Quand un mari vit à travers la vie de sa femme
LE COCU CONTENT...
Fin
Nous avons décidé, d’un commun accord de laisser les choses se faire d’elles-mêmes, sans les provoquer cette fois-ci. En fait nous n’avons pas attendu longtemps ! Quelques jours plus tard après nos discussions, un soir vers 21 heures le téléphone se met à sonner ; Salima étant la plus proche répond :
- Allo »
- … »
- Oh bonsoir Jacques, comment allez-vous ? »
Mes oreilles se dressent et je me rapproche.
- … »
- Bien merci »
Après quelques civilités d’usage, la tournure de la conversation prend une direction beaucoup moins classique et je vois ma Salima qui finalement s’assoit en face de moi et me regarde l’œil brillant.
- Oui nous en avons reparlé avec mon homme. Nous avons beaucoup aimé cette soirée. »
- … »
- Je ne pense pas qu’il soit opposé à ce que nous nous revoyons. »
J’acquiesce de la tête sans trop bien comprendre ce qui se trame. Jacques lui parle longuement, Salima lui répondant juste par oui ou par non. Au bout de quelques minutes elle conclut la conversation par ces mots :
- Moi aussi Jacques, je vous embrasse tendrement. Je suis toute à vous. »
Salima raccroche, et me regarde. Elle s’approche de moi, me sourit.
- C’était Jacques, il a trouvé notre numéro sur le net via notre adresse. Il désire vraiment nous revoir et s’est donc permis de nous appeler. »
- Nous revoir, ou te revoir ? »
- Me revoir en fait, enfin principalement moi. Il nous invite à dîner. »
- Qu’as-tu répondu ? »
- J’ai accepté, bien sûr. »
Là je dois dire que j’avais l’impression que la situation m’échappait totalement, sans aller d’ailleurs avec une certaine dose d’excitation. Puis Salima poursuivit :
- Chéri, tu connais la règle que je n’ai moi-même pas oublié ! Je reste ta femme avant tout ; ce ne sont que des expériences physiques… et cérébrales… et peut-être un peu de sentiment samoureux pour Jacques, mais sans plus. Mais si tu ne veux pas continuer dans ces conditions, je me plierai à ta volonté. »
- Que t’a t’il proposé exactement ? »
- De dîner prochainement, et d’y passer la soirée bien sûr. »
- Pour ?… »
- Nous deux, il a également précisé qu’il y aura des surprises. »
- Franchement Salima, tout cela commence à m’inquiéter un peu. Je ne voudrais pas mettre en péril notre amour.
- J’ai très envie d’y aller. Découvrir, avec toi, de nouveaux plaisirs met mes sens en émoi !.... Mais j’insiste, cela ne peut se faire qu’à deux. Je t’aime et je désire avant tout notrebonheur... Ecoute, Jacques doit nous envoyer quelques petits conseils et quelques éléments concernant la soirée. Si tul e veux, on attend de recevoir cette lettre et on décide après.
- OK
Nous n’en avons pas reparlé pendant deux jours, néanmoins chacun de nos regards était chargéd’envie, de désir et surtout de défi. Qui se dégonflera ?
Enfin nous reçûmes cette lettre tant désirée, enfin plutôt les lettres : une pour Salima, une pour moi, avec interdiction de lire celle de l’autre.
La mienne disait en substance :.... Votre charmante épouse est informée des grandes lignes de la soirée et, en acceptant de répondre positivement à mon invitation, accepte donc librement les événements qui en découleront. Elle pourra se retirer du jeu quand elle le voudra dès lors qu’elle prononcera les mots suivants « S’il vous plat arrêtons-nous là».
Quant à vous, vous serez libre de participer comme bon vous semble, mais sans pouvoir arrêter le jeu. Vous pouvez cependant demander à votre épouse qu’elle prononce la phrase d’interruption. Néanmoins par expérience, je vous conseille de la laisser choisir elle-même le moment.
Je vous remercie d’apporter un soin particulier à votre tenue…... »
Ainsi seule Salima avait le programme de la soirée. Ma lettre n’avait que pour seul but de me rassurer. Elle a donc toutes les cartes en mains, et peut donc seule décider.
