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Histoire du net. Auteur Inconnu. Quand une chatte devient chienne... Suite

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S'offrir aux regard d'inconnu...
Ressentir de nouveaux besoins...

Maryse, naissance de la perversion
Suite I
Durant le début de la semaine, Maryse redoute ce qui va se passer mercredi. Elle s'attend à ce que son chef l'envoie une fois de plus à la déchetterie, mais elle ne veut pas. Dès qu'elle y pense, elle est partagée entre l'excitation et la peur de céder à nouveau à ce pervers.
Maryse se réveille avec une boule dans le ventre. La journée qu'elle redoute depuis plusieurs jours est arrivée. Elle a passé une nuit agitée, elle a rêvé qu'elle se retrouvait dans la caravane de M. Francis, entourée des modèles des posters. Elles la touchaient, la caressaient sous le regard vicieux de M. Francis. La vendeuse était là aussi avec son sourire. Elle savait tout et l'observait sans cesse. Puis M. Francis approchait et elle se retrouvait avec son sexe en main. Il lui répétait sans cesse de le sucer. Toutes ces images se sont répétées sans cesse durant son sommeil.
Après une douche réparatrice, elle se pose un dilemme. Va-t-elle ou non céder à la perversité de M. Francis ? Elle décide qu'il est nécessaire pour elle-même et pour son amour propre de prendre la situation en main. Elle va donc porter sa nouvelle tenue pas pour M. Francis, mais pour elle-même. Maryse est décidée à ne plus se laisser faire.
Elle s'observe avec son nouvel ensemble de lingerie qui lui va à ravir. Elle opte pour une jupe droite arrivant aux genoux, un chemisier et des talons. Elle s'observe de nouveau, elle est habillée de façon classique.
Le seul détail qui change, c'est sa poitrine qui est maintenue plus haut que d'habitude. Elle se trouve désirable et savoir qu'elle a une tenue aussi sexy en-dessous lui procure une petite pointe d'excitation.
Maryse s'attend à tout moment à ce que son chef lui demande de retourner à la déchetterie, mais il n'en parle pas. En fin de matinée, elle ne l'a toujours pas vu. Elle est presque déçue, mais finalement elle se dit que c'est mieux ainsi. Elle n'aura pas à affronter M. Francis. Elle est partagée entre ces deux sentiments quand elle monte dans sa voiture pour rentrer chez elle. Soudain son chef apparaît devant la voiture. Elle se sent toute fébrile, ça y est, il va lui annoncer qu'il faut qu'elle retourne là-bas, dans le lieu de sa perdition.
— Bonne après-midi, Maryse ! Pas de détour à la déchetterie aujourd'hui. Par contre la semaine prochaine prévoyez d'y aller. À demain.
Comme d'habitude, il ne lui laisse aucun choix. Elle se sent rassurée, mais il n'a fait que retarder l'échéance. Elle rentre chez elle. Quelques kilomètres avant d'arriver, elle décide brusquement de faire demi-tour.
Il faut qu'elle l'affronte. Elle doit prendre le dessus.
Elle arrive à la déchetterie, il y a une voiture sur place. M. Francis est en train de discuter avec un homme d'un certain âge. Elle regrette d'être venue. Elle décide d'aller directement du côté de la benne destinée aux papiers. Elle descend de voiture. Fait mine de fouiller son coffre. Le temps lui semble interminable. Mais qu'est ce qu'ils ont à se dire qui dure si longtemps.
Soudain une idée lui traverse l'esprit. Il est possible qu'ils parlent d'elle. Il est possible qu'il lui raconte tout ce qui s'est passé la semaine dernière. Sa respiration est de nouveau difficile. Ses jambes peinent à la soutenir. Elle manque d'air. Elle a été totalement imprudente. Elle a perdu la tête.
Soudain un bruit de moteur la sort de sa torpeur. Elle se retourne pour voir l'homme au volant de sa voiture qui quitte la déchetterie non sans l'avoir dévorée des yeux en passant. Ce regard plein d'envie la trouble encore plus. Elle essaie de ne rien montrer, de feindre l'indifférence, mais elle ne peut se duper elle-même.
M. Francis s'approche d'elle doucement en la regardant avec son sourire en coin. Elle lui retourne son regard. Elle essaie de ne pas montrer son trouble. Elle se tient droite les jambes légèrement écartées. Lui s'arrête à quelques mètres d'elle pour pouvoir l'observer dans son ensemble.
D'un coup un verrou se débloque en elle. Elle décide finalement de céder à ses propres envies. Elle veut le voir la désirer. Elle veut l'exciter. Elle passe une main tremblante sur ses seins qu'elle sent tendus. Ils sont très sensibles. Elle ne cesse pas de le regarder pendant cette caresse. Elle retire plusieurs boutons de son chemisier pour lui donner un aperçu de son décolleté. Il peut voir, sous le simple chemisier, la dentelle de sa lingerie qui rehausse superbement sa poitrine.
