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Histoire du net. Auteur; Jipaï. Voyages-Voyages...

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Quand les circonstances troublent la conscience...


Parfum frelaté d'Arabie
byJipai©
François c'est le patron de Georges, et Georges est mon mari. Ces deux-là se suivent depuis la faculté et lorsque François a monté sa boite immobilière, tout naturellement Georges est devenu son bras droit. La boite de François a prospéré au point de décrocher des contrats à l'étranger et Georges parcourt le monde, courant à perdre haleine après des contrats. François au fil du temps est devenu mon amant. C'était un peu inévitable, après quinze ans de mariage, Georges a quelque peu changé, il prit du poids, il a commencé à perdre ses cheveux et surtout il ne me fait plus rêver depuis que François le charge de boulot. François au contraire, a gardé la prestance de ses vingt-cinq ans, élancé, portant beau, il entretient son corps avec soin, entre footing le week-end et le tennis dont il est un adepte fervent.
Dans ces conditions, comment voulez-vous que je lui résiste quand il m'a fait des avances? Bien que le sachant marié, j'ai cédé.
Et Georges me direz-vous? Hé bien je ne sais trop que penser, il est si absorbé par son travail, et je soupçonne François de se décharger sur lui de bien des problèmes liés aux contrats. Peut-être Georges a-t-il décidé de fermer les yeux, en tout cas, ma liaison avec François n'a pas l 'air de le perturber.
Cette liaison, nous l'assumons comme des collégiens, nous cachant à peine, prendre des risques est notre adrénaline, presque sous les yeux de nos conjoints, mais jamais, tout au moins pour l'instant, personne ne nous a pris en flagrant délit. Comme je vous le disais, Georges ferme peut être les yeux?
Alors quand François m'a demandé de l'accompagner en Arabie, j'ai senti monter en moi une grande vague de désir, avec des perspectives de passer quelques jours en amoureux. François a facilement convaincu Georges en lui expliquant que ce voyage était un cadeau qu'il me faisait pour me remercier de les supporter tous les deux depuis si longtemps. Et puis je serai pour François la collaboratrice idéale pour négocier avec les émirs.
l'Arabie est si troublante, tous ces hommes qui ont tous les droits sur les femmes. Une civilisation si différente de la nôtre, François avait bien perçu que je serais l'ambassadrice idéale pour négocier ce contrat qui devait lui apporter la fortune. Il me pria donc de l'accompagner dans ce voyage si délicat. Je l'avoue j'étais curieuse, excitée à l'idée de découvrir quelque chose de très différent de ce que je connaissais, mais aussi inquiète de me retrouver dans un pays qui faisait si peu cas de la gent féminine. François m'avait prévenue de ne porter ni croix chrétienne ni quelque signe religieux que ce soit. Il m'avait dit aussi de prévoir des foulards pour me couvrir la tête à l'arrivée sur place.
Aussi, à la descente de l'avion je me présentais la tête couverte d'un foulard devant des douaniers forts peu amènes, suspicieux et arrogants. Je faisais en sorte de me faire modeste, je baissais les yeux quand ils me fixaient de leurs yeux sombres et qu'ils ouvraient mes valises pour fouiller au milieu de ma lingerie.
L'un d'eux me fit signe de le suivre. Je cherchais François des yeux, affolée de devoir suivre cet homme. François était lui-même aux prises avec un de ces peu agréables militaires, il me vit être amenée par derrière, mais il ne put rien faire. De toute façon qu'aurait-il pu faire? Protester au risque de se faire refouler? Nous étions là en mission, c'est ce que j'ai finis par me dire pour garder un semblant de sang-froid.
