Ou le naïf de chez Naîf
devient comme sa femme.
Et que madame Zina en profite bien.
Et que madame Zina en profite bien.
Prise en main
Auteur : Misouj
Fin
Me voilà de retour chez moi, dans ma solitude, enfin presque car j'avais plein de sujets qui occupaient ma pensée .
Bien sûr que j'étais conscient que ma femme me faisait cocu, il n'y avait plus beaucoup de doutes, Zina avait été assez explicite. Quand je pense par exemple aux bijoux intimes, j'avais dit ce ne peux être un cadeau que du mari ou de l'amant! J'ai la réponse. Mon petit apport en fait était plus humiliant qu'autre chose car je confortais l'action et le choix de l'amant à savoir Ali.
Comment pourrais-je à l’ avenir jouer les surpris ou m'y opposer ! En réfléchissant bien, je crois que la situation ne me choquait pas autant qu'elle devrait et même peut être je prenais le chemin de celui que l'on appelle un cocu heureux en tous les cas dans mon inconscient .
Plusieurs fois de voir ma femme dans des tenues limites de celle de pute, cela me rendait presque jubilatoire de la voir ainsi exposée aux regards vicieux des hommes.
J'aimais bien lorsqu'elle portait un pull ultra fin qui lui moulait les seins et que l'on plus que devinait ses tétons avec les gros anneaux sans compter ses petites jupes légère plaquées sur ses grosses fesses et qui ne cachaient rien de ses cuisses bien fermes.
Mais de savoir aussi que vraisemblablement elle écartait ses cuisses pour recevoir la bite d'Ali me provoquait de drôle de sentiments que je n'arrivais pas encore à définir . Assurément je ne m'y opposais pas!
J'éprouvais le besoin d'en parler avec Zina, car j'étais sûr qu'elle m'aiderait à y voir plus clair.
En attendant l'autre pensée qui occupait mon esprit c'était la relation avec Momo.
J'avais de plus en plus envie de le revoir et qu'il me dise "à genoux " et me présente sa grosse bite et qu'il ajoute " allez suce".
J'avais avoué à Zina que je ne voulais pas me contenter de lui faire des pipes, c'était reconnaître que j'étais prêt a accepter de me faire mettre !
Je pense que je me sentirais plus en confiance avec lui qu'avec n'importe qui d'autres, lui savait s'y prendre avec moi. Par contre j'angoissais un peu des douleurs provoquer par une grosse bite me pénétrant.
Zina m'avait dit que je devais l'appeler quand j'étais prêt mais oui je l'étais mais je ne savais pas comment lui dire ce que j'étais prêt à accepter.
oooOOooo
Plusieurs jours plus tard , un soir après avoir retourné dans tous les sens les paroles à lui dire je me jetai à l'eau.il ne répondit pas tout de suite et au moment où j'allais raccrocher, je l'eu au fil
- Oui! Dit il semble-t-il agacé comme si on le dérangeait
Je me mis à bafouiller que je voulais le revoir.
- Et pourquoi?
Désarçonné par la question, je ne savais plus quoi dire enfin que je voulais recommencer ce qu'on avait fait.
- Tu veux me tailler une petite pipe?
- Oui
- C'est tout
- Non
- Alors quoi?
- Je ne sais pas ...
- Explique toi!
- ... Je voudrais que tu me baises dis-je pour finir en tremblant
- Un petit coup pour essayer et puis s'en va?
- Non… Ce que vous voudrez dis-je en le vouvoyant subitement reconnaissant son ascendant
- Rapplique toi on va voir ce que l'on peut faire avec toi dit-il alors énigmatique et me fixant une date dans une semaine et une heure précise à respecter.
Et il raccrocha.
J'étais content d'avoir eu un rdv même si cela avait été laborieux pour m'exprimer.
La semaine fut particulièrement longue.
Entre temps Zina m'appela pour me dire que ma femme sautait sa visite car Ali avait besoin d'elle! (et bêtement je me dis intérieurement que si ma femme sautait le rdv, Ali lui sautait ma femme!) Je lui avouais que j'avais un rdv avec Momo.
Elle me dit être très contente pour moi et elle me conseilla d'être assez réceptif a ses demandes! Qu’entendait-elle par là.
oooOOooo
Je me rendais au rdv de Momo comme convenu. J'avoue que j'étais très excité et très troublé .
