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Histoire du net. Auteur: Misouj..... Naîveté......

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Voici un super texte.
D'un mec super naïf.
Mais vraiment naïf de chez naïf.Limite con.
Mais tellement bandant...


Prise en main
Auteur : Misouj
Plus de 10 ans de vie commune avec une femme physiquement banale, taille moyenne, ronde et de caractère facile et peu contrariante.
Plus jeune de quelques années actuellement milieu quarantaine.
Est-ce que je la satisfais? Difficile à dire mais vraisemblablement non, de sexe très moyen et d'éjaculation assez précoce!
Il lui arrive de plus en plus souvent de me dire "je te sens pas" !
Mais ce qui a changer notre vie c'est une mutation pour elle dans une autre grande ville distante de près de 200km. Ne pouvant quitter mon boulot nous dûmes nous organiser.
Pas question qu'elle rentre chaque jour.
Nos moyens étant modeste je dus m'enquérir d'un logement à coût limité.
Après avoir exploré sans succès le Marché, je fus alerter par une annonce dans un gratuit.
En désespoir de cause je m'y rendis.
Je fus reçu par une femme mure d'origine maghrébine assez expansive autant dans l'expression que dans l'habillement.
Elle comprit tout de suite mon désarroi après que je lui expliquais ma recherche.
Elle me dit avoir la solution à tout point de vue!!
Elle me proposait une chambre au dernier étage d'un immeuble situé dans le vieux quartier au fond d'une impasse.
Sa proposition était pour un prix très modeste en contrepartie de quelques tâches. (Sans précision!). De plus elle ne devait pas pouvoir recevoir quelqu'un, y compris moi car c'était la règle. L'immeuble logeait des travailleurs de tout horizon mais majoritairement arabe.
Mais elle voulait voir ma femme si elle correspondait.
Elle me mit à l'aise ce qui lui permit de me questionner sur notre vie en générale et plus. La trouvant sympathique je répondis assez ouvertement.
Pour répondre à mon inquiétude de la laisser seule dans une grande ville, elle me promit de s'en occuper, de la prendre en main. Je ne relevai pas l'expression même si c'était un peu incongru. Elle me promit de faire régulièrement le point avec moi de son intégration afin comme elle disait de prendre la bonne voie.
La rencontre qu'elles eurent fut encore plus engageante car ma femme en revint enthousiaste, car elle avait le sentiment d'avoir à faire à quelqu'un qui pouvait la comprendre!
Que c'était elle dit?
Elle s'installa rapidement. La vie pris alors sa routine et elle ne rentrait que le vendredi soir et repartait le dimanche après-midi.
Au bout d'un mois je fais le point avec la logeuse qui me fit remarquer que ma femme ne s'habillait pas très moderne et pas très sexy et que ce serait bien qu'elle en change.
Je ne vis pas d'inconvénient d'autant qu'elle avait raison et je lui donnais carte blanche pour la convaincre et s'en occuper.
Visiblement son influence était grande car elle accepta toutes ses remarques.
Elle revint avec des tenues plus courtes et décolletées .Cela mettait un peu en évidence son embonpoint! Ses sous vêtement aussi furent changés, surtout des strings qui lui rentraient dans ses grosses fesses. Je reconnais que lorsque je la voyais ainsi cela m'excitait, même si j'en profitais peu. Ses fesses ont toujours été la partie de son corps qui m'attirait.
La logeuse m'interpella sur mon impression et très vite notre discussion porta sur le point de son embonpoint. Elle me proposa de trouver une solution pour que son physique soit plus avenant. J'aurais dû lui dire que ce n'était pas son affaire mais je n'osais pas. Et j'avais le sentiment que la situation m'échappait et je m'en satisfaisais.
Quelques jours plus tard elle me dit qu'elle l'avait fait voir par un médecin étranger de ses connaissances et qui proposait de lui faire subir un traitement.