Il l'observe avec envie. Il ne bouge pas, pétrifié par le spectacle qu'elle lui offre. Elle ouvre légèrement son chemisier pour en offrir un peu plus à son spectateur. Elle se sent terriblement désirée par cet homme commun, qui pourtant a réussi à lui dévoiler une facette de sa personnalité qu'elle n'imaginait pas. Elle se cambre pour lui offrir son décolleté. Ses mains glissent doucement sur son ventre et le long de ses hanches. Elles descendent sur ses cuisses. Cette caresse est terriblement sensuelle. Elle est excitée par le regard de M. Francis qui n'ose plus bouger.
Un coup d'œil sur son entrejambe lui assure qu'il la désire. Elle passe sa langue sur sa lèvre supérieure. Elle se veut provocante. Elle tire doucement sur sa jupe pour la faire remonter le long de ses jambes. Peu à peu, elle dévoile ses cuisses. Il peut voir le début de la couture de ses bas. Il est au comble de l'excitation, il transpire. Il respire difficilement. Elle le rend presque fou. Elle continue de remonter sa jupe. Maintenant, il peut voir la peau nue de ses cuisses et les jarretelles qui tirent sur les bas.
Tout à coup, ils entendent le moteur d'une voiture. Maryse panique et rabaisse sa jupe. Lui sort de sa torpeur et après un bref coup d'œil en arrière se tourne de nouveau vers Maryse.
— Prends ta voiture et rejoins-moi dans ma caravane !
Maryse ne lui répond pas. Elle démarre, mais au lieu d'obéir, elle se dirige vers la sortie et rentre chez elle. Elle se sent forte, tout ce qu'elle a donné à ce pervers, elle l'a voulu. Elle ne lui a rien cédé d'autre. La situation l'a beaucoup excitée. Elle se sentait contrairement à la dernière fois, dominatrice. Elle contrôlait la situation.
Avant d'arriver chez elle, elle reboutonne son chemisier pour redevenir la sage femme mariée qu'elle a été.
Elle ne tarde pas à recevoir un SMS sur son portable. Elle se doute que c'est M. Francis.
''Pourquoi es-tu partie ?''
Elle lui répond rapidement :
''C'est vous qui êtes parti. Il va falloir attendre la suite... s'il y en a une.''
Elle sourit.
Depuis ses exhibitions au magasin de lingerie et devant M. Francis, Maryse remarque de plus en plus les regards qui se posent sur son corps. Elle y est de plus en plus sensible. Elle avait bien remarqué quelque fois ce type de regard, mais elle n'y prêtait pas attention. Et s'il lui arrivait de ressentir quelque chose, c'était plus du dédain.
Maintenant tout a changé. Elle en est à rechercher ces regards, presque à les provoquer. Elle aime tout autant que ce soit un homme ou une femme qui la déshabille du regard, qui essaie d'apercevoir un peu plus que ce qu'elle dévoile. Ses tenues n'ont pas beaucoup changé. Mais elle laisse un décolleté plus généreux.
Elle porte des robes ou des jupes un peu plus courtes sans être trop courtes. Ses dessous, par contre, sont plus sexy, ils mettent ses formes beaucoup plus en valeur. Elle porte quelque fois des bas soutenus par des porte-jarretelles. Rien que le fait de porter ces dessous sexy suffit à lui provoquer une pointe d'excitation.
La pensée que quelqu'un pourrait voir comment elle est habillée sous ses vêtements plutôt sages la trouble.
son mari doit partir en voyage d'affaires mardi et les enfants partent chez leurs amis mercredi matin. Les préparatifs la tiennent occupée, mais elle attend avec une certaine impatience cette semaine de liberté. Elle va pouvoir s'occuper d'elle, faire ce dont elle a envie... d'autres pensées lui viennent, mais elle les refoule au plus profond d'elle-même.
Le mardi soir, elle accompagne son mari à la gare.
Elle s'est faite belle pour l'occasion, mais son mari est bien trop préoccupé par son déplacement. Elle se dit qu'il est bien trop stressé en ce moment... Une autre part d'elle est déçue qu'il n'ait rien remarqué. Pourtant elle porte un petit haut échancré avec un petit décolleté, une large ceinture, un pantalon moulant et des talons pour rehausser sa silhouette.
Elle reste quelque temps sur le quai de la gare pour regarder le train partir avec son mari à bord. Elle distingue les gens dans le compartiment. son mari monte dans le train après l'avoir embrassée d'un baiser qu'elle aurait voulu plus passionné. Il s'installe ensuite, et après un bref signe de la main pour lui dire au revoir, il sort son ordinateur pour se remettre au travail. Au moment où elle se décide à partir, elle remarque qu'un homme, dans le compartiment voisin de celui de son mari, la dévore des yeux. Elle fait mine de ne pas le remarquer. son regard la trouble. Elle est de nouveau prise par l'excitation. Elle peut deviner les pensées lubriques de cet homme et cela l'excite.
