Quantcast
Channel: Chez Andre 112
Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Histoire du net. Auteur Inconnu. Quand une chatte devient chienne... Suite

$
0
0
De plus en plus ouverte.
De plus en plus offerte...
De plus en plus salope...

Maryse, naissance de la perversion
Suite II
Le lendemain est une journée monotone. Elle attend la fin avec impatience et évidemment la journée passe terriblement lentement. Elle a décidé de ne pas trop se laisser aller à ses nouveaux penchants au travail. C'est beaucoup trop risqué. Malgré cela, elle s'est habillée d'une robe arrivant au-dessus des genoux et très légèrement décolletée. Elle porte aussi une large ceinture pour mettre en valeur sa taille et cacher son petit ventre. Elle a chaussé des petits talons qui la font légèrement se cambrer. Elle est ravissante. Elle attire quelques regards qu'elle fait mine de ne pas remarquer. Elle ne veut surtout pas se laisser aller à l'excitation qu'ils provoquent, sur le lieu de son travail.
Une fois dans sa voiture, elle hésite encore à aller jusqu'au bout de sa démarche.
Elle était si respectable avant sa rencontre avec M. Francis, maintenant elle est devient insatiable, tout l'excite. Elle a envie de sexe. Elle a envie de jouir. Il lui semble qu'elle a perdu trop de temps emprisonnée par son éducation de petite fille sage. Elle se dit qu'après tout, il s'agit juste de rentrer dans un magasin pour y acheter un produit... pas n'importe quel magasin, un sex-shop et pas non plus n'importe quel produit, un gode. Sur ces réflexions, elle arrive à l'adresse trouvée sur internet.
Le quartier n'est certainement pas le plus huppé de la ville. Une enseigne lumineuse rouge indique le sex-shop. De l'extérieur, on ne voit rien de plus. Un épais rideau ferme l'entrée du magasin sans vitrine. Une femme en bottes de cuir noir à talons aiguilles la regarde approcher, un petit sourire aux lèvres. Elle présente fièrement une poitrine volumineuse et débordante dans un corset à lacet.
Maryse fait tout pour éviter son regard. Elle a le cœur qui s'emballe. Elle est morte de honte, mais décide de rentrer dans le magasin. Une fois dans le magasin, elle est surprise par la chaleur presque étouffante qui y règne. Un homme assez jeune l'aperçoit. Il fuit son regard. Il semble encore plus honteux qu'elle d'avoir été surpris par une femme dans cet endroit. Il se détourne rapidement pour ne pas affronter son regard. Derrière la caisse, elle voit un homme bedonnant qui après lui avoir jeté un regard, se remet à sa lecture.
Le magasin n'est pas très grand. D'un côté, il y a de nombreuses publications qui semblent beaucoup intéresser le jeune homme. Au dessus des rayons de magasines, il y a plusieurs ensembles de lingerie et de combinaison de cuir pour femme. Dans l'allée centrale, il y a de nombreux gadgets en tout genre. De l'autre côté, se trouvent les vidéos et au-dessus des rayons de DVD's, se trouvent d'autres ensembles de combinaisons. Elle remarque un petit escalier qui descend au sous-sol. Le panneau, placé au-dessus des marches, indique qu'il faut prendre ses jetons à la caisse avant de descendre. À côté de l'escalier, se trouve une petite cabine d'essayage dont le rideau semble trop court pour remplir son office correctement.
Le jeune homme quitte le magasin rapidement alors qu'elle se trouve dans le rayon des gadgets. Il y en a de toutes sortes. Elle voit des godes de toutes tailles, certains sont vraiment très gros. Elle se dit qu'elle ne pourrait jamais s'introduire quelque chose de cette taille. Elle en voit composé de boules dont la taille augmente peu à peu. Certains ont des formes très bizarres. Comment choisir parmi toute cette diversité ? Le magasin propose aussi des sortes de martinets dont le manche est en forme de sexe. Elle aimerait essayer certains de ces modèles, cette pensée l'excite. Elle continue son exploration et tombe sur des plugs. Certains ont une forme conique qui se rétrécit à la base. D'autres se terminent par une sorte de queue de cheval.
Le magasin propose toutes sortes de crèmes et autres pilules, elle passe rapidement devant ces produits. Elle voit toute sorte de vibromasseurs. Là encore la diversité est telle qu'elle ne sait pas comment choisir. Elle trouve d'autres accessoires comme des gants en cuir, et des masques. Elle se dit que cela serait très pratique pour ses petites séances devant sa webcam. Elle en choisit un qui recouvre le visage jusqu'à la base du nez. Elle a hâte de l'essayer.