Cela aiderait à une meilleure tenue de sa poitrine et affinerait son corps, surtout ses hanches et ses cuisses. Pourquoi pas si elle est d'accord. Par contre elle devrait faire chaque semaine du sport. Je lui dis que je craignais son peu d'engagement. Elle me répondis qu'elle s'en occuperait et qu'il n'y avait rien à craindre on pouvait compter sur elle (la logeuse).cela confirmait son influence grandissante sur mon épouse ce que j'avais remarqué à plusieurs reprises quand elle me parlait d'elle, c'était devenu son référent. Le seul bémol était qu'elle devait pratique le sport le vendredi soir et donc ne rentre que le samedi matin.
Très vite je vis des progrès particulièrement sur ses seins qui se tenaient beaucoup mieux mais prenaient du volume avec des tétons dont j'avais l'impression qu'ils s'allongeaient. Son caractère aussi évoluait, plus nerveuse. Quand je voulais des câlins elle était vite impatiente de ce que je pouvais lui faire et j'avais droit à des réflexions pas toujours agréables.
Elle se mettait alors à plat ventre et me disait :
- Masse moi le dos , ça au moins ça me fait du bien!
En fait mon massage passait vite du dos à ses fesses que j'aimais caresser et embrasser. Puis peu à peu ma bouche passait d'une fesse a l'autre et de plus en plus s'arrêtait entre. La sentant consentante je m'enhardissais jusqu'à poser mes lèvres entre ses globes fessiers que j'écartais pour que ma bouche vienne se poser dans son sillon. Je remarquais qu'à cet instant elle écartait ses cuisses pour mieux s'offrir a mes baisers.
Peu à peu chaque nuit de sa présence (une par semaine) je m'aventurais de plus en plus loin jusqu'à venir poser ma bouche sur son petit trou. D'autant que d'avoir mon nez dans son derrière était très excitant amplifié par une légère odeur qui m'attirait de plus en plus.
Je sortis ensuite ma langue et me mis à lui lécher son trou du cul.
Je reconnais que je m'excitais avec ça, d'ailleurs j'y pensais toute la semaine et c'était l'occasion de bonne branlette. Il fallait bien compenser!
Je me mis alors à lui écarter sa rondelle avec mes pouces pour que ma langue la pénètre. C'était devenu notre câlin principal, et elle semblait y prendre beaucoup de plaisir.
Parallèlement la logeuse lui avait fait faire une épilation intime totale.
C'est alors que je remarquai que ses lèvres avaient pris aussi du volume car elles pendaient beaucoup plus (visiblement le traitement avait aussi d'autres effets).
Je n'osais en parler à la logeuse.
Elle dû aussi faire évoluer sa garde-robe car les tailles ne correspondait plus, elle se mît a porter des jupes de plus en plus courtes et des corsages de plus en plus vaporeux.
La aussi je ne fais aucune remarques. La logeuse me mit devant le fait accompli en affirmant"ça te plait ses nouvelles tenues" sans attendre mon avis.
Il faut dire que je ne m'affirmais pas en tant que mari et je ne pouvais que suivre pour ne pas jouer les "mauvais coucheur".
C'est alors qu'un événement que je ne vis pas venir arriva.
Un voisin vint loger la chambre contiguë de mon épouse. Elle me le dit incidemment qu'elle avait un voisin super sympa avec qui elle s'entendait super bien dénommé Ali.
Elle m'en parlait de plus en plus et lui aussi était devenu un référent.
Le WE elle se mit à recevoir des coups de téléphone et je compris que c'était Ali qui l'appelait. Je remarquais que lorsqu'elle prenait l'appel elle laissait tout tomber pour parler avec lui et les discussions étaient de plus en plus longues.
J'osais interpeller la logeuse sur le sujet. Elle me rit au nez car elle m'annonça que c'était le proprio, son patron, revenu de son pays donc rien que de normal.
