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Histoire du net. Auteur Inconnu. Re-découverte de la vie... Fin

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Quand sous la glace jaillit la lave brûlante.
( C'est vraiment beau ce que je raconte re-lol)

Ma Dame de la haute…
Fin
Saisissant à nouveau le volumineux clito empourpré entre mes lèvres, je repris mes mordillements, accentuant même la pression de mes dents sur le bout de chair. Chaque morsure infligée à son étonnant bouton d'amour sensibilisé, arrachait un cri perçant à la quinquagénaire ; cri où le plaisir et la douleur se mêlaient intimement. Tout son corps s'arquait violemment, comme s'il avait été traversé par un fort courant électrique. La lumière se fit dans mon esprit : ma sensuelle compagne éprouvait, comme cela arrivait chez certains individus, un surplus de volupté dans la douleur.
La quinquagénaire avait des tendances sadomasochistes. Puisqu'elle avait l'air de follement apprécier mes morsures, je m'acharnai alors sur son clitoris enflammé. Les plaintes de ravissement de ma bienheureuse victime ne tardèrent pas à se transformer en petits cris, puis en véritables râles inhumains. Son bas-ventre, tel un étalon indompté bondissait à la rencontre de ma bouche, d'une manière désordonnée.
Une plainte soudain plus aigue, me fit comprendre que ma volcanique partenaire arrivait enfin au seuil de la jouissance. Je décidai alors de l'aider à atteindre cet orgasme qu'elle espérait depuis si longtemps. Pour cela, sans cesser de lui mâchouiller le clitoris fortement enflammé, je glissai deux doigts dans sa fente béante et abondamment trempée par une liqueur tiède et sirupeuse.
Là, je ne pus que constater que ma complice avait dû, du temps de sa jeunesse avoir abondamment pratiqué les jeux amoureux, tant elle était incroyablement élargie. Décidément cette quinquagénaire avait le don de surprendre son monde. Mes deux doigts accolés avaient glissé dans sa longue faille sexuelle sans rencontrer la moindre gêne, ni la moindre résistance. La femme qui haletait au-dessus de moi, possédait un vagin aux dimensions démesurées…
Surpris par la facilité avec laquelle j'avais pénétré dans cette vulve impressionnante, je décidai alors de joindre un troisième doigt, à ceux déjà enfouis dans cette chatte incroyablement dilatée. Mon annulaire vint rejoindre mon index et mon majeur, avec lesquels je fouillai déjà le sexe dilaté et ruisselant de mouille, tentant d'apporter un surplus de plaisir à ma compagne.
Au bout de quelques va-et-vient à l'intérieur du vagin de plus en plus inondé, je me rendis compte que les grandes lèvres de la vulve distendue pouvait encore admettre mon auriculaire, tant cet orifice me paraissait spacieux.
Pour exécuter cette nouvelle introduction, je dus forcer quelque peu, mais rapidement le sexe gluant s'élargit encore. Je réussis à enfoncer pratiquement la totalité de ma main dans la chatte effroyablement dilatée. Seul mon pouce demeurait hors de la cavité spongieuse. Etonnamment surpris par la largeur de cette chatte, je n'osais bouger mes doigts de peur de blesser ma compagne, quand cette dernière, dans un long râle inhumain m'encouragea à la forcer plus profondément :
- Plus loin !... Va plus loin !... Défonce-moi la chatte ! … N'ai aucune crainte… J'aime trop ça !...
Antoinette avait largement écarté ses larges cuisses, s'ouvrant au maximum afin de me faciliter la monstrueuse pénétration qui semblait la ravir. De mes quatre doigts accolés je pistonnais donc allégrement le vagin de plus en plus détrempé, tandis que de mon pouce j'écrasais le clitoris protubérant à chaque pénétration de ma main dans la faille sexuelle.
- Oui ! Bien à fond… Humm c'est bon !… Continue !... C'est divin… Il y a si longtemps…
Je n'eus pas à attendre longtemps pour enfin être récompensé de mes efforts. Une longue plainte s'échappa soudain de la gorge de ma victime et résonna dans la salle d'eau : plainte de femelle comblée sexuellement !
