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Histoire du net. Auteur; Jipaï. Voyages-Voyages... Fin

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Quand tout s'enchaîne et se déchaîne...

Parfum frelaté d'Arabie
byJipai©
Je me caressais ouvertement à l'arrière de la limousine tout en parlant à Georges qui connaissait si bien sa femme si sensuelle. Il savait reconnaitre mes moments où le désir monte en moi. J'ai sentis la voiture ralentir et tourner pour prendre un chemin sablonneux et s'arrêter derrière une dune. Georges me demandait ce que je faisais, « mais rien mon chéri! j'ai chaud c'est tout, je supporte mal cette chaleur et j'ai hâte d'être de retour à Paris. » Pendant ce temps le pakistanais c'était retourné et entre les sièges, il me reluquait sans vergogne. Mes doigts courraient sur ma fente à travers le fin lycra qui crissait délicieusement. Il a osé me toucher le pied que j'avais allongé entre les deux sièges avant. Comme un enfant devant le sapin de noël, il a avancé sa main jusqu'à me caresser le pied. J'en ai eue des frissons et mes doigts se sont agité plus vite. Et puis il m'a souri, il s'est enhardi jusqu'à me toucher la voute plantaire, me procurant de délicieuses chatouilles qui faisaient frissonner tout mon être et augmentaient mon désir de plaisir. Il a compris le plaisir qu'il me procurait et ses chatouilles se sont accentuées, me tirant des gémissements et des frissons.
Il n'a pas été plus loin, il risquait gros, il ne savait pas si j'étais une provocatrice ou une réelle « salope » et dans le doute ses gestes sont restés mesurés. Mais moi, j'ai mouillé mon collant tout en parlant à Georges au téléphone, un Georges qui me susurrait à l'oreille des mots susceptibles de me faire mouiller, des mots à nous et qui me faisaient monter aux rideaux. Il m'a encouragé à me branler pendant que l'autre me chatouillait gentiment. J'ai joui entre ces deux hommes, l'un si proche et l'autre si loin mais si proche en même temps. Délicieuse extase, étrange situation qui me donnait des envies de possession, mais la, en plein désert et avec ce domestique, pas question d'aller plus loin alors que je sentais mes seins dardés dans mon soutien gorge, mes pointes érigées et sensibles s 'agaçant contre la dentelle des bonnets.
Alors n'y tenant plus, je me suis précipité sur le chauffeur , et défaisant sa braguette, malgré ses protestations, je lui ai sorti la bite avant de la prendre en bouche. Il m'a supplié d'arrêter mais je n'écoutais plus, je l'ai pompé sauvagement jusqu'à ce que je sente les palpitations de son membre et son éjaculation que j'ai bue avec un délice d'autant plus grand que l'interdit et le danger le rendait inquiet.
Quand j'ai eue fini, je l'ai rassurée et nous avons poursuivi la route jusqu'à l'emplacement que convoitait François.
Il a pris un chemin pour quitter la route principale et nous avons cahoté pendant un certain temps avant de parvenir à une grille qui fermait un vaste espace. Un gardien s'est avancé pendant que le pakistanais descendait sa vitre pour lui montrer son laissé passer. Le bédouin a jeté un œil à l'intérieur, il m'a dévisagé les sourcils froncés avant de donner son aval et de relever la barrière qui fermait les lieux. La voiture est repartie dans ce lieu désert, séparé du monde et un peu désolé, planté que de rare arbustes et de touffes d'herbes rare. J'ai vu apparaitre soudain une bâtisse assez basse et délabrée. Le chauffeur a arrêté la voiture avant de se tourner vers moi pour me dire que c'était la propriété que François convoitait et que la bâtisse avait appartenue à une riche famille saoudienne. J'ai essayé de repérer les lieux mais par la