Elle retourne près des godes. Elle en choisit un dont la boite dit qu'il a été moulé d'après le sexe de vingt-cinq centimètres d'un acteur. Elle le trouve très gros, mais elle est de plus en plus excitée. La boîte indique qu'il a plusieurs vitesses de fonctionnement. Par contre il est assez cher. Elle prend aussi un flacon de lubrifiant vu la taille de son choix. Elle a une boule dans l'estomac en choisissant tous ces articles. Elle regarde les combinaisons, mais le prix de ces articles la dissuade rapidement.
Maintenant, il va falloir qu'elle s'approche de la caisse avec ses achats. Tout à coup elle manque de courage. Elle regarde le caissier qui ne semble pas s'occuper d'elle. Elle hésite à tout reposer et à quitter les lieux au plus vite, mais ce serait ridicule. Elle s'approche et dépose les articles sur le comptoir. Il lève des petits yeux vers elle, puis il enregistre ses articles. Elle n'ose pas le regarder, mais elle remarque son petit jeu. À chaque article, il semble chercher le prix et en même temps, il en profite pour regarder ses seins. Il lui annonce un prix qui la fait frémir.
— Eh bien c'est... assez cher...
— Je sais ma petite dame, mais ce sont des articles de qualité qui vous satisferont bien.
Il la dévisage en lui disant cela. Elle est troublée qu'il lui parle ainsi. Elle ressent de nouveau toutes ces sensations qu'elle a quand elle se sent désirée. Elle ne peut pas contrôler son excitation.
— Je peux vous faire un prix, mais cela ne dépend que de vous !
— Comment cela ?
— Et bien cela dépend de ce que vous accepterez... de faire pour moi !
Elle voit parfaitement où il veut en venir. Cet homme bedonnant, presque chauve qui la regarde avidement avec ses petits yeux. Elle le trouve abject, mais la situation et sa demande l'excitent de plus en plus. Osera-t-elle jouer le jeu jusqu'au bout ? D'une petite voix elle lui demande :
— Que voudriez-vous que je fasse ?
— Oh, mais beaucoup de chose ma petite dame. Mais pour ces articles, laissez-moi réfléchir... 20% si je peux vous peloter les seins, 50% pour une petite gâterie en plus !
Bien entendu, elle se doutait qu'il allait lui faire ce genre de proposition, mais elle est quand même surprise. Elle trouve la situation totalement irréelle. En venant dans cet endroit, elle savait qu'elle devrait faire face à des regards lubriques. Elle avait honte d'entrer dans ce type de magasin. Elle ne s'attendait quand même pas à ce que cela tourne ainsi.
— Comme je vous le disais, cela dépend entièrement de vous.
Elle hésite. Elle n'en revient pas d'hésiter. Il y a quelques semaines, elle l'aurait envoyé balader. Oui, mais il y a quelques semaines, jamais elle ne serait rentrée dans un tel magasin. Elle jette un coup d'œil autour d'elle, il n'y a per***ne dans le magasin. D'une voix troublée, elle lui dit :
— D'accord...
— D'accord pour quoi ?
Il veut l'entendre dire elle-même jusqu'où elle est prête à aller.
— ... D'accord pour... 50%
C'est au tour du caissier d'être surpris. Ce qui n'était rien d'autre qu'un petit jeu sans espoir pour lui, devient tout à coup réalité. Elle est là devant lui, prête à lui offrir sa poitrine et à lui sucer la queue. Ses yeux s'agrandissent en remarquant les tétons pointés à travers le tissu de la robe de sa cliente. Il n'ose pas encore profiter de la situation.
Elle se cambre légèrement pour accentuer la courbe de sa poitrine. Elle respire profondément. Ses mains ne quittent pas le comptoir. Il ose enfin approcher ses mains doucement. Il passe d'abord ses doigts le long de ses seins pour tester sa réaction. Voyant qu'elle ne réagit pas, d'un coup, il lui empoigne avec plus de force. Elle a un sursaut de surprise en sentant sa poitrine serrée dans les mains de cet inconnu. Elle se laisse faire, elle se perd une fois de plus dans son excitation. Il profite passionnément de la poitrine de sa cliente en la malaxant. Il la soupèse et apprécie son volume.
Elle ferme les yeux, elle apprécie les sensations que lui procurent ces mains inconnues. Elle ouvre grands les yeux en poussant un petit cri quand elle le sent lui pincer les tétons pour ensuite les tirer vers lui. Elle n'a d'autre choix que de se pencher un peu sur le comptoir. Il a un sourire carnassier maintenant qu'il profite pleinement de cette volumineuse poitrine.
— Viens me rejoindre !
Elle fait le tour du comptoir pendant qu'il défait la fermeture éclair de son pantalon. Il en sort un sexe circoncis plutôt court et déjà bandé. Une petite goutte de liquide perle au bout de son gland violacé. Il sort aussi ses bourses poilues en les caressant.