Dans une salle toute blanche le gabelou me fixait sévèrement, nous étions seuls. Il m'a demandé de tendre mes bras à l'horizontale et il a commencé à me palper sans trop de ménagements, je sentais ses mains fermes courir le long de mon corps depuis mes aisselles jusqu'à mes fesses et puis mes cuisses. Je tremblais, pétrifiée de me trouver la devant lui sans défense. Il s'est accroupi pour me palper les cuisses et puis il est remonté sous ma jupe. J'ai eu une mouvement de recul, mais il m'a aussitôt arrêtée avec une injonction en arabe que je n'ai pas comprise mais qui était de toute façon impérative. Je me suis figée sur place. ses mains ont remonté le long de mes cuisse nues. J'avais enlevé mon collant dans l'avion en prévision de la chaleur que j'allais affronter. Mais en ce lieu entièrement clos, la climatisation était sévère, comme souvent dans les pays chauds où l'on veut montrer son aisance en mettant la clim. à fond. Je frissonnais et je me demandais si c'était la clim. ou ces mains fortes qui remontaient le long de mes jambes. D'un geste impérieux, il m'a fait écarter les cuisses, pour en palper l'intérieur, la ou la peau est si tendre et si douce. Je sentais ses mains rudes remonter inexorablement vers la fourche de mes jambes. Mais elles ont dévié sur mes fesses en prenant à pleine mains les globes de mon fessier. J'ai voulu protester, j'ai reculé contre le mur, il s'est relevé et en me regardant dans les yeux, l'air sévère et impénétrable, j'ai sentis sa main sa plaquer sur mon pubis. Juste plaquée, sans bouger, il me fixait sans qu'un muscle de son visage ne bouge. Je portais une culotte, mais je sentais la chaleur de sa main contre mon intimité.
Cela a duré un temps que je ne saurais définir, j'avais trop peur, j'étais trop affolée, j'aurais voulu appeler François, mais où était il?
De sa main libre, le gabelou s'est mis à me peloter les seins, il a ouvert mon corsage et sa main assurée est passée dans mon soutien gorge pour faire jaillir mes seins pendant qu'il vérifiait que je ne cachais rien dans mon soutien gorge. Quand il en a eu fini il m'a pincé un téton, assez fortement pour je pousse un gémissement.
Avec dextérité, sa main sous ma jupe est passée sous ma culotte. J'en ai gémis quand ses doigts ont ouvert ma fente. aussitôt j'ai senti deux doigts prendre possession de mon vagin et l'explorer jusqu'au font, jusqu'à me palper l'utérus.
J'en restais interdite, sans oser le moindre geste, ses yeux toujours plantés dans les miens, toujours aussi impassible, il me fouillait comme jamais mon gynécologue n'avait osé le faire.
Quand il fut satisfait de sa fouille, ses doigts se retirèrent de moi et il saisit un mouchoir en papier pour s'essuyer. Il me regarda remettre de l'ordre dans ma tenue, remettre mes seins dans le soutien gorge et puis reboutonner mon corsage. Je devais être écarlate de confusion mais il n'en avait cure, toujours planté devant moi l'air sévère.
Je fis mine de vouloir repartir mais il me retins par le bras en me disant "bakchich" et en me montrant sa braguette. Je le regardais sans comprendre. Il insistait, "bakchich!" et il prit la nuque pour me faire pencher vers sa braguette dont il fit rapidement glisser le zip.
Je compris ce qu'il voulait et je fus forcée de me mettre à genoux devant lui. Il me fit signe de lui sortir le sexe. Mes mains tremblantes, je m'acquittais de sortir son membre. Sans plus attendre je le pris en bouche. Il était raide déjà et son excitation bien palpable tant sa bite tressaillait entre mes lèvres. L'action de mes lèvres sur sa queue ne tarda pas à l'amener à la jouissance et il se déversa abondement dans ma bouche, me tenant fermement la tête pour que je ne perde pas une goutte de son sperme qui se rependait à longs traits au gré des tressaillements et des coups de reins qui enfonçaient la bite jusqu'à ma gorge. Il me maintint jusqu'à la dernière goutte et je dus tout boire, tout déglutir tout en le suçant.
Ce n'est qu'après cet épisode qu'il me libéra, je courrais affolée à travers l'aéroport à la recherche de François, que je finissais par trouver dans un coin, un peu inquiet de mon absence.
Quand il me vit arriver, rouge et vaguement confuse, il se douta de ce qui s'était produit. Il demanda de mes nouvelles, comment j'avais réagi, si je n'avais eu mal, etc... Comme je répondais non à chacune de ses questions il finit par un "Bienvenue en Arabie!"
Je ne m'imaginais pas ce pays aussi dur pour les femmes, surtout les blanches venues d'Europe. Dorénavant, j'étais sur mes gardes
J'étais vraiment honteuse de rejoindre François et de tout lui dire à propos de ma fouille au corps par ce douanier si impassible alors qu'il se livrait sur moi à des attouchements humiliants.