Elle se cambre un peu plus pour faire ressortir sa poitrine. Négligemment, elle joue avec le tissu de son haut dévoilant un tout petit peu plus la peau satinée du haut de ses seins. Elle l'observe discrètement en jetant quelques coups d'œil sans jamais croiser son regard. Elle est très excitée. Elle sait que ses tétons dardent à travers le tissu.
L'homme se détourne un instant et quand il la regarde de nouveau, il a un appareil photo. Il prend plusieurs clichés. À présent, elle est trop excitée, elle a peur tout à coup de ce qu'elle pourrait faire. Elle décide de quitter le quai sous le regard de son photographe amateur.
Elle se dirige vers sa voiture le cœur battant à toute vitesse. Elle a recommencé à céder à ses pulsions. Qu'importe, elle ne peut nier son excitation quand on la regarde avec envie, lubricité et surtout quand on la photographie...
Elle rentre retrouver ses enfants. Après le repas, elle vérifie que son fils a bien pris toutes ses affaires, alors qu'il passe en revue les jeux qu'il a sélectionnés pour jouer avec ses copains. Après lui avoir dit bonsoir, elle le laisse jouer sur son ordinateur dans sa chambre en lui faisant promettre de ne pas veiller trop tard.
Sa fille, quant à elle, est prête. Sa valise bien plus grosse que celle de son frère est enfin fermée. Elle décide de se coucher tôt pour être tout à fait en forme le lendemain. Maryse rentre dans sa chambre, et s'enferme à clef. son expérience sur le quai de gare l'a beaucoup excitée et elle se dit que son mari n'étant pas là, elle va se donner du plaisir elle-même.
Elle prend d'abord une douche pour se détendre. Elle enfile ensuite un peignoir. Elle allume son ordinateur portable et s'installe confortablement sur le lit. Elle n'ose pas vraiment commencer, elle regarde ses e-mails, regarde les derniers potins, elle fait quelques recherches. Et au fil de ses recherches, elle tombe plus ou moins consciemment sur un chat pour adulte. Elle se crée un pseudo par curiosité, juste par curiosité.
Et elle se lance sous le nom de F-exhib, elle ne trouve pas cela très original, mais qu'importe, elle ne restera pas longtemps sur ce site. son entrée sur le site ne passe pas inaperçue. Elle est assaillie de messages privés plus ou moins courts, voir minimalistes. Elle commence à lire les échanges sur le chat après avoir écrit un bonjour timide. Certains ont l'air de bien se connaître. Elle a un peu de mal à trouver sa place. Elle reçoit un nouveau message d'un certain H-mateur. Le pseudo la fait sourire. Contrairement à la plupart des autres messages, son H-mateur prend le temps d'écrire. Elle lui répond et ils commencent à discuter.
Après quelque temps, il lui demande si elle aime vraiment s'exhiber. Elle lui répond que tout cela est très nouveau pour elle. Elle lui explique que depuis peu de temps, elle est très excitée quand on la « mate ». Étant derrière son écran, elle se sent comme protégée, hors d'atteinte. Elle essaie d'utiliser un vocabulaire plus fort, qu'elle n'a pas l'habitude d'employer.
L'homme saute sur l'occasion et lui demande de se dévoiler devant sa webcam. Elle a un temps d'arrêt. Ses joues sont en feu, une fois de plus, une boule se forme dans son estomac. Elle se pose mille questions, mais une chose est sûre, elle est déjà excitée rien qu'à l'idée de se montrer devant cet inconnu. Elle lui dit que c'est la première fois sur internet. Elle ne veut pas montrer son visage.
Cela lui convient. Elle lui demande comment procéder. Il lui explique la marche à suivre. Elle suit ses instructions et son image apparaît à l'écran. son peignoir bien fermé ne laisse rien apparaître. Elle se place de façon à ne pas montrer son visage. Elle est très excitée. L'homme apparaît maintenant à côté de son image. Elle est très surprise de le voir entièrement nu. Sa webcam est braquée sur son sexe rasé. Il repose sur ses bourses volumineuses complètement nues. Cette vision la pétrifie, elle ne voit que le sexe de cet homme qui l'attend.
Un message de son mateur la rappelle à l'ordre. Il lui demande de lui montrer son corps. Ses gestes sont tout d'abord tremblants. Elle ouvre doucement son peignoir dévoilant le décolleté de sa poitrine généreuse. L'homme commence à caresser son sexe. Elle observe la réaction qu'elle provoque chez cet homme. Elle se caresse la poitrine à travers son peignoir. Elle ferme les yeux quelques instants pour apprécier au maximum le plaisir qu'elle ressent à cette simple caresse, son excitation augmente. Elle sort son sein droit pour titiller son téton.
