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Channel: Chez Andre 112
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Histoire du net. Auteur: Profilanswer. Découverte

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Y a des mecs qui ont du pot dans la vie!
Moi il m'est jamais arrivé ce genre de truc en vacance!!!

Enfin, les congés...
J'avais prévu de me ressourcer dans un camping provençal au bord de la mer. Il y avait tout, la plage la forêt les femmes... Les vacances en un mot...
Un jour, après mettre baigner pendant une bonne heure, j'avais décidé de rentrer rejoindre ma copine qui avait décidé de rester à la piscine du camping. Quelle faignéasse, la plage n'était qu'à un ou deux kilomètres à pied et en plus il y avait des plongeons terribles à faire.
Pour rentrer j'avais décidé de faire un petit détour afin de longer le bord de mer, histoire d'admirer le paysage. Mais quelque chose avait attiré mon attention, sur une plage rocheuse, qui plongeait dans l'eau turquoise.
Un homme nu était debout contre un rocher. Bien que, théoriquement, je n'étais homosexuel, il m'attirait. Il était bronzé, et très musclé. Sa peau luisait au soleil, sans doute avait il plongé dans l'eau quelques instants auparavant. Il avait de longs cheveux noirs et bouclés qui descendaient jusqu'au épaule, le style hawaïen en gros...
Je marchais lentement sans faire de bruit, puis je me mis à couvert derrière un buisson lorsque je vis un autre homme, nu, plus grand et fin, avançait devant lui, l'attraper par la taille et l'embrasser. Je voulus partir, mais contrairement à ce que j'aurais cru, ça m'excitait.
Alors je restais, là, silencieux, en train de mater. Ils se caressaient, faisant longer leur main de l'épaule jusqu'à la taille. A chaque fois que la main passait sur un pectoral, je voyais l'homme caressé frémir. Plus les caresses se poursuivaient, plus leurs sexes se dressaient. Et pas que les leurs, le mien se bandait déjà dans mon short de bain.
Chacun saisit le sexe de l'autre doucement pendant qu'ils s'embrassaient depuis toutes ses longues minutes. Moi je fis pareil tout seul, baissant mon short. Je me branlais, tout excité de voir autant de douceur et de sensualité, moi qui imaginais des rapports bestiaux entre hommes. J'avais honte de mes préjugés. L'homme musclé ne bougeait pas, collé à sa pierre, pendant que l'autre embrassait son torse, en le branlant toujours. Il gémissait de plaisir, basculant sa tête en arrière par moment, fermant les yeux par d'autres. Ce couple respirait le bonheur d'être seul au monde sur cette plage. Enfin, seul, théoriquement...
Il allait gobé le sexe de son partenaire, puis en une seconde, tout s'arrêta, ils s'éloignèrent...
Pourquoi, je voulais jouir de cette vue. J'étais intrigué, mais je compris très vite que une famille emprunta le sentier, en entendant les cris des gamins. Je remballais mes affaires, déçu, puis repris ma marche, avant que quelqu'un m'aperçût...
Je rentrais vers ma tente, je me préparais doucement pour la soirée dansante organiser au bar du camping. Je me mis une chemise hawaïenne, en passant encore au bel homme musclé de tout à l'heure.
Je mangeai un peu pour ensuite aller retrouver ma copine au bar. Je la vis sirotant un Malibu, puis elle se dirigea vers la piste de danse.
Elle dansait comme une déesse, ses formes parfaites se découvraient quand elle cambrait son dos. Un mec se mit à danser à côté, et commença à la tripoter. J'étais rouge de colère. J'avais envi de lui refaire le portrait jusqu'à ce qu'elle lui passa une main au niveau de son sexe pour l'exciter.
J'étais devenu vert. Je me décidai à l'oublier, en même temps on s'était connu la veille, on passait une folle nuit d'amour, euh de sexe plutôt, et ça s'arrêta là.
Je trouverais bien une autre occupation.
Je m'en allait donc énerver, à vifs pas. Je décidai de me prendre une douche, pour me déstresser. En chemin j'entendis des bruits suspects. Sur le côté un muré de deux mètres soutenait le sol. Avant l'aménagement du camping, le terrain devait être en pente. Au dessus une caravane était stationnée. Un lampadaire situé sur le sentier où je marchais créait l'ombre d'un couple sur la caravane. Je ne pouvais les voir directement à cause d'un arbre, mais grace à l'ombre je vis qu'il était en pleine ébat sexuel. A entendre les cris, il y avait une femme et un homme.
A cette époque j'étais jeune, et le voyeurisme m'excitait. J'avais de la chance, c'était la deuxième fois aujourd'hui. Mais contrairement à la première, je comptais jouir pleinement de la situation. En attendant je jouais les commandos pour avoir la meilleure vue possible, sans être repéré. Je connaissais bien le camping, et je me retrouvai rapidement derrière la caravane, pour avoir une vue imprenable. Il n'y avait personne, tout le monde était à la soirée dansante....
Enfin, je m'assis, prêt à mater. L'homme était de dos par rapport à moi, il pénétrait la femme plaquée contre l'arbre. Chacun des assauts masculins la faisait prendre son pied, elle criait de jouissance. Je me branlais, en voyant, sa merveilleuse poitrine généreuse. L'homme prit la jambe de sa partenaire, la plaqua contre lui avec force et virilité en la maintenant à bout de bras. Ainsi l'entrée de son vagin était ouverte, à son apogée. Par sa posture, la femme était immobile s'agrippant à l'arbre. L'homme de sa main libre la tenait par la taille et continua ses coups de reins.
Chacun engouffrait la verge au plus profond du vagin. Je conclus qu'il la transperçait, en entendant les cris de la femme. Le visage de la femme transcrivait un mélange de jouissance et de douleur. Elle avait mal, son dos devait frotter contre l'arbre à chaque perforation de la part de son amant. La position devenu vite inconfortable. Je l'admettais, je voulais pas être à sa place. L'homme sentait l'orgasme arriver pour eux deux. Il la décrocha de l'arbre, la posa au sol, elle était maintenant accroupie face à moi, les yeux fermés afin de profiter des dernières minutes du débat. Il reprit la pénétration face à moi, en gémissant.
Je fixais les seins qui se balançaient à chaque pénétration, je m'en branlais avec toujours plus de vigueur. Enfin j'allais jouir. Mes yeux montèrent, virent son visage ouvert au plaisir, puis je mattais le corps de l'homme. Ses abdos, ses pectoraux, sa peau bronzée et humide....
Je l'avais déjà vu, c'était l'homo de la plage. Enfin, homo, plutôt bisexuel....
J'aimais son corps, il m'excitait encore plus. Ses pectoraux se contractaient pour la pénétrer avec plus de force, et de plus en plus vite . Il était en train de faire jouir sa maîtresse, et moi avec. Celle-ci criait, encore et encore. J'en avais les tympans qui bourdonnaient tellement elle criait fort. J'en oubliai que je pouvais être vu, je me branlais farouchement, échappant quelques cris de ma bouche. J'éjaculai au moment où la femme eut un spasme plus fort que les autres, l'empêchant de crier pendant quelques secondes. Je compris qu'elle avait jouit, et relevant la tête je vis que l'homme me dévisageait. Il avait du me repérer pendant les deux secondes de silence.
Je pris la fuite mort de peur. Je courais vers les douches, je m'enfermais dans une. J'oubliais de mettre le verrou tant je tremblais de tous mes membres. Je me désabillais. Enfin nu, je laissai couler l'eau sur mon corps enlevant par la même occasion le sperme qui était sur ma main. Je reprenais doucement mon calme, l'eau me procurait des frissons, étant donné que j'avais jouis quelques instants auparavant, elle m'apaisait.
Puis la porte derrière claqua d'un coup, j'étais terrifié, le visage blafard, je me retournai.
Là, je vis l'homme nue, le sexe encore rouge et en érection....
Il s'approcha de moi, doucement sans un mot. Je tremblais, je m'imaginais les pires choses qu'ils pouvaient m'arriver. Allait-il me tabasser jusqu'à ce que je pisse le sang de partout ? Possible, il n'y avait aucun témoin.
Non, je me rappelais de la plage, il était possible qu'il puisse me violer. J'en avais peur en voyant son engin. Je me reculais de plus en plus, jusqu'à taper le bouton poussoir de la douche. L'eau coulait mouillant nos corps. J'étais coincé, il me coupait toute retraite.
Alors il se mit à parler...
- Tu as deux possibilités... »
J'étais tétanisé, qu'est ce qu'il allait me proposer...
- Soit tu me suces... »
Soit je devais me retourner afin qu'il me pénétre, pensais je au fond de moi.
- Soit je te suce !! »
- P*tain, qu'est-ce que tu m'as foutu les boules..., criai-je soulager de penser que j'allais pas me faire défoncer l'anus.
- Je vois ça tu trembles comme une brebis devant un loup, répondit-il avec une voix virile et douce, à la fois.
Je repris mon calme avec de longues respirations. On se regardait, je ne voyais aucune violence dans ces yeux maintenant. Il avait joué la comédie avec beaucoup de talents. Je m'approchais de lui posant ma main sur son torse. On en frémit tous les deux.
- Je sais pas, les deux propositions sont tentantes. C'est certain, j'adore qu'on me suce. D'un autre côté j'ai jamais sucé une bite. En plus elle est belle et grosse la tienne. disais-je d'un air coquin...
Je me collais à lui, caressant ces muscles. J'étais, depuis la première fois que je l'avait vu, admiratif devant ses pectoraux. Je touchais doucement ses tétons, ils pointaient déjà. J'embrassais furtivement ses pectoraux, puis sa bouche.
Mon sexe se remplit alors de sang, je bandais. C'était la première fois que j'étais si proche d'un homme, physiquement bien sûr. Il me passa une main sous les fesses, me plaqua contre lui pour me rouler une pelle. Je fondis sur place, je frissonnais. Quand il me lâcha, mes jambes n'eurent pas la force de me soutenir. Je tombai devant lui, à genoux. Son sexe était devant mes yeux, je le saisis pour le gober immédiatement.
Je me mis à le sucer. J'étais un homme, je savais parfaitement comment il fallait sucer pour le faire défaillir. Je le suçais comme j'aurais voulu que les femmes me sucent. Je léchais du bout de langue, la base de son sexe, je remontais doucement jusqu'au gland, et je terminai par un passage furtif sur le frein. Il frémissait. J'empoignai alors ses fesses de mes de mains, afin de le masturber qu'avec mes lèvres. Je la mis entièrement dans ma bouche, et recommencais de plus bel. Il laissa échapper un « humm » de sa bouche.
- On m'a jamais sucé comme ça, tu es doué pour ta première fois...
A ces mots, j'eus le désir de le faire jouir dans ma bouche. Je saisis sa queue d'une main, la décalotais, pour enfourrer son gland dans ma bouche. Je le pressais contre ma langue, pendant que je masturbais sa verge énergiquement.
- Tu bandes, humm, tu bandes comme un taureau..., c'est moi qui te fais ces effets là ? ».
Oui, c'était lui, il me faisait vibrer de plus en plus quand j'entendais sa respiration s'accélérait anarchiquement. Je tins alors de mes deux mains sa taille, et le plaquai contre la douche, pour que l'eau ruisselle sur son corps.
Il poussa un cri de jouissance, j'en gobai sa queue plus profondément. Ma tête se balançait en avant, en arrière, afin de créer des mouvements de va et vient. Je faisais attention à ne pas lui toucher la queue avec mes dents, j'en avais déjà tant souffert.
Il se tordait de plaisir, je sentais ses fessiers se contractaient, frénétiquement, jusqu'à ce que tous ses muscles se raidirent. Il était en train de jouir dans ma bouche. Je goûtai alors sa semence, et continuai à le masturber de mes lèvres afin de ne pas perdre une goutte.
- Humm, c'est bon..... , lança mon homme.
- Oui je trouve ça très bon...., répondis je, en me relevant, afin d'avaler son sperme devant lui.
- Tu suces bien. Même très bien, mais pas autant que moi, je suis un expert....
- Prouves le..... »
A son tour il me plaqua avec douceur contre la douche. Il posa ses mains sur mes pectoraux, j'en frémis, et d'autant plus lorsqu'il descendu ses mains jusqu'aux hanches. Il embrassait ma peau douce, au dessous du nombril. Il me faisait attendre j'en pouvais plus.
- Suce moi », criai je.
Il n'en faisait rien, et continuais à me caresser tout autour de mon sexe sans jamais le toucher. Cela m'avait vite énervé. Je le pris par ses cheveux mi-longs, et le plaquai contre mon sexe, qu'il avala d'un coup. Humm, c'était bon. C'était vraiment un expert comme il l'avais dis.
Pendant que je savourais chaque seconde, j'entendis un bruit de douche. Je relevai les yeux. La porte de ma douche était grande ouverte, celle dans face aussi....
C'était la femme de tout à l'heure, celle qui s'était fait pénétré par l'homme, l'homme de la plage, l'homme que j'avais sucé, l'homme qui me suçait à présent... Elle m'avait aussi suivi, et prenait sa douche en nous regardant. Elle se caressait le clitoris, qui était rouge vif.
Son visage s'ouvrait au plaisir. Voyant son état d'excitation, je pensais qu'elle m'avait maté en train de sucer son amant depuis le début. Le mateur matait, ce renversement de situation n'était pas pour me déplaire. Voyant cette belle femme se toucher, ma verge grossit encore et encore dans la bouche de mon homme. Elle se caressait les seins, et en les malaxant, je sentais que l'orgasme arriverait plus vite.
Cette vue me faisait baver, pendant que l'autre suçait toujours, toujours plus. Je n'avais plus qu'une seule envie, c'était que la femme venait nous rejoindre sous la même douche. Mais elle s'amusait à provoquer mon envie, sans la satisfaire.
Alors je sentis que mon amant arrêtait sa fellation. Il se releva, faisant glisser ses mains jusqu'à mes aisselles, me tint avec force pour me soulever. Je m'accrochai au pommeau de la douche, pendant que je posai mes genoux sur ses épaules. Il posa ses mains sur mes fesses afin de me soutenir, et recommença de gober ma queue.
Cette fois j'avais l'impression de transpercer sa gorge, je fermais les yeux oubliant l’exhibition de la femme. Je m'ouvrais au plaisir, je jouissais.
- Haaa, haa, encore plus fort « , criai je de tous mes trippes...
J'avais tous mes muscles contractés par la position dans laquelle je me trouvais. Il se pencha en arrière, pour que je dusse lâcher prise et attraper son cou. Il se retourna et le posa délicatement au sol, allongé sur le dos. Il était désormais à quatre pattes, ainsi sa main me saisit avec force sans difficulté, et entreprit des va et vient frénétiques...
Sous le plaisir je cambrais mon dos, penchant ma tête en arrière, voyant par moment la belle qui se enfonçait un doigt au plus profond de son intimité. Ses petits bruits me donnèrent des spasmes irréguliers.
Puis dans un dernier soupir, j'ouvris la bouche sans qu'un mot puisse sortir.
C'était si bon, que chaque coup de langue de mon amant sur mon gland soulevait mon buste...
Quand il se releva enfin, je vis son visage plein de foutre, on en riait.
Je ne pouvais plus bouger, je devais reprendre mes esprits, et mon souffle.
Sa maîtresse nous rejoignit, elle l'embrassa doucement et rapidement sur sa bouche encore arrosée de mes semences.
- Alors, est-ce que le gamin est satisfait ?, demanda-t-elle...
- C'est pas à moi de le dire...
A ces mots je tressaillis. Je me relevai d'un bond. Elle était en train d'embrasser son amant, qui c'était essuyé la bouche. Elle s'arrêta et vint m'embrasser langoureusement....
- On y va, cet endroit et trop lugubre pour faire l'amour... », dit elle...
Je pris mon short d'une main, et la suivi avec mon amant....
Dehors le froid nocturne faisait pointer ses seins, et par de regards yeux dans les yeux avec mon homme, nous nous disions qu'elle nous donnait beaucoup d'envies. Nous avions envie de la plaquer sur le champ, de l'embrasser, de saisir ses seins, de l'embrasser sur tout le corps....
Mais il se faisait tard, les personnes du camping commençaient à rentrer dans leur tente, ou caravane. Nous courions de buisson en buisson, tous les trois nus, pour ne pas se faire repérer...
Elle nous emmenait vers la foret, c'était tout prêt du camping. Elle s'arrêta juste au niveau d'une petite clairière éclairée par la pleine lune. On avait la chair de poule, mais qu'importe, on allait vite se réchauffer.
Elle s'avança vers moi, plaqua sa main contre mon sexe, qui grossit immédiatement. Elle le massait doucement en me lançant :
- Hum, j'ai envi de toi, enfin de la partie que je tiens en main. Et ça depuis cette après-midi, tu te croyais seul au dessus de la plage... ».
Quel étrange hasard, sur ces mots une peur paranoïaque venait en moi. Mais devant ses caresses j'oubliai mes pensées, je n'avais plus qu'une seule envie, une envie sexuelle...
Elle goba mon sexe, juste après s'être agenouillé.
- Alors qui suce le mieux ? répliqua l'amant en s'approchant de moi.
- Je suis incapable de juger quoique ce soit à présent, approche !! » répondis je, en haletant de plus en plus.
Il s'avança jusqu'à que je puisse lui saisir sa queue, afin de la masser. Je tirai dessus afin de décrocher un doux baiser langoureux.
- Tu ....
- Tais toi, je savoure », le coupai-je.
Il descendis sa main sur mes fesses, il caressa mon anus. J'en frémis. Il tenta de mettre un doigt, histoire de le dilater.
- Tu sais, je vois mal ta grosse queue me pénétrer, gloussai-je, avec inquiétude.
- On me le dit souvent...»
Il m'embrassa le cou, je regardais le ciel, tant je vibrais. Dieu devait nous maudire, tant nous avions de plaisir si bas, sur terre. Je massais sa verge du bas jusqu'au gland. De ma main elle devenait de plus en plus dure. De ma main gauche, je lui caressais le torse. Je l'aimais vraiment son torse. Je ressentais chacune de mes caresses par des accoups au niveau de son sexe.
- Tu apprends vite, petit....
- Tu es un bon prof.... », répliquai-je.
La femme me suçait sublimement, elle avait du recevoir des cours de mon amant, je contractais de plus en plus tous mes muscles. Mon extrémité se gorgeait de sang, j'en pouvais plus. Puis elle s'arrêta, enfin lança de sa voix coquine et sensuelle
- Tu ne vas pas jouir comme ça, se serait trop facile « .
Alors elle se tourna, à peine, vers mon amant, qui se tenait à côté de moi. Elle saisit son sexe d'une main, avec force, et s’essaya sur les fesses, les jambes allongées dans l'herbe humide. Elle obligea ainsi l'homme à poser ses genoux à terre.
Puis elle commença à le sucer en pliant une jambe, afin que je puisse profiter de la vue de sa chatte. Elle voulait que je prenne une initiative, cela me paraissait évident. Je voulais jouir, je perdais patience. Je devais donc lui procurer autant de plaisir que possible afin qu'elle me demande de sa voix sensuelle «  Prends moi « .
Je m'allongeai dans le sens qu'indiquaient ses jambes, posai une main sur ses fesses, et ma bouche sur sa vulve. Je commençais par me délecter de son nectar, en longeant du bout de ma langue son clitoris. Je sentais qu'elle frissonnait. Ses frissons se propageaient dans tout ses membres, lorsque je la pénétrai de ma langue dans son vagin. Elle voulut glousser de plaisir mais son cri était atténué par la fellation.
Je carressais de ma main libre sa jambe qui reposait au sol, sa peau douce m'émerveillait. Ma deuxième main dériva de ses fesses jusqu'à son anus. Là je pénétrai d'un doigt ce dernier tout en continuant mon rituel langoureux. Elle en frissonna tellement que sa bouche et la queue, qui s'y trouvait, en tremblaient . Par répercution, je faisais donc frissonner les deux amants. Leur respiration se saccadait.
L'homme poussa quelques cris tellement elle suçait bien. Je pouvais le confirmer. Elle devait lui presser le gland avec ses lèvres, en insistant avec sa langue. A moins qu'elle ne soit en train de longer sa verge avec sa bouche. En tout cas il devait être aux anges, et je voulais que ma compagne de ce soir le soit aussi...
Mon doigt s'enfonçait toujours plus dans son anus. Toutes mes phalanges étaient à l'intérieur, puis ressortaient, dans un va et vient toujours plus rapide. Elle frémissait toujours plus aux assauts de ma langue dans son vagin. Je retirai ma langue, recommençai à lécher son bouton devenu totalement rouge de plaisir. J'enduis mon doigt de mouille afin de lubrifier son anus, puis je continuai à la pénétrer de ma langue.
Pendant ce rituel, j'entendis sa voix. Elle n'en pouvait plus. J'attendais, toujours et avec de plus en plus d'envie qu'elle me crie, m'ordonne de la prendre.
Elle enleva le sexe du bel homme musclé de sa bouche, pour crier. Mes caresses lui provoquaient tant de plaisir, elle perdait le contrôle de ses mouvements, elle n'arrivait plus à sucer notre compagnon.
- Ahh, j'en peux plus, humm «
Stimulé par son cri, je la caressai avec plus d'insistance, pendant que je vis l'homme embrassait ses seins. Elle se pencha en arrière, s’appuyant sur ses bras, les yeux fermés. Puis elle se coucha à terre, toujours cambrée pour permettre à mon doigts de la pénétrer analement.
Notre homme la soutenait en posant une main sous son dos, pendant qu'il caressait à présent un sein de sa main, l'autre de sa bouce.
Elle se tordait de plaisir, contractait plus fréquemment ses membres jusqu'à ce que sa bouche laissa échapper un long cri qui se tut dans un long spasme, avant de recommencer doucement. Elle venait de jouir, mais nous continuions nos caresses plus lentement.

J'enlevais mon doigt de son anus pour qu'elle puisse s'allonger entièrement. Elle reprenait difficilement son souffle tant le plaisir avait été fort. Elle essayait de parler mais elle n'y arrivait pas. On la calma par de doux baiser tout le long de son corps jusqu'à ce que sorte de sa bouche...
- Hummm, c'était si bon. Merci mes hommes.
- Mais ce n'est que les préliminaires, répondis je d'un ton coquin, afin de me venger de la fois précédente.
- Oh oui, achevez moi. »
Je pensais que nous avions eu tous les trois la même idée à cet instant. Mon homme et moi étions relevés, les sexes en érection. Notre maîtresse était toujours allongée, en train de nous regarder, enfin nous, façon de parler.... Elle matait nos queues, puis elle laissa à l'autre mec :
- Pour la pénétration « par derrière », je ne la sens pas trop ta grosse queue....
C'était vrai, il en avait une belle et large. Si elle était plus petite, je serais tenté sans aucun doute à ce qu'il me pénètre. Mais bon, la tâche, qui m'avait été désigné par nécessité, ne me déplaisait guère....
L'homme s'allongea, la femme l'enjamba. Le stress était palpable, nous étions déjà fatigués, mais excités de finir dans un feu d'artifice tel que celui qui allait se préparer.
Son vagin était encore mouillé de son nectar et de ma salive. Lorsqu'elle s'assit sur le sexe de notre partenaire les jambes écartées. Ce dernier glissa au plus profond de son intimité. Elle aimait ça à en juger son soupir de jouissance. Elle commença un mouvement de haut en bas, en poussant sur ses genoux afin de lever ses fesses puis de les abaisser, sur le sexe dur comme un roc.
Ils continuèrent ainsi doucement. Ils s'ouvraient au plaisir devant moi, qui ,à cette vue, reprenais vigueur. Ce plaisir leur donnait de doux coups de fouet, et la fatigue sur leur visage disparaissait petit à petit. La voir dominée ainsi m'excitait furieusement, instinctivement je portais une main sur ma verge. Elle était brûlante, et rouge de désir. Les amants poursuivirent sauvagement, la femme griffait le torse de son esclave sexuel.
Puis elle se pencha afin de recevoir un baiser violent, ils se mordaient tour à tour les lèvres, la langue. Elle m'offrait une vue sur ses fesses magnifiques. Cette vue n'était qu'un ordre que j'exécutais sans réfléchir. Nous ne pouvions plus parler de dominant, dominé. Nous n'étions devenus que les pions d'un plaisir unique et intense qui ne demandait plus qu'une étreinte pour exploser....
Je me plaçai derrière elle, agenouillai les jambes écartées. Ils arrêtèrent leur va et vient afin que je me positionne. J'empoignai ses hanches, dirigeai mon gland vers l'anus. Celui-ci était déjà lubrifié et dilaté par la pénétration de mes doigts.
Alors je perforai doucement mais avec force son cul, elle criait de douleur, de plaisir ou des deux quand je m'enfonçai jusqu'à la culbuter.
Les deux va et vient reprirent alors...
Je sentais que, dans ce petit trou serré, j'allais pas résister longtemps. Je la pénétrais doucement, mais les sensations étaient divinement intense. Je pouvais plus me concentrer sur ce qui se passait autour de moi. Je vis quand même avec beaucoup d'efforts que l'homme se laissait porter par les va et vient, d'avant en arrière, de notre femme que je créais de mes culbutes.
Lui qui allait jouir était obligé de retarder son éjaculation. Il y goûtait un plaisir intense, son impatience lui donnait une envie insoutenable. La femme gémissait de plus en plus, et dans cette lenteur je les entendais me crier :
- Vas y, accélère... ACCELERE
- Oui, défonce moi.... »
J'étais maître de la situation, je n’accélérais pas mais je défonçais l'anus de la demoiselle par saccade, avec une vigueur, une force, qu'elle criait, telle était sa manière de me supplier de continuer encore plus.
Je décidai enfin de donner rapidement des coups de reins, intenses, je les entendais crier, je m'entendais crier aussi.
Je ne saurais qu'est-ce qui se passa exactement dans cette explosion, ce feu d'artifice, de jouissance. Nous jouîmes en même temps sans doute, en un spasme long qui s'empara de nos trois corps. Elle devait sentir nos semences chaudes expulsées en elle. Je continuai quelques mouvements, à chacun d'eux nous tremblâmes de plaisir.
On se retira doucement dans un rapide frémissement. La lumière de la lune transperçait la cime des arbres à présent. Il était tard, et la fraîcheur de cette nuit d'été nous apaisait. Nous nous allongeâmes alors, côte à côte, exténués, afin de reprendre nos esprits.
- Au fait, maintenant qu'on se connait bien, vous vous appelez comment ? « , demandai-je, d'un ton enfantin..
Nous entamâmes une discution. Apparemment la femme et l'homme ne se connaissaient pas plus que je ne les connaissais... Nous étions nus dans l'herbe, et le froid nous gagnait, alors nous rentrâmes dans le camping, désert, il devait être assez tard...
La fatigue s'emparait de nous, et nous rentrâmes nous coucher....