François m'a rassurée, il m'a aussi un peu consolée dans le taxi qui nous menait à notre hôtel. Il m'a prise dans ses bras pour m'embrasser et me caresser un peu. Alors oui, le chauffeur pakistanais n'en a pas perdu une miette, et quand François s'en est aperçu, il a voulu jouer un peu de la situation. J'étais "bien placée" au milieu de la banquette arrière et le chauffeur avait une vue sur mes jambes, qu'il ne se privait pas de regarder par son rétroviseur. François a souri en voyant le manège du chauffeur et il m'a demandé à être sa complice pour émoustiller ce chauffeur qui semblait si intéressé par moi.
François a glissé sa main sous ma jupe et il a remonté le long de ma jambe en me forçant à ouvrir mes cuisses. J'en rougissais car je pouvais voir le chauffeur qui matait de plus en plus ouvertement dans le rétro. François m'embrassait à pleine bouche, sa main fourrageait sous ma jupe en me tirant de frissons, en un mot, François m'excitait de sa main qui caressait ma culotte. Je me suis donnée plus librement à ses explorations, ouvrant le compas de mes jambes, livrant le passage vers mon sexe encore humide du précédent attouchement qu'il avait subi à l'aéroport. François me fit la remarque "Dis donc, tu as apprécié les caresse douanières!" Je me récriais, lui disais que j'avais eu très peur, que ce pays était malsain, que je ne m'y sentais pas à l'aise, mais il me rassura en me disant qu'il était la, qu'il me protégeait. Sa main caressante fit le reste, je ne pouvais décidément pas lui interdire l'accès à ma chatte, François m'envoutait et il pouvait m'entrainer dans toutes sortes de situations salaces. Il a commencé à me masturber au travers de ma culotte devant les yeux de plus en plus brillants de notre chauffeur, ses doigts avaient trouvé mon clitoris et ils le caressaient d'une façon si experte, que je poussais un gémissement qui fit faire un écart au conducteur. François prit ma main et la guida vers sa braguette, je descendis le zip du pantalon et ma main se glissa dans son slip où je trouvais sa bite tendue. Je lui souris et je me mis à le caresser de mes doigts et je pouvais sentir ses spasmes qui faisaient tressauter délicieusement son membre. Je l'enfermais dans ma main, et commençait à lui prodiguer mes caresses. François se détendait, je savais lui faire du bien aussi je pris le temps de lui prodiguer une douce masturbation, sans vouloir à tout prix l'amener à la jouissance, juste un petit plaisir, comme une promesse.
Ses doigts à lui devenaient plus insistants, il glissa même deux doigts sous ma culotte pour me caresser les lèvres intimes. Il me trouva humide et cela l'amusa: "Ma petite salope s'est faite exciter par un douanier?" me demanda t il en riant.
Devant, le pakistanais en perdait les pédales. Il nous fit même peur en évitant au dernier moment une voiture. Il se reprit en s'excusant, mais ses yeux revinrent sans cesse entre mes cuisses ouvertes tout au long du trajet jusqu'à l'hôtel.
Quand François l'eut payé, non sans lui demander en anglais si la course lui avait plu, nous retrouvâmes nos chambres, ou plutôt la suite qui était la notre avec deux chambres. Comme il faisait vraiment très chaud, nous nous sommes empressés de prendre une douche fraiche, et ce fut comme une jouvence de me glisser sous la pluie tiède de la douche. J'entendis François prendre une douche lui aussi. Puis je sortais de mon bain, je m'essuyais avant d'enfiler le peignoir qui m'attendait.
Il était temps de téléphoner à Georges pour lui donner de mes nouvelles. Je pris le combiné et j'appelais Georges qui répondit à la seconde sonnerie. A sa voix inquiète je sentis qu'il attendait mon appel, je m'empressais de le rassurer, j'étais bien arrivée, oui, l'hôtel était très bien, etc.. Pendant que je parlais à Georges, je sentis François se glisser près de moi et pendant que je parlais à mon mari, il fit glisser le peignoir de mes épaules. ses mains glissèrent sur mes seins et je commençais déjà à frissonner. Georges à l'autre bout du fil me demandait comment le voyage s'était passé, je lui répondais et je sentais les mains de François me masser doucement les seins. Je lui fis part de nos difficultés à la douane, Georges me confirma que lui aussi avait eu des ennuis au cours d'un précédent voyage. Mais j'avais éveillé en lui comme un soupçon, une inquiétude et il me demanda: "Ils ne t'ont pas fait mal au moins?" Ma réponse dut manquer de spontanéité car il me demanda, "dis moi ce qu'ils t'ont fait!"