Un coup d'œil sur l'écran lui montre que son mateur a maintenant une belle érection. Il envoie quelques messages d'encouragement. Quand elle sort son deuxième sein, l'inconnu se masturbe frénétiquement. Ses messages sont beaucoup moins subtils. Il s'oublie. Il la traite même de « salope ». son excitation s'amplifie en voyant ce qu'elle provoque chez cet homme. Elle éprouve beaucoup de plaisir à s'offrir à lui, elle en éprouve encore plus à le provoquer. Elle le regarde se masturber en se caressant les seins. Elle les malaxe. Elle se pince les tétons. Jamais elle n'aurait fait cela avant. Elle présente ses seins à la webcam, les soulève et les porte à sa bouche. Elle se suce les tétons avec avidité.
Elle ouvre entièrement son peignoir et montre à son inconnu ses secrets les plus intimes. Elle mouille abondamment. Ses lèvres sont ouvertes et brillent d'une humidité qui témoigne de son état. L'homme se caresse toujours et lui dit d'en faire de même, de jouir devant lui. Il la traite de « chienne, de superbe salope.... ».
Son vocabulaire se limite très vite. Tout son être est tourné vers cette femme aux formes généreuses qui s'offre à lui. Elle se caresse le clitoris qui est d'une telle sensibilité qu'elle pense jouir d'un instant à l'autre. Il lui demande de se tourner. Il veut voir son « cul ». Elle s'exécute, tout à son plaisir de lui obéir. Elle se cambre pour lui offrir une vue des plus voluptueuse. Il lui demande ensuite d'ouvrir ses fesses pour qu'il puisse bien voir son petit trou.
Tout ceci excite beaucoup Maryse qui lui ouvre ses deux beaux globes pour lui montrer ce qu'elle n'a jamais montré à personne, ni même à son mari.
Elle se caresse le clitoris en lui montrant son petit trou. Il en veut plus, il veut qu'elle se doigte. Elle commence à pénétrer son vagin coulant d'excitation. Mais ce n'est pas ce qu'il veut. Il veut qu'elle s'introduise un doigt dans l'anus. Elle fait mine de n'avoir rien lu, mais il revient à charge. « Encule-toi ! Tu m'excites à mort, salope ».
Elle n'est plus elle-même. Elle sort ses doigts luisants et commence à caresser son anus. Elle n'a jamais fait cela. Elle est presque honteuse d'obéir à cet homme, mais l'excitation l'emporte. Elle s'introduit doucement un doigt. Elle pousse, elle sent une résistance, mais elle réussit à se l'introduire. Elle essaie de ne pas gémir trop fort.
Ce n'est pas tant son doigt que la situation qui l'excite. Elle fait quelques va-et-vient, puis il lui demande d'introduire un deuxième doigt. Le deuxième rentre plus facilement que le premier.
De son côté l'homme se masturbe. Il est maintenant trop excité pour écrire quoique ce soit. Elle le voit se pétrifier et elle voit un long jet de sperme s'écraser sur son ventre puis plusieurs autres. Elle le voit respirer profondément. Elle a toujours ses doigts en elle. Elle s'est arrêtée de respirer le temps qu'il a joui.
Plusieurs sentiments se bousculent. Elle a fait jouir cet homme en lui montrant son corps, sans le toucher cela lui donne une impression de pouvoir. Tout ce temps, cet homme pensait qu'il la dominait, mais c'est elle qui l'a fait jouir. Mais elle est aussi honteuse de ce qu'elle vient de faire, même si elle y a pris énormément de plaisir. Maintenant il essaie de lui demander des informations plus personnelles, son numéro de téléphone... Il veut la revoir. Elle s'esquive, il pourra toujours la contacter sur ce mail. Le plaisir qu'elle a éprouvé ce soir lui suffit... pour le moment. Elle ferme la discussion et l'ordinateur. Elle se couche et ne tarde pas à s'endormir et retrouve ses rêves érotiques qui s'étoffent à chaque nouvelle expérience.
oooOOooo
Le lendemain matin, tout se passe très rapidement. son fils part avec ses copains en discutant de tout ce qu'ils vont faire cette semaine, des jeux qu'ils ont prévus. Sa fille quitte la maison avec sa meilleure copine plus discrètement, elles se chuchotent leurs secrets.
Une fois seule, elle prend plus de temps qu'à son habitude pour choisir sa tenue. Elle décide de remettre la même tenue que la semaine passée pour reprendre son « jeu » là où il s'est arrêté avec M. Francis. Sa poitrine soutenue bien haut monte et descend au rythme de sa respiration. En se regardant dans le miroir, elle se trouve désirable. Elle n'a pas boutonné son chemisier jusqu'en haut. Elle a laissé un petit décolleté qui devrait lui attirer quelques regards. Elle se tourne, rien ne laisse deviner ce qu'elle porte sous sa jupe découvrant le bas de ses cuisses. Elle est prête. Elle récupère sa clé USB au fond de son tiroir. Il faut qu'elle récupère les photos de M. Francis, mais elle ne sait pas trop comment elle va procéder.
