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Channel: Chez Andre 112
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On dit qu'on suce mieux que ces dames.... Peut être..?


Micro-histoires à lire en savourant.....

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Elle m'a proposé un trio pour mieux m’imposer son fantasme
par sexnotaboo
J’ai 45 ans, j’ai rencontré Marie, 36 ans en vacances nous avons tout de suite sympathisé et nous nous sommes immédiatement entendus sexuellement. Nous parlons beaucoup en baisant j’adore me faire sucer bien à fond et mater celle qui me suce. Marie s’en est vite aperçue et en me tétant elle me disait :
- Ça t’excite salaud de me voir sucer, hein ? ? »
- Hoooo oui trésor ça m’excite terriblement. »
De fil en aiguille, elle me confie son fantasme elle a envie de baiser à trois, de sucer une autre queue devant moi. Je ne réponds pas, mais la voir sucer et se faire prendre par un autre homme devant moi, est aussi mon fantasme secret. Je me montre d’abord réticent puis j’accepte en me faisant tirer l’oreille, pour lui faire croire que c’est bien pour lui faire plaisir.
Au début, elle suce, et se laisse prendre comme on veut, double pénétration, accepte toutes mes fantaisies. Puis elle devient très vicieuse, perverse et très très salope elle m’embrasse la bouche pleine de sperme après m’avoir sucé, elle me fait lécher sa chatte pleine de foutre après la baise. Au début elle me demande de le faire avec mon sperme, lorsque nous sommes seuls.
Puis, elle me demande la même chose avec ses amants m'embrasser et lécher sa chatte pleine de leur sperme. Au début, je suis refuse, je suis réticent mais dans l’excitation elle parvient à me l’imposer. Un soir elle en profite pour faire des commentaires humiliants devant l’autre mec. Ce soir-là à sur l'itinéraire du retour, je lui fais part de mon mécontentement à ce sujet,
- Ma chérie, nos fantasmes nous appartiennent et j’aimerais que tu ne me fasses plus le coup du sperme avec les autres et que tu évites de m’humilier devant tes amants comme tu l’as fait ce soir !
Elle me regarde dans les yeux et me répond d’un air sévère :
- De quoi te plains-tu salope ? Tu adores çà ! Il n’y a qu’à regarder comment tu réagis dans ces moments-là, tu bandes plus dur que lorsqu’on baise tous les deux seuls »
Cette garce a raison, et comme je ne réponds pas elle revient à la charge :
- Tu ne dis rien hein ! Ose donc me dire le contraire ! Aller ! Réponds-moi ! Dis-moi que ça ne te plaît pas d’être traité comme une pute devant d’autres mecs ! Je t’écoute ! »
Surpris, par ce nouveau comportement de la part de ma chérie, je me sens rougir, et c’est en me sentant un peu gêné et honteux que je murmure hésitant
- Heu … heu … oui c’est vrai ma chérie, tu as raison, heu... heu … çà m’excite d’être humilié devant les autres, J’ai honte de ce que tu me fais faire, mais c’est vrai que ça m’excite terriblement ! »
Lorsque nous sommes seuls elle me fait porter ses dessous sexy de femelle. Un soir où je jouis en elle, elle me fait coucher sur le dos et s’accroupit au-dessus de ma bouche.
-Regarde salope regarde bien au fond de mon trou regarde ton sperme qui descend pour ta bouche de pute ! »
Avec ses mains, elle écarte les lèvres de son sexe tout en poussant pour faire descendre le foutre. Le spectacle est divin, et d’un érotisme subjuguant. Elle s’est mise les cuisses ouvertes face à la glace de la chambre, et elle regarde sa le foutre couler de sa chatte ouverte dans ma bouche.
Soudain, elle lâche un petit jet d’urine, je fais la grimace et j’essaye de me dégager mais elle se laisse aller et pose sa moule sur ma bouche, m’empêchant de me dégager et m’obligeant à lécher son sexe dégoulinant du mélange de foutre de mouille et de pisse.
Malgré un instant de dégoût passager, je sens mon sexe se tendre à me faire mal, je me fais violence pour lécher sa moule et cette chienne se laisse aller à uriner abondamment.
Un soir où nous sommes en trio, elle suce avidement son amant devant moi en me disant :
- Approche plus près chéri, toi qui aime me voir sucer regarde comment je fais, regarde comme ça m’excite de téter, touche ma chatte trempée »
Elle me regarde fixement d’une manière très salope, ses yeux me disent « regarde comme c’est bon de sucer, comme j’aime ça, elle est bonne sa queue tu sais ».
Je bande comme un fou de voir sa bouche déformée sur la queue de François. Puis lâchant sa queue elle m’embrasse à pleine bouche, nous sommes unis dans un baiser passionné où nos langues se nouent, et jouent ensemble.
Le sexe tendu de François, est à quelques centimètres de nos visages et je sens le mouvement de la main droite de Marie qui le masturbe. Sa main gauche me caresse la nuque, elle met fin à son baiser et se remet à sucer François en me fixant dans les yeux avec un regard de plus en plus cochon et vicieux. Je ne l’ai jamais vue dans un tel état d’excitation. Ce qui est certain c’est qu‘elle m’excite la garce.
A ce moment-là sous le charme de cette pipe magistrale exécutée à quelques centimètres de mon visage, je sens une pression sur ma nuque. En même temps, elle retire la queue de sa bouche et de sa main libre, l’oriente vers la mienne. Je résiste à cette invitation mais elle insiste en m’encourageant :
- Allez chéri fait moi plaisir, je suis sûre que tu en crèves d’envie, Allez fais-le ! Je rêve de te voir sucer, je sais que tu vas aimer ça ! Ça t’excite trop de me regarder faire J’ai lu l’envie dans ton regard tu sais bien que je connais tous tes fantasmes de petite salope allez petite pute suce la grosse bite ».
Ma queue est très dure et je suis très excité. Sans vouloir l’admettre. Je réalise malgré moi que j’en ai envie. Je résiste toujours mais la distance entre ma bouche et le sexe de François diminue rapidement jusqu’au moment où son gland effleure mes lèvres serrées. Marie cherche à m’humilier elle sait que ça m’excite:
- Allez salope ouvre la bouche, Suce la belle bite, tu en crèves d’envie pédale, tu vas aimer ça, tu verras comme c’est bon de l’avoir dans la bouche quand tu l’auras fait une fois tu en redemanderas ».
Cette salope a raison et elle le sait, j’en ai très envie malgré moi. Je sens la pression du gland de plus en plus forte sur mes lèvres et je finis par céder. En desserrant les lèvres, je sens le sexe de François envahir ma bouche. Je suis très surpris par la douceur, et la chaleur de cette colonne de chair palpitante, je trouve cela très agréable en bouche, malgré la honte et l’humiliation que j’éprouve je me laisse aller à téter ce sexe tendu.
Marie applaudit, exulte :
- Ouiiii, vas-y, salope tète la bite d’un vrai mec ! Ouiii tu m’excites mon chéri vas-y encore ouiiii ça m’excite vraiment ! Tiens regarde comme je mouille en te regardant sucer ! »
Elle me prend la main pour la guider entre ses cuisses trempées,
- Regarde chéri comme je mouille, c ‘est toi mon petit cocu qui me fait ça, mon amour ! Tu m’excites tellement avec une bite dans la bouche ! Tu aimes ça ! Hein ! Pédé ? Tu le savais pas Mais moi ! Je le savais que tu en rêvais,»
Elle me tient en guidant les mouvements de va et vient de ma tête sur la queue raide de François. Lorsqu’elle sent que je prends le rythme, elle me lâche et je suis tellement excité que je continue seul à sucer cette grosse queue raide.
Elle demande à François
- Il suce bien au moins ? Je ne lui tiens plus la tête, il suce tout seul ce pédé ! Je savais bien qu’il aimerait ça ce salaud ! »
Tout à coup, elle découvre mon érection et d’une voix surexcitée elle renchérit :
-Ho, ho ouiiii regarde ! François, regarde ! Ça le fait bander de pomper la bite qui le cocufie ».
Lui râlait déjà :
- Hoooo oouiiii je vais jouir ce salaud tête mieux qu’une pute, Hooo... ooouuuuuiiiiiiiiiiiI il suce mieux que toi ma salope ! Je vais éjaculer ».
A ce moment-là, je tente de me retirer pour ne pas recevoir son foutre dans la bouche mais Marie veille au grain et me maintient la tête sur la queue de son amant :
- Non, Non salope ! Reste là pédale ! Tu vas téter jusqu’au bout ! Tu vas voir à ton tour ce que ça fait quand tu éjacules dans ma bouche en me tenant la tête pour que j’avale ! Ce soir c’est ton tour ma grosse pute ! Tu vas voir comme c’est bon ! Tu vas adorer ça ! Aller ! Aller ! Suce encore pédale ! Allez ! Vas-y bien à fond ! Ce soir c’est toi la femelle, la salope de service Ce soir tu es une bouche à foutre un fourreau a bite ma salope et tu vas allez jusqu’au bout ! »
Puis s’adressant à François :
- Oui ! Oui ! François éjacules ! Vas-y, vide toi bien les couilles dans sa bouche de petite salope je veux qu’il sache ce que ça fait quand c’est moi qui le suce et qu’il éjacule dans ma bouche ».
Je sens les contractions annonçant l’éjaculation imminente et je reçois une giclée gluante de sperme chaud dans la bouche. J’ai un peu de mal à réprimer le naturel réflexe nauséeux, mais j’y parviens néanmoins et après une courte hésitation j’avale le liquide gluant.
Je découvre que ce n’est ni bon ni mauvais, j’ai la tête maintenue par Marie sur la queue de François et sans vraiment réfléchir je continue à sucer et à téter sa bite qui perd doucement sa raideur dans ma bouche.
C’est honteux, humilié et bien malgré moi, que je réalise que j’avais aimé çà.
Auteur: cricrigdn


Les débauches d'une jeune salope
Salut c’est moi Elodie !
Après ma première expérience à plusieurs qui me fit décoller au 7ème ciel, je devins une belle salope ! De toute façon je l’étais déjà mais je ne le savais pas.
Depuis je m’habillais beaucoup plus sexy et plus provocante. En fait je peux bien le dire, je ne recherche que de la baise pure et simple. Et quand on recherche le sexe, on le trouve toujours…
La fac est mon terrain de chasse, je fais du rentre dedans aux gars et le nombre de mes conquête augmente rapidement. Le problème c’est que ça commence à être voyant et je crois qu’on m’a décerné la palme de la meilleure pute de la fac. Je ne suis pas enchantée de ce sobriquet mais au moins il est juste ! Un jour, j’attendais tranquillement dans un couloir quand un type de l’administration vint de dire que mes tenues provocantes n’étaient guère très appréciées et qu’il faudrait que je me méfie. Je lui répondis que j’y veillerai en me penchant de manière à ce qu’il ait une vue imprenable sur ma belle poitrine. La réaction fut immédiate car il devint tout rouge de honte mais ce rinça bien l’œil !
Pour ce qui est de la tenue je suis uniquement en jupe assez courte et avec un bon décolleté ou un dos nu. Je ne porte plus que des soutient gorge pigeonnant et des strings quand je porte une culotte ! C’est sur que j’attire tous les regards mais je crains un peu pour ma scolarité. Et si ces crétins me renvoyaient pour ça ? Quelle honte ce serait !!
Je me sentis assez mal pendant toute la journée et mes craintes étaient fondées ! En effet au cours de l’après midi je fus appelée par le directeur de mon DEUG. Un homme assez austère qui me fait un peu peur.
J’arrive dans son bureau en ayant remonté un maximum mon petit haut et baissé ma petite jupe. Dès le premier coup d’œil qu’il me lança mon sang se glaça et je compris que ce ne serait pas une partie de plaisir…
- Mademoiselle… Je pense que vous connaissez la raison de votre venue dans mon bureau…
- Heu… pas vraiment, répondis-je maladroitement. Je n’allais tout de même pas lui dire que je pensais que cela pouvait provenir du fait que je m’habille comme une pute !
- Ah non ? Son regard se durcit encore plus et il me lança au visage : « c’est peut être à cause des rumeurs à votre propos et de vos tenues qui sont mal appropriées pour un établissement scolaire !!
Je crus mourir sur l’instant, tant j’avais honte.
- Je m’excuse monsieur le directeur, je ferai attention à m’habiller… convenablement, dis je en baissant les yeux.
- Il aurait peut être fallu y penser plus tôt mademoiselle !! Vous vous croyez dans un pipe show ??!! N’avez-vous donc aucune PUDEUR et aucun RESPECT pour vous-même ??
Ces mots étaient si durs que je ne pus contenir mes larmes. C’était terrible et je pensais déjà à la réaction de mes parents s’ils apprenaient cela !
- Les filles d’aujourd’hui se dévergondent j’en suis conscient. Mais VOUS !! C’est un blasphème !! Vous êtes répugnante de honte !! Et ce n’est pas la peine de m’apitoyer avec vos larmes de débauchée ! Je vous VIRE !!! Allez donc trouver du travail au bois de Boulogne !!
Je crus à un cauchemar, ce ne pouvait être autre chose qu’un cauchemar !! Mais je me mis à supplier :
- Oh non je vous en pris ne me renvoyez pas !! Je ne suis pas une pute mais juste une jeune fille qui… qui à découvert des plaisirs inconnus (j’avais honte de dire cela mais je devais tout faire pour sauver ma place !). J’ai déliré et j’ai pêché mais je vous en prie ne me punissez pas ainsi !! Le suppliais je comme si je m’adressais à un prêtre. Je vais changer je vous le jure ! Croyez moi je vais rectifier ma conduite mais s’il vous plait ne me virez pas !
- Au moins vous reconnaissez vos fautes, petite débauchée !
Il se leva de son siège et m’agrippa par les épaules.
- Et bien je vais voir ce que je peux faire pour vous si vous êtes gentille…
- Pardon ? demandais-je incrédule.
- Une fille si dévastée par le sexe doit être pardonnée ainsi !
Je le vis descendre sa braguette doucement et son expression changea en celle d’un pervers démoniaque.
J’avais du mal à comprendre ce qui m’arrivait car tout c’était passé si vite en si peu de temps.
Il baissa son pantalon et son slip et je pus découvrir une verge puissante et bien longue. Je n’aurais jamais cru qu’il soit aussi bien monté !
- Maintenant suce ! dit-il sans ménagement.
Et il prit ma tête pour l’avancer vers ce membre gigantesque.
J’ouvris la bouche et me mis à lécher le gland. Je le lapais comme un chat sur son bol de lait. Cette situation était troublante et excitante et je commençais à mouiller.
- On voit que tu as beaucoup pratiqué cela petite cochonne ! Tu es vraiment répugnante !!
Et il me maintint la tête pendant qu’il me baisait fortement la bouche. J’eus l’impression d’étouffer et la sensation de plaisir se transforma en une peur. Il me bloquait complètement la tête et me pistonnait la bouche de cette bite monstrueuse en poussant des
- Sale petite débauchée !! Je vais t’apprendre à avaler moi !! Tu ne mérites aucune compassion, tu es une pute et tu dois être traitée comme telle !
J’essayais de me dégager de cette étreinte tant bien que mal et je recommençais à pleurer.
- Pleure donc chienne, je vais te laver la bouche de mon foutre !
Et je sentis son sexe gonfler une dernière fois dans ma bouche avant de lancer des longues giclées au fond de ma gorge. Heureusement il relâcha son étreinte et je pus respirer confortablement. Je recrachais un peu de sperme en même temps qui coula sur ma poitrine et dans mon décolleté.
- Petite dégoûtante tu en as foutu partout !! Tu as intérêt à tout lécher, je ne veux plus voir de trace de souillure sur ce corps déjà sal !
Je fis ce qu’il dit et je ramassais le sperme avec mes doigts avant de les lécher.
- Fais moi voir ce corps souillé ?
Aussitôt il m’enleva mon haut et ma jupe et je restais en string et soutient gorge devant ce tortionnaire.
- Un corps splendide ! Des gros seins comme les tiens doivent bien plaire !!
Il sortit mes tétons de mon soutien gorge et les pinça sans ménagement. Je ne pus retenir un petit cri.
Il me pelota sans délicatesse, soupesa mes seins, les mesura, les tordit dans tous les sens. Je me sentais sale à présent ainsi offerte, sans défense à ce malade mental. Puis il me lécha les tétons tel un bébé agrippé au sein de sa mère. Il les aspirait et cela me faisait très mal.
- Aïe !! S’il vous plait ! Vous me faites mal !!
- Rebelle en plus ? Si tu tiens à garder ta place ici je te conseille de la fermer idiote !!
Alors je me tus.
Il me léchait les seins, me pinçait les tétons tant bien que mal qu’à force je ressentis du plaisir. Je me mordis la lèvre en penchant ma tête en arrière. C’était trop bon.
- Tu aimes ça petite cochonne. Et bien c’est pas fini !
Il rebandait sec et je voyais son membre de taureau qui se frottait contre mon ventre.
Il me souleva et m’assis au bord de son bureau. Il écarta mon string et me présenta son énorme gland à l’entrée de ma chatte complètement trempée. Je le sentis poussé et cela me fis mal.
- Tu as mal ? Tu n’as encore rien vu ! Je vais te baiser à tel point que tu ne pourras plus t’asseoir normalement !
Cela promettait !
En effet sa verge continuait son entrée dans ma caverne et je ne contrôlais plus rien (je veux parler de mes sens). Il était si énorme ! Si gros !!
- Ahh c’est un monstre !!!
- Oh oui et il va te bourrer comme jamais ma salope !
Il accéléra le mouvement et me pistonna plus vite. J’avais toujours un peu mal mais je savais que j’allais jouir peu de temps après !
Il m’agrippait bien les fesses, et les tripotait en même temps, et il me pistonnait maintenant sans retenue.
- Hummm oui… continuez…. Oh, oui… c’est bon !
Mes sens devinrent fous et je me lâchais complètement. J'ondulais comme je pouvais pour aller à la rencontre de cette énorme pine.
- Oh OUI, encore !! N’arrêtez pas s’il vous plait ! C’est si bon. Ahhh. OUI !! Hum… comme c’est bon !! OHH AHH vous me déchirez bien !! Oh, votre sexe est tellement gros !! Il me remplit complètement AHHHHHH. Oh OUIIII encore OUIIIII. Allez y !!! Défoncez moi ma chatte de salope !!!!!!
Et je me mis à jouir très fort et très bruyamment. C’était exquis et j’en redemandais encore !
Je me contorsionnais littéralement sous l’effet de la jouissance. C’était trop bon !!!!
- Ah petite salope, maintenant je vais m’occuper de ton cul de pute !
Cette idée me ravit tout d’abord puis j’eus très peur à cause de la taille de sa queue.
- Oh mais elle ne va jamais rentrer dans mon cul ! Elle va me déchirer le cul !
- C’est le but petite pute ! Je vais te péter le cul !!
Plus la tension était sexuelle plus son vocabulaire était cru. Aucun de mes amants ne m’avait dit qu’il allait me « péter le cul » ! Mais j’adore les mots crus et cela ne me gêna pas trop.
Il me retourna alors de sorte que mon cul était bien à sa portée et je m’étalais sur son bureau en m’accrochant comme je pouvais.
Il prit quand même la peine de ma lécher le trou du cul pour l’humidifier encore plus et entreprit de le préparer en m’enfonçant 2 doigts d’un coup !
- Oh !! Vous m’avez surprise ! Mais… oh oui… continuez…. Humm…
Ses caresses me ravirent et je me laissais aller à ce plaisir quand il retira ses doigts soudainement pour faire place à sa queue gigantesque.
Je crus qu’elle ne rentrerai jamais mais je sentis que mon « agresseur » s’y connaissait en sodomie !
Peu de temps après je pus apprécier une formidable enculade que j’appréciai complètement. J’adore me faire enculer, et qu’une si grosse bite le fasse m’enchantait.
- Tu l’as sens ma grosse bite dans ton cul ? Tu la sens bien ? Elle te fais du bien n’est ce pas ? Tu aimes te faire enculer ça se voit ! Et ben tu vas être servis !!
Et il me bourra le cul à fond ! Il me prit aussi fort qu’il pouvait.
Je ne tardais pas à sentir monter ma jouissance que je joignis de paroles de folle.
- OH OUIIIII !!! Elle me défonce bien le cul !!! Oh que c’est BON !!!! J’aime me faire enculer comme ça !! Oh encore !!! OUI ENCORE !!!! VAS Y DEFONCE MOI !!! OH OUI DECHIRE MOI LE FION !!! AHHHHHHHH
Je jouis comme jamais avec cette immense queue au fond de mon cul !!! Et mon directeur ne tarda pas à me rejoindre…
- Prends tout petite pute !!! Ce que tu te prends dans le cul ma salope !! AHHHHH OUIIIIII !!! C’est BONNNNNN
Et je sentis sa décharge de foutre au fond de mon cul. Il sortit de mon cul et me présenta sa verge encore dure que je m’empressais de sucer autant que je pouvais. Elle m’avait fait tellement de bien…
On se rhabilla et il reprit calmement.
- Mademoiselle, je pense vous donner une chance de vous racheter (c’est pas ce que je venais de faire ??). J’exige de vous une attitude respectable et je reverrai votre cas à la fin de semaine pour voir vos progrès. Retournez en cours !
- Bien monsieur. Merci beaucoup de votre compassion. Je saurai être reconnaissante.
Et j’attendis la fin de semaine avec impatience…

Initiation à la reception de gros porteurs...!

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Certains petits culs blancs doivent 
subir l'alésage têtes baissées

Nos femmes bien offertes..

Nos femmes bien offertes..

