Les voyages forment la jeunesse...
On the road !!!
Épisode II
J’étais à l’arrière seul. Bernard servait de copilote à Jean-Yves Je dormais à moitié mais les ornières de la route me faisait mal au cul. Jean-Yves me regardait souvent dans son rétroviseur.
- T’as encore mal au ventre?
- Un peu de temps en temps.
- Faut pas picoler Pt’i....
- Ouais faut laisser ça aux hommes...
- D’habitude l’alcool, ça fait pioncer....
Je ne répond pas. Les yeux bleus de Jean-Yves me fixe souvent. Il a un drôle de regard. Il conduit torse nu. Il est grand, maigre et très musclés. Pas de poils sur le torse. Bien sur, je l’ai souvent vu comme ça ou juste en slip de bain. Mais avant je n’avais jamais fait attention à son physique. Je sais qu’il est beau mec et qu’il n’a jamais eu de difficultés avec les filles. Il s’en privait pas d’ailleurs.
Nous nous arrêtons un court instant dans l’épicerie d’un patelin pour faire des courses. Nous n’avons pas assez de fric pour manger tous les jours au restaurant. Les routes sont mauvaises. C’est maintenant Bernard qui conduit. Torse nu aussi. Lui c’est un ours. D’ailleurs son surnom, c’est l’ours à cause de son corps trapu, sans un gramme de graisse et recouvert de poils noirs. Il en à même sur les épaules et les omoplates. Il est mat de peau, un visage dur, des yeux noirs, toujours de la barbe malgré le rasage, et des sourcils très épais. Quand ils sont avec moi, personne ne me fait chier. Parce que moi, avec mon mètre soixantaine dix et mes cinquante neuf kilos !
Nous avons pris du retard et à la tombée de la nuit nous sommes entre deux patelin. Bernard trouve une petite route qui s’enfonce dans les bois environnants. C'est une impasse et au bout une petite clairière.
- C’est parfait pour nous les enfants. On dort ici.
Nous avions deux tentes avec nous que l’on nous avait prêtées. Une de une place et l’autre de deux. Elles étaient simples à monter. Nous avons mis la radio de la voiture. Nous avons mangés, discuté. Bernard a joué de la guitare. Je tombais de sommeil.
- Vas te coucher Pt’i..... Tu seras plus en forme demain...
- Vas dans celle à deux places tu sera mieux...
J’ai abdiqué et suis parti m’isoler pour pisser avant de gagner la tente. Jean-Yves a ajouté en me regardant.
- Je suis sur que tu iras mieux demain... Et laisse moi un peu de place....
Sous la tente, je me suis mis en slip avant de me glisser dans mon sac-à-viande. Tu te souviens maman, tu avais cousu deux draps et mis une lanière pour pouvoir serré le haut au niveau de mon cou. Comme cela je ne pouvait pas me découvrir. Je me suis couché dans le noir. J’entendais Jean-Yves et Bernard discuter, mais je ne comprenais pas leur conversation. Je me suis endormi comme une masse.
….............
Je sors brusquement de mon profond sommeil. Il fait encore nuit. Je suis enfermé jusqu’au cou dans mon sac-à-viande. J’ai du mal à réalisé ou je suis. Un type est à genoux au niveau de ma tête sur ma droite. Il me tourne le visage en me tenant par les cheveux. Il me lève la tête pour la plaquer contre son bas ventre. Il porte pas de slip!
Quelque chose d’humide et de chaud contre mes lèvres. J’ouvre la bouche. Je suce une bitte... Je suce à nouveau un mec...
- T’as aimé ça hein ma salope.... Tiens, bouffe la mienne.... Prends la bien au fonds pétasse.... Suce la moi.... T’as aimé les bittes ma pute.... T’inquiètes, tu vas en avoir de la bonne... Oui, vas-y pompe... Pompe bien... Tu vas en avoir de la bitte ma poule... Dans la bouche et dans le cul... T’as encore rien vu.. Tète à fonds trou duc...