Beaucoup de honte m'habitait car déjà avoir pris la queue d'un autre homme dans ma bouche mais en plus rechercher à revoir celui-là pour en faire plus ce n'était pas ce que j'imaginais il y a quelque temps je ferais. Ma petite vie de petit mari de me destinait pas à prendre cette voie. J'avais l'impression que je n'avais plus le choix et qu'aussi je désirais cela!!!
Arrivé à la porte de Momo, c'est tremblant que je sonnais. Il ne m’ouvrit pas la porte tout de suite me mettant dans tous mes états. J'étais alors devant lui tout timide comme un petit garçon, par contre lui sure de lui m'en imposait.
Il me dit brutalement :
- Mets-toi a poil!"
Je le fis et resté planté au milieu de la pièce.
- Qu'est-ce que tu attends pour te mettre à genoux
Il baissa son pantalon puis son slip et se présenta à quelques cm de moi. Mon regard ne pouvait quitter sa queue qui commençait à bander, je l'admirais car au cours de la soirée je n'avais pas eu le loisir de la regarder, il me l'avais mis en bouche très vite.
- Tu as envie de me lécher le gland? Ça se voit dans tes yeux!
Il m'humiliait pour mieux me dominer et j'avoue que cela me plaisait .
- Allez lèche.
Ce que je fis, commençant par poser ma langue sur son gland. Une petite goutte perlait, il me dit de la gober. J'obéissais comme un bon chien!
- Passe à ma bite elle a besoin d'un petit nettoyage!
J'étais assez maladroit alors il me prit la tête entre ses mains et me guida en me forçant d'en faire le tour puis descendre jusqu'à la base et venir lui lécher les couilles.
Je dus les prendre à pleine bouche.
- Tu apprends vite! Continue. On va faire de toi une bonne lope.
Je ne compris pas tout de suite ce qu'il entendait par la.
C'est alors qu'il m'obligea a tourner la tête sur la droite tout en le suçant.
Je réalisai à ce moment-là qu'une petite caméra était posé sur le meuble contiguë et le voyant rouge indiquait qu'elle fonctionnait.
- Montre comment tu suces bien. Lèche moi aussi les couilles.
Plutôt que me rebeller, je m'appliquais à faire comme il me le disait, bizarrement étant excité d'être filmé en train de sucer une queue et lécher une grosse paire de couille, à genoux !
Momo se retourna pour me présenter ses fesses.
- Lèche-moi le cul, montre que tu aimes faire ça. Allez petite lope.
Je posais mes mains sur ses fesses pour les écarter et me mît obéissant à poser ma langue dans sa raie du cul et a le lécher. J'étais dans un état d'esprit totalement nouveau. Il était en train de faire de moi ce qu'il voulait. Je me rappelais les paroles de Zina, me disant d'être réceptif à ses demandes! Cela me conforta dans mon obéissance.
Il me repoussa pour déplacer un peu l'angle de la caméra et vint s'assoir sur son canapé et je dû à genoux prendre sa bite entre mes lèvres.
- Montre-moi que tu peux être une bonne suceuse de bite!
Je m'appliquai alors de glisser sa queue entre mes lèvres la serrant le plus possible, pour bien le sucer puis peu à peu je la fis pénétrer dans ma bouche, jusqu'à l'avoir le plus possible. Après l'avoir sucé un bon moment, il me fit m'allonger au sol sur le dos et il vint s'assoir sur moi la queue sur mes lèvres et il me l'enfonça bien profond, jusqu'à la glotte.
De l'avoir ainsi me procurait un immense plaisir. Le gland bien coincé me gênait pour respirer mais j'aimais ça. Il le vit d'ailleurs. Et j'eus droit à des félicitations.
- Zina avait raison, tu es faite pour sucer les bites!
Elle m'avait donc poussé dans les bras de Momo! Je me promis de lui en parler, enfin je devrais mais je savais que je ne dirais rien.
Il s'excita sur ma bouche me rentrant sa queue à grand coup pour bien me montrer qui était le maître. Bousculé, j'essayais de lui donner le maximum de plaisir.
C'est alors que ses coups de bite devinrent plus rapide et je n'eu pas le temps de réaliser qu'il se mît a lâcher tout son jus au plus profond de ma bouche en plusieurs jets.