Derrière moi je sentais François qui s'affairait, il avait ouvert un tube et il s'enduisait les mains de crème, je compris ce qu'il faisait et j'en eu un long frisson. Ses mains vinrent empaumer mes seins qu'il commença à masser doucement. Georges à l'autre bout du fil s'impatientait, avec force "allo, allo! tu es la, ma chérie?" Je lui répondais que oui j'étais la, alors il me demandait comment s'était passé la douane. Je me vis contrainte de lui dire en gros ce qui s'était passé, mais je lui mentais lui disant que c'était une femme qui m'avait fouillée. Les mains de François s'affairaient sur mes nichons et je les sentais de plus en plus sensibles, je soupirais et Georges crut que mes soupirs étaient du à ce que je lui racontais de ma fouille, tant et si bien qu'il me demanda si j'avais pris du plaisir à me faire toucher par une femme. Je me récriais, lui disant que lui seul m'importait, qu'il me manquait et que je me trouvais si seule en ce moment. Ma voix était un peu tremblante d'excitation car François avait bien massé mes seins rendus durs et sensibles par ses caresses et par sa crème. Georges crut que je me languissais de lui, il connaissait à quel point je pouvais être en manque et il s'imaginait qu'à cet instant j'avais très envie de lui. Je ne le dissuadais pas, d'autant moins que François m'avait mise nue, me débarrassant de mon peignoir et qu'il me tétait les tétons avec conviction. Mes soupirs devinrent plus profonds et Georges se sentit à son tour émoustillé. il me le dit, je le plaignais, lui disant: "Mon pauvre chéri, et toi qui est seul à Paris, tu sais, tu peux te masturber si tu veux, je vais t'aider." Georges m'avoua qu'il avait porté la main à son sexe et qu'il se branlait. Je lui avouais la même chose, sauf que c'était la main de François qui s'affairait sur ma fente. Dans le quart d'heure qui suivit, j'excitais mon mari à distance tandis que François m'excitait à mon tour, allongés sur mon lit.
François finit par me couvrir et me pénétrer, je poussais un cri, à l'autre bout du fil Georges s'inquiéta, "qu'est ce qui se passe ma chérie?"
"Oh! rien mon amour, j'ai trop envie la, je veux ta bite! mmmm! "
"Comme tu es loin, comme j'aimerais te prendre, te faire jouir."
- OOh oui! fais moi jouir mon chéri! Ouiiiii! vas y plus fort! Mmmmm! ouiii! encore! encore!" Je criais dans le téléphone pendant que François me besognait le vagin d'un sexe dur comme un pieu, me pilonnant l'utérus de son grand marteau.
Georges m'encourageait au bout du fil: "Oui ma chérie, masturbe toi comme je le fais en ce moment! Oh oui vas y prends ton plaisir ma chérie!"
Il n'avait pas besoin de m'encourager car François me pistonnais de grands coups de reins et je sentais venir le moment ou il exploserait en moi. Je l'interrogeais du regard, il m'encouragea à poursuivre et je continuais donc à exciter mon mari à l'autre bout du fil. Je lui disais combien sa bite me manquait, qu'à mon retour je me promettais de lui faire les plus intimes caresse, de lui ouvrir mes cuisses pour qu'il vienne en moi me donner son jus.
"Oh! oui, criais je dans le téléphone, je veux ton jus, je veux ton sperme! donne moi tout!"
En m'entendant crier ainsi, François s'arque bouta sur moi me tenant aux épaules il me pilonna de plus belle pendant que je gémissais et que j'entendais Georges gémir à l'autre bout du fil.
Quand François libéra sa semence dans mon ventre, je criais, atteignant l'orgasme, geignant et gémissant, offerte à lui, ressentant les tressaillements de sa bite comme autant de décharges électriques. A l'autre bout du fil, j'entendis Georges geindre et je sus que lui aussi venait de cracher son sperme.
J'avais le souffle court comme après une course, je ne pouvais plus rien dire et Georges devait percevoir que ce souffle court dans le téléphone. Je parvins à lui souffler un "Bonsoir mon amour!" avant de raccrocher et de me tourner vers François, de le retenir dans l'étau de mes cuisses, la bite plantée au fond de ma chatte.
Nous avions toute la nuit.