Pt'i Babtou à leur service.... Rediffusion d'un samedi d'automne...

Un Dimanche de brèves

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Laissons la jeunesse s'exprimer....

Séverine
Je venais d'avoir mon BAC et j'avais 3 mois d'été, de vacances avant de recommencer les cours, mais à la fac cette fois-ci ! J'avais donc décidé de travailler durant juillet août et de partir toute seule en septembre. J'étais très excitée à l'idée de partir en Vendée durant 3 semaines, toute seule, et de faire vraiment ce dont j'avais envie.
Mes parents sont plutôt collants et ils n'apprécient pas l'idée de voir leur petite fille fraîchement majeure partir à la grande aventure. Mes pauvres parents, s'ils savaient ce dont leur chère petite Séverine est capable! J'avais donc prospecté plusieurs sociétés et m'étais inscrite dans des agences d'intérim. J'ai eu pas mal de lettres de refus, ils ne voulaient pas d'une débutante, pas assez d'expérience, trop jeune, etc.
J'avoue que je me demandais comment j'allai pouvoir me payer mon petit voyage. Quand un jour de juin, l'agence d'intérim m'appela pour me proposer une mission d'un mois. J'étais très contente. Mon travail ne constituait qu'à prendre des rendez-vous au téléphone pour un médecin, mais c'était sympa, et puis ça me faisait de l'expérience. Cette première mission s'étant bien passée, l'agence me proposa directement une autre mission de 2 semaines renouvelables en tant que standardiste dans une société d'édition. J'étais tellement contente!!!
Jamais je n'aurai pensé être aussi heureuse de travailler.
Mais c'était pour la bonne cause. Je m'imaginais déjà en train de bronzer sur la plage, en train d'écouter une super musique dance dans mon walkman, et regardant les beaux mecs passer. Mais pour que le rêve se réalise, il eut fallu que je gagne des sous. Mon premier jour fut plutôt sympa. Je fus présentée à tout le groupe des commerciaux, au responsable de production et au directeur. En fait, je remplaçais la standardiste habituelle qui était partie en voyage de noces. Mon travail n'était pas très difficile, puisque je n'avais que 4 lignes et que pendant les mois d'été, il n'y avait pas grand monde. Je m'installais chaque matin au bureau de l'entrée et je prenais quelques appels. J'avais parfois quelques devis très simples à taper, et je passais parfois du temps à jouer au démineur.
Je m'ennuyais pas mal en fait. Le midi, je prenais place dans la salle de repos et je dégustais les salades composées que je faisais le matin. J'étais tranquille et puis, les commerciaux (6 au total) étaient souvent en clientèle. Le seul qui était tous les jours au bureau, c'était le directeur de production, et les ouvriers bien sûr.
Les cheveux poivre et sel, il avait par contre des yeux d'un bleu intense. Quand il me regardait, j'avais la sensation d'être transpercée. Il semblait être doux, et il était très gentil avec moi. Les commerciaux se ressemblaient plus ou moins. Ils avaient le même style, devaient avoir entre 25 et 35 ans.
Les ouvriers, je ne les voyais pas beaucoup, et puis ils étaient nombreux, alors connaître leurs noms, c'était inutile. Je venais en scooter au travail, alors assise en jupe sur un scooter, ça le faisait moyen. Je me changeais donc dans les vestiaires tous les matins et tous les soirs. Les vestiaires, c'était en fait une petite pièce avec un lavabo, un miroir, des casiers et une petite lucarne qui donnait sur la cour.
Un soir, en me changeant, j'ai surpris 2 ouvriers qui s'étaient penchés à la lucarne. Ils devaient être bien contents de voir une petite jeune en string et soutien-gorge. En dépit de mon caractère, je n'ai pas protesté. Je trouvais cela presque normal alors que j'étais terriblement gênée. Quelques jours plus tard, en cherchant dans les casiers de la standardiste quelques dossiers, je suis tombée sur un tube de lubrifiant intime. Je n'en avais jamais vu. J'ai ouvert le tube et ça sentait la pomme. C'était agréable.mais je me demandais bien pourquoi un tube de lubrifiant se trouvait sur un lieu de travail. Je n'allais pas tarder à le savoir.
Au bout de 2 semaines, l'attitude des commerciaux a changé. De platitude à presque dédaigneuse, elle est devenue mielleuse et intéressée. Ils me disaient quelques mots à chaque fois qu'ils me voyaient, ils me souriaient, me faisaient des compliments sur mes cheveux ou sur mes jupes moulantes. J'étais flattée, mais suspicieuse. Un jour, l'un des commerciaux m'appela et me demanda de venir le voir dans son bureau, qui était commun avec celui des autres commerciaux.
- Ma chère Séverine, je suis sûr que vous allez pouvoir nous aider.
- Qu'est-ce que je peux faire pour vous? Ai-je demandé naïvement.
- Nous aimerions avoir votre avis sur une question plutôt personnelle, mais qui nous chagrine.
- Je vous écoute.
- Voilà, petite Séverine, nous avions une discussion, tous les 6. Nous nous demandons lequel d'entre nous a la plus grosse bite.
Mes yeux se sont alors révulsés et j'ai eu un geste de recul. J'étais complètement abasourdie par ce qu'ils disaient, et j'en restais scotchée devant le bureau.
- Nous aimerions que vous nous départagiez. M'a-t-il dit en déboutonnant son pantalon.
Les autres firent de même et soudain, je me retrouvais debout dans une pièce avec 6 bites à quelques mètres, bandantes. Tous les regards étaient posés sur moi, et j'avais très peur.
- Alors, Séverine, laquelle est la plus grosse?
- Je ne sais pas, elles sont toutes très grosses. Ai-je répondu d'une voix tremblante et en dirigeant mon regard vers les queues nues.
- La petite Séverine a du mal à se concentrer on dirait. Ricana l'un d'eux.
- Approchez-vous, vous verrez mieux. Me dit un autre.
J'approchai donc un peu plus pour mieux regarder les gros gourdins. Ils étaient bien aussi gros les uns que les autres.
- Je ne sais lequel choisir, ils sont vraiment très gros. Je commençais à avoir des frissons qui me parcouraient le ventre et les seins.
- Prenez ma place me dit le plus âgé. Je me suis donc assise dans le fauteuil de cuir et tous se sont rapprochés un peu plus.
- Il va falloir choisir, maintenant ma petite Séverine. Instinctivement, je leur ai répondu :
- Il faut que je les touche pour mieux m'en rendre compte.
Ils ont souri et moi, je ne savais plus où me mettre. Le plus entreprenant me fit signe de tâter sa bite, ce que je fis. Je branlais doucement une queue quand une autre s'est présentée pour ma main gauche. Automatiquement, je l'ai saisie et je les ai caressées, je les branlais. Les autres hommes délaissés ont commencé à s'astiquer le barreau.
- Mon Dieu, qu'est-ce que je fais ? Me demandai-je intérieurement, sans pouvoir m'empêcher d'aimer ce que je faisais.
Visiblement, ils étaient tout contents de cette situation mais les 4 autres étaient un peu jaloux. Les deux premiers se sont retirés pour laisser place aux suivants. Je les branlais un peu. Tout à coup, je sentais comme un vide dans ma bouche, comme si ma langue avait besoin d'être en contact avec quelque chose. Je me suis alors rendu compte que j'avais très envie de les sucer. Je résistais pour ne pas le faire, parce que je me disais que ça allait finir en partouze, et que je ne voulais pas ça. Je me suis levée et j'ai regagné le bureau de l'accueil.
Je tremblais et je me disais que je ne devais pas valoir grand chose pour aimer branler 6 bites à la suite, et en plus de vouloir les sucer. Le reste de la journée fut difficile mais les commerciaux agissaient comme d'habitude. J'ai alors pensé que c'était oublié et que je n'en entendrai plus parler. Quelle erreur! Moins de 3 jours plus tard, l'un d'eux me demandait de venir le seconder pendant qu'un client visiterait l'imprimerie. J'ai accepté, puisque je me suis dit que je ne serais pas seule avec lui. Mais la situation fut tout autre. J'étais assise au bureau du commercial en train de prendre quelques notes pendant qu'il discutait avec le client.
- J'aimerais acheter vos produits, mais vos concurrents me proposent des prix plus attractifs.
- Mais notre qualité d'édition est bien meilleure.
- Oui, mais il faudrait quelque chose en plus pour que j'accepte, quelque chose qui me ferait automatiquement penser que vous voulez vraiment travailler avec nous.
Le commercial réfléchit quelques secondes et répondu :
- Séverine. Le client le regarda, interloqué.
- Le petit cul de Séverine.je pense que ce petit plus fera pencher la balance.
- Si vous me prenez par les sentiments, je ne peux refuser.
Je me suis tournée vers eux, outrée et scandalisée qu'ils puissent parler de moi à la 3ème personne, devant moi, qu'ils puissent me marchander comme un bout de viande et qu'ils ne m'aient même pas demandée mon avis.
- Aller, Séverine, montrez-nous votre petit cul.
Automatiquement, comme hypnotisée par ce qu'il venait de dire, je me suis levée, j'ai soulevé ma jupe et baissé ma culotte.
- Retourne-toi, ma chérie. Me dit le client.
Je me suis retournée et ils eurent une vue imprenable sur mes fesses rebondies. Le client se leva, s'approcha de moi et dit :
- Je suis sûr que tu ne me feras pas regretter mon choix, ma petite.
Il défit alors sa ceinture et son pantalon. Pendant ce temps, le commercial s'alluma une cigarette. Le client sortit sa bite déjà raide et colla son prépuce contre ma fente. Aucun préliminaire, aucune caresse, je n'avais pas eu le temps d'y penser ou de me faire à l'idée. Il guida son engin tout en se branlant. J'avais mon regard pile-poil dans celui du commercial, qui semblait satisfait de m'avoir offerte à un client. Le client écarta mes fesses. J'avais déjà pratiqué la sodomie, mais très peu de fois, et il y avait un moment. Il faisait quelques caresses à mon trou avec son pouce, histoire de me dilater un peu.
Quand il put passer un doigt, puis 2, puis 3, il dirigea sa queue directement dans mon trou ouvert. Je me sentais écartelée. Sa bite m'avait fait mal, mais j'étais terriblement excitée. Mes yeux étaient fixes vers ceux du commercial, qui fumait pénard sa clope pendant que je me faisais bourrer le cul. Il ouvrit la bouche et murmura :
- Tu fais bien ton travail, ma chérie.
Le client s'excitait et mon cul était de plus en plus dilaté, encore plus ouvert.
- Elle aime ça, la garce!
- Je vous avais dit qu'un petit plus ferait la différence.
- Elle a le cul bien profond.
Mon corsage n'était même pas défait, mais je sentais mes seins ballotter dans tous les sens. C'est quand j'ai senti son ramonage devenir plus énergique que je me suis dit qu'il allait bientôt me remplir.
J'étais pressée que l'humiliation cesse, mais j'avais encore envie de me faire prendre comme ça. Sa queue s'est raidie, et il a poussé quelques soupirs plus forts. Il se déchargeait les couilles. Il retira sa queue déjà ramollie, et je me rhabillai pour courir aux toilettes. Mon cul brûlait un peu, mais mon clito avait gonflé.je savais que ça m'avait excitée.
Sur le trône, je poussais un peu pour expulser le jus, et ça me picotait à l'intérieur. Je me félicitais tout de même d'avoir un cul si délicieux et qui avait fait jouir un PDG. Et c'est là que j'ai compris à quoi servait le tube de lubrifiant.je compris également comment cette société obtenait de gros contrats.
Quand je suis sortie des toilettes, il n'y avait plus personne. Les jours qui suivirent, je craignais d'être rappelée dans le bureau. Et ma crainte fut confirmée quand je vis le numéro de poste d'un des commerciaux s'afficher sur mon téléphone.
- Oui?
- Séverine, venez dans le bureau s'il vous plait.
J'entrai dans le bureau et les commerciaux étaient tous présents. Quand je les vis, mes jambes tremblaient mais je savais déjà que j'allais passer à la casserole.
- Nous voulions vous remercier car grâce à vous, nous avons pu signer notre contrat. Je rougis alors, repensant à la façon dont j'avais su convaincre le client.
- Pour vous remercier, nous avons décidé de vous offrir un petit quelque chose.
En entendant cela, connaissant de mieux en mieux leur esprit vicieux, je pensais à un godemiché ou à de la lingerie. Quelle ne fut pas ma surprise quand je les ai vus tous déboutonner leur pantalon !
- Vous allez pouvoir sucer les plus grosses bites de la ville.
Etait-ce vraiment comme ça qu'ils allaient me remercier de leur avoir donné un client de plus ? Allaient-ils réellement me faire sucer leur bite en pensant que c'est moi qui allais être remerciée ? J'étais terriblement en colère, parce que oui, j'allais les sucer, mais ce que je voulais au fin fond de moi, c'était jouir. Ils étaient assis sur le bureau et chacun leur tour, je les ai pompés.
Leurs bites avaient des goûts différents, des tailles et des formes différentes mais elles étaient toutes bonnes. Je les suçais délicatement, en prenant mon temps, doucement. Je pompais en faisant glisser ma langue tout le long de leur dard. J'attrapais leurs couilles et je faisais quelques mouvements de va-et-vient.
Le 1er mit du temps à jouir, mais pas les autres, excités de s'être branlé en me regardant. J'avais du jus de couilles plein la bouche, plein la gorge, sur le visage et qui coulait dans mon cou. Mon corsage était trempé au niveau de mes seins. Pendant une heure, j'ai pompé 6 bites.et oui, j'étais heureuse, j'avais vraiment l'impression d'être sur un nuage, et j'avais beau avoir le visage couvert de sperme, je suçais encore toutes les bites qui venaient à moi.
C'était bon de sentir un homme se décharger, et trembler dans ma bouche. Avant de finir le dernier, qui était très chaud, l'un d'eux avait glissé un doigt dans ma culotte, il avait branlé soigneusement mon clitoris gonflé. J'ai joui tout en dégustant ma dernière queue.
Ces petites salopes souriantes avec plein de sperme sur le visage.j'en faisais partie et j'en étais très contente. En allant aux toilettes, j'ai entraperçu la standardiste qui revenait de son voyage de noce. Elle disait bonjour aux gars de l'usine et je l'enviais en pensant à toutes ces bonnes pines qu'elle allait pouvoir éponger.
J'étais alors déjà en manque de bites!