A l'apogée de l'orgasme, Antoinette se convulsa en un spasme violent qui lui rejeta le corps en arrière. Tétanisée, elle demeura ainsi quelques instants, transformée en statue, alors que ses cuisses s'étaient resserrées sur mon poignet, me bloquant la main dans un étau charnel.
Enfin, au bout de cinq à six minutes, la sensuelle quinquagénaire reprit progressivement ses esprits. Haletante, elle se redressa lentement sur son bidet, qui depuis le début lui avait servi de siège, puis comme une poupée de son, elle se laissa tomber en avant, posant son front sur mon épaule.
- Merci, me chuchota-t-elle… C'était merveilleux… Il y avait si longtemps qu'un homme ne m'avait fait jouir… Tu es un amour… Tu permets que je te tutoie, après tout je pourrais être ta mère…
- Je ne pense pas que j'aurai fait subir pareil traitement à ma mère, plaisantais-je... Mais en attendant, tu pourrais me libérer le poignet ?
Dans un soupir, Antoinette desserra ses cuisses, et je pus retirer délicatement ma main de son sexe gluant. Aussitôt ma folle partenaire me saisit le poignet pour amener ma main jusqu'à son visage, et ouvrant une bouche gourmande, elle aspira mes doigts pour les sucer avec une avidité gloutonne, recueillant sur sa langue sa liqueur intime.
- C'est bon ? Plaisantai-je en me redressant, les genoux douloureux.
- Humm, c'est délicieux… Peut-être un peu trop salé…
- J'en sais quelque chose, j'en ai eu ma ration, continuai-je…
- Mon pauvre chou, j'avais tellement envie… Il y a bien longtemps que je n'avais éprouvé autant de plaisir…
- Alors tu as bien joui, demandai-je ?
Je posais cette question afin de forcer cette bourgeoise à accepter les termes plus crus que ceux qu'elle devait certainement avoir eu l'habitude d'employer. J'en éprouvais même un certain plaisir pervers.
- Oh Oui !… Tu m'as fait jouir comme une folle, me répliqua Antoinette en me souriant d'un air complice, acceptant de me répondre dans mon langage.
- C'était aussi bon que lorsque tu te branles ? Continuai-je, lancé dans mon délire pervers.
- C'était nettement mieux… Tu es un véritable artiste… Tu sais, tu ne vas peut-être pas me croire, mais tu es le premier homme qui me touche depuis le décès de mon mari… cela fait maintenant trois ans… Trois ans sans homme, tu ne peux t'imaginer combien c'est dur… Quand je t'ai vu, je ne sais ce qui s'est passé en moi, mais j'ai immédiatement compris que je ne pourrai te résister si l'envie te prenait de me… manquer de respect…
L'expression me fit sourire, alors qu'Antoinette continuait d'une voix câline :
- Tu m'as vraiment gâtée, tu sais… Je ne sais comment te remercier ?
Quelle question ! Lui montrant le devant de mon pantalon déformé par une bosse significative, je lui proposai :
- Tu pourrais peut-être me sucer pour me vider les couilles !… J'employais des expressions particulièrement crues à desseins, éprouvant un plaisir étrange à les lancer à cette bourgeoise.
Contrairement à ce que je m'étais imaginer en pensant choquer cette descendante de la noblesse, Antoinette me sembla plutôt ravie.
- Tu veux bien ? s'exclama-t-elle avec la mine réjouie d'une gamine découvrant ses cadeaux au pied du sapin de Noël… Tu sais il y a longtemps que je n'ai pas sucé un homme, je ne sais pas si je saurais toujours…
Lui saisissant la main droite je la posai sur la protubérance que faisait mon membre gonflé :
- Tu sais c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas !
Ayant refermée ses doigts sur la bosse qui déformait ma braguette, Antoinette s'exclama :
- C'est moi qui ai fait ça ?... Je peux voir ?
Terriblement excité, n'en pouvant plus de bander ainsi, je déboutonnai rapidement mon pantalon que je laissai tomber à mes pieds apparaissant en slip aux yeux curieux de la quinquagénaire.