Je regarde alors Salima qui lit avec beaucoup d’attention sa propre lettre. Son sourire d’envie se fige peu à peu en une espèce de grimace que je ne sais interpréter. Elle lève enfin les yeux et me fixe.
Nous restons quelques secondes les yeux dans les yeux sans rien dire. Puis elle me déclare fièrement qu’elle aimerait beaucoup aller à cette soirée à la seule condition que j’accepte.
La manière avec laquelle elle me demande mon autorisation, marquée à la fois par du respect, de l’amour, du défi m’excite. Dieu, comme je ne connais pas ma femme ! Je ne peux qu’accepterl’invitation en notre nom à tous les deux. Salima se rapproche de moi, m’embrasse tendrement. Nos langues se cherchent, se trouvent, se lient…
Une nuit torride s’annonce !
Nous sommes invités le vendredi soir suivant, nous n’avons que 2 jours.
Salima prend son jour decongé pour bien se préparer me dit-elle.Je rentre vers 18h30 et je trouve sur la table de l’entrée juste un petit mot d’elle :
“” Je passe te prendre vers 20h. Je t’aime à la folie””
20h juste : un coup de klaxon devant la porte. Je sors et rejoins mon ange dans la voiture. Un doux parfum monte vers mes narines. Elle est là près de moi, belle, maquillée, désirable, le sourire auxlèvres, dans son manteau qui me cache sa tenue. Ma main s’avance vers sa cuisse en éclaireur, elleme repousse gentiment.
- Puisque je ne peux en voir plus peut-être me diras-tu où nous allons ? »
- Chez Jacques, ce n’est qu’à quelques kilomètres. »
Nous arrivons au pied d’un bel immeuble. Je regarde ma petite femme adorée et lui dis simplement :
- Es-tu prête ? »
- Et toi l’es-tu ? »
- Oui
Nous descendons de la voiture et nous nous dirigeons vers l’entrée. Sans un mot nous prenons l’ascenseur. Arrivés au sixième étage, je vois ma tendre Salima sortir un objet noir de son sac à main puis me demander :
- Aide-moi à mettre mon masque s’il te plait. »
Une fois en place, celui-ci lui cache uniquement les yeux, le bas du visage disparaissant sous une fine voilette noire également. C’est incroyable, le masque cache ses traits si bien qu’elle n’est pas reconnaissable, pourtant à l’évidence il ne peut y avoir de doute sur son identité lorsqu’on la connaît bien. C’est très troublant. Elle sonne à la porte. Jacques nous ouvre rapidement.
- Bonsoir, vous êtes les bienvenus dans ma demeure. »
Je lui serre la main un peu angoissé. Salima reste là entre nous deux. Un moment de flottement puis j’interviens :
- Ma chérie, peut-être devrais-tu embrasser notre hôte. »
Il se rapproche d’elle et tendrement lui dépose un baiser ardent sur les lèvres. Puis il la débarrasse de son manteau. Enfin je peux voir son accoutrement ; robe noire dos nu descendant jusqu’au bas des reins et s’arrêtant au-dessous des genoux tout en étant largement fendue sur le devant,visiblement pas de soutien-gorge, escarpins noirs, probablement des bas. Très classe et follement aguichante.
Pourtant un petit quelque chose me tracasse, un je ne sais quoi qui me trotte dans la tête. Tout d’un coup j’aperçois une chaînette autour de la taille de Salima, ce qu’elle n’avait jamais voulu mettre pour moi. Elle se rapproche et me chuchote :
- Je l’ai mise à la demande de Jacques, pour lui prouver mon attachement à lui. Mais mon amour, c’est uniquement pour toi que je lui ai obéi, même si ce soir pour tous, cette chaînette aura une signification différente. »
Je reste sans voix ne réussissant qu’à lui sourire. Puis soudain je comprends le sens de ses paroles :ce soir aux yeux de tous, sauf aux miens, elle appartient à Jacques. Quelques minutes plus tard un couple arrive à son tour ; ils sont visiblement très à l’aise. Jacques et Salima les accueillent. Je reste en retrait, comprenant rapidement que mon rôle est d’être spectateur.