vitre je ne voyais pas grand-chose, aussi je suis sortie de la limousine, aussitôt enveloppée dans la chaleur intense qui régnait ici. J'ai regardé tout autour, prenant quelques clichés et puis j'ai poussé la porte de la bâtisse. L'intérieur était sombre, un peu plus frais que l'extérieur où le soleil de feu brulait le paysage. J 'ai attendu que mes yeux s'habituent à la pénombre avant de faire le tour de la maison. Il y avait encore les meubles mais on voyait bien que tout était à l'abandon. Je suis montée à l'étage et j'ai visité les pièces une à une. Des chambres, des salles de bains défraichies et des meubles visiblement délaissés. Un craquement derrière moi m'a fait sursauter et j'ai découvert mon chauffeur qui me souriait. « every thing all right madam? » J'ai fait oui de la tête mais mon cœur s'était mis à battre un peu plus vite, surprise que je fus par son intrusion, et troublée aussi car je venais tout à coup de repenser à ce qui s'était produit dans la limousine une heure plus tôt. Mais il semblait rester à distance, timide, c'était un homme habitué à demeurer effacé. Je lui ai souri et aussitôt il s'est rapproché de moi: « any tickles again? » J'en ai frissonné de tout mon corps malgré la chaleur qui régnait la. L'homme était tout proche et il murmurait des choses en un mélange d'anglais et de pakistanais. Quand il a été au plus près de moi, sa main s'est avancée vers mes fesses qu'il a frôlé un peu timidement. Voyant que je ne le repoussais pas il s'est enhardi pour me caresser franchement. Je sentais sa main chaude courir sur ma robe légère et cette situation me rappelait le métro quand les frôlements se font insistants. « Seat down on the bed » Et je le suis assise sur le lit pendant qu'il s'agenouillait devant moi et qu'il prenait délicatement mon pied entre ses mains pour me le couvrir de baisers brulants. Je me suis laissée aller dans les plumes légères de la literie. Je me suis abandonnée à des caresses sensuelles qui échauffaient mes sangs et faisaient monter en moi un nouveau désir. Je me laissais faire, il écartait mes cuisses, prenait mes pieds l'un après l'autre, il les caressait, il les chatouillait par-dessous pendant que je lui abandonnais mon intimité qu'il pouvait mater tout à loisir. Ses mains sont remontées le long de mon mollet, il faisait crisser le fin lycra de mon collant. Quand il a atteint mes genoux, il a forcé mes cuisses à s'ouvrir davantage et je me suis retrouvée complètement ouverte devant lui comme une femme qui attend le rut. Mes cuisses ont alors été couvertes de caresses et de baisers. Je sentais son souffle frémissant qui courait sur ma peau sous les fines mailles du collant. Un souffle intense remontait sur mes cuisses, éveillant des sensations sensuelles, des envies d'être prise, saillie et besognée par un male au désir exacerbé.
Pendant ce temps ses doigts fins et agiles me titillaient les pieds, ils couraient sur ma voute plantaire ou mon coup de pied et tout mon corps en émois recevait ces caresses pendant que je sentais désormais son souffle sur ma fente brulante et humide, juste séparée de lui par des mailles arachnéennes qui ne cachaient rien de mon intimité. Sa bouche s'est posée sur mes lèvres et il m'a donné ce baiser si profond, sa langue cherchant à ouvrir ma chatte. Le collant a été rapidement trempé de ma cyprine pendant l'homme me buvait. Je me suis mise à me tortiller sur le lit en gémissant. Il s'est enhardi et il m'a sucé le clitoris à travers mon collant, je me suis mise à crier dans cette pièce inconnue, dans ce lieu inconnu, au milieu de nulle part pendant que l'homme me travaillait les pieds et le sexe des doigts et de la bouche.
