Les voyages forment la jeunesse...
On the road !!!
Épisode I
Mes chers parents,
De là ou vous êtes, vous devez certainement me voir entrain de débarrasser tous vos papiers et votre appartement. C’est dur, très dur. Vous me manquez les deux. Terriblement. Surtout toi maman.
Encore plus dur quand je suis tombé sur un vieux paquet de lettres et que j’ai reconnu mon écriture de gamin et les timbres sur les enveloppes. Des timbres de France, de Grèce, et de beaucoup d’autres pays. C'est vrai que j'ai beaucoup voyagé.
C’est incroyable que vous ayez gardé toutes ses lettres.
J’ai retrouvé aussi celles de mon premier voyage. Deux mois complets en voiture avec Jean-Yves et Bernard à sillonner l’Europe autour de la Méditerranée. Un long périple. Mon premier. Cela vous a coûté de me laisser partir seul avec eux. Pourtant j’avais dix sept ans. Mais c’est vrai que l’on me les donnait pas. Toujours obligé de monter ma carte d’identité. Le temps passe vite. Déjà plus de vingt cinq ans.
Il a fallu que je bataille ferme pour obtenir votre accord. Et Jean-Yves et Bernard sont venus dix fois vous expliquer qu’il n’y avait pas de danger. Qu’ils prendraient soin de moi. Ils avaient quels âges à l’époque? Voyons. Bernard devait avoir dix huit et Jean-Yves presque vingt. Et en plus ils faisaient plus vieux que leurs âges. A cet âge là, un an c’est beaucoup. C’étaient et cela reste mes meilleurs amis. Des amis de toujours. Des amis de trente ans comme on dit aujourd’hui. Ils m’ont beaucoup aidé lors de votre accident. Sans eux j'aurais craqué car c'était insupportable dans ce cimetière.
J’ai dénoué la ficelle qui retenait les lettres de ce voyage. Elles étaient toutes là. Même celle d’Epidaure. Celle que vous avez reçu bien sur.
Vous vous souvenez?
Je vous avais promis de vous écrire très régulièrement pour vous rassurer. J’ai tenu ma promesse et toutes les semaines vous receviez de mes nouvelles. Des lettres naïves, enthousiastes, rassurantes, émerveillées, et malhabiles.
Bref, des lettres que pouvait écrire un jeune garçon timide et crédule quand il quitte ses parents pour la première fois et part à la découverte du monde avec ses deux meilleurs potes, plus âgés que lui.
De là-haut vous devez tout savoir maintenant.
Alors lisez celle ci. Elle remplace celle que vous avez reçu d’Epidaure.
“”.... Delphes, citée magique. Haut lieu touristique. Luminosité incroyable, à l’identique de la beauté à couper le souffle des vieux monuments accrochés aux collines?
Nous avons visité toute la journée les ruines sous un soleil de plomb, près de quarante degrés, et c’est complètement crevés, que nous regagnions l’auberge de jeunesse à la tombée de la nuit. Jean-Yves et Bernard sont passablement éméchés. Moi je n’ai pas du tout aimé le Retzina.
L’auberge est comme toutes les précédentes. Grouillante de jeunes de toutes les nationalités. Elle est pleine à craquer. Une convivialité juvénile et un esprit d’aventure partagés par tous les locataires.
Comme d’habitude, nous sommes vingt jeunes dans une petite chambre en sous sol, qui ne comprend que sept lits superposés, alignés perpendiculairement le long d’un mur crépis de blanc. Entre les lits, juste de la place pour mettre un duvet à même le sol.
Par miracle, j’arrive à avoir un lit. Bernard est obligé de coucher dans le couloir et Jean-Yves à l’autre bout de la pièce, à même le sol, uniquement protégé par son duvet. Il dort déjà. Faut dire que leur vin sucré lui a particulièrement plu.
La chaleur moite qui règne dans la pièce est étouffante. Mélange de sel, de sueur, de chaussettes, de chaussures, etc.... Tout le monde est en slip ou en maillot de bain. Les corps luisent sous une veilleuse qui éclaire faiblement la chambre.. Ça doit vraiment puer dans la piaule.