Un jeune homme nous sert du champagne. Rapidement l’ambiance se détend. Nous prenons place autour de la table. Salima nous offre un succulent dîner, agrémenté de délicieux vins. Nous passons une excellente soirée dans une ambiance feutrée. Après le café, au son des notes de musique les deux femmes se mettent à danser, bientôt rejointes par l’homme du couple, l’ambiance monte alors d’un cran ; la femme se fait embrasser par Jacques sous le regard de son mari.
Jacques se tourne vers Salima et lui demande d’aller l’embrasser. Sans hésiter, docilement, ma chère femme traverse le salon et embrasse profondément cet inconnu. Décidément je ne m’habitue pas ! D’autant plus que je constate que Salima met tout son cœur à l’ouvrage !
- Assez ! Tonne Jacques. Seulement l’échantillon est gratuit. Si cela t’intéresses tu sais ce qu’il te reste à faire. »
Je regarde ma tendre chérie interloqué par ce que je viens d’entendre, et complètement stupéfait par sa réaction. Sans un regard pour l’homme, les yeux baissés elle se recule soumise à Jacques qui me regarde en souriant. L’homme regarde Salima et demande à voir.
- Tu vas voir que je l’ai préparée pour toi ce soir. »
Jacques se positionne derrière mon ange et lentement écarte le bas de sa robe noire. Les bas apparaissent aux yeux de tous, puis ses cuisses blanches, puis enfin son pubis complètement rasé portant une petite lettre « J » en bas du ventre !
Impudique, obscène, ma femme est offerte comme une vulgaire pute. Salima commence d’elle-même à dénouer le haut de sa robe afin de libérer ses seins. Je sens une présence derrière moi. C’est la femme qui vient se coller à moi, qui m’embrasse dans le cou, me caresse lascivement. Mon excitation est à son comble. Je ne sais plus que penser.
J’aperçois l’homme donner des billets à Jacques puis emmener Salima dans une pièce voisine. Je ne peux plus réagir, je ne le veux plus, je veux moi aussi avoir du plaisir. Je me laisse aller totalement dans les bras de cette femme sensuelle. Je sens des mains me caresser, puis ouvrir ma braguette et libérer mon sexe. Elle m’embrasse avec beaucoup de sensualité lorsque je sens une autre bouche surmon sexe !
C’est le jeune serveur, qui agenouillé devant moi, commence une fellation. Je ne veux pas qu’elle cesse et malgré tous mes préjugés je le laisse donc faire. Au bout de quelques minutes, la femme me chuchote à l’oreille :
- Pour moi, prends-le dans ta bouche. »
Je la regarde tétanisé !
- Suce-le et baise-moi après. »
Le vocabulaire cru, l’ambiance, l’érotisme de la soirée m’ont fait accepter !
Je le relève, il veut m’embrasser, je détourne légèrement la tête, puis me glisse jusqu’à son sexe déjà en érection. Je le masturbe un peu, c’est étrange de sentir une autre queue que la mienne dans ma main. Lentement ma bouche s’approche, et accueille ce membre jusqu’au fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur, puis commence à le sucer comme j’ai vu faire ma tendre Salima.
La femme se couche prêt de nous elle se caresse la chatte longuement tout en me masturbant. Nous sommes là tous les trois concentrés sur nos émotions, nos sensations. La femme me tire sur le sexe tout en répétant un mot comme un leitmotiv. Je finis par comprendre « viens ». Je me couche sur elle, délaissant le jeune homme, et d’un coup la sodomise jusqu’à la garde. Elle gémit. Nous faisons l’amour sauvagement. Enfin je ne peux me retenir plus longtemps et me laisse aller au fond du rectum de la femme qui jouit elle aussi. Je reprends mes esprits pour entendre Salima gémir dans la pièce d’à côté.