Je crois qu'à cet instant, il aurait pu me prendre sauvagement, me monter et planter sa bite dans mon ventre, me ramoner le vagin jusqu'à me faire hurler ma jouissance. Mais tout cela lui était interdit, il le savait bien. Il était déjà en faute et il aurait pu se faire renvoyer sur le champ, peut être avec des coups de fouet en prime si cela arrivait aux oreilles de ses employeurs. Et puis, déposer son sperme au fond d'un ventre avait pour lui une signification bien précise dans sa civilisation. Aussi se contenta-t-il de me faire jouir par sa bouche et ses mains et je dois dire que je crus devenir folle sous toutes ces caresses. Quand j'eus atteint l'orgasme deux fois, je me trouvais sur le lit sans force et il me regardait en souriant, heureux de m'avoir apporté toutes ces délices. Je voulus le récompenser de ses bienfaits, lui faisant signe d'approcher, j'ouvrais son pantalon et comme auparavant dans la limousine, je pris son sexe en bouche. Cette fois je le suçais doucement avec application, laissant monter son désir en lui. Il ne tarda pas à me faire savoir qu'il approchait de l'extase, sa bite palpitait entre mes lèvres et je sentais aux coups de reins qu'il me dispensait, une indication que bientôt il allait jouir. Ses mains se sont crispées sur mes cheveux, me maintenant contre son bas ventre, le nez dans sa toison drue et il s'est mis à râler un bonheur que sans doute il ne connaitrait plus. Dans un cri sauvage, il s'est laissé aller dans ma bouche et son sperme par saccades a envahi ma gorge, me privant d'air quelques instant. Je fus surprise par le flot qui se rependait, je suffoquais, cherchant l'air qui ne venait pas. Un instant j'eus un haut le cœur qui envoya le sperme jusque dans mon nez, je me dégageais pour trouver de l'air, la bouche grande ouverte, le sperme coulant de la commissure des lèvres et du nez, toute barbouillée du flot épais. Il me sourit, contemplant le désordre qu'il venait de provoquer. Je me remis vite sur mes pieds, cherchant dans mon sac des kleenex pour me débarbouiller la figure. Il me regardait toujours en souriant, finissant par me proposer des lingettes qu'il gardait dans la voiture.
Nous avons repris la route rapidement car cet épisode nous avait mis en retard. En repassant la barrière, le bédouin m'a vue me débarbouiller au fond de la limousine et je dois dire qu'il avait l'air perplexe.
Mais mon travail ici n'était pas fini et dès le lendemain, François me demanda d'accompagner un saoudien qui voulait me faire visiter le souk. François m'expliqua que je ne pouvais pas m'y rendre habillée à l'européenne et qu'il fallait que je revête le costume local dévolu aux femmes, à savoir le tchador. J'en fus un peu contrariée de quitter mes jupes et corsage pour revêtir un truc un peu informe, mais bon, pas possible autrement de sortir en ville.
Ce matin donc, le saoudien est venu me chercher, il avait apporté le vêtement adéquat pour une telle sortie. François m'avait encouragée à porter mes collants fins et juste mes collants sans rien d'autre. J'en étais troublée, mais il m'expliqua que c'était à la demande de son hôte. Ainsi donc je revêtais le tchador en question, surprise cependant de la légèreté des tissus en soie fine qui caressaient ma peau et me procuraient une sensation de me sentir nue même couverte de ce costume noir et austère.
Nous partîmes dans sa voiture de grand luxe, le chauffeur se frayant son chemin dans le dédale de rues de la vieille ville où je fus inquiète de me retrouver perdue. Mais mon nouvel ami saoudien me souriait, me rassurant et me jurant que ce soir je retrouverais François à l'hôtel. Il me fit descendre pour le suivre dans le dédale bruyant et coloré du souk. Une foule s'y pressait, majoritairement masculine et à travers le fin tissu du tchador je me sentais frôlée à chaque instant, des mains me caressant au passage. Je finis par me sentir nerveuse, un peu excitée aussi, anxieuse de ne pas perdre de vue mon mentor qui pressait le pas dans les rues étroites et encombrées. Les mains des saoudiens n'étaient pas toujours discrètes et plus d'une fois je sentis nettement des mains aux fesses, curieuses de mes formes sous le tissu bien plus fin que ce que portait habituellement les femmes du cru. Je crois qu'ils décelèrent à ma démarche l'occidentale égarée dans un endroit à risque. Heureusement mon ami était la pour repousser les plus hardis, mais je le sentais bien qu'il parlait de moi en des termes crus, que je ne pouvais pas saisir, mais qui semblaient imagés si j'en croyais les sourires qu'ils éveillaient sur les faces brunies qui m'entouraient.