Mes voisins de droite et de gauches sont des nordiques. Le lit au dessus du mien est aussi occupé par un des gars du même groupe. Ils parlent bruyamment entre eux malgré l’heure tardive. Cela n’empêche pas les autres de dormir en ronflant. Nous sommes tous crevés à vouloir profiter pleinement de nos journées. Je suis assis sur le bord de mon lit. Seul français réveillé et fatigué, perdu au milieu de ce groupe de mecs d'Europe du nord. Ils ont en plus le physique de leur région. Grands, blonds, et toutes leurs dents bien blanches. Et en plus cheveux coupés en brosse. La totale quoi...
Il est très tard, peut être une heure du mat. Tous les autres dorment, à l’exception de mon groupe d’excités. Je n’ai pas sommeil non plus, malgré la fatigue de la journée. On voit assez mal car la veilleuse est à l’autre bout de la pièce.
Le seul type encore debout, s’est brusquement adressé à moi. Je n’ai rien compris. D’un haussement d’épaule, accompagné d’un sourire contrit, je lui fait part de mon incompréhension. D’un doigt, il me touche le torse et ensuite le pointe vers le lit au dessus du mien.
Le type ressemble à ces héros de film biens baraqués. Tout mon inverse. Il s’approche de moi et se colle contre le lit superposé. Ses bras font de grands mouvements sur la couchette du dessus. Assis sur la mienne, j ‘ai juste son slip à quinze centimètres de ma joue gauche.
Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment là. Impossible de regarder devant moi en ignorant cette promiscuité. Mes yeux se sont rivés à la bosse du maillot rouge. J’étais comme hypnotisé par le renflement rouge et ce qu’il laissait deviner.
Vous savez biens vous, mes chers parents, que malgré mes fanfaronnades, je n’avais aucune expérience sexuelle, à l’exception de mes branles nocturnes. J’étais puceau. Vraiment puceau.
J’étais terriblement troublé par cette bosse rouge que je voyais de profil. Impossible de ne pas imaginer ce qu’elle cachait. Le gars devait farfouiller dans son sac à dos. Cela ne l'empêchait pas de discuter avec ses potes couchés sur leurs lits trop petits pour leurs gabarits. Bien entendu je ne comprenais rien de ce qui se disait entre eux.
Très difficilement, j’ai pu détacher mon regard du maillot rouge serré sur le bassin et les fesses du mec. C’est alors que je me suis aperçu que les autres me regardaient avec des sourires ironiques.
Le type debout fit quelques pas latéraux vers moi. Pour lui faciliter le passage dans l’étroit couloir, j’ai largement écarté les jambes. A ma grande stupeur, il s’est arrêté entre elles. Je me suis reculé dans un mouvement de buste. Le gars a avancé son bassin au maximum en se cambrant. J’entendais les rires discrets de ses copains. J’avais la bosse à dix centimètres de mon visage. Parfaitement devant mes yeux et me bouchant tout autre horizon. C’était complètement fou. J’entendais les ronflements des autres occupants. Il m’a semblé que les nordiques se sont mis à parler moins fort brusquement.
Le mec debout entre mes jambes était immobile. Moi je n’osais pas bouger. Impossible d’ignorer cette bosse. On aurait dit qu’elle avait grossi. Je sentais l’odeur de sueur et de sel. Je voyais en gros plan le ventre musclé couvert de fins poils blonds, les friselis humides des poils du pubis qui dépassaient de la ceinture, les hauts des cuisses, musclés, épais, poilus, luisant de sueur.
J’étais tétanisé, mon cœur battant la chamade. Je devinais les contours très nets sous la bosse. La forme du sexe, sa taille, la grosseur du gland et des testicules. Je tremblais, mélange de curiosité et d’angoisse. Je devinais les regards des autres nordiques couchés a droite et à gauche de mont lit.
Pourquoi restait il autant de temps entre mes jambes comme ça?
Pourquoi ces mouvements de bassin qui rapprochaient sa bosse de mon visage couvert de sueur? Pourquoi ce silence brutal et ces grincements de sommier qui me laissent à penser que les autres se sont assis sur leurs lits?
A qui cette main qui m’attrape par la nuque?
Qui tire ma tête vers la bosse?
Mon visage qui se colle contre la bosse. L’humidité du tissu rouge. C’est chaud. C’est doux. J’ai le vertige. La bosse se frotte contre mes joues, ma bouche, mon nez. Sous le tissu rouge les chairs se gonflent. Je me laisse faire complètement tétanisé. Deux mains bloquent mon visage. Le bassin recule et libère un peu mon visage. La chaleur me manque.