Comme il était sur moi ma tête coincé je du tout avaler.
- Bien bonne petite salope, tu vas aimer ça on dirait!
Et il me mît une bonne paire de claques!
Sans explication.
- Rentre chez toi, je t'attends dans deux jours même heure.
Je repartis très désemparé mais aussi avec un sentiment de chose accomplie. Je savais que j'allais être au rdv. Dans ma tête le fait d'être traité de petite salope et de lope n'était pas déplaisant bizarrement. Je l'acceptais!
Je pensais alors à la caméra qui m'avait filmé et je me demandai pourquoi.
C'est vrai qu'il y avait de la honte que l'on puisse me voir dans cette position et de l'excitation de ce regard de la caméra. Très confusant.
Je me promis de lui demander pourquoi il l'avait fait.
oooOOooo
Arrivé à mon nouveau rdv, j'étais prêt à tout accepter. Pendant 2 jours je n'ai pensé qu'à cette grosse bite planté bien profond dans ma bouche et n'avait qu'une idée en tête la reprendre jusqu'à vider complètement les couilles de Momo.
Il me fit entrer et je notais une attitude assez sévère de sa part.
Était-il fâché après moi? Il me parlait assez brutalement. Très vite à genoux je commençais à lui faire une bonne pipe mais visiblement cela ne lui suffisait pas.
- Tu ne penses qu'à ça petite pute, me sucer la bite! Allez mets-toi à quatre pattes comme une bonne petite chienne.
Bien sûr j'obéis de peur de le contrarier. Alors que j'attendais inquiet dans cette position, je reçus un coup violent sur les fesses qui me fit bondir. Momo venait de me donner un coup de ceinture qu'il tenait fermement en main.
- Allez en position et plus tu cries plus je tape fort.
Un deuxième coup puis un suivant. J'essayais de retenir mes larmes car cela me cuisait les fesses. Il posa son pied sur mes reins.
- Cambre toi mieux et écarte les genoux .
Aussitôt dans cette position le plat de la ceinture vint claquer sur l'intérieur de la cuisse droite ou la peau est particulièrement sensible. Je poussais un cri.
- Je t'avais prévenu le prochain sera plus fort.
Effectivement le coup sur la cuisse gauche me fit cambrer à la verticale.
J'avais retenu mon cri. Mais je dis à Momo :
- Je vous en prie arrêtez. Je ferai ce que vous voudrai.
Il continua malgré ces paroles et visa alors entre mes cuisses et le bout de la ceinture vint toucher l'arrière de mes couilles. Je ne vous dit pas la douleur. Et j'eu droit a encore quelques coups au même endroit. Mes couilles me brûlaient.
Subitement il arrêta.
- Tu as ta dose? Proféra t il.
- Oui svp promis je serai obéissant, me frapper plus.
- Ecoute bien, si tu fais la moindre remarque ou la moindre retenue quand je te fais quelque chose, je t'en remets une. Une bonne dérouillé n'a jamais fait de mal. Les fatmas sont faites pour obéir et filer doux, ok?
- Oui promis.
Il approcha à nouveau sa bite et voulut que je la suce bien et que je la mouille!
Il se releva pour positionner sa caméra que je n'avais pas remarquée cette fois et enclencha l'enregistrement. Une fois cela fait il vint se positionner derrière moi et dit
- Ecarte tes fesses avec tes mains pour m'accueillir.
Je sentis alors son gland parcourir ma raie du cul et venir se poser sur ma rondelle.
Je tremblais de crainte sachant ce qui allait se passer.
Effectivement il commença à appuyer, et je sentais son gland essayer de se frayer un passage. Il y avait comme une sorte de brûlure.
- Décontracte-toi si tu veux que ça rentre.
Je fis mon possible car j'avais envie de le satisfaire et je savais qu'il voulait m'enculer.
Une petite douleur m'annonça qu'il avait franchi la rondelle, et chaque cm gagné était aussi douloureux.
- Il faut souffrir pour plaire à son mec! Tu vas en redemander bientôt.
Je sentais sa bite dure comme de l'acier progresser dans mon fondement. Je pensais à chaque instant qu'elle était au fond, malgré cela continuait. Il faut dire que sa queue est plus longue que la moyenne. Jusqu'au moment où je le sentis collés à mes fesses.