La matinée passe rapidement. Elle a quelques dossiers qui lui prennent tout son temps. son chef passe la tête dans son bureau et lui rappelle son « rendez-vous » à la déchetterie. Elle a remarqué son regard plein d'envie sur ses jambes et son décolleté. Elle sourit, elle est certaine que M. Ribière la regarde autrement maintenant. Est-ce qu'elle le fait fantasmer ? Certainement. Elle rougit de sa façon de penser. Elle se remet sans plus attendre à son travail.
Vers midi, Martin, le jeune stagiaire, se présente à son bureau pour l'aider à charger la voiture. Il est moins timide qu'au début. Elle lui adresse un petit sourire et lui demande d'attendre quelques minutes, le temps qu'elle finisse son dossier.
Du coin de l'œil, elle peut le voir qui l'observe. son regard passe des ses jambes légèrement découvertes à son décolleté. Elle est assise à son bureau, elle croise les jambes pour les lui dévoiler un peu plus. Il n'en perd rien. Elle fait mine de ne rien remarquer. Cette situation l'excite. Mais elle est aussi un peu confuse et troublée par son attitude. Elle ne peut s'empêcher d'aguicher ce jeune homme. Tout en se cambrant légèrement pour lui offrir un meilleur aperçu de sa poitrine, elle lui dit : « Voilà... c'est terminé ». Puis elle se lève, mettant un terme à son petit spectacle. Martin sort de sa léthargie et l'accompagne jusqu'à sa voiture pour charger les quelques vieux documents destinés à la déchetterie.
Sa petite exhibition l'a bien émoustillée. Elle se rend compte que cela devient de plus en plus naturel et surtout qu'elle en a de plus en plus envie. Elle aime les sensations que cela lui procure. Par contre, il lui faut absolument récupérer les photos que M. Francis a faites lors de son premier écart. Elle se demande comment elle va pouvoir faire.
Elle arrive peu de temps avant la fermeture de la déchetterie. Elle ne le voit nulle part. Elle décide de se débarrasser des quelques dossiers qu'elle a dans son coffre. Au moment de mettre le dernier, elle sursaute en entendant la voix de M. Francis :
— C'est bien que tu sois revenue ! La dernière fois tu m'as laissé sur ma faim. Rejoins-moi dans ma caravane quand t'auras fini !
Elle le regarde s'éloigner. Elle ne sait plus si elle doit le suivre ou pas. La dernière fois, cela est allé très loin. Elle se rend compte qu'elle est de nouveau dans un état second, le souffle court. Elle ne peut pas nier son excitation et elle doit récupérer ses photos. Elle n'ira dans cette caravane que pour les photos...
Elle gare sa voiture devant la caravane. M. Francis l'attend à l'intérieur. Elle hésite encore à sortir de la voiture, mais elle finit par descendre et s'approcher presque machinalement de la porte. Elle s'arrête devant et elle reprend sa respiration avant d'ouvrir.
Rien n'a changé depuis la dernière fois. Les femmes aux énormes poitrines des posters la regardent entrer. Elle voit M. Francis affalé sur la banquette, il regarde son ordinateur portable. Il la regarde un instant, puis il tourne l'ordinateur pour qu'elle puisse voir ce qu'il y a à l'écran. Elle se voit sur une série de photos dans des positions indécentes. Viennent ensuite les photos où elle masturbe le sexe de M. Francis jusqu'à ce qu'il éjacule sur elle. Elle a l'air tellement offerte, avide... salope.
Elle ressemble presque aux femmes des posters. Se revoir ainsi exposée la trouble encore un peu plus. Il fait une chaleur étouffante, elle a du mal à respirer. La moindre respiration provoque une petite friction sur ses tétons tendus. Cette sensation devient familière, mais cela n'atténue aucunement les effets. Elle est excitée, elle le sait... elle a peur de ce qu'il va lui demander et surtout de ses propres réactions.
— Allez, montre-moi ce que tu portes en dessous !
Maryse voit son regard lubrique et son sourire en coin. Ses mains se déplacent le long de son corps en une caresse sensuelle. Elles passent sur son ventre, puis sur ses seins. Elle empoigne ses deux globes et les serre l'un contre l'autre offrant ainsi un décolleté généreux à cet homme. Elle pousse un petit soupir quand elle malaxe ses seins devant lui. Elle déboutonne son chemisier lentement pour faire apparaître la dentelle noire et bleu nuit de sa guêpière.
