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Histoire du net. Auteur inconnu.... La descente au.... paradis

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Un très beau texte que j'aurais  aimé écrire.
Quand un couple se découvre...
 
LE COCU CONTENT...
Le soir de notre cinquième anniversaire de rencontre, j’ai offert à ma femme Salima le bracelet qu’elle voulait tant, même si c’était une véritable petite folie. J’avais préparé un bon petit dîner en amoureux afin que la soirée se déroule parfaitement. Enfin presque tout, ma petite Salima arrivant avec une heure de retard, folle furieuse après son patron et ayant en plus complètement oubliénotre anniversaire. Dire que généralement, on pense que ce sont les hommes qui oublient les anniversaires !
Enfin la soirée ne se passe quand même pas trop mal, même si on est loin de ce que j’avais espéré. Salima s’en rend d’ailleurs tout à fait compte et se confond en excuses toutes les dix minutes.Au milieu du repas je lui dis d’arrêter et de profiter plutôt de la soirée. Elle me regarde droit dans les yeux, puis glisse sous la table et entreprend une fellation dont elle a le secret.
Évidemment nous n’avons pas mangé le dessert, la soirée se terminant au lit bien plus tôt que prévu. Durant les jours suivant, je sentais Salima plutôt distante et tracassée. Je lui demandais pourquoi tant de soucis, elle me répondit qu’oublier l’anniversaire de notre rencontre était vraiment impardonnable de sa part.Le samedi suivant, en rentrant de chez un ami, je trouve un mot de Salima : Prends une douche et habille toi nous sortons ce soir.
Vers 20 heures, fin prêt je me demande quelle surprise m’attend lorsque le téléphone sonne.Salima m’annonce qu’elle vient me chercher en voiture dans 5 minutes. Le temps de fermer la maison et voici la voiture devant le portail. Mon amour est au volant, maquillée, un long manteau ne dévoile que ses jambes gainées de soie. Elle est splendide. Elle m’embrasse tendrement et me souffleà l’oreille :
- Bon anniversaire mon amour, cette nuit est ta nuit….»
Je frémis et me sens très fier d’être son mari.
- Où allons-nous ? »
- Nous allons dîner dans un endroit que tu ne connais pas ! »
Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, je la regarde de plus en plus étonné. Nous rentrons, un serveur nous accueille et prend aussitôt nos manteaux et là j’ai eu le premier choc de lasoirée. Ma chérie, si discrète, porte un tailleur avec une minijupe. Visiblement la veste portée à même lapeau est plus déboutonnée qu’il ne conviendrait, offrant à tous un décolleté étourdissant quis’allonge presque jusqu’au milieu de ses seins. Je reste sans voix. J’entends Salima qui prend les choses en main et se dirige vers notre table.
Je la suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et les autres convives attablés.
Tout en dégustant notre repas, Salima m’explique sa petite mise en scène. Ce soir elle a voulu me faire plaisir et s’est donc acheté ce tailleur, des bas et un string. Je n’en reviens pas ! Et je dois dire que pendant qu’elle m’expliquait tout cela, je n’ai pu détacher mon regard de ses seins qui sebalançaient librement sous sa veste. Je n’étais d’ailleurs pas le seul qu’elle envoûtait. Le serveur ne se gênait pas pour la regarder avec insistance, et plus particulièrement son décolleté. Une pointe de jalousie montait en moi lorsque Salima me dit :
- Il ne faut pas, après tout n’es-tu pas fier d’avoir une femme qui attire les regards ? Laisse-moi faire et profite du spectacle. »
Sans me permettre d’esquisser la moindre parole, elle se lève et se dirige vers les toilettes. La plupart des hommes présents, moi compris, l’ont suivi du regard.Au bout de quelques minutes elle est revenue, rayonnante, les yeux brillants d’excitation ; elle avait quelque chose de différent. C’est seulement lorsqu’elle s’est assise que je suis aperçu que son décolleté baillait franchement. Elle avait déboutonné encore plus sa veste et devenait ainsi très provocante. Franchement, elle m’épatait et m’excitait à la fois. L’excitation remplaçait petit à petit jalousie. Elle me chuchota alors :
- Ce que tu ne sais pas, pas plus que les autres, c’est que je n’ai plus de string…
Mon érection grandit encore au point de me faire mal dans mon pantalon. Le serveur vint alors et nous demanda ce que nous voulions tout en louchant dans le décolleté de Salima. Elle fit mine de réfléchir tout en jouant avec le tissu de sa veste dévoilant discrètement un de ses beaux seins aux regards avide du serveur.