- Mon Dieu, qu'est-ce que tu me caches là, minauda Antoinette en frôlant d'un doigt indiscret la bosse significative qui gonflait le devant de mon sous-vêtement.
- Si tu veux le savoir, tu devras le découvrir par toi-même, l'invitai-je par jeu érotique.
Alors impatiente de découvrir ce membre que je lui refusais, la quinquagénaire agrippa mon slip qu'elle fit promptement glisser le long de mes cuisses :
- Sainte Mère de Dieu quel morceau ! S'exclama-t-elle en découvrant ma virilité gonflée et dressée tel un pal orgueilleux.
- Laisse le Bon Dieu tranquille, conseillais-je. Dis-moi plutôt si elle te plait ma queue, continuais-je, prenant un pervers plaisir à choquer cette Baronne qui n'avait certainement pas été habituée à ce genre de langage.
- Il faudrait être bien difficile pour ne pas… la trouver appétissante… Tu es formidablement… monté… Et crois-moi, je sais de quoi je parle… Dans ma vie j'ai eu l'occasion d'en contempler des queues, comme tu dis… La tienne surclasse de beaucoup un bon nombre de celles que j'ai pu tenir en main…
- Tu peux la toucher, insistai-je impatient… Elle ne va pas te mordre !
- Me mordre, certainement pas, mais me cracher sa sève, peut-être bien, tenta de plaisanter Antoinette.

Alors que je m'attendais à ce que ma partenaire, privée de sexe depuis plus de trois ans, se jette telle une affamée sexuelle sur cette virilité que je lui présentais, il n'en fut rien. Pareille à une dévote, la Baronne se saisit de ma queue frémissante, qu'elle enferma au creux de ses deux mains, comme elle l'aurait fait d'un cierge destiné à un saint Apôtre. D'un léger mouvement de ses doigts, elle frôla alors ma colonne de chair ; caresse suave, mais particulièrement grisante du fait de mon excitation. Pareil à un vol de papillon, ses doigts effleurèrent le dôme ultra sensible de mon gland turgide, avant de redescendre, léger et aérien, jusqu'à la base de ma tige érigée qu'ils griffèrent délicatement.
Jamais aucune des différentes petites amies que j'avais eues ne m'avaient caressé de la sorte. Ces attouchements légers et délicats n'en demeuraient pas moins fort sensuels et réussissaient à mettre mes sens à rude épreuve, déclenchant d'incontrôlables frémissements dans mon membre et mon bas-ventre. Grâce à ses différents effleurements savamment pimentés, la sagace quinquagénaire réussit à accentuer le désir qui m'habitait. Si bien que très vite j'éprouvais le besoin urgent de bénéficier d'une caresse plus sensuelle, plus perverse peut-être. Je ne pouvais plus me contenter de ces câlineries terriblement affolantes que me prodiguait ma subtile partenaire. Lui saisissant la tête je l'attirai en direction de mon bas-ventre :
- Suce-moi ! Lui commandai-je.
Nullement choquée par ma demande particulièrement salace, Antoinette me laissa lui diriger le visage jusqu'à mon sexe orgueilleusement dressé. Avec un petit gloussement de ravissement elle avala mon gland volumineux d'une bouche gourmande, tout en refermant sa main autour de mes couilles gonflées.
Alors commença pour moi une fellation d'une extrême lascivité. Malgré ses craintes qu'elle m'avait avouer quelques minutes plus tôt, Madame la Baronne était une véritable experte dans l'art de sucer un homme.
Mettant certainement tout son savoir érotique acquis au cours de ses nombreuses années de pratique, elle m'amena avec une habileté diabolique, au paroxysme du plaisir. Avec un art subtil, elle faisait coulisser ses lèvres épaisses le long de la partie supérieure de ma verge raidie, de façon à n'aspirer dans sa bouche moite que mon gland congestionné. Pareille à une gamine gourmande, la délurée quinquagénaire suçait l'extrémité de ma verge, comme elle l'aurait fait d'un berlingot fourré, insistant particulièrement sur le filet ultra sensible de mon bourgeon dilaté. De temps à autre, elle cessait sa fellation pour me lécher l'extrémité du gland d'une langue habile, sinon espiègle.