Laissons la jeunesse s'exprimer.... 
Sur certaines expériences douloureuses


Tu sais que tu vas être cocu lorsque…..
J’avais 19 ans, et comme n’importe quel autre mâle de 19 ans je voulais sauter n’importe quoi
qui portait une jupe. Mais ce jeune homme de 19 ans voulait sauter particulièrement une porteuse de jupe : c’était Déborah, j’avais eu le coup de foudre et une érection…..
En regardant en arrière, j’étais fou d’elle. Je passais beaucoup de temps à la regarder, en essayant de voir ses sous-vêtements, à admirer ce cul somptueux, faisant de mon mieux pour lui cacher mon érection lorsqu’elle était en bikini. Pour ma défense Deborah était habituée à ce genre d’attitude de la part des garçons, et je pense que j’étais plus discret à ce sujet que la plupart d’entre eux. En fait je me souviens d’elle me racontant que lorsqu’elle avait 13 ans, son frère aîné et un copain à lui de 18 ou 19 ans avaient pris pour habitude de l’insulter.
Lorsque j’ai vu des photos d’elle à cet âge j’ai compris pourquoi – elle était vraiment bandante.
Le temps passant Déborah n’a jamais été intéresse par moi autrement que comme un ami. Je lui déclarai secrètement ma flamme ce qui se traduisait également par d’intenses séances de masturbation, elle en retour m’utilisait selon son bon vouloir tout en téléphonant à un autre
garçon devant moi pour prendre rendez-vous avec lui.
Je me souviens du jour où elle m’a dit qu’elle n’était plus vierge. Elle avait eu rendez-vous avec ce Johnny Quelquechose (Lester ? quelque chose comme ça…), et il avait réussi à être le premier à mettre la main dans sa culotte. Elle avait 17 ans, pulpeuse, et elle lui avait donné sa chatte à l’arrière du camping car de son père.
Lorsque Déborah a décidé que sa chatte était maintenant ouverte, elle n’a pas perdu de temps, et a pris de nombreux rendez-vous avec des garçons, et rapidement développé la réputation d’être exactement le genre de fille que les hommes espèrent qu’elle est, construite pour baiser et heureuse de le faire.
Et chaque fois qu’un garçon s’ajoutait à sa liste, mon fantasme de devenir l’un d’entre eux grandit jusqu’à l’obsession. J’ai gaspillé des litres de sperme en me branlant en pensant à ce que ça serait de baiser la douce chatte de Déborah. Les choses auraient probablement pu continuer ainsi si au début de ma deuxième année de collège il ne s’était produit quelque chose.
Mais je dois d’abord vous parler de mon meilleur ami, Aaron.
Aaron est également un très beau garçon. Par conséquent il a du succès auprès des filles. Aaron a été dépucelé à 15 ans avec une fille deux ans plus vieille que lui. A 19 ans sa queue avait connu autant de chattes que moi à 36 ans.
Je craquais donc sur l’une des filles les plus chaudes que j’ai jamais connu, meilleur ami d’un mec auquel les filles ne pouvaient pas résister, certain que la seule chose que je ne supporterai pas serait que mon meilleur ami s’envoie la fille de mes rêves humides. J’ai donc évité soigneusement qu’ils se rencontrent.
Aaron m’avait pourtant promis de ne rien faire vis-à-vis de Déborah connaissant les sentiments que j’éprouvai. Mais ce qui devait arriver se produisit lors de notre deuxième année de collège, ils baisèrent ensemble. C’était inévitable, je le savais.
Mes deux amis les plus proches, étaient également les plus chauds. J’en aimais un, et j’étais jaloux de l’autre. Forcément ils devaient finir au lit tous les deux. Cela se produisit à la Noël 1987.
Ils sortaient avec d’autres personnes à l’époque, et cela ne les arrêta pas. Ils baisèrent donc le 22 Janvier 1988, je le sais parce que je les ai vus.
Déborah avait l’habitude de se servir de moi comme d’un pseudo petit ami lorsqu’elle sortait
avec un mec. Au début de janvier 88 elle était seule. J’avais ce sentiment particulier à l’estomac mélange de possessivité et de jalousie. Nous ne parlions pas de Aaron. Ils se connaissaient. Nous avons été tous les trois dans la même école, nous allions dans le même collège, ils se connaissaient également sur ce que je leur racontais d’eux.
Cela m’a semblé bizarre que soudain Déborah semble totalement désinteressée à son sujet. Trop désintéressée si vous voyez ce que je veux dire. Comme si elle était délibérément évasive à son sujet. J’ai su qu’il se passait quelque chose entre eux un ou deux jours avant que cela se produise.
Le 22 janvier on était supposé Déborah et moi aller au cinéma. Nous en avions parlé la nuit précédente, et elle avait dit qu’elle m’appellerait pour décider du film, et que je puisse venir la chercher. Elle vivait loin de la ville, et elle vivait seule, sa famille étant en déplacement pendant 6 mois.
A 6 heures je n’avais pas nouvelles. A 7 toujours pas d’appels. J’attendais désespérément cet appel, ma colère montait à chaque minute qui passait. J’ai songé qu’elle avait encontré un nouveau mec, et avait changé ses plans sans penser à me prévenir. Et d’un coup j’ai su qui était le nouveau mec ! Aaron !
Ce devait être lui, alors j’ai fait ce qu’aurait tout mec normal de 19 ans. J’ai appelé chez Aaron, pas de réponse. Puis j’ai pris la voiture pour aller voir Déborah. Cela me semble drôle maintenant, mais à l’époque j’ai eu un choc, une secousse cérébrale lorsque j’ai vu la voiture de Aaron gérée devant la maison de Déborah. Je veux dire qu’une partie de moi savait ce qui se passait, une autre partie espérait désespérément que je me trompais.
C’était, cette voiture, la preuve tangible de la justesse de mon accusation, j’avais en tête des choses diaboliques en restant assis dans ma voiture à attendre, en me demandant quoi faire. Allais-je rentrer à la maison et ne plus jamais leur adresser la parole ? Allais-je frapper à la porte et demander une explication ?
Allais-je panser mes plaies tout seul chez moi et faire comme si rien ne s’était passé ?
Je ne sais pas combien de temps je suis resté là, assis, regardant la voiture de Aaron, sans savoir ce que je devais faire. Peut-être des heures, c’est ce qu’il me semble, mais ça a dû être quelques minutes en réalité. Jusqu’à ce que je me dise que la chose la plus stupide à faire était de rester là à attendre, et qu’ils me trouvent ici.
J’ai déplacé la voiture un peu plus loin, jusqu’à un endroit ou je pouvais voir sa voiture sans être visible de la maison de Déborah. Puis sans réfléchir, je me suis dirigé vers sa maison. Etait-ce voulu, j’en doute, mais je portais des vêtements sombres (dans ces années-là tout le monde était en noir…) ce qui m’avantageait. Pas de réverbères, pas de voisins, rien de plus qu’un clair de lune !
J’ai bien pris soin de ne faire aucun bruit en m’approchant sur l’allée gravillonnée jusqu’aux fenêtres illuminées de la maison.
Je me souviens nettement de ce qui est arrivé ensuite, même si ma mémoire l’a un peu effacé, et que mon journal personnel a noté les évènements au hasard plusieurs jours de suite. J’ai peut-être effacé les aspects physiques avec les années, mais ma mémoire reflète encore ce qui s’est réellement passé.
Ils étaient sur un canapé dans le salon. Je n’ai pas saisi tout de suite la chance que j’ai eu, mais en y pensant aujourd’hui je me dis que s’ils avaient été dans une autre pièce je n’aurais probablement pas eu cette expérience, et je n’aurais pas commencé à apprendre ce que je sais aujourd’hui sur moi-même, et je dois à ce jour beaucoup, beaucoup de choses.
De ma position j’avais raisonnablement la certitude que je pouvais voir sans être vu. Je n’y avais jamais pensé avant ça. Je m’étais assis dans le même salon à regarder la télé avec Déborah des centaines de fois, et je savais par expérience que la vitre renvoyait trop de reflets à l’intérieur pour permettre de voir dehors.
Aaron et Déborah était sur le canapé, de ma position je ne voyais qu’Aaron, son corps cachait Déborah, mais je la devinais à demi-assise ses bras autour du cou d’Aaron alors qu’il se penchait vers elle pour l’embrasser. Je voyais aussi la main d’Aaron sous la jupe de Déborah qui avait les jambes écartées, et des mouvements me laissant penser qu’il était en train de faire quelque chose entre ses jambes qui plaisait beaucoup à Déborah.
Combien de temps cela a duré ? Aucune idée, ma notion du temps était abolie, mais ils cessèrent leur baiser, et Déborah dit quelque chose que je ne pouvais entendre qui fit rire Aaron. Il acquiesça, et répondit, Aaron s’étendit sur le canapé en se débarrassant de son jeans. Déborah qui s’était rajustée et qui avait vérifiée qu’elle était présentable, et Dieu sait qu’elle me paraissait désirable à cet instant, monta à genoux sur le canapé face à Aaron.
La rumeur disait qu’Aaron était très bien monté, et même qu’il n’en finissait jamais au lit, selon les filles du lycée qui avaient voulu lui offrir leur chatte, mais qui en définitive n’avait pu accueillir cette énorme queue.
Etait-ce vrai, je n’en savais rien, mais lorsque Déborah fut entre les cuisses de Aaron et libéra sa dure longueur, j’ai su que c’était vrai, oui il était très bien doté dans ce domaine, un fait qui impressionna Déborah considérablement, et qui me laissa penser que cette nuit-là fut la première ou ils aient baisé.
Déborah appréciait visiblement de sucer sa queue. Ou bien elle appréciait de sucer la queue de Aaron, je ne sais pas. De toute manière elle montrait qu’elle prenait plaisir à donner du plaisir à Aaron en prenant sa longueur avec ses lèvres, et sa bouche, en retour l’expression d’Aaron ne laissait guère de doute sur l’appréciation qu’il avait des efforts de Déborah.
Je m’interromps un moment pour vous parler de ce que le héros (moi en l’occurrence) ressentait dehors dans le noir.
En m’approchant de la maison j’étais renversé, et je me demande encore pourquoi je ne criais pas de la trahison, et de la blessure que j’éprouvais. J’avais bien pleuré sur la route, alors je ne peux que penser que j’étais en état de choc pendant que j’étais dehors à regarder. Une partie de moi était visiblement dans un état comateux.
En relisant mon journal concernant cette expérience, c’était comme si j’étais enrhumé, j’avais
froid, je voulais me coucher, je me sentais faible, avec une forte température. Et puis j’avais une érection incroyablement douloureuse aussi. Ce qui me fait dire qu’il ne s’agissait pas d’un symptôme de rhume, pas du tout…
Je me souviens d’une chose maintenant, que je veux partager avec vous, qui met un peu en lumière ces évènements… Deux ans avant cette nuit devant la maison de Déborah, je sortais avec une fille, Tara. Nous faisions tout ce qui est normal entre un gars de 17ans et une fille de 16 plutôt jolie, en passant tout mon temps à essayer de lui mettre la main à la culotte, et elle passait son temps à me convaincre que les caresses suffisaient.
Je m’étais amélioré en caresses, je pouvais faire jouir Tara à travers deux couches de vêtements juste avec mes doigts, et l’un de mes plus doux souvenirs de garçon de 17 ans c’est celui de Tara murmurant à mon oreille que mes doigts l’emmenaient au paradis. Mais ce printemps-là nous avons décidé avec un groupe de copains de faire un séjour camping. L’un de nos copains disposaient d’une grande propriété pas très loin de la ville, nous irions là-bas camper quelques jours. Honnêtement les parents sont dingues parfois. Je me demande combien de grossesses sont dues à ce séjour.
Le jour précédent j’ai eu une grosse fièvre, et j’étais au tapis, j’avais un rhume. Alors je n’ai pas pu y aller, mais Tara voulait y aller, elle. J’étais enragé d’apprendre que Tara voulait y aller sans moi – son devoir de petite amie était de souffrir autant que moi, et de se priver de cette sortie si je devais m’en priver – mais j’ai accepté finalement.
En fait selon mon journal ce qui est arrivé c’est que nous avons eu à ce sujet une énorme engueulade. Elle tempêta, je l’ai rappelé, me vilipendant, m’excusant d’être aussi stupide, elle me pardonna et me dit qu’elle m’aimait. J’ai écrit exactement cette phrase dans mon journal au sujet de coup de fil : « Bien, je suis en train de crever et tu m’aimes, ça m’aide Tara, j’espère que tu vas
t’emmerder. », j’étais un garçon sympa, n’est-ce pas ? J’ai même souligné « j’espère que tu
vas t’emmerder » au moins six fois.
Les deux jours suivant je les ai passés seul dans mon lit, à m’ennuyer à mourir et à penser que tout le monde était là-bas. J’ai eu un rétablissement spectaculaire juste à temps pour retourner à l’école. Mais le jour de mon retour, il y avait une drôle d’atmosphère. Ceux qui ne faisaient jamais attention à moi d’habitude redoublait d’attentions à mon égard, et dans les groupes qui s’étaient formés ça et là, j’entendais des chuchotements lorsque je passais devant eux.
Cela m’a pris jusqu’à la fin de la matinée pour savoir ce qui se passait – une rumeur courait dans toute l’école que Tara était « sortie » avec quelqu’un pendant le camping. Pire, Tara m’évitait, et ce n’est que dans l’après-midi, que j’ai pu lui parler. Tara était une chic fille, et je l’aime beaucoup. J’étais un merdeux à 17 ans, mais beaucoup de mâles de cet âge sont des merdeux.
Tara était une fille vivante, adorable, avec beaucoup à donner, mais elle ne savait pas mentir.
Elle paraissait si coupable lorsqu’elle vint me parler dehors, devant l’entrée de la maison de ses parents. Nous avons eu cette conversation amère à voix sourde, voix sourde pour que personne n’entende.
Je lui demandais des réponses, elle m’en donna quelques-unes mais pas tant que cela. Oui, elle m’a dit que quelque chose était arrivé avec quelqu’un d’autre au camping, mais sans me dire qui, et sans me dire exactement ce qui était arrivé. La rumeur qu’elle avait couché avec quelqu’un, elle ne confirmait pas ce détail, mais elle réagit tout comme si lorsque je lui en fis part. Je suis certain à 100% qu’elle avait sucé la queue d’un mec. J’étais enragé, parce que nous n’étions pas allés aussi loin ensemble. Elle m’avait masturbé un certain nombre de fois, mais c’était tout.
Je lu ai dit qu’elle était une putain, une salope, et tout un tas d’autres choses. Elle m’a dit qu’elle était désolée, que ce n’était qu’une chose qui était arrivée et ainsi de suite, mais je n’écoutais pas, et quand je suis parti, elle était assise sous le porche d’entrée, sa tête dans ses mains en train de pleurer doucement. Je n’en suis pas certain, mais je pense qu’elle prenait soin de moi, et qu’elle était vraiment désolée jusqu’à un certain point, mais cela m’était égal pendant que je rentrais à la maison.
C’est la dernière fois que je lui ai parlé. J’ai passé le reste de l’année à l’éviter, et jusqu’à prétendre que je ne la connaissais pas. Elle a essayé de me parler plusieurs fois, elle m’a envoyé une longue lettre disant qu’elle était désolée que ce se soit passé de cette manière (mais moi je voyais dans la lettre qu’elle ne regrettait pas du tout que ce soit arrivé, juste désolée de la manière dont ça s’était produit…). J’ai fini par m’enfermer dans un état de refus.
Mais ce n’est pas la fin de l’histoire.
Pendant que je feuilletais mon journal recherchant des détails sur Déborah et Aaron je suis tombé sur une note que j’ai écrite juste après le collège. Je connaissais un gars, Brian Paulsen, et nous avons discuté. Il m’a tout raconté sur Tara et la rumeur, j’ai refusé d’entendre lui disant que je ne savais rien de tout cela.
Il fut surpris, et me dit que c’était vraiment arrivé. Il était au campement, et le mec et Tara ne
faisaient pas mystère qu’ils couchaient ensemble.
- En fait me dit-il ma tente était à droite de la leur. Je l’ai entendu la faire hurler de plaisir.
Il sourit et ajouta :
- C’était vraiment très chaud.
Puis il me dit de qui il s’agissait. Je suis sûr que vous avez deviné. C’était Aaron. Mon meilleur ami.
Tara était vierge avant d’arriver au camp. Ou plus exactement elle me l’avait dit un paquet de fois (tellement de fois que ça me rendait malade de l’entendre, je suis sûr que vous comprenez ce que je veux dire les mecs) et je n’avais aucune raison de ne pas la croire.
La chose la plus drôle étant que je doute sérieusement du fait que Tara était le type de fille de Aaron, et à ce que j’en sais il n’ y a plus rien eu entre eux après ce séjour. Je pense que je l’aurais su s’ils avaient continué leur petit jeu après. Mais Tara tombait dans les goûts d’Aaron pour trois raisons elle était chaude, elle mouillait, et elle en voulait.
On dirait la pire chose au monde – ma petite amie me trompant avec un autre mec. Comment
a-t-elle pu offrir sa chatte à quelqu’un d’autre ? Avec le temps j’ai eu d’autres détails par Brian qui m’a appris un peu plus qui j’étais, et ce qui m’excitait. Cette nuit-là, après cette conversation avec Brian, lorsque je me suis couché, je me suis caressé le sexe lentement et j’ai eu une jouissance incroyablement douce, couvrant ma poitrine et mon ventre d’épaisses tranches de foutre.
Et pendant que je me masturbais j’imaginais ce que c’était pour Aaron de prendre la chatte de ma petite amie, et j’aurais parié ma chemise qu’il a très énormément apprécié le fait de profiter de son humidité intime pour se décharger de la sienne.
Me voilà encore en érection en pensant à tout ça. Ma femme et ma fille sont endormies, la maison est calme, je peux me laisser aller à penser aux 16 ans de Tara, et aux 17 de mon meilleur ami pendant que j’étais au lit cloué par le rhume, sans penser qu’Aaron s’introduisait dans la douce chatte de ma petite amie. Quels souvenirs….
Je ne savais pas ce que c’était qu’un cocu à ce moment-là, et je n’avais la moindre idée non
plus d’en être un. Oui deux ans avant j’ai connu l’expérience de ma petite amie, Tara, perdant sa virginité avec un autre mec. Oui, je me suis masturbé, et j’ai eu de belles jouissances en fantasmant sur elle en train d’offrir sa charmante petite chatte à une autre queue. En toute honnêteté, ces fantasmes m’ont culpabilisé ce qui explique certainement la colère que je ressens parfois.
J’ai encore beaucoup à apprendre sur moi, et cette nuit, devant la maison de Déborah est
devenue une part importante de mon processus d’apprentissage.
Aaron avait une main sur la nuque de Déborah, il guidait sa bouche sur sa queue. Je me souviens de son regard pendant qu’elle le suçait doucement, délicieusement, j’entends encore Aaron gémir, toujours le même mot, encore et encore « merde…. Merde…. Merde…. » et encore, et encore.
Je me souviendrai toujours, de Déborah mettant ses lèvres sur la queue d’Aaron, qui par ses gestes, ses gémissements, lui montrait combien il appréciait de se faire sucer. Durant ces années je me suis fait sucer par des femmes très talentueuses. Parmi toutes, Becky, ma femme, est sans aucun doute la gagnante par ses talents et son enthousiasme, et sans vouloir détourner l’attention, je dois dire que les hommes qui ont eu la chance de pouvoir se glisser dans sa bouche m’approuveraient certainement.
Mais à l’époque, je pensais que Déborah avait tout pour être une star du porno. Elle arrivait sans difficulté à avaler la queue massive d’Aaron, et elle aimait visiblement l’exciter, avec les sensations qu’il pouvait ressentir.
Puis elle abandonna sa queue pour murmurer quelque chose à l’oreille d’Aaron, je n’ai pas entendu exactement, mais Aaron je l’ai entendu clairement et distinctement :
- On baise oui !
Ce qui rendait extrêmement clair ce que Déborah lui avait suggéré.
Déborah se déshabillait, Aaron s’était levé sa queue énorme raidie, pour finir de se déshabiller. Déborah, prit un coussin sur le canapé, et se coucha au milieu du salon, elle s’étendit sur le dos et écarta les jambes, souriant à Aaron qui n’arrivait pas à se défaire définitivement de son jeans.
Faisons une pause.
Ce fut la première et la dernière fois que je vis Déborah nue. C’est un moment sacré pour moi. Un souvenir émouvant de sa nudité, jambes grandes ouvertes, genoux levés, avec sa jolie chatte offerte à Aaron. Sérieusement je devrais construire un mémorial pour cela, et sacrifier les films pornos.
Aaron m’a surpris. Je m’attendais à ce qu’il saute sur elle, enfonce sa queue dans sa chatte, et la baise comme s’il n’allait pas y avoir de lendemain. Peut-être parce que j’étais si désespéré de pouvoir un jour introduire ma queue j’imaginais que dans cette même situation je n’aurais pas été capable de faire mieux.
Mais au lieu de cela, Aaron prit son temps pour exciter Déborah, ce qui je pense l’a conduit à désirer encore plus qu’il s’enfonce en elle. Aaron jouait avec sa queue, il se penchait sur elle, placé entre les cuisses de Déborah, son poids reposant sur les paumes de ses mains, pendant qu’avec le bout de sa queue il caressait les lèvres de la chatte de Déborah. Elle fermait les yeux, gémissait de plaisir, avec un beau sourire sur ses lèvres.
Aaron a dit quelque chose que je n’ai pas entendu en continuant d’exciter le clitoris et la chatte de Déborah avec sa queue, Déborah rougit, rigola, tout en acquiesçant. Aaron se lécha les babines, et poussa sa queue en avant, centimètre par centimètre il entrait en Déborah, ils gémissaient tous les deux de plaisir.
Je n’ai pas de souvenir particulier de mon état d’esprit à cet instant-là, le moment ou Aaron allait connaître quelque chose que je ne connaîtrais jamais.
Je n’ai pas le sentiment d’avoir existé à ce moment-là. Je n’étais pas là, c’était juste moins qu’un être humain, une ombre, un zombie, capable seulement d’émotions basiques et primitives, se tenant dans l’obscurité. Pendant qu’à l’intérieur mon meilleur ami commençait à baiser la plus jolie fille que j’ai jamais connue…

Autour d'un thème Domincal..

Carcéral

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La loi du plus fort
La loi du silence


Histoire du net. Auteur: Timide. Nirvâna

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Quelquefois quand on sombre, 
une main nous sauve.....
Et pas uniquement celle du Père Noël