Avec panique, je vois deux autres mains saisir l’élastique de la ceinture du maillot rouge ! Ce sont celles du mec d’en face. Elles écartent l’élastique du maillot et baissent lentement le slip de bain. Le type debout devant moi me maintient fermement le visage en se laissant déculotter. Le maillot s'arrête au milieu des cuisses.
Je dois crier! Faut tout arrêter! Je veux pas de la suite!
Mais au contraire, la promiscuité qui devrait me sauver et me tirer de ce cauchemar, me fait peur. Peur que d’autres voient, peur de réveiller mon pote Jean-Yves Peur que les nordiques me frappent. Peur de crier et de réveiller toute la chambrée.
Je panique complètement quand un sexe énorme me saute au visage. Droit, fier dont le gland déjà décalotté se pose immédiatement sur mes lèvres. Ça me brûle. Je brûle de l’intérieur. Je tremble. Le mec me tire la tête vers son bassin.
Je ne dis rien! J’ouvre la bouche!!!
Je sais même pas pourquoi je le fais!
Ma bouche est ouverte au maximum. Le goût est très fort. Ça vibre dans mon palais. Le gland à du mal à entrer. C’est une impression fabuleuse. Je ne sais pas quoi faire à part écarter mes lèvres et mes dents. C’est idiot j ‘ai peur de blesser ce sexe.
Le type me bloque toujours la tête. Il entame un lent mouvement de bassin. Je laisse faire. La verge pénètre lentement dans ma bouche. J’ai peur que les autres se réveillent. Je sais que ses potes doivent regarder. J’ai l’impression d'avoir un soleil qui me brûle le corps. Le gland butte régulièrement contre ma glotte, me donnant envie de vomir. L’odeur très forte n’est pas désagréable. Le type reste doux et ne me force pas. Il continue à faire lentement coulisser le tiers de son sexe dans le fourreau étroit de ma bouche.
De la bave coule le long de mon menton et goutte sur mon torse. Les bruits de succion sont imperceptibles.
J’ai l’impression que sa verge grossi encore. De temps en temps sa bitte doit laissé perler des gouttes car le goût est de plus en plus fort. Acre et légèrement amer. Le nordique accélère brusquement le rythme. Le silence est total à l’exception des ronflements sonores qui couvre le léger bruit de succion.
C’est dingue!
Je suis entrain de tailler une pipe à un inconnu. C’est la première fois de ma vie que je taille une pipe. Je suis entrain de sucer un nordique inconnu dans une chambre éclairée, devant quatre mecs qui regardent et une bonne douzaine d’autres entrain de dormir. Le tout dans une auberge de jeunesse bondée de monde en Grèce.
Je n’arrive pas à réaliser ce que je suis entrain de faire. Je suis complètement dépassé par les événements. J’ouvre la bouche du mieux que je peux. Lèvres serrées autour de la hampe brûlante qui coulisse de plus en plus en plus vite. Ma seule terreur actuelle est que les bruits de succions ne réveillent les autres. La lumière s’éteint brusquement.
Le type pousse son sexe au fond dans mon gosier. J’ai un mouvement de recul vite bloqué par ses paluches de bûcheron. Je sens qu’il va jouir. Je ne sais pas comment je le devine. Et inconsciemment, je devine qu’il va le faire dans ma bouche.
Effectivement des longs jets chauds et poisseux fusent du pieux de chair. Ils m inondent la bouche. C’est très amer et collant. Je n’arrive pas à avaler. Ça dégouline sur mon menton. La bitte immobile, continue à cracher du jus. J’ai peur de tousser. J’avale du mieux que je peux. Le type me laisse faire et reste encore dans ma bouche.
Son sexe gluant devaient moins dur. Le goût très fort occupe toute ma bouche. Les mains lâchent enfin ma tête et la bitte libère rapidement ma bouche baveuse. Une de ses mains se saisi de la base de sa bitte et presse son morceau sur mes joues. Son gros gland humide caresse mon visage en laissant des traînées gluantes.
Je m'aperçois que je pleure!
Le type recule en remontant son maillot rouge. Il chuchote des mots incompréhensibles à ses copains, avant de prendre son élan et sauter sur le lit au dessu du mien. Son matelas grince et ploie sous son poids.
Mon champ de vision est libre. Deux autres nordiques sont assis face à moi. Je devine dans le noir qu‘ils me regardent. Seule la pleine lune qui passe par les soupiraux éclaire la chambrée endormie.