Il ne bouge pas, il est fasciné par le spectacle de cette femme qui se dénude devant lui. D'un geste, elle écarte son chemisier, ce qui fait ballotter ses deux seins maintenus bien haut par la guêpière. Elle retire son chemisier et le laisse tomber à terre. Elle prend quelques poses lascives, elle tourne sur elle-même lentement. Un mouvement sur l'écran attire son attention, il est en train de filmer la scène grâce à sa webcam. Cette situation l'excite encore plus. Quant à lui, il commence à se caresser à travers son bleu de travail.
Elle se penche légèrement pour descendre lentement la petite fermeture éclair de sa jupe. D'un petit mouvement de hanche, elle se libère de sa jupe. Elle est maintenant en sous-vêtement devant M. Francis qui se caresse avec plus de son**, les yeux exorbités. Il admire les jambes mises en valeur par des bas fumés tirés par des porte-jarretelles. Elle se tourne devant lui en se caressant le corps. Il peut maintenant voir ses fesses rebondies dévoilées par un string en dentelle assortie à celle de la guêpière. Il l'observe se pétrir les seins pour lui. Ils sont tellement appétissants, volumineux et souples. Il sort son sexe pour se masturber devant ce spectacle.
— Sors tes seins !
Elle lui obéit. D'une main, elle écarte la dentelle de la guêpière pendant que l'autre sort délicatement le sein. son téton est érigé au milieu d'une belle aréole rose. Il le dévore des yeux. Elle sort l'autre de la même manière. Elle soupèse ses deux globes pour lui. Ils ont l'air lourd. Elle les pétrit de nouveau. Il adore ça et visiblement elle aussi car elle gémit doucement. C'est encore meilleur que devant sa webcam, pense-t-elle.
— Maintenant ton string !
Elle descend ses mains le long de son corps. Elle passe ses pouces entre sa peau satinée et les côtés du string puis le descend doucement. Elle se tourne de trois quarts pour lui montrer ses fesses ainsi qu'un sein voluptueux qui pend lorsqu'elle se penche pour retirer le minuscule bout de tissus.
— Approche !
Elle n'ose pas l'entendre, elle n'ose pas lui obéir. Pourtant elle sait qu'elle ne peut plus se dérober offerte ainsi à cet homme. Elle ne peut plus nier ses propres envies. Elle est tellement excitée qu'elle n'a plus tous ses esprits. Elle regarde les posters de ces femmes offertes et se rend compte que finalement, elle est l'une d'entre elles.
— Approche !
Il n'en peut plus, il faut qu'il profite de ce corps offert. Il faut qu'il la touche, qu'il la possède. Elle s'avance langoureusement vers lui alors qu'il la regarde intensément. Elle s'agenouille entre ses jambes sans quitter son sexe des yeux. Elle le caresse du bout des doigts. Il gémit. Il se laisse faire. Les doigts de Maryse glissent le long de son sexe tendu jusque sur ses bourses, il en frissonne. Il passe sa main dans la chevelure brune de Maryse, passe derrière sa tête. Il l'attire vers son sexe. Il veut qu'elle le suce.
Elle résiste un peu et finit par approcher son visage. Elle ouvre sa bouche et glisse le long de sa verge. Il sent l'humidité et la chaleur de sa bouche sur son sexe. Sa langue joue avec son sexe. Elle le ressort doucement en serrant ses lèvres dessus. Elle n'aime pas trop prodiguer cette caresse à son mari, mais la situation est différente, elle se sent une autre femme avec M. Francis. Elle se laisse aller à ses envies. Elle continue ses va-et-vient lentement, alors que les mains de cet homme sont crispées dans ses cheveux. Tout à coup, elle sent le sexe se tendre encore plus. Il va jouir, elle ne peut se retirer, le veut-elle seulement ? Elle lui caresse les bourses alors qu'elle accélère son rythme. Il se tend en grognant. Elle reçoit un premier jet copieux dans la bouche. Le goût n'a pas le temps de la surprendre qu'elle en reçoit un second lui remplissant la bouche. Elle serre plus fort les bourses de l'homme qui grogne en jouissant dans sa bouche. Elle laisse s'échapper le sperme autour du sexe qui la remplit. Elle reçoit d'autres jets plus menus. Le goût envahit ses sens. Elle se surprend à aimer cela. Elle avale ce qui est encore dans sa bouche alors que le reste coule sur son menton, son cou jusqu'à ses seins.
Il la lâche enfin, elle se redresse. Il la regarde, ébahi. Elle se caresse et en le regardant, elle recueille d'un doigt la semence chaude qui coule sur son corps. Elle le suce ensuite devant lui, sans le quitter des yeux. Elle ne se reconnaît plus, c'est une autre femme qui l'habite. Elle recommence à récolter un peu de sperme pour le savourer de nouveau.