Histoire du net. Auteur Inconnu. Stockholm

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Pour ceux qui ne connaissent pas ce syndrome
Direct sur Wikipedia.
Pour les autres direct...
 main à la braguette ou à la foufoune.
 Syndrome de Stockholm
Ce soir là, nous avions fini de dîner de bonne heure et nous commencions à regarder le journal à la télévision. Nous étions seuls à la maison, ma femme, Susie, et moi, car les enfants étaient partis passer le week-end chez leurs grands parents.
Ma femme était d’humeur amoureuse. A peine avions nous fini de dîner qu’elle était sortie quelques minutes de la salle et était revenue vêtue d’une petite nuisette qui montrait ses charmes plus qu’elle ne les cachait .
Elle ne cessait pas de me relancer en me disant que ‘tout à l’heure on allait bien s’amuser’ ou encore qu’elle me réservait une belle surprise. En plus ses mains étaient particulièrement baladeuses, si vous voyez ce que je veux dire. Enfin bref, c’était parti pour une bonne soirée !
Soudain, on sonne à la porte. Qui ça peut bien être à cette heure ?
D’un bond, avant même que j’aie le temps de régir, Susie se lève pour aller ouvrir. Je l’arrête en lui criant qu’elle est presque nue, qu’elle ne peut pas aller à la porte dans cette tenue, et je me précipite tout en refermant le zip de ma braguette.
J’entrouvre la porte, maintenue par une chaîne. Dans la pénombre du dehors, j’entrevois la silhouette d’un homme. Il me dit que sa voiture est en panne et me demande s‘il peut téléphoner à un garage.
Bien que je ne sois pas particulièrement soupçonneux de nature, je ne lui ouvre pas. Je lui dis d’utiliser son portable. Il répond qu’il n’en a pas. Je lui dis que je ne peux pas le laisser entrer, mais que je vais appeler un dépanneur moi- même. A ce moment Susie intervient dans la conversation, et m’oblige à ouvrir, presque contre mon gré. Je referme la porte , j’enlève la chaîne et j’ouvre à nouveau. La porte est violemment repoussée, et l’homme se précipite à l’intérieur, un revolver à la main qu’il pointe aussitôt vers moi.
- Pas un geste ! Silence !
Je suis paralysé par la surprise et par la peur. Je n’ai plus aucune réaction. L’homme fait un signe à l’extérieur et, quelques secondes plus tard, trois complices entrent à leur tour. Plus tard, j’aurai le temps de les observer, mais, j’avoue qu’à ce moment là, je suis complètement dans le cirage.
Quatre hommes cagoulés. Ils ont l’air assez jeunes, la trentaine au plus. Les vêtements classiques de tous les agresseurs, blouson , jean et basket. Ils sont tellement anonymes qu’ils pourraient être des amis et que je ne les reconnaîtrais pas.
Terrorisé, je me laisse entraîner dans la salle avec ma femme. Ils nous disent sèchement de nous asseoir dans la canapé et de ne pas bouger et qu’ils ne nous feront pas de mal si nous les laissons faire.
Ils commencent à fouiller la pièce pendant qu’un d’entre eux nous surveille, le revolver à la main. Je vois Susie qui tire nerveusement sur sa nuisette pour essayer de cacher ses cuisses du regard insistant de l’homme.
Il y a un grand, le chef semble-t-il, un autre avec un blouson rouge, le troisième est plus mince et plus svelte comme si c’était un homme vraiment jeune, et le quatrième.. Sa silhouette est différente, je pense que c’est une femme, mais, sauf le chef, ils ne parlent pas et donc je n’en suis pas sûr.
C’est ‘Blouson rouge’ qui me surveille. Et j’ai le temps de le regarder pendant que les autres inspectent les pièces de la maison.. Taille moyenne, la silhouette un peu empâtée, il me fait penser à un ami, Antoni. Malgré moi, j’esquisse un sorte de sourire en pensant à lui dans le rôle de gangster alors qu’il ferait pas de mal à une mouche !
Les trois autres reviennent, l’air furieux. L’un jette sur la table mon carnet de chèque, ma carte bleue et quelques dizaines d’euros qu’ils ont trouvé dans un tiroir du bureau.
- On veut tout ton fric… Sors-le !
Je leur dit que c’est tout ce qu’il y a à la maison – ce qui est vrai d’ailleurs- , mais ça semble les énerver. Le chef me prend par la chemise et me secoue en criant qu’il veut du fric. Le petit jeune veut faire de même avec ma femme, mais sa main s’égare sur sa poitrine et il se met à la peloter
- Non, laissez la ; ne touchez pas à ma femme, je n’ai pas d’argent…
- Voilà qu’il nous menace, le vieux ! . C’est vrai qu’elle a de belles cuisses.
- Et des seins qui me font bander !
- Je parie qu’elle est déjà mouillée, la salope… Fais voir un peu.
‘Blouson rouge’ lève la nuisette, dévoilant ainsi le sexe de Susie. Je tente de me lever du canapé pour aller à la défense de Susie, essayer de faire quelque chose, mais un coup dans la poitrine me force à me rasseoir, tandis que le revolver s’agite devant moi.
- Jolie chatte !
Une main attrape la nuisette de Susie et la déchire dans toute sa longueur, si bien que ma femme est nue devant ces hommes. Ils l’examinent, les yeux lubriques
- Quels nichons tu te paies. T’as un cul à brouter. Merde, elle doit être bonne !
Je veux encore m’interposer, mais en vain.
- Viens ici me lance une voix féminine.
C’était bien ce que je pensais, le quatrième est une femme. Bon, et après, qu’est-ce-que ça change ? Ils me font asseoir sur une chaise, trouvent des foulards et des écharpes sur un fauteuil et m’attachent les bras en arrière, sur le dossier et les jambes sur les pieds de la chaise. Pour finir, ils fourrent dans ma bouche le bout d’un foulard si bien que je risque plus de crier pour appeler des secours.
Une chape de plomb s’abat sur moi. Je vois clairement le traitement ce qu’ils envisagent d’appliquer à ma femme, et, ligoté comme je le suis, je ne plus rien faire. Quand je pense qu’une fois j’avais dit à Susie, mi sérieux mi pour rire, que j’aimerais participer à une partouze  et qu’elle m’avait répondu qu’elle aussi!
Une partouze, peut-être mais pas ça ! Pas un viol collectif, pas une tournante !
Le chef me dit :
- Une belle femme comme la tienne, ça prend combien par passe ?  »
Comme je ne réponds pas – et pour cause puisque je suis bâillonné – il insiste.
- Combien elle prend par passe, ta pute ? 100 Euros ?
- Oui, c’est le tarif pour de la viande de cette qualité ajoute ‘Blouson rouge’.
- Bon, écoute. Puisque t’as pas de fric à nous donner, on va baiser ta femme à 100 Euros la passe, jusqu’à ce qu’on ait dépensé tout ce qu’on espérait trouver chez toi. Tu comprends, ça doit faire au moins 20 ou 30 passes.
Je suis écrasé d’horreur. Ils veulent traiter Susie comme une prostituée à l’abattage… Je dois être blême de frayeur, d’indignation et de honte. Les monstres. Si je les tenais…
Il me laissent seul et entourent ma femme. Susie veut se débattre, mais des bras la tiennent et elle a beau se tordre, donner des coups, elle se retrouve comme clouée sur la canapé par huit mains lubriques qui serrent ses seins, frottent son ventre, écartent ses cuisses et l’explorent sans ménagement. En quelques secondes les hommes se mettent nus, ainsi que la fille, montrant ainsi qu’elle aussi veut participer à leur fête lubrique.
Une belle fille, d’ailleurs, qui serait terriblement désirable si je la voyais en d’autres circonstances. Mais aujourd’hui, ses seins et son cul me laissent de marbre !
Le chef est penché sur Susie et l’embrasse, pendant que ses mains explorent le corps de ma pauvre femme.
L’un d’eux effleure les pointes des seins avec la paume de la main, puis les caresse à pleine main, les prend et les palpe. Les mamelons se dressent et commencent à durcir. Il prend ses seins entiers dans sa bouche et sa langue passe de l’un à l’autre en les suçant, sans oublier les mamelons, puis se concentre dessus et les mordille. Légèrement pincés par les dents, ils continuent à durcir et à se dresser. Il fait des bruits en suçant puis, prenant à nouveau les mamelons entre ses dents, il les étire avant de les relâcher.
L’homme est très poilu, musclé, sec. Il force ma pauvre femme à prendre sa bite en main à le masturber. La fille n’est pas en reste : elle s’agenouille entre les jambes de Susie et entreprend de lui manger la chatte. Le petit jeune se place juste à hauteur de la bouche de Susie, y pose sa queue et pousse tant qu’elle doit écarter les lèvres . Tout la queue s’y enfile et il se fait sucer à fond…
Enfin il y a ‘Blouson rouge’ qui a décidé que ses copains ne seraient pas les seuls à s’amuser. Il me dit :
- Ca fait du bien de regarder, hein, mon cochon ?  Je vais jouir sur ses seins pour commencer, elle va aimer ça et toi aussi.
Il exhibe fièrement son sexe dans ses poils blonds et frisés : je remarque sa taille. Peut-être un peu plus long que la normale, mais surtout il semble énorme par rapport à la longueur. Il est large, épais, trapu, gros presque comme mon poignet . D’une main il se masturbe et de l’autre il pétrit les seins de Susie. Au bout de quelque secondes, pensant que ca n’est pas assez : il frotte sa queue sur les seins, aguichant les mamelons qui pointent vers le haut en qui durcissant encore plus..
Ils sont tous en train de gémir en s’activant sur Susie. Je les vois la prendre de partout, la caresser, la triturer, la bourrer de leur sale viande. Quel désespoir ! quelle horreur !
C’est le petit qui finit le premier. Il grogne à l’adresse de Susie qu’elle doit avaler et plonge sa queue jusqu’au fond de la bouche de Susie avant de laisser partir son éruption. Je le vois se cambrer à chaque jet qu’il envoie : le premier dans la bouche, puis il se retire rapidement et continue à juter sur la figure de Susie, des vagues chaudes qui s’étalent sur ses joues, montent jusqu’à ses cheveux, éclaboussent le menton et laissent Susie ruisselante de foutre gluant.
Apeurée, Susie branle le chef de son mieux et au même moment ou presque, il éclate à son tour. Il dirige sa grosse bite sur le ventre de Susie. Son premier jet monte d’au moins 50 centimètres en l’air avant de retomber sur Susie et le reste de sa jouissance la couvre de crème blanchâtre, collante, épaisse.
Même la fille, qui est en train de lécher la chatte de Susie en prend une grosse giclée sur les épaules. Ca me fait presque plaisir de la voir déguster à son tour ! Susie ne réagit pas. Elle pourrait crier, se débattre, amis non. Elle est comme assommée par ce qui lui arrive. Elle se laisse faire, on dirait presque qu’elle apprécie cette douche de sperme !
Le chef qui vient de gicler sur Susie lui fourre sa bite dans la bouche pour se faire nettoyer des dernières gouttes. Et ça n’est pas fini. En voyant ces torrents couler sur Susie, ‘Blouson rouge’ ne se retient plus : à son tour il pousse une sorte de long feulement et crache son jus sur les seins, comme il l’avait dit. Il jute en abondance, des cascades s’abattent sur Susie, ses seins sont couverts de longs filaments jaunâtres qui s’entrecroisent, coulent sur son ventre ou dans son cou. et se mêlent à tout ce qu’elle a déjà reçu.
Comme si Susie n’était pas assez couverte, ils frottent leur queue sur elle, pour étaler leur foutre, la couvrir partout de plaques brillantes et gluantes.
- Suce tes seins, nettoie-toi un peu, grande salope !
‘Blouson rouge’ attrape les seins de Susie, les étire jusqu’à la bouche de Susie  qui doit se sucer les pointes l’une après l’autre. Puis la fille se colle contre elle, et fait de même, léchant les seins de grands coups de langue. Susie, qui à ma connaissance n’ a jamais fait l’amour avec une femme, doit accepter ce contact…!
Je regarde Susie et je suis étonné de voir qu’elle ne semble pas prendre mal cette horrible aventure. On pourrait même pense qu’elle est en train de prendre son pied : elle halète à chaque coup de langue que la fille lui donne, et murmure même que c’est bon !
La fille se remet à sucer la chatte de Susie. Elle y va de bon cœur sur les lèvres, dans le trou et sur le clitoris. Puis elle fait signe au plus jeune de venir la prendre par derrière en levrette pendant qu’il n’a pas encore eu le temps de débander. cette fille st véritablement une salope!
Il s’enfonce dans la chatte d’un coup – je me dis qu’elle doit être bien lubrifiée avec tout ce qui vient de se passer – et la baise de grands coups pour la faire jouir. Effectivement, il ne lui faut pas longtemps pour me mettre à geindre, puis à râler sans cesse, puis à crier franchement, tout en se tortillant du cul avant d’orgasmer.
Dès qu’elle se reprend un peu, elle recommence à sucer, à lécher la chatte de Susie et à lui caresser le clitoris en faisant de petits cercles.
Alors se passe quelque chose d’inimaginable : la victime, ma pauvre femme prise de force se met à jouir à son tour . Oui, ça a dû être plus fort qu’elle. Elle a dû sentir la jouissance venir, son minou s’est contracté puis tout son ventre et des ondes de plaisirs l’ont traversée. Susie jouit comme une folle, elle lance un’ ohhhhh !’ et les spasmes de son orgasme jaillissent de sa chatte et lui secouent le corps pendant de longues secondes
J’aurais donné n’importe quoi pour être ailleurs, mais je suis aussi impuissant que Susie et je dois regarder ces hommes et cette fille prendre leur plaisir avec ma femme. Mon visage est crispé en voyant ce qui se passe. La fille, qui me semble la moins mauvaise du groupe, me dit :
- Ne t’inquiète pas , elle aime ça, sinon elle se serait débattue. On ne lui veut pas de mal. Et puis, tu vois, elle jouit bien, elle en profite aussi.
Bien malgré moi, malgré ma volonté, je ne suis pas resté insensible à ce qui s’est passé sur le canapé. Voir une séance de baise aussi animée m’a procuré des sensations que je n’attendais pas. Je ne pensais pas ce que soit possible, mais c’est vrai : je prends mon pied à regarder ça. Et voilà que mon pantalon est tout gonflé et montre un bosse de taille respectable!
La fille a dû le remarquer car elle s’approche de moi et me touche entre les jambes.
- Eh, les gars, ça le fait bander de voir baiser sa femme. Regardez le gros cochon dit-elle en ouvrant mon pantalon.
C’est hélas vrai. Je bande, certainement pas comme un fou, mais j’ai quand même une belle raideur. La fille ouvre davantage mon pantalon, me l’enlève complètement et se met à me caresser les couilles et à me branler. Je ne tarde pas à être dur comme un roc !
Et puis, cette fille nue devant moi est vraiment bandante. Ses seins fermes dansent à chaque mouvement, son joli petit cul s’agite et m’invite. Je la baiserais avec plaisir, cette belle cochonne. Elle doit être chaude et jouissive. Je m’imagine en train de lui ramoner la chatte, la bite enfoncée jusqu’à la garde, jusqu’à ce je décharge et la remplisse de foutre.
Les hommes sont encore affairés sur Susie et la paluchent dans tous les sens. Ils lui susurrent des mots à l’oreille, et elle rit en les entendant alors qu’elle pourrait se plaindre ou pleurer et il frottent de plus belle leur queue sur elle. J’ai du mal à comprendre comment elle peut trouver du plaisir avec ces hommes lubriques, comment ils ont pu la subjuguer à ce point.
La fille me suce avec une technique raffinée. Je me sens si bien avec cette bouche chaude et vivante autour de moi ! Sa langue est comme un serpent qui cherche mes endroits les plus sensibles et les brûle d’un feu merveilleux. Elle aspire mes couilles et ensuite engloutit ma bite, toute entière, jusqu’au fond avec gourmandise. Je sens que je vacille, je commence à gémir.
En même temps j’entends des bruits, des petits cris, des gémissements , mais je suis tellement pris et emporté par la pipe que je reçois que, j’ai honte de le dire maintenant, je ne me préoccupe pas de ce qui est entrain d’arriver à Susie.
La fille ne s’arrête pas et me pompe encore et encore. Je sens mon gland qui tape sur le fond de sa bouche, ses lèvres serrées sur mon manche, sa main sur mes couilles. Chaque fois qu’elle ressort ma queue, c’est comme si elle me le sortait d’un étui de satin, et lentement elle s’enfonce à nouveau en suçant.
- Jouis dans ma bouche chaude, vas-y, vide toi.
Soudain, je suis traversé par des sensations d’une folle intensité, mes couilles se vident en longs jaillissements, un premier, puissant, suivi de nombreux autres ; j’ai les yeux hagards de plaisir, les mains crispées,  j’ai mal partout tellement je suis enflammé par cette fille, l’orgasme me coupe le souffle, tellement elle me fait jouir jusqu’à ce qu’un ultime spasme m’emporte.
Enfin, la fille se relève et avant de me quitter enlève un instant mon baîllon, le temps de m’embrasser sauvagement, me laissant dans la bouche le goût et l’odeur du sperme frais, de mon propre sperme.
Epuisé, je ferme les yeux, et je m’abandonne quelques instants sans plus penser à ce qu’ils font à ma femme.
J’entends ‘Blouson rouge’ annoncer qu’il va baiser ma femme. Je rouvre les yeux pour le voir avec son mandrin à la main..
Sadiquement ‘Blouson rouge’ me le passe sous les yeux en disant :
- T’as vu la taille ! Je suis certain que ta petite femme n’en a jamais reçu un comme ça ! Elle va apprécier et plus tard, elle repensera avec regret à cette belle bite qui va la niquer.
Je tire sur mes liens mais ils ne cèdent pas et je dois rester immobile, je crie mais on n’entend qu’un vague grognement qui sort de derrière mon bâillon. Tout aussi sadiquement que le premier, les autres ricanent en promettant mille délices à ma femme.
Je regarde Susie. Elle n’a pas l’air de se rendre compte de ce qui se passe, qu’elle va se faire violer par cet épieu. Il s’installe sur une chaise et place Susie à cheval sur lui, le dos tourné vers lui. Je m’attendais à ce qu’il s’enfonce dans elle brutalement, d’un seul coup, qu’elle crie de douleur et qu’il la bourre sauvagement.
Au contraire, le monstre sa montre plutôt doux. Il demande à Susie de se baisser lentement sur la queue, ce qu’elle fait. L’engin est dressé, le bout violacé touche maintenant la vulve de Susie ; elle se laisse descendre et je vois la grosse bite qui se met à pénétrer.
Susie grimace un peu. La fille lui dit d’attendre que ça passe avant de continuer. Puis centimètre après centimètre, je vois la queue disparaître pendant que Susie la reçoit lentement. Je devine à quel point la chatte de Susie doit être tendue, écartelée. Et puis soudain, la queue est enfoncée jusqu’aux couilles. J’en ai mal pour elle. Susie gémit encore, mais c’est un gémissement de plaisir !
- Oui, je te sens, tu m’as remplie… C’est bon. Oh j’ai jamais été baisée comme ça !
‘Blouson rouge’ lui répond :
- Eh bien, ma chérie, puisque t’aimes ça, tu vas l’avoir !
Il commence à faire monter et descendre ses hanches et Susie l’accompagne et fait les mêmes mouvements. Rapidement, ils trouvent un rythme commun, s’enfonçant en même temps et ressortant ensemble.
Empalée, la bite bien au fond de sa chatte trempée, elle se met à onduler du bassin. Il passe ses bras autour d’elle, et tout en la tenant serrée, la pistonne d’en bas en long coups puissants.
Les autres hommes s’approchent, l’un caresse les seins de Susie, prend les globes dans la main ou bien frotte les mamelons engorgés. L’autre lui branle le clitoris du bout du doigt.
L’effet est instantané : Susie commence à râler en continu, une long feulement et, tendue, crispée, elle s’empale de toutes ses forces en se mettant à jouir. Elle pousse un plus grand cri et plusieurs orgasmes la traverse de suite. Leurs corps sont unis dans un balancement primitif. L’homme accélère, je vois sa grosse queue qui sort et qui rentre à toute vitesse, qui s’enfonce au maximum dans la chatte de Susie. Susie se trémousse de plus en plus et j’entends le bruit de succion de sa chatte quand elle remonte en chevauchant la grosse bite.
Elle continue à crier et à jouir pendant que les autres la palpent, la caressent, la pelotent. Susie semble ne pas en avoir assez. D’une main elle attrape une bite et se le met dans la bouche et la suce furieusement. Prise par en haut et par en bas, ses cris ne cessent pas. Les orgasmes déferlent en cascade dans sa chatte, d’une intensité et d’une force à couper le souffle.
Le chef s’approchent encore, parle à l’oreille du violeur. Il se démanche de Susie Qu’ont-ils encore inventé ? Il placent Susie debout, le chef se place derrière elle, la bite sur ses fesses et ‘Blouson rouge’ devant. Je comprends…
Ils vont la prendre en sandwich. Ils vont enculer Susie !
Celui de derrière passe un doigt dans la chatte de Susie. Elle est tellement mouillée qu’il est immédiatement lubrifié . Puis il écarte les fesses et met un doigt dans l’anus qui rentre sans difficulté. Il le fait aller et tourner pour élargir le passage et approche sa queue , la pose sur le bourrelet et pousse d’un grand coup de reins.
Susie crie de douleur. L’homme attend une seconde ou deux et s’enfonce à nouveau. Je vois Susie qui cambre les reins et redresse la tête et donner des coups de reins pour aider à la pénétration. Nouveaux cris, nouvelle attente, nouvelle poussée jusqu’à ce que l’homme soit en entier dans Susie.
Alors ‘Blouson rouge’ se remet dans Susie : d’un seul coup sa bite est enfoncée tout au fond de la chatte de Susie. Les deux hommes entreprennent alors d’aller et venir, rentrant tous les deux en même temps, ressortant de même. Ils ont l’air d’être au paradis, chacun dans son trou. J’entends ‘Blouson rouge’ dire qu’il sent la queue de sa partenaire à travers les chairs de Susie  et que c’est bon !
En haut, Susie continue à pomper le troisième. Soudain, des cris, ceux de l’homme qu’elle est en train de sucer. Sa bite éclate et son jus éclabousse Susie qui ouvre la bouche pour mieux le recueillir. Pendant que des mains continuent d’explorer le corps de Susie, les deux sexes lui pilonnent la chatte et le cul en cadence. Cette cadence folle fait crier Susie…
Encore quelques minutes, et l’homme qui baise la chatte, ‘Blouson rouge’ ne peut plus tenir. Il crie lui aussi qu’il sent ses couilles se contracter et il lâche sa charge tout au fond, inondant la chatte brûlante : quelques poussées pour finir jusqu’à ce qu’il se vide les sacs à foutre et les jaillissements qui se succèdent redoublent la jouissance de Susie.
L’enculeur, quant à lui, pilonne sans relâche le cul de Susie et chaque coup la fait trembler, puis il ralentit, s’enfonçant avec lenteur mais totalement à fond. Susie, emportée par le plaisir pousse des ‘aah.. ah.. ah..aah…
Soudain l’homme se crispe, donne deux ou trois coups de reins rapides et violents et c’est son tour de jouir dans le cul de Susie en la bourrant violemment et en lançant de longues giclées. Ses reins se soulèvent et sa queue s’enfonce toujours plus profondément à chaque giclée qu’il envoie.
Au même moment, Susie aussi est emportée par une jouissance obscène, secouée d’une façon encore plus violente que jamais, comme si des décharges électriques le torturaient.
Elle reste emmanchée sur les deux bites qui commencent à perdre son volume, sa chatte se tordant encore sous l’effet de la jouissance, satisfaite , repue, les yeux enflammés et brillants, tout en murmurant que c’était tellement bon ! Puis, je vois les litres de foutre qui se mettent à couler entre ses jambes .
Une grosse goutte blanche suinte de son vagin, un gros paquet gluant qui s’allonge lentement, qui descend en s’allongeant. Je suis fasciné par ce paquet de foutre qui s’étire jusqu’à ce que seul un fil le retienne encore à Susie, et puis il tombe par terre en faisant un grand ‘ploc’.
Je bande à nouveau, tellement ça m’a a excité, mon sexe me fait mal, il suffirait d’un rien pour qu’il décharge à son tour…
La fille, qui s’était éloignée, revient de la cuisine avec le petit jeune, apportant deux bouteilles de champagne et des verres. C’est bizarre les idées qu’on peut avoir dans des moments comme celui-ci, car ma première idée est de me demander comment il se fait qu’il y avait du champagne à la maison. Je me dis que j’étais pourtant sûr qu’il n’y en avait plus et je me demande quand Susie l’a acheté.
Enfin voilà à quoi j’ai pensé à ce moment !
Ils ouvrent les bouteilles, se servent et en offrent même un verre à Susie. Evidemment elle se sent obligée de l’accepter. Le chef et la fille s’approche de moi. Je remarque qu’il a un tatouage sur l’épaule, une sorte de fleur. J’en ai déjà vu des comme ça, à la salle de gym que je fréquente, me semble-t-il, mais il est vrai que beaucoup d’hommes ont des tatouages. Enfin c’est toujours un indice pour essayer d’identifier nos agresseurs.
- Tu en veux ? . Si tu es sage et si tu promets de ne pas crier, on enlève ton bâillon. Et on te libère. Mais attention, si tu essaies de t’enfuir ou autre chose, souviens-toi qu’on tient ta femme. Tu ne voudrais pas qu’il lui arrive malheur.
Je fais un geste d’acquiescement de la tête. Que pourrais-je faire d’autre d’ailleurs ? Ils enlèvent mon bâillon, puis mes liens. Je peux me mettre debout et je vais vers Susie pour la prendre dans mes bras et la réconforter.
Elle ruisselle de sperme de la tête aux pieds. Son visage est gluant, ça commence avec des tortillons blanchâtres dans les cheveux qui presque aussi collés que si elle sortait du bain; ses joues, ses lèvres et son coup son zébrés de traînées à demi sèches ; ses seins et son ventre sont couverts du même liquide, il y en a même une mare dans le nombril ! Et de longues traînées sortent de son sexe et coulent sur ses jambes ou bien entre ses fesses. Je cherche quelque chose pour l’essuyer : je ne pense qu’à ma chemise. Je l’enlève sans penser que je finis de me mettre nu du même coup.
- Te voilà à poil aussi pour te joindre à nous pour baiser ta femme ! me lance le chef.
J’essuie Susie aussi bien que je le peux. Je m’attendais à la trouver en larmes, effondrée, humiliée ou révoltée. Je m’apprêtais à la consoler, à essayer de lui redonner du courage, mais je trouve Susie bien plus calme, bien plus consentante que je n’aurais crû . On pourrait même penser qu’elle trouve un vrai plaisir dans ces pratiques sexuelles qu’on lui impose.
On me met un verre de champagne dans une main. On dirait un étrange cocktail mondain : quatre hommes et deux femmes, nus ou presque, parlant tranquillement dans un salon, un verre à la main ! Six amis qui se racontent leurs dernières vacances tout en buvant du champagne !
Ca doit être le syndrome de Stockholm – ou un nom comme ça, je ne me souviens plus. Vous savez, les otages qui deviennent amis avec les ravisseurs et vont même jusqu’à les conseiller ou les protéger. Et bien, c’est ça. Nous sommes simplement six amis en train de converser aimablement de la pluie et du beau temps !
- Benoît, tu veux encore du champagne, me demande le jeune.
- Comment tu sais que je m’appelle Benoît ?
- Euh… tu l’as dit tout à l’heure…
Je réfléchis une seconde. Non, je suis certain que je n’ai pas dit comment je m’appelais. Se pourrait-il qu’il me connaisse ? Sommes-nous des victimes choisies au hasard par cette bande ou étions-nous visés personnellement ?
Champagne ou pas, nos agresseurs ne nous lâchent pas. C’est le chef qui relance l’action en disant à Susie :
- Jolie petit chose, je parie que t’as envie que je te mette les doigts dans le fion. Ouvre les jambes !. Offre-moi bien ta chatte
Susie doit s’exécuter. Je me sens dégradé et humilié, et pour elle, ça doit être encore pire !
Les pattes de l’homme touchent la fente mouillée.
- Elle a la chatte toute gonflée… Elle a besoin d’un grand coup de bite. Je vous la laisse dans deux minutes, le temps de jouer un peu avec elle.
Puis à moi, il ajoute :
- Tiens approche-toi ; profite du spectacle. Tu peux y mettre la main aussi si tu veux!
Il part d’un rire indécent et sans ménagement, écarte les lèvres et pénètre dans le minou engorgé. Il enfonce son doigt aussi loin qu’il le peut et le retire. Puis il enfonce deux doigts en même temps et, il m’attrape une main et me dit :
- Mets-y un doigt dans le cul.
Je cherche à résister, mais il insiste :
- J’te dis de lui bourrer le cul . Tu préfères que ça soit moi et que j’ lui bourre l’oignon et que j’ lui lime encore le cul avec mon chibre ?
Je cherche le bourrelet de Susie. Quand je le trouve, je le caresse doucement. De son côté, l’autre homme masturbe Susie avec une douceur que je n’attendais pas. Il lui branle la chatte puis le clitoris et Susie halète à ces caresses.
Ca fait des heures qu’ils la touchent partout et son corps excité réagit de plus en plus fort. Le plus jeune approche sa queue de la bouche de Susie pour se faire sucer. Elle l’accepte immédiatement et s’active sur la bite. Je ne reconnais pas Susie.
D’habitude elle n’aime pas les pipes, elle ne m’en fait que rarement, jamais de sa propre initiative, c’est toujours moi qui doit lui demander et même insister. Mais là, elle semble trouver son plaisir à sucer l’homme, elle y met tout son cœur et le pompe avec en train et énergie, avec la bouche et avec les mains. La gars se tortille de plaisir. Le chef continue à lui branler la chatte, et moi à lui caresser l’anus. Je vois que Susie n’en peut plus et qu’elle va jouir. J’enfonce un doigt dans son cul . Il n’oppose pas de résistance car il a été largement ouvert auparavant, et je la branle aussi par là.
Susie à le nez dans les poils de l’homme puis elle sort sa bite presque complètement avant de l’avaler à nouveau.. Elle lui fait une pipe royale ! Il fait aller et venir ses hanches pour mieux profiter et d’un seul, coup, il jouit, le visage déformé par le plaisir… je vois Susie qui avale les giclées et le pompe avec délectation.
Soudain, Susie se met à gueuler, c’est le seul mot que je trouve pour décrire son orgasme tout en se tordant sous les caresses qui la prennent dans tous ses orifices. Son jus coule en abondance, ses mains attrapent ses seins et les pétrissent , sa bouche en folie suce l’autre homme, son cul se contracte autour de mon doigt, ses cuisses se serrent convulsivement et Susie se laisse emporter par le plaisir.
Ca me fait bander de la voir ainsi en train de jouir aussi massivement. Susie s’en aperçoit, me saisit la queue. Comme sa main est douce ! Elle me branle rapidement et en moins de trois ou quatre aller et retour me fait juter copieusement sur ses cuisses…
Une voix s’élève.
- On a faim ! Viens nous préparer quelque chose.
Pas de suite...