Je suis moralement désarticulé. Humilié, fatigué, figé. Décontenancé par mon comportement. Mes lèvres entrouvertes laissent échapper des coulées de sperme dont le goût m’est brusquement insupportable. Impossible aussi de supporter les regards ironiques des autres nordiques.
Je baisse la tête, honteux et blessé par ce qui vient d’arriver.
Mais le type assis sur la couchette supérieure face à moi, saute souplement dans l’étroit couloir en me dévisageant, je comprend ce qu’il va m’arriver et que c’est loin d’être terminé.
Que faire? Comment y échapper? Surtout ne pas crier. Angoisse terrible que les autres se réveillent.
Sans aucun préambule et sous la protection sonore des dormeurs le type, jumeau du premier, baisse son slip blanc à mi-cuisses et se positionne entre mes jambes restées écartées. Je n’ai plus d’autre vision que son sexe tendu vers mes lèvres.
Je lève mes yeux implorant vers lui. Il a le visage dur et ses yeux bleus brillent dans le noir. Il me semble invincible. Sans un mot il tend son sexe rigide vers mon visage. Il le tient à la base.
Je baisse la tête et ouvre la bouche. Mes lèvres s'arrondissent autour de ce nouveau bâton chaud et vivant. C’est moi qui avance la tête.
Je suce.... Je suce ce nouveau mandrin...
Ma salive mélangée au sperme précédent lubrifie la pinne. Le type me nique la bouche en prenant son temps. Son sexe est plus court que le précédent car quand il s’enfonce au fond de ma bouche, mon nez butte contre ses poils blonds. L’odeur est beaucoup plus forte. Odeur de pisse et de rance qui me donnent envie de dégueuler. Mon cerveau et mon cœur jouent une sarabande effrénée. La bitte va de plus en plus vite et de plus en plus loin dan mon gosier. Elle palpite contre ma langue et mes joues. Elle est très chaude et très dure. Comme du bois vivant. Le mec accélère les mouvements de son bassin. Il gémit brusquement et, des jets ininterrompus inondent ma bouche.
Goût très amer. Ça dégouline à nouveau sur mon menton pour s'écraser sur mon torse nu et imberbe. Je suis obligé de tousser et de cracher. Ça colle aux dents. J’ai envi de hurler, mais j’ai la bitte bien enfoncée dans ma bouche. Le type soupire lentement de satisfaction. Il se retire et remonte son slip.
Il me caresses les cheveux avant de se tourner et remonter souplement dans son pieux. Je reste complètement groggy avec de la bave figée aux commissures des lèvres. Celui qui est face à mon lit est encore plus balèze que les deux précédents. Il se lève lourdement en prenant son temps et avant d’un pas lent devant moi. Il est déjà à poil!
Il se positionne comme les autres, mais lui il écarte aussi ses jambes velues, m’obligeant ainsi à carrément ouvrir les miennes au maximum. Il se branle devant mon visage en me regardant méchamment.
Je tente de tourner la tête pour échapper au gland tendu vers le visage. Il me tire par les cheveux. Gestes brutaux impatients. J’ouvre la bouche. J’ai mal aux mâchoires. Je n’ai plus aucune volonté devant cette troisième bitte qui fouille rageusement mon palais et qui tape contre mes joues.
Je suce.... Je tète.... J’aspire... Je bave...
Je prend à peine conscience que les deux derniers se sont assis à mes cotés. Leurs grosses paluches me caressent le corps, poussent ma tête vers le mandrin, palpent mon dos et le haut de mes fesses.
Ils me prennent par les bras. Il serrent fermement. La bitte sort de ma bouche. Le mec n'a pas jouis. Pourquoi?
Que font-ils? Je ne peux rien voir à part leurs mains qui font des signes.... Ils se parlent par signes.... Que se disent-ils?
Le balèze recule, sa bitte brillante de salive toujours bien droite. Les ronflements ont augmenté d’intensité. Ils couvrent largement les petits bruits que font les nordiques.
Pourquoi ce matelas par terre entre les deux lits superposés? Il n'y avait rien tout à l'heure.
Les deux mecs de chaque coté me soulèvent par les bras. Gentiment, mais fermement. Ils me font de grands sourires silencieux. Le balèze attend en se branlant lentement.
J’ai les jambes en coton. Si ils me lâchent, je tombe.