Je réalise avec effroi que l’on parle en français. Nous ne sommes plus dans l’auberge de jeunesse. Je suis sous la tente!
- J’ai tout vu hier ma salope.... Comme ça tu aimes la bitte.... Vas-y bouffe la mienne... Sale petite pute...
C’est la voix de Jean-Yves... Je crois mourir de honte et d’humiliation. Il tient ma tête par mes cheveux et me plaque son bassin contre mon visage, m’obligeant à prendre en bouche son sexe...
- Tu leur a donné ta bouche et ton cul... Tu suçais les bittes..... J’ai vu quand tu as offert ton cul en levrette....
Il me lime la bouche rapidement.
- Tête moi bien sale con... Accélère ....
Il jouis en m’aspergeant le visage. Je ne vois que ses yeux brillants dans le noir de la pièce. Il me lâche.
- Demain tu l’auras dans le cul.... T’as intérêt à prendre des forces pétasse!
Il me laisse là, humilié et l’esprit en déroute. Il se met dans son duvet en me disant
- On va bien se marrer avec toi.... Je l’ai dit à Bernard mais il y pas cru... Putain je me suis bien dégorgé le poireau. T'as une bouche de première suceuse toi !
.
Inutile de vous dire mes chers parents que le lendemain. J’osais pas regarder Jean-Yves et lui il souriait en me regardant. J’avais beaucoup de mal à ne pas rougir sous ses sourires narquois.
Bernard conduisait. Jean-Yves se tournait souvent vers moi. A chaque fois que ses yeux me fixaient, je me sentais rougir et repensais constamment à sa dernière phrase. Il n’était pas du genre à se vanter ou à avoir peur de quelque chose. Il n’était pas non plus du genre à ne pas tenir ses promesses.
A la sortie de la ville, un peu avant midi. Jean-Yves a dit à Bernard
- Prends à gauche on sera tranquille là
- Pourquoi c’est tôt pour la bouffe
Moi aussi, je pensais qu’il parlait de l'arrêt déjeuner.
- Écoute moi et prends à gauche, par là. On va pas bouffer tout de suite.
- Je comprend pas mec
- Tu vas voir mon ami... Tu vas voir....
Il s’est tourné vers moi. La voiture tanguait sur les ornières.
- On va lui montrer hein ma salope?
- Tu veux me montrer quoi?
- Tu vas voir gare toi là. On sera pas dérangé...
Bernard a stoppé la voiture dans un coin tranquille. Il coupé le moteur en me regardant dans le rétroviseur.
- Vous allez me montrer quoi?
C’est Jean-Yves qui lui a répondu.
- Tu vas voir que je t’ai pas menti mec
Et je peux vous certifier que en plein jour, dans la voiture, au milieu d’un champ d’oliviers, il a tenu sa promesse de la veille.
Il est sorti de la voiture pour ouvrir ma portière arrière et me tirer dehors par le bras. Bernard la rejoint.
- Tu vas voir son cul à cette salope
J’ai voulu l'empêcher de me baisser le short. On s’est battu. Il m’a fait une clé au cou. Il me penchait et me tenait fermement.
- Viens m’aider au lieu de regarder.
- Non... Non... Arrêtez.... Je veux pas.... Vous êtes des salauds....
- Vas-y Bernard. Baisse lui son froc.
- T’es sûr mec?
- Mais oui. Vas-y je te dis...
Malgré mes cris de révoltes, mes pleurs mes supplications et ma honte, Bernard, après une brève hésitation, m’a baissé le short. J’étais toujours penché, maintenu fermement par le bras de Jean-Yves qui me serrait le cou.
- Maintenant le calcif...
J’étais au bord des larmes. La honte totale. Je tentais d'empêcher Bernard de m’approcher à coup de pieds en arrière. Jean-Yves a serré plus fort.
- Tu bouges plus ma salope...
J’ai sentis Bernard se saisir de la ceinture de mon slip au creux de mes reins. D’un geste brusque il l’a baissé sous mes fesses. J’avais le cul à l’air.