Lentement je me lève et m’approche de la porte. Elle est en levrette sur le lit, l’homme l’enculant avec ardeur. Ces mots crus me semblent de rigueur tellement le spectacle est hallucinant : ma tendre Salima, nue, à quatre pattes, les seins tressautant à chaque pénétration, se faisant sodomiser contre de l’argent. Mon érection repart immédiatement. J’entends Jacques me dire :
- Si tu veux tu pourras la prendre aussi. »
Dans un état second je m’entends répondre :
- C’est combien ? »
- 100 euros pour toi. Je prends les chèques. »
- Ça marche. »
Je ressors rapidement et remplis à la hâte un chèque. En revenant dans la chambre, je vois l’homme qui dans un râle s’écroule sur Salima se vidant en elle. Il se relève à peine que je me jette sur Salima et la pénètre d’un coup. Elle sursaute. Son anus largement ouvert m’accueille sans problème. C’est la première fois que je la sodomise. Je la pistonne brutalement, comme pour me venger d’elle, de sa perversité, de sa débauche. En fait, plus je suis violent plus elle semble aimer. Malheureusement je ne peux tenir longtemps et je me déverse dans ses boyaux au bout de quelques petites minutes.
Jacques me regarde en souriant une coupe de champagne à la main. Il recommande à Salima d’aller faire un brin de toilette avant de nous rejoindre. Nous discutons de choses et d’autres, lorsque mon ange toujours masquée nous rejoint. Jacques lui demande alors :
- Veux-tu continuer ? »
- Nous devons rentrer, mon mari et moi. Mais que voulez-vous encore de moi ?
- Je n’ai rien eu de toi ce soir. Aussi je pense qu’avant de partir tu pourrais … »
Avant même la fin de la phrase, Salima s’agenouille et sors le sexe de Jacques afin de le sucer. La fellation dure, dure, mais nous regardons fascinés cette bouche enserrer ce sexe, cette langue lécher ce gland, cette main aux ongles rouge-carmin aller et venir le long de cette queue. Enfin dans unsursaut Jacques éjacule dans la bouche de ma femme. Elle le regarde dans les yeux tout en avalant le sperme, puis dépose un petit baiser sur cette queue qui redevient molle.
Il l’aide à se relever, elle lui sourit. Je suis fier de ma tendre Salima, fier de la voir si belle, si sexy, je suis fier de notre amour.Nous remercions notre hôte et repartons dans notre maison. Nous avons fait à nouveau l’amour,mais tendrement cette fois, amoureusement.
Les précédentes aventures n’ont fait qu’augmenter notre appétit et quelques jours plus tard, nous avons longuement parlé de cette dernière soirée et des sensations qu’elle nous a procuré.
- J’ai beaucoup aimé te voir appartenir à Jacques. Lui demander la permission de me servir de ton corps à ma guise a été un réel bonheur ! Mais je dois t’avouer quelque chose : j’ai fait l’amour avec la femme de la soirée… Je te prie de croire que ça n’a été que physique. »
- Je le sais, Jacques m’avait prévenue de cette éventualité. Je t’aime et je suis contente pour toi. »
- J’ai également eu des relations avec le jeune serveur. »
- Explique-moi s’il te plaît. »
Salima me regarde avec beaucoup de tendresse et de douceur. Comme si elle savait déjà ce que jevais lui avouer. Elle me caresse lentement les cheveux, me susurre des mots doux.
- J’ai pris son sexe dans ma bouche. »
- Tu as aimé ? »
- Non… Je crois que c’est vraiment l’atmosphère de la soirée… »
- Je t’aime »
- Moi aussi mon amour. »
Puis nous avons longtemps parlé de son plaisir à être offerte, du mien à la voir ainsi…
Suite à nos premières expériences très réussies, nous avons voulu continuer. Nous évoquions pourtant jamais ce sujet. Pourtant quelques sourires complices, quelques regards vers son sexe imberbe nous ont rappelé toute cette soirée de grands plaisirs
Un soir, à la faveur de l’intimité de notre lit conjugal, nous avons repris notre discussion. Salimame déclare alors son envie de recommencer une soirée avec Jacques et ses amis. Je ne sais que répondre. L’envie me taraude aussi mais je redoute de la perdre. Je la mets en garde
- Jacques ne se contentera pas de revivre la même chose. Probablement en voudra-t-il plus. »
- Je suis prête à le lui demander. »
- Toi oui, mais moi ? »
- Je reste avant tout à toi et seulement à toi. Certes j’éprouve des sentiments à « appartenir »à Jacques, mais c’est toi que j’aime. Et puis tu pourras peut être revoir cette jolie femme de ladernière fois… »
Cette diablesse me connaît trop bien ; il m’est alors difficile de résister à sa demande.