A notre réveil, le lendemain matin, nous avons refait l'amour en toute liberté et sans les contraintes que nous avions à Paris. Il m'a prise de façon fort ardente comme un adolescent et m'a saillie fort longtemps faisant de moi une femelle si excitée que j'étais prête aux extrémités les plus osées entre ses bras. Il m'a avoué qu'avec son épouse les transports amoureux étaient des plus réduits: sa femme était issue de la bourgeoisie la plus affirmée. Elevée chez les sœurs, sa femme fut tenue loin des choses du sexe pendant toute sa jeunesse. Ces bonnes sœurs frustrées ont tout fait pour lui dépeindre les choses de l'amour comme l'horreur absolue.
Inutile de dire qu'elle arriva vierge au mariage et que ce jour de grande fête, ou supposée être telle, la transporta dans les affres de l'angoissante appréhension. Sa mère, elle même fort bigote et coincée, ne l'avait pas rassurée en lui dépeignant l'acte sexuel comme quelque chose auquel elle devait se soumettre à son mari sans plaisir aucun. Elle ne lui avait pas caché la douleur de se faire pénétrer pour la première fois, le déchirement de l'hymen etc... Aussi la pauvre femme vécue sa noce comme la promesse d'un cauchemar à venir.
François lui avait vécu puisqu'il m'a raconté comment la meilleure amie de sa mère avait pris son éducation en main et ceci dès l'âge de quinze ans. Elle l'avait amenée petit à petit à aimer le vice en lui montrant toutes sortes de turpitudes et en fin de compte elle l'attira dans son lit quand il eut seize ans.
François fut bon élève et monta la dame d'un âge mure pendant toutes ses années de lycée. Quand il en ressentait le besoin , il passait la voir au retour du lycée pour une troussée pour laquelle elle ne disait jamais non.
Aussi ce fut un homme fort averti qui se présenta devant son épouse au soir de ses noces. Elle commença par refuser ses avances, sous de divers prétextes, pourtant François se montra patient, conciliant, et même très caressant, mais rien n'y fit, elle était trop crispée pour l'accepter comme ça. Effrayée de se retrouver seule dans une chambre avec un homme, elle s'était enfermée dans la salle de bains et elle refusa d'en sortir pendant longtemps. il fallut que François se résigne à se coucher pour qu'elle sorte enfin de sa cache quand elle entendit les ronflements de son mari. Sans bruit elle s'était glissée près de lui après son long déshabillage et après avoir revêtu une longue chemise de nuit des plus repoussante. elle se glissa entre les draps avec le sentiment de sacrifice de la vierge offerte au lions.

Ce ne fut que le lendemain matin que François la découvrit à ses cotés et qu'il voulut prendre son du. Elle résista, se déroba et se fut un long combat qui s'engagea sous les draps. François voulait être caressant, il se voulait pédagogue, lui qui avait connu les bras de plusieurs femmes, il savait que celles ci pouvaient y trouver leur compte. C'est ce qu'il avait voulu dire à sa désormais épouse, mais elle serrant les dents, résista de toutes ses forces. A bout d'argument, François l'avait violée il faut bien le dire, la tenant sous lui alors qu'elle se débattait avec une rage désespérée, affolée par la douleur à venir, par le corps lourd qui la maintenait clouée sur le lit. Il arriva à relever sa chemise de nuit et il retrouva dessous une culotte des plus enveloppante avec laquelle il se battit pendant de longues minutes avant de la faire glisser sur les cuisses serrées de sa gémissante femme. En glissant un pied entre les cuisses fermées de son épouse, il arriva à repousser la méchante culotte jusqu'à ses chevilles, avant de la déchirer en la lui hottant définitivement. Puis un genou ouvrit un peu l'étau des cuisses qui résistaient Encore quelques minutes de lutte et un second genou entre ses cuisses et il put enfin écarter un peu les jambes de sa réticente épouse.
Cette lutte l'avait un peu émoustillé, même si sa femme sanglotait sous lui, le suppliant de la laisser. Elle voulut le griffer et il dut lui tenir les poignets pendant que son sexe recherchait la fente bien hermétique depuis le premier jour de sa vie. Elle se tortilla, voulut se soustraire, gémissante en sentant le moment proche ou, la bite du male allait la déflorer. François devait se battre avec elle, peinant à trouver l'entrée de la fente sèche aux lèvres closes. Tout ce cirque dura encore un long moment avant que le sexe de François réussisse à lubrifier un peu l'entrée du vagin de sa femme. Elle luttait toujours, refusant son intimité à son mari et il ne pouvait pas grand-chose sinon guetter l'instant ou, son gland se trouvant en position, il pourrait donner ce coup de reins qui lui ouvrirait la voie. Ce moment fut long à venir mais François se battait lui aussi, excité par le refus de celle qui pourtant était sienne.