Ouf il était au fond. Il resta alors sans bouger. J'étais complètement rempli.
- Sens la bien, déguste ma pute, tu es bien enculé. Tu l'aimes la bite à Momo?
- Oui je l'aime.
- Je vais bien te ramoner le cul pour que ça soit un plaisir de t'enculer!
Et il se mît à la retirer.
La douleur était encore plus grande, ce qui me faisait me crisper.
- Tu veux la garder dans ton cul?
- Non mais ça fait mal.
- T'es ma fatma maintenant et tu dois souffrir pour me donner du plaisir, compris?
- Ouiii.
Et il l'a retira presque entièrement et sans prévenir me l'a renfila brutalement jusqu'au fond.
J'hurlais et je me pris alors une grosse claque.
- Ta gueule salope.
- ouiii.
Il recommença à me pistonner.
Peu à peu je dois reconnaître que la douleur s'estompait.
Je me surpris à serrer les fesses pour qu'elle y reste.
- Ben voilà tu commences à aimer ça!
Je ne sais combien de temps cela dura jusqu'au moment ou je sentis une giclée tout au fond de mon fondement.
- Voilà t'es une fatma, je viens de t'engrosser. Dis merci.
- Oui merci.
Il se retira et je dus lui nettoyer sa bite avec ma langue jusqu'à ce que plus aucune trace ni de jus la macule.
Il m'expliqua ensuite qu'il voulait que je sois à sa totale disposition. J'acquiesçai presque heureux d'appartenir à quelqu'un, ce qui révélait bien mon caractère de soumis. Il ajouta qu'il voulait que je me fasse épiler complètement et que je porte dorénavant des strings de femme!
Devant mon incrédulité il me dit de voir avec Zina, elle saurait m'aider pour ça. Il me fixa un rdv pour la semaine suivante que je dus accepter sans rechigner, je craignais trop une dérouillée. Avant de partir il me tendit une enveloppe qui contenait quelque chose, que je devais remettre à Zina dès que possible .
Au retour j'avais comme l'impression que sa bite était encore dans mon cul. Excité je me branlais pendant presque tout le trajet.
Je pensais aussi au rdv avec Zina et l'aide qu'elle allait m'apporter. J'avais envie de me confier aussi à elle et des sentiments que tout ça me provoquait, elle saurait me guider, j'en suis sure.
oooOOooo
La séance avec Momo m'avait profondément marqué surtout psychologiquement. Je n'arrêtais pas de me répéter que j'étais homo et que j'aimais ça moi l'homme marié. Je me demandais comment j'allais gérer ça, car je craignais par-dessus tout que ma femme s'en aperçoive. Je ne voulais malgré tout pas la perdre.
Mais je ne pensais qu'à une chose c'est de revoir Momo, même s'il était assez brutal avec moi. Je crois bien que ça ne me déplaisait pas, il me forçait ainsi à faire des choses que je n'aurais pas osé faire de mon propre chef. Je me souviens que je devais porter une enveloppe a Zina et je l'appelai pour la voir. Elle m'invita à venir le soir même.
En arrivant à l'immeuble je vis de loin ma femme en sortir accompagnée d'Ali qui la tenait par la taille disons plutôt qu'il avait carrément sa main posé sur son derrière. Habillée d'une jupe ultra courte qui ne cachait rien de ses cuisses. Ils montèrent dans une voiture avant que j'ai eu le temps.
Je me rendais alors chez Zina qui m'attendait..
- Alors quel bon vent t'amènes dit-elle.
- J'ai une enveloppe de Momo.
- Ouvre l'enveloppe stp. Tu sais ce que c'est, non!
- Pas du tout répondis-je.
Il y avait une carte mémoire ! Je compris vite ce que c'était.
- Tu ne sais toujours pas ce que c'est, dit-elle ironiquement
Je bafouillais rouge comme une pivoine.
- Comment c'était avec Momo ça t'a plu ?
- Euh oui
- Oui comment?
Elle me poussait à en dire plus, je me sentais humilié.
- Oui c'était bien.
- Bien ou très bien?
- Très bien, je finis par dire.
- Tu as envie de recommencer?
- Oui
- Tu vois je te l'avais dit, dit-elle triomphalement .
- On va regarder tout ça et tu vas me commenter.