- Tu y as beaucoup pensé ? »
- Oui, je suis sûre de le vouloir, s’il te plait permet-le moi ! Il me faut ton plein accord. »
- OK, appelle donc Jacques. »
Le lendemain, dans la journée elle est parvenue à le joindre. Il s’est évidemment montrer très enthousiaste à l’idée de nous rencontrer à nouveau d’autant plus que Salima l’avait invité à prendre le café pour le samedi suivant.
Vers 14h30, Salima était partie faire quelques courses lorsque Jacques est enfin arrivé un magnifique bouquet de fleurs à la main. Je l’ai fait entrer et lui ai proposé un café agrémenté d’un cognac. C’est à ce moment que Salima est arrivée dans le salon. Jacques, toujours gentleman s’est levé.
Elle s’est approchée de lui. Très lentement tout en me regardant dans les yeux, elle s’est laissée embrasser fougueusement sur la bouche, longuement.Le message était clair ! Je l’avais à nouveau « perdue ».
Jacques s’est rassis et nous avons repris notre discussion. Salima nous a laissé quelques minutes.
- Je vous félicite encore d’avoir une épouse aussi épanouie, aussi libre dans sa tête et dans son corps. Vous avez beaucoup de chance ! »
- Oui en effet, je vous remercie pour elle, et pour moi. »
- Je ne veux en aucun cas être indélicat, aussi je vous rappelle qu’à tout moment Salima, peut faire cesser ce jeu libertin ; je me plierai à sa volonté. »
- Je vous remercie de votre discrétion et de votre délicatesse. »
Salima nous rejoint à cet instant. Elle a entendu la fin de notre conversation et nous sourit tendrement. Je m’aperçois qu’elle s’est changée : elle est à présent en robe, bas et talons hauts. Jacques lui demande de venir s’asseoir près de lui, ce qu’elle fait docilement. Nous continuons à deviser tout en buvant notre cognac.
Jacques tout en me parlant, demande à mon ange de venir s’asseoir sur ses genoux. La discussion continue et je vois la main de notre invité qui commence à caresser le bras nu de Salima. Elle me regarde, me sourit ; elle est heureuse dans les bras de cet homme. Jacques prend son verre, boit un peu, puis le porte aux lèvres de ma chérie qui boit à son tour. Je suis dans un état d’excitation incroyable et nous n’en sommes qu’au début !
Jacques lui déboutonne le haut de sa robe, puis sa main en écartant le bustier ainsi ouvert, libère un sein. Je regarde ce spectacle fasciné attendant la suite. Jacques me parle de notre maison, je ne l’écoute plus, mon attention se portant exclusivement vers cette main qui caresse, vers ces doigts qui font rouler ce téton, qui le tirent, le pincent. Mon érection est douloureuse dans mon pantalon. Je n’ai qu’une envie : me caresser. Salima apprécie visiblement la caresse et se détend complètement. Ce petit jeu dure quelques minutes puis Jacques dit tout en m’adressant un clin d’œil :
- Chérie, ressert-nous du cognac.
J’ai cru que j’allais jouir dans l’instant. Ce diable d’homme me volait ma femme, ma vie. Je devenais l’invité.