Une fois seuls elle me demande :
- Tu as aimé ? »
- Oui, mon amour »
- Moi aussi cela m’excite. »
C’est dans une tension incroyable que nous terminons le dîner. Il est encore tôt pour rentrer et Salima me propose de sortir danser un peu pour entretenir cette tension qui nous excite tant. Bien sûr j’accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée. Nous partons pour une sorte de piano bardont nous avions entendu parler.
Dans la voiture je caresse doucement ses cuisses et en remontantdélicatement je m’aperçois qu’effectivement elle ne porte rien sous sa jupe et que son sexe est complètement inondé.Nous arrivons rapidement à destination et découvrons l’endroit qu’un de nos amis nous avait chaudement recommandé. Lumière tamisée, ambiance feutrée quelques couples dansent au sond’un piano qui joue une douce mélodie.
Nous nous installons un peu en retrait et commandons deux cocktails. Les sens de plus en plus échauffés par l’excitation et l’alcool Salima me propose de danser. Doucement nous évoluons ainsi un long moment au milieu des autres danseurs. Je propose à Salima un autre cocktail et la laisse près de notre table.
Lorsque je reviens un homme d’une cinquantaine d’années l’invite à danser ; un bref regard dans ma direction pour demander mon accord et elle se dirige vers la piste au bras de son cavalier.
De ma place je peux les voir tourner doucement au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de ma femme. La jalousie, et l’excitation me reprennent. Un moment je capte le regard interrogateur de Salima. Mes yeux brillants, mon sourire sont autant de oui à sa question muette : Bien sûr si tu le veux, laisse-le continuer, il n’y a pas de mal à se laisser un peu caresser le dos.
Je continue donc à observer ce couple, composé de ma chérie, l’amour de ma vie, et de cet inconnu dont les mains se font plus insistantes, plus pressantes. Ils se rapprochent lentement de notre table j’aperçois alors leurs corps serrés l’un contre l’autre dansant doucement. Ils ne sont plusqu’à deux ou trois mètres lorsque l’homme face à moi, regarde dans ma direction. Lentement sans lâcher une seule seconde mes yeux il se penche et embrasse délicatement ma femme sur l’épaule et remonte lentement vers le cou, puis la joue s’arrêtant juste à la commissure des lèvres.
C’est à ce moment précis que la musique cesse. Je vois alors Salima remercier cet homme et venir me rejoindre.
- Tu es en colère ? » Me demande-t-elle inquiète.
- Non pourquoi le serais-je ? »
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ? »
- Si, je dois dire que j’ai aimé te voir danser avec lui, j’ai aimé le voir te caresser, t’embrasser.Et toi ? »
C’est à ce moment-là qu’intérieurement je me suis posé la question pour la première fois des avoir si cela me plairait qu’elle fasse l’amour avec un autre que moi. Prenant mon courage à deux mains je lui demande alors si elle aimerait danser à nouveau avec lui. Elle me regarde, interrogative mais ne répond pas. Quelques longues secondes s’égrènent, puis elle me dit
- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. »
Nous sommes restés de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser. Enfin je lui dis :
- Écoute mon amour, je sais que tu adores danser et je ne voudrais pas te priver. Vas-y si tu enas vraiment envie.
