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Histoire du net. Auteur: Robert. Anne 92. Addiction.

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Certainx jeux peuvent vite nécessiter
 l'appel à un spécialiste.


De fil en aiguille
Auteur : RobertAnne92
Je me souviens très bien : cela a commencé un dimanche de février. Mais par contre, je ne connais plus la raison qui me faisait courir après Sophie qui riait à pleine gorge et que je menaçais de punir si elle ne retirait pas la remarque oubliée depuis. Je vois très bien la scène.
Elle sortait de la douche, venait de mettre slip et soutien-gorge, et moi, dans le plus simple appareil, je courais. Deux ados, oui, deux ados alors que nous allions vers nos trente ans. Après quelques tours dans la maison, échappant à un poursuivant qui s’étouffait par ses propres rires, Sophie finit par abandonner dans le salon. Elle demanda grâce avec son visage respirant la joie de vivre alors que, martial dans mon courroux, je la saisis pour la mettre en position de fessée sur mes genoux.
Jamais je n’avais fait cela, jamais je ne l’avais fessée, même pour rire. Mais je ne sais pas pourquoi ce geste me sembla naturel à cet instant. Bien sûr, elle se laissa faire et joua la jeune fille qui demandait la clémence.
Prenez le temps d’imaginer la scène. Moi, à poil, trente ans, tout mouillé et quatre années de vie commune avec Sophie, cette Sophie qui se débattait pour la forme, allongée sur mes genoux, tortillant de ce fait de la croupe – du cul, pour être plus trivial – avant que ma main ne s’abatte, pour rire, dans une fessée de théâtre, sur ses fesses. Caresse, plutôt que claque punitive. Et, je ne sais pas pourquoi, la seconde fut plus forte, souvenir de mes fessées de jeunesse.
Chut, ne le répétez pas dans notre monde bien-pensant, aseptisé, adepte des principes de précaution, de la protection des femmes, des enfants : j’ai le souvenir de quelques fessées par mon père, pour des fautes elles aussi oubliées.
Mon cher papa, ton éducation serait maintenant montrée du doigt, mais tu échapperais à la prison avec les nouvelles lois que l’on nous annonce. En tout cas, merci pour ton éducation, et merde aux bien-pensants !
Donc, pour en revenir à cette claque, bien à plat sur la fesse rebondie de ma douce Sophie, on peut dire maintenant qu’elle a déclenché un cataclysme.
Aucune protestation de la punie ! Aucune remarque, alors que la rougeur qui apparaissait montrait la violence du choc ! Au contraire, le silence et l’immobilisme s’installèrent comme si elle attendait la suivante. Ma main était déjà relevée ; elle retomba dans un mouvement presque naturel et, mansuétude extrême, choisit l’autre fesse dans un mouvement inspiré par la politique de la France : efforts et douleurs partagés
équitablement.
La rougeur fut immédiate. Sophie gémit mais, alors que j’attendais une protestation véhémente, du genre « Mais t’es malade ! » elle ne bougea pas, comme si cela lui convenait.
Une, deux, trois, et d’autres encore s’abattirent sur ses lobes que la ficelle du string laissait dégarnis. Sous mes yeux, le rouge virait à l’écarlate ; mais la punie, loin de se replier pour se protéger, semblait s’ouvrir à mes frappes en écartant largement les cuisses.
C’en était trop pour moi ! Le jeu dérapait ! Je cessai mes coups. Sophie sembla se ressaisir. Elle se releva. Elle me regarda. Maintenant, elle était face à moi. Ses lèvres prirent possession des miennes. Son visage cachait maintenant la scène ; pourtant, je sentis qu’elle se penchait, s’accroupissait ; s’avançant sur mes cuisses, elle se saisit de ma verge depuis longtemps dressée devant son corps que j’aimais et descendit lentement sur elle pour la faire disparaître dans cette grotte si souvent explorée. La glissade était divine, sensuelle, érotique ; et ma queue, qui est experte dans ces instants, se durcit encore, se transformant en un bâton, un mât bien vite recouvert de voiles de chair, humide des embruns du lieu.
Sophie n’en resta pas là et déjà elle se lançait dans ce mouvement si délicieux de sa chatte qui montait et descendait sur ma queue. Elle était dans son monde, concentrée sur son plaisir et, alors que je dévisageais son visage, masque figé avec des pincements de narines et de lèvres, une évidence me sauta à l’esprit.
Sophie est généralement « sèche » ; et si cela a gêné nos premiers rapports, j’ai très vite trouvé la parade à cette sécheresse vaginale en remplaçant le liquide manquant par ma salive, que je répands de la bouche et de la langue pour son plus grand plaisir. Rassurez-vous, ce défaut de la Nature ne préjuge en rien des goûts érotiques de ma belle. Elle aime – elle adore – faire l’amour, et ses jouissances sont ma récompense.
Pourtant, à l’instant, sa grotte m’a accueilli, déjà humide, crémeuse au point que la glissade était divine. Cet événement était-il associé aux conditions exceptionnelles qu’avait été la fessée ? Ce jeu si particulier avait-il déclenché sa libido comme jamais auparavant ? Il est évident qu’elle a reçu ces quelques claques avec une patience que je n’aurais jamais imaginée. Et si, sans le savoir, nous venions d’ouvrir une porte ? La littérature érotique est remplie de récits de femmes – et d’hommes, d’ailleurs – qui aiment être malmenées, dirigées, dominées, et qui ne s’épanouissent sexuellement que dans ces situations peu courantes.
Mais je fus ramené à la réalité par les gémissements de Sophie qui annonçaient la venue de son plaisir et je me concentrai pour revenir à son unisson. Manifestement, mes pensées avaient contribué à mon excitation, et moi aussi je sentis venir ma liqueur qui jaillit avec cette force et cette générosité qui m’étonne à chaque fois. Bien vite, mes cuisses se mouillèrent de nos crèmes qui coulaient doucement de sa chatte.
C’est seulement le soir, dans la tiédeur de notre lit que nous avons abordé le sujet. Sophie a reconnu que la fessée avait déclenché chez elle une sorte d’onde érotique, et que chaque coup mêlait douleur et plaisir. Jamais elle n’avait soupçonné être sensible à ces pratiques qu’elle jugeait perverses et ridicules, avant. Mais, maintenant, à la lumière de cette première fois…
À partir de ce moment, nous avons enchaîné les expériences, testant les conditions, les limites aussi de tout ce qui pouvait contribuer à son nouveau plaisir. Au mien aussi, bien sûr, car j’étais sur tous les fronts, et qui n’a pas de plaisir lorsqu’il participe à l’épanouissement de l’être aimé ?
Nous avons découvert le monde de la domination et du SM doux à travers la littérature et les sites spécialisés. Aux deux malheureux sextoys que nous avions avant, sont venus se joindre de nombreux objets et accessoires qui forment maintenant notre quotidien. À part le matin, juste après le réveil où nous continuons notre « cuillère » préférée, nos parties de sexe incorporent ces objets.
Avec les beaux jours, nous avons aussi découvert le plaisir de l’exhibition. Un bouton de chemisier mal attaché et voilà le regard des hommes qui louche vers sa poitrine. Un top noir qui dégage les épaules et prouve qu’aucun soutien ne retient cette poitrine qui se balance à chaque pas, et voilà des hommes qui nous doublent pour s’arrêter un peu plus loin et regarder sans vergogne les tétons qui pointent et frottent le tissu. Ma favorite est cette robe assez courte pour, qu’assise, elle attire les regards dans l’ombre de ses cuisses et qu’ils découvrent que la coquine a oublié sa culotte. Ces provocations discrètes nous excitent, et souvent nous n’avons pas la patience de rentrer ; des étreintes furtives jalonnent nos promenades.
Dernièrement, j’ai mis au point un scénario que nous utilisons au retour d’une de ces escapades.
Sophie rentre seule à la maison. Quelques minutes plus tard, on sonne. Elle ouvre et se retrouve en face d’un visage masqué par une cagoule. Elle n’a pas le temps de refermer la porte que l’individu qui la menace d’un couteau la bouscule et ferme derrière lui. D’un geste au niveau de la bouche, il lui ordonne le silence et chuchote :
- Tu es seule ? J’ai vu ton copain partir. Il revient quand ?
Et, en brandissant son couteau, il ajoute :
- Attention, pas d’entourloupes !
D’une petite voix apeurée elle répond :
- Dans deux heures.
- Parfait ; j’ai tout mon temps pour te montrer qu’il ne faut pas s’exhiber et exciter les hommes. Fais-moi visiter.
Sophie s’exécute. Elle évite la chambre, craignant que le lieu n’inspire son agresseur, mais il semble connaître la disposition des lieux.
- Entre ; montre-moi ta chambre. Ah, il doit s’en passer des choses, ici. Madame est vicieuse. Elle aime exciter les hommes. Elle doit aimer aussi les satisfaire… Non ?
Tout en parlant, il ferme la porte à clé et fouille les tiroirs. Sophie ne répond pas mais constate qu’il met à jour tous nos secrets les plus intimes : les godes, les plugs, les cravaches, les cordes, les menottes, les pinces à seins ; enfin, tout notre attirail pour satisfaire chacun de nos fantasmes. Tout est sur le lit, objets incongrus hors de leur contexte. Il y ajoute la collection de lingerie que j’ai commandée au fil des mois et qui donnent à Sophie ce côté coquin, voire salope, que j’aime chez elle maintenant. Tout est là. L’envahisseur commande :
- Mets celui-ci ; celui-là. Le string…
Elle sort de la douche et il suffit de faire tomber le peignoir pour enfiler la lingerie choisie. C’est un connaisseur. Il s’approche d’elle, l’aide à tendre une bretelle, remonter un sein, enfiler une culotte. Il pose le couteau sur la table pour l’aider. Maintenant il n’est plus question de contrainte. Il apprécie, critique, donne son avis. On dirait un mari, un amant qui est avec elle dans la pièce ; et en plus, elle voit bien, par la bosse qui déforme son pantalon, qu’elle est dans le sujet. Sophie ne peut se retenir de séduire cet homme, même si sa présence n’était pas prévue ; mais elle reconnaît en lui un esthète, comme Paul, son compagnon. Elle fait la fière, se montre, s’affiche, mais d’un coup de cravache son envahisseur remet les pendules à l’heure.
- Suce-moi ! Demande-t-il.
En ouvrant le zip, elle semble reconnaître le tissu d’un slip qu’elle a elle-même acheté. Le sexe lui-même ne lui est pas étranger. La forme, l’odeur, le gland la rassurent. La queue ressemble à celle de Paul, son amant, son complice qui est parti pour un rendez-vous impromptu. Elle le prend dans sa bouche sans réticence, le suce, le pompe, appliquant tout son savoir-faire. Avec un peu de chance elle va le faire jouir, le privant ainsi du viol programmé. Mais l’homme ne se laisse pas faire. Il la félicite pour son art mais lui demande de se mettre à quatre pattes, sur le sol, en position de soumission, d’offre à la possession.
C’est un gode qu’elle sent entrer en elle, dans sa chatte humide et qui la rend coupable de complicité alors qu’elle n’est qu’une pauvre femme soumise aux caprices d’un violeur. Le sexe ne tarde pas et vient occuper le cul qu’elle offre d’habitude à son compagnon. Elle a honte car elle aime ce qui se passe. Possédée par ses deux trous par un inconnu, un inconnu qui n’a même pas pris la précaution d’enfiler une capote comme s’il était en pays conquis. Très vite, elle jouit. Du cul, du con ; peu importe : elle est une salope.
Lui se répand en elle, en larges coulées de sperme qu’elle apprécie et qui calment un instant sa chaleur coupable. Le liquide coule sur ses cuisses, mais il veut plus.
- Suce-moi ! Nettoie-moi ! Ma femme m’attend et je ne veux aucune trace de tes turpitudes.
Elle s’applique, suce, lèche, nettoie, fait le grand ménage, abandonnant une queue flasque, propre et digne.
Au moment de partir, alors qu’il reprend son couteau, il ajoute :
- Pas un mot ! Sinon… Sinon, la prochaine fois, je reviens avec des amis et tu t’en souviendras !
Elle est assommée par l’événement, ne voit pas le temps passer, mais entend déjà…
Je reviens de ce rendez-vous impromptu, ouvre la porte et appelle :
- Chérie… Tu es où ?
Pas de réponse. Je la découvre dans notre chambre, nue sur notre lit, somnolente, entourée de nos jouets et de ses dessous, comme si elle avait voulu faire un inventaire.
Je l’embrasse. Sa bouche a une drôle d’odeur. Je descends ma main vers sa minette offerte à mon regard. Elle est poisseuse comme si, mais oui comme si…
- Salope ! Tu as profité de mon absence pour faire venir ton amant ! Il t’a fait jouir. Il a craché sa semence en toi et tu l’as sucé. Ne nie pas ; sens !
Et je lui fais sentir l’odeur qui se dégage de son sexe.
Elle ne nie pas. Indifférente. Alors je me venge de cet adultère.
D’abord j’utilise ma science, nouvellement acquise par internet, pour entourer ses seins avec des cordages et les faire gonfler jusqu’à devenir des protubérances de chair rouge et douloureuse. Puis je fixe aux tétons des pinces avec des poids qui la font gémir. J’immobilise ses chevilles et ses poignets à chaque pied de lit, la rendant ainsi offerte et écartelée. Je choisis le plug le plus gros, celui avec la pierre rouge et l’enfourne dans son cul sans préparation. Puis, me saisissant des œufs vibrants, je les pousse dans sa chatte, vérifiant au passage que la télécommande envoie bien le signal au plus profond de sa chair.
Je profite de l’instant de notre jeu où Sophie, muette, à ma merci, écartelée sur le lit où elle vient de subir un viol programmé, désiré, attendu, par cet homme qui n’est autre que moi, mais que son imagination a sublimé.
Quelque mois plus tôt, nous étions des amants, actifs, mais bien classiques. Aujourd’hui, tout est changé. Plus compliqué, mais ô combien plus jouissif. Jamais ma queue ne s’est révélée si longue, grosse, dure, avec des flots de sperme que la décence n’imagine même pas.
Sophie attend. Elle sait ce qui va venir, et un instant je pense que nous devrions innover pour avancer. Mais j’avance. Ma verge, bien que raide, penche et se présente à la bouche qui ne demande que cela.
Elle sursaute. Les œufs vibrent la farandole. Ma verge avance, trouve le bon angle dans sa gorge inclinée au bord du lit. C’est censé être la vengeance de l’homme trompé, mais en réalité je sais que chaque poussée qui étouffe la gorge accueillante est attendue. La cravache la surprend toujours. Sur les cuisses, sur le sexe, sur les seins gonflés et douloureux, chaque frappe est un plaisir. Ma verge l’étouffe. Elle gémit, déglutit, libère des flots de salive qui font des bulles et des filets étonnants. Personne ne contrôle plus rien. La meute est lancée. Les œufs vibrent, les coups pleuvent, la queue envahit.
Enfin la jouissance est là. Coulées de sperme qui foncent dans le noir, mais que je répands sur son corps, regrettant à chaque fois qu’elle refuse de recevoir le sperme chaud et gluant dans sa bouche.
Voilà notre jeu. Nous l’avons inventé ensemble. Il nous apporte du plaisir mais il me semble que maintenant il laisse un goût de « déjà vu ». Alors j’ai fait l’erreur de ma vie en disant :
- Chérie, si nous cherchions quelqu’un qui pourrait nous guider et apporter de nouvelles idées ? Nos jeux tournent un peu en rond. Un autre, plus expérimenté, saurait sûrement te surprendre. Bien sûr, nous demanderions à ce que je sois présent. Qu’en penses-tu ?
- Un Maître ? Tu penses à un Maître ?
Elle a lâché le mot, ce mot que nous connaissions bien sûr, mais que nos recherches récentes montrent sous un jour nouveau. Parfait équilibre entre une soumise consentante et un homme – ou une femme, d’ailleurs – qui lui lance des défis tout en veillant à sa sécurité.
—ooOoo—
Un mois. Nous avons cherché un mois, multipliant les contacts, les liaisons Skype pour trouver notre homme. Nous sommes tombés d’accord sur un certain « Marc », avec un physique quelconque, un peu plus vieux que nous, gage d’expérience et qui semblait raisonnable dans sa façon de voir la domination. Nous ne voulions pas basculer du côté trop violent.
Nous convenons d’une première fois chez lui afin que nous fassions une première expérience.
—ooOoo—
L’adresse est un immeuble comme beaucoup dans Paris. Il faut traverser une cour étroite et monter quatre étages pour atteindre l’appartement, avec un palier qui montre une certaine décrépitude. On est loin de l’idée répandue du Maître fortuné et vivant dans un manoir. On sonne. Il ouvre. Petit deux pièces dont les fenêtres donnent sur la cour, avec l’immeuble en face presque à portée de main. Il nous conduit dans ce qui sert de salon. Au moment où Sophie va s’asseoir à côté de moi, Marc, le Maître, lui demande de passer à côté où quelque chose l’attend. Nous comprenons que le test commence.
Une minute, et elle revient avec un tablier de soubrette, charmant mais totalement décalé avec son pull et son jean. Marc, un sourire moqueur aux lèvres, lui précise que l’idée est de porter le tablier avec rien d’autre. Elle hésite, retourne dans l’autre pièce et nous revient avec juste le tablier et les dessous. L’effet est particulièrement coquin, les dessous en dentelle tranchant sur le satin noir du costume.
Pourtant Marc se lève, extrait d’un tiroir un mini fouet à lanières et, promenant celles-ci sur le corps de ma femme, lui demande :
- Vous méritez d’être punie. Vous savez pourquoi ?
- Non, je ne sais pas.
- Non, « Maître » !
Et il accompagne cette correction d’une pichenette sur les cuisses.
- Non, Maître, reprend-elle.
- J’avais dit : rien d’autre. Vous allez être punie ! Mes ordres doivent être respectés à la lettre.
- Oui Maître, répond Sophie avec un petit sourire aux lèvres, montrant ainsi clairement son souhait.
Le coup de fouet est déjà plus fort et elle en est surprise.
Je m’installe confortablement dans le fauteuil, curieux de voir un Maître procéder.
Il la pousse et la place à petite distance d’une fenêtre obturée par un épais rideau. C’est à ce moment que je découvre les attaches au sol et au plafond que Marc utilise pour l’immobiliser. Elle nous tourne le dos, bras et jambes écartés avec une tension qui doit tirer sur les membres.
Marc tourne autour d’elle, soubrette soumise mais encore fièrement dressée. Il approche son visage du sien, utilisant le manche du fouet pour soulever le menton et répète yeux dans les yeux :
- J’avais dit : rien d’autre.
Alors, sans l’avoir vu venir, il a une paire de ciseau dans la main et entreprend de découper les bretelles du soutien-gorge qu’il tire alors avec force pour le jeter à terre. Heureusement, elle avait choisi un tissu sans armature. Mais il ne s’arrête pas pour autant, et c’est la culotte qu’il découpe maintenant et qui tombe d’elle-même.
J’ai une pensée totalement désuète dans de telles circonstance en calculant combien de billets de dix Euros il vient de mettre à la poubelle.
- Voilà, c’est mieux. N’est-ce pas, Paul ?
J’acquiesce sans parler. C’est vrai qu’elle est bandante, exhibée de cette façon où il ne reste que le costume minimaliste qui ne cache pas grand-chose de ses charmes. De plus, la position des attaches – les bras plus en avant que le corps – la force à se cambrer.
Je regarde. Oui, je suis le témoin d’une première fois. Où sont nos exhibitions minimalistes, alors qu’aujourd’hui nous sommes dans l’appartement d’un homme qui dénude mon épouse, promène même ses mains sur son corps, les glisse sur ses seins, entre ses cuisses alors qu’elle se laisse faire ? Et moi ? Eh bien, moi, je bande à ce spectacle et attends avec impatience la suite.
La suite me surprend. Alors que je pensais que la punition allait tomber, je vois Marc attraper son smartphone. Peut-être veut-il immortaliser ce moment ? Pourtant, nous avions spécifié « pas de photos ou de vidéos ». Mais non, il compose un numéro, et alors que l’on décroche de l’autre côté, il annonce simplement : « On est prêt. ».
C’est tout ? Ou veut-il en venir ? Aurait-il prévenu des complices pour qu’ils nous rejoignent ? Non, je ne pense pas ; en tout cas, pas pour une première fois.
Avant de prendre la décision de faire appel à un Maître, nous avions longuement hésité car, très vite, nous avons réalisé que cela impliquait beaucoup de changements. Il était évident que ce Maître ne se contenterait pas de regarder, mais qu’il pourrait profiter sexuellement de Sophie. Étions-nous réellement prêts à sauter le pas ? En plus, lors de notre première rencontre, Marc avait été très clair sur le sujet et avait même ajouté que la participation d’autres pouvait s’envisager. Sophie, la première intéressée, m’avait demandé de décider, comme si elle craignait que ce soit moi le plus touché par le spectacle de ma femme avec d’autres hommes. Bien sûr, j’ai fait le fier et donné mon dernier ordre de Maître avant de céder la place à Marc.
La réponse à ce choix est sous mes yeux : un homme caresse ma femme et je bande.
Marc s’approche du rideau et le tire d’un coup sec, livrant la pièce à la lumière crue d’un soleil qui nous aveugle un instant.
- Quelqu’un regarde… affirme Sophie en se tortillant.
Je me lève pour vérifier par l’autre fenêtre et découvre qu’en effet un couple regarde dans sa direction, leur propre fenêtre étant à peine à cinq mètres, la largeur de l’étroite cour que nous avons traversée en venant. Ils saluent de la main Marc qui s’est montré. Ainsi, voilà la raison de cet appel. Ce sont ses voisins qu’il a prévenus !
C’est ce que nous recherchions en prenant un Maître. L’expérience, la surprise mais aussi l’habitude d’évoluer dans ce milieu et d’avoir des amis, des complices peut-être qui s’invitent dans le jeu.
Marc s’est placé derrière Sophie qui semble perturbée par les voyeurs. Il lui parle dans le creux de l’oreille. Je n’entends pas, mais un cri sort de la bouche de l’apprentie soumise :
- Non, je ne veux pas !
- Comment, tu oses ?
Que lui a-t-il dit ? Marc se saisit de son fouet et commence à en marteler le dos, les fesses, les cuisses de Sophie. Les coups semblent ne pas être très violents, mais petit à petit la chair rosit et elle se tortille, mais le reflet de son visage dans la vitre de la fenêtre me rassure. Je connais cette expression : chaque coup déclenche une onde de plaisir et je ne serais pas surpris qu’elle mouille.
Marc arrête ses coups, et maintenant c’est avec le manche de son fouet qu’il joue sur elle. Il est moulé en forme de sexe érigé, et c’est ce gode qu’il glisse entre les cuisses pour le pousser dans la chatte. Quelques va-et-vient et il le ressort pour le présenter à son anus qu’il franchit d’un seul geste.
En quelques secondes, tous les tabous sont franchis. Marc abandonne le fouet qui reste en place et m’offre cette vision surréaliste des lanières qui forment une queue. Il détache les deux lacets qui retiennent le tablier de soubrette, laissant Sophie plus que nue aux regards des voisins qui n’en perdent pas une miette.
Marc reprend ses confidences à l’oreille de Sophie. Elle me racontera après qu’il la provoquait en lui promettant les pires punitions et que ce qu’elle endurait en ce moment n’était que broutilles par rapport à ce qu’il envisageait pour elle. Tout en lui parlant il la maltraite, tordant ses tétons, la pinçant et régulièrement claquant ses fesses autour du manche toujours en elle.
Il se tourne vers moi, me fait signe d’approcher et, d’un geste des reins, me montre ce qu’il attend de moi. Ma queue est heureuse d’être libérée, étouffée qu’elle était dans mon pantalon. Marc, enlevant le gode du cul de ma femme, me montre le chemin. Voilà ; j’entre dans le conduit déjà dilaté. J’ai maintenant une bonne vue sur le couple d’en face. Lui aussi s’est déplacé. La femme est en appui sur le bord de la fenêtre et l’homme est manifestement en train de la posséder, bien que la jupe me cache le spectacle.
Je suis rappelé à l’ordre par un léger coup sur mes fesses. Marc veut que je m’active. C’est un ordre délicieux, et pendant que je sodomise ma femme, je joue les voyeurs en regardant le couple se démener aussi, la femme devant s’agripper pour ne pas se laisser emporter par les coups de boutoir. Quel charmant spectacle ils nous offrent ! Mais c’en est un autre que Sophie et moi leur donnons, pauvre soumise, nue, écartelée, sodomisée avec violence et que Marc agrémente de quelques claques sur les seins.
Je jouis. Ma semence se répand dans le cul, déclenchant une sorte de jouissance hystérique de Sophie.
Voilà pour notre première fois. Ni elle ni moi n’avons été déçus ou même avons regretté notre décision. C’est comme si tout nous était familier et ne nous choquait pas. Je suis le premier surpris du plaisir que j’ai pu ressentir dans cette situation, et maintenant je suis même impatient de voir son Maître aller plus loin. Je suis moins étonné pour Sophie, car j’ai toujours pensé qu’avant de me connaître elle avait eu de nombreux amants, et pas seulement l’un après l’autre, si la rumeur était vraie.
—ooOoo—
Chaque jour de la semaine, Marc envoie une requête à sa soumise. Il est évident qu’il veut établir son emprise par des gages assez classiques dont il me demande d’en vérifier l’exécution. Me voilà adjoint au Maître, et je remplis ma tâche avec enthousiasme. Un seul gage me dérange : c’est l’interdiction pour Sophie de faire l’amour, et même de se caresser. Elle doit rester « vierge » pendant toute la semaine. Rien que de penser à samedi prochain me fait bander. Heureusement, parmi les gages, des fellations dans un parking et une porte cochère me permettent de relâcher la pression. D’habitude, Sophie n’est pas une fana du genre, mais je dois reconnaître qu’elle s’est forcée, comme quoi mon statut d’adjoint apporte des avantages.
Sophie est à cran. Elle avoue une envie irrépressible de baiser. C’est le but de son Maître. Enfin, samedi arrive. Elle est littéralement rivée à son téléphone. Et si Marc annulait ! Quelle punition ce serait. Enfin, le SMS sauveur arrive : « Préparer repas pour quatre. Arrivée vingt heures chez toi. Tenue de soubrette. »
Je n’ai jamais vu Sophie préparer un repas avec autant de plaisir, elle qui se plaint constamment de cette contrainte. Elle ne cesse de me questionner :
- Quatre ! Tu crois que nous sommes comptés ? Vient-il avec un invité ? Deux, peut-être ? Du vin, as-tu du vin en cave ?
Enfin vingt heures approchent. La table est mise. Pour ne pas être perturbée, Sophie a prévu un repas froid. Elle sort de la salle de bain, magnifique dans sa tenue de soubrette qu’elle ne gâche pas avec des dessous. Je la connais bien ; elle ne tient pas en place et est si excitée qu’un geste suffirait à la faire jouir.
On sonne. Elle se précipite, ouvre la porte. Marc apparaît, mais l’ignore pour me saluer.
- Bonsoir, Paul. Merci de nous accueillir dans votre maison. J’ai apporté du champagne.
Il a une bouteille à la main, se tourne vers Sophie et la lui donne sans un mot.
Elle comprend, moi aussi. Elle doit se la jouer soubrette et non pas épouse qui reçoit.
- Je me suis permis de venir avec deux amis.
Il se tourne pour faire les présentations.
- Sandrine ; son ami Pascal. Vous vous connaissez, je crois.
Bien sûr que je les reconnais : ce sont les voisins voyeurs.
- Entrez, je vous prie.
Et comme je décide de jouer le jeu, je demande à Sophie – la soubrette de service – de leur montrer le chemin du salon.
C’est un régal de la suivre, son habit la laissant totalement nue dans le dos. Pour être honnête, le devant n’est pas beaucoup plus caché, et l’ensemble ne tient que par deux lanières. Sophie me surprend par sa décontraction. Où a-t-elle appris à être si à l’aise, presque nue, devant d’autres ? Je la soupçonne même d’exagérer son déhanchement, mais quel délice !
Elle a décidé de jouer le jeu, et aussitôt que nous sommes installés dans les fauteuils, elle nous apporte les apéritifs. Pendant ce temps, j’esquisse un début de conversation.
- Nous nous sommes déjà vus, n’est-ce pas ? dis-je au couple de voyeurs.
C’est elle qui répond :
- Bien sûr, en face de chez Marc, avec votre soubrette.
Un charmant sourire évocateur de cet instant accompagne la réponse.
Me tournant vers Marc, je l’interroge.
- Vous vous connaissez depuis longtemps ? demandé-je, curieux de savoir si les voisins sont des voyeurs occasionnels ou attitrés.
Marc se tourne vers le couple, comme s’il demandait son autorisation. L’homme hoche la tête.
- C’est une longue histoire. Sandrine a été ma soumise pendant plus d’un an. Délicieux moments, je dois dire.
Et, se tournant vers Sophie, qui ne sachant quelle attitude adopter, reste debout à côté de moi :
- Nous verrons si votre soubrette saura atteindre ce niveau.
Et, revenant vers moi :
- Notre ami Pascal a enflammé son cœur, et j’ai renoncé à mes prérogatives devant un si bel amour. Mais heureusement, Pascal est un esthète partageur et nous formons une grande famille, ce qui explique leur présence aujourd’hui.
- Monsieur est servi.
Sophie joue son rôle. Nous passons à table. Je dois reconnaître que le repas a été vite expédié, chacun anticipant la suite.
Retour dans le salon. Service du café. Quel charmant spectacle que ce postérieur dégagé lorsqu’elle se penche ! Personne, même moi, ne résiste au plaisir de flatter la croupe, voire de glisser un doigt inquisiteur. Le mien ressort trempé, preuve que la coquine apprécie le traitement.
Puis, faute commise exprès ou mauvaise manipulation, une tasse se renverse. Marc se dresse.
- Maladroite !

A suivre

Histoire du net. Auteur: Robert. Anne 92. Addiction.... Fin

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Mais quand les jeux deviennent addiction et soumission...