Elle s'agenouille devant lui et commence par lui caresser le sexe. Ses doigts parcourent toute sa longueur et font le tour de la base du gland, provoquant un gémissement du caissier. Il lui relève le menton et lui indique de se mettre sous le comptoir. Elle s'installe à genoux sous le comptoir étroit. Elle reprend ensuite ses caresses. Elle passe maintenant sa langue le long de sa verge malgré l'odeur forte qu'elle dégage. Elle pose ses lèvres sur le gland puis elle descend le long de ce sexe, appréciant son volume dans sa bouche. son front frotte contre la bedaine du caissier. Elle entame un mouvement de va-et-vient. Le bruit qu'elle fait en le suçant l'excite un peu plus encore.
Tout à coup elle se fige en entendant la sonnette du magasin retentir. Quelqu'un vient d'entrer. Elle n'ose plus bouger. Si on la découvrait, elle mourrait de honte sur l'instant. D'un geste de la main, il lui ordonne de continuer. Après une hésitation, elle le reprend en bouche et, le plus discrètement possible, elle recommence à le sucer pendant que l'inconnu erre dans les rayons du magasin.
Le client s'approche du comptoir et y pose quelque chose. Le caissier enregistre l'article et lui annonce le prix. L'autre cherche quelques instants sa monnaie, paye le caissier et quitte le magasin. Pendant tout ce temps, Maryse continue à sucer le sexe du caissier. son cœur bat la chamade. La peur d'être découverte a décuplé son excitation.
Quand elle entend le client quitter la boutique, elle commence à le sucer furieusement. Elle a accéléré ses mouvements. Elle aspire son sexe. Elle commence à se caresser frénétiquement d'une main jusqu'à la jouissance. L'homme n'en peut plus de se retenir. Il lui attrape les cheveux et la force à le garder en bouche. Et dans un râle puissant, il lui éjacule dans la bouche. Elle essaie d'avaler sa semence au fur et à mesure, mais elle en laisse s'échapper un peu. Elle sent le liquide couler le long de son menton et s'écraser sur sa robe au niveau de son sein gauche. Il la libère enfin en gémissant.
— Eh bien ma petite dame, vous avez bien mérité votre remise de 50% !
Elle lui sourit ravie. Il lui présente un mouchoir en papier pour essuyer le surplus de sperme qui macule sa robe. Elle se relève et retourne de l'autre côté du comptoir un peu flageolante. Elle paie ses articles avec 50% de réduction et s'apprête à quitter le magasin quand il l'appelle. Elle se retourne.
— Vous pouvez revenir quand vous voulez ma petite dame. Au revoir.
Elle sort, elle apprécie l'air frais quand elle entend une voix de femme.
— Eh bien, ma jolie, on a pris du bon temps à c'qu'on dirait ! Faudrait pas me faire trop de concurrence quand même ! Ça te dirait d'en prendre avec moi ?
Elle se retourne et voit la femme qui était à l'entrée du magasin tout à l'heure. Elle lui sourit et a une moue entendue quand elle remarque la tache sur le haut de la robe de Maryse. Elle reste un moment figée sur place. Elle regarde cette femme habillée d'une combinaison de cuir comme elle en a vues dans le magasin. Sa poitrine déborde de son corset qui accentue la finesse de sa taille. Ses bottes à talons aiguilles lui cambrent la silhouette. Cette femme sait très bien ce qui s'est passé dans le magasin. Elle la regarde comme si elle appréciait une marchandise. Elle était déjà troublée en sortant du magasin et le regard de cette femme ne fait qu'augmenter son état. Elle trouve enfin le souffle pour lui répondre :
— ... Euh non... désolée... je dois y aller, on m'attend...
— La prochaine fois alors.
Maryse se retourne et se dirige vers sa voiture d'un pas mal assuré. Les sensations qu'elle a eues ont été trop fortes. Il faut qu'elle se calme avant de reprendre le volant. Elle essaie de respirer doucement pour se détendre. Elle démarre peu de temps après sa voiture pour rentrer chez elle.
Quand elle sort de son garage, elle est interpellée par sa voisine, Mme Chelau. Elle vérifie rapidement que ses achats ne sont pas identifiables. Elle se dirige ensuite vers elle en la saluant. Mme Chelau est une petite femme sèche d'une cinquantaine d'années. Elle porte des lunettes, ses cheveux châtain clair sont coiffés assez court. Elle a toujours une attitude pincée et son sourire comme son regard n'est jamais franc. Elles discutent de la pluie et du beau temps et des autres voisins. Mme Chelau est une vraie concierge... puis cette dernière lui dit :
— Oh vous vous êtes tachée !
Maryse devient rouge pivoine et balbutie une histoire de café... qui ne convainc pas sa voisine inquisitrice.
— Ça ne ressemble pas à une tâche de café, enfin bon si vous dites…
Maryse essaie d'écourter aussi poliment que possible la conversation en prétextant une journée harassante au travail. Mais l'autre continue de plus belle en lui posant de nouvelles questions sur son travail, ses conditions... Elle finit tout de même par lui dire au revoir. Elle rentre chez elle en essayant de ne pas se précipiter.