En amante aguerrie aux jeux de l'amour, Antoinette savait deviner, aux convulsions perceptibles qui agitaient mon membre, le moment critique où approchant de la béatitude je risquais de me libérer de ma semence. Aussitôt elle stoppait alors ses affolantes sucions et refermait fermement ses doigts autour de ma verge prête à exploser, la pressant, l'étranglant, afin de stopper l'éjaculation annoncée.
- C'est bon ?... Tu aimes ?... Me demanda-t-elle dans un sourire complice.
- C'est divin, tu es véritablement une experte dans l'art de la pipe !... Jamais je n'ai été pompé de la sorte…
- C'est vrai ?... Je n'ai pas trop perdu… la main ?... Il y a bien longtemps que je n'avais eu une telle… bite dans la bouche…
Entrant dans mon jeu érotique, Antoinette se forçait à employer mes expressions. Tout en me fixant d'un regard brillant de lubricité, elle avait desserré sa pression autour de mon membre momentanément calmé. Telle une dévote en prière, elle maintenait ma verge entre ses deux paumes réunies en un geste de piété indécent. Insensiblement, comme par inadvertance, tout en sachant perfidement ce qu'elle faisait, et ce que sa nouvelle caresse allait me procurer, elle frotta ses deux mains l'une contre l'autre, roulant ma queue entre ses paumes… Le désir qui s'était quelque peu calmé durant cet échange verbal afflua de nouveau dans mon sexe si savoureusement pétri. Mais à me faire ainsi tripoter, j'éprouvais bientôt le désir de participer activement à cette joute érotique. Jamais je n'avais pu rester inactif lors de mes ébats amoureux. Il me fallait dans ces moments là, occuper mes mains, procurer à ma partenaire du moment une réplique du plaisir qu'elle me distillait. Je saisis alors l'encolure du peignoir de ma sensuelle compagne et le repoussai sur les épaules rondes.
- Montre-moi tes nichons ! Exigeai-je, utilisant à dessein un terme que la Baronne ne devait certainement pas employer.
Avec un sourire complice, cette dernière me laissa écarter son vêtement, sans pour autant cesser le voluptueux pétrissage qu'elle faisait subir à ma queue raide et aussi dure qu'une barre de fer. Le peignoir écarté me conforta dans ce que j'avais quelque peu deviné depuis le début. Aucun soutien-gorge ne venait soutenir une paire de seins d'une dimension peu commune. La quinquagénaire possédait des mamelles énormes. C'était la première fois que je pouvais contempler une poitrine féminine aussi affriolante dans sa démesure.
Admiratif, je contemplai longuement ces extraordinaires appas mammaires qui s'offraient à ma vue : deux outres à la chair laiteuse, dont la surface était parsemée de quelques taches de sons, et sur lesquelles couraient de fines veinules bleutées. Des deux larges rosaces extrêmement foncées, émergeaient deux tétons que le désir gonflait outrageusement.
Devant ma passivité à contempler sa fabuleuse poitrine offerte à ma convoitise, Antoinette me tira de mon extase :
- Ils sont à ton goût mes… nichons ?...
- Ils sont magnifiques, acquiesçais-je.
- Ne dis pas ça !... Ils ont été beaux… mais en vieillissant, ils ont perdu de leur arrogance… regarde comme ils tombent… Si tu les avais connus du temps de ma jeunesse, continua-t-elle dans un soupir.
- Je suis sûr qu'ils ont dû faire perdre la tête à de nombreux hommes.
Et comme pour mieux me montrer à quoi pouvait ressembler son opulente poitrine quelques années auparavant, la quinquagénaire lâcha mon membre pour empoigner ses imposantes mamelles qu'elle releva, à l'aide de ses paumes en coupe, afin de leur donner encore plus de volume.
- Voila à quoi ils ressemblaient du temps de leur splendeur, insista Antoinette.
Terriblement émoustillé par le spectacle que m'offrait Antoinette, je ne pouvais détacher mes yeux de ces masses charnelles. Victime de ma luxure, je commandai d'une voix que le désir enrouait :
- Caresse les !