Bien sur nous sommes entrés dans une boutique, une de ces échoppes à souvenirs, un capharnaüm de pacotilles de toutes sortes, sombre et rafraichie par un ventilateur qui brassait l'air surchauffé. A note arrivée, le vieux marchand s'est levé pour accueillir mon accompagnateur, s'inclinant devant lui avec respect, appelant son fils pour venir à son tour saluer le riche arrivant. Mais je crus comprendre que j'étais le sujet de conversation principal. Le vieux hochant la tête bien respectueusement, son fils me dévisageant de ses yeux sombres, ils me conduisirent dans une pièce derrière où ils me firent assoir sur des tapis épais et ils m'offrirent le thé. Le saoudien fit la traduction des mots qu'ils échangeaient, le vieux lui demanda le droit de voir mon visage ce que lui accorda en riant mon accompagnateur. J'ignorais que ce geste de me dévoiler à lui, était pour eux un geste à forte teneur érotique, comme si j'avais tout à coup dévoilé mes seins dans la rue. Le vieux s'approcha de moi et me caressa la joue, tout en échangeant des propos en arabes. L'autre l'encourageait et le vieux ne tarda pas à aller plus loin, me caressant les bras et les hanches et puis encore plus au fur et à mesure de leur conversation incompréhensible. J'eus des mouvements de recul, mais l'homme qui m'avait amené la me fit comprendre de rester à ma place et bientôt le vieux se mit à me palper de toute part.
Des mains brunes, oui, des mains qui appartenaient à différentes personnes, le vieux marchand bien sur, mais bientôt suivies par celles de son fils, plus légères, plus habiles et plus promptes à explorer mon intimité. Mon accompagnateur regardait la scène d'une air satisfait, ses yeux luisaient dans l'ombre chaude. Je percevais son regard avide qui suivait la progression de cette exploration si indécente, mes seins palpés à pleines mains, mes tétons chatouillés puis exacerbés par des pressions entre les doigts, ou bien alors ils les faisaient rouler sous la soie légère, bien trop légère je m'en rendais si bien compte maintenant.
Puis vint le moment ou, le père comme le fils étaient si excités qu'ils en vinrent à vouloir m'enlever ce tchador qui me couvrait de la tête aux pieds. Avec des gestes fébriles, ils tirèrent dans un sens et puis dans l'autre, je me sentais ballotée entre les deux avant de me retrouver nue, seulement vêtue de mon collant entre leurs mains. Je les sentais soudain au comble de l'excitation et leurs mains revinrent explorer mes formes de façon plus insistante encore, ils me massaient les nichons, me tirant des frissons de long de mon échine, ils forçaient mes cuisses à s'ouvrir, à révéler mon intimité. Leurs mains couraient sur les mailles fines en lycra, le long de mes cuisses et je me suis mise à gémir tant ces deux la me procuraient une trouble excitation. Le vieux a eu des mots je ne compris pas bien sur, mais il empoigna le fin tissu et le tira jusqu'à ce que j'entende un craquement prolongé et que ma fente se retrouve au contact de ses doigts. Aussitôt ce fut la ruée, leurs doigts se mêlaient entre mes lèvres intimes qu'ils ouvraient sans trop de ménagement, qu'ils exploraient, et plus ils me pénétraient, plus je sentais monter en moi un désir irrépressible.
Je me mise à gémir et bien sur ils prirent mes soupirs comme un encouragement. Le père me força à m'allonger sur l'épais tapis et il remonta sa djellaba avant de se laisser tomber sur moi. Je fus tout à coup écrasée de son poids et je poussais un cri de surprise autant que de douleur. Mais il n'en eut cure, ses genoux forçaient déjà mes cuisses que je laissais écarter sans trop résister, je ne voulais pas être couverte de bleus. Aussitôt je sentis un membre épais contre ma fente et qui cherchait furieusement l'entrée de mon vagin. Il ne lui fallut pas longtemps avant de me pénétrer et de me planter son sexe jusqu'à la garde, forçant mon ventre et refoulant mon utérus avec son gland violacé. Sans attendre il se mit à haleter sur moi, me pistonnant de coups de reins puissants, je sentais sa bite qui me remplissait toute, aller et venir entre les parois humides de ma chatte. Je me trouvais prise sous lui dans l'incapacité du moindre geste de défense, je devais subir son asseau, le laisser me violer pendant que sa barbe rêche me frottait le cou d'une façon fort désagréable. Il me besognait en haletant fort, concentré sur son effort, tourné uniquement vers sa recherche de jouissance que je sentais venir par des palpitations de plus en plus violentes de sa queue qu'il me plantait de plus en plus vigoureusement.
