne soirée et à demain ! Lui répond l’homme
Je lui demande aussitôt ce qu'il entend par "tant pis" ?
- Ben, pour le café, tu sais, il s'emmerde, il vit tous seul depuis 8 ans ! Me répond-elle.
- Oui et alors, il ne cherche pas à te sauter, plutôt ?
- Oh, n’fais pas le jaloux, il a 64 ans, c'est quasi l'âge de mon père !
- Ben oui, mais bon, il est direct quand même !
Elle me parle d'autres choses, des maisons, lui, c'est Mr Untel, là, c'est le couple qui tient la boulangerie, etc…
Et sur le retour, on croise un jeune avec son chien qui s'arrête pour lui faire la bise :
- Je te présente mon mari, Vincent !
- Ah, c'est lui ton mec, je l’ai déjà croisé, je ne savais même pas que c'était lui !
- Oui, bonjour, enchanté ! Lui dis-je.
- Oui, vous avez une femme charmante !
- Merci, ben, bonne soirée !
- Oui, à toi aussi, à bientôt, bisous, bisous !
On reprend notre chemin et j'hallucine un peu sur les 10 minutes de promenade sur ces deux mecs :
- Eh ben, y a que des mecs seuls, ici ? Lui demandé-je.
- Non, lui, c'est celui qui est avec la grosse, tu sais, celle qui passe devant avec sa poussette !
- Oui et ben, t'en as des copains dans le village, toi !
- Ben oui, toi, tu parles à personne, t'es un bougre ! Me répond-elle.
On rentre et au fond de moi, je suis excité, tout en étant jaloux de ses deux mecs que j'avais vus, je m'imagine déjà des choses.
Dans le lit, je la caresse et elle me dit :
- Ben t'es chaud, dis donc, ce soir, qu'est-ce qui t'excite comme ça mon gros ?
- Rien, j'ai envie !
Et là, je saisis le gode et l'enfonce facilement dans sa chatte, directement, elle me prend ma queue pour la sucer :
- Dis donc, t’as envie aussi, toi, ce soir ? Lui fais-je remarquer.
- Mais, j'ai toujours envie, moi ! Me répond-elle.
- Hum, t'es une bonne salope, allez, pompe bien, salope !
Et là, à peine ai-je dit ses mots que j'éjacule à moitié dans sa bouche et son visage.
- Eh ben, t'avais envie, mon cochon !
- Oui, allez, bisous, demain, je me lève de bonne heure !
On reprend notre petite vie, jusqu'au jour où je croise un matin, à la station essence, un de mes anciens collègues :
- Eh Vincent, j'habite dans ton village, maintenant !
- Non, ce n'est pas vrai, Fabrice, tu n’habites plus en région parisienne ?
- Non, j'ai divorcé de ma femme et j'ai acheté un appart !
- Ah ben, c'est la rue à côté de chez moi, ça !
- Ah bon, tu habites là ?
- Oui, tu passeras me voir un soir !
- Ok pas de problème, à ce soir !
Après ma journée de travail, 18 h 30, ça sonne et voilà Fabrice.
Je l'invite à rentrer, lui présente Sabine qu'il connait déjà. Je sers un apéro, il nous raconte sa vie, son divorce, etc... Un deuxième, un troisième apéro et je le vois rigoler de plus en plus avec ma femme.
Je m'absente pour aller aux toilettes et j'entendais comme des bisous, bordel, je me fais un film ou quoi ? Je reviens ils rigolent ensemble et je décide de l'inviter à prendre la porte pour que nous puissions manger. Et là, elle me dit :
- Il est sympa, Fabrice, lui aussi à un chien, je l’ai déjà croisé 4,5 fois !
- Ah bon et il t'avait déjà parlé ?
- Oui, oui, mais je ne savais même pas que tu le connaissais !
- Ben si, j'ai bossé 6 mois avec lui !
Et là, je raconte des trucs négatifs sur lui, que c'était une fainéant, qu'il n’arrivait jamais à l'heure, toujours des problèmes, etc...
Bref, 3 jours passent et je retombe sur Fabrice qui passe devant moi avec sa voiture, il s'arrête et me dit :
- Faudrait vraiment qu'on se parle, Vincent ?
- Ah bon, qu'est-ce qui t'arrive ?
- Non rien, c'est au sujet de ta femme !
- Ah ? Et qu'est-ce qu'elle a, ma femme ?
- Ben, je ne peux pas te raconter ça, comme ça, mais bon, voilà…
- Tu en as dit trop, dis-moi ?
- Ben tu le savais qu'il y a un vieux, pas loin de chez toi, qui l'invite chez lui ?
- Mais oui je sais, il l’a dit devant moi !
- Ah bon, et ça ne te dérange pas ?
- Non, mais, tu l'as vu le vieux, toi !!!
- Ok, moi je t'aurai prévenu !
- Ok Fabrice, t'inquiète !
Je pars au travail en me posant plein de questions, j'appelle chez moi, personne, je ressaye une heure après, encore personne.
Et au bout de 1 heure et ½, elle me rappelle :
- T’as essayé de me joindre, ben oui, j'étais partie promener le chien !
- Oui, t’as été te faire sauter par le vieux !
- N’importe quoi, bon allez, si c'est pour dire des conneries, je te laisse !
Je doute de plus en plus sur son comportement.
Il me vient une idée, je dois contacter Fabrice. Le soir même, avant de rentrer chez moi, je me rends chez lui.
Un appartement un peu pourri, matelas par terre, bref le mec seul qui s'en tape.
Il n’a même pas une bière à m'offrir, un verre d'eau du robinet.
Je discute avec lui du vieux et il me raconte qu'un matin, il discutait avec elle et que le vieux l'avait appelé de sa fenêtre en lui disant :
- Allez, viens ma petite Sabine, je suis chaud !
Et elle me dit en partant le rejoindre : « Ah, les hommes, tous des coquins ! ».
- Bon Fabrice, quand tu croises ma femme, invite-la à venir chez toi pour voir ce qu'elle dit et questionne-la !
- Oui ça va être facile, quand je suis venu chez toi, elle m’a emballé deux fois quand tu étais parti pisser !
- Non, je te crois pas !
- Je te jure et après elle m’a fait chut avec sa bouche !
- Bon, tu fais ce qu'on a dit et tu me tiens au courant !
- Ok, aucun problème, Vince !
Je rentre chez moi, tout excité encore, on mange, j'attends 23h pour qu'elle puisse me rejoindre dans le lit, je l'attends à poil :
- Ben, mon gros, t'as envie ce soir !
- Oui, viens là, il faut que je regarde ça de près, enlève-moi tout ça !
Et là, une fois déshabillée, je la doigte tout en l'emballant :
-Tu aimes la bite, toi !
- Oh ben oui, mais comme tout le monde ! Me répond Sabine.
- Non, toi c'est plus, t'es une grosse salope, regarde comme mes doigts rentrent comme dans du beurre !
- Oui et tu n’aimes pas ?
- Alors, qui te baise, à part moi ?
- Mais arrête, personne, mon chou, je te le dirais !
- Ben oui, je n'aimerais pas être le cocu du village, quand même !
- Mais non, ne t'inquiète pas !
Je l'ai pas encore pénétrée que je jouis déjà :
- Eh ben, t'avais envie, mon salaud !
- Arrête, tu me dis toujours ça !
Et là, je me tourne, un peu vexé de pas la faire jouir.
Une semaine passe et pas de nouvelle de Fabrice, je décide de retourner le soir après mon travail :
-Ben alors, Fabrice, on devait se voir !
- Oui, je sais, mais ta femme est méfiante, elle m'a dit que tu la soupçonnais de savoir !
- Quoi, elle t’a dit ça ?
- Oui, elle m'a même dit que toi, tu n’assurais pas au lit !
- Non, la salope !
- Ah, ben ça, ce n'est pas rien de le dire, elle est venue deux fois et deux fois, je l'ai baisée presque direct !
- Non, je ne te crois pas, Fabrice !!
-Réveille-toi, je ne suis pas le seul à la baiser, elle m'a dit qu'on était cinq !
- Quoi, 5 mecs d'ici qui la baisent et elle me dit rien !
- Regarde son portable en rentrant, car moi, j'ai effacé mes SMS !
- Ok, je vais regarder ça et toi, viens chez moi, demain soir, c'est vendredi, viens pour 21 heures !
- Ok Vince, à demain soir, mais je lui dis que tu es au courant ?
- Non, surtout pas, ne lui dis rien, tu vas voir !
Je rentre et j'attends sagement qu'elle aille prendre sa douche pour fouiller dans son portable. J'ai 5 à 10 minutes, il faut faire vite et par chance, il n'est pas éteint comme bien souvent. Icone SMS, je vois : « à toute suite, ma coquine », je regarde la conversation et je vois que l’expéditeur est Franck :« Oui, t'es un bon salaud !
- Tu aimes que je te baise comme une salope ?
- Ah ton avis, lol, kiss, coquin ! ».
Et je regarde ceux de Fabrice :
« Dispo, 10h30, t'es là ?
- Oui, à toute de suite !
- Oui, mon coquin !+ ».
Un autre :
« Passe me voir, j'ai envie !
- À 16 heures, je ne serai pas là avant !
-OK, je suis très chaude, j'ai envie !
- Moi aussi, Sabine !
- Kiss, coquin ! ».
Et je fouille en vitesse un 3ième, avec un rencart à 10 h 30 derrière la cabane, c'est écrit.
Je repose tous ça, complètement déstabilisé par ses SMS.
Le soir, alors qu'elle est sur internet, je me branle en pensant à ma salope de femme.
Le lendemain soir, Fabrice arrive et je remarque très vite des regards coquins venant d'elle.
Je sers 4 apéros de suite pour bien chauffer l'ambiance et je décide de faire un chiche ou vérité.
- Ben non, ça va partir en vrille, je te connais !
- Mais non, je pense que c'est bien d'éclaircir la situation, Sabine, chiche ou vérité ?
- Oh ben, chiche !
- Fais-nous voir tes seins !
Et la voilà qui relève son pull et nous exhibe sa poitrine :
- Vincent, chiche ou vérité ? Demande Fabrice.
- Vérité, mais attention, on dit la vérité !
- Vince, est-ce que tu es un éjaculateur précoce ?
- Mais c'est quoi cette question, elle est nulle ! Non du tout, après comme tout le monde, quand je suis excité ça arrive vite !
- Ben oui, ça dure à peine 2 minutes ! Confirme Sabine et là, ils se mettent à rire.
- Mon beau Fabrice, chiche ou vérité ? Propose Sabine.
- Chiche, mais pas de question du genre courir à poil dans la rue !
- Montre ta queue à Vincent !
- Pourquoi, toi, tu la connais ?
- Ah ben, ce n'est pas à toi de poser la question !
- Oh, ça me gêne quand même !
- Vas-y, Fabrice, c'est le jeu ! Insiste Sabine.
Et là, Fabrice se lève et baisse son pantalon :
- T'as vu, par rapport à toi, mon chéri ? Commente Sabine.
- Oui, ben oui, on n’est pas tous gâté par la nature !
Et là, je décide de partir aux toilettes, pour la faire gonfler un peu, en cas où ils me demandent de la sortir.
Et quand je reviens, je vois Sabine qui suce sans capote entre ses jambes Fabrice.
- Ah ben, ça va, ne vous gênez pas ! Dis-je, un peu outré.
- Quand tu vois une queue comme ça, tu ne peux pas rester sans rien faire, voyons !
- Tu te fous de ma gueule, Sabine, je sais tout sur toi !
- Eh ben, voilà maintenant, tu vois en plus ! (rires).
- Tu es une grosse pute, toi !
- Non, ne dis pas ça, elle aime le sexe, c'est tout ! Intervient Fabrice.
- Voilà, avec lui, ça n’dure pas 10 secondes, chrono ! Pff, n’importe quoi et en plus, ça ne te regarde pas !
- Quoi, je suis cocu par la moitié des mecs d'ici et je dois rien dire !
- Ah bon, tu vas faire quoi ? (rires).
- Je vais allez les trouver, les autres !
- Moi je vais te dire, tu as toujours été cocu et tu le seras toujours avec moi ou une autre femme, t'as vu, tu es trop nul ! Regarde-toi, ton tout petit sexe qui bande mou !
- Viens Vincent, on la baise à deux !
- Non, vas-y, donne-lui ce qu'elle veut à cette salope !
- Vas-y, allez, sors-la, ta queue, qu'on rigole un peu !
- Oh, elle n’est pas si petite que ça, quand même ? Objecte Fabrice.
- Je te jure, je suis sûre que le briquet est plus gros ! Rajoute Sabine. (rires).
- Et le vieux que tu te tapes, tu vas me dire qu'il bande bien ?
- Ben détrompe-toi, si tu savais comme il est vicieux, mon Christian ! Commente Sabine.
- Tu vois que même lui te baise, alors que tu m'avais dit le contraire !
- Tu vois, je t'ai pas menti, Vincent ! Ajoute Fabrice.
- Ah c'est toi qui lui t’a dit, c'est pas bien ça, tu me mérites pas !
- Ben, au moins, il est courant, tu n'as plus besoin de te cacher !
- Ce n'est pas faux, ça et si tu me baisais bien, je n'aurais pas besoin d'aller ailleurs !
- Ben oui, tu t'es fait monter la tête par ce vieux vicieux !
- Mais non, t'as toujours été cocu, même avant, avec tes copains ! Déclare Sabine.
Je sors de la pièce fumer une cigarette dehors, pour me calmer de tout ça.
Et je vois, en même temps, Fabrice culbuter ma femme en levrette sur le canapé, sans capote, sans aucune gêne de leur part.
Une fois fini, je vois toujours ma femme tenir sa queue, en finissant son apéro en me faisant des sourires comme si tout était normal, mais quelle salope ! Que faire, moi, qui bande à moitié mou ?
J'invite, dans la demi-heure qui suit, Fabrice à nous quitter. Au passage, il roule une galoche à Sabine, ben voyons ! Pendant que je lave les verres et nettoie la pièce, Sabine prend sa douche.
Je la rejoins dans la chambre, me fous à poil et je lui dis alors :
- Alors, comme ça, t'es une grosse salope et moi je le savais pas !
- Oui, ben oui, c'est pour éviter que tu te fâches ! Mais bon, regarde-toi, tu vas faire jouir qui avec ça ?
Et là, elle me saisit la bite avec deux doigts, en la comparant avec son pouce :
- Tu vois, vas-y, baise-moi alors !
- Pff, je n'arrive pas à bander, tellement que tu me dégoûtes !
- Mais non, même quand tu ne le savais pas, c'était pareil, t'es nul et c'est tout, mon petit cocu !
- Mais pourquoi tu restes avec moi, alors ?
- Ben, parce que tu es gentil et tu fais bien le ménage ! Mais non, mais il faut bien que tu serves à quelque chose !
- T'es vraiment une pute, toi !
- Allez, lèche ma chatte, mon cocu, je me suis lavée, mais la prochaine fois, tu nettoieras comme tu sais faire !
- Mais ça ne va pas ?
- Mais, tu l'as déjà fait, sans même t'en être rendu compte !
- Raconte-moi, qui d'autre t’a baisée ?
- Mais non, ça va te faire du mal !
- Mon pote David, il t'a déjà baisée ?
- Ben oui, il est venu 4 ou 5 fois et après, quand il a trouvé sa nouvelle copine, il n’est pas revenu, l'enfoiré !
- Et moi, je passe pour quoi ?
- Mais continue à lui parler comme si que tu le savais pas, ou après, c'est toi qui vois, mon chéri… !
- Je peux lécher ton cul, Sabine ?
- Mais bien sûr, toi qui ne m’as jamais enculée !
- Pourquoi les autres te sodomisent ?
- Ben oui, tu crois quoi, c'est des vrais hommes, tu refuses une fois, mais après, il ne te demande plus ton avis… !
- Et toi, tu aimes ?
- Ben, ça dépend avec qui, certains me font mal, car ils s'y prennent mal et d'autres, j'y prends du plaisir, oui !
- Tu me raconteras quand tu te feras baiser ?
- Pas à chaque fois, je garde aussi mon jardin secret !
- Mon amour, je t'aime !
- Mais moi aussi, mon cocu, c'est bien que tu le saches, maintenant ! Allez branle-toi sur moi !
À peine la phrase terminée que j'éjacule rapidement en la regardant se doigter :
-Allez lèche maintenant, tu vas voir, tu vas aimer !
- Ah ben non, quand même pas !
- Lèche, je te dis, vite ça dégouline !
Et là, je lèche mon sperme sur son corps en m'indiquant les endroits.
Le lendemain, je repense à tout ça, que faire, que suis-je devenu, mais pourtant, une certaine excitation d'avoir une salope, certes pas qu’à moi, mais bon, le prix à payer.
Le soir même alors qu'elle m'a rien dit sur sa journée, à l'heure de se coucher, je lui demande si je peux la lécher :
- Non, mon cocu, tu vois mon gode, ben, tourne-toi, je vais te le mettre dans le cul !
- Mais non, ça ne va pas !
- Tourne-toi, tu verras !
Et là, je m'installe sur le lit, le cul en arrière et elle me demande de l'écarter avec mes mains :
- Voilà, regarde comme ça rentre bien, mon salaud, t’as vu, tu aimes ça !
- Oh oui, c'est bon, mon amour !
-Tu vois, t'es une bonne lopette, ça bande même un peu, mon salaud !
- Tu t'es fait baiser, toi, aujourd'hui ?
- Oui, 2 fois, enfin un que j'ai sucé, c'est tout !
- Qui ça, le vieux ?
- Ben oui, lui, c'est presque tous les jours, il est très vicieux, tu sais !
- Et il te baise bien ?
- Oh oui, il m'apprend plein de choses !
- Ah bon, comme quoi ?
- Ben, comme là, c'est lui qui m’a dit de te goder et si tu le faisais, c'est que tu étais une lopette !
- Quoi, c'est lui qui décide de ce que tu dois me faire ou pas ?
- Mais non, mais il me conseille bien, il a du vécu, tu sais !
Voilà comment je suis devenue la lopette de ma femme, sous les rires moqueurs du voisinage…
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Le mois des violences sexuelles au cinéma.... Et il y en a...!!! Heureusement c'est du cinoche!
Scène culte d'un vieux film culte.
Film: Spetter. 1980
Film: Spetter. 1980
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En quelques traits... Imaginez....!
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Les breves du net.
Un jour; tout cela sera à nouveau possible.
Mais oui..! C'est sûr!!!
Mais oui..! C'est sûr!!!
Aires de …. Baise
Je devais être folle de faire ce que j’ai fait, mais c’est ma nature et ça a été un tel bonheur que je le retente de temps en temps mais la première fois était de loin la meilleure.
J’avais lu sur un site web que certains couples un peu "exhibes" donnaient rendez-vous à des routiers sur des aires d’autoroute pour se montrer et donner un peu de piment à leur relation.
Je ne suis pas en couple mais j’avoue que cela m’a trotté dans la tête un bon mois avant que je ne me lance.
Sur ce même site web ainsi que deux autres similaires quant à leur contenu et à leurs orientations j’avais posté un message disant que je serai sur l’aire d’autoroute en question le jeudi soir à 2h30 du matin. Je pensais qu’ainsi il n’y aurait pas foule et que je serai plus à l’aise pour ma première exhibe légère tout en ne faisant pas choux blanc comme on dit. En effet je comptais me montrer et me caresser tout en restant à l’intérieur de ma voiture histoire de ne pas trop tenter le diable la première fois.
Me voilà donc lancée sur l’autoroute dans ma petite citadine à je dois l’avouer, à faible allure. Non pas que j’y allais à reculons mais je réfléchissais à comment tout cela allait se passer, est-ce que j’allais avoir le cran d’aller au bout? Je me suis dit « ma chérie te biles pas, tu restes dans ta voiture et s’il y a un truc qui ne te plaît pas tu te sauves » voilà j’étais rassurée, en fait non pas du tout, mais tellement excitée…
Je mouillais déjà beaucoup, en attentant de parcourir les 20 km qu’il me restait, je glissais ma main droite entre mes cuisses, ma robe légère remontait facilement, je pouvais sentir mon clito brûler sous le tissu de mon string, je me demandais pourquoi je n’avais pas pensé à me caresser en voiture plus tôt, pourquoi attendre cette nuit pour commencer je pouvais le faire tous les soirs en rentrant du boulot…
Encore un mystère de l’univers à élucider…
A force de rouler je passais devant le panneau indiquant l’aire en question à 2000 mètres. Mon cœur s’est accéléré, alors que ma voiture décèlerait tout seule semble t-il…
Je voyais l’aire approcher et je m’y suis engagée quasiment au pas. Je ne savais pas comment m’y prendre, je me suis garée presque à l’entrée du parking pour analyser les lieux.
Il y avait un premier parking tout en longueur avec des sanitaires sur le côté droit, c’était le parking des voitures mais il n’y avait personne.
Par contre plus loin en sortie de ce premier parking il y avait un virage sur la droite puis à gauche qui débouchait sur un plus grand pour les camions, il y en avait deux garés presque l’un à côté de l’autre je me demandais si les chauffeurs étaient des habitués des exhibes de couples ou s’ils étaient là par hasard.
Peut-être avaient-ils lu mon post et m’attendaient-ils… Les cabines étaient allumées en tout cas, ils ne dormaient pas c’est déjà ça…
J’ai pris la décision d’allumer le plafonnier de ma voiture afin qu’ils voient qui s’y trouve, en l’occurrence une minette déjà bien chaude comme la braise prête à montrer ses parties intimes à des inconnus et à y prendre beaucoup de plaisir…
Je démarrais au pas et avançais ma voiture dans leur direction. Lorsque je passais devant leurs cabines, je regardais dans leur direction, ils étaient assis derrière leur volant, ils m’ont regardée passer, j’ai fait demi-tour et j’ai tournée deux fois autour de leurs camions au pas avant de me garer face à eux. Ils avaient une vue plongeante sur l’intérieure de ma voiture par le pare-brise.
J’étais toujours éclairée par le plafonnier et l’un deux surement habitué me fit un appel de phare, J’ai cru devenir aveugle sur le coup, mais c’est vite passé et il a éteint immédiatement.
Pour les exciter un peu, je fis descendre mon string le long de mes jambes et je baissais ma vitre pour l’accrocher à mon rétroviseur. Je vis une portière s’ouvrir et un homme descendre, il s’approcha de ma voiture l’autre le suivi presque immédiatement. Ils étaient là tous les deux devant mon capot, j’étais très excitée. Pour rire je fis un petit appel de phare, ils se sont regardés et ils se sont débraguettés pour prendre en main leurs engins.
Ils ont commencé à se masturber et je dois l’avouer j’étais toute dégoulinante et en feu. J’ai fait tomber les bretelles de ma robe pour leur montrer mes seins que je malaxais à pleine main tout en alternant avec une séance de pinçage de tétons.
Je leur offrais également la vue de ma vulve toute rosée et gonflée de désir. De temps en temps je glissais un à deux doigts dans mon intimité puis léchais mes doigts langoureusement.
L’un d’eux se saisit de mon string et le renifla, il le passa à son compère tout aussi curieux de sentir mes effluves de désir. Le premier le repris et le frotta sur son sexe, il se masturbait avec, le second avait collé son sexe à la vitre, il dessinait des arcs de cercle sur mon carreau, je lui faisais des bisous à travers la vitre sur le bout du gland, j’étais en sueur j’avais très chaud.
Ils me parlaient à travers la vitre, ils me disaient que j’étais belle et fraîche, que j’allais les faire jouir, mais qu’ils voulaient aussi me voir jouir.
L’un me demanda de lui montrer mes fesses, alors je me suis mise à genoux entre les deux sièges et lui ai révélé ma croupe offerte, mon petit minou tout épilé et mon petit œillet tout serré. Le premier a joui sur mon string, je l’ai entendu râler au moment ou il expulsait son sperme sur ma dentelle. Le second c’est complètement lâché sur la vitre conducteur de ma titine. Le premier l’a essuyée avec mon string et me l’a tendu en guise de trophée. Je voyais très nettement les traces blanches laiteuses ainsi que les grosses auréoles sombres sur le tissus. A ce moment je ne pensais pas le récupérer mais il l’a raccroché au rétroviseur.
J’étais tellement excitée de voir que les saligauds étaient toujours en forme, je pris la décision d’ouvrir la fenêtre pour me laisser caresser, je voulais qu’ils me fassent jouir. Ils ne se sont pas fait prier, ils ont passé le bras par la fenêtre et mon caressée de partout, le plus téméraire me mis même des doigts dans le minou. Le second rapprochait son sexe de ma tête, il voulait que je le suce et me le faisait savoir en me faisant coulisser son indexe dans la bouche.
Je le pris donc en bouche et son compère également, je les suçais à tour de rôle.
J’avais passé le point de non retour depuis très longtemps, ils me firent descendre de la voiture et m’accroupirent devant eux et devant les phares de ma voiture. J’entendis un camion passer derrière moi il se gara non loin.
Le troisième chauffeur se joignit à la fête. Il avait les couilles pleines celui là, il jouit très vite dans ma bouche, je laissais couler son jus le long de mon menton. Les deux autres étaient déjà allégés, ils ne jouirent pas ainsi.
Le premier s’adressa à moi.
- Tu en veux toi hein?
Je lui ai répondu que oui, que j’étais excitée au plus haut point et que je voulais manger de la bite.
- Je vais lancer un appel à la CB » m’a-t-il dit « suis nous on va te montrer un truc
Ils me conduisirent aux sanitaires hommes, et me firent entrer dans une cabine. Il y avait de gros trous dans les cloisons, trois de chaque coté. On pouvait voir à travers. Il y avait des inscriptions autour. « mange ça! » « suce! » « avale! » que de beaux poèmes…
Je compris que j’allais devoir sucer les bites qui sortiraient de ces trous, sans même voir à qui elles appartenaient. Je reconnaissais les verges bien droites des trois compères mais très vite il y en eu des nouvelles, il y en avait de très belles, et de très moches aussi… De belles noires…
Je ne sais pas combien j’en ai sucé, mais je les ai toutes faites gicler dans ma bouche. Quand je me penchais pour sucer d’un côté, je sentais des doigts s’insérer en moi de l’autre.
Mon petit œillet aussi y a eu droit.
Je pense que j’ai du sucer toutes ces queues pendant bien trois quart d’heure. Je n’en pouvais plus, je criais que je voulais être baisée comme une pute et la porte s’est ouverte.
Le premier type toujours lui, m’a dit de rejoindre son camion et de monter dans sa remorque. Je marchais nue sur le parking ou devait se trouver environ vingt camions maintenant. Ils correspondaient à toutes les queux que j’avais pompées. Je passais devant les routiers qui fumaient leurs clopes et me mataient l’œil vicelard.
Ma petite voiture semblait bien petite au milieu de tous ces camions.
Je montais dans la remorque, il y avait des anneaux de fixation un peu partout pour fixer les marchandises mais là elle était vide. Par terre au milieu il y avait un anneau avec un collier attaché au bout d’une chaîne elle-même prise à l’anneau.
- Tu vas te passer le collier si tu veux être prise comme une chienne
Je me suis exécutée, je me suis attachée le collier en cuir autour du cou et les ai vu monter un a un dans la remorque. Le premier type raccourci la chaîne afin que je ne puisse me tenir au maximum qu’à genoux.