— Tu me rends dingue ! T'es une sacrée salope ! Tu caches bien ton jeu…
Tout en lui parlant, il se caresse le sexe semi-dur. Elle est dans un état second. Elle a besoin de jouir maintenant qu'il a eu ce qu'il voulait. Elle s'assoit par terre les jambes bien écartées et commence à se caresser le clitoris puis la vulve en gémissant de bonheur devant lui.
Elle adore ce regard lubrique qui la dévore. Elle s'introduit un puis deux doigts pour titiller cette petite zone sur le haut de son vagin tout en caressant de son autre main son clitoris qui est gonflé de désir. Il peut voir les tétons de Maryse grossir un peu plus sous l'effet de l'excitation. Ses seins sont tendus et gonflés. Sa peau prend une teinte rosée et elle pousse un cri de jouissance en se caressant frénétiquement. Sa jouissance ne dure pas longtemps, mais est très intense. M. Francis retrouve toute sa vigueur devant cette femme jouissante et offerte. Il se caresse. Il prend le temps de mettre un préservatif avant de se lever. Il prend les jambes de Maryse et lui indique de se mettre à quatre pattes devant lui. Toujours dans un état second, elle lui présente sa croupe en se cambrant au maximum.
Sa vulve est ouverte et accueillante. Elle est tellement mouillée qu'il s'enfonce d'un seul mouvement. Elle a un hoquet de surprise quand elle le sent entièrement en elle. Il l'empoigne par les hanches et s'enfonce vigoureusement en elle en mouvements saccadés. Il grogne alors qu'elle pousse des cris à chaque fois qu'il la pénètre entièrement. Elle ne tarde pas à jouir de nouveau. Il continue de la prendre.
Puis il sort de son vagin. Il présente son sexe devant son petit anus et il pousse. Il pousse très fort, elle sent sa résistance céder. La douleur qu'elle peut ressentir est atténuée par son excitation. Elle se sent tellement salope qu'elle est prête à lui offrir son dernier trou pour le satisfaire. Elle le sent envahir cet orifice qu'elle n'a jamais ouvert à personne. Elle gémit longuement tout le long de la longue pénétration. Il lui empoigne une touffe de cheveux et il commence une série d'allers-et-retours, tout d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Elle pousse à nouveau des cris lorsqu'il la pénètre. Il est totalement excité par cette femme offerte en levrette devant lui. Il s'enfonce de plus en plus brusquement jusqu'à ce qu'il jouisse bruyamment en elle. Elle le sent se tendre en elle. Elle adore ça.
Puis tout se calme. Il se retire et se rassoit sur la banquette, le sexe pendant encore gainé de latex. Elle se retourne et s'approche de lui, toujours à quatre pattes. Elle lui retire son préservatif et reprend son sexe en bouche pour goûter de nouveau à sa semence. Elle le nettoie méticuleusement pendant qu'il lui caresse les cheveux. Après quelques instants, il se lève et avant de sortir dehors, il se tourne vers elle :
— On m'avait jamais vidé comme ça !
Elle le regarde quitter la caravane sans répondre. Elle se dit que c'est le moment de récupérer les photos et la vidéo. Elle a les jambes qui flageolent encore un peu, mais elle se précipite sur son sac, trouve sa clé USB. Par chance il a déjà ouvert les répertoires contenant les photos et la vidéo. Elle copie tout et prend soin de supprimer définitivement les fichiers sur l'ordinateur. Elle récupère sa clé et éteint l'ordinateur. Elle commence à se rhabiller quand il revient de nouveau.
— Tu t'en vas déjà ? J'aurais bien remis ça, moi !
— Je dois partir, on m'attend à la maison.
Elle dit cela d'une petite voix en espérant qu'il n'y décèlera pas son mensonge. Maintenant que la tension et l'excitation sont retombées, elle est honteuse de ce qu'elle a fait. Elle ne s'imaginait pas que cela irait aussi loin. Mais elle se justifie en se disant qu'il était nécessaire de récupérer les photos. Elle finit de s'habiller, et au moment de quitter la caravane, il lui claque les fesses.
— Va falloir que tu reviennes !
Elle ne répond pas. Elle monte dans sa voiture et rentre chez elle, sous le choc de ce qu'elle a fait avec cet homme. Ses fesses et son petit trou lui rappellent jusqu'où elle a été cette fois. Malgré la honte, elle est satisfaite. Jamais elle n'avait pratiqué le sexe de cette manière bestiale. Elle ne peut se cacher qu'elle a adoré ça !
Peu de temps après être rentrée, elle reçoit un coup de téléphone de M. Francis.
— Tu m'as bien eu, salope !
— Vous comprenez, je ne pouvais pas vous laisser ces photos de moi... mais j'ai une proposition à vous faire.
— Je t'écoute.
— Je vous renverrai quelques photos sur lesquelles j'aurai effacé mon visage. De cette façon, vous garderez quelques souvenirs de nos rencontres. Et peut-être que je reviendrai... Qui sait ?