Surtout ne pas crier.... Ne pas crier...
Je suis debout face au type qui se masturbe.
Le balèze lâche son sexe. Il s’approche. Ses mains sur la ceinture de mon slip. Il le baisse d’un coup alors que les autres me tiennent toujours par les bras.
Je me retrouve le slip au cheville. Je tente de leur échapper. Cela fait du bruit. Certains ronfleurs se retournent à la limite du réveil. Je me fige.
Les deux me retournent. Je suis dos au balèze. Il est contre moi. Il me donne deux coups de genoux à l’arrière des miens. Mes jambes lâchent.
Je suis à genoux sur le matelas. Leurs mains sont partout. De ma tête à mes chevilles. Je n ai plus de caleçon de bain. Des larmes coulent à nouveaux sur mes joues. Ils fait très chaud dans le dortoir. Nous sommes tous en sueur. Odeurs de fauves malgré les soupiraux ouverts. Les mains étalent les traces de spermes figés sur mon corps dénudé.
Des chuchotements imperceptibles aux milieux des ronflements sonores et des bruits de sommiers. J’ai l’impression de m’évanouir. Je suis devenue leur marionnette entre leurs mains comme des battoirs. Ils me pétrissent les cuisses les fesses les seins.
A genoux sur le matelas, au milieu de la travée, je reconnais la bitte qui m’avait libéré quelques secondes auparavant. Le balèze me la remet dans la bouche. Je recommence à le sucer.
Des mains me parcourent tout le corps. Je frémis sous leurs rudesses. Elles me pressent la bittes et mes couilles. Je m'aperçois que je bande.
Impossible.... C’est pas possible que je bande!!!
Elles me malaxent les fesses de plus en plus fort. Elles tentent de m’ouvrir. Je serre les fesses de toutes mes forces.
Je suce en pleurant silencieusement. Je devine la suite et je ne bande plus du tout quand je comprend qu’ils regardent ma raie du cul bien ouverte...
Ils ouvrent mes fesses de force et me les tiennent écartées. Des ongles me griffent l’intérieur des fesses, tout prés de mon anus. Puis comme du liquide chaud. Ce glisse le long de ma raie..
La bitte se retire de ma bouche. A peine le temps de réaliser, que déjà, des mains me pousse le dos. Je m’écroule sur le vieux matelas de mousse. Je tombe à plat ventre.
Je pisse de peur. Impossible de me retenir. Cela sort tout seul.
Le corps lourd du balèze qui s’écrase sur mon dos. Une main qui se plaque contre ma bouche. Je peux à peine respirer. Le matelas sous mon ventre est mouillé. Je sanglote sans retenue comme un gamin qui à la trouille.
Bien sur j’ai compris ce qui allait m’arriver. Je ne le voulais pas. Absolument pas. Mais j’ai en même temps peur et envie. C’est complètement dingue de ma part. Les poils du balèze sont mouillés de transpiration.
J’ai les jambes écartées par les siennes. Impossible de les refermer. Il est bien plus fort que moi. Un autre me tient la tête en me bâillonnant. Je ne peux ni crier ni bouger. J'étouffe.
Une bitte entre mes fesses glissantes qui coulissent lentement. Le type qui me couvre à la respiration sifflante. Sa bitte parcoure ma raie. Son gros gland frotte le long de ma raie... Il trouve pas... Il met beaucoup de salive. Le gland revient dans ma raie. Il s’est positionné contre mon anus.
Tans pis.... J’ai trop peur.... Je crie...
Rien ne sort... A peine des râles a travers sa main....
Devant mes yeux, je reconnais le maillot rouge de celui que j ai sucé en premier. Il est juste devant ma tête. Le mec se penche vers moi. Sa bouche se colle contre mon oreille.
-....” Fuck you.... Son of bitch...”
Puis il me plaque le visage contre son maillot en appuyant de toute ses forces.
La bitte entre mes fesses continue de parcourir ma raie glissante. Le gland va de la base de mes couilles jusqu’au bout de mes reins. On me mouille abondamment la raie. J'entends des bruits de crachats. A peine plus fort que les ronflements.
La bitte s'arrête contre mon anus....
Elle a trouvé la voie... Une pression contre mon trou serré
Je tente de me débattre. Je ne peux rien faire, le visage écrase contre le maillot rouge, les jambes écartelées par les guibolles du balèze, mon torse immobilisé sous le sien. En plus on me tient les poignets.