- Prend ta ceinture.... Tu vas voir... Bernard c’est lui qui va te le dire pas moi... Et toi ma salope, t’as intérêt à tout lui raconter...... Vas-y dis lui...
Je serrais les dents. Bien sur je ne voulais rien dire. Le premier coup de ceinture a claqué sur mes fesses.
- Allez raconte...
D’autres coups de plus en plus forts. J’ai commencé à crier de douleur. Bernard n’hésitait plus à me cravacher les fesses.
- Tu lui dis ma salope..... Sinon tu vas passer un sale quart d’heure.....
Encore une dizaine de coups de ceinture avant que je craque.
- Oui... Oui....
- Oui quoi.....
- C’est vrai....
- Dis a Bernard ce que tu as fait dans l’auberge de jeunesse...
Encore des coups. J’avais les fesses en feu. Ça me brûlait tout le derrière. J’avais mal et la ceinture qui revenait frappait mes globes à vif.
- J’ai été obliger de sucer....
- Qui?
- Des mecs des couchettes....
- Et quoi d’autres.....
- Ils..... Ils m’ont.... Sodomisé....
- Dis le que tu t’es fait enculé...
- Oui je me suis fait enculé.....
- Et hier tu m’as fait quoi?
- Je t’ai sucer.... S’il vous plaît arrêtez.... Arrêtez... Je vous en supplie..... Je voulais pas..... Je voulais pas.... Ils m’ont obligé.....
- Et hier je t’ai obligé moi?
- Non.... Non....
- T’es qu’une larve..... Enlève tes fringues.
Il me tenait toujours par le cou. A nouveau des coups de ceinturon avant que j’obéisse et me débarrasse moi même de mon short et de mon slip que j’avais autour des chevilles.
Jean-Yves m’a entraîné vers le capot arrière de la voiture. Je me suis retrouvé couché sur la malle arrière. La tôle était très chaude.
- Vas cherchez la crème solaire.
Jean-Yves m’a lâché le cou. Je suis resté sans bougé collé au coffre.
- Hier tu l’a eu dans la bouche..... Au tour de ton cul ma salope...
J’ai pas bougé. Cela ne servait à rien. Ils savaient maintenant. Jean-Yves s’est collé contre mes fesses. Ai entendu le bruit du zip. Bernard était à coté. Je le sentais sans le voir. Ai à peine eu le temps de sentir la queue de Jean-Yves entre mes fesses. Il m'a pris par la taille et d’une poussée, il me la mise toute glissante dans le cul. Je me suis cambré en poussant un petit cri. Un vrai petit cri de femelle.
Devant Bernard qui devait se branler, Jean-Yves m’a enculé en silence. Il me pistonné rapidement sans un mot. Son engin graissé avec la crème solaire coulissait en moi sans problème. J’avais mal, mais c’était très supportable. Je le laissais faire sans bouger. Il s’est vidé.
- Vas-y mon pote... Faut pas hésiter.... Il a un trou de femelle....
Bernard l’a remplacé. Son sexe très dur a eu du mal à trouver l’entrée. Il m’a enculé à son tour. Je n’ai pas bougé, attendant qu’il se soulage à son tour.
- Putain c’est bon.... C’est la première fois que j’encule un trou de mec....
- Un cul de mec ou de nana c’est du pareil au même
- Non lui il a des fesses plus musclées qu’une meuf....
Sous la contrainte, mais sans révolte de ma part, je me suis retrouvé quelques minutes plus tard nu comme un vers devant mes deux amis qui venait de se soulager dans mon trou. J’avais mal à l’anus et mal aux fesses. Ils se sont réajusté après avoir nettoyé leurs sexes avec des mouchoirs en papier. En tremblant et en reniflant, j’ai ramassé mes vêtements qui traînaient sur les cailloux. Ils me regardaient sans rien dire remettre ma chemisette quand j’ai voulu remettre mon slip
- Pas besoin.... Juste ton short
- Ouais les salopes de ton espèce n’ont pas besoin de slip....
- J’ai connu une greluche qui portait jamais de culotte.... A part à la période de ses règles. Une vraie pute.... Tu vas être comme elle....