J'aurais voulu être dans un trou de souris et j'espérais que la caméra ait boguer. Elle enclencha la lecture et vint s'asseoir à côté de moi.A la vision de la pipe que je faisais à Momo elle se permit de me féliciter!
- Tu fais ça super bien, il a dut apprécier hein? J'en connais plein qui aimerait qu'on leur fasse une telle pipe !!!!
Que voulait elle dire !
Quand nous sommes arrivés au passage des coups de ceinture, elle me questionna.
- Il t'a fait mal?
- ....
Comme si elle ne s'en doutait pas.
- Tu sais c'est qu'il veut que tu lui soit attaché.
- Oui je comprends
- C'est mieux pour toi.
Arrivé à la séquence où je me suis fait dépuceler par Momo, la caméra étant fasse a moi on voyait bien ce que je ressentais, ce qui la fit encore réagir.
- Regarde tu as l'air de prendre ton pied, on a l'impression que tu nages en plein bonheur. Je me trompe?
- Je ne sais pas.
Et elle repassa le moment où j'avais sa queue enfoncée bien profond.
- En tout les cas tu a l'air de dire que tu en veux encore plus.
Je ne pensais pas que tu serais si vite converti.
Elle arrêta le supplice de la vision de mes exploits.
- Dis-moi franchement, tu es content de ta relation avec Momo?
J'hésitais à répondre mais comme elle insistait et me dis que tout ça resterais entre nous, je me lançais et bizarrement je dis:
- J'en rêvais souvent mais je n'aurais pas osé .
- Tu es donc content que je t'ai poussé ?
- Oui Zina.
- Ecoute ta femme ne saura rien, je saurai te protéger à ce niveau-là, ok?
- Oui je te remercie infiniment.
- Oui mais faudra pas jouer au con avec Momo. Ce n'est pas déshonorant d'être sa fatma. Il saura te protéger. Mais il faut qu'il y trouve son compte, ok?
- Oui je comprends.
- Il a plein de projets avec toi, et comme je le connais rien ne l'arrêteras.
- Oui je ferai ce qu'il me dit, j'aime bien la façon dont il me traite.
- Oui il a vu tout de suite ton caractère mais ne le déçois pas.
C'est alors que nerveusement je craquais et je me mis à pleurer comme une femmelette.
Zina me prit alors dans ses bras et me rassura et m'expliqua que cela était normal ma réaction.
Je lui dit alors, étant en confidence avec elle, que j'avais vu ma femme sortir de l'immeuble et partir avec Ali.
- Ecoute je ne vais pas te cacher la situation mais je crois que la journée a déjà été assez perturbante pour toi. Je te dirais plus en détail comment les choses en sont arrivées à ce qu'ils couchent ensemble. Ok ne te prends pas la tête tu n'as rien a te reprocher mais je répondrai à toute tes questions. Concentre-toi sur Momo. Ok?
- Oui merci Zina, heureusement que je t'ai, ajoutais je, je ne sais pas ce que je deviendrais.
- Te fais pas de soucis je vais bien m'occuper de toi, tu peux compter sur moi. Je te demande seulement de m'écouter. Ok?
Et je repartis rassuré de l'évolution de la situation même si elle était très complexe et que je n'avais pas toutes les clés. Ce qui me rassurait c'est que j'avais l'impression que Zina m'aiderait. J'en étais convaincu. De plus elle m'avait proposé de me faire une copie de la carte, me disant que j'aurais certainement envie de la revoir.
Zina avant de partir m'avait donné un autre rdv pour l'achat des strings et de l'épilation.
Ce jour-là mon excitation était à son comble d'être poussé à être une fatma. Révélant mon inconscient de lope.
J'arrivai plus tôt que prévu, ce qui fit que Zina n'était pas encore là.
Sans bien réfléchir je me dis que je pourrais aller voir ma femme même si on ne devait pas rentrer dans l'immeuble si on n'était pas résident. Discrètement je montai jusqu'au dernier étage. En montant les dernières Marches j'entendis des gémissements, je me fis le plus discret possible. La porte de la chambre de ma femme était à moitié ouverte (il n'y a personne d'autres à cet étage) et les gémissements y provenaient.
Je vis avec stupeur dans un premier temps ma femme couchée sur le dos en train de se faire besogner par un arabe visiblement bien membré. Peu à peu mon regard figé sur cette copulation bestiale mon excitation montait.