Dans leur lutte, vint un moment où elle faiblit, ses reins qui se refusaient à lui, devinrent moins mobiles et François sentit la fente à sa portée. Sans attendre il pesa sur elle de tout son poids et d'un violent coup de rein, il fut en elle, son gland venant butter sur son hymen. Elle eut une plainte aigue. François sentit la résistance du voile de chair qui barrait l'entrée du vagin, c'était la première fois qu'il ressentait cela et une violente montée lubrique le saisit. Sa bite se tendit en un pieu irrésistible et il se rassembla ses forces avant de délivrer un coup de rein qui l'étonna lui-même par sa violence. Dessous lui sa femme se cabra sous la douleur, sa bouche s'ouvrit pour libérer un cri de douleur désespéré avant qu'elle ne se sente envahie par une chair brulante et impérieuse.
Elle pleura, supplia et se débattit encore mais en vain, François était en elle et il la tenait fermement. D'un seul coup, son corps se détendit et elle laissa son homme jouir d'elle a sa guise ce qu'il ne se priva pas de faire, jouissant en elle par deux fois avant de la libérer.
Elle fut traumatisée de cette horrible nuit de noce, et par la suite elle ne se donna à son mari que le moins possible de la façon la plus classique en récitant des prières, en s'efforçant de ne trouver dans cet acte aucun plaisir.
François m'a confié comme mission d'aller ce matin visiter le terrain sur lequel il a des vues pour bâtir un grand hôtel de luxe.
Je ne sais pas ce qui m'a pris dans cette limousine, était-ce la chaleur? L'atmosphère si particulière de l'Arabie? Le parfum subtil mais entêtant que le chauffeur avait répandu dans son auto, toujours est t-il que je me suis laissée aller sur le siège arrière de la limousine que j'avais pour moi toute seule. Bien sur j'ai bien vu les regards du pakistanais dans le rétro qu'il avait judicieusement orienté vers mes cuisses. J'en ai eue des frissons, soudain une envie de me montrer est venue submerger ma raison et mes cuisses se sont ouvertes d'elles même laissant paraitre les mailles si légères d'un collant à peine visible mais qui étincelait sous la lumière vive du soleil d'Arabie.
Le pakistanais en fut si surpris qu'il fit une embardée sur l'autoroute, heureusement large et peu fréquentée. Ses yeux noirs brillants se sont focalisés sur mon entre cuisses. J'affectais une indifférence un peu hautaine, laissant mon regard trainer sur le paysage de plus en plus sablonneux où les immeubles se faisaient rares. Je me pris même à rêver, à penser à Georges resté en France, si loin de moi et qui me manquait à cet instant précis. Georges, mon mari, celui qui me protégeait à chaque instant. Je me trouvais soudain si vulnérable sans lui, François ne m'offrait pas cette sécurité, il était la, prêt à m'offrir à qui lui faciliterait la signature de son contrat chéri. J'étais un faire valoir, un miroir aux alouettes où venaient se fracasser les males qui s'approchaient de trop près de moi. Ma vulnérabilité se heurtait à ma curiosité, j'avais tant expérimenté le désir des hommes que je voulais encore attiser leurs envies, curieuse de savoir comment des orientaux pouvaient se comporter quand une femme blanche s'offrait ainsi impudique à leurs regards. Certes à Paris j 'avais eu l'expérience des boutiques indiennes, mais j'étais restée dans mon environnement. Cette fois je me trouvais si loin de mes repaires, je voulais tenter une expérience.
J'attrapais mon portable et j'appelais Georges, je lui dis où je me trouvais, ce que j'allais faire, je lui dis que mon chauffeur était pakistanais, tout ce que je pouvais lui dire pour qu'il imagine la situation. Se faisant j'avais carrément écarté les cuisses, livrant mon intimité aux regards de plus en plus insistants du pakistanais qui n'en pouvait plus. Je parlais dans mon téléphone, je disais à Georges que j'avais chaud, que j'avais très envie de me déshabiller tant la chaleur écrasait tout. Je lui disais que j'étais somnolente dans cette voiture de luxe, étendue à l'arrière, me laissant aller sans retenue. « Et le chauffeur? » Demandait Georges vaguement inquiet. « Ne t'inquiète pas, il conduit, » gloussais je tandis que ma main remontait sur ma cuisse et que des gouttes de sueur perlaient au front du pakistanais.

A suivre...

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