Le Paradis
Auteur: Timide
C’était une douce soirée d’avril.
Un de ces soirs qui sentent déjà l’été. Le D.J. Était survolté, les garçons et les filles dansaient, ils étaient beaux et elles aussi. Je l’étais beaucoup moins. Je m’ennuyais.
Elle était partie deux semaines auparavant, j’avais du mal à rassembler les morceaux. Je l’aimais autant que l’on puisse aimer, c’est du moins que ce que je croyais. Pour être plus précis, je dirais l’avoir aimée autant que l’on puisse aimer à cet âge.
Quelques mots glissés puis crachés au téléphone, du genre « on ne s’est rien promis », « la vie est courte, il faut en profiter », « incompatibilité », « profites-en, amuses-toi » m’avaient fait comprendre qu’elle s’ennuyait autant que je souffrais.
Elle a donc arrêté de s’ennuyer et que je me débrouille avec mes larmes.
Deux semaines, c’est long et court à la fois. « Une de perdue, dix de retrouvées », plaisantait Michel, mon meilleur ami. Ça m’exaspérait, j’en aurais échangé dix, cent ou mille pour une seule comme elle. Je ne sais toujours pas pourquoi, pour penser à autre chose sans doute, pour lui rappeler qu’il demeurait malgré tout mon ami, par faiblesse somme toute, je l’ai donc accompagné à cette soirée.
C’était, je crois, l’anniversaire de la copine du copain d’une copine. Je ne me souviens ni des unes ni de l’autre et à vrai dire je ne me souviens pas de grand chose si ce n’est d’un mortel ennui, d’une musique qui allait trop fort, d’une vodka qui coulait trop vite.
C’est Gainsbourg qui m’a réveillé. « Qu’avons-nous vu de l’amour/ De vous à moi vous m’avez eu mon amour ». Le D.J., Michel, les beaux garçons et les jolies filles avaient disparu depuis longtemps, les maîtres de maison avaient eu la gentillesse de me laisser dormir sur ma chaise. «Hélas avril en vain me voue à l’amour / J’avais envie de voir en vous cet amour».
J’avais le moral dans les chaussettes, il s’est glissé sous les talons. J’ai réussi à me lever. Une piste de danse avait été aménagée entre la table de salon et l’étagère Ikea, j’ai esquissé mes premiers pas de la soirée. «La vie ne vaut d’être vécue sans amour / Mais c’est vous qui l’avez voulu mon amour».
Puis plus rien. La Javanaise s’est arrêtée, Gainsbourg a disparu, les derniers invités se sont poliment éclipsés, je suis resté seul. Plus pathétique que jamais. Je n’avais pas le courage de rentrer. Pas encore. Alors j’ai rejoint ma chaise. Pour un peu je l’aurais tutoyée, elle était à présent ma seule amie, j’étais résolu à ne pas la laisser partir. Nous nous sommes endormis ensemble.
Bien plus tard, enfin je crois, un rire mal étouffé m’a réveillé. J’ai pensé qu’on se moquait de moi, de cette déprime tellement visible qu’elle en devenait risible, du couple improbable que je formais avec cette chaise à l’opulent dossier, aux jambes galbées. Mais non, j’étais seul. Vraiment seul. «L’histoire de ma vie », marmonnai-je.
Puis un nouveau rire. Quelques soupirs, à moins que ce ne soient des halètements. J’étais de méchante humeur car moi aussi, il n’y a pas si longtemps, je soupirais et je haletais. Je me suis levé, je me suis glissé dans l’étroite cage d’escalier, la porte de la chambre était entrouverte, deux corps ondulaient sur le lit.
J’étais à la fois furieux (de vilains souvenirs qui affluaient), gêné (sans doute ce couple se croyait-il seul dans la maison), excité (je n’avais jamais rien vu d’aussi intime). Le garçon avait une trentaine d’année, il avait les cheveux bruns, il me semblait grand. Il n’avait gardé que son slip.
A ses côtés, allongée sur le flanc elle aussi, une fille qui me parut un petit peu plus jeune. Elle avait les cheveux courts et terriblement décoiffés. Son corps était mince, sa poitrine menue, elle n’avait conservé que ses sous-vêtements.
Ils s’embrassaient avec une voracité qui me faisait crever de jalousie. Elle lui caressait les cheveux, il lui tenait la mâchoire et c’est une chance pour moi, ils fermaient les yeux. Je suis resté là quelque seconde, je savais qu’il était grand temps de m’éclipser mais je n’y parvenais pas. J’avais les jambes en coton, j’entendais mon cœur cogner, j’étais littéralement subjugué. Je me souviens avoir pensé : « C’est donc ça un couple qui se prépare à faire l’amour… C’est donc à ça qu’on ressemblait. »
Finalement, gêne et discrétion l’ont emporté. Aussi doucement que possible, j’ai fait demi-tour, je me suis saisi de la poignée de la porte, conscient qu’il est des spectacles qui ne réclament pas de public. Et puis – la fatigue ? la maladresse ? la vodka ? – il est tombé. J’imagine l’avoir heurté avec le coude. Ce n’était pas grand-chose – un roman de gare qui ne devait pas peser plus de 300 grammes – mais c’était déjà beaucoup. Il s’est écrasé sur la moquette. Le bruit m’a semblé assourdissant même si, y repensant bien plus tard, ce ne dut être qu’un froissement.
C’est le garçon qui, le premier, m’a repéré :
- Et toi, là !? ».
Je me voyais déjà prenant mes jambes à mon coup, sautant par-dessus la balustrade, me ruant vers la porte d’entrée en cognant tout qui voudrait me barrer le chemin. Heureusement, je n’en ai rien fait. D’abord parce que je me serais cassé une jambe. Ensuite parce qu’ils m’auraient pris pour un cambrioleur et auraient appelé la police.
Je suis resté sur place, tout penaud, hésitant entre la fuite en avant et la volte-face. Décider de ne pas décider, voilà bien ma grande spécialité. Je me serais sans doute transformé en statue de sel si la fille, consciente de ma gêne, n’avait demandé :
- Comment tu t’appelles ?
- Marc ai-je bredouillé en me retournant légèrement.
Ils étaient assis sur le lit, on aurait dit deux mannequins de grande surface exhibant de la lingerie. Je n’osais pas les regarder dans les yeux, je fixais la fenêtre, ses tentures fermées, deux morceaux de tissu derrière lesquels j’aurais aimé me réfugier.
- Que fais-tu là ? C’était la fille encore, sur un ton amical.
J’ai tenté une explication, j’ai raconté l’alcool trop fort, le sommeil trop profond, les rires qui m’avaient intrigués. Elle me regardait en souriant. D’une main, elle se recoiffait les cheveux. L’autre était posée sur la cuisse de son compagnon. Que j’aie assisté à cette petite mise en bouche ne semblait pas la perturber.
- Tu as l’air fatigué », sourit-elle encore.
Ca se voyait tant que ça ? J’étais de plus en plus gêné. Il me fallait absolument prendre congé, plonger sous la couette, me masturber sans doute, dormir et dormir encore. Elle m’a proposé de «de reposer quelques minutes» car je ne pouvais pas, a-t-elle insisté, « prendre la voiture dans cet état».
M’efforçant de recouvrer de la contenance, je me suis affalé sur une chaise. Encore une. On a discuté encore, de tout et de rien, je ne me souviens pas exactement. Eux à moitié nus, moi en pull de laine.
C’était surréaliste mais je me suis détendu. Ils ont rigolé, j’ai rigolé aussi. Elle s’est saisie d’un verre de whisky qui sommeillait sur la table de nuit et en a bu une grande rasade. Son copain l’a accompagnée. Ils tenaient visiblement mieux l’alcool que moi.
- Tu en veux ? », a-t-il proposé.
Par bravade sans doute, j’ai accepté. Ce tord-boyaux m’a brûlé la gorge, je me suis étranglé, ils ont rigolé encore une fois. Ce n’était pas bien méchant, j’ai gloussé puis j’ai toussé de plus belle.
- Il fait chaud ici, enlève donc ton pull », a repris la fille.
J’ai acquiescé, je savais qu’il me faudrait un peu de temps avant de reprendre le volant. Le calme est revenu, j’étais décidé à me reposer. C’est elle qui, la première, a repris l’initiative. Elle a enlacé son copain – il s’appelait Samuel – et lui a roulé une pelle magistrale. Je voyais leurs joues se déformer, leurs yeux se sont à nouveau fermés. Il lui caressait le dos, elle avait les bras ballants.
Ils respiraient bruyamment. Je n’existais plus, j’étais redevenu invisible, pareil à moi-même.
Mais ça ne me rendait pas malheureux. Au contraire, j’étais détendu, bien décidé à profiter de ce spectacle – bien soft, ma foi – quelques minutes encore avant de prendre congé.
Samuel a changé de position. Je ne sais pourquoi, un réflexe sans doute, mes yeux se sont attardés sur son slip. Il était visiblement en érection. Plus précisément, j’ai pensé « Tu m’étonnes, il bande maintenant.
Il a glissé la main sous sa bretelle de soutien-gorge. Elle s’est décalée légèrement. Il a insisté. Elle m’a regardé du coin de l’œil et lui a glissé quelques mots à l’oreille.
D’où j’étais, je ne pouvais entendre mais j’étais persuadé qu’elle lui rappelait qu’ils n’étaient pas seuls. J’ai fait semblant de rien, les yeux à moitié fermés. Il lui a répondu, elle a souri. Puis, après une brève hésitation, le regardant droit dans les yeux, elle s’est servie de ses deux mains pour défaire la bretelle.
L’adresse avec laquelle les filles viennent à bout de ce casse-tête chinois qu’est une fermeture de soutien-gorge m’a toujours fasciné. Les bonnets se sont affaissés puis, presque machinalement, elle a fait glisser les bretelles le long de ses épaules nues et le morceau de tissu s’est perdu dans les draps.
Sa poitrine, effectivement, était discrète. Deux petites pommes un peu plus pâles que le reste du corps, ponctuées chacune d’une aréole brune foncée. Les tétons me sont apparus gonflés mais sans doute est-ce le fruit de mon imagination car la pièce était obscure et d’où j’étais, c’est à peine si je pouvais les distinguer.
Bouche en avant, Samuel s’est lancé à l’assaut de cette hospitalière poitrine. Elle a basculé sur le lit, l’a agrippé par les cheveux tandis qu’il tétait avec plus de appétit qu’un nouveau-né. Elle soufflait de plus en plus fort mais c’est à peine si je pouvais l’entendre tant j’étais fasciné par les bruits de succion.
Je bandais tellement que ça en devenait douloureux. Mon sexe était étranglé par la ceinture de mon slip, je me tortillais aussi discrètement que possible pour tenter de le dégager. J’aurais voulu me masser par-dessus le pantalon mais je trouvais ça inconvenant. Et il n’y avait plus de whisky.
C’est lui qui, distrait par mes gesticulations, s’est dégagé de la poitrine de son amie et m’a proposé de me « mettre à l’aise ».
- Ne te gêne surtout pas pour nous a-t-elle soufflé sans même me regarder. Fais comme chez toi. Et au fait, je m’appelle Sabine…
Les présentations étaient faites et l’invitation lancée. J’étais trop excité pour feindre l’indifférence ou protester. Pendant qu’ils retournaient à leurs occupations, je me suis levé et débarrassé de mon pantalon. Avant de me rasseoir en croisant les jambes et me penchant légèrement afin qu’ils ne voient pas combien j’étais troublé.
Mais visiblement, ils ne s’en souciaient pas puisque, sans me regarder me déshabiller, ils sont retournés à leurs occupations. Samuel a glissé une main sous la culotte de Sabine, il la caressait doucement. Même si ça peut paraître incongru dans cette situation, j’ai pensé qu’ils s’aimaient très fort et je les enviés.
Comme si elle m’avait entendu penser, Sabine, s’est dégagée de l’étreinte de son ami, elle l’a poussé jusqu’à ce qu’il se couche et s’est assise entre ses jambes. Lentement, elle a glissé les mains de chaque côté de son slip et elle a tiré. Le sous-vêtement est bien sûr resté coincé alors elle a relevé légèrement, a tendu le tissu et l’a fait passer au-dessus du sexe de Samuel.
Ce sexe a eu un soubresaut, il a été entraîné par le slip puis, lorsque ce dernier fut dégagé, il est revenu à sa position initiale. Comme un ressort. J’ai entendu un petit « flop » lorsque la verge de Samuel lui a cogné le ventre. Puis j’ai distinctement vu Sabine porter la main à ses lèvres et la lécher doucement. De ses doigts humidifiés, elle s’est emparée du sexe de son partenaire et l’a caressé avec une grande tendresse. Ces deux là se connaissaient par cœur et ça se voyait.
J’étais toujours en slip. Un slip que, de moins en moins discrètement, je froissais et malaxais de ma main droite. Je regardais Sabine flatter, avec une grande douceur, la verge de son ami. Ses doigts couraient le long de la hampe, la décalottaient légèrement puis, lorsque le gland était entièrement découvert, redescendaient jusqu'à pubis. Bien vite, son autre main est venue en renfort. Tandis que l’une s’abandonnait dans un long mais précis mouvement de masturbation, l’autre malaxait les testicules, en étirant la peau, les faisant rouler l’une contre l’autre. Le mouvement s’est fait de plus en plus rapide.
Assise au milieu du lit, Sabine branlait franchement Samuel. De temps en temps, elle humectait ses doigts et reprenait aussitôt de plus belle. La bite, car ce n’était plus un sexe ou une verge mais une bite, était tendue au maximum. Elle tremblait. Même si ce n’était vraisemblablement pas le cas, elle m’est apparue démesurée. Le gland restait apparent, congestionné, luisant de salive, régulièrement agacé par la paume ou les doigts de Sabine.
A un moment, Samuel a imploré son amie d’arrêter. Celle-ci, ne voulant pas clore les festivités, a retiré sa main et plongé tête la première vers un sexe qui n’en demandait pas tant. Elle l’a tout de suite embouché, arrachant à Samuel un nouveau râle de plaisir. Je voyais ses joues se creuser tandis qu’elle pompait le sexe distendu.
De mon côté, je n’ai pas résisté. Sans y penser, j’ai ôté mon propre slip et j’ai commencé à me caresser. Il leur aurait suffi de tourner la tête pour me voir mais peu m’importait, j’étais obsédé par leur plaisir autant que par le mien. Je me triturais le sexe plus que je le masturbais car je savais qu’il aurait suffi de quelques mouvements trop rapides pour que je jouisse et perde pied.
Sabine continuait à sucer Samuel. C’est bizarre de regarder un autre couple faire l’amour. J’avais l’impression d’être en lévitation et de me voir, quelques semaines auparavant, étendu nu sur le sofa de mon petit appartement, cajolé par celle que je croyais être la femme de ma vie. A ce moment, comme si elle avait été mise au courant de mes pensées négatives et qu’elle voulait les chasser, Sabine m’a regardé.
Plus exactement, elle a vu que mon boxer m’enserrait les genoux et que ma main s’agitait frénétiquement. Puis elle m’a fixé dans les yeux et a gentiment souri. Elle a légèrement balancé la tête. Je croyais qu’elle me signifiait de partir et de les laisser enfin seuls mais non, je n’étais pas congédié. Elle me fixait puis regardait le lit, me fixait puis regardait le lit encore. A son clin d’œil, j’ai compris que je devais m’approcher. Sans trop réfléchir, je me suis avancé vers le lit. J’ai failli trébucher dans mon sous-vêtement. D’un geste que j’aurais aimé plus gracieux, je l’ai fait glisser à mes pieds et je l’ai poussé sous le lit.
Quand je m'assis, le matelas s’est légèrement enfoncé mais Sabine n’a pas arrêté sa fellation pour la cause. Samuel, lui, a légèrement redressé le buste. Il n’a pas eu l’air étonné de me voir à leurs côtés, il a esquissé un sourire puis s’est recouché.
Je suis resté là, une ou deux minutes peut-être, à les regarder faire l’amour. Sabine y allait doucement, faisant glisser la verge entre ses lèvres, s’aidant parfois de la main. Ses joues se creusaient, ses doigts se perdaient dans la toison de son ami, puis revenaient sur ses testicules, les massant avec délicatesse. J’enviais l’endurance de Samuel car je savais, d’expérience, qu’il m’en fallait beaucoup moins pour exploser.
Mais tout ce même, il n’était pas un surhomme : je l’ai vu se redresser, repousser doucement la tête de son amie puis à son tour, pressé sans doute de lui rendre la pareille, débarrasser Sabine de sa culotte. Celle-ci l’a aidé puis s’est allongée en écartant les jambes aussi largement que possible.
Je n’ai pu, à ce moment, détailler son anatomie car j’étais mal placé mais j’ai vu Samuel se précipiter vers ce sexe grand ouvert et le laper comme on déguste une crème glacée. Sabine était aux anges, elle poussait de grands soupirs, implorait son amant de la manger et de la manger encore. Celui-ci ne s’est pas fait prier. J’entendais les clapotis que faisaient sa langue en s’activant sur le sexe détrempé.
C’est à ce moment qu’à ma grande surprise, Sabine a levé un bras et l’a dirigé vers mon entrejambes. La main s’est d’abord posée sur ma cuisse. Je n’osais y croire. J’ai probablement arrêté de respirer. Heureusement, cette apnée n’a pas duré très longtemps car bien vite, les doigts se sont faits plus hardis, ils ont glissé vers mon sexe, l’ont agrippé et l’on doucement branlé.
Ne voulant pas être en reste, j’ai posé une main, puis les deux, sur sa poitrine. Je ne m’étais pas trompé, ses tétons étaient érigés, durs et gonflés. Je les ai massés comme je le pouvais, entourant les globes de ma paume puis m’attardant sur les mamelons, les pinçant mêmes légèrement mais la position était inconfortable.
Elle a dû le sentir car elle a détourné mes bras et, alors que son ami la léchait toujours, elle a approché sa bouche de mon sexe distendu et déposé ses lèvres sur le gland. Je n’en croyais pas mes yeux : cette fille que je ne connaissais pas deux heures auparavant s’apprêtait à me procurer une fellation sous les yeux de son copain.
Je ne me souviens pas avoir bandé aussi longtemps et aussi fort que ce jour là.
Sans se presser, paresseusement presque, elle a pointé le bout de la langue et m’en a caressé le gland. Elle l’a léché un peu puis, plus précis, ce bout de langue s’est dardé sur mon méat. J’étais au Paradis. La petite pointe de chair se glissait dans le petit orifice, poussait comme pour forcer le passage, en léchait les parois puis avec se détournait, tournoyait autour du gland, l’enveloppait. C’était magique.
Je sentais que mes couilles gonflaient, elles me faisaient presque mal. J’allais jouir, j’en était soulagé et frustré à la fois. Mais la diablesse, qui avait mille fois plus d’expérience que moi, a remarqué l’extrême raidissement et les tressaillements de ma verge. Une de ses mains est descendue jusqu’à mes testicules, comme pour s’assurer de leur fermeté.
Alors, la même main s’est posé à la base de mon sexe et l’a enserré avec fermeté. Elle m’a jeté un regard gourmand, du genre « N’éjacule pas maintenant, on n’a pas fini de s’amuser », et la pression est effectivement redescendue. Petit à petit, je me suis décrispé, j’ai aspiré autant d’air que je pouvais, mon cœur s’est calmé, je suis parvenu à recouvrer mon calme.
Samuel avait relevé la tête et me regardait. Il souriait mais ce n’était pas un sourire moqueur, plutôt complice. A un moment, j’ai vu ses yeux s’attarder sur mon sexe et j’en ai été mal à l’aise. J’ai un sexe de dimensions, je crois, tout à fait normales mais l’exhiber devant un autre garçon, dans les vestiaires par exemple, m’a toujours gêné. Sabine a dû percevoir ce petit moment de flottement (« Un ange passe », me suis-je dit stupidement) car elle a regardé son compagnon d’une étrange façon, puis m’a regardé et a souri.
- Prends sa place », m’a-t-elle murmuré.
Je me suis aussitôt exécuté, trop content de laisser mon sexe reprendre ses esprits, si je puis dire. Tandis que Samuel se reculait, je me suis donc glissé sans un mot entre les jambes de notre partenaire. Pour la première fois de la soirée, j’ai pu voir son sexe en gros plan. Le pubis était rasé de près. Les lèvres étaient rouges et gonflées, trempée autant par ses secrétions que par la salive de Samuel. Le vagin était bien dilaté et, aussi ténue soit mon expérience, je savais que c’était là le signe d’une grande excitation.
Encouragé, voulant donner le meilleur de moi-même et donner une forte impression à mes hôtes, j’ai donc lentement dirigé ma bouche vers ce sexe affamé. J’ai doucement aspiré les lèvres de notre compagne, je les ai suçotées, grignotées presque. Les soupirs de Sabine m’ont rassuré sur ma technique, plus instinctive qu’expérimentale. J’ai donc continué sur ma lancée, suçant et aspirant de plus belle ses lèvres gonflées, y faisant courir ma langue, les laissant doucement rouler entre mes dents.
Puis, des deux mains, j’ai écarté ces mêmes lèvres et j’ai plongé la langue dans son vagin. Aussi loin et profondément que possible. J’avais l’impression de la baiser avec ma langue et à en croire la force avec laquelle elle me poussait la tête en avant, elle semblait apprécier. N’en pouvant plus, craignant une crampe à la mâchoire, je me suis légèrement retiré. Mais elle a protesté de quelques soupirs. Alors, j’ai replongé. De mon menton, j’ai caressé son sexe. Puis, j’ai ressorti le bout de la langue et je l’ai dardé sur son clitoris.
Désireux, moi aussi, de lui donner autant de plaisir que possible, je me suis d’abord contenté de lécher avec indolence ce petit bouton d’amour. Puis je l’ai fait glisser entre mes lèvres, l’aspirant et le rejetant doucement comme s’il s’agissait d’un sexe miniature. Les lèvres ourlées autour de son bouton, ma langue en agaçant l’extrémité, nous n’étions plus qu’une bouche et un sexe.
- Les doigts », a-t-elle soupiré.
J’ai jeté un coup d’œil à Samuel. Il était gentiment allongé aux côtés de son amie, il lui caressait les cheveux, son sexe avait retrouvé des dimensions plus raisonnables. Il m’a fait hochement de tête, j’y ai vu un encouragement. J’ai donc enfoncé deux doigts dans son sexe. Il était brûlant et trempé. Je les ai doucement fait aller et venir, je ne voulais absolument pas l’irriter. Elle a commencé à se tortiller, suppliant d’y aller « encore » et « encore ».
J’ai ajouté un troisième doigt et je me suis servi de ma main comme d’un sexe, la branlant franchement, allant et sortant de son vagin comme si nous faisions l’amour. Puis j’ai légèrement recroquevillé les doigts vers le haut, en direction de son ventre et de son nombril. Ses soupirs sont devenus des cris, elle remuait le bassin, le précipitait vers ma main.
Comme pour répondre à son invitation, j’ai continué à explorer son ventre, en parcourant les parois, explorant chaque recoin, me glissant jusque l’utérus. Les contractions de son vagin, ses cris qui étaient de plus en plus perçants, la tache humide sur le drap : l’orgasme était imminent et j’en étais heureux. Ce qui ne m’a pas empêché d’être surpris lorsque ses muscles intimes se sont brutalement serrés autour de mes trois doigts et qu’elle s’est redressée en poussant un grand cri. J’en ai profité pour, délicatement, frôler son clitoris de mes autres doigts et le décalotter très légèrement. Elle a crié de plus belle, a croisé les jambes et est retombée lourdement sur le matelas. J’ai continué à lui caresser le sexe avec une grande douceur, lui lissant les poils du pubis, effleurant ses lèvres qui se refermaient.
Pendant deux minutes, trois peut-être, elle est restée ainsi allongée. Sa respiration s’est faite plus calme. Je croyais qu’elle s’était assoupie. Samuel lui caressait toujours les cheveux et le front. Pour ma part, j’étais toujours couché, j’avais la tête sur son ventre, je récupérais mon souffle en me massant la mâchoire.
C’est elle qui s’est finalement redressée. Je la regardais un peu gêné. J’espérais qu’une fois la pression retombée, elle n’allait pas se lever, faire un détour par la salle de bain et enfiler un peignoir. Au lieu de ça, elle m’a pris le menton entre les mains et m’a embrassé. C’était doux et tendre. Je sentais sa langue tourner doucement dans ma bouche, toute gêne avait disparu.
C'est pas fini
A suivre ....

Histoire du net. Auteur: Timide. Nirvâna

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C'est comme un conte de Noël
Mais en plus beau...