Pour les amateurs de courtes.... Je parle d'histoires là..!

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 Ou il est question de berger et de chien

Le berger crêtois
Pour fêter nos 20 ans de mariage, j'avais offert à ma femme un voyage en Crête! Nous avions loué sur place une petite voiture et chaque jour, nous partions à l'aventure sur les petites routes de montagne bordées de champs d'oliviers et encombrées de troupeaux de chèvres quasiment en liberté...
Ce jour-là, nous étions partis assez tard dans la journée, après une sieste salvatrice, car il faisait très chaud. Nina était ravissante avec son petit corsage blanc un peu transparent et qui laissait deviner une belle poitrine toujours ferme, malgré la quarantaine passée. Avec sa jupe paysanne rouge et son chapeau de soleil, sa peau bronzée, elle était vraiment désirable...
Nous voulions nous rendre sur le plateau de Lassitie, connu pour ses centaines d'éoliennes, en empruntant une route marquée en pointillés sur la carte! Nous nous sommes vite rendus compte que ce chemin n'était praticable que par les 4X4 mais on ne pouvait guère faire demi-tour à cause de l'étroitesse de la voie. Et ce qui devait arriver est arrivé: la voiture a dérapé dans une ornière, malgré tous mes efforts, je n'ai pu la sortir! Chaque accélération l'enfonçait davantage dans la terre sablonneuse et le bas de la caisse a fini par toucher le sol.
Nous voilà donc bloqués dans cet endroit désert, sans téléphone car nous n'avions pas pris l'option "étranger" pour le portable. Grave erreur, la suite nous le démontrera...
Je suggérai donc à Nina de partir chercher du secours à pied pendant qu'elle m'attendrait à la voiture. Mais elle refusa de rester seule et préféra m'accompagner. N'ayant rencontré personne depuis que nous avions bifurqué sur ce chemin, nous décidâmes de continuer vers le plateau: avec un peu de chance, nous finirions bien par rencontrer un berger... Ils ont tous des 4x4 dans cette région, il accepterait, contre quelques billets, de venir nous dépanner.
Mais après une heure de marche forcée, nous n'avions toujours vu âme qui vive et le jour commençait à tomber (vers 18h30, en Crête). Nina commençait à s'inquiéter et à me reprocher mon imprévoyance. Elle avait perdu son chapeau , elle avait mal aux pieds et la respiration haletante.
Nous étions presque dans l'obscurité lorsqu'enfin, nous entendîmes quelques bêlements, signalant la proximité d'un troupeau de chèvres ou de moutons. Quelques minutes d'efforts encore et enfin apparut dans la nuit naissante une cabane dont une fenêtre était éclairée par une faible lueur... UN véhicule était garé à proximité... Sauvés!
Un chien se mit à aboyer à notre approche, la porte s'ouvrit et une imposante silhouette apparut dans l'encadrement de la porte: un homme d'une cinquantaine d'années, barbu, cheveux frisés, un peu bedonnant. Il sentait le fromage de chèvre et tenait une lampe à pétrole dans une main et un fusil de chasse dans l'autre!
Il n'avait pas l'air commode et j'essayai de lui faire comprendre par gestes, ce que j'attendais de lui en montrant ostensiblement quelques billets de 20 Euros. Alors, il nous fit entrer dans la cabane et tenant haut la lampe, examina Nina de la tête aux pieds avec des yeux qui en disaient long, ce qui, tout à coup, nous mit très mal à l'aise.
Il eut l'air de réfléchir quelques instants en se grattant la barbe, puis me fit signe de ranger mon argent et désigna Nina d'un coup de menton. Mon épouse et moi ,nous nous regardions sans comprendre mais il réitéra son offre d'un geste sans équivoque cette fois et qui consiste à balancer le bassin d'avant en arrière! Il voulait se payer en nature avec Nina!
Celle-ci me lança un regard affolé, une prière presque. Je fis non de la tête mais il m'avait déjà empoigné par le col et jeté dehors sans ménagement... J'entendis la clé tourner dans la serrure... Nina était enfermée avec lui dans la cabane... Illico, j'allais coller mon nez à la vitre sale de la fenêtre:
Nina était au centre de la petite pièce, comme tétanisée. Lorsqu'il s'approcha d'elle, elle ferma les yeux, inerte. Le monstre passa sa main sur le corsage blanc, soupesant les seins au passage. puis il fit sauter un à un les boutons de la liquette qui glissa à terre suivie du soutien-gorge noir.
Ma femme n'avait toujours pas bougé. Le géant se laissa tomber à genoux et glissant ses énormes battoirs sous la jupe rouge , il se mit à sucer alternativement les seins blancs de Nina qui eut un sursaut de dégoût lorsque la bouche lippue se posa sur ses tétons.
Sous la jupe, les mains n'étaient pas inactives et la petite culotte de dentelle noire tomba vite sur les chevilles de ma femme. Alors le Crêtois l'enleva dans ses bras comme une plume avant même qu'elle ait pu esquisser un geste et la porta sur la paillasse qui se trouvait au fond de la pièce, juste sous la fenêtre où je me trouvais... J'étais aux premières loges!
Je crois que Nina avait pris le parti de se laisser faire car elle restait totalement sans réaction. Il enfouit la tête sous la jupe qui remonta jusqu'à la taille et commença à lui lécher la chatte en lui maintenant les cuisses bien écartées. Avec moi, Nina aimait ça, mais là, d'où j'étais, je voyais son joli minois faire la grimace et son ventre être secoué d'un violent soubresaut.
Enfin,il se redressa et fit tomber son pantalon de velours sur ses chevilles . Évidemment, il ne portait pas de slip et une vision dantesque me stupéfia... Son chibre en érection, gris noir, mesurait plus de 20 cm, avec un gland violacé énorme, et ses bourses... de véritables boules de pétanque...
Alors là, j'ai eu peur, peur pour ma femme. Heureusement, celle-ci, les yeux toujours clos, n'avait pas vu ce que sa jolie petite fente allait devoir engloutir. Mais déjà le berger, de son index gauche, sondait le vagin de NINA qui se cabra brutalement à l'introduction du majeur.
Satisfait, il ôta ses doigts et les remplaça par sa grosse matraque!
Ma petite femme, d'un geste instinctif, a protégé son joli minou de ses deux mains mais la brute les lui écarte doucement mais fermement et présente son gland turgescent à l'entrée de sa grotte... et je vois l'immense queue qu'il tient d'une main s'enfoncer lentement dans le ventre de Nina qui se mord violemment la lèvre ... A-t-elle tellement mal?
Elle remonte les genoux pour faciliter l'introduction et il semble que la lubrification de son vagin se fasse très bien. Le Grec a maintenant introduit la moitié de son sexe et il marque un temps d'arrêt, sans doute pour laisser à sa partenaire le temps de s'habituer à cette présence volumineuse dans ses muqueuses. Elle ne semble pas souffrir et s'agite lorsque son tourmenteur fait mine de se retirer...
Alors celui-ci, d'une seule poussée, s'enfonce en elle jusqu'aux couilles avec un rugissement de fauve... Je me demande comment elle peut endurer cette chose sans broncher! Elle est là, les bras en croix, clouée au lit comme un papillon dans sa boîte de collection. Mieux encore, lorsqu'il entame un va et vient lent et puissant, appuyé sur ses avant-bras poilus, un sourire indéfinissable se dessine sur son visage et j'entends sa respiration s'accélérer!
Elle ne va tout de même pas jouir là, devant moi, avec cet inconnu répugnant? Elle sait que je la regarde car nos regards se sont croisés... le grec accélère et le lit craque; il grogne à chaque coup de rein et Nina, ma douce Nina s'agrippe aux larges épaules; il s'arrête de temps à autre pour l'embrasser à pleine bouche... elle lui rend ses baisers car j'entrevois leurs langues emmêlées. Nina ,comment peux-tu?
il recommence à la saillir comme un étalon en rut et j'écoute, désespéré, mon épouse crier de plaisir sous les coups de boutoir de son assaillant... non... de son amant!
Enfin, il se vide en elle avec de longs gémissements et se laisse tomber sur le côté, épuisé, le sexe flasque reposant sur la cuisse velue. Nina a rabattu la jupe rouge sur ses cuisses, peut-être pour que je ne vois pas sa chatte repue dégoulinante de sperme.
Je crois que je ne pourrai plus jamais faire l'amour avec elle. Et je m'aperçois que j'ai eu, moi aussi, une violente érection durant leurs ébats. C'est tout juste si je n'ai pas éjaculé... j'ai honte, je ne suis qu'un sale voyeur!
Mais ça bouge à nouveau sur le lit: Nina soupèse la bite du berger, qui, même au repos, est impressionnante. Elle reprend vite de la vigueur dans la main de ma femme et pointe maintenant impérieusement vers le plafond. Il la fait mettre à genoux sur le bord de la paillasse et relève la jupe maculée sur ses reins.
Quel cul, cette Nina! Il s'introduit sans coup férir dans le conduit lubrifié par le sperme et la mouille et la baise sans douceur. Dès le début, elle crie, feule, jouit comme jamais je ne l'ai vue jouir...
Les bourses du grec claquent sur ses fesses à un rythme effréné. Ils soufflent tous les deux comme des phoques, les seins de Nina dansent la chamade! Enfin, ils s'écroulent sur le côté, lui toujours fiché en elle tandis que j'éjacule dans l'herbe en longues giclées.
Ils se sont endormis dans cette position et ce n'est que tard dans la nuit qu'il est venu me chercher. Il m'a proposé un verre de gnole car j'étais transi et un quignon de pain dur... Nina dormait ou faisait semblant sous une couverture jetée sur la paillasse.
D'un signe, il me fit comprendre que je pouvais aller la rejoindre. Il s'enroula dans une espèce de pelisse en peau de chèvre et s'allongea sur le plancher de la cabane en soufflant la lampe à pétrole... quelques secondes plus tard, il ronflait.
- Ca va? me chuchote Nina.
- C'est à toi qu'il faut poser la question, après ce que tu viens de subir!
- Ecoute, je n'y peux rien si j'ai joui comme jamais! c'était incontrôlable...
- Mieux qu'avec moi?
- Incomparable... Dès qu'il est entré en moi, j'ai joui! tu comprends, il me remplit de partout... j'ai l'impression d'avoir une bûche dans le sexe! alors quand il bouge, je vois des étoiles, vraiment...
- Et avec moi?
- Avec toi, je ne vois rien, mais je t'aime!.. Allez, dormons, nous en reparlerons demain...
Je me suis endormi comme une masse, fatigué par toutes ces émotions... C'est le tangage du lit et les ahanements de Mario (il s'appelait Mario, je l'ai su plus tard) qui m'ont brusquement réveillé: allongé sur Nina, il était en train de la prendre, là, à quelques cm de moi! Aux halètements rauques qu' elle produisait, j'ai deviné qu'elle était consentante et même plus.
- Nina?
- Tu es réveillé? Excuse-moi, mais je n'ai pas pu résister. Sa queue me rend folle! j'avais envie de la sentir encore une fois au fond de moi... Tu me comprends, mon chéri?
Elle hoquète sous les coups puissants du berger qui s'est mis à genoux entre ses jambes pour ne pas l'étouffer sous ses 100kg.
- Je n'ai jamais connu ça, une telle jouissance! pardonne-moi... Oh! qu'est-ce qu'il me bourre bien...J'ai orgasme sur orgasme!
-Je te pardonne... D'ailleurs, ça m'excite de te voir baisée par cet ours des cavernes!
Elle me prend la main et la serre fort; je sens à chaque crispation la montée de son plaisir; Mario, imperturbable, continue à la labourer avec application. Combien de temps va-t-il durer encore? Je sens l'odeur aigre de sa sueur.
Mais voilà qu'il se retire et la retourne comme une crêpe; elle est maintenant agenouillée devant lui, les fesses tendues à la rencontre de son pieu démesuré... Au gémissement de plaisir qu'elle laisse échapper, je sais qu'il l'a à nouveau enfilée jusqu'au tréfonds de son vagin .
Tandis qu'il la tient par les hanches, je ne résiste plus et m'agenouillant à mon tour devant elle, je lui présente mon sexe en érection. Elle ne peut pas me refuser cela et me prend dans sa bouche . Je sais qu'elle n'aime pas la fellation mais elle me suce avec application...
Mario accélère ses va et vient tandis que je me laisse aller dans la bouche de Nina qui avale tout en jouissant comme une folle. Elle s'affale sur le ventre et son amant d'un soir la remplit de son sperme pour la troisième fois. Nous sombrons tous les trois dans un profond sommeil réparateur.
L'aube nous trouvera enlacés , Nina bien calée entre le grec et moi, une bite dans chaque main . Elle est réveillée et manipule doucement la grosse matraque qui ne tarde pas à prendre des proportions inquiétantes; la main de Nina monte et descend le long de la colonne, elle ne peut en faire le tour de ses doigts. Mario a compris le message: il se lève, tire Nina par les pieds et la dispose perpendiculairement au lit, les fesses au bord, remonte ses jambes sur ses épaules et s'introduit dans sa chatte encore humide des affres de la nuit. Immédiatement, ma femme grogne de plaisir. Je lui tiens les mains derrière la tête et je la regarde prendre son pied! Mario la taraude presque brutalement et en quelques minutes, ils jouissent tous les deux...
- Merci, merci chuchote NIna; des larmes roulent sur ses joues.
Deux heures plus tard, sous un soleil déjà très chaud, Mario nous emmenait dans son 4x4 vers notre voiture. La sortir de l'ornière ne prit que quelques minutes et ce fut l'heure des adieux.
Par pudeur, je laissai Nina un moment seule avec son amant et m'installai au volant de la voiture, moteur en marche. Au bout de 10mn elle revint s'asseoir en s'essuyant la bouche.
- Qu'est-ce que vous avez fait?
- Je lui ai taillé une pipe... pour le remercier!
Je démarrai.
Depuis cette nuit incroyable, nous revenons chaque année en vacances en Crête et nous allons voir Mario dans sa cabane! Durant une semaine , Nina se fait baiser par le berger plusieurs fois par jour,souvent en ma présence.
Parfois, je participe... J'aime la Crête!

Comme une chienne!
Ma petite nièce, fille de ma sœur aînée, est tombée enceinte il y a environ deux ans, elle avait à peine vingt ans, un peu tôt pour se bloquer la vie!!Heureusement que son copain ne l’a pas laissée tomber et non plus lui demander d’avorter.
Ils se sont mis en ménage dans une petite maison avec jardin, lui, en déplacement la semaine, pour combler sa solitude elle s’est achetée un petit chiot labrador de trois mois, une magnifique boule de poils noir
Mais les inconvénients sont apparus à la naissance du bébé, il fallait s’occuper des deux, pire encore lorsque bébé a commencé à marcher, le chien maintenant âgé de deux ans, plein de vitalité, devient encombrant et ils veulent s’en séparer.
Ni les voisins ni autres n’en veulent, résultat il devait finir à la SPA, nous nous somment consultés Georges et moi et nous avons décidé de l’adopter, mais cette bête est pleine de défauts, mal élevé, il n’obéis pas bien et de plus comme dit ma nièce ‘il est obsédé’ parce que il pose sa truffe sur le pubis des femmes!!
À cet âge là çà commence à le démanger, il doit avoir envie d’une femelle!!
Cela fait un mois que nous l’avons, et c’est à moi qu’il obéit le mieux, car c’était une femme sa maîtresse, c’est vrai que le museau au niveau de la chatte je connais, mais bizarrement il sait quand il peut le faire, il ne le fait jamais en présence de Georges, mais je dois reconnaître que lorsqu’il fait çà, je suis parcourue d’un courant électrique ….
- Pour lui, tu es sa femelle, je suis sur qu’il bande quand çà ce produit ….
- Ho!! Tu crois?? C’est vrai que j’ai entendus dire que des femmes se font prendre par leur animal, tu crois que c’est dangereux si elles restent ‘collées’??
- Non, si le chien trouve rapidement l’entrée du vagin, les bulbes placés à la base de sa bitte se développent rapidement à l’intérieur de la chatte de la femme et celle-ci reste prisonnière environ un quart d’heure!! Pendant ce temps là il décharge une quantité très importante de sperme dans son ventre… Tant qu’il ne cherche pas lui-même à s’extraire, il ne faut pas bouger, Tu ne serais pas tentée par une expérience???
- Tu es fou!! J’ai trop peur qu’il m’arrache tout!!
Mais, depuis que mon chéri m’a dit çà je ne vois plus Black, puisque c’est son nom, de la même manière. Je l’observe attentivement lorsque couché et qu’il lèche le bout de chair rose, biseauté qui dépasse de sa gaine poilue, je dois avouer que je mouille, et aussitôt celui ci vient me renifler évidement!!
Nous somment fin juin, il fait très beau, un vendredi après midi, mon mari est dans le jardin, sur son transat complètement nu, lisant un bouquin; nous somment adeptes de naturisme et personne ne peut nous voir derrière la maison moi-même j’ai pour vêtements une robe légère, et dessous un mini slip, je joue avec Black, celui-ci est doté d’une force incroyable!!
Je suis un peu excitée et lui aussi, à force de me mettre sa truffe sur ma motte ma robe est mouillée, j’en fais part à Georges qui me répond:
- Tu n’as qu’à l’enlever!!
- Ho oui!! Tu as raison!!Il fait si chaud …
Me voilà en petite culotte, je continue à jouer avec le chien, qui ravit de ma nouvelle tenue ne se prive pas pour mettre son museau entre mes cuisses, me voilà les quatre fers en l’air, la bête profite de la situation pour me lécher le haut des cuisses, sa langue vigoureuse bouscule le bord de ma culotte, une lèvre déborde du tissu, sa langue s’insinue entre les deux pour essayer d’entrer dans ma moule. Je ne fait pas grand-chose pour l’en empêcher. Instantanément mes muqueuses suintent….
- Chéri, regarde ce qu’il me fait ….
- Je vois que çà progresse!!!! Aller courage, essaie ….. Laisse le faire!!
- Hoo! Non… qu’est ce que tu imagine!! Tient, je vais le laver
- Mais nous allons à la cote sauvage demain, il va se baigner il adore l’eau
- Peut être mais il pue, et je ne veux pas qu’il monte dans la voiture comme çà.
Je commence sa toilette, très docile il se laisse bichonner, j’en arrive à la partie ventrale, les quatre pattes en l’air il attend…J’en arrive au sexe… La pointe rose commence à dépasser, j’empoigne le fourreau poilu, je décalotte au moins quinze centimètres de bitte qui n’en finissent pas de grossir…
Vers la base elle devient violacée, elle n’a rien à voir avec la queue d’un homme. Biseautée au bout, d’un bon diamètre elle va en diminuant vers la base, mais je ne vois pas les fameuses bulbes qui son sensées grossir pour retenir sa femelle…. Je suis en admiration …
- Tu ne l’as pas décalotté assez vite! Les boules sont restées sous le fourreau, elles ne peuvent plus sortir mais tu peux avoir un aperçu de l’engin et tu ne risque pas de rester piégée!!
- J’avoue que çà fait envie …..
- Et bien qu’attends-tu?? vire moi cette culotte et empale toi dessus tu en meures d’envie… Et moi j’ai envie de voir, regarde comme je bande!!
- Qu’elle est satinée cette bitte, mais elle est bien dure….?
- Le chien possède au milieu comme un os çà avantagerait certains bonshommes d’avoir çà!!!
Black reste immobile, il me regarde, se demandant surement ce qui l’attend, je l’enjambe, et lentement je me laisse descendre, écartant de mes doigts ma chatte et de l’autre main je maintiens ‘la chose’ en l’air.
- Haaaaa, çà fait bizarre… Rien à voir avec ta queue chéri…. Mon dieu, je baise avec mon chien…. Je sens des giclées chaudes dans mon ventre… Il jouit?? Ça me coule entre les cuisses!!
- Oui, il jouit ma salope!! Quand il aura finit viens vite me voir moi aussi j’ai envie de jouir!!
Toute le nuit j’ai pensé à cet accouplement, j’ai vraiment envie d’aller plus loin, de rester collée à mon chien ….
Le lendemain nous partons à la plage, à cette époque il n’y a pas grand monde, nous nous installons munis d’un pare vent qui nous isolent sur un coté, très vite je vais jouer avec le chien dans l’eau il adore!!
Je lance un bout de bois qu’il me ramène, mais, il s’en lasse, il trouve un nouveau jeu, j’ai de l’eau jusqu'à la chatte, et celui-ci ne trouve rien de mieux que de ma passer entre les jambes. Son poil mouillé ouvre et caresse à chaque passage l’intérieur de mes lèvres et mon clitoris… Mon fantasme revient…. Je me positionne afin de ressentir au mieux cette caresse.
Mais je remarque qu’un couple s’est installé à proximité de nos serviettes et ils ont l’air captivés par mon jeu ….
Je rejoins donc Georges qui rigole.
Black lui n’a pas finis de ‘jouer’!! sa tête vient entre mes cuisses pour laper ma moule, gênée par rapport à nos voisins qui regardent toujours dans notre direction, je le chasse, il vient docilement se coucher prés de mon flanc, et pose son museau sur mon mont de vénus, il en profite pour me flairer.
L’homme et la femme qui ne sont qu’à une trentaine de mètres n’ont pas l’air d’avoir été outrés par le spectacle car l’homme se fait caresser sa queue bandée et il pelote ouvertement la femme tout en nous regardant.
- Tu vois chérie nous avons un ticket!! Çà te dit?? Ils ne sont pas mal. Tu n’as pas envie de faire l’amour??
- Si…… tu as raison j’ai envie de me faire prendre….
- Par cet homme??
- Non…..
- Par moi??
- Non …. Enfin oui, mais avant je veux…. Black!!!! J’ai envi de savoir ce que çà fait de rester prise comme une chienne…. De le sentir sur mon dos …. Le sentir grossir en moi…. Regarde je dégouline, et toi tu bande!!! Alors c’est oui???
- D’accord, mais on ne peut pas faire çà ici??
- Laissons les affaires là on prend nos serviettes et on va dans la forêt!!Il n’y a personne….
- Allez vient ma chienne!!
Après un quart d’heure nous finissons par dégoter une petite clairière entourée de jeunes pins et la végétation fini de clore cet endroit discret….
- Comment fait-on??
- Hé bien tu va te mettre à quatre pattes, les genoux légèrement écartés, si il vient te renifler ont doit pouvoir réussir, je le guiderais dans ta chatte, mais surtout pas de mouvements brusques une fois qu’il sera entré, ne t’attend pas à te faire ramoner la moule pendant dix minutes, çà va aller vite une fois dans ton ventre les boules vont se développer, lui aussi sera prisonnier!! Laisse le faire, il se retournera, tu seras sa chienne!!
- J’ai la trouille mais aussi tellement envie!!, voilà j’y vais!!
Le chien commence à tourner autour de moi énervé, il glapit et sent mon cul, sa truffe froide se colle à ma chatte sa langue s’enfonce dans mon vagin…
Et soudain un bruit de branche cassée… Nos voisins apparaissent entre les pins, ils nous ont surement pistés croyant que nous partions afin qu’ils nous suivent, ils ont l’air médusés…. Merde!!….
Tant pis je suis sur un point de non retour, je fais signe à Georges que çà m’est égal nous allons le faire quand même!! Je positionne ma tête entre mes bras pour fuir leurs regards et les oublier.
Çà y est Black, d’un bond, vient me ceinturer le bassin de ses pattes avant, la fourrure de son ventre m’enveloppe comme une peluche, les doigts de mon mari ouvrent ma chatte je ressens des coups désordonnés sur mon entre cuisses….
Et soudain, la bitte de l’animal trouve le passage, d’un coup violent je suis littéralement embrochée,
Il me percute avec des coups de reins virils, c’est formidable, je crie mon bonheur, et très vite je sens mon ventre, juste derrière les lèvres de mon vagin, gonfler à une vitesse prodigieuse, je suis pleine de ce monstre de chair, Black s’immobilise …. Et les formidables giclées de sa semence percutent mon utérus, le liquide ne peut s’échapper tellement sa bitte fait joint, mon intérieur se met à gonfler….
Quelle sensation merveilleuse….
Puis le chien d’un bond souple effectue un demi tour, mes chairs sont tirées vers l’arrière mais nous restons soudés, il ne bouge plus, ses couilles se vident toujours … Je vais éclater sous la pression!!!
Je risque un coup d’œil sur le coté... L’homme est en train de baiser sa femme en levrette prés de moi, ils n’ont rien perdus du spectacle, ils me font signe que c’est formidable….
- Chéri?? Ou es-tu??
- Je suis là mon amour, je me branle en te regardant!! j’en suis baba c’est extraordinaire tu es prise!! Tu es sa chienne!! Çà va?? Tu n’a pas mal?? Çà te fait quoi???
- Hoooo non!! Je ne peux pas expliquer ce que çà fait…. Mais c’est tellement boooooonnn!! Rien à voir avec un homme!!!! Mais.…. Les gens…..
- Rassure toi chérie, ces messieurs dames sont ravis d’avoir assisté à çà,
- Madame, ce que vous faite est incroyable rassurez vous nous garderons cette expérience pour nous, ma femme elle aussi rêve de cela, elle aimerait beaucoup essayer…
- Hoooo, oui… Si un jour vous voulez me prêter votre animal j’aimerais bien savoir ce que çà fait!!!!! Chéri tu donneras notre numéro de téléphone….
Je sens que la pression diminue dans mon ventre… Black essaie de se dégager. Cà fait un bon quart d’heure que je suis soudée avec mon chien!!!
Et … plouuuff!! Dans un bruit de ventouse black s’extrait de ma chatte, je suis déséquilibrée en avant, mon vagin se vide d’une quantité incroyable de foutre
Je me retourne sur le dos, et immédiatement je regarde entre mes jambes ….mes grandes lèvres sont complètement distendues, ma moule ne ressemble plus à rien!!
Ma brave bête vient à nouveau sentir ma chatte et me nettoie à grands coups de langue, puis il se couche pour faire sa toilette, sa bitte ne s’est pas encore complètement rétractée, les boules ont quasiment disparut!!
Depuis ce jour, je me fais sauter par mon chien une fois par semaine, avec ou sans la présence de Georges, car il arrive que la bête grogne lorsque mon mari touche à ma chatte!!