Tous à coup il pesa de tout son poids sur moi, m'immobilisant à même le tapis, j'étais prisonnière de ses bras puissants. Je sentais des tressaillements dans mon bas ventre et puis une inondation chaude envahit mon ventre tandis que le vieux grognait au dessus de moi. Il demeura ainsi un temps qui me parut d'autant plus long que j'étouffais sous lui. A bout de souffle je tentais de bouger et il comprit qu'il devait relâcher son étreinte, je respirais enfin.
Pour peu de temps en fait, aussitôt que le vieil homme bascula sur le coté pour me libérer, je sentis un autre corps retomber sur moi et me maintenir à même le tapis. Le fils prenait possession de moi. Sa façon était encore plus brutale que celle du père. Sans aucun préliminaire il planta sa bite en moi et il s'en suivit des vas et viens furieux de ses reins qui propulsaient son membre au fond de mon vagin. Il me tenait de façon si serrée que je ne pouvais bouger, ses bras m'enserrant de façon que je sois à lui sans pouvoir y échapper.
C'était un homme d'une trentaine d'année, un homme fait, sans doute marié et qui avait connu outre sa femme, d'autres partenaires si j'en jugeais par la technique de maintien dont il faisait preuve. Il avait plus d'endurance que son père, il était bien mieux membré aussi et sa bite étirait mes muscles vaginaux, les forçant à ouvrir davantage encore le passage vers mon ventre. Je subissais tant, que mes plaintes n'étaient pas de plaisir mais de peur, d'inquiétude, je me doutais être tombée dans un guêpier dont il serait difficile de se sortir sans subir tout ce dont-ils jugerait utile de me faire subir.
Il appuya davantage encore son corps sur moi, ses reins étaient furieux et mon vagin devenait douloureux sous les coups de boutoir que je subissais. Je me mis à crier de douleur réelle cette fois. Il me vint des larmes, j'appelais au secours celui qui m'avait amenée la, mais quand je croisais son regard, je n'y vis qu'une méprisante ironie.
Et mon calvaire continua, j'appelais à l'aide mais mes cris ne provoquaient que rires autour de moi, le père discutait avec mon accompagnateur pendant que le fils me pénétrait de façon si brutale. Je voyais qu'il était question de moi à en juger par leurs gestes qui me désignaient et le regard qu'ils me portaient. Le vieux semblait faire des propositions au riche saoudien qui m'accompagnait et l'autre hochait négativement la tête. Le vieux reprenait et je sentais que le ton montait, la discussion était âpre et mon accompagnateur hochait toujours la tête négativement, il semblait dire que ce que lui proposait le vieux n'était pas acceptable.
Pendant ce temps le fils me couvrait toujours, me baisant sans retenue et surtout sans tenir compte de mes cris tandis que je me débattais sous lui. Il me tenait fermement, me proférant des choses en arabe que je ne pouvais comprendre mais que j'imaginais être des insultes, des ordres impératifs à me tenir tranquille et le laisser user de moi comme bon lui semblait.
Les deux autres parlaient toujours aussi véhémentement avec forces gestes, le vieux semblait tenir tête à mon accompagnateur, il me semblait qu'il était question d'argent, le mot « dollar » revenant dans leur conversation. Le vieux me désignait de sa main à son interlocuteur, l'autre commençant à paniquer, je le voyais à son visage inquiet et aux regards pleins d'angoisse qu'il me jetait.
Le fils haletait sur moi, j'étais écrasée sous lui, à bout de souffle, cherchant vainement l'air brulant de la boutique. Son sexe me défonçait le vagin, il me faisait mal au ventre, et je gémissais doucement, les dents serrées ne pouvant qu'attendre la fin de cette torture qui ne venait pas.

Il me vint en tête des souvenirs de lectures où il était question de bordels, parfois la mère maquerelle avait recours à un homme particulièrement membré et endurant pour rendre plus docile une de ses protégées. J'avais affaire à ce genre d'homme me semblait il, sa froideur, la taille de son membre, son endurance, son absence d'émotion en faisait une machine à baiser froide et déterminée.