Mais les appels devenaient plus intenses et surtout le soir.
Nous étions même couchés que le Tph sonnait et qu'elle répondait.
Alors que je lui demandai de raccrocher elle me dit "masse-moi plutôt ".
Que dire? Je n'osais faire un scandale alors je me glisse entre ses cuisses et je vins me mettre à lui lécher son trou du cul comme je ne l'avais jamais fait, ma langue pénétrant le plus possible. Pour cacher la honte qui m'habitait je me réfugiais entre ses fesses!!
Visiblement la situation lui plaisait car elle avait les cuisses très écartées.
La situation me mettait très mal à l'aise et je ne pensais qu'à ça toute la semaine et j'imaginais plein de choses. Mais je ne voyais pas ce que je pouvais faire.
Quand elle arrivait j'évitais de lui demander ce qu'elle avait fait dans la semaine de peur qu'elle me dise des choses dérangeantes pour mon statut de mari.
Puis un jour elle me dit :
- Ils ont supprimé le train du samedi matin je ne pourrai venir que l'après-midi
Ce qui raccourcissais encore le WE! Que dire d'autant que je ne vérifiais même pas si c'était vrai. J'étais devenu un mari qui avait perdu tout contrôle de son couple.
oooOOooo
En résumé la situation de notre couple est que ma femme est totalement installée dans sa nouvelle ville et ses visites de we sont de plus en plus courtes ( de samedi après-midi à dimanche après-midi), habille de plus en plus sexy ( jupe entre mi-cuisse et ras du cul, pull très moulant, talon très haut) sans compter un maquillage du même ordre.
Des fois je me dis ‘’on dirait une pute’’ mais comme c'est ma femme j'évacue cette impression. Ses amitiés m'interpellent car elle n'arrête pas de me parler sur leur qualité d'homme sachant parler aux femmes ! Comme si elle cherchait à m'humilier.
Dans la semaine quand je suis seul je n'arrête pas de tourner dans ma tête toutes les remarques et réflexions qu'elle a fait le we imaginant à partir de là ce qu'elle peut bien faire. En tous les cas dans son immeuble elle doit les exciter tous ces mâles et je l'imagine monter les escaliers dévoilant à ceux qui la suivent ses cuisses et peut être même son cul en espérant qu'elle a une culotte enfin si c'est un string comme j'ai vu qu'elle avait c'est comme si elle n'en avait pas.
Mais ce qui me perturbe le plus c'est Ali car quand il lui téléphone elle a les yeux qui brillent.
Que peut-elle faire avec lui?
J'essaye de ne pas l'imaginer mais je n'y arrive pas.
J'en étais là de mes pensées que la logeuse voulu me voir.
La rencontre eu lieu chez moi dans la semaine. J'étais très angoissé car si elle se déplaçait cela devait être important.
Elle me rassura voyant mon inquiétude de mari! Toujours aussi charmeuse et convaincante pour faire passer ses messages.
Elle m'expliqua que ma femme était très appréciée toujours disponible avec les habitants de l'immeuble ils voulaient lui faire un beau cadeau. Comme je n'avais pas d'idée elle me dis
- Je verrais bien des bijoux! Intimes!"
Ma surprise était grande car en général c'est ou le mari ou l'amant qui offre cela.
Elle sut très habilement me faire comprendre que cela lui plairait et qu'elle en avait envie (confidence qu'elle lui avait faite!). Que pouvais-je dire. J'étais coincé.
Je dis alors que c'était un bon choix. Elle me dit que ce serait bien que je participe aussi.
J'en profitai pour lui demander comment elle se comportait et si tout se passait bien.
Elle me rassura et me dit que je devais être un mari sans inquiétude !
La semaine suivant ma femme me montra les bijoux offerts (ils n'étaient pas encore posés) je fus surpris de la taille des anneaux que ce soit pour les seins comme pour les lèvres de sa chatte! Il y avait aussi un petit anneau pour le clitoris!