De fil en aiguille
fin
Auteur : RobertAnne92
Elle s’est figée. Je suis certain qu’elle se dit « enfin ». Ses yeux implorent. Je sais maintenant que ce n’est pas le pardon qu’elle attend. Non : la coquine attend la punition. Les coups ! Les claques ! Les sévices ! Tout ce qui précède et qui va augmenter encore son envie de se faire posséder.
Oh, les coups ne sont pas trop forts.
Les claques pas trop appuyées.
Les sévices raisonnables.
Surtout pendant pas trop longtemps, car elle ne souhaite qu’une chose : c’est qu’un sexe viennent la fouiller, glisser dans sa chatte, dans son cul ; peu importe, pourvu que la braise qui occupe son bas-ventre depuis plusieurs jours puisse s’éteindre par la semence d’homme.
Mais Marc en décide autrement. Des claques, oui. Quelques-unes sur les fesses, sur la chatte, sur les seins alors qu’il lui enlève le déguisement de soubrette. Mais de possession, non. J’imagine qu’elle ruisselle, cyprine si souvent absente pendant nos baises. Enfin, avant. Avant que nous découvrions ce déclencheur chez elle.
Sandrine, complice depuis si longtemps, comprend « à demi geste ». Un mouvement et elle nous montre son corps sculptural magnifiquement hâlé dans les moindres recoins. Marc pousse Sophie vers elle, la force à s’agenouiller entre les cuisses de bronze et… Sophie n’est pas idiote. Elle comprend, même si c’est inhabituel, nouveau pour elle. Son Maître le lui demande. Son Maître exige. Elle obéit. Elle plonge. Trouve une odeur bien différente, une humidité particulière.
C’est une des questions qui me taraudait lorsque j’ai connu Sophie et son passé, en Autriche, si riche en expériences diverses :
- As-tu déjà fait l’amour avec une femme ?
- Jamais, a été sa réponse.
D’une certaine façon, c’est un dépucelage, et j’en connais des biens pires. La soumise, ma femme, s’exécute et remplit sa mission. Sa tête et les cuisses cachent l’ouvrage. Ouvrage bien fait. Amour du travail parfait. C’est une tradition dans ma famille, y compris pour les pièces rapportées.
Elle me fait honneur, et Sandrine – que je pense véritable experte dans tous les arts de l’amour – ne cache pas son plaisir.
Je n’ai pas affaire à des ingrats. Ma femme suce, on me propose de me faire sucer. Pascal, amant complaisant, me fait comprendre que je peux profiter aussi de sa compagne.
Pour plus de commodité, j’enlève pantalon et slip afin d’enjamber le couple en action, monter sur le canapé et amener mon sexe qui ne demande que cela dans la gorge de Sandrine. Alors commence ce que je considère avec du recul comme le meilleur pompier de ma vie. D’accord, je n’ai pas l’expérience de nombreuses suceuses, mais depuis quelques années je m’étais fait aux sucettes mal dégrossies de Sophie, qui manifestement n’était pas une adepte du genre. Surtout ne lui parlez pas de cette pratique « immonde » de juter dans sa bouche !
Sandrine, c’est autre chose. On voit, on sent qu’elle aime sucer. Sa bouche est un
aspirateur, et heureusement que mes couilles bloquent le chemin sinon je disparaîtrais corps et âme entre ses lèvres. Je suis sur un nuage. Rien ne m’empêche d’avancer et de plonger dans sa gorge. Même le gargouillis chante à mes sens. Et que dire de ces pressions subites qui doivent correspondre à des caresses de ma femme…
C’est divin, sublime. Jamais ma queue n’a été sucée avec tant d’ardeur et de plaisir évident. On est loin des sucettes, rapides, léchages laborieux de Sophie désireuse de se débarrasser au plus vite de ce qu’elle considère comme une corvée. Ma queue est en pays conquis. Je me branle lentement, essayant de me retenir le plus longtemps possible en territoire inconnu, mais il me faut reconnaître la valeur de mon adversaire et je vais venir. Du plus profond de moi, je sens mon jus se préparer à se déverser en flots impétueux. À moi aussi, cette semaine m’a semblée une éternité, et ce ne sont pas les branlettes de ma femme que je sens chaude comme la braise qui m’ont suffi.
Je vais me retirer pour épargner cette gorge accueillante du sperme peut-être malvenu, mais je sens sur mes fesses une pression qui me retient.
Alors… Oh mon Dieu, que c’est bon ! Je jaillis et déverse ma liqueur avec une jouissance jamais égalée. Tout est accepté. Les lèvres sont des portes closes d’où rien ne s’échappe. Mon sexe glisse doucement hors du nid chaud et humide. Je me recule, enjambe ma femme toujours en action, soumise obéissante.
Trois hommes regardent. Deux femmes s’activent. Sandrine relève Sophie d’entre ses cuisses.
C’est terminé ! Pour l’instant.
Mais non : Sandrine attire sa maîtresse d’un soir vers elle. Les visages se touchent. Les lèvres se joignent. Mais sans prévenir, Sophie se recule avec violence et semble vouloir cracher.
J’ai compris : elle refuse ce que Sandrine a gardé dans sa bouche. Mon sperme, liquide gluant et chaud que ma femme a toujours refusé de recevoir et que Sandrine lui transmet dans ce baiser.
D’un seul coup, l’ambiance change. La soumise n’accepte pas… Des punitions, des gages doivent être donnés si l’on veut que l’ordre règne. Où va-t-on si les soumises refusent les cadeaux ?
La réponse est immédiate. Marc, sans prévenir, claque la rebelle. Je ne suis que le témoin, mais d’une certaine façon je comprends que l’offense doit être lavée. Il fut une époque où l’on en a guillotinées pour moins que ça.
Marc échange un regard avec Pascal. Après tout, à travers son amie, il a été offensé. Comment, une soumise refuse le cadeau d’une amie, en plus le propre jus de son homme ? D’un geste, il baisse son pantalon, pousse le slip et nous présente un sexe digne de considération. Déjà tendu, à la fois long et épais, parfaite image de ce que certains hommes, moi compris, aimeraient posséder. Mais d’une certaine façon, une ancienne soumise comme Sandrine, que l’on imagine expérimentée et experte, n’aurait pas pu tomber amoureuse d’un homme avec un sexe de minable.
Sophie comprend qu’elle n’a pas d’autre alternative que de se pencher pour venir sucer Pascal. J’assiste alors à ce que je n’ai jamais osé faire, et peut-être que j’aurais dû faire il y a bien longtemps : Marc et Pascal s’associent pour que Sophie engloutisse la verge érigée. Sandrine, bonne copine, montre à ma femme la façon de faire. Prendre sa respiration avant. Ne penser qu’aux lèvres qui avancent sur la hampe. Oublier ce reflex lorsque le gland touche la glotte. Jouer de la langue pour lécher la queue.
Mais lorsque la semence jaillit, il faut toute la persuasion physique de Marc pour que Sophie ne se sauve pas. C’est un peu fort, et je me demande si je dois intervenir ; mais en réalité, il suffirait d’un geste de Sophie pour que je vienne à son secours, geste qu’elle ne le fait pas.
Je reconnais que je ne suis peut-être pas tout à fait indifférent, car c’est une gâterie que j’attends depuis longtemps.
Enfin, quelques secondes plus tard, tout est terminé lorsque nous voyons tous ma femme avaler ce que Pascal a libéré dans sa gorge. Manifestement, ce n’est pas si terrible car tout se termine par un sourire, et je me souviendrai toujours du petit coup de langue qui vient chercher aux commissures de ses lèvres la dernière trace de liquide.
Chacun se repose. Je m’étonne pourtant que Marc n’ait pas profité de son emprise, maintenant bien évidente sur ma femme, pour la baiser. Elle n’attend que cela. Un aveugle sentirait que la tension sexuelle est insupportable. Je ne connais pas grand-chose aux relations qui régissent le contrat « Dominant-dominée », mais je m’étonne qu’un Maître n’honore pas sa soumise de temps en temps.
J’en suis là dans mes réflexions lorsque Marc lance :
- Il est l’heure. Allons-y.
« Mais où allons-nous ? » Manifestement, le couple est au courant car il ne demande rien. Marc m’attire à part pour m’informer qu’ils ont prévu d’aller en boîte, en boîte échangiste et SM, me précise-t-il avec un sourire. Il me demande de ne pas en informer Sophie pour lui faire la surprise.
Sophie nous regarde bavarder et m’interroge du regard. Je décide de continuer le jeu en la rassurant d’un sourire, juste avant que Sandrine ne lui bande les yeux. Je n’ai que le temps de la recouvrir d’un manteau, vêtement totalement déplacé en cette belle nuit de juin, avant que tous les cinq nous nous enfournions dans la voiture.
Je suis monté devant avec Pascal au volant. Sophie, à l’arrière, coincée entre Marc et Sandrine, semble inquiète ; je la rassure par un « Je suis là, chérie. ». Le trajet se fait en silence, bien que par moments j’entende de petits gémissements qui doivent être le résultat de quelques caresses sur le siège arrière.
Je commence à comprendre la tactique de Marc. Son but est d’échauffer le plus possible sa soumise, pour… Mais dans quel but ? Manifestement, tout est déjà organisé et planifié. Je suis heureux d’avoir fait le bon choix. Il semble imaginatif, et en une semaine il a déjà révolutionné nos habitudes. C’est étonnant comme cet homme qui ne frappe pas par son physique dégage une aura de commandement.
La voiture stoppe juste devant une porte discrète avec une simple plaque : Club Privé. Nous descendons alors que notre chauffeur repart garer son véhicule. Manifestement, Marc est connu car nous entrons sans problème. Juste un droit d’entrée plus que rondelet. Les hommes seulement, les femmes ne paient pas.
Personne ne s’étonne de voir passer une femme nue – le manteau a été déposé au vestiaire – les yeux bandés, accompagnée par trois personnes. Nous allons nous installer au bar juste à côté d’une piste de danse où une faune surprenante évolue. Dommage que ma femme ne puisse pas voir ! Le paysage vaut le détour. Des couples de tous les genres, des tenues les plus excentriques ; tout le monde semble à l’aise. Certains se frottent sans vergogne, d’autres gesticulent.
Un serveur apporte à boire au moment où Pascal arrive. Il tient un sac à la main. Marc en extrait un collier et une laisse qu’il fixe au cou de ma femme. Il ajoute une sorte de bâillon avec une boule rouge qui la force à garder la bouche ouverte.
C’est ainsi, aveuglée et attifée des symboles de la soumission, que nous parcourons le dédale des pièces et couloirs de ce club qui semble se prolonger sans fin sous terre. Bien sûr, depuis la découverte de l’addiction de Sophie au SM, nous avons passé des heures sur Internet, acheté toutes sortes de revues où les choses les plus élégantes côtoient les plus crades. Ici, à chaque recoin, ce sont les travaux pratiques qui s’affichent. Si la majorité des dominés sont des femmes, quelques hommes sont aussi sur la sellette.
Marc, qui semble savoir parfaitement où aller, entre dans une pièce déjà occupée. J’imagine que c’est à dessein, car depuis le couloir des vitres ne cachent rien de ce qu’il s’y passe. Non, excusez-moi : ce ne sont pas des vitres, mais des miroirs sans tain. C’est flippant, car presque tous les murs sont recouverts de miroirs qui renvoient votre image à l’infini, et très vite on ne sait plus très bien où cela s’arrête. Un instant, j’ai l’impression d’être ivre et je vacille.
Plusieurs personnes sont déjà là. Elles regardent un homme allongé sur le dos, le visage recouvert par une cagoule, les jambes tirées vers le plafond. Il est à la merci d’une femme. Bien sûr, la position ne m’est pas inconnue ; j’en ai vues de nombreuses sur Internet, mais ici c’est différent. Je me glisse entre deux spectateurs. La femme est en train de fixer sur elle un gode noir plus que respectable, qui brille de lubrifiant. Lorsqu’elle approche le gland de l’anus, on se rend vraiment compte de la taille, pointe sombre sur petit trou blanc, lisse mais aussi gras de crème.
Le gémissement de l’homme lorsqu’elle force le passage n’est pas simulé, mais aussitôt il se transforme en soupir alors que la femme engage totalement l’objet dans son fondement. Elle est à fond, se tortille comme si elle voulait gagner quelques millimètres encore et explorer chaque parcelle du conduit. Nous assistons tous au retrait du gode du cul de l’homme, dont l’orifice reste étonnamment ouvert comme une porte sur les profondeurs intimes. Elle le réinvestit maintenant sans délicatesse, mais n’est-ce pas de cette façon que le plaisir arrive ? Maintenant elle le baise et l’encule avec entrain, secouant l’homme violemment. Une main sur ses cuisses pour le maintenir, une autre qui le masturbe en cadence.
- C’est beau, n’est-ce pas ? dit une voix à mon côté.
C’est Sandrine ! Mais elle ne fait pas que me parler ; elle passe sa main sur mon sexe, et comme elle le trouve dur, me provoque.
- Oh, mais cela te plaît, dis donc. Des goûts pour la sodomie ?
Je ne réponds pas, mais elle met bien le doigt là où ça fait mal. C’est vrai que depuis que nous explorons le net avec Sophie, ces images d’hommes sodomisés me hantent. Elles me rappellent une aventure avec un copain en vacances. Il ne cachait pas vraiment son goût pour les garçons, mais je me croyais à l’abri. Pourtant un soir, alors qu’on était rentré bredouille de conquêtes, il est tombé à genoux devant moi alors que je sortais de la douche, et sans me laisser le temps de réagir, il m’avait sucé. Et c’était bon, vraiment bon. De fil en aiguille, comme on dit, je lui avais rendu la pareille, et même au-delà. Il m’avait initié aux plaisirs entre hommes, me donnant son cul à posséder et me persuadant même de recevoir sa verge dans mon anus. Sophie était au courant, ayant découvert une vieille photo ou « Arthur », en adolescent inconscient, avait immortalisé au Polaroïd une prise où, nu, il me flattait la queue bien raide.
Je n’ai pas l’impression d’être resté longtemps, et pourtant lorsque je retourne vers mes amis, je trouve Sophie en position. Tout le monde me regarde, même elle, car il lui a enlevé son masque et j’imagine que pendant qu’il réalisait son chef-d’œuvre, elle devait regarder autour d’elle. Elle n’est pas la seule ; j’ai l’impression d’être le centre de l’attention de Marc, Pascal et consœurs.
Marc a réalisé une œuvre d’art. Avec des cordes, certainement extraites de son sac à malices, il a élaboré un bondage que j’aurais aimé être capable de faire. Chaque brin de corde, manifestement rugueuse pour transcender les liens, s’aligne en parfaite harmonie, aucune de chevauchant l’autre, enroulant les seins de ma belle, les projetant en avant, durs, tendus et déjà écarlates sous la pression, pour continuer dans le dos, former une boucle après avoir immobilisé ses bras. Suprême attention, les propres mains de Sophie se retrouvent plaquées sur ses fesses comme si elle se préparait à les écarter pour mieux les offrir.
Manifestement déjà connaisseuse de la position, Sandrine aide Sophie à se pencher en avant pendant que Marc fixe la boucle du dos à une corde qui pend du plafond. La soumise est en déséquilibre, en appui sur ses jambes, le haut du corps à l’horizontale, la croupe offerte.
Certains spectateurs du couple en sodomie regardent de notre côté maintenant. Sophie cherche la bonne position, l’équilibre qui ne tire pas trop sur ses seins. Pendant ce temps, Marc sort de son sac une sorte de crochet métallique sur lequel il visse une boule de métal. Sophie est comme moi, incrédule. Je ne connais pas cet objet. Ma femme me questionne du regard, mais je fais un signe d’ignorance. La réponse arrive très vite car Marc, passant par derrière, positionne la boule brillante à la porte du cul. Elle entre facilement, avec juste un frisson de surprise de la soumise. La suite est étonnante et je suis avec attention. Sur le front de Sophie, il place une sorte de bandeau qu’il relie au crochet anal.
Je comprends alors que c’est un sévice particulièrement vicieux qu’il met en place. Si la nuque faiblit, la corde tire sur le crochet et la boule dans l’anus bouge. Elle doit donc rester cambrée et en équilibre.
Maintenant, il sort une série de cravaches qu’il propose aux voyeurs. C’est la farandole. Heureusement, aucun ne lâche ses coups et Sophie doit en être satisfaite. Pendant ce temps, Marc baisse son pantalon et libère son sexe que je suis tout étonné de ne pas trouver bandé. Il le propose à la bouche de Sophie que je ne reconnais pas, tant elle se précipite sur lui, au risque de tirer sur son cul. Enfin ils ont trouvé le bon équilibre. Les autres reculent.
Chacun reconnaît, et un instant j’en suis jaloux, que cette femme appartient à cet homme et que lui seul décide. Marc maintient la tête de ma femme pour que son sexe soit entièrement absorbé. C’est facile au début et elle ne semble pas en souffrir. Mais manifestement, la chose qui occupe sa bouche demande de plus en plus de place et il faut toute la force du Maître pour que Sophie résiste. Des larmes coulent de ses yeux. Elle étouffe. On entend des bruits sourds. Elle va défaillir, tourner de l’œil, mais manifestement il sait être attentif et relâche la pression, juste ce qu’il faut et juste un moment, pour reprendre aussitôt.
Le sexe qui réapparaît n’a rien à voir avec la petite chose molle d’avant. Court, noueux, c’est une verge de paysan, bite taillée pour labourer les champs féminins de nos campagnes. Quand je pense que huit jours plus tôt ma femme faisait la fine bouche et ne suçait que par devoir conjugal la pauvre queue maritale… Une semaine, c’est tout ; cela a suffi à la transformer en bouffeuse de bites ! Que n’ai-je pas forcé le destin et sa gorge par la même occasion plus tôt… Elle ne perd rien pour attendre !
Maintenant, son Maître veut venir chercher sa récompense. Il passe derrière elle, et d’un coup de reins ravageur envahit la chatte qui doit être humide depuis des heures, avec un seul et même but : se faire prendre enfin par lui. C’est un conquérant qui s’avance. Le terrain est déjà conquis. Cela fait une semaine qu’elle rêve de cet instant : qu’il la baise enfin. Le Maître prend sa part, et si cela ressemble à un viol tellement les coups sont donnés avec violence, alors c’est un viol consenti car Sophie ne cesse de crier son plaisir. Il la laisse parler, réclamer, supplier qu’il continue, dire qu’elle jouit sous ses coups, qu’elle promet d’être son esclave, sa chienne, sa chose, pourvu qu’il accepte de la diriger.
Un tel langage me choque un peu. J’en serais presque jaloux. Marc, en fin psychologue, me sourit mais aussi m’invite du geste à venir prendre ma part du gâteau.
Moi, ma queue est douloureuse d’être restée tendue depuis notre arrivée au club et elle bondit du slip comme une prisonnière qui rêve de franchir le mur. Je n’ai même pas besoin de me pousser beaucoup pour que Sophie m’absorbe, tellement elle avance sous les coups de son Maître. Si j’ai toujours été un mari attentionné et un amant à l’écoute du plaisir de sa femme, ce soir je suis un phallus qui n’a qu’une envie : enfin cracher sa sève dans la gorge de sa femme.
C’est si facile… Je n’ai qu’à me tenir bien droit dans mes bottes. C’est Marc qui fait tout le travail. Chaque coup de boutoir fait avancer les lèvres pulpeuses qui glissent, sucent puis repartent pour enfin revenir à la charge. Cet effet de balancier est divin, et là d’où je suis, je peux voir l’anneau anal se redresser et certainement labourer le cul occupé.
J’ai honte, mais je n’arrive pas à me retenir. Peut-être est-ce l’envie inconsciente qui me pousse à conclure ? En tout cas, moi aussi j’ai accumulé des envies pendant la semaine écoulée, et je noie la nouvelle pompeuse sous des flots de sperme. Aucune aversion. Aucune grimace. Au contraire, un sourire de remerciement. Ce n’est pas possible, on me la changée ! Merci, Marc. Merci. L’avenir me paraît radieux.
J’abandonne la gorge avec la cambrure qui montre qu’elle déglutit et que mon sperme suit un chemin inexploré. Un seul regret : ce n’est pas moi qui ai testé le premier ce chemin. C’est Pascal, à la maison, il y a deux heures. Deux heures, et le monde est transformé.
D’ailleurs, Pascal n’est pas loin et c’est lui que Marc encourage à prendre ma suite. Et de deux. Suce, ma chérie : tu as du retard à rattraper ! Et alors que ton Maître te bourre, que ton cul est occupé par une sphère traîtresse, son ami se fait un plaisir de se faire pomper.
Lui aussi déverse son jus alors que Marc continue sa besogne. Nouvelle coulées de liqueur ! Au fait, sauras-tu me dire si le goût est vraiment différent ?
Marc va-t-il faire appel à quelqu’un d’autre ? Je redoute pour Sophie ce Black, armoire à glace qui doit faire les délices des soirées avec la tige qui pend et qui doit faire peur à plus d’une. Mais non, nous restons en famille. La bouche libérée, Sophie recommence ses encouragements. Je ne la connaissais pas si bavarde, ni salace. Si elle a toujours la jouissance partageuse, jamais je ne l’ai entendue si salope et vulgaire.
Enfin Marc donne des signes de faiblesse, montrant qu’un Maître n’en est pas moins homme. Il arrache la capote protectrice et déverse, en larges coulées, son sperme. Mais oui, même chez les Maîtres, le sperme est blanc et crémeux.
La pièce se vide et Sandrine, qui s’est absentée, est accueillie en héroïne pour étancher notre soif avec une bouteille de champagne. Sophie, libérée de ses carcans, passe du statut de soumise à celui d’égale après que Marc l’ait félicitée pour sa disponibilité et les dons manifestes qu’elle a montrés.
Alors que tous les cinq nous trinquons en l’honneur de la nouvelle héroïne, ma femme bien aimée, ma maîtresse, ma « salope », Marc annonce :
- La tradition avec moi est que chaque nouvelle soumise qui a parfaitement joué son rôle a droit de demander à chacun d’entre nous, même à tous si elle le désire, un souhait que l’on doit réaliser. Tout le monde est bien d’accord ?
Bien sûr, nous donnons notre aval. Je suis impatient de voir ce qu’elle peut imaginer. Avec Sandrine, avec Marc, avec Pascal ? Lequel va-t-elle choisir pour son gage ? Je suis persuadé qu’elle va demander quelque chose à son Maître pour, d’une certaine façon, prendre une douce revanche.
Elle demande à réfléchir. Chacun respecte son silence. Enfin, elle parle à Marc, mais sans que nous puissions entendre. À sa tête, il est surpris de la demande, mais finalement sourit.
- Nous sommes bien d’accord : pour cette fin de soirée, Sophie est « la chef », quelle que soit sa demande.
Nous nous regardons. Qu’a-t-elle pu imaginer ? Mais Marc pose la question à chacun, et chacun doit répondre et jurer, cracher, cochon qui s’en dédit…
- Paul, peux-tu retrouver le beau Black qui regardait tout à l’heure ?
La coquine, la longue queue la fait rêver ! Décidément, chaque minute me surprend.
Ma mission est facile ; il n’est pas bien loin et accepte de me suivre lorsque je lui parle de ma femme qui l’attend. Lorsque nous arrivons dans la pièce, tout le monde attend. Sophie vient accueillir notre invité. La verge pend toujours, métronome qui ponctue la marche. Elle le guide vers un siège et commence à le caresser. Ainsi, c’est cela, son envie : un beau Black, une grosse queue ; et moi qui croyais que la taille n’était pas tout… J’ai juste le temps de voir que sous son action, le membre prend forme, que Sandrine vient vers moi. Elle est nue, et c’est vrai que c’est la seule de la soirée à ne pas avoir eu son plaisir. À moins que sur le trajet du bar elle ait trouvé chaussure à son pied.
Ses caresses réveillent le loup en sommeil. Son ardeur est communicative. Je veux moi aussi la caresser, sucer les petites lèvres que ma femme a honorées en début de soirée ; mais elle est pressée, elle est chaude et s’allonge sur le lit, me tendant les bras comme une nageuse qui attend son sauveur. J’entre en elle comme un sous-marin glisse dans les abysses. Sans bruit, sans résistance, entre deux couches thermiques. Je vais la besogner, la faire hurler de plaisir, toute ancienne soumise qu’elle est. Il n’y a pas de petites revanches. Au moment où je pense cela, je sais que c’est ridicule. Aucune compétition entre Marc et moi. Lui, c’est le Maître. Moi, je suis le mari, l’amour de Sophie. Mais nous les hommes, nous ne pouvons pas nous empêcher de voir la concurrence et le défi partout. Souvenir d’une époque où l’homme de Cro-Magnon chassait les femmes pour les féconder et assurer la descendance.
Sandrine veut se la faire plus tranquille. Elle me serre contre elle ; ses bras m’enveloppent, ses jambes m’emprisonnent.
Tiens, Sophie nous rejoint. Elle aussi s’allonge sur le lit, à côté de ma maîtresse. Je regarde, pensant voir le beau Black venir la chevaucher, mais c’est Pascal qui se présente. Il la possède.
J’ai compris ! Son souhait est de se faire prendre par deux hommes, et je regrette de ne pas pouvoir être un de ceux-là.
C’est le doigt de Sandrine qui me met la puce à l’oreille. Elle le promène dans ma raie du cul et profite de ma surprise pour me l’enfiler. Oh, je ne suis pas contre ce genre de pratique. Sophie le fait quelquefois. Mais lorsque le doigt se retire et que quelque chose de froid est largement étalé, je comprends ce qui va se passer.
Un regard à ma femme confirme mon soupçon. Un instant j’envisage de fuir, mais la seconde suivante la raison l’emporte : je perdrais définitivement son amour si je n’étais pas capable d’accepter ce que je lui demande. Un flash, et je reviens quinze ans en arrière, cette soirée où Arthur avait doucement envahi mon cul avec sa bite.
Une pression, douleur qui irradie mais disparaît aussi vite qu’elle est venue. J’attends qu’il avance pour m’occuper, mais rien ne se passe. Oh, plutôt si : je sens son ventre sur mes fesses et, mais oui, ce sont des couilles d’homme qui frappent et concurrencent les miennes. Il est en moi, et c’est seulement maintenant que je sens cette chose, longue, dure, énorme qui m’encule.
Tout me revient à l’esprit ; cette bite qui dilate mon cul, c’est ma « madeleine de Proust ». Vous savez, les souvenirs qui reviennent juste par la sollicitation des papilles ; eh bien moi, c’est ma première sodomie qui se rappelle à moi.
Lorsqu’Arthur m’avait enfilé, avec préparation et délicatesse, c’est bien sûr sa queue que j’ai physiquement ressentie dans mon cul, cette queue qu’il activait lentement au début, mais que très vite il a transformée en piston pour me bourrer grave. J’étais trop jeune pour comprendre pourquoi j’avais eu tant de plaisir de cette sodomie, et des suivantes d’ailleurs.
Ce soir, je sais. C’est le changement de statut, le passage de « baiseur » à « baisé » qui m’avait donné tant de jouissance. C’était lui qui était le maître de mon corps, lui qui décidait de tout : la profondeur, la vitesse, enfin tout ce qui fait une bonne baise ; et c’est moi qui subissais, mieux, qui étais le réceptacle. Et sa semence ! La surprise de sentir son sperme inonder mon fondement. L’angoisse d’un instant que mon intestin avait fait des siennes avant de comprendre que c’était son jus qui coulait sur mes cuisses alors qu’il me pistonnait toujours.
Je regarde Sophie mais elle ne me voit pas. Pascal la besogne et elle apprécie, si j’en juge par ses soupirs et son petit sourire ; mais elle semble ailleurs, ses yeux rivés au plafond. Si, à notre arrivée, les miroirs m’ont troublé et même déstabilisé, j’avais fini par les oublier ; mais maintenant, je sais ce qui attire son attention : le plafond doit lui fournir une vue imprenable sur mes fesses et ce qui s’y passe. Il me suffit de regarder devant moi, et les réflexions multiples me fournissent les images.
C’est comme si je regardais un film où un Black bien membré fait disparaître sa queue noire et luisante dans le fondement de son amant. Un film en 3D ; mieux, en 4D car, lorsque je vois l’engin avancer jusqu’à disparaître, je suis aux premières loges et c’est mon cul qui s’y colle.
Une main agrippe la mienne. C’est Sophie, et nous échangeons un regard complice mâtiné d’amour et de plaisir. Nos amants aussi semblent complices, ou tout le moins jouent le jeu de la synchronisation parfaite. D’un œil, je vois Marc jouer les chefs d’orchestre et, par petites claques, les organiser.
Chaque poussée de mon enculeur est transmise par ma propre queue dans Sandrine que j’oublie un peu, concentré et profitant au mieux de ma position.
Comme c’est bon de n’être qu’un jouet entre des mains expertes ! Comme c’est bon de sentir le bâton noir qui me ramone, gonfle encore et encore ! Comme c’est bon de savoir que mon petit cul inspire mon enculeur !
Une dernière poussée et je sens que dans un dernier effort pour aller encore plus loin et m’enculer jusqu’à la garde, l’homme laisse la jouissance monter, le sperme rugir et… Non, j’avais oublié. La vision de sa queue noire m’avait fait oublier qu’une capote nous protège et que c’est elle qui reçoit la liqueur. Mon subconscient attendait le jaillissement du précieux liquide, espérant retrouver les sensations d’une autre époque. Cela ne fait rien ; c’est bon quand même.
Mon enculeur se retire et je me sens bien vide sans lui. Heureusement, à mes côtés Pascal aussi lâche la purée sur le ventre de ma femme, coulures généreuses et grasses. Je suis fier d’elle, de sa beauté, de sa sensualité, de sa perversité, de ce côté salope quelle révèle maintenant.
Marc ne peut s’empêcher de venir apporter sa touche d’organisateur en approchant pour passer deux doigts dans une traînée blanchâtre et la proposer à ma femme. Elle est si proche de moi que je peux sentir l’odeur du sperme, voir la bouche s’ouvrir, se refermer sur les doigts et les lécher tout en me regardant d’un air provocateur.
Je peux presque l’entendre penser : « Tu vois, maintenant j’aime… ».
Marc recommence sa récolte et prélève de nouvelles coulures et va les lui donner… Mais c’est vers moi qu’il se dirige, et c’est à mes lèvres qu’il les propose. Encore une fois, je ne peux pas refuser ce que je demande aux autres. Je fais le fier, le malin, celui qui assure, mais ne peux réprimer une grimace en faisant mon devoir.
Sophie, libérée du poids de son amant, se lève alors et je la vois parler à l’oreille de son Maître. Tous deux me regardent.
Se passe alors la chose qui va transformer ma vie.
Si, en février, Sophie et moi avons découvert son goût pour la punition et la domination ; si, depuis, nos jeux se sont révélés de magnifiques aphrodisiaques ; si, depuis à peine huit jours, l’arrivée de Marc dans notre vie nous a fait passer à la vitesse supérieure, alors on peut dire que « cette chose », d’une certaine façon, boucle le cercle !
Marc se penche vers Sophie et lui retire le collier de servage avec sa longue lanière. Il disparaît un instant à mon regard mais je vois les yeux de tous mes partenaires le suivre alors qu’il passe derrière moi. Ce collier, c’est à mon cou qu’il le propose, le positionnant lentement, avec cérémonie, attendant mes réactions.
Mais je ne dis rien, simplement curieux de ce que Maître et soumise ont bien pu inventer. La tension se fait plus forte, la laisse me tirant en arrière. Un souffle à mon oreille, un corps contre le mien. Sophie a-t-elle demandé à Marc de me sodomiser ? Le Maître abusant du mari de sa soumise ! Mais il parle, ou plutôt murmure :
- Ta femme voudrait que je devienne ton Maître. J’ai accepté. Et toi, acceptes-tu ?
La nouvelle me fait l’effet d’une bombe. Comment peut-elle imaginer… C’est elle, sa soumise, pas moi. Marc doit sentir le cheminement de mes pensées. Il reprend :
- J’ai de grandes idées : mari et femme, mes soumis. Je nous vois déjà…
Ainsi, Sophie resterait sa dominée. Elle et moi… Le même Maître…
C’est le regard et le hochement de tête de Sandrine qui me décident. Avant que je ne parle, elle connaît déjà ma réponse. Ma verge s’est gonflée en elle. Ma queue parle pour moi.
- Alors ? s’impatiente Marc.
- Oui, d’accord. Sophie et moi serons tes soumis.
- Bien.
Il revient vers moi, toujours en tirant sur la laisse et, enjambant Sandrine, me pousse sa verge dans la gorge, suprême offrande du Maître au soumis. Mais aussi il agrémente son offrande par des coups de laisse sur mes fesses, me forçant à le pomper profond, et par le même mouvement baiser Sandrine qui mérite le meilleur pour sa longue attente.
La boucle est bouclée, mais aussi d’une certaine façon c’est la bite d’Arthur, mon initiateur, que j’imagine dans ma gorge.
Sophie regarde son homme se faire diriger, absorber jusqu’aux couilles la queue de son Maître, emmancher la belle Sandrine, ancienne initiée aux plaisirs SM et elle sourit. Comme moi, elle doit déjà imaginer la prochaine fois, faisant une confiance absolue à l’homme que nous ne connaissons que depuis huit jours.
Mon sperme inonde la capote. Ma bouche s’étouffe sous les coups de boutoir de mon Maître ; et lorsque sa crème va venir, j’espère, je prie pour qu’il veuille bien m’en abreuver…

Les productions de votre serviteur...

Histoire du net. Auteur Inconnu. Spirale...

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 Quand une bonne épouse, 
se découvre des talents de salope....