Toujours caché je pris alors mon tph et enclenché la vidéo.
L'action fut malgré tout assez rapide. Je me retirais le plus possible laissant partir le mec. J'hésitai à aller voir ma femme étant encore troublé quand j'entendis des pas dans l'escalier qui se dirigèrent direct chez elle.
Une rapide discussion et je la vis s'agenouiller et baisser le pantalon d'un jeune arabe.
Elle ne mît pas longtemps à le prendre en bouche. J'avais vite enclenché le tph.
10' chrono et l'affaire était faite.
Rebelote j'entendis après le départ du 2 eme une nouvelle arrivée, des pas plus lourds laissant présager un âge plus avancé, effectivement un vieil arabe en fut le 3 eme.
Apres une pipe assez rapide pour rendre une bite d'une taille assez impressionnante suffisamment vigoureuse, elle se mît à plat ventre bien cambré. Je filmais alors un enfilage de ma femme comme même au cinéma je n'en vis.
La bestialité était mêlée avec la brutalité sans compter le langage mélangé ou je perçus plusieurs fois salope, chienne, fatma et pute.
Avant qu'il décharge je m'éclipsai car je craignais que Zina me cherche.
Arrivé chez elle je la trouvai inquiète car visiblement elle avait du retard (ce qui m'arrangeait ayant quelque chose à cacher).
Elle me fit rentrer chez elle, consulta un cahier posé sur une commode et me dit qu'elle en avait que pour quelques instants.
Je me dis que ce cahier avait peut-être quelque chose à voir avec son inquiétude.
Je le consultai rapidement et je vis une colonne de prénom principalement arabe avec des montants correspondant en euros.
Le premier était de 20€ puis 10 puis 30 et ainsi de suite avec beaucoup de 20, mais aussi quelque 30.
Je pris une photo de la page avec mon tph me promettant de réfléchir au but de cette énumération, plus tard car je n'étais pas venu initialement pour ça.
Sur ces entrefaites Zina revint.
Elle semblait rassurée de ses investigations.
Elle me conduisit d'abord dans un magasin de sa connaissance pour les strings. Une fois à l'intérieur elle s'adressa à la patronne, une copine semblable à elle!
Visiblement les choses étaient préparées et elle présenta une dizaine de strings tous aussi sexy les uns que les autres. Je dus en essayer quelque uns et me montrer aux 2 femmes pas avares de commentaires plus humiliants les uns que les autres. Genre :
- Heureusement qu'il en a une petite".
L'un était fait de 2 ficelles sur l'arrière écartant ainsi mes 2 globes fessier et rendant ainsi ma rondelle bien visible et .... accessible ! Ce qui les fit pouffer.
On acheta aussi des dim up pour compléter le tout.
La vendeuse avant de partir dit a Zina
- Avec ça il va faire un malheur!"
A quoi étais je destiné avec un tel accoutrement!
Nous nous rendîmes dans un cabinet d'épilation et très vite on me confia à une employée d'un certain âge mais visiblement de caractère. Elle exigea que je me mette nu rapidement.
Pendant ça Zina lui signifia que j'étais le mari d'une de ses clientes. Visiblement elle comprit de qui car elle parla d'Ali avec plein de sous-entendu.
Je ne vous dis pas la séance que je subis, j'avais l'impression qu'elle s'efforçait de me faire le plus mal possible surtout quand elle s'attaqua à mes couilles. Je pris une bonne claque pour avoir poussé un cri de douleur. Mes fesses subirent aussi un traitement de choc. Plus un seul endroit de mon corps n'avait pas subi son traitement de choc. Plus un poil!
Elle déclama que j'étais "bon pour le service".
Je ne savais toujours pas lequel.
Je rentrai avec quand même plein de nouvelle info (sur ma femme) et plein de supposé (pour mon devenir).
Dès que je fus rentré mon premier réflexe a été de visionner les vidéos que j'avais pris de ma femme en train de se faire sauter. J'étais très excité de les regarder peut être encore plus que de regarder des pornos les plus hard! De savoir ma femme sur celle-ci me faisant cocu créait en moi un drôle de sentiment. Et le résultat même avant de commencer me faisait bander comme jamais.