- Oui mon chéri, pardonne-moi. »
Répondit-elle tout en se levant pour nous remplir généreusement nos verres. Elle se penche, ses seins sont complètement sortis de sa robe. Son décolleté me dévoile son corps jusqu’à ses cuisses. Elle porte sa chaîne autour de la taille mais pas de culotte…
Après avoir rempli nos verres elle me regarde en souriant. Je l’aime à la folie ! Puis ma tendre chérie se blottit à nouveau dans les bras de notre invité qui aussitôt reprend sescaresses. La discussion a alors pris un tour plus sérieux lorsque Jacques nous a déclaré avec beaucoup de douceur et de tact :
- Vous formez tous les deux un couple magnifique et extrêmement sympathique. Mais je suppose que ma présence ici va un peu plus loin qu’un simple café, et aussi un peu plus loin qu’un simple moment très agréable passé en votre compagnie ; et je n’entends pas forcément par-là, un après-midi en lui-même. Aussi je me permets de vous demander ce que voulez exactement de moi etce pour notre plaisir à tous. »
Nous nous sommes longuement regardés avec Salima. Au bout de quelques secondes je me suis rappelé de ses paroles : « …Ton plein accord… »… J’ai alors pris la parole :
- Nous voulons tout simplement vivre d’autres soirées, vivre d’autres aventures. Salima aime vous « appartenir », et j’aime la voir ainsi offerte à d’autres. »
Jacques s’est alors tourné vers Salima. Elle lui a alors souri, puis l’a embrassé tendrement lui témoignant ainsi son accord.Celui-ci devant cette situation très érotique n’a pu cette fois éviter de se laisser entraîner par son envie. Jacques, généralement très maître de lui, presque flegmatique, semblait alors très excité,embrassant ma femme avec passion, tout en caressant son corps, pétrissant ses cuisses. Je ne pus résister plus longtemps, et baissais mon pantalon pour me masturber.
Jacques demande alors à Salima de venir me prendre dans sa bouche. Elle se lève et s’agenouille devant moi. Sa bouche sensuelle s’ouvre et gobe la totalité de mon sexe d’un seul coup. Jacques regarde la scène en souriant. Je vois une bosse imposante dans son pantalon. Salima me suce divinement, je suis au bord de l’explosion lorsque j’entends Jacques lui dire
- Ma chérie, suce bien ton mari parce que nous partons tous les deux dans 10 minutes, il faut donc qu’il garde un bon souvenir de toi ! »
A ces mots j’éjacule dans la bouche de ma femme qui ouvre des yeux immenses. Elle ne sait que dire, que faire, à part avaler !
Salima me regarde. Je lui souris et lui chuchote :
- Vas-y si tu le veux, ça m’excite tu sais. »
Elle se relève, m’embrasse longuement, me dit qu’elle m’aime à la folie. Je suis très fier d’elle. Jacques est déjà debout son manteau à la main. Pendant que Salima va chercher le sien il me dit :
- Ne vous inquiétez pas, je prendrai soin d’elle. Nous passerons la soirée avec vous. »
Puis je les raccompagne à la porte et après un dernier baiser, je laisse partir ma femme avec Jacques. Je restais seul dans notre maison vide. Toutes les pièces exhalaient le doux parfum de Salima me laissant encore plus seul et encore plus excité.
J’ai pu donc régler tous les problèmes d’intendances rapidement. Je suis resté un long moment dans notre chambre conjugale attendant avec impatiencele coup de téléphone. Puis après m’être préparé, j’ai attendu avec beaucoup d’impatience le coup detéléphone de Salima ou de Jacques.
C’est lui qui m’a appelé vers 19 heures 30. Sans aucun autre détail il me donnait rendez-vous vers 20 heures 30 chez lui.Dans un état d’excitation et d’énervement incroyables je suis arrivé un peu en avance.
Salima et Jacques m’attendaient. Je regarde mon ange. Elle porte une robe noire à large décolleté et surtout arbore un sourire radieux. Sa tenue était très provocante, et surtout pleine de promesses…
Après un apéritif très copieux, Jacques me remercie pour la merveilleuse après-midi passée avecSalima avec un sourire énigmatique.