Se délecter d'un sirop revigorant et désaltérant..!


Histoire du net. Auteur: Thomaslope. Découverte

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Quelque fois, pour être heureux, 
il faut savoir se découvrir.
Même avec l'aide d'un autre

D'amant à chienne
Auteur: Thomaslope
Cette histoire date maintenant de 10 ans et à durée 4 ans. A cette époque j’avais 21 ans, plutôt mignon, par forcément gay mais plus hétéro.
Moi Thomas j’ai donc rencontré lors d’une soirée un homme de 31 ans. Cette soirée était l’anniversaire d’une très bonne amie et qui se déroulait dans les beaux quartiers de Saint Germain en laye.
Ce soir-là, j’ai fait la connaissance d’Alex (Alexandre) , un homme super mignon, mince au style très bourgeois.  Très vite j’ai été hypnotisé par sa façon de parler et sa connaissance sur tous les sujets que nous pouvions aborder. Nous avons passé une grande partie de cette soirée à discuter et échanger sur notre vie. A la fin de la fête, Alex me laisse son numéro de téléphone et me dit de l’appeler, si j’en  éprouve l’envie. Evidemment, dès le lendemain je l’ai contacté et très rapidement nous sommes devenus amant.
C’est après quelques mois de relation que notre histoire a complètement changé. Alex a toujours été très dominateur et moi plutôt soumis. Un soir rentrant après le bureau, je reçois un sms d’Alex me demandant de consulter mes mails. Je consulte ma boite mail, un message d’Alex en priorité haute est arrivé. J’ouvre le document.
« Thomas, voilà maintenant 6 mois que nous nous sommes rencontré. Je suis très heureux de t’avoir rencontré, mais nous avons un déséquilibre dans nos rapports de tous les jours. Tu es soumis, moi dominateur et il faut maintenant passer à autre chose. C’est simple. Je veux une lope à ma disposition, une lope qui devra être soumise à mes exigences quelles quelles soient.  Alors le deal est simple. Tu acceptes de devenir mon soumis, ma lope, mon batard ou alors je vais devoir mettre fin à notre histoire. Tu as le temps de la réflexion. Alex »
Ce message me tétanise. Quoi ? Que se passe-t-il ? Alex me largue ?? Je l’appelle immédiatement, sans réponse de sa part. A plusieurs reprises dans la soirée, j’essaie de le joindre, toujours pas de réponse.
La nuit passe, je ne dors quasiment pas.
Avant de partir au bureau je téléphone à Alex. Toujours pas de réponse. Ma journée a été très longue jusqu’au soir. Toujours impossible de joindre Alex.  Je décide donc d’essayer de le joindre par mail. De retour à la maison, je découvre qu’Alex m’a de nouveau expédié un mail.
« Thomas, ne te fatigue pas à essayer de me téléphoner. Je veux ta réponse à mon mail. Soit OUI soit NON. Alex »
Contraint de réfléchir sur ce mail qui me fait me poser des questions, je dois prendre une décision. Je tiens et suis accro à Alex, il le sait et en profite. Nous sommes en tous points en parfaite harmonie, nous nous complétons et cotés sexe je suis très demandeur et lui est très exigeant, et surtout un bon coup.
Je décide de répondre au mail d’Alex par Oui, mais en y posant des questions pour préciser ses souhaits. La réponse est quasi immédiate.
« Ma lope, tes questions resterons sans réponses, parce que toi la lope tu n’as pas droit aux questions. Voici les exigences que tu dois accepter sans rien dire.
1,2,3,4,5,……..(Je ne vous dévoile pas les demandes d’Alex, vous allez vite les découvrir )
Tu as une heure pour accepter ou refuser. Si tu acceptes tu m’envoie un sms et je t’attends vendredi soir chez moi à 20 heures. Le maitre Alex »
Je prends le temps de réfléchir, consulter le web, pour découvrir un monde un peu inconnu pour moi. Là, je sais et comprends ce que Alex réclame et exige de moi. Je suis excité de lire certains textes, de voir certaines photos...
Je décide sous l’excitation de répondre OUI. Il reste trois jours avant que je puisse voir Alex. Mon esprit fait des films sur ce qui va m’arriver, c’est excitant. Tous les soirs je me suis branlé, tellement j’étais en excitation.
Nous sommes vendredi, de toute la journée, impossible de me concentrer sur mon travail, sur tous les dossiers qui arrivent sur mon bureau. J’en peu plus, j’ai hâte d’être à ce soir.
20h00, je sonne à la porte de la maison d’Alex. Il m’ouvre avec ce sourire qui me fait chaud au cœur. Je suis accueilli comme je l’espérais. Nous discutons, dînons, et faisons l’amour sans faire référence aux mails d’Alex. Avant que nous nous endormissions Alex me dit :
-A partir de demain tu deviens ma lope, tu seras à moi le temps que je déciderais, alors repose toi bien.
En prononçant ces mots, Alex parcours mon corps et me donne de nouveau envie de faire l’amour, ce qu’il fit avec tendresse.
Samedi 9h00, le réveil sonne. Alex se réveille et se lève.
-Allez ma lope, debout, nous avons du travail.
Je suis surpris de ces mots, ce qui a pour effet de me réveiller.
Petite collation, Alex est distant. En sortant de la salle de bain il me dit :
-Allez va te laver. Il est déjà 10h30 et ce n’est pas la peine de t’habiller après la douche, vas-y file.
Je fais ce qu’il me dit sans trop rien dire, je me demande ce qui va se passer.
Je sors de la salle de bain vêtu d’un peignoir.
-Alex, j’ai terminé.
-Alex ? Tu te moques de moi ? C’est Maitre Alex maintenant et uniquement Maitre Alex.
Je ne dis rien, surpris par ces paroles. Il passe sa main sur mon visage et vérifié que je me sois bien rasé la barbe.
-Bien, tu es rasé de près, parfait. Vire moi se peignoir.
Je retire le seul vêtement qui cachait mon corps.
-Bon, je vais maintenant retirer tous ces poils. Une bonne lope se doit d’être sans poils, toute lisse. Allonges toi sur la table.
Je m’exécute sans rien dire. La table avait été recouverte d’un drap et du matériels étaient posé sur la table. Je suis peu poilu, hormis une pilosité dense au niveau du pubis et de la raie du cul. Alex débute par le rasage de mes aisselles à l’aide d’un rasoir mécanique, à sec, sans mousse à raser. Ensuite, il procède de la même manière pour raser les quelques poils du torse présent. Alex continue son œuvre. Il prend possession d’une tondeuse électrique et me dit :
-Ecarte tes cuisses que je te débroussaille la queue.
Je fais ce qu’il me dit. En peu de temps la tondeuse me tond mon entre jambe. Application de mousse à raser et voilà mon sexe intégralement nu, imberbe, lisse.
-A quatre pattes sur la table maintenant. Bien. Ecarte tes fesses que je termine mon rasage par ton cul de salope.
La tondeuse parcours la raie de mon cul, les vibrations ne sont pas désagréables, bien au contraire, puis Alex termine avec le rasoir mécanique. Il me fait descendre de la table et me mettre à genoux face à lui.
-Je veux que tu sois lisse comme ça en permanence, donc obligation de te raser tous les deux jours. Je t’expliquerais plus tard comment faire pour ton cul. Maintenant tu vas me pomper pour me remercier pour ton rasage intégral.
Il sort sa queue qui déjà est toute bandé comme j’aime. Je la prends en bouche et commence ma fellation, je pratique comme je le faisais auparavant. Je sens qu’il est impatient. Il me prend par les cheveux et active ma fellation. Je sens sa queue taper au fond de ma bouche, j’ai des haut le cœur, mais il s’en moque totalement, il continue, continue, de plus en plus vite, il me baise la bouche comme un sauvage. En ralentissent ses vas et vient, me tenant toujours pas les cheveux il me dit :
-Alors ma salope, elle est bonne la queue du maitre. Pendant que j’y pense, Ton rasage n’est qu’un début, il va falloir penser à te trouver une nouvelle coupe de cheveux, une coupe de batard, je te réserve une surprise, mais pas aujourd’hui.
Quoi mes cheveux ?Il est dingue ou quoi ?
Je ne peux pas répondre, sa bite continue à me baiser, seul mon regard lui a fait comprendre mon désaccord. Il reprend ses mouvements rapide, il me baise ma gueule de batard comme jamais je n’avais subit. Dans un râle de plaisir, il me déverse tout son jus au fond me ma gorge, jus que j’avale.
J’ai 30 minutes pour me préparer. Il a décidé d’aller sur Paris. Une petite heure plus tard nous voilà à destination. Il m’offre un déjeuner dans un petit restaurant. Durant ces moments, il est tendre, câlin, très proche de moi. La collation terminé, il me demande de le suivre. Nous marchons, marchons.
Alex me fait entrer dans un porche qui donne directement dans une boutique. Je découvre un environnement SM. Il y a quelques personnes présentes. Nous réalisons la visite du magasin de long en large, Alex m’explique à quoi tel ou tel matériel sert. Je découvre et il le sait bien, c’est un monde quasi inconnu pour moi. Une femme s’approche de nous, c’est une vendeuse.
- Bonjour messieurs, je peux vous aider ?
- Oui tout à fait. Que me conseillez-vous pour remplir le cul de ma lope.
Un coup de masse vient de me tomber sur la tête. Alex, devant une inconnue m’identifie comme sa lope. Je rougie et suis gêné. La vendeuse s’en aperçoit.
- Oh ne soyez pas embarrassé, vous êtes la lope de monsieur, et bien nous allons nous occuper de vous.
La vendeuse converse avec Alex, expliquant que tel ou tel matériel est mieux, que celui-là est moyen, etc…, tous cela en parcourant le magasin. Nous nous arrêtons un instant. Alex prend un collier et me le pose directement au cou, puis avec la laisse me traîne derrière lui dans le magasin, comme un bon toutou. Les clients, observent sans être plus choqué que ça, certain même s’en amuse. Encore un arrêt. Cette fois il retire mon pull, je suis torse nu dans le magasin.
La vendeuse lui dit.
- Monsieur, je vois que votre lope a déjà été rasé pour l’occasion.
- Oui, oui, et celui-là ?
- Oui ils conviendront.
Nous continuons notre visite, moi toujours le torse nu. Alex a fait des achats important. Avant régler la note, Alex demande à la vendeuse si il est possible qu’elle me pose un certain objet. La réponse est évidemment affirmative. La vendeuse me prend par le bras et me tire dans un local qu’elle ferme derrière elle.
- Bon retire moi le bas, ton maitre veut que je te remplisse le cul, alors à quatre pattes.
Un peu, enfin pas mal surpris, je retire pantalon et boxer, puis me place en position. La vendeuse inspecte mon cul et y dépose un gel froid. Je ne vois rien de ce qu’elle prépare, j’entends juste des bruits. Elle me pénètre d’un doigt réalisant de grand cercle avec ma rondelle, puis deux doigts et même opération. Un objet froid vient maintenant pointer devant ma rondelle, je sens la poussé qui est fait sur cette objet afin qu’il me pénètre. Lentement mon fondement est pris par cet objet. Ouff ! une petite douleur me transit, l’objet à sa base est bien plus large que le reste.
- Bien, voilà voilà. Tu as le cul bien remplit comme ton maitre l’a exigé. C’est parfait, alors au début tu vas être gêné pour marcher, mais tu vas vite t’y habituer, de toute façon tu n’as pas vraiment le choix.
Je me relève et commence à me rhabiller.
- Mais que fais-tu ?
- Je me rhab…..
- Tu rigoles, ton maitre m’a autoriser à profiter de toi, alors tu restes à poil et à genoux.
Bon, ai-je vraiment le choix ? Non. La vendeuse retire sa jupe et sa culotte puis vient s’assoir face à moi. Je découvre à ce moment-là le sexe de cette femme (étant hétéro, cela ne me pose pas de problème majeur), mais ce sexe est poilu, même très poilu, une toison abondante et dense.
- Aller petite chienne, puisque c’est ce que tu es. Tu vas me laper cette belle chatte, elle est bien humide. Je veux que tu me nettoie avec ta langue, allé.
Elle me tire la tête par les cheveux et me plaque le visage dans ce sexe poilu. Effectivement elle est très mouillée. L’odeur est forte, mélange d’urine et de mouille. Je lèche comme je sais le faire. Elle dirige par ces mouvements là où elle souhaite que je nettoie. Je sens que la vendeuse prend son plaisir, sa respiration est de plus en plus rapide.
- Oh sale chienne, t’es une bonne salope, ton maitre avait raison. Bouffe-moi le clito.
Je fais ce qu’elle me demande, en quelques minutes je sens la mouille couler de son sexe, l’odeur est de plus en plus forte, sa respiration de plus en plus rapide et termine par couiner de plaisir en me plaquant le visage à tel point que j’ai du mal à respirer dans cette toison pubienne.
Alex nous attend à la sortie.
- Merci monsieur pour votre prêt. Il à le plug bien ancré dans son cul, il est maintenant à vous.
Nous sortons, effectivement j’ai mis un certain temps à m’habituer à marcher avec un plug dans la rondelle
…......................................................
Nous sommes jeudi soir, plus que demain et enfin le week-end et le repos. Mon téléphone sonne, c’est Alex. Je suis heureux, je vais peut-être le voir ce soir, ça fait 5 jours que je ne l’ai pas vu.
- Allo
- C’est Alex, ton maitre. L’annonce que j’ai déposé sur le site X a énormément de succès. Ce soir tu as un rendez-vous à 20h30.
- Mais quelle annonce et….
- Tais-toi et écoute. A 20h30 tu as la visite de Damien, c’est un homme marié qui est en déplacement depuis 10 jours. Il a les couilles pleines et il a besoin de vidanger. Tu te prépares pour lui, il te veut bien lisse, tu le recevras nu avec ton collier. Seule contrainte, ne le connaissant pas rapport protégé.
- Mais maitre Alex, je viens juste de rentrer et il est déjà 18h30, je ne vais pas avoir le temps de…
- Stop. Tu as deux heures devant toi pour te préparer et bouffer un morceau, le reste je m’en fou. Fais attention à être au top, j’aurais le retour de la soirée par Damien. Bonne soirée mon batard.
Il raccroche.
Merde, merde, j’avais prévu ne rien faire ce soir, les journées au bureau sont longues et dures. Je me prépare rapidement, vérifiant que les poils n’ont pas trop poussés, petite douche, rasage rapide là où il important d’être bien lisse et je mange vite fais.
Je suis prêt.
L’interphone sonne. Je vérifie l’identité du visiteur, c’est bien Damien.
Dringggg, j’ouvre la porte et fait entrer Damien. C’est un homme black pas trop mal, de style chic, il doit avoir une trentaine d’année.
- Je constate que tu es aussi bien en réel que sur les photos que ton maitre m’a mailé. Pour une fois il n’y a pas d’erreur sur la marchandise. Bon offre moi un verre.
Je lui offre un verre de vin et il commence à me questionner sur mon état de chienne soumise. Je suis à genoux, face à lui, le collier au coup et la laisse dans ces mains. Il me fait me lever, il vient inspecter mon corps sous toutes les coutures. Il vérifie que mon cul soit bien lisse, se moque de ma petite queue pendante, me caresse les fesses, me frappe les fesses. Ses mains remonte sur mes tétons, ses doigts commence à les caresser, à les pincer légèrement. Je ne reste pas insensible à cette manipulation, mon sexe aussi petit soit-il se dresse progressivement, je bande.Il approche sa bouche de mes seins et sa langue vient me lécher les tétons. Alors là c’est le pied pour moi, je bande grave. J’ai de la chance, Damien n’est pas un mec juste là pour se vider, il est attentif à mon plaisir.
- Alors batard, j’ai l’impression que tu apprécies ce que je te fais ?
- Oh oui, c’est bon.
- Ah oui, pourtant ton maitre m’avait prévenu, tu n’es pas encore assez lope.
Sur ces mots il me prend par la nuque et m’oblige à me mettre à genoux. Il me demande d’ouvrir la bouche. Il se déshabille entièrement. Il est musclé sec, avec une queue très honorable au repos. Il me prend par le menton, la bouche toujours ouverte, il me crache dedans.
-Allez salope suce moi la queue, tu es là pour ça, alors fais voir comme tu pompe une queue.
Il m’enfourne la bite à demi-bandée dans la bouche. Très vite elle gonfle dans ma bouche. Je le suce goulûment, insistant sur son nœud qui est décalotté.
- Ouaiiis, c’est bien salope, humm tu suces aussi bien, mieux que ma nana. Ton maitre avait raison tu as une bonne bouche de garce. Lèche moi les couilles aussi et n’oublie pas ma rondelle.
Ma langue descend sur les couilles de Damien, de bonnes couilles bien pleines, si j’en crois Axel. Je continue et descend ma langue sur sa rondelle. Humm ! pas désagréable cette rondelle.
- Bouffe la bien, n’hésite pas à entre ta langue dans le fion. Ahh, oui c’est ça vas-y. allez, allez reprend ma bite, j’ai envie de me vider.
Je reprends la bite de Damien. Je m’active à lui prodiguer une bonne pipe.
- Allez salope pompe moi cette queue, encore, encore. Plus vite batard. Oui, oui……..
Le jus explose dans ma bouche. Un bon paquet de jus que je peine à avaler. Il avait vraiment les couilles pleines.
Il se retire, je termine d’avaler son jus. A peine sortie de ma bouche, Damien enfile une capote sur son membre encore bandé. Il se place derrière moi. Je sens un doigt enduit de gel me titiller, puis pénétrer ma rondelle. Des petits vas et vient, puis il se retire pour cette fois me prendre avec deux doigts enduit abondamment de gel.  Il me doigte durant quelques minutes et se retire.
De sa main il m’enduit de gel de nouveau le cul puis sa queue. Cette dernière se présente devant ma rondelle. Lentement elle force ma rondelle qui l’avale sans grande difficulté tellement il m’a lubrifié le cul et sa bite. De long mouvement en moi, lent, comme s’il me baisait avec amour, mais ce n’est pas le cas.
Je sens sa queue se retirer complètement de ma chatte, laissant cette dernière béante. Il en profite pour remettre une dose de lubrifiant et d’un coup me pénètre.
-AHH ! Voilà, là c’est comme j’aime. Une chatte bien graissée, une chatte de chienne bien humide. Oh, génial, je vais pouvoir te bourrer comme une vraie salope.
Et voilà, c’est partie. Damien me baise avec force et par moment violence, venant buter sur mes fesses. J’entends le clapotis de sa bite dans ma chatte tellement il m’a graissé la rondelle. C’est à peine si je sens sa queue, suis-je carrément ouvert, ou es-ce dû à l’excès de gel ?
Damien ne s’en préoccupe pas, il me laboure encore et encore, sortant complètement pour me prendre bien à fond. Pas moment il me claque les fesses avec vigueur.
- Tient salope, prends ça.
Et vlan, une fessée. Il me baise depuis plus de 10 minutes. Damien se retire et me fait mettre sur le dos. Il m’écarte bien les cuisses et me pénètre de nouveau. Il me baise en position de salope, la chatte ouverte. Il me demande de prendre les cuisses avec mes mains et d’écarter au maximum, ces mains maintenant libre en profite pour me titiller, pincer, tirer mes seins. Putain que c’est bon. Je sens le gel couler le long de mon dos tellement il m’a graissé.
- Regardez moi cette pute, elle écarte les cuisses et elle en redemande.  Allez, maintenant lève-toi et fou toi la gueule sur la table.
Je m’exécute sans broncher. La face contre la table, la queue de Damien me prend de nouveau avec violence. Les coups son profond, direct et violent. Damien grogne à chaque coup ou il me pénètre profondément la chatte. Moi je suis littéralement excité, j’ai envie de me branler pour soulager le plaisir, mais la position me l’interdit. J’entends Damien se crisper et des râles de plaisir me font comprendre qu’il vient de remplir la capote tout en continuant à me labourer.
- Bon paie moi un verre maintenant. J’tai baiser pendant près de 30 minutes, alors repos deux minutes.
Je lui sers un verre et nous discutons une vingtaine de minutes. Damien regarde sa montre.
- Oh là, il va falloir que je parte, demain j’ai des rendez-vous à l’aube. Mais avant tu vas me faire une dernière pipe.
Il me choppe par le coup et me présente sa queue. Elle est encore luisante de son jus et l’odeur est forte. Malgré ça, je gobe sa queue toute molle. Elle ne met pas très longtemps à gonfler dans ma bouche. J’ai l’impression que ce mec ne s’arrête jamais. C’est lui qui donne le rythme de la pipe  en me tenant par la nuque. Il m’oblige par moment à gober jusqu’au bout ça queue, me mettant à la limite de l’asphyxie, avec des haut le cœur.
Par moment il me crache dans la bouche et aussitôt sa bite me remplit la bouche de nouveau, pas de répit. Je bave, elle dégouline le long de ma bouche, puis de mon menton.
- Allez putain, fais-moi jouir, salle chienne. T’es là pour mon plaisir alors …., oui jvais juter.
Il se retire, me dit de tirer la langue et d’ouvrir grand la bouche. Il se branle activement et il finit pas balancer son jus sur ma langue mon visage, et encore une fois il jouit un sacrés paquet de jus.
- Oui tiens prend ça, bouffe mon jus sale chienne, ouiii tiens, ahhh, putain c’est bon…..
Il se rhabille.
- Bon vas-y branle toi pendant que je me fringue.
En se revêtissent il me regarde me branler, là, moi assis au sol, la gueule plein de jus, le cul coulant encore du lubrifiant. Je ne tarde pas  à jouir tellement la soirée a été excitante, tellement j’ai apprécié d’être traité comme une chienne, voir même comme une pute.
Avant de sortir Damien me dit.
- Ton maitre Alex avait raison, t’es une bonne salope à queue.
La porte se referme me laissant seul maculé de jus
Le vendredi matin au bureau je lis un mail d’Alex.
« Damien m’a informé que tu avais été une parfaite petite salope. Je suis satisfais de ta prestation. Puisque tu as été soumise, il veut te revoir samedi soir à l’hôtel xxxx chambre 26 à 19h00, sa mission ayant été prolongé de quelques jour il veut se purger avant de retrouver sa femme»