Elle me sourit, m’embrasse, puis se lève lentement et se dirige vers la piste de danse. Au bout de quelques minutes l’homme revient et se met à danser devant elle. Petit à petit ils s’écartent du centre de la piste pour se retrouver dans un coin assez sombre qui est proche de notre table. Le style de ma femme jusque-là assez sage dévie lentement vers une danse de plus en plus sensuelle voirelascive. Je regarde fasciné ma chérie adorée exécuter une espèce de parade amoureuse qui n’a pour but que d’exciter le mâle qui se trouve devant elle.L’homme se rapproche d’elle, lui chuchote quelque chose à l’oreille. Salima le regarde et luisourit. Ils se remettent alors à danser l’un contre l’autre, bougeant au rythme de la musique,rapprochant toujours un peu plus leurs corps jusqu’à se coller. Mon excitation grandit encore bien que mes sentiments soient plus axés sur la jalousie et la colère. Voir ma femme aussi calme, aussi décontractée dans les bras de cet homme me fait mal.Je la vois alors me regarder et articuler distinctement : « Pour toi, je t’aime ».Ma tension intérieure chute brutalement et je lui souris. Elle regarde alors son cavalier etl’embrasse sur la bouche. Pas un baiser du bout des lèvres, mais un baiser profond, sensuel. Les mains de son cavalier descendent doucement sur les fesses de Salima pour l’obliger à se plaquer encore davantage à lui.
Ils dansent ainsi quelques minutes se rendant caresses et baisers. À la fin dela série, l’homme la prend par la main et l’attire vers sa table où ils retrouvent un autre couple. Je les observe, toujours plus excité, elle rit, boit un peu, rit encore ; elle est belle, désirable…
Son cavalier pose sa main sur sa cuisse et commence à la caresser. Elle me regarde interrogative.Je lui fais à nouveau un grand sourire qui a pour effet de la détendre complètement. Elle s’appuie sur le dossier de la banquette et se laisse aller pour mieux apprécier. Lentement la main remonte vers le haut de sa cuisse dévoilant mon ange toujours un peu plus. L’autre couple décide alors d’aller danser.Sans doute se sentent-ils de trop.
L’homme est en train d’embrasser Salima lorsque sa main effleure sa toison brune. Il marque un temps d’arrêt, puis reprend son exploration. Même s’ils sont un peu abrités par la semi-obscurité et par la situation géographique de la table qui est assez éloignée de la piste de danse, le spectacle de ma chérie la jupe complètement remontée ne peut pas échapper à toute l’assistance.
Je regarde rapidement autour de moi, un peu affolé. Je ne repère personne d’autre que le couple de tout à l’heure semblant s’en être aperçu. L’homme continue de caresser ma femme tendrement. Puis lui a chuchoté quelque chose et s’est dirigé vers la sortie. Salima est venue me rejoindre, les yeux brillants.
- Je t'aime me dit-elle
- Moi aussi, mais pourquoi est il parti?
- Il m'attend dehors, seule
- Que comptes tu faire mon amour, demandais je inquiet?
À ce moment, mes sentiments étaient tellement confus que je ne savais même pas quelle réponse je souhaitais entendre. Elle me regarde dans les yeux et me répète pour la troisième fois de la soirée :
- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. »
Le problème c’est que je ne savais plus ce que je voulais ! Je suis resté un long moment sans rien dire, juste lui caressant les cheveux. Enfin je romps le silence :
- Où t’a-t-il proposé ? »
- Je lui ai dit chez nous. »
- Vas-y mon amour si tu le désires. »
- Rejoins-moi à 4 heures. Je serai alors toute à toi mon amour. »
Elle m’embrasse tendrement, se redresse devant moi, déboutonne totalement sa veste de tailleur,prend son sac, traverse toute la salle et sort. Je reste seul, rempli de sentiments contradictoires, il est à peine minuit.
Les quatre heures suivantes se traînent lamentablement. Je danse un peu, discute beaucoup avec le barman. Je suis dans un état d’excitation incroyable. Il est quatre heures pile lorsque je rentre chez moi. J’ai croisé une voiture à moins de deux cents mètres de ma porte d’entrée. À cette heure, il y a fort à parier…
Je monte directement dans notre chambre. Salima est là, étendue sur le lit conjugal. Je la regarde, elle est encore plus belle. Je m’approche et l’embrasse tendrement sur le front. Son odeur est brouillée par celle d’une eau de toilette pour homme. Je descends mes lèvres vers les siennes. Une autre odeur dont je devine l’origine, le sperme de son amant, chatouille mes narines. Une érection se déclenche immédiatement.