- Toujours prête pour nos pines... Et t'as pas de règles toi...
- C’est une bonne idée ça, tu vas rester notre greluche de remplacement...
Ils étaient ravis de leur trouvaille et moi honteux d’avoir abdiqué. Ils venaient de décidé d’un commun accord que pendant ces vacances, je serai leur femelle et c’est ce qui s’est passé.
Il était presque une heure de l’après-midi. Trop tard pour reprendre la route. Ils ont décidé de rester au même endroit pour manger.
Nous avons sorti les provisions qu’il nous restait. A chaque mouvement je sentais ma raie gluante et mon sexe ballottait librement sous mon short. Il restait des tomates du concombre et des pêches. Bien suffisant pour nous trois.
Cela a était un repas bizarre. Silencieux. Chacun perdu dans ses pensées. De temps en temps ils échangeaient un regard et se souriaient comme satisfait de leur comportement. Je mangeais lentement assis sur un rocher . Je n’osais ni parler, ni bouger, ni les regarder. Je croquais un concombre. Ils on éclaté de rire. J’ai compris et l’ai vite reposé.
- Continue..... Continue j’te dis..
J’ai obéis sous leurs regards décidés. Il faisait très très chaud et le feuillage de l’arbre sous lequel nous étions assis nous protégeait à peine des rayons brûlant du soleil grec. Nous avions les trois pour tous vêtements que short et slip pour eux et short pour moi. La toison de Bernard perlait de gouttes de sueur. Ils me regardaient manger le concombre et moi ce que je remarquais surtout c’est les bosses sous les shorts. Ils étaient excités de me voir enfourner le légume.
A la fin du repas l’ordre et arrivé.
- Range tout ma poule..
D’habitude nous nous partagions équitablement le travail. C’était une règle absolue depuis notre départ et elle avait été librement admise par tous. Mais mon nouveau statut avait changé la donne. Ils attendaient que j’obéisse et moi je savais que si je le faisais cela m'entraînerait un peu plus dans le statut qu’ils voulaient me voir prendre. J’ai hésité longtemps avant de bouger. Mais quand Jean-Yves s’est levé avec son air menaçant des mauvais jour, je me suis levé pour débarrasser les reliefs de notre repas.
Le fonds de mon short me collait au fesses. Il était tout humide. Leurs semences avaient mouillés le tissu.
- Ma parole, il mouille du cul....
J’avais envi de pleurer. d'humiliation
- Une vraie salope en chaleur...
Je me suis précipité sur mon sac à dos pour prendre un vêtement propre.
- Tu restes comme t’es ma poule....
Il m’ont pris mon sac à dos pour le remettre dans le coffre. Jean-Yves a fermé la malle. Je suis resté avec le short mouillé sur les fesses. Là encore aucune rébellion de ma part. De la honte, rien que de la honte.
J’avais l’impression qu’avec leurs spermes, ils m’avaient marqué, comme on marque du bétail des initiales du propriétaire. J’étais devenue leur chose, leur femme, leur bonniche.
En quarante huit heures, j’étais passé de pote le plus jeune qui a besoin de protection à femelle salope et pédale.
Les quatre semaines suivantes, je suis devenu leur nana. Je les suçais et me laissait tringler quand ils le voulaient. Dans la voiture, sous la tente et dans les auberges de jeunesse.
Sous le brûlant soleil Grec, j’ai appris à me soumettre à leurs fantasmes de jeunes mecs virils et surs d’eux. Au fil des jours les habitudes venaient.
Jean-Yves adorait que je le suce au réveil après son pipi matinal. Souvent, on couchait dans la voiture garée dans un endroit tranquille. Au réveil, Jean-Yves sortait en slip, les yeux embués de sommeil pour se diriger vers l’arbre ou le rocher le plus proche.
Je le regardais baisser son slip sous ses couilles. De sa bitte bien dure d’une érection matinale, sortait un jet puissant qui montait vers le ciel d’un bleu limpide avant de retomber pour s’écraser sur un tronc d’arbre après avoir décris un large arc de cercle.