Me fixant, avec aux lèvres un sourire salace, Antoinette pressa tendrement ses seins volumineux l'un contre l'autre. Les remontant à l'aide de ses paumes, elle s'ingénia à bien me montrer ses tétons fièrement érigés au centre de leurs aréoles boursouflées.
- Comme ça, me murmura-t-elle ?
- Oui !.... Continue !... Pince-toi les bouts !…
- Ça t'excite hein, mon cochon…! Vous êtes tous pareils, vous les hommes. Vous êtes tous attirés par les gros… nichons… D'ailleurs c'est vrai que ça rime…
Je ne pouvais le nier, car tout en fixant les doigts féminins qui trituraient sensuellement les deux bourgeons de chair fièrement érigés, j'avais distraitement empoigné ma verge tendue, et d'un mouvement machinal de la main je me branlais lentement.
Nous restâmes quelques minutes ainsi face à face à nous observer, prenant un même plaisir à épier les gestes et les émois de l'autre. Cependant peu à peu, je remarquais un changement dans l'expression de ma complice. Ses traits semblèrent se figer. Sa bouche s'entrouvrit sur un souffle plus précipité, tandis que son regard se fixait plus particulièrement sur les mouvements de ma main le long de ma verge tendue. Une étrange lueur accentua l'éclat de ses yeux derrière le verre de ses lunettes. La sensuelle Baronne semblait prendre un extraordinaire plaisir à me voir me masturber !
- J'ai l'impression que tu aimes voir un homme se branler, lui lançai-je… Ça à l'air de drôlement te plaire ce que je fais !
- Oh oui ! Marmonna Antoinette… Tu ne peux savoir combien ça m'excite ! …
- Si, je m'en rends compte… comment ça ce fait ?
Et pour affoler davantage la quinquagénaire dont le visage avait pris une teinte cramoisie, et la pousser aux confidences, j'accélérai les mouvements de va-et-vient de ma main le long de mon membre. Le regard exalté, fixant avec une convoitise gourmande mon gland congestionné, qui suivant le mouvement rythmé de ma main, apparaissait et disparaissait tour à tour, Antoinette commença d'une voix étrangement enrouée :
- Il faut te dire qu'à l'époque mes parents habitaient une immense maison bourgeoise et que nous avions de nombreux domestiques… Or un jour, je devais avoir seize ans, j'ai surpris le fils de notre gouvernante qui s'amusait à soulever la jupe de ma sœur, qui se défendait comme elle pouvait…
- Quel âge avait ta sœur ?
- À cette époque, comme elle est ma cadette de quatre ans, elle devait avoir douze ans…
- Et ce garçon ?
- Oh lui, il était plus vieux que moi. Il devait avoir dans les dix-sept ans… Je suppose qu'il n'aurait jamais osé quoi que ce soit avec moi.
- Et tu le regrettes, ironisai-je.
- Peut-être… Mais en tant que fils de domestique, il ne pouvait se permettre n'importe quoi, et il le savait.
- Vu l'âge de ta sœur, c'était plus facile ?
- Certainement, tandis qu'avec moi, il devait se montrer plus craintif… C'est peut-être à cause de ça que ce jour là je me suis conduite comme ça…
- Raconte ! Insistais-je, sans cesser de me masturber.
- Oui, mais à une condition !
- Dis toujours.
- Tu me promets que lorsque tu vas jouir, tu… déchargeras … sur mes seins ?
- Je te le promets, acquiesçai-je, alors qu'en fait j'avais songé lui fourrer ma queue dans la bouche au moment opportun… Je te promets de t'asperger les nichons avec mon sperme…
- Oh oui, j'ai toujours aimé ça… Bon je reprends… J'ai réussi sans trop de mal à délivrer ma sœur des assiduités du garnement. Puis je l'ai menacé d'aller tout raconter à mes parents… Inutile de te dire que Lucien, c'est comme cela qu'il se nommait, se trouva fort bouleversé et effrayé par ma menace, sachant très bien qu'il risquait une sévère punition de la part de mon père et peut-être le licenciement de ses parents… Il me supplia de ne rien dire, me proposant d'accepter tout ce que je voudrais…
- La bonne aubaine !