- Voilà tu es bien docile, tu vas être comblée ma petite chérie, on va bien s’occuper de toi, tu en redemanderas tu verras
A partir de là je n’ai plus compté les bites que j’ai sucée, et qui m’ont enfilée comme une vulgaire pute de rue. J’en ai pris pour mon grade, ils se sont bien fait plaisir. Je me suis faite limer durant une bonne heure, ma minette n’était plus rosée mais bien rouge, quand à mon œillet, il n’était plus serré du tout, il n’arrivait même plus à retenir le sperme qu’on y avait fourré quand on me redressait pour avaler du jus d’homme. Ca a duré jusqu’à l’aube. Les gars allaient et venaient et pas que dans mon cul. Certains devaient être loin puisqu’ils avaient repris la route, mais le mot est vite passé, il ne cessait d’arriver de nouveaux concombres à dégorger il ne restait du début de la soirée que le premier type…
J’étais ravie et volontaire certes, mais je commençais à fatiguer.
- Je fatigue il va falloir que je rentre
Je crois que j’ai réussi à placer ça entre deux bites à manger.
- Tu veux déjà nous quitter ma petite chérie?... Ok on va refouler les nouveaux tu vas pouvoir aller te reposer ma petite salope
Je fini donc de vidanger les derniers venus, même le gros lard qui après m’avoir explosé la rondelle avec son gros manche, a insisté pour que je lui gobe le gland jusqu’aux couilles et avale sa crème fouettée jusqu’à la dernière goutte.
Je suis sortie de la remorque couverte de sperme de la tête aux pieds, je suis allé prendre une douche aux sanitaires, le premier type m’avais laissé généreusement son savon.
J’ai trouvé ça sympa, mais bon après tout ce que j’ai fait pour eux… quand même…
Quand je suis retournée à ma voiture mon string avait disparu mais ma robe m’y attendait sagement. Il y avait plein de petits papiers sur les essuie-glaces avec des numéros de téléphone et des adresses @mail.
Je savais qu’ils ne m’oublieraient pas car moi non plus je ne les ai pas oubliés.
Chopée par des étudiants.
J’ai trente et un ans, j’habite dans la banlieue sud-est de Toulouse depuis peu, nous sommes au début du mois de juillet, un vendredi soir, mon mari est en déplacement à l’étranger, ma fille et mon fils en vacances avec leurs grands-parents. Rien d’intéressant à la télé, pas encore d’amis, bref je m’emmerde. Je me demande vraiment ce que je vais faire, lorsque je me souviens d’une réflexion que j’ai entendue dans la PME où je fais un remplacement, une fille disait à d’autres en plaisantant : "si ça te chatouille vraiment, tu peux toujours aller te promener le soir dans le quartier de la gare, il y a toujours des mecs prêts à choper des filles là-bas".
Après tout, pourquoi ne pas y aller faire un tour, ça me passera le temps et ce sera agréable de se promener dans cette belle ville.
Sitôt dit, sitôt fait, je passe un jean qui me moule bien les fesses et les cuisses et un débardeur qui fait ressortir mes seins, un coup de peigne, des talons hauts pour accentuer la cambrure de mes reins et basta, on verra bien. Une semaine que je n’ai pas fait l’amour, ça commence sérieusement à me démanger, je vais peut-être réussir à me faire choper !
Arrivée près de la gare, je range ma voiture et je descends lentement vers la Garonne, la température est douce, je croise beaucoup de promeneurs, surtout des couples, des filles qui se sont déjà fait choper peut-être et il y a beaucoup de gens à la terrasse des bars. Un moment, j’ai l’impression qu’un type me suit, mais non, quelques hommes me regardent mais aucun ne m’aborde. Je décide de prendre un verre, je m’assois à une terrasse et commande une bière.
Le serveur me l’apporte, je lui tends un billet qu’il repousse et me dit :
— Non, elle vous est offerte par le Monsieur là-bas, et il me montre un vieux bonhomme, avec un chapeau, qui me sourit. Je ne suis pas venue ici pour me taper un vieux, je rétorque :
— Dites lui qu’il y a erreur sur la marchandise, et je lui redonne mon billet, qu’il prend en ajoutant :
— Il me semblait bien que je ne vous avais jamais vue par ici. Il me rend la monnaie et repart.
Un moment après, un type passe, me regarde avec insistance, s’éloigne, revient sur ses pas, enfin s’approche de moi et me demande doucement :
— Bonjour, c’est combien ?
— J’ai une gueule de tapin ?
— Excusez-moi, tout le monde peut se tromper !
Je n’avais même pas remarqué qu’il y avait des prostituées dans ce quartier !
J’ai presque fini ma bière lorsque deux jeunes arrivent et s’assoient à la table à côté, un blanc et un noir, très noir, certainement africain, qui me regarde et me dit avec un large sourire dévoilant ses dents blanches :
— Je peux vous offrir un verre Madame ? Je m’entends lui répondre :
— Pourquoi pas ? Nous discutons un moment, j’apprends qu’il est ivoirien, son prénom est Aboubacar mais je peux l’appeler Abou, qu’ils sont étudiants, son copain est français, ils sont en coloc. Il me demande ce que je fais ce soir, si j’attends quelqu’un, je lui dis que je suis libre comme l’air, son copain parle peu, j’ai l’impression qu’il n’apprécie pas trop ma présence. Abou me dit à l’oreille :
— Tu viendrais prendre un verre chez moi ?
— Pourquoi pas ? Mais ça ne va pas plaire à ton copain !
— On a chacun notre chambre.
— Si ça te fait plaisir, c’est d’accord. J’ajoute :
— On y va alors, mais il peut venir avec nous si il veut, plus on est de fous, plus on rit !
— Il n’a pas d’argent pour payer.
Je comprends, eux aussi me prennent pour une pute !
— Mais je ne demande pas d’argent, je ne suis pas une pute, si je vais chez toi ou plutôt chez vous, c’est pour le plaisir de passer une bonne soirée, c’est tout. Le copain me regarde étonné et me dit :
— Excuses-moi, je croyais que tu en étais une, il y en a partout ici, je suis désolé.
— Ce n’est pas grave, en tout cas moi je suis partante si vous êtes d’accord pour m’offrir un verre chez vous, Abou dit :
— Eh bien, on est d’accord, n’est-ce pas Ted ?
— Oui bien sûr !
— Alors on y va.
On se lève et on part tous les trois, je me place entre eux et leur prend le bras. Après une trentaine de minutes de marche, nous arrivons devant le bâtiment où est situé leur appart. Ils me font visiter, une cuisine, une salle à manger/salon, 3 chambres, ils ont un 3ème coloc.
Je m’assoie sur le fauteuil, eux aussi, un de chaque côté, Ted a ouvert une bouteille de champagne et rempli des flutes, il me dit que je suis super bien roulée, qu’il aime bien les gros seins et qu’il a envie de me faire plein de choses, Abou m’a attrapée par l’épaule et m’embrasse, pour les mettre à l’aise, je pose mes mains sur leurs braguettes, ils bandent déjà. Ted passe sa main sous mon débardeur et remonte jusqu’aux seins, Abou a une main sur mon jean, entre mes cuisses. Je leur dis :
— Il fait chaud chez vous, ça vous gêne si je me mets à l’aise ? Vous n’avez pas chaud vous ? Nous nous levons tous les 3, retirons nos vêtements, et nous retrouvons nus. Je peux constater qu’Abou a une belle bitte, près de vingt centimètres, très épaisse, celle de Ted est plus fine et un peu moins longue, ils constatent que j’ai un beau cul et des seins lourds et fermes, et moi je pense que prendre ces bites dans mon cul ne peut pas me faire de mal et qu’ils vont m’en mettre un bon coup. J’ai bien fait de venir.
On s’assoit de nouveau, je prends ces deux belles queues entre mes mains et commence à les masturber lentement, Abou s’occupe de ma chatte dans laquelle il a glissé plusieurs doigts, Ted de mes seins dont il mordille et pince les tétons. Je choisis de commencer par sucer la bite d’Abou, je me penche sur lui et enfourne sa queue, j’en ai plein la bouche, elle est énorme, tellement grosse que je ne parviens pas à la prendre entièrement. Je remonte sur le gland, le prend entre mes lèvres, le titille avec ma langue, puis l’engouffre dans ma bouche.
Pendant ce temps, Ted me malaxe les seins et me chatouille les tétons. Je change de position et m’agenouille cuisses écartées afin que Ted puisse aussi prendre du plaisir, il comprend le message, se place derrière moi et pénètre ma chatte en levrette, je remue les fesses pour l’exciter, tout en continuant à pomper lentement Abou dont le rythme de respiration s’est accéléré.
Ted essaie de me la mettre entièrement, il me pénètre lentement et va jusqu’au fond de mon vagin, c’est bon, il est assez long, dommage qu’il ne soit pas plus épais. Après me l’avoir bien mise, il arrête de bouger pendant quelques secondes, je continue mes allers-retours sur la queue d’Abou, qui n’en pouvant plus explose dans ma bouche au moment même où Ted se met à me pilonner à grands coups de reins, la bite d’Abou sort de ma bouche et il m’envoie des giclées de sperme sur le visage. Ted ne s’est aperçu de rien, il continue à me limer profondément, je sens ses couilles rebondir sur mes cuisses ! C’est très bon mais il m’inonde le vagin avant que j’atteigne l’orgasme. Je suis un peu déçue.
Abou me donne une serviette pour m’essuyer le visage. Puis, ils me caressent et me lèchent tout le corps, sans oublier mon petit trou. Nous terminons la bouteille et le premier de mes mâles à reprendre vigueur est Ted, je me penche aussitôt vers lui et le prend en bouche, je n’arrive pas à l’engloutir entièrement mais ma fellation doit être bonne puisque quelques minutes après il est parfaitement raide. Je le suce lentement, je ne veux surtout pas le faire jouir trop rapidement, il faut que j’en profite aussi. Je remarque qu’Abou commence lui aussi à reprendre de la vigueur et je leur propose de nous trouver un lit.
Abou nous emmène dans sa chambre, je les suce et les branle tous les deux et leur offre de me prendre le cul l’un après l’autre, bien sûr ils acceptent et Ted dit :
— Toi t’aimes baiser, t’es une vraie salope !
— Toi, tu sais parler aux femmes !
Étant le plus fin, je lui demande de me prendre le premier, un peu de lubrifiant et Ted me la pousse au fond sans difficultés et commence à m’entreprendre à grands coups de reins, il me lime bien le cul, en me malaxant les seins et en me traitant de chienne, de salope et de putain, mais je sens qu’il va bientôt venir et je tente de me défaire de son étreinte pour offrir mon cul à Abou qui se masturbe en nous regardant. Mais il ne l’entend pas ainsi et redouble la cadence de ses allers-retours. Ce qui doit arriver arrive et il décharge dans mon cul. C’est la seconde fois qu’il me remplit sans m’avoir procuré aucun plaisir.
Je demande à Abou de me pénétrer lentement pour laisser le temps à mon sphincter de s’adapter à ses dimensions. Il positionne son gland sur ma rosette et entreprend son exploration. Je le sens avancer dans mon anus, c’est magnifique cette énorme bite qui s’enfonce en moi, une fois bien au fond de mon cul, il me demande si ça va, je réponds :
— Oui ça va, baises-moi maintenant, défonces-moi bien, fais-moi crier, fais-moi jouir.
Il commence des allers-retours de plus en plus rapides et rapidement je crie de plaisir, ce que j’ai dans le cul est énorme et pendant quelques minutes, j’enchaine les orgasmes. Je me rattrape. Je reprends tout de même mes esprits lorsque je sens qu’il est prêt à exploser, je tortille un peu mon cul et il se vide en râlant au plus profond de moi.
Nous entendons la porte s’ouvrir, puis une tête passe par la porte entrouverte et dit :
— Qu’est ce que vous faites les mecs ? Ah, je vois, on s’en fait pas, vous avez ramené une amie ! Et en plus elle est superbe ! Je peux vous rejoindre ?
— Bien sûr !
Il rentre dans la chambre et dit :
— Bonjour, je m’appelle Salif, je suis sénégalais.
Je lui réponds :
— Moi c’est Anne-Laure !
Il est grand et apparemment musclé, avec de larges épaules. Comme ses deux copains, il est étudiant. Je lui dis :
— Si tu veux t’amuser avec nous, il faudrait te déshabiller.
Ce qu’il fait sans plus attendre, je découvre alors sa queue qui est de dimensions normales, assez épaisse quand même. Il me regarde et dit :
— Alors ? Tu ne t’attendais pas à ça, à ce que je vois ! Tu pensais que j’en avais une plus grosse ?
— Pour tout t’avouer, oui.
Mais en fait je préfère comme ça, ainsi j’ai 3 bites différentes pour m’amuser et prendre du plaisir ! J’en connais beaucoup qui aimeraient être à ma place !
— Tu veux l’essayer ?
— Bien sur, je ne veux pas mourir idiote ! Surtout que tes amis sont fatigués, ils ont pris de l’avance !
Il se couche à côté de moi, m’embrasse, me pétrit les seins d’une main et commence à me masturber de l’autre. Je lui propose de faire 69, il accepte, il se couche, je me couche sur lui, il prend possession de ma minette et moi de sa bite, sur laquelle se referment mes lèvres. Je le pompe goulument, avalant profondément sa queue et agaçant son gland avec ma langue jusqu’à ce qu’il décharge au fond de ma gorge. Après quelques instants, il me regarde et me dit :
— Tu suces super bien, impossible de me retenir, d’habitude je ne viens pas si vite !
Et nous rejoignons nos amis dans le salon où ils se désaltèrent. Ils m’offrent une boisson, j’opte pour un jus d’orange et nous discutons un moment jusqu’à ce que mes mâles reprennent vigueur.
Et c’est encore Ted qui rebande le premier, il se lève et me dit :
— Allez viens, cette fois je vais te faire jouir !
Il m’emmène dans sa chambre, m’invite à me coucher et me prend à la missionnaire, il me lime activement puis me demande de venir sur lui, il me suce les seins et met les doigts dans mon cul en continuant ses vas et vient jusqu’à ce que j’atteigne l’orgasme, il ralentit alors la cadence. Abou et Salif sont debout, la bite à la main, ils attendent leur tour, je demande à Ted de cesser de me pilonner, il s’arrête mais garde ses mains sur mes hanches pour rester dans mon ventre, je leur dis :
— Vous êtes trois, je suis seule, bien que j’ai trois trous, c’est difficile de les occuper en même temps mais si vous voulez, vous pourriez me prendre à deux, un devant et un derrière, qu’en pensez-vous ?
Ils sont d’accord. Je suis déjà empalée par la chatte sur la bite de Ted, je propose à l’un des deux de venir me prendre le cul, je m’allonge sur Ted et Abou monte sur le lit, pose son gland sur ma rosette et prend lentement mon cul, Ted restant dans mon vagin.
Dès qu’ils sont tous les deux au fond, j’ai l’impression que je vais défaillir, que je perds ma respiration, je demande à Ted de ne pas bouger, seul Abou me limera au début. Dès les premiers allers-retours, je crie de plaisir, ces deux bites dans mon ventre, c’est merveilleux, puis Ted se met aussi à me pilonner et là c’est l’explosion, j’ai orgasme sur orgasme. Peu de temps se passe avant que leurs muscles se crispent et comble de bonheur, ils jouissent tous les deux en même temps.
J’ai mal au ventre mais il reste Salif à satisfaire, je lui propose de me rejoindre, je le suce un peu pour lui faire reprendre vigueur puis il me prend en levrette. Il me besogne bien et j’ai plusieurs orgasmes, puis il monte à l’étage au-dessus et m’encule sans aucun problème, il me lime rapidement m’amenant un nouvel orgasme, il continue ses allers-retours et se vide les couilles dans mon cul.
Moi qui craignais m’ennuyer, je passe une excellente soirée !
Je crois que je vais rester passer la nuit avec eux …. Et peut-être tout le week-end … Si affinités !
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Le mois des violences sexuelles au cinéma.... Et il y en a...!!! Heureusement c'est du cinoche!
En 2002 une scène fait scandale
dans le film Irréversible..
Jamais égalée depuis.
dans le film Irréversible..
Jamais égalée depuis.
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En quelques traits... Imaginez....!
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Histoire du net. Auteur inconnu. Erasmussss...
Les voyages forment la jeunesse...
Peuvent aussi de former à autre chose.
Peuvent aussi de former à autre chose.
Les choses de la bitte comme ion dit.
Le voyage scolaire en Espagne
Je vais vous raconter le voyage scolaire que j’ai fait en Espagne. J’avais à l’époque 16 ans et j’étais donc en classe de 1ère. Etant en S, l’espagnol n’était pas une matière très importante et pour tenter de motiver les troupes, la prof avait eu l’idée de nous faire chatter avec des élèves espagnols de notre âge. Le principe étant de rendre le cours plus interactif.
Je tiens quand même à préciser que notre prof rendait le cours attractif à elle toute seule ! Elle avait à peine la trentaine, typée espagnole, brune avec des yeux marron. Environ 1m65/70 avec des jolies formes. A vu de nez je dirais 90C mais c’est surtout son gros cul bien ferme qui faisait sa force d’attraction. Inutile de dire que lorsqu’elle écrivait au tableau, l’ensemble de la classe était attentif !
Pour en revenir à son idée pour rendre les cours plus intéressant, le principe était que chaque élève français ait un correspondant espagnol. Surement par peur qu’il y ait des dérives, nous ne pouvions pas nous voir, ni échanger des adresses mails ou facebook…
Nous voici donc au jour du premier chat. La prof nous explique ce que je viens de vous raconter et pour nous motiver encore plus, elle annonce qu’elle a obtenu les accords et les financements pour que nous allions rencontrer nos correspondants en cours d’année. Elle nous attribue alors nos correspondants avec lesquels nous allons échanger toute l’année. Je tombe sur une fille qui s’appelle Catalina.
Nous commençons donc à dialoguer tant bien que mal. Après plusieurs séances, nous arrivons à échanger assez facilement bien qu’il nous manque souvent du vocabulaire que nous prenons le temps de chercher.
Au fur et à mesure de nos conversations, j’en apprends d’avantages sur elle. Je découvre que ma correspondante à l’air d’être une sacrée coquine. Elle me dit coucher avec pas mal de mecs et de filles. Nous avons donc un point commun : nous sommes accros au sexe. Du coup, nous parlons souvent de sexe (j’avoue que cela ne m’a pas beaucoup aidé au BAC !) et bien que nous n’ayons pas la possibilité de nous voir, nous nous échangeons des descriptions assez précises.
Catalina a donc 16 ans elle aussi. Elle mesure 1m72 pour 55 kg. Elle ne semble pas avoir de très gros seins mais il parait que son petit cul est incroyable. De plus, pendant nos conversations, elle m’a avoué que ma description lui plaisait beaucoup et qu’elle n’avait jamais couché avec un français. Inutile de vous dire que j’ai hâte d’aller à Valladolid. Et je crois que Catalina a hâte que nous venions !
C’est finalement en avril que nous nous rendons en Espagne. Les quatre bus partent du lycée pour de nombreuses heures de routes. Nous partons à 18h car nous devons récupérer des élèves dans un autre lycée qui n’est pas vraiment sur notre route alors que le voyage est déjà long. De plus, la prof souhaite que nous nous arrêtions visiter certains lieux une fois en Espagne. Tant qu’à parler espagnol, la prof aurait pu trouver une ville à la frontière ! Pour passer le temps, nous nous occupons comme nous le pouvons : discussion, musique, jeux…
Après un arrêt pour manger, nous reprenons la route pour la nuit. Au fur et à mesure que les kilomètres passent, de plus en plus de gens s’endorment. Je discutais depuis un moment avec Romain, mon meilleur pote, lorsque celui-ci a profité du fait que la place à côté de la prof soit libre pour aller lui parler. Je regarde alors autour de moi et je vois que la fille assise à côté d’Emilie s’est endormie.
Emilie me voit et je lui fais signe de venir. Je suis assis au fond du bus, sur le côté droit. Il n’y a personne d’autre que moi dans cette dernière rangée car les autres préfèrent les autres rangs où l’on peut allonger le siège pour dormir.
Emilie se faufile jusqu’au dernier rang du bus et elle s’assoie à côté de moi. Pour ceux qui n’ont pas lu mon récit « La nuit du réveillon » Emilie est la fille la plus cochonne du lycée. Elle ne doit pas être loin d’avoir couché avec tous les mecs présents dans le bus et c’est une excellente suceuse, d’où son surnom : Pipelette.
Ce n’est donc pas innocent de ma part de lui avoir fait signe de venir, surtout après le nouvel an que nous avons passé. D’ailleurs, je n’ai pas eu l’occasion de la baiser depuis. Elle s’assoie à côté de moi et place une couverture sur elle.
Nous discutons un peu et l’air de rien, je commence à la caresser. D’abord ses cuisses, puis sa chatte à travers ses collants. Emilie se blottit contre moi et pose sa tête blonde sur mon épaule. La couverture nous permet d’être assez discrets même si tout le monde semble dormir dans le rang devant nous. Ma main est maintenant passée sous son collant et sous son string. J’enfonce deux doigts dans sa chatte. Elle mouille abondamment et sa respiration s’accélère. Je sens alors sa main qui frotte ma bite à travers mon jean. Nous continuons de nous caresser un petit moment.
Soudain Emilie m’embrasse et disparait sous la couverture. Je sens mon jean s’ouvrir puis elle sort ma bite de mon caleçon. Elle l’embrasse, fait glisser sa langue dessus puis elle la gobe en entier (on ne se fait pas surnommer Pipelette sans savoir faire un gorge profonde !). Elle me suce tranquillement et joue avec mes couilles. Je relève un peu la couverture pour voir son visage sur ma bite. Je coince la couverture dans les sièges, ce qui me permet de la voir et de libérer mes mains pour caresser et lui appuyer sur la tête.
Elle me taille une super pipe et je dois prendre sur moi pour ne pas faire de bruit. Tout en gardant une main sur sa tête pour lui imposer mon rythme, j’utilise mon autre main pour la doigter de nouveau. Elle finit par se redresser et elle me dit à l’oreille : « Je veux ta bite en moi ». Nous ne disposons pas de beaucoup de place malgré qu’il n’y ai personne d’autre dans le dernier rang du bus où nous sommes car si nous dépassons des autres rangées de sièges, nous allons immédiatement être grillé par la première personne qui regarderas derrière.
Mais Emilie ne semble pas en être à son coup d’essai dans un bus car elle me dit qu’elle sait comment nous allons faire. Je reste assis et elle vient se positionner au-dessus de moi. Elle me tourne le dos pour faire face au reste du bus et voir si quelqu’un se retourne. Elle s’empale alors sur ma bite. Je m’agrippe à ses hanches et je l’aide à remonter puis à se faire embrocher par ma bite. Nous allons très vite et après seulement une dizaine de minutes, je sens la sauce venir. Emilie s’agenouille alors devant moi et me suce frénétiquement jusqu’à ce que j’inonde sa bouche.
Elle m’embrasse puis retourne s’assoir à côté de son amie qui dort toujours comme la grande majorité des occupants du bus. Comme j’ai toute la rangée arrière pour moi, je m’allonge et je m’endors facilement maintenant que mes couilles sont vidées.
Lorsque je me réveille, nous avons passé la frontière. Je vois Romain qui est allongé sur l’autre partie de la rangée. Il est lui aussi réveillé et j’engage donc la conversation avec lui :
- T’es allé faire quoi devant avec la prof ?
- Lui demander des trucs sur le voyage et lui parler.
- Te moques pas de moi t’as essayé de la draguer !
- Bah tranquillement vers la fin mais pas trop non plus. Juste des trucs gentils !
- Comme quoi ?
- Je l’ai félicité et remercié d’avoir organisé tout ça et il est possible que je l’ai un peu complimenté sur sa gentillesse et son physique.
- Tu lui a rien fait d’autre ?
- Non devant c’est pas très discret de toute façon. Mais elle a pas fermé la porte non plus ! Par contre toi derrière tu t’es pas ennuyé ! (Il me montre le string de d’Emilie qui est resté par terre)
- Tu m’a laissé tout seul alors fallait bien que je m’occupe !
- T’aurais pu écouter de la musique ou dormir comme tout le monde.
- Mais tu sais bien que je suis pas comme tout le monde. Et puis j’avais trop envie de baiser.
- Tu l’as carrément baisé dans le bus ?
- On s’est caressé, elle ma sucé évidement et après je l’ai sauté.
- C’est vraiment une salope cette fille ! La preuve elle part sans son string et elle s’en rend même pas compte !
- T’as qu’à aller lui rendre si t’as peur qu’elle s’enrhume !
Nous arrivons sur une aire de repos et la prof annonce que l’on s’arrête une heure pour manger. Tout le monde descend du bus. Je suis juste derrière mon pote lorsqu’il aborde Emilie en lui montrant son string.
- Eh Pipelette, tu as oublié ça derrière.
- Ah bah rend le moi !
- Tu rêves ! Je suis pas ton père, je traine pas derrière toi gratos pour te rendre tes affaires.
- Alors on va aux toilettes et on règle ça !
- Tu vois ma petite Pipelette, tu sais analyser le juste prix de mes services !
Je les vois qui se dirigent vers l’intérieur de la station-service. Je reste avec un groupe d’amis et nous allons acheter de quoi manger. Après manger, je vais pisser et me laver les mains. Lorsque j’entre, je constate que Romain est toujours occupé avec Emilie grâce aux sons qui sortent de l’une des cabines.
Je commence à soulager ma vessie toute en écoutant et c’est alors que j’entends une troisième voix. Je crois reconnaitre l’un des mecs de la classe. Etant d’un naturel curieux, je ne peux m’empêcher d’aller voir de qui il s’agit. J’entre dans la cabine voisine de la leur et je regarde par-dessus la paroi. Je vois alors Maxime, qui est dos au mur avec Emilie sur sa bite. Romain et derrière elle et il l’encule sauvagement. Ils lui font une double pénétration qui l’a font couiner de plus en plus fort. Je serais bien allé les rejoindre mais à trois dans une cabine, ils sont déjà bien assez serrés !
Et puis il ne reste plus qu’une dizaine de minutes avant notre départ. Alors que j’allais sortir des toilettes, la porte s’ouvre violement et je vois celui qui doit être le responsable de la station entrer. Les cris d’Emilie s’arrêtent net et bien que je ne comprenne pas tout ce qu’il me dit, je comprends qu’il me demande ce qui se passe ici.
Comme je ne veux pas balancer mes camarades et pour qu’ils n’aient pas de problème, je lui réponds que je n’en sais rien. Il commence à fouiller toutes les cabines. J’en profite pour partir rapidement et rejoindre le bus. Je reprends ma place et j’attends le départ. Mais ce départ va être quelque peu différé. En effet, au moment de l’appel, trois personnes manquent à l’appel. Je vous laisse deviner de qui il s’agit !
La prof commence à s’inquiéter et c’est à ce moment que nous voyons nos trois camarades arrivés escorté par le gérant et un employé. Comme les portes sont ouvertes nous entendons toutes la conversation entre le gérant et notre prof (qui nous est traduit par une fille d’une autre classe qui est bilingue).
- C’est à vous cette bande d’obsédé ?
- Ceux sont mes élèves oui. Qu’ont-ils fait ?
- Une partouze dans les toilettes de ma station-service. C’est inadmissible !
- Je suis confuse et désolée.
- Vous pouvez, plein de clients se sont plaints ! Reprenez votre salope et vos deux connards et dégager d’ici !
- Montez immédiatement dans le bus vous trois ! Comment puis-je me faire pardonner ?
- En partant, je ne veux rien d’autre. Ah si, je ne veux jamais vous revoir !
Les bus repartent donc vers notre prochaine destination, un village du Moyen-âge. Notre prof décide de séparer nos trois zozos. Elle fait assoir Romain à côté d’elle. Je suis sûr que ça l’arrange et peut être que son numéro de charme de hier a bien marché en fait !