La totale.
La pose aurait lieu la semaine suivante. Je suppose que tous ses "amis" qui avaient participé au cadeau devaient imaginer le résultat posé. Ce n'était plus très intime!
La semaine suivante je fus impatient de voir le résultat. On voyait qu'elle en portait aux seins car son pull moulant le laissait deviner. Je lui demandai de me montrer ceux de sa chatte ce qu'elle fit très naturellement (j’espère que j'étais le seul à qui elle les montrait).
Ils étaient non seulement de grand diamètre mais assez large. Celui qui me frappa ce fut celui du clitoris qui le forçait à rester décalotté ! Je remarquai que comme ses lèvres il était plus développé qu'avant. Ainsi il devait frotter sur son string et l'exciter en permanence!
Elle avait l'air fier d'en porter et oublia de me remercier car j'avais quand même participé ou alors on ne lui avait pas dit! Je me disais qu'on me marginalisait de plus en plus.
Je me résolus à en parler à la logeuse.
Je demandai a la voir ce qu'elle accepta que je vienne chez elle dans la journée en précisant qu'elle ne souhaitait pas que je vois ma femme!
Elle m'accueillir assez froidement et me dit :
- Qu'est ce qu'il a le petit mari?"
Je bafouillai et elle prit la parole pour me dire :
- Tu veux qu'on parle de ta femme?"
Elle comprenait vite. J’acquiesçais.
- Tu veux la quitter?"
La question me fit un choc et je répondis rouge de surprise que je pourrais jamais.
- Très bien alors es-tu un bon mari?"
La discussion tournait mal pour moi. Elle me dit qu'elle savait tout de la relation que nous avions car ma femme se confiait totalement à elle.
- Si tu veux la garder il te faut accepter qu'elle a besoin de liberté dit-elle. Je sais que tu veux que l'on parle d'Ali rajouta-t-elle. Il représente beaucoup pour elle, il l'apprécie aussi beaucoup.
- Oui j'ai bien compris il l'appelle même au milieu de la nuit dis-je.
- Tu ne peux pas comprendre, une femme a besoin d'un homme fort qui sache lui parler la soutenir, n'oublie pas qu'elle est seule.
- Ce n'est pas de ma faute si son boulot a changé de lieu répondis-je.
Je n'osais aborder le cadeau de peur de découvrir que c'était un cadeau d'Ali.
Je compris que je ne faisais pas le poids mais elle me dit pour me rassurer qu'elle organisait une soirée et que je serais invité ainsi je pourrais rencontrer tous ses amis.
Je rentrai assez perdu dans mes sentiments.
La situation commençait à m’échapper.
Je me demandais en permanence que faisait ma femme et dans quelle situation était-elle. Inévitablement je la voyais en train de se soumettre à un de ces amis arabes et même si je ne l'avais jamais vu c'est l'image d'Ali que je voyais sur elle. Je dois reconnaître que cela provoquait certains émois physiques que j'avais du mal à calmer.
Je me disais aussi que je pouvais être fier d'avoir une femme qui provoque le désir d'autres hommes. J'admettais aussi que ses tenues me plaisaient beaucoup même si je n'aurais pas été capable de lui dire de s'habiller ainsi. Ce qui faisait que j'avais beaucoup de respect pour la logeuse de la guider dans ce sens. Elle s'en était bien rendu compte d'ailleurs et savait me faire accepter tout ce qu'elle voulait.
Par contre je ne connaissais pas ses objectifs avec ma femme. Le faisait-elle par bonté d'âme ou pour d'autres raisons. Je pensais pour la première démarche.
La soirée s'approchant la logeuse me dit que je ne pourrais pas rentrer chez moi et qu'elle avait trouvé à me loger chez un de ses amis pour ce soir-là. Je trouvais bizarre de ne pas pouvoir coucher avec ma femme, le règlement avait bon dos.