- Je me suis permis de faire quelques magasins avec Salima. Elle s’habille d’un rien ! »
- Que dois-je comprendre ? »
- Que votre charmante femme a essayé quelques robes sous mon regard et sous le regard de quelques vendeurs. »
Le souvenir de Salima sans dessous au moment du café s’est ravivé dans ma mémoire…
- Et ? » Demandais-je un peu tendu.
- Visiblement elle aime être exhibée… »
Je regarde ma femme. Elle me rend mon regard avec un léger sourire.
- Décidément, vous avez beaucoup de chance, il suffit de demander et elle s’exécute. Jacques tout en me regardant ajoute Chérie, viens t’asseoir près de moi. »
Il pose alors sa main sur le canapé, le majeur pointé vers le plafond alors que Salima docilement,sans un regard pour moi, s’approche, soulève le bas de sa robe et s’assoit sur cette main, sur ce doigt.
Je ne reconnais plus ma femme, mais la voir soumise ainsi m’excite. Jacques continue de parler de choses et d’autres interrompu parfois par de petits soupirs de Salima. Au bout de quelques minutes Jacques me regarde et dit :
- Chérie, prépare toi nous allons sortir. »
Salima docilement se lève et attend près de lui. Nous sortons rapidement et prenons la voiture de Jacques. Salima prend place à côté de lui. À un feu rouge Jacques regarde Salima qui se rapproche de lui et l’embrasse longuement, presque amoureusement.
Nous arrivons enfin à notre destination : un parking désert faiblement éclairé. La voiture arrêtée, Jacques allume le plafonnier du côté de mon ange. Un silence pesant tombe dans la voiture ; noussavons tous ce qui va se passer. Quelques secondes ont suffi pour qu’un premier homme s’approche lentement. Jacques caresse la cuisse de Salima tout en chuchotant à son oreille. Je ne peux entendre ce qu’il dit mais je vois ma femme respirer profondément et soupirer, signes de son trouble.
Le voyeur est là près d’elle. Alors lentement, tout en continuant de lui parler, Jacques déboutonne complètement la robe de Salima afin d’exhiber son corps. L’homme a sorti son sexe et se caresse à quelques centimètres de ma femme, séparés seulement par la vitre.
Jacques demande à Salima de se caresser ce qu’elle fait sans aucune gêne. C’est un homme d’une bonne quarantaine, assez laid. Jacques demande à Salima d’ouvrir sa portière, permettant ainsi à l’homme de toucher mon cœur à moi qui se laisse faire. Sa main pétrit ses seins avec rudesse, maladroitement, puis descend jusqu’à la vulve de Salima.
Jacques donne un préservatif à Salima. Le message est clair…
Sous mes yeux éberlués je vois ma tendre femme mettre le préservatif dans sa bouche et enfiler la capote sur le sexe tendu de cet homme. J’ignorais totalement qu’elle étaitcapable de cela ! Elle entreprend alors une fellation sous le regard goguenard et les commentaires salaces de l’homme.
Rapidement celui-ci se tend et jouit avec un râle dans la bouche de Salima.
Nous repartons le laissant là à attendre d’éventuelles autres voitures. Jacques regarde Salima avec beaucoup de tendresse. Nous nous garons devant un club privé situé dans le centre de notre ville. La soirée n’est donc pas terminée. Je ne sais que penser, mais cette situation m’excite et j’ai envie de continuer.
L’ambiance est feutrée, des tables sont disposées tout autour d’une piste de danse. Il n’y a pas beaucoup de monde : quelques couples dansent, plusieurs hommes seuls disséminés dans la salle les observent. Nous nous installons à une table et nous dégustons une bouteille de champagne. Nos sens se réchauffent rapidement. Salima a les yeux qui brillent de bonheur…
Jacques lui demande d’aller au bar s’asseoir. Dans un sourire Salima se lève et s’installe au boutdu bar dans une demi-pénombre. Jacques me rappelle alors les règles que nous nous sommes fixés :Elle peut arrêter ce jeu à tout moment. Ses paroles me rassurent et je regarde Salima avec amour assise sur un tabouret haut, souriante,les jambes croisées, dévoilant ainsi largement une jambe à la vue de tous. Elle est belle, désirable, je suis fier d’elle, d’être son homme !