Elle ne peut attendre plus longtemps avant d'ouvrir ses paquets. Elle essaie tout d'abord le masque qui s'ajuste sur son visage jusqu'au nez. En se regardant dans le miroir, elle se dit qu'ainsi personne ne pourra la reconnaître.
Elle sort le gode de sa boite. Il est vraiment gros et épais. Elle se dit qu'elle a peut-être exagéré en prenant ce modèle. La texture la surprend, elle ressemble à s'y méprendre à de la peau. Il est parcouru de grosses veines qui la font presque frémir d'envie. Il y a une grosse ventouse à la base des deux grosses boules de ce sexe géant. Elle manque de le lâcher quand elle l'actionne. Il est pris de mouvement rotatif d'une force qui l'impressionne. Elle sélectionne une autre position qui entraîne un mouvement de va-et-vient dont elle peut faire varier la vitesse.
Elle se déshabille entièrement, puis elle se dirige vers son armoire pour choisir une tenue dans laquelle elle va s'exposer devant sa webcam. Décidément, elle se rend compte que sa lingerie est trop classique et rien ne va avec son masque... Elle choisit un ensemble rouge à fines bretelles qui fera l'affaire. Elle est très excitée à l'idée d'essayer son nouveau jouet sous le regard avide d'un spectateur. Elle passe ensuite un peignoir avant de s'installer sur son lit. Elle cache son jouet sous son oreiller et démarre son ordinateur.
Elle a de plus en plus de succès sur son chat.
Elle discute un peu avec d'autres internautes avant d'accepter l'invitation d'une certaine Mme XDom. son interlocutrice est très directe et directive. Elle lui pose de nombreuses questions sur sa vie sexuelle. Elle semble très intéressée par les changements qui se sont opérés chez Maryse depuis quelques semaines. Elle lui demande si elle est aussi excitée par le regard des hommes que celui des femmes. Maryse lui répond que oui, mais que les femmes savent être plus discrètes, et qu'il est plus difficile de les surprendre. Maryse finit par lui raconter sa dernière aventure au sex-shop.
Mme XDom met un peu plus de temps à lui répondre et finit par lui dire qu'elle est une sacrée salope et qu'elle aimerait bien la voir en action. Alors que Maryse se serait offusquée qu'on la traite ainsi il y a quelque temps, elle est maintenant très excitée dès qu'on lui parle ainsi. Elle l'invite à brancher sa webcam et son micro. Elle désire voir son interlocutrice. La femme qui apparaît sur son écran doit avoir une quarantaine d'années. son visage fin est encadré d'une chevelure brune très courte. Ses yeux d'un bleu très clair sont mis en valeur par un maquillage foncé. Elle est, elle aussi, en peignoir négligemment ouvert laissant apparaître un petit sein dont le téton pointu darde au milieu d'une petite aréole rose. Cette femme dégage une autorité naturelle qui trouble Maryse. Tout à coup elle comprend le pseudo de son interlocutrice, Dom pour Dominatrice. Elle en est encore plus troublée. Mme XDom, après avoir passé sa langue sur ses lèvres, lui dit :
— J'aime beaucoup ton masque ma chérie. Il te va à ravir, mais j'aimerai voir le reste de tes charmes.
— Euh oui…
Avant qu'elle ait pu dire quoique ce soit d'autre, Mme XDom la reprend durement:
— Dès lors que tu t'adresses à moi, tu finis tes phrases par Madame ! Au moindre manquement, il t'en coûtera.
Maryse est de plus en plus troublée. Elle se rend parfaitement compte de son trouble et de l'excitation qu'elle ressent. Elle sent qu'elle commence à mouiller abondamment. Après tout qu'a-t-elle à perdre à jouer le jeu ? Si jamais cela va trop loin, elle peut tout arrêter en un clic. Elle lui répond timidement :
— Oui, Madame
— C'est bien, ma chérie, maintenant ouvre ton peignoir.
Elle ouvre doucement son peignoir, pour laisser apparaître sa lingerie rouge. Elle se sent intimidée par cette femme qui ne laisse rien deviner de ses sentiments. Elle finit par le retirer entièrement.
— Cambre-toi... oui c'est bien, ma chérie. J'aime que tu m'obéisses. Passe tes mains dans tes cheveux... oui c'est bien... cambre-toi au maximum. Présente-moi tes beaux fruits.
Maryse obéit docilement à toutes ses demandes. Elle est de plus en plus excitée de se laisser diriger de la sorte par une autre femme. Elle lui présente ses seins en se cambrant. Cette position, bien qu'inconfortable, l'excite beaucoup et plus encore quand elle voit son interlocutrice sourire en appréciant sa poitrine.
— Tu me plais. Je me demande jusqu'où tu serais prête à aller pour me satisfaire...