- Mon amour, je t’aime. »
- Moi aussi, je t’en supplie crois-moi ! »
Je lui souris. Je continue de descendre lentement vers ses seins tout en déposant de petits baisers.
- S’il te plait laisse-moi me laver. »
- Non ! Je te veux ainsi. »
Je descends jusque vers son sexe et là, je vois sa vulve luisante de sperme. Salima me regarde inquiète. Je suis fasciné par ce spectacle, par l’odeur de sexe qui imprègne la pièce, par la« dépravation » de mon ange qui s’est donnée sans retenue à un inconnu. Je me déshabille rapidement et viens me blottir contre elle. Je la rassure par des mots tendres et beaucoup de douceur. Enfin elle commence son récit :
« Il m’avait demandé de venir le rejoindre seule, mais que si je le faisais, je devais aussi lui montrer que j’irais jusqu’au bout. C’est pourquoi j’ai traversé toute la salle la veste déboutonnée. Une fois sortie j’ai rejoint l’homme qui m’attendait près de sa voiture. Puis rapidement je suis montée et je lui ai indiqué le chemin jusqu’à notre maison. Le trajet s’est déroulé dans une relative tension. Une fois arrivés à destination, l’homme m’a dit doucement:
- Tu es prête ?
Nous sommes montés directement dans la chambre à coucher, nous sommes embrassés longuement tout en nous déshabillant mutuellement. Il m’a longuement embrassée, léchée, avant devenir sur moi. Nous nous sommes regardés dans les yeux, puis tout doucement il est entré en moi. Ilest resté quelques secondes sans bouger, pour que je m’habitue à l’idée d’un autre sexe que le tien en moi. Puis il a commencé de lents et longs va-et-vient jusqu’à ce que je mette mes jambes sur ses reins comme un signal d’acceptation.
Nous avons fait l’amour sans nous arrêter pendant presque trois heures. Je devenais plus« chienne » à chaque minute. J’avais envie d’être possédée comme jamais auparavant. Je l’ai sucé longuement, me suis mise en levrette, lui ai demandé d’être plus violent, de martyriser mes seins, de me tirer les cheveux »
Pendant son récit, je me suis mis sur elle afin de la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant qu’elle meracontait sa nuit d’amour. L’excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle, mon sperme rejoignant celui de son amant. Je l’ai regardée alors pour lui dire combien je l’aimais… Elle m’a simplement répondu avec un grand sourire :
- Je t’aime aussi ».
Lentement je suis descendu jusque vers sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve dessouillures de son amant et du sperme que j’avais moi-même déposé.Au bout de quelques minutes, Salima s’est mise sur le ventre, découvrant son joli fessier avec comme seul commentaire :
- N’oublie rien mon amour. »
Tremblant, redoutant ce qui va suivre, je prends ses jolies fesses dans mes mains et les écartent doucement. Son anus dilaté recrache un liquide blanc. Bien qu’elle ne m’ait jamais autorisé la sodomie, je l’ai quand même nettoyée avec application. Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre serrés.
Au petit matin j’ai découvert une nouvelle Salima, plus coquine, plus sensuelle. Seuls quelques bleus en forme de doigts sur ses seins et une trace de morsure sur l’épaule, faits par son amant d’un soir, nous ont rappelés la folle nuit que nous venions de passer.
Quelques semaines plus tard, nous venions de faire un câlin lorsque dans l’intimité de notre lit Salima s’est mise à reparler doucement de cette soirée. Je fus à la fois surpris et excité à l’évocation de cette nuit pendant laquelle ma si délicieuse femme s’était donnée sans retenue à un inconnu.