Je suis donc arrivée à la soirée accompagné de la logeuse, ma femme devant arriver un peu plus tard.
C'est alors qu'on m'annonça l'arrivée du fameux Ali. J'étais assez nerveux. Mais lui grand sourire, je dirais grand seigneur s'avança vers moi la main tendue et me dit :
- Alors voilà le petit mari!
J'étais assez désarmé d'autant que ma femme arriva sur ces entrefaites. Nous nous dirigeâmes vers une table dans un coin de la salle et je fus mis entre un des amis arabes et la logeuse.
Ma femme étant elle assise à l'autre bout à côté d'Ali.
L'assemblée était assez joyeuse, particulièrement mon voisin qui visiblement était chargé de me distraire.
Comme je ne danse pas ma femme elle fut invitée à le faire. Sa petite robe très courte attirait les regards enfin ce qu'elle ne cachait pas. Dès que les danses furent plus lentes Ali pris le relais de cavalier de ma femme.
Très vite je vis qu'il la tenait assez serrée ce qui ne semblait pas la gêner. On les sentait très complice. Mon attention était détourné par mon voisin qui me racontait des blagues des plus osées qui je l'avoue me faisait bien rire. Pour que je l'entende malgré le bruit il était collé contre moi la main posée sur mon épaule, me parlant à l'oreille. Il prit même une position en biais qui fit que je sentis contre ma cuisse qu'il était plein de vigueur !
Je n'osais bouger mais je reconnais que cela me troublait.
Très rapidement nous n'étions plus que les 2, les autres étaient sur la piste de danse.
Sa main sur mon épaule se glissait même sous le col de ma légère chemise. Je le laissais faire n'osant pas le repousser d'autant que je le trouvais sympathique. Tout cela en continuant ses blagues. Sa main passait de mon épaule a ma nuque qu'elle caressait assez fermement.
C'est alors que les danseurs revinrent une pause s'étant faite.
D'autres s'étant joint à nous il y avait peu de place et d'autorité Ali pris ma femme sur ses genoux. Et ce devant tout le monde, sa robe remonté très haut qui ne cachait plus grand chose. Et là Ali décontracté, la tenait d'une main par la taille juste sous les seins et l'autre négligemment posé sur sa cuisse.
Au vu et au su de tous !
Je fais comme si je ne le voyais pas.
Heureusement la pose ne fut pas trop longue donc le supplice non plus.
Nous nous retrouvames à nouveau seul avec mon ami arabe.
Il me fit remarquer lui pour mieux m'humilier que ma femme semblait se plaire avec Ali et d'ajouter que c'était le bourreau des cœurs des femmes mariées. Je plaisante me précise-t-il pas convaincant.
Il remit sa main sur ma nuque plus fermement encore et me pris la mienne pour la poser sur son entrejambe. A travers son pantalon je sentis alors une bite bien bandante. J'essayais de la retirer sans grande conviction d'ailleurs il me dit :
- Ça te plait?"
Devant mon silence il ouvrit son pantalon ce qui fit sortir une superbe queue. Ma main se trouva alors posée directement dessus Et il me dit alors :
- Branle moi !
C'était un ordre très ferme.
Plutôt que refuser, je lui dis
- On va nous voir
C'était un aveu inconsciemment il me dit :
- T'occupe ils sont tous occupés à danser et à flirter ( d'un sourire ironique en parlant certainement d'Ali et ma femme collé comme 2 amants)
Je serrais alors sa bite comme il le voulait. Au bout de quelques secondes, en m'appuyant alors fortement sur la nuque il m’ordonna :
- Allez suce la, t'en as envie.
J'essayais de résister mais il appuya suffisamment fort pour que je me trouve la bouche juste sur son gland qui ne demandait que 2 lèvres avides le prennent. Il força encore et j'eus sa queue pleine bouche. J'oubliais tout et je me mis à le sucer comme si j'avais toujours fait ça.