La bitte pousse doucement contre mon fondement. Je serre les dents. La pression devient vite très forte. Je transpire et mes larmes imbibent l’étoffe rouge contre mon visage. Impression d’impuissance totale pour éviter ce qui va m’arriver.
Contre ma volonté, je sens mon anus cédé lentement. J’ai mal. Je serre les dents de toutes mes forces. Le type pousse plus fort encore. Il respire profondément et son souffle chaud et aviné balaye ma nuque. La pression de son gland contre mon anus crispé devient insupportable.
Brusquement, comme dans un film au ralenti, je sens ma corolle céder. Puis une douleur intense qui se diffuse dans tout mon corps. La bitte progresse lentement dans mon canal. Le type donne des petits coupsde reins. Je reste inerte. Je tremble de tout mon corps.
C’est insupportable cette sensation d’éclatement. Je gémis mais rien ne sort du bâillon. J’agite mes jambes écartelées. Je dois ressembler à une grenouille. La douleur augmente à chaque centimètre qui viole mon intimité.
Puis la progression stoppe. Le gland butte contre le fond de mes intestins. C’est comme un tisonnier. Je suis empalé, cloué au matelas dans l'étroite travée. Le cul éclaté autour du mandrin du norvégien.
Je devine qu’on mouille un peu plus mon cul, puis les mains du mec agrippe fermement mes épaules. Le gars commence alors à m’enculer. Il fait coulisser sa bitte dans mon fourreau. Chaque fois que la queue se retire, j’ai l’impression que l’on me vide par le cul. Chaque fois qu’elle revient, cette impression que mon ventre va éclater. La douleur est telle que je suis au bord de l'évanouissement. Le nordique me fore lentement le fondement en allant de plus en plus loin.
Malgré le poids de son corps qui couvre mon dos, je me cambre de douleur quand sa bitte tape au fond de mon trou. Son souffle profond se perd dans mes cheveux humides. Je transpire énormément. Ses mains tiennent toujours fermement mes épaules. Son bassin musclé heurte régulièrement mes fesses meurtries.
Grâces aux innombrables crachats, son sexe coulisse parfaitement. Je me cambre malgré moi pour atténuer la douleur et l’irritation. Mon trou s'élargit doucement et la douleur s'atténue lentement. Je ne gémis plus. Contre mon visage, le bitte sous le maillot rouge est tendue.
Le balèze accélère ses mouvements. La douleur revient un court instant puis se calme. Je me laisse enculer en silence. Je suis complètement soumis à ce mâle viril qui me décapsule le trou.
Les autres ronflent toujours. Je sais que ses amis le regardent m’enculer. Il va de plus en plus vite et je dit rien. Je ne m'aperçois même pas qu’il a jouis dans mon trou. Le sexe me libère. J’ai froid au trou.
Naïvement je crois que c ‘est fini.
Mais le type au maillot rouge me plaque toujours la tête contre son slip de bain et un autre corps se couche lourdement sur moi. C’est encore plus glissant quand la deuxième bitte m'emmanche rapidement. La douleur revient, mais c’est très supportable.
Je suis complètement stupéfait de trouver bon ce que je suis entrain de subir. De sentir son anus ouvert autour de la grosse bitte. De sentir ses intestins tournebouler au rythme des coups de reins de cet inconnu.
Un mec m’éclate le fion avec vigueur, et moi, je me cambre docilement.
Je lui tend mon cul et cela lui plaît!
Il pousse de plus en plus loin. Je ne crie pas. La main libère ma tête. Je ne bouge pas et je serre les dents.
Tous les autres ronflent toujours. Surtout ne pas les réveiller.
C’est bon!!! Oui c’est bon d’être embroché.
Je suis un enculé!! Moi le gamin de dix sept ans, je suis entrain de me faire défoncer le cul pour la deuxième fois!!! Et j’ai même plus mal!!
La bitte est plantée au fond de mon cul. Des couilles poilues frappent les miennes. Le mec me fouille méthodiquement les entrailles. J’ai à nouveau envie de faire pipi. Je me laisse aller. Cela à du mal à sortir, mais au bout de quelques secondes, un mince filet d’urine souille un peu plus le vieux matelas.