Dès la première minute, on pouvait voir que mon tph avait pris plus de détail que j'en avais vu directement. Elle était couché sur le dos les cuisses bien ouvertes, un mâle bien membré en train de la besogner a grand coups. On la voyait dans le même mouvement soulever son bassin pour aller à la rencontre de son amant. Ses mains étaient plaquées sur ses fesses pour qu'il la pénètre le plus possible.
On la voit alors glisser une de ses mains et lui attraper les couilles et visiblement les serrer suffisamment pour le faire jouir ce qui arriva assez vite.
Tout était bouclé dans un temps relativement court.
Pour la 2 eme vidéo on la voit se mettre à genoux du jeune arabe le pantalon baissé, elle tenait d'une main sa bite dont elle léchait le gland en l'humidifiant de sa salive et de l'autre main elle lui tenait les couilles. Puis après l'avoir bien léché elle le prit pleine bouche et visiblement le pompait comme une malade, les joues creusées signifiant l'aspiration qu'elle exerçait sur sa tige. Effectivement il ne résista pas longtemps et il lui lâchait une grosse purée qu'elle avala en totalité ne laissant pas une seule goutte tomber en bonne professionnelle de la pipe.
Je pouvais être fière de ma femme. En plus elle me faisait bander comme pas possible et je dus faire une pose pour ne pas jouir tout de suite.
La troisième vidéo la montrait d'abord à genoux devant un vieil arabe cette fois. Il semblait déjà bien excité et elle le lécha sur toute la longueur salivant un max comme pour le préparer. La taille de sa bite aussi large que longue devait se sentir passer.
Un fois la préparation du chibre faite elle se mît sur son lit à quatre pattes les genoux bien écartés et bien cambrée. Le vieux vint alors posé son gland sur la rondelle de sa femelle et sans prévenir la planta d'un coup violent qui la fit se cambrer a la verticale en poussant un feulement digne d'un animal à la saillie. Il la pistonna sur le même rythme ne lui laissant aucun espace. C'est lui qui menait la danse tel un étalon avec sa jument. C'était d'une violence jamais vu.
J'en oubliais que c'était ma femme qui se faisait sauter, ou plutôt enculer.
Cette fois ci je ne pu me retenir et je jouis comme un malade.
Je mis un certain temps à retrouver mon calme et je me dis alors que cela changeait de nos petits câlins. J'en étais presque à l'envier en oubliant que j'étais cocu.
Je me posais alors la question comment elle pouvait recevoir 3 mecs en si peu de temps et se faire baiser a chaque fois sans que personne dans l'immeuble ne s'en rende compte. Surtout Zina qui surveillait tout et m'interdisait d'y rentrer.
C'est alors que je me rappelais les photos du cahier.
Je me précipitais à imprimer celle-ci pour mieux les regarder.
J'avais pris plusieurs pages dont la dernière.
A la lecture je constatais que chaque page était constitué de colonnes.
La première contenait des prénoms pratiquement tous des arabes.
Ensuite la 2 eme des tarifs de 10€, 20€ ou 30€.
La troisième un croix indiquant apparemment "fait" comme indiqué en tête de colonne.
En tête de page la date à droite et à gauche un prénom féminin.
A la tête du jour de ma visite, le prénom correspondant était le même que celui de ma femme.
Si cela correspondait cela voudrait dire qu'elle s'est fait baiser pour 20€ le premier, la pipe a 10€ pour le second et l'enculade pour 30€!
J'avais sous les yeux les prestations qu'elle effectuait.
En regardant les autres pages je vis qu'elle "intervenait" 2 autres fois dans la semaine!!!!
Je me promis de demander des explications à Zina, enfin d'essayer.
J'étais assez troublé de ma découverte mais pas particulièrement en colère.
Bizarre mon état d'esprit. D'autant que mes pensées basculèrent sur ce que j'avais vécu dans le salon d'épilation et du magasin de lingerie.
Je les sortis du sac et je me mis à les essayer, tous, affublé aussi des bas.
Je ne pouvais pas m'empêcher de me regarder dans la glace.
Comme j'étais épilé je trouvais mon corps assez sexy et je me dis que Momo va aimer.
Il aura vraiment devant lui sa fatma. Il me tardait de le revoir.
oooOOooo
Je me rendis au rdv de Momo toujours aussi excité. J'avais mis un string très suggestif et des dim up comme il le souhaitait.