Il m'encouragea tout en précisant que j'étais en manque!!!
Comme je montrais de l'inquiétude d'un éventuel retour il me dit
- T'inquiète Ali est trop occupé avec ta femme, on ne mettrait pas une feuille de cigarette entre eux, il lui fait bien sentir sa grosse "matraque "
Non seulement il me faisait le sucer mais il m'humiliait.
Cela ne m'arrêtais pas, honnêtement j'y prenais goût jusqu'au moment où il se raidit et sans me prévenir et tout en me tenant fermement il lâcha toute sa purée dans ma bouche et en me soufflant à l'oreille
- Avale petite salope
Ce que je fis
- Lèche moi bien le gland
Et ma langue en fit le tour
Je me levais alors pour aller me rincer aux toilettes et à ma surprise je tombai sur la logeuse qui me dit avec un sourire en coin
- Ça va?
J'étais rouge comme une pivoine en disant que j'avais un peu bu, ce que visiblement elle ne croyait pas.
Avait-elle tout vu?
La soirée tirait à sa fin, nous nous retrouvâmes tous dehors.
Je dis à la logeuse que je rentrais chez moi, elle compris que mon malaise expliquait certainement cette fuite car elle n'insista pas.
Ali me dit que je ne devais pas me faire de souci car il raccompagnerait ma femme.
J'eus l'impression que des sourires ironiques habitaient les autres personnes. Mais peut être me faisais je des idées.
Tout au long du retour je me posais plein de questions à savoir étais je cocu ou pas!
Peut-être que l'amour rend aveugle mais je n'y croyais pas, surtout du fait que la logeuse m'avait dit qu'elle s'en occuperait et j'avais une entière confiance en elle.
Un autre sentiment commençait à m'habituer c'est le fait que j'avais fait une pipe à l'ami arabe et que j'avais aimé malgré la honte cette situation. Et je regrettais de n'être pas resté car celui qui devait me loger c'était lui.
oooOOooo
La vie repris et les visites du we toujours aussi courtes se sont encore raccourcies.
Un soir, disons au milieu de la nuit alors que nous étions endormi le Tph de mon épouse vibra et mon sommeil étant léger je l'entendais et compris que c'était à nouveau Ali.
Le dialogue que j'écoutais était tronqué mais je pouvais essayer de le compléter
-
- Oui il dort
-
- Non je t'attendais
-
- Tu sais bien ce que je pense
-
- Tu exagères
-
- Je n'arrête pas de te le prouver
-
- Ah bon et ils sont combien tes cousins, ils arrivent du pays?
-
- 5 ils sont tous venus? Je les verrais demain soir
-
- Il faudrait que je parte demain matin et il ne va pas vouloir
-
- Je vais essayer demain au réveil
-
- ok je le ferai mais tu seras là quand je serai avec eux
-
- Ah bon la dernière fois à la villa tu étais là
-
- Merci t'es sympa. Promis je le ferai tu sais bien que tu peux compter sur moi
Autant dire que ce serait mieux que je rentre toujours le dimanche matin tu crois pas?
-
- Oui t'as raison laissons faire Zina (la logeuse) elle sait comment lui parler. Il faut que je te laisse si je dois me lever tôt. Bisous
-
Et elle raccrocha
Le lendemain matin elle se leva tôt et m'annonce la nouvelle de son départ pour accueillir les cousins d'Ali.
- Tu sais il a confiance en moi car il ne sera pas là.
Elle semblait fière de cette responsabilité d'autant que c'était vis à vis de la famille d'Ali.
Je ne me sentais pas le courage de la contrarier.
Sa présence se raccourcissait à vue d'œil.
Et je laissais faire. Mon caractère est ainsi fait!
La logeuse m'appela dans la semaine pour me remercier et me dire que j'étais quelqu'un de bien, et après pas mal de pommade comme le fait qu'Ali trouvait aussi que j'étais un mec bien!!!!