Le Paradis
Auteur: Timide
Fin
J’étais étendu, tous mes muscles relâchés, mon sexe était flasque mais je ne m’en offusquais pas. Puis, nos lèvres se sont détachées. Elle m’a embrassé dans le cou, sur le haut de la poitrine puis sur les tétons. Elle les a aspirés et mordillés, j’ai senti que mon bas-ventre reprenait vie. Alors, sa bouche est descendue encore, elle a multiplié les baisers autour de mon nombril, est descendue encore et s’est posée sur le bout de mon sexe.
Des lèvres, elle a pincé la peau de mon prépuce et l’a légèrement tirée vers le haut. Puis sa langue s’est insinuée dans les replis de cette peau, la froissant, ne la délaissant que pour s’attarder sur le gland. C’était comme ce soleil qui vous caresse la peau et vous alanguit aux premiers jours de printemps. Après m’avoir jeté un clin d’œil, elle a ouvert la bouche et mon sexe a disparu. Mais très vite, il s’est à nouveau gorgé de sang. Entre ses joues, il s’est réveillé et a pris de plus honorables dimensions. Sa bouche, ses lèvres plutôt, allaient et venaient sur mon sexe.
C’était un frôlement, pas davantage, mais ça me mettait le feu au bas-ventre. Elle a sorti la langue, l’a fait courir le long de cette veine qui court le long de la verge, m’a enrobé le gland, s’est insinuée dans le méat, est redescendue jusqu’aux testicules. Une à une, elle les a prise sen bouche, les faisant tourner sur sa langue, les aspirant avec délicatesse. Puis, elle a plongé la tête plus près des draps encore et m’a léché sous les testicules.
Sur ces quelque centimètres de peau qui, courant des bourses à l’anus, est aussi sensible que le dessous des ailes d’une hirondelle. Voyant combien j’appréciais, elle m’a léché un peu plus fort. J’adorais cela. Puis elle m’a fait relever légèrement les jambes et sa langue est descendue jusqu’à mon anus. J’ai été surpris et j’ai contracté les fesses.
Loin d’en tirer la leçon, elle a insisté. Elle a poussé sur mes jambes et est descendue encore. A présent, tandis que sa main me branlottait doucement, sa langue me chatouillait l’anus. Elle a commencé par me le lécher puis, plus insistante, elle a forcé jusqu’à en entrouvrir le passage. C’était divin.
Je croyais que j’allais m’évanouir tellement c’était bon. Ne voulant sans doute pas d’un amant inanimé, elle a éloigné sa bouche de mon anus et est revenue sur mon sexe. Elle l’a embouché comme elle se serait ruée sur une friandise. Elle a recommencé à le pomper, je voyais ses joues se creuser, elle me tétait littéralement le gland. De ses mains, elle me caressait les couilles. Pus ses doigts ont glissé en direction de mes fesses. Elle m’a légèrement griffé le périnée, a pressé sur ce muscle si sensible qui marque la base de la verge puis m’a entrouvert les fesses.
Je n’ai pas réagi.
Estimant sans doute que c’était là un encouragement à aller plus avant, j’ai senti un doigt presser sur mon anus. Je ne savais que faire. Loin de se décourager, elle a repris ce doigt, l’a glissé contre mon sexe, entre ses lèvres, et l’a mouillé de sa salive. Et elle a recommencé, poussant un peu plus loin, insistant pour que je la laisse entrer. Ce que j’ai fait. Son doigt y est allé tout doucement d’abord, centimètre par centimètre.
Ça faisait une drôle d’impression. Pas vraiment mal mais pas terriblement agréable non plus. Tandis qu’elle continuait à me sucer, à m’aspirer, à me mordiller la queue, son doigt s’est fait plus volontaire. Je commençais à apprécier. Il est ressorti, puis rentré à nouveau. L’impression, gênante, de devoir aller à la toilette s’est dissipée et j’ai commencé à remuer du bassin.
J’étais vraiment aux anges, je savais que je n’allais pas pouvoir résister longtemps. Les yeux mi clos, j’ai regardé Samuel. Il se tripotait sur le lit, les yeux rivés sur la bouche de sa copine. Celle-ci a commencé à accélérer le mouvement. Un moment, alors qu’elle me léchait le gland, j’ai regardé mon sexe : jamais, je ne l’avais vu aussi gonflé. Les veines saillaient, je n’aurais pas été étonné qu’elles explosent. Le méat s’est dilaté et a commencé à suinter légèrement. Je savais que la jouissance n’était plus très loin.
D’un doigt, Sabine a recueilli un peu de ce liquide visqueux et l’a mis en bouche. Pour avoir goûté une fois, il y a bien longtemps, je savais que c’était assez salé. Mais elle n’a pas grimacé. Au contraire, elle a replongé sur mon sexe, l’enrobant de ses lèvres, le parcourant de la langue. Son doigt allait et venait toujours dans mon anus. C’était incroyable.
J’ai deviné, plus que j’ai vu, Samuel qui s’approchait. Avec la même tendresse que tout à l’heure, il a caressé les cheveux de son amie. Sa main était à quelques centimètres seulement de mon sexe mais je n’en éprouvais plus de gêne. Je continuais à râler. Mes couilles se contractaient, ma bite était en feu, elle me faisait presque mal.
Soudain, Samuel s’est approché de ma poitrine et m’a gobé les tétons. Mieux, il a commencé à les mordre. En d’autres temps, je me serais relevé et j’aurais pris la poudre d’escampette mais là, avec ce couple, j’étais prêt à tout. Lui qui me tétait, elle qui me suçait comme je ne l’avais jamais été et qui me baisait – car c’est comme ça que je le ressentais – l’anus, je croyais devenir fou. Je n’étais plus qu’un sexe.
J’étais incapable de penser, d’encourager ou de protester, d’esquisser le moindre geste. Mon corps s’est raidi, comme frappé par la foudre. Ma bite s’est contractée, j’avais l’impression qu’elle était irriguée par de la lave en fusion. Mon gland était chauffé à blanc. Sabine, qui avait senti que j’allais éjaculer, a tout doucement écarté la tête.
Avec une vitesse incroyable, elle a enfoncé un deuxième doigt dans mon anus tandis que de sa deuxième main, elle a tendu au maximum la peau de mon sexe, griffant le frein au passage, découvrant totalement mon gland. « Il vient ! », a-t-elle soufflé à Samuel. Celui-ci a lâché mes seins et a regardé mon éjaculation.
Dans un demi comas, j’ai clairement ressenti l’expulsion du premier jet. Puis d’un second. Je ne sais combien il y en a eu mais à chaque fois, je sentais mon sexe palpiter. Comme un tuyau d’arrosage soumis à une trop forte pression, qui se gonfle et qui tressaute entre les mains du jardinier. Ça a ainsi duré de longues secondes, chaque jet de sperme passant à quelques centimètres du visage de Sabine, s’écrasant sur mon ventre ou sur les draps.
Puis ça s’est calmé, les jets sont devenus moins denses et moins puissants. Je me suis affalé. K.O. C’est à peine si j’ai senti Sabine, à moins que ce ne soit Samuel, caresser mon gland rendu glissant, jouer avec le prépuce, me masser les testicules.
Quand j’ai ouvert les yeux, Sabine tendait les mains vers un paquet de mouchoirs glissé sous l’oreiller. Elle a extirpé une des serviettes et s’en est servie pour m’essuyer le ventre ainsi que les draps de lit. Elle avait un peu de sperme sur les doigts et l’a également épongé. Elle a roulé le mouchoir et l’a gardé en main.
Je n’avais pas la force de bouger.
- C’était bon ? », a-t-elle sourit.
Sans attendre la réponse, elle s’est levée et s’est dirigée vers l’entrée de la chambre.
- Je passe dans la salle de bain, reposez-vous un peu ».
J’ai fermé les yeux.
C’est un bruit sec qui m’a réveillé. La porte de la chambre venait de claquer. J’ai senti un courant d’air, j’ai tourné la tête, Sabine et son ami avaient ouvert la fenêtre et fumaient une cigarette. Ils avaient tous les deux revêtu une robe de chambre. Moi, j’étais bien sûr toujours nu. Dans un réflexe ridicule, j’ai remonté le drap. J’aurais aimé en griller une mais mon manteau était resté au vestiaire du rez-de-chaussée et, malgré ce qui s’était passé, je me voyais mal traverser la maison dans le plus simple appareil, en sifflotant, avec un faux air dégagé qui ne m’a jamais réussi.
C’est Samuel qui, le premier, a vu que j’étais réveillé.
- Bien dormi ? », plaisanta-t-il.
J’ai grommelé, j’ai louché vers ma montre, il était déjà 6h00.
Sabine m’a proposé une tasse de café que j’ai accepté. Il était brûlant mais je l’ai quasiment avalé d’un trait. Le silence se faisait pesant, j’avais mal au crâne, je réalisais que j’étais avec des inconnus, dans une chambre qui n’était pas la mienne, je ne savais que dire. Samuel est venu à ma rescousse :
- C’était bon. Tu te débrouilles bien. Ce n’est pas ta première fois ?
J’ai été tenté de faire mon malin, de la jouer routard du sexe mais je me suis abstenu. Je leur ai avoué que c’était la première fois à trois, qu’à moi aussi ça m’avait bien plu et que quelques heures plus tôt, j’étais persuadé qu’il me faudrait longtemps encore avant de refaire l’amour.
Ils m’ont questionné sur ma rupture, nous avons parlé de sexe un peu, de l’amour beaucoup, de la vie et de ce qui va avec surtout. J’ai appris qu’il avait 36 ans et qu’elle en avait 35. J’ai bafouillé qu’elle ne faisait pas son âge et elle a souri.
J’ai demandé où était la salle de bains et je me suis levé en m’efforçant d’être aussi naturel que possible. J’avais la peau moite, ma verge était flasque et poisseuse, j’ai demandé si je pouvais prendre une douche. Ils ont bien sûr dit oui.
La salle de bain, je m’en souviens, était joliment décorée : les murs avaient été peints en bleu, une mosaïque de pâte de verre entourait la baignoire et la douche, les robinets étaient chromés, une nuisette pendait à une patère elle aussi en acier inoxydable. J’ai uriné en m’efforçant d’être le plus discret possible, mon gland était irrité et j’ai ressenti une vague brûlure. Puis je me suis longuement douché et savonné, ce qui a achevé de me réveiller.
J’ai souri en voyant un canard de plastique jaune assoupi au bord de la baignoire, je l’ai dévisagé un instant puis je suis sorti en me ceignant la taille d’un grand essuie.
Lorsque je suis revenu dans la chambre, la fenêtre était fermée, Samuel et Sabine étaient assis sur le lit et discutaient. Ils se sont légèrement écartés, j’ai compris qu’ils m’invitaient à les rejoindre. Sabine avait profité de mon passage à la douche pour remonter une cafetière. Le liquide fumait, elle m’a tendu la tasse et resservi.
- Pas trop crevé ? , m’a-t-elle demandé.
Lorgnant dans l’entrebâillement de son peignoir, j’ai répondu que ça allait. Elle a souri. Elle sourit souvent et ça lui va bien.
- Tu veux que je te réveille ? m’a-t-elle demandé.
Je ne savais que répondre. J’avais bien sûr encore envie d’elle mais je ne pensais pas que ce soit réciproque. J’étais, jusque là, persuadé qu’ils n’avaient qu’une envie : que je m’en aille pour faire un gros dodo. Je me trompais.
Portant la tasse à ses lèvres, elle a pris une grande gorgée de café puis s’est penchée sur mon entre-jambes. Elle a pris mon sexe en bouche. Il n’est traditionnellement pas très vigoureux à cette heure de la journée mais le contact du liquide brûlant et de sa langue avec ma verge m’a électrisé.
Je me suis couché sur le dos en soupirant. L’impression de chaud-froid était étrange et très agréable. Après s’être gargarisée, elle a avalé le café mais a poursuivi sa fellation. Mon sexe a vite repris de la vigueur, je le sentais se déployer, s’étirer, s’éveiller dans la bouche de ma partenaire. Il y avait une douceur nouvelle dans ces caresses.
Elle ne me masturbait pas avec la bouche mais faisait doucement virevolter sa langue autour de mon gland, agaçant le frein avec ses lèvres puis avec ses dents, me lapant de haut en bas, osant même quelques excursions sur mes testicules puis remontant aussitôt, comme si elle se doutait qu’encore engourdi, j’avais davantage besoin de tendresse que de sexe pur et dur.
Samuel avait les jambes croisées, il nous regardait, il avait conservé sa robe de chambre, je ne sais s’il bandait mais j’ai supposé que oui.
- Tu as envie de faire l’amour ? », m’a demandé Sabine.
Sa voix était douce, un peu rauque, sans doute à cause des cris qu’elle avait poussés tout à l’heure. J’ai murmuré que oui, j’aimerais bien. Elle m’a couché sur le dos, a plongé la main dans un tiroir et en a ressorti une pochette de préservatifs. En me regardant droit dans les yeux, elle a déchiré l’emballage et a approché un manchon de latex de mon sexe dressé. Avec application, elle l’a posé sur le gland puis l’a minutieusement déroulé, prenant le temps de chasser l’air qui était resté dans le réservoir.
J’ai voulu me redresser mais, appuyant du plat de la main sur mon torse, elle m’a signifié de rester tranquille et de la laisser faire. Je n’ai pas protesté. Avec un naturel qui m’a étonné, elle a ôté sa robe de chambre. Puis elle m’a enjambé et, tenant la base de mon sexe, elle m’a enfourché. J’ai crû que j’allais perdre connaissance tellement c’était doux et chaud.
- Ca va ? », a-t-elle demandé à son homme en tournant légèrement la tête.
Celui-ci a montré son sexe, de dimensions plus qu’honorables et entièrement décalotté. C’était une réponse comme une autre.
Les deux mains appuyées sur mon ventre, elle a commencé à se faire aller. Plutôt que monter et descendre, elle glissait de l’avant vers l’arrière. C’était lent mais puissant à la fois. J’ai soudain eu l’impression que mon sexe était aspiré à l’intérieur de son ventre : elle me massait en contractant les muscles de son vagin. Comme si cela ne suffisait pas, elle a passé une main derrière son dos et m’a caressé les testicules. Je n’avais jamais rien connu de semblable. Nous gémissions tous les deux, je me suis concentré pour ne pas jouir déjà.
Samuel, qui tenait toujours son sexe en main, s’est approché et a tendu le visage vers son amie. La bouche entrouverte, les yeux qui brillaient, les cheveux désordonnés, elle était belle pendant l’amour et, beaucoup mieux que moi, il le savait.
Les deux langues se sont rencontrées. On aurait cru qu’elles se battaient. Un combat loyal où, tour à tour, chacun des adversaires aurait le dessus. Tandis qu’il continuait à l’embrasser en se masturbant, elle me chevauchait de plus belle et, de la même main que tout à l’heure, me massait les couilles. Voulant la satisfaire autant que possible, j’ai tendu les bras et j’ai posé les deux paumes des mains sur ses seins. Elle avait l’air d’aimer ça car elle a bombé le torse.
Tout en maintenant mon sexe dans le sien, elle s’est penchée en avant et m’a mordillé les lèvres. J’ai sorti la langue, je voulais l’embrasser, boire sa salive, la boire toute entière mais à chaque fois, elle esquivait. Elle me narguait et ça me rendait fou. Alors que nous jouions ainsi au chat et à la souris, j’ai de nouveau senti une main qui m’enserrait les testicules.
Ça ne pouvait évidemment être elle. J’ai risqué un œil de côté et j’ai vu Samuel couché sur le lit, le bras jeté dans cette mêlée de sexes et de jambes. J’ai refermé la bouche, je me suis contracté et Sabine a dû le sentir qui m’a regardé d’un air intrigué. Puis, comme ne bronchais pas, elle a tourné la tête et a vu que son compagnon avait le visage près de nos sexes et me malaxait les bourses.
- Ce n’est rien, laisse faire m’a-t-elle dit à l’oreille.. Ce n’est pas bon ?
Je ne savais que répondre. C’était agréable bien sûr mais ça me gênait qu’un homme me touche ainsi. Tout à l’heure, il me mordillait les seins et maintenant, il me caressait le sexe. Je me suis demandé, un peu stupidement, s’il était bisexuel. J’ai eu un peu peur puis, lorsque Sabine a recommencé à bouger, je me suis relâché. J’ai fermé les yeux et j’ai laissé faire.
Après quelques minutes de ce traitement, j’ai cru que j’allais jouir.
- Je vais venir », ai-je simplement soupiré.
Considérant que c’était trop tôt, Sabine s’est lentement retirée. Avec un petit « flop », mon sexe est sorti de son ventre et a cogné contre le mien, il était toujours enveloppé par le préservatif.
- Repose-toi un peu », m’a-t-elle dit.
Elle s’est alors tournée vers Samuel et de nouveau, l’a embrassé. Elle s’est aussi saisie de son sexe et l’a vigoureusement masturbé. Puis, comme si elle obéissait à un rituel, elle s’est retournée. Elle a plongé la tête sur le lit et cambré les reins. L’invitation était explicite. Samuel s’est approché et après lui avoir doucement caressé les fesses, il l’a pénétrée. Je me suis approché.
J’étais subjugué par ce sexe d’homme qui entrait et ressortait de ce sexe de femme, par les fesses de Sabine qui était écartée, par ses cris à peine étouffés par l’oreiller.
Pendant plusieurs minutes, il l’a ainsi possédée. Je voyais ses fesses à lui qui s’agitaient, ses couilles qui cognaient contre le pubis de Sabine, ses mains qui se crispaient. Un moment, j’ai été tenté de glisser les doigts entre les deux sexes, comme pour sceller notre complicité, mais je me suis abstenu.
Aux halètements de Samuel, à ses mouvements de plus en plus rapides, j’ai compris qu’il allait jouir. Et effectivement, il s’est soudain tendu puis immobilisé sur la croupe de sa partenaire. Il a été agité de quelques soubresauts, j’imaginais son sexe palpiter et se vider dans l’intimité de Sabine. Je sais que dans les films pornos, l’homme prend un malin plaisir de se retirer pour éjaculer sur le dos, voire le visage de son amante mais là, ce n’était pas un film porno, simplement un homme et une femme qui font l’amour.
Temporairement, j’avais cessé d’exister. Samuel s’est lentement retiré, son sexe avait perdu de sa raideur. Il s’est couché à côté de Sabine, elle lui a caressé le front, je me suis fait discret.
Tandis que son homme récupérait, Sabine s’est tournée vers moi.
- Tu as toujours envie, on dirait.. »
Aurais-je démenti que j’aurais été trahi par mon sexe. Congestionné, d’un rouge qui tirait vers le violet, il tendait toujours le cellophane.
- J’ai encore envie, moi aussi , m’a-t-elle rassuré. Tu veux venir dans mon petit trou ? »
J’ai trouvé ça mignon. Elle aurait pu choisir d’autres mots, plus ou moins vulgaires, mais elle a parlé de son « petit trou » et s’est inquiétée de savoir si ça me plairait. Sa retenue n’a fait qu’ajouter à mon trouble.
Elle s’est alors retournée, prenant une position qui ressemblait fort à celle qu’elle avait adoptée un peu plus tôt. A la différence près qu’elle n’avait plus la tête enfoncée dans l’oreiller mais qu’elle l’avait tournée sur le côté et me regardait en souriant, comme pour m’encourager.
Je me suis penché vers ses fesses et je lui ai léché « le petit trou », y répandant suffisamment de salive pour ne pas la blesser. Puis j’ai présenté mon sexe à l’entrée de cet orifice et j’ai poussé. Ce n’était pas facile parce que ça glissait et j’ai dû m’y reprendre à plusieurs reprises avant d’enfin m’enfoncer de quelques centimètres. « Ca va ? », lui ai-je demandé. Elle m’a prié de continuer. J’ai poussé un peu plus fort, les muscles de son anus se sont relâchés et elle m’a englouti.
Durant quelques secondes, je n’ai plus bougé, je craignais de lui faire mal. C’est elle qui, bien vite, a fait remuer son postérieur.
C’était extraordinairement bon. C’était serré, j’avais la queue prise dans un étau, j’ai continué à la faire coulisser. J’ai vu qu’une de ses mains se glissait entre ses jambes. Tandis que je me faisais aller, elle se masturbait. Elle gémissait de plus en plus fort et de mon côté, je n’en menais pas large non plus, je savais que je ne pourrais tenir longtemps.
Brutalement, elle s’est cabrée en poussant un grand cri. Son anus s’est resserré autour de ma queue et si je n’en avais été expulsé à cause de ses mouvements désordonnés, je crois bien que je me serais répandu dans le préservatif. Il s’en est fallu de quelques secondes, peut-être moins. Je n’étais pas le moins du monde frustré, heureux que j’étais de la voir jouir une nouvelle fois.
Nous nous sommes affalés sur le matelas. Samuel dormait, elle l’a regardé, lui a effleuré le visage.
- Il est beau, tu ne trouves pas ? »
Je ne savais que répondre, je n’avais d’yeux que pour elle et à vrai dire, ce point d’interrogation m’agaçait. J’aurais aimé une autre manière de ponctuer notre accouplement. Probablement aurais-je souhaité que, nos sueurs encore mêlées, elle pense à autre chose qu’à lui. A quelqu’un d’autre ? Pourquoi pas à moi ? « Oui », ai-je acquiescé du bout des lèvres.
Elle n’a pas relevé. Probablement n’attendait-elle pas de réponse. Probablement même n’était-ce pas une question. Sans doute une façon discrète de me rappeler qu’entre elle et lui, c’était du costaud. Je n’étais qu’une parenthèse, un entracte, un divertissement. Agréable mais qui ne pouvais prêter à conséquence.
Sans doute avait-elle perçu mon désarroi et ma solitude, mon envie éperdue d’aimer et être aimer. Avec finesse mais fermeté, elle établissait un périmètre de sécurité. J’imaginais le panneau, une plaque émaillée avec en lettres blanches : « Au-delà de cette limite, votre ticket n’est plus valable ».
Puis je me suis repris, j’ai chassé les ombres et je lui ai souri. Trop tristement sans doute car elle a alors cligné des yeux et m’a déposé un baiser sur les lèvres, l’air de dire « Ne pense à rien d’autre qu’au moment présent ». Son regard amusé s’est porté sur mon entrejambe. Machinalement, sans y penser presque, je me caressais le sexe.
Mon érection n’avait pas disparu, cette fugace sodomie ne m’avait pas rassasié et je comptais bien, lorsqu’elle aussi aurait fermé les yeux, me masturber une dernière fois. Elle l’a bien sûr compris.
- Laisse-moi faire », a-t-elle soufflé en portant les doigts à sa bouche.
Elle s’est humectée les doigts, les a sucés un à un, les parcourant de sa langue, les faisant disparaître dans sa bouche comme s’il s’agissait de petits pénis. Elle s’est saisie de la capote et avec une adresse de prestidigitateur – un, deux, trois, disparu, il est où le lapin blanc ? -, elle l’a roulée au creux de la main et l’a faite disparaître sous l’oreiller. Témoin de ce tour de passe-passe, mon sexe a légèrement tressauté puis il s’est immobilisé, satisfait de retrouver l’air libre. L’orifice était dilaté, comme s’il voulait aspirer une grande goulée d’air frais. En fait, j'étais très excité.
Elle a arrondi la paume de sa main et la mise en coupole sur le haut de mon sexe. Puis, sans l’empoigner, plutôt en l’effleurant, elle l’a caressé de haut en bas, touchant le pubis puis remontant à l’assaut du gland. Elle a continué ainsi quelques minutes, c’était agréable et agaçant à la fois, j’aurais aimé qu’elle l’agrippe et me branle franchement pour faire disparaître cette tension qui devenait presque douloureuse. Je me tortillais sur le lit, je donnais des coups de reins, j’appelais une caresse plus énergique. N’y tenant plus, j’ai saisi sa main dans la mienne, je l’ai fortement serrée autour de mon manche et j’ai entamé des vas et viens.
- Chût, c’est moi », a-t-elle dit.
Se redressant, elle a saisi le verre de whisky qui était resté sur la table de nuit. Il restait quelques gouttes d’alcool, elle s’en est badigeonné la paume puis l’a reposée sur mon gland. Très vite, j’ai ressenti une vive brûlure. Comme si mon gland avait trempé dans un pot de piment. L’onde de chaleur s’est vite propagée le long de mon sexe, m’a irradié tout le bas-ventre et m’est rapidement montée aux joues. Je devais avoir une drôle de couleur car elle a demandé si je me sentais bien.
- Tu n’as pas de la glace ? », ai-je plaisanté.
Elle s’est assise en tailleur à hauteur de mes genoux. Je ne pus m’empêcher de la détailler, m’extasiant devant ce visage qu’illuminait un sourire coquin, m’amusant de ce petit nez en trompette et des quelques taches de rousseur qui lui parsemaient les joues.
Mon regard est passé rapidement sur sa poitrine, autour de son nombril et sur ses hanches. Il s’est attardé, dans que je l’aie vraiment voulu, sur son sexe. Il était demeuré entrouvert, les poils ébouriffés rendus collants par ses secrétions, ma salive et aussi, même si je m’efforçai de ne pas trop y penser, par le sperme de Samuel. Idiotement, je me suis rappelé qu’elle ne s’était pas essuyée après l’éjaculation de son ami, il devait y avoir une grande auréole sur les draps. Je me suis promis de ne pas trop bouger et de rester de mon côté du lit.
Elle a fait couler un peu de salive dans le creux de ses mains et m’a agrippé le sexe encore brûlant. Consciente que la tension était devenue trop grande, qu’elle m’occasionnait plus de gêne que de plaisir et qu’il était grand temps de la soulager, elle m’a branlé avec énergie. Ses doigts pressaient fortement ma bite, la cadence était infernale, mon gland ne faisait plus que de furtives apparitions entre ses doigts, la délivrance était imminente. « Ca vient… », ai-je lancé.
- Laisse toi aller .
Elle a ralenti le rythme, sa main s’est faite plus douce. A la seconde ultime, elle s’est presque immobilisée, se contentant de crisper les doigt autour de ma hampe.
…..........
Pas de suite

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Histoire du net. Auteur Inconnu. Les vioques!!!

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Vivement la retraite.
Le repos forcé remet en forme...
Alors que nous...

Le retraité.
La réunion s’étant terminée plus tôt que prévu, je décidai d’avancer mon retour et d’en faire la surprise à mon épouse, Anne-Laure, que j’ai laissée seule une fois de plus. Mon travail exige de fréquents déplacements, quelquefois de plusieurs jours, et je culpabilise toujours un peu en la quittant. Nous habitons un petit bourg, pas toujours très animé, surtout l’hiver, et j’ai souvent peur qu’elle s’ennuie.
À bientôt quarante-cinq ans, Anne-Laure a conservé une silhouette alléchante qu’elle entretient par une pratique régulière de la natation. Brune, de taille moyenne mais bien proportionnée, ses formes avantageuses attirent souvent le regard des hommes, ce qui n’est pas toujours pour me déplaire. Après avoir élevé nos enfants, elle occupe désormais ses journées entre des visites à quelques amies et du bénévolat dans une association caritative.
Je me fais une joie, ce soir, de l’emmener au restaurant, de passer une soirée en amoureux, les enfants ne rentrant pas avant le week-end prochain. Après vingt ans de vie commune, il est important de se ménager de temps en temps des petits plaisirs
Arrivé près de la maison, je me gare à distance pour qu’elle ne m’entende pas, bien décidé à lui faire la surprise. Tout est calme, le salon est éclairé ; elle doit sûrement s’y trouver. Je rentre par le garage, sur la pointe des pieds, et longe le couloir qui donne sur le salon, sans éclairer. La porte est entrebâillée. Je m’apprête à entrer quand je perçois des éclats de voix, ou plutôt des cris qui viennent de la pièce.
Je risque un œil dans la pièce, et découvre un spectacle qui m’immobilise sur place. Mon épouse est étendue sur le canapé, entièrement nue, et devant elle, me tournant le dos, un inconnu, nu également, qui, manifestement, est en train de la baiser.
Pendant une minute je reste figé, appuyé contre le mur, totalement abasourdi par l’incroyable scène. J’en ai le souffle coupé, les pensées se carambolent dans ma tête à me donner le tournis. Peu à peu, je retrouve ma respiration. Un sentiment de colère m’envahit. Sur le point de faire une entrée fracassante, je me ravise et jette à nouveau un œil dans la pièce, en repoussant légèrement la porte. Tapi dans l’obscurité du couloir, ils ne peuvent pas me voir.
L’homme, que je ne connais pas, doit avoir soixante, soixante-cinq ans, peut-être plus. De taille moyenne, plutôt mince, les cheveux blancs coupés courts, son visage ridé et les membres dégarnis évoquent clairement un âge avancé. Agenouillé devant mon épouse, il lui tient les jambes relevées et écartées et la pénètre avec une belle vigueur, en poussant des « han » de satisfaction.
Je suis sous le choc, n’arrivant pas à croire ce que je vois. Un curieux sentiment s’empare de moi mêlant la colère, la jalousie et l’envie. La scène est totalement surréaliste, et étrangement, me captive. Je regarde Anne-Laure, la tête sur le bord du canapé, les yeux mi-clos, sa chevelure brune rejetée vers l’arrière. Sa poitrine généreuse se soulève en cadence, secouée par les assauts énergiques de l’inconnu.
Mais qui est-il, bon sang, d’où sort-il ? Les questions se bousculent.
Comment mon épouse a-t-elle pu trouver du charme à ce vieux, et répondre ainsi à ses avances ? Quels atouts a-t-il pu mettre en avant pour la séduire, et réussir à gagner ses faveurs ?
A-t-il de l’humour, est-il doux et gentil, intelligent ?
Anne-Laure partage ma vie depuis plus de vingt ans, elle a été une mère de famille dévouée et a toujours rempli son devoir conjugal sans rechigner, mais sans plus, le sexe n’étant pas sa priorité. J’ai bien tenté quelques fois de pimenter nos ébats, mais sans succès.
Ce que je découvre là me laisse pantois. Elle semble prendre son pied la garce ! Sacré surprise !
- Ouiii… ouiii… Antoine ! Vas-y plus fort, l’encourage-t-elle.
- Tu me sens bien, ma belle ? Tu aimes, hein ?
- Ohhh… Antoine… oui…
Ce nom d’Antoine me dit quelque chose… Bien sûr ! C’est un retraité qui travaille aussi comme bénévole dans la même association que ma femme. Il lui téléphone effectivement de temps en temps à la maison et il l’a emmenée quelquefois à des manifestations. Elle m’a déjà parlé de lui, le présentant comme un homme sympathique et convivial.
Je me demande soudain si leur liaison dure depuis longtemps. Alors que je culpabilise à chacun de mes déplacements, peut-être en profite-t-elle pour se faire sauter par ce vieux. La colère gronde en moi à la pensée qu’il l’a peut-être déjà baisée ici, pendant mes absences, ou dans les locaux de leur association. Tétanisé, je continue d’observer passivement la scène.
L’homme se retire, en invitant Anne-Laure à se relever.
- Viens goûter notre petit ami, lui dit-il, il est chaud bouillant.
Le changement de position me permet de découvrir son anatomie, que sa position me cachait jusque là. Son corps n’est pas celui d’un Apollon, loin s’en faut, il paraît même bien fatigué par les années, à en juger par les plis de sa peau. Mais au milieu de la toison pubienne, d’un blanc immaculé, se dresse une verge de belle taille, longue et épaisse, terminée par un gros gland lisse.
Un sentiment de jalousie m’envahit un instant car la comparaison n’est pas flatteuse pour moi. Je comprends mieux maintenant l’intérêt de ma femme, car il est effectivement bien membré et démontre une belle vitalité.
Anne-Laure s’agenouille devant le sexagénaire.
Consterné, je la vois saisir le membre érigé à pleine main, refermant ses lèvres sur le gland turgescent. Elle le suce délicatement, faisant tourner sa langue autour du bourrelet, puis se met à le pomper activement, les lèvres glissant sur la tige de chair, l’avalant presque totalement, faisant gémir son amant de plaisir.
- Oohhh, c’est bon… souffle-t-il. Ouiiii… Vas-y, suce-moi bien !
Bien sûr que c’est bon, car elle sait y faire, avec sa petite langue qui vous chatouille le gland. De nature réservée, bridée par une éducation rigoureuse, elle avait accepté tardivement la fellation dans nos relations, puis y avait pris goût, montrant rapidement de réelles dispositions.
Il y a longtemps qu’Anne-Laure ne m’a pas sucé de cette façon, avec un aussi vif plaisir. Je suis stupéfait par la gloutonnerie qu’elle montre à avaler le sexe de cet homme, le visage collé à son bas-ventre, tandis qu’il lui caresse les cheveux. La bite disparaît presque complètement dans la bouche affamée.
Complètement hypnotisé, je regarde ma femme lécher le sexe du retraité, avec une rare gourmandise, passant et repassant sa langue le long de la verge, lui prenant les bourses dans sa bouche et suçant les testicules tandis que ses mains courent sur les fesses et les cuisses nues de son amant.
- Tu es bien dur, mon chéri, dit-elle, en le branlant vigoureusement. Tu aimes ?
- Oh oui, c’est bon, continue comme ça !
L’homme grimace de plaisir en regardant ma femme, déchaînée, s’activer sur sa bite qui se dresse fièrement. Je découvre une facette de ma femme que je ne connaissais pas, et bizarrement cela m’excite beaucoup. Tout autre mari, à ma place, aurait fait irruption et bouté le malfaisant hors de la maison, avec pertes et fracas. Mais la vision de mon épouse engloutissant le sexe d’un autre homme m’excite et je n’ai pas envie de l’interrompre. Serais-je un pervers qui s’ignore ?
- J’ai envie de toi ! dit Antoine en se dégageant de la bouche affamée de mon épouse.
Et il l’aide à changer de position. Anne-Laure me tourne maintenant le dos, agenouillée sur le canapé, les bras posés sur l’accoudoir, les jambes écartées. Je la regarde avec envie, admiratif de sa quarantaine épanouie, de ses courbes généreuses qui damneraient un saint. Antoine s’est approché et pose ses mains noueuses sur les fesses rebondies, pressant la chair tendre et souple, puis les écarte, dégageant largement la vulve bombée.
- Tu as vraiment un beau cul, tu sais ! s’exclame-t-il en la caressant.
Le salaud ! J’aurais payé cher pour être à sa place à cet instant, mais ce n’est pas moi qui profiterai cette fois-ci de ce cul superbe. Je me contente de savourer la vue sur cette croupe généreusement offerte. L’effet de surprise passé, la colère a disparu, cédant à la place à une excitation grandissante ainsi qu’en témoigne le durcissement de mon sexe. Ils ne sont qu’à quelques mètres de moi, j’entends et je vois parfaitement tout ce qu’ils font.
Il s’agenouille, et du plat de sa langue lèche voluptueusement les lèvres roses, brillantes et humides qu’il tient écartées de ses doigts.
- Hum… ça sent bon ! dit-il entre deux passages.
Sa langue fouille activement la chatte offerte, s’introduisant dans l’orifice trempé.
- Qu’est ce que tu mouilles, dis-donc ! J’adore les femmes qui mouillent comme ça.
C’est vrai qu’Anne-Laure mouille beaucoup, surtout quand on lui lèche longuement le clitoris, lequel grossit alors dans des proportions assez incroyables. L’homme a dû d’ailleurs le trouver car il s’exclame à nouveau :
- Waouh… quel clito ! Hum… hum… c’est bon !
La tête en arrière, ma femme se cambre de plaisir sous les titillements de la langue qui fouille allègrement son intimité, lui agaçant son petit bouton nacré. Elle gémit doucement quand Antoine lui pince le clitoris entre ses lèvres, et le branle délicatement.
- Qu’est ce que j’aime ta chatte, ma chérie !…
- Oohhh… Antoine… Oui… Continue, c’est bon !
La tête enfouie entre les fesses, il la lèche longuement, glissant doucement le long de la raie, titillant de la pointe de la langue la petite rosace brune et plissée. Anne-Laure, très sensible à ces caresses, répond en ondulant voluptueusement du bassin.
Le retraité se relève, pose un genou sur le divan, caresse la croupe nue et rebondie, puis guidant d’une main son sexe bien raide, il pénètre mon épouse, s’enfonçant lentement jusqu’à la garde. J’imagine aisément ce qu’il doit ressentir en glissant dans ma femme. Anne-Laure a gémi pendant la plongée du membre durci dans ses chairs, tandis que je sens naître en moi un sentiment de jalousie et d’envie mêlées.
- Qu’est ce que t’es bonne… souffla-t-il. Humm… tu es douce !
À petits coups de rein, l’homme fouille le ventre chaud et accueillant de sa partenaire. Cela doit être efficace à en juger les cris de plaisirs qui fusent au rythme de la verge. Les mains accrochées aux hanches de mon épouse, il enchaîne des va-et-vient réguliers, plongeant sa bite gonflée dans l’étui douillet que je connais si bien.
- Ohhh… Ohhh… oui… Tu es dur ! Je te sens bien ! s’exclama mon épouse.
- J’ai envie de toi, dit-il… je veux te prendre.
- Ahhh, ahhh… Oui… Vas-y mon chéri ! Ahhh… prends-moi bien fort !
- Ohhh… Je veux te baiser !… Je te baise !
Je suis fasciné par le spectacle de ce vieil homme qui baise ma femme chez moi, à une cadence soutenue, lui tirant des cris de plaisir qui résonnent à mes oreilles comme autant d’aiguillons. Le claquement des cuisses contre les fesses nues rythme les soubresauts de son corps secoué. D’une main, il tient Anne-Laure par la hanche, et de l’autre il lui caresse la poitrine, passant d’un sein à l’autre, pressant les globes lourds et fermes.
- Tu as de sacrés melons… Ça c’est du nichon !
Je me rends compte que j’ai à mon tour une superbe érection. Je dégage ma verge du pantalon et commence à me masturber doucement.
Les seins généreux d’Anne-Laure ballottent sous les coups de boutoir du retraité, lequel alterne les rythmes rapides et lents, fouillant profondément l’intimité abandonnée à son désir.
- Ouiii ! Antoine !… Je te sens bien !
- Qu’est-ce que tu es bonne, nom d’un chien !
- Ahhh ! Oui, viens, prends-moi fort ! Baise-moi !
- Oohhh… J’aime te baiser ! J’aime ta chatte, elle est douce !
- Aouhhh !… Oui… Baise-moi bien !
Je n’en crois pas mes oreilles. Jamais Anne-Laure ne s’exprime comme cela pendant nos rapports. Je découvre une autre personne, au langage cru, presque grossier, qui la rend terriblement excitante.
Mon regard ne peut se détacher de ce sexe qui défonce ma femme en la faisant crier de plaisir. Le membre plonge en elle complètement, disparaissant de ma vue, et je l’imagine fouillant l’intérieur des chairs délicates.
- Ahhh… Oouh… Tu es une sacré salope ! s’écria Antoine
- Ouiii… J’aime quand tu me baises, Antoine !
- Et ton mari, il ne te baise pas ?
- Si, mais c’est pas pareil. Ça fait longtemps maintenant, on est habitué. Cela ne me fait plus grand chose !
- Ah… Ta chatte est bonne, nom d’un chien ! répétait-il. J’aime ta chatte… Je vais te bourrer petite salope !
- Oui… Baise-moi ! Bourre-moi bien fort, Antoine !
Je suis vraiment étonné de sa résistance, et de l’énergie qu’il déploie à la tringler. Par moment il sort son sexe complètement du vagin avant de replonger à nouveau, très lentement. Sa verge paraît avoir encore gonflé, et quand le gland, énorme et rouge, force la vulve, Anne-Laure pousse des cris de contentement. Tout en la pilonnant avec régularité, il lui caresse doucement l’anus avec son index, après y avoir déposé un long filet de salive.
Consterné, envieux, je comprends qu’il va bientôt profiter du « petit trésor » comme elle dit, qu’elle m’a toujours refusé, malgré mes nombreuses demandes. Lentement il enfonce son doigt dans le petit orifice, tandis qu’Anne-Laure se cambre légèrement. Il le fait aller et venir, assouplissant ainsi la petite rosette. C’est bientôt deux puis trois doigts qu’il introduit dans son intimité, la fouillant fiévreusement. Celle-ci gémit de plus en plus, totalement abandonnée aux caresses de son amant.
Quelle salope !
- Oohhh… Antoine… Ouuhh ! C’est bon ! souffle-t-elle.
- Dis-donc, ton petit trou est bien souple ! On doit y passer souvent, non ?
Elle ne répond pas, se contentant de hocher la tête en signe de dénégation.
- Ah bon… dit-il étonné. Pourtant j’aurais juré le contraire !
Consciencieusement il lui doigte l’anus, avec des petits mouvements de moulinet.
- Aouhh… Ouiii… Ahhh, Antoine !
Les doigts accélèrent, sous les cris d’Anne-Laure qui ondule sa croupe de plus en plus, les reins cambrés, la tête en arrière.
- Ouiii… Ouiii… Ouuhh Antoine !
- Voyons cela de plus près ! dit-il en dégageant son sexe du vagin et en le mouillant de salive.
Puis il l’appuie sur la rosette plissée, et je vois le gland presser les chairs, et lentement disparaître dans l’orifice, tandis que ma femme pousse un cri de douleur et de plaisir mêlés. Le sexe d’Antoine est d’un bon diamètre, et la pression pour Anne-Laure doit être très importante. Il s’arrête, la laissant s’adapter, puis reprend sa lente plongée dans les profondeurs les plus intimes de mon épouse.
- Ahhh… Nom d’un chien, quel cul ! s’exclama-t-il après l’avoir pénétrée totalement. Qu’est-ce que c’est bon !
Il se retire lentement puis la pénètre à nouveau, s’enfonçant cette fois-ci d’un seul coup, qui fit de nouveau hurler Anne-Laure.
- Aaaahh… Oooouhhh ! crie-t-elle, tandis que la verge du retraité s’enfouit en elle, plongeant vers les trésors cachés.
- Ohhh… quel cul ma belle, c’est pas croyable ! crie-t-il en la bourrant maintenant avec vigueur. Qu’est-ce qu’il est doux !
Pendant de longues minutes le sexagénaire la sodomise, n’hésitant pas à lui claquer les fesses, ce qui a l’air de lui plaire.
- Et dire que tu n’as pas laissé ton mari te baiser le cul,… Un cul comme celui-là !
- Ohhh… Ouiii… Ouiii ! Ohhh… Antoine !
- Oui, jouis ma belle, vas-y ! Jouis !
- Ouhhh… ouhhh, c’est bon… Baise-moi, Antoine, baise-moi… !
Les cris de jouissance de mon épouse résonnent dans ma tête, et je la contemple, fasciné par le membre long et épais qui va-et-vient entre ses fesses rebondies. L’excitation du retraité est à son comble et il lui martèle le cul avec une vigueur incroyable.
- Allez, jouis… ! crie-t-il. Vas-y, jouis de ma bite !
Tout cela me paraît complètement irréel. Le claquement de ses cuisses contre les fesses de ma femme à chaque pénétration résonne à mes oreilles, et m’excite encore plus.
- Tu aimes que je te prenne par le cul, hein ? Tu aimes ?
- Oui Antoine, j’aime ça… C’est trop bon !
Ma queue est dure comme elle ne l’a plus été depuis longtemps.
Un grand cri résonne soudain dans le salon, et je comprends que le retraité vient de jouir, profondément planté dans le cul de ma femme.
- Putain, que c’est bon !
Il s’est cambré, les yeux fermés, et la pilonne violemment, en la tenant fermement par les hanches. J’imagine la semence qui fuse en jets saccadés, inondant l’intimité douillette qui l’a accueillie. Dans la foulée Anne-Laure a crié également, son corps secoué de soubresauts, témoin d’un orgasme particulièrement intense.
Leur jouissance provoque la mienne et j’éjacule en silence dans le couloir obscur, maculant le mur de mon sperme brûlant. Mon orgasme a été particulièrement fort, et je reprends mon souffle peu à peu, le front mouillé de sueur.
Après s’être longuement vidé les couilles au fond de son rectum, le retraité s’est affalé sur le dos d’Anne-Laure, son sexe toujours planté entre ses fesses, en la caressant de ses mains noueuses.
- Ohhh Antoine, dit-elle, c’était bon, tu sais !
- Oui ma chérie, c’était bon… j’aime te baiser, tu es vraiment bonne !
- Antoine…
La tension retombe lentement.
Sans bruit, je fais demi-tour et sors par le garage, laissant les deux amants à leur soirée qui n’est sans doute pas finie.
J’ai du mal à réaliser ce dont je viens d’être témoin. Ce n’est pourtant pas un rêve, et je vais devoir m’y faire. Je réalise que je suis vraiment cocu, mais un cocu content, content que sa femme soit bien baisée.
J’arriverai demain, comme prévu, des idées plein la tête, bien décidé à redécouvrir mon épouse, à profiter de ses nouvelles dispositions.