Dois-je, ne dois-je pas ? allez à ce rendez-vous.
Suis-je vraiment ce qu’il m’a dit une, une salope à queue ?
…..........................................................
Samedi 19h00, je suis devant la porte de la chambre 26. Damien m’ouvre la porte.
- Salut la salope.
- Bonjour monsieur.
J’entre dans une grande chambre. Alex est présent avec un inconnu. Alex me dit:
-C’est bien ma petite lope, je suis là pour vérifier que tu serais bien présent et à l’heure. Dessape-toi maintenant.
Je retire mes vêtements, Alex vérifie que je sois bien propre et bien lisse de partout. L’examen est à la limite humiliant, surtout devant un inconnu.
- Parfait, ce soir je serai en bas de l’hôtel, je te ramène chez moi.
Il m’embrasse sur la bouche et quitte la chambre.
- Je te présente un collègue, il s’appelle D, il est là avec moi pour pouvoir profiter d’une bonne petite pute comme toi.
L’homme a environ 50 ans, un peu bedonnant, pas très sexy. Il se met rapidement nu. Je découvre un mec poilu, un pubis bien poilu et une queue, bof, normal. Sans perdre de temps D me met sa bite en bouche.
- Allez sale pute au boulot.
D me force la bouche, sa queue à une odeur forte d’urine, de transpiration. Elle gonfle rapidement dans ma bouche, il me prend par les cheveux et donne la cadence des vas et vient qu’il souhaite que réalise pour ma pipe.
Damien lui, est déjà derrière moi. Il me claque les fesses en me traitant de salope, de sale chienne. D continu à se faire sucer, me tenant la tête des deux côtés par les cheveux, m’obligeant à bien baver.
Damien a commencé à me doigter le cul, il entre profondément à deux doigts, me limant gentiment. A chaque retrait ces doigts sont enrobés de lubrifiant, me pénétrant de nouveau, me lubrifiant encore et encore.
- Hé D, viens prendre ma place, à mon tour de me faire pomper.
- Ok ok, qu’elle bonne suceuse….
Ils échangent leur place. Damien m’enfile la bouche et me lime sans retenue. D lui s’occupe de ma rondelle, mais pas seulement. Il me prend les couilles à pleine main, me les tirent, tirent, vers le bas, vers l’arrière.
- Alors batard c’est bon de se faire tirer les burnes, hein !!
Je ne réponds pas, alors D accentue ces étirements, c’est douloureux mais pas seulement.
- Oui monsieur c’est bon.
- Je le sais salope, puisque tu bandes. Tiens prend ça.
Il me flanque d’une main une de ces fessées tout me continuant à me tirer les couilles. Il n’a pas de grosses mains, mais la force donné à chaque claque est immense. Il me fait subir ce châtiment quelques minutes.
Damien lui me laboure la gueule comme un fou, par moment il se retire et s’occupe de mes seins. Il pince, tire, tiraille mes seins si sensible, puis de reprend la bouche.
- Allez batard tu vas prendre mon jus dans le gosier.
Damien accélère ses vas et vient.
- Allez salope plus vite, humm ahhh , encore…….
Je sens de gros jets de foutre arriver dans le fond de ma gorge. Tout en jouissant, Damien continu ses vas et vient. Son jus coule au coin de mes lèvres.
D lui m’a pénétré le cul avec quatre doigts, il a profité que Damien me laboure violement la bouche pour me prendre la rondelle. Je n’ai rien sentis.
Es-ce dû à l’excès de lubrifiant ?
Es-ce dû au mouvement imposé par Damien ? ou les deux à la fois.
D me laboure le cul avec sa main. Damien l’a rejoint.
- Oh putain D, vas-y élargis lui la chatte, tiens encore du gel.
Je sens le gel couler dans mon cul ouvert par la main de D.
- OUAIS Damien, tu sais que je préfère les chattes bien large, alors je pense que là, elle est au poil.
Damien me fait mettre sur le dos, jambe écarté, puis me les attachent une à une au barreau du lit. Je suis écartelé. D’un coup D me pénètre la chatte, c’est à peine si je sens sa queue. D me baise comme un taureau, violement avec force. Les claquements de D contre mes fesses et le clapotis du lubrifiant résonne dans la chambre.
- Alors la pute, tu ne sens rien là, salope, tiens prend ça.
Il me baise encore, encore et encore.
Damien s’occupe de nouveau de mes seins, me crachant dessus puis me les pinçant. Par moment une de ces mains vient me branler la bite pour quelques vas et vient et reprend son travail de mes seins.
D me laboure toujours, avec encore plus de force.
- Aarrrrrhhh, j’vais juter.
D se retire de mon cul, s’approche de ma bouche, retire sa capote et me jute dans la bouche et sur le visage.
Damien a remplacé D dans ma chatte, il me baise comme la première fois. D me détache les jambes et Damien les prends dans ces mains. D viens s’asseoir sur mon visage et me donne son cul à manger. Une odeur forte se dégage de cette intimité.
- Bouffe moi la rondelle batard, moi j’aime bien quand on me la bouffe et fais le bien. Je veux sentir ta langue me nettoyer et me nettoyer en profondeur.
Ma langue s’applique au mieux au nettoyage du cul de monsieur D. Le goût est…… D s’écarte un peu plus les fesses afin que je réalise un nettoyage parfait.
- Oui c’est bien, je vois que tu as l’habitude de nettoyer des culs sale putain.
Damien me laboure toujours, il a même resserré mes jambes, ce qui a pour effet de refermer légèrement ma chatte et d’accentuer les clapotis du lubrifiant. Je sens beaucoup plus cette queue qui me prend. Il sort complètement sa queue et me re-pénètre tellement mon trou est à la fois ouvert et lubrifié. Damien me baise de cette façon de longue minutes, me traitant de tous les noms.
A un moment je sens la queue de Damien se contracter en moi.
- Tiens prend mon jus batard, ahhhh, ouiii, salope.
Tout en jouissant il s’active en moi encore de longues minutes, puis se retire. Il retire sa capote et vide son jus sur mon pubis lisse. D se retire également de mon visage.
- Bon Damien on fait quoi maintenant ?
- Pour ce soir c’est bon, demain j’ai une réunion à l’aube.
-Jpeux le finir ?
-C’est un batard, alors il est à nous.
D pose une capote sur ma queue  à demi bandé ou demi-débandé et me branle, Damien lui martyrise de nouveau mes seins. Je ne vais pas tenir longtemps sous ces manipulations. Mes seins sont pincés, tirés, ma queue est  vivement branlé.
- Oui, ah ! ouiii ! oui ! je va….., oui ! ahhhhh !...
J’ai remplis la capote.
D retire le préservatif et m’oblige à avaler mon jus.
- Allez garce bouffe ton jus de batar maintenant.
J’avale mon jus pour la première fois.
Damien s’approche.
- Bon tu te rhabilles, pas le temps de te laver, ton maitre t’attend en bas. Sort par l’escalier de service c’est plus discret.
En moins de 5 minutes je suis dans les escaliers. En sortant de l’hôtel j’aperçois la voiture du maitre.
- Alors tu as contenté nos amis ?
- Oui maitre.
- Je vois que tu as du jus partout une bonne douche est de mise.
- Oui maitre sa s’impose je pense.
Arrivé à la maison, le maitre me fait mettre nu et inspecte mon corps.
- Bon ça va ils n’ont pas abusé de toi.
Une fois bien lavé je rejoins le maitre dans la chambre.
- Allez viens dormir avec moi. Tu as été parfaite ce soir, j’ai eu Damien au téléphone.  Pour te récompensé tu dors avec moi.
- Merci maitre
- Tu es et vas devenir une parfaite lopette
Il m’embrasse sur la bouche.
…...............................................
Nous sommes un mercredi soir et je dîne avec mon maitre. Soirée simple et soft, très agréable. Alex est gentil, agréable et très attentionné envers moi. A la fin du repas, nous prenons le café dans le salon.
- Tiens Thomas au faite, je t’avais dit il y a quelques temps que tu devrais accepter de relooker ta coiffure, il est maintenant temps.
- Ah bon, enfin oui je me souviens vaguement.
- Tiens voilà quelques coupes qui pourraient convenir.
Alex me tend des photos. Je les regarde et nous discutons.
- Alors Thomas tu penches pour qu’elle type de coupe ?
J’ai une bonne tignasse, alors je choisis des coupes pas trop courtes et plutôt sympas pour moi.
- Enfin Thomas je veux bien, mais là ce n’est pas ce que l’on appelle un relooking. Tien ça c’est mieux et je préfère.
Alex me montre des photos de mecs aux cheveux courts, très court, voir même une ou le mec est complètement tondu.
- Non Alex, ça je ne peux pas, pas avec le taf et puis j’aime pas.
- Tu ne peux pas ou ne veux pas Thomas ? Pourtant une lopette ne devrait pas contredire le maitre.
- Non je préfère pas Alex, j’ai envie de garder mes cheveux, tu comprends ?
- Ouais ouais, tu dois avoir raison.
Le sujet s’arrête là et nous passons la nuit ensemble.
Deux semaines plus tard, nous allons en week-end prolongé en Allemagne à Würzburg. Hôtel trois étoiles, petit restaurant, visites est le programme de ce week-end.
Alex parle couramment l’allemand ce qui nous permet de discuter avec les habitants. Durant ce week, la seule chose que Alex m’a imposée, porter un collier en cuir. Pas trop voyant, juste pour les connaisseurs. Nous sommes à une terrasse de café devant un verre.
Un homme, un jeune homme, s’approche de nous et commence à discuter en allemand avec Alex. Moi je ne comprends rien. Alex me traduit une phrase sur deux ou trois. La discutions dure 10 bonne minutes, puis l’homme repart. Alex m’explique que le jeune homme avait remarqué mon collier et voulait savoir s’il pouvait avoir un peu de temps avec moi. Alex lui a dit que ce n’était pas possible pour le moment.
La journée commence à s’avancer et nous déambulons dans les rues de la ville. De nouveau nous nous arrêtons à une terrasse de café, il fait beau et chaud. Juste le temps de commander nos consommations et je vois arriver le jeune homme de la matinée. Il s’invite à notre table et s’asseoit . Alex discute de nouveau avec lui.
- Thomas voici Bastian. Ils sont une bande de potes et ils ont envie de s’occuper d’une lopette française.
Alex, en parlant, me montre du doigt un groupe de jeunes au look divers et varié. Allant du petit bcbg au mec limite skin. Ils sont cinq.
- Bah, enfin je ne sais pas Alex….
- Moi je sais. Tu suis Bastian, c’est tout. T’inquiète je ne suis pas loin.
L’allemand accroche une laisse à mon collier et me tire avec lui. Certaines personnes dans la rue se retournent sur notre passage. Nous rejoignions le groupe et continuons encore quelques minutes et entrons dans un magasin quasiment vide, juste quelques chaises, une table et un matelas au sol.
Tout le groupe s’asseoit et commence à boire de la bière en me matant.
Bastian se dirige vers moi et me dit en français avec un accent bien allemand.
- Bon ici je suis le seul à causer ta langue, alors évite de t’éloigner de moi et écoute moi bien. Ton mec t’a livré à notre bande pour quelques heures. Tu fais ce qu’on te dit et tout ira bien. Alex je le connais depuis trois ans, alors fait confiance.
Bastian retire la laisse de mon collier et rigole avec ses amis.
- Bon ils veulent te voir à poil mec, alors à poil.
Sans trop réfléchir, je m’exécute et retire tous mes vêtements. Je suis intégralement nu. Ils se rassemblent tous autour de moi, me tripotant les fesses, les couilles, les seins, la queue, se marrant et parlant allemand entre eux. Je n’y comprends rien, je n’ai pas le droit à la traduction. Les 5 mecs me prennent, me lèvent sans difficulté et me plaquent sur la table, visage face à elle.
Ils me saucissonnent à la table. Bastian pose une chaise devant moi en souriant, s’assoit et dit :
- Tu vois nous sommes une bande de mecs. Tu vas regarder mes potes se faire tondre les cheveux. Nous sommes deux à avoir les tifs coupés à ras, alors les trois autres vont avoir le même look que nous.
Un premier mec nu s’assoie, Bastian, une tondeuse électrique à la main lui dégarnit le crâne. Pendant la tonte le mec s’empare de la queue de Bastian et lui fait une pipe. La première tonte est terminée, le mec se lève la queue bandante. Les deux autres passent sous la tondeuse et c’est le même scénario. Pendant ce temps, des mains me malaxent les fesses, les couilles restées libre. Des mains me fessent, des doigts cherchent et titillent ma rondelle.
Les gars discutent entre eux, éclatent de rire.
Ils boivent de la bière, beaucoup de bière, me laissant comme ça de longues minutes. Un des gars me détache, me fait assoir sur la chaise, m’attache les chevilles à la chaise, puis me temps un verre de bière que je prends avec plaisir, il fait chaud.
Bastian s’approche de moi.
- Bon à toi maintenant.
- Qui à moi ?
- Et bien la tonte.
Non pas ça !
J’imagine même pas ma tête sans cheveux, non pitié pas ma belle tignace.
- Non, non pas ça, s’il te plait.
Bastian leurs parlent en allemand, tout le monde éclate de rire. Deux gars me tiennent les épaules fortement et Bastian approche la tondeuse et la pause sur mon front. Le vrombissement retentit dans la pièce, je sens les vibrations sur mon front. Je me débats, en vain.
Un troisième gars pose ses mains sur mes épaules, je suis coincé.
- Noooonnnn, arrête……….
Le crépitement de mes cheveux entre les lames de la tondeuse se fait entendre. Mes cheveux tombent sur mes cuisses et sur le sol. Compte tenu de la longueur de mes cheveux, la tondeuse passe et repasse à plusieurs reprises au même endroit. La tondeuse passe sur mes tempes, ma nuque, puis s’arrête.
- Pas assez court. Dit Bastian, le répétant en allemand.
Tout le monde éclate de rire.
La tondeuse repasse sur tout mon crâne, continuant à couper encore et encore des cheveux. Putain il me fait quoi ce mec ? Je ne vois rien.
Quelques minutes plus tard la tondeuse s’arrête. Un des gars m’enduit la tête de je ne sais quoi, mais je finis par constater que c’est de la mousse à raser. Oh non pitié pas un rasage à blanc.
Bastian termine mon relooking avec un rasoir mécanique. En moins de dix minutes je sais, sans avoir rien vu, que j’ai le crâne à nu. Putain, Alex m’a bien eut, c’est pas possible, il n’a pas fait ça ?
Je suis rapidement nettoyé de la mousse et des cheveux restant sur mon corps. Dans la lumière je vois apparaitre une ombre. Un sixième gars ? Puis une voix retentit. C’est la voie d’Alex. Il s’approche.
- Je t’avais dit que je n’étais pas loin. Maintenant tu as le look d’une vrai lope, d’un bon batard. Et en plus ton relooking est dans la boite, un joli film.
- Quoi, c’est pas vrai, pourquoi tu as……
Alex me baffe.
- Tu as oublié que tu es à moi, que tu es ma salope. Alors tu écrases. Je te laisse dans les mains de mes amis.
Alex part me laissant entre les mains de ces cinq gars qui n’arrêtent pas de rigoler, de se marrer.
Je dois avouer que cette séance de tonte sur ma personne ne m’a pas laissé indifférent, J’avoue, malgré ma tête nue que je refusais d’avoir, j’ai pris un certain plaisir durant ma tonte. OUI, j’ai bandé, j’avoue et suis coupable.
Je suis complètement libéré de mes liens, mais je n’en ai pas finis avec mes cinq mecs. A peine libéré, je suis agenouillé de force. Cinq queues sont face à moi, certaine molle, d’autre bien raide. Je ne peux rien faire d’autre que d’ouvrir ma bouche et de soulager ces queues, espérant qu’une pipe leurs suffira.
Elles se succèdent les unes après les autres, chacun veut sa part, chacun veut ma bouche. Ils y a des bites poilues, d’autre très poilus. Il y des bites de taille moyennes, rien d’affolant, mais les cinq ont une forte odeur. La chaleur aidant bien évidemment.
Ma bouche avale queue après queue, certaines viennent au plus profond de ma gorge, d’autre m’oblige à ne lécher que le nœud de leurs bites. C’est la première fois que j’ai autant de queue et que tout va aussi vite. Je ne sais pas combien de temps j’ai pompé les cinq mecs, mais ça m’a semblé long, très long. Bastian me lève la tête.
- Maintenant on va te gaver au jus. Nous sommes tous clean, ton maitre a été très exigeant sur la sujet.
Il me prend par le bras et me jette sur le matelas.
A ce moment-là tous c’est accéléré. Ils m’obligent à me mettre à quatre pattes, trois queues forcent ma bouche, une après l’autre. Pendant que je suce, des mains sur mon crâne tondu et lisse me force et donne la cadence de la pipe. D’autres mains caresses mon corps, travaillent mes seins, me claque les fesses. Je sens un membre chaud forcer mon cul, ce dernier s’ouvre lentement sous la pression de la bite. La queue me pénètre encore un peu plus puis se retire.
Ma rondelle est un peu douloureuse, j’espère juste qu’il ne va pas me prendre à sec. Le mec qui veux me baiser crache sur ma rondelle à plusieurs reprises et tente de me prendre de nouveau. Cette fois il me pénètre de tout son membre. Il commence ces vas et vient dans ma chatte, me parlant en allemand. Je ne comprends rien.
Les queues que je suce s’activent de plus en plus dans ma bouche. Certains gars me font ouvrir la bouche pour y cracher dedans et me baiser la bouche avec leur bave. D’autres me baffent le visage, se marrant de me voir soumis comme je le suis.
Un des gars c’est glissé sous moi, avec sa langue il me lèche les seins, les mordilles. Celui qui me baise accélère ses mouvements, me fessant durement les fesses, me frappant violement les fesses avec son bas ventre. Je le sens se raidir et un jus chaud se répand dans ma chatte. Il se retire rapidement et vient se faire nettoyer la queue.
Pendant ce temps un autre me remplit le cul, il profite du jus pour lubrifier et me défoncer comme un sauvage, en moins de cinq minutes je l’entends grogner. Il a déjà déchargé. Les gars se marrent en eux, mais pas le temps à perdre. J’ai toujours trois queues à disposition et à tour de rôle il se vide dans ma chatte, à la chaine. Mon cul a été rempli par les cinq mecs, ils me laissent la couché sur le matelas. Mais avant de rejoindre ses potes pour s’enfiler une bière Bastian me met un plug dans le cul.
- Ca c’est pour garder notre jus. Alex avait raison tu es une bonne salope, une bonne salope à bite, tiens bois ça.
Il me file un grand verre de bière que j’avale tellement j’ai soif.
Je vois les gars discuter, me regarder et s’éclater de rire. La pose à dû durer à peu près 15 minutes. L’assemblée revient vers moi. Bastian le premier me faire mettre sur le dos, retire le plug et m’enfourne sans prendre garde à la douleur. Ce salaud bandait déjà alors que les autres viennent se faire sucer pour bander. Là je suis baisé à la chaine sans que les gars ne se vide.
Ils réalisent plusieurs allers retour dans ma chatte et viennent se faire sucer, les uns après les autres. Les queues sont maculées de différent jus et moi salope comme je suis devenue, je suce, lèche, finalement j’adore ce qu’ils me font subir.
Je ne sais plus vraiment ou j’en suis, les allers et venu des gars me font perdre la notion. Je ne sais plus qui me remplit la chatte et qui je pompe. Cela dure depuis je ne sais pas combien de temps, je n’ai plus la notion. La torture, non le plaisir d’être leurs vides couilles se termine. Certain me remplisse la chatte, d’autre se vident dans ma bouche. Je suis nase, vidé, eux cependant sont encore vigoureux. Ils me laissent là allongée et se remettent à boire. Un des mecs passe un appel téléphonique, je m’endors quelques minutes.
Le bruit d’une porte qui claque me réveille. C’est un livreur de pizza. Ils discutent tous ensemble, le livreur me matant avec insistance. Ce dernier part et mes cinq assaillants boivent et mangent. L’un deux m’apporte des bout de pizza et un verre de bière. Je profite de ce geste et mange les bouts qu’ils ont bien voulu me laisser.
Bastian vient vers moi, me prend par le coup et m’emmène dans une pièce où il y a une douche, tous les gars nous rejoignent. Dans cette pièce je suis de nouveau utilisé par les cinq gars. Je suce, me fait casser encore le cul.
Ils n’en ont jamais assez, moi j’arrive au bout de mes limites. Je suis baisé comme un morceau de viande, jamais je n’avais et surtout pas imaginé une telle scène avec moi au milieu. Certains me jute sur le visage, d’autre me remplisse encore la chatte, moi j’ai la queue douloureuse, je n’ai encore jouis.
A chaque fois que le plaisir arrivait, il me serrait les couilles, torturait la queue, tout pour m’empêcher de juter. Certains aillant les couilles bien vides, profite du lieu pour me pisser dessus, c’est chaud et finalement, malgré l’odeur agréable, plutôt agréable. Bastian est le dernier à n’avoir pas encore jouis. Il me baise violement et m’autorise à me branler en même temps.
- Allez salope branle ta queue de salope, jute comme une bonne pute.
Je ne me fait pas prier, même si ma queue est de plus en plus douloureuse. Je sens le jus de Bastian remplir encore une fois ma chatte et en prenant son pied il crie son plaisir. Ces deux facteur réunit ma bite expulse son jus. Putain quelle libération, un plaisir de fou.
Très rapidement je suis lavé à l’eau froide par Bastian, il est seul, les autres sont partis. Je me rhabille et sort du local. Alex est là, il l’attend.
- Alors je vois que tu à bien joué la pute. Espèce de salope, je savais que tu étais fait pour ça. Aller on rentre à l’hôtel.
Je ne réponds rien à ces mots. Je suis vidé, j’ai mal partout, mon cul me chauffe, j’ai l’impression de sentir le jus, la queue.
Je suis maintenant devenue la pute d’Alex, c’est invraisemblable……