Maxime est assis vers l’avant et elle dit à Emilie d’aller à sa place qui est plus dans le fond.
Elle traverse donc le bus sous les railleries de tout le monde :
- Alors Pipelette, tu as bien mangé ?
- Salope, tu as bien pompé à la station ?
- Si t’as encore faim, j’ai ma bite !
- Ils t’ont prise ensemble ?
- Pipelette elle est accro à la quequette !
Tout le monde s’arrêtent lorsqu’un prof accompagnateur nous engueule et quand Emilie s’assoie, plus personne ne fait attention à elle. La monotonie de la route reprend mais elle s’arrête rapidement pour moi. Comme la prof a déplacé deux personnes, il est logique que deux autres personnes doivent changer de place. C’est ainsi que je vois une fille venir s’assoir dans la rangée du fond à la place de Romain.
Je l’ai déjà croisé mais elle est en L et donc je ne la connais pas. En la regardant arriver, je remarque qu’elle a un certain charme bien qu’elle ne soit pas une bombe. C’est une rouquine aux yeux bleus. Elle est petite, environ 1m60. Elle a de jolies petits seins et un cul bien proportionné avec son corps. Elle porte un jean moulant avec un haut et une veste qu’elle enlève en s’asseyant à une place de moi et elle me regarde à travers ses lunettes.
Puis elle sort un livre et commence à lire. Je lui dis qu’elle peut s’assoir à coté de moi et que je ne vais pas la manger. Elle me dit que ma réputation me précède et qu’elle est très bien où elle est. Elle m’a l’air coincé et pas très sympathique. En plus, elle est timide car elle est devenue toute rouge en parlant. Ça me fait une moyenne avec Pipelette !
Même si elle n’est pas une bombe, elle a un certain charme et je tenterai bien de la décoincer. J’entame donc la conversation mais ce n’est pas simple. Malgré tout au bout d’une dizaine de minutes, je sais qu’elle s’appelle Amandine et qu’elle a 16 ans. Mais elle veut lire tranquille et elle se déplace à l’opposé de la rangée.
Je la matte sans me gêner et ma bite en devient dure. Elle déforme même mon jean. Je remarque qu’elle jette parfois des regards vers moi et plus particulièrement vers la bosse de mon jean. Je remarque aussi qu’elle bouge pour faire bomber sa poitrine et qu’elle écarte un peu les cuisses (faudrait juste lui expliquer que ça serait efficace si elle était en jupe !). Nos regards finissent par se croiser et je perçois un trouble chez elle.
Nous arrivons dans un petit village dont le nom m’a complètement échappé. C’est là que nous allons visiter un château et je dois dire que cela m’ennuie à l’avance. D’autant plus que ce château n’a rien d’extraordinaire. Il est en ruine et l’unique intérêt de ce village (enfin ce qui l’en reste) est qu’il y a des semblants de reconstitutions historiques de scènes de la vie quotidienne.
Nous descendons donc du bus. Les profs nous laissent nous promener dans ce village comme bon nous semble mais ils nous demandent de participer à un maximum d’activité et de regarder un maximum de reconstitutions. Je déambule donc dans les rues et je me dirige vers les remparts pour prendre de la hauteur et sortir de la foule.
C’est alors que je vois Amandine qui s’approche de moi. Elle est seule mais je remarque qu’elle à un cahier et un stylo et qu’elle prend des notes. Lorsqu’elle arrive à ma hauteur, j’entame la conversation et elle s’assoie à côté de moi :
- Tu voulais pas me voir dans le bus tout à l’heure mais maintenant tu me poursuis !
- Non c’est juste que je voulais prendre de la hauteur pour faire un croquis de la ville.
- Un croquis de la ville ?
- Oui pour pouvoir mieux comprendre l’agencement de la société de l’époque.
- Ah ok ! Je croyais que tu venais ici pour moi.
- Non c’est surtout le point de vue qui m’attire.
- Tu veux plutôt dire que tu voulais retrouver le point de vue que tu avais dans le bus !
- Comment ça ?
- Arrête de faire ta coincée ! J’ai bien vu que tu regardais ma bite dans le bus.
- C'est-à-dire que ça attirait l’œil. Je suis pas habitué à voir des sexes si gros.
- Parce que tu en as déjà vu, c’est déjà bien. Tout le monde doit croire que tu es vierge !
- Non je ne le suis pas. J’ai tenté l’expérience cet été avec un ami pendant une soirée. J’étais loin de mes parents et des gens que je connaissais alors j’avais pas peur du regard des autres. Et j’avais envie de tenter l’expérience. J’ai lu plein de nouvelles érotiques qui m’avaient donné envie d’explorer ma sexualité.
- Bah là tu es loin de ta famille et tu es séparée des gens qui pourraient te juger par un rempart alors tu risques pas grand-chose.
- J’ai lu un récit une fois d’une princesse libertine du Moyen-âge qui m’avait beaucoup touché et depuis je rêve de prendre la place de cette princesse !
- Je suis pas un prince mais on est dans un château et vu les regards que tu m’as lancé, je suis sûr que tu as envie de sexe (je pose ma main sur sa cuisse en lui disant cela).
- Oui j’avoue que ça me manque beaucoup depuis l’été dernier. Et c’est vrai que j’avais des aprioris sur toi mais tu me plais alors je crois que je vais me laisser tenter mais il faut être très discret !
- Elle faisait l’amour où quand elle voulait être discrète ta princesse ?
- L’endroit le plus attirant c’était dans une tour.
- Vas dans la tour là-bas. J’arrive dans cinq minutes comme ça personne ne nous verras y entrer ensemble. Et ce sera l’occasion de faire une reconstitution historique de l’accouplement!
Pendant qu’elle se dirige vers la tour, je ne peux m’empêcher de mater son joli petit cul. J’attends donc un peu puis je me dirige à mon tour vers cette fameuse tour. C’est l’une des rares à être encore intacte. Lorsque j’entre, je tombe sur un escalier. Deux choix s’offre à moi : monter ou descendre.
Alors que je regarde vers le haut, je vois un soutien-gorge dans l’escalier. Décidément, cette Amandine me surprend de plus en plus. Elle n’est peut-être pas si coincée que ça ! Je prends donc le soutien-gorge et je monte. En arrivant en haut, je trouve Amandine qui est en train de prendre des notes. Je m’approche d’elle et je me place à sa gauche. D’où nous sommes, nous surplombons la ville. Je décide alors de lui mettre une main aux fesses.
Elle ne dit rien et continue de prendre des notes comme si de rien n’était. Son cul est très agréable à tripoter. Il est bien ferme. D’où nous sommes, des gens pourraient nous voir. Je décide donc de m’accroupir et je baisse son pantalon. Elle porte une culotte pas très sexy et qui fait plus enfant qu’ado coquine mais ce n’est pas grave car je lui enlève rapidement.
Je me place entre ses jambes et j’entame un cunni. Elle est toujours dans la même position que lorsque je suis arrivé mais j’ai le sentiment que sa prise de note n’est plus très efficace. Elle se laisse enfin distraire et sa chatte dégouline. Elle pose son cahier et prend appui sur le mur du rempart car ses jambes commencent à trembler de plaisir.
Ma langue joue avec son clito pendant que mes mains parcourent son corps. Je lui dis qu’il est grand temps que la princesse se serve de mon épée. Je m’assois sur un créneau de la tour. Amandine baisse mon pantalon et englouti ma bite comme une affamée. Elle commence à me sucer. Elle y met de la bonne volonté mais elle ne suce pas très bien. Surtout qu’il y a seulement quelques heures, ma bite était dans la bouche de Pipelette !
Je reste assis à me faire sucer pendant quelques minutes. J’ai même l’occasion de faire signes à un groupe de ma classe qui passe en bas de la tour avec la prof. Sauf qu’à cet instant, j’entends la prof dire qu’ils n’ont qu’à monter eux aussi. Nous nous rhabillons donc rapidement avec Amandine et nous reprenons l’escalier. Nous descendons tout en bas de la tour. Nous arrivons dans une pièce extrêmement sombre. J’aperçois une grande table. Amandine rebaisse mon pantalon et s’agenouille mais comme elle suce mal et que j’ai encore la bite dure, je préfère la sauter.
Je la fait donc s’allonger sur cette table. J’écarte ses cuisses et j’enfonce ma bite dans sa chatte. Elle est très étroite. Elle hurle de plaisir. Comme je ne sais pas s’il nous reste beaucoup de temps, je la bourre vigoureusement. Elle couine assez fort et comme je sais que les autres vont certainement emprunter le même escalier pour monter dans la tour, je ne veux pas qu’ils puissent entendre ses cris. Je lui mets donc sa culotte dans la bouche.
J’agrippe ses cuisses et je pose ses jambes sur mon torse. Je la baise violement. Mais elle semble apprécier puisqu’elle jouit rapidement. Les contractions de son vagin m’achèvent et je jouis dans sa chatte. Je l’aide à se relever et à s’habiller puis nous remontons. Arrivé à hauteur de la porte du rempart, elle m’embrasse et part. Je lui dis que j’espère qu’elle a pris des notes de ce qu’il se passe dans les tours !
Je remonte alors au sommet de la tour où je trouve le groupe que j’avais vu tout à l’heure. Je vois que Romain n’arrête pas de suivre la prof comme un petit toutou. En plus il fait le fayot ! Je suis certain qu’il fait tout pour se la faire. La prof engage alors la conversation avec moi :
- On te croyait perdu. Tu sors d’où ?
- Je suis allé voir en bas mais il fait sombre et y a rien à voir.
- C’est parce que tu ne sais pas quoi chercher !
- Faudrait déjà y voir !
- J’ai une lampe torche allons y.
Nous descendons donc là où j’ai baisé Amandine. Avec un peu de lumière, je remarque qu’en fait il y avait pas mal de choses à voir. La prof semble émerveillée jusqu’au moment où elle tombe sur la capote que nous avons laissé sur place. Pour détendre l’atmosphère je dis :
- Je ne savais pas qu’il y avait déjà des préservatifs à cette époque !
- Ne sois pas idiot, ce lieu sert visiblement de chambre à coucher pour certains. J’espère que ce n’est pas encore mes élèves.
- Je n’ai vu personne d’autre quand je suis descendu.
- De toute façon, il est l’heure de rentrer. Tout le monde au bus !
En remontant, je suis juste derrière la prof et j’ai une superbe vu sur son gros cul qui dandine sous mon nez. Cela me fait bander. En arrivant au bus, je retourne à ma place. Mais je remarque qu’Amandine s’est assise à sa première place. Elle semble gênée en me voyant et m’évite du regard. Ce n’est pas grave, elle m’a au moins permis de me vider les couilles. La prof souhaite préparer la prochaine étape avec l’un des autres profs et Romain a donc le droit, à sa plus grande tristesse, de venir s’assoir derrière.
- Fais pas cette tête, tu es triste de venir t’assoir avec ton meilleur pote ?
- Je préfère les nibards de la prof au tiens !
- Tu l’as toujours pas baisé depuis le temps que tu lui tourne autour et que tu fayottes ?
- Non et j’ai constamment la bite dure ! Entre son odeur, ses yeux, sa voix, ses seins et son cul, c’est impossible de débander !
- Bah passes à l’attaque.
- Faut que je trouve le bon moment et le bon endroit.
- Dans la tour c’était un bon endroit si tu avais voulu.
- Qu’est que t’en sais ?
- Je suppose c’est tout !
- Ah je comprends, tu n’es pas monté la haut pour la vue et encore moins pour prendre des notes !
- Et tu veux que je fasse quoi d’autre ?
- Tu t’es tapé la rouquine je suis sûr ! Me fais pas croire que c’était pour discuter du Moyen-âge.
- Je voulais savoir comment les gens baisaient au Moyen-âge !
Je lui raconte alors tout ce que je viens de vous raconter. Le voyage se poursuit. Nous nous arrêtons de nouveau pour visiter une Cathédrale. Mais à part Romain qui a trouvé la prof intéressante, il n’y avait pas grand-chose de palpitant. Nous étions tous groupé, donc impossible de baiser. Et par respect, je n’aurais pas baisé dans ce lieu de toute façon.
Le voyage reprend et nous arrivons enfin à Valladolid. Nous allons jusqu’au lycée de nos correspondants. Lorsque nous arrivons, nous sommes invités à aller dans le gymnase ou des rafraichissements nous attendent. Puis nos correspondants arrivent pour nous récupérer et nous emmener chez eux.
Nos profs nous appellent donc les uns après les autres et chacun découvre avec plus ou moins de joie son correspondant. Certains sont déçus et disent que les descriptions qu’ils ont eues ne correspondent pas à la véritable personne. C’est ainsi que j’en viens à penser qu’il se peut que ma correspondante ne soit ni la beauté ni la cochonne qu’elle a prétendu être. Je suis dans mes pensées lorsque j’entends mon prénom.
Je m’avance donc vers les profs et je suis alors rassuré. Je vois une jolie brune sortir du groupe d’espagnols lorsque le prénom de Catalina est appelé. Je dévisage cette fille. La taille et le poids qu’elle m’a annoncé semble correspondre. La beauté de son cul n’a pas été exagérée mais elle m’a menti sur ses seins. Elle a une jolie paire de seins. Certes ils ne sont pas énormes mais ils ont l’air très ferme.
Elle porte une jupe très courte et un top moulant et décolleté. Elle n’a pas forcément un très jolie visage mais elle a beaucoup de charme. On se fait la bise et on discute un peu. Je ne suis pas le seul à la trouver mignonne car j’entends un prof qui nous accompagne dire que je suis bien tombé.
Nous sortons donc du lycée pour aller chez elle. Sa mère nous attend dans la voiture. En la voyant, je comprends pourquoi Catalina trouve qu’elle n’a pas de gros seins. Sa mère a une poitrine énorme. Mais le reste de son corps et aussi proportionnellement plus gros !
Il faut dire qu’avoir quatre enfants n’est pas ce qui aide le plus à garder la ligne. De toute façon, c’est sa fille qui m’intéresse. Nous arrivons chez elle et elle me fait visiter la maison. Elle me montre ma chambre qui est en fait un bureau au rez de chaussé. Mais au moins j’ai une chambre pour moi tout seul et si jamais il y a des ronfleurs dans cette famille, je ne les entendrais pas puisque je suis à l’écart des autres chambres.
Catalina me montre sa chambre et nous restons un long moment à discuter (plus ou moins facilement). Nous échangeons aussi quelques contacts physiques comme des mains qui se frôlent ou qui se posent sur des épaules. Le courant passe bien entre nous et nous sommes attirés l’un par l’autre.
Mais le temps passe vite et il est déjà temps d’aller manger, bien qu’il soit 22h30. Après manger, je passe par la douche et je retourne dans ma chambre. En descendant, je croise Catalina qui me dit de ne pas m’endormir trop vite et qui me dépose un bisou sur la joue.
Je suis en caleçon, allongé dans mon lit depuis une quinzaine de minutes lorsque j’entends la porte s’ouvrir doucement puis se refermer tout aussi doucement. Grâce à la lumière de la Lune, je vois Catalina qui s’approche de moi. Elle porte une nuisette très sexy.
Elle grimpe sur le lit avec sensualité. Elle se place à cheval sur moi et s’avance lentement en frôlant mon corps. Sa main s’attarde un peu sur ma bite qui est déjà bien dure. Je suis rassuré sur un dernier point : c’est vraiment une cochonne. Lorsque sa tête est à la hauteur de la mienne, elle me sourit puis nos bouches sont comme attirées l’une par l’autre. Nos lèvres entrent en contact et nos langues font de même.
Elle se laisse tomber sur moi. Ses mains caresses mon visage, mes cheveux et mon torse pendant que les miennes caresse ses épaules, son dos, ses fesses et ses cuisses. Ensuite, je fais glisser les bretelles de sa nuisette tout doucement le long de ses épaules. Enfin sa poitrine est libre. J’en profite donc pour caresser ses seins. Mes lèvres quittent les siennes pour se poser sur ses seins que je lèche avec plaisir.
Catalina se redresse et après avoir bien profité de mes caresses, elle embrasse mon torse et se dirige lentement vers ma bite. Elle m’enlève rapidement mon caleçon et me branle doucement. Je constate qu’elle est habituée à se taper des bites car elle est très habile. Je constate aussi rapidement que c’est une excellente suceuse. Elle bouffe ma bite tout en jouant avec mes couilles. Elle suce quasiment aussi bien que Pipelette. Je profite de cette délicieuse pipe. Avec ma main je caresse ses jolis seins. Cela doit lui donner des idées puisqu’elle place ma bite entre ses deux nibards. Elle entame alors une bonne branlette espagnole, ce qui est la moindre des choses vu le contexte !
Après plusieurs minutes, je la tire vers moi et nous nous embrassons à nouveau. Puis je la bascule sur le dos et je me place sur elle. Je l’embrasse encore puis ma bouche parcours ses épaules, ses seins, son ventre et j’arrive devant sa chatte toute lisse. J’entame alors un cunni qui semble lui procurer énormément de plaisir. Elle ondule et pousse des petits gémissements de plaisir. Puis elle me supplie de la prendre.
Je me place sur elle et je m’enfonce doucement. Nous sommes en missionnaire. Elle enroule ses jambes et ses bras autour de moi puis je la bourre violement. Nous sommes très excités et elle me demande d’aller encore plus vite. Je la saute maintenant sauvagement et nous finissons par jouir intensément.
Elle continue de me serrer contre elle. Nous nous embrassons un long moment et comme je bande toujours, j’ai envie de la baiser encore une fois. Cette fois, c’est elle qui prend les choses en main. Je suis allongé sur le dos et elle se place au-dessus de moi.
A ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir, c’est son cul qu’elle présente à ma bite ! Elle me tourne le dos et s’assois sur ma queue. Elle est habituée à se faire enculer car ma bite entre aussi facilement que devant. Elle s’agite sur moi un long moment puis nous basculons sur le côté. Avec une main je joue avec ses seins pendant que mon autre main agrippe ses hanches. Je la baise comme une brute. Elle couine vraiment très fort. Finalement, j’inonde son cul et nous nous endormons dans cette position.
Le lendemain, c’est sa mère qui vient nous réveiller !
Elle ne semble pas gênée ni surprise de trouver sa fille nue dans les bras d’un mec qu’elle ne connaissait pas il y a un jour. Nous allons à son lycée et nous prenons part aux diverses activités qui sont organisées, principalement des visites.
Nous n’avons pas l’occasion de baiser dans la journée car nous sommes toujours en groupe et il n’est pas simple de s’isoler. Malgré tout, elle n’hésite pas à me tenir la main ou à se coller à moi. Evidemment, je pense qu’aussi bien du côté espagnol que du côté français, tout le monde sait ce que nous avons fait durant la nuit.
Le soir, nous baisons de nouveau. En fait, nous passons plusieurs jours à suivre le même programme : visite et baise. Je pourrais vous raconter chaque journée en détail mais mon récit ressemblera alors plus à un Kâma-Sûtra sans image qu’à un récit.
La veille de notre départ, une soirée est organisée dans le lycée. Lorsque je vois la tenue de Catalina, je bande instantanément. Elle porte une robe qui couvre à peine ses fesses et qui dévoile la moitié de sa poitrine. Elle fait très salope mais qu’elle est belle. En marchant dans le couloir qui nous mène à la grande salle, je passe une main sous sa jupe pour vérifier ce que je pense et effectivement, elle ne porte pas de string.
La soirée se déroule normalement et bien qu’il s’agisse d’une soirée « scolaire » les espagnols ne semblent pas gêner de distribuer de l’alcool, ce qui ne plait pas trop à nos profs. Mais malgré tout, ils sont les premiers à en profiter.
Catalina se frotte à moi en dansant. Nous nous embrassons et je tripote son cul sans retenu. De toute façon, nous ne sommes pas les seuls à s’être rapproché ! Au bout d’un moment, elle m’entraine dehors. Nous sommes dans une sorte de grand jardin. En avançant, on peut entendre et voir des couples qui sont déjà en train de baiser. Catalina m’entraine jusqu’à une petite fontaine qui est dans le fond du jardin.
Elle s’agenouille devant moi et elle me suce directement. Après un long moment, elle prend appui sur la fontaine et bombe son cul. Je me place derrière elle et je la saute sans retenu. Elle couine de plaisir. Après cinq minutes passées dans sa chatte, je décide d’investir son cul. Je l’encule violement. Nos corps se heurtent, ses cris deviennent plus fort et finalement lorsque je sens que je vais jouir, je la retourne et je gicle sur dans sa bouche. Elle n’en perd pas une goutte. Elle se redresse, elle m’embrasse langoureusement et je la serre dans mes bras. Elle me dit que c’est la dernière fois du voyage que l’on baise.
Elle est assez triste et moi aussi mais comme on dit, toutes les bonnes choses ont une fin. Comme nous repartons tôt le lendemain matin (qui est en fait dans deux heures) nous partirons directement après la fête. Catalina me dit qu’elle préfère rentrer chez elle et achever ce séjour sur ce bon souvenir. Nous échangeons nos numéros, elle m’embrasse une dernière fois et rentre chez elle.
Je retourne à l’intérieur bien que je n’ai plus tellement envie de faire la fête. Je cherche mon pote Romain mais je ne le trouve pas. Comme je le cherche depuis un moment, je remarque que je ne vois pas non plus notre prof. Je me dis alors qu’il a peut-être réussis finalement. Lorsque je vais aux toilettes, j’ai la confirmation de ce que je pense.
J’entends une femme couiner et je reconnais immédiatement la voix de notre prof. J’utilise la même technique qu’à la station-service et je découvre mon pote entrain d’enculer le gros cul bien bandant de notre prof. Celle-ci est appuyée sur les toilettes. Elle est totalement nue, tout comme Romain d’ailleurs. Lui il est derrière elle. Il s’accroche à son cul et je vous garantis qu’il la prend à grande vitesse.
Il lui met plein de fessés, ce qui semble exciter la prof. Je peux voir ses seins aller d’avant en arrière à chaque fois qu’elle se prend un coup de bite. Finalement, elle s’assois sur les toilettes et mon pote gicle sur son visage et ses seins. Puis ils s’embrassent langoureusement. Là, la prof lui dit :
- Je ne pensais pas qu’un gamin de 16 ans pourrait mieux me baiser que mon mari
Je quitte rapidement la pièce et l’heure du départ est déjà là. Nous reprenons donc la route pour de nombreuses heures. Nous avons repris nos places habituelles. Malgré la fatigue, l’excitation de la fête ne nous aide pas à dormir. Nous discutons donc avec Romain.
- Finalement tu as réussis à te la faire la prof !
- Comment tu sais ça ?
- Je suis allé pisser et j’ai entendu sa voix alors je suis allé vérifier !
- Sale mateur va. T’as pas filmé au moins ?
- Non !
- C’était long et laborieux pour la séduire mais ça valait le coût. Qu’est ce qu’elle est bonne !
- Ca je n’en doute pas. Mais t’as gouté aux produits locaux au moins ?
- Non ! Désolé mais moi j’étais hébergé chez Diego, pas chez la salope du coin.
- Ca c’est clair que c’est une salope. Tous les soirs je l’ai sauté pendant des heures !
- T’aurais pu faire tourner !
- T’avais qu’à demander, je t’aurais pas dit non et elle non plus.
- J’étais trop occupé avec Eva.
- Ah tu appelles la prof par son prénom maintenant ?
- Je connais le fond de son cul alors on va pas faire de chichi !
- Et son mari tu vas faire du chichi avec lui ?
- Il a qu’à bien la baiser et elle ira pas voir ailleurs ! Et ta rouquine, elle voudrait pas revenir derrière ?
- Je l’ai pas revu depuis que je l’ai baisé et elle avait pas l’air chaude pour le refaire.
- Tu lui as pas fait prendre son pied ?
- Si mais je crois qu’elle était hyper excitée alors elle s’est lâchée mais c’est une coincé et elle est toute gênée quand elle me voit maintenant. T’as qu’à appeler ta Eva si t’as besoin de baiser !
- Ou refait venir Pipelette plutôt !
- Vu qu’on l’a monté dans le bus en la portant, ça m’étonnerait qu’elle soit en état de sucer.
- Quelle pute celle-là, jamais dispo quand on a besoin !
- Je te dis, il te reste que la prof !
- C’est trop risqué ici.
- Au moins y a pas son mari !
- Toute façon on a déjà planifié un rendez-vous pour baiser quand on sera arrivé.
Nous finissons par nous endormir. Lorsque je me réveille, nous avons passé la frontière. Je vois Emilie qui revient des toilettes où elle a dû passer une bonne partie de la nuit à décuver. C’est alors que Maxime lui lance :
- Pipelette, tu as raté la station de ton pote. Je suis sûr qu’il aurait été content de te voir !
Romain me confirme ce que je pense, pour qu’ils les laissent partir, le gérant de la station lui a demandé une pipe qu’elle lui a faite avec plaisir.
Après de longues heures, nous arrivons enfin à notre lycée. Nos parents nous attendent pour nous récupérer. En récupérant mon sac, je vois Romain qui lance un regard complice à la prof qui est avec son mari avant de lui lancer un :
- C’était vraiment géniale Madame, merci beaucoup
Son mari semble se réjouir du succès de sa femme. Si seulement il savait qu’il n’est plus le seul à la sauter. Je retrouve ma mère dans la foule et nous rentrons à la maison.
Depuis, je discute régulièrement avec Catalina et il nous est même arrivé de nous revoir et pas seulement pour améliorer notre vocabulaire !
Amandine, si tu lis mon récit, j’espère que tu l’as aimé et qu’il t’a rappelé de bons souvenirs même si nous n’avons jamais eu l’occasion de rebaiser ensemble.
Je salue aussi Eva, mon ancienne prof, qui a toujours une relation avec Romain et qui je le sais, lit mes récits. Comme d’habitude, vous pouvez me contacter par mail ou rejoindre le groupe de fans sur Facebook. Je vous remercie pour tous vos messages de sympathie. A bientôt pour de nouveaux récits.
Si quelqu'un connaît l'auteur...
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Le mois des violences sexuelles au cinéma.... Et il y en a...!!! Heureusement c'est du cinoche!
1984 LE FILM... LA SCÈNE...!
Inégalée à ce jour!
Impossible à refaire!
Inégalée à ce jour!
Impossible à refaire!
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En quelques traits... Imaginez....!
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Histoire du net. Auteur: Randy Marsh (?).... Rédécouvrir cette histoire.
J'ai déjà publiè ce texte.... Je crois.... LOL
J'aime beaucoup parce que il y a un fond de vérité ...
Peut être que cela est vrai...
L’histoire de mon couple
Auteur : Randy marsh ou autres… ?
Je m’appelle Michel. J’ai 38 ans et deux enfants. En couple pendant 10 ans avec ma compagne Jade, je suis maintenant séparé. Si je me décide à écrire mon histoire aujourd’hui, c’est que j’ai besoin de mettre noir sur blanc le déroulement des faits qui vont suivre, afin de me libérer du passé… Ou tout du moins de l’exorciser un peu. Difficile en effet de me confier à quelqu’un sur ce qui s’est passé, la honte, l’excitation et la peur du jugement étant des caps difficiles à passer.
J’ai rencontré Jade il y a donc un peu plus d’une décennie. Nous n’avions que peu de points communs en réalité, hormis le sexe. C’est une grande brune d’1m76, mat de peau, 57 kg, de jolis seins, de longues jambes, une taille fine, et surtout un cul à faire bander n’importe quel homme normalement constitué. La 1ère fois que je l’ai vue, c’était de dos, et son fessier m’a tout de suite conquis. Nous avions de plus des fantasmes en commun. Dès le 1er soir, elle entreprit de me sucer, et tout de suite m’invita à l’attraper par les cheveux pour lui forcer la bouche.