Les aventures de Cécile.
Cécile en vacances première fois avec 2 inconnus
Je m’appelle Cécile, j’ai 40ans, je suis petite, brune avec une poitrine avantageuse 95D, j’ai une vie tranquille et sur le plan sexuelle, c’est la routine, jusqu’à ces dernière vacances.
Il faisait chaud, ce mois d’août, en vacances en Dordogne, je m’ennuyais mon mari faisais la sieste et moi je ne voulais pas le réveiller, alors je suis partie me promener autour de la résidence ou nous logions.
Il y avait un étang non loin, je me suis diriger vers celui-ci pour me rafraichir, mais j’eu vite fait le tour, alors je parti me mettre au frais dans le bois un peu plus loin.
C’était agréable de sentir la fraîcheur au travers de mon tee-shirt mouillé par la transpiration, je flânais, quand j’entendis des bruits de travaux, j’arrivai dans une clairière et deux hommes étaient en train de réparer une cabane.
L’un la cinquantaine ,1m80 brun et mal rasé ,l’autre dans les même âges plus petit 1m60 châtain avec des lunettes et un peu de ventre. Quand ils me virent, ils s’arrêtèrent de travailler et me sourire, me saluant, je leur rendis leur bonjour.
Au bout de quelque temps, j’ai remarqué leur regard et leur sourire complice, je voyais bien qu’il regardait mes forme de plus avec la sueur qui mouillait mon tee shirt blanc cela faisait ressortir mon soutien-gorge noir, en voyant cette scène, j’eu une boule au creux du ventre, la situation m’étais inconnue, moi au milieu des bois avec deux hommes, j’accélérais le pas, et quittais la clairière rapidement
Quelque minutes plus tard encore toute bouleversée par cette expérience, je m’assis le long d’un arbre, pour récupérer, en repensant à cette clairière j’eu une drôle de sensation qui me remontais du bas du ventre, j’étais paniquée et en même temps une excitation commençait à naitre en moi,
Je voulu la refouler mais plus j’essayais plus elle grandissait, c’était un sentiment tout nouveau pour moi, je senti mes seins se durcir, j’avais honte, mais je réussi à reprendre le dessus en pensant à mon mari, il était temps de rentrer, je me mis en route, par un autre chemin pour repartir.
A un moment je ne tenais plus il fallait que je me soulage me pensant seule, je me mis accroupi derrière un arbre et je relevais ma robe et baissais ma culotte, à un moment j’entendis un craquement de brindille derrière moi je me suis relevée rapidement et je me suis retournée.
Je vis les deux hommes qui m’avaient suivi jusque la. Très gênée, je me retrouvais debout devant deux inconnus avec ma culotte sur les chevilles.
Le plus petit des deux ,s’approcha de moi et dit à son copain :
- J’ai gagné sa culotte est noir comme le soutien-gorge
Je rougi de la situation complètement paniqué je leur demanda de me laisser partir ce qui les fit beaucoup rire , en regardant le petit je remarquai la bosse dans son pantalon et rougis de plus belle et mon excitation que j’avais eu contre l’arbre revint , le petit remarqua mon regard , et dit à son copain :
- Elle a pas les yeux dans la poche , elle regarde les pantalons des hommes .
J’ai cru que j’allais m’évanouir . Il s’approcha de moi et pris ma main et la posa sur son sexe, je sentais au travers du pantalon que son sexe grossissait, il me prit par la taille et me dit :
- Deux hommes pour toi toutes seules, tu n’imaginais pas ça
Il avait entièrement raison, je n’ai connu que mon mari et là je me retrouve seule avec deux hommes. Je sentis sa main descendre sur mes fesses et je senti mes fesses se durcir, j’étais surprise de voir l’état dans lequel j’étais.
Remarquant l’effet que cela me procurait, l’homme ouvrit sa braguette et sorti son sexe de son pantalon il était de taille raisonnable mais plus épais que celui de mon mari, il me le mit dans la main et commença un va et vient avec son sexe, j’étais tétanisée je ne bougeais plus, il me dit de le branler ce que je fis sans m’en rendre compte.
Voyant que je lui obéissais, il souleva ma robe et me petrissa les fesses, ce qui eut pour effet de m’exciter, je commençais à mouiller.
Son copain voyant que je me laissais faire s’approcha à son tour le sexe déjà dans la main en train de se masturber , il était plus long et plus gros que celui de son copain , il posa sa bite dans ma main libre et je me mis à le branler aussi . J’avais honte, j’étais avec deux hommes en train de les masturber avec les fesses à l’air.
Au bout d’un moment le grand m’appuya sur les épaules pour que je me mette à genoux, je m’exécutais, il me présenta son sexe devant la bouche et avec un certains dégout je le pris dans la bouche, il prit ma tête et commença à faire un va et vient, je ne trouvais pas cela désagréable, je le suçais et je continuais à masturber le petit.
Je commençais à les entendre râler leur plaisir, le petit entrepris de me retirer ma robe, ce qui dévoila ma poitrine, je n’en revenais pas j’étais nue devant 2 inconnus et cela m’excitais de plus en plus.
Le petit me retira mon soutien-gorge et libera ma poitrine , il avait l’air fasciné , il se mis à genoux à cote de moi et se mis à pétrir mes seins violement , je n’en pouvais plus , je redoublais de vigueur sur le sexe de son copain , ce qui eut pour effet , qu’il déverse son foutre dans ma bouche , c’était la première fois et trouva çà chaud et agréable , le grand se retira de ma bouche et le petit pris sa place
Je l’acceptais avec plaisir.
Le grand me remis debout et descendit ses mains sur mes fesses et entre mes jambes , il remarqua tout de suite que j’étais trempée , il m’introduisit un doigt puis 2 puis 3 et je n’en pouvais plus je gémissais et lui commentait « tu aimes la bite , tu vas avoir le droit à 2 . » je le suppliais de me mettre sa bite , je sentis ses 2 mains sur mes hanches , je vérifiais qu’il est enfilé un préservatif et je senti son gland sur le bord de mon sexe , il me pénétra avec facilité et entrepris un va et vient de plus en plus rapide , son sexe était énorme je n’en pouvais plus et j’ai jouis sans me retenir , ce qui contracta mon sexe sur son pénis il grogna et redoubla de violence .
Je n’en pouvais plus mais je ne pouvais lâcher le sexe du petit qui grognait à son tour.
Au bout d’un moment le petit dit au grand : » nous sommes 2 et il y a 2 trous, on va pouvoir s’amuser », je paniquais, je venais de comprendre qu’il voulait me sodomiser, je m'y suis toujours refusée.
Le grand se retira de mon sexe et s’allongea à même le sol, le petit me dit de l’enfourcher et de m’empaler sur son sexe, il me prit par les épaules, et je commençais un va et vient sur sa bite, je la trouvai encore plus grosse que dans l’autre position, le petit m’embrassa les fesses et commença à me lécher la rondelle j’étais gêner mais je ne pouvais pas m’opposer à ses actions.
Il pris de la salive et me mouilla l’anus e commença à rentrer un doigt dedans , cela me fit mal au départ , il commença un va et vient et je sentais mon anus se dilater il mis 2 doigts et continua son va et vient , au bout d’moment il se retira et je profitais du va et vient de son copain ce qui m’excitais en plus , je sentis le petit me pousser en avant sur son copain et je sentis son gland sur ma rondelle , il pénétra un peu et recula il refit cette opération plusieurs fois en rentrant un peu plus loin à chaque fois , jusqu’au moment où je sentis ses couilles claquer sur mes fesses , j’avais mal mais j’aimais çà.
Il fit un va et vient de plus en plus rapide mais il était en cadence avec son copain, j’adorais çà, je voulais crier mais j’avais peur d’attirer d’autres personnes alors je serais les dents, cela à durer quelques minutes, et les 2 hommes ce sont relevés on retirés leur préservatif et on éjaculés sur mon visage et mes seins, j’étais aux anges.
Ils m’ont relevé, embrassé et caressé les seins puis ils se sont rhabillés et sont parti.
J’étais la seule dans les bois nue avec du foutre sur le visage et la poitrine j’étais souillé mais heureuse.
J’ai fini par me rhabiller en faisant un brin de toilette et je suis rentrée.
A mon retour, mon mari était réveillé et m’a demandé ou j’étais, je lui ai répondu que j’avais marché jusqu’au village voisin.
Depuis je n’ai pas revu mes 2 inconnus mais j’y pense, je me demande si je ne vais pas renouveler l’expérience
ooo000ooo
Stage de danse
Depuis mon aventure en Dordogne pendant les vacances, il ne se passe pas une journée sans que je pense au sexe.
Et cette semaine je suis parti, toute seule, avec mon club de danse (je fais de la danse de salon), 1 semaine sur la côte pour un stage de perfectionnement, je me suis retrouvé avec des gens d’une moyenne d’âge de soixante ans.
Je pensais m’ennuyer, danse le matin, danse l’après-midi et danse le soir, je trouvais cela barbant, je commençais à trouver le temps long.
Le professeur m’avait donné un partenaire, bon danseur mais pas très beau. Je dirai la cinquantaine, 1m75 ,85kg et des moustaches et des lunettes. je me concentrais sur la danse sans faire attention à mon cavalier , le dimanche fut long , le lundi matin nous avons danser puis arriver l’heure du déjeuner , mon cavalier vient me tenir compagnie à ma table , nous entamons la discussion , il me fait rire ,parce qu’il a souvent une blague à raconter , et de temps en temps elles sont cochonnes .
À la fin du déjeuner, je me sens mieux, je pense que le stage sera plus sympa que prévu, le soir venu nous sommes invité à mettre en pratique les cours de la journée avec une sorte de bal.
Je retrouve mon cavalier et nous passons une bonne soirée mais lors des danses je sens que mon partenaire, à des idées puisse que je sens une bosse sur mon nombril, je suis perturbé, je rougis mais je reprends immédiatement.
Je monte dans ma chambre en fin de soirée, mais je suis perturbée, je prends ma douche et je m’allonge sur mon lit, je pense à cette bosse dans son pantalon et je commence à me caresser
D’abord les seins, je sens qu’ils se durcissent sous mes doigts puis ma main descend sur ma toison. Je mouille déjà, j’effleure mon clitoris et me raidi, je rentre un doigt puis 2 et pratique un va et vient de plus en plus frénétique, je n’en peux plus, j’ai maintenant la main dans la chatte et j’explose de plaisir, je suis étendu sur mon lit et j’ai honte, j’ai joui comme une collégienne pour la bosse dans un pantalon.
Le lendemain matin je descends au petit déjeuner, je vois mon cavalier assis à une table. Je me dirige vers une autre table, lorsqu’il me fait signe de se joindre à lui, je me sens mal
Je m’installe à sa table et nous continuons nos discussions de la vielle, mais avec ce qui c’est passer la veille, je le regarde différemment, je le trouve sympathique et presque à mon goût. Une fois fini mon petit déjeuner, je lui dis que je vais me changer, je sors de table et regagne ma chambre , en me retournant me surprends son regard sur mes formes ,j’ai mis un pantacourt plutôt moulant et un tee short .
Je rougis et il me sourit , je monte dans ma chambre , arrivée dans ma chambre , je quitte mon tee shirt et mon pantacourt , je suis en culotte et soutien-gorge , je me décide à appeler mon mari , pour me sortir mes mauvaises idées de la tête .
je raccroche , je regarde l’heure , j’ai le temps avant le cours du matin , alors je flâne, quand on frappe à ma porte ,j’enfile mon peignoir et je vais ouvrir , ces mon partenaire qui viens m’annoncer que le cours du matin est annulé ( la prof a un empêchement.) , je le remercie , il me demande si il peut rentrer pour discuter , je lui dis que je ne suis pas présentable mais il insiste , alors j’accepte de tout façon je n’ai rien à faire , il s’installe dans le fauteuil et moi je m’assois sur le lit , nous discutons mais je n’ai pas remarqué que mon peignoir s’est ouvert en m’asseyant , j’offre un spectacle tout à fait intéressant , puisqu’il peut voir mes cuisses et ma culotte , je le vois se lever et venir me rejoindre sur le lit , je me rends compte que mon peignoir est ouvert , je veux le refermer mais une main se pose sur mon peignoir et le fait glisser sur mes épaules , je suis prise de panique mais je sens le désir m’envahir.
Il me prend par le cou et mes ses lèvres sur les miennes ,je lui rends son baiser ,il m’introduit sa langue et je le laisse faire ,ses mains descendent le long de mon corps l’une s’arrête sur l’agrafe de mon soutien-gorge l’autre descend jusqu’au bas du dos J’ai chaud, une fois mes seins nus ,il descend sa bouche et les embrasse et les mordilles , je sens sa moustache sur mes seins et cela m’excite encore plus , au bout d’un moment sa main attrape la mienne et la met sur sa braguette je l’ouvre et sort son sexe , qui est de taille raisonnable , je sens son autre main qui m’attrape par le cou et me dirige vers son pénis , je me laisse faire et commence une fellation.
Il s’allonge sur le bord lit et me voilà à quatre pattes en train de lui faire une pipe ,il aime ça je l’entends à sa respiration , il regarde mon cul dans le miroir et commence à le caresser.
Il se lève, se déshabille complètement et sort des préservatifs de sa poche, il m’allonge sur le lit me retire ma culotte et vient se placer sur moi, je sens sa bite à l’entrée de mon sexe, et je lui demande de me pénétrer, il ne se fait pas prier, doucement au début puis plus rapidement, c’est très bon je sens son sexe rentrer profondément et j’aime ça.
Je sens son sexe se gonfler il se retire et me retourne , me voici à quatre pattes et il me prend en levrette , ses couilles viennent claquées sur mes fesses , il adore , il râle et commence à me dire des choses grossières du style : ''t’aime ça salope , tu veux que je t’enfonce ma bite plus loin'' et moi qui prends de plus en plus de plaisir je lui réponds, '' Oui défonce moi ,fais-moi jouir .
Je n’en peux plus je joui et je m’affaisse sur mon lit, lui continue son va et vient jusqu’à qu’il se retire, retire son préservatif et me déverse son sperme sur les fesses, il se couche sur moi et m’embrasse avec frénésie.
Il se lève et va prendre sa douche, je le rejoins et nous prenons notre douche ensemble, cela est la première fois que je prends une douche avec un homme.
Il se rhabille et je lui demande de partir. Une fois seule, je suis excitée, j’ai un amant.
Je passe le reste de la matinée en promenade en pensant à ce matin, je rentre pour déjeuner,
Mais je dois faire, attention, les gens savent que je suis une femme mariée.
L’après-midi se passe comme d’habitude , mais ce que je ne savais pas , c’est que mon amant avais un appétit sexuel très important , en sortant du cours je me suis diriger vers ma chambre pour prendre une douche et Eric me suivi arrivé à la hauteur de ma chambre , il me dit qu’il voulait prendre une douche aussi et me poussa dans ma chambre referma la porte derrière lui et m’embrassa tout en faisant glisser mon pantalon le long de mes cuisses.
J’étais surprise d’autant de fougue , je n’ai pas eu le temps de réaliser que déjà j’étais en sous vêtement devant lui . Il se déshabilla et une fois nu , m’entraîna dans la salle de bain , je fini de me dévêtir et nous rentrâmes dans la douche.
Je n’eut pas le temps de dire ouf qu’il me retourna et me pénétra par derrière , je poussais un petit cri ,qui l’excita ,il me pilonna le cul , j’étais en équilibre sur une jambe , l’autre étant tenue par sa main , je me tenais au mur , il m’éjacula sur les fesses , je n’eut pas le temps de prendre du plaisir , il me demanda de le laver ,ce que je fis.
Il me lava à son tour , il s’arrêta sur mes seins puis sur mon sexe et il me retourna , me demanda de me pencher ,j’hésitais mais il m’appuya sur le dos et commença à me savonner les fesses en se rapprochant de plus en plus de mon anus , il me pénétra avec un doigt et comme il avait du savon son doigt est rentré tout seul , puis il entrepris un va et vient , cela me mis dans tous mes états.
Il mis un deuxième doigt et me pénétra de plus en plus fort , je me mis à gémir , cela l’excita et il me donna une claque sur les fesses ,cela me surpris mais il continua , je poussa un cri , puis il retira ses doigt et je sentis sa bite sur ma rondelle et d’un coup il me pénétra , je me suis retrouvée les seins plaqués sur le carrelage et mon amant me burinait l’anus.
Je n’en pouvais plus et je poussais un long gémissement en jouissant , il ne tarda pas à venir aussi , nous avons fini notre douche et il est retourné dans sa chambre se changer moi je suis tombée sur mon lit épuisée.
Le soir venu , mon amant me proposa de passer la nuit dans son lit , mais je refusai pour ne pas éveiller les soupçons.
Le lendemain , je suis parti faire du shopping , je trouvai quelque babiole pour mon mari , je m’apprêtai à repartir quand je croisais Eric , il m’avoua qu’il m’avait suivi et me demanda d’aller faire du shopping avec ,j’acceptai trop contente d’ être avec lui mais que fut pas ma surprise quand il me demanda de rentrer dans une boutique de lingerie , en m’expliquant qu’il ne trouvai pas mes sous-vêtements à son goût et que je devais en acheter d’autres .
Une fois entré, il choisissait 2 ou trois soutien-gorge et autant de culotte et nous nous sommes dirigé vers le fond du magasin et je suis rentré dans une cabine, je voulu fermer le rideau mais il le retint.
J’ai retiré ma robe puis mes sous-vêtements et j’ai essayé les culottes et soutien-gorge qu’il me proposait, à chaque fois il venait toucher et me caresser pour voir le plaisir que cela lui procurait.
Je commençai à sérieusement mouillé et il le savait, mais la vendeuse nous interrompit. Je me suis rhabillée et nous sommes sortis avec les sous-vêtements achetés.
Nous sommes rentrés à la résidence et il m’a demandé de me changer, il a choisi une culotte en satin noir et un soutien-gorge en dentelle noir aussi. Je remis ma robe par-dessus et il m’invita à aller faire un tour en voiture, je pris donc ma voiture et nous voilà parti dans l’arrière-pays, il ne mis pas longtemps à remonter ma robe sur mes cuisses et à promener sa main sur ma cuisse et sur ma culotte. Je conduisais avec de plus en plus de mal, j’ai essayé de lui retirer sa main mais je n’y suis pas arrivé.
Il me fit prendre un chemin le long d’un pré et j’arrêtai la voiture, il coucha son siège et ouvrit sa braguette, son pénis était déjà de bonne dimension. Il me prit par les cheveux et m’attira dessus, je dû le sucer sans autre ménagement, il appuyait sur ma tête pour que mes lèvres aillent à la rencontre de ses couilles, je m’étouffais mais lui insistait
Il arrêta enfin ,il me fis sortir de la voiture et me plaqua sur le capot , il me souleva la robe sur la tête ,et écarta ma culotte pour pénétrer , je ne savais plus ou j’étais avec la robe sur la tête je ne voyais rien , je sentais juste sa queue me pénétrer et ses couilles claquer sur mes fesses ,mes seins étaient écrasés sur le capot et faisaient du va et vient ,j’étais en extase.
Eric me retira complètement ma robe et me dégrafa le soutien-gorge pour mieux se tenir à mes seins , en me relevant je vis que nous n’étions pas tout seul , 2 gars était un peu plus loin en train de se masturber , le fait d’être regardé alors que je suite en culotte en train de me faire baiser , m’a fait jouir comme rarement j’ai joui.
Mon amant est venu en même temps , je me suis empressé de me rhabillé et nous sommes parti .je suis revenu dans ma chambre je me suis douché et je me suis mise à penser , je me disais que j’étais folle ,j’étais en train de devenir l’objet de cet homme , et je commence à être impatiente d’être rentrée chez moi.
Il est venu frapper à ma porte je lui ai ouvert, je lui ai expliqué qu’il n’était plus possible que nous continuions cette aventure et qu’il fallait tout arrêter. Il fut surpris et me faisant part de son gros appétit sexuel il essaya d’insister mais je refusai. Il partit fâché .j’étais toute retourné, l’après-midi, je me suis présenté au cours de danse, il n’était pas présente, j’étais soulagée.
Le soir venu je suis descendu dîner et là encore il n’était pas là, je dînais avec un esprit plus serein et je suis allé me coucher. Le lendemain matin, j’ai préparé mais affaire pour repartir en fin d’après-midi. Je suis descendu au cours de danse et pas d’Eric, j’ai cru qu’il était parti.
Après le cours, j’eus des remords et je me décidai d’aller lui parler dans sa chambre, j’arrivai devant sa chambre et je vis le panier à linge de la femme de ménage, la porte était entre ouverte et j’ai passé la tête à l’intérieur
Quelle surprise j’ai eu de voir mon amant, nu sur son lit avec la femme de ménage en train de lui faire une fellation, je restai bouche bée, j’étais tétanisée, je ne pouvais plus bouger .l’homme avec qui je faisais l’amour était déjà dans les bras d’une autre, je ne savais que faire, partir en courant ou faire un scandale.
A un moment, il tourna la tête vers moi, me vit et me sourit, j’étais rouge de honte, ma situation de voyeuse me dérangeais, il arrêta la femme de ménage et se leva, il s’approcha de moi et m’attira vers le lit, en prenant soin de fermer la porte.
Puis il me dit
- Elisabeth va prendre soin de toi tu verras ça sera bien.
Je me retrouve debout devant cette , elle entrepris de défaire le bouton de mon pantalon , je ne savais plus ou me mettre , elle fit descendre mon pantalon le long de mes jambes ,arrivé à mes chevilles , elles me souleva un pieds après l’autre pour le retirer , puis elle remonta doucement ses mains le long de mes cuisses j’étais pétris ,c’était la première fois qu’une femme me caressait ,elle arriva sur mes fesses et les massa .
Eric, pendant ce temps-là, s’était rallongé sur le lit et regardait le spectacle.
Elisabeth se mis debout devant moi , elle mesurait 1m75 mais avec une petite poitrine, ses cheveux châtain était long , elle me retira mon tee short et mon soutien-gorge ,elle pris mes seins et mis mes tentons dans sa bouche cela me fit défaillir ,j’avais les jambes en coton ,elle m’embrassa avec la langue ,je n’en revenait pas je faisais l’amour avec une autre femme .
Puis elle m’emmena jusqu’au sexe d’Eric et me fit faire une fellation, je continuai et elle se dégagea pour se placer derrière moi, elle me retira ma culotte et enfourna sa tête entre mes jambes, j’étais trempée, elle se mit à me lécher la chatte je n’en pouvais plus.
Eric attrapa ma tête et me fit faire un va et vient sur sa queue avec ma bouche. Eric me dit de m’assoir sur sa bite, dos à lui, j’étais tellement ouverte qu’il me pénétra sans souci je pratiquais un va et vient sur sa queue, pendant ce temps, Elisabeth se déshabillait, une fois nue elle se présenta devant moi et m’embrassa je lui rendis son baiser avec la langue. Elle m’embrassa les seins puis alla lécher les couilles d’Eric.
Celui-ci poussa un râle de plaisir. Puis il me fit mettre à quatre patte et me sodomisa, j’étais tellement surpris que je n’ai pas eu le temps de me plaindre, Elisabeth me présenta sa chatte et m’appuya sur la tête pour que je vienne lui lécher, je m’exécutais, elle finit par jouir tout en criant
Je jouie à mon tour d’un orgasme pas contrôlé alors Eric s’est retiré et c’est mis debout devant nous puis il a éjaculé sur nos visage, Élisabeth goba le sperme pour l’avaler et je l’imitai ce qui fit rire Eric
Une fois finie Elisabeth est passée dans la salle de bain pour se laver puis elle est sortie de la chambre.
Eric m’expliqua qu’il comprenait ma situation, mais que lui avait besoin de sexe, je lui dis que je comprenais en échange puis nous nous sommes dit au revoir et je suis sorti de sa chambre pour aller prendre une douche.
Le soir même, je suis parti sans laisser de coordonnées à Eric et je n’ai pas de nouvelles, j’ai repris ma petite vie et cela me conviens mais pour combien de temps, je ne sais pas.
OoooOOOOoooo
Le mari de ma responsable me prend pour une pute
Depuis ces deux expériences extra conjugales , il ne se passe pas un jour , sans que je pense au sexe , il m’arrive même de me caresser quand je suis toute seule à la maison , je deviens accro au sexe et mon mari ne suffit pas à me satisfaire.
La semaine dernière , j’ai été sur internet pour savoir où étaient les lieux de rencontres sur ma région , j’ai repéré un bois à 10 km de chez moi , je me suis rendue dans les alentours pour voir ce qu’il en était , j’ai pris la voiture et je trainais autour du bois , je ne suis pas revenu déçue , il y avait des voitures arrêtées sur les aires et dans les chemins , j’imaginais ce qui devait se passer et j’inondais ma culotte rien que d’y penser .
Je suis rentrée chez moi pour me changer et j’étais très décidée à y retourner, je suis montée dans ma chambre et je me suis déshabillée, j’ai pris une douche et j’ai enfilé une culotte et un soutien-gorge en dentelle blanc, je me plantais devant le miroir pour me regarder, du haut de mes 1m50 avec mes gros seins je me trouvais sexy, je mis ma robe en jeans qui m’arrivait à mi cuisses et je la boutonnais
Puis je descendis, j’enfilais mes bottes noires et je remontais dans la voiture.
Arrivée aux abord du bois je m’arrêtai dans un chemin et je poursuivi à pieds,
Je marchais depuis 10min quand j’entendis des bruits un peu plus loin je me cachais et j’avançais, j’aperçu un jeune homme en train de faire une pipe à un vieux, qui me tournais le dos, le vieux lui maintenant la tête sur son sexe, j’avais du mal à voir mais je ne bougeais pas.
Je fus surpris c’était la première fois que je voyais deux hommes ensembles.
Je regardais cela avec intérêt, le vieux releva et retourna le plus jeune et le sodomisa brusquement, le jeune poussa un petit cri, je commençais à m’exciter.
Je décidais d’aller voir plus loin, je vis alors un groupe de trois, avec un mec en train de se faire prendre par un Magrébin et de sucer un noir, la, je voyais bien, je pouvais voir la taille des sexes et cela m’excitais, je m’imaginais à la place du gars du milieu, mais ce qui me surpris c’est de ne voir que des hommes, je me demandais si ce n’était pas un coin à homos.
Apres 5 min, j’entendis du bruit derrière moi, je me retournais et je vis le vieux du premier couple avec un sourire jusqu’aux oreilles, il faut dire que le spectacle était de qualité puisque j’étais penchée en avant pour regarder le trio ce qui remontait ma robe sur le haut de mes cuisses.
Mais que ne fut pas ma surprise , en voyant la tête du vieux , c’était le mari de ma responsable , je me sentais mal , il s’approcha de moi et me dit :
- Alors cochonne de Cécile , on vient se rincer l’œil , je vais te montrer ce qui se passe dans ces bois .
Il m’attrapa par le bras et m’emmena encore plus loin dans les bois , nous sommes arrivés près d’une cabane de chantier et il me fit rentrer en me poussant sur les fesses ,je protestais mais il menaçait de tout raconter à mon mari .
Arrivé dans la cabane, c’était sale, il y avait des papiers partout et une table au milieu, il me poussa contre et ouvrit sa braguette et sorti sa bite, puis me dit :
- Suce-moi
Il m’attrapa par les cheveux et me mis à genoux j’avais son sexe contre la joue.
Puis je me dis que j’étais là pour ça et je pris son sexe dans la bouche je me mis à le sucer je lui caressais les couilles en même temps , j’essayais de le faire jouir rapidement pour passer à autre choses rapidement , mais il râlait et ne jouissait pas.
Il me releva me retourna et m’allongea sur la table ,je lui offrais ma croupe et il remonta ma robe sur mes reins baissa ma culotte et me pénétra sans ménagement , je mouillais déjà ce qui lui facilita ma pénétration , il me bourra littéralement le bas des reins , plus il allait fort plus il râlait.
Au bout d’un moment il se planta en moi et déversa son sperme en moi puis se retira , j’étais affalé sur la table je ne bougeai plus , je l’entendis se rhabiller et sortir , je reprenais mais esprit et j’étais sur le point de me rhabiller quand j’entendis la porte s’ ouvrir.
Je n’ai pas eu le temps de me retourner qu’un homme me plaquait de nouveau sur la table et me pénétrait, j’essayais de me défendre en vain , j’essayais de regarder derrière moi , mais je n’y arrivai pas , mais ce que j’aperçus en relevant la tête me fis peur , je vis par la fenêtre de la cabane le Maghrébin et le noir de tout à l’heure en train de regarder avec le sexe dans la main.
Pendant que l’inconnu me pilonnait , je vis le mari de ma responsable s’approcher d’eux et leur dire quelque chose à l’oreille, les deux hommes se mirent à rire et sortir leur portefeuille pour donner des billets au mari. J’essayais de me dégager mais je n’y arrivai pas.
La porte s’ouvrit à nouveau , et je senti des mains me soulever je me retrouvai sur le dos les jambes en l’air , je vis la tête de l’inconnu qui se remis entre mes jambes mes bottes sur ses épaules et il me pilonna de nouveau , je sentis des mains me déboutonner ma robe et me malaxer les seins.
Je vis une grosse bite noire venir au-dessus de mon visage et je l’attrapai et je la mis dans ma bouche et je me mis à la sucer une main attrapa ma main libre et la dirigea vers une autre queue. J’étais aux anges , j’avais 3 hommes pour moi toutes seules , bien qu’ils ne me ménageaient pas , j’adorais ça .
Le gars entre mes jambes se déchargea sur mon bas ventre, je n’eus pas le temps de dire ouf que le Magrébin prenait sa place et me pénétrais violemment, sa queue était énorme, je criais de plaisir
Et je suçais de plus belle la belle queue noire, je manquais de m’étouffer avec cette grosseur, mais j’aimais trop ça.
Le Maghrébin me retourna et présenta sa bite sur ma rondelle puis pénétra lentement dans mon anus
J’ai cru qu’il allait me transpercer, puis il recula et fit un va et vient de plus en plus rapide, je jouis ce qui eut pour effet de resserrer mon anus, le Magrébin sorti sa bite et éjacula sur mes fesses.
Il sorti de la cabane et je me retrouvais seule avec le noir il me prit dans ses bras et me déposa sur son sexe, j’étais empalée sur un pieux à 1 m du sol, il me fit faire un va et vient sur sa queue, j’eu un orgasme que je ne pus contenir il me reposa par terre et m’éjacula sur le visage.
Je tombais à genoux , nue avec mes bottes , du sperme un peu partout.
Une fois le noir sorti , je repris mes esprits toute heureuse de cette expérience , j’entendis la porte s’ouvrir et je vis le mari de ma responsable venir vers moi, il me remis debout , me tendit un paquet de mouchoir et une bouteille d’eau.
J’en profitais pour me nettoyer , le visage, les seins et les fesses . Lorsqu’il me demanda si j’avais aimé ça et si j’en voulais encore. Je ne sais ce qui m’a pris, j’étais devant cet homme et j’étais prête à m’offrir à lui et je lui répondis que oui j’en voulais encore.
Ce que je n’avais pas compris c’est que d’autres hommes attendaient dehors, je le vis sortir et je vis cinq hommes rentrer dans la cabane, j’étais nue et ces hommes m’encerclèrent , des mains se mirent sur mes fesses d’autres sur mes seins ou encore des doigts rentrèrent dans ma chatte.
J’étais trempée je ne savais pas ce qui allais se passer mais j’adorais cela. je me suis retrouvé à genoux avec une bite dans chaque main et une autre dans la bouche avec des mains sur la tête qui me faisaient faire un va et vient dans la bouche les deux autres se branlent devant moi, puis l’un des deux se glisse sous moi , je me retrouve avec sa bite dans ma chatte à faire un va et vient pendant que je m’occupe toujours des trois autres.
Je suis au bord de l’évanouissement ,quand je sens le dernier venir derrière moi et me sodomiser. Je n’en peux plus, l’orgasme est total tous mes trous sont occupés et je masturbe toujours deux gars qui s’acharne sur mes seins avec leurs grosses mains, je sens le gars exploser dans ma chatte et se retirer puis le gars qui m’encule m’éjacule sur les fesses un des deux gars prend sa place pour se finir mais je ne sens plus rien je suis à quatre pattes avec le cul en l’air et je les laissent finir , le gars éjacule sur mes bottes puis c’est au tour des deux autres d’éjaculer sur mon corps .
Je les entends partir en rigolant et en remerciant le mari, je les entends parler argent et je comprends que j’ai été vendue, je suis épuisée et j’ai honte, j’ai fait la pute pour un gars que je ne connais pas, je m’essuie et remets mon soutien-gorge et ma robe, je cherche ma culotte mais je ne la trouve pas, le mari rentre avec ma culotte dans une main et des billets dans l’autre et me dit :
- T’es vraiment une vraie pute, tu m’as fait gagner beaucoup d’argent aujourd’hui, si tu veux revenir hésite pas à me prévenir. »
Je suis partie en courant, rentrée chez moi, j’ai été sous la douche.
Le lendemain j’appréhendais ma rencontre avec ma responsable, mais je crois qu’elle ne connaît pas la double vie de son mari et elle ne m’a rien dit. J’ai repris le cours de ma vie et je ne sais combien de temps je vais résister au feu qu’il y a dans mon bas ventre.
OooOOOooo
Les dépanneurs
En définitive, je suis devenue une vraie salope, dès que je vois un homme qui me plaît, je reste impassible mais il suffit qu'il m'adresse trois mots pour que je mouille à mort!
Mais je reste sage, les quelques expériences avec mon mari m'ont fais peur et je n'ose plus aller plus loin dans toutes ces choses qui me font un peu honte.
C'est lundi, je suis fermée et j'attends les dépanneurs ou plutôt les installateurs car je viens d'acheter une télé pour mettre dans la chambre de ma plus grande fille; elle travaille bien à l'école, c'était le deal. De bonnes notes contre une télé dans sa chambre, ce qu'elle réclamait depuis des années; je n'avais jamais cédée, jusqu"à maintenant!
j'entends sonner et je vais ouvrir; ils sont là, un petit gros et un grand brun pas mal du tout, tous les deux la trentaine bien sonnée.
- Entrez " leur dis-je.
- Bonjour " répondent-ils tous les deux en cœur.
Je les précède en traversant le magasin, la maison est dans le prolongement.
Je les invite à monter au deuxième et je les précède, je suis obligée de monter la première; le petit gros monte en reculant mais je sens le regard du grand brun sur ma croupe et je commence à mouiller. Je me dis que je suis vraiment folle!
Arrivés dans la chambre je leur fais poser la télé sur le meuble en face du lit, tous les branchements sont prêts, ils n'ont plus qu'à tout mettre en place, ça prend 5 minutes.
Et nous voilà penchés tous les trois devant la télé pendant qu'ils me donnent toutes les explications.
Ils sont en blouse bleu et je sens leurs deux bras contre mes bras de chaque coté; on est en juillet, il fait chaud et comme à mon habitude j'ai le chemisier ouvert sur mes seins, le grand brun, en parlant à presque les yeux dedans; il fait chaud, je me rend compte qu'ils sont en sueur, je le sens et ça m'excite de plus en plus.
Je me rend compte aussi que d'un seul coup l'ambiance est devenue électrique; le petit gros se serre de plus en plus contre moi pendant que l'autre parle; nous nous sommes redressés et je le sens tout contre mon flanc, je ne sais plus quoi faire avec l'autre en plus qui me parle de plus en plus prêt, il a le nez quasiment sur ma poitrine et je sens son soufle quand il parle; il est tout rouge.
Je m'apprête à me dégager car la situation est quand même bizarre quand d'un seul coup je sens le petit gros me mettre la main sur mon cul; j'ai une longue robe paysanne mais elle est très légère et je sens parfaitement le doigt de ce salaud s'insinuer sur mon sillon et d'un seul coup il rigole en disant à son copain:
- C'est fou.... elle est toute mouillée ".
Je suis tétanisée et il en profite pour se mettre derrière moi; je ne bouge toujours pas quand il me soulève la robe m'abaisse mon boxer en soie et me met carrément un doigt dans la chatte.
Je gémis, d'autant plus que le beau brun s'est collé contre moi par devant et m'embrasse. j'ai à peine le temps de savourer ce baiser que le petit gros m'attrape par les épaules et me pousse doucement sur le lit de ma fille; il a déjà sorti son sexe, retrousse ma jupe , se couche sur moi et m'enfile d'un seul coup en poussant un cri. Trois minutes, il me bourre de toute ses forces et je le sens éjaculer dans mon ventre;
j'ai les yeux fermés quand je sens le brun me monter dessus; j'écarte les cuisse il met son gland au bord de ma chatte et n'a qu'à pousser; il me pilonne pendant cinq minutes et je n'ai pas le temps de jouir!
Ils rigolent tous les deux et se mettent à m'embrasser en me déshabillant mais je ne suis pas contente, de ce que j'ai fait d'abords et parce qu'ils ne se sont pas embêtes avec moi; ils ont déchargé dans ma chatte, c'est tout;
Je suis presque nue et je me défends un peu quand le petit gros me retourne me fais mettre à quatre pattes et m'enfile en levrette; il jouit en criant comme un goret au bout de 5 à 6 minutes, presque ça.
J'attends que l'autre vienne mais ils sont déjà rhabillés tous les deux;
Je suis honteuse, ils font comme si de rien n'était et me font signer le bon de livraison.
En bas je dois encore subir les deux baisers qu'ils me forcent presqu'à accepter!
Ils sont partis, je me précipite à la salle de bains pour me laver, je suis dans un état second en préparant le souper, Alain et les enfants rentrent dans une heure, quand j'entends sonner!
- Bonsoir "
C'est le patron du magasin de télé; je ne l'ai jamais aimé, il est vieux, laid et gros avec ses bajoues qui lui pendent de chaque coté de la figure . Il a un air égrillard et je suis effondrée.
- Je viens vérifier le travail de mes gars, je crois qu'ils ont drôlement bien travaillés non? "
Je suis toute rouge quand il me présente l'escalier; je monte doucement et j'entre dans la chambre.
- Et bien, c'est pas mal tout ça,"
Et me regardant brutalement
- En plus je crois qu'ils se sont bien amusés non? ho , faut pas leur en vouloir, Jean-louis, le plus petit, travaille avec moi depuis qu'il est gosse, ne vous inquiétez pas, ce n'est pas la première fois que l'on se partage une cliente ...."
Je veux sortir de la chambre quand il m'attrape par le bras:
- Ma p'tite dame, ça serait dommage que cela se sache dans le quartier, vous avez vraiment une bonne réputation, n'est-ce pas? "
Je suis coincée et je n'ose pas bouger quand il me pousse sur le lit.
Je n'ai pas de culotte , il lève comme le petit gros l'a fait tout à l'heure, ma jupe et je le vois descendre son pantalon; il est vraiment laid avec sa bedaine; il s'écroule sur moi et je sens déjà son sexe me forcer l'entrée de ma chatte; il commence à rentrer et j'ai des larmes qui coulent.
Il me pénètre de plus en plus, il va doucement et je comprend d'un seul coup pourquoi car je sens mes chairs se distendre , il est énorme.
Il est entré complètement, je ne bouge pas, je n'ose pas, alors il commence à aller et venir en moi, je le sens buter au fond de mon sexe, je n'ai jamais eu une bite aussi grosse; il me pilonne de plus en plus fort appuyé sur ses avants bras.
Il sent que je mouille et il continue, trois mn, cinq minutes, il tient la cadence et ça fait déja un moment que je me retient. Il va de plus en plus vite et de plus en plus fort et il commence ce gros porc à me faire crier.
Je jouis comme une folle et d'un seul coup il se colle de toutes ses forces sur mon ventre et je sens des giclées brulantes qui n'en finissent pas;
Je suis écartelée sur le lit, la jupe en haut des fesses, les cuisses toutes mouillées; il me regarde en se rajustant , se retourne avant de quitter la chambre et me dit en rigolant:
- Vous dérangez pas, je connaît le chemin, et je vous envoie la facture dés que possible ma p'tite dame!

Pas de suite.... Dommage...

Quelques brèves du sud...

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Quel que soit le coté de la méditerranéenne, 
ils baisent bien..! Et même à Paris.

Brève : Bien au chaud
Il pleuvait a verse dans cette rue étroite du Vieux Marseille et je m'étais réfugié sous un abri de magasin pour m'abriter des bourrasques de vent qui m'arrosaient copieusement.
J’aperçus en face un homme d'une cinquantaine d'années me faire signe de m'approcher. Je traversais, je le saluais et il me m'invitait, avec un fort accent maghrébin, à entrer dans un couloir qui menait à son logis, l'endroit était plutôt sordide mais je le suivis sans me poser de question, poussé par la crainte de détériorer mon beau costume.
Il me fit entrer dans son logis en me tenant par l'épaule. Son geste me surpris et éveilla en moi une sorte d'émotion qui accéléra ma respiration. La pièce était chaude, accueillante. Il m'invita à m’asseoir dans un large canapé et il m'offrit avec gentillesse une tasse de café que j'acceptais avec plaisir. L'homme était d'une carrure imposante, grand, les épaules larges, les membres musclés.
Il me raconta qu'il était seul depuis quelque semaines car son épouse était rentrée au pays et que cela lui manquait beaucoup. Il brancha la télé après avoir inséré un DVD il vint me rejoindre dans le canapé. Les premières images se montrèrent très chaudes, il me demanda si j'aimais. Oui, bien sûr, j'aime toujours découvrir et alors je me laissais aller.
Mon hôte ne tarda pas à se manifester.. Il posa sa main sur son entre jambe et se caressa, je m'aperçu qu'une bosse grossissait, et comme je ne manifestais aucune gêne ou réprobation, il défit sa braguette et en sortit un sexe de bonne taille et commença à se masturber en mouillant le bout de ses doigts de salive. Il était maintenant gros et dur, son gros gland violacé brillait de ses sécrétions, je surveillais du coin de l'œil ce que mon hôte ne manqua pas de remarquer.
Il passa son bras autour de mon cou, força doucement ma tête vers le bas et me demanda avec un ton assez autoritaire de le sucer. Son gland toucha mes lèvres, son odeur de mâle me fouetta les narines, il força son gland, mes lèvres s'ouvrirent et accueillirent le sexe du mâle.
Je me mis à téter ce beau gland lisse et doux, à prendre cette tige dure au fond de ma gorge, à goûter la sève salée qui suintait.... hummm, quel délice. Je tâtais ces grosses couilles, qui semblaient bien pleine, les aspiraient dans ma bouche, pendant que je branlais fermement sa bite.
L'homme gémissait de bien être.
- Tu fais bien ,me dit-il. Très bien comme une salope.
Puis, le sexe toujours planté dans ma bouche suceuse, il défis ma ceinture, baissa mon pantalon, l'ôta et me caressa les fesses que j'ai bien rondes et profondes, il glissa ses doigts tout le long de ma raie appuya et rentra un, puis deux doigts dans mon anus qui est bien ouvert. Je gémissais, il se mit à me lécher l'anus, à rentrer sa langue profondément, à injecter sa salive.
- Tu aimes ça salope me dit-il , couche toi sur le dos que je te prenne comme une femelle.
Ouiii, je ne me fis pas prier, le ventre tenaillé par l'envie de sentir ce mâle s'occuper de moi. Je me retrouvais sur le dos, les jambes bien écartées , les jambes relevées posées sur ses puissantes épaules.
Il enfila maladroitement la capote que je lui tendis. Je sentais son sexe dur et puissant appuyer sur mon anus qu'il ouvrait progressivement donnant de petits coups secs, je gémissais de douleur et de plaisir, puis son gland passa l'entrée et je sentis la profonde pénétration de sa bite dure qui se mit à me pistonner.
Plus je gémissais, plus l'homme me baisait profondément, Je sentais ses grosses couilles frapper contre les miennes. Il glissait bien, bien profond, il me laissait une sensation de femelle prise par un animal. Dans un miroir placé près du canapé, je voyais ses fesses marteler mon ventre entre mes cuisses ouvertes.
Il regardait aussi le spectacle et accélérait sa cadence et forçait à fond tant il était excité par ce qu'il voyait. Je sentis son membre dur se contracter et il lâcha de nombreux jets de sperme bien chaud.
Il resta dur, planté entre mes fesses de salope pendant au moins dix minutes. J'étais exténuée par la force de cet homme. Il se retira, retira la capote bien pleine et déversa le sperme sur mon visage, et l'étala avec ses doigts. J'adorais cette odeur, je me pourléchais les lèvres.
Puis, je me nettoyais rapidement. L'homme me dit qu'il avait des copains et qu'on pourrait se revoir si je le désirais. Je me retrouvais dans la rue, avec son numéro de téléphone, encore tout excité, émoustillé par de futures rencontres.

Brève : Notre premier partage de foutre marocain
Mireille et moi sommes parti une semaine au Maroc.
Nous avions opté pour le car comme mode de transport. Ca faisait quelques heures avant de rejoindre Marseille pour prendre le ferry. Dans nos bagage quelques short et robes pour Mireille. Le type de robe à fermeture éclair sur toute la longueur.
Nous avions décidé de ne prendre aucun sous-vêtement.
Je porte un pantalon de lin très ample avec une petite corde pour le fermer et une chemise assortie. Mireille juste une de ses robes. Celle qu'elle a choisie pour le voyage est assez légère et a une fermeture éclair qui s'ouvre dans les deux sens.
On distingue, en faisant attention, ses tétons. Et en plein soleil la robe est bien transparente.
Mais il fait déjà nuit au moment de l'embarquement. Le car est complet.
Nous sommes installé à l'avant, dernière rangée, à notre gauche, deux mecs d'une 50aine d'années, devant ils sont un peu plus jeunes. Derrière un couple dans la 40aine. Mireille est côté vitre et moi couloir.
Après une heure de route Mireille ne peut s'empêche de me masturber, elle glisse sa main par ma boutonnière et me masturbe lentement de la main gauche tout en se caressant. Elle n'avait pas pu s’empêcher de remonter sa fermeture éclair de quelques centimètres.
Je bande bien et après 10 minutes elle laisse complètement sortir ma bite de mon pantalon et descend la partie supérieur de la fermeture éclair afin de laisser entrevoir un de ses gros seins afin d'alterner entre son clito et ses seins.
On est observé par les deux mecs à notre gauche, à quoi bon si cela peu les exciter et leur procurer du plaisir tant mieux.
J'entends à sa respiration qu'elle va jouir. mmmh un petit gémissement elle jouis dans une très grande discrétion. Elle continue à me branler mais s'arrête car elle doit à présent uriner.
D'un air coquin elle me dit ne bouge pas j'arrive, enjambe de face. A ce moment, je ne peux m'en empêcher, je l’attrape par la taille et l'empale sur ma bite. Elle aime, sa chatte de salope est trempée. Elle bouge son petit cul et fait des vas et viens, j'adore !
A côté de nous les deux mecs sont maintenant en train de se branler, Mireille dans sa position regarde le couple sur les places derrières nous. Elle se tient sur l'appuie-tête et me dit entre ses soupirs :
- Le mec derrière me tient les mains.
Je trouve ça excitant.
Elle ne tient plus, elle doit aller uriner, se relève et descend les quelques marches. Pendant ce temps je prends le relais et me branle un peu. Un des gars à côté me dit avec son accent typique :
- Ta femme est bonne"
Je lui réponds qu'elle est toujours comme ça.
Il me demande sans gêne :
- On peut la toucher ?
Moi sans hésitation et sachant que Mireille va accepter je lui réponds naturellement :
- Vous pouvez.
Mireille remonte, Elle veut m'enjamber à nouveau mais je la retiens et lui demande de me sucer. Sans hésiter, elle se met à genoux dans l'étroit couloir et commence à bien me sucer.
Le mec côté couloir me regarde et d'un signe de la tête je lui fait "ok"
Je vois sa main disparaître en dessous de la robe de Mireille enfin si on peu dire car vu la position dans laquelle elle est, sa robe ne cache quasi rien de son cul. Elle sursaute, j'imagine qu'il la doigte, de l'autre main, il se branle toujours.
Après, disons 10 minutes il se retire et échange sa place avec son compagon de voyage.
C'est à son tour de triturer la chatte de Mireille, elle adore ça, le premier l'avait déjà fait jouir, voilà que le deuxième arrive également à lui donner un orgasme.
Il est moins fort mais je sens à la pression de la bouche de Mireille sur ma bite qu'il est quand même bon.
Elle se relève et me demande de l'enculer, je lui dis de venir s'empaler sur moi
Elle est à nouveau face à moi et glisse ma bite dans son fion. C'est bon je vais vite jouir je crois.
Tout en se faisant enculer, elle déboutonne ma chemise et me l'enlève. Je suis torse nu. Ses mouvement sont lent et doux. Mon gland est tout gonflé. C'est bon.
Je n'avais pas fait attention dans la pénombre mais les deux mecs des places à côté, ceux qui l’avaient masturbé sont debout et se branlent à quelques centimètres de nous, Mireille spontanément, en masturbe un, l'autre se met un peu en décalage derrière de telle sorte qu'elle puisse les prendre tous les deux.
Ils bandent comme des porcs. Je vois leur mouille.
Par moment Mireille prend leur glands en bouche en alternance.
Elle adore le goût de la mouille.
Quand elle me suce elle lèche bien ma mouille et la partage avec moi en m'embrassant. Visiblement elle ne fait ici aucune différence et me dit que c'est bon.
Elle m'embrasse, mmmmh oui, je sens mais je sens aussi la forte odeur de sexe qu'ils dégagent. Mireille s'enfonce bien sur ma bite et se cambre légèrement pour que nous puissions bien nous embrasser. D'un coup lors d'un long baisé je sens la bite d'un des deux voulant s’intercaler entre nos bouches.
Nous nous écartons, il passe, nous lui léchons le gland. Il commence à gémir fortement, Mireille me dit il va cracher !
Nous orientons nos bouches ouvertes. Il n'a pas fallu 10 secondes pour qu'il crache un nectar épais très blanc et bien épicé. C'est trop bon je sens que ça coule sur mon torse.
Mireille telle une chienne lape les dernière giclées et m'embrasse à pleine langue.
Je décharge dans son cul. Quel orgasme !
Elle me regarde et me dit "c'était bon"
Je lui répond que oui, excellent.
Mireille étale de ses mains le foutre de mon torse quand nous entendons d'autres gémissement. Oui nous avions oublié que le deuxième se branlait !
On se retourne au moment où il décharge toute sa semence sur mon torse. Il est un peu plus liquide mais qu'elle quantité ! Avant même d'étaler, Mireille en ramasse un peu sur ses doigts et lèche pour ensuite me masser le torse.
Elle se retire, une partie de mon foutre ressort de son fion sur ma bite, elle s'installe à côté de moi relèche et referme mon pantalon.
Je remets ma chemise. On est épuisé, on s’endort l'un contre l'autre.