— Demandez-moi ce que vous voulez... je suis... à vous, Madame
— Je me demande si tu te rends compte de ce que tu m'offres. Mais soit j'accepte. Avant que nous fassions réellement connaissance, tu vas me montrer ce fameux jouet dont tu m'as parlé.
Maryse, le cœur battant, se retourne pour prendre le gode qu'elle vient de s'offrir. Elle lui présente ainsi ses fesses rebondies. Mme XDom n'en perd pas une miette. Elle sort le gode de sa cachette et le lui montre.
— Eh bien, ma chérie, c'est une belle taille. Tu as déjà eu un homme aussi gros en toi ?
— Non, Madame
— Quel dommage que tu ne sois pas avec moi.
— Oh oui, Madame
— Es-tu prête à faire exactement ce que je vais te demander ? Réponds-moi franchement.
— ... Oui... Madame
— Bien. Demain tu viendras à 19h à l'adresse que je vais t'envoyer par mail. Il faudra que tu sois la plus désirable possible. Tu apporteras aussi ton gros jouet. Pour ce soir nous allons terminer là. Je ne veux pas que tu essaies ton jouet avant demain. Tu ne te feras pas jouir non plus. Je compte sur toi ! Est-ce que tu m'as bien comprise ?
Maryse hésite. Dans quoi s'engage-t-elle ? Elle ne va quand même pas se présenter chez cette femme qu'elle ne connaît pas. Mais l'excitation l'empêche de se raisonner complètement.
— Oui, j'y serai... Madame
Le lendemain est une journée plus courte pour Maryse. Le vendredi, elle finit son travail plus tôt, ce qui va lui laisser une soirée plus longue. Elle ne cesse de repenser à Mme XDom. Une fois l'excitation retombée, l'idée d'aller chez cette inconnue ne lui semble pas raisonnable.
D'ailleurs son comportement de ces derniers temps est totalement irraisonnable. Une partie d'elle voudrait se reprendre mais les dernières expériences qu'elle a vécues lui ont apporté tellement d'excitation et de plaisir qu'elle ne s'en sent pas capable. Elle n'en a pas la volonté. S
Le moindre regard sur son corps réveille en elle une envie insatiable. Elle reste tout de même assez forte devant ses envies à son travail. Ce lieu est beaucoup trop difficile à gérer. Malgré cette décision, elle s'habille de manière plus sexy tout en restant correcte. Elle porte aujourd'hui des talons hauts qui cambrent sa silhouette, une jupe tailleur bleu clair arrivant au-dessus du genou, une veste légère assortie par-dessus un petit chemisier blanc.
Elle remarque les regards qui se posent sur elle. Certains de ses collègues osent quelques compliments qui la font sourire. Elle trouve très agréable d'être aussi désirée, mais elle reste ferme sur sa décision de résister à ses envies les plus folles au travail. Elle décide aussi d'envoyer un e-mail à la mystérieuse Mme XDom :
« Bonjour Madame, Je suis sincèrement désolée mais je suis obligée d'annuler notre rendez-vous de ce soir. Hier soir, j'ai été prise d'une folie provoquée par l'excitation. Je ne suis pas encore prête à vous rencontrer. Je serai heureuse de continuer à dialoguer avec vous si vous le souhaitez. Votre dévouée... »
Elle envoie son email avant de quitter le bureau. Elle se dit qu'elle va profiter de son temps pour aller flâner au centre commercial. Elle trouvera sûrement quelques petits achats à faire et puis il y aura du monde...
Elle monte dans sa voiture et se dirige vers le centre commercial. Elle conduit sans penser à rien. La journée est ensoleillée, c'est très agréable. À un feu rouge, elle retire sa petite veste de tailleur. Elle est obligée de se contorsionner un peu pour ne pas l'abîmer. C'est alors qu'elle remarque le regard d'un ouvrier dans une camionnette sur sa gauche. Il l'observe sans se soucier qu'elle le remarque.
Elle fait mine de ne pas le voir. Elle sent qu'elle est de nouveau prise par l'excitation de se montrer. Sa respiration s'est accélérée. Sa jupe s'est un peu relevée alors qu'elle retirait sa veste et elle offre à cet ouvrier la vue de ses cuisses nues. Elle prend dans son sac un petit tube de rouge à lèvre et fait remonter un peu plus sa jupe qui est maintenant un peu plus haute sur ses cuisses. Elle se passe sensuellement du rouge sur ses lèvres tout en essayant de voir son spectateur dans son petit miroir. Il la regarde avidement et cela l'excite de plus en plus. Il lui semble que la température monte de quelques degrés dans sa voiture.
Le feu passe soudainement au vert et la camionnette démarre. Elle se reprend et démarre elle aussi. Elle a maintenant une petite boule dans l'estomac. Elle ne sait pas ce que va lui réserver cette soirée mais elle commence bien. Elle a de moins en moins d'inhibition, cela l'effraie un peu, mais l'excite davantage encore.