Top bitch....

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Certaines femmes sont de vraies vraies vraies salopes..!
Et on les adore pour cela.... 

Et il a encore plus top salope..!


Sur l'air du poinçonneur des lilas de S. Gainsbourg

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J'fais des trous des p'tits trous ...










Sur l'air du poinçonneur des lilas de S. Gainsbourg

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J'fais des trous des p'tits trous encore des p'tits










Histoire du net. Auteur nconnu. Centre commercial.

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 Chroniques d'une vie de cocu soumis

Surprise
Alors que je suis occupé à analyser des données financières, le téléphone sonne. Ma tendre moitié, d’une voix enjouée s’enquière de ma santé et de mon humeur.
Je réponds laconiquement et distraitement, toujours préoccupé par mon travail. En fait je ne prête qu’une oreille peu attentive.
Ma dulcinée met fin à la conversation :
-Tu n’as pas écouté. Tant pis pour toi, tu auras une surprise ce soir. Je t’aime Bisous
Je repose le combiné un peu intrigué. Je me replonge immédiatement dans mes chiffres et oublie vite cette discussion. L’après midi passe vite, tout absorbé à ma tache.
Je rentre un peu tard à la maison pour retrouver mon épouse. Karine est une superbe femme, mince, aux longues jambes. Son corps parfait avec ses petits seins, sa belle chute de rein, son sourire enjôleur, me rendent fou de bonheur. Quelque soit sa tenue vestimentaire, elle attire le regard des hommes. Perchée sur ses hauts talons aiguilles, elle se joue de leur désir, de leur regard envieux….
Je pousse la porte d’entrée. La maison me semble bien silencieuse. Je découvre une enveloppe posée sur le secrétaire. Je reconnais l’écriture de Karine. Inquiet, j’ouvre fébrilement l’enveloppe. Au dos d’une carte postale coquine est écrit un mot à l’encre bleue :
« Chut !!!! Vas te déshabiller dans la chambre, enfonces toi le Plug que je t’ai préparé. Mets toi un collier avec chaine autour du cou et surtout mets bien le bandeau sur les yeux et attends »
Fébrile d’excitation, je m’empressais de m’exécuter. Les vêtements furent enlevés à grande vitesse. Je bandais dans ma cage de chasteté. (Cela fait presque deux ans que je porte plus ou moins régulièrement une cage de chasteté, au gré du bon vouloir de Karine. Je lui ai offert ma sexualité et ma jouissance. Karine dispose de moi comme un bon petit soumis.)
Mon imagination galopait. J’imaginais ma belle transformée en Domina, prête à me fouetter, me torturer mes seins…
Après un long moment, j’entendis le bruit d’une clé que l’on enfonce dans la serrure de la porte d’entrée. Mon cœur s’accéléra. Les bruits de pas me maintenaient en haleine.Et enfin la porte qui s’ouvre.
- Bonsoir, j’ai une belle surprise pour toi. Approches toi à 4 pattes»
Je m’approchais maladroitement.
- Enlèves ton masque « me dit-elle
J’obéis. Un instant ébloui, je remarquai en premier le visage radieux de ma belle. Sa main droite s’agitait. Mon regard fut immédiatement attiré par le préservatif qu’elle faisait tournoyer. L’extrémité était blanche, laissant imaginer sans hésitation qu’il était rempli de sperme.
- Alors petit cocu, qu’est qu’on dit à sa petite femme qui vient de jouir »
Je restais abasourdi. Aucun son ne sortait de ma bouche. Mon érection, confinée par la cage, trahissait mon trouble interne.
- Fais pas cette tête, vient me lécher le sexe. J’ai encore envie de jouir » me taquina Karine.
Je m’approchais de ce sexe que j’avais tant de fois vénéré. Ma langue s’infiltra entre les lèvres. Je m’appliquais à la lécher, comme si je voulais la nettoyer. Son sexe sentait encore le latex. Il n’était pas complètement refermé, témoin des assauts récents qui avaient du faire chavirer ma belle dans le plaisir. J’avais envie de la faire jouir, moi aussi, petit coq prétentieux. Je m’appliquais.
Karine jouit en criant Jean-Christophe.
Karine repris vite son ton enjoué.
- Pauvre petit cocu, Jean-Christophe ne veut pas que je t’enlèves ta cage. Il veut que je garde en moi l’odeur de sa peau. Pas de jouissance ce soir, pour un soumis.. Tu devras donc garder ta cage.... Par contre, enchaina – t-elle, je te fais un cadeau. Fermes les yeux »
Karine déversa le contenu de la capote sur mon visage, m’interdisant de m’essuyer. Le sperme sentait fort.
Karine me raconta comment elle l’avait connu, pendant que je l’écoutais à ses pieds. Le sperme séchant peu à peu sur mon visage, me faisait comme une seconde peau.
- Je suis allée au centre commercial. Je choisissais des vêtements, une belle jupe blanche pour les vacances. Commenca – t elle. Un Homme de 35-40 ans, plutôt distingué malgré sa tenue décontractée, m’aborda. Il souhaitait offrir une robe à sa femme. J’avais la même taille. Il me demandait de l’aider.La technique de drague était classique. Mais son attitude si sincère et sa gaucherie m’avaient donné l’envie de continuer le jeu.
Je me suis dirigée vers les cabines. J’essayais une robe quand mon inconnu se manifesta de l’autre coté du rideau. Il me demandait avec une maladresse touchante d’essayer la robe pour sa femme. J’ai hésité puis finalement accepté. J'étais en petite tenue, quand il entrouvrit le rideau. Le coquin s’excusa. Il pensait que j’ avais revêtu la robe. Il mit beaucoup de temps pour refermer le rideau. Il profitait de l’instant pour m’ admirer. Je me suis amusé à bien me cambrer les reins, Je voulais qu’il admire mes fesses et mon string blanc , qu’il lorgne mes seins dans mon soutien gorge assorti. J en rajoutais même par diverses postures aguicheuses.
Je dois avouer que j’étais troublée. Cette situation me plaisait de plus en plus. Je m’amusais de l’effet sur cet inconnu. Je tissais ma toile comme une araignée qui sait que sa proie va tomber dedansJ’ai enlevé le soutien gorge pour essayer la robe. La finesse du tissu et le décolleté de la robe laissaient complaisamment entrevoir mes seins. Cela devrait avoir raison de mon prétendant.
Quand j’ ouvris la cabine, je suis allé vers lui en virevoltant, laissant mon prétendant devenir cramoisi. Il lorgnait sans pudeur dans mon décolleté, envoyant une onde magnétique forte dans mon bas ventre. Je devais me reprendre. Je suis vite rentrée dans la cabine, me suis changée et en lui donnant la robe lui dit au revoir.
Le bel inconnu s’empressa et finalement couru vers moi pour me proposer un verre pour me remercier en s 'excusant pour son attitude. J’ai su à cet instant que tu serais cocu. Je le voulais inconsciemment.
Après une courte hésitation feinte, j’ai accepté. L’inconnu se présenta. Jean –Christophe, vigile du centre, il travaillait la nuit.Il me parla longtemps. Jean-Christophe voulut me raccompagner jusqu’à ma voiture, dans le parking souterrain.
Arrivés devant la porte de ma voiture, il me plaqua contre la voiture et m’embrassa sauvagement. Je n’ai pas cherché à me débattre. Je lui ait même rendu avec passion son baiser. Je sentais que je mouillais quand il pressa contre mon pubis, son sexe gonflé. Il me palpait les seins avec douceur. Je lui caressais sa bosse.
Il me chuchota de venir avec lui. Nous courûmes presque jusqu’à la voiture de Jean-Christophe. Il conduisait nerveusement, une main sur ma cuisse, remontant jusqu’à mon string. J’ écartais les jambes au maximum. Je lui caressai le bras tendrement.
Jean- Christophe s’est garé dans une allée du bois attenant le centre. Une fois sorti de la voiture, Il m’a pris dans ses bras et m’a embrassé de nouveau. Il m’a bientôt poussé à me mettre à genoux. Je me suis accroupie, et j’ai sorti de son logement un sexe déjà bandé. Je l’ai pris en bouche pendant qu’il me tenait les cheveux. Il m’a fait me relevé pour ne pas jouir.
Il m’a ensuite retournée, appuyée sur le capot, a enfilé un préservatif et s’est enfoncé dans ma chatte comme un hussard, me pilonnant avec vigueur. Pour une fois, j’ai aimé ce coté bestiale de l’étreinte aussi brève soit elle.. Nous avons joui l’un après l’autre.En me raccompagnant à ma voiture, il m’ a offert la robe destinée à sa femme…. »
….......................Un ami qui assure
Notre ami est venu nous rendre visite.
Il revient de 15 jours de Kite-surfing. Toujours musclé, le corps trapu, il m’a toujours impressionné par sa capacité à s’exhiber totalement devant n’importe qui. Sa calvitie bien avancée n’a pas atténué sa capacité sportive et son besoin de plaire. Ma femme apprécie son humour décalé. Elle ne le trouve pas beau, mais lui reconnait un beau regard.
Il est arrivé en fin de semaine. Amateur tout comme moi de vin fin, il nous avait offert une bonne bouteille. Pour fêter sa venue, nous avons commencé par prendre un superbe apéritif. Le vin coulait à flot, et l’atmosphère se réchauffait aussi vite que nos esprits s’enflammaient.
Malgré le froid extérieur, je claironnais que j’allais finir par un digestif dans la piscine. Un verre à la main, je me suis déshabillé entièrement pour entrer dans la piscine. J’oubliais, alcool aidant que je portais ma cage de chasteté.
Karine lui proposa de me rejoindre. Quand il me vit dans l’eau, il s’est rendu compte que je portais une cage. Mon épouse en s’approchant de la piscine avec des linges de bain, lui expliqua l’air amusé
- Jean porte une cage car il le veut. C’est mon petit soumis et cocu.
Paul riait car il croyait à une plaisanterie. J’étais rouge de honte et vite dégrisé. Il m’a fallut montrer l’objet du délit. J’ai du avouer que j’étais bisexuel, j’aimais le SM, et que j’aimais Karine au point de lui laisser toute liberté.
Ma femme ne voulait pas parler de mon statut de cocu, pour ne pas donner des idées à Paul. C’était mal connaitre Paul. Mon ami, devinant le trouble et l’embarras de Karine, agit comme un chasseur ayant trouvé sa proie et ne voulant pas la laisser perdre.
Il proposa à Karine de venir dans la piscine. Elle refusa car elle avait froid. Paul, sortit de l’eau avant que ma belle s’en retourne à l’intérieur. La vue de son sexe en érection stoppa net mon épouse. Il lui demanda en plongeant ses beaux yeux bleus dans ceux de Karine, de l’essuyer. Elle s’avança timidement. Il la questionnait à voix basse, lui demandant si elle me cocufiait. Ma femme restait immobile, comme figée. Elle répondait dans un murmure.
Personne ne comprenait. Sortant de l’eau, je poussais Paul en lui disant :
- Embrasses là, elle déteste qu’on lui demande l’autorisation. »
Paul ne réfléchit plus. Il se lance dans un long baiser. Avec surprise pour moi, je vis Karine lui rendre et mettre ses mains autour de son cou. Le temps semblait s’arrêter. Ils s’embrassaient si tendrement qu’ils en étaient que plus beaux. Paul prenait la tête de Karine pour mieux l’embrasser. Elle lui caressait le torse, et effleurait sans cesse son sexe.
Mon ami ne restait pas inactif. De sa main gauche, il remontait la robe au dessus des fesses, découvrant avec stupeur l’absence de string. Sa main droite pétrissait les seins.
Karine s écarta comme pour reprendre son souffle. Elle fit tomber la robe et apparue nue, dans toute sa beauté. Paul s’approcha d’elle et la fit se mettre sur le dos. Il s’avança à genoux entre les cuisses et entreprit de lécher le sexe de ma femme. Elle s’arc boutait pour mieux profiter de cet instant. Tantôt, elle se tenait les seins, tantôt ses mains se portaient sur la tête de son amant, comme pour mieux le guider. Dans un superbe râle, ma femme jouit.
Paul se redressa aussitôt et présenta son sexe bandé à l’entrée de sa chatte. Dans une invitation muette, elle le tira vers elle pour qu’il s’enfonce. Paul prit son temps et s’enfonça lentement, déclenchant une jouissance immédiate. Il ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle. Il pilonnait mon amour avec une force incroyable. Il alternait les positions.
C’est debout que Karine, jambes nouées dans son dos, les fesses contre le mur accueillit l’orgasme de notre ami. Il se déversa en elle en spasmes successifs. Il semblait de jamais arrêter de se déverser dans la chatte de ma femme.
Paul fut le premier à se souvenir de mon existence. Je n’avais pas débandé depuis le début de leur accouplement. Mon érection, comprimée par la cage me faisait mal.
Paul me demanda de venir récolter le fruit de sa jouissance.
Karine me fit m’allonger sur le sol, avant de venir s’accroupir sur mon visage m'offrant sa chatte béante à lécher. Le sperme commençait à couler. Je m’empressais de tout lécher, m’attardant sur les lèvres gonflées. La semence s’écoulait lentement me permettant de bien profiter de cette chatte. L’odeur m’enivrait presque. Karine se mit à gémir.
Mais Paul ne l’entendait pas de cette oreille. Il était devenu le maitre du jeu. Cette femelle lui appartenait. Lui seul devait lui donner du plaisir. Il nous fit donc nous relever.
Il m’ordonna de lui rendre sa vigueur. Je m’approchais du sexe flasque et le pris en bouche J’entrepris de lui faire une fellation qui permettrait à ma belle de bien profiter de ce sexe. En pleine érection, il demanda à ma tendre, de se retirer dans notre chambre avec lui pendant que je rangerai la maison.
Une heure après, la maison enfin rangée, je suis monté vers notre chambre. La porte était ouverte. Karine à quatre pattes, subissait les assauts de son amant. Paul semblait infatigable. Je me suis retiré pour aller dormir comme ils me l’avaient demandé dans la chambre d’amis.
….......................
Au réveil,….. Dimanche matin
Le soleil brille, annonciateur d’une belle journée. La maison est silencieuse. Je me réveille doucement et vais me plonger dans la piscine et commence à faire des longueurs. Je n’ai pas dormi de la nuit. Je ne comprends pas ce qui me pousse à accepter d’être l’objet de leur plaisir, à devenir leur serviteur alors que tant de personne aurait fui.
Je suis inquiet de la suite trouvant que mon ami prend trop d’ascendant sur Karine. En fait je suis jaloux, Jaloux de voir celle que je vénère, aimer Paul. Je comprends qu’elle se donne à lui, j’admets plus difficilement le fait qu’elle s’en amourache.
Je devine que si je me rebelle, Karine le prendra très mal et me quittera…
Absorbé et perdu dans mes pensées, je n’ai pas entendu arriver Paul, qui se jette à l’eau en plongeant. Il s’approche de moi et vient se coller dans mon dos, s’agrippant à mes épaules.
- Ne penses pas trop, Jean. Tu penses trop
J’étais sous le choc. Paul semblait lire en moi comme dans un livre. Je sentais son sexe contre moi, cela me perturbait et me paralysait
- Jean, regardes les choses en face. Tu aimes ta femme. Moi aussi mais pas de la même façon. Elle t’aime car tu lui permets d’être elle-même. Moi, je ne pourrais jamais lui apporter cela. Toi, tu ne la fais plus vibrer sexuellement. Moi si, et je le fais avec amour, car j’aime Karine, et ce depuis que je l’ai vu la première fois. Nous allons vivre ton fantasme, notre désir jusqu’au bout. Je vous aime tous les deux. Nous allons faire ménage à trois. Nous irons ensemble en vacances… je ne viens pas emménager chez vous à cause de mon travail, mais, j y serais souvent. C’est moi le chef de cette famille. Tu peux toujours dire non et réfléchir. Tu sais que Karine ne le supportera pas bien…. ni moi, car je t’aime aussi à ma façon ».
J’étais perturbé, anéanti. Je ne savais plus où j’en étais. Je savais que Paul avait raison. J’étais effrayé par le quand dira t on. Savoir que Paul agirait comme son mari, me perturbait… et pourtant mon sexe trahissait un émoi autre.
Paul se frottait de plus en plus contre moi. Je ne pouvais plus ignorer la protubérance entre mes fesses, ni son souffle chaud dans mon cou.
- Dis moi que tu me veux en toi, dis moi que tu veux que je reste
Paul me poussait contre le bord de la piscine. Son sexe se faisait de plus en plus intrusif. Mon cœur battait la chamade. Je lâchais prise avec la raison. Sans plus réfléchir, comme si mon destin était scellé, je lui demandais de me prendre dans un murmure. Il me demanda de le dire à voix haute. Je m’exécutais.
- Non dis le plus fort » m’ordonna Paul
- Je veux que tu me pénètres, je veux devenir ta deuxième femme. Je veux que tu restes. Sois mon Maître
- C’est bien, ma petite. Maintenant, guides moi en toi »
Je saisis son sexe bandé et l’approcha de mon œillet. Paul poussait pendant que j’écartais au maximum mes fesses. Il gagnait centimètre par centimètre, sur de sa conquête, de sa victoire.
Lorsque ses couilles tapèrent mes fesses, il s’immobilisa pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. La douleur était forte mais progressivement laissait place à une langueur inqualifiable. Il commença à remuer lentement, puis de plus en plus vite.
J’ai senti sa jouissance, ce sexe qui se gonfle avant d’éjaculer. Paul se déversa en long spasme. Il se retira doucement me fit me retourner et m’embrassa sur la bouche. Mettant fin à l’étreinte, Karine applaudit à la fenêtre de la chambre.
- Vous étiez superbes mes chéris, j’arrive ».
Karine, toute en beauté s’installa sur un fauteuil. Elle nous félicita de la performance mais voulait être récompensée aussi. Elle me montra la clé de la cage de chasteté.
- Enlèves ta cage, et tournes toi, Penches toi bien en avant. Hum ton trou est bien élargi, plein de sperme. Je vais pouvoir promener mes doigts sur ta prostate et tu vas couler.
Je m’appuyais le torse sur la table, les jambes écartées. Mon sexe en érection au bord de la table pointait vers le sol. Karine enfila deux doigts. Le sperme de Paul servant de lubrifiant, elle me faisait un doux massage de ma prostate.
Paul, le sexe en berne pour le moment, avait enfouit sa tête entre les jambes de notre femme commune. Il s’appliquait avec succès, à en croire les soupirs d’aise de Karine.
J’avertis Karine que j’allais me vider.
Le milking procure ce sentiment étrange d’avoir l’impression de se vider du sperme sans jouir. Votre sexe coule mais sans avoir d’orgasme. Les derniers événements sans jouir avaient générés une production importante de sperme que Karine recueillait dans un verre à pied.
Karine jouit fort peu de temps après. Je me redressais pour mieux la voir, l’admirer.
Karine reput tendit le verre.
- Nous allons tous en boire pour sceller notre union ».
Elle trempa ses lèvres. Paul en fit autant me tendant le verre à finir qui contenait encore plus des ¾ du liquide.
La messe était dite...enfin presque...
Je finissais mon verre de sperme. J’avais les couilles vidées mais n’avais pas joui. Frustré, mais heureux de voir Karine, mon épouse, épanouie. Elle semblait prendre les événements comme si elle jouait.
Elle me remit ma cage de chasteté, avant de m’envoyer faire les courses.
A mon retour, les deux amants m’attendaient. Habillés pour une randonnée, sac à dos, je n’eu que quelques minutes pour me préparer.
En sortant du lotissement, Paul me fit me garer dans un parking désert. Il m’ordonna d’enlever mes vêtements. Je n’osais agir. Karine vint vers moi courroucée. Elle m’informa que soit j’obéissais, soit je rentrais seul à la maison.
Inutile de dire que je me suis exécuté en vitesse. Je priai pour que personne ne passe et me reconnaisse. La chance était avec moi. Paul m’ordonna de monter dans le coffre en me tentant un collier avec une laisse et un bandeau.
- Mets le collier et le bandeau pendant le trajet, et que je ne t’entende pas
Je m’installais comme je pouvais, recroquevillé, en chien de fusil dans le coffre que referma Paul. Le bruit sourd de la fermeture et le noir accentue l’inconfort de la position. Le temps parait très long enfermé ainsi et les nombreux virages vous font heurter les parois du coffre.
Quand Paul ouvrit le coffre et me retira le bandeau, je fus d’abord ébloui par la lumière. Il m’extirpa en me tirant par la laisse. On me laissa mettre mes chaussures. D’une main, Paul me tirait par la laisse, Je suivais à ses cotés. De l’autre coté, Karine s’appuyait sur son bras. Elle portait une jupe très courte et un chemisier blanc. Nous avancions dans les bois du Jura allant de clairière en clairière.
De temps en temps, la main de Paul lâchait celle de mon épouse pour se glisser sous la jupe, provoquant des rires de ma belle.
Arrivé dans un belle clairière, entourée de conifères robustes, Paul ouvrit le sac à dos et décida de m’attacher contre un tronc, le torse tourné vers le tronc.
Mon ami s’y connaît en nœud, je ne pouvais presque pas bouger, les bras et les jambes encerclant le tronc et exhibant ainsi les parties charnues de mon anatomie.
Pendant ce temps Karine avait déposé sur le sol, un grand plaid. De ma place, je ne pouvais pas tout voir. Paul avait envie de Karine, il lui demanda de le sucer….
Je n’ai pas vu, mais j’ai entendu Karine jouir plusieurs fois, implorée Paul de la défoncer. J’ai entendu Paul grogner de plaisir en jouissant.
Ils se sont reposés pendant un long moment. Le temps parait aussi très long quand on est attaché. C’est Karine qui se réveilla en premier. Elle vint vers moi. Elle était nue. Malgré les cordes je sentais la douceur de sa peau.
- As-tu entendu comme j’ai bien joui ?
- Oui, j’ai entendu et cela m’excite »
- Tu n’es qu’un sale pervers, je ne t’ai jamais ordonné de t’exciter ni d’écouter, tu seras donc puni »
Et sur ce, Karine ramassa une branche de pin et commença à me fouetter
- Tu devrais essayer avec cette branche , intervint Paul. Laisse moi te montrer
Paul appuyais plus fort les coups. Je serrais les dents de rage pour éviter de donner du plaisir à Paul. Mes fesses ne brûlaient atrocement.
Paul après s être éloigné revint et commença à me badigeonner les testicules avec du lait concentré….
- Les fourmis devraient aimées. Allez viens, la femme du cocu, on va se promener. On revient tout à l’heure.
Paul et Karine se sont habillés et sont partis en riant. Je me retrouvais seul dans cette forêt. Je connaissais trop Karine pour savoir qu’elle reviendrait… mais quand.
Mon ami avait raison, les fourmis mais aussi les insectes aiment le lait concentré. Cela me chatouillait d’être parcourus par tous ces insectes. Je ne pouvais pas bouger et j’avais trop peur de me faire piquer.
Le soleil, commençait à baisser. Heureusement j’entendis des bruits de pas.
- Venez vite, s'il vous plais, les insectes me chatouillent trop. J’ai mal aux bras », implorais-je
- Mais c’est Jean, quelle surprise ? Qu’est-ce que tu fous comme ça ?».
Je reconnus immédiatement cette voix.
C’était mon ancien collègue Alain, avait qui j entretenais des relations polies mais tendues. Le monde s’effondrait devant moi. Toute la région allait être au courant.
- Détaches moi s'il te plais demandais-je.
- Ah non. D'abords tu m’expliques et après je verrais.. et vu tes fesses, je pourrais t’aider à retrouver la mémoire en les faisant d’avantage rougir »
- Ok mais enlèves ces insectes.
Alain prit de l’eau dans sa gourde et me nettoya les couilles. Puis les attrapant et les tirant en arrière, il m’invita à commencer. Je lui racontais tout. Je décrivais Karine et Paul.
Il m’expliqua qu’il avait vu un couple se baigner au bord du lac, non loin de là. Le couple avait pris du bon temps à la joie de certaines personnes. Il avait assisté aux ébats comme voyeur.
Cela lui donnait des envies, qu’il voulait se soulager. Il sortit un préservatif et un peu de gel qu’il appliqua sans ménagement sur mon œillet.
Alain essaya de me sodomiser, ma position attachée ne facilitait pas sa tâche. Plus je lui interdisais de le faire, plus cela semblait l’exciter. Il réussit pendant que je le traitais de salaud. Il se retira pour éjaculer sur mes fesses.
- Merci, mais si tu tiens à ce que cela ne se sache pas, tu devras me rejoindre quand je t’appellerais. Ton cul m’appartient maintenant…Allez sois patient, ils vont bientôt arriver. A bientôt ma lopette. »
Alain est parti en me déposant une claque sur les fesses.
Peu de temps après Karine et Paul arrivèrent…..et...
Paul et Karine s’approchèrent de moi en riant. C’est mon ami qui remarqua en premier les traces de sperme dans mon dos. Karine me traitait de pervers obsédé que l’on ne pouvait laisser seul, pendant que Paul me détachait. La dernière corde relâchée, je m’effondrais sur le sol. Mes muscles me faisaient mal.
Ce n’est pas les quolibets de mon épouse qui apaiseraient la douleur. Le sang revenait dans mes membres. Je m’allongeais sur le sol. Karine vient me rejoindre. Tout en s’amusant à me caresser le torse, elle me demanda de tout raconter.
Je n’omis aucun détail et j’insistais sur la menace de mon ex collègue. Paul qui écoutait avec attention, se proposa de lui téléphoner pour régler cela lui-même. J’admirais secrètement sa façon autoritaire de diriger et je comprenais mieux l’ascendant qu’il avait sur ma femme. N’ayant pas avec moi les coordonnées d’Alain, Paul ordonna le retour qui se fit de la même façon.
Une fois arrivé, muni du précieux numéro de téléphone, Paul partit dans le jardin pour appeler mon tourmenteur.
Karine m’aidait à préparer le repas. Elle me rappela qu’elle ne me quitterait pas, qu’elle m’aimait mais qu’elle vivait pleinement ses émotions. Elle partit rejoindre Paul sur un signe de celui pour continuer la conversation téléphonique.
Les deux tourtereaux revinrent hilares. Paul prit la parole :
- Alain est un beau salopard. Il te tient et ne te lâchera pas. De plus, il est très fâché contre toi, car pendant que vous travailliez ensemble, tu ne lui as jamais montré d’attention, malgré tous ses efforts. Je pense qu’il en pinçait pour toi.
- Je me souvenais évidement qu’il avait une attitude bizarre. Je n’y avais pas prêté assez d’attention et agacé par son mutisme, j’avais mis des distances entre nous.
- Alain veut se venger, si j’ai bien compris. Il veut que tu te plies à sa volonté. Tu n’as guère de choix si tu veux garder un profil bas sur ton cocufiage. Je pense qu’il veut te dominer sexuellement. Karine et moi, pensons que pendant que nous partirons le week-end, tu pourras séjourner chez lui. Ne dis rien, nous sommes tous d’accord.
Nous nous sommes entendus sur les limites à ne pas franchir. Nous ne t’abandonnons pas, mais nous faisons ton éducation en quelque sorte. Et puis avoue que tu aimes te faire prendre... Ce soir, nous allons te préparer en vue du week-end. Tu vas porter un plug pendant le repas. Après nous élargirons ton anus. Nous te prendrons à tour de rôle. Karine avec son gode ceinture et moi, plus naturellement. C’est un beau cadeau, car Karine ne recevra pas ma semence ce soir, mais toi oui…Allez va vite faire le repas.
Je m’éloignais, songeur. Ma vie prenait un tournant inattendu. Je sais que je peux tout arrêter maintenant. Je sais que les menaces d’Alain ne sont que purement psychologiques et n’ont aucune incidences réelles.
Je restais silencieux pendant le repas. Cela ne semblait en rien altéré la bonne humeur des amants. Je n’arrivais pas à manger l’estomac noué.
Le repas finit, la vaisselle rangée, je les rejoignis au salon. Karine avait enfilé une mini jupe et un bustier en cuir. Ses cuissardes mettaient en valeur ses longues jambes fuselées. Paul était vêtu d’un pantalon noir et d’une chemise assortie. Une partie de nos sextoys traînait par terre.
A la demande de Paul je m’approchais à genou. Karine vient me rejoindre.
- Viens m’aider à le sucer, montres moi comment tu t y prends, mon cocu d’amour
Cette invitation était si gentille, que je m’approchais de Paul et entrepris à lui caresser le sexe à travers son pantalon. Je ne devais pas trop mal m’y prendre car son morceau de chair commençait à prendre forme.
Lentement j’ouvrais sa braguette et extirpait son sexe encore un peu mou. Je le pris en bouche immédiatement. Karine l’embrassait à pleine bouche, pendant qu’elle déboutonnait la veste de son amant pour aller lui pincer les mamelons. La main de Paul caressait les seins de la belle qui geint de plaisir.
L’érection était belle. Je prenais un vrai plaisir à sucer cette colonne de chair. Karine se leva pendant que je continuais mon travail. La main de Paul agrippée à mes cheveux donnait la cadence.
Karine m’enduit l’anus de gel. Elle s’accrocha à mes hanches. Elle introduisit lentement mais sûrement son gode ceinture entre mes fesses. Je poussais pour faciliter la progression. Karine faisait des pauses pour que la douleur s’estompe, car elle avait choisit le plus gros diamètre et le plus grand des godes, plus important que le sexe de Paul.
Celui s’était redressé, il m’écartait les fesses et guidait la pénétration. Quand je sentis enfin le pubis de ma belle contre mes fesses, je me mis à minauder et à demander à ma belle de me prendre de me défoncer.
Mon épouse se déchaîna en moi. Ses mouvements se faisaient plus ou moins rapidement. J’allais toujours au devant de cet olibos. Paul me fessait pendant ce temps. Il s’amusait de voir mon anus ouvert à chaque fois que Karine déculait pour mieux réintroduire son sexe.
Paul pris sa place. Il éjacula en moi longuement. Le sperme facilita le travail de Karine qui prit sa place immédiatement pendant que je suçais mon ami.
Karine m’enleva la cage pour que je puisse éjaculer dans sa bouche pendant que Paul me sodomisait..
Je suis parti me coucher le cul en feu, alors que Karine se faisait dévorer la chatte par son amant qui n’arrivait plus à bander.
Le lendemain matin, les deux amants m’avertirent qu’ils allaient me conduire chez Alain. Je frissonnais intérieurement. Je savais qu’Alain voulait me faire payer mon indifférence. Je n’avais pas deviné ses tendances homosexuelles auparavant ni son coté dominateur. La soirée d’hier m’avait prouvé que j étais bisexuel et très soumis…. J’allais donc souffrir de plaisir.
Ce qui me contrariait, c’était surtout le fait que mon épouse et son amant partent pour un week-end ensemble. Nous n’avions jamais été séparés comme cela avec ma femme.
Pas de suite.