Elle m’avoua alors tout le plaisir qu’elle avait eu, aussi bien physique que cérébral. Je l’ai caressée durant sa confession, réveillant son envie. Immédiatement mon sexe s’est durci, une envie irrépressible est montée en moi et en elle. Nous avons refait l’amour sauvagement, violemment tellement l’excitation était grande.
Une fois calmés, nous avons rediscuté plus calmement de cette soirée et de cette envie d’aventures.Salima m’avoua alors l’émoi ressenti dans son rôle de femme sexy, de femme facile et devant le comportement des hommes à son égard. Mais si elle voulait recommencer, ce n’était qu’à la condition de le faire en ma présence. Je lui dis alors que je voulais moi aussi la voir ainsi parce que j’aimais cela.
Ce fût une sorte de libération pour elle ; Salima se posait beaucoup de questions sur elle, sur moi,sur notre couple depuis ce soir-là. Je la rassurai alors définitivement en lui disant que je voulais la voir faire l’amour avec d’autres hommes.
Quelques jours plus tard, un vendredi soir, je dis à Salima :
- Nous sortons ce soir. »
- Où cela ? »
- Tout d’abord un restaurant, puis tu verras… »
Elle me regarde, une lueur coquine dans les yeux, et part vers la salle de bains pour se préparer. Une fois sous la douche, je prépare ses affaires achetées pour l’occasion en les disposant sur le lit :porte-jarretelles noir, bas, chemisier noir transparent, une veste noire et une jupe fendue sur ledevant. Elle sort de la salle de bain, parfumée et maquillée, portant juste une serviette. Dieu que mafemme est belle ainsi !
Je la croise et entre à mon tour dans la salle de bain sans un mot. Elle entrouvre la porte juste quelques minutes après et me demande doucement :
- Chéri, tu n’as rien oublié ? »
- Si tu fais allusion à des dessous, je te réponds que c’est une perte de temps pour une fille facile comme toi. »
Mes propos l’ont touchée, elle m’a regardé avec un air étrange, mêlé d’excitation et de colère. Je décide alors de pousser le jeu un peu plus loin pour tester sa réelle volonté.
- Et tu n’oublieras pas de te maquiller un peu plus, je te trouve un peu fade. »
Ce fût comme une gifle. Elle baissa les yeux, indécise. Mais rapidement je la rassure en lui disant :
- Je te veux très chaude ce soir, pour notre plaisir à tous les deux. Je t’aime. »
Elle me regarde alors et me dit qu’elle m’aime aussi. Nous finissons de nous préparer chacun denotre côté. Nous montons dans notre voiture direction le restaurant de notre fameux anniversaire. À peine assis, je l’embrasse amoureusement et la félicite pour sa beauté. Nous roulons quelques minutes sans un mot, chacun pensant aux évènements qui ne manqueront pas de se produire.
Une fois arrivés, nous dégustons un merveilleux repas largement arrosé, surtout pour Salima, sous l’œil intéressé du serveur qui nous a reconnus dès notre entrée.Juste avant le café je suggère à ma femme si sexy ce soir de remercier le serveur qui s’est si bien occupé de nous. Elle me regarde interrogative. Puis doucement écarte un peu les pans de sa veste. Ses seins sont parfaitement visibles au travers de son chemisier, ses tétons tendant le tissu. Le serveur se délecte de la vue, je suis sûr qu’il est lui-même très excité. Nous finissons notre café et quittons le restaurant.Tout en marchant en direction de notre voiture nous parlons du serveur.
- Tu as aimé t’exhiber devant lui ? »
- Oui beaucoup, je suis très excitée tu sais. »
- Moi aussi… Veux-tu continuer et aller plus loin ? »
- Oui mon amour. »
- Alors je te propose une chose : je veux te voir très très chaude, j’aimerai voir une Salima sans aucune gêne, aucune limite. »
- Mmmm, je le veux aussi. Merci de me comprendre si bien et de m’aimer autant. »
Nous montons en voiture et nous nous dirigeons vers le piano-bar pour continuer de suivre le déroulement de notre soirée d’anniversaire. Nous entrons et prenons place à une table isolée et loin de la piste de danse. Nous nous embrassons, nous nous disons des mots doux, des mots d’amour. Petit à petit, nous sentons tous les deux que le temps de passer aux choses sérieuses est venu.