Après s'être garée dans le parking couvert, elle se dirige vers les boutiques. Elle passe devant les vitrines sans grande conviction. Tout ce qu'elle voit est plutôt classique. Elle ne sait pas vraiment ce qu'elle recherche. Elle entre dans plusieurs boutiques, regarde les différents articles mais elle n'est pas satisfaite de ce qu'elle voit. Elle arrive devant une boutique qu'elle ne connaît pas. La vitrine présente des mannequins habillés de manière très sexy. Elle reste quelques instants devant cette vitrine.
L'un des mannequins est habillé d'une mini-jupe blanche très moulante qui ne couvre qu'une toute petite partie du haut de ses cuisses. Le haut est de la même matière et fait ressortir impudiquement les tétons artificiels du mannequin. Des talons aiguilles blancs à la pointe argentée finalisent la tenue. Un autre mannequin porte des bottes à talons hauts, un short couvrant tout juste les fesses et un haut totalement ouvert à l'arrière et laissant deviner la forme de ses seins.
Elle hésite quelques instants devant cette vitrine avant de se dire que c'est de la folie, elle ne peut se permettre de porter ce genre de tenue. Elle continue son exploration de la galerie commerciale. Sans rien trouver. Tout lui paraît fade.
Elle se retrouve « par hasard » devant la vitrine qui l'a faite hésiter une demi-heure plus tôt. Elle se décide à rentrer pour voir ce que le magasin propose d'autre. Elle est accueillie par le sourire d'une vendeuse d'une trentaine d'années. Elle regarde les différents articles. La vendeuse lui demande si elle a besoin d'aide. Elle lui répond que pour le moment elle souhaite découvrir par elle-même ce que la boutique propose. Elle prend le temps d'observer la vendeuse qui s'affaire à remettre des tops en place.
Elle est plus grande qu'elle, fine, ses longues jambes sont mises en valeur par des bottes à talons aiguilles, le même modèle qu'en vitrine. Elle porte une jupe courte évasée qui ne cache rien de ses cuisses fuselées. Ses petits seins sont libres sous son haut moulant. Elle peut distinctement voir les petits tétons tendre le tissu. Elle est très troublée d'observer cette femme et son trouble augmente encore plus quand elle remarque à travers le tissu un petit anneau suspendu au téton droit de la vendeuse.
Elle veut essayer la jupe blanche moulante qu'elle a vue en vitrine. Elle souhaite juste voir par curiosité ce que cela donnerait sur elle. Elle choisit aussi le top échancré dans le dos de même couleur. Une fois le rideau de l'unique cabine d'essayage tiré, elle se déshabille et enfile la jupe ainsi que le petit haut.
En s'observant dans la glace, son excitation augmente. Elle est tout à fait impudique. La jupe couvre tout juste le haut de ses cuisses et moule indécemment ses fesses. Le petit haut est très sexy, l'ouverture du dos est très large et la met joliment en valeur. Si elle lève les bras trop haut, on peut apercevoir la courbure de ses seins soutenus par un soutien-gorge blanc. L'avant du haut est tendu par sa poitrine. La vendeuse lui demande si elle est satisfaite ou si elle veut qu'elle lui apporte une autre taille. Maryse ouvre le rideau et aperçoit une lueur furtive dans le regard de la vendeuse. Après un regard appréciateur, cette dernière lui dit :
— Il y a deux détails qui ne vont pas. Le premier, votre soutien-gorge. Avec un haut comme celui-ci, il ne faut pas en porter, cela gâche l'effet de l'échancrure du dos. Le deuxième, c'est que l'on voit le tracé de votre culotte, et avec ce genre de jupe il faut soit porter un string soit... rien du tout.
Maryse est surprise par cette dernière remarque et est prise d'un petit rire nerveux :
— Je ne pourrai jamais sortir comme ça sans culotte…
La vendeuse lui lance un regard coquin :
— Vous devriez essayer, cela peut être très excitant et amener du piment dans votre vie de couple…
Maryse referme le rideau en lui disant qu'elle va essayer sans le soutien-gorge. Quand elle ouvre de nouveau, elle peut voir dans le regard de la jeune femme une sorte d'envie. Elle lui dit :
— Je ne suis pas sûre que cela soit aussi joli que sur vous. Je n'ai pas les seins assez fermes je pense…
Maryse s'observe dans la glace en disant cela. Elle peut voir dans le miroir que la vendeuse observe ses courbes.