Couscous Partie
C’était à un restaurant tunisien, où ma femme et moi avions pris l’habitude d’aller depuis quelques temps. La cuisine était très bonne et le restaurant avait une petite particularité, c’est que le week-end, à la mi-repas, une danseuse du ventre venait faire le spectacle.
Ce soir-là, la danseuse était là et au beau milieu de sa danse, je la vois qui s’approche de notre table et invite ma femme à danser avec elle. À ma grande surprise ma femme accepta.
Ma femme avait sa jupe noire mi-cuisse et un pull col roulé blanc qui moulait sa poitrine plutôt opulente. Elle dansait face à la danseuse professionnelle et ondulait son corps. Je commençais à voir ses seins prendre le rythme approprié. Elle s’enivrait à cette danse. Les clients et les clientes tapaient dans leurs mains et ma femme ondulait de plus belle.
La musique s’arrêta enfin et ma femme regagna sa place à mes côtés. Elle riait à pleine dents et je la voyait surexcitée. Elle me glissa rapidement :
- J’ai chaud !…
À ce moment-là, je ne sais pas ce qui m’a pris mais je m’approche d’elle et lui glisse à l’oreille :
- T’avais envie d’enlever ton pull et de danser en soutien gorge hein ?
Elle rigole et me dit un petit « oui » dans le creux de l’oreille.
Ce sur quoi tout s’enchaîna si vite…
Je me suis levé pour aller aux toilettes et sur le chemin j’ai glissé discrètement à Ali, le patron, que ma femme aurait bien été un peu plus loin, et dansé en soutien gorge, mais qu’elle n’avait pas osé pour ne pas choquer les clients… Mais s’il avait un sous-sol ou une arrière salle, elle pouvait le faire devant un cercle confidentiel de bons clients à lui.
Ali me répondit qu’il avait une salle au sous-sol qu’il n’ouvrait que rarement, seulement quand le restaurant était bondé, mais que ce soir elle était vide et qu’il allait voir si cela intéressait certains de ses habitués.
J’allais aux toilettes, un long moment, car ma femme m’avait excité et je n’arrêtait pas de penser à elle et il m’était difficile de pisser. Mais au moment ou je suis sorti et où j’allais regagner ma table, Ali me glissa discrètement qu’il y avait une table de quatre jeunes tunisiens très sympathiques et discrets que ça intéressait.
Une fois rassis, je regardai discrètement la table des quatre jeunes et je glissais dans le creux de l’oreille de ma femme que si elle voulait, elle pourrait continuer sa danse toute à l’heure au sous sol devant deux ou trois habitués et qu’Ali, le patron, allait nous offrir le dessert.
Un quart d’heure après, je vis Ali dire aux quatre jeunes de descendre pour le digestif. Ali remonta et me dit que l’on pouvait le suivre si l’on voulait, qu’il allait nous offrir le dessert ou le digestif comme on voulait.
Nous descendîmes ma femme et moi et en-bas la musique était déjà endiablée. Ali fît les présentations et nous nous assîmes tous sur des petits poufs autour d’une table basse. Ali mit ma femme en confiance en lui disant qu’elle pouvait continuer à danser ici sans aucun problème qu’elle n’avait rien à craindre.
Les quatre jeunes la complimentèrent en l’incitant à continuer la danse qu’elle avait commencé en haut. Ma femme se leva et commença à onduler sous les encouragements des quatre jeunes qui tapaient dans leurs mains au rythme de la musique arabe.
Ses hanches se libéraient sous les encouragement et rapidement ma femme ôta son pull col roulé et se retrouva en soutient gorge avec ses énormes seins qui ballotaient de gauche à droite au son des tambours arabes.
Aussitôt un des quatre jeune se leva, ôta son tee-shirt et commença à danser torse-nu autour de ma femme en riant. Très vite, deux autres l’imitèrent et tout ce petit monde dansait en levant les mains et en riant, l’ambiance était bon enfant.
Un seul était resté assis et regardait le spectacle, il semblait plus sérieux.
Au bout d’un moment ma femme commençait à s’enivrer de cette danse à quatre et les jeunes arabes commencèrent à scander quelque chose en arabe. Ma femme riait et leur montra qu’elle ne comprenait pas. Ils lui indiquèrent par des gestes qu’ils n’attendaient qu’une chose : c’est qu’elle dégrafe son soutient gorge. Ma femme joua la timide et fit non de la tête.
Les jeunes commencèrent alors à scander autre chose en direction du seul jeune qui était resté assis. Apparemment, ils ne faisaient que scander son prénom, car au bout d’un moment le jeune commença à se lever et à danser en approchant du cercle où se trouvait ma femme et les trois jeunes tunisiens.
Mais plus il approchait, plus les trois autres passaient derrière ma femme, la laissant seule face au nouvel arrivant… En approchant de ma femme, je m’aperçus que le jeune commençais à mettre progressivement la main à son pantalon, comme s’il allait défaire sa ceinture…
Arrivé à la hauteur de ma femme, il commença effectivement à défaire la boucle de sa ceinture, puis déboutonna son pantalon en plantant ses yeux droit dans ceux de ma femme. Ma femme s’en amusait et le mec ondulait tout doucement en défaisant sa braguette. Il dansa ensuite un long moment, la braguette entre-ouverte sur ses poils pubiens, face à ma femme. Le spectacle était très érotique.
Mais soudain, il ouvrit sa braguette en entier et en fit sortir un membre d’une longueur et d’une grosseur exceptionnelle… Puis il leva les mains et se mis à onduler en face de ma femme avec ce chibre énorme qu’il faisait balancer de droite à gauche.
Ma femme était interloquée, et ne sachant quoi faire, elle continuait à danser en rigolant bêtement et en me jetant des coups d’œil rapides. Elle regardait la chose à laquelle il était impossible d’échapper et les trois jeunes en profitèrent pour scander une nouvelle fois en arabe ce qu’ils avaient déjà réclamé : qu’elle enlève son soutien gorge !
Le deal était comme sous-jacent : tu vois, y en a un de nous qui te montre son énorme queue, donc montre nous tes seins en échange…
Je pense que c’est ce qu’a compris ma femme et, après m’avoir longuement regardé, je la vis qui commença à porter ses mains derrière son dos en me regardant, et, après s’être tournée vers le jeune à la grosse bite, le fixa du regard et dégrafa d’un coup son soutien gorge comme par provocation.
Des holà se firent entendre et les trois autres jeunes étaient surexcités.
La musique endiablée redoubla et les seins de ma femme étaient offerts ballotant aux yeux des jeunes tunisiens. Elle devait être manifestement excitée car je crois que je n’avais jamais vu ses tétons aussi bruns, aussi longs et aussi durs.
Je savais à ce moment là que les choses pourraient difficilement s’arrêter. Les jeunes commencèrent à scander d’autres choses en arabes et quelques “salopes” commentèrent à fuser discrètement au milieu de tout ce brouhaha.
Voyant que ma femme continuait, un des trois jeunes s’approcha de ma femme en dansant et lui dit clairement :
-  Fait bander la grosse bite, fais la bander !
Puis le mec me regarda, et comme je ne bronchais pas, il se rapprocha de ma femme et lui redit :
-  Fait bander la grosse bite, fais la bander devant ton mari !
Ma femme me regarda alors, et comme je ne bronchais toujours pas, elle se remit face au mec à la grosse queue et commença à porter ses mains à ses seins et les empoigna comme pour mieux lui montrer. Elle n’arrêtait pas d’onduler en empoignant ses globes et se mit à sucer ses tétons turgescents.
Les trois jeunes s’y mirent tous ensemble en s’approchant tout prêt d’elle et en lui susurrant près de l’oreille :
- Vas-y fait bander la grosse queue, suce-la, suce-la !
Ma femme continuait de se sucer les tétons et un des jeunes, prît la nuque de ma femme et l’appuya en avant comme pour lui faire sucer la grosse queue. Ma femme se dégageât en riant bêtement et me regarda.
Je ne bougeait pas, je pouvais rien faire, j’avais envie de voir ma femme sucer cette énorme queue. J’en avais envie…
Maintenant c’était un brouhaha qui couvrait la musique, ça fusait de partout, des trois jeunes, chacun à leur tout lançait des saloperies pour exciter ma femme :
-  Vas-y fait bander la grosse queue, suce-la, suce-la, suce-la devant ton mari !
-  Salope !
-  Salope de blanche suce la grosse queue d’arabe !
J’étais comme fou, tétanisé par le spectacle.
Un des jeunes recommença, reprît la nuque de ma femme et l’appuya en avant comme pour lui faire sucer la grosse queue. Cette fois, ma femme donna au passage un coup de langue sur la grosse bite avant de se dégager et me regarder à nouveau.
Je ne bougeai toujours pas, ça m’était impossible.
-  Suce-la queue salope, suce-la devant ton mari !
-  Salope !…
-  Suce la grosse queue d’arabe !…
-  Suce-la devant ton mari salope !…
Le jeune recommença une troisième fois à reprendre la nuque de ma femme pour l’approcher de la grosse queue. Cette fois ma femme se laissa faire et lapa de grands coups de langue le long de l’énorme bite et finit par l’enfourner dans sa bouche. Les mecs explosèrent de joie !
À partir de ce moment, le mec à la grosse queue prit tout en main. Il prit ma femme par la nuque de la main droite et l’éloigna de sa bite qu’il tenait de la main gauche, et lui demanda :
-  T’as envie de sucer ma grosse bite ?
Ma femme hésita et il lui reposa la question :
-  T’as envie de sucer ma grosse bite salope ?
Ma femme me regarda rapidement et répondit alors un « oui » timide. Sans la lâcher il lui reposa une troisième fois la question :
- T’as envie de sucer ma grosse bite d’arabe devant ton mari hein salope ?
Ma femme affirma sa réponse d’un « oui… » beaucoup plus prononcer qui se finissait en râle. Alors il rapprocha la tête de ma femme de son énorme queue et lui dit :
-  Allez vas-y suce salope !
Ma femme se jeta sur sa queue et les trois autres jeunes explosèrent une nouvelle fois de joie. Ils commencèrent également à déboutonner leur pantalon et à sa branler et en me regardant m’invitèrent à faire de même. Ils insistaient et je pu difficilement faire autrement tellement je bandais déjà. Je défit ma braguette et sortit ma petite bite et lorsqu’ils virent qu’elle était déjà toute dure, ils explosèrent de rire en continuant à se branler : je fis de même.
Ma femme qui s’était retournée en entendant l’explosion de rire, me vit me branler à son spectacle.
Le mec à la grosse queue la remit immédiatement au travail en lui lâchant :
- T’occupe pas salope, dégrafe ta jupe et suce moi la queue.
Ma femme s’exécuta. Elle mit ses mains dans son dos à hauteur de l’agrafe de sa jupe et la dégrafa d’un seul coup. Elle la fit glisser, se remit à genoux et se masturba en suçant la grosse queue.
Un moment, le mec recula, se baissa et mis la main à la chatte de ma femme. Il remua violemment sa main dans son vagin et ma femme éjacula un long jet en un râle d’épuisement.
Il la remit à lui sucer bite, ma femme était ivre de plaisir et recommença à se masturber. Il l’encourageait :
- Vas-y suce salope de blanche, je vais te la mettre dans le fond de la gorge !
Ma femme râlait à chacune de ses insultes.
- Vas-y suce, ton mari aime-ça il se branle sa petite bite en te regardant !
À ses mots ma femme convulsa et gicla toute seul en un long jet.
À ce moment le mec la regarda et lui demanda :
- T’as envie de te faire baiser salope ? T’as envie de te faire baiser par ma grosse queue hein ?
Ma femme émit un petit son qui ressemblait à « oui ». Le mec répliqua :
- Dis  à ton mari que t’as envie de te faire baiser par ma grosse queue ! Dis lui !
Elle ne s’adressa même pas à moi mais directement à lui :
- Baise moi avec ta grosse queue !
Il se calma et dit d’une voix plus douce :
-- Allonge toi salope !
Ma femme s’allongea sur une banquette et écarta les jambes attendant le gros membre qui s’approchait. Tellement ma femme était trempée, qu’il l’enfourna d’un coup et elle éclata en long râle de plaisir : il venait déjà de la faire jouir !
À partir de ce moment-là, le mec à la grosse queue fut plus doux avec ma femme et lui parla plus tendrement. Les trois autres s’approchèrent et se répartirent autour de ma femme tout en continuant à se branler. Ils m’invitèrent à les rejoindre et ma femme me vit approcher avec ma petite bite à la main.
Elle jouissait lentement sous le va et vient profond de la grosse bite. Les deux arabes en face de moi lui demandèrent de prendre ses seins dans ses mains, celui qui était à mes côtés ne bronchait pas et se branlait doucement comme moi.
Soudain, sous l’excitation de ma femme, un des deux arabes qui étaient en face de moi se mit à jouir et lâcha tout son sperme chaud sur le ventre de ma femme. Aux jets de spermes qui tombaient sur son ventre ma femme accéléra sa jouissance et le mec à la grosse queue son rythme. Le flot de sperme écoulée le mec à la grosse queue se retira momentanément et mit ses gros doigts dans le vagin de ma femme qui éjacula immédiatement comme une salope en chaleur. Elle avait sentit le sperme arabe et avait immédiatement jouit.
Le mec à la grosse queue réitéra l’opération lorsque le mec à côté de moi, puis le mec en face lâchèrent successivement leur sperme sur le ventre et les seins de ma femme. Celle-ci devait être excitée par l’odeur du sperme arabe.
Après avoir jouit, les mecs se rhabillèrent un à un et remontèrent dans la salle du restaurant.
Nous étions désormais plus que trois : ma femme qui était en train de se faire baiser par l’arabe à la grosse queue et moi, qui me branlait au-dessus des seins de ma femme.
C’est là que le mec à la grosse queue se remit à parler à ma femme :
- Ça te plaît de voir ton mari branler sa petite bite pendant que tu te fais baiser par ma grosse queue d’arabe hein ? Ça te plaît de faire la salope devant ton mari hein ?
Puis il s’adressa directement à moi :
-- Et toi ça te plaît de voir ta femme se faire défoncer par une grosse queue d’arabe hein ? Ça te plait de voir ta femme se faire traiter comme une salope hein ? Allez branle-toi sur ta salope… vas-y branle ta petite bite sur ta salope !…
Le mec s’excitait tout seul et ses coups de queues devenaient de plus en plus rapides et saccadées, et à ces mots, je pus difficilement retenir plus longtemps mon éjaculation. Ma femme le senti en même temps qu’elle était assaillie par des coups de boutoir de plus en plus violent.
-- Ah oui ça te plait de voir ta femme se faire traiter comme une salope par des arabes hein ?
Je ne pus me retenir… J’éjaculai à long jets fins et puissants sur ma femme qui exultait… Quand au mec, sa propre excitation avait pris le dessus et il retira soudain sa queue pour éjaculer sur le pubis de ma femme à longs jets épais. Ma femme gueulait comme une guenon en rut, nous avions jouis tous les trois ensemble.
À peine finit de jouir, le mec m’ordonna de me pousser et vint à ma place pour se faire sucer les dernières gouttes de sperme par ma femme… Je me poussa et vint à la place du mec, entre les jambes de ma femme. Celle-ci était encore manifestement excitée et suçait la grosse bite avec de doux râles…
Je compris qu’il ne me restait qu’une chose à faire. Je m’accroupi et me mis à lécher a chatte de ma femme. Elle était toute humide et défoncée, et l’odeur âcre du sperme épais de l’arabe envahissait mes narines.
Le mec fini par se rhabiller et remonter dans le restaurant, tandis que sous mes coups de langues, ma femme continuait à jouir clitoridiennement toutes les trois ou quatre minutes.
Nous étions là tous les deux, moi à branler ma petite bite qui redurcissait du fait de l’excitation terrible que nous avions vécu, et ma femme qui jouissait sous mes coup de langues, lorsqu’Ali, le patron, descendit les escaliers.
« Allez vous, nous dit-il, c’est fini on ferme, j’ai pas que ça à faire… C’est pas un hôtel de passe ici ! »
Nous nous rhabillâmes et au moment de remonter et de sortir, Ali nous demanda :
-- Dîtes donc, c’est pas tout ça mais les gars ont consommé une bouteille et ils ne l’ont pas payé. Vous me devez vos deux repas plus une bouteille. Ça fera 200 € j’arrondis.
J’ai de suite payé et nous partîmes sans discute




Le mois du cinéma: Les scènes de sexe...

Le mois du cinéma: Les scènes de viol...

Queqlues conseils avisés d'un spécialiste es soumission à d'autres ethnies.....

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 Pour celles qui ont besoin de quelques conseils
pour s'éclater avec des bonnes grosses teubs

Méthode pour que votre mari accepte de vous laisser baiser par des arabes
Robert Maloch
Introduction :
Mesdames, certaines d’entre vous ont un fort désir, ou même besoin, d’expérimenter la puissance des bites arabe ou noire. Celles qui ne sont pas convaincues le seront bientôt.
Malgré ce fort désir, vous souhaitez probablement conserver votre mari dans votre vie. Et donc pour que puissiez-vous épanouir, il est nécessaire votre mari doit accepter votre besoin. Notez que nous n’utilisons pas le verbe « consentir » Vous ne devez pas demander son approbation, seulement vous devez vous assurer de son acceptation.
Avec son acceptation, tout sera beaucoup plus facile pour vous, vous pouvez apporter vos amants arabes à la maison, ou le faire aider pour trouver des noirs à baiser. Vous n’aurez pas besoin de mentir, vous n’aurez pas à expliquer pourquoi vous rentrez tard du travail ou inventer des sorties entre filles..

Pourquoi ?
Certaines prétendent simplement que c’est parce leur mari n’est pas assez performant d’autre se cachent derrière leur peu d’expériences sexuelles avant le mariage, et sont curieuse de savoir ce qu’il y a sur le marché.
Mais les raisons intrinsèques pour lesquelles vous devriez essayer un amant arabe ou noir sont les suivantes :
Les bites d’arabes ou de noir sont plus grosses. Vous ne vous êtes pas marié avec lui en raison de la taille de son pénis, mais devez connaître la sensation de ne pas être « remplis complètement ». Un amant arabe ou noir pourra vous fourrez comme vous le méritez.
Les bites d’arabes ou de noir sont plus longues. En dépit de toutes les annonces dans les magazines pour hommes, il n’existe pas de moyen pour changer la longueur du pénis de votre mari. Un amant arabe ou noir pourra toucher des parties de vous que votre mari ne pourra jamais atteindre.
Les amants arabe et noir sont plus performants. Apres quelques années de mariage, par habitude votre mari ne « supportera » pas plus de 5 minutes de pénétration. Un amant arabe ou noir pourra vous donner du plaisir toute la nuit.
Vous pourrez assouvir votre éventuel désir de soumission à un male alpha.
Votre mari vous sera soumis proportionnellement à son niveau d’implication (Cela va de simple voyeur, a un mari que nettoyé le sperme de lamant avec sa bouche, voir qui se laisse enculer par l’amant). Votre relation au jour le jour deviendra moins conflictuelle et sera plus agréable à vivre

Quand ?
Il n’y a pas de moment favorable. Cette méthode est vraiment surprenante: même des machos, deviennent sexuellement soumis à leur épouse en l’utilisant.
Quoi qu’il en soit, le plus de oui vous aurez à ces question, le plus rapidement vous pourrez aller :
Avez-vous parfois de l'autorité sur lui ?
Vous a-t-il déjà encouragé à vous habiller sexy lorsque vous sortez ?
S'est il déjà masturbé devant vous ? –
S'est il déjà masturbé après que vous ayez repoussé ses avances ?
Regarde t’il des vidéos porno ?
Aime-t-il vous faire des cunnilingus ?
Aime-t-il aime se faire doigter ?
Aime-t-il aime se faire pénétrer par des godes ou autre ?
Aime-t-il rester la tête entre vos fesses, vous a t il déjà demandé de vous asseoir sur son visage ?
A t-il des doutes sur la grosseur de son sexe ?
Est-il fasciné par les bites arabes ?

Comment ?
Les étapes présentées ici ne sont pas mes idées originales: vous pouvez trouver des méthodes similaires en ligne à plusieurs endroits. Cependant, j’ai accumulé une certaine expérience et ai modifié la méthode en fonction de mes propres expériences pour aider d'autres femmes à faire accepter à leur mari le statut de cocu.

La méthode est graduelle. Il faut introduire progressivement l'idée. Afin que votre mari accepte. Vous devez non seulement lui faire voir progressivement la lumière, mais aussi, petit à petit, il doit vous être plus soumis.
Le plus souvent, lorsque vous atteindrez certain niveau, ce sera lui qui vous suggèrera de commencer à vous faire baiser par des arabes, comme si c’était son idée! C’est vers là que vous devez de le conduire.
Aucun processus n’est infaillible, et aucun processus ne fonctionne à 100%. Dans de nombreuses situations, il ne fonctionnera pas du tout. Il evident que chaque étape doit adaptée aux situations individuelles. En d'autres termes, ce est un guide qui vous devez modifier en fonction des réactions de votre mari.
Cette méthode est faite pour remodeler votre mari, mais elle nécessite aussi un changement d'attitude de votre part aussi.
Vous devez développer un esprit aventurier, très ouvert sur le sexe. Vous devez défier votre nature. Certaines étapes seront difficiles à passer, mais vous ne devez pas reculer sous peine de devoir renoncer. Surtout, vous ne devez pas reculer face aux critiques de votre mari. La récompense finale en vaut la chandelle.
Votre changement d'attitude commence avec votre discours. Par exemple, lorsque vous parlez de relation avec un arabe ne dite pas faire l’amour, dites baiser. Ne dite pas que vous vous êtes rasé la région pubienne, vous vous rasez votre chatte. Les arabes et les noirs ont des bites ou des queues tandis que votre mari a un kiki ou un zizi. Ne parlez plus de «pénis » ce mot n’existe que chez le médecin … et encore.
Vous devez rester amoureuse attentive et compréhensive envers votre mari. Vous devez le montrer au delà de ce que vous faisiez. Faites des dîners spéciaux; apporter des fleurs à domicile …
Alors que vous progressez le long des étapes, vous devez également prévoir un système de récompenses et de punitions pour votre mari, comme vous le feriez un chiot. Quand il réagit favorablement à quelque chose que vous avez fait, vous devez le récompenser. Vous décidez comment, mais ce doit être suffisamment rapide pour qu'il comprenne que la récompense est due à pour sa bonne réaction. S’il réagit négativement, il doit y avoir punition, là encore, vous devez être assez rapide. Vous pouvez refuser de l'embrasser, par exemple. Vous devez décider quelles sont les récompenses ou punitions efficaces dans votre propre situation. Assurez-vous d’être cohérente dans leur application.
Une des clés à du succès de cette méthode est que vous ne devez pas discuter avec lui. S’il des dispute, soyez tout sourire et laissez filer. Vous devez continuer à vous rappeler de ça, car il sera très facile d'entrer dans un piège d’une dispute, et vous conduire alors à l’échec de ce que vous avez mis en place.
Passez chaque étapes une par une, avec assez de temps entre pour qu’il s’adapte. Profitez-en pour évaluer sa réaction. N’allez pas trop vite. Cependant, plus il réagit favorablement, plus vite vous pourrez aller.
Si vous avez déjà commencé de vous faire baiser par un arabe en cachette, vous ne devez jamais l’admettre. L'objectif et que ce soit lui qui le propose. Il faut qu’il ait l’impression que l’idée perverse vienne de lui.
Une dernière chose : ne reculez pas, en aucune circonstance, même un peu. Si vous reculez une fois, ce sera compliquer de ne plus reculer face à ses éventuelles plaintes.
Prêtes à commencer?

La méthode
1. Le porno en couple (une femme blanche + un arabe)
Proposez-lui de regarder avec lui des vidéos pornos. Il sera sans doute surpris si vous n’avez jamais fait ça avant.
Veillez à ce que votre proposition n’ait pas l’air prémédité, mais en amont un travail pour sélectionner la vidéo à regarder est nécessaire de votre part.
Commencez par une scène avec une femme blanche et un arabe ou un noir. Choisissez si possible, un segment dans lequel une femme qui a les même caractéristiques physiques que vous se fait monter par une grosse bite bronzée (une seule). Assurez-vous qu'il n'y a aucun homme blanc dans la scène.
Regardez la vidéo avec votre mari et faire des commentaires sur la beauté du contraste entre la peau noire et la peau blanche. À ce stade, vous ne devez pas trop en faire. Vous pouvez juste évoquer que vous trouvez ça excitant.
Regardez la vidéo plusieurs fois avec lui pendant quelques jours. Chaque fois, vous pouvez vous montrer un peu plus enthousiaste à ce sujet, mais n’évoquez pas encore la taille du sujet.

2. Une chatte douce et rasée
Si vous n’avez pas la chatte rasée, c’est maintenant le moment de le faire. Vous devez lui montrer votre nouvelle liberté sexuelle et votre libération.
Rasez-vous la chatte complètement : pas ticket de métro ni de triangle, juste la peau nue et douce.Gardez votre chatte fraîchement rasée et lisse. Utilisez des lotions et des pommades qui fonctionnent pour vous.
Assurez-vous qu'il sait que vous êtes rasée. S’il vous demande pourquoi, ni dite rien de plus qu’un « j’aime ça ». Ne discutez pas. C’est votre chatte, pas la sienne.
Cette étape aide à obtenir un changement d'attitude dans son esprit même si ne le voyez pas.
Si vous notez de la curiosité, vous pouvez lui demander de l’aider vous rasez la chatte, ça le rendra plus soumis sans qu’il s’en aperçoive.

3. Le porno en couple (une femme blanche + plusieurs arabes)
Cherchez une autre vidéo porno. Cette fois sélectionnez une scène ou une femme se fait baiser par plusieurs arabes ou un noir. Si la femme a les même caractéristiques physiques, c’est un plus.
Au fil des visionnages, commencez à vous frotter, l'ouverture de vos jambes. Faites des commentaires sur la beauté des bites arabes. N’allez trop loin avec ce encore, mais assurez-vous qu'il se rende compte que la scène vous émoustille.

4. Le nudisme à domicile.
C’est une étape très importante. Pratiquez le nudiste à la maison et pas seulement une partie du temps, mais presque tout le temps. Cuisinez avec un tablier (pour éviter les éclaboussures!), Mais manger nu, dormez nu, regarder la télévision nu, etc …
Vous avez des enfants ? Ne vous inquiétez pas, je vous assure qu’ils vont s’y habituer facilement. Ils vont rire et ricaner au premier abord, et de faire des commentaires, mais ils vont s’habituer. Si vous arriver à faire de votre famille une famille nudiste ce sera plus facile. Si vous donnez l'exemple, ils suivront avec vos encouragements.
Ce qui est important c’est de ne pas reculer. Peu importe ce que votre mari ou votre petit ami dit. C’est un point critique : votre nouvelle attitude, votre nouveau aventurisme, votre libération sexuelle. Vous devez le faire.
Pensez à toujours avoir une robe courte portée de main près de la porte en cas d'urgence. La robe courte devra couvrir vos fesses, mais à peine.

5. La première conversation
À ce stade, si votre mari ou petit ami blanc n'a pas tenté de s’asseoir avec vous pour discuter de tout cela, ça ne devrait pas trop tarder.
Ne vous disputez surtout pas. Expliquez juste que vous voulez être plus ouverte, plus honnête avec votre nouvelle liberté sexuelle, et que c’est comme ça.
Ne pas reculer, pas d'un pouce. Ne donnez pas pus de détails, expliquez juste que vous vous sentez plus aventureuses, plus ouverte.
Pendant tout ce processus, vous allez devez vraiment éviter de vous disputer avec lui. Soyez calme en toutes circonstances, mais déterminée. Vous êtes en charge, pas lui !

6. Des habits sexy
Commencer à se habiller sexy quand vous sortez. Pour aller au travail, habillez aussi sexy que l’étiquette de l’employer vous le permet (il ne s’agit pas de s’attirer des ennuis).
Lorsque vous allez au cinéma ou au restaurant ou à un repas chez des amis, ou même au supermarché pensez à vous habiller vraiment sexy : jupes très courtes, pantalon stretch (on doit pouvoir deviner votre chatte facilement), tops courts. En été, portez des shorts si courts qu’ils doivent montrent au moins quelques centimètres de vos fesses (les jupes très courtes sont encore mieux, même en été).
Relevez le défi. Habilliez-vous encore plus sexy que vous ne le pensiez vraiment.
Si quand vous sortez, vous n'êtes pas un peu gêné au début, c’est que probablement vous n’êtes pas assez sexy. Vous vous y habituerez !

7. Le porno en couple (une femme blanche + plusieurs arabes + un cocu)
Cherchez une encore une autre vidéo porno. Cette fois, choisissez en une ou un cocu blanc regarde sa femme se faire prendre par deux ou trois grosse bites d’arabes.
Là encore beaucoup de travail de recherche de votre part pour trouver la vidéo qui vous convient. Mais souvenez-vous, chaque visionnage doit paraître être le fruit du hasard !
Assurez-vous que le cocu ne fait rien d’autre que de regarder sa femme se faire enculer par des reubeux. Le cocu ne doit en aucun cas participer aux ébats, ni se faire sucer. Éventuellement dans la vidéo, la femme peut nettoyer les queues des mâles dominants, mais rien d’autre.
Regardez-la avec votre mari plusieurs fois, et chaque fois évoquez comment vous trouvez la situation intéressante et comment vous en êtes émoustillée.
Là aussi, durant le visionnage, caressez-vous. Permettez à votre mari de jouer avec vous, mais faite lui comprendre que ce qui vous excite c’est la grosse bite de l’arabe à l’écran, pas ce qu’il vous fait.

8. L’association d’idées
Vous devez maintenant, dans son esprit, arriver à lui faire associer votre excitation sexuelle avec les grosses bites arabes ou noires, et pas seulement le fait qu’une femme blanche se fasse baiser par un africain.
Cette étape est très complique et peut vous demander parfois des efforts. Veillez à ne jouir que quand on voit une bite arabe à l’écran. Si c’est en gros plan, c’est encore mieux.
Dans les autres cas, retenez-vous : l’objectif est que votre maris associe votre jouissance a une énorme queue bronzé, un gland épais comme ne prune, de grosses couilles pleines de sperme.
Soyez insatisfaite quand il est seul. Jouissez seulement quand il vous voit associer blanche et arabe.

9. Le gode
Achetez un gode noir très réaliste. Utilisez-le tout en regardant vos films pornos, ou en jouant tout simplement.
Lui aussi peut l’utiliser sur vous. Jouissez bruyamment. Crier que vous aimez cette chose noire en vous, qu’un truc si gros se sent si bon. Mettre l'accent sur la grosseur.

10. Une femme insatisfaite
Faire tous des efforts pour le maintenir hors de votre chatte. Si vous devez, sucez-le ou branlez-le ou mieux encore, demandez-lui qu’il se branle pour vous.
Si vous ne pouvez pas éviter la pénétration, ne jouissez pas de lui. Ne jouissez pas non plus quand il vous broute le minou.
Rester sur le dos et laisser le faire sa besogne, mais ne montrez aucune excitation, voire montrez de l’ennui : cela renforcera l’association de votre jouissance avec les grosses bites arabes.

11. Les arabes dans la rue
Lorsque vous sortez avec votre mari blanc commencez à remarquer ouvertement les arabes ou les noirs. Si vous êtes timide, faites au moins un sourire à chaque reubeu que vous voyez. Tous, peu importe leur âge ou leur apparence.
Faites un grand sourire, un sourire accueillant. Faite-leur un petit salut de la main si vous êtes trop timide pour dire quoi que ce soit.
Expliquez à votre mari que vous vous demander si la bite de l’arabe rencontré est grosse et bronzée.
Flirter avec des noirs dans les épiceries, dans les cafés ou dans n’importe quel lieu. Pour ce faite le tout le temps, mais surtout quand vous êtes avec votre mari.
Il peut mettre en colère au début, mais ne pas reculez pas. Ne vous disputez pas non plus. Souriez lui et dite lui « T’es jaloux ? » et continuez.

12. Le gode-ceinture noir
Obtenez un gode-ceinture noir. Vous allez l'utiliser sur votre mari, alors assurez-vous que la sangle est réglable pour s’ajuster sur vous et que le gode ne soit pas trop grand il s’agit de ne pas trop lui faire mal.
Achetez également un lubrifiant anal qui contient un analgésique. Vous allez utiliser le lubrifiant avec l'analgésique les premières fois. Après les premières fois, vous pourrez utiliser un lubrifiant anal normal, sans analgésique.
Dites-lui que vous voulez partager avec lui la jouissance d’un gros gode noir. Ça risque d’être dur mais cette étape est essentielle. S’il s’oppose, ne faites pas la tête et revenez à la charge. Insistez sur la notion du partage, que vous voulez qu’il ressente la même chose que vous.
Faite le mettre nu et à quatre pattes, et enculez le. Après les quelques premières fois, il va s’habituer et ne sentira plus du tout la douleur. Il va commencer à jouir simplement de cette pénétration.
Cette étape le rendra plus soumis. Habituez-le à mettre un papier sous lui quand joui. Ensuite obligez-le à nettoyer et jeter son propre sperme. Soyer claire sur le fait que c’est lui qui doit nettoyer son sperme

13. La restriction
Pour lui, il faut que ce soit clair : la seule manière qu’il a de jouir est avec le gode dans le cul ou en se branlant oui quand vous le branlez.
Il n’a plus le droit de vous baiser.
Vous devez maintenant que jouir devant des grosses bites arabes et lui aussi.

14. Le livreur de pizza 
Puisque vous pratiquez le nudiste de la maison, profitez-en pour commander une pizza ou quoi que ce soir à domicile. Si le livreur est un arabe ou un noir, commencez à commander plus de choses en ligne pour vous retrouver plus souvent avec lui.
Si votre mari est à la maison, et que le livreur est arabe ou noir, assurez-vous que votre mari voit le scène ou vous répondez à la porte totalement nu.
Quand le livreur repart, dites à votre mari que vous vous sentez excitée qu’un arabe vous aie vue nue. Comment c’est sexuellement stimulant qui était pour vous. Affichez un grand sourire sur votre visage.

15. Sans culotte
Maintenant, quand vous sortez, commencer à sortir sans petite culotte. Votre mari doit savoir dès le départ que vous ne portez pas de dessous. Ne vous contentez pas de le lui dire : montrez-le-lui.
Assurez-vous que vous portez une jupe très courte, même pour faire les courses.
Expliquez-vous espérez que certains arabes vous voient. Assurez-vous qu'il sait qu'il est toujours les bienvenus pour sortir avec vous, mais qu’il ne doit pas interférer avec ce que vous faites.
Excepté durant vos règles, ne portez jamais de petites culottes. Assurez-vous ue votre mari est toujours au courant, appeler le au travail si il le faut !

16. Les premières critiques
Tout en restant affectueuse commencer à être un peu critique sur son zizi blanc.
S’il a un sexe plus grand que la moyenne, faites faire des commentaires sur la paleur, la froideur de son zizi. S’il a un petit sexe, insinuez que vous le trouver petit et qu’il ne vous satisfait plus.
N’essayez pas de le blesser ou de l’humilier, mais il doit comprendre qu'il n'a plus aucun espoir de vous satisfaire à nouveau.

17. Le baiser sur l'anus
Si vous voulez qu’il soit encore plus soumis à vous, et habituellement c’est hautement souhaitable, demandez-lui de vous lécher le cul. Il va sans dire qu'il doit, bien sûr, se brosser les dents et utiliser un rince-bouche après. Une fois, qu’il est très habitué à lécher votre anus, il deviendra peu addicte. Il va même espérer que vous luis demandez de le faire (c’est une réaction psychologique).
Quand il a atteint ce point, commencez à exiger qu'il vous embrasse sur l’anus pour vous dire bonjour ou bonne nuit. Tout en faisant cela, s’il intente de toucher votre chatte tout en faisant cela, grondez-le voire punissez-le.
Une fois qu’il assume que lécher ou embrasser votre trou du cul est une récompense, lui refuser cette la possibilité de le faire peut être utilisé comme une punition.

18. La cage
S’ il est devenu assez soumis, le moment est venu de lui mettre un dispositif de chasteté sur le sexe de sorte que vous pourrez le récompenser en le déverrouillant pour lui permettre de se branler quand il fera quelque chose de bien, ou en le gardant prisonnier quand il fera quelque chose que vous ne aimez pas.
Le dispositif en métal sont mieux (mais vous ne pourrez pas aller dans les aéroports de cette façon).
Si vous faites ça, vous devez toujours garder à l'esprit que c’est un système de récompense et de punition. Par exemple, le moment venu, s’il vous trouve une bel arabe bien monté, récompensez-le non seulement en le laissant regarder, mais aussi en déverrouillant le dispositif afin qu'il puisse se branler.

19 acceptation
A un moment donné quand vous l’aurez assez enculé, quand vous aurez assez insiste sur le fait qu'il ne peut pas vous satisfaire, quand vous aurez assez répété que vous trouvez les bites arabes si belles il sera probablement assez soumise et sans doute prêts pour suggérer que vous essayez une queue arabe ou noir. Habituellement, cette proposition se passe autour de l´étape 12 ou 13 et même souvent plus tôt.
Si ça n’est pas encore arrivé, alors vous devez maintenant devenir encore plus directe. Asseyez-vous avec lui et dites-lui que vous l'aimez, que vous avez besoin de lui, et que vous resterez avec lui, mais que vous êtes sexuellement frustrés et que vous avez besoin de plus que ce qu'il peut vous fournir. Dite lui que vous voulez baiser des noirs. Si vous avez déjà un amant, ne le lui dite surtout pas ! Dites-lui que s’il est gentil, il pourra vous aider à vous préparer aux rendez-vous, qu’il pourra vous regarder, vous nettoyer. Mais que s’il fait des histoires, il sera puni et ne pourra pas participer.
Rappelez-vous ceci: vous n'êtes pas la pour demander sa permission ou son approbation, vous êtes tout simplement la pour lui faire accepter la nouvelle réalité.

Histoire du net. Auteur: jgiorca. Evolution

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Suite logique de ce que vous avez lu hier...