- Comme tu le dis !
- Alors, insistai-je. Que lui as-tu demandé ?
- Tu dois bien t'en douter… Je lui ai demandé de me montrer sa quéquette…A cette époque et à mon âge on n'appelait pas autrement le sexe des garçons…
- Eh bien, rien que ça ! Tu avais déjà un sacré tempérament ! …
- Hé bien oui... Une seule chose comptait à ce moment là, voir enfin le sexe d'un garçon. Car imagine qu'à cette époque les filles de seize ans ne connaissaient rien à tout ce qui touchait à la sexualité, ce n'était pas comme aujourd'hui… J'étais évidemment encore vierge…
- Alors ?
- Tout heureux d'échapper au châtiment paternel, Lucien n'a fait aucune difficulté pour baisser son short et exhiber son petit membre… Aujourd'hui il m'arrive de penser qu'il a dû s'exécuter avec un certain plaisir…
Tout en prêtant une oreille attentive aux confidences de la quinquagénaire, je me branlai avec plus de vigueur, pressé soudain de me libérer, d'atteindre enfin la délivrance. Le regard toujours fixé sur l'extrémité de ma bite, Antoinette s'était tue, tout occupée à surveiller cette décharge qu'elle attendait.
- Continue ! La pressai-je.
Sans lâcher ma verge des yeux, elle reprit d'une voix sourde :
- Lorsque j'ai découvert ce morceau de chair qui pendouillait au bas du ventre du garçon, j'ai été incroyablement déçue…
- Déçue ?
- En effet, au lycée les grandes en parlaient avec un air tellement gourmand, qu'en voyant ce bout de chair rachitique je me suis demandé ce qu'elles pouvaient bien trouver de captivant à ce que je découvrais… Je crois que c'est ça qui a tout déclenché…
- Comment ça ?
- Certainement vexé par ma mine désappointée, Lucien s'est saisi de sa petite queue et s'est mis à l'agiter vivement… comme toi maintenant…
- Comme ça ? Ai-je renchéri en avançant d'un pas afin de me branler vigoureusement à quelques centimètres du visage de la quinquagénaire.
- Oh arrête, gémit Antoinette… Si tu continues comme ça je ne pourrai jamais finir de t'expliquer… Je suis tellement excitée…

Abandonnant l'un de ses seins qu'elle malaxait de plus en plus passionnément depuis le début de sa confession, la sensuelle quinquagénaire glissa sa main gauche entre ses cuisses écartées. Je ne pouvais voir ce qu'elle y faisait, mais il n'était pas difficile de deviner à quoi elle s'activait.
- C'est bon, je m'arrête, mais dépêche-toi de terminer car je sens que je ne vais pas tarder à tout lâcher…
- Attends un peu, j'ai presque fini… Et n'oublie pas que tu m'as promis de jouir sur mes seins… Donc, Lucien a commencé à se branler. Immédiatement, j'ai vu ce petit tuyau se gonfler, grandir, prendre du volume… Je n'en revenais pas. En quelques minutes, ce sexe qui m'avait si déçue avait pris des dimensions extraordinaires… Jamais je n'aurai cru cela possible…
- Abrège, grognai-je soudain. Je sens que ça vient…
- Moi aussi… Retiens-toi, j'ai presque fini… Muette d'étonnement, j'ai regardé Lucien se branler sans émettre la moindre réflexion… Je comprenais que j'assistais à quelque chose de prodigieux… Les paroles des grandes du lycée me revenaient en mémoire… Et plus le garçon s'asticotait le membre, plus je sentais une étrange chaleur se propager dans mon bas-ventre et une humidité suinter de ma petite chatte et mouiller ma culotte…
Il était temps que Antoinette achève son récit, car j'avais de plus en plus de mal à contenir mon éjaculation. J'aurais dû cesser de me masturber, mais je m'en sentais incapable, excité comme je l'étais.