— Je trouve au contraire que cela vous va à ravir. Faites quelques pas... oui c'est très bien, cela vous va parfaitement. Vous allez rendre fou votre partenaire. En tout cas à sa place, je serais conquise…
La jeune femme l'observe sans retenue. Maryse se demande quelles idées peuvent traverser son esprit. Elle sent ses seins libres caressés par le tissu. À chacun de ses pas ils se balancent légèrement. Elle adore cette sensation de liberté qu'elle avait presque oubliée. Elle retourne dans la cabine et se change de nouveau. Puis elle se souvient des talons aiguilles de la vitrine. Pourquoi ne pas les essayer aussi se dit-elle. Elle demande à la vendeuse s'il lui reste cet article dans sa pointure.
— Mais bien sûr. Je vais les chercher tout de suite.
Elle revient quelques instants plus tard, avec une boîte et la fameuse paire de chaussures. Elles sont superbes, fines et blanches. Le talon est argenté. La jeune femme s'accroupit devant elle pour lui passer délicatement les chaussures à ses pieds. Elle lui soutient la cheville. Ce simple contact l'électrise, mais elle n'ose pas aller plus loin de peur de rompre la magie de l'instant.
Elle se lève et marche un peu à travers le magasin. Elle pensait avoir plus de mal à s'habituer à la hauteur de ces talons. Ils l'obligent à se cambrer un peu plus encore. Cela fait ressortir sa poitrine et ses fesses. Elle imagine sans mal l'effet qu'elle produirait avec la petite jupe qu'elle a essayée et le petit haut. La vendeuse l'observe et lui dit :
— Vous semblez très à l'aise avec ces hauts talons, tout le monde n'a pas votre aisance. Ils vous vont à ravir.
Maryse rougit légèrement et remercie la vendeuse pour ses compliments. Elle se décide à prendre tous les articles qu'elle a essayés. Elle remet ses chaussures à talons qui lui paraissent bien bas après avoir essayé les autres. La vendeuse réunit les articles dans un sac et après avoir encaissé lui dit de ne surtout pas hésiter à revenir si elle a un souci avec l'un des articles ou pour toute autre raison. Maryse la remercie de sa gentillesse et l'assure qu'elle reviendra.
Elle continue à errer dans la galerie, puis une idée saugrenue lui traverse l'esprit. Elle a envie de voir l'effet qu'elle peut produire en portant cette nouvelle tenue. Rien que d'y penser, l'excitation la gagne. Il faut qu'elle trouve un endroit pour se changer. Elle ne peut pas revenir au magasin, cela serait absurde. Elle réfléchit, regarde autour d'elle puis elle aperçoit un panneau indiquant les toilettes publiques. Ce n'est pas l'idéal se dit-elle mais s'il n'y a personne, cela pourra faire l'affaire.
Elle se retrouve dans un petit couloir éclairé de néons. L'ambiance est un peu glauque mais curieusement cela rajoute à son excitation. Elle se sent presque fébrile. Elle ouvre la porte des toilettes pour dames. Il n'y a personne. Elle se dirige vers l'une des cabines du fond et s'enferme. Elle n'a pourtant pas couru mais elle est obligée de reprendre sa respiration pour se calmer un minimum.
L'endroit est assez propre heureusement.
Fébrilement elle retire sa veste et son chemisier. Elle hésite quelques instants puis se décide à retirer son soutien-gorge. Elle passe ensuite son nouveau haut. Elle apprécie la sensation de l'effleurement du tissu sur sa peau. Elle retire ensuite sa jupe tailleur et là encore hésite un instant. son cœur bat la chamade. Elle ne peut quand même pas se balader les fesses à l'air se dit-elle. Et pourquoi pas. Après tout, elle s'apprête à se promener dans une tenue plus que suggestive. Elle arrête ses réflexions et retire en toute hâte sa culotte. Elle se rend compte de la folie de son attitude mais elle a envie de vivre cette petite expérience. Personne ne saura qu'elle est nue sous sa jupe.
Elle passe la jupe et après avoir baissé le couvercle, s'assoit sur la cuvette pour mettre ses nouveaux talons-aiguilles. La jupe est si courte qu'elle sent la fraîcheur du couvercle sur une partie de ses fesses. Elle la tire vers le bas mais elle peine à la couvrir décemment. Une fois habillée et ses vêtements jetés dans le sac, elle sort de la cabine. Elle est saisie par son reflet. Sa tenue la change du tout au tout. Elle qui s'habillait toujours assez classiquement, est maintenant très provocante. Elle se tourne légèrement, et en s'observant, se demande si elle n'a pas été trop loin...
La porte s'ouvre et une femme d'un certain âge la regarde avec désapprobation. Elle ne peut plus revenir en arrière et ce regard est comme un défi pour elle. Elle va assumer cette envie de se montrer et de provoquer le désir.
Elle sort des toilettes, et dans le couloir, elle croise un vigile à la carrure de rugbyman. Il la dévisage. Elle sent son regard comme si c'était ses grosses mains qui lui parcouraient le corps. Les talons l'obligent à accentuer le déhanchement de sa démarche. Elle l'entend émettre un petit sifflement qui traduit son plaisir de la regarder. Elle se retrouve dans la galerie de nouveau.