La discussion se poursuivait à coté, le vieux parlait fort, mon accompagnateur semblait fléchir, il baissait la tête et je paniquais: « non lui criais je, ne cédez pas! » Il me regarda un peu surpris. Mes yeux l'imploraient, de plus en plus le jeu des deux autres me paraissait clair maintenant, ils voulaient me garder et me faire « travailler » pour eux. J'avais compris bien des choses malgré le barrage de la langue, il était clair que l'homme qui me couvrait était un maquereau sans scrupule avec les femmes qui tombaient sous ses griffes. De son coté mon accompagnateur semblait être tombé dans un piège dont il ne savait comment se défaire. J'étais l'enjeu d'une sordide tractation entre ces arabes, et quand on sait le peu de cas qu'ils font des femmes, je tremblais sous le poids de mon tourmenteur. Je commençais à avoir très mal au ventre, je criais, je me débattais comme je pouvais mais je sentais mes forces me quitter et je devenais molle entre les bras puissants qui me maintenaient et me liaient. Je pleurais tant la douleur devenait intense et la brute qui me saillait finit par le comprendre. Il se redressa au dessus de moi et sa bite fouilla mon vagin de plus belle avant qu'il ne soit pris de spasmes puissants qui libérèrent des flots de sperme qui coulèrent le long de mes cuisses. Puis satisfait, il me libéra et je demeurais sans bouger tandis qu'il se relevait me regardant avec le plus grand des mépris. J'étais humiliée à jamais à ses yeux.
Mon accompagnateur en profita pour se pencher vers moi me murmurer rapidement que le deux marchands voulaient me garder et faire de moi une pute qu'ils proposeraient discrètement aux habitants du souk. Une panique me prit, je voulus soudain partir très vite, retrouver l'hôtel, François, lui dire que cela avait été trop loin, que je voulais rentrer à Paris sans attendre. Mais il me répondit que c'était impossible, les deux autres veillaient, qu'il avait négocié, il avait fait valoir que j'étais une étrangère protégée. Ils ne voulaient rien savoir cependant, ils me voulaient dans leur boutique en tant qu'objet. Mon accompagnateur avait du transiger, il ne pouvait pas m'abandonner la, on me retrouverait vite, avait il fait savoir, aussi, le vieux lui imposa de me garder toute l'après midi et jusqu'au soir. Il dut céder et c'est ainsi que je me retrouvais offerte comme une marchandise au fond d'un souk en Arabie.
Je dus sucer des bites douteuses dans la chaleur étouffante de cette sombre arrière-boutique. Des hommes frustres, sans égard pour la femme, ne voulant juste prendre que leur plaisir. Leurs mains calleuses s'offraient mon corps, le pelotant de partout, martyrisant mes seins, explorant mon sexe et mes fesses, me pénétrant sans précaution et besognant férocement jusqu'à une éjaculation qui inondait mon vagin de semence brulante.

L'après-midi fut long, je ne sais combien de ces arabes vinrent pour me rencontrer, les nouvelles vont vite dans le souk, et le soir venu il y avait presque la queue devant l'échoppe. Il fallut que les marchands y mette bon ordre et je quittais tard cette boutique affreuse, par une porte de derrière tandis que le fils, à contre cœur, retenait des hommes frustrés et en colère de ne pouvoir assouvir leurs désirs.
Nous avons fui avec mon accompagnateur, nous avons couru dans les rues étroites pour retrouver la limousine, nous y précipiter et fuir ce lieu infâme jusqu'à l'hôtel où François m'attendait, inquiet et interrogateur.
Je ne trouvais pas la force de tout lui raconter mais je crois qu'il comprit que tout cela avait été trop loin. Ce soir la il me laissa me reposer après une douche bienfaisante. Je dormis comme une souche toute une nuit tourmentée de cauchemars, me réveillant en sueur, recroquevillée et tremblante.
Heureusement nous devions reprendre l'avion le soir même. Je passais ma journée à me soigner, réparer les dégâts sur mon corps, les bleus, les griffures et des choses plus intimes. Je fis mes valises et j'attendis avec hâte le moment du départ.
Je vivais ces dernières heures en Arabie comme dans un rêve, détachée de tout, ignorant tout, entièrement tournée vers un but, revenir à Paris.
François a passé sa journée en réunion et le soir il est rentré triomphant en brandissant une liasse de papier. Les contrats, enfin signés.
Ce n'est que lorsque l'avion eut décollé que je trouvais la force de raconter à François mes aventures dans le souk, mais je lui servais une version édulcorée d'où étaient absents les sévices que je subis dans l'arrière-boutique.


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