Cette fois ci, je sens mon cul se remplir de jute tiède. Le mec jouit très loin dans mes intestins. Des jets courts et rapides inondent mon fion dilaté. Son bassin poilu est incrusté dans mes fesses. Je suis inerte sous lui.
Brusquement il s’écroule sur moi à la recherche de son souffle. J'attends la libération. Elle ne tarde pas et mon cul fait un drôle de bruit quand le nordique décule sans ménagement.
J’ai mal, et je ne sais plus ou je suis ni qui je suis. Je suis juste un jeune mec en vacance qui est devenue un enculé et la femelle de cinq étrangers dans cette auberge de jeunesse grecque.
Je crois qu’il en reste encore un. Et j’ai malheureusement raison.
Il veut que je me mette à quatre pattes. En levrette. Comme une chienne.
Mais je suis trop fatigué. Impossible de rester dans cette position. Mes jambes et mes bras n’ont pas la force de me porter. Ce sont ses potes qui me tiennent. Je me retrouve dans la position souhaitée par le mec, le cul tendu devant cette nouvelle bitte qui ne tarde pas à s’enfoncer en moi.
J’ai vraiment mal au cul. Je gémis très doucement en pleurant. Une main me bâillonne à nouveau. Le mec me sodomise rapidement en me tenant fermement par la taille. Ses coups de reins rapides propulsent son gland au fonds de mon cul meurtri. L’envie d’uriner revient. Mon anus irrité me brûle. J’ai des crampes au ventre. J’en ai marre. Je ne veux plus rien. Je suis dans un vrai cauchemar. Je veux partir. Tout quitter.
Mais je me laisse tringler dans cette chambre minable, les jambes bien écartées et le cul bien cambré. Et le pire c’est que je bande et que je n’ai plus mal. Mon trou est dilaté, irrité, éclaté et j’aime.
Je suis devenu la pute de cinq gars qui se servent de mes trous jusqu’alors inviolés. Le gars continue sauvagement à la recherche de son plaisir.
C’est bon!... Putain que c’est bon!!.
Mon cul déborde de sperme quand le gars me libère après s'être vidé les burnes. Je m’écroule sur le matelas mouillé de pisse et de semence. J’ai le corps et l’esprit désarticulés. Impossible de retenir mes larmes.
Je bande...
C’était bon malgré la douleur omniprésente...
Bites dans ma bouche.... Odeurs de foutre, de sueur..... Dans mon cul.... Ronflements des autres qui se doutent de rien.... Matelas qui grincent.... Corps qui se retournent.... Plus personnes autour de moi.... Je me met en chien de fusil.... Mon cul coule.... Le sperme se fige sur mes fesses et l’intérieur de mes jambes... J’ai mal au cul et à la bouche... Pas le courage de regagner mon lit... J’ai jouis sans même me toucher....
Je reste sur matelas, aussi souillé que mon cul et mon visage.
Bien sur impossible de trouver le sommeil. Je ne me rappelle plus exactement à quoi je pensais. Ou alors, je ne pouvais pas penser, je ne sais plus. Mais j’avais encore l’impression d’avoir quelque chose dans le cul, et je transpirais abondamment dans le noir.
J’ai regagné péniblement mon lit. Les nordiques ronflaient déjà, comme tout le monde dans le dortoir. Je sentais mauvais. Je pensais à l’état de mon anus. Il coulait encore et j’avais la raie toute souillée de salive et de sperme. Heureusement qu’à l’époque, le Sida n’existait pas. J’avais mal au ventre et le trou irrité. J’avais encore plus mal quand je contractais mon anus. J’avais aussi envie de chier, mais je n’osais plus bouger de mon lit. J’ai réussi à remettre mon slip de bain. Il était sale aussi.
Très tôt le lendemain, j’ai rejoint les salles de bain. Je me suis lavé sous une douche froide en me savonnant comme un malade. Quand j’ai mis ma main entre mes fesses pour nettoyer ma raie collée par le sperme, mes doigts se sont aventurés sur ma corolle. Elle était boursouflée et irritée. J’ai pas trop insisté.
Dans le dortoir, ils étaient tous entrain de se réveiller. Les nordiques m’ont à peine jeté un coup d’œil. Cela m'a rassuré. J’ai rejoint mes potes. Ils m’ont trouvé une sale tronche. Je leur ai dit que c’était l’effet du vin et en qu’en plus j’avais mal au ventre. Il m’ont traité de petite nature.
Nous avons repris la route.
A suivre