Bientôt Noël..... Et des soirées chaude de cocus...

Un Dimanche de brèves

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 Ethno-gay....   
En touriste.....

Pakistan
Partie en voyage organisé dans les montagnes du Nord Pakistan, je me suis retrouvé avec deux couples, je suis le plus jeune (18 ans) et le seul célibataire du groupe.
Seul le soir, quand mes compagnons de voyage allaient se coucher, je restais à discuter avec Iles le guide qui m'explique les coutumes du pays, et aussi la difficulté de posséder une femme.
Après plusieurs jours de route magnifique nous avons fais halte dans un village de montagne qui cultive des abricotiers. Rachid notre guide nous propose d'aller visiter des sources d'eau chaude le couples préfère rester se reposer.
A 6 heures je suis devant le 4*4 prêt à partir. Après trois heures de route cahoteuse nous arrivons devant un petit canyon désertique. Rachid m'entraîne dans un sentier qui longe la paroi de la montagne jusqu'à l'entrée étroite d'une grotte.
Nous parcourons a la lumière d'une torche un labyrinthe de galeries pour arriver dans une grande salle ou une fissure au plafond laisse entrer un rai lumière légèrement bleutée qui se reflète dans de grandes vasques de calcaire remplies d'eau fumante, c'est magnifique. Je me mets en tenue pour me baigner, et saute d'une vasque a l'autre, et m'allonge dans la plus chaude.
J'entrevois Rachid qui tourne en rond, je luis demande de me rejoindre, un large sourire éclaire son visage. En quelque seconde il est nu, un long sexe pend entre ces cuisses, j'ai du mal à détacher mon regard de ce sexe. Il le prend dans sa main, qui glisse sur sa hampe le secoue, je me sens rougir et détourne les yeux.
Il vient s'allonger contre moi, prend ma main et la pose sur son sexe, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe, surpris je la retire prestement. Il la saisit et la repose sur sa queue d'un geste ferme.
Je me redresse, j'enjambe la margelle de calcaire, je ne sais quelle galerie prendre pour fuir, j'en prends une au hasard, après quelques mètres il fait tellement sombre que je suis obligé de m'arrêter je me sens pris au piège.
Je me retourne, il est là, devant moi furieux, le sexe tendu, il s'approche de moi. D'un geste vif, il déchire mon slip et jette au loin. Il me gifle violemment, et me pousse violemment en travers d'un monticule de calcaire, le contactede la pierre lisse et froide sur mon ventre me fait frissonner.
Ces mains appuient sur mes fesses, les écartent. Sa tige dure et brûlante monte et descend dans ma raie. Affolé, je rue. Je lui demande d'arrêter. De me lâcher. Un fer rouge envahis mes reins, j'ai le souffle coupé, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.
J'essaie d'échapper à cette tige d'acier qui déchire, ma rondelle. J'hurle:
- Arrête ! Arrête ! Arrête ! Je n'ai jamais fait ça
Ces mains agrippent mes hanches, par petites bourrades, il enfonce non étroitesse. En affirmant !
- Détends toi ! Et ça ira tout seul !
D'une brusque poussée, il enfonce son tison au fond de mes reins. J'hurle comme une bête:
- Pas ça !
J'ai l'impression de m'ouvrir en deux. De grosses larmes roulent sur mes joues Je lui cris
- Arrête ! Tu va trop profond !
Je ne pense qu'a cette tige chauffée au rouge, plongée dans mes reins. Sans s'occuper de mes plaintes.
Doucement il commence à aller et venir, à chaque aller retour, je ne peux m'empêcher de pousser des HHHHOOOOOOO ! HHHHAAAAAAAA !
Pour son plus grand plaisir.
Il proclamait:
- C'est bon ! Tu la sens bien !
Ses mains appuient sur le bas de mon dos m'obligeant à me cambrer, il quitte mon rectum, et d'un coup s'enfonce jusqu aux couilles.
Brisé, dominé, je le laisse me sodomiser de toute sa longueur, me faisant pousser de longues plaintes. Apres de longues minutes de se traitement, mon rectum n'offre plus de résistance, son pieu coulisse de toute sa longueur, je n'ai plus la force de me lamenter.
Une douce chaleur envahie mes reins, descend dans mes couilles, le plaisir me secoué de spasmes je joui, avec violence mon anus se rétracte sur son pieu.
Je suis Effaré, complètement anéantit. Je l'entends clamer:
- Ca te plais ! Je me doutais que tu aimerais te faire enculer ! Tu as un beau cul.
Il retire sa queue de mes reins, la fait coulisser entre mes fesses, il grogne et sa liqueur brûlante se repend sur mon dos me fesant jouir. Sans un mot il m'entraîne dans la salle ou son nos effets, il lave sa queue,.
Désappointé je le regarde faire. Il se retourne vers moi.
- Va te laver le cul ! Et viens me sucer !
Comme je ne bouge pas donner il me donne un claque sur les fesses. Je saute dans une vasque d'eau tiède qui fait le plus grand bien a ma rondelle, qui a déjà tout oubliée de se mauvais traitement
Il attend que j'ai finis, me voyant hésiter a sortir, il sourit, s'approche de la vasque d'une main il prend ma nuque fermement et de l'autre sa queue qu'il porte a mes lèvres. J'ai des hauts de cours son gland appuie sur mes lèvres, écrasé mes dents. - Ouvre ! et suce !
Malgré ma répugnance, j'ouvre la bouche son gland envahie ma gorge.
Passe ta langue sur le gland et branle moi avec ta main. Tu suces comme un con ! - Applique toi !
Il prend ma tête entre ces mains, il se serre de ma bouche comme il s'est servit de mon cul. Il ne tard pas a jouir et me force à tout avaler.
- Tu as mal au cul ?
- Un peu
- Viens je vais te passer un baume à base d'opium, met toi à quatre pattes et écartent tes fesses avec tes mains que je vois bien ton petit trou.
Il enduit ma rondelle de baume me la masse doucement, la caresse est tres agréable, il introduit son index joue avec l'élasticité de ma rondelle avec son pouce ça me fais bander.
- Ca te plait de faire titiller la rondelle ? Tu gueule plus, au secour ! Au secour ! Au secour !
Mortifié ne pouvant cacher ma bite toute raide je bredouille.
- Mets toi a quatre pattes pour que je t'encule.
Docile je prend la pose, Je sens son gland dur pousser sur ma rondelle qui s'ouvre,il me sodomise longuement avec méthode me faisant jouir plusieurs fois et se répand sur mes reins.
Quand nous remontons à la surface le chauffeur est en colère, il trouve que nous somme resté trop longtemps dans deux heure il va faire nuit et que s'est dangereux de conduire.
Rachid lui parle en arabe, plaque sa main sur mes fesses et introduis son index dans ma raie. Rachid monte à l'arrière. Le chauffeur me sourit ouvre ma porte et au passage enfonce son index juste sur ma rondelle me fesant pousser un petit cris de surprise.
Nous n'avons pas fait dix kilomètres que le chauffeur me prend la main et la pose sur son burnous je sens son sexe dur et chaud. Il le dégage, il est nettement moins long, mais plus épais que celui de Rachid, il me fait signe de le sucer je ne bouge pas bien décider a ne pas me laissé faire.
Il m'attrape pas les cheveux d'une main et pose mes lèvres sur sa bite, je serre les dents, il tire sur mes cheveux fermement jusqu'a ce que j'engloutisse ça bite, a chaque bosse sa bite s'enfonçait au font de ma gorge. Une bosse plus grosse que les autre nous fit faire un écart il lâcha mes cheveux je profitais pour me redresser. Rachid me dit:
- C'est un ami,
- J'aime pas sucer ça m'écoeure.
- Lui aussi na pas de femme.
Le sexe toujours raide le chauffeur se gare sur le bas coté de la piste descend et ouvre ma portière noue son burnous ne laissant aucun doute sur ces intentions, il me pousse le dos sur la longueur de la banquette j'essais de résister il agrippe mon pantalon, un peu aidé par Rachid il parvient le déboutonner et a le tirer a mi cuisse mon slip étant resté j'ai les fesses et le sexe a l'air.
Le dos bien callé contre le siège je me sens en sécurité, je suis surpris quand le chauffeur tire mes jambes les relèvent les poses sur ces épaules et que son gland écrase ma rondelle, ça me fais bander.
Il me sodomise et me branle en même temps je ne tarde pas a jouir, pendant qu'il m'asperge le visage de sa liqueur. Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits que Rachid me retourne et me sodomise allant au plus profond de moi son gland bouscule le fond de mes reins.
Le chauffeur profite de la situation pour enfoncer et faire aller et venir sa bite dans ma bouche, je sens sur ma langue une liqueur acre envahir ma bouche, le gland se gonfle et s'enfonce au fon de gorge me forçant a tout avaler.
La bouche pleine de se goût acre, les lèvres écartelées, les profondeurs de mon rectum martelé par cette long queue je joui une nouvelle fois.
Je suis au bord de l'évanouissement quand Rachid me fais pivoté et enfonce ça queue on fond de ma bouche passe ma huette son gland décharge sa semence et me force a déglutir jusqu'à la dernière goûte.
Nous somme rentrés tres tard dans la nuit.
Le voyage ne viens que de commencer cela est une autre histoire.
Apres cette journée aux sources d'eau chaude, je suis plus tout à fait le même je regarde toujours les filles, mais je ne peu m'empêcher de regarder le bas du ventre de certains hommes.
Je remarque dans les rues le regard de certains hommes, pendants la visite des souks des mains me caressent les fesses, dans les endroits bloqués par la foule des doigts s'insinuent dans ma raie, certain en profitaient pour presser leur sexe entre mes fesses ou contre ma cuisse.
J'avais peur que les personnes avec qui je voyage remarquent quelque chose.
Tous ces attouchements me troublaient, parfois me faisaient bander, partagé par un sentiment de honte et un plaisir d'être sollicité, de faire naître du désir.
De retour a Islamabad Rachid nous dit qu'il y a un Hamann a l'hôtel mais que s'est mieux d'aller a ceux qui sont en ville. Il va chez des amis qui habite près d'un Hamann pour manger, qu'il peut emmener et ramener tous les homme qu'ils veulent y aller, qu'il part vers 19heures.
Je suis le seul vouloir y aller, Rachid me dépose devant l'entrée et me donne rendez vous à 22 heures à la fermeture.
Le hamam est très beau, les murs sont recouverts de mosaïques, Je suis accueilli par un homme qui me tend une serviette et me montre une cabine quand je sorts la serviette nouée autour de la taille, il prend mes affaires les posent dans un casier et me temps un élastique avec un numéro et me montre comment le mettre autour de mon poigner et me désigne un escalier.
En bas il fait très sombre l'ambiance est feutré, la douche est collective un homme nu se lave, embarrassé j'ôte ma serviette et je me douche.
L'homme me regarde étonné sans de voire un touriste. Il se passe de l'huile sur le corps, surtout sur ces très gros testicules, sur son sexe long et épais me provoquant d'un clin d'oil.
Embarrassé je me dépêche et me dirige dans un couloir qui me conduit dans une salle entourée de bancs en marbre, au milieu il y une table aussi en marbre ou un homme en masse un autre avec un gant de crin.
Je continue l'air est plus humide je passe devant une porte vitrée ou on aperçoit des ombres noyées dans la vapeur. Je continu et j'arrive dans une salle avec des banquettes remplies de coussins un home allongé sirote un thé. A l'évidence je suis le seul touriste ce qui me crispe un peu.
Je retourne au haman et m'installe dans une alcôve on ne voit que des ombres, il y a un feulement qui me fait tourner la tête, une main puissante empoigne mon poignet, mes doigts entrent en contact avec une bite dur et tendue, je me dégage et sort.
Se n'est pas la première fois qu'un me prenait la main et la posait sur son sexe, ce qui ne laisse aucun doute sur ces intentions, j'ai fais une tentative décevante, le type m'à enculé a joui rapidement et il est parti. Je n'ai rien ressenti et pris aucun plaisir, je ne voulais pas recommencer.
J'arrive à escalier, l'homme de la douche me barre le passage je ne comprends pas ce qu'il dit, son corps huilé fait ressortir ces muscles. Dominateur il dénoue sa serviette dévoilant deux énormes couilles, surmontées d'une bite raide et noueuse avec un gland qui trône nettement au dessus de son nombril.
Ahuri, je regarde effrayer ce sexe complètement rasé, dressée comme un i. Il profite de ma stupeur, pour me plaquer fermement contre le mur, sa jambe glisse entre mes cuisses les écartent, son index s'enfonce brutalement dans mon anus. Sa main remonte m'obligeant à me hissé sur la pointe des pieds, il arrache ma serviette, me pousse en grondant jusqu'à la table de massages déserte.
Je résiste, mes mains glissent sur son corps huilé
Il me prend fermement mes couilles et les serrent pose ma main sur sa bite, mes doigts instinctivement se referme sur ca hampe. Cela le fait sourire. Des que mes doigts quittent sa bite, il m'écrase les couilles et serre jusqu'à ce que mes doigts entourent de nouveaux ca bite.
Il me regarde droit dans les yeux et enfonce son pouce, me titille l'anus, me faisant comprendre ces intentions
Je lui fais « Non » de la tète, effrayé par ce sexe énorme.
Il est arrogant et vindicatif, il me plaque sur la table, paniqué je me débats son corps huilé rend la lute inégal ces mains écrasent mes reins, écartent mes fesses ca bite remonte dans ma raie son gland pousse sur ma pastille et glisse dans ma raie.
- J'hurle non ! Non ! No ! No ! Non ! Tu es trop gros ! Non !... Tu me fais mal ! Arrête ! Arrête ! Haaaaiiiiiiiieee ! haaaaiiieee ! »
Il recommence plusieurs fois. Devant ma résistance, il me lâche soulagé, je me redresse. Il se précipite sur moi fou de rage, me bloque contre le mur en rugissant, relève mes cuisses je sens le gland sur ma rondelle.
Je le griffe, tambourine de mes poings son torse. Je lui cris:
- T'est trop gros ! Not ! Not ! »
Ca l'excite. Il fait « oui »avec ca tête, relâche légèrement mes cuisses, ma rondelle sous la pression s'élargit à l'extrême, se rompt, son gland introduit, dans mes reins.
J'hurle, Je m'accroche à son cou, glisse sur se corps huilé, millimètre, par millimètre je m'empale sur son mandrin jusqu'aux couilles. J'ai le souffle coupé, des larmes coulent sur mes joues. J'ai l'impression que mes fesses vont se séparer.
Il parait satisfait, sourit
Il soulève mes fesses et me fait coulisser sur son pieu de chair avec vigueur.
Mes bras brassent l'air Sans s'occuper de mes cris Il me trimbale jusqu'à la table, mon dos entre en contact avec le marbre froid, il relève mes jambes les posent sur ces épaules tout en me sodomisant de plus belle.
Je n'ai plus la force de lutter, de crier, je sui pris d'un plaisir masochiste je bande honteux, de ne pouvoir cacher le plaisir qui monte en moi.
Ca le fait sourire sa bite quitte mes reins il me retourne, me place en travers de la table. Dompté je laisse ses mains écarter mes fesses, ma pastille n'offrant plus de résistance il m'encule toute sa longueur à grand coup de butoir bousculant tout sur son passage au plus profond de moi. Tout mon cul se ramollit, s'ouvre à ce pieu qui me pistonne les reins le plaisir monte en moi et je joui en longues saccades.
Satisfait il quitte mes reins me laissant le cul ouvert, et sans force, il fait le tour de la table prend ma tête dans ces mains enfonce ca bite entre mes lèvres, son gland empli toute ma bouche me faisant mal aux jointures.
Un jet puissant et abondant envahie ma bouche surpris j'éructe du sperme sort de mes narines, et aux jointures des mes lèvres distendues, il enfonce son gland au-delà de ma glotte m'obligeant à déglutir ca liqueur jusqu'à la dernière goutte.
Il bredouille des mots incompréhensibles, je ne peu m'empêcher de toucher ma rondelle brulante et débridée, il claque mes fesses le sourire aux lèvres et disparaît.
Je reste un long moment engourdi, le cul éclaté, fataliste je me dirige vers la sortie ou Rachid m'attend.
- Il me regarde en souriant, ca ta plus ? Tu as fait la connaissance de mon cousin
Je comprends qu'il tout organisé.
Le voyage n'est pas fini.