La métamorphose de Julien
Auteur : jgiorca

Julien déguste sa limonade, assis à la terrasse de ce café parisien, accompagné de sa femme Sophie. Le couple traverse une période de douce monotonie. Les vacances sont quelque peu libératoires dans le sens ou leur sexualité connaît un léger renouveau, dû à l’oisiveté de ces derniers jours. Voilà dix ans que ce libraire vit avec cette traductrice. Lui est un homme légèrement bedonnant mais la trentaine presque révolue provoque ce genre de disgrâce. Son charme réside, d’après les dires de Sophie, plus dans sa gentillesse, sa tendresse et dans l’amour incommensurable qu’il voue à son épouse. Sophie se prend même à qualifier cet amour de faiblesse. Sans réel goût vestimentaire pour sa personne, il s’habille d’une manière classique, sans grande originalité.
Quant à elle, la gestion du foyer passe par le filtre de sa volonté et son aptitude à imposer ses quatre volontés à Julien. Du haut de ses 1m69, elle surpasse de quelques centimètres son mari. Des formes charnelles la caractérisent. Une jolie poitrine (90B), une chevelure lisse et blonde, des yeux bleus, un joli sourire et des lèvres pulpeuses, des fesses légèrement bombées et une très légère culotte de cheval. Bref, sans être un canon de la beauté, elle reste une femme agréable à regarder du haut de ses 35 ans. Après dix ans de vie commune, ils se marièrent il y a 5 ans. Ils éprouvent quelques difficultés pour avoir un enfant et Sophie suit un traitement hormonal.
Bref, l’usure du temps se faisant, Julien se réfugiait dans quelques littératures érotiques, alors que l’esprit de Sophie vagabondait de talk show en émissions de variétés. Julien, au fond de lui-même se sentait coupable de ne pouvoir donner d’enfant à sa femme, même si c’est elle qui ne pouvait pas procréer. Il avait l’impression de n’être pas performant du fait d’un sexe de courte taille et de ses éjaculations précoces. Malgré le réconfort de son épouse et l’assurance du plaisir qu’elle éprouve, Julien se réfugiait de plus en plus dans les récits érotiques comme échappatoire à ce qu’il considérait comme un échec personnel.
Il était hypnotisé par des textes mettant en scène des hommes virils et bien membrés entretenant des relations avec des épouses infidèles. Au fil du temps, il se masturbait même en transposant sa femme dans ce rôle. Il endossait ce rôle de cocu, d’homme trompé et bafoué, mais loin de le dégoûter, cette posture éveillait un désir inqualifiable et tellement trouble. La jouissance tirée de ce statut prenait de plus en plus d’ampleur. Avant, pendant et après chaque rapport sexuel, il évoquait la présence d’un autre homme, pourvu d’attributs physiques bien plus avantageux que les siens, ce qui avait pour résultat de lasser Sophie.
A force de répéter sans cesse les mêmes propos fantasmagoriques, il finit par éveiller chez Sophie une douce curiosité. Après tout, pas d’enfant en vue, une vie tout ce qu’il y a de plus banale, une sexualité sans extravagance, et un mari devenu schizophrène à l’idée de voir sa femme se faire empaler par un étranger sous ses yeux. L’idée faisait son chemin mais elle voulait le consentement de son époux.
Alors que Julien lui rabattait une fois de plus les oreilles avec ses fantasmes, elle décida de le prendre aux mots. Après qu’il eut éjaculé, c'est-à-dire assez rapidement, elle lui tint alors des propos inattendus :
- OK, Julien. On va le faire et tu seras là !
- Faire quoi Mamour… dit-il d’un ton étonné.
- Je vais me faire prendre par un autre homme, bien membré et très performant. Satisfait ?
Pour la première fois, Sophie se lançait et électrisa Julien au plus profond de sa chair. Une onde de choc atteignit son cerveau et il oscillait maintenant entre peur et plaisir. La peur de se comparer à l’autre, celui qui pourrait aisément le remplacer sur le plan sexuel, celui qui pourrait faire connaître à sa femme des sensations inconnues, celui qui serait un homme, cet homme qu’il ne semble pas être.
Et puis, il y a le plaisir. Cette forme de doux bonheur dans lequel sa femme s’épanouirait enfin, le plaisir d’imaginer sa femme possédée et comblée pleinement, celui de se sentir humilié et bafoué. Entre les deux, son cœur balance…
Déstabilisé, il affronte quand même sa femme.
- Tu penses ce que tu dis Mamour ?
- Ça fait des mois que tu me bassines avec ça. Si c’est vraiment ce que tu veux, je vais te le donner. Alors, comment s’y prendre dans de tel cas ?
Julien avait un genou à terre. Il n’allait pas tarder à voir le deuxième.
- Je… je ne sais pas trop…
- Mais dis moi, tu bandes ? Ça te plaît de te sentir cocu… c’est ça ? Tu ne bandes jamais après avoir joui généralement. C’est cette idée de me voir prise par un autre qui te met dans cet état ? Alors écoute moi bien, je vais exhausser tes vœux, mais à une condition… Tu me regarderas me faire baiser par ce type. Alors, heureux ?
- Oui… je crois… je ferai comme tu le souhaites ma chérie.
- Commence par me baiser puisque tu es en forme. Allez ramone ta femme, mon petit cocu !!!
Le ton étant plus directif et autoritaire, le pauvre Julien a même tenu moins longtemps que la fois précédente. Après quelques aller retour, il se répandait misérablement dans les entrailles de Sophie.
- Écoute moi, cocu. Au travail, il y a un homme, le responsable commercial. Il a une réputation d’homme à femmes. Sylvie, ma collègue, a couché avec lui. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais connu de coup comme lui. Alors c’est lui qui te déshonorera pour la première fois. Il est assez athlétique, sûr de lui, grand et viril, un homme quoi ! Tout le contraire de toi.
- Comme tu voudras ma chérie… dit-il en baissant la tête.
- Oui, c’est ça. Comme je veux… et crois moi, tu en auras pour ton argent.
La boucle était bouclée. Julien était passé du stade d’époux à celui d’époux cocu en sursis. Mais plus que cela, il était passé sous l’emprise totale de sa femme. Psychologiquement, le peu de masculinité qu’il possédait venait de fondre comme neige au soleil. C’est un peu comme si les deux personnages avaient toujours eu cette aptitude à se soumettre pour l’un et à soumettre pour l’autre sans que ces aptitudes ne soient révélées. Et bien la révélation venait de se produire.
Les jours qui suivaient furent laborieux pour Julien qui était privé de relations sexuelles. Il cuisinait, faisait le ménage et avait le droit de se masturber quand Sophie lui en donnait l’autorisation. Elle régissait son foyer à son bon vouloir, avec l’approbation complice de son mari, qui voyait à travers ce nouveau rôle, un bien être accru dans sa condition d’homme soumis. Il ferait l’amour quand sa femme en aurait envie et plus le contraire. Il faisait auparavant déjà ce que Sophie lui demandait de faire, désormais il n’évoluera plus que dans ce rôle d’exécutant.
Les jours passent et Julien attendait le jour J. Quand il questionna Sophie sur l’échéance de la date ou son statut de mari se transformerait en simple position de cocu, sa femme lui répondit simplement que quand il aura passé 15 jours sans relations sexuelles ni masturbations, l’issue serait proche.
Les deux semaines étaient quasiment écoulées. Julien sentait de plus en plus la pression monter. Il n’avait plus le droit de questionner sa femme sur le jour fatidique. Après trois semaines de domptage, Sophie avait à la maison un compagnon docile et dévoué. Elle se complaisait à ouvertement commander Julien. Quant à lui, il savourait tous ces moments ou il servait sa femme et remplissait la moindre de ses exigences.
Un vendredi soir, elle ordonna à Julien de nettoyer la maison comme il faut pour le lendemain car un invité venait déjeuner le samedi midi.
Julien avait compris qu’il n’était plus qu’à un jour du déshonneur. Ses sentiments étaient mitigés. Sa joie était aussi forte que ses craintes. Toutes ces semaines à se féminiser mentalement. Ses tâches quotidiennes à la maison étaient celles d’une bonne mère de famille. Le matriarcat était de mise. Une fois le déjeuner préparé et le ménage soigneux réalisé, elle convia Julien à s’asseoir sur le canapé.
- Aujourd’hui, tu seras cocu pour de bon. Max, que tu vas rencontrer très vite, va s’occuper de ta femme comme il se doit. Tu m’obéiras et tu lui obéiras également au cas ou il voudrait te faire participer à nos ébats. Ton rêve se réalise mon petit cocu ! Ça te fait plaisir ?
- Je suis heureux mon amour à partir du moment ou tu es épanouie.
- Oh oui je le suis. Tu vas manger de suite. Oui, j’ai oublié de te dire que tu ne partageras pas notre repas. En revanche, tu te dénuderas et tu enfileras mon tablier de cuisine. Tu seras le domestique des lieux. Tu nous serviras et tu débarrasseras, sans oublier de faire la vaisselle bien évidemment.
Après avoir déjeuné, Julien, nu comme un vert, enfila le tablier blanc qui le couvrait du haut du ventre jusqu’au haut des genoux. Le dos complètement dénudé, les fesses offertes à la vue de tous, il s’affairait à nettoyer son assiette, quand la sonnette retentit.
- Julien, va ouvrir… c’est Max.
- Mais tu n’y penses pas chérie…
- Et comment que j’y pense ! Obéis, tout comme tu obéiras à Max si il a éventuellement besoin de toi.
Honteux et résigné, il va ouvrir à son invité. Son cœur bat la chamade, la chaleur l’envahit et ses jambes le lâchent presque lorsque sur le pas de la porte, il accueille Max.
L’homme est grand, plus d’1m85, athlétique (comme l’avait décrit Sophie), la tête rasée et des yeux marrons. Il pénètre en souriant dans l’appartement et s’esclaffe de rire en voyant le dos de Julien.
- Ahh, ahhh la vache ! Ta femme avait raison. Tu m’as l’air d’être une vraie lope !
- Je ne t’avais pas menti Max. Il est apprivoisé et très doux. Merci pour les fleurs.
- Je t’en prie.
- J’avais jamais vu un truc pareil.
Il attrape Julien par le bras pour faire le tour de sa personne et lui assène une petite claque sur la fesse droite.
- Allez, va me chercher une petit verre mon Juju !
Julien n’était plus que l’ombre de lui-même. Sa femme avait fait de lui son valet, ce type faisait de lui une carpette. Tenaillé par la honte, il n’avait aucune intention de se révolter. Il appliquait les directives de Sophie, par amour… mais aussi par goût puisque sous son tablier commençait à s’ériger une légère bosse. La situation l’excitait.
Une fois à table, le couple se restaurait en parlant très peu de travail, évoquant brièvement l’histoire de sa copine Sylvie qui de temps en temps encore, couchait avec Max. Sophie avait un petit tailleur sans chemise. Un décolleté prononcé laissait apparaître sa poitrine volumineuse. Sa petite jupe abritait un ensemble de lingerie noire avec porte-jarretelles. Les doigts de Max effleuraient ceux de Sophie et caressaient son avant-bras.
Le repas se déroule sans aucun égard pour Julien. Les conversations d’ordre sexuel vont bon train et Julien observe Max, sa carrure imposante, écoute sa voix grave, dévisage l’interlocuteur qui a écarté ses cuisses pour permettre au pied déchaussé de Sophie de caresser le sexe de son interlocuteur. Sophie se rappela au bon souvenir de son mari :
- Max, tu as vu, mon cocu de mari bande.
- C’est pas vrai ! Tu bandes Juju ? Moi aussi ! Viens par ici.
Il souleva le tablier de Julien ce qui libéra un sexe d’une dizaine de cm à peine et d’un diamètre encore plus ridicule. Sous les yeux de sa femme et d’un inconnu, Julien se sentait honteux mais appréciait de plus en plus ce traitement. Il jubilait de n’être qu’un cocu domestiqué, qu’un objet dépendant de la volonté de sa femme et de son amant.
C’est alors que Max empoigna le sexe de Julien.
- Sophie, c’est avec ça que tu te fais plaisir ? Merde Juju, c’est pas permis d’être monté comme ça ! Enlève ton tablier et viens me déshabiller dit-il en lâchant la petite queue de Julien.
Julien s’affairait à mettre Max à nu lentement. Il défit la cravate et la chemise de son invité, découvrit son torse puissant. Des bras musclés et un corps athlétique apparût au grand jour, pour le plus grand plaisir de Sophie. En ôtant le pantalon de Max, Julien se rendait compte que le sexe qu’il était entrain de découvrir n’avait aucune commune mesure avec le sien. Il libéra un monstre qui était bien deux fois et demi plus long et trois fois plus gros. Sophie en était ravie autant qu’elle en était effrayée.
- Vas y mon Juju, prends le dans tes mains. Amuse toi un peu avec et offre le à ta femme.
Julien s’accroche au puissant manche de ses deux mains. Inconsciemment, il se disait qu’il avait toujours voulu faire ça. Il en éprouvait une certaine joie, alors qu’il masturbait lentement ce terrible engin.
- Embrasse le lui lança Sophie.
Et Julien posa délicatement ses lèvres sur le pieu de chair. En fermant les yeux, il se prit même à mettre en bouche le sexe de Max et commençait une fellation comme si il vénérait un dieu !
- Çà suffit mon Juju, mais t’es une vraie cochonne toi ! Si tu aimes ça, je te présenterai un jour Nono, mon pote antillais. Il te plaira sûrement. . Allez, offre ton présent à ta femme. Fais lui plaisir mon Juju.
- Sophie, je t’offre ce sexe afin de satisfaire comme il se doit tes besoins de femme.
- Mmmmm…merci mon petit cocu. Va te mettre sur le canapé que je puisse m’occuper de notre invité comme il se doit.
Julien alla se placer sur le canapé alors Sophie, à genoux entre les cuisses de Max, lui administrait une fellation magistrale. Léchant, suçant, aspirant, elle avalait goulûment la queue turgescente et tendue qu’on lui offrait, sous le regard d’un Max râlant, assis confortablement dans un fauteuil.
Julien ne perdait pas une miette de ce spectacle. Il observait sa femme, en sous-vêtements, admirait sa cambrure, bougeant les fesses au rythme de la pipe, s’apercevant au passage la mouillure sur sa culotte ainsi que son entrecuisse humide et luisante.
- Ahhh… vas y … pompe moi bien. Ohhh oui… suce moi comme ça ! Putain Juju, ta femme suce comme une vraie pute… aahhhh… Vas y ma Sophie… pompe moi le dard comme ça… Attend, je vais te prendre comme tu le mérites. Lève toi et tourne moi le dos… C’est bien ! Ecarte les jambes et fléchit tes genoux légèrement… voilà…
Après avoir sucé longuement son collègue, elle faisait face à son mari qui regardait cette scène surréaliste. Elle avait retiré sa culotte et Max faisait glisser le bout de son gland entre se lèvres. Le sillon était chaud et trempé. Lorsqu’il remonta son gland sur le haut du sexe de Sophie, il frotta tendrement son clitoris prêt à exploser. En quelques mouvements, la jouissance électrisa cette femme qui poussa un cri rauque, les jambes tremblante et les doigts crispés, agrippant les genoux de son homme ! Julien contemplait la scène et se masturbait lentement. Il était au bord de l’éjaculation…
- Vas y ma belle, plante toi sur mon mât…
Inutile de commander plus, Sophie se saisit de la colonne de chair pour l’introduire lentement en elle. Coulissant sans problème dans ce fourreau parfaitement huilé, elle avala le pieu jusqu’à la garde en criant torridement et restait figée pendant quelques secondes comme pour s’accoutumer à ces nouvelles dimensions. Elle était complètement remplie. Le diamètre et la longueur jusqu’alors inconnu la comblaient littéralement.
Max se saisit de Sophie par les hanches et la soulevait pour la faire ensuite redescendre sur sa queue. Les cris s’enchaînaient de même que les orgasmes. Sophie n’avait jamais été baisée de la sorte. Max pilonnait sa victime avec vigueur en la traitant comme une pute à deux sous. C’est était trop pour Julien, dont le cri retentit. Il salissait le parquet de son sperme.
- Regarde ton mari jouir ma salope… dit il à Sophie. T’aime ça mon Juju hein, quand j’explose ta femme comme ça. Tiens… ahhh prend ça ma salope…
- Oui… prend moi !!!!!!! baise moi fort !!!!!!!!! suppliait Sophie.
Julien souffrait de ce prétendant avec lequel il ne pouvait rivaliser mais se délectait du spectacle. L’homme saccageait sa femme comme jamais il ne pourrait le faire et lui la contemplait, hurler et jouir comme jamais, en sueur et complètement comblé. Les rictus de douleur et les sourires se succédaient, les cris et les orgasmes libérateurs également ainsi que les spasmes et autres ondes de plaisir. Il jubilait de voir ce corps de la sorte martyrisé, ainsi utilisé et abusé… ce corps qu’il aime tant mais qu’il ne peut traiter ainsi.
Après un exercice ayant duré plus qu’il ne fallait, un temps en dehors de ce que pouvait concevoir Julien, Max se déversa au plus profond de Sophie, tout en se crispant et en hurlant comme un animal.
Repue, Sophie s’affalait sur le sol pour retrouver ses esprits, libérant la verge encore en érection de Max.
- Ahh… Mon Juju, ta femme est vraiment trop bonne. Je pense que j’en userai et abuserai au boulot aussi. Tiens, viens nettoyer mon outil. Je vois que tu mates ma queue avec envie… Et nettoie moi ça bien jusqu’à la dernière goutte!
Julien vient s’agenouiller devant ce colosse et s’engouffre entre les jambes musclées de Max. Il s’applique à nettoyer le sabre encore luisant de sperme et de cyprine que lui tendait l’homme qui venait d’anéantir sa femme. Sa langue parcoure le cylindre d’une manière soignée et méticuleuse. Il engloutit l’objet devenu mou mais néanmoins encore volumineux.
- C’est bien mon Juju. T’es une bonne lope. Je te présenterai mon pote Nono, l’antillais de service. Il aime les salopes dans ton genre.
Julien en avait des frissons. Il se réjouissait de se sentir bafoué par celui qui venait de le salir. Il pensait également que ce Nono saurait le traiter comme il le méritait. Sophie le regardait en se disant que son amour pour elle n’avait plus de limites. Elle savait que dorénavant, elle rattraperait le temps perdu, d’une part avec Max, mais aussi avec d’autres hommes. Julien se complaisait dans ce rôle ou sa personnalité était féminisée à l’extrême, ou ses sens étaient exacerbés à l’extrême, ou sa passivité le rendait heureux. Il n’aspirait plus qu’à servir et à être utilisé. Sophie s’en réjouissait à l’avance… et Max également !

Lorsque Max s’en fut allé, Julien et Sophie se retrouvaient tendrement. Leur rôle respectif était bien défini. Désormais, le couple discutait ouvertement de ce nouveau rapport de force et d’amour. Plus rien n’importait plus aux yeux de Julien que le plaisir qu’éprouvait sa tendre épouse, et la joie de Julien ne consistait plus qu’en remplissant fièrement et avec dévouement sa tâche de sujet corvéable à merci au service de sa Majesté.
Sophie avait bien plus de respect de la part de son mari que la plupart de ses amies n’en recevait de leurs époux. Elle recevait d’ailleurs même beaucoup plus d’amour. La passivité et la docilité de Julien, son aptitude à contenir sa jalousie, son excitation à apprécier la tromperie de sa femme et l’accomplissement de sa féminisation ainsi que de sa servitude en faisait un sujet fidèle à la voix de sa maîtresse.
Bien évidemment, Sophie le lui rendait bien. Quand Julien le méritait, il pouvait retrouver sa condition d’homme et profiter du sexe de sa femme. Il en était venu à adorer et vénérer ce Mont de Vénus comme un dieu vivant. Il idolâtrait cette partie de sa femme car c’était pour lui devenu une rareté. Il n’avait plus le droit au chapitre de la luxure que sur le bon vouloir de Sophie.
Le couple avait trouvé dans cette relation un nouveau départ, de nouvelles pratiques et de nouveaux rapports. Sophie était même revenue à la maison quelques jours plus tard avec un gode ceinture.
- Mon petit Julien, il se peut que je finisse par t’appeler Julie bientôt.
- Pourquoi ça mon amour ?
- Je vais t’expliquer, dit-elle en se déshabillant et en positionnant ses fesses sur le bord du canapé. L’une de ses jambes était repliée sur un coussin, l’autre pied était posé au sol. Allez, lèche ta petite femme pour commencer.
Julien ne se faisait pas prié et vint s’agenouiller au pied du canapé. Sa bouche entreprit de manger tendrement cet abricot dont le nectar avait un goût divin. L’ambroisie, le nectar des dieux… dont Julien se délectait. Sophie se laissait aller sous les coups de langue de son mari.
- Oui… mmmm… lèche moi comme ça. Oh ouuii…
Ses deux mains agrippent la chevelure de Julien et dictent le chemin qu’elle souhaite faire emprunter à la langue qui la lèche. De bas en haut, elle parcoure ses lèvres, introduit cette langue dans son vagin, puis se chatouille l’anus avec plaisir et réoriente son outil de plaisir vers son clitoris.
- Ouiii… ouuuuiiiii… lèche moi bien. Je vais te récompenser comme tu le mérites après ça. Ahhhh ouuuiiiiiii… je jouis… dit elle, en relâchant doucement les cheveux meurtris de Julien. C’est bien mon Juju. Maintenant, fixe donc cette ceinture à ma taille. Tu vas me donner le bâton toi-même pour te faire battre. C’est bien… fixe donc le gode sur l’embout et suce moi !.. Max m’a dit que ça te plairait…
Interrogatif et pourtant tellement excité, Julien reprenait son travail de succion. Il passait d’un sexe à l’autre mais ce membre là était bien plus imposant que le précédent. Il repensait à Max et au traitement qu’il lui offrit. Ces gestes étaient appliqués et il en tirait du plaisir. Agenouillé aux pieds de sa femme, il regardait de temps en temps Sophie dans les yeux qui lui répondait par un sourire de satisfaction.
- C’est bien mon chéri… suce moi bien… Je te prépare pour ta rencontre avec Nono, l’ami antillais de Max, qui a très envie de te rencontrer. Arrête de sucer avec gourmandise, ta préparation ne s’arrête pas là. Pose tes coudes sur le canapé et écarte un peu tes cuisses !
- Mais chérie, tu ne vas pas me…
- Si ! Et c’est pour ça que tu vas t’appeler Julie et non Julien. Laisse moi juste t’appliquer ce petit gel lubrifiant pour t’initier en douceur. Nono et Max prendront peut-être moins de précautions.
Puis lentement, Sophie manie son foret avec douceur, parcourant de long en large la rondelle d’une Julie craintive. Elle force tendrement l’entrée d’un territoire encore vierge. Le gland est rentré, arrachant un cri et un mouvement de la tête de Julien. Il s’agrippe férocement au tissu du canapé alors que le reste de ce sexe va fouiller le fond de son anus.
La bouche ouverte, un rictus de douleur déforme son visage. Un gode de 25 cm ainsi qu’un diamètre imposant marque forcément les esprits… et les passages étroits. Sophie reste ainsi plantée dans sa victime et lui demande de se détendre pour s’habituer à ce volume cylindrique qu’elle aura dorénavant l’habitude d’utiliser. Julien se détend ce qui permet une dilatation de son rectum.
Sophie commence lentement à aller et venir dans les entrailles de ce qui fût son homme jadis. Elle attrape ses poignées d’amour, puis perfore et fore cette grotte à présent déflorée. Julien alterne entre soupirs et cris, il se laisse désormais aller à l’allégresse de son bourreau qui n’y va plus de main morte.
- Alors t’aimes ça hein mon Juju ? Tu aimes te faire monter, hein…ma salope !
- Ouuiii… ahhh… ouiii j’aime çaaaaaaa !!!
Effectivement, Julien aimait cette sensation. Se sentir prisonnier de ce membre, soumis à sa femme, offrant tout son amour à celle qui le comprenait si bien et qui lui offrait le traitement qu’il méritait. Entre insultes et claques sur les fesses, le supplice de Julien s’arrêta lorsque qu’un jet dru de sperme vint souiller le bas du canapé, dans un cri de délivrance.
Lorsque Sophie se retira, Julien se mit immédiatement à nettoyer ses bêtises, comme sa femme le lui avait appris.

Deux semaines s’écoulèrent pendant lesquelles Sophie initia son Julien à la sodomie. Les gestes étaient plus précis, la technique était rôdée, le plaisir était au rendez-vous. La Sophie cérébrale savait se montrer physique et Julien encaissait les ordres et les coups de boutoir avec amour.
Julien ou Julie, au choix s’occupa de la maison comme une vraie fée du logis. Sophie endossait le rôle de mâle dominant, une sorte de matriarcat s’était installé. Julien n’était pas un homme battu, juste un homme soumis qui adorait sa condition. Il aimait savoir que sa femme se faisait baiser par des hommes qui lui donnaient ce que lui était incapable de lui donner, il aimait cette sensation de savoir sa condition d’homme bafouée et il prenait autant de plaisir que sa femme.
Un soir, le couple sortit au restaurant. Ils allaient rejoindre Max et Nono pour un dîner à quatre et Julien allait enfin faire la connaissance de Nono.
Après les présentations, chacun était au courant de la condition de Julien et tout le monde savait que le plaisir serait au rdv en cours ou en fin de soirée. Après quelques propos échangés, l’osmose se faisait plutôt bien entre Nono et Julien.
L’antillais avouait à Julien qu’il était friand de travestis. Il fit même avouer à Julie (c’est ainsi qu’il l’appelait, évitant délibérément le prénom Julien) son plaisir de se sentir femme et pris rdv avec lui pour une journée durant laquelle il se travestira pour devenir réellement Julie.
Alors que Max caressait allègrement les cuisses de Sophie, Nono attira le bras de Julie et plaqua sa main sur sa braguette. Julie jaugeait manuellement de l’importance de ce sexe, sous le regard gêné de la serveuse.
- Huummm…Julie, je ne sais pas si je dois te baiser maintenant, dans les chiottes du resto ou attendre d’être chez toi ?
- Je ne sais pas répondit Julien à Nono, dont les yeux le fixaient avec désir.
- Pourquoi ne pas rentrer d’abord, s’occuper de Sophie et tu finiras par ta Julie, rétorqua Max.
- Ouais, c’est pas bête. On va laisser Sophie décider ce sera plus simple !
- Dans ce cas là, occupez vous d’abord de moi. Juju passera après. Et puis il adore regarder quand je me fais prendre. C’est pas vrai mon Juju ? Deux pour le prix d’un… hummm, j’en salive déjà.
Arrivés dans leur doux foyer, les invités et les propriétaires se mettent à l’aise. Un parfum de luxure flotte dans la pièce alors que Max et Nono déshabillent Sophie, en embrassant, caressant et malaxant ce corps qui leur est offert. A genoux, elle libère de leur carcan les queues de ses assaillants.
- Mmmm… deux cornets vanille chocolat. Un régal…, dit elle, en engloutissant ce qu’elle pouvait de la vanille et en branlant le chocolat. Elle passait d’un parfum à l’autre avec gourmandise, comme si elle n’avait pas mangé depuis deux jours.
Nono voyant Julien assis sur le canapé, nu comme un ver, lui demanda d’approcher.
- Viens ma Julie. Ramène ta bouche de métropolitaine et suce moi…
Julien approcha et s’agenouilla aux côtés de sa femme et pris en bouche ce pieu d’ébène qui était aussi gros, voire peut-être plus gros que le gode qu’elle utilisait.
- Ah ouiiii… suce moi bien…lèche mes couilles aussi… mmmm… c’est bon. J’aime bien les salopes qui n’ont pas que la peau sur les os, comme toi ma Julie… Ca doit venir de mes racines africaines, on aime bien les femmes qui ont des formes… ha ha ha…
Nono avait une propension à parler et à exprimer son ressentit. Alors qu’il suce goulûment son antillais, les mains de Julien caressent les fesses et les cuisses musclées puis les hanches et les pectoraux de celui qui attrape ses cheveux.
- Attend ma Julie. Arrête de faire ta gourmande ou je vais te gicler en pleine face… Non, non, non tu vas me donner ton gros cul…
Nono s’installe confortablement dans le canapé et érige son mât à l’attention de sa nouvelle égérie. Sur le fauteuil, Max était assis également. Sophie tournait le dos à Nono et Julien. Elle s’était empalée sur la puissante queue de Max et ondulait lentement son corps, montant et descendant dans un mouvement régulier. Le vit distordait les lèvres de Sophie et coulissait délicieusement dans la fente de sa monture.
- Viens ma Julie, enfourche ma selle et regarde ta femme prendre son pied.
Tournant le dos à Nono, Julien s’empale lentement mais sûrement sur le pieu de chair. Une sensation de plénitude l’envahit. Alors qu’il voit Sophie coulisser le long du mandrin puissant et fier de Max, la chatte et l’entrecuisse trempés, accumulant orgasmes et cris, il se laisse porter par les paroles de Nono et capitule sur la baïonnette qui le transperce.
Instinctivement, il se masturbe en contemplant sa femme jouir en s’agrippant aux imposantes épaules de son amant, alors que les grandes mains de Nono se saisissent de ses poignées d’amour. Tout son corps se soulève sous le mouvement de levier opéré par les bras musclés de l’antillais. Les petites claques que lui prodigue Nono sur les fesses et sur les cuisses l’excitent de plus en plus.
C’est alors que Max, au bord de l’explosion, ordonne à Sophie de se mettre à genoux et de finir son travail avec ses lèvres. Elle entreprend une fellation délicate, sentant le membre gonflé à son paroxysme, et reçoit la récompense suprême dans un cri à la hauteur de l’intensité de l’orgasme. Elle avale le précieux nectar en nettoyant son bienfaiteur.
Maltraité par le boudin antillais, Julien succombe au spectacle que lui a offert sa femme. Il jouit en répandant sa semence sur le parquet. Ses cris se confondent entre ceux de sa jouissance et ceux qui lui sont imposés par cet antillais qui fait de ce cul une purée sans nom.
- C’est bon de se faire défoncer, hein ma Julie ? Ahhh omme j’aime ton gros cul… Mmmm… ah ouiiii… ca vient … Met toi à genoux et pompe moi bien !!!!!!!!!
Julien obtempère, reprend la longue et grosse tige d’ébène à deux mains et la porte à ses lèvres. Il s’applique à sucer avec ardeur, alors que Max et Sophie peuvent contempler l’anus encore dilaté que Julien leur offre en spectacle. Les mains de Nono ont de nouveau pris possession de la chevelure de Julien et battent la cadence. Dans un mouvement de crispation ultime, tous les muscles de l’antillais se tendent. Il libère alors son jus en saccades dans la gorge de Julien qui avale par petites gorgées. Il poursuit son nettoyage appliqué de l’outil qui vient de martyriser son cul et se vautre au pieds de Nono, en entourant la taille de l’antillais de ses bras et en posant sa joue sur le serpent noir, qui bien que ramollit, conserve une taille impressionnante.
Il embrasse tendrement l’organe qu’il aurait tant voulu posséder lui-même, signe d’une vénération évidente. La main de Nono caresse alors les cheveux de celui qui montre tant d’affection et de soumission.
- Ma Julie, je crois que tu vas remplacer ma Francine... Bientôt tu sortiras à mon bras, habillée comme il se doit…

Quelques selfies pour garder des souvenirs...

Histoire du net. Auteur inconnu. Découverte

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 Dans cette histoire,
tout est question de calibrage et d’alésage.
Bref de la mécanique quoi!

Sahara:Sud Maroc
Quand j'arrivai au Sahara, au sud du Maroc, ce n'était pas pour faire du tourisme mais pour trouver des mecs. J'étais devenu une véritable folle de la bite, mais plutôt de la grosse, de l'énorme zob.
Les marocains pourtant bien montés ne me suffisaient plus, il me fallait plus gros et c'est pourquoi j'étais venu au Sahara car j'avais lu que c'est dans cette région où les mecs sont le mieux montés au monde.
J'avais un peu d'argent de côté ce qui me permettrait de tenir au moins deux semaines, donc deux semaines de baise effrénée avant de rentrer à Rabat.
Après avoir dégotté un petit hôtel je me rendis à la plage de Laayoune. A peine arrivé, je vis un beau black se baignant nu.
Il avait une superbe queue comme je n'en avais jamais vu, longue et grosse.
Je m'approchai de lui et lui dis: 'Ta queue est magnifique et excitante'.
- Je ne suis pas homo, ma queue est réservée aux femmes.
- Laisse-moi te sucer, il n'y a personne dans ce coin, ça ne t'engage à rien, personne ne le saura.
En lui parlant, je vis que sa queue gonflait, elle devenait monstrueuse, vraiment mes informations étaient vraies.
Je baissai mon maillot et tortillai du cul devant lui tout en lui disant:
- Tu sais je la veux vraiment dans ma bouche et dans mon cul
- Dans ton cul, tu n'arriveras même pas à faire entrer le début de la tête.
- Laisse-moi faire, on verra bien.
- Fais comme tu veux mais je te préviens c'est tant pis pour toi, si tu m'excites trop il faudra que tu la prennes dans ton cul blanc, sinon je vais te l'enfoncer de force.
- D'accord.
- Méfie-toi, je ne bande pas encore complètement, quand ma queue est dressée elle fait 28 centimètres de long et 7 centimètres de diamètre.
- Tant que ça !
- Eh oui Pédé, ça c'est le zob de Lamine, tu rigoles moins maintenant.
- C'est vrai mais je veux quand même essayer.
- D'accord mais je t'ai prévenu.
- Oui.
- Alors vas-y pédé, commence à sucer'.
Je commençai à caresser le gigantesque zob noir qui se mit à grossir et à grandir encore pour atteindre ses dimensions surréalistes.
La bite était 2 fois plus large et 3 fois plus longue qu'une bite de bonne taille, je pense qu'elle faisait plus de 28 centimètres de long mais ce n'est pas ça qui m’effrayait quand même, c'est la grosseur.
A ce moment je me demandai s'il ne valait pas mieux tout arrêter car je n'étais vraiment pas sur de pouvoir m'empaler sur un tel morceau.
En même temps j'avais tellement envie de me faire défoncer par un tel engin que je me dis que je devais tenter le tout pour le tout quitte à me faire déchirer le trou.
J'attrape la queue de Lamine et enfournai son gland dans ma bouche. Le bout durci était gros comme un champignon, je passai ma langue autour. Cet attouchement eut pour effet de faire encore gonfler la pine qui était dans ma main, c'était tellement énorme que je n'en faisais pas le tour.
La bite de mon amant avait un bon goût salé, j'aimais ce gland rose et cette peau noire que je faisais passer dessus dessous. Ce n'était pas la première fois que je suçai des grosses hampes et je m'étais fait une spécialité de pipes profondes.
J'enfonçai progressivement ce fantastique membre dans ma gorge bien au fond tout en ouvrant grand ma bouche pour aller chercher le plus loin possible. La monstrueuse tête buta contre mes amygdales, j'eus un haut le coeur et ne fus pas loin de vomir. Je sortis le sexe d'entre mes lèvres et le lubrifiai de salive puis j'avalai à nouveau le phallus raide.
Mon homme était vraiment excité par ce que je lui faisais, il me dit:
- Jamais une femme ne m'a fait ça, tu suces divinement bien'.
Je me mis à lui lécher les couilles tout en le branlant, se cambrant pour s'offrir encore plus à ma douce caresse mon mec murmura:
- Hummm c'est bon continue salope'.
Je caressai ses couilles bien mouillées de salive et le suçai encore à fond. Chaque fois que sa bite rentrait à fond, il me disait:
- C'est trop bon, tu vas me faire jouir je vais pas tenir longtemps comme ça'.
N'écoutant pas ce que Lamine me disait je continuais ma lente fellation, pompant le gland de mes lèvres crispées.
Au bout de quelques instants je sentis l'immense pénis tressauter sur ma langue, j'enfonçai la verge tuméfiée au plus profond de ma bouche et dans un râle langoureux mon amant éjacula. Je reçus un flot de sperme crémeux au fond de la gorge que j'avalai avec délice puis je sortis le monumental zob de ma bouche tout en cajolant le gland qui continue à se vider en moi par saccades.
Quand je libérai enfin mon homme, celui-ci me dit:
- Tu es vraiment une salope, tu suces comme une pute.
- je suis content que ça t’ait plu.
- Oui ça m'a plu mais maintenant ce que je veux voir c'est si ton trou du cul est aussi bon que ta bouche.
- Tu vas voir il est encore meilleur, tous ceux qui m'ont déjà baisé disent que je baise mieux que la meilleure des putes.
- C'est ce que nous allons voir.
- Bien sur mais étant donné ton calibre, la seule chose que je te demande c'est de me laisser faire.
- Pas de problème du moment qu'à la fin tu sois bien enculé.
- c'est aussi ce que je veux, j'ai envie de jouir par ta bite.
- Alors vas-y, prépare ton petit cul blanc à recevoir ma grosse bite noire'.
Je fis mettre mon mec à plat ventre, je me mis à cheval sur sa queue et frottai mon cul à sa bite. Aussitôt je sentis sa bite bander sous mes fesses et devenir raide. Je me mis à faire des ondulations et le monstrueux phallus retrouva ses phénoménales dimensions.
Lamine, profitant du fait que je me sois levé, m'enfonça deux de ses doigts dans le trou du cul. Cette soudaine intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon amant. J'avais compris qu'avec mon homme ce ne se ferait pas dans la douceur, et pour lui la seule chose qui comptait c'était de m'enfoncer sa bite dans l'anus et de tirer son coup.
Lamine m'enfonça un troisième doigt et fis tourner sa main pour m'élargir la pastille. Je commençai à être en feu et je ne pus m'empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être.
Mon amant jugeant que le prémisses avaient assez duré m'écarta les fesses, il positionna son gland turgescent à l'entré de ma grotte et me dit:
- Allez salope empale-toi sur mon gros boudin'.
Lentement je commençai à peser sur le puissant bout durci, je sentis ma fente s'ouvrir. Quand la colossale tête de son sexe écarta mes chairs et commença à me pénétrer, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux et je poussai un hurlement de douleur et me redressai pour soulager le mal qui se propageait dans tout mon corps. Mon homme me dit:
- Alors sale pute, tu vas te l'enfoncer dans ton joli cul blanc ou il faut que je le fasse'.
Je redescendis et petit à petit, en serrant les dents pour ne pas crier je sentis cet énorme gland rentrer dans mon cul.Quand enfin l'imposant bout durci fut en moi, j'avais l'impression qu'un fer porté au rouge était planté au fond de mes entrailles et je pleurais à chaudes larmes.
Mon mec jugeant que ce n'était pas suffisant commença à s'activer faisant entrer sa queue de plus en plus dans mon trou. J'ai le cul complètement défoncé, mais mettant mes mains en dessous je me rendis compte que sa queue n'était pas rentrée à fond. Lamine poussa encore et je me retrouvai assis sur ses couilles. Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi rempli, je sentais au fond de moi cette virilité considérable palpiter.
La souffrance qui me tenaillait était telle que je ne pouvais m'arrêter de pleurer, mon amant en riant me dit:
- C'est bien petite pédale, tu as réussi à prendre toute ma bite dans ton joli petit trou du cul, tu as mal mais c'est normal, tu vas voir quand je vais bien t'enculer, après ton joli petit trou de salope blanche va s'ouvrir et tu vas bien aimer la grosse bite de Lamine.
- Je le sais mais putain tu me fais mal, tu me déchires
- T'inquiète pas, ton trou va s'ouvrir, je vais le casser'.
Nous restâmes un moment immobile, je sentais mon anneau céder peu à peu, et la douleur commença à laisser place au plaisir. Mon homme me dit:
- Il me semble putain que ma queue est un peu moins serrée, ta rondelle commence un peu à s'ouvrir, vas-y décontracte-toi et laisse-toi faire, je vais bien te baiser comme tu le mérites petite pute'.
Tout en gardant sa queue dans mon cul, mon mec me retourna. Il me mit les jambes en l'air et commença à me baiser en de longs mouvements de va et vient m'arrachant à chaque passage des couinements de douleur.
Au bout de quelques instants de ce traitement mon anus céda complètement et la gigantesque pine put coulisser en moi sans gène aucune. Je sentis le désir m'envahir et dis à Lamine:
- Défonce-moi, elle est bonne ta grosse queue, mets-moi ta queue, je veux ta queue'.
Mon amant se mit à me baiser superbement bien, c'était trop bon de sentir ce superbe phallus me ramoner, m'ouvrant un peu plus le cul chaque fois qu'il plongeait jusqu'à la garde Le plaisir que je sentais monter était si fort que j'avais l'impression de jouir du cul.
En réalité vu les dimensions de ce qui me forait les reins, sa pénétration était tellement profonde que mes pertes anales lubrifiaient mon cul et souillaient sa bite. Jamais je n'avais joui du cul comme cette fois-ci.
Mon homme sortait et entrait sa hampe ce qui me laissait entrevoir mon anus ouvert. Je savais que mon anus était un véritable trou béant, un vrai cul avaleur de bites de toutes sortes mais une grosse noire comme celle-là , c'était la première fois.
Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être, le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait, le plaisir montait en moi par vagues successives, j'avais rejeté la tête en arrière, les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi, mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu'il me donnait était tel que je voulais qu'il me bourre indéfiniment, j'avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce magnifique zob qui me forait les reins, j'avais les fesses en fusion et l'anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m'ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui me fessait de me défoncer encore plus, mais sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.
Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure, le plaisir m'envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m'offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge:
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh' et je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, Lamine était toujours en train de me sodomiser en de lents va et vient, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu, tout mon être brûlait littéralement. Mon amant ressortit sa grosse pine merdeuse de mon fion explosé, je lui dis:
- Donne-moi ta queue, je veux te la sucer'.
Il me fourra son pieu dans la bouche, sa bite avait le goût de mon cul, elle était souillée de mon ramonage anal mais contrairement à d'habitude je n'éprouvai aucun dégoût à sucer un sexe sale.
Je nettoyai l'énorme zob avec ma langue et mes lèvres puis progressivement je l'enfonçai dans ma gorge et l'avalai du plus profond que je pouvais. Je me mis à tailler une pipe à mon homme avec passion et amour.
Je suis littéralement folle de cette bite et je dis à mon mec :
- Je veux que tu deviennes mon homme, Lamine, je t'appartiens pour toujours, je suis à toi.
- Mais non salope tu n'es pas à moi, tu es une véritable chienne qui ne veut que de la bite, le jour où tu vas trouver une autre bite noire aussi grosse que la mienne, tu m'oublieras.
- Tu as raison.
- Allez donne-moi encore ton joli petit trou du cul'.
Nous nous sommes mis en 69, il me mit un doigt dans le cul pendant que je le suçai vigoureusement. J'avais la bouche grande ouverte ne pouvant que garder son gland tout en passant ma langue sur son frein puis je pris cette partie sensible du gland entre mes lèvres. En le pompant par à-coups, je lui dis:
- Je t'en prie, viens dans ma bouche, décharge, vide tes couilles.
- Non petite pute, c'est dans ton trou du cul explosé que je veux vider mes couilles.
- Oh oui je suis en feu, baise-moi encore fort
- Oui salope je vais te baiser très fort'
Lamine me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia vers ma tête de sorte à ce que mon oeillet ressorte, puis d'un violent coup de reins il s'enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l'arrière-train avec des 'HAN' de bûcheron.
Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer et sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul, je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j'avais l'anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s'insinuer en moi sourdement, ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m'assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible, j'avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m'arrangeait le trou, de ma bouche ne sortait plus qu'un:
- Ahhhhhhhhhhhhhhhh' continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu'il continue, jamais au cours d'une enculade je n'avais joui autant, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et vient effrénés, des gouttes de sueur marbraient le front de mon mec et les grimaces qu'il faisait chaque fois qu'il m'enfessait montraient le pied qu'il prenait, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés, j'avais atteint le paroxysme de la jouissance.
S'enfonçant au plus profond de mon rectum, Lamine explosa en feulant, son foutre crémeux m'inondant le fondement m'électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l'air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge puis je retombai lourdement sur le sol yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance, Lamine se retira de moi.
Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés, il me sourit et me dit:
- Tu es vraiment la reine des putes.
- Merci, c'est vrai ce fut super bon, j'ai pris un pied du tonnerre.
- je l'ai vu et entendu, ça n'avait pas l'air de te déplaire.
- Bien au contraire, c'est plutôt que j'en redemanderai.
- Mais tu vas en avoir encore.
- J'y compte bien car j'ai très envie.
- T'inquiète pas, je vais t'en donner de la bite noire mais dis-moi qui es-tu ?
- Je ne comprends pas.
- Je n'ai jamais vu un pédé comme toi, quand on te baise on croit baiser une pute.
- Quand je me fais baiser je suis comme une pute, j'adore la bite.
- Ca je le sais
- C'est pour ça que je suis venu ici car ce que je veux c'est des grosses bites et il est dit que c'est vous qui avez les plus grosses bites du monde.
- C'est ce qu'on dit.
- Voilà je suis folle de la bite, donc je suis venu ici en vacances pour me faire baiser jusqu'à ce que j'ai le cul complètement éclaté.
- Pour ça tu peux être tranquille, ton trou du cul est déjà complètement éclaté.
- je le sais mais je veux que ce soit comme ça tous les jours pendant lesquels je vais rester ici.
- Et tu comptes rester combien de temps ?
- Deux semaines.
- Ouah !!
- Et oui.
- Et des partouzes ça te branche ?
- Bien sur surtout si les autres sont aussi bien montés que toi.
- Il y en a qui sont encore mieux montés que moi
- Super.
- On se fait une autre petit baise et après si tu veux on ira passer la nuit chez des copains.
- D'accord, j'ai encore très envie de sentir ta superbe bite me ramoner le cul et d'accord aussi pour ce soir
- OK je vais me baigner et je reviens.
- Je vais en faire autant'.
Quand nous revîmes, Lamine était à genoux à côté de moi sa verge à demi flaccide, je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l'effet ne fut pas long à se produire, le pénis s'érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond, je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j'entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.
Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober, les poils follets de ses testicules étaient humide du bain que Lamine venait de prendre, mes attouchements buccaux avait fait grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat, dans le creux de mes reins commençait à s'insinuer un désir langoureux, j'abandonnai un instant l'objet de ma dévotion, le priape était luisant de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu'il voulait, j'ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.
Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée, je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.
Soudain, Lamine stoppa ma pipe et se leva, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis:
- Vas y défonce moi'.
Il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m'ouvrait un peu plus le cul, j'avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand, j'avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu'il plongeait en moi jusqu'à la garde.
Mes gémissements s'étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m'assenait, le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai la serviette de plage, chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi, repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l'angle de pénétration, Lamine se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
Quand je repris conscience, Lamine était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome, voyant que j'étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d'un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d'un calme olympien m'éclatait de plus en plus la pastille, j'avais l'impression qu'il était en moi depuis une éternité, j'étais secoué de frissons de désir, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé, lâchant mes hanches Lamine me prit par les épaules et se mit à me pilonner l'arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j'étais excité chaque fois que mon homme m'enfilait jusqu'à la garde, j'étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n'étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus, je suppliais Lamine de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome, le traitement que mon mec m'affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accentuer la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n'avais autant joui au cours d'une enculade, je voulais qu'il me démolisse complètement le fion, qu'il me déchire pour qu'il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l'air entièrement écartelé, Lamine m'ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des 'HANS' de bûcheron, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m'affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir physique, je sentis l'immense verge sortir de mon canal et mon amant s'allongeant à mes côtés se mit à me caresser, quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, ça là que je m'aperçus qu'il n'avait pas encore joui, s'étendant sur le dos Lamine me dit:
- Viens t'asseoir sur moi en me présentant ton dos'.
Je m'exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j'étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l'enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds, je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s'enfonçait jusqu'à la garde.
Soudain Lamine me prit par la taille et m'immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu'il me tienne me faisaient sauter chaque fois qu'il m'enfessait totalement, tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m'affligeait mon amant survolté, mes râles s'étaient mués en cris de jouissance, j'avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m'inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite, je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j'avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l'extraordinaire phallus qui me forait les reins, j'avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur, tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le zob qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu'il m'enfilait.
Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.
Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l'air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l'air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendis comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l'inconscience.
Quand je recouvrais mes esprits, Lamine assis à côté de moi me regardait en fumant, son sexe était toujours en érection, il n'avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit:
- Alors c'est bon ?
- Oh oui, je ai pris un pied géant mais toi mon pauvre quand vas-tu jouir ?
- Tout à l'heure, j'ai encore envie de te voir jouir, tu es magnifique quand on voit le plaisir sur ta gueule de salope.
- Oui mais moi je voudrais que tu éjacules dans mon cul.
- Je vais t'inonder le cul cette fois-ci, ma pute, allez mets-toi le cul en l'air, fais reposer ta figure sur la serviette, les jambes bien écartées et ton cul bien tendu'.
J'obéis, Lamine se positionna derrière moi en m'encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.
Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me cramponner pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue indéfiniment, les coups de reins de Lamine étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au creux de mes reins, j'avançai sur la serviette, s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où seul comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier Lamine éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, les yeux clos je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m'écroulais à plat ventre essayant de retrouver ma respiration.
Quand je rouvris les yeux, Lamine me regardait en souriant assis sur l'autre serviette, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis:
- Qu'est ce que tu m'as mis, jamais je n'ai ressenti un tel plaisir, j'ai cru devenir fou.
- J'en suis heureux, car si on ne ressent pas de plaisir en faisant l'amour autant regarder la télé.
- Tu as raison mais là c'était divin, tu m'as déjà fait bien jouir mais ça n'avait rien à voir avec tout à l'heure.
- Je te l'avais promis.
- On peut dire que tu as été au-delà de toutes mes espérances.
- Tu sais, quand on a un joli petit cul blanc comme le tien entre les mains, on fait tout pour bien l'enculer.
- Crois-moi, tu as réussi, tu es vraiment un baiseur fantastique.
- Merci ma salope.