Elle me dit que ce serait bien qu'elle rentre maintenant à ce nouvel horaire pour de vagues raisons fumeuses qu'elle aidait Ali dans son rôle d'accueil de gens de son pays.
La présence de ma femme chez moi devenait officiellement du samedi fin d'après-midi à première heure du dimanche matin! Tout ça était passé comme une lettre à la poste.
L'idée m'a traversée la tête qu'un mari normal s'y oppose mais Zina avait su me présenter la chose différemment me rassura.
Tout ça me faisait 6 nuits sur 7 sans elle! Cela fait du temps pour gamberger et de frustration.
En attendant c'est plutôt ce que j'avais fait avec l'ami arabe qui habitait mes pensées.
Peu de temps plus tard Zina voulu me voir.
Elle était toujours aussi charmeuse quand elle voulait me demander quelque chose ou plutôt m'annoncer. Effectivement elle me dit qu'Ali avait beaucoup apprécié qu'elle l'aide dans l'accueil de ses compatriotes mais c'est surtout le we que cela se passe!
Je ne sais pourquoi je me suis rebellé en tant que mari.
Alors que je l'attendais essayer de me convaincre, elle me rit au nez, me disant que ce n'était pas un bon argument car comme mari il y a mieux, précisant qu'elle en savait plus que ce que je crois. Ajoutant :
- Je vais te montrer quelque chose" et sortant son Tph. "Regarde cette vidéo, pas mal! tu trouves pas?"
Quel ne fut pas le choc pour moi. On me voyait plié en 2 en train de tailler une bonne pipe à notre ami arabe. On voyait très bien mon visage pendant que j'avais sa bite entre mes lèvres et même quand son jus coula dans ma bouche.
J'éclatai en larmes totalement effondré.
Elle me laissa quelques minutes ainsi et reprit la parole pour me dire qu'elle n'apprécia pas ma rébellion et qu'elle se ferait un plaisir de la montrer à ma femme. Mon sang ne fit qu'un tour, entrevoyant la rupture sous ses moqueries. Je la suppliai de n'en rien faire.
- Ecoutes moi je ne souhaites pas ça, je vous aime bien tous les 2, je ne veux que votre bien, me dit-elle.
- Oui mais je ne veux pas la quitter même si je ne la vois pas beaucoup .
- Ok on peut arranger tout ça, elle reste ici le we et viens de te voir du mardi soir au mercredi matin, ok? Ajoute-t-elle, précisant que c'était le maximum qu'elle pouvait me proposer.
Je n'étais de toute façon pas en situation de refuser.
- Ok répondis-je en bégayant.
Elle me servi à boire et assise à mes côtés se mis à me rassurer comme elle savait le faire. Je n'osais la questionner sur les relations de ma femme avec Ali. Je préférais rester avec mes illusions fausses ou vraies.
Elle aborda alors ce que j'avais fait à la soirée .
- Cela t'as plus de tailler une pipe a Momo ( l'ami arabe) ?
Comme je ne répondais pas, trop embarrassé
- Tu peux te confier à moi, cela restera entre nous
- Oui un peu, dis-je timidement
- Un peu beaucoup n'est-ce pas?
- Oui
- Tu y penses souvent me questionnant elle
- Oui assez
- C'est normal. C'est de le faire que tu as aimé ou c'est avec Momo?
- Un peu les deux bafouillai je.
- Comment tu le trouves Momo? Ça te plait quand il est autoritaire?
- Oui j'aime bien
De me confier à elle, me calmait, elle savait très bien s'y prendre avec moi et je reconnais que j’appréciais. Je lui dit que je m'excusais de mon attitude précédente.
- Ecoute je t'aime bien mais quand je te demande quelque chose c'est pour la bonne cause.
Elle me dit qu'elle voulait m'aider pour ma relation avec Momo.