Des rapports de domination s’installèrent très vite entre nous. Dès notre 3e ou 4e soirée ensemble, je décidais de lui faire passer un genre de test. En quelques minutes, elle s’était retrouvée nue au milieu du salon, à 4 pattes, un verre de whisky et un cendrier posés sur le dos, à faire la table basse pendant que je regardais la télé.
Ce soir-là, elle dut faire le service pour moi, passer la serpillère à 4 pattes, et je lui fis visiter la maison et la baisant dans chaque pièce, dans toutes les positions. Vers le milieu de la soirée, je lui enfonçais également un concombre dans le cul, puis l’enculais. Elle adorait ça, mais m’avoua plus tard ne pas trouver beaucoup d’hommes aptes à « l’honorer par derrière ». Pas besoin d’être sorti de Saint Cyr pour comprendre que j’avais déniché une véritable petite chienne, jeune (elle avait à l’époque 21 ans et moi 25), que je pourrais dresser à ma guise.
Je sortais alors tout juste d’une relation de 5 ans, et mon ex n’était pas vraiment portée sur ces fantasmes. J’étais frustré et passais une grande parte de mon temps à regarder des photos de BDSM sur internet.
Autant dire que je plongeais littéralement dans cette nouvelle aventure, avec la soif d’assouvir toutes mes pulsions les plus primaires. Jade en redemandait. Les 1ères semaines, je la baisais 3 fois par jour. Elle hurlait son plaisir dans le petit 2 pièces que nous avions pris. J’appréciais plus que tout de pouvoir la prendre sans retenue, quand je voulais. Elle avait tout le temps envie et en redemandait.
Lors de nos premières vacances, ce fut un véritable feu d’artifice. Je la baisais jusqu’à sept fois par jour. Je ne me préoccupais que de mon plaisir, et ça la faisait jouir. Elle me disait tout le temps « je suis ton vide couilles, fais toi plaisir ». Très vite, elle eut un collier autour du cou, puis une laisse. Seule ombre au tableau, elle était très jalouse et assez dépendante. Elle ne voulait rien faire toute seule, et supportait mal que je puisse avoir une vie en dehors d’elle. Elle avait beau être soumise sexuellement, elle avait son petit caractère, mais les choses s’arrangeaient toujours sur l’oreiller.
Assez rapidement, je lui proposais l’idée de faire un blog pour « exposer » aux internautes avertis ses « exploits ». Elle approuva l’idée et notre nouvel univers se mit en place tout naturellement. Les commentaires sur le blog rajoutaient un plus indéniable à notre libido. Avec un lectorat composé à 90% de mâles plus ou moins frustrés et surtout excités, les commentaires salaces ne manquaient pas.
Jade adorait les mots crus et se sentait importante d’être ainsi observée, commentée, adulée par certains. Il est vrai que je n’étais pas très expressif. Avec le recul, je dois avouer que je n’étais pas (fou) amoureux d’elle, mais à 25 ans, et quelques déconvenues amoureuses, je ne croyais plus trop à l’amour. Je pensais que tant que le sexe allait, tout roulait.
Et ce fut le cas pendant les années qui suivirent. De mon côté, je faisais de belles photos et prenais le temps d’écrire nos expériences. Le plastique de Jade et sa perversité faisaient le reste.
Tous les 3 jours, nous mettions une nouvelle photo ou vidéo sur le blog, toujours avec les visages cachés évidemment. Séance de martinet, des objets dans l’anus, séance de baise, humiliations diverses, douches dorées… Tout ce qui nous excitait de près ou de loin, on le réalisait. Par deux fois, nous rencontrâmes un internaute particulièrement friand de Jade et du blog, qui s’appelait Dominique.
J’avais envie d’ajouter une dimension psychologique à nos fantasmes avec de l’exhibition publique. La 1ère fois, ce fut dans une chambre d’hôtel. Je l’exhibais avec un bandeau sur les yeux et l’homme en question put la peloter et lui jouir sur le cul. Elle le branla également. Je me rappelle au début de la séance lors de sa présentation. Elle était trempée. La deuxième fois fut un peu plus poussée, il eut le droit de se faire sucer avec une capote, mais nous n’allions pas jusqu’à la pénétration. Jade ne voulait pas, et je voulais également que cela reste un jeu... Il fallait de plus ne pas aller trop vite. Malgré son côté très chienne, elle tenait à n’appartenir qu’à un seul homme.
Puis au bout de 5 ans, nous eûmes notre premier enfant. Cela chamboula tout dans notre couple. J’étais aux petits soins pour notre progéniture et évidemment notre libido baissa quelque peu. L’assiduité à la tenue du blog s’en ressentit également. Jade me reprocha assez vite de plus m’occuper de mon fils que d’elle. Pire, le blog n’étant plus mis à jour, elle n’avait plus sa « cour » d’admirateurs pervers. Les choses se régulèrent tout de même plus ou moins bien par elles-mêmes, et deux ans plus tard, notre deuxième enfant arriva dans la famille. Et là deux enfants, ce n’était plus la même histoire.
Nous nous adaptions tant bien que mal, mais force est de constater que nos rapports se détérioraient en avançant avec le temps. Nous n’avions quasiment plus de temps pour s’occuper de notre couple. La soumission, n’en parlons pas. Jade le vivait mal et me le reprochant sans cesse.
De mon côté, je m’évadais sur internet en découvrant un nouveau fantasme : le candaulisme. Voir sa femme avec un autre. C’était quelque chose qui m’excitait déjà, mais dans le cadre d’une relation dans laquelle j’étais le dominant. Depuis plusieurs mois (depuis longtemps en réalité je pense), l’envie d’être soumis, de passer de « l’autre côté du miroir » me démangeait également. J’en avais parlé à ma femme et nous avions essayé mais ce n’était pas trop son truc. Elle préférait de loin être un objet de désir, qu’une dominatrice.
Un après-midi de juillet, à la suite d’une énième dispute, et afin d’essayer d’améliorer notre situation, je lui avouais mon fantasme de candaulisme. C’était l’un des avantages de notre couple. Sexuellement, nous pouvions parler de toutes nos envies (malheureusement, pour les autres sujets, ce n’était pas aussi facile).
Elle m’écouta mais fut totalement décontenancée et ne comprit pas que je puisse être excité à l’idée de la voir avec un autre homme. Pour lui faire comprendre ma démarche, je lui expliquais que ce serait pour elle l’occasion d’explorer sa libido d’une façon nouvelle, que j’acceptais de m’occuper davantage des tâches ménagères et de m’occuper des enfants, et que nous pourrions inverser les « rôles ». Je serai son soumis, et elle la Maitresse. Elle conclut la discussion en me précisant qu’elle m’avait entendu, qu’elle trouvait ça malsain, mais que nous aurions l’opportunité d’en reparler.
Bref je n’étais pas beaucoup plus avancé, mais ma démarche avait eu le mérite de calmer un peu les choses, et Jade prit tout de même les éléments qui l’intéressaient dans ma proposition : elle se déchargea de certaines tâches ménagères, en fait surtout en ce qui concernait les enfants. Elle sortait souvent le week-end, pendant que je restais à faire le baby-sitter.
Durant un an, je lui téléchargeais des histoires sur le candaulisme et le cocufiage, lui montrait des photos légendées de situations excitantes, des vidéos. Petit à petit, la situation évoluait. Au bout d’un an, elle sortait tous les week-ends. Cela restait entre copines, mais elles allaient souvent en boite de nuit.
Je l’encourageais à prendre des numéros de téléphone de mecs qui lui plaisaient, mais elle refusait toujours, me disant qu’elle n’était pas prête. De plus, elle était avec ses copines et ne voulait pas passer pour une « salope » auprès d’elles. Elle me racontait cependant que beaucoup de mecs venaient l’aborder (d’autant qu’elle sortait souvent en tenues très sexy). Elle me donnait le nom des boites de nuit ou elle allait, et j’allais en cachette consulter le compte Facebook des dites boites où des photos de soirées étaient mises en ligne. A chaque fois je trouvais 3 ou 4 photos d’elle discutant ou dansant avec une nuée d’hommes autour d’elles.
Je comprenais que j’étais sur la bonne voie pour lui faire accepter ce nouveau mode de vie qui lui permettrait de s’épanouir pleinement. Je continuais donc mon « travail » de documentation en lui proposant différents documents trouvés sur internet. Pour son anniversaire, je lui offrais même le livre « comment dresser votre mari ». Ca l’amusa beaucoup mais elle ne voulait toujours pas « se prendre la tête » comme elle disait avec des histoires de domination. Je lui précisais bien également que si elle rencontrait quelqu’un ou que si elle se décidait à faire quelque chose, il fallait qu’elle me le dise, la communication étant la base de ce type de fantasme…
Elle acquiesçait généralement d’une façon évasive.
Côté rapport sexuel, nous avions retrouvé un peu de stabilité mais ils étaient beaucoup plus espacés qu’avant. J’aimais particulièrement qu’elle me caresse l’anus en me léchant le téton pendant que je me branlais. Elle le faisait de plus en plus souvent, en me racontant comment les mecs l’abordaient en boite de nuit.
Nous étions également inscrits sur un site de rencontre pour trouver d’éventuels amants. Elle regardait par curiosité mais ne voulait pas y aller. De mon côté, je sélectionnais des hommes (sur leur physique et sur le feeling) en leur racontant mon fantasme, si éventuellement Jade voulait sauter la pas.
Ce premier pas vint finalement de sa part. Un soir, elle m’annonça qu’elle était prête à essayer l’histoire du candaulisme, mais elle voulait le faire avec notre contact sur internet que nous avions rencontré deux fois : Dominique. Elle ne l’avais jamais vu de ses propres yeux puisqu’à chacune de nos rencontres elle avait eu les yeux bandés. Mais elle avait confiance en lui et savait qu’elle l’excitait beaucoup. Je lui répondis que j’étais ok et nous lui envoyâmes un petit mail pour lui raconter notre fantasme.
Cela faisait plusieurs mois (voire 2 ou 3 ans) que nous n’avions plus de nouvelles mais il répondit assez vite, nous précisant qu’il était partant (tu m’étonnes), mais qu’il n’était pas forcément toujours dispo car marié. Après quelques mails, Dominique proposa qu’ils s’échangent leurs numéros de téléphone pour pouvoir discuter par texto.
Au bout de deux jours, Jade était pendue à son portable toute la journée. Ils s’échangeaient des « sextos » comment elle aimait à dire. Elle me les faisait lire pour m’exciter. Ça lui plaisait beaucoup, et à moi aussi évidemment.
Il habitait assez loin et une rencontre n’était envisageable que dans plusieurs semaines du fait de nos emplois du temps respectifs. Cela leur laissait beaucoup de temps pour discuter. Je me trouvais cependant un peu mis à l’écart et décidais d’envoyer un mail à Dominique pour tenter d’assouvir mes envies de soumission avec ma femme.
Je lui demandais de proposer à Jade de me dominer. J’avais envie de voir sa réaction à sa demande. Dominique accepta, trouvant l’idée excellente. Il s’était renseigné de con côté et comprenait que le candaulisme impliquait une relation psychologique à 3, chose que ma femme avait un peu tendance à oublier. Je lui proposais donc quelques fantasmes qui m’excitaient, et quelques phrases types qui, je pensais, marcheraient.
Deux jours plus tard. Je la vis sourire un soir en recevant un texto. Je lui demandais ce que c’était. Elle me répondit simplement « tu verras bien ». Le week-end suivant, mes parents ayant pris les enfants, elle prit quelques affaires dans un sac et me proposa d’aller faire une balade en forêt. Sur la route, elle m’expliqua que Dominique lui avait demandé des photos de moi en soumis « afin de voir si tu es un bon cocu » me dit-elle. Je faisais l’étonné et lui répondais qu’elle n’avait jamais voulu me dominer. « J’ai changé d’avis » répondit-elle simplement.
A ces mots, je sentis mon sexe se durcir. Il avait fallu introduire une tierce personne pour qu’elle accepte de jouer les dominatrices. J’étais évidemment aux anges. Pendant le chemin, j’essayais d’analyser sa réaction. J’en concluais que ce qu’elle voulait, c’était avant tout faire plaisir à son futur amant et l’exciter. Pour en avoir le cœur net, je décidais de jouer les récalcitrants et d’en rajouter un peu.
Une fois arrivé dans la forêt, Jade trouva un coin tranquille et me dit de me déshabiller entièrement. Sans même avoir à y mettre de la mauvaise volonté, je lui répondais que nous étions début mars et qu’il faisait froid. « Dominique veut une photo de toi à poil dans la nature, alors tu te fous à poil et tu ne discutes pas. Sinon moi j’arrête tout ton délire, le candaulisme, la soumission… ». Je comprenais qu’elle était déterminée.
A la fois excité mais sentant que les choses pouvaient aller beaucoup plus vite (et loin) que je ne l’avais prévue, je m’exécutais. Elle sortit alors du sac son collier, me le mit autour du cou, y ajouta la laisse et me fit mettre à 4 pattes. « Voilà, plus qu’une dernière chose » ajouta-t-elle. Elle prit un marqueur et inscrivit quelque chose sur mes fesses. Elle accrocha la laisse à une branche et prit plusieurs photos avec son téléphone portable. Avant de repartir, elle me fit marcher à 4 pattes sur le sol froid et humide, recouvert de feuilles.
Le soir, elle me montra les photos, toute contente. Elle avait écrit « cocu » sur mes fesses. Elle les envoya à Dominique, qui ne tarda pas à répondre par texto. « Très bien, ton mari est un bon cocu ».
Je lui demandais si je pouvais regarder les messages qu’ils s’étaient échangés. Elle me laissa son téléphone portable et alla se coucher. Il y avait tellement de sms que 2h plus tard je n’avais pas encore tout lu. Cela alternait entre les dialogues ultra chaud (du genre « tu me suceras jusqu’aux couilles et après je te prendrai le cul à fond) et conversations plus classiques. Ils s’étaient échangé des photos aussi.
Très vite, une date fut définie pour la rencontre.
Entre temps, nous réalisâmes quelques autres fantasmes excitants à distance. Comme de lui faire l’amour alors qu’elle était au téléphone avec Dominique. Pendant que je la baisais, il lui disait des mots crus. Ca l’avait beaucoup excitée.
Une autre fois, alors qu’elle me caressait l’anus pendant que je me branlais, elle enfonça plus profondément ses doigts. Je lui faisais comprendre qu’elle y allait trop fort mais elle mit ses doigts dans ma bouche pour que je les humidifie, puis me bâillonna avec sa main et continua sa pénétration. « Mon amant dit qu’un bon cocu doit avoir le cul ouvert » me chuchota-t-elle à l’oreille. Je ne pus me retenir longtemps de jouir.
Enfin le jour J arriva. Dominique avait réservé une chambre d’hôtel au casino de sa région. Nous avions un peu de route pour y aller. Une fois arrivés en fin d’après-midi, Jade se rendit chez une esthéticienne à côté de l’hôtel avec qui elle avait pris rdv. Elle revint maquillée et coiffée comme une déesse.
Puis nous allâmes boire un verre en ville et manger un morceau au restaurant. Une fois rentrés à l’hôtel, elle se changea avec une minijupe très courte et ultra sexy. Vers 21h30, elle reçut un texto disant qu’il arrivait. Ils devaient se retrouver devant le hall du casino. Elle descendit seule. Je restais dans la chambre à attendre.
Ils ne revinrent qu’1/2 heure plus tard. Ils étaient allés faire un tour dans sa voiture pour se dire bonjour (elle me dira à la fin de la soirée qu’elle l’avait sucé dans la voiture et qu’ils avaient tellement envie qu’il l’avait « presque » pénétrée sur la banquette).
J’avais préparé la bouteille de champagne sur la table, pensant que nous allions nous asseoir et discuter un peu pour se mettre dans l’ambiance, mais Dominique prit à peine le temps de me serrer la main que Jade était déjà sur le lit et qu’il l’embrassait à pleine bouche.
Je leur demandais s’ils voulaient boire un verre. Ils me répondirent sans même me regarder « non on a envie d’autre chose ». En même pas 10 secondes. Ma femme était allongée nue sur le lit et il lui bouffait déjà la chatte avec 3 doigts à l’intérieur. Ils faisaient exactement comme si je n’étais pas là. Je branchais les caméras (j’avais prévu une gopro et une caméra fixe, voulant immortaliser ce moment. J’avais aussi un appareil photo). 2 minutes plus tard, Jade était à 4 pattes, Dominique enfila une capote et la pénétra sans plus de cérémonie.
J’imagine qu’elle devait être trempée car il n’eut aucune difficulté à entrer en elle. Il l’attrapa par les hanches et commença à la pilonner sérieusement, lui attrapant les cheveux comme une chienne (il savait qu’elle adore ça). Puis elle se mit sur le dos et il la prit en missionnaire pendant plusieurs minutes.
Alors qu’elle criait sous les coups du boutoir, ils jouirent ensemble. Il retira la capote et me la donna le plus naturellement du monde. Ils restèrent allongés sur le lit un bon moment et ne refusèrent pas, cette fois ci, la coupe de champagne.
Un petit ¼ d’heure plus tard, après cette 1ère « saillie », Jade s’était mise à genoux sur le lit pour le sucer. Elle lui léchait les couilles et remontait sur le gland. Il l’attrapa par les cheveux pour lui faire avaler en entier sa queue. Au bout d’un moment, elle redescendit vers ses boules, puis alla de plus en plus bas, jusqu’à son anus.
En quelques secondes, il s’assit sur sa bouche. Elle lui léchait le cul, comme elle aimait le faire avec moi. Sauf que je ne pensais pas qu’elle le ferait directement avec son amant, la 1ère fois. Il lui pinçait les tétons pendant qu’elle « étouffait » sous lui. N’en pouvant plus, il lui envoya plusieurs copieuses giclées de foutre sur les seins, avec lesquelles elle se massa longuement le ventre.
Après toutes ces émotions, nous décidâmes d’aller boire un verre au bar du casino tous les trois. Evidemment, Jade était très tactile avec Dominique. Ils se tenaient par la main, et se roulaient des pelles dans l’ascenseur, mais également au bar. Les agents de sécurité et le personnel de l’hôtel-casino avaient bien compris ce petit manège. Je les entendais rigoler entre eux.
Dominique nous paya un verre à tous les trois. Ils s’embrassaient à plein bouche et il en profitait pour Peloter Jade dans tous les sens, lui mettait la main sous la jupe. Je remarquais d’ailleurs qu’elle n’avait pas mis de culotte. Au bout d’une petite demi-heure, ils me demandèrent de rejoindre la chambre et de les laisser en peu seuls. Je m’exécutais et les attendis pendant près d’une heure, tout seul.
Je m’imaginais qu’ils avaient trouvé un petit coin tranquille. Si ça se trouve, il l’avait emmenée dans les chiottes pour se faire sucer ou la baiser contre une pissotière. Jade adorait les endroits insolites. Finalement, au retour, je ne pouvais m’empêcher de poser la question. Apparemment ils n’avaient fait que discuter. Je ne saurais jamais.
Ils remirent le couvert au total 5 ou 6 fois jusqu’à 3h du matin, avant qu’il ne parte. Il la prit dans toutes les positions, notamment des positions que nous ne faisions jamais. Je ne pus me retenir de jouir lors de leur avant dernière fois. Jade se faisait alors baiser allongée sur le ventre. J’éjaculais une quantité de sperme impressionnante sur le carrelage de la salle de bains.
Ils ne s’en rendirent même pas compte. Quand elle vit cela Jade m’annonça « quel gâchis, tu aurais du venir me gicler sur le visage pendant qu’il me prenait, ça aurait été très excitant. Bon ben nettoie maintenant ». Je prenais une éponge, penaud, et nettoyai le carrelage souillé. A la fin Jade lui demanda s’il voulait l’enculer. Il acquiesça mais après avoir baisé autant de fois, il n’était plus assez en forme. Il repartit donc chez lui, les couilles plus que vidées.
Jade s’endormit presque aussitôt. De mon côté je me refaisais toute la soirée dans ma tête, excité à l’idée de voir les images tournées.
Elle prit tout de même le temps de me dire qu’il revenait demain matin.
Au réveil, elle me fit clairement comprendre qu’ils voulaient être seuls pour avoir un peu d’intimité. Je lui demandais si je pouvais laisser tourner la caméra mail elle refusa. Il envoya un sms pour dire qu’il arrivait. Elle me fit enfiler un peignoir en 4e vitesse puis m’envoya au spa pour faire un petit sauna et un peu de piscine.
Je partis une petite heure, essayant de ne pas bander sous ma serviette. J’étais très excité, imaginant ce qu’il lui faisait. Quand je revins dans la chambre, ils étaient enlacés, nus sur le lit. Elle ne me raconta pas ce qu’ils avaient fait, mais me dit qu’il bandait fort, (elle adorait se faire baiser le matin).
L’expérience fut une totale réussite. Jade avait adoré et ne voyait plus aucun souci moral à coucher avec des mecs qui lui plaisaient. Ils continuaient à s’envoyer des textos, ce qui l’occupait beaucoup.
Nous étions en avril. La vie reprit son cours, ponctuée des petits sifflements signalant les sextos qu’ils continuaient de s’échanger. De temps en temps, il lui demandait de me dominer et lui envoyer les photos. Elle le faisait avec application, voulant faire plaisir à son amant. 2 ou 3 mois plus tard, vers juin, l’éloignement avec Dominique se faisant sentir, elle se décida à aller sur le site de rencontres sur lequel nous étions inscrits. Nous passâmes un deal. Je lui sélectionnais des hommes, et elle choisirait ceux qui l’intéressaient.
Elle prit cependant la liberté de modifier un peu l’annonce que j’avais rédigée. Cela donnait :
« Bonjour à tous. En couple depuis 8 ans, je recherche des mecs intéressants, entre 30 et 45 ans, virils mais pas machos pour prendre du bon temps ensemble. Mon mari m’a fait découvrir le candaulisme. Il est cocu et aime ça. Il aime me voir avec d’autres hommes. Je le domine de temps en temps, mais j’avoue être débutante dans ce domaine (donc si vous avez des idées de soumission et/ou de punition, je suis preneuse). J’aime par contre être soumise à mes amants. J’aime les hommes endurants, respectueux mais entreprenant et sachant manier les mots crus. Ecrivez-nous. Mon mari fera une présélection et je choisirai ensuite. Nous pourrons alors aller boire un verre pour faire connaissance ».
Le lendemain, je me connectais. Il y avait au moins 30 messages dans la boite aux lettres !
Tout le monde était évidemment très intéressé, vu l’annonce, et les photos que j’avais mis en ligne (même si elles restaient sages, on y voyait très clairement les longues jambes de Jade, et son petit cul moulé dans son jean’s).
Entre les lourds, les illettrés, les moches, ceux qui ne mettaient pas de photos de leur visage etc…Jje supprimais les 9/10e des messages pour en retenir quelques-uns et commencer à discuter. Chaque jour, entre 20 et 30 messages arrivaient. Je voulais évidemment trouver de « bons » amants pour ma femme, mais surtout qui avaient un peu de recul et comprenaient que tout ceci n’était qu’un jeu.
3 jours plus tard, elle vint voir si la pêche avait été bonne. Je lui présentais une sélection de 5 mecs. L’un d’eux attira son attention. Ils discutèrent quelques minutes sur le site, puis s’échangèrent leur numéro de téléphone. 3 jours plus tard, un rdv était décidé un soir à la terrasse d’un café.
C’est à ce moment que les choses ont commencé à m’échapper.
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L’idée était que Jade était libre de rencontrer les hommes qui lui plaisaient, mais en ma présence. D’autant qu’elle aurait pu tomber sur des hommes dangereux… Sauf que nous avions les enfants à garder. Nous sommes alors tombés d’accord. Elle avait l’autorisation d’aller boire un verre pour faire connaissance, et si le feeling passait, nous organisions une rencontre tous les trois, où je serais juste spectateur.
Elle partit donc ce soir-là pour son 1er rdv avec un inconnu. Elle devait m’appeler au bout d’une heure pour me dire si tout allait bien. Je reçus effectivement un sms rassurant. Puis elle rentra 2 ou 3 h plus tard. Elle me dit que tout s’était bien passé et me raconta dans le détail la soirée. Ils avaient discuté un bon moment, puis s’étaient dirigés vers sa voiture.
En chemin, il lui avait mis la main sur les fesses, puis s’assurant qu’il n’y avait personne derrière, l’avait passée sous sa courte robe pour lui « palper » l’arrière train. Elle s’était laissé faire. En entendant ça, je sentis une érection dans mon pantalon. Jade s’en aperçut et continua son récit… Ils entrèrent dans la voiture où il lui « roula une pelle » pour reprendre son expression. Il lui avait ensuite mis la main dans la culotte et l’avait doigtée.
J’étais complètement excité, mais aussi un peu abasourdi de savoir que ma femme se donnait aussi facilement. Je lui faisais la remarque. Elle me répondit « bah tu sais comment je suis non ? J’aime le cul… Le mec me plaisait. Et puis c’est toi qui as voulu faire ce fantasme. Allez allonge toi sur le dos et commence à te branler, je vais te raconter la fin ». Evidemment, elle savait qu’elle faisait de moi ce qu’elle voulait à ce moment-là.
Je me mis en position, elle commença à me mettre un doigt dans l’anus et reprit son récit. Il lui avait donc enfoncé un, puis, puis trois doigts dans la chatte. Elle me fit même remarquer qu’il y était allé très fort et qu’elle était un peu irritée sur les lèvres. Sans doute un ongle ou sa montre qui avait frotté.
Tout en parlant, elle enfonçait son doigt de plus en plus loin, ce qui me faisait « couiner ». Ca l’amusait de me voir comme ça. Ensuite, il sortit son sexe et elle le suça quelques secondes avant d’arrêter. Ils avaient dû stopper car il faisait encore jour et des gens passaient dans la rue. « Voila, ça t’a plu ? Tu as envie de jouir ? Eh bien il m’a invité demain soir chez lui, donc tu auras la fin de l’histoire demain. Et interdiction de jouir d’ici là ».
Quelle frustration. J’étais au bord de la jouissance.
Et il n’était pas question dans le contrat qu’elle fasse ça sans moi. Elle n’eut pourtant pas beaucoup à faire pour me faire accepter sa proposition. La situation m’excitait trop. Je lui faisais me promettre de m’appeler quand elle serait là-bas, de me faire des photos, des vidéos et de tout me raconter dans le détail. Elle me répondit simplement qu’elle verrait.
Le lendemain arriva. Petite jupe très courte talons etc…
Pas de culotte, et elle mit son rosebud. « Il m’a demandé si je pouvais le mettre, ça l’excite ». Evidemment, il connaissait notre blog, et savait que Jade en avait un. J’étais serré dans mon pantalon en la voyant partir. Je reçus un texto 1h30 plus tard pour me dire qu’elle était arrivée chez lui et que ça se passait bien.
Je reçus un 2e sms deux heures plus tard m’annonçant qu’elle rentrait. Je lui demandais si c’était bien. « Bof, je te raconterai » renvoya-t-elle pat texto. Elle m’expliqua en rentrant qu’elle était tombée sur un éjaculateur précoce. La 1ère fois qu’il l’avait touchée, il avait joui en quelques secondes. Il la pénétra une 2e fois, mais là encore, ça ne dura que quelques secondes avant qu’il ne jouisse dans la capote. Elle avait cependant aimé être désirée ainsi. M’expliquant ceci, elle alla sur l’ordinateur et discuta avec un 2e homme que j’avais présélectionné et qu’elle trouvait mignon. ¼ d’heure plus tard, elle revint me disant « j’ai rendez-vous avec lui après-demain. Allez allonge toi, je vais te mettre ton doigt ».