Brèves d'une nuit ou de plusieurs

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Quand l'adrénaline monte...

Feu d’artifice
Auteur: Tino69
Par hasard et après plusieurs années, je retrouve un cousin proche le soir du feu d’artifice du 14 juillet.
- Comment vas-tu Tino ? Il ya au moins 5 ans que l’on ne s’était pas revu ! »
- Au moins 5 ans » lui répondis-je.
- C’est super de te revoir, que fais-tu là ? Marié, des enfants ? »
Les questions de base après une longue période de séparation.
- Divorcé, 2 enfants, je suis seul pendant les 2 dernières semaines de juillet »
- Vraiment ? Alors je t’invite, ma femme est partie avec nos 2 enfants, j’ai du rester ici à cause du boulot, on dîne ensemble à a maison, on évoquera nos souvenirs »
- Avec plaisir »
Il n’est que 20h00, il fait chaud, le temps est lourd. Gérard m’invite à rentrer chez lui, il habite à quelques minutes du centre du village. Nous avançons côte à côte, sans rien dire, j’essaie de rassembler les souvenirs de nos 18 ans, ceux de notre bande de copains et copines.
J’étais certainement le plus timoré de toute la bande, et j’étais impressionné par la gente féminine. A cette époque, bien que majeurs et régulièrement en « couple » avec des filles du coin, Gérard et moi nous nous sommes plusieurs fois retrouvés dans des situations confuses.
J’ai toujours eu de la fascination pour Gérard que je trouvais beau gosse et à qui aucune fille ne pouvait résister. Lorsqu’il parlait, il était un peu le maître du jeu, et il était difficile de ne pas accepter ses propositions.
J’en étais là de mes pensées lorsque nous arrivons à la porte de sa maison. Belle maison, beau jardin, avec une piscine.
- Voilà, sois la bienvenue, tu es ici chez toi et si tu as envie on peut piquer une tête - Merci Gérard, si tu as un maillot de bain je te suis »
Gérard me précède dans la maison, et après une courte visite, il me montre la chambre d’ami.
- Installe toi, cette chambre est pour toi »
Je pose mes affaires sur le lit, et j’attends en vain que Gérard m’apporte un maillot de bain. Au bout de quelques minutes, je sors de la chambre, cherche mon cousin … et ce n’est que lorsque j’entends le bruit de l’eau que je comprends qu’il est déjà dans la piscine. Je m’approche de la fenêtre.
- Tu ne m’as pas donné de maillot »
- C’est parce que j’en ai pas à te prêter, et même je n’en ai pas du tout. Tu as remarqué qu’il n’y a pas de voisin ?
Je jette un rapide cou d’œil, et je m’aperçois que le mur de clôture et la végétation nous cachent des alentours.
- Alors, tu te décides ? Elle est vraiment bonne tu sais, et prendre un bain nu n’a jamais tué personne !
Je descends en caleçon, il est dans l’eau, accroché au bord de la piscine.
- Encore un petit effort, on se connait déjà, n’est-ce pas ? »
- Oui, disons que nous connaissons nos anatomies respectives »
Il éclate de rire et plonge sous l’eau. Je devine son corps, ses fesses …
Je quitte mon caleçon et un peu penaud, je descends dans l’eau par l’échelle de la piscine. Elle est chaude, au moins 25°. J’ai 45 ans, et c’est la première fois que je me baigne nu, et surtout, c’est la première fois que je me baigne nu avec un homme.
Gérard s’approche, sort la tête de l’eau.
- Alors, elle est pas bonne ?
- Elle est excellente, ça fait du bien
- On nage un peu, on se fait sécher au soleil, on prend l’apéro avec des amuse-gueules et on finit au feu d‘artifice, ça te convient ?
- OK
Et sur ces mots chacun y va de sa brasse de sa nage sous l’eau …
Gérard s’amuse à me frôler chaque fois qu’il le peut. Je sens ses mains qui me touchent, et je devine qu’il cherche à m’intimider comme il le faisait autrefois.
De mon côté, je ressens un certain trouble de voir ce corps d’homme, ses fesses musclées, ce sexe à moitié en érection que j’aperçois quand Gérard fait la planche. Tout ça fait que mon sexe commence à se libérer. Je bande.
- Allez, on sort » me dit Gérard comme s’il avait vu mon état.
Bien qu’un peu gêné, je grimpe les quelques marches de l’échelle et je me retrouve devant lui.
- Ben dis donc, l’eau ça t’excite, et tu n’as pas changé, elle est toujours aussi belle
- Merci, tu n’as pas changé non plus, à part le fait que tu t’épiles
- C’est pour Patricia, ma femme, elle aime bien, elle dit que ça l’excite
Il s’approche de moi et me montre son sexe entièrement épilé, puis se tourne, me montre ses fesses également sans aucune pilosité. D’une main il écarte un globe et me dit.
- Même là c’est tout doux
- Et ta femme rentre quand ? » Dis-je pour détourner la conversation, mais au fond de moi je voudrais qu’il continue …
- Elle devrait rentrer demain matin, elle laisse les gosses aux grands-parents. Ne t’inquiète pas, nous sommes seuls ! »
Gérard avait deviné mon trouble, et de moi je devinais que la soirée risquait d’être différente de ce que j’avais imaginé.
- A force de discuter, nous sommes presque secs, je te propose de prendre une douche
- Avec plaisir, il fait chaud et le chlore me tire la peau
Nous nous retrouvons sous la douche, dehors, dans le jardin, tous les deux plein de savon.
- Tu me frottes le dos ?
Je mets du produit douche sur ma main et je commence à lui frotter le dos, le haut des épaules, en faisant attention à ne pas le provoquer.
- Tu te souviens il y a quelques années de nos jeux ?
- Oui, mais c’est loin
- Plus bas le dos.
Et il se penche légèrement. A la vue de cette croupe toute lisse, mon sexe se durcit, je bande de plus en plus. Mes mains commencent à lui caresser les fesses avec le savon douche.
- Oui, comme ça c’est mieux, vas-y lave moi bien partout
Et il écarte un peu les jambes et j’aperçois maintenant sa raie sombre. Mes mains passent doucement, je sens qu’il se cambre et se recule pour que mes doigts passent entre ses fesses. Il pousse un petit râle, je vois son sexe gonflé, je vois sa mains qui prend son sexe, il commence à se masturber pendant que mes doigts vont et viennent dans sa raie tout en effleurant son petit trou.
Je suis excité, son sexe m’excite, le voir se masturber m’excite, je pose un doigt sur son anus et je commence à tourner autour, à la caresser, je pousse doucement cette petite porte et mon index disparait lentement. Il rentre et il sort, et mon cousin pousse de petits cris de plaisir, j’enlève sa main et je prends son sexe dans la mienne pour le branler. Un doigt dans l’anus et une branlette ont vite raison de Gérard, il éjacule sur mes doigts
- A ton tour
Même position, mais il me plante son doigt sans ménagement dans mon petit trou vierge. Douleur vite passée pour laisser place au plaisir, il ma masturbe comme nous le faisions quand nous étions plus jeunes. Il accélère le rythme et je déverse ma semence sur ses doigts … Je ne sais plus où je suis, je me sens un peu honteux.
- Alors, visiblement tu as aimé ça. Tu as eu des expériences homos depuis nos derniers jeux ?
- Non, exclusivement avec des femmes
- Moi non plus, c’est de te revoir qui a ranimé cet envie
Nous restons nus, il apporte une bouteille de champagne très frais et nous commençons à trinquer en parlant de passé, de la bande, des filles … de nous, de nos jeux en cachette … et je sens l’excitation qui me gagne à nouveau.
- Tu avais parlé de nos jeux à ta femme » Me dit Gérard
- Non, jamais, je n’ai pas osé, et toi ?
- Oui, ça n’a pas été facile, mais elle a été excitée comme jamais »
Nous sommes installés côte à côte sur des matelas de plage, si proches ….
Son sexe commence à gonfler et il est agité de ces petits spasmes qui laissent deviner qu’il va durcir jusqu’à devenir douloureux. Ceci ne fait qu’accentuer mon excitation et mon sexe prend le même chemin.
- On dirait que je te fais de l’effet
- C’est le champagne, les vacances, la chaleur, la situation …
- Touche mon sexe
Ma main se déplace et toujours allongés sur le dos, je prends son sexe, et je commence à la masturber. Ma main monte et descend, découvrant à chaque fois son gland rose … Sa main fait le chemin opposé et nous nous masturbons mutuellement, les yeux fermés …. La première gerbe d’étincelles surgit dans le ciel après un bruit assourdissant.
- Nous allons manquer le feu d’artifice » Me dit Gérard.
- Oui, mais nous allons quand même vers une explosion » Lui répondis-je.
Nos mains s’agitaient de plus belle, nous gardions les yeux fermés et nous n’avons pas entendu arriver Patricia qui ne devait revenir que le lendemain.
- Faites comme si je n’étais pas là » Dit-elle
Surpris, nous arrêtons, nous ouvrons les yeux …
- Tu ne devais rentrer que demain
- Oui, mais je voulais te faire une surprise, et c’est toi qui me fait une surprise, et quelle surprise
- Je te présente Tino mon cousin dont je t’ai déjà parlé
- Je me doutais bien que c’était lui, mais ne vous gênez pas pour moi, continuez, je trouvais le spectacle très excitant
Je n’ai pas eu le temps de dire un mot que déjà Gérard reprenait ses caresses sur mon sexe qui n’avait pas débandé. Patricia, s’installa devant nous, nous contemplait en se caressant les seins et le sexe épilé et luisant d’excitation.
- Pour vous faire pardonner, vous allez faire tout ce que je veux » Dit-elle
- Tino, tu vas venir sucer Gérard, il m’a dit que tu ne l’avais jamais sucé
J’hésite, mais elle se lève et approche mon visage du sexe de son mari qui est toujours couché sur le dos. Je lui écarte les jambes pour m’installer à genoux et je prends se sexe entre mes lèvres. Gérard se soulève et m’enfonce son dard dans la bouche. Je bande comme jamais. Patricia me tient la tête et m’oblige à avaler en entier le sexe de son mari.
- Suce le bien, vas-y, et mets lui un doigt dans le cul il aime ça !
Gérard relève ses jambes, je le suce et je lui mets un doigt dans l’anus. Je lui branle le petit trou tout en le suçant. Je suis excité, mon sexe va exploser tellement il est gonflé. Patricia me tient toujours la tête, je mets deux doigts dans le petit trou de Gérard ….Il adore, il râle de plaisir. Patricia voyant qu’il allait bientôt jouir me recule et le sexe de mon cousin sort de ma bouche.
- Alors ça vous plaît ?
- Oui, oui, c’est trop bon, c’est la première fois qu’un mec me suce et me doigte, c’est super » Lui répond Gérard
- Et toi tu n’aimes pas ?
- C’est une expérience inoubliable, mon sexe n’a jamais été aussi dur » Dis-je.
- Gérard, mets toi en levrette, et toi Tino, bouffe lui le cul et branle le, je veux vous voir vous amuser tous les deux
Je suis à genoux derrière Gérard, et j’approche ma langue de ce trou lisse, de ses bourses lisses également. Je lèche doucement, ses globes sont écartés, je passe ma langue de haut en bas, je m’attarde sur cette rondelle rose qui se détend. Ma main passe sous Gérard et lui prend le sexe, je le masturbe en même temps que je lui enfonce ma langue dans l’anus. Je suis en train de dépuceler Gérard, et c’est la première fois que je prends autant de plaisir.
- Vas-y, encule le avec ta langue, bien profond
Ma langue s’enfonce et ressort, et je sens que Gérard prend de plus en plus de plaisir. Ma main continue à la branler, je décalotte son gland jusqu’à lui faire mal de plaisir.
- Finis le, fais le jouir
Patricia est nue, son sexe est trempée mais elle ne participe pas activement à nos ébats, elle se contente de nous donner des ordres tout en se masturbant et se caressant les seins.
J’enfonce ma langue au plus profond, je la fais tourner dans ce petit trou, et j’accélère les mouvements de ma main. Lorsque son anus se resserre sur ma langue je sais qu’il est en train de jouir.
Gérard râle et se laisse tomber à plat ventre.
- J’ai jamais joui aussi fort, Tino, tes coups de langues sont waooooooo »
- Tu vas pas t’en tirer comme ça, ton cousin bande comme un âne, tu vas t’on occuper, u vas lui faire la plus belle fellation de sa vie » Lui dit Patricia.
Je suis debout, Gérard à genoux, il prend mon sexe dans bouche, quelle sensation étrange … C’est sa première fellation, je bande, je suis excité, c’est la première fois qu’un mec me suce, et en plus devant une femme qui dirige les opérations.
- Bouffe lui la bite, et mets lui tes doigts dans le cul
J’écarte légèrement les jambes pour laisser passer ses doigts qui fouillent mon petit trou pendant que la langue de Gérard me lèche le gland. Il aspire mon sexe tout au fond de sa gorge tout en le branlant. Ses doigts entrent et sortent de mon anus dilaté, je ne sais plus où je suis.
Patricia voyant que je vais jouir tient la tête de son mari pour qu’il garde mon sexe bien au fond de sa gorge. Après quelques mouvements et des doigts bien enfoncés dans mon cul, je lâche mon sperme dans la bouche de Gérard en poussant un cri de plaisir qui se mêle aux fusées du feu d’artifice.
- Avale tout
Gérard s’exécute. Lui et moi sommes complètement déconnectés de la réalité par cette première expérience... Nous reprenons nos esprits doucement. Patricia qui s’est fait jouir seule nous dit :
- C’est bien, vous êtes de vrais petites putes, mais vous n’allez pas vous en tirer comme ça, la nuit ne fait que commencer et je reste sur ma faim, nous allons bien nous amuser tous les trois

Rencontres.
J'aimais bien faire des rencontres nocturnes en forêt, les meilleurs endroits étaient alors situés dans la forêt de Fontainebleau (du moins en région parisienne) et étaient plus particulièrement fréquentés les WE (entre vendredi soir et dimanche soir).
J'aimais plutôt le samedi soir mais ça dépendait évidemment de la saison, on y rencontrait toutes sortes de mecs, des homos purs et durs bien sûr mais également de nombreux hétéros à la recherche de plaisirs nouveaux. Tailler des pipes ou se faire limer dans les fourrés ne posait guère de problème et comme la nuit tous les chats sont gris les physiques des candidats à la fellation n'étaient pas pour moi un critère essentiel.
Ce soir d'été je choisis un endroit un peu à l'écart de celui le plus abondamment fréquenté, la nuit est relativement claire, pour ceux ou celles qui connaissent c'est sur les bords de la RN 7 dans les environs du carrefour de la Croix du Grand Veneur , les bas côtés sont larges et bitumés et servent de stationnement pour les voitures des randonneurs et promeneurs qui fréquentent la forêt. Il est environ onze heures du soir et à cette heure les voitures garées ne sont pas celles de familles ou de sportifs...
Quand je m'arrête donc la première fois sur le bord de la route à l'entrée de la forêt je trouve qu'il y a trop de monde, une bonne dizaine de voitures et autant de silhouettes qui vont et viennent dans les bois et entre les bois et les voitures, aussi je décide de reprendre la route, je fais demi-tour au carrefour et reprend la direction de Paris, je me gare maintenant de l'autre côté à quelques centaines de mètres un peu plus loin.
J'avais décidé de jouer le grand jeu et comme il fait très chaud je ne suis vêtu que d'une chemisette et d'un short de tennis parfaitement moulant, j'ai l'impression d'être une pute racoleuse dans le bois de Boulogne ! L'entrée de la forêt se fait par un petit chemin de terre, une barrière de bois empêche les voitures et les motos de s'engager sur ce chemin, je m'assois sur la barre de bois, ainsi parfaitement visible de la route et de ses abords.
Les phares des voitures m'éclairent de temps en temps, une, deux, trois et la quatrième s'arrête, ça ne fait pas deux minutes que je suis en position ! Ma posture, style pute de bar , et ma tenue plutôt légère ne peuvent prêter à confusion quant à mon rôle passif dans le cadre d'une relation sexuelle.
Un type apparaît en "contre-jour"à l'entrée du chemin, il est du type grand et massif, il s'approche, je ne peux distinguer les traits de son visage,
- Salut, tu suces?
Pour toute réponse je m'agenouille à ses pieds,
- Attends, on va plus loin, on est trop près de la route.
Je me relève donc et nous faisons quelques mètres dans le chemin, il y fait de plus en plus sombre, il s'arrête et je reprends ma position, je l'aide à ouvrir sa braguette et sort son sexe du pantalon, une grosse queue épaisse et de grosses couilles extrêmement velues, il ne bande pas encore, je décalotte le gland et le prends entre mes lèvres, il est tiède et sent une agréable odeur légèrement musquée.
Je le lèche et le suce un moment tout en caressant les couilles, l'homme commence alors à bander, la queue grossit et durcit entre mes lèvres et je commence ma fellation. Il est adossé à un arbre et me caresse doucement les cheveux.
- Putain que tu suces bien! Oh oui... C'est bon !
Content que ça lui plaise, j'aime faire plaisir aux hommes et je suis heureux quand ils le disent, il se penche pour me caresser, j'ouvre alors ma chemisette et il commence à me titiller les pointes des seins, j'ôte alors ma chemise ce qui semble décupler son excitation car il se penche un peu plus pour me caresser le sexe, j'ouvre mon short, comme il a un bon ventre j'ai maintenant la tête écrasée dans son épaisse toison.
- T'es rasé ?
Il semble vraiment étonné et il veut me voir, je cesse donc ma pipe et me remets debout face à lui, il me fait baisser le short à mi-cuisses et comme il veut mieux examiner mon corps glabre il me fait marcher vers la route, pour marcher plus aisément j'enlève alors complètement mon short et c'est complètement nu que je l'accompagne, il me caresse maintenant avec une certaines fébrilité, ses mains s'attardent particulièrement sur mon pubis et mes couilles fraîchement épilés et parfaitement lisses.
Sa curiosité assouvie nous revenons vers l'arbre et ma chemisette et je reste alors nu pour le sucer. Il gémit de plaisir tandis mes lèvres glissent sur la peau de sa queue et de ses couilles, je glisse une main entre ses fesses et tente de lui titiller la rondelle.
- Non pas ça, ça me fait mal.
Je n'insiste donc pas et je sens qu'il est sur le point de jouir, sa queue se raidit un peu plus, il veut la sortir de ma bouche mais comme j'insiste pour la garder il me laisse faire, c'est avec délice que je reçois sur ma langue son liquide tiède au fort goût de sperme, j'avale jusqu'à la dernière goutte et relâche le morceau débandant.
- C'était super, merci.
Il referme sa braguette et c'est toujours nu que je l'accompagne vers la route, il me quitte et je décide de rester "à poil", je range mon short et ma chemise contre un pied de la barrière et reprends ma position sur la barre de bois.
Cinq minutes à peine plus tard une nouvelle voiture s'arrête, c'est la première fois que je drague complètement nu et j'ai quand même quelques appréhensions et je résiste à l'envie de remettre mes vêtements.
L'homme me découvre alors.
- T'es gonflé de draguer à poil ! Tu te fais enculer ?
Je suis d'accord et nous nous enfonçons dans la forêt.
- Ici c'est bien !
Il baisse alors son pantalon, sans doute excité par ma nudité il bande et malgré la nuit je peux distinguer un beau gland brillant, je me mets à quatre pattes et il s'agenouille après avoir mis un préservatif.
Il glisse un doigt dans mon anus pour agrandir son ouverture et je sens maintenant son gland qui force l'entrée, je suis large et la queue glisse doucement dans mon rectum, l'homme me maintient alors par les fesses et il commence à me limer.
C'est un bon baiseur, il est calme et viril, c'est avec une parfaite régularité que son dard va et vient dans mon corps, il s'y enfonce de toute sa longueur et je sens parfaitement ses couilles qui s'écrasent sur les miennes. Je ressens un plaisir immense et une réelle jouissance anale, je ne reste pas inactif et j'accompagne ses "va et vient" d'expert baiseur en poussant des gémissements et des petits cris comme une femme comblée.
Soudain nous sommes dérangés par un nouveau venu mais le trouble est vite dissipé et le nouvel arrivant sans dire un mot s'agenouille devant mon visage et me présente sa queue dressée, il avait du s'exciter en nous matant.
Me voici donc rempli devant et derrière, ce n'est certes pas la première que je me retrouve ainsi pris en sandwich mais je ressens toujours le même plaisir à me faire prendre par plusieurs hommes, j'ai toujours envié les femmes qui peuvent se faire prendre par trois hommes en même temps.
Nous sommes assez près de la route et c'est avec vraie excitation que je vois les phares des voitures qui défilent entre les feuilles des arbustes. L'homme que je suce dit alors :
- Sacrée salope quand même !
L'autre ne répond pas et continue de me baiser en silence et ses mains me caressent les fesses, je me sens alors parfaitement bien dans la chaleur de cette nuit, nu et baisé. Mon enculeur jouit alors, il enfonce une dernière fois son phallus au plus profond de mon corps et je sens parfaitement ses vibrations tandis qu'il éjacule.
La chose terminée il se retire, une dernière tape sur mon postérieur et il s'en va sans ajouter un mot et je poursuis ma fellation, je ressens encore la jouissance de mon cul. Il va jouir.
- Tu prends dans la bouche ?
Je marmonne un oui et je sens son sperme qui me remplit la bouche, il me tient par la tête tandis qu'il vide ses couilles, constatant que j'avale son foutre il me dit :
- T'es vraiment une salope !
Il ramasse alors le préservatif usagé, le sperme n'a pas coulé et la poche est toujours remplie, il finit de jouir, sort sa queue de ma bouche et comme en signe d'approbation je garde la bouche grande ouverte il vide le contenu du préservatif sur ma langue, le foutre est encore tiède et gras, afin que je puisse la vider complètement je lui prends la capote et la mets dans ma bouche pour la mâcher tel un chewing-gum et je me relève. Avec délice j'avale les dernières gouttes qui sortent du préservatif.
L'homme s'en va et je reprends mon attente sur la barrière, je me sens à présent parfaitement à l'aise dans ma tenue d'Adam presque sur le bord de la route.
Il doit être plus de minuit et le trafic est plus calme que tout à l'heure, une camionnette s'arrête alors de l'autre côté de la route juste en face de moi, un homme en descend et le silence nocturne me permet de percevoir parfaitement ce qu'il dit :
- Tu prends le volant jusqu'à Sens, j'ai un coup de barre.
- OK, OK je pisse un coup et on repart !
C'est en revenant de pisser qu'il me voit alors dans les phares d'une voiture, il dit à son pote,
- Y a un mec à poil de l'autre côté !
- C'est plein de pédés par ici, si t'as envie de te faire sucer c'est gratos !
Il descend du véhicule et me crie :
- Tu viens ?
L'autre dit alors :
- Mais j'suis pas pédé, j'ai une femme et des gosses !
- Moi aussi et alors ? T'es pas pédé parce que tu te fais sucer par une pédale ! Tu fais comme tu veux mais moi j'ai envie de me vider les couilles !
Je me lève et me dirige vers la route, il n'y a personne et c'est toujours complètement nu que je la traverse. J'arrive à hauteur des deux hommes.
- T'as l'air d'être une belle salope c'est la première fois que je vois un type à poil par ici !
Ils me font monter dans la camionnette et nous nous installons à l'arrière, ils allument le plafonnier, ils transportent des meubles et ils s'assoient sur un canapé, ils rient.
- Regarde comme elle est mignonne sa petite bite rasée !
Sans rien dire je m'agenouille et ils sortent leurs bites, Le type qui avait des remords dit à l'autre :
- Tu t'es déjà fait sucer par un mec ?
- Ouais je fais souvent cette route et quand j'ai un peu de temps je m'arrête par ici et pourtant je suis pas pédé !
Je commence alors mes pipes et quand je prends la bite du premier je sens une petite boule et effectivement je reconnais une queue que j'ai déjà sucé deux ou trois fois.
- Elle suce bien cette chienne, alors ça te fait quoi de te faire sucer par un pédé ?
- Il suce bien, mieux que ma femme même !
- Moi ma femme elle veut pas sucer, c'est pour ça que je m'arrête ici, c'est mieux que les putes et surtout c'est gratos !
Ils allument alors chacun une cigarette, s'ouvrent une bière et poursuivent leur dialogue.
- Alors on n'est pas bien là peinard à se faire pomper par un vide-couilles ?
- Ouais j'aurai jamais cru qu'un jour je me ferai sucer par une pédale.
- En plus pour une première t'es tombé sur un bon, regarde-moi comment il nous les prend !
C'est alors que je lui fais une belle gorge profonde.
- Regarde moi ça, il me la prend complète ! C'est la première fois que ça m'arrive ! Toi t'es pas mal monté on va voir s'il y arrive !
Et il m'invite à changer de bite, effectivement l'autre homme est bien monté et quand j'arrive à lui faire la même chose il est épaté.
- Ouah ! C'est super ce truc !
L'autre rigole :
- Tu diras à ta femme de prendre des cours auprès de ce mec !
Et s'adressant à moi :
- Hé le pédé, j'ai envie de te voir te branler !
Je cesse ma fellation et me mets debout.
- Non je préfère te voir couché à nos pieds !
Et à son copain :
- Je l'ai vu tout de suite, ce mec est une lopette, c'est souvent avec ces petites tapettes, tu peux lui faire faire tout ce que tu veux, t'as des fantasmes ?
Je me branle doucement sous leurs regards amusés, l'autre répond :
- Euh... j'ai pas trop de fantasmes pédés, ah si, je voudrais le voir s'enfiler un truc dans le cul !
- Super ! Tu proposes quoi ?
Ils choisissent un marteau.
- C'est pas trop gros pour toi j'espère !
Je jouis alors sur mon ventre, je récolte alors mon sperme sur mes doigts et l'avale devant leurs yeux étonnés et sans discuter me mets à quatre pattes le cul dressé vers eux. J'écarte les cuisses et écarte mes fesses avec mes mains pour leur offrir mon anus, ils rigolent et je sens le manche du marteau contre ma rondelle, mon trou s'ouvre et l'objet glisse pratiquement tout seul, entièrement.
- Merde alors ! Moi qui peux à peine me mettre un suppo ! On a plus gros ?
C'est alors le tour d'un gros tournevis de me visiter et comme je l'absorbe également sans aucune difficulté, ils décident de me mettre les deux, ça commence à me faire mal et je gémis, ils ajoutent alors un nouveau tournevis un peu plus petit.
- Arrête on va le blesser !
L'autre rigole,
- Tu parles ces trous à bites ça peut prendre une main dans le cul ! T'as jamais vu des images de ça ?
- Non...
- Ça s'appelle un fist-fucking, mais j'ai pas envie de foutre ma main dans sa merde ! on lui enlève tout ça et on lui fout la canette de bière !
Sitôt dit sitôt fait et je sens maintenant la petite bouteille de Kronenbourg qui glisse dans mon rectum, c'est limite pour moi mais ça rentre sans trop de dégâts...
C'est la bouteille enfoncée dans le cul que je termine mes fellations, il jouissent presque en même temps dans ma bouche grande ouverte et offerte pour recevoir leurs giclées. Ils me font descendre de la camionnette, j'ai encore la bouteille dans le cul, je traverse vite la route tandis qu'ils démarrent. La bouteille est bien enfoncée et j'ai du mal à l'enlever...
J'ai vu sur l'horloge du tableau de bord qu'il est deux heures du matin et je décide de continuer ma nuit ici. Il y a de plus en plus de monde sur l'autre site, un ballet de voitures qui arrivent et partent sans arrêt des deux côtés de la route maintenant, je sors alors du bois et lorsqu'il n'y pas de trafic je marche autour de ma voiture et m'assoie sur le capot, la nuit est claire et je suis ainsi à la vue de tous, bien que je sois à deux cent mètres environ ils peuvent parfaitement distinguer ma nudité.
Une voiture quitte le groupe et se dirige vers moi sans quitter le bas côté de la route, les phares sont allumés et je me retrouve dans la lumière. L'homme éteint ses phares et me rejoint.
- T'es louf de te balader à poil ici ! Les gendarmes sont passés il y cinq minutes !
Ils sont passés pendant que je me faisais défoncer par les deux camionneurs, je l'ai échappé belle ! Nous rentrons dans le bois et c'est reparti. Deux autres types qui ont sans doute vu mon exhibition nous rejoignent quelques minutes plus tard et c'est à trois queues maintenant que je rends hommage.
C'est avec délice que je sens toutes ses mains fébriles et excitées, elle me caressent le sexe, les seins et les fesses, glissent entre mes fesses, les doigts me pénètrent et on me fait prendre des multiples positions pour mieux s'occuper de mes parties les plus intimes. C'est alors que je suis debout et penché pour sucer qu'un des hommes décident de m'enfiler, il a mis une capote.
Dans ce genre de situation j'ai toujours peur qu'un homme oublie ou n'aie pas de préservatif et comme je suis pris j'aurai du mal à l'empêcher de m'enculer ainsi. C'est alors que je m'aperçois qu'ils sont à présent cinq ou six autour de moi, je commence à avoir un peu peur car les hommes sont excités et veulent tous se faire sucer ou m'enculer, ils se bousculent un peu et c'est une petite cohue maintenant que je dois subir.
C'est vrai qu'un mec complètement à poil sur le bord d'une route ce n'est pas banal et c'est excitant! Les deux premiers jets de sperme arrivent alors dans ma bouche et sur mon visage, une nouvelle bite glisse aussitôt dans ma bouche libérée. Un autre type m'encule à son tour mais sans capote, avec difficulté je me libère des mains pour retirer sa queue de mon cul et lui dit :
- Pas sans capote !
Il est d'accord et n'insiste pas et il est remplacé par une bite normalement protégée. A nouveau une petite douche de sperme et ça devient quand même un peu plus calme, ils ne sont plus que deux, je ne pourrais dire combien ils ont pu être au maximum !
Lorsque je suis de nouveau seul un peu fatigué et le visage ruisselant de foutre je remets mes vêtements et sors du bois, le ciel s'éclaircit laissant venir le jour, il est quatre heures du matin et je décide de rentrer.

Le mois du cinéma: Les scènes de sexe...

Complaisance maritale...

A lire en coup de vent...

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Quand le mari perd le  pouvoir....
Et le reste...