Au bout de quelques minutes un couple s’approche d’elle et lui offre une consommation. Elle accepte en riant. Elle boit encore.
Devant la réaction de Salima, l’homme rapidement s’enhardit : ilpose une main sur sa cuisse. Elle, lui sourit tout en le regardant. Il se rapproche d’elle et lui chuchote quelques mots à l’oreille. Il profite alors pour lui donner un baiser dans le cou .Ma tendre Salima renverse sa tête en arrière comme une invitation.
L’homme passe derrière elle, la prend par la taille et doucement tourne le tabouret afin de la placer en face de la femme. Tout doucement celle-ci se rapproche et pose sa main sur la cuisse nue de Salima. Cette dernière tourne la tête vers nous ; du coin de l’œil j’aperçois Jacques lui sourire, comme un ordre muet lui intimant de continuer.
Alors Salima regarde la femme et très doucement approche son visage, sa bouche. Pour mon plus grand plaisir je vois ces deux femmes s’embrasser tendrement, longuement. La situation m’excite énormément, quel homme n’a jamais rêvé de voir cela ?
Toujours avec beaucoup de douceur, la femme attire Salima vers une espèce d’alcôve située toutau fond du club. Jacques, le mari et moi les suivons sans un mot.Tout en s’embrassant, lentement la femme ouvre la robe de Salima et commence à caresser son corps. Jacques et moi ne bougeons plus admirant ce spectacle d’une rare tendresse, d’une rare délicatesse.
Les deux femmes se déshabillent mutuellement. Elles s’embrassent, se lèchent, se mordillent ; petit à petit les caresses se font plus précises, plus franches. Mon sexe me fait mal mais je n’ose rompre l’harmonie de cet instant en le libérant. Pas un mot d’échangé, seulement dessoupirs, des petits cris de bonheur et des respirations haletantes. Elles se retrouvent bientôt tête bêche. La femme est la première à poser sa bouche sur le sexe de sa partenaire, Salima semble hésiter une seconde puis tout doucement pose ses lèvres sur la vulve luisante d’excitation de cette femme totalement inconnue.
Avec toujours beaucoup de douceur elles se lèchent, se pénètrent avec leurs langues, s’aspirent, se goûtent, se délectent de leurs sécrétions.Le spectacle qui nous est offert est merveilleux. Dans un parfait synchronisme ces deux corps se tendent une dernière fois dans un orgasme simultané.
Le mari, Jacques et moi restons silencieux un long moment les laissant récupérer. Elles se cajolent tendrement puis Salima lève enfin son regard brillant vers nous, comme si elle venait juste de serappeler notre présence. Elle respire le bonheur. Dieu qu’elle est magnifique, que je l’aime !Elle rit doucement et dit :
- Nous devrions peut être nous occuper de nos hommes à présent. »
- Tu as raison, même si je crois sincèrement qu’ils ne se sont pas gênés pour nous regarder !
Salima, entièrement nue, se relève et se dirige vers nous. Mon cœur s’arrête presque. Je la désire tant.
Regardant Jacques, elle s’arrête devant lui et lui dit :
- Merci, mon chéri. Je vous appartiens »
Jacques lui prend la main, l’attire vers lui et l’embrasse affectueusement sur la bouche. Il lui dit seulement :
- À très bientôt, ma chérie. »
Elle se rhabille rapidement et tous les deux nous sortons du club. Nous rentrons en taxi pour récupérer ma voiture dans un silence total. Une fois seuls en voiture, elle me dit tendrement.
- Mon amour, certes j’aime bien Jacques, mais je t’aime plus que lui ; tout ceci n’est qu’un jeu que je fais pour toi. »
- Je t’aime aussi. »
Puis comme pour me rassurer définitivement je lui demande :
- Serais-tu prête à me faire plaisir ? »
- Oui mon amour, demande moi ce que tu veux… »
Je suis très fier d’elle, de notre couple. Sa réponse est tout ce que je voulais entendre, aussi ajoutais-je simplement :
- Continue à être la pute de Jacques. Reste toujours ainsi.