Pour les amateurs de courtes.... Je parle d'histoires là..!

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 Ou il est question de Youssouf...

La vengeance
La jeune femme est sortie de chez elle et elle est montée à bord de sa Mercedes. Elle est d’humeur joyeuse contente de se rendre au gala des œuvres sociales organisée par la municipalité de la ville bourgeoise ou elle réside. Elle est habillée pour l’occasion bien sur.
Corinne porte une robe bustier en satin d’un grand couturier sur des bas noirs. Corinne à la quarantaine. Elle est blonde, pas très grande mais mince. Raffinée et distinguée. Le mari de Corinne est commissaire de police. Il doit la rejoindre au gala. Corinne met le moteur en route et décolle du trottoir…
Sans s’apercevoir un seul instant qu’une camionnette la suit.
Les quatre hommes qui suivent la Mercedes ont le visage dissimulé par des cagoules. Ils attendent le moment propice. La Mercedes s’arrête à un feu rouge. Il fait nuit noire et il n’y a pas d’autres véhicules. Les portes s’ouvrent et les trois hommes jaillissent pendant que le quatrième reste au volant.
On ouvre violemment la portière de la Mercedes, que la jeune femme a imprudemment oublié de fermer…On tire Corinne par les cheveux ce qui la fait hurler. Elle se débat. Elle est immédiatement plaquée sur le capot de la Mercedes et on la bâillonne à l’aide d’un anneau en cuir qu’on enfonce dans sa bouche lui déformant la mâchoire. L’anneau est maintenu derrière la tête par une lanière et cela l’oblige à garder la bouche ouverte…
On entraine la malheureuse vers la camionnette qui démarre aussitôt…
Ils arrivent très vite dans une citée et on entraîne Corinne dans une cave. Elle est littéralement trainée et elle manque de tomber plusieurs fois trébuchant sur ses talons aiguilles. Elle pousse des cris qui sont étouffés par le bâillon.
- Mmmgggff…
Elle descend des escaliers passant devant des jeunes, capuche sur la tête, qui siffle en la voyant arriver… On ouvre une porte et on la pousse dans une cave. Un grand black se tiens au milieu de la pièce. Il dévisage Corinne un instant et s’approche d’elle.
- Je m’appelle Youssouf, tu ne me connais pas mais ton connard de mari me connait. Il a dirigé une enquête contre mon business. Je fais un peu dans la came…
On éclate de rire derrière elle.
- Il a coincé plusieurs de mes complices Mais j’ai pu en réchapper. J’ai perdu beaucoup de marchandises, y a donc un manque à gagner. Tu vas m’aider à récupérer mes gains…
Corinne se débat, tente de s’échapper. Elle court maladroitement sur ses talons et elle est vite rattraper. On l’entraine vers le milieu de la cave.
Des jeunes rentrent à tour de rôle dans la cave. Certains sont cagoulés, d’autres pas. Il y a de tous : Des blacks, des maghrébins, des blancs, des gros…Ils donnent tous une somme d’argent au Caïd de la citée.
Horrifiée, Corinne regarde autour d’elle, elle en compte au moins 7. On lui retrousse sa robe dévoilant le porte-jarretelles.
- Putain ! Quelle pute, regardez ça les gars.
On se précipite et on lui baisse son string. Aussitôt, des doigts s’enfoncent dans sa chatte.
- Uhhh…Gémit Corinne derrière son bâillon.
On palpe ses fesses, ses seins à travers le haut de la robe. On s’énerve dessus et on finit par déchirer le bustier. Le soutient-gorges en dentelle apparait. On baisse les balconnets et des mains s’empressent de malaxer les seins de la femme du commissaire.
Des bouches avides s’emparent de ses tétons et suce les pointes en faisant des bruits écœurants. Un jeune se met à genoux devant Corinne, écarte ses jambes et lui bouffe le sexe. Il donne de grands coups de langue agaçant le clitoris. Corinne pousse des cris désespérants qui se transforment en lamentables gargouillis à cause du diabolique bâillon…
- Hhhggrr…Mmm…
Youssouf filme toute la scène avec un caméscope…
On force Corinne à se mettre à genoux et une queue investit sa bouche. Elle a un haut le cœur et tente de détourner la tête. On lui tire les cheveux et elle doit accepter la bite. Avec le bâillon qui l’empêche de fermer la bouche, elle ne peut pas vraiment résister de toute façon ; Autour d’elle, d’autres jeunes se branlent. L’homme s’agite dans la bouche de cette bourgeoise si distinguée en robe de grand couturier. Il éjacule répandant son foutre dans sa bouche et Corinne manque de s’étouffer. Le sperme coule sur son menton. Un autre prend sa place…On se branle entre ses seins. On lui éjacule dessus l’aspergeant de sperme qui se répand sur sa poitrine. Les queues se succèdent dans sa bouche.
- Tu vas sucer salope, suce moi…
On la met à quatre pattes sur le sol crasseux de la cave. Un jeune se met derrière elle et enfonce sa bite dans le vagin de la pauvre femme. Il s’empare de ses hanches et la défonce à grand coups de reins. Les seins de l’épouse du commissaire gigotent dans tous les sens.
Le chef filme toujours.
Corinne doit sucer des bites pendant qu’on la bourre sans ménagement. Le jeune éjacule sur son dos et un autre le remplace. Celui qu’elle suçait se retire et lâche des trainées de foutre qui vont s’écraser sur son visage. Des filaments de sperme coulent sur son nez et sa bouche. Son corps est secoué par les coups de bites. Deux types se mettent devant elle et elle doit les sucer à tour de rôle. Un black se met derrière elle et lui introduit son index dans son trou du cul, puis deux doigts qu’il fait coulisser dans l’anus de cette bourge.
- Aaarrrggghhh…
- Je vais l’enculer cette chienne !
- Hhhmmmppff
Le black s’empare de sa bite et l’introduit dans l’anus de Corinne qui bouge des fesses pour tenter de résister. Le grand black au crâne rasé lui claque les fesses violemment.
- Laisse toi faire, pute !
Il pousse et enfonce sa bite dans le trou du cul de cette femme hautaine.
Les mains posées sur ses hanches, il la besogne brutalement. Lui dilatant l’anus. Le visage ravagée, l’épouse du commissaire grogne à travers son bâillon. De la bave coule sur son menton. Le noir accélère ses mouvements, son ventre vient claquer contre les fesses de Corinne. Il pousse un râle et se libère dans les intestins de Corinne. Elle s’effondre sur le sol n’en pouvant plus.
Mais les jeunes sont sans pitié et ne lui laisse aucun répit ; Elle est relevée et on la force à grand renfort de claques sur le cul à s’empaler sur la bite dressée d’un jeune pendant qu’un autre l’encule. Les deux jeunes s’agitent, alternant leurs coups de queues. Secouant le corps de Corinne. Un autre arrive et enfonce sa bite dans la bouche de la pauvre femme. Elle est réduite à l’état d’esclave sexuel… Son corps est recouvert de sperme. Son visage est méconnaissable. Tous ses orifices ont été pénétrés sauvagement. On l’encule à la chaine.
On la laisse tranquille. Avachie sur le sol. La plupart des jeunes sont partis. Youssouf regarde la femme du commissaire savourant sa vengeance. Il s’approche de Corinne qui gémit doucement.
- Je n’en ai pas fini avec toi, ma belle, c’est rien a coté de ce qui t’attends !
Puis se relevant, il lance :
- Amenez le chien !
On positionne Corinne à quatre pattes. Un jeune rentre en tenant en laisse un Rottweiler. On installe le chien devant elle. Il se couche, les pattes à l’air et sa queue devant les lèvres pulpeuses.
- Suce mon chien salope de bourge !
Corinne secoue la tête ; C’est trop, elle ne peut accepter une telle déchéance! On appuie fermement sur sa tête et elle est contrainte d’avaler la bite du chien. Elle réprime une forte envie de vomir et s’active sur la bite du chien.
La queue grossit de plus en plus entre les lèvres de cette bourgeoise bien née réduite à faire des pipes aux chiens. Pendant ce temps, Youssouf la besogne par derrière. Corinne avale le foutre du chien qui se libère dans sa bouche. Au même moment, Youssouf se retire et va éjaculer sa semence sur le visage de Corinne.
Le Caïd s’approche de Corinne.
- Bon, on va te ramener chez toi ma chérie. La vidéo, je vais l’envoyer à ton mari qu’il voie ce qu’on t’a mis ! ca l’excitera peut être… Dis lui bien qu’il ne doit plus rien tenter contre moi dorénavant sinon la prochaine fois, je te fais emmenée dans un foyer d’immigrés. Je pourrais même t’envoyer en Afrique si je veux ! J’ai des contacts dans le milieu de la prostitution alors si tu ne veux pas te retrouver à faire la pute en Côte d’Ivoire ou à Djibouti, qu’il ne fasse plus rien contre mon business. Et crois moi, on ne te retrouverait pas…Et dis lui, que s’il lui prend l’envie de m’arrêter après avoir visionné le petit film et bien...
Il s’interrompe un instant et prends un paquet de photos qu’ils jettent à Corinne; celle-ci horrifiée, reconnais sa sœur ainsi que la mère de son mari… Âgée de 68 ans c’est encore une belle femme… Les photos ont été prises dans la rue. On y voit la mère du commissaire en train de faire ses courses.
- T’as compris ? Y aura pas que toi qu’on fera baisée…
Corinne fut reconduite chez elle par les quatre hommes qui l’avaient kidnappée. Elle dut encore se faire baiser dans sa propre maison. Forcée de les sucer au milieu du salon, puis baisée, sur le lit conjugal. Ils l’abandonnèrent toujours bâillonnée. Les chevilles liées par une corde et les poignets attachés dans le dos. Une corde enserrait également ses seins.
C’est dans cet état que la retrouva son mari plusieurs heures après.

Vacances scolaire.
Voici l’histoire qui vient d’arriver à notre couple, en cette semaine de vacances scolaires.
Nous sommes un couple marié depuis dix ans avec trois enfants, Marjorie est une belle brune, bien ronde de quarante ans, avec une très opulente poitrine Moi, j’ai juste un an de plus. Physiquement nous sommes tous deux ordinaires…
Notre sexualité est bien classique, même si je fantasme souvent sur des partouzes ou des gang bang. Mais je pense toujours que mon honnête épouse ne voudra pas…
Nous venons de nous faire livrer notre nouvelle maison, et pour fêter cet événement, nous avons profité de l’absence de nos enfants, en vacances chez leur grand-mère, pour nous organiser un diner au restaurant.
Après le repas, et dans l’euphorie de ce qui nous arrive, nous décidons d’aller en boîte pour nous y amuser, chose que nous n’avons jamais fait. Nous nous rendons dans une discothèque pas loin de chez nous, que nous connaissions de vue. Nous prenons deux entrées avec deux consommations, alcoolisées, évidemment.
Nous nous sommes offerts deux autres verres chacun, et je dois dire que ma femme était plutôt extravertie à partir de ce moment, notamment sur la piste de danse. Elle s’éclatait plutôt pas mal, pendant que moi, je préférais regarder en buvant mon dernier verre. A vrai dire, elle avait comme on dit, un coup dans l’aile!
C’est vers minuit, que j’ai été abordé par un type d’environ trente ans de type maghrébin qui se pointe à notre table pendant que ma femme dansait toujours. Avec une bouteille de whiskies à la main, il me dit, pour résumer, qu’avec deux de ces copains présents à une autre table, il nous a remarqué, nous a trouvé plutôt sympathique, ma femme assurant un spectacle qu’ils trouvaient soi disant sympa etc. Et qu’ils souhaitent nous offrir à boire.
Moi, naïf, je trouve ça plutôt cool, et accepte l’invitation. Nous nous retrouvons à cinq à la table à boire la fameuse bouteille, et chose à laquelle je n’ai pas fait attention, surtout ma femme et moi buvions. Plus tard dans la soirée, la voici franchement ivre, chose que je n’avais jamais vue car elle sait d’ordinaire se contrôler, et moi, j’étais bien parti aussi.
A un moment, ma femme était partie danser accompagnée par les deux copains, celui qui se faisait appeler Hocine me fit remarquer que ma femme s’éclatait pas mal avec ces copains et qu’elle avait l’air très libre. Devant mes yeux, je voyais maintenant ma femme se faire draguer ouvertement par les deux autres, presque se faire peloter sans qu’elle ne trouve rien à redire.
J’ai été à la fois choqué par son comportement, et excité. Je pense que l’alcool aidant, c’est l’excitation qui a pris le dessus. Et Hocine me dit alors, en résumé toujours :
- Elle semble être franchement chaude et doit s’éclater souvent !
- Non, ce n’était pas le genre de la maison !
- Je parie tout ce que je veux que tu te trompes.
- Mais non, continuais-je d’affirmer. Jamais de la vie !
- T’as de la merde dans les yeux ! Tu sais, je connais un pote qui peut te prouver que tu ne connais pas ta femme, et qu’elle est capable d’être une vraie salope ! »
Je n’étais plus en état d’être choqué par des termes aussi crus sur ma femme de la part d’un type que je ne connaissais pas, et lui dis « Alors là, je demande à voir, si elle est d’accord, bien sur ! »
Et là, la soirée bascule, il passe un coup de fil et me demande de les suivre en voiture, sachant que je n’ai rien obtenu de ma femme de concret tellement elle était dans son état second. Elle était toute contente de voir qu’on s’intéressait à elle dans une soirée, en plus de l’alcool qui faisait son effet euphorisant.
Nous nous arrêtons sur le parking d’un foyer de travailleurs, et entrons dans une chambre avec son lit, sa table, sa chaise, sa télé. C’est tout ce dont je me rappelle du décor. Un black, locataire des lieux semble-t-il, nous sort une bouteille pour trinquer à l’amitié et je ne sais plus quoi d’autre.
Youssouf commence alors carrément à lui peloter les seins comme si je n’étais pas là. D’ailleurs, j’ai bien remarqué qu’à ce moment, je n’existais plus pour le groupe des quatre !
Youssouf, le black, et les trois maghrébins rencontrés à la discothèque sont là maintenant, à vouloir s’occuper de ma femme…. Hocine me dira juste à ce moment précis : « Tu vas voir ce que je t’ai dis… »
Et là les choses se sont accélérées, Youssouf a vigoureusement retiré le pull de Marjorie assise sur le bord du lit, puis tout aussi furieusement le tee-shirt, laissant apparaître sa grosse poitrine dans son soutien-gorge rouge, un peu juste pour elle.
Il donna un ordre que je ne compris pas à l’un des trois autres, qui quitta la chambre. Puis il lui enleva son soutien gorge pour laisser exploser sa poitrine au grand air, sous le regard de tous les hommes présents dans le chambre.
Il la fit se coucher sur le lit, lui enleva ses chaussures, ses chaussettes, puis son pantalon noir. Marjorie se trouvait en quelques instants allongée en slip sur ce lit. Le slip rouge aussi, ne resta pas longtemps à cacher son sexe. Youssouf, qui menait tout depuis notre arrivée, lui enleva vivement. Quant à moi, je n’intervenais pas, incapable de bouger par ce que j’étais en train de vivre.
Marjorie était maintenant nue sur ce lit, essayant de se cacher les seins, la chatte offerte à tous. Mais son état de lui permettait de ne rien faire…Youssouf baissa son pantalon et son slip, laissant apparaître une belle queue déjà en érection.
Il sauta littéralement sur le lit, puis écarta les jambes de ma femme pour la pénétrer sans aucun préliminaire d’aucune sorte, à sec comme on pourrait dire. J’étais positionné du côté du pied du lit, et ne voyais donc pas le détail de la scène, mais j’ai entendu le cri étouffé de Marjorie qui venait de se faire pénétrer.
Cri de douleur ou de plaisir ? Je ne le saurais jamais !
Je ne sais pas combien de temps il a limé ma femme, mais pendant tout ce temps, elle gémissait, se tordait sous l’imposante masse. Il a finit par éjaculer en elle, et en se relevant, tout en remettant sa queue dans son pantalon, il dit à Hocine :
- Elle est prête, vas-y. Tu verras, elle est bonne !
Je n’avais encore rien vu de ce qui allait se passer. Ce fut au tour de Hocine de se taper ma femme. Je suis certain d’avoir entendu à ce moment le bruit que fait une chatte bien mouillée quant on la lime.
Est-ce qu’elle prenait son pied, ou était-ce le foutre de Youssouf ???
Toujours est-il que cette pensée me fit bander aussi sec.
Hocine lui remplit aussi la chatte. Puis se fut au tour de son copain d’en faire autant dans les mêmes conditions, sauf que lui était plus rude que les autres, il arrivait par moments à lui malaxer les seins sans douceur, en lui parlant crument…
A ce moment, la porte s’est ouverte, tous sont sortis sauf Hocine qui me demande de rester. Et lorsque j’ai vu entrer un mec que je ne n’avais pas encore vu, mon érection a doublé, car je venais de comprendre ce qui allait se passer.
Ma femme allait être livrée aux assauts d’un certain nombre de locataires du foyer. En fait, ils ont été neuf, en plus de Youssouf, de Hocine et de son copain. Le quatrième avait depuis longtemps disparu, certainement pour gérer la file de ces travailleurs en manque de sexe féminin.
Pendant ce défilé d’hommes en rut, j’ai tellement bandé, tout en étant super excité par ce que je voyais, que je me suis éjaculé dessus sans avoir besoin de me toucher. Je n’avais jamais connu ça avant.
J’avais offert ma femme a un tas de mecs, elle devenait la vedette involontaire d’un gang bang inoubliable… Et ca m’excitait comme jamais avant.
Certains mecs ont tenté de se faire sucer, mais la seule chose que pouvais faire Marjorie avec sa bouche, c’était gémir. Ils se sont tous vidés en elle ou sur elle. Elle était couverte de sperme gluant… Et je n’avais qu’une envie, la baiser à fond, couverte de ces souillures de mâles !
Une fois le groupe passé, le copain de Hocine lui est retombé dessus avec la même violence dans les gestes et la façon de la baiser. Cette fois, il s’est vidé sur son visage.
Ils m’ont ensuite très vite expédié dehors, avec ma femme à moitié habillée, et m’ont demandé de ne jamais rien dire à personne.
Quant à Marjorie, elle était tellement ivre, que je n’ai eu aucun mal à lui faire croire qu’elle s ‘était tapée volontairement les trois mecs de la boîte, à sa grande honte.
Je ne vous dis pas le lendemain l’état de sa chatte ! J’avais vaguement honte, mais je ne souhaitais qu’une chose, lui faire revivre ça en plein état de conscience, pour la faire jouir comme jamais…

Elles s'épanouissent au printemps


Mignon tout plein..!

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Quand un jeune couple prend le temps 
pour une bonne fornication.

Histoire du net. Auteur: Pri75. Destitution

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Les histoire de famille, c'est jamais bon.
Enfin, cela dépend pour qui...


Mon frère est devenu le roi de la maison
Auteur Pri75
Bonsoir à tous, je viens vous raconter ma petite histoire.
Je vis avec ma femme (appelons-la Sarah) depuis quinze ans en région parisienne. Je suis commercial, et elle est prof en lycée. Sans me vanter, je pense avoir réussi à trouver une femme vraiment canon. Elle approche de la quarantaine, mais je pense que dans son établissement, elle doit en exciter plus d'un, collègues comme élèves... Brune d'1m75, Sarah est surtout une femme sûre d'elle, consciente qu'elle a des fesses superbes. On gagne pas mal notre vie, et comme elle est souvent libre l'aprem, elle passe beaucoup de temps à s'acheter des fringues qui la mettent terriblement en valeur.
C'est moi qui l'ai intéressée au candaulisme. Au début, elle n'était pas du tout tentée, elle me disait que je lui suffisait amplement. Moi, au lit, je lui parlais de tous ces mecs qu'on connaissait qui pourraient la faire jouir. Même si ça l'excitait, elle me disait qu'elle ne me tromperait jamais.
Et puis, un soir, mon petit frère frère Mathias (enfin mon demi frère) a appelé pour qu'on l'héberge. C'est un peintre en bâtiment. Il y a un mois, son entreprise faisait faillite et il voulait aller tenter sa chance à Paris. "T'inquiète pas mec, je te repeindrai ton salon gratis !" a-t-il dit. J'ai évidemment accepté...
J'ai direct vu que Sarah lui plaisait bien, avec son petit pantalon slim et ses ballerines qu'elle portait pour l'accueillir. Lui, c'est le stéréotype même du mec viril: marcel et bien membré. Comme ma mère a refait sa vie avec un antillais, il a la peau mat, ce qui, je crois, fait craquer les femmes. Mais bon, je suis habitué à ce que les mecs matent ma femme.
Dans les semaines qui ont suivi, je me suis rendu compte que Sarah portait des tenues de plus en plus sexy. Du pantalon, elle était passée à la jupe, évidemment de plus en plus courte. Le pull informe qu'elle portait le premier jour laissait place à des hauts beaucoup plus cintrés... Plus décolletés aussi.
Mathias ne manquait pas de le faire remarquer, avec ses petites phrases, tous les matins : "C'est pour moi que tu t'habilles comme ça? Hmm, tes élèves doivent pas s'ennuyer, je suis jaloux..." D'ailleurs, à chaque fois qu'il faisait la bise à ma femme, le matin, il n'hésitait plus désormais à frôler ses hanches et ses fesses.
Je ne m’en rendais pas tout à fait compte, mais Mathias prenait petit à petit possession de la maison. Il n’hésitait pas à se mettre torse nu pour repeindre notre salon (comme promis), et balançait généralement son marcel sur mon bureau.
Un soir, trois semaines après l'arrivée de Mathias, pendant que je faisais l'amour à ma femme, j'ai commencé à lui parler de mon frère.
- Alors, t'as vu comment il te mate Mathias?
- Tu crois? m'a-t-elle répondu d'un tout faussement innocent
- T'as vu comment ton petit cul l'excite?
- Hmm... Oui, peut être...
- Fais pas l'innocente, tu fais tout pour le rendre dingue...
- Hmm... souffla-t-elle encore en se laissant faire
- Il te plait Mathias?
- Hmm... Un peu... Il est bien foutu...
- Juste un peu? T'aurais pas envie qu'il te prenne? Que ce soit sa main et pas la mienne qui te caresse en ce moment?
- Hmmmmm... Continue
J'ai donc continué à lui parler de Mathias qui la prendrait dans tous les sens pendant des heures. A la fin, Sarah, qui ne cachait plus du tout son plaisir, gémissait "Oh oui, Mathias..."
A vrai dire, je pensais que pour Sarah, c'était simplement un fantasme parmi tant d'autres qui ne se réaliserait jamais, comme tous ceux qu'elle avait déjà eus.
Mais c'est le lendemain que tout a commencé à dégénérer. Mademoiselle étant trop crevée à cause de sa folle excitation de la nuit, c'est moi qui me suis levé pour éteindre l'alarme de son portable. En bon mari bien curieux, je suis alors allé faire un tour dans sa messagerie. Le dernier message de mon frère datait de la veille dans la matinée, et disait ceci: "Ma belle, tu portes quoi pour exciter tes élèves? Moi je suis à poil sur ton lit, je pense à toi..."
Ni d'une, ni de deux, je suis allé réveiller Sarah et lui ai montré le texto. Endormie, elle m'a directement répondu :
- Ben oui, qu'est ce que tu veux que j'y fasse si je l'excite?
- Enfin quand même, qu'est ce qu'il fout à poil sur notre lit?
- J'en sais rien, c'est ton frère après tout, pas le mien... J'allais pas fermer la porte de la chambre à clé, je ne connais pas les fantasmes de ton frère moi!
Le ton est ensuite un peu monté, puis, excédé, je suis parti au boulot. Vers 17h, j'ai reçu un sms de ma boite de messagerie qui m'indiquait que j'avais reçu un message vocal. Je vous le retransmets ici, même s'il n'est peut être plus tout à fait exact:
- Salut frangin, c'est Mathias! Je suis avec Sarah!
- Coucou mon chéri, fit la voix de ma femme, un peu plus loin
- Bon, mec, j'ai appris que tu fouillais dans le portable de ta meuf. Ca, c'est pas bien. Je pense qu'il faut te punir. Hein, t'en penses quoi ma belle, il faut le punir?
J'ai alors entendu un bruit mouillé, comme des lèvres qui s'embrassent
- Oh oui mon Mathias, il faut le punir!
J'entendis alors à nouveau la voix de Mathias, triomphale:
- Ok frérot, je sais que t'es pas trop con et que t'as remarqué qu'on se plaisait, ta femme et moi. Hein ma belle?
*nouveau bruit mouillé*
- Hmm oui mon beau mec bien foutu...
- Et t'aimes quoi d'autre chez moi?
-. ....Tu le sais bien, reprit ma femme, gênée
- Dis le moi... Dis le à ton mari au téléphone.
- Ta... ta bite
- Tu veux dire ma bite de demi black?
- Oui, celle la... répondit ma femme, qui commençait à gémir. Ta belle bite de black
- Oh mais t'as rien sous ta jupe!
- Non..Hmm... J'ai pensé...Hmm... Que ca te ferait plaisir
- Mais t'es une petite salope!
- Hmm.. Oui je suis ta salope!
- Ma petite salope de femme infidèle?
- Oh oui!
- Où est ce que tu la veux ma petite chienne?
- Partout...Partout, tu m'excites trop mon chéri
- T'as pas l'habitude avec ton cocu de mari?
- Oh ouii.. Oh oui...Mmh non mon mari il a pas ta belle bite de black chéri!!
- Bon frérot, je crois que t'en as assez entendu, reprit mon frère, qui haletait pendant que ma femme hurlait près de lui. J'ai une meuf à satisfaire moi...
Derrière lui, j'entendais : "Fous la moi dans mon petit cul j'en ai envie!!"
BIP. FIN DES MESSAGES.
Ooo000ooo