Au fur et à mesure qu’il se soulageait, sa bitte ramollissait mais restait quand même de bonne taille. Quand il avait fini d’uriner, il revenait vers la voiture, bitte à l’air, une goutte brillante encore accrochée au méat. Sans un mot, il ouvrait ma portière et je m'asseyais sur la banquette, jambes dehors, ma bouche juste au bon niveau, à hauteur de son sexe.
Je devais le sucer lentement, à moitié dégoûté tant les odeurs étaient fortes car nous ne prenions pas souvent de douches. Nos corps sentaient la sueur et le sel de mer. Le sexe de Jean-Yves grossissait à nouveau dans ma bouche grande ouverte. Il dirigeait les opérations en me tenant la tête avec ses grosses paluches d’ouvrier, en m’ordonnant d’accélérer ou de ralentir.
Bernard pendant ce temps préparait le petit déjeuner en nous regardant. Je commençais à reconnaître les signes annonciateurs de la jouissances de Jean-Yves Sa bitte qui devient brûlante, les râles sourds de son propriétaire et très vite les giclées crémeuses, brûlantes et amères qui fusaient dans mon gosier
- C’est l’heure de ton lait
Au bout de huit jours, j’arrivais à tout avaler. C’est ainsi que tous les matins suivants, quand nous couchions à la belle étoile, je prenais une grande rasade de foutre en guise de petit déjeuner alors que j‘avais encore les yeux rougis de sommeil.
Bernard quant à lui, aimait énormément m’humilier et surtout m’enculer pendant que nous roulions. Avant notre départ nous avions installé des rideaux sur les fenêtres arrières du véhicule afin de nous protéger du soleil. Maintenant ils avaient aussi une autre fonction.
Pendant que Jean-Yves conduisait, Bernard venait me rejoindre à l’arrière du véhicule.
- Baisses les rideaux ma poule j’ai envi de ton trou à merde
Je devais me foutre complètement à poil pendant que Bernard sortait sa bitte de sa braguette. Il s'asseyait au milieu de la banquette pour que Jean-Yves puisse suivre les opérations dans son rétro.
- Allez; A cheval ma poule
Au début bien sur, j’avais la trouille d’être comme cela, à poil dans une voiture qui roule. Avec l’impression que tous ceux de l’extérieur pouvaient voir ce que nous faisions. Mais je savais aussi que c’était impossible.
Dos à Bernard, je le chevauchais pour descendre sur son pieu préalablement enduit de salive. Jean-Yves pouvait me voir grimacer de douleur quand le gros gland de Bernard me perforait l’anus brutalement. A coup de reins très brutaux, Bernard me défonçait la pastille. Il me plantait sa pine jusqu’aux couilles.
Il me baisait brutalement, avec méchanceté en me traitant de sale pute et de trou à foutre. Il n’était satisfait que quand je commençais à gémir de douleur en l’implorant de jouir.
La bitte de Bernard est plus courte que celle de Jean-Yves, mais très épaisse, surtout à la base, ma seule salive ne suffisait pas à une bonne lubrification. La douleur devenait rapidement cuisante. C’est pourquoi la crème solaire ne me quittait plus. Heureusement que nous ne avions prévu un stock conséquent de bonne qualité. C’est une des copine de Jean-Yves qui lui avait conseillé une marque pour les bébés.
En plus Bernard donnait une cadence infernale à ses coups de reins sans tenir compte de mes gémissements. Et quand j’avais les larmes aux yeux, il se vidait enfin au fond de mes intestins.
Les premiers jours, il s’est contenté de jouir et me libérait direct, mais très vite il a voulu que je lui nettoie sa pine enduite d’un mélange de sperme de salive et de matières fécales. Et j’ai là encore appris à accepter. Sous la contrainte et la violence. La première fois qu’il me la demandé, j’avais énergiquement refusé de le faire. Mal m’en avait pris.
Je me souviens de ce soir là comme si c’était hier.
A suivre