- Tu viens danser ma chérie. »
- Oui »
Nous nous dirigeons vers la piste de danse. L’alcool, la musique, l’érotisme de la soirée emportent Salima dans un tourbillon sans fin, elle devient plus chatte, plus coquine. Un moment lesmouvements des autres danseurs nous éloignent l’un de l’autre. J’en profite pour me reculer franchement et observer ma douce épouse se trémousser au son de la musique.
Plusieurs hommes se rapprochent d’elle. Ils dansent avec elle. Mon cœur s’accélère. Puis d’un coup, je reconnais l’un d’eux. C’est son amant d’un soir ; un terrible doute s’insinue en moi, et sic’était voulu, calculé ? Mais non après tout ce n’est pas possible, c’est moi qui ai choisi le programme de la soirée.L’homme prend Salima dans ses bras et l’embrasse sur la joue. Un baiser appuyé, tendre. Ils parlent quelques secondes, puis ma femme me cherche des yeux. Nos regards se croisent enfin. Ses yeux dans mes yeux, elle prend entre ses mains la tête de son partenaire et l’embrasse sur la bouche longuement. Ils se remettent à danser tout en se souriant.Je commande deux nouveaux cocktails et regagne notre table tout en les surveillant. Après quelques minutes ils me rejoignent. Il s’appelle Jacques et semble extrêmement décontracté. Salima et moi le sommes beaucoup moins… Nous engageons la conversation sur des sujets tout à fait banals.La gêne commence à nous gagner tous les trois. Salima prend alors les devants en prenant la main de Jacques dans la sienne. C’est comme un signal ; il me regarde, je lui souris lui confirmant ainsi mon accord. Il se tourne vers Salima et l’embrasse tendrement sur la bouche.
J’imagine leurs langues se joindre, s’enrouler, se lover l’une contre l’autre. Je suis fou d’amour pour elle, dans unétat d’excitation indescriptible.
Jacques me regarde et me complimente :
- Votre épouse est véritablement superbe, vous formez un très beau couple.
- Merci, mais ce soir il ne faut pas la considérer comme mon épouse, mais seulement comme une femme libre. »
Salima me regarde, rayonnante. Dieu qu’elle est belle. Puis doucement elle retire sa vestedévoilant à Jacques sa poitrine qui se dessine très distinctement sous son chemisier très transparent.Il est sous le charme, moi aussi d’ailleurs.
- Libre de repartir danser avec moi ? Ou même plus ? Le voulez-vous Salima ?
Salima, après un bref moment d’hésitation, me regarde et répond :
- Oui, totalement !
Ils repartent danser, la tenue de Salima attirant tous les regards ; ceux des hommes qui serégalent ainsi que ceux des femmes beaucoup plus énervées.Après quelques danses Salima revient me rejoindre, seule. Elle est un peu honteuse de saconduite, la danse l’ayant quelque peu dégrisée. Je la rassure, l’embrasse et lui propose de décider lasuite de la soirée.
- Jacques va revenir dans quelques minutes, il discute avec un ami. Je crois qu’il veut nous le prsenter
- Que désires tu? »
-Tu veux toujours me voir avec un autre homme ?
- Oui mon amour. »
- Alors attendons-le. »
Quelques minutes plus tard Jacques revient avec son amis
Il est plutôt petit, un peu bedonnant,pas franchement beau, mais son sourire illumine son visage qui dégage une grande douceur. Je sens Salima réticente au premier abord, mais la voix douce de Jean-Louis, le nouvel arrivant, finit par a rassurer. Nous buvons alors un autre cocktail pour faire connaissance, l’ambiance se détend est Salima est assise entre les deux hommes.
Je l’observe, fier de l’avoir pour femme. Jacques lui chuchote quelques mots à l’oreille. Elle le egarde et l’embrasse longuement. Un pesant silence autour de la table s’est créé. Nous nous regardons avec Jean-Louis.