Deux jours plus tard, elle alla donc à son rendez-vous. Il était prévu qu’elle n’aille boire qu’un verre, mais il l’invita chez elle après la prise de contact. Elle me le signala par sms. J’en reçus un 2e le soir avec une photo : elle était en train de branler sa queue (qui était assez grosse). Elle revint le soir un peu avant minuit me précisant qu’ils avaient passé une bonne soirée, mais qu’elle n’avait pas couché avec lui. Ils s’étaient juste chauffés un peu. Ils avaient bu quelques verres et fumer un peu d’herbe. Elle m’en avait ramené un peu d’ailleurs. « Je suis pas une fille facile non plus. J’avais juste envie de m’amuser ce soir ».
La semaine suivante, je lui présentais le profil d’un autre homme intéressant sur le net. Il s’appelait Nicolas. Physiquement pas mal, mais surtout il avait plein de témoignages de femmes expliquant que c’était un super amant. Pas forcément convaincue, elle accepta pour avoir une idée. Le soir du rdv, elle s’habilla plus sagement, même si elle était très sexy, avec juste ce qu’il fallait de maquillage. C’était un vendredi soir.
Vers 22h, je reçus un appel me précisant que ça se passait très bien. Il l’emmenait chez lui pour continuer la soirée. Encore une fois ce n’était pas prévu mais je sentais qu’elle était très émoustillée. Je lui dis juste de faire attention et de me tenir au courant du déroulement de la soirée. Vers minuit et demi (j’avais essayé de l’appeler au moins 3 fois mais pas de réponse, je vous laisse imaginer dans quel état j’étais), je reçus un sms me disant que tout allait bien que la soirée se passait bien. Je lui demandais ce qu’elle avait fait mais là encore pas de réponse.
Finalement elle rappela une heure plus tard. Il n’était pas loin de 2 h du matin. « Oui oui c’était bien. Super même. Par contre il est 2h, on est crevés et on a un peu bu. Ça te dérange pas si je dors là-bas ». Je tombais des nues. Elle m’annonçait ça direct, sans me donner de détails. Je lui disais que je n’étais pas très chaud. Elle me répondit « de toute façon tu m’as dit que tu voulais être soumis, et que je sois ta maitresse. Alors je prends cette liberté. C’était super bon je te raconterai. Attends tu veux lui parler ? Je te le passe ». Décontenancé, j’entendis la voix de son amant me demandant si j’allais bien. Ne voulant pas perdre la face et être « Grand Seigneur », je lui demandais
- Alors, elle est bonne ma femme » ?
- Ah super bonne. Je l’ai prise dans tous les sens. Mais là on est un peu fatigués. Ça te dérange pas qu’elle dorme ici » ?
Je bredouillais quelques mots en guise de réponse. Il me la repassa et j’eus juste le temps de l’entendre dire :
- Merci chéri pour ta compréhension. On se revoit demain matin, je ne trainerai pas trop. Branle-toi bien
Et elle raccrocha.
Cette nuit-là, j’eus du mal à trouver le sommeil. Je fus réveillé par les enfants vers 8h du matin. Elle, arriva à 10h, toute fraiche. Nous devions faire une sortie au zoo ce jour-là. Difficile de parler de la soirée de la veille. Elle me glissa juste avant de monter en voiture « en tout cas il est endurant ».
Elle passa une grande partie de notre sortie du week-end au téléphone, à envoyer de sms. Elle m’avait prévenu que c’était lui. Le reste du week-end se passa normalement. Le dimanche soir vers 18h, elle m’annonça qu’elle allait à une soirée tupperware avec ses copines. Elle mangerait surement là-bas. Elle rentra vers 23h. J’étais déjà au lit. Elle s’allongea à côté de moi. Je lui demandais si elle allait enfin me raconter ce qui s’était passé le vendredi soir.
- Ecarte tes cuisses je vais t’en raconter un peu.
Pendant qu’elle enfonçait son doigt en moi en me mordillant le téton, elle me raconta en quelques secondes qu’il l’avait baisée plusieurs fois, mais aucun détail croustillant.
- C’est pas facile de te dire ça. On a fait plein de trucs, je me rappelle pas de tout m’explique-t-elle.
Je lui reprochais alors de m’exclure du jeu que nous avions initié. Voyant que j’étais fâché, elle lâcha
- T’as envie que je t’excite, que tu jouisses en imaginant ta petite femme avec un autre?
Elle disait ça en m’enfonçant son doigt. Je répondais mécaniquement « ouiiiiii ».
- Alors je vais te faire une confidence. Je suis passée chez Nicolas ce soir.
- Oh, et qu’est-ce que tu as fait avec lui ?
- Je l’ai juste sucé, j’avais mes règles, mais il était content de mon passage.
Je ne pus en savoir davantage. Je jouis plusieurs jets de sperme sur mon ventre. Le sommeil arriva en quelques secondes.
Le lundi matin, comprenant que Jade ne voulait pas tout me dire, j’écrivais à son amant pour qu’il me raconte ce qu’ils avaient fait. Le soir, je subtilisais son téléphone portable pendant qu’elle était sous la douche.
Elle ne me laissait plus voir tous ses textos.
Elle avait reçu un message de sa part lui précisant que j’avais demandé qu’il me raconte la soirée. Il demandait s’il pouvait. Elle lui avait dit « oui va-z-y. Mon mari est joueur ». « Je lui raconte tout tout » ? Je n’avais pas pu voir sa réponse car elle arriva.
En tout cas le lendemain je reçus par mail un texte de 2 pages me disant en détail ce qu’ils avaient fait. Je regrette de ne pas l’avoir conservé. Mais en substance, il expliquait qu’elle l’avait chauffé toute la soirée, et chaque fois que ça devenait « sérieux », elle faisait retomber la pression. Elle disait on sort fumer une clope. Puis finalement, après 2heures de ce petit jeu, en revenant des toilettes, il l’avait trouvée complètement nue dans le salon, lui disant qu’il fallait qu’il l’attrape. Il l’avait léchée sur la table de la salle à manger. Puis il était parti répondre au téléphone. En revenant, elle avait disparu. Il la retrouva dans sa chambre, à quatre pattes sur le lit, les fesses cambrées. Il l’avait baisée au moins 5 ou 6 fois, dans toutes les positions. A chaque fois ils s’étaient effondrés de plaisir, ruisselant de sueur.
Je comprenais qu’elle avait joui comme jamais, et qu’elle n’osait pas me le dire, de peur de me blesser.
La semaine suivante, elle sortit deux fois le soir entre copines. Je la croyais, cela faisait maintenant plus d’un an qu’elle sortait très régulièrement. D’ailleurs sa meilleure amie venait la chercher vers 20h. Sa mère devait venir passer le week-end chez nous le vendredi suivant. Elle m’annonça qu’elle allait voir Nicolas ce week-end-là.
Je trouvais là l’occasion de pouvoir venir avec elle chez lui. Sa mère pourrait garder les enfants pendant ce temps-là. Elle refusa, disant qu’elle préférait avoir un peu d’intimité, au moins au début. Là je sortis de mes gonds. Ca faisait 3 mecs qu’elle rencontrait, elle ne m’avait ramené aucune image, ne me racontait quasiment rien de ce qu’elle faisait etc. S’ensuivit une engueulade d’au moins une demi-heure.
Elle me promettait de me ramener des photos, des vidéos, mais je n’en démordais pas. Je voulais venir.
- Tu vas quand même pas me laisser seul avec ta mère et les enfants, pendant que tu vas te faire baiser tout le week-end ».
Finalement, au bout du compte, j’eus gain de cause : elle resta à la maison. Mais en y repensant, j’étais perdant… Je n’avais pas pu aller chez lui et l’accompagner.
Le week-end passé, elle m’annonça le lundi qu’elle sortait avec ses copines. Méfiant, je demandais à voir ses textos. Elle refusa, ce qui créa à nouveau une dispute. Finalement, sa copine arriva, et je n’eu pas d’autre choix que de la laisser partir…
A son retour, je lui demandais de faire une pause dans notre expérience « candauliste », tout du moins avec son amant actuel, Nicolas, sentant que les choses m’échappaient. Après plus d’une heure de discussion et de négociation, nous sommes tombés d’accord. Elle coupait les ponts avec Nicolas le temps de recouvrer ses esprits, mais elle pouvait continuer à s’envoyer des sextos avec Dominique notamment, son 1er amant. Elle devait également me les faire lire. Le mois de juillet passa ainsi. Jade continuait de sortir, d’envoyer des sms…
Début août, j’eus tout de même un doute. J’eus alors l’idée de consulter sur internet sa facture de téléphone (c’est moi qui me suis toujours occupé de la paperasse et des factures, et avais donc tous les codes pour gérer cela). Elle avait un petit forfait mais avec les sms illimités. Quand je vis l’historique de ses sms, j’eus un frisson dans le dos. Quasiment toujours le même numéro, celui de Nicolas. Au moins 50 textos échangés par jour. Et même des appels… de plus d’une demi-heure, les jours où elle était partie chez sa mère quelques jours.
J’imprimais tout à mon travail et épluchais tout l’historique, à coup de stabilo et de notes au crayon, recoupant les soirs où elle était partie. Il y avait plus de 20 pages d’historique sms. Quand elle rentra à la maison. Elle reçut un sms justement. Je lui arrachais le téléphone des mains. Elle vit que j’étais furax. Je lisais le sms qui venait d’une certaine Véronique, et qui disait « hâte de retourner dans ton cul ». Je reconnus évidemment le portable de son amant (je le connaissais par cœur à force d’avoir épluché les factures).
Là il y eut une vraie crise : on était clairement sorti du cadre du candaulisme, pour rentrer dans le cocufiage en règle, même si c’était moi qui avait initié tout cela. Après une violente dispute, Jade resta fermée à la discussion.
Comprenant que je n’arriverais à rien, je me décidais à écrire à Nicolas pour le rencontrer et discuter de tout ça. Nous échangeâmes par mail. Je lui expliquais que j’étais exclu de ce jeu, que ce soit pour qu’elle me raconte ses expériences, que je vienne avec elle chez ses amants, ou même qu’elle me domine.
A suivre....
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Le mois des violences sexuelles au cinéma.... Et il y en a...!!! Heureusement c'est du cinoche!
Il existe beaucoup de compilations
sur le sujet. En voici une...
sur le sujet. En voici une...
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En quelques traits... Imaginez....!
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Histoire du net. Auteur: Randy Marsh (?).... Rédécouvrir cette histoire.
Voici la suite.
Ou tout ce la s'enchaîne
fort logiquement.
L’histoire de mon couple
Auteur : Randy marsh ou autres… ?
Nous somme alors tombés d’accord sur une idée : il allait la pousser à me dominer. Ca me permettrait déjà de prendre du « plaisir » et l’inciterait sans doute à partager davantage de ses expériences. Je prenais par contre le risque qu’il lui raconte toute notre discussion. Une idée que je n’aimais pas, car j’aime contrôler les choses. Mais vue la situation, je n’avais pas trop le choix.
Je basculais totalement dans l’inconnu.. !
oooOOooo
Nous sommes donc restés en froid toute la semaine suivante. Jade sortit au moins quatre soirs cette semaine-là. Je faisais bonne figure devant les enfants, mais dès que nous nous retrouvions seuls, je faisais la gueule et on ne se parlait plus. À la fin de la semaine, elle revint vers moi dans le lit. Une surprise car ce n’était jamais elle qui faisait le premier pas pour arranger les choses.
Elle m’expliqua qu’elle était allée trop loin, c’est vrai, mais qu’elle passait par une phase difficile. Le boulot, les enfants… et ce fantasme du candaulisme (enfin, du cocufiage devrais-je dire), tout ça la travaillait. Elle m’expliqua ensuite que son amant lui avait demandé de me dominer, et qu’elle aimait l’idée. Je ne répondis rien mais je me fis la réflexion que lorsque c’était moi qui lui demandais, elle refusait l’idée, mais quand c’était son amant, elle aimait le faire…
Apparemment, il ne lui avait pas parlé de notre discussion, et elle était prête à partager un peu avec moi. Il y avait déjà du progrès. Nous discutâmes pendant un petit quart d’heure (un vrai luxe puisque toute communication était devenue impossible). Finalement, elle lâcha :
- Bon, tu es OK pour m’obéir, alors ?
Je fis oui de la tête.
- OK. Bon, pour ce soir je vais te laisser tranquille. Je vais te mettre un doigt pour que tu dormes bien. Par contre, demain soir, dès que les enfants sont couchés, je te veux nu avec ton collier dans le salon. OK ?
Le lendemain soir, très excité, je me tenais prêt, comme elle me l’avait dit. Elle me demanda gentiment de lui servir un verre de vin blanc et des cacahuètes, puis elle me fit mettre à quatre pattes devant elle, posa le verre de vin blanc et les cacahuètes sur mon dos et alluma la télé. Elle se repassait à cette époque Desperate Housewives… Je restai un bon quart d’heure dans cette position ; cela m’excitait terriblement d’être ainsi soumis. Le plus dur était d’essayer de ne pas faire tomber le verre. Elle posa ensuite ses jambes sur mon dos et passa un coup de téléphone :
- Coucou ! Oui, c’est moi […] Oui, il est à quatre pattes, là […] Non, il n’a rien dit […] Oui, c’est une bonne idée […] Bisous. Je te rappelle.
Puis elle raccrocha et continua à regarder sa série. Cinq minutes plus tard, je lui fis remarquer que je commençais à fatiguer. Elle répondit simplement :
- Nico veut que tu restes comme ça jusqu’à 22 h 15. Encore 15 minutes à tenir.
Elle reprit alors son téléphone et prit plusieurs photos de moi avec ses pieds posés sur mon dos, puis enchaîna :
- Je trouve assez pathétique que tu ailles voir mon amant pour lui demander que je te soumette. Tu as donc si peu de fierté ? Tu aurais mieux fait de me demander directement.
Mon sang ne fit qu’un tour. Non seulement Nicolas lui avait parlé de notre discussion, mais cela faisait des mois que je lui demandais de me soumettre et elle ne faisait rien. J’étais le dindon de la farce : ma femme était plus complice avec son amant qu’avec moi. Mais j’arrivais enfin à vivre ce fantasme de domination, et la situation était tellement excitante que je gardai les yeux baissés.
Au bout de longues minutes interminables, elle me libéra enfin de ma position. J’avais les bras complètement engourdis et mal au dos. Elle me fit mettre alors sur ses genoux et me fessa très rudement, puis elle prit une photo de mon derrière tout rouge en ajoutant :
- Nicolas veut des preuves de ta soumission. Ne t’étonne pas que je prenne des photos : c’est pour lui envoyer.
Je lui fis remarquer que je ne voulais pas qu’elle prenne de photos de mon visage. Elle répondit :
- Non, non, t’inquiète pas ; il s’en fiche de ta tête de cocu.
Elle ne sortit pas cette semaine-là, mais tous les soirs elle me domina, me poussant à chaque fois plus loin. Le mercredi soir, elle me fit manger à quatre pattes dans une gamelle sous la table, sans couverts. J’avais toujours mon collier autour du cou. Je me surprenais à lui obéir aussi aveuglément, d’autant que toutes ces idées venaient de son amant. Mais je prenais un tel plaisir à être à ses pieds…
Le vendredi soir, elle m’annonça qu’elle partait tout le week-end chez Nicolas :
- Je pense que tu as eu ta dose de soumission. À moi maintenant de pouvoir assouvir mes fantasmes. Tu as quelque chose à dire ?
Non, je n’avais rien à dire. Je me sentais bien et j’étais aussi content de pouvoir me reposer, car même si j’avais pris un plaisir immense, le traitement de soumission me pesait un peu.
- Très bien. Je rentre dimanche vers 17 heures. Je veux que la maison soit impeccable. Et tu rangeras le garage car c’est plus possible.
Elle me demanda également de lui préparer son sac en y mettant quelques affaires sexy. J’y ajoutai le caméscope en lui demandant si elle pouvait filmer un peu… Elle prit le sac et ne répondit rien.
Le week-end fut très long car je ne reçus pas un coup de fil, pas un texto, pas une nouvelle.
À son retour deux jours plus tard, elle m’expliqua que Nicolas souhaitait l’avoir pour lui tout seul : dorénavant, je n’aurais plus le droit de la pénétrer. D’autant plus difficile quand on dort dans le même lit. Je fantasmais depuis quelque temps sur l’idée de porter une cage de chasteté, mais elle n’aborda pas le sujet. Cela faisait déjà plus d’un mois que nous n’avions pas couché ensemble. Je lui demandai alors de me raconter le week-end dans le détail.
- Non, je préfère garder ça pour moi, c’est mon jardin secret… Mais je t’ai rapporté une surprise. Avant de te la donner, tu vas te mettre sur le dos, écarter tes cuisses et me présenter ton anus de cocu.
Pas besoin de me le dire deux fois. Elle commença à enfoncer ses doigts en moi, et en même temps elle sortit une capote remplie de sperme qu’elle agita au-dessus de mon nez…
- Je t’ai ramené un peu de semence pour m’amuser avec toi.
Elle positionna le préservatif sur mon visage et commença à me mettre plusieurs doigts en me faisant mal… Je criais mais elle continua, et en profita même pour mettre la capote dans ma bouche pour me la faire sucer. Elle s’enfonçait de plus en plus. Je serrais les dents mais j’essayais de me retenir car elle prenait un malin plaisir à mettre la capote entre mes dents, justement. Elle cherchait clairement à ce que je la déchire et que le sperme de son amant se répande dans ma bouche. Finalement je parvins à me maîtriser. Elle ne s’avoua pas vaincue ; attrapant des ciseaux, elle la découpa et déversa toute la semence sur mon visage. Une fois fait, elle enfonça ses doigts et je jouis instantanément.
- Tu sais que je n’ai jamais aimé le goût du sperme (oui c’était l’un de ses seuls tabous), mais Nicolas pense qu’un bon cocu doit connaître le goût du sperme de l’amant de sa femme.
Un peu plus tard en m’endormant, je me dis que ça commençait aller trop loin, mais tous ces petits jeux m’excitaient, et voir ma femme prendre plaisir à me dominer m’excitait encore plus.
Jade était redescendue. Elle était au téléphone. J’entendis une bribe de conversation :
- Non, elle n’a pas éclaté […] Ben oui, c’est dommage […] OK, on fera comme ça.
Je me posais de plus en plus de questions. Je me disais aussi que je n’avais toujours pas rencontré son amant. Elle vint finalement se coucher. Quelques minutes plus tard, mon téléphone se mit à vibrer. Je lus sur l’écran : « Quel week-end ! Je lui en ai mis plein le cul à ta femme. » Une photo accompagnait le message. On voyait son amant la prendre par derrière, en levrette. Je restai la bouche ouverte, n’y croyant pas. Sa queue était rentrée aux trois-quarts dans son petit trou, et on sentait qu’il allait lui mettre un grand coup de reins pour la faire rentrer jusqu’aux couilles. La capote n’arrivait pas jusqu’à la base de son sexe, tellement il bandait.
- À voir ta tête, tu as reçu la photo de Nicolas, on dirait. Ça te plaît ? me demanda-t-elle.
- Oui, marmonnai-je sans trop savoir quelle attitude adopter.
- Tant mieux ; on va pouvoir bien dormir tous les deux.
Sur ces paroles, elle m’embrassa furtivement sur la bouche et se tourna sur le côté.
- Il t’a enculée combien de fois pendant le week-end ? » Demandai-je, curieux et encore sous le choc de cette photo.
- Oh, j’ai pas compté, mais c’est vrai qu’il aime bien mon cul et me l’a mise plus souvent par-là que par-devant. Tant mieux, tu sais que je jouis plus par là.
Voyant que j’allais reposer une question, elle prit les devants :
- Bon, tu as ta photo, moi j’ai pris mon pied. Tout le monde est content, non ? Alors maintenant on dort. Bonne nuit.
Là-dessus elle éteignit la lumière et s’endormit presque aussitôt.
Je me suis branlé quatre fois cette nuit en repensant à tout ça.
Le lundi matin allait être difficile.
oooOOooo
Le jeudi suivant, au travail, vers 15 heures je reçus un autre texto de son amant, précisant «Bon courage pour le travail. Je t’aurais bien passé ta femme, mais elle a la bouche pleine, là. Elle me fait te dire qu’elle ne pourra pas passer prendre les enfants à l’école et de ne pas l’attendre ce soir, elle rentrera tard ».
Comme pour le premier texto, je fus saisi d’une excitation immédiate. Mais chaque message me provoquait un choc. Surpris, je lui renvoyai un SMS lui demandant où ils étaient. Je reçus alors un message, de ma femme cette fois-ci, un quart d’heure plus tard : « On t’a dit qu’on était occupés, alors tu fais ce qu’on te dit et tu t’occupes des enfants ce soir. Et je t’interdis de répondre à Nicolas. »
Je reçus une photo ce jeudi-là, vers 18 heures, pile alors que je récupérais les enfants à l’école, sans commentaire. J’y vis ma femme à genoux en train de le sucer, le regardant droit dans les yeux, ou plutôt dans l’objectif du smartphone. Son regard en disait long…
Pendant environ un mois, ce petit jeu continua. Je recevais des photos tous les 3 ou 4 jours et me branlais très (trop ?) souvent. Les commentaires de son amant étaient de plus en plus vicieux, du genre « T’inquiète pas, ça reste ta femme, mais c’est ma salope maintenant. » ou bien « Tu savais que ta femme était capable de jouir rien qu’en prenant mon foutre sur sa petite gueule d’ange ? »
Je me rappelle d’un message qui m’avait particulièrement marqué : « Toujours aussi bon de baiser ta femme jusqu’à l’os. Elle en redemande. » Je ne parle pas des photos. Jade n’avait quasiment pas de tabous. Une des photos qui m’avait le plus excité présentait son magnifique cul avec écrit dessus au feutre « Ta femme, ma pute. »
Jade découchait toujours 2 ou 3 nuits par semaine. Elle continuait de me dominer régulièrement, mais elle n’avait pas beaucoup d’efforts à faire. Je devais m’occuper de toutes les tâches ménagères quand je n’étais pas au travail : vaisselle, ménage, linge… etc.
Un soir, elle me rapporta le linge de son amant.
- Sa machine à laver est en panne. Merci de t’en occuper au plus vite.
J’aurais dû trouver que c’était trop. Qu’il ne fallait pas accepter. Mais cette demande me provoqua au contraire une très grande excitation. Le coup de grâce, ce fut quand elle m’assena
- Attention, ce pull est très fragile. Il faut le laver à la main.
J’ai fait la lessive immédiatement et lavé son pull dans une bassine. Une heure plus tard, je recevais un SMS de sa part : « Merci pour le linge. On se rend des services. Comme ça, ta femme a une vraie queue, et moi mon linge propre.
Ses messages faisaient mouche à chaque fois. Il trouvait toujours la petite phrase avec le juste équilibre entre excitation et humiliation.
Jade, de son côté, semblait beaucoup plus épanouie qu’avant. Toujours de bonne humeur, beaucoup plus sûre d’elle. Elle me narguait aussi et m’humiliait de plus en plus souvent, notamment quand je lui posais des questions. Ses réponses étaient du style « Évidemment que j’aime baiser avec lui. Au moins ça ne dure pas deux minutes. Et pourtant il me baise comme un vide-couilles. Il sait que j’aime ça. Imagine, si j’étais sa princesse… »
Ses formules me faisaient à chaque fois plus d’effet.
Puis après la période des photos, ce fut au tour des vidéos. La première que je reçus présentait Jade en levrette en train de se faire prendre par derrière. L’équivalent de la première photo qu’il m’avait envoyée. Mais là, il y avait le son. J’entrais dans une autre dimension.
Certes, la qualité de la vidéo était médiocre ; c’était filmé au téléphone portable, mais je voyais très bien qu’il se déchaînait sur elle. J’avais même peur qu’il lui fasse mal tellement il la baisait fort. Jade hurlait sous ses coups de bite. Ça, c’était pour le côté excitant.
Pour l’aspect humiliation, il n’était pas en reste. Ses commentaires semblaient faire encore plus jouir ma femme : « T’aimes ça, hein, ma salope ? Te la prendre dans le cul ! Regarde, je filme pour ton cocu. Il va être content. » Jade ne répondait pas, mais quand elle entendait ces mots elle gémissait (enfin, gémissait, hurlait plutôt) encore plus fort. Sur les vidéos suivantes, il prenait un malin plaisir à la faire parler. Il la baisait par exemple en missionnaire en la filmant et lui disait : « Alors, c’est autre chose qu’avec ton mari, hein ? Dis-le que c’est bon. » Et de la voir, elle, le regard dans le vague, complètement en sueur lui répondant « Oui, c’est bon. Vas-y, mets-la-moi bien au fond. »
Cela faisait maintenant trois mois que je n’avais plus pénétré ma femme. J’avais juste eu le droit de la lécher 15 jours auparavant, mais ça avait été très rapide. Cela faisait également plusieurs semaines que je lavais le linge de son amant. Il avait pris son temps pour racheter une nouvelle machine. Évidemment, j’avais matière à me branler pour les cinq années à venir avec toutes les photos et vidéos que j’avais reçues !
Nous avions trouvé une sorte d’équilibre – sans doute précaire, j’en étais conscient – mais dans notre vie quotidienne nos rapports s’étaient améliorés. Seule ombre au tableau : je ne pouvais pas mettre sur mon blog les photos et les vidéos qu’il m’envoyait ; on aurait pu les reconnaître trop facilement.
Mais surtout, je n’avais toujours pas rencontré son amant.
Un soir, profitant de l’amélioration de nos rapports, je lui demandai si je pouvais venir avec elle chez lui. Les enfants partaient pour une semaine chez leur grands-parents ; c’était le moment ou jamais. Elle fut un peu amusée de ma demande et me dit qu’elle y réfléchirait.
Trois jours plus tard, elle me dit que Nicolas était d’accord. Nous irions donc chez son amant le lendemain samedi vers 15 heures. J’étais évidemment aux anges, mais partagé entre excitation et appréhension. Le matin, je préparai mon appareil photo et mon caméscope. Jade me regardait, amusée en levant les yeux au ciel.
En arrivant chez lui, un frisson me parcourut le dos : il n’était pas seul. Un ami était avec lui, en train de discuter devant sa voiture. Je me dis « Il n’a quand même pas prévu de la prendre avec son pote devant moi ? » Jade semblait très calme et au courant. Mais ça n’était pas forcément pour me rassurer. Je la sentais tout à fait capable de me faire un coup comme ça.
Il avait une maison avec un jardin. Une fois garés dans l’allée, tout le monde se dit bonjour. Juste avant d’entrer dans la maison, Jade me prit à part et me dit discrètement :
- Dis-moi, mon petit cocu, la voiture de Nicolas est très sale. Ça ne te dérange pas de la laver avant de rentrer dans la maison ? Regarde, il t’a sorti le tuyau, une éponge et du produit. Tu fais ça bien, hein ? Après, tu auras le droit de venir nous voir.
Livide, je lui demandai :
- Mais il y a son copain. Vous n’allez quand même pas faire ça à trois pendant que je lave sa voiture ?
Elle me répondit simplement :
- Qui sait ? Il est mignon, tu ne trouves pas ? De toute façon, tu n’as rien à dire. Et il n’a jamais été question que je n’aie droit qu’à un amant. Allez, au boulot, et applique-toi. S’il reste des traces, je me ferai un plaisir de te corriger sévèrement !