Histoire de famille
Je suis rentré à la maison vers 20h, toujours en ressentant ce mélange de peur, de colère et d’excitation malgré moi. J’ai trouvé ma femme et son amant sur le canapé (habillés cette fois, étonnant !). Lui était assis sur le canapé et elle, les jambes écartées, se tenait en amazone sur ses genoux. J’avais l’impression de voir deux lycéens qui se découvrent et qui découvrent les joies de la baise…
- Ah t’es là ma chère lopette de frère ! m’a dit Mathias. On t’attendait, t’as failli faire attendre ma femme chérie. Et comme tu le vois, elle a très envie d’aller danser…
Tous deux se sont alors levés. Ce connard de Mathias portait un tshirt qui mettait son torse en valeur, mais c’était bien Sarah qui était à tomber, dans une petite jupe d’été évasive et un top pas trop décolleté mais près du corps, qui mettait en valeur sa jolie poitrine. Pour parfaire sa silhouette et mettre ses fesses en valeur, elle portait des petites chaussures à talons qui lui donnaient un air irrésistible.
- Putain Sarah, t’as envie de te faire sauter par… ai-je commencé.
Mais Mathias m’a directement interrompu, autoritairement.
- Ma chérie, a-t-il dit à Sarah, réponds lui je t’en prie.
Ma femme s’est alors adressée à moi, après un sourire et un baiser à Mathias :
- Je suis pas ta putain, pour ça faudrait que tu me baises pas comme une lopette. Et puis tu sais que c’est mon homme qui m’appelle Sarah. Pour toi c’est madame Mathias.
- C’est bien… Maintenant, va me chercher ma veste ma belle, a glissé mon frère à l’oreille de ma femme, les deux mains sur son cul. Et ensuite on pourra partir.
Une fois qu’elle s’est éloignée, Mathias m’a regardé, avec cette expression de supériorité et de moquerie.
- Frangin, écrase-toi, c’est ce que t’as de mieux à faire. Cette petite salope est complètement dingue de moi et de ma bite. Elle fera ce que je lui dirai tellement elle était en manque de vraie baise. Elle est accro à moi et c’est moi qui l’ai maintenant. Maintenant, va nous attendre dans la voiture.
Devant mon immobilité, Mathias a ajouté : sinon, je la baise devant toi. T’as vraiment envie de ça ?
Inutile de dire l’option que j’ai privilégiée. Mathias et Sarah sont arrivés quelques minutes plus tard, comme un vrai couple. Ils se sont installés à l’arrière, et mon demi frère m’a ordonné de les conduire au Cube.
- Alors chérie, tu sortais souvent avec ta petite lopette ? a-t-il demandé à ma femme, entre deux baisers particulièrement mouillés.
- Hmm non…
- Putain mais quel gâchis. Une petite chienne comme toi peut pas rester enfermée chez elle… Tu vas voir ma belle, tu vas kiffer la boite.
Moi, j’essayais de me concentrer sur la route. Pendant le trajet, Mathias a continué à chauffer « sa » femme : il avait passé sa main sous sa petite jupe, et entre deux baisers, lui expliquait que tous les mecs allaient la désirer. Il bandait littéralement à l’idée de savoir qu’il était le seul à la posséder. Quand je me suis garé, Mathias s’est à nouveau adressé à moi :
- Bon la tapette, toi tu restes là pendant qu’on s’éclate ma femme et moi. Peut-être que tu pourras venir si je te le permets… Si t’es sage, petit cocu.
Avant de sortir de la voiture, il a retiré sa main de la jupe de Sarah et l’a essuyée d’un geste de dédain sur mon visage.
- Bonne soirée pédale. J’espère que t’as des mouchoirs dans la voiture, t’en auras besoin en pensant à ce que ma femme et moi on va faire ce soir.
Cette dernière remarque a eu pour effet de faire rire Sarah, qui a échangé un regard complice avec son amant. Tous deux se sont ensuite éloignés. Mathias, une main sur les fesses de Sarah, était fier de son trophée qui déchaînait les regards des autres mecs…
Moi, j’en étais réduit à écouter le résumé de la soirée Ligue 2 sur RMC. Oui, autant dire que j’avais touché le fond. Au bout d’une heure, mon portable a vibré. Un SMS de Mathias : « Je t’autorise a venir lopette, ce serait con que tu rates le spectacle     ».
Et comme un con évidemment, j’y suis allé. Fasciné et terrifié par tout ce qui m’arrivait, qui me semblait irréel. Bref, dix minutes plus tard, j’étais dans une salle sombre quasi remplie. J’ai vite trouvé Mathias, qui discutait avec une jeune fille de 25 ans environ. Quand il m’a vu, il a directement pris son ton de mâle dominant.
- Ah t’es enfin là, tapette. T’es même pas foutu de rappliquer rapidement. Bon, je t’ai fait venir pour que tu me payes une bière.
- Ca va pas Mathias, va te faire foutre quoi.
Mon frère m’a regardé avec un regard quasi attendri en me voyant protester.
- Ouais, je me doutais que tu gueulerais un peu, pour la forme.. a-t-il continué. Donc je t’ai pris ça avant de partir.
Il a alors pris quelque chose dans sa poche… Une carte de crédit. Ma carte de crédit.
- Tu te doutes bien que ma femme adorée m’a déjà donné le code…. Evidemment, t’auras rien à boire pour te punir de ton insolence. . Puis il a ajouté, en s’adressant au serveur :
- Une bière, et une coupe de champagne pour mademoiselle !
A côté, la fille semblait adorer le numéro du mâle alpha. Moi, je commençais à en avoir assez de tout ça.
- Elle est où Sarah ? ai-je fait. Elle en a déjà eu marre de toi, c’est pour ça que tu te rabats sur une autre en essayant de la saouler ?
Mathias se sentait toujours autant en position de force. Il m’a répondu du tac au tac :
- Arrête, tu sais bien que ma petite chienne en aura jamais assez de mes coups de bite. Te voile pas la face. C’est moi qui l’ai autorisée à s’amuser un peu ce soir. Elle en crevait d’envie, depuis tout ce temps qu’elle est pas sortie… Mate-la sur le dancefloor.
J’ai enfin jeté un œil aux gens qui dansaient. Et Sarah n’était pas difficile à trouver… Elle dansait avec deux mecs, très proches d’elle. Tous deux devaient avoir une vingtaine d’année à tout casser, bien foutus. A chacun de ses déhanchés, ses fesses frôlaient l’entrejambe d’un des deux mecs. Les deux, justement, se collaient à elle, et tentaient par moment de glisser une main sous son petit top ou sous sa jupe.
- Ca fait une demi heure qu’elle les chauffe, ma petite salope… a expliqué Mathias. Ils en peuvent plus les deux.
Sarah passa rapidement au niveau supérieur. Elle se frottait maintenant carrément à ses deux danseurs qui comprenaient parfaitement le message. Deux mains disparurent sous la petite jupe de ma femme. Une caressait ses cuisses, pendant que l’autre s’était posée sur son cul. Quelques minutes plus tard, tous trois disparaissaient du dancefloor et se dirigeaient vers les toilettes. Je me suis tourné vers Mathias, qui regardait la scène en souriant.
- Je l’ai autorisée à sucer mais pas à baiser… Je m’en voudrais d’être le seul mec à pouvoir profiter de ses talents de chienasse.
Evidemment, toujours terrifié mais en même temps fasciné, je suis allé voir si ma femme était réellement en train de sucer deux mecs qu’elle ne connaissait pas. Toilettes fermées… Je ne pouvais donc pas voir la scène. Je l’entendais seulement. Aux bruits de sucions se mêlaient les voix des deux hommes.
- C’est bon quand tu les malaxes… Ma parole, t’es une déesse de la pipe !
- Allez dépêche mec, moi aussi je veux en profiter de ses dons…
J’ai alors senti une tape sur mon épaule. C’était Mathias :
- Allez c’est bon lopette, t’en as assez vu et assez entendu. Je voulais surtout que tu voies comment ma meuf aime se sentir baisable et désirée… Comment elle bouge son cul comme une reine. Elle en veut, j’espère que tu l’as compris. Puis il a toqué à la porte et dit :
- Chérie, c’est Mathias, ouvre-moi.
Il m’a ensuite regardé et m’a dit de les attendre à nouveau dans la voiture.
Trente minutes plus tard, les deux revenaient s’installer à l’arrière de la bagnole. Sarah murmurait à son amant : « j’espère que ça t’a plu…. J’ai fait ce que tu voulais mon amour. ». En même temps, elle lui faisait de petits bisous dans le cou et caressait son jean. Mathias lui répondit :
- C’était parfait, je vais bien te récompenser cette nuit…
Aucun des deux n’a fait attention à moi pendant tout le trajet. Quand nous sommes rentrés, Sarah n’y tenait plus. Elle voulait juste baiser le plus tôt possible. Ils étaient sur le point de monter, quand elle a fait à Mathias :
- Au fait, je t’ai pas dit, mais les deux mecs. C’était des anciens élèves. Ça m’a tellement excité. Enfin tu as vu mon string de petite chienne, donc ça tu le sais…
Là, j’en pouvais plus. Quand même. Fallait pas pousser. Qu’elle joue à un jeu malsain en privé, passe encore. Mais là, elle comprenait toute notre famille, si tout ça se savait. J’ai alors commencé à l’engueuler. Je lui ai dit que c’était pas correct d’allumer et de sucer des mecs qu’elle avait eu en cours. Que ça allait forcément s’ébruiter. Qu’elle était folle.
Ma tirade a été arrêtée par une baffe de Mathias, peu troublé par cette gueulante. Mais contre toute attente, c’est ma femme qui a réagi et repris le contrôle de la situation.
- Je t’avais dit quoi ? De pas m’appeler SARAH. Ca, je le réserve à MON HOMME.
- Mais bordel, Sarah..
- Ta gueule, a reprit ma femme.
- Apprends-lui le respect, a murmuré Mathias, qui était passé derrière elle et se frottait à elle en l’embrassant dans le cou.
- Fous-toi à genoux, m’a dit Sarah avec un air autoritaire que je ne lui connaissais pas.
- Mais…Quoi ?
- A genoux. Par terre. A nos pieds.
Le ton de Sarah était tellement dur que je me suis exécuté, sans trop comprendre. Voilà, j’étais par terre.
- Comment je m’appelle ? a fait Sarah, pendant que Mathias faisait glisser ses mains sur ses hanches.
- Madame… Madame Mathias.
- C’est mieux… maintenant, approche toi de moi, a-t-elle repris.
Encore une fois, je me suis exécuté. De façon un peu misérable, à quatre pattes, j’ai parcouru la distance qui me séparait de ma femme.
- Pour te faire pardonner, je veux que tu lèches ma chaussure.
J’ai regardé la chaussure qu’elle me désignait. Effectivement, elle avait été salie pendant la soirée. Pas de doute : une tâche de sperme était restée dessus.
J’ai ensuite relevé la tête pour voir ma femme. Elle ne souriait pas. Elle dégageait pourtant cette sensation de domination, d’autorité. Un peu comme Mathias. Elle jouissait intérieurement de cette autorité qu’elle exerçait.
- Si tu ne m’obéis pas, mon homme va te virer de la maison. C’est compris petite lopette ?
J’ai alors fait ce qu’on me demandait. Pendant que ma langue s’appliquait à faire briller sa chaussure, je sentais que Sarah se cambrait pour répondre aux sollicitations de Mathias. Il lui a murmuré :
- Alors, ça te fait quel effet d’être la reine et de pouvoir le dominer ?
- Hmm… C’est bon chéri… Mais pas aussi bon que ta bite.
- Ca m’excite quand t’insultes ta petite lopette. Tu sais que je vais te démonter ce soir ?
- Hmm j’ai pas la patience de monter à l’étage. Baise moi ici.
Elle a ajouté à mon adresse, après m’avoir donné un petit coup de pied :
- C’est bon, dégage maintenant. Va dormir dans la cuisine.
Quand j’ai quitté la salle, Mathias était en train de promettre à ma femme « la nuit dont toutes les salopes rêvent depuis toujours ».
Inutile de vous dire que je suis resté bien sagement dans la cuisine pendant que ma femme et mon frère s’amusaient quelques mètres à coté. Depuis quelques jours, j’avais l’impression de ne plus savoir que ce je voulais.
Évidemment, voir ma femme se faire prendre ma mon frère représentait une sorte d’humiliation suprême, mais d’un autre côté, je crois que j’ai toujours eu le fantasme d’être soumis. Et même si c’était dur à avouer, le fait d’entendre ma femme hurler son plaisir avec un mec autre que moi commençait à me faire bander…
Au bout d’à peu près une heure, les deux amants sont enfin montés dans « leur » chambre, ce qui m’a permis de passer le reste de la nuit au salon… Évidemment, ils n’avaient pas nettoyé ce qui restait de leur baise. Je pense que Mathias avait fait exprès de laisser le string humide de Sarah bien en évidence sur le canapé, en guise de trophée. Mais bon, j’ai quand même réussi à m’endormir pour les quelques heures restantes de la nuit. C’était pas tout, mais je devais taffer tôt le lendemain !
Justement, je me suis réveillé sur les coups de sept heures du mat’. A en juger par le bruit dans la cuisine, les deux amants étaient déjà levés (ou ne s’étaient jamais couchés ?), mais, chose étonnante, ils ne semblaient pas (encore…) être en train de baiser.
Je me voyais mal aller les salut tranquillement dans la cuisine et siroter mon café pendant une séance de suçage matinal, donc j’ai décidé de me barrer directement, ni vu ni connu. J’ai enfilé mon manteau et me suis dirigé, comme d’hab, vers la corbeille où je mets toujours mes clés…
Putain, elles n’y étaient pas ! Évidemment, rien non plus dans mes poches. Mais pourquoi le sort s’acharnait-il sur moi ?!
Puis dans mon dos, j’ai entendu le tintement de clés qu’on agite.
- C’est peut-être ça que tu cherches ? A lancé Sarah, derrière moi.
Quand je me suis retourné, je n’ai même pas eu la force de me mettre en colère, tant elle était désirable. Rien de provoquant, mais tout ce qu’elle portait lui allait à une telle perfection que le tout frisait l’indécence.
Avec un pantalon couleur crème moulant qui laissait suggérait les coutures d’un string, et un haut tout juste assez transparent pour faire fantasmer les hommes, ma prof de femme était tout simplement irrésistible pour aller faire cours. Mais bon, moi, fallait bien que j’aille bosser.
- Sarah, file-moi mes clés…
Dès que j’ai dit ça, j’ai su que j’avais fait une erreur. Elle a directement pris ce ton autoritaire de la veille, comme si elle l’avait toujours eu.
- Ma parole ma lopette chérie, t’as rien retenu de ce que je t’ai enseigné ?
- Si, mais…
- Dis moi comment je m’appelle.
- Je vais être en retard avec tes conn…
- Rien à foutre. Tu dois m’appeler comment le cocu ?
- Madame Mathias. Maintenant rends-moi mes cl…
- Est-ce que je t’ai dit que tu pouvais parler ? Je crois pas non. Avec mon homme, on a décidé de faire ton éducation et de t’imposer quelques règles. La première, c’est de pas parler si tu n’y es pas autorisé. C’est compris ?
- Mais…
- C’est compris la lopette ?
- Oui…
Sarah paraissait prendre un malin plaisir à me soumettre à ses volontés.
- Bon, a-t-elle reprit. Deuxième règle : si tu veux prendre notre voiture, j’exige que tu me demandes l’autorisation avant.
- Mais c’est n’importe…
- Je crois que tu n’as pas bien compris. Si tu veux rester, ces règles sont non négociables. Alors tu dois faire quoi si tu veux aller à ton taff de merde ?
- Je dois te demander les clés de la bagnole…
- Mieux que ça putain !
- S’il te plaît Madame Mathias. Est-ce que j’ai l’autorisation de prendre la voiture ?
Sarah a alors pris une mine plutôt satisfaite. Elle s’est avancée vers moi, et après avoir mis les clés dans ma poche, a posé ma main sur mon jean. Ou plus exactement, elle a commencé à compresser mon sexe, jusqu’à la limite entre plaisir et douleur. Avant de se barrer, elle m’a murmuré : « Ben voilà, c’était pas si difficile mon cocu… J’espère que ça t’excite. »
C’est sur ces mots que je suis sorti. Évidemment, je n’avais rien répondu. Mais bien sûr, je connaissais Sarah (ou bien je croyais la connaître, en tout cas), et je savais qu’elle avait ressenti mon excitation dans cette soumission. Je ne pourrais bientôt plus me cacher…J’ai repensé à cette scène pendant toute la journée, et je devais bien me rendre à l’évidence : elle m’avait malgré moi excité.
C’est ce genre de pensées qui me traversait l’esprit quand je suis rentré chez moi. Enfin… Dans la maison où j’avais le droit de vivre, en tout cas. Sarah était assise sur un meuble de l’entrée. Habillée comme le matin même, elle avait écarté les jambes pour pouvoir embrasser son amant. Celui-ci, toujours habillé, mimait des coups de rein pour signifier ce qu’il s’apprêtait à faire.
Quand il m’a vu, Mathias s’est écrié : « Ah, voilà mon cocu préféré ! ». Sarah, elle, s’est immédiatement levée. Ses talons accentuaient l’air décidé qu’elle arborait.
- Ah, te voilà enfin. Je commençais à m’impatienter. Je dois continuer ton éducation de parfait petit cocu, tu te souviens ?
- Oui Madame Mathias.
- C’est bien. Donc troisième règle : je veux que dès maintenant, tu nous vouvoies mon homme et moi.
Pendant ce temps, Mathias s’était placé derrière Sarah et avait fait glisser ses mains sur ses hanches. Il avait une tête mi surprise mi amusée, l’air de dire « Ca me fait marrer, mais même moi j’avais pas prévu que ça irait aussi loin ! ».
- Quatrième règle a reprit Sarah qui appréciait en même temps les caresses de son amant. Tu es à moi, tu m’obéis car on sait tous les deux que c’est ce que tu as toujours voulu. Hein mon petit cocu ?
- Oui…
- Jure-moi que tu répondras sincèrement aux questions que je vais te poser…
- Je le jure Madame Mathias…
Pendant ce temps, Mathias avait justement déboutonné le pantalon de « sa » femme et sa main venait de disparaitre à l’intérieur du string de Sarah. Il était de toute évidence très adroit, parce que Sarah n’a pas tardé à ressentir de léger spasmes.
- Mon cocu réponds moi.. Hmm. Tu aimes me voir baiser avec un autre mec ?
- …oui…
- Hmm… Et tu aimes qu’en plus de baiser, je prenne mon pied ?
- Oui…
- Oui quoi, ma petite lopette ?
- Oui madame Mathias…
- C’est bien, peut être qu’on va pouvoir faire quelque chose de toi finalement… maintenant mets toi à quatre pattes et avance toi vers moi… Hmm…
Derrière elle, toujours occupé à la doigter, Mathias a murmuré : « C’est là qu’est sa place, hein ma petite salope ? ».
Pendant que Mathias continuait à faire gémir Sarah, je me suis exécuté. Difficile de dire lequel des (ou trois, en me comptant…) prenait le plus son pied à me transformer en parfait cocu.
Une fois que j’ai été assez proche d’eux, Sarah a murmuré quelque chose à son amant. Celui-ci s’est marré, puis, comme pour répondre à ce qui devait être une demande de ma femme, il a enlevé son tshirt qu’il a jeté sur moi avec un air dédaigneux.
- Alors mon cocu préféré, ça te plaît que je me tape un mec comme ça ? Un beau métisse bien membré ?
- …Non… Non madame Mathias, ça me fait pas plaisir.
Mais Sarah ne me connaissait que trop bien. Elle devait avoir décelé que je mentais…
- T’es sûr que ça te plaît pas ? Voyons voir si tu me racontes pas des conneries… a-t-elle fait, pendant que Mathias lui retirait son haut et révélait son soutien-gorge.
Tout en parlant, Sarah avait dirigé son pied vers mon entre-jambe. Avec son talon, elle s’amusait à me palper à travers mon jean, à donner des petits coups au niveau de mes boules. Évidemment, pas besoin d’avoir fait un doctorat pour remarquer que je bandais sévèrement.
- Mais c’est que tu m’as menti ma lopette… Tu m’as l’air tellement excité. T’aimes tellement ça d’imaginer les doigts de mon homme dans ma petite chatte ? Tu penses à la mouille qui rend mon string tout humide hein ? Et pourtant malgré ton excitation t’arrives pas à bander comme mon Mathias… Mathias chéri, j’imagine que j’ai pas besoin de te dire à quel point sa bite est petite et molle…
Pendant ce temps, Mathias avait enlevé son jean et restait en boxer. Une de ses mains s’amusait avec les seins de ma femme, et l’autre caressait toujours sa chatte. Il a sauté sur la perche tendue par Sarah pour m’enfoncer encore plus, le salaud…
- Oui ma salope, malheureusement j’ai grandi avec cette lopette et j’ai presque honte d’avoir un frère aussi pitoyable à ce niveau.
- T’entends ça ma lopette ? Ca fait quoi d’entendre ton petit frère dire que t’es pas capable de faire jouir une meuf ?
Mathias a repris la parole :
- Tu sais ma petite salope, faut pas lui en vouloir. Il a la bite de lopette de son père. C’est pour ça que notre mère s’est tirée. Elle est comme toi. Elle a juste compris ce que c’était que d’avoir un vrai queutard… Hein ma petite chienne, c’est comment d’avoir un mec bien membré ?
Tout en parlant, il avait d’abord accéléré ses caresses pour faire jouir ma femme rien qu’avec ses doigts. Puis il a retiré sa main, et l’a présentée à la bouche de Sarah, qui ne s’est pas gênée pour goûter sa propre mouille.
- Hmm mon Amour, je crois qu’on a bien éduqué notre tafiole pour aujourd’hui…
Puis, s’adressant à moi, elle a ajouté :
- T’aimes ça en fait, te faire traiter de lopette comme ça… Je vois d’ici que tu bandes. Ben t’inquiète pas, c’est pas fini… J’ai encore plein de leçons à t’enseigner. Mais là, je sens que mon homme n’en peut plus. Au revoir ma petite tapette. Interdiction de nous mater mon chéri et moi. Mais je t’autorise à te branler pendant que tous nous entendras
Pas de suite


Enculé par l'amant de ma femme
Il ne faut jamais rentrer à l'improviste chez soi, on ne sait jamais sur quoi on va tomber ! Je voulais faire une surprise à Céline (ma jeune femme de vingt ans, nous sommes mariés depuis moins d'un an) pour sa fête et c'est moi qui ai eu la surprise. Quant à la fête, on la lui a faite et à moi aussi d'ailleurs !
J'arrive en avance et sans faire de bruit à l'appartement avec dans les mains le cadeau que je veux lui faire, une robe dont elle avait envie. J'avance tout doucement dans l'entrée et j'entends du bruit, des voix ou plutôt des gémissements, des grincements. J'avance encore, ça vient de la chambre, puis j'entends très distinctement une voix d'homme qui grogne comme :
- Salope ! Putain. oh la salope !. je vais te foutre bordel. Je vais te défoncer le cul. " Et Céline qui râle:
- Ouiiii ! ! ! Encoôôre ! ! ! Vas-yyyy ! ! ! Mets-moi tout dedans, je jouiiiis ! ! ! Ooooh ! ! !. Oh que c'est bon. Je jouis. Vas-y plus fort !."
La porte de notre chambre est entrebaîllée et j'aperçois ma femme allongée sur notre lit, les jambes en l'air avec son cousin Julien qui se la tape allégrement ! Et ils y vont les salauds, je suis juste bien placé pour bien voir ce qu'il lui fait : il lui fourre son énorme mandrin un coup dans le con, un coup dans le cul ! Et elle monte au rideau, la pute ! Et je te la chevauche, et je te la baise, et je te l'encule ! Mais il va la défoncer, le pourri !
Je suis vert de rage mais je regarde et ça me fait drôle. Je la vois, avec son visage innocent de petite fille boudeuse, grimacer à chaque coup de boutoir de son cousin mais je vois aussi son bassin aller au devant de sa bite et je l'entends. Je l'entends jouir, je l'entends lui hurler d'y aller à fond. Je la vois et ça me fait bander, j'ai envie qu'il continue à la baiser devant moi. Il ne se gêne pas d'ailleurs, je me dis que je suis déjà cocu et ça me procure une étrange sensation pas déplaisante, plutôt de l'excitation.
J'ai sorti ma queue et je me branle en le regardant aller et venir dans l'un ou l'autre de ses orifices C'est un monstre, le cousin Julien. Il mesure au moins deux mètres pour une centaine de kilos tout en muscles, une brute, il me prend pour une tapette et m'appelle " ma chochotte " (ce qui me déplaît, quoique).
Il a vingt ans lui aussi et ils se connaissent depuis l'enfance. J'ai d'ailleurs pensé que c'était lui qui avait dépucelé ma femme mais non, d'après elle. C'est lui qui s'aperçut de ma présence le premier, il me fit signe d'approcher et Céline me vit à son tour.
Elle eut un mouvement de panique mais elle était tellement au bord de l'orgasme qu'elle se laissa aller à sa jouissance devant moi pendant que Julien éjaculait au fond de son con. Julien s'écarta sans un mot mais je bandais trop et j'avais envie et je l'ai pénétrée en m'enfonçant dans son vagin plein de foutre, puis j'ai changé de trou et j'ai plongé ma verge dans son cul dilaté et j'ai déchargé.
Un peu plus tard, allongé à plat ventre sur le lit à coté de ma femme, Julien me chuchota à l'oreille qu'il avait envie de moi, qu'il aimerait bien m'enculer et il commença par promener sa main sur mes cuisses en remontant vers le haut, je le laissais faire. Il m'écarta les fesses puis il me lubrifia l'anus et le rectum avec son sperme qui dégoulinait du con de Céline. Je tremblais sous la délicieuse caresse, je me tortillais impatient puis j'ai murmuré :
- Oui, baise-moi, encule-moi, j'en ai envie. Fous-moi ta grosse bite, défonce-moi le cul.
J'ai tendu mon derrière en cambrant les reins pour mieux m'offrir, puis je me suis moi-même écarté les fesses et j'ai senti la pression de son gros nœud gluant pointé sur mon anus qui commençait à céder sous la pression, je le sentais s'ouvrir.
Il accentua la poussée et son énorme gland entra, mon sphincter s'écartait, il me pénétrait, il s'enfonçait, s'enfonçait encore en moi de plus en plus profondément, je sentais sa grosse bite progresser à l'intérieur de mon rectum en me provoquant des sensations extrêmement jouissives qui me rappelèrent cette autre fois où je m'étais fait enculé dans les toilettes d'un cinéma porno. Puis il s'engouffra jusqu'aux couilles d'un coup de rein brutal.
Enculé, pour la deuxième fois de ma vie, je me faisais enculer par l'amant de ma femme ! Il me sodomisait à fond et profond, ça y était, empalé sur son pieu, j'étais plein de son sexe en moi qui me ramonait le cul, puis il sortit de mon postérieur pour me retourner sur le dos.
J'étais maintenant face à lui, il me prit les jambes et me les plaça sur ses épaules et il me réintroduisit sa queue dans le cratère de mon anus pour me baiser comme une femme, je le voyais et je le sentais aller et venir dans mes profondeurs intimes, je désirais qu'il jouisse en moi, qu'il m'inonde les intestins de son foutre.
Je me branlais à toute vitesse et je l'ai senti éjaculer en jets puissants alors qu'il me traitait de sale petite pédale d'enculé pendant que je jouissais délicieusement du cul et dans mes doigts en même temps.
Céline me dit en souriant et en me regardant jouir :
- Eh bien, qu'est-ce qu'il te met ! Je n'avais jamais vu un mec se faire enfiler par un autre mec ! Je ne savais pas que tu étais pédé ? Tu caches bien ton jeu ! Ça t'arrive souvent de te faire tringler ? Tu as l'air d'aimer ça. " puis... " Elle est grosse la queue de Julien, hein ? Plus grosse que la tienne en tout cas, c'est pour ça que j'aime qu'il me baise et comme il m'encule aussi, tu sais maintenant ce que ça me fait. Tu n'es pas jaloux ? "
Et elle se mit à rire
- Maintenant tu sauras ce que ça me fait ! C'est bon, hein ? Je suis sa maîtresse mais toi, tu es quoi ? Sa maîtresse ''homme'' ? Oh j'aurai tout vu ! Et toi, Julien, je ne te savais pas pédé non plus ? Tu te farcis mon mari après m'avoir baisée ! Décidément !. "
J'avais toujours sa bite plantée dans le cul et il me limait doucement, ma femme me branlait distraitement. Julien répondit :
- Reconnais qu'elle est mignonne ton petit mari, c'est pas pour ça que tu t'es mariée avec lui ? Mais pas très viril, d'ailleurs on dirait une fille, une jolie fille, même. Il m'excite avec son petit cul et je te jure qu'il vaut le tien ! Je savais que c'était une petite pédale, je te l'avais dit. On va s'amuser tous les trois.
Je sentais sa queue en moi qui se durcissait à nouveau et je trouvais tout ça de plus en plus agréable, Céline se pencha vers moi et me goba la pine.
Puis elle m'enjamba, s'allongea sur moi en me disant :
- Baise-moi, baise ta femme, j'ai envie que tu me baises espèce d'enculé. " et elle s'enconna sur ma bite.
Julien avait le derrière de Céline sous les yeux et il me bourrait énergiquement le cul. A chaque coup de bite, il me donnait une impulsion que je transmettais à ma femme, puis, frustré, je le sentis se retirer de moi. Céline eut un frisson qui la fit tressaillir, elle se crispa en râlant et j'ai compris qu'il allait changer de trou et qu'il voulait enculer ma femme pendant que je la baisais. Céline me dit dans un murmure :
- Il m'encule, j'ai jamais été prise en sandwich comme ça. je jouis. oh, c'est bon."
Je sentais la progression de sa bite dans le cul qui prenait de plus en plus de place à coté de la mienne. Il la pistonna un moment en me masturbant par simple proximité, puis il replongea dans mon anus.
Il recommença ce jeu, enculant ma femme, puis moi, plusieurs fois, en faisant jouir Céline et en m'amenant au bord de l'orgasme jusqu'à ce que je sente qu'il plaçait sa queue juste à coté de la mienne pour me rejoindre dans le vagin de ma femme et il est rentré en forçant.
Céline a eu un spasme et a crié mais il l'avait entièrement pénétrée, nous la baisions tous les deux en même temps, bite contre bite, enfoncés ensemble dans le con distendu de Céline qui s'est mise à hurler. Nous nous sommes déchaînés en elle en la défonçant en même temps tous les deux, nous nous frottions nos verges mutuellement dans son vagin à toute vitesse accompagnés par les hurlements des orgasmes de Céline.
Enconnée par deux bites, ma femme se faisait ramoner la chatte par deux queues et nous allions lui gicler tout notre foutre dedans.
C'est le cousin qui déchargea le premier, j'ai senti la chaleur de son sperme envahir le con de ma femme et j'ai giclé tout à mon tour.
Nous nous retrouvons très souvent, ma femme lui et moi. Ils adorent que je me déguise en femme, Céline me maquille et me coiffe, je porte alors une de ses minijupes avec en dessous une de ses petites culottes, il aime beaucoup et il m'encule ou alors nous baisons tous les deux ma femme.
Il nous a même fait sortir ensemble, Céline et moi habillé en femme et il nous a fait dragué par des types. J'ai eu peur quand les types qui voulaient me sauter se sont aperçu que j'étais un garçon mais ils m'ont finalement tous enculés et ils ont aussi baiser ma femme dans la même soirée.

L’acceptation de cette nouvelle vie

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Juste spectateur...
Rien d'autre...

Histoire du net. Auteur Inconnu. Re-découverte de la vie...

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Quelques fois la vie réserve bien des surprises. A tout âge...
(C'est beau ce  que j'écris lol)

Ma Dame de la haute...
Cette aventure m'est arrivée il y a de ça plusieurs années, et aujourd'hui, trente ans plus tard, j'en garde encore un souvenir ému. J'aimerais vous la narrer afin de la revivre encore une fois et, peut-être, y retrouver mes émois d'antan.
A cette époque, je venais de fêter mon vingt-cinquième anniversaire et depuis un an je dirigeais tant bien que mal, une entreprise de dépannage rapide en plomberie et serrurerie : entreprise était un grand mot, puisque en fait j'étais seul. J'occupais le poste de patron et d'ouvrier. Mais ma petite entreprise ne marchait pas trop mal, et me permettait de vivre tout à fait normalement.
Ce jour-là, c'était le 13 juillet, je m'en souviens très bien, un coup de téléphone me tira de mes comptes. Au bout du fil, une femme à la voix angoissée me demanda mon aide de toute urgence : une fuite d'eau inondait sa salle de bain. Abandonnant mes livres et ma calculette, je me propulsais par les rues de la ville afin de porter secours à cette inconnue…
Equipé de mon nécessaire pour la réparation d'une fuite d'eau, je me retrouvai très vite devant la porte d'entrée d'une superbe résidence bourgeoise, située en plein centre ville. Sur une plaque de cuivre ouvragée plusieurs noms se suivaient. Je repérai assez vite celui de ma cliente : Madame Antoinette de Saint Simon.
Une noble, pensai-je, quelque peu intimidé, en me présentant à l'interphone. Comment cette descendance de la noblesse française allait-elle accueillir un simple plombier issu de la classe prolétaire ?
Après un léger grésillement dans l'interphone, une voix chaude et agréable m'invita à monter au troisième étage. Curieux de mettre un visage sur cette voix pleine de charme, qui n'avait rien de hautain, comme je l'avais craint, j'empruntai l'ascenseur qui me monta rapidement à l'étage désiré. Là, à peine sorti de la cabine, avant même que j'essaye de me diriger vers l'une des trois portes palières, l'une d'elles s'entrebâilla, m'invitant à avancer dans sa direction. Je m'approchai, ma mallette de dépannage à la main, désireux de voir à quoi pouvait ressembler cette dame de haut lignage, dont la voix m'avait si chaleureusement accueilli à l'interphone.
La porte s'ouvrit entièrement sur une silhouette vêtue d'un peignoir de soie de couleur parme, orné de diverses fleurs et retenu à la taille par une large ceinture, de soie également. La femme qui m'accueillait en me souriant chaleureusement avait certainement dépassé la cinquantaine, elle devait même être plus près des soixante que des cinquante.
Ses cheveux bruns noués en un chignon parfait, s'ornaient de quelques fils gris, et les minuscules rides qui se formaient à la jointure de ses lèvres lorsqu'elle souriait, l'attestait sûrement. Mais son visage rond aux joues pleines et dodues lui donnait un air poupon qui la rajeunissait. Derrière des lunettes aux larges branches, ses yeux bleus lumineux brillaient d'un éclat malicieux, prouvant chez elle une joie de vivre et une certaine jeunesse d'esprit.
Grande et légèrement enveloppée, sans être vraiment grosse, Madame Antoinette de Saint Simon avait gardé un charme certain. Les généreuses proéminences qui déformaient le vêtement à hauteur de sa poitrine attirèrent irrésistiblement mon regard. Comme beaucoup d'hommes, j'avais toujours, et cela depuis ma puberté, été attiré par les femmes aux fortes poitrines. Et d'après ce que le peignoir me révélait, ma cliente avait dû être et était encore, abondamment fournie de ce coté-là ; la nature l'avait généreusement fournie.
Victime de mes vieux démons sexuels, je me pris à imaginer le volume et la forme de cette opulente poitrine, mis en valeur par le peignoir saillant. Ne se doutant certainement pas de mon intérêt pour les fruits de sa poitrine, la quinquagénaire pivota sur elle-même :
- Suivez-moi, s'il vous plait, me murmura-t-elle… Que je vous conduise jusqu'au lieu du sinistre.
Alors qu ma mallette à la main je suivais mon hôtesse, mes yeux furent automatiquement attirés par les fortes rotondités qui roulaient d'une manière toute sensuelle devant moi. Le spectacle des hanches rebondies qui ondulaient doucement, et de la croupe épanouie, que le léger tissu du peignoir dessinait avec une extrême précision, me procura un instant de pur plaisir. Malgré son âge, la femme dégageait une réelle sensualité et au fond de moi je dus reconnaître qu'elle était encore fort désirable.
Les yeux fixés sur les masses charnues qui tanguaient agréablement devant moi, je ne pus empêcher un certain désir envahir mon esprit. J'éprouvais soudainement le désir pervers de pouvoir contempler ce corps de quinquagénaire que le léger vêtement de soie dessinait si nettement.
À vingt cinq ans mes préférences en type féminin allaient plutôt aux jeunes femmes de mon âge, et même s'il m'était arrivé de fantasmer quelquefois sur des femmes un peu plus mûres, jamais encore je n'avais éprouvé une quelconque envie sexuelle pour une quinquagénaire qui aurait presque pu être ma mère…
Arrivés dans la salle de bain carrelée du sol au plafond, la femme, inconsciente du trouble pervers qu'elle avait créé dans mon esprit, me montra l'objet de ses soucis. L'eau gouttait de dessous le lavabo dans une bassine à moitié pleine.
- Dès que je m'en suis aperçue, j'ai fermé l'arrivée d'eau, me prévint-elle.
- Vous avez bien fait, la complimentai-je.
Déposant ma caisse à outils, je repoussai la bassine avant de m'étendre sur le dos à même le sol afin de découvrir l'origine de la fuite.
- Cela ne vous ennuie pas si je reste à regarder ce que vous faites ?
Encore une cliente « emmerdante » pensai-je, qui ne va cesser de me questionner sur ce que je fais, et peut-être même critiquer tout ce que je vais faire… Ne pouvant refuser (le client à toujours raison !) je maugréai :
- Je vous en prie…
Comme si elle avait lu dans mes pensées, la quinquagénaire ajouta :
- N'ayez aucune crainte, je ne vais pas vous ennuyez dans votre travail… Mais c'est si agréable pour une femme seule d'avoir de la compagnie… Surtout celle d'un beau jeune homme…
Surpris par la dernière phrase, et surtout par le ton sur laquelle la femme l'avait prononcée, je jetai un coup d'œil interrogatif en direction de ma déconcertante cliente.
Cette dernière s'était commodément assise sur le bidet qui faisait face au lavabo sous lequel j'étais couché, les jambes de chaque côté de la cuvette de faïence. Du fait de sa posture, son peignoir s'était largement écarté de chaque côté de ses genoux ronds.
Vu ma position allongée sur le dos, j'eus alors une vision panoramique sur la naissance de deux cuisses blanches et charnues, qui me parurent extrêmement affriolantes au regard de l'âge de leur propriétaire.
Etrangement troublé par ce tableau charnel, je m'empressai de me concentrer sur mon travail, alors que la femme continuait.
- C'est quand même agréable d'avoir un homme à la maison ! Étes-vous marié ?
- Non pas encore…
- Moi, je l'ai été trois fois. Mon troisième mari était même descendant d'un Baron du second Empire. Et aujourd'hui je me retrouve seule. Vous ne pouvez-vous imaginer combien la solitude est dure à vivre. Les soirées surtout sont longues, et même les nuits…
Je demeurais ébahi. Que cachaient les assertions que me distillait la quinquagénaire ?
- Vous devriez trouver un compagnon, tentai-je de répondre, essayant d'entrer dans le jeu de la femme, curieux de savoir jusqu'où celle-ci oserait aller dans ses confidences intimes.
- J'y ai pensé, mais à mon âge qui voulez-vous qui veuille de moi. Si je dois prendre pour compagnon un homme plus âgé que moi, il va falloir que je supporte ses grimaces toute la journée et j'ai bien peur qu'il ne sache, le soir venu, me contenter…
Madame la Baronne s'exprimait sans gêne, ni pudeur, et à l'écouter me parler de ses aspirations sexuelles, tout en me concentrant sur mon boulot, j'éprouvais un amusement certain.
Qu'une femme de cet âge puisse encore éprouver des désirs sexuels me surprenait grandement. Et imaginer cette quinquagénaire frustrée sexuellement, obligée peut-être de se caresser, de se branler, seule le soir dans son lit, telle une adolescente perturbée, fit naître en moi un surprenant désir.
- Je dois vous choquer, continua la femme… Quel âge avez-vous ?
- Vingt-cinq ans madame. Et vous ne me choquez pas du tout, m'empressais-je de la rassurer, curieux de voir jusqu'où ses confidences pourraient aller.
- C'est vrai ? Ah ! Où sont mes vingt ans ! Je suis certaine que vous vous imaginez qu'à mon âge on n'a plus de désirs sexuels… Eh bien détrompez-vous… C'est ce que je pensais moi aussi quand j'avais votre âge, mais aujourd'hui, je peux vous avouer que j'éprouve encore ces envies… surtout le soir… et c'est ce qui est le plus dur à supporter dans la solitude.
- Et comment calmez-vous alors ces… besoins ? Questionnai-je, éprouvant un plaisir pervers à pousser la quinquagénaire à des confidences plus intimes.
- Vous me semblez bien indiscret, jeune homme… Eh bien, ce n'est pas à vous que j'apprendrais qu'il existe maintenant des… ustensiles plutôt bien réussis pour femmes seules… Mais, croyez-moi, rien ne remplacera jamais un véritable sexe masculin…
Le désir que j'avais commencé à ressentir quelques instants plus tôt s'accentuait insensiblement à mesure que se déroulait ce dialogue libertin…
- Vous voulez dire que vous vous servez de godemichés ? Questionnais-je vicieusement, désirant pousser la quinquagénaire à se dévoiler un peu plus.
- En effet, j'en ai une véritable collection, me répliqua Antoinette, nullement gênée par ma question indiscrète… D'ailleurs si cela vous intéresse je vous les montrerais…
De plus en plus excité par les confidences salaces de ma cliente, je continuais dans le même registre.
- Je veux bien voir ça…
Décidément cette quinquagénaire à l'allure si distinguée se montrait être une femme au tempérament plutôt ardent. Ses différends maris n'avaient certainement pas dû s'ennuyer une épouse aussi portée sur le sexe. Peut-être étais-ce cela qui les avaient conduit au cimetière…
Cependant, tout en échangeant des propos égrillard avec la sensuelle quadragénaire, j'avais réussi à changer le joint défectueux. Je me redressai péniblement en prévenant :
- Voila, c'est réparé, vos ennuis sont terminés.
- Si vous pouviez dire vrai, me répondit la femme, pour qui la fuite d'eau n'était pas pour l'instant son souci majeur.
Comme je m'étais redressé, je me retrouvais assis à même le sol, face au bidet de faïence sur lequel était toujours installée ma déconcertante cliente. La première chose que je remarquais fut la position de la quinquagénaire. Intentionnellement ou pas, cette dernière avait élargi l'angle de ses jambes, et son peignoir s'étant un peu plus ouvert, je pouvais contempler les trois quarts de ses cuisses charnues. Seul l'intersection de ses jambes, où se nichait ce sexe qui me faisait soudain fantasmer, m'était encore cachée. Le spectacle de cette chair blanche, tentante, offerte sans vergogne à mon regard ne fit qu'accroître encore le désir qui m'habitait. Sans que je ne puisse l'en empêcher, je sentis mon sexe se dilater au bas de mon ventre, se redresser, doubler de volume. Aussi incroyable que cela paraisse, je me mettais à bander aux évocations égrillardes d'une vieille femme que les sens travaillaient !
- Si je peux vous être utile à autre chose, je me ferais un plaisir de vous venir en aide, osai-je
Nonobstant l'énorme différence d'âge qui me séparait de cette luxurieuse mamie qui s'offrait aussi impudiquement, la tentation de plonger mon visage dans son intimité secrète, de humer les émanations capiteuses qui devaient sourdre de son sexe, certainement privé d'hommages depuis longtemps, m'envahit. Madame la Baronne ne devait rien ignorer du spectacle lubrique qu'elle m'offrait et son immobilité trahissait son consentement à mes regards salaces.
- Ah, si j'osais… me répondit la quinquagénaire dans un souffle.
Comprenant à demi mot ce que la femme n'osait me demander, je posais mes deux mains sur les genoux ronds qui s'offraient si complaisamment à ma vue. Alors que je m'attendais à sentir sous mes paumes une chair sèche et molle, je fus étonnamment surpris en constatant combien la peau que je frôlais était douce au toucher et n'avait rien à envier en velouté aux jambes des femmes bien plus jeunes.
Etonné quand même par la passivité de ma victime et par son silence soudain, je remontai mon regard jusqu'à son visage. Ce que je découvris alors, me stupéfia. La quinquagénaire m'apparut comme transfigurée. Derrière ses lunettes, ses yeux bleus avaient pris un éclat particulier et me fixaient avec une supplication d'une telle intensité que je sentis ma gorge se nouer. Ses lèvres étaient entrouvertes sur un souffle précipité ; ses narines me semblèrent plus dilatées, comme après un orgasme. Sa poitrine, qui me sembla avoir augmenter de volume, se soulevait vivement au rythme de sa respiration saccadée, gonflant outrageusement le devant de son peignoir… Son regard m'encourageait à poursuivre mes attouchements.
C'est alors avec un plaisir évident que je laissai glisser mes mains le long des jambes frémissantes, me grisant de la tiédeur qui s'en dégageait. Lentement, avec une infinie douceur, j'avançai mes mains sur les cuisses parcourues de longs frémissements, les agaçant encore davantage par de légers frôlements de mes dix doigts. Aussitôt j'entendis le souffle saccadé de ma compagne s'accélérer, comme si la malheureuse manquait soudainement d'oxygène pour respirer convenablement.
- Oh oui ! Gémit-elle, m'encourageant à continuer ma progression.
Sans hâte, réfrénant mes pulsions lubriques, je continuais d'agacer la chair parcourue de tressaillements. Désirant amplifier encore le désir qui faisait haleter ma victime au-dessus de moi, je m'ingéniai à frôler, à effleurer, à griffer, la chair frissonnante des cuisses, depuis les genoux jusqu'à la limite que m'autorisait le peignoir chiffonné ; me contraignant à ne pas dépasser cette limite.
Cependant dans mon slip, ma verge se trouvait de plus en plus à l'étroit. Ma compagne si volubile, quelques instants plus tôt, était devenue étrangement silencieuse tout à coup. Seule sa respiration saccadée perturbait le silence de la salle d'eau. Je pouvais voir ses hanches s'agiter nerveusement, son bas-ventre s'avancer dans ma direction en une invite sans équivoque. Je continuai, imperturbable, mon pervers manège pendant encore quelques minutes, laissant mes doigts courir sur toute la surface interne des cuisses qui vibraient de plus en plus intensément. Aux mouvements de plus en plus désordonnés de la quinquagénaire installée sur son bidet, telle une amazone sur sa monture, je sus que j'avais atteint l'objectif que je m'étais imposé.
Jugeant alors ma compagne suffisamment excitée, et l'étant moi-même autant qu'elle, je décidais alors de pousser plus avant mes palpations érotiques. Avec une espèce d'ivresse sensuelle, je remontai lentement mes mains le long de la chair frissonnante. Graduellement, pour jouir au maximum de ce moment privilégié de la découverte de ce sexe nouveau. Le cœur battant, aussi ému que lors de ma première aventure sexuelle à l'age de seize ans, je repoussai le peignoir qui me cachait encore cet entrecuisse convoité. Le léger vêtement s'écarta de lui-même, tel le rideau d'une scène de théâtre avant une représentation.
Le spectacle qui s'offrit alors à ma vue me surprit si fortement que je demeurais un instant incapable de faire le moindre mouvement. Le bas-ventre de la quinquagénaire était protégé par une culotte blanche qui avait dû être à la mode au temps de la jeunesse de sa propriétaire. Tout en dentelle d'une finesse extrême, le sous-vêtement d'un autre âge ceinturait les hanches épanouies, masquant le nombril et descendant jusqu'à mi-cuisses, qu'il enserrait par un large élastique, orné de petites fleurs roses. On était loin des strings portés par les jeunes filles d'aujourd'hui. Madame la Baronne portait une culotte qui avait dû appartenir à son aïeul… Seule une large tache plus sombre, au niveau du pubis, assombrissait la dentelle et me renseignait sur la pilosité abondante de ma compagne. Dépité par une lingerie aussi hermétique qui faisait comme un barrage infranchissable à mon exploration sexuelle, je tâchai d'apaiser ma déception en forçant la femme à s'écarter ses cuisses au maximum, afin d'approcher mon visage de ce pubis convoité.
Comprenant mes intentions, et désirant peut-être encore plus que moi ce genre d'attouchement, la sensuelle quinquagénaire s'installa plus commodément sur son siège de faïence, afin de me faciliter la tâche. Lançant ses bras derrière elle, elle s'appuya des deux mains au bidet qu'elle chevauchait. Me fixant intensément, elle projeta son bas-ventre en direction de mon visage, en une invite complice et impatiente. Dans ce mouvement plein d'une fébrilité érotique, la femme m'offrait en toute impudeur, la vision de son entrecuisse. De nouveau je demeurai ébahi devant ce que mes yeux découvraient.
Cette culotte du début du siècle, qui m'avait paru aussi hermétique qu'une ceinture de chasteté du moyen âge, s'ornait dans son entrejambe d'une longue ouverture bordée d'un fin liseré rose. De cette brèche dans les dentelles, un luxurieux buisson noir auquel se mêlaient quelques bouclettes grises s'échappait.
La quinquagénaire possédait une toison pubienne si abondante et si touffue, que celle-ci masquait entièrement les grandes lèvres de la fente sexuelle, nichées en son centre. Je restai quelque peu étonné par la différence de teinte entre les poils pubiens très brun et la chevelure déjà fort grise, de cette femme qui s'offrait maintenant avec une impudeur totale à mes regards.
Un indéfini émoi me magnétisa. Découvrir cet entrecuisse hirsute, à l'état naturel, alors que la mode poussait les femmes à se raser le pubis, me ravissait au point. Hypnotisé je demeurai un long moment à contempler la débordante fourrure pubienne. Un sexe féminin épilé, perdait pour moi tout son mystère, donc une grande partie de son attrait.
Me découvrant alors des instincts d'explorateur, je débroussaillai de mes doigts cette futaie depuis longtemps abandonnée et redevenue à l'état sauvage. Dans ma poitrine, mon cœur battait aussi intensément que lors de mes premiers attouchements sexuels avec mes petites copines de mon âge. Un murmure langoureux me parvint aux oreilles :
- Oh oui !… Fouillez-moi !
La quinquagénaire, qui me semblait comblée par mes grivoises initiatives, m'encourageait à m'aventurer plus avant dans sa forêt vierge. À l'aide de mes pouces, je repoussai les bouclettes emmêlées, découvrant enfin les grandes lèvres gonflées, d'une vulve épanouie. Saisissant les larges babines sexuelles congestionnées, d'un rouge vif, je les séparai l'une de l'autre afin de découvrir cette grotte charnelle, depuis longtemps oubliée. De cette caverne aux chairs cramoisies, une rosée luisante suintait des parois.
Attiré par cette source divine, j'approchai mon visage de la chatte luisante afin de goûter à cette liqueur qui sourdait des tréfonds du vagin. Ma compagne, encore plus impatiente que moi, avide de retrouver ce baiser subtil que son sexe n'avait certainement pas connu depuis longtemps, m'agrippa la nuque d'une main décidée pour attirer mon visage contre sa chatte affolée :
- Broutez-moi le minou ! Grogna-t-elle d'un ton autoritaire… Léchez-moi !…
Malgré le désir impérieux qui lui torturait le bas-ventre, Madame la Baronne n'avait cure d'oublier son rang, même pour m'encourager à lui bouffer la chatte. Le fait de me faire vouvoyer par ma partenaire me surprenait énormément, tout en m'apportant un surplus de plaisir.
Le nez plaqué de force dans l'abondante toison, je me grisais des effluves épicés qui s'en dégageaient. Etait-ce dû à son âge ou avait-elle des sécrétions particulièrement assaisonnées, madame la Baronne dégageait un fumet intense. Enivré par le parfum pimenté qui s'élevait de l'entrecuisse je collai mes lèvres à celles largement écartées de la vulve dégoulinante.
Je m'évertuais alors à plonger ma langue au plus profond du puits féminin, léchant d'une langue gourmande les parois vaginales. Avec avidité je recueillais le subtil nectar qui sourdait des profondeurs du vagin en fusion.
Sous mon exploration linguale, la quinquagénaire fut soudain prise d'une frénésie irraisonnée. Telle une danseuse orientale, elle agita furieusement son bas-ventre, lança violemment sa féminité ruisselante au-devant de ma bouche, m'engluant les lèvres et le menton de sa sève intime au goût acre.
- Oh oui !… Léchez-moi bien !... Enfoncez votre langue bien au fond…
Devant ce soudain déchaînement charnel, dû à une impatience et à une frustration sexuelle longtemps refoulée, je bloquai les hanches agitées de mouvements convulsifs. Forçant la quinquagénaire à s'immobiliser, je la prévins fermement, employant le tutoiement à dessein afin d'imposer ma loi :
- Arrête de bouger, si tu veux que je te bouffe la chatte !…
Surprise par mon tutoiement soudain, et aussi par la crudité de mes propos, madame la Baronne s'immobilisa, comme soudainement statufiée. L'avais-je offensé par mes paroles directes ? Allait-elle me repousser d'entre ses cuisses et se priver d'un plaisir qu'elle avait tant espéré ? Mais comprenant sans doute que si elle voulait encore une fois éprouver cette jouissance, elle devait se soumettre à mes initiatives, elle m'implora d'une petite voix geignarde :
- Oh oui, léchez-moi… la chatte… Ça fait si longtemps que l'on ne me l'a fait…
Vaincue, Antoinette de Saint Simon abandonnait enfin son rang pour se comporter comme n'importe quelle femme travaillée par son sexe, qu'elle soit Baronne ou prolétaire.
Lâchant alors les hanches enfin figées, je pinçai délicatement les grandes lèvres sexuelles juteuses, afin de les disjoindre le plus largement possible. Je m'ouvrai ainsi l'accès au vagin gorgé d'une mouille luisante. Pressé de m'abreuver à cette source abondante, qui suintait à profusion des parois charnelles, je collai ma bouche contre cette cavité béante, dans laquelle j'enfonçai une langue gourmande. Alors, tel un chiot assoiffé, je lapai le breuvage au bouquet acidulé qui sourdait des tréfonds du sexe féminin en ébullition. Consciencieusement je léchai longuement les replis vulvaires frémissants, encouragé verbalement par la Baronne complice :
- Oh mon Dieu comme c'est bon !... Vous me faites mouiller… Ça me dégouline entre les fesses… Je suis trempée !
Enfin madame le Baronne, sous le plaisir, s'exprimait comme toute femme esclave de ses sens, même si elle employait encore le vouvoiement. De sa vulve dilatée, un véritable torrent de cyprine s'échappait, m'engluant copieusement la bouche et le menton. Jamais je n'avais connu, lors de mes différentes aventures amoureuses, de femmes aux épanchements vaginaux aussi importants. Ma langue ne tarda pas à barboter dans un océan de mouille brûlante.
La main féminine accrochée à ma chevelure se fit plus pressante sur ma nuque, me forçant à enfoncer un peu plus ma bouche et mon nez dans la longue fente évasée. Le pubis, comme animé d'une vie propre, s'animait par petits soubresauts rythmés, se projetant au-devant de ma bouche active. Au dessus de moi, les gémissements voluptueux d'Antoinette devenaient de plus en plus prononcés.
Voulant reprendre mon souffle et surtout examiner le visage de ma victime, afin d'y découvrir les stigmates du plaisir, je relevai la tête du sexe féminin bouillonnant. Dans ce mouvement, mon menton heurta durement la partie supérieure de la longue fente congestionnée. Sous ce choc involontaire, Antoinette tressauta violemment tandis qu'un petit cri s'échappait de sa gorge. Comprenant que cette réaction soudaine était due au heurt de mon menton avec le haut de la vulve, je reportai mon regard sur l'endroit du choc. Je demeurai ébahi devant la particularité de ce que je découvrais. Cette quinquagénaire n'en finissait pas de me stupéfier. Après son étrange culotte d'un autre âge, sa toison extrêmement luxuriante, ses reflux vaginaux abondants, voila qu'elle me dévoilait un clitoris d'une grosseur peu commune.
Devant mes yeux médusés, une véritable petite bite rose se dressait hors de son capuchon formé par les petites lèvres distendues. Bien que sachant par ouï-dire que certaines femmes possédaient un clitoris extrêmement développé, jamais il ne m'était arrivé d'en contempler un d'aussi près. La tirade de « Cyrano de Bergerac » me revint en mémoire : « C'est un roc ! … C'est un pic ! … ». Ce gros bouton de chair cramoisi était d'une obscénité extrême.
Pris d'un désir pervers, je saisis cette excroissance sanguine entre le pouce et l'index pour, tout en la pinçant délicatement, la faire rouler entre mes doigts refermés. Bien que m'attendant à une réaction de ma victime, le violent soubresaut qui ébranla cette dernière me surprit par sa virulence. Dans un élan de tout son bas-ventre elle lança son sexe ruisselant au-devant de mes doigts :
- Oh oui ! … Encore ! … C'est merveilleux ! … Plus fort ! …
Puisqu'elle me le demandait avec une telle exaltation, une telle véhémence, je m'exécutai de bonne grâce, éprouvant moi-même un indicible plaisir à manipuler cette excroissance charnelle démesurée. Serrant fortement mes doigts sur le bouton émergeant de son nid velouté, j'entrepris de le pincer vigoureusement. Aussitôt la sensuelle quinquagénaire agita son bas-ventre en des bonds désordonnés, alors qu'une longue litanie s'échappait alors de sa gorge. Litanie faite de :
- Oui… Encore… Oh oui… Ouuuiii… C'est bon… Oui, ouuii…
Ces plaintes érotiques, véritable mélopée sexuelle ne fit qu'accentuer le désir qui m'habitait. Dans mon slip, ma virilité tendue à l'extrême depuis un long moment déjà, devenait douloureuse.
Levant mon regard en direction du visage de la quinquagénaire, je découvris un spectacle d'une rare sensualité. Cette dernière avait rejeté la tête en arrière, et telle une chatte en chaleur appelant le mâle, les yeux clos, elle poussait de longues plaintes amoureuses. De ses deux mains crochetées sur les gibbosités qui déformaient le devant de son peignoir, elle se pressait fiévreusement les seins à travers le tissu de son vêtement, les pétrissant et les malaxant sauvagement.
Le visage, de cette femme de cinquante ans, ravagé par la jouissance avait quelque chose d'émouvant. Une certaine tendresse pour cette quinquagénaire qui redécouvrait la volupté après certainement de longues années d'abstinence m'envahit. Le plaisir l'illuminait toute, la rendant soudainement plus belle, plus désirable malgré son âge avancé.
L'envie me prit de goûter à ce fruit charnel qui avait si soudainement mûri et émergé tel un diablotin de son nid sexuel. Je me penchai entre les cuisses largement écartées de la Baronne impudiquement offerte. Troublé par le fumet fortement épicé qui s'échappait de la vulve enfiévrée, je refermai mes lèvres autour du berlingot dilaté pour le sucer lentement. Un gémissement prolongé m'informa du plaisir que ma compagne éprouvait à mon bécot érotique. Dans le même temps une main volontaire s'agrippait solidement à ma nuque et me forçait à écraser mon visage contre le pubis broussailleux et agité de soubresauts.
- Oh oui ! … Suce mon gros bout, m'implora ma bienheureuse victime.
Sous le plaisir puissant que je devais certainement lui procurer, Antoinette en avait oublié le vouvoiement ; pour la première fois elle s'adressait à moi en me tutoyant. Madame la Baronne descendait de son piédestal.
Saisissant alors les grandes lèvres sexuelles gonflées par un afflux de désir, je les pinçais délicatement afin de les écarter largement l'une de l'autre. Dégagé, le merveilleux bouton d'amour m'apparut dans toute sa splendeur : boursouflé, congestionné, luisant d'une humidité onctueuse. Alors j'entrepris de lécher ce prodigieux berlingot d'une langue agile, arrachant aussitôt moult gémissements à ma volcanique partenaire.
Le menton frottant par alternance la faille sexuelle béante et débordante de son abondante liqueur amoureuse, je lustrai longuement le prodigieux clitoris du bout de ma langue. Tout à ma tâche, j'éprouvai un indicible bonheur à ouïr les gémissements de plaisir que mes attouchements linguaux arrachaient à la quinquagénaire.
Léchant avec application le clitoris démesuré, m'efforçant de procurer un maximum de plaisir à la quinquagénaire, je songeais que celle-ci n'avait certainement pas dû connaître ce genre de caresse depuis bien longtemps. Je décidai de refouler mon propre désir, pourtant bien réel, pour me concentrer sur celui de ma compagne. Prenant tout mon temps et y mettant tout mon savoir, je m'appliquais consciencieusement à amener Madame la Baronne à l'orgasme qu'elle espérait.
J'aspirai le clitoris sensibilisé pour le mordiller doucement, mais avec suffisamment de fermeté. Au moment où mes dents se refermèrent sur son bouton de chair dilaté, Antoinette tressauta violemment en poussant un véritable râle de volupté, tandis que ses doigts se plantaient furieusement dans ma nuque. Je compris que je venais de découvrir le point faible de ma sensuelle compagne. Mais, quand même surpris par cette violente réaction, je relâchai mon mordillement :
- Oh non, continue, gémit la quinquagénaire !… C'est si bon !… Je t'en prie, continue, m'implora-t-elle.
Puisque Madame la Baronne me faisait l'honneur de me demander ce type de service avec tant de ferveur, j'aurais eu mauvaise grâce à ne point la contenter, je m'exécutai donc de bonne grâce.