Nous continuons notre dialogue Zina et moi.
Plutôt elle qui me parlait. Elle entama un monologue.
- Je vais être franc avec toi comme je l'ai toujours été. Ta femme a dû quitter son travail. Et cela depuis près d'un mois .
J'étais abasourdi. Et ma femme ne m'avait rien dit, heureusement que Zina m'en parle.
Je voulus tout savoir.
- Je crois que tu seras le premier a le reconnaître, me dit-elle, si tu es un bon petit mari, je ne crois pas que tu sois le top des mâles. Les femmes le sentent vite et quand elles sont dans la situation de ta femme et qu'elle rencontre quelqu'un comme Ali, il est difficile de ne pas le situer dans la catégorie des mâles et je peux te dire que je parle en connaissance de cause, même si c'est ancien. Lui aussi avait vite compris la situation de ta femme et on peut compter sur lui pour jouer son rôle. Elle se mit à l'accompagner partout et cela provoqua pas mal d'absence dans son travail jusqu'à ce qu'elle se fasse licencier. Ali lui a tout de suite proposé une place dans un de ses bars, c'est pourquoi son temps de disponibilité avec toi n'était plus le même.
Cette aveu me rendait complètement amorphe et sans parole. Mais quoi dire sachant que je n'étais pas en position de force, Zina me l'avait bien fait comprendre.
Bêtement je dis que quoi qu'il arrive je l'aimais toujours et que je ne me résoudrais pas à la perdre.
- Cela t'honore me répondit Zina, je te promets de tout faire pour qu'elle te consacre toujours un peu de temps. Mais je pense qu'il faut aussi penser à toi et je voudrais que l'on reparle de Momo. Le plaisir que tu as pris avec lui, voudrais tu le revivre?
Je dois avouer que cet épisode peuplait mes fantasmes dans la recherche du plaisir solitaire, ce qu'elle devinait bien.
- Veux-tu te contenter de petite pipe ou aller plus loin?
Rouge de confusion j'avouais en vouloir plus.
- C'est normal dit-elle pour me dédouaner et me mettre a l'aise.
Elle me poussa à lui confier tous mes fantasmes dans ce domaine ! J'avais trop besoin d'en parler et elle était la seule avec qui je pouvais le faire. Encouragé je lui donnai même des détails sur ce que j'attendais de telles relations avouant être plutôt dans la catégorie des dominés que des dominants.
Elle me répondit que cela tombait bien parce que Momo, même s'il ne cachait pas son attirance avec les hommes, il le faisait comme mâle pour ne pas perdre la face et qu'il traitait son partenaire comme une fatma (femme).
D'ailleurs j'avais le profil pour.
Notre dialogue m'amenait à envisager très fortement une relation avec Momo.
Zina me dit alors que je devais rentrer chez moi et y réfléchir mais qu'elle en connaissait le résultat. Elle me suggérait dans ce cas ou j'étais prêt a cette relation, je devais appeler directement Momo et lui dire mes attentes.
Avant de partir elle revint sur la relation de ma femme avec Ali, pour me confier puisque je ne lui cachais rien de mes pensées, elle me révélait que c'était Ali qui avait payé la presque totalité des bijoux intimes et qu'il avait même fait graver son nom dessus!!!!!
Je partis donc avec ses infos très déstabilisantes.
Une bonne première partie du voyage, j'imaginais plein de situation entre eux, toutes les plus chaudes les unes que les autres. Mais comme je n'y pouvais ou ne voulais pas faire grand-chose, mes pensées dévièrent sur Momo. J'essayais de comprendre et traduire tout ce que m'avais dit Zina. Particulièrement sur mon rôle de femme !
Que faisait elle à leur mâle? Que lui faisait-il subir?
Mon cratère docile que je pouvais difficilement cacher et que Zina elle avait bien révélé faciliterais la tâche. J'en étais presque heureux!!!!

Suite demain...

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