Mon cœur battait à cent à l’heure. Je me jetai sur le tuyau d’arrosage pour commencer sans tarder. Je me disais que ce n’était pas possible. Heureusement, la voiture était garée juste à côté de la fenêtre du salon. Je pouvais donc les apercevoir. Je regardais toutes les 30 secondes pour vérifier qu’ils n’étaient pas en train de se la faire tous les deux. Mes craintes se dissipèrent quand je vis sortir son ami de la maison, cinq minutes plus tard. Il me fit un signe de la main pour me dire au revoir et me souhaita bon courage en rigolant.
Après ce léger soulagement, je m’inquiétai à nouveau. Qu’avait-il pu dire à son ami ? « Oui, son mari lave ma voiture pendant que je baise sa femme. Ça vaut le coup, non ? »
J’en étais à ces réflexions quand je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux seuls désormais. Depuis au moins cinq minutes. En regardant par la fenêtre, je remarquai qu’ils avaient disparu du salon. Je me dépêchais de passer l’éponge sur la carrosserie pour aller les retrouver. Finalement, n’y tenant plus, je bâclai la tâche qui m’était confiée pour aller les retrouver.
En entrant dans la maison, des bruits parvenaient de l’étage. Je montai les escaliers avec mon sac à dos. En entrouvrant la porte de la chambre, je découvris Jade en train de se faire prendre à quatre pattes sur le lit. Discrètement, je m’empressai de sortir ma caméra pour immortaliser ce moment. Je réussis également à prendre quelques photos. Vu qu’ils étaient de dos, je n’arrivais pas à voir s’il la prenait par-devant ou par derrière.
En tout cas il l’insultait copieusement :
- Ça te plaît, petite pute, de te faire baiser pendant que ton mari lave ma voiture ? Oh oui, je vais décharger !
Il l’attrapa alors par les cheveux, la retourna, retira la capote et éjacula sur son visage. Il lui en envoya de longs et grands jets, très abondants. Ce n’est que lorsqu’ils s’allongèrent sur le lit qu’ils remarquèrent ma présence.
- Tu es déjà là ? Tu as fait vite. J’espère que la voiture de Nicolas est propre, me dit ma femme, le visage encore plein de sperme.
La voiture… je l’avais complètement oubliée !
Elle se leva, enfila sa jupe et passa devant moi en récoltant un peu de semence sur ses lèvres pour me la coller sur le bout du nez avec son doigt. Arrivés en bas, le véhicule semblait propre. Je le leur fis remarquer.
- Oui, à part là, ici, ici aussi, et encore là ! me rétorqua ma femme.
Elle me colla l’éponge dans les mains en me signifiant qu’il fallait recommencer, attrapa son amant par la main et lui dit :
- Viens, j’ai envie que tu me prennes sous la douche.
Un quart d’heure plus tard, la voiture était propre. Ma femme et son amant aussi. Quand je pénétrai à nouveau dans la maison, ils m’attendaient dans le salon. Jade me fit un geste pour m’indiquer que je devais m’allonger sur ses genoux. Elle prit soin d’enlever ma ceinture et de baisser mon pantalon au préalable.
- Tu as vu comment il devient obéissant avec son dressage ? Plus aucune protestation.
- Effectivement, c’est impressionnant ! répondit son amant, amusé.
- Je t’avais dit que si la voiture n’était pas propre, je te corrigerais moi-même, me lança-t-elle.
Sur ces mots, elle m’administra une fessée retentissante. Oh, la douleur était à peu près supportable, mais le bruit des claques, et surtout le regard de son amant me pétrifièrent. Quand elle eut fini, elle m’envoya au coin du salon, le pantalon toujours baissé, les fesses rouges, avec interdiction de me retourner.
J’avoue que je ne me rappelle pas vraiment de la suite de l’après-midi ; la honte était telle que ma mémoire préféra oublier leurs ébats.
Ce sentiment dura jusqu’au retour à la maison. Curieusement, la vie reprit son cours tout de suite et cet épisode s’effaça dans la soirée. J’eus même le droit de la lécher et elle me mit un doigt ce soir-là.
Mais quinze jours plus tard elle m’annonça qu’elle partait pour un week-end de trois jours avec lui au bord de la mer. Je fis des pieds et des mains pour venir, lui disant que je serais à leur service, que je ferais tout ce qu’ils me demanderaient. Je ne voulais pas qu’elle me laisse seul. Bizarrement, quand elle allait chez lui, ça ne me dérangeait pas tant que ça. Mais le fait de les savoir en vacances et moi seul à la maison m’était insupportable.
Finalement, après nous être entretenus avec lui, ils acceptèrent. Mais sous certaines conditions, qu’elle m’énonça :
- Comme tu me l’as dit, tu seras à notre service, donc tu nous obéiras : Je dormirai avec Nicolas dans la chambre ; toi, tu auras le canapé ou la deuxième chambre, s’il y en a une.
Tu devras avoir le regard baissé en notre présence. Donc interdiction de nous regarder dans les yeux. Nous voulons le petit déjeuner servi au lit samedi et dimanche matin, avec jus d’orange pressé, café et croissant. Je t’interdis de te tripoter ou de sortir ta queue en notre présence, sauf si on te le demande. Tu as interdiction de jouir pendant tout le week-end.
C’est Nicolas qui paiera pour la location, et toi qui paieras pour les sorties. Nous partons avec ta voiture, et c’est toi qui conduiras.
Cela me paraissait juste. Il n’y avait que l’interdiction de jouir qui me dérangeait ; mais comment le sauraient-ils, puisque je ne portais pas de cage de chasteté ? Je demandai à mon tour s’ils pouvaient laisser leur porte entrebâillée la nuit si jamais je voulais venir les regarder s’ils baisaient. Elle éclata de rire et répondit :
- Mon pauvre, tu en es rendu là ? Eh bien tu verras bien. Si elle est ouverte, tu auras le droit de regarder, et si c’est fermé, il te restera tes oreilles… Mais n’oublie pas : interdiction de jouir de tout le week-end.
Le jour J arriva. Son amant avait loué un petit appartement sur la côte. Nous avions rendez-vous avec lui sur un parking de supermarché. Quand nous arrivâmes, Jade sortit de la voiture et ils se roulèrent une pelle pendant au moins 15 secondes. Je priai pour ne reconnaître personne que je connaissais. Heureusement, j’allais rarement dans ce secteur. Je lui serrai la main rapidement en lui disant bonjour. Il était tout sourire et très détendu.
Première surprise : Jade monta à l’arrière avec lui. Je pensais naïvement qu’elle ferait la route à côté de moi, et lui derrière. Il y avait environ une heure et demie de route. Et évidemment, au bout de cinq minutes, il la pelotait dans tous les sens et enfonçait bien sa langue dans la bouche.
Très vite, la contrainte de devoir suivre la route devint insoutenable, alors que le spectacle était derrière. Heureusement l’autoroute arriva très vite. Au péage, au moment de prendre le ticket, il avait la main dans sa culotte (elle était pourtant en jeans) et le routier qui était dans le camion juste à côté n’en perdait pas une miette. Ça ne les dérangea pas. Un peu plus tard, c’est elle qui ouvrit sa braguette pour commencer à le sucer. Je n’avais jamais bandé autant. J’essayais tant bien que mal de conserver le regard sur la route, mais toutes les cinq secondes il fallait que je regarde ma femme se délecter de son sexe. Elle le suçait avec application, essayant de l’avaler entièrement en lui caressant les couilles. Au moment où il l’attrapa par les cheveux pour lui enfoncer plus profondément, je ne pus m’empêcher de rester à regarder. La voiture se déporta vers la gauche au moment où une voiture nous doublait.
Nicolas me remit sèchement à ma place :
- Dis donc, cocu, t’as intérêt à te concentrer sur la route parce qu’on aimerait arriver entiers.
Voyant cela, Jade en rajouta une couche :
- Je te préviens que s’il y a une autre embardée, c’est Nicolas qui s’occupera de te corriger, et il a beaucoup plus de force que moi.
Je répondis platement :
- Je vous prie de m’excuser.
Ils se regardèrent en rigolant, et Jade détacha alors sa ceinture, se mit à genoux sur la banquette et continua à le sucer. Il passa alors sa main sur son cul, lui baissa le jeans et commença à lui caresser les fesses. Je me doutais qu’il enfonçait ses doigts, mais je n’arrivais pas à voir si c’était dans sa chatte ou son anus. Je me retins de demander, craignant de me faire envoyer balader une nouvelle fois…
Quelques minutes plus tard, elle se mit à califourchon sur lui pour se frotter. Elle n’avait heureusement pas enlevé son jeans. Finalement, énervés par le bip-bip de la ceinture de sécurité qui était enlevée, ils se rassirent normalement tous les deux.
Nous arrivâmes enfin à l’appartement. Le propriétaire était là pour nous accueillir dans le hall de l’immeuble. Nous avions dû nous garer un peu plus loin, le parking de la résidence étant plein.
- Nous allons faire l’état des lieux ? demanda-t-il.
Je commençai à le suivre mais Jade me retint.
- Nous venons avec vous tous les deux… Pendant ce temps-là, mon mari va aller chercher les bagages dans la voiture.
Je commençai donc à faire demi-tour pour aller chercher les affaires (ma femme emporte toujours une tonne de vêtements, même pour deux jours).
- C’est au troisième étage, appartement 307. Attention, il n’ya pas d’ascenseur. À tout à l’heure, ajouta le proprio.
Je revins un bon quart d’heure plus tard, essayant tant bien que mal de transporter les bagages en un seul voyage. Ils venaient de terminer l’état des lieux et discutaient quand je posai les affaires dans l’entrée. Voyant cela, Jade me reprit et me dit assez sèchement en me montrant une porte du doigt :
- Enfin, voyons, tu ne poses pas les affaires ici : tu vas les mettre dans notre chambre. Tu as de la chance : tu as également une chambre ; ça t’évitera de dormir dans le canapé.
Elle avait décidé de faire comprendre au propriétaire que j’étais un cocu complaisant et de m’humilier. Ils me regardèrent faire en souriant. En sortant de la chambre, le propriétaire partit en ajoutant « Bon, je vous laisse. Amusez-vous bien ! » en faisant un très large sourire.
Je restai là sans bouger, ne sachant pas trop quoi faire. Jade me sortit de ma torpeur :
- Bon, tu ranges nos affaires dans les placards, tu passes un petit coup de serpillère ; tu sais comment je suis. Pendant ce temps-là, on va faire un petit tour sur la plage. À tout à l’heure.
Ils revinrent deux heures plus tard et s’effondrèrent sur le canapé. Il devait être 18 heures. Je m’assis sur le fauteuil en face pour me poser un peu avec eux. Jade me demanda d’aller leur chercher à boire. Je sortis la bouteille de champagne qu’ils m’avaient demandée, leur servis une coupe à chacun et commençai à me servir.
- Non, pas d’alcool pour toi ! répliqua Jade. Si nous sortons et qu’il faut prendre la voiture, c’est toi le chauffeur, et un chauffeur ne boit pas.
Une fois servis, ils m’autorisèrent à m’asseoir sur le fauteuil en face d’eux. Il y eut alors quelques secondes de flottement. Je sentais Jade un peu gênée, mais Nicolas trouva les mots pour dissiper ce malaise :
- Alors, comment avance le dressage de ton mari ? lui demanda-t-il.
- Oh, comme tu vois, ça commence à porter ses fruits. Il est déjà bien obéissant. C’est surtout grâce à toi : tu sais trouver de bonnes idées.
Il me porta un regard furtif et chuchota à l’oreille de ma femme.
Elle ne put s’empêcher de rire.
- Oui, c’est une bonne idée. D’ailleurs, on va expérimenter tout de suite.
Elle se leva alors et sortit de la pièce. Deux minutes plus tard, elle m’appela depuis les toilettes. Je frappai à la porte. Elle me dit alors :
- Nicolas a eu une très bonne idée, et en plus c’est écologique. Plutôt que d’utiliser du papier, je t’appellerai pour que tu me nettoies avec la langue après avoir fait pipi. Allons, ne perds pas de temps. Allonge-toi sur le dos, ce sera plus facile.
Je n’osais pas l’avouer, mais cette demande m’excita. Je m’exécutai et elle s’assit carrément sur mon visage. Le petit manège dura environ trente secondes. Je sentais l’odeur d’urine sur son sexe, mais très vite sa chatte fut toute propre. Nous revînmes ensuite dans le salon.
- Encore une très bonne idée, mon chéri, et mon mari fait ça à la perfection.
Là-dessus, ils s’embrassèrent en riant et il commença à la déshabiller.
J’étais toujours assis sur le canapé mais ils ne me calculaient plus du tout. En quelques secondes ils se retrouvèrent nus tous les deux. Elle se mit alors sur lui pendant qu’il enfilait une capote, attrapa sa queue et se l’enfila très sensuellement. C’était elle qui dirigeait le rythme et faisait les mouvements. Très vite il écarta ses fesses et commença à donner des coups de reins. Quand il lui mit deux doigts dans l’anus, n’y tenant plus, je me levai pour aller chercher l’appareil photo. Je m’attendais à me faire rembarrer mais je n’existais déjà plus pour eux. J’eus ainsi tout le loisir de prendre des photos. Ils changèrent ensuite de position. Elle s’allongea sur le dos sur le canapé et lui chuchota à l’oreille :
- Tu as envie de m’enculer ?
Sans même lui répondre il s’enfonça dans son petit trou. J’étais impressionné : sans préparation, il arrivait à s’enfoncer en elle sans problème. Jade était dans tous ses états, elle criait fort, comme à chaque fois qu’elle se faisait prendre par derrière. Très vite elle lui dit :
- Je suis ton vide-couilles, je suis à toi. Fais ce que tu veux de moi.
Il le prenait méticuleusement, lui donnant de grands coups de reins, très profonds, mais pas très rapidement. Puis il accéléra en l’insultant :
- T’aimes ça, ma salope, te faire prendre par le cul… T’inquiète, tu vas en prendre tout le week-end…
Il continua à la prendre par derrière pendant de longues minutes. Jade hurlait. Elle devait en être à son troisième orgasme lorsqu’enfin il éjacula… Il se retira, fit un nœud et me jeta le préservatif usagé à terre pour que je le ramasse. Je me disais intérieurement que son amant était vraiment endurant : moi, j’aurais joui au bout de deux minutes, mais en regardant l’horloge je me rendis compte qu’il l’avait prise pendant près d’un quart d’heure. Je me sentais vraiment inférieur, et curieusement cette sensation m’excita.
J’en étais à ces réflexions en revenant dans le salon quand Jade m’interpella, toujours sur le dos, les cuisses écartées, un pied sur l’épaule de son amant qui la caressait, l’autre par terre sur le tapis.
- Tu vois, mon petit cocu ; ça, c’est un vrai mec, qui me prend le cul et qui sait y faire. Sa queue est toujours raide, et surtout il tient longtemps.
Je baissai les yeux en m’asseyant, conscient qu’elle avait raison.
- Tiens, passe-moi l’appareil photo qu’on regarde les photos que tu as prises, me lança-t-elle.
En regardant les photos, Nicolas lui demanda l’appareil et la fit mettre à quatre pattes.
- Je vais en faire une autre qui va plaire à ton cocu ! dit-il.
Il lui demanda d’écarter ses fesses, et son trou béant s’ouvrit. Il prit deux ou trois photos, puis me dit d’un ton sec :
- Allez, lèche-lui le cul !
Je m’approchai mais la vision de ce trou grand ouvert ne m’inspirait pas du tout.
- Obéis, cocu, ou je te corrige ! insista-t-il.
J’obéis alors en entendant les clics de l’appareil photo.
- Enfonce ta langue ; je veux la voir rentrer en entier.
Jade était hilare. Cela lui plaisait qu’il m’humilie. Elle rajouta :
- Et encore, il n’y a pas de sperme. Il faudra vraiment qu’on pense à faire un test pour qu’il goûte ton foutre.
Finalement ils se levèrent, toujours nus, et allèrent dans leur chambre.
- Tu vas préparer le repas ; on veut manger pour 21 heures, dit Jade.
Je filai à la cuisine ; il était 19 h 30. En préparant à manger, j’avais en tête toute la scène qui venait de se dérouler devant moi. Ma femme en train de se faire enculer et insulter. C’était vraiment intense. Je n’arrêtais pas de regarder les photos. J’étais content car j’allais pouvoir mettre ces photos sur notre blog. On ne pouvait reconnaître l’endroit, et je n’avais qu’à flouter les visages.
Après cette réjouissance (pathétique, je l’admets après coup en écrivant ces lignes), je me demandai ce qu’ils fabriquaient tous les deux. Une fois que le plat était à mijoter, je m’approchai de leur chambre et m’aperçus que la porte était fermée. Je décidai donc d’aller dans ma chambre et mis mon oreille contre le mur. Par chance, l’appartement était très mal insonorisé.
Malheureusement, je n’entendais que le son de la télé. Déçu, je décidai de profiter de la vue du balcon. C’est en passant ma tête que je vis Jade debout contre la rambarde, en train de se faire prendre. Elle essayait de se retenir de faire du bruit pour ne pas attirer l’attention des passants dans la rue. Mais lui prenait un malin plaisir à la baiser de toutes ses forces. Je l’entendis lui susurrer à l’oreille :
- Tu te retiens de faire du bruit, salope ? Attends, je vais te faire couiner, moi.
Sur ces mots il lui claqua les fesses et la pilonna comme jamais. J’eus à peine le temps de prendre la caméra et de filmer quelques secondes. À la fin, elle lui dit en l’embrassant :
- Hmmm, tu t’es juste servi de moi pour te vider les couilles : j’adooore !
Puis ils se rhabillèrent et me rejoignirent dans la cuisine. Le reste de la soirée se passa plus ou moins normalement, si l’on considère que voir sa femme se faire peloter et embrasser toute la soirée est bien normal.
La nuit fut par contre très dure : de 23 h à 4 h du matin ils baisèrent au moins 5 ou 6 fois. J’étais réveillé toutes les heures et, ne pouvant rien voir, très frustré. Malgré l’interdiction, je ne pus m’empêcher de me branler ce soir-là, trois fois, tellement j’étais excité.
Au petit matin, mon réveil sonna pour préparer le petit déjeuner comme ils m’avaient demandé. Après avoir pressé les oranges et tout préparé, je frappai à la porte mais pas de réponse. Je décidai donc d’ouvrir pour déposer le plateau. Évidemment, ils dormaient à poings fermés (après la nuit qu’ils venaient de passer, tu m’étonnes…).
Je déposai le plateau sur le bureau. Jade émergea à ce moment-là.
- Viens un peu par ici, me dit-elle. Baisse ton pantalon.
Je me dis qu’elle allait m’accorder une faveur en me suçant pour me féliciter pour le petit déjeuner. Elle se contenta de sentir mon sexe de près.
- Pouah ! Tu pues le sperme d’ici ! S’agaça-t-elle. Je t’avais pourtant interdit de te branler.
- Mais je…
- Ne nie pas ! Nicolas, il s’est branlé cette nuit ; j’en étais sûre.
Son amant émergea et dit, encore endormi.
- Dis-lui de sortir, on règlera ça après avoir déjeuné.
- T’as entendu ? Sors d’ici, branleur. C’est pas étonnant que tu sois cocu : tu passes ton temps à te branler. Dégage, bande-mou !
Ils sortirent de la chambre une demi-heure plus tard. Jade était réellement mécontente. Elle m’ordonna de baisser mon pantalon et de me mettre à quatre pattes. Je m’attendais à ce qu’elle me fesse. La présence de son amant, spectateur de la scène, m’excitait. C’est lorsqu’elle annonça que ça allait être Nicolas qui allait me corriger que je pris peur.
Avant que j’aie le temps de réagir, elle ajouta :
- Oui, je sais tu ne t’y attendais pas, mais tu le mérites. Tu as trahi ma confiance, et je n’aurai aucune pitié.
Je sentis la première claque s’abattre sur mes fesses alors qu’elle finissait sa phrase. Il était sportif et avait de la force, je le sentis tout de suite. Je n’en tirai aucun plaisir. J’avais vraiment l’impression d’être un enfant puni. J’entendis alors le déclic de l’appareil photo : Jade immortalisait le moment. Étrangement, ce fait m’excita réellement et rendit la situation beaucoup plus supportable. Au bout de cinq bonnes minutes, j’avais les fesses en feu. Il tapait vraiment fort. Jade dit alors :
- Encore dix claques, et tu vas compter.
Il avait pris de l’assurance.
- 1, 2, 3…
Arrivé à 7, je ne pus m’empêcher de laisser échapper une larme. La douleur et l’humiliation, je ne savais plus où j’en étais. Jade le remarqua.
- Regarde, mon chéri, mon petit cocu est en train de pleurer : ça, c’est une vraie punition. Allez, plus que trois.
Encore une fois, les mots de ma femme me rassurèrent, paradoxalement.
- Maintenant tu files dans ta chambre ; on ne veut plus te voir. Nous on va faire un tour. On se retrouve à midi. J’espère que cette punition t’aura remis les idées en place.
Après leur départ, je me précipitai dans la salle de bain : mon cul était rouge vif. Heureusement, la douleur partit assez vite, mais pas la honte.
En les retrouvant à midi, ils virent que mon attitude avait changé : je baissais vraiment les yeux, et quand son amant m’adressait la parole, je répondais « Monsieur ».
Le soir, nous sommes sortis au restaurant. Jade alla aux toilettes justes avant les entrées. Deux minutes plus tard, il prétexta avoir un coup de fil à donner. Elle revint cinq minutes plus tard, réajustant sa robe : il l’avait baisée dans les chiottes du restaurant !
En repartant le soir, alors qu’ils marchaient bras dessus bras dessous et que j’étais derrière aux, je vis un mince filet blanc s’écouler le long de sa cuisse…
HELP... Je cherche désespérément la suite....
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Le mois des violences sexuelles au cinéma.... Et il y en a...!!! Heureusement c'est du cinoche!
Je ne connais pas ce film.
Mais la scène est d une belle cruauté...
Mais la scène est d une belle cruauté...
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En quelques traits... Imaginez....!
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Histoire du net. Auteure: Tanya. Crescendo..!
Quand les montées de sève rendent fou
de sexe et de jouissance.
Et si en plus s'il y a des pt'is jeunes... !!!
de sexe et de jouissance.
Et si en plus s'il y a des pt'is jeunes... !!!
Grain de folie
Auteur : Tanya
A tous les âges la vie réserve des surprises, si l’on conserve le côté espiègle de la jeunesse. A 51 ans passé, on a sans doute moins de complexes ou d’interdits qu’auparavant, ceci explique peut être ce qui va suivre.
Tout a commencé il y a maintenant trois semaines : apéritif chargé dans un vernissage, repas en amoureux bien arrosé et puis cet état de bien-être et d’insouciance qui nous fit nous arrêter devant une boite de nuit.
Depuis plus de 25 ans nous n’avons fréquenté que les clubs libertins et chaudes boites du Cap d’Agde, sans cet excès de boisson nous n’aurions jamais pensé pousser la porte d’un night-club “classique”. Mais j’avais une envie folle de danser et Marc probablement une idée derrière la tête.
Il consentit à rentrer à deux conditions, la première était que j’enlève mon string auparavant et qu’une fois à l’intérieur nous fassions comme si nous ne nous connaissions pas. Après des protestations de circonstance j’accédai à sa demande, la vieille-ville était calme et il était déjà tard, mon geste passa inaperçu des rares passants.
Une fois à l’intérieur l’ambiance était toute autre, techno à fond, tee-shirts collés à la peau par la sueur, je faisais un peu pièce rapportée avec ma robe mauve et mes Dim-Up, mais je m’en fichais royalement. Mon Gin-fizz ne dura guère et je me précipitais sur la piste.
En mon for intérieur, je me répétais que je n’étais pas en club échangiste et que je ne devais pas danser trop sensuellement. Parmi toute cette jeunesse, je ne voulais pas passer pour l’ancêtre avide de chair fraîche, je m’abandonnais au tempo lancinant de la musique tout en gardant les yeux grands ouverts.
Il faut croire que les ans ne m’ont pas encore fait subir de gros outrages car je repérais une table où 3-4 hommes semblaient parler de moi en riant. J’esquissais un large sourire avant de me dire que ça ne se fait pas ici. Trop tard !
Comme un aimant un des hommes vint danser face à moi, lui aussi était en sueur et son tee-shirt ne cachait pas sa musculature et quelques beaux tatouages, je changeais légèrement de place, il se rapprocha encore. Nue sous ma robe et mes bas j’avoue que cette insistance ne me laissait pas de marbre, loin de là. Je songeais à Marc qui devait contempler la scène et attendre de moi un peu de spectacle.
OK, OK, je me rapprochai de mon cavalier, en dansant je jouais des fesses en souriant à pleines dents. Ravi, il avançait imperceptiblement pour entrer en contact tantôt avec mes bras, tantôt en frôlant ma robe avec son jean. Ses amis et lui étaient clairement originaires du sud de la Méditerranée, j’aime beaucoup la Méditerranée…
Tout en les regardant du coin de l’œil et en veillant que ma conduite ne soit pas trop visible du public je frottais ma robe et mes fesses sur le jean qui contenait déjà une forme prometteuse. La musique se réchauffait et prenait des accents africains sans perdre de son rythme. Persuadé d’être tombé sur une délurée - ce qui est loin d’être faux- mon partenaire osait enfin poser ses mains sur mes hanches et me prouvait par de subtils mouvements de reins que je ne le laissais pas du tout indifférent.
Pendant ce temps je n’oubliais pas ses amis et mes yeux leur lançaient comme des invitations. Le plus audacieux des trois ne se fit pas prier et nous rejoint, après une tentative de conversation impossible vu le niveau de la musique je me retrouvais entre deux mâles passablement surexcités, je passai mes bras au cou de l’un au cou de l’autre, exagérant à peine l’effet de l’alcool sur mon enthousiasme.
Ce qui devait arriver arriva, une main s’insinua discrètement au-dessus d’un bas, remonta… et ne trouva rien que ma chair échauffée par la danse. Jamais je n’avais vu une telle surprise dans un regard, un tel désarroi ! En riant je guidais la main du côté face et au contact de ma fine toison il dut se rendre à l’évidence : je n’avais pas de culotte !
C’est ce qu’il s’empressa de dire à son copain incrédule.
Après une discussion animée ce dernier se résolut à venir vérifier par lui-même, là j’avoue que je riais franchement à la fois pour calmer sa gêne et parce que la situation était franchement drôle.
La lumière avait le bon goût de baisser de temps à autre, j’en profitai pour égarer mes mains sur les braguettes en béton. Eux s’amusaient à remonter ma robe jusqu’à la taille pour mieux voir mes courbes. Un peu plus haut nos sueurs mélangées collaient le tissu sur ma poitrine. Je suis un peu particulière à cet étage-là : quelle que soit la température mes tétons restent pointus mais là il me faut avouer que l’excitation crée par cette musique tribale et les caresses plus du tout timides de mes cavaliers ne faisaient qu’amplifier le phénomène.
J’avais comme l’impression de danser nue au milieu de la foule, c’était divin !
Mes deux canaillous étaient si fiers d’avoir “levé” une femme mûre aussi coquine qu’ils ne manquaient pas de frimer devant leurs collègues restés assis à la table. Je me fis donc un devoir de les impliquer dans cette aventure qui me plaisait de plus en plus. Insensiblement, je me rapprochais de la table, la température était moins étouffante.