20h. Je viens d'arriver chez moi. La voiture de ma femme est là aussi. Apparemment, elle aussi est bien à la maison. Je suis toujours sidéré par ce que j'ai écouté. Je suis en colère évidemment, et aussi, malgré moi, un peu excité. Allez, il faut bien y aller. Je pousse la porte d'entrée.
Là, en face de moi, contre le mur, je tombe sur ma femme et Mathias. Lui est en boxer. Elle porte une guêpière et un petit string dont je n'avais même pas connaissance. C'est elle qui est contre le mur. Elle a ses bras autour de son cou pendant qu'il lui malaxe les fesses. Il se frotte à elle, pour lui montrer qu'à travers son boxer, sa bite en redemande. Après quelques secondes, les deux amants qui s'embrassent comme des damnés daignent me regarder.
- Ma petite salope chérie, regarde qui est là...
Moi, j'essaye de reprendre mes esprits mais je suis un peu perdu. Je réussis finalement à gueuler :
- Mathias, je veux que tu dégages d'ici ce soir!
Mon demi frère, entre deux baisers, commence à se marrer.
- T'as rien à dire, frérot, dit-il d'un ton très calme. Ma petite chérie infidèle veut que je reste.
Comme pour confirmer ses dires, Sarah passe la main dans son boxer, sourit et lui caresse doucement les boules.
- Mathias...J'ai envie de toi mon coeur.
Mathias passe une main entre ses jambes et dépose un baiser sur ses seins.
- Bientot ma petite chienne…
Puis il me regarde et ajoute:
- Franchement, t'as mis une semaine à capter? Ton canapé et ton lit de cocu sentent le sperme et la mouille de salope de partout... Ta meuf est une reine avec son petit cul... Enfin ma meuf maintenant.
Je le regarde, sans comprendre
- Frérot, c'est ma femme jusqu'à ce que je décide de te la rendre. Si ça arrive un jour... Tu l’appelleras maintenant madame Mathias et pas autrement.
Sarah se frotte à lui et commence à l'embrasser dans le cou.
- Bon ma femme me réclame. Le repas est pas encore prêt. Il a intérêt à l'être dans 30minutes, le temps que je la prenne de partout ma chienne adorée. Au fait, c’est toi qui lui as payé cette lingerie sexy cet après-midi, en bon petit cocu que tu es. On est allé l’acheter comme un joli petit couple qui se pelote et qui s’embrasse toutes les cinq minutes, à me foutre une trique d’enfer. Hein ma chérie ?
Sarah sourit et commence à gémir doucement.
- Oh mais c’est que ce souvenir te fait bien mouiller on dirait… reprend Mathias.
Il prend alors ma femme par la main et la guide vers l’escalier, non sans poser une deuxième main sur son cul, pour signifier qu’elle lui appartient totalement. Avant de monter, mon demi-frère se tourne vers moi et ajoute :
- Evidemment, interdiction formelle de pénétrer dans ta chambre de cocu. Enfin dans ma chambre maintenant… Je vais essayer de pas faire trop de bruit quand je défoncerai le petit cul de ma femme toute la nuit, mais je te promets rien… Demain matin, je te laisserai rentrer dans la chambre, pour que tu viennes nous apporter le petit déj. Tu prendras aussi mes boxers pleins de spermes et ses strings mouillés pour les laver. Comme ça tu comprendras ce que c’est de baiser une meuf, mon frérot cocu.
Je n’ai pas revu ma femme de ma soirée. Après les avoir vus monter, j’étais resté là, comme un con, pendant plusieurs minutes. J’avais finalement rejoint le salon et regardé des conneries à la télé. Et dire que ma femme devait s’être fait prendre pendant toute la semaine à cet endroit… J’ai même retrouvé une capote usagée, entre les coussins.
Je ne voulais pas m’abaisser à faire à manger pour mon frère, quand même. Il me restait un semblant de fierté. Je me suis fait des pâtes puis je suis retourné à la télé. Au-dessus de moi, j’entendais des cris, des gémissements à n’en plus finir. J’entendais assez clairement les « Oh ouiiii » de ma femme. Ca me coûtait de l’avouer, mais elle n’avait jamais crié aussi fort.
Au bout d’une heure, j’ai entendu des pas dans l’escalier. C’était Mathias qui descendait… Dans mon peignoir. Il l’avait fermé, mais pas entièrement, juste assez pour qu’on voit qu’il bandait comme un malade. Quand il m’a vu sur le canapé en train de manger mon plat de pâtes, il m’a regardé en souriant, l’air de dire « Je te plains quand même ».
- T’inquiète mon petit frérot cocu jusqu’à l’os, je reste pas… Ma petite chienne de femme et moi, on n’a pas fini de baiser ce soir.
- Putain Mathias, arrête de parler d’elle comme ça quoi !
Mathias, debout à quelques mètres de moi, avait vraiment la posture du mal dominant.
- Mais mon petit cocu, t’as toujours rien compris ? Elle en redemande à chaque fois cette petite chienne, elle aime ça… Allez, ciao !
Voyant qu’il s’en allait dans la chambre avec du vin, des fruits et mon plat de pâtes, j’ai tenté de reprendre ma position d’homme en lui disant :
- Putain, c’est ma bouffe, mes pâtes, alors cuisine au moins toi-même, je vais pas tout te donner non plus !
Là, Mathias m’a regardé avec une expression particulière. Un mélange de rire et de pitié.
- Mon petit frérot, arrête. T’as vu, tout est à moi là, maintenant. Tes pâtes comme ton peignoir. Et maintenant, je vais baiser ma femme sur mon lit pendant toute la nuit…
Puis il est reparti. Je crois qu’il a fait exprès de faire encore plus de bruit avec Sarah par la suite. Pendant toute la nuit, j’ai entendu ma femme qui gémissait et qui criait des « C’est trop bon, mon chéri, prends moi encore… » Mathias continuait à l’insulter, lui disait : « T’en veux encore, ma salope ? J’ai jamais vu une salope comme toi, tu le sais ça… ». Ce à quoi Sarah répondait en criant : « Oh oui je suis ta salope ! ».
ooo000ooo
Inutile de vous expliquer que le lendemain, j’avais relativement peu dormi, sur le canapé où ma femme et son amant avaient dû baiser une dizaine de fois pendant la semaine. Vers huit heures, quand j’ai commencé à émerger pour me faire du café, j’ai à nouveau entendu quelqu’un descendre l’escalier.
Cette fois, c’était Sarah, dans son peignoir. Les cheveux complètement décoiffés, elle avait l’air de la femme fatiguée mais heureuse. Inutile de vous dire que quand on s’est vus, l’atmosphère s’est tendue d’un seul coup. Pendant près d’une minute, je crois qu’on a tous les deux été silencieux, jusqu’à ce qu’elle rompe finalement cette pesante absence de paroles :
- Ecoute, tu m’avais toujours dit que ça te faisait fantasmer, toutes ces histoires de tromperie et tout…
Je l’ai regardée, un peu incrédule.
- Ben oui, ça m’excitait. Mais des tromperies voulues par nous deux. Te taper mon frère sans que je le sache, c’est différent putain !
Sarah, l’excitation sauvage de la veille ayant disparu, avait quand même l’air de s’en vouloir.
- J’y peux rien ! J’y peux rien ! m’a-t-elle dit. Mais il me fait tellement de bien ! Il me baise tellement bien que j’ai pas pu m’en passer ! Je peux pas lui résister !
- Donc… Donc tu vas pas arrêter ?
- Je peux pas… m’a-t-elle glissé dans un souffle. Et puis… Et puis… Avoue que ça ne te laisse pas indifférent. Sinon t’aurais gueulé hier soir, au lieu de jouer à la lopette.
Touché. Même si j’avais du mal à l’admettre, j’étais malgré moi excité par la situation. Ca, ma femme l’avait compris. Elle poursuivait :
- Ca ne t’excite pas un peu d’imaginer que ton demi frère me prend et me fait jouir comme tu le pourras jamais ?
Aucune réponse de ma part. C’était un aveux de faiblesse.
- D’imaginer sa belle bite de métisse dans mon petit trou…. Reprit Sarah en murmurant.
C’est à ce moment là que Mathias est descendu, toujours dans mon peignoir. Il a pris Sarah par la taille et l’a attirée contre lui en l’embrassant dans le cou. On voyait bien qu’il bandait déjà violemment. Sarah, elle, me regardait en souriant légèrement, l’air de dire « je suis sûr que ça te plaît en fait ». Elle se frottait doucement à son nouvel amant.
- Ma petite chérie… a fait Mathias, dont la bite semblait encore grossir, je veux que tu montres à ton gros cocu de mari un de tes talents qu’il ne connaît pas vraiment. Je veux que tu me suces maintenant, devant lui. On va le punir pour ne pas nous avoir préparé de petit déjeuner…
C’était quasiment un ordre qu’il lui donnait. Je sentais Sarah complètement excitée par mon frère : je découvrais apparemment une femme qui aime être soumise. Elle a rapidement ouvert son peignoir et s’est agenouillée pour le sucer. Moi, elle me l’avait très rarement accordé. Mais elle était pourtant là, à côté de moi, et je la voyais s’appliquer pour satisfaire Mathias : sa bouche avalait littéralement l’imposante bite de mon frère, et ses mains lui malaxaient les boules avec envie.
Tout fier, Mathias me regardait en souriant.
- Alors frérot, tu savais que ta chienne de femme suçait comme une reine ? Je suis sûr que non, hein ma petite cochonne ?
- Hmm… Non, je le suce jamais… a fait Sarah.
- Pourquoi ? reprit Mathias. Vas-y, dis le nous !
- Hmm… Parce qu’il me fait pas assez jouir.
- Il le mérite pas ?
- Hmm..Non mon chéri.
- Continue à me sucer comme une salope ma belle, pendant que ton cocu de mari me sert mon café…
Je me suis exécuté, pensant que ça ne servirait à rien de créer un conflit inutile. Pendant ce temps, ma femme suçait toujours divinement Mathias. Au bout de quelques minutes, il l’a interrompue.
- C’est bon ma petite salope, tu m’as bien gâté ce matin. Il faut encore qu’on discute de quelque chose avant que ton gros cocu ne parte travailler. Couche toi sur la table…
Encore une fois, ma femme a bien obéi à l’ordre de son amant. Il lui a enlevé son peignoir et, entièrement nue, elle s’est couchée sur la table, les jambes bien écartées.
- T’as bien mérité une récompense pour m’avoir si bien sucé devant ta grosse lopette de mari, a fait Mathias.
Et il a directement foutu sa grosse bite dans la petite chatte de ma femme, qui a poussé un petit cri de surprise et de jouissance. Il l’a pilonnée violemment. Le but n’était pas de lui faire l’amour mais bien de la baiser, de la faire jouir. Au bout de quelques minutes, alors qu’elle criait déjà des « Oh ouii c’est bon ! », Mathias a encore voulu m’humilier :
- Ma petite salope, tu sais quoi ?
- Hmm oh oui ! Non mon…mmmh Mon chéri !
- Ton mari pense que t’aimes pas être traitée comme une pute !
- Hmm.. Pourtant j’en suis une ! Oooh… C’est trop bon !
- Continue ma salope, dis le à quel point t’en es une !
- Hmm je suis ta salope à toi… Je veux que tu me prennes partout et tout le temps… Ooooh je suis ta chienne mon amour !
- Redis le, je kiffe ça et ton gros cocu aussi !
- Je suis ta petite pute mon amour ! Baise-moiii !
- Et t’aimes ça hein ma salope ?
- Je peux plus me passer de ta bite tu le sais !! Oohh mmh j’en peux plus ! Je vais tout mouiller !
-Ta petite lopette va nettoyer ! Maintenant je vais te faire jouir comme la salope en manque que tu es !
- Ohhh ouiii Mathias chéri…
Mathias l’a pilonnée comme jamais en la traitant de salope, en lui caressant les seins pendant qu’il la pénétrait comme un malade. Sarah a alors eu un putain d’orgasme, à réveiller tout le quartier. Une fois tous les deux calmés, Mathias m’a à nouveau adressé la parole :
- Maintenant va travailler petit cocu, pendant que je baise ma femme toute la journée. Branle toi bien en pensant à nous, je sais que t’en crèves d’envie. Ce soir ma femme et moi on va aller en boîte. Tu seras notre chauffeur, et peut être même qu’on te laissera voir deux ou trois trucs… Si t’es sage, petit cocu.
Mathias et Sarah ne se sont alors plus intéressés à ma présence. Dix minutes plus tard, alors que je quittais la maison, il la faisait à nouveau jouir comme une salope dans ce qui était maintenant leur chambre.
Ooo000ooo

Je suis rentré à la maison vers 20h, toujours en ressentant ce mélange de peur, de colère et d’excitation malgré moi. J’ai trouvé ma femme et son amant sur le canapé (habillés cette fois, étonnant !). Lui était assis sur le canapé et elle, les jambes écartées, se tenait en amazone sur ses genoux. J’avais l’impression de voir deux lycéens qui se découvrent et qui découvrent les joies de la baise…
- Ah t’es là ma chère lopette de frère ! m’a dit Mathias. On t’attendait, t’as failli faire attendre ma femme chérie. Et comme tu le vois, elle a très envie d’aller danser…
Tous deux se sont alors levés. Ce connard de Mathias portait un tshirt qui mettait son torse en valeur, mais c’était bien Sarah qui était à tomber, dans une petite jupe d’été évasive et un top pas trop décolleté mais près du corps, qui mettait en valeur sa jolie poitrine. Pour parfaire sa silhouette et mettre ses fesses en valeur, elle portait des petites chaussures à talons qui lui donnaient un air irrésistible.
- Putain Sarah, t’as envie de te faire sauter par… ai-je commencé.
Mais Mathias m’a directement interrompu, autoritairement.
- Ma chérie, a-t-il dit à Sarah, réponds lui je t’en prie.
Ma femme s’est alors adressée à moi, après un sourire et un baiser à Mathias :
- Je suis pas ta putain, pour ça faudrait que tu me baises pas comme une lopette. Et puis tu sais que c’est mon homme qui m’appelle Sarah. Pour toi c’est madame Mathias.
- C’est bien… Maintenant, va me chercher ma veste ma belle, a glissé mon frère à l’oreille de ma femme, les deux mains sur son cul. Et ensuite on pourra partir.
Une fois qu’elle s’est éloignée, Mathias m’a regardé, avec cette expression de supériorité et de moquerie.
- Frangin, écrase-toi, c’est ce que t’as de mieux à faire. Cette petite salope est complètement dingue de moi et de ma bite. Elle fera ce que je lui dirai tellement elle était en manque de vraie baise. Elle est accro à moi et c’est moi qui l’ai maintenant. Maintenant, va nous attendre dans la voiture.
Devant mon immobilité, Mathias a ajouté :
- Sinon, je la baise devant toi. T’as vraiment envie de ça ?
Inutile de dire l’option que j’ai privilégiée. Mathias et Sarah sont arrivés quelques minutes plus tard, comme un vrai couple. Ils se sont installés à l’arrière, et mon demi frère m’a ordonné de les conduire au Cube.
- Alors chérie, tu sortais souvent avec ta petite lopette ? a-t-il demandé à ma femme, entre deux baisers particulièrement mouillés.
- Hmm non…
- Putain mais quel gâchis. Une petite chienne comme toi peut pas rester enfermée chez elle… Tu vas voir ma belle, tu vas kiffer la boite.
Moi, j’essayais de me concentrer sur la route. Pendant le trajet, Mathias a continué à chauffer « sa » femme : il avait passé sa main sous sa petite jupe, et entre deux baisers, lui expliquait que tous les mecs allaient la désirer. Il bandait littéralement à l’idée de savoir qu’il était le seul à la posséder. Quand je me suis garé, Mathias s’est à nouveau adressé à moi :
- Bon la tapette, toi tu restes là pendant qu’on s’éclate ma femme et moi. Peut-être que tu pourras venir si je te le permets… Si t’es sage, petit cocu.
Avant de sortir de la voiture, il a retiré sa main de la jupe de Sarah et l’a essuyée d’un geste de dédain sur mon visage.
- Bonne soirée pédale. J’espère que t’as des mouchoirs dans la voiture, t’en auras besoin en pensant à ce que ma femme et moi on va faire ce soir.
Cette dernière remarque a eu pour effet de faire rire Sarah, qui a échangé un regard complice avec son amant. Tous deux se sont ensuite éloignés. Mathias, une main sur les fesses de Sarah, était fier de son trophée qui déchaînait les regards des autres mecs…
Moi, j’en étais réduit à écouter le résumé de la soirée Ligue 2 sur RMC. Oui, autant dire que j’avais touché le fond. Au bout d’une heure, mon portable a vibré. Un SMS de Mathias : « Je t’autorise a venir lopette, ce serait con que tu rates le spectacle ». Et comme un con évidemment, j’y suis allé. Fasciné et terrifié par tout ce qui m’arrivait, qui me semblait irréel.
Bref, dix minutes plus tard, j’étais dans une salle sombre quasi remplie. J’ai vite trouvé Mathias, qui discutait avec une jeune fille de 25 ans environ. Quand il m’a vu, il a directement pris son ton de mâle dominant.
- Ah t’es enfin là, tapette. T’es même pas foutu de rappliquer rapidement. Bon, je t’ai fait venir pour que tu me payes une bière.
- Ca va pas Mathias, va te faire foutre quoi.
Mon frère m’a regardé avec un regard quasi attendri en me voyant protester.
- Ouais, je me doutais que tu gueulerais un peu, pour la forme.. a-t-il continué. Donc je t’ai pris ça avant de partir.
Il a alors pris quelque chose dans sa poche… Une carte de crédit. Ma carte de crédit.
- Tu te doutes bien que ma femme adorée m’a déjà donné le code…. Evidemment, t’auras rien à boire pour te punir de ton insolence. . Puis il a ajouté, en s’adressant au serveur :
- Une bière, et une coupe de champagne pour mademoiselle !
A côté, la fille semblait adorer le numéro du mâle alpha. Moi, je commençais à en avoir assez de tout ça.
- Elle est où Sarah ? ai-je fait. Elle en a déjà eu marre de toi, c’est pour ça que tu te rabats sur une autre en essayant de la saouler ?
Mathias se sentait toujours autant en position de force. Il m’a répondu du tac au tac :
- Arrête, tu sais bien que ma petite chienne en aura jamais assez de mes coups de bite. Te voile pas la face. C’est moi qui l’ai autorisée à s’amuser un peu ce soir. Elle en crevait d’envie, depuis tout ce temps qu’elle est pas sortie… Mate-la sur le dancefloor.
J’ai enfin jeté un œil aux gens qui dansaient. Et Sarah n’était pas difficile à trouver… Elle dansait avec deux mecs, très proches d’elle. Tous deux devaient avoir une vingtaine d’année à tout casser, bien foutus. A chacun de ses déhanchés, ses fesses frôlaient l’entrejambe d’un des deux mecs. Les deux, justement, se collaient à elle, et tentaient par moment de glisser une main sous son petit top ou sous sa jupe.
- Ca fait une demi heure qu’elle les chauffe, ma petite salope… a expliqué Mathias. Ils en peuvent plus les deux.
Sarah passa rapidement au niveau supérieur. Elle se frottait maintenant carrément à ses deux danseurs qui comprenaient parfaitement le message. Deux mains disparurent sous la petite jupe de ma femme. Une caressait ses cuisses, pendant que l’autre s’était posée sur son cul.
Quelques minutes plus tard, tous trois disparaissaient du dancefloor et se dirigeaient vers les toilettes. Je me suis tourné vers Mathias, qui regardait la scène en souriant.
- Je l’ai autorisée à sucer mais pas à baiser… Je m’en voudrais d’être le seul mec à pouvoir profiter de ses talents de chienasse.
Evidemment, toujours terrifié mais en même temps fasciné, je suis allé voir si ma femme était réellement en train de sucer deux mecs qu’elle ne connaissait pas. Toilettes fermées… Je ne pouvais donc pas voir la scène. Je l’entendais seulement. Aux bruits de sucions se mêlaient les voix des deux hommes.
- C’est bon quand tu les malaxes… Ma parole, t’es une déesse de la pipe !
- Allez dépêche mec, moi aussi je veux en profiter de ses dons…
J’ai alors senti une tape sur mon épaule. C’était Mathias :
-Allez c’est bon lopette, t’en as assez vu et assez entendu. Je voulais surtout que tu voies comment ma meuf aime se sentir baisable et désirée… Comment elle bouge son cul comme une reine. Elle en veut, j’espère que tu l’as compris. Puis il a toqué à la porte et dit :
- Chérie, c’est Mathias, ouvre-moi. Il m’a ensuite regardé et m’a dit de les attendre à nouveau dans la voiture.
Trente minutes plus tard, les deux revenaient s’installer à l’arrière de la bagnole. Sarah murmurait à son amant : « j’espère que ça t’a plu…. J’ai fait ce que tu voulais mon amour. ». En même temps, elle lui faisait de petits bisous dans le cou et caressait son jean. Mathias lui répondit :
- C’était parfait, je vais bien te récompenser cette nuit…
Aucun des deux n’a fait attention à moi pendant tout le trajet. Quand nous sommes rentrés, Sarah n’y tenait plus. Elle voulait juste baiser le plus tôt possible. Ils étaient sur le point de monter, quand elle a fait à Mathias :
- Au fait, je t’ai pas dit, mais les deux mecs… C’était des anciens élèves. Ca m’a tellement excité… Enfin tu as vu mon string de petite chienne, donc ça tu le sais…
Là, j’en pouvais plus. Quand même. Fallait pas pousser. Qu’elle joue à un jeu malsain en privé, passe encore.
Mais là, elle comprenait toute notre famille, si tout ça se savait. J’ai alors commencé à l’engueuler. Je lui ai dit que c’était pas correct d’allumer et de sucer des mecs qu’elle avait eu en cours. Que ça allait forcément s’ébruiter. Qu’elle était folle.

Ma tirade a été arrêtée par une baffe de Mathias, peu troublé par cette gueulante. Mais contre toute attente, c’est ma femme qui a réagi… et repris le contrôle de la situation.
- Je t’avais dit quoi ? De pas m’appeler SARAH. Ca, je le réserve à MON HOMME.
- Mais bordel, Sarah..
- Ta gueule, a reprit ma femme.
- Apprends-lui le respect, a murmuré Mathias, qui était passé derrière elle et se frottait à elle en l’embrassant dans le cou.
- Fous-toi à genoux, m’a dit Sarah avec un air autoritaire que je ne lui connaissais pas.
- Mais…Quoi ?
- A genoux. Par terre. A nos pieds.
Le ton de Sarah était tellement dur que je me suis exécuté, sans trop comprendre. Voilà, j’étais par terre.
- Comment je m’appelle ? a fait Sarah, pendant que Mathias faisait glisser ses mains sur ses hanches.
- Madame… Madame Mathias.
- C’est mieux… maintenant, approche toi de moi, a-t-elle repris.
Encore une fois, je me suis exécuté. De façon un peu misérable, à quatre pattes, j’ai parcouru la distance qui me séparait de ma femme.
- Pour te faire pardonner, je veux que tu lèches ma chaussure.
J’ai regardé la chaussure qu’elle me désignait. Effectivement, elle avait été salie pendant la soirée. Pas de doute : une tâche de sperme était restée dessus.
J’ai ensuite relevé la tête pour voir ma femme. Elle ne souriait pas. Elle dégageait pourtant cette sensation de domination, d’autorité. Un peu comme Mathias. Elle jouissait intérieurement de cette autorité qu’elle exerçait.
- Si tu ne m’obéis pas, mon homme va te virer de la maison. C’est compris petite lopette ?
J’ai alors fait ce qu’on me demandait. Pendant que ma langue s’appliquait à faire briller sa chaussure, je sentais que Sarah se cambrait pour répondre aux sollicitations de Mathias. Il lui a murmuré :
- Alors, ça te fait quel effet d’être la reine et de pouvoir le dominer ?
- Hmm… C’est bon chéri… Mais pas aussi bon que ta bite.
- Ca m’excite quand t’insultes ta petite lopette… Tu sais que je vais te démonter ce soir ?
- Hmm j’ai pas la patience de monter à l’étage…. Baise moi ici.
Elle a ajouté à mon adresse, après m’avoir donné un petit coup de pied :
- C’est bon, dégage maintenant. Va dormir dans la cuisine.
Quand j’ai quitté la salle, Mathias était en train de promettre à ma femme « la nuit dont toutes les salopes rêvent depuis toujours ».
Pas de suite....

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