- Quand il a joui, quand j'ai vu pour la première fois ces jets blanchâtres jaillir de sa bite j'ai bien cru m'évanouir. Un spasme violent m'a saisi et j'ai inondé ma culotte… Ce n'est que plus tard que j'ai compris que j'avais eu un orgasme, que j'avais….. Oh Mon Dieu !… Je jouis…. Aaahhhh…
A se remémorer ses souvenirs tout en se masturbant et les seins et le clito, Antoinette n'avait pu terminer son récit, la jouissance l'avait saisi, sans qu'elle ne puisse la contrôler. Je n'avais plus de raison de me retenir. Dans un grognement jaillissant du plus profond de mes entrailles, je lâchais ma semence… Le premier jet, épais et puissant alla s'écraser sur le haut du sein gauche de la quinquagénaire qui s'exclama d'une voix enjouée :
- Oh oui ! … Encore !
La seconde giclée, aussi consistante que la première, après une parfaite parabole atterrit dans le profond sillon séparant les lourdes mamelles, dans lequel il s'infiltra. Puis les autres salves, décochées en rafale de moins en moins intenses, finirent de souiller les énormes seins blanchâtres. Chaque émission de sperme était accueillie de la part d'Antoinette, par un gloussement de délectation.
- Encore… Oh encore ! Ne cessait-elle de réclamer.
Cependant à bout de munitions, je cessais mes bordées de sperme en direction de la poitrine que la quinquagénaire m'offrait généreusement. Haletant, reprenant doucement mes esprits, je contemplais le fascinant spectacle de ces énormes seins blancs que leur propriétaire avait relâchés, et qui, suivant la pesanteur mis en évidence par le célèbre Isaac Newton, s'étaient mollement avachis. L'air béat, Antoinette examinait les longs sillons blanchâtres qui souillaient la chair de ses lourdes mamelles.
M'approchant du visage extatique de la quinquagénaire, je l'empoignai par son chignon :
- Suce-moi ! Ordonnai-je… Nettoie-moi la queue !
Sans se faire prier, Antoinette ouvrit largement sa bouche aux lèvres gonflées, entre lesquelles je m'empressai d'introduire ma verge encore bouffie. Avec un borborygme de satisfaction, la quinquagénaire aspira mon gland pour le sucer et le lécher consciencieusement tout en étalant de ses paumes, mon sperme gluant, sur ses seins volumineux.
Quand enfin, au bout de deux minutes, je libérai sa bouche de ma queue revenue à des dimensions plus raisonnables, Antoinette s'empressa de porter ses mains maculées par ma semence poisseuses à ses lèvres :
- Tu en avais une bonne réserve, me sourit-elle… Regarde-moi ça, j'en ai plein les seins… C'est toujours aussi abondant lorsque tu jouis ou bien il y a longtemps que tu ne t'étais pas vidé les couilles ?
Sans attendre ma réponse, qui d'ailleurs ne l'intéressait que moyennement, Antoinette saisit à deux mains son sein gauche, légèrement plus gros que le droit, et le soulevant, l'approcha de son visage qu'elle avait penché. Alors d'une langue agile, elle entreprit de lécher le sperme qui maculait son mamelon. Méticuleusement elle nettoya son sein de ma semence, avant de le relâcher pour faire subir le même traitement à la mamelle droite.
- C'est bon, demandai-je malicieux ?
- Huumm, c'est savoureux… Ton jus a un goût délicieux… Il y a si longtemps que je n'ai dégusté pareil nectar…Tu es sûr qu'il ne t'en reste pas encore un petit peu ?
- Ce serait avec plaisir que je t'en offrirais encore, mais je suis déjà en retard pour mon prochain rendez-vous… Encore heureux que ce ne soit pas trop loin d'ici.
- Alors je te laisse aller, m'accorda Antoinette en arrangeant son peignoir sur son opulente poitrine…. Mais si tu es dans le coin à midi, viens déjeuner avec moi, et peut-être que tu auras le temps de m'offrir une nouvelle ration…
Je quittai la sensuelle quinquagénaire, ravi de ma matinée, et en me promettant de venir la rejoindre dès mon second chantier terminé….

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