  Ethno-gay....  
En touriste... Ou en famille



LE PERE DE FADILA
Je vis avec une Africaine.
Sa famille habite en France depuis plus de trente ans. Fadila (c'est son nom), travaille dans une usine de conditionnement et moi dans un magasin de lunettes. Un jour où je rendis visite à ses parents, la mère me dit qu'elle avait un problème avec son mari.
Il était dans la chambre. Elle me prit par la main et me conduisit jusqu'à lui.
La pièce était sombre mais je pouvais le voir, nu, au pied du lit.
- Il veut que je le suce... dit-elle, les yeux baignés de larmes.
Elle m'avait pris par les épaules et m'avait poussé vers lui.
- Je suis fatiguée, je n'en peux plus... Larmoya-t-elle, en pesant doucement sur mes épaules.
Une fois à genoux, un sinistre "Merci" me fit ouvrir la bouche. Le père, empoignant sa grosse bite noire, la glissa entre mes lèvres.
La mère s'agenouilla derrière moi et ses doigts dégrafèrent la ceinture de mon pantalon. Elle le baissa, et fit de même avec mon slip. Puis, soulevant mes genoux, un par un, elle me débarrassa de ces vêtements.
La bite noire sortit de ma bouche et la mère, saisissant mes épaules, me fit faire un demi-tour. Appuyant de nouveau sur mes épaules, elle me fit mettre à quatre pattes. Le père s'agenouilla derrière moi et posa une main chaude sur mon cul et me caressa longuement, s'insinuant entre mes cuisses, soupesant mes couilles et prenant ma bite à pleine main. Il promena un doigt, puis sa bite le long de ma raie, poussant un peu pour que le gland s'introduise entre les fesses.
Avec deux doigts, il les écarta et posa le gland sur mon trou. Il me demanda de cracher dans sa main et me badigeonna l'anus avec ma salive. Il poussa très doucement sa bite dans mon cul, millimètre par millimètre. Je la sentais qui entrait inexorablement et il me semblait qu'elle était longue, longue...
Exaspéré par la lenteur de la sodomie, d'un violent coup de reins vers l'arrière, je m'empalais sur le gros membre du père de Fadila…
Après que le gland eut passé l'anneau serré de mon cul, le père de Fadila enfonça sa bite d'un violent coup de reins. J'ai hurlé de douleur. Il s'est accroché à mes hanches et je voyais ses grosses mains noires et puissantes qui attiraient mon bassin vers son pubis avec une force inouïe.
Sa bite déchirait mon anus et mes fesses heurtaient ses cuisses bruyamment. Plus ses coups de boutoir s'accéléraient, plus sa bite grandissait. Il me semblait qu'elle s'enfonçait toujours plus loin. A un moment, j'ai même cru qu'elle avait heurté le fond de mon cul.
Quand il a éjaculé, il s'est enfoncé avec plus de force encore. A tel point que j'ai cru que ses couilles aussi allaient rentrer. Puis, le sperme a coulé. Abondant, chaud, épais. Ca ne s'arrêtait plus. Mon cul était rempli de sperme. Il se retira enfin, lentement. On aurait dit un tuyau qu'on m'avait enfoncé dans le cul, puis ressorti.
- Le Mercredi, je sais que Fadila va à l'école des enfants. Maintenant c'est moi qui viendrais chez vous. J'arriverai à 15 heures pile. J'aurai la clé et toi, tu seras à poil, à genoux au bord du lit, les bras en croix sur la couette. Je sortirai ma bite et je t'enculerai.
Dans la nuit du Mardi précédant la visite de mon beau-père, j'ai baisé ma femme comme jamais. Elle était en folie. Après son départ pour l'école, j'avais toujours la trique. Je me suis mis à poil et j'ai déambulé comme ça jusqu'à l'heure du rendez-vous.
J'étais en position depuis une demi-heure quand j'ai entendu la clé dans la porte. Je me relevai pour lui dire bonjour quand mon beau-père dit :
- Ne te retourne pas ! La prochaine fois, tu porteras ça, dit-il en me lançant un masque noir. Un de ces masques qu'on vous donne dans les avions pour dormir.
- Il est possible que je prête la clé à des amis......... J'ai apporté ça aussi pour toi ! C'était un coussin de cuir gonflable. Il me fit lever, le posa devant moi et le gonfla. Il me pencha dessus et ajusta le gonflage. Mon cul était maintenant à hauteur de sa bite.
- Ecarte tes fesses avec tes mains ! Ordonna-t-il.
De nouveau, il me fit cracher dans sa main. De nouveau, il se lubrifia la bite avec ma salive et de nouveau, il s'enfonça dans mon cul.
- Tu seras obéissant avec mes invités quand ils viendront, sinon je te baiserai devant ma fille.
Et c'est comme ça que des tas de bites noires pénètrent mon cul le Mercredi.

Autour d'un thème Domincal..

Au taf

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Des fois c'est entre collègues de boulot 
qu'on s'entend le mieux!!!... Non?..

Mes Histoires. INEDITE. On the road..!

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Les voyages forment la jeunesse...

On the road !!!
Épisode I
Mes chers parents,
De là ou vous êtes, vous devez certainement me voir entrain de débarrasser tous vos papiers et votre appartement. C’est dur, très dur. Vous me manquez les deux. Terriblement. Surtout toi maman.
Encore plus dur quand je suis tombé sur un vieux paquet de lettres et que j’ai reconnu mon écriture de gamin et les timbres sur les enveloppes. Des timbres de France, de Grèce, et de beaucoup d’autres pays. C'est vrai que j'ai beaucoup voyagé.
C’est incroyable que vous ayez gardé toutes ses lettres.
J’ai retrouvé aussi celles de mon premier voyage. Deux mois complets en voiture avec Jean-Yves et Bernard à sillonner l’Europe autour de la Méditerranée. Un long périple. Mon premier. Cela vous a coûté de me laisser partir seul avec eux. Pourtant j’avais dix sept ans. Mais c’est vrai que l’on me les donnait pas. Toujours obligé de monter ma carte d’identité. Le temps passe vite. Déjà plus de vingt cinq ans.
Il a fallu que je bataille ferme pour obtenir votre accord. Et Jean-Yves et Bernard sont venus dix fois vous expliquer qu’il n’y avait pas de danger. Qu’ils prendraient soin de moi. Ils avaient quels âges à l’époque? Voyons. Bernard devait avoir dix huit et Jean-Yves presque vingt. Et en plus ils faisaient plus vieux que leurs âges. A cet âge là, un an c’est beaucoup. C’étaient et cela reste mes meilleurs amis. Des amis de toujours. Des amis de trente ans comme on dit aujourd’hui. Ils m’ont beaucoup aidé lors de votre accident. Sans eux j'aurais craqué car c'était insupportable dans ce cimetière.
J’ai dénoué la ficelle qui retenait les lettres de ce voyage. Elles étaient toutes là. Même celle d’Epidaure. Celle que vous avez reçu bien sur.
Vous vous souvenez?
Je vous avais promis de vous écrire très régulièrement pour vous rassurer. J’ai tenu ma promesse et toutes les semaines vous receviez de mes nouvelles. Des lettres naïves, enthousiastes, rassurantes, émerveillées, et malhabiles.
Bref, des lettres que pouvait écrire un jeune garçon timide et crédule quand il quitte ses parents pour la première fois et part à la découverte du monde avec ses deux meilleurs potes, plus âgés que lui.
De là-haut vous devez tout savoir maintenant.
Alors lisez celle ci. Elle remplace celle que vous avez reçu d’Epidaure.
“”.... Delphes, citée magique. Haut lieu touristique. Luminosité incroyable, à l’identique de la beauté à couper le souffle des vieux monuments accrochés aux collines?
Nous avons visité toute la journée les ruines sous un soleil de plomb, près de quarante degrés, et c’est complètement crevés, que nous regagnions l’auberge de jeunesse à la tombée de la nuit. Jean-Yves et Bernard sont passablement éméchés. Moi je n’ai pas du tout aimé le Retzina.
L’auberge est comme toutes les précédentes. Grouillante de jeunes de toutes les nationalités. Elle est pleine à craquer. Une convivialité juvénile et un esprit d’aventure partagés par tous les locataires.
Comme d’habitude, nous sommes vingt jeunes dans une petite chambre en sous sol, qui ne comprend que sept lits superposés, alignés perpendiculairement le long d’un mur crépis de blanc. Entre les lits, juste de la place pour mettre un duvet à même le sol.
Par miracle, j’arrive à avoir un lit. Bernard est obligé de coucher dans le couloir et Jean-Yves à l’autre bout de la pièce, à même le sol, uniquement protégé par son duvet. Il dort déjà. Faut dire que leur vin sucré lui a particulièrement plu.
La chaleur moite qui règne dans la pièce est étouffante. Mélange de sel, de sueur, de chaussettes, de chaussures, etc.... Tout le monde est en slip ou en maillot de bain. Les corps luisent sous une veilleuse qui éclaire faiblement la chambre.. Ça doit vraiment puer dans la piaule.
Mes voisins de droite et de gauches sont des nordiques. Le lit au dessus du mien est aussi occupé par un des gars du même groupe. Ils parlent bruyamment entre eux malgré l’heure tardive. Cela n’empêche pas les autres de dormir en ronflant. Nous sommes tous crevés à vouloir profiter pleinement de nos journées. Je suis assis sur le bord de mon lit. Seul français réveillé et fatigué, perdu au milieu de ce groupe de mecs d'Europe du nord. Ils ont en plus le physique de leur région. Grands, blonds, et toutes leurs dents bien blanches. Et en plus cheveux coupés en brosse. La totale quoi...
Il est très tard, peut être une heure du mat. Tous les autres dorment, à l’exception de mon groupe d’excités. Je n’ai pas sommeil non plus, malgré la fatigue de la journée. On voit assez mal car la veilleuse est à l’autre bout de la pièce.
Le seul type encore debout, s’est brusquement adressé à moi. Je n’ai rien compris. D’un haussement d’épaule, accompagné d’un sourire contrit, je lui fait part de mon incompréhension. D’un doigt, il me touche le torse et ensuite le pointe vers le lit au dessus du mien.
Le type ressemble à ces héros de film biens baraqués. Tout mon inverse. Il s’approche de moi et se colle contre le lit superposé. Ses bras font de grands mouvements sur la couchette du dessus. Assis sur la mienne, j ‘ai juste son slip à quinze centimètres de ma joue gauche.
Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment là. Impossible de regarder devant moi en ignorant cette promiscuité. Mes yeux se sont rivés à la bosse du maillot rouge. J’étais comme hypnotisé par le renflement rouge et ce qu’il laissait deviner.
Vous savez biens vous, mes chers parents, que malgré mes fanfaronnades, je n’avais aucune expérience sexuelle, à l’exception de mes branles nocturnes. J’étais puceau. Vraiment puceau.
J’étais terriblement troublé par cette bosse rouge que je voyais de profil. Impossible de ne pas imaginer ce qu’elle cachait. Le gars devait farfouiller dans son sac à dos. Cela ne l'empêchait pas de discuter avec ses potes couchés sur leurs lits trop petits pour leurs gabarits. Bien entendu je ne comprenais rien de ce qui se disait entre eux.
Très difficilement, j’ai pu détacher mon regard du maillot rouge serré sur le bassin et les fesses du mec. C’est alors que je me suis aperçu que les autres me regardaient avec des sourires ironiques.
Le type debout fit quelques pas latéraux vers moi. Pour lui faciliter le passage dans l’étroit couloir, j’ai largement écarté les jambes. A ma grande stupeur, il s’est arrêté entre elles. Je me suis reculé dans un mouvement de buste. Le gars a avancé son bassin au maximum en se cambrant. J’entendais les rires discrets de ses copains. J’avais la bosse à dix centimètres de mon visage. Parfaitement devant mes yeux et me bouchant tout autre horizon. C’était complètement fou. J’entendais les ronflements des autres occupants. Il m’a semblé que les nordiques se sont mis à parler moins fort brusquement.
Le mec debout entre mes jambes était immobile. Moi je n’osais pas bouger. Impossible d’ignorer cette bosse. On aurait dit qu’elle avait grossi. Je sentais l’odeur de sueur et de sel. Je voyais en gros plan le ventre musclé couvert de fins poils blonds, les friselis humides des poils du pubis qui dépassaient de la ceinture, les hauts des cuisses, musclés, épais, poilus, luisant de sueur.
J’étais tétanisé, mon cœur battant la chamade. Je devinais les contours très nets sous la bosse. La forme du sexe, sa taille, la grosseur du gland et des testicules. Je tremblais, mélange de curiosité et d’angoisse. Je devinais les regards des autres nordiques couchés a droite et à gauche de mont lit.
Pourquoi restait il autant de temps entre mes jambes comme ça?
Pourquoi ces mouvements de bassin qui rapprochaient sa bosse de mon visage couvert de sueur? Pourquoi ce silence brutal et ces grincements de sommier qui me laissent à penser que les autres se sont assis sur leurs lits?
A qui cette main qui m’attrape par la nuque?
Qui tire ma tête vers la bosse?
Mon visage qui se colle contre la bosse. L’humidité du tissu rouge. C’est chaud. C’est doux. J’ai le vertige. La bosse se frotte contre mes joues, ma bouche, mon nez. Sous le tissu rouge les chairs se gonflent. Je me laisse faire complètement tétanisé. Deux mains bloquent mon visage. Le bassin recule et libère un peu mon visage. La chaleur me manque.
Avec panique, je vois deux autres mains saisir l’élastique de la ceinture du maillot rouge ! Ce sont celles du mec d’en face. Elles écartent l’élastique du maillot et baissent lentement le slip de bain. Le type debout devant moi me maintient fermement le visage en se laissant déculotter. Le maillot s'arrête au milieu des cuisses.
Je dois crier! Faut tout arrêter! Je veux pas de la suite!
Mais au contraire, la promiscuité qui devrait me sauver et me tirer de ce cauchemar, me fait peur. Peur que d’autres voient, peur de réveiller mon pote Jean-Yves Peur que les nordiques me frappent. Peur de crier et de réveiller toute la chambrée.
Je panique complètement quand un sexe énorme me saute au visage. Droit, fier dont le gland déjà décalotté se pose immédiatement sur mes lèvres. Ça me brûle. Je brûle de l’intérieur. Je tremble. Le mec me tire la tête vers son bassin.
Je ne dis rien! J’ouvre la bouche!!!
Je sais même pas pourquoi je le fais!
Ma bouche est ouverte au maximum. Le goût est très fort. Ça vibre dans mon palais. Le gland à du mal à entrer. C’est une impression fabuleuse. Je ne sais pas quoi faire à part écarter mes lèvres et mes dents. C’est idiot j ‘ai peur de blesser ce sexe.
Le type me bloque toujours la tête. Il entame un lent mouvement de bassin. Je laisse faire. La verge pénètre lentement dans ma bouche. J’ai peur que les autres se réveillent. Je sais que ses potes doivent regarder. J’ai l’impression d'avoir un soleil qui me brûle le corps. Le gland butte régulièrement contre ma glotte, me donnant envie de vomir. L’odeur très forte n’est pas désagréable. Le type reste doux et ne me force pas. Il continue à faire lentement coulisser le tiers de son sexe dans le fourreau étroit de ma bouche.
De la bave coule le long de mon menton et goutte sur mon torse. Les bruits de succion sont imperceptibles.
J’ai l’impression que sa verge grossi encore. De temps en temps sa bitte doit laissé perler des gouttes car le goût est de plus en plus fort. Acre et légèrement amer. Le nordique accélère brusquement le rythme. Le silence est total à l’exception des ronflements sonores qui couvre le léger bruit de succion.
C’est dingue!
Je suis entrain de tailler une pipe à un inconnu. C’est la première fois de ma vie que je taille une pipe. Je suis entrain de sucer un nordique inconnu dans une chambre éclairée, devant quatre mecs qui regardent et une bonne douzaine d’autres entrain de dormir. Le tout dans une auberge de jeunesse bondée de monde en Grèce.
Je n’arrive pas à réaliser ce que je suis entrain de faire. Je suis complètement dépassé par les événements. J’ouvre la bouche du mieux que je peux. Lèvres serrées autour de la hampe brûlante qui coulisse de plus en plus en plus vite. Ma seule terreur actuelle est que les bruits de succions ne réveillent les autres. La lumière s’éteint brusquement.
Le type pousse son sexe au fond dans mon gosier. J’ai un mouvement de recul vite bloqué par ses paluches de bûcheron. Je sens qu’il va jouir. Je ne sais pas comment je le devine. Et inconsciemment, je devine qu’il va le faire dans ma bouche.
Effectivement des longs jets chauds et poisseux fusent du pieux de chair. Ils m inondent la bouche. C’est très amer et collant. Je n’arrive pas à avaler. Ça dégouline sur mon menton. La bitte immobile, continue à cracher du jus. J’ai peur de tousser. J’avale du mieux que je peux. Le type me laisse faire et reste encore dans ma bouche.
Son sexe gluant devaient moins dur. Le goût très fort occupe toute ma bouche. Les mains lâchent enfin ma tête et la bitte libère rapidement ma bouche baveuse. Une de ses mains se saisi de la base de sa bitte et presse son morceau sur mes joues. Son gros gland humide caresse mon visage en laissant des traînées gluantes.
Je m'aperçois que je pleure!
Le type recule en remontant son maillot rouge. Il chuchote des mots incompréhensibles à ses copains, avant de prendre son élan et sauter sur le lit au dessu du mien. Son matelas grince et ploie sous son poids.
Mon champ de vision est libre. Deux autres nordiques sont assis face à moi. Je devine dans le noir qu‘ils me regardent. Seule la pleine lune qui passe par les soupiraux éclaire la chambrée endormie.
Je suis moralement désarticulé. Humilié, fatigué, figé. Décontenancé par mon comportement. Mes lèvres entrouvertes laissent échapper des coulées de sperme dont le goût m’est brusquement insupportable. Impossible aussi de supporter les regards ironiques des autres nordiques.
Je baisse la tête, honteux et blessé par ce qui vient d’arriver.
Mais le type assis sur la couchette supérieure face à moi, saute souplement dans l’étroit couloir en me dévisageant, je comprend ce qu’il va m’arriver et que c’est loin d’être terminé.
Que faire? Comment y échapper? Surtout ne pas crier. Angoisse terrible que les autres se réveillent.
Sans aucun préambule et sous la protection sonore des dormeurs le type, jumeau du premier, baisse son slip blanc à mi-cuisses et se positionne entre mes jambes restées écartées. Je n’ai plus d’autre vision que son sexe tendu vers mes lèvres.
Je lève mes yeux implorant vers lui. Il a le visage dur et ses yeux bleus brillent dans le noir. Il me semble invincible. Sans un mot il tend son sexe rigide vers mon visage. Il le tient à la base.
Je baisse la tête et ouvre la bouche. Mes lèvres s'arrondissent autour de ce nouveau bâton chaud et vivant. C’est moi qui avance la tête.
Je suce.... Je suce ce nouveau mandrin...
Ma salive mélangée au sperme précédent lubrifie la pinne. Le type me nique la bouche en prenant son temps. Son sexe est plus court que le précédent car quand il s’enfonce au fond de ma bouche, mon nez butte contre ses poils blonds. L’odeur est beaucoup plus forte. Odeur de pisse et de rance qui me donnent envie de dégueuler. Mon cerveau et mon cœur jouent une sarabande effrénée. La bitte va de plus en plus vite et de plus en plus loin dan mon gosier. Elle palpite contre ma langue et mes joues. Elle est très chaude et très dure. Comme du bois vivant. Le mec accélère les mouvements de son bassin. Il gémit brusquement et, des jets ininterrompus inondent ma bouche.
Goût très amer. Ça dégouline à nouveau sur mon menton pour s'écraser sur mon torse nu et imberbe. Je suis obligé de tousser et de cracher. Ça colle aux dents. J’ai envi de hurler, mais j’ai la bitte bien enfoncée dans ma bouche. Le type soupire lentement de satisfaction. Il se retire et remonte son slip.
Il me caresses les cheveux avant de se tourner et remonter souplement dans son pieux. Je reste complètement groggy avec de la bave figée aux commissures des lèvres. Celui qui est face à mon lit est encore plus balèze que les deux précédents. Il se lève lourdement en prenant son temps et avant d’un pas lent devant moi. Il est déjà à poil!
Il se positionne comme les autres, mais lui il écarte aussi ses jambes velues, m’obligeant ainsi à carrément ouvrir les miennes au maximum. Il se branle devant mon visage en me regardant méchamment.
Je tente de tourner la tête pour échapper au gland tendu vers le visage. Il me tire par les cheveux. Gestes brutaux impatients. J’ouvre la bouche. J’ai mal aux mâchoires. Je n’ai plus aucune volonté devant cette troisième bitte qui fouille rageusement mon palais et qui tape contre mes joues.
Je suce.... Je tète.... J’aspire... Je bave...
Je prend à peine conscience que les deux derniers se sont assis à mes cotés. Leurs grosses paluches me caressent le corps, poussent ma tête vers le mandrin, palpent mon dos et le haut de mes fesses.
Ils me prennent par les bras. Il serrent fermement. La bitte sort de ma bouche. Le mec n'a pas jouis. Pourquoi?
Que font-ils? Je ne peux rien voir à part leurs mains qui font des signes.... Ils se parlent par signes.... Que se disent-ils?
Le balèze recule, sa bitte brillante de salive toujours bien droite. Les ronflements ont augmenté d’intensité. Ils couvrent largement les petits bruits que font les nordiques.
Pourquoi ce matelas par terre entre les deux lits superposés? Il n'y avait rien tout à l'heure.
Les deux mecs de chaque coté me soulèvent par les bras. Gentiment, mais fermement. Ils me font de grands sourires silencieux. Le balèze attend en se branlant lentement.
J’ai les jambes en coton. Si ils me lâchent, je tombe.
Surtout ne pas crier.... Ne pas crier...
Je suis debout face au type qui se masturbe.
Le balèze lâche son sexe. Il s’approche. Ses mains sur la ceinture de mon slip. Il le baisse d’un coup alors que les autres me tiennent toujours par les bras.
Je me retrouve le slip au cheville. Je tente de leur échapper. Cela fait du bruit. Certains ronfleurs se retournent à la limite du réveil. Je me fige.
Les deux me retournent. Je suis dos au balèze. Il est contre moi. Il me donne deux coups de genoux à l’arrière des miens. Mes jambes lâchent.
Je suis à genoux sur le matelas. Leurs mains sont partout. De ma tête à mes chevilles. Je n ai plus de caleçon de bain. Des larmes coulent à nouveaux sur mes joues. Ils fait très chaud dans le dortoir. Nous sommes tous en sueur. Odeurs de fauves malgré les soupiraux ouverts. Les mains étalent les traces de spermes figés sur mon corps dénudé.
Des chuchotements imperceptibles aux milieux des ronflements sonores et des bruits de sommiers. J’ai l’impression de m’évanouir. Je suis devenue leur marionnette entre leurs mains comme des battoirs. Ils me pétrissent les cuisses les fesses les seins.
A genoux sur le matelas, au milieu de la travée, je reconnais la bitte qui m’avait libéré quelques secondes auparavant. Le balèze me la remet dans la bouche. Je recommence à le sucer.
Des mains me parcourent tout le corps. Je frémis sous leurs rudesses. Elles me pressent la bittes et mes couilles. Je m'aperçois que je bande.
Impossible.... C’est pas possible que je bande!!!
Elles me malaxent les fesses de plus en plus fort. Elles tentent de m’ouvrir. Je serre les fesses de toutes mes forces.
Je suce en pleurant silencieusement. Je devine la suite et je ne bande plus du tout quand je comprend qu’ils regardent ma raie du cul bien ouverte...
Ils ouvrent mes fesses de force et me les tiennent écartées. Des ongles me griffent l’intérieur des fesses, tout prés de mon anus. Puis comme du liquide chaud. Ce glisse le long de ma raie..
La bitte se retire de ma bouche. A peine le temps de réaliser, que déjà, des mains me pousse le dos. Je m’écroule sur le vieux matelas de mousse. Je tombe à plat ventre.
Je pisse de peur. Impossible de me retenir. Cela sort tout seul.
Le corps lourd du balèze qui s’écrase sur mon dos. Une main qui se plaque contre ma bouche. Je peux à peine respirer. Le matelas sous mon ventre est mouillé. Je sanglote sans retenue comme un gamin qui à la trouille.
Bien sur j’ai compris ce qui allait m’arriver. Je ne le voulais pas. Absolument pas. Mais j’ai en même temps peur et envie. C’est complètement dingue de ma part. Les poils du balèze sont mouillés de transpiration.
J’ai les jambes écartées par les siennes. Impossible de les refermer. Il est bien plus fort que moi. Un autre me tient la tête en me bâillonnant. Je ne peux ni crier ni bouger. J'étouffe.
Une bitte entre mes fesses glissantes qui coulissent lentement. Le type qui me couvre à la respiration sifflante. Sa bitte parcoure ma raie. Son gros gland frotte le long de ma raie... Il trouve pas... Il met beaucoup de salive. Le gland revient dans ma raie. Il s’est positionné contre mon anus.
Tans pis.... J’ai trop peur.... Je crie...
Rien ne sort... A peine des râles a travers sa main....
Devant mes yeux, je reconnais le maillot rouge de celui que j ai sucé en premier. Il est juste devant ma tête. Le mec se penche vers moi. Sa bouche se colle contre mon oreille.
-....” Fuck you.... Son of bitch...”
Puis il me plaque le visage contre son maillot en appuyant de toute ses forces.
La bitte entre mes fesses continue de parcourir ma raie glissante. Le gland va de la base de mes couilles jusqu’au bout de mes reins. On me mouille abondamment la raie. J'entends des bruits de crachats. A peine plus fort que les ronflements.
La bitte s'arrête contre mon anus....
Elle a trouvé la voie... Une pression contre mon trou serré
Je tente de me débattre. Je ne peux rien faire, le visage écrase contre le maillot rouge, les jambes écartelées par les guibolles du balèze, mon torse immobilisé sous le sien. En plus on me tient les poignets.
La bitte pousse doucement contre mon fondement. Je serre les dents. La pression devient vite très forte. Je transpire et mes larmes imbibent l’étoffe rouge contre mon visage. Impression d’impuissance totale pour éviter ce qui va m’arriver.
Contre ma volonté, je sens mon anus cédé lentement. J’ai mal. Je serre les dents de toutes mes forces. Le type pousse plus fort encore. Il respire profondément et son souffle chaud et aviné balaye ma nuque. La pression de son gland contre mon anus crispé devient insupportable.
Brusquement, comme dans un film au ralenti, je sens ma corolle céder. Puis une douleur intense qui se diffuse dans tout mon corps. La bitte progresse lentement dans mon canal. Le type donne des petits coupsde reins. Je reste inerte. Je tremble de tout mon corps.
C’est insupportable cette sensation d’éclatement. Je gémis mais rien ne sort du bâillon. J’agite mes jambes écartelées. Je dois ressembler à une grenouille. La douleur augmente à chaque centimètre qui viole mon intimité.
Puis la progression stoppe. Le gland butte contre le fond de mes intestins. C’est comme un tisonnier. Je suis empalé, cloué au matelas dans l'étroite travée. Le cul éclaté autour du mandrin du norvégien.
Je devine qu’on mouille un peu plus mon cul, puis les mains du mec agrippe fermement mes épaules. Le gars commence alors à m’enculer. Il fait coulisser sa bitte dans mon fourreau. Chaque fois que la queue se retire, j’ai l’impression que l’on me vide par le cul. Chaque fois qu’elle revient, cette impression que mon ventre va éclater. La douleur est telle que je suis au bord de l'évanouissement. Le nordique me fore lentement le fondement en allant de plus en plus loin.
Malgré le poids de son corps qui couvre mon dos, je me cambre de douleur quand sa bitte tape au fond de mon trou. Son souffle profond se perd dans mes cheveux humides. Je transpire énormément. Ses mains tiennent toujours fermement mes épaules. Son bassin musclé heurte régulièrement mes fesses meurtries.
Grâces aux innombrables crachats, son sexe coulisse parfaitement. Je me cambre malgré moi pour atténuer la douleur et l’irritation. Mon trou s'élargit doucement et la douleur s'atténue lentement. Je ne gémis plus. Contre mon visage, le bitte sous le maillot rouge est tendue.
Le balèze accélère ses mouvements. La douleur revient un court instant puis se calme. Je me laisse enculer en silence. Je suis complètement soumis à ce mâle viril qui me décapsule le trou.
Les autres ronflent toujours. Je sais que ses amis le regardent m’enculer. Il va de plus en plus vite et je dit rien. Je ne m'aperçois même pas qu’il a jouis dans mon trou. Le sexe me libère. J’ai froid au trou.
Naïvement je crois que c ‘est fini.
Mais le type au maillot rouge me plaque toujours la tête contre son slip de bain et un autre corps se couche lourdement sur moi. C’est encore plus glissant quand la deuxième bitte m'emmanche rapidement. La douleur revient, mais c’est très supportable.
Je suis complètement stupéfait de trouver bon ce que je suis entrain de subir. De sentir son anus ouvert autour de la grosse bitte. De sentir ses intestins tournebouler au rythme des coups de reins de cet inconnu.
Un mec m’éclate le fion avec vigueur, et moi, je me cambre docilement.
Je lui tend mon cul et cela lui plaît!
Il pousse de plus en plus loin. Je ne crie pas. La main libère ma tête. Je ne bouge pas et je serre les dents.
Tous les autres ronflent toujours. Surtout ne pas les réveiller.
C’est bon!!! Oui c’est bon d’être embroché.
Je suis un enculé!! Moi le gamin de dix sept ans, je suis entrain de me faire défoncer le cul pour la deuxième fois!!! Et j’ai même plus mal!!
La bitte est plantée au fond de mon cul. Des couilles poilues frappent les miennes. Le mec me fouille méthodiquement les entrailles. J’ai à nouveau envie de faire pipi. Je me laisse aller. Cela à du mal à sortir, mais au bout de quelques secondes, un mince filet d’urine souille un peu plus le vieux matelas.
Cette fois ci, je sens mon cul se remplir de jute tiède. Le mec jouit très loin dans mes intestins. Des jets courts et rapides inondent mon fion dilaté. Son bassin poilu est incrusté dans mes fesses. Je suis inerte sous lui.
Brusquement il s’écroule sur moi à la recherche de son souffle. J'attends la libération. Elle ne tarde pas et mon cul fait un drôle de bruit quand le nordique décule sans ménagement.
J’ai mal, et je ne sais plus ou je suis ni qui je suis. Je suis juste un jeune mec en vacance qui est devenue un enculé et la femelle de cinq étrangers dans cette auberge de jeunesse grecque.
Je crois qu’il en reste encore un. Et j’ai malheureusement raison.
Il veut que je me mette à quatre pattes. En levrette. Comme une chienne.
Mais je suis trop fatigué. Impossible de rester dans cette position. Mes jambes et mes bras n’ont pas la force de me porter. Ce sont ses potes qui me tiennent. Je me retrouve dans la position souhaitée par le mec, le cul tendu devant cette nouvelle bitte qui ne tarde pas à s’enfoncer en moi.
J’ai vraiment mal au cul. Je gémis très doucement en pleurant. Une main me bâillonne à nouveau. Le mec me sodomise rapidement en me tenant fermement par la taille. Ses coups de reins rapides propulsent son gland au fonds de mon cul meurtri. L’envie d’uriner revient. Mon anus irrité me brûle. J’ai des crampes au ventre. J’en ai marre. Je ne veux plus rien. Je suis dans un vrai cauchemar. Je veux partir. Tout quitter.
Mais je me laisse tringler dans cette chambre minable, les jambes bien écartées et le cul bien cambré. Et le pire c’est que je bande et que je n’ai plus mal. Mon trou est dilaté, irrité, éclaté et j’aime.
Je suis devenu la pute de cinq gars qui se servent de mes trous jusqu’alors inviolés. Le gars continue sauvagement à la recherche de son plaisir.
C’est bon!... Putain que c’est bon!!.
Mon cul déborde de sperme quand le gars me libère après s'être vidé les burnes. Je m’écroule sur le matelas mouillé de pisse et de semence. J’ai le corps et l’esprit désarticulés. Impossible de retenir mes larmes.
Je bande...
C’était bon malgré la douleur omniprésente...
Bites dans ma bouche.... Odeurs de foutre, de sueur..... Dans mon cul.... Ronflements des autres qui se doutent de rien.... Matelas qui grincent.... Corps qui se retournent.... Plus personnes autour de moi.... Je me met en chien de fusil.... Mon cul coule.... Le sperme se fige sur mes fesses et l’intérieur de mes jambes... J’ai mal au cul et à la bouche... Pas le courage de regagner mon lit... J’ai jouis sans même me toucher....
Je reste sur matelas, aussi souillé que mon cul et mon visage.
Bien sur impossible de trouver le sommeil. Je ne me rappelle plus exactement à quoi je pensais. Ou alors, je ne pouvais pas penser, je ne sais plus. Mais j’avais encore l’impression d’avoir quelque chose dans le cul, et je transpirais abondamment dans le noir.
J’ai regagné péniblement mon lit. Les nordiques ronflaient déjà, comme tout le monde dans le dortoir. Je sentais mauvais. Je pensais à l’état de mon anus. Il coulait encore et j’avais la raie toute souillée de salive et de sperme. Heureusement qu’à l’époque, le Sida n’existait pas. J’avais mal au ventre et le trou irrité. J’avais encore plus mal quand je contractais mon anus. J’avais aussi envie de chier, mais je n’osais plus bouger de mon lit. J’ai réussi à remettre mon slip de bain. Il était sale aussi.
Très tôt le lendemain, j’ai rejoint les salles de bain. Je me suis lavé sous une douche froide en me savonnant comme un malade. Quand j’ai mis ma main entre mes fesses pour nettoyer ma raie collée par le sperme, mes doigts se sont aventurés sur ma corolle. Elle était boursouflée et irritée. J’ai pas trop insisté.
Dans le dortoir, ils étaient tous entrain de se réveiller. Les nordiques m’ont à peine jeté un coup d’œil. Cela m'a rassuré. J’ai rejoint mes potes. Ils m’ont trouvé une sale tronche. Je leur ai dit que c’était l’effet du vin et en qu’en plus j’avais mal au ventre. Il m’ont traité de petite nature.
Nous avons repris la route.