Elle n'en revient toujours pas de ce qu'elle a fait avec M. Francis. Elle était terriblement excitée malgré la bestialité de la situation. Elle a osé des choses que jamais elle n'avait tentées et cela lui a plu... énormément. Rien que d'y penser, elle sent l'excitation la gagner de nouveau. Il faut qu'elle se raisonne, elle ne peut pas continuer comme ça. Elle a dépassé les limites du convenable, elle a trompé son mari. Toutes ces pensées se bousculent, mais elle a beau ressentir de la honte pour son comportement, elle ne peut s'empêcher de penser à la jouissance qu'elle a ressentie.
Après un rapide repas, elle allume son ordinateur pour regarder ses mails. Elle en trouve un de H-mateur, son admirateur de la veille. Il lui écrit qu'il a adoré leur petit jeu de la veille. Il serait ravi de recommencer ce soir vers 21H. Elle sourit. Pourquoi pas, se dit-elle.
Elle se connecte sur le chat. Comme la veille, elle reçoit différents messages qui la laissent indifférente. Elle a encore un peu de temps devant elle pour surfer sur internet. Cette fois-ci, ses recherches sont centrées sur le sexe. Elle est dans un état second en regardant toutes ces photos de femmes se faisant prendre par derrière par des sexes monstrueux. Certaines se font éjaculer abondamment sur le visage. D'autres sont prises par deux hommes à la fois. Toutes la regardent, l'air de dire : « tu es comme nous, une salope ».
Elle reçoit une invitation de son H-mateur, qu'elle accepte. Ils discutent de tout et de rien. Puis il lui demande ce qu'elle a fait aujourd'hui. Elle hésite un instant, et finit par lui raconter son aventure. Il n'en revient pas. Il veut des preuves. Cette discussion l'amuse autant qu'elle l'excite car elle sent son partenaire très excité lui aussi. Elle l'invite alors à partager sa webcam, ce qu'il accepte avec empressement. Elle n'a pas pris le temps de se changer en arrivant. Elle commence à déboutonner son chemisier pour lui montrer ses deux seins voluptueux soutenus par la guêpière. Il commence à se caresser en profitant du spectacle qu'elle lui offre. Il lui dit qu'elle est très désirable, mais que cela ne prouve pas qu'elle se soit fait baiser cette après-midi. La seule manière de lui prouver, c'est de lui montrer son petit trou qui doit être encore rouge des assauts qu'il a subis. Elle retire donc rapidement sa jupe, ce qui fait monter d'un cran l'excitation de son mateur. Il faut dire qu'elle est diablement sexy dans son ensemble de lingerie. Elle se retourne et lui présente ses fesses bien rondes. Elle écarte son string qui ne cache pas grand chose et lui offre son petit trou. Elle peut voir sur l'écran qu'il est bien rouge et encore un peu ouvert. Il faut dire que M. Francis s'est acharné. Elle a adoré son ardeur et sa bestialité au moment où il la sodomisait. Rien que d'y repenser, elle sent son sexe mouiller. Elle lui dit :
— J'ai besoin de quelque chose en moi ! Mais je n'ai rien sous la main.
— Tu n'as pas de dildo ou de vibromasseur ? C'est étonnant de la part d'une nympho comme toi.
— Eh bien non. Comme je te l'ai dit hier, je ne me découvre des envies que depuis peu temps. Où pourrais-je en trouver un ?
— Tu as le choix, ou sur internet, ou dans un sex-shop...
— Mmmmm il va falloir que j'y pense rapidement.
Elle se caresse de plus en plus fort. Elle s'introduit même un doigt dans l'anus, ce qui l'excite encore plus. Elle le regarde se masturber comme un fou devant elle. Elle-même se caresse frénétiquement jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle se laisse aller à gémir bruyamment en le voyant décharger copieusement sur lui.
— Tu es un vrai cochon. Tu en as partout, c'est du gâchis !
— Et toi tu es une magnifique salope et gourmande en plus de ça !
Elle se caresse doucement en lisant cette dernière ligne. Il a sans doute raison se dit-elle. Il lui demande à nouveau s'ils peuvent se rencontrer. Comme la veille, elle esquive les questions trop personnelles, avant de lui dire qu'elle doit le quitter pour aujourd'hui.
Elle repense à ce qu'il lui a dit. Et si elle osait ? Elle regarde rapidement sur internet. Elle trouve des centaines de modèles, bien sûr, mais elle ne peut attendre plusieurs jours avant de le recevoir. Il va falloir qu'elle trouve le courage d'aller le chercher directement en magasin... dans un sex-shop.
Elle regarde les adresses des magasins les plus proches. Elle en choisit un qui se trouve assez loin de chez elle... peut-être qu'elle ira le lendemain après le travail. Pour l'heure, elle a bien besoin d'une douche avant de se coucher.

A suivre...


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