Elle sent nettement la différence. Tous les hommes qui la croisent ne peuvent s'empêcher de la regarder. Leurs regards sont tantôt discrets, tantôt appuyés. Certains lui sourient, d'autres restent la bouche ouverte. Elle croise un groupe de quatre jeunes dont elle entend les sifflements et les commentaires :
— Regarde cette nana ! Elle a une de ces paires de nibards...
— Elle a un cul d'enfer...
— Elle est bandante !
Cela la fait sourire. Elle ne s'offusque pas de leurs commentaires, au contraire cela l'excite davantage. Elle croise un couple dont l'homme s'arrête tout net de parler en la regardant. Sa partenaire lui donne un coup dans les côtes pour le rappeler à l'ordre et la fusille du regard. Elle semble attirer tous les regards.
Elle croise celui de certaines femmes où se mêlent un brin de jalousie et de désapprobation quand ce n'est pas de l'envie. Elle sent ses seins bouger au rythme de ses hanches. Le frottement du tissu sur ses tétons les fait se tendre et lui procure un plaisir augmenté par le regard que les gens posent sur son corps.
Elle s'arrête devant une vitrine autant pour observer le reflet des gens que pour regarder les paires de bottes qui y sont exposées. Certains n'hésitent pas à lui regarder longuement les fesses alors qu'ils la croisent. D'autres se retournent plusieurs fois pour profiter le plus longtemps possible du spectacle qu'elle leur offre. Elle s'intéresse de près à une paire de chaussures en contrebas qui l'oblige à se pencher un peu. Elle offre ainsi sa croupe arrondie et moulée à la vue des passants qui n'en perdent pas une miette. Alors qu'elle admirait une paire d'escarpins, elle sent une main se plaquer sur sa fesse gauche et profiter l'espace d'un instant de leur fermeté. Elle sursaute en poussant un petit cri.
En se retournant, elle voit un vieux monsieur s'éloigner d'elle et lui faire un petit signe de la main. Elle n'a pas vraiment eu le temps de réagir. La respiration haletante, elle ressent plusieurs impressions. D'abord une part de honte, elle s'est offerte dans cette tenue. Puis une satisfaction grandissante car elle sait qu'elle est excitante.
Avec toute cette excitation, elle a besoin de boire quelque chose. Elle se dirige vers un petit bar assez branché pour se désaltérer et surtout pour reposer un peu ses pieds. Même si elle n'a eu aucun mal à adopter ses talons, ils restent difficiles à garder longtemps aux pieds. son entrée ne passe pas inaperçue.
Les hommes l'ont tous vue et elle a senti leur regard carnassier sur elle. Elle se met au bar. Elle ne compte pas rester bien longtemps. C'est une femme brune au regard bleu qui sert au bar. Elle semble apprécier tout autant que les hommes du bar ce qu'elle voit. Elle s'approche :
— Qu'est-ce que je vous sers ?
— Euh, je ne sais pas... surprenez-moi avec un cocktail, répond Maryse en souriant.
— D'accord. En attendant tachez de ne pas créer d'émeute.
Elle lui fait cette dernière remarque avec un sourire enjôleur. Peu après elle lui apporte un cocktail glacé d'une couleur rouge.
— Et voilà pour la vamp de la soirée. Oh si, tout le monde vous dévore des yeux. Et je dirais que vous en êtes consciente…
La serveuse la laisse déguster son cocktail à base de rhum et de liqueur de fraise. Elle ne tarde pas à être rejointe par un homme d'une quarantaine d'année. Il est tout d'abord assez discret, mais elle le surprend à plusieurs reprises regarder ses jambes ou sa poitrine. Ce petit jeu l'amuse. Elle est grisée par le désir des autres à moins que cela ne soit l'alcool qui commence à faire son effet.
Cet homme a un physique assez banal, la quarantaine, ses cheveux commencent à virer au gris par endroit. Il porte un costume dépareillé.
Il appelle la serveuse et lui murmure quelque chose qu'elle n'arrive pas à entendre. Elle s'éloigne pour préparer un nouveau cocktail et le présente à Maryse en lui disant que ce dernier est offert par son voisin. Maryse se tourne vers lui et lui adresse un petit signe de la tête en souriant pour le remercier. C'est la première fois qu'elle se voit offrir une boisson dans un bar, cela lui plaît et lui fait peur en même temps. Que va-t-il se passer ensuite ? Va-t-il s'approcher, lui parler, lui faire une proposition indécente ? Elle est plongée dans ses réflexions l'estomac un peu serré quand l'homme s'approche d'elle et s'assoit à ses côtés. Elle n'ose plus le regarder. Elle est soudain prise d'un doute, elle est sans doute allée trop loin.

C'est pas fini...

Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Trending Articles