A suivre...

Histoire du net. Auteur Inconnu. Re-découverte de la vie... Fin

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Quand sous la glace jaillit la lave brûlante.
( C'est vraiment beau ce que je raconte re-lol)

Ma Dame de la haute…
Fin
Saisissant à nouveau le volumineux clito empourpré entre mes lèvres, je repris mes mordillements, accentuant même la pression de mes dents sur le bout de chair. Chaque morsure infligée à son étonnant bouton d'amour sensibilisé, arrachait un cri perçant à la quinquagénaire ; cri où le plaisir et la douleur se mêlaient intimement. Tout son corps s'arquait violemment, comme s'il avait été traversé par un fort courant électrique. La lumière se fit dans mon esprit : ma sensuelle compagne éprouvait, comme cela arrivait chez certains individus, un surplus de volupté dans la douleur.
La quinquagénaire avait des tendances sadomasochistes. Puisqu'elle avait l'air de follement apprécier mes morsures, je m'acharnai alors sur son clitoris enflammé. Les plaintes de ravissement de ma bienheureuse victime ne tardèrent pas à se transformer en petits cris, puis en véritables râles inhumains. Son bas-ventre, tel un étalon indompté bondissait à la rencontre de ma bouche, d'une manière désordonnée.
Une plainte soudain plus aigue, me fit comprendre que ma volcanique partenaire arrivait enfin au seuil de la jouissance. Je décidai alors de l'aider à atteindre cet orgasme qu'elle espérait depuis si longtemps. Pour cela, sans cesser de lui mâchouiller le clitoris fortement enflammé, je glissai deux doigts dans sa fente béante et abondamment trempée par une liqueur tiède et sirupeuse.
Là, je ne pus que constater que ma complice avait dû, du temps de sa jeunesse avoir abondamment pratiqué les jeux amoureux, tant elle était incroyablement élargie. Décidément cette quinquagénaire avait le don de surprendre son monde. Mes deux doigts accolés avaient glissé dans sa longue faille sexuelle sans rencontrer la moindre gêne, ni la moindre résistance. La femme qui haletait au-dessus de moi, possédait un vagin aux dimensions démesurées…
Surpris par la facilité avec laquelle j'avais pénétré dans cette vulve impressionnante, je décidai alors de joindre un troisième doigt, à ceux déjà enfouis dans cette chatte incroyablement dilatée. Mon annulaire vint rejoindre mon index et mon majeur, avec lesquels je fouillai déjà le sexe dilaté et ruisselant de mouille, tentant d'apporter un surplus de plaisir à ma compagne.
Au bout de quelques va-et-vient à l'intérieur du vagin de plus en plus inondé, je me rendis compte que les grandes lèvres de la vulve distendue pouvait encore admettre mon auriculaire, tant cet orifice me paraissait spacieux.
Pour exécuter cette nouvelle introduction, je dus forcer quelque peu, mais rapidement le sexe gluant s'élargit encore. Je réussis à enfoncer pratiquement la totalité de ma main dans la chatte effroyablement dilatée. Seul mon pouce demeurait hors de la cavité spongieuse. Etonnamment surpris par la largeur de cette chatte, je n'osais bouger mes doigts de peur de blesser ma compagne, quand cette dernière, dans un long râle inhumain m'encouragea à la forcer plus profondément :
- Plus loin !... Va plus loin !... Défonce-moi la chatte ! … N'ai aucune crainte… J'aime trop ça !...
Antoinette avait largement écarté ses larges cuisses, s'ouvrant au maximum afin de me faciliter la monstrueuse pénétration qui semblait la ravir. De mes quatre doigts accolés je pistonnais donc allégrement le vagin de plus en plus détrempé, tandis que de mon pouce j'écrasais le clitoris protubérant à chaque pénétration de ma main dans la faille sexuelle.
- Oui ! Bien à fond… Humm c'est bon !… Continue !... C'est divin… Il y a si longtemps…
Je n'eus pas à attendre longtemps pour enfin être récompensé de mes efforts. Une longue plainte s'échappa soudain de la gorge de ma victime et résonna dans la salle d'eau : plainte de femelle comblée sexuellement !
A l'apogée de l'orgasme, Antoinette se convulsa en un spasme violent qui lui rejeta le corps en arrière. Tétanisée, elle demeura ainsi quelques instants, transformée en statue, alors que ses cuisses s'étaient resserrées sur mon poignet, me bloquant la main dans un étau charnel.
Enfin, au bout de cinq à six minutes, la sensuelle quinquagénaire reprit progressivement ses esprits. Haletante, elle se redressa lentement sur son bidet, qui depuis le début lui avait servi de siège, puis comme une poupée de son, elle se laissa tomber en avant, posant son front sur mon épaule.
- Merci, me chuchota-t-elle… C'était merveilleux… Il y avait si longtemps qu'un homme ne m'avait fait jouir… Tu es un amour… Tu permets que je te tutoie, après tout je pourrais être ta mère…
- Je ne pense pas que j'aurai fait subir pareil traitement à ma mère, plaisantais-je... Mais en attendant, tu pourrais me libérer le poignet ?
Dans un soupir, Antoinette desserra ses cuisses, et je pus retirer délicatement ma main de son sexe gluant. Aussitôt ma folle partenaire me saisit le poignet pour amener ma main jusqu'à son visage, et ouvrant une bouche gourmande, elle aspira mes doigts pour les sucer avec une avidité gloutonne, recueillant sur sa langue sa liqueur intime.
- C'est bon ? Plaisantai-je en me redressant, les genoux douloureux.
- Humm, c'est délicieux… Peut-être un peu trop salé…
- J'en sais quelque chose, j'en ai eu ma ration, continuai-je…
- Mon pauvre chou, j'avais tellement envie… Il y a bien longtemps que je n'avais éprouvé autant de plaisir…
- Alors tu as bien joui, demandai-je ?
Je posais cette question afin de forcer cette bourgeoise à accepter les termes plus crus que ceux qu'elle devait certainement avoir eu l'habitude d'employer. J'en éprouvais même un certain plaisir pervers.
- Oh Oui !… Tu m'as fait jouir comme une folle, me répliqua Antoinette en me souriant d'un air complice, acceptant de me répondre dans mon langage.
- C'était aussi bon que lorsque tu te branles ? Continuai-je, lancé dans mon délire pervers.
- C'était nettement mieux… Tu es un véritable artiste… Tu sais, tu ne vas peut-être pas me croire, mais tu es le premier homme qui me touche depuis le décès de mon mari… cela fait maintenant trois ans… Trois ans sans homme, tu ne peux t'imaginer combien c'est dur… Quand je t'ai vu, je ne sais ce qui s'est passé en moi, mais j'ai immédiatement compris que je ne pourrai te résister si l'envie te prenait de me… manquer de respect…
L'expression me fit sourire, alors qu'Antoinette continuait d'une voix câline :
- Tu m'as vraiment gâtée, tu sais… Je ne sais comment te remercier ?
Quelle question ! Lui montrant le devant de mon pantalon déformé par une bosse significative, je lui proposai :
- Tu pourrais peut-être me sucer pour me vider les couilles !… J'employais des expressions particulièrement crues à desseins, éprouvant un plaisir étrange à les lancer à cette bourgeoise.
Contrairement à ce que je m'étais imaginer en pensant choquer cette descendante de la noblesse, Antoinette me sembla plutôt ravie.
- Tu veux bien ? s'exclama-t-elle avec la mine réjouie d'une gamine découvrant ses cadeaux au pied du sapin de Noël… Tu sais il y a longtemps que je n'ai pas sucé un homme, je ne sais pas si je saurais toujours…
Lui saisissant la main droite je la posai sur la protubérance que faisait mon membre gonflé :
- Tu sais c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas !
Ayant refermée ses doigts sur la bosse qui déformait ma braguette, Antoinette s'exclama :
- C'est moi qui ai fait ça ?... Je peux voir ?
Terriblement excité, n'en pouvant plus de bander ainsi, je déboutonnai rapidement mon pantalon que je laissai tomber à mes pieds apparaissant en slip aux yeux curieux de la quinquagénaire.
- Mon Dieu, qu'est-ce que tu me caches là, minauda Antoinette en frôlant d'un doigt indiscret la bosse significative qui gonflait le devant de mon sous-vêtement.
- Si tu veux le savoir, tu devras le découvrir par toi-même, l'invitai-je par jeu érotique.
Alors impatiente de découvrir ce membre que je lui refusais, la quinquagénaire agrippa mon slip qu'elle fit promptement glisser le long de mes cuisses :
- Sainte Mère de Dieu quel morceau ! S'exclama-t-elle en découvrant ma virilité gonflée et dressée tel un pal orgueilleux.
- Laisse le Bon Dieu tranquille, conseillais-je. Dis-moi plutôt si elle te plait ma queue, continuais-je, prenant un pervers plaisir à choquer cette Baronne qui n'avait certainement pas été habituée à ce genre de langage.
- Il faudrait être bien difficile pour ne pas… la trouver appétissante… Tu es formidablement… monté… Et crois-moi, je sais de quoi je parle… Dans ma vie j'ai eu l'occasion d'en contempler des queues, comme tu dis… La tienne surclasse de beaucoup un bon nombre de celles que j'ai pu tenir en main…
- Tu peux la toucher, insistai-je impatient… Elle ne va pas te mordre !
- Me mordre, certainement pas, mais me cracher sa sève, peut-être bien, tenta de plaisanter Antoinette.

Alors que je m'attendais à ce que ma partenaire, privée de sexe depuis plus de trois ans, se jette telle une affamée sexuelle sur cette virilité que je lui présentais, il n'en fut rien. Pareille à une dévote, la Baronne se saisit de ma queue frémissante, qu'elle enferma au creux de ses deux mains, comme elle l'aurait fait d'un cierge destiné à un saint Apôtre. D'un léger mouvement de ses doigts, elle frôla alors ma colonne de chair ; caresse suave, mais particulièrement grisante du fait de mon excitation. Pareil à un vol de papillon, ses doigts effleurèrent le dôme ultra sensible de mon gland turgide, avant de redescendre, léger et aérien, jusqu'à la base de ma tige érigée qu'ils griffèrent délicatement.
Jamais aucune des différentes petites amies que j'avais eues ne m'avaient caressé de la sorte. Ces attouchements légers et délicats n'en demeuraient pas moins fort sensuels et réussissaient à mettre mes sens à rude épreuve, déclenchant d'incontrôlables frémissements dans mon membre et mon bas-ventre. Grâce à ses différents effleurements savamment pimentés, la sagace quinquagénaire réussit à accentuer le désir qui m'habitait. Si bien que très vite j'éprouvais le besoin urgent de bénéficier d'une caresse plus sensuelle, plus perverse peut-être. Je ne pouvais plus me contenter de ces câlineries terriblement affolantes que me prodiguait ma subtile partenaire. Lui saisissant la tête je l'attirai en direction de mon bas-ventre :
- Suce-moi ! Lui commandai-je.
Nullement choquée par ma demande particulièrement salace, Antoinette me laissa lui diriger le visage jusqu'à mon sexe orgueilleusement dressé. Avec un petit gloussement de ravissement elle avala mon gland volumineux d'une bouche gourmande, tout en refermant sa main autour de mes couilles gonflées.
Alors commença pour moi une fellation d'une extrême lascivité. Malgré ses craintes qu'elle m'avait avouer quelques minutes plus tôt, Madame la Baronne était une véritable experte dans l'art de sucer un homme.
Mettant certainement tout son savoir érotique acquis au cours de ses nombreuses années de pratique, elle m'amena avec une habileté diabolique, au paroxysme du plaisir. Avec un art subtil, elle faisait coulisser ses lèvres épaisses le long de la partie supérieure de ma verge raidie, de façon à n'aspirer dans sa bouche moite que mon gland congestionné. Pareille à une gamine gourmande, la délurée quinquagénaire suçait l'extrémité de ma verge, comme elle l'aurait fait d'un berlingot fourré, insistant particulièrement sur le filet ultra sensible de mon bourgeon dilaté. De temps à autre, elle cessait sa fellation pour me lécher l'extrémité du gland d'une langue habile, sinon espiègle.
En amante aguerrie aux jeux de l'amour, Antoinette savait deviner, aux convulsions perceptibles qui agitaient mon membre, le moment critique où approchant de la béatitude je risquais de me libérer de ma semence. Aussitôt elle stoppait alors ses affolantes sucions et refermait fermement ses doigts autour de ma verge prête à exploser, la pressant, l'étranglant, afin de stopper l'éjaculation annoncée.
- C'est bon ?... Tu aimes ?... Me demanda-t-elle dans un sourire complice.
- C'est divin, tu es véritablement une experte dans l'art de la pipe !... Jamais je n'ai été pompé de la sorte…
- C'est vrai ?... Je n'ai pas trop perdu… la main ?... Il y a bien longtemps que je n'avais eu une telle… bite dans la bouche…
Entrant dans mon jeu érotique, Antoinette se forçait à employer mes expressions. Tout en me fixant d'un regard brillant de lubricité, elle avait desserré sa pression autour de mon membre momentanément calmé. Telle une dévote en prière, elle maintenait ma verge entre ses deux paumes réunies en un geste de piété indécent. Insensiblement, comme par inadvertance, tout en sachant perfidement ce qu'elle faisait, et ce que sa nouvelle caresse allait me procurer, elle frotta ses deux mains l'une contre l'autre, roulant ma queue entre ses paumes… Le désir qui s'était quelque peu calmé durant cet échange verbal afflua de nouveau dans mon sexe si savoureusement pétri. Mais à me faire ainsi tripoter, j'éprouvais bientôt le désir de participer activement à cette joute érotique. Jamais je n'avais pu rester inactif lors de mes ébats amoureux. Il me fallait dans ces moments là, occuper mes mains, procurer à ma partenaire du moment une réplique du plaisir qu'elle me distillait. Je saisis alors l'encolure du peignoir de ma sensuelle compagne et le repoussai sur les épaules rondes.
- Montre-moi tes nichons ! Exigeai-je, utilisant à dessein un terme que la Baronne ne devait certainement pas employer.
Avec un sourire complice, cette dernière me laissa écarter son vêtement, sans pour autant cesser le voluptueux pétrissage qu'elle faisait subir à ma queue raide et aussi dure qu'une barre de fer. Le peignoir écarté me conforta dans ce que j'avais quelque peu deviné depuis le début. Aucun soutien-gorge ne venait soutenir une paire de seins d'une dimension peu commune. La quinquagénaire possédait des mamelles énormes. C'était la première fois que je pouvais contempler une poitrine féminine aussi affriolante dans sa démesure.
Admiratif, je contemplai longuement ces extraordinaires appas mammaires qui s'offraient à ma vue : deux outres à la chair laiteuse, dont la surface était parsemée de quelques taches de sons, et sur lesquelles couraient de fines veinules bleutées. Des deux larges rosaces extrêmement foncées, émergeaient deux tétons que le désir gonflait outrageusement.
Devant ma passivité à contempler sa fabuleuse poitrine offerte à ma convoitise, Antoinette me tira de mon extase :
- Ils sont à ton goût mes… nichons ?...
- Ils sont magnifiques, acquiesçais-je.
- Ne dis pas ça !... Ils ont été beaux… mais en vieillissant, ils ont perdu de leur arrogance… regarde comme ils tombent… Si tu les avais connus du temps de ma jeunesse, continua-t-elle dans un soupir.
- Je suis sûr qu'ils ont dû faire perdre la tête à de nombreux hommes.
Et comme pour mieux me montrer à quoi pouvait ressembler son opulente poitrine quelques années auparavant, la quinquagénaire lâcha mon membre pour empoigner ses imposantes mamelles qu'elle releva, à l'aide de ses paumes en coupe, afin de leur donner encore plus de volume.
- Voila à quoi ils ressemblaient du temps de leur splendeur, insista Antoinette.
Terriblement émoustillé par le spectacle que m'offrait Antoinette, je ne pouvais détacher mes yeux de ces masses charnelles. Victime de ma luxure, je commandai d'une voix que le désir enrouait :
- Caresse les !
Me fixant, avec aux lèvres un sourire salace, Antoinette pressa tendrement ses seins volumineux l'un contre l'autre. Les remontant à l'aide de ses paumes, elle s'ingénia à bien me montrer ses tétons fièrement érigés au centre de leurs aréoles boursouflées.
- Comme ça, me murmura-t-elle ?
- Oui !.... Continue !... Pince-toi les bouts !…
- Ça t'excite hein, mon cochon…! Vous êtes tous pareils, vous les hommes. Vous êtes tous attirés par les gros… nichons… D'ailleurs c'est vrai que ça rime…
Je ne pouvais le nier, car tout en fixant les doigts féminins qui trituraient sensuellement les deux bourgeons de chair fièrement érigés, j'avais distraitement empoigné ma verge tendue, et d'un mouvement machinal de la main je me branlais lentement.
Nous restâmes quelques minutes ainsi face à face à nous observer, prenant un même plaisir à épier les gestes et les émois de l'autre. Cependant peu à peu, je remarquais un changement dans l'expression de ma complice. Ses traits semblèrent se figer. Sa bouche s'entrouvrit sur un souffle plus précipité, tandis que son regard se fixait plus particulièrement sur les mouvements de ma main le long de ma verge tendue. Une étrange lueur accentua l'éclat de ses yeux derrière le verre de ses lunettes. La sensuelle Baronne semblait prendre un extraordinaire plaisir à me voir me masturber !
- J'ai l'impression que tu aimes voir un homme se branler, lui lançai-je… Ça à l'air de drôlement te plaire ce que je fais !
- Oh oui ! Marmonna Antoinette… Tu ne peux savoir combien ça m'excite ! …
- Si, je m'en rends compte… comment ça ce fait ?
Et pour affoler davantage la quinquagénaire dont le visage avait pris une teinte cramoisie, et la pousser aux confidences, j'accélérai les mouvements de va-et-vient de ma main le long de mon membre. Le regard exalté, fixant avec une convoitise gourmande mon gland congestionné, qui suivant le mouvement rythmé de ma main, apparaissait et disparaissait tour à tour, Antoinette commença d'une voix étrangement enrouée :
- Il faut te dire qu'à l'époque mes parents habitaient une immense maison bourgeoise et que nous avions de nombreux domestiques… Or un jour, je devais avoir seize ans, j'ai surpris le fils de notre gouvernante qui s'amusait à soulever la jupe de ma sœur, qui se défendait comme elle pouvait…
- Quel âge avait ta sœur ?
- À cette époque, comme elle est ma cadette de quatre ans, elle devait avoir douze ans…
- Et ce garçon ?
- Oh lui, il était plus vieux que moi. Il devait avoir dans les dix-sept ans… Je suppose qu'il n'aurait jamais osé quoi que ce soit avec moi.
- Et tu le regrettes, ironisai-je.
- Peut-être… Mais en tant que fils de domestique, il ne pouvait se permettre n'importe quoi, et il le savait.
- Vu l'âge de ta sœur, c'était plus facile ?
- Certainement, tandis qu'avec moi, il devait se montrer plus craintif… C'est peut-être à cause de ça que ce jour là je me suis conduite comme ça…
- Raconte ! Insistais-je, sans cesser de me masturber.
- Oui, mais à une condition !
- Dis toujours.
- Tu me promets que lorsque tu vas jouir, tu… déchargeras … sur mes seins ?
- Je te le promets, acquiesçai-je, alors qu'en fait j'avais songé lui fourrer ma queue dans la bouche au moment opportun… Je te promets de t'asperger les nichons avec mon sperme…
- Oh oui, j'ai toujours aimé ça… Bon je reprends… J'ai réussi sans trop de mal à délivrer ma sœur des assiduités du garnement. Puis je l'ai menacé d'aller tout raconter à mes parents… Inutile de te dire que Lucien, c'est comme cela qu'il se nommait, se trouva fort bouleversé et effrayé par ma menace, sachant très bien qu'il risquait une sévère punition de la part de mon père et peut-être le licenciement de ses parents… Il me supplia de ne rien dire, me proposant d'accepter tout ce que je voudrais…
- La bonne aubaine !
- Comme tu le dis !
- Alors, insistai-je. Que lui as-tu demandé ?
- Tu dois bien t'en douter… Je lui ai demandé de me montrer sa quéquette…A cette époque et à mon âge on n'appelait pas autrement le sexe des garçons…
- Eh bien, rien que ça ! Tu avais déjà un sacré tempérament ! …
- Hé bien oui... Une seule chose comptait à ce moment là, voir enfin le sexe d'un garçon. Car imagine qu'à cette époque les filles de seize ans ne connaissaient rien à tout ce qui touchait à la sexualité, ce n'était pas comme aujourd'hui… J'étais évidemment encore vierge…
- Alors ?
- Tout heureux d'échapper au châtiment paternel, Lucien n'a fait aucune difficulté pour baisser son short et exhiber son petit membre… Aujourd'hui il m'arrive de penser qu'il a dû s'exécuter avec un certain plaisir…
Tout en prêtant une oreille attentive aux confidences de la quinquagénaire, je me branlai avec plus de vigueur, pressé soudain de me libérer, d'atteindre enfin la délivrance. Le regard toujours fixé sur l'extrémité de ma bite, Antoinette s'était tue, tout occupée à surveiller cette décharge qu'elle attendait.
- Continue ! La pressai-je.
Sans lâcher ma verge des yeux, elle reprit d'une voix sourde :
- Lorsque j'ai découvert ce morceau de chair qui pendouillait au bas du ventre du garçon, j'ai été incroyablement déçue…
- Déçue ?
- En effet, au lycée les grandes en parlaient avec un air tellement gourmand, qu'en voyant ce bout de chair rachitique je me suis demandé ce qu'elles pouvaient bien trouver de captivant à ce que je découvrais… Je crois que c'est ça qui a tout déclenché…
- Comment ça ?
- Certainement vexé par ma mine désappointée, Lucien s'est saisi de sa petite queue et s'est mis à l'agiter vivement… comme toi maintenant…
- Comme ça ? Ai-je renchéri en avançant d'un pas afin de me branler vigoureusement à quelques centimètres du visage de la quinquagénaire.
- Oh arrête, gémit Antoinette… Si tu continues comme ça je ne pourrai jamais finir de t'expliquer… Je suis tellement excitée…

Abandonnant l'un de ses seins qu'elle malaxait de plus en plus passionnément depuis le début de sa confession, la sensuelle quinquagénaire glissa sa main gauche entre ses cuisses écartées. Je ne pouvais voir ce qu'elle y faisait, mais il n'était pas difficile de deviner à quoi elle s'activait.
- C'est bon, je m'arrête, mais dépêche-toi de terminer car je sens que je ne vais pas tarder à tout lâcher…
- Attends un peu, j'ai presque fini… Et n'oublie pas que tu m'as promis de jouir sur mes seins… Donc, Lucien a commencé à se branler. Immédiatement, j'ai vu ce petit tuyau se gonfler, grandir, prendre du volume… Je n'en revenais pas. En quelques minutes, ce sexe qui m'avait si déçue avait pris des dimensions extraordinaires… Jamais je n'aurai cru cela possible…
- Abrège, grognai-je soudain. Je sens que ça vient…
- Moi aussi… Retiens-toi, j'ai presque fini… Muette d'étonnement, j'ai regardé Lucien se branler sans émettre la moindre réflexion… Je comprenais que j'assistais à quelque chose de prodigieux… Les paroles des grandes du lycée me revenaient en mémoire… Et plus le garçon s'asticotait le membre, plus je sentais une étrange chaleur se propager dans mon bas-ventre et une humidité suinter de ma petite chatte et mouiller ma culotte…
Il était temps que Antoinette achève son récit, car j'avais de plus en plus de mal à contenir mon éjaculation. J'aurais dû cesser de me masturber, mais je m'en sentais incapable, excité comme je l'étais.
- Quand il a joui, quand j'ai vu pour la première fois ces jets blanchâtres jaillir de sa bite j'ai bien cru m'évanouir. Un spasme violent m'a saisi et j'ai inondé ma culotte… Ce n'est que plus tard que j'ai compris que j'avais eu un orgasme, que j'avais….. Oh Mon Dieu !… Je jouis…. Aaahhhh…
A se remémorer ses souvenirs tout en se masturbant et les seins et le clito, Antoinette n'avait pu terminer son récit, la jouissance l'avait saisi, sans qu'elle ne puisse la contrôler. Je n'avais plus de raison de me retenir. Dans un grognement jaillissant du plus profond de mes entrailles, je lâchais ma semence… Le premier jet, épais et puissant alla s'écraser sur le haut du sein gauche de la quinquagénaire qui s'exclama d'une voix enjouée :
- Oh oui ! … Encore !
La seconde giclée, aussi consistante que la première, après une parfaite parabole atterrit dans le profond sillon séparant les lourdes mamelles, dans lequel il s'infiltra. Puis les autres salves, décochées en rafale de moins en moins intenses, finirent de souiller les énormes seins blanchâtres. Chaque émission de sperme était accueillie de la part d'Antoinette, par un gloussement de délectation.
- Encore… Oh encore ! Ne cessait-elle de réclamer.
Cependant à bout de munitions, je cessais mes bordées de sperme en direction de la poitrine que la quinquagénaire m'offrait généreusement. Haletant, reprenant doucement mes esprits, je contemplais le fascinant spectacle de ces énormes seins blancs que leur propriétaire avait relâchés, et qui, suivant la pesanteur mis en évidence par le célèbre Isaac Newton, s'étaient mollement avachis. L'air béat, Antoinette examinait les longs sillons blanchâtres qui souillaient la chair de ses lourdes mamelles.
M'approchant du visage extatique de la quinquagénaire, je l'empoignai par son chignon :
- Suce-moi ! Ordonnai-je… Nettoie-moi la queue !
Sans se faire prier, Antoinette ouvrit largement sa bouche aux lèvres gonflées, entre lesquelles je m'empressai d'introduire ma verge encore bouffie. Avec un borborygme de satisfaction, la quinquagénaire aspira mon gland pour le sucer et le lécher consciencieusement tout en étalant de ses paumes, mon sperme gluant, sur ses seins volumineux.
Quand enfin, au bout de deux minutes, je libérai sa bouche de ma queue revenue à des dimensions plus raisonnables, Antoinette s'empressa de porter ses mains maculées par ma semence poisseuses à ses lèvres :
- Tu en avais une bonne réserve, me sourit-elle… Regarde-moi ça, j'en ai plein les seins… C'est toujours aussi abondant lorsque tu jouis ou bien il y a longtemps que tu ne t'étais pas vidé les couilles ?
Sans attendre ma réponse, qui d'ailleurs ne l'intéressait que moyennement, Antoinette saisit à deux mains son sein gauche, légèrement plus gros que le droit, et le soulevant, l'approcha de son visage qu'elle avait penché. Alors d'une langue agile, elle entreprit de lécher le sperme qui maculait son mamelon. Méticuleusement elle nettoya son sein de ma semence, avant de le relâcher pour faire subir le même traitement à la mamelle droite.
- C'est bon, demandai-je malicieux ?
- Huumm, c'est savoureux… Ton jus a un goût délicieux… Il y a si longtemps que je n'ai dégusté pareil nectar…Tu es sûr qu'il ne t'en reste pas encore un petit peu ?
- Ce serait avec plaisir que je t'en offrirais encore, mais je suis déjà en retard pour mon prochain rendez-vous… Encore heureux que ce ne soit pas trop loin d'ici.
- Alors je te laisse aller, m'accorda Antoinette en arrangeant son peignoir sur son opulente poitrine…. Mais si tu es dans le coin à midi, viens déjeuner avec moi, et peut-être que tu auras le temps de m'offrir une nouvelle ration…
Je quittai la sensuelle quinquagénaire, ravi de ma matinée, et en me promettant de venir la rejoindre dès mon second chantier terminé….

J'aimerais pas tomber entre les mains de la madame...!

Mieux vaut un dessin qu'un discourt.

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