Je cherchais du regard Marc que je retrouvai évidemment en train de discuter au bar avec une blondinette. Ok, il allait voir qu’il n’est pas le seul à aimer la jeunesse…
Devant la table je me mis à jouer avec le bas de ma robe, dévoilant brièvement la chair au-dessus de mes bas tout en riant du regard halluciné que me portaient les deux mecs affalés sur la banquette. Je me retournai vers un de mes danseurs, me collais à son corps en lui susurrant de remonter discrètement le bas de ma robe.
Il glissa tout d’abord une main, puis deux, sur mes fesses et les empoigna, les malaxa presque en bredouillant que mon cul le rendait fou. Impossible de le calmer, je me tournais donc vers son partenaire qui se fit un plaisir de jouer avec mes voiles.
A ce stade j’étais capable de perdre toute retenue et je mourrais d’envie de m’agenouiller pour libérer ces deux sexes de leur carcan et de les prendre en bouche. Mais une fois de plus je me rappelais que nous n’étions pas en club et que mes compagnons du soir n’étaient pas des libertins. Je donnais des signes évidents de fatigue et ils me proposèrent galamment à boire. Je commandais un Perrier pour la soif et un gin pour l’ivresse.
J’en profitai pour me refaire une beauté devant la glace. Quel spectacle, ma robe était humide et je me trouvais une tête de folle mais mon regard brillait et je me disais que la rigidité virile de mes cavaliers ne saurait mentir, je leur plaisais, et pas qu’un peu !
A la sortie des toilettes, Marc m’embrassa à la dérobée et m’encouragea d’un signe du pouce. Lui aussi était bien dur, mon one-woman chaude lui plaisait.
Au retour les boissons étaient servies et je me glissais non pas entre mes deux cavaliers, mais entre eux et leurs amis spectateurs. En se rapprochant on s’entendait tout juste, après quelques considérations sur l’atmosphère étouffante du club, j’allais droit au but.
Non, je n’étais pas une vieille salope ou une allumeuse, mais une vraie libertine égarée dans une boite “normale”. Je n’avais pas de culotte à cause d’un pari avec mon ami qui ne perdait rien de la scène.
Je pense a posteriori que seul un des quatre a bien compris ce que je disais, tant pis il fallait utiliser le langage des gestes. Tout en sirotant mon gin-fizz particulièrement tassé, je remontai le bas de ma robe pour montrer ma toison soigneusement entretenue.
Le plus rustaud d’entre eux situé juste en face me demanda de bien écarter les jambes, ce que je fis sans aucune pudeur. Une main, puis deux glissèrent le long de mes cuisses, là où ma peau est la plus fine. Moi je ne perdais pas mon temps et caressai les deux braguettes à ma portée. Le mufle en face me hurla presque dans l’oreille « Toi ma salope tu aimes la bite » et demanda à ses collègues si je mouillais bien… ce qui était le cas !
Alors que le plus timide à ma droite s’enhardissait à tripoter maladroitement mon sexe, un des danseurs de tout à l’heure releva l’arrière de ma jupe et, sans que je puisse protester, enfila un doigt dans mon petit trou. L’air de rien je finissais mon verre !
Tant qu’on y est je lui ai demandé de sortir son sexe, ce qu’il fit avec quelques contorsions. Quelle belle queue de beur, large à souhait, circoncise et bien proportionnée, faute de pouvoir l’emboucher vu les circonstances, je la caressais avec respect.
J’entrepris de débrailler mon voisin d’à côté, mais il n’y mettait pas du sien. Avec mes doigts de fée je réussis quand même à descendre sa braguette, ouvrir le bouton et glisser ma main dans son slip pour me rendre compte qu’il avait joui avant même que je le prenne en main.
Pour ne pas le trahir devant ses collègues, je continuai ma caresse et m’enfonçait encore plus sur le doigt qui s’agitait entre mes fesses. Quel pied !
Je regardais alentour, mais notre manège n’attirait que le regard de Marc qui s’était installé sur un fauteuil tout proche. Sur la piste, danseurs et danseuses s’abandonnaient à la musique lancinante.
Le lourdaud d’en face s’était assis carrément sur la table et me traitait de tous les noms, salope, chienne, grosse pute, tant et si bien que je lui dis qu’il était un sale porc et que je voulais voir sa queue. Ni une ni deux il la sortit et ma foi elle était très intéressante, je n’en avais pas souvent vu d’aussi large et courte, elle faisait penser à un talonneur de rugby.
Je continuais mes va et vient puis sortis ma main toute dégoulinante de sève du pantalon.
Bien décidée à jouer la chienne en chaleur, j’embrassai mon timide avant de lécher mes doigts pour déguster la liqueur iodée. J’en laissai quelques gouttes à la commissure de mes lèvres qui glissèrent lentement avant de s’écraser sur ma robe.
Un orgasme violent me secoua alors que, par hasard, deux doigts s’étaient rivés sur mon point G, j’eus du mal à réprimer une éjaculation féminine qui aurait sans doute perturbé mes partenaires. Je n’avais plus qu’une envie, me faire baiser fort et maintenant.
Mais le cochon d’en face se saisit de ma tête et ficha ma bouche sur son membre. J’avais quelque mal à respirer vu son diamètre, mais pouvais - c’est assez rare pour être souligné - l’emboucher en entier sans problème. La vulgarité de l’homme commençait à me plaire et je le laissais me baiser la bouche quand il arrêta brusquement. Je levais mon regard…
Aïe les deux costauds de l’entrée mettaient fin à nos ébats en disant que ça ne se faisait pas ici et que s’ils voulaient me tirer, qu’ils aillent au moins aux toilettes. Cette perspective me refroidissait, je n’ai jamais aimé les ambiances glauques et de toute manières les 4 z’amis n’avaient même pas prévu de préservatifs.
Marc s’amusait comme un fou, je le rejoins en remettant ma tenue en ordre. Je lui expliquais que mes rencontres du soir étaient frustrés (à part un) et que j’avais une grosse envie. En reprenant nos manteaux il montra ostensiblement les précieux emballages dont il est rarement dépourvu.
La vieille ville était calme et froide, tout le contraire de moi qui entendait les pas qui nous suivaient, arrivé près d’un escalier orné d’une fontaine asséchée Marc m’intima de me pencher et dévoila mes fesses. Les quatre lascars furent sciés quand il leur tendit les capotes en leur disant de faire vite, le rustaud fut le plus rapide et en un instant il fut au fond de moi en bafouillant des obscénités.
Ce fut bon et rapide, comme j’aime.
Un des danseurs ne se fit pas prier pour prendre la suite, son sexe était presque aussi large mais bien plus long, je gémis deux fois avant qu’il s’abandonne en râlant. Je ne perdais pas le nord et pendant qu’Hakim écartait mes fesses pour me sodomiser je gobais le timide, qui l’était de moins en moins. Deux filles passèrent, éméchées et riant devant notre spectacle de rue.
Puis le sexe s’enfonça plutôt facilement dans mes entrailles, génial !
Le gros porc qui avait retrouvé ses esprits depuis son orgasme l’encourageait à me prendre profond et fort, Marc avait glissé deux doigts sur mon point G et l’apocalypse ne tarda pas. Comme pour réveiller la fontaine, j’éjaculai puissamment ce qui fit jouir instantanément la queue qui envahissait mon cul et celle que j’avais entre les lèvres. Ce moment dura longtemps, longtemps et une fois redressée mes jambes flageolaient encore.
Il était temps, une douzaine d’Anglais saouls comme des Polonais passaient en chantant, ne se doutant absolument pas de ce qui venait de se produire.
Une bises à tous, un échange de mail et ce fut tout, un taxi attendait pas loin et ne sembla pas surpris de ma robe trempée et de l’odeur de sexe qui m’entourait.
oooOOooo
Vous croyez que cette histoire est terminée ? Je le croyais aussi !
Le lendemain, je me levais tard tout juste éprouvée par la nuit précédente et par ses suites dans le lit conjugal. Je regrettais juste que les photos prises par le portable de Marc lors du final près de la fontaine fussent totalement ratées mais j’étais très fière d’avoir levé au pied levé ces quatre petits beurs. Enfin, petits par l’âge, pas par leurs dimensions naturelles, vous l’aurez compris.
Comme souvent le dimanche, je me connectai sur msn et cette fois-là j’avais une belle histoire à raconter à ma meilleure copine.
J’avais trois nouveaux contacts inconnus, tiens donc ?
D’entrée je me suis fait agresser par un certain Farid qui me tint à peu près ce langage
Grosse salope, viens dans ma cité et je te bourrerai le cul avec mes potes.
Je faillis bloquer d’entrée le malotru, mais ça me rappelait quelque chose. Farid c’était pas le prénom de celui qui avait baisé ma bouche dans la boite ?
Bingo, il rajoutait en quémandant des photos que j’étais un coup d’un autre monde ! Plutôt rassurée par le compliment, je lui envoyais mes photos les plus intimes. Farid au fond était un gentil et le souvenir de son sexe si particulier me laissait rêveuse.
Un peu plus tard dans la soirée, c’est mes deux cavaliers d’hier un peu affolés qui me disaient que Farid avait merdé et que toute la cité connaissait notre aventure. Mes photos avaient déjà circulé partout. Comme mon visage était caché, je n’en étais pas gênée, plutôt flattée à vrai dire. A cinquante et un balais être diva d’une cité de banlieue m’émoustillait et je leur envoyai des photos encore plus explicites.
Le lendemain j’avoue que mon travail ne fut guère efficace car je passais la journée sur msn. Les loupiots s’étaient fait tout un film et me proposaient carrément de faire une tournante dans une cave de barre hlm.
Je m’inquiétais un peu car ce mot implique pour moi le viol collectif mais je compris qu’il s’agissait plutôt d’un gros gang bang avec des mecs très jeunes. Farid qui était vigile dans le civil me garantissait que personne ne ferait un geste que je ne désirais pas mais « qu’ils allaient me ramoner le cul et que j’allais être un garage à bites ».
Mes autres amis étaient plus rassurants mais me disaient que les jeunes étaient fous d’excitation et voulaient à tout prix que je leur sois prêtée. Pire, ils mettaient en doute la sincérité de leurs aînés (qui n’avaient guère que 23 ans) et leur disaient que leur histoire de femme sans culotte en boite se faisant baiser dans la rue, c’était du pipeau et qu’ils l’avaient rêvé la nuit.
L’argument portait.
Comment ?
Ces p’tits cons doutaient de mon existence ?
J’en parlais à Marc qui prit les choses en main. Le vendredi il m’annonçait que tout était réglé et que j’allais me souvenir de la nuit prochaine. Mon sommeil fut passablement perturbé mais je n’en laissais rien paraître. Sa seule consigne était que je prenne mes talons les plus hauts et mes bas résilles blancs.
Vers 11 heures du soir ce samedi, Marc avait pris soin de chauffer l’intérieur de la voiture et nous voilà partis vers des quartiers que je ne connaissais que vus de l’autoroute. Je ne sais pas comment il se retrouva dans cet enchevêtrement de barres de béton, mais je reconnus mes acolytes (sauf le timide) qui m’attendaient au pied d’une entrée.
Ils n’étaient pas seuls et en traversant un nuage de fumée je découvrais une foule de cailleras qui me disaient poliment « Bonsoir Tania », Tania c’est mon prénom je ne vous l’avais pas encore dit ? Je ne vous ai pas parlé de mon physique non plus ? Et bien, je suis brune, 1 m 63 pour 52 kgs et je fais du 85 C, ça vous suffit ?
Sans me retourner je sentais tous ces regards fichés sur mon postérieur pendant qu’on attendait l’ascenseur blindé comme un char d’assaut. Pendant la montée on m’expliqua que Doudou et Moussah nous avaient invités pour l’apéro et « la préparation physique ».
Il faisait une chaleur torride dans l’appartement et ça sentait l’herbe très fort. Première bonne surprise nos hôtes étaient deux Sénégalais de la trentaine dont le sourire remontait jusqu’aux oreilles. Sous mon manteau je ne portai guère qu’une micro-jupe, un chemisier passablement transparent, un mini string et bien entendu les bas blancs réglementaires.
Je l’avais voulu et il n’était plus temps de reculer, comme le disait Farid ce soir j’étais « une putain de salope qui a peur de rien ». Un gin carabiné pour commencer et je sentais déjà le désir m’envahir, sur fond de musique africaine à plein tubes la vidéo diffusait un film d’une blonde prise par tous les trous par des blacks. Comme je préfère faire que regarder je me mis à danser et leur exécutai un strip-tease en règle.
J’arrêtais vêtue uniquement de mon string araignée, j’avais trop envie de sucer ces six queues qui s’agitaient sans pudeur depuis le début de ma danse. Les joints tournaient entre les hommes tandis que je me régalais de pétards en chair et en os.
Enfin je pus goûter à mes danseurs de la semaine précédente, un régal. Les hôtes étaient plutôt hors normes, larges et longs et d’une peau d’une douceur extrême qui gantait des membres en béton. Farid, dans son langage imagé frimait un peu :
- Je vous avait pas dit que c’était une salope de suceuse de l’autre monde ?
Ni une ni deux il arracha mon string et me pénétra d’un trait, d’un clin d’œil Marc me rassura, il portait bien son anneau de latex. Il me baisait tout en préparant mon cul à son gros chibre. Marc lui passa le lubrifiant et il n’eut pas de mal à investir mes entrailles, mon premier orgasme de la soirée ! Mon petit doigt me disait que ce ne serait pas le dernier.
- Poufiasse, tu aimes ça que je te laboure la rondelle, tu vas me faire jouir salope, tiens prends ça dans ta bouche de traînée
Il joint le geste à la parole et comme en boite me serra fort la tête pour que je le gobe en entier, aussitôt il cracha son plaisir tout au fond de ma gorge tandis qu’un des Sénégalais investissait ma chatte en douceur.
Quel membre !
Ça faisait longtemps que je n’en avais pas accueilli un de pareil. Il se mit sur le dos pour que je le chevauche et, centimètre après centimètre, je m’empalai totalement sur sa tige. Marc ne tint pas plus longtemps et gicla dans ma bouche et les yeux fermés je reconnus ma liqueur favorite. Ne me demandez pas ensuite qui s’enfonça dans mon petit trou déjà bien élargi, je ne le sais pas. Je fus prise dans tous les sens, mon corps n’était plus que jouissance.
Farid me fit fumer puis boire plusieurs fois avant de dire :
- Les mecs il est pas loin d’une heure et les jeunes doivent être fatigués de se tirer sur la nouille, attends chérie qu’on t’apprête.
Il noua un bandeau sur mes yeux et un autre sur mes mains derrière mon dos.
- Allez les mecs, un peu de chantilly et le gâteau est près.
Je savais bien ce qu’il entendait par là et ouvris la bouche, en une minute les six s’étaient vidés sur mon visage et sur mon corps, je devais avoir une drôle d’allure.
Guidée sans ménagement dans l’ascenseur, j’avais le cœur qui battait à tout rompre. Au bout d’un temps interminable les portes s’ouvrirent, il régnait un froid glacial et ça sentait fort les poubelles, j’étais dans un couloir de cave. Les tétons pointus comme jamais j’avançais avec précaution, deux mains agrippées à mes hanches me guidaient dans le couloir.
Tout au bout un vrombissement couvrait à peine de la musique rap à pleins tubes, l’atmosphère se réchauffait à chaque pas et ça sentait très fort le shit.
Mes hanches furent libérées, je cambrai les fesses et pointait la poitrine fièrement. Une nuée de mains m’accompagnaient, claquant mes fesses et caressant ma peau :
- Oh Farid tu nous ramènes une chaudasse dans le local à chaudière ? Putain elle est pleine de jus de couilles. Toi salope on va te démonter
Je souriais sans rien dire et passais ma langue sur mes lèvres, une double porte s’ouvrit laissant s’échapper un air torride chargé de cannabis. Farid fit baisser la musique et prit la parole :
- Oh les jeunes, vous avez eu raison d’attendre, on vous ramène un cadeau de ouf. Tania s’offre à vous, c’est une bombe atomique, ma parole !
J’avançai de quelques pas, je ne ressentais plus la peur et tous mes pores exhalaient mon désir.
- Matez la meuf, talons hauts, bas résilles, du haut de gamme jamais vu dans la cité. On lui a bandé les yeux pour pas qu’elle s’enfuie en voyant vos sales gueules.
Fou rire général et commentaires en plusieurs langues que je ne connaissais pas.
- Bouche spéciale pipe, carénage à l’avant et un train arrière d’un autre monde. Penche-toi bien ils ont jamais vu ça.
Je m’exécutai en descendant mes mains le long de mes mollets au maximum, à travers mon bandeau je percevais qu’une lampe-torche puissante dévoilait le moindre détail de mon cul.
- Ça c’est des cuissasses de compète, c’est doux et ferme à la fois on sent qu’elle aime les écarter… et pas que pour des puceaux comme vous.
Concert de protestations, sifflets et hou-hou.
- Eclaire bien son trou, préparation spéciale Farid elle craint plus rien.
Je ne pus m’empêcher de rire, ce qui secoua mes fesses déclenchant la bonne humeur générale et quelques sifflets admiratifs. Faussement vexé Farid me flanqua une claque plus sonore que douloureuse, il me releva, me fit coucher sur le dos sur un table couverte d’un fin matelas et écarta mes jambes en V en demandant qu’on les maintienne comme ça.
- Sous le capot avant y’a une sacrée mécanique, vous en avez déjà vu des chattes aussi charnues ?
Il saisissait mes petites lèvres entre les doigts et les frottait doucement, là je n’avais plus envie de rire mais de me laisser aller à ses caresses. Combien d’yeux jouissaient de ce spectacle obscène ? J’étais excitée comme une corde de piano, c’était un virtuose. Des mains allaient et venaient sur mes bas et sur la peau sensible de l’intérieur des cuisses.
- Elle aime (j’acquiesçais d’un gémissement) ça glisse tout seul entre les doigts. Et puis ça s’écarte comme un papillon, éclaire bien faut pas rater ça !
Il me rendait folle avec sa subtile lenteur, il passait d’une lèvre à l’autre sans toucher à mon petit bouton tendu à l’extrême. Une fois encore je décidai de ne pas résister et même de susciter imperceptiblement mes caresses préférées.
- Tania peut accueillir deux grosses queues dans ce trou là, c’est vrai Tania ? Je gémissais toujours plus fort en disant ouiiii !
- Mais deux petits doigts malins ça lui suffit, c’est pas vrai ?
Le cochon avait visé direct mon point G qui était dilaté par les plaisirs de la soirée, il n’eut à le titiller que quelques secondes pour que j’explose.
- Mais putain elle pisse ! dit une voix effarée.
- Arrête tes conneries dit Farid, elle éjacule, c’est de la mouille regarde c’est bon à boire. Tania c’est de la bombe atomique et maintenant elle veut qu’on la baise, capotes obligatoire pour la niquer et l’enculer, y’en a un stock là ! Tu veux leur dire un mot beauté avant que je lâche les fauves ?
Je repris mon souffle et tentais de retrouver mes esprits.
- Oui, écoutez bien, je sais pas combien vous êtes mais je suis là pour tous. Pas question de me limer pendant des heures en vous retenant et faisant le beau devant les copains. Je préfère les récidivistes aux peines à jouir ok ? Et puis essayez pas de me tordre dans toutes les positions du kama-sutra, je suis pas une poupée. Je suis votre salope, j’adore le jus partout et j’avale !
Vu le vacarme et les sifflets je compris qu’il y avait vraiment du monde, tant mieux ! On monta la musique à fond, j’adore baiser sur de la musique rap.
En deux secondes j’avais des bites partout, dans la bouche, sur le visage, dans les cheveux, les mains, sur les seins, les cuisses, les chaussures même, et bien entendu un beau calibre qui me ramonait avec ardeur.
La première salve gicla dans ma bouche, je ne pus même pas remercier cette queue, une autre l’avait remplacée. On me parlait en arabe, en wolof, en italien (que je comprends mieux et c’était du gratiné), j’étais prise à la chaîne, rares étaient ceux qui résistaient plus d’une minute avant de crier leur plaisir.
Du sperme s’étalait sur mes seins et mes bas étaient régulièrement baptisés (je les ai gardés en souvenir). Mon bandeau fut enlevé et j’eus droit à de gentils compliments sur mon visage, ce qui me fit l’effet d’un dopant. Je découvrais aussi de bonnes petites gueules avec l’air appliqué ou plutôt impliqué.
La plupart étaient très très jeunes et leur offrir un tel dépucelage inoubliable me ravissait. Je regardais vers le bas, et croisait les mêmes mines sérieuses, au passage je constatais que mon nombril était rempli de sève. Je me laissai aller un temps aux orgasmes qui se succédaient, agrippant les membres comme des bouées de sauvetage.
Une giclée tout au fond de ma gorge eut du mal à passer et je fus prise d’une quinte de toux, je me relevai réclamant de l’air et de l’eau. Je bus avidement quelques gorgée et fis couler le fond de la bouteille sur mes cheveux.
- Ça va les mecs, pas déçus ? Vous vous souviendrez de moi ?
- Oh que non des euhh, des femmes comme vous on savait pas que ça existe.
- Tu peux dire salope, ça me gêne pas. Tiens, du coup je t’offre mon cul, tu le veux ?
Je me retournai sur la table, les fesses offertes et bien calée sur mes coudes je pouvais sucer en total confort. Un tout jeune black me présentait timidement un engin vraiment énorme, je m’y consacrai avec tout mon savoir-faire pendant qu’une queue fouillait mon anus. Elle ne résista pas longtemps à mon massage interne et quelques secondes plus tard je sentis de grosses gouttes s’écraser sur ma colonne vertébrale. A l’avant je prenais bien soin de ne pas laisser jouir la hampe de chair noire, j’avais une idée derrière la tête.
Pour l’instant je gérais comme j’ai l’habitude de faire, je distribuais les gâteries en sentant l’orgasme monter en moi et quand je m’y abandonnais en gémissant ils ne pouvaient plus tenir et crachaient violemment leur plaisir. Je remerciais toujours en accompagnant de ma bouche leur retour sur la planète terre, puis d’autres prenaient la place.
Au bout d’un long moment je réclamai encore à boire, me massai avec cette précieuse crème de jouvence.
- Qui n’a pas encore joui, allez sans mentir !
Trois doigts seulement se levèrent, dont bien entendu mon étalon noir que j’avais soigneusement épargné.
- Allez, avant de tomber de fatigue vous allez voir ce que vous allez voir
Après avoir déplacé le matelas par terre, j’installais un beau petit beur sur le dos, la queue dardée. Tout en souriant à l’assistance, je me mis à genoux puis peu à peu enfilai la queue vibrante au fin fond de mes entrailles. Après quelques va-et-vient ça coulissait à merveille et je m’allongeai sur le dos, jambes en V offrant largement ma chatte. Je n’eu rien à dire, la colonne de chair se rapprocha et s’enfonça lentement. Quel calibre.
- M’dame, Babar il est puceau, les filles elles s’enfuient en voyant ça.
- Pas moi, vas-y Babar, tout va rentrer.
En effet mon sexe se dilatait et semblait avaler le monstre. La pression était intégrale et j’éjaculai une nouvelle fois à gros bouillons. Puis les deux sexes se mirent à s’agiter en alternance, je criai mon bonheur et ils ne purent retenir le leur.
Je me relevai, ôtai avec précaution le bout de latex qui ne couvrait que le premier tiers de la queue de Babar, le vidai sur mes seins et entreprit un savant nettoyage de la queue gluante de sperme blanc comme du marbre.
Comme cela arrive souvent quand je prodigue cette caresse, il ne mollit même pas. Je réclamai une autre capote, me retournai vers le troisième larron qui attendait patiemment son tour couché sur le dos et m’empalait d’un trait. J’écartai mes fesses à l’extrême et dis.
- Allez Babar, tu vas faire de moi la reine des salopes en me prenant le cul pendant que je m’enfile ton pote.
Je sentis une pression inouïe et des gouttes de sueur témoignaient de son effort pour progresser centimètre par centimètre. J’y mettais ma passion et mon orgueil, tout mon corps était secoué par des spasmes. Enfin il rentra en entier, je leur dis de ne plus bouger et c’est moi qui opérait les va et vient, d’abord doucement puis totalement effrénée.
Je criai longtemps pendant notre triple orgasme simultané puis tombais dans les pommes.
Je me réveillai avec un tissu humide sur la tête alors que trois comparses utilisaient leur tee-shirt en guise d’éventail. Je tentai de me relever mais mes jambes ne me tenaient plus. Je restai à genoux en contemplant le cercle de sexes à nouveaux durs qui m’entouraient.
- Euh, là les mecs, vous m’avez eue, j’en peux plus !
Devant leurs mines déconfites je rajoutai.
- Mais j’aime bien qu’on me gicle dessus, ça vous dit de me faire une douche de jus ?
Un gros Aaaah de soulagement précéda l’apocalypse finale. Je fermai les yeux, ouvrai la bouche et me sentais peu à peu devenir statufiée par le sperme. Douche était le mot juste, les salves tièdes ne cessaient pas, j’avalais ce que je pouvais mais cela venait de tous les côtés.
Je me caressai tout au long de la séance, mes chairs tuméfiées me procuraient encore du plaisir. On me nettoya le visage, j’ôtai mes bas gluants puis réussis à me jucher sur mes talons hauts.
- Vous m’excusez de ne pas vous faire la bise, mon maquillage a coulé…
Je retrouvai l’épaule de Marc qui commença à applaudir et je sortis sous les vivats de mes amants. C’était bouleversant !
Je sortis nue et fière, même une fois hors de l’immeuble je ne ressentais pas le froid. Je n’ai pas gardé souvenir du retour et ne me réveillai que le surlendemain, un peu courbaturée et les orifices endoloris mais en pleine forme et le moral au beau fixe !
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Le mois des violences sexuelles au cinéma.... Et il y en a...!!! Heureusement c'est du cinoche!
Au Brésil les prisons sont terribles.
Surtout pour certaines catégories.
Film inconnu...
Surtout pour certaines catégories.
Film inconnu...
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En quelques traits... Imaginez....!
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Brèves de mec.
Deux petits délires de mecs à mecs.
C’est le plombier !
Bonjour, je m’appelle Mat, cette histoire c’est passé quand j’avais 18ans, je mesure 1m70 pour 70kgs brun les yeux bleu et très timide, j’ai toujours fantasmé sur les hommes mais je n’ai jamais passé le cap. Je vis avec ma mère qui est divorcé depuis 2ans. Les fins de mois son difficile puisque ma mère a un tout petit salaire, donc les extras sont très rares.
Un jour du mois de décembre, la chaudière tomba en panne, ma mère appela le plombier du village, il passa en fin de journée, il était grand 1m85 pour 100kgs, bedonnant et presque chauve, il sentait le tabac et était assez repoussant, il alla examiner la chaudière et fit un devis a ma mère. Je montais dans ma chambre et le plombier annonça le prix de 500 euros pour la réparation. Me mère ne pouvait pas payer une telle somme.
- Il n’y a pas moyen de faire une ristourne monsieur?
- Non désolé c’est le tarif
- Je vis seule avec mon fils et je n’ai pas les moyens, je peux payer en plusieurs fois?
- Non non, j’ai une entreprise à faire tourner.
- Mais c’est bientôt Noël, je vous en supplie.
- Je vous fais une proposition, vous êtes gentille avec moi et je vous fais le travail à moitié prix, c’est ça ou rien.
- Ce ne sera rien, sortez de chez moi gros dégueulasse !
Je n’en croyais pas mes oreilles, le plombier voulait se faire ma mère pour faire les travaux.
- Madame, je vous laisse mon devis, si jamais vous changez d’avis vous m’appelez.
- Dehors !