Puis dans un même mouvement, Salima cesse d’embrasser Jacques.
Elle tourne la tête et tend ses lèvres entre-ouvertes à Jean-Louis qui, après un rapide coup d’œil dans ma direction, embrasse mon ange à son tour.
La voir embrasser sans aucune gêne un autre homme me donne un choc. Elle réalise cela sans aucun déplaisir, bien au contraire. Je la vois à présent différemment, la jalousie montant en moi, ou plutôt l’énervement et une forme de haine s’emparant de moi. Salima qui me connaît bien le détecte immédiatement. Elle dit alors tout haut :
- Sachez messieurs que j’appartiens à mon mari et à personne d’autre. C’est lui que j’aime et que j’aimerai toujours, même si ce soir je me livrerai à vous qui me donnerez un plaisir qu’il ne peut pas égaler… C’est pour lui avant tout que je le fais. »
Même si cette dernière phrase n’est pas tout à fait vraie, elle m’ôte tout sentiment de colère et attise mon envie. Jacques propose alors d’aller tous les quatre dans un hôtel qu’il connaît pour continuer plus au calme cette soirée si bien commencée. Nous montons alors dans sa voiture, Salima et Jean-Louis à l’arrière, moi à l’avant. À peine démarré, j’entends des bruits suspects derrière moi. Je me retourne et les vois qui s’embrassent à pleines bouches. Salima prend alors la main de Jean-Louis et la guide entre ses cuisses largement écartées. Horrifié j’entends alors Jean-Louis dire tout haut à son copain :
- Elle est trempée ! »
Salima que j’imaginais plus prude, comme quoi on ne connaît jamais vraiment les gens, lui répond :
- Oui, je suis à vous ce soir ! »
Nous sommes arrivés sur le parking de l’hôtel, Jean-Louis avait encore ses doigts dans le sexe de ma femme. Il les retire enfin et lui donne à lécher. Puis nous sortons de la voiture.
Ma petite femme adorée est dans un état second, prête à tout, moi aussi d’ailleurs. Nous entrons et prenons une chambre sous le regard amusé et envieux du veilleur de nuit.
À peine arrivés dans la chambre, Jacques retire alors la veste de Salima, ouvre largement son chemisier et retire sa jupe. Il lui demande alors d’aller nous chercher du champagne dans le frigidaire. Elle traverse la pièce devant nous, presque nue, impudique, le sourire aux lèvres. Dieu qu’elle est belle, Dieu que je l’aime.
Elle nous ramène la bouteille docilement. Jean-Louis l’invite à boire encore et encore. Puis elle se dirige vers moi m’embrasse et en profite pour me déverser de sa bouche dans la mienne une petite rasade de champagne. Elle se relève va vers Jacques et fait de même, puis vers Jean-Louis. À chaque passage nous en profitons pour caresser ses seins, ses cuisses, pour la pénétrer de nos doigts avides.
Nous finissons bientôt la bouteille ainsi. Elle est, sous l’effet de l’alcool, de l’excitation et de l’envie de plus en plus chaude, de plus en plus impudique, de plus en plus indécente.Jacques me chuchote :
- Tu regardes seulement ou tu participes ? »
L’entendre parler comme cela de ma femme, et de ce que cela suppose, m’électrise littéralement. Je lui réponds de commencer sans moi pour l’instant.Il se déshabille rapidement, Jean-Louis aussi d’ailleurs, et prends Salima dans ses bras. Ils esquissent quelques pas de danse, je vois le sexe dressé de Jacques se perdre dans la toison de mon amour. Ils s’embrassent. Jean-Louis vient se coller au dos de Salima et lui mord doucement lesépaules, le cou. Je m’assois dans un fauteuil tout en sortant mon sexe pour le caresser.