Il m'accueilli comme d'habitude toujours aussi froid et brutal comme si c'était normal d'être ainsi traité. Je ne devais pas oublier que je lui appartenais.
Une fois nu je me mis à quatre pattes attendant docilement la dérouillée habituelle. Je notais qu'il frappait plus fort comme s'il voulait tester ma soumission. Je fis preuve de très grande résistance à ses coups les ponctuant chaque fois de "merci" ! Si avec ça il avait encore des doutes!!
Il me pris par les cheveux et je dus lui lécher les couilles accroupis entre ses jambes, puis le sucer afin de le rendre bien dur. Je me mis à nouveau à quatre pattes mais pour me faire mettre bien profond et directement sans préparation, ce qui me fis serrer les dents. Ces coups de bite étaient aussi brutal comme ceux d'un étalon en rut a sa jument en chaleur!
En plein action des coups furent frappés à la porte et il fit rentrer un jeune arabe.
J'avais honte de ma position car il ne s'était pas retirer de mon cul.
Celui-ci lui demanda si c'était moi?
De quoi pourrais-je être?
- Oui c'est lui, répondis Momo
- Où l'as tu trouvé, il fait vraiment lope?
- C'est Zina!
- Elle sait y faire!
- C'est le mari de celle qui est avec Ali !!!! Précisa t il a ma grande honte.
- Parfait alors, conclu le jeune arabe.
- Essaye le ajouta Momo.
Il vint me mettre alors sa bite moins large que Momo mais je crois plus longue, devant ma bouche. Je me mis sans qu'on me le dise a lui lécher le gland puis je lui pris la queue à pleine bouche.
Une fois bien bandé Momo lui laissa la place dans mon cul et lui dans ma bouche. Les coups donnés par le jeune alternait avec ceux de Momo.
J'étais pris comme une bonne chienne.
Ils jouirent pratiquement en même temps, je dus avaler le jus de Momo et me faire remplir le cul par le jeune. Une fois retirés ils firent pas mal de réflexion sur ma tenue de pute.
L'humiliation continuait. C'est alors que Momo me pris entre 4 yeux pour me dire:
- Tu vas suivre mon pote et tu as intérêt à lui obéir. Il va te présenter à des amis à nous et gare à toi s'ils ne sont pas contents de toi. Je veux un sans-faute. Allez file et pas de trahison.
Nous partîmes aussitôt pour rejoindre un foyer de travailleur.
En passant devant le gardien, un gros noir, le jeune me dit :
- Tu passeras le voir en partant il a des choses à te demander , ok?
Nous montâmes au 4 eme étage pour entrer dans une chambre au fond du couloir. Le locataire était un vieil arabe. Je dus me déshabiller. Pendant ce temps je les vus discuter à voix basses et le vieux donner quelque chose au jeune.
Ceci fait il avait baissé son pantalon et me présenta sa bite pour que je le suce.
Les paroles de Momo me revinrent en mémoire et je m'appliquai.
Puis je dus me retourner pour qu'il m'enfile avec aussi peu de douceur que Momo.
Il fit son affaire assez rapidement.
Une fois dans le couloir le jeune me fit comprendre que je devais tout faire pour que cela soit plus rapide.
Nous sommes ensuite allés dans une autre chambre pour pratiquement la même chose.
Je n'ai pas compté mais plus de 10 furent visitées et autant de mecs soulagés.
J'avais encore le noir à voir. Il me laissa seul avec et je dus me glisser sous son bureau et sucer une bite qui rentrait à peine dans ma bouche. Je ne sais plus combien de temps car il ne semblait pas presser et même quand des visiteurs l'interpellait.
Quand il lâcha sa purée j'ai cru que cela ne finirait jamais. Comme je devais tout avaler j'étais à la limite de l'étouffement.
Il ricana et me dit :
- Allez petite salope rentre chez toi"
Je compris alors que Momo avait fait de moi une pute.
Mais bizarrement ma honte était étouffé par le plaisir de contenter Momo.
Je lui étais totalement soumis et je crois que j'étais prêt à recommencer
Pas de suite....
Comme ma femme avec Ali.
Zina avait fait de notre couple un couple de putes à leur service.
Et j’imaginais avec effroi le jour où elle nous ferait travailler ensemble…
Je suggère ces quelques lignes...