Le soir au diner, je fis mine de rien.
- Alors, tu fais les travaux?
- Non mon chéri, c’est trop cher. Et là elle se mit à pleurer, désolé mon fils mais je n’ai pas les moyens de réparer la chaudière, il va falloir passer l’hiver sans.
Le lendemain un mercredi, je n’avais pas cours et le matin je ma baladais sur des sites porno et je vis sur le bureau de ma mère le devis du plombier avec le numéro de tel. Soudain une envie de m’offrir a lui m’empara et je pris le téléphone.
- Allo
- Bonjour, je vous appelle suite au devis que vous avez fait à ma mère hier soir.
- Oui, et que veux-tu?
- Si vous voulez, je suis prêt à accepter votre proposition.
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
- Si si, de coucher avec vous pour baisser le prix de la facture.
- Désolé mais je ne suis pas pédé.
- Mais vous savez, je ressemble a ma mère.
- Et alors?
- Je ferai tout ce que vous voulez.
- Vraiment tout?
- Oui
- Ok, si je suis d’accord on ferait ca quand?
- Mercredi prochain, ma mère travaille et je n’ai pas cours.
- Je réfléchi et j’appellerai ta mère pour prendre rendez-vous avec elle.
- Merci.
Le soir même, je vis le camion du plombier se garer, devant la maison.
- Maman, il y a monsieur Michel qui arrive.
- Il est culotté celui-là, je lui ai dit de ne pas revenir.
Ma mère lui ouvra la porte.
- Bonsoir madame, je suis désolé pour hier soir, je n’aurai pas dû, je peux entrer.
- Allez-y.
Il était devant moi, il me fascinait par son charisme et sa voix grave qui m’excitait.
- Madame je vous propose de vous réparer votre chaudière pour 100 euros pour m’excuser, je ne vous fait pas payer la main d’œuvre.
- D’accord mais qu’il y a t il derrière tout ça?
- Rien je vous jure.
- Quand pouvez-vous venir?
- Mercredi prochain. Ça vous va?
- Non pas tellement, je ne serais pas là, mais mon fils oui, si vous avez besoin de quelque chose, vous lui demanderai.
- Ok, mais je dois descendre à la cave pour revoir la chaudière.
Nous descendons tous les 3, il examina à nouveau la chaudière et demanda à ma mère si elle avait une pile électrique.
- Je vais en chercher une en haut, j’arrive.
A peine ma mère partie, il m’empoigna me mit sa grosse langue dans ma bouche, je lui rendais son baiser malgré son haleine qui sentait le tabac.
- Mercredi quand j’arrive je veux que tu sois habillé en femme et maquillé comme une pute ok.
- Oui monsieur.
- Et je veux que tu portes une culotte déjà portée de ta mère, on va bien s’amuser tu vas voir.
Ma mère arriva peu après, il examina la chaudière et s’en alla.
La semaine se passa, et arrivé au mardi soir, ma mère me dit:
- Tu n’embêtes pas monsieur Michel demain, ok.
- Non non ne t’inquiètes pas.
J’étais excité et je me suis soulagé deux fois dans la nuit.
Le lendemain matin, dès que ma mère claqua la porte, je me levai et allai prendre ma douche, je mis une belle robe, des bas et je pris une culotte portée la veille par mère. Je me mis devant la glace et je me maquillais maladroitement pour la première fois, j’avais du bleu au yeux et un rouge à lèvres des plus vulgaire, je me sentais vraiment femelle.
Tout à coup j’entendis le camion qui arrivait et mon cœur battait à cent à l’heure.
Il tapa à la porte et je lui ouvris habillé en femme.
- Bonjour monsieur Michel
- Bonjour, tu es très belle.
- Merci, vous ne m’embrassez pas?
Il posa ses outils, me pris dans ses bras et nous nous échangeons un long baisers, il sentait le tabac et la sueur mais cette odeur m’excitait, il me malaxait les fesses en m’embrassant, j’étais aux anges.
- Bon, on arrête là, je vais bosser et après je m’occupe de toi.
- Si vous avez besoin de quelque chose, n’hésitez pas.
Il répara la chaudière rapidement et on remonta au rez-de-chaussée moi devant lui en me trémoussant. Arrivé en haut il me plaqua contre le mur et me roula une pelle fougueuse, il caressait mon corps, surtout mon cul.
- Met tes mains sur le mur et cambre toi. Il me pelotait le cul et me remonta la robe, tu as mis des bas, j’adore ça.
Il enleva ma petite culotte (souillée par ma mère la veille).
- Hum, ça sent bon la petite chatte.
Il mit sa tête entre mes cuisses et me lécha le rondelle, c’était très bon et je gémissais pour l’exciter. Il me mit un doigt dans le cul d’un coup et faisait des va et viens, c’était bon, et après 4 ou 5 aller/retour il me mit un deuxième doigt ce qui me fit pousser un petit cri de douleur.
- Ça te fait mal?
- Oui un peu.
- Tu vas voir quand ce sera ma queue, tu vas bien la sentir…. Tu veux passer aux choses sérieuses?
- Oui
Il m’embrassa a nouveau et me dit:
- Va te refaire une beauté, je vais pisser et attend moi sur le lit de ta mère.
Je remis du rouge a lèvres grossièrement, et je m’assis sur le lit. Il monta rapidement et se déshabilla; il était très poilu et très viril avec son gros ventre.
Il était en slip taché d’urine.
- Je te laisse découvrir ton cadeau.
Je me mis à genoux devant lui et lui enleva son slip, il avait un sexe plus gros que le mien, c’était la première fois que je voyais un sexe d’homme, il était pas très longs mais assez large et poilu.
- Elle te plait?
- Oui beaucoup.
- Alors suce moi.
Je le prenais en main, la branlais et il mit sa main sur ma tête pour que je le suce, je faisais des va et viens sur le bout de sa queue, lui titillait le gland. Je prenais un plaisir énorme à sucer cette bite odorante.
- Regarde-moi dans les yeux salope.
Pendant que je le suçais il reniflais la culotte de ma mère, ce qui l’excitait beaucoup. Il me baisa la bouche, ma tête venait taper contre son gros ventre velu. Il lâchait de petits râles quand je sentis des longs jets de sperme au fond de ma gorge.
- Avale salope, vas y mange tout.
Je tirais au cœur, je n’aimais pas trop le gout, cela le faisait rire.
Je partais dans la salle de bain me rincer la bouche et je me retrouvais face à lui, je ne savais pas quoi lui dire, je me sentais un peu honteux.
- Vous avez aimé monsieur Michel?
- Oui, tu es une très bonne suceuse.
- Merci répondis-je timidement.
- Et toi, tu as aimé me sucer?
- Oui
Il m’allongea sur le lit et mit sa langue dans ma bouche, on échangea un long baiser, j’étais comme envouté par cet homme.
- J’ai envie de baiser ton petit cul de pédé.
- Non, je ne veux pas.
- Oui mais n’oublie pas que quand tu m’as chauffé au téléphone tu m’as dit que je ferai ce que je veux, n’est-ce pas?
- Si mais ça doit faire mal.
- Ca ce n’est pas mon problème, sinon je défais tout ce que j’ai fait sur la chaudière. Alors tu décides quoi?
- Vous allez y aller doucement?
Sous ses ordres nous descendons dans la cuisine.
- Donne-moi la bouteille d’huile, tu sais à quoi elle va servir?
- J’imagine oui.
- Grâce a elle ma bite va bien rentrer dans ton petit cul de pédé, mets-toi a quatre pattes.
Il mit de l’huile sur deux doigts et me les introduit directement. Il fit quelque aller retour et me dit:
- Viens me sucer un peu.
Je marchai à quatre pattes et pris sa queue en bouche, il m’imposait les mouvements, il était très excité. Sa queue rebandait de nouveau, il me fit arrêter et me dit de m’allonger le dos sur la table?
- Ecarte les cuisses que je te saute comme une gonzesse.
Je m’exécutais, il plaça son sexe a l’entrée de ma rondelle et rentra doucement mais cela me faisait mal, après quelques aller-retour, j’avais déjà moins mal, je le voyais, exciter, de me voir serrer les dents.
- Tu la sens bien ma queue?
- Oui
Puis il accéléra le mouvement, il me baisait de plus en plus fort, ce qui me faisait pousser des petits cris. Je prenais du plaisir malgré la douleur. Il se retira, et je me levai, il m’embrassa avec fougue et me dit:
- Mets toi a quatre pattes, je vais de défoncer comme une chienne.
Je m’exécutais et il s’enfonça en moi d’un coup et me baisa comme une bête.
- T’aimes ça salope hein, dis-le.
- Oui j’aime ça;
Il me prit par les épaules et me défonçait.
- On est bien dans ton petit cul, salope
- Arrêtez ça fait mal
- C’est bien toi qui m’a supplié au téléphone hein?
- Oui mais…
- Il y a pas de oui mais, j’ai fait le boulot, je te baise comme convenu ok.
- Oui monsieur.
Après cinq minutes dans mon cul, il accéléra le mouvement, sorti de moi et il me déchargea toute sa semence en plein visage en lâchant de grands râles. J’étais encore à quatre pattes le cul ouvert et le visage souillé par son sperme, je me sentais honteux.
- Alors pédé tu as eu ce que tu voulais.
- Oui.
- Tu as aimé au moins?
- Oui mais ça fait mal, et vous vous avez aimé?
- On recommence quand tu veux, tu suces comme une vraie salope et on est bien dans ton cul étroit.
- Je peux vous demander un service?
- Oui je t’écoute.
- Je dois faire un stage en entreprise pour le collège, est-ce que je peux le faire avec vous?
- Bien sur que oui. Tu me rappelle pour les dates.
Il m’embrassa une dernière fois et s’en alla.
RER du soir. Bonsoir...
Il était vers 22h, un soir de février, rentrant chez moi en banlieue dans un RER d'ile de France. Un train arrive sur le quai avec un peu de retard mais rien de vraiment inhabituel vers cette heure qui cumule les retards des heures de pointes. S'arrête à mon niveau un wagon entièrement vide et éteint, j'essaye quand même d'y accéder, n'ayant pas peur du noir et aimant rester plutôt au calme en rentrant tard pour me reposer, mais la porte du wagon ne s'ouvre pas expliquant ainsi le fait qu'il soit vide, je me rabat rapidement sur le wagon d'après qui était quasiment vide mis à part quelques voyageurs, sachant que d'autres personnes risquent de monter lors des prochains arrêts et recherchant toujours de la tranquillité, je tente de rejoindre le wagon vide par la porte intérieure qui s'ouvre avec un peu de difficulté mais s'ouvre quand même, je monte à l'étage et trouve une le wagon entièrement vide me pose sur un carré de 3x3 sièges, met mes écouteurs.
Quelques minutes plus tard, lors du premier arrêt après notre départ je repère un petit groupe d'amis de 4 mecs tentant de monter dans le wagon sans trop y arriver. Ayant vécu la même situation quelques minutes plus tôt je lance un petit sourire du genre "bien essayé". Je les vois donc rejoindre le wagon d'après en courant. Etant dans le noir par rapport à la gare je pouvais voir sans être vu. Seuls les lumières des gares venaient perturber le calme auquel je prétendais.
Quelques secondes plus tard j'entends du bruit arriver de la porte intérieure qui relie les wagons entre eux, je n'y prête pas trop attention et reste avec la tête appuyée contre la vitre en mode repos. Je vois donc arriver en face le même groupe d'amis des jeunes de 19 à 25 ans à mon avis, plutôt stylé jeune de cité parlant plutôt fort et perturbant ma tranquillité. Ayant 24 ans à ce moment-là, et ayant affaire régulièrement à ce type de jeune je sais qu'il ne faut pas trop faire attention à leur présence et limite s'effacer si possible, chose impossible vue comment le wagon était désert.
Bref, ils passent à côté de moi en disant qu'ils avaient de la chance de tomber sur un wagon vide et que c'était rare, rien de vraiment intéressant à mon avis, je tourne donc le visage pour regarder à nouveau par la fenêtre toujours avec ma musique. J'entends alors un des mecs me dire bonsoir, mais dans l'esprit de les ignorer je ne réponds pas faisant mine de ne pas avoir entendu et espérant qu'ils continuent leur chemin. Le mec insiste donc faisant arrêter son groupe d'amis et se pose face à moi.
Ne pouvant l'ignorer davantage, j'enlève mes écouteurs en disant:
- Oui?
- Bonsoir me répond-il
- Bonsoir
- Tu es seul dans le wagon?
- Je pense, mais bon plus maintenant à ce que je vois
A ce moment-là, ses amis se posent donc à côté de moi, je les regarde d'un air inquiet
- Ca ne te dérange pas qu'on fasse un bout de chemin ensemble?
- Ben non du tout (alors qu'il était clair que je pensais le contraire, la situation et le faite qu'il fasse noir n'inspirait pas confiance mais je ne laisse rien transparaître)
On me pose quelques questions sur d'où est ce que je viens, ou est-ce que je descends et je réponds aussitôt.
- C'est dans 45 min ton arrêt
- Oui à peu près je leur répond
- Ben du coup on peut s'amuser rétorque un autre
- C'est à dire? (En avalant ma salive)
- Tu vas vites comprendre t'inquiète en répond un autre qui a fait rire ses potes
Sentant que la situation allait vers quelque chose d'inconnu, j'attrape mon sac et me lève en disant :
- Désolé je vais devoir vous laisser vous amuser seuls.
Le mec en face de moi m'attrape par la main un peu violemment et me tire vers le bas en m'ordonnant de rester. Ne connaissant toujours pas ses intentions, je le regarde en disant :
- Qu'est-ce que tu veux?
Un autre me répond qu'on va jouer à un jeu dont les règles sont claires. Interdit de dire non, que oui à partir de maintenant. Si je n'obéis pas je risque de le regretter.
Voyant que je suis en quelque sorte pris au piège et ne voyant aucune issue, je me vois dire Ok.
- tu viens d'accepter donc les termes du contrats et tu viens d'appliquer pour la première fois l'unique règle du jeu
- met toi à genoux dit un autre
Avec quelques secondes de réticences et avec l'aide du mec me tirant vers le bas j'exécute.
Nous nous arrêtons sur une gare déserte et arrive à les apercevoir mieux avec la lumière de la gare, il y avait 3 mecs typé beurre et un black, tous les 4 en jogging et avec des doudounes.
On m'ordonne d'enlever ma veste, en même temps qu'ils étaient en train d'enlever leurs doudounes, chose que je fais aussitôt.
- Bien tu écoutes bien !
A ce moment-là je pensais qu'ils voulaient me prendre mon argent de ma veste et arrêter de m'embêter, je réponds donc:
- prenez ce que vous voulez mais svp laissez-moi tranquille
- tu crois qu'on est des voleurs? Avec un nouveau rire de ses potes
- aller à poils rajoute un autre
- ah non!
Et je tente de me relever mais ils m'empêchent
- ca ne se discute pas c'est un ordre, à poils on t'as dit
- non, arrêtez les mecs prenez ce que vous voulez mais laissez-moi
- tu nous prend encore pour des voleurs? J'hallucine, on t’a dit qu'on veut s'amuser et tu as accepté notre contrat, maintenant tu exécutes.
- en plus il vient de refuser à 2 reprises, en a rajouter un autre
- il va falloir lui apprendre à ne plus recommencer dit le black
C'était la première fois que je l’entends intervenir
Me sentant impuissant face à eux je commence par enlever ma chemise et mes chaussures ensuite mes chaussettes pour finir avec mon pantalon avec beaucoup d'hésitations.
Cette situation inconfortable et inhabituelle commençais à me faire un petit effet, peut-être l'adrénaline ou la peur de l'inconnu, mais je ressentais une demie molle sous mon boxer. J'avais qu'une seule peur c'est qu'ils s'en rendent compte.
Il faut dire que je fantasmais depuis quelques mois sur un plan avec des inconnus de type me rendre dans un sauna gay ou piscine pour sortir un peu des plans habituels avec mon sexfriend.
Ils récupèrent alors mes vêtements en me disant on va te montrer quand tu n'obéis pas ou que tu refuses d'honorer le contrat que tu as accepté (comme si mon "ok" de tout à l'heure signifiait énormément pour eux! ). Il ouvre une fenêtre et balance mes chaussettes par la fenêtre, en enchaînant je vais te faire cadeau du premier "non"
Ne sachant comment réagir, je ne peux qu'accepter en baissant les yeux en signe d'accord.
- à poils, c'est à dire tout en rajoute un autre, donc le boxer aussi
Chose que je fais, en mettant les mains devant mon sexe pour cacher ce qui reste de mon excitation calmée par le jet de mes chaussettes. On me demande aussitôt de mettre les mains derrière mon dos
Je le fais.
On me fait écarter un peu les jambes pour y insérer un pied qui vient soulever mon sexe comme pour l'examiner avec des petits frottements.
A partir de maintenant tout s'accélère, ils baissent leurs jogging avec leur boxers jusqu'aux cuisses et un d'entre eux m'attrape la tête avec les 2 mains pour me diriger vers sa bite. Inconsciemment je fais un non de la tête refusant ainsi cet acte. Il attrape donc mon boxer qu'il balance par la fenêtre tout en soulevant la tête pour me montrer et me rappeler ce que je risque si je continue.
Sa queue était circoncise avec quelques poils autour, c'était le plus jeune à mon avis parmi la bande, sa bite affichait fièrement une tige de 18cm fine que je commence à sucer guider par ses mains et toujours avec les mains derrière le dos.
A peine elle a commencé à bien raidir dans ma bouche qu'il me fait pivoter vers son pote pour que je m'occupe de lui avec le même gabarit mais un peu plus épaisse. Même épisode, il guide mes vas et viens comme pour contrôler la situation.
Je passe donc au 3ème en me retournant qui bande déjà, à ce moment-là on s'arrête à une station et j'ai pu apercevoir mieux les bites qui s'offrait à moi, la quatrième celle du black était grandiose, n'ayant jamais eu de relation avec des blacks je constate que la réputation des blacks n'était pas un mythe! A ce moment également, ils remarquent que je bande également.
- et bien dit donc, non seulement tu joues avec nous mais tu prends du plaisir également! Tu aimes ça salope!
Je ne pouvais que constater que c'était en partie vrai. Je ne réponds pas et continue à m'appliquer sur la tâche qui m'a été confiée espérant en finir au plus tôt.
On me fait transiter vers le black avec sa queue bien raide, il se branle déjà...
Avant que je puisse commencer, il dit qu'il a envie de pisser.
Je me pousse pour lui laisser la place d'aller rejoindre les toilettes du wagon, il se lève et attrape ma main pour m'emmener avec lui. Je me lève donc et le suis abandonnant les autres à leurs branles.
Arrivé dans les toilettes, il me dit de m'assoir sur les toilettes. Sentant la suite arriver je lui dit que je suis prêt à tout mais pas pour les plans uro. Il me répond ok dans ce cas tu as 2 choix, soit tu prends tout en bouche et tu avales tout et je ne dirais pas aux autres que tu as refusé, soit tu t'assois et tu te laisse faire en ouvrant la bouche sans avaler et je laisserai les autres juger s'ils te punissent ou pas suite à ce que tu viens de me dire.
Je m'assois donc en ouvrant la bouche sans rien dire, il commence ses jets en visant mon sexe puis mon ventre et mon visage et ma bouche pour finir par quelques jets sur mes cheveux. Je n'avale rien, c'est quelque chose qui était plus fort que moi, espérant la merci de ses potes sachant que j'ai quand même fini par obéir. Il me dit de m'essuyer rapidement et m'emmène vers les autres.
En arrivant il leur raconte ce qui s'est passé et lance un vote vue ma désobéissance.
Il a commencé par dire qu'il ne veut pas me punir vue que j'ai été finalement docile et je n'ai pas broncher.
Le plus jeune enchaine que c'est plus drôle s'ils balançaient encore quelque chose. Suivi par les autres avec euphorie. Par contre cette fois ci ils m'ont laissé le choix, ça a été la chemise sans hésiter (il ne reste plus que mon pantalon, ma veste, et mes chaussures) et si je m'en sort bien je ne risque plus d'en perdre d'avantage.
Le black me remet donc à genoux devant lui et me dirige vers sa bite sentant encore sa pisse (à vrai dire c'est plus moi qui sentais la pisse que sa bite).
La situation m'excite encore une fois et je bande à nouveau, le plus jeune à qui je tourne le dos pour sucer son pote, fait remonter mes fesses pour les examiner et crache dessus pour les lubrifier et aussitôt fait pénétrer un doigt qui passe sans trop de difficulté.
Il faut dire que les plans avec mon sexfriend depuis 1 an aident. Il en met 2 à présent en me demandant si j'aimais ça, je répondis que oui.
Il commença alors ses vas et viens de plus en plus rapides et tout en crachant dessus de temps en temps jusqu'à ce qu'il introduit un 3eme doigt qui me fait sursauter tout en me faisant mal au début. Il enchaine en disant :
- tu es bien dilaté ma salope, je ne suis pas le premier à passer par là, je le savais! Hein?
- tu as raison, non tu n'es pas le premier
Il continua alors à faire ses vas et vients d'une façon frénétique mettant mes fesses en feu
Ils sortent d'un sac des capotes et un lubrifiant j'ai su à ce moment que je vais vivre ma première partouze et me faire sodo par les 4.
Le plus jeune reste sur sa lancée met sa capote et commence à me prendre. Sachant qu'il avait la plus fine, ce n'était pas lui que je craignais le plus, il m'introduit assez facilement surtout après la dilatation qu'il venait de me faire. Tout en continuant à m'occuper du black on me prenait le cul, une sensation jamais ressentie auparavant.
Au bout de quelques minutes et sans qu'il jouisse, on me fait pivoter vers les 2 autres partenaires, un nouveau dans ma bouche et un nouveau dans le cul, celui-ci était plus épais et je le ressentais plus il me faisait même gémir. Chose qui me donne droit à quelques claques sur les fesses.
Au bout de quelques minutes également on me fait pivoter, sans qu'ils jouissent, je suis toujours dans l'expectative. C'est le tour du black, que je redoutait le plus, je prends donc le gel moi-même et en met une bonne dose que j’enduis ma rondelle calmant ainsi le feu lié aux frottements des 2 autres et anticipant l'arrivée du black.
Ca les fait sourire et celui qui m'a pris en second me dit que ça ne sera pas plus dur que lui tout en rigolant. Je me remets donc en place prêt à resucer le plus jeune qui m'avait déjà pris mais qui bande toujours avec comme objectif de le faire éjaculer.
Je m'applique donc et commence à ressentir les préparations pour me prendre et je ne tarde pas pour ressentir le premier coup, assez puissant assez directe me faisant mal sur le coup. Apres ce coup il s'arrête me laissant le temps de m'adapter à son calibre. Quelques secondes plus tard il commence ses vas et viens massant ainsi ma rondelle et me procurant même du plaisir par moments.
Pendant ce temps, je vois qu'il ne me reste qu'un arrêt avant d'arriver chez moi. Une bonne dizaine de minutes restantes. Je me suis dit que je vais essayer d'accélérer pour en finir avant. Sur cet arrêt également nous entendons 2 jeunes mecs monter dans le wagon et monter à l'étage. Ils voient la scène et passent à côté de nous en souriant alors que j'avais une bite dans le cul et une autre dans la bouche et se posent à la grande surprise quelques carrés de sièges plus loin.
Je m'active donc à sucer le plus jeune tout en essayant d'aider le black sur ses allers venus, jusqu'au moment où il sort et laisse sa place au dernier qui me fait retourner et me fait allonger sur le dos sur la rangée de sièges en me levant mes jambes pour bien me prendre. Il passe après le black qui m'avait bien dilaté, du coup son passage était bien agréable même si j'avais le cul en feu. Les 3 autres étaient en train de se branler debout en dirigeant leur bites vers mon visage.
Ca y est mon arrêt est annoncé. Je leur dit que j'aimerai bien descendre et que le contrat était jusqu'à mon arrêt (reprenant le même mot "contrat" comme eux).
Ils répondent que ce n'est pas fini et qu'ils vont me garder jusqu'au terminus.
Je refuse en leur disant que j'ai appliqué à la lettre ce qu'ils m'avaient ordonné et que maintenant ils doivent tenir leur parole.
Je vois donc mon pantalon s'envoler par la fenêtre à peine ma phrase terminée. Je pense à ce moment-là de comment je vais pouvoir rentrer chez moi et si je vais pouvoir le faire à poils sachant que je suis de nature timide et pas exhibitionniste.
J'acquiesce. J'entends les 2 jeunes qui sont dans le wagon rigoler à ce moment-là.
Je m'applique encore plus pour les faire éjaculer et m'en débarrasser au plus tôt.
Apres quelques minutes, j'entends celui qui était en train de me prendre gémir et il était sur le point d'éjaculer, donnant ainsi le feu vert aux autres pour accélérer leurs branles. Le black appelle les jeunes en leur disant :
- ne vous branlez pas tous seuls là-bas, venez nous rejoindre, il aime le jus notre ami.
Ils sont donc arrivés la queue dans la main bien raide excités par la scène qu'on était en train de leur offrir, et se mettent tous à se branler vers moi toujours en train de me faire prendre.
Au bout de quelques secondes, le plus jeune éjacule sur mon visage en essayant d'introduire sa queue dans ma bouche qui reste fermée suivi par son ami qui était en train de me prendre qui a ôté sa capote pour m'éjaculer sur le torse, quelques secondes plus tard c'était au tour du 3ème et puis du black. Cette scène m'excita à nouveau et je bande encore.
Ils essuient leurs bites sur mon visage avant de les remettre au chaud dans leurs boxers avant de se poser pour attendre le prochain arrêt.
Un des 2 autres jeunes demande une capote pour me prendre, je croyais que ça n'allait jamais se finir. On lui en donne une qu'il met et me retourne sur le ventre et me prend aussitôt. Ayant le cul en feu j'avais qu'une seule hâte que cela ne traine pas beaucoup, mais quelques va et viens plus tard, je l’entends souffler fort, en sort et éjacule sur mon torse suivi par son pote sur mon visage assez rapidement.
Je me redresse pour récupérer ce qui me reste comme vêtements, et chercher à m'essuyer la semence que j'avais sur moi, mais ils m'ont bloqués en me disant qu'ils ont été contents de jouer avec moi, que j'ai été leur meilleur sujet et pour me remercier ils m'autorisent à me branler. Je me remet donc sur le dos et commence à me branler, le black m'a mis 2 doigts dans le cul pour me masser et me caresser la prostate, au bout de quelques secondes j'éjaculais. On arrivait au même moment à une station et j'ai vu tout le monde disposer en me mettant des petites tapes sur les fesses en signe d'au revoir
J'avais donc le sperme de 7 mecs sur moi, dont le mien, je sentais la pisse du black, plus assez de vêtements pour m'habiller, même pas de serviettes pour m'essuyer des semences. Je reste immobile pendant quelques minutes histoire d'assimiler ce que je viens de vivre.
Au bout de quelques minutes je me lève et met mes chaussures et ma veste, il faisait assez frais mais c'était surmontable. Je descends au prochain arrêt et avec de la chance je tombe directement sur la sortie évitant de longer ainsi le quai de la gare devant le regards des voyageurs du train et me suis caché.
J'ai appelé un taxi qui a été très surpris en me voyant mais je lui ai dit que c'était une embrouille avec ma copine il m'a donc filé un sac qu'il avait dans son coffre pour m'assoir, je ne sais pas s'il m'a cru, au vue des odeurs que je dégageait mais il m'a emmené chez moi assez rapidement.
Ceci dit j'ai pris du plaisir et de temps en temps je me branle en pensant à cette soirée.
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