Lentement Jacques lui retire son chemisier. Elle est à présent presque nue, seulement vêtue de son porte-jarretelles, de ses bas et de ses talons hauts. Jean-Louis lui appuie fermement sur les épaules, lui intimant ainsi de s’accroupir. Elle se retrouve ainsi accroupie entre ses deux inconnus leurs deux sexes à hauteur de son visage.
Elle est face à moi. Tout en attrapant ces deux queues elleme regarde dans les yeux avec un grand sourire, écarte largement les cuisses et articule distinctement sans un son : «Je t’aime». Salima, ma tendre chérie, prend alors ces deux queues dans sa bouche et commence à les sucer. Les deux hommes prennent chacun un sein et le malaxe, le tire, le caresse. Je suis au bord de l’explosion, mais je ne veux pas jouir maintenant.
Les deux hommes apprécient visiblement. Au bout de quelques minutes, ils se séparent, Salima ne suçant plus que Jacques qui doucement s’agenouille. Jean-Louis de sa voix douce lui dit :
- Regarde bien ton homme, pendant que je te pénètre. »
Il la prend alors par les hanches et doucement entre en elle. Mon tendre amour gémit rapidement sous les coups de boutoirs qui se font rapidement de plus en plus violents. Jacques sort sa queue et caresse le visage de Salima. Je suis devant un spectacle magnifique. Je n’ose plus me toucher de peur de jouir.
Jean-Louis dans un râle s’arque boute, la prend par la taille pour s’enfoncer au maximum et jouit en elle tout en mordant sa tendre épaule. Salima pousse elle aussi une plainte, signe de sa jouissance. Au bout de longues secondes Jean-Louis se retire, je me lève et vois alors la chatte béante de ma femme d’où s’écoule un filet de sperme. Jacques qui a vu mon regard me dit :
- Approche-toi et admire la chatte de ta femme qu’on a bien ouverte ! »
Sans une seconde d’hésitation je m’agenouille et sous le rire des deux compères je contemple la vulve souillée, la chatte dégoulinante de sperme de ma petite femme. Puis, Jacques fait monter Salima sur le lit et la couche sur le ventre. J’imagine sans mal la suite ! Moi qui n’ai toujours pas eu droit à ses reins, elle va se donner une deuxième fois.
Effectivement il se positionne au-dessus d’elle et très lentement, avec beaucoup de douceur, il fait pénétrer son sexe entre les fesses de ma femme. Je me rapproche et chuchote doucement à l’oreille de Salima que je l’aime…
Elle m’entend à peine.Jean-Louis se caresse, Jacques s’active longuement entre ses reins. D’abord lentement puis avec de plus en plus de fougue. Je vois sa longue queue entrer et sortir du cul de Salima. La chambre est saturée d’odeur de cyprine, de sperme, de sueur.
Mon cœur s’affole, mon sexe aussi, je jouis sur levisage et les cheveux de ma tendre chérie. Jacques et Salima jouissent quelques secondes plus tard.
Nous restons de longues minutes silencieux dans cette ambiance de sexe ; repus. Lentement nous émergeons de notre torpeur.Salima me chuchote que nous devrions rentrer à présent. J’acquiesce et prends congés de ses deux amants d’un soir. Salima me chuchote alors que le taxi arrive qu’elle sent le sperme couler le long de ses jambes. Je la regarde et l’embrasse tendrement.
Nous nous asseyons à l’arrière, Salima au milieu de la voiture serrée contre moi. Tout en l’embrassant je glisse ma main entre ses cuisses humides pour la forcer à les écarter. Si le chauffeur a la bonne idée de regarder, tant mieux pour lui !
Arrivés directement à la maison, nous avons fait l’amour avant même d’être arrivés dans notre chambre. J’ai dorloté ma petite Salima tout le reste du week-end et je compte bien le faire tout le reste de notre vie. Nos deux précédentes aventures ont considérablement changé notre vie de couple en la pimentant et nous faisant découvrir d’autres facettes de nos personnalités. Nous en avons reparlé et Salima m’a avoué très rapidement cette fois vouloir franchir encore un peu plus loin la limite de ceque son éducation lui avait interdit jusqu’à ces dernières semaines.

A suivre

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