A suivre

Mes Histoires. INEDITE. On the road..! Suite

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Les voyages forment la jeunesse...

On the road !!!
Épisode II
J’étais à l’arrière seul. Bernard servait de copilote à Jean-Yves Je dormais à moitié mais les ornières de la route me faisait mal au cul. Jean-Yves me regardait souvent dans son rétroviseur.
- T’as encore mal au ventre?
- Un peu de temps en temps.
- Faut pas picoler Pt’i....
- Ouais faut laisser ça aux hommes...
- D’habitude l’alcool, ça fait pioncer....
Je ne répond pas. Les yeux bleus de Jean-Yves me fixe souvent. Il a un drôle de regard. Il conduit torse nu. Il est grand, maigre et très musclés. Pas de poils sur le torse. Bien sur, je l’ai souvent vu comme ça ou juste en slip de bain. Mais avant je n’avais jamais fait attention à son physique. Je sais qu’il est beau mec et qu’il n’a jamais eu de difficultés avec les filles. Il s’en privait pas d’ailleurs.
Nous nous arrêtons un court instant dans l’épicerie d’un patelin pour faire des courses. Nous n’avons pas assez de fric pour manger tous les jours au restaurant. Les routes sont mauvaises. C’est maintenant Bernard qui conduit. Torse nu aussi. Lui c’est un ours. D’ailleurs son surnom, c’est l’ours à cause de son corps trapu, sans un gramme de graisse et recouvert de poils noirs. Il en à même sur les épaules et les omoplates. Il est mat de peau, un visage dur, des yeux noirs, toujours de la barbe malgré le rasage, et des sourcils très épais. Quand ils sont avec moi, personne ne me fait chier. Parce que moi, avec mon mètre soixantaine dix et mes cinquante neuf kilos !
Nous avons pris du retard et à la tombée de la nuit nous sommes entre deux patelin. Bernard trouve une petite route qui s’enfonce dans les bois environnants. C'est une impasse et au bout une petite clairière.
- C’est parfait pour nous les enfants. On dort ici.
Nous avions deux tentes avec nous que l’on nous avait prêtées. Une de une place et l’autre de deux. Elles étaient simples à monter. Nous avons mis la radio de la voiture. Nous avons mangés, discuté. Bernard a joué de la guitare. Je tombais de sommeil.
- Vas te coucher Pt’i..... Tu seras plus en forme demain...
- Vas dans celle à deux places tu sera mieux...
J’ai abdiqué et suis parti m’isoler pour pisser avant de gagner la tente. Jean-Yves a ajouté en me regardant.
- Je suis sur que tu iras mieux demain... Et laisse moi un peu de place....
Sous la tente, je me suis mis en slip avant de me glisser dans mon sac-à-viande. Tu te souviens maman, tu avais cousu deux draps et mis une lanière pour pouvoir serré le haut au niveau de mon cou. Comme cela je ne pouvait pas me découvrir. Je me suis couché dans le noir. J’entendais Jean-Yves et Bernard discuter, mais je ne comprenais pas leur conversation. Je me suis endormi comme une masse.
….............
Je sors brusquement de mon profond sommeil. Il fait encore nuit. Je suis enfermé jusqu’au cou dans mon sac-à-viande. J’ai du mal à réalisé ou je suis. Un type est à genoux au niveau de ma tête sur ma droite. Il me tourne le visage en me tenant par les cheveux. Il me lève la tête pour la plaquer contre son bas ventre. Il porte pas de slip!
Quelque chose d’humide et de chaud contre mes lèvres. J’ouvre la bouche. Je suce une bitte... Je suce à nouveau un mec...
- T’as aimé ça hein ma salope.... Tiens, bouffe la mienne.... Prends la bien au fonds pétasse.... Suce la moi.... T’as aimé les bittes ma pute.... T’inquiètes, tu vas en avoir de la bonne... Oui, vas-y pompe... Pompe bien... Tu vas en avoir de la bitte ma poule... Dans la bouche et dans le cul... T’as encore rien vu.. Tète à fonds trou duc...
Je réalise avec effroi que l’on parle en français. Nous ne sommes plus dans l’auberge de jeunesse. Je suis sous la tente!
- J’ai tout vu hier ma salope.... Comme ça tu aimes la bitte.... Vas-y bouffe la mienne... Sale petite pute...
C’est la voix de Jean-Yves... Je crois mourir de honte et d’humiliation. Il tient ma tête par mes cheveux et me plaque son bassin contre mon visage, m’obligeant à prendre en bouche son sexe...
- Tu leur a donné ta bouche et ton cul... Tu suçais les bittes..... J’ai vu quand tu as offert ton cul en levrette....
Il me lime la bouche rapidement.
- Tête moi bien sale con... Accélère ....
Il jouis en m’aspergeant le visage. Je ne vois que ses yeux brillants dans le noir de la pièce. Il me lâche.
- Demain tu l’auras dans le cul.... T’as intérêt à prendre des forces pétasse!
Il me laisse là, humilié et l’esprit en déroute. Il se met dans son duvet en me disant
- On va bien se marrer avec toi.... Je l’ai dit à Bernard mais il y pas cru... Putain je me suis bien dégorgé le poireau. T'as une bouche de première suceuse toi !

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Inutile de vous dire mes chers parents que le lendemain. J’osais pas regarder Jean-Yves et lui il souriait en me regardant. J’avais beaucoup de mal à ne pas rougir sous ses sourires narquois.
Bernard conduisait. Jean-Yves se tournait souvent vers moi. A chaque fois que ses yeux me fixaient, je me sentais rougir et repensais constamment à sa dernière phrase. Il n’était pas du genre à se vanter ou à avoir peur de quelque chose. Il n’était pas non plus du genre à ne pas tenir ses promesses.
A la sortie de la ville, un peu avant midi. Jean-Yves a dit à Bernard
- Prends à gauche on sera tranquille là
- Pourquoi c’est tôt pour la bouffe
Moi aussi, je pensais qu’il parlait de l'arrêt déjeuner.
- Écoute moi et prends à gauche, par là. On va pas bouffer tout de suite.
- Je comprend pas mec
- Tu vas voir mon ami... Tu vas voir....
Il s’est tourné vers moi. La voiture tanguait sur les ornières.
- On va lui montrer hein ma salope?
- Tu veux me montrer quoi?
- Tu vas voir gare toi là. On sera pas dérangé...
Bernard a stoppé la voiture dans un coin tranquille. Il coupé le moteur en me regardant dans le rétroviseur.
- Vous allez me montrer quoi?
C’est Jean-Yves qui lui a répondu.
- Tu vas voir que je t’ai pas menti mec
Et je peux vous certifier que en plein jour, dans la voiture, au milieu d’un champ d’oliviers, il a tenu sa promesse de la veille.
Il est sorti de la voiture pour ouvrir ma portière arrière et me tirer dehors par le bras. Bernard la rejoint.
- Tu vas voir son cul à cette salope
J’ai voulu l'empêcher de me baisser le short. On s’est battu. Il m’a fait une clé au cou. Il me penchait et me tenait fermement.
- Viens m’aider au lieu de regarder.
- Non... Non... Arrêtez.... Je veux pas.... Vous êtes des salauds....
- Vas-y Bernard. Baisse lui son froc.
- T’es sûr mec?
- Mais oui. Vas-y je te dis...
Malgré mes cris de révoltes, mes pleurs mes supplications et ma honte, Bernard, après une brève hésitation, m’a baissé le short. J’étais toujours penché, maintenu fermement par le bras de Jean-Yves qui me serrait le cou.
- Maintenant le calcif...
J’étais au bord des larmes. La honte totale. Je tentais d'empêcher Bernard de m’approcher à coup de pieds en arrière. Jean-Yves a serré plus fort.
- Tu bouges plus ma salope...
J’ai sentis Bernard se saisir de la ceinture de mon slip au creux de mes reins. D’un geste brusque il l’a baissé sous mes fesses. J’avais le cul à l’air.
- Prend ta ceinture.... Tu vas voir... Bernard c’est lui qui va te le dire pas moi... Et toi ma salope, t’as intérêt à tout lui raconter...... Vas-y dis lui...
Je serrais les dents. Bien sur je ne voulais rien dire. Le premier coup de ceinture a claqué sur mes fesses.
- Allez raconte...
D’autres coups de plus en plus forts. J’ai commencé à crier de douleur. Bernard n’hésitait plus à me cravacher les fesses.
- Tu lui dis ma salope..... Sinon tu vas passer un sale quart d’heure.....
Encore une dizaine de coups de ceinture avant que je craque.
- Oui... Oui....
- Oui quoi.....
- C’est vrai....
- Dis a Bernard ce que tu as fait dans l’auberge de jeunesse...
Encore des coups. J’avais les fesses en feu. Ça me brûlait tout le derrière. J’avais mal et la ceinture qui revenait frappait mes globes à vif.
- J’ai été obliger de sucer....
- Qui?
- Des mecs des couchettes....
- Et quoi d’autres.....
- Ils..... Ils m’ont.... Sodomisé....
- Dis le que tu t’es fait enculé...
- Oui je me suis fait enculé.....
- Et hier tu m’as fait quoi?
- Je t’ai sucer.... S’il vous plaît arrêtez.... Arrêtez... Je vous en supplie..... Je voulais pas..... Je voulais pas.... Ils m’ont obligé.....
- Et hier je t’ai obligé moi?
- Non.... Non....
- T’es qu’une larve..... Enlève tes fringues.
Il me tenait toujours par le cou. A nouveau des coups de ceinturon avant que j’obéisse et me débarrasse moi même de mon short et de mon slip que j’avais autour des chevilles.
Jean-Yves m’a entraîné vers le capot arrière de la voiture. Je me suis retrouvé couché sur la malle arrière. La tôle était très chaude.
- Vas cherchez la crème solaire.
Jean-Yves m’a lâché le cou. Je suis resté sans bougé collé au coffre.
- Hier tu l’a eu dans la bouche..... Au tour de ton cul ma salope...
J’ai pas bougé. Cela ne servait à rien. Ils savaient maintenant. Jean-Yves s’est collé contre mes fesses. Ai entendu le bruit du zip. Bernard était à coté. Je le sentais sans le voir. Ai à peine eu le temps de sentir la queue de Jean-Yves entre mes fesses. Il m'a pris par la taille et d’une poussée, il me la mise toute glissante dans le cul. Je me suis cambré en poussant un petit cri. Un vrai petit cri de femelle.
Devant Bernard qui devait se branler, Jean-Yves m’a enculé en silence. Il me pistonné rapidement sans un mot. Son engin graissé avec la crème solaire coulissait en moi sans problème. J’avais mal, mais c’était très supportable. Je le laissais faire sans bouger. Il s’est vidé.
- Vas-y mon pote... Faut pas hésiter.... Il a un trou de femelle....
Bernard l’a remplacé. Son sexe très dur a eu du mal à trouver l’entrée. Il m’a enculé à son tour. Je n’ai pas bougé, attendant qu’il se soulage à son tour.
- Putain c’est bon.... C’est la première fois que j’encule un trou de mec....
- Un cul de mec ou de nana c’est du pareil au même
- Non lui il a des fesses plus musclées qu’une meuf....
Sous la contrainte, mais sans révolte de ma part, je me suis retrouvé quelques minutes plus tard nu comme un vers devant mes deux amis qui venait de se soulager dans mon trou. J’avais mal à l’anus et mal aux fesses. Ils se sont réajusté après avoir nettoyé leurs sexes avec des mouchoirs en papier. En tremblant et en reniflant, j’ai ramassé mes vêtements qui traînaient sur les cailloux. Ils me regardaient sans rien dire remettre ma chemisette quand j’ai voulu remettre mon slip
- Pas besoin.... Juste ton short
- Ouais les salopes de ton espèce n’ont pas besoin de slip....
- J’ai connu une greluche qui portait jamais de culotte.... A part à la période de ses règles. Une vraie pute.... Tu vas être comme elle....
- Toujours prête pour nos pines... Et t'as pas de règles toi...
- C’est une bonne idée ça, tu vas rester notre greluche de remplacement...
Ils étaient ravis de leur trouvaille et moi honteux d’avoir abdiqué. Ils venaient de décidé d’un commun accord que pendant ces vacances, je serai leur femelle et c’est ce qui s’est passé.
Il était presque une heure de l’après-midi. Trop tard pour reprendre la route. Ils ont décidé de rester au même endroit pour manger.
Nous avons sorti les provisions qu’il nous restait. A chaque mouvement je sentais ma raie gluante et mon sexe ballottait librement sous mon short. Il restait des tomates du concombre et des pêches. Bien suffisant pour nous trois.
Cela a était un repas bizarre. Silencieux. Chacun perdu dans ses pensées. De temps en temps ils échangeaient un regard et se souriaient comme satisfait de leur comportement. Je mangeais lentement assis sur un rocher . Je n’osais ni parler, ni bouger, ni les regarder. Je croquais un concombre. Ils on éclaté de rire. J’ai compris et l’ai vite reposé.
- Continue..... Continue j’te dis..
J’ai obéis sous leurs regards décidés. Il faisait très très chaud et le feuillage de l’arbre sous lequel nous étions assis nous protégeait à peine des rayons brûlant du soleil grec. Nous avions les trois pour tous vêtements que short et slip pour eux et short pour moi. La toison de Bernard perlait de gouttes de sueur. Ils me regardaient manger le concombre et moi ce que je remarquais surtout c’est les bosses sous les shorts. Ils étaient excités de me voir enfourner le légume.
A la fin du repas l’ordre et arrivé.
- Range tout ma poule..
D’habitude nous nous partagions équitablement le travail. C’était une règle absolue depuis notre départ et elle avait été librement admise par tous. Mais mon nouveau statut avait changé la donne. Ils attendaient que j’obéisse et moi je savais que si je le faisais cela m'entraînerait un peu plus dans le statut qu’ils voulaient me voir prendre. J’ai hésité longtemps avant de bouger. Mais quand Jean-Yves s’est levé avec son air menaçant des mauvais jour, je me suis levé pour débarrasser les reliefs de notre repas.
Le fonds de mon short me collait au fesses. Il était tout humide. Leurs semences avaient mouillés le tissu.
- Ma parole, il mouille du cul....
J’avais envi de pleurer. d'humiliation
- Une vraie salope en chaleur...
Je me suis précipité sur mon sac à dos pour prendre un vêtement propre.
- Tu restes comme t’es ma poule....
Il m’ont pris mon sac à dos pour le remettre dans le coffre. Jean-Yves a fermé la malle. Je suis resté avec le short mouillé sur les fesses. Là encore aucune rébellion de ma part. De la honte, rien que de la honte.
J’avais l’impression qu’avec leurs spermes, ils m’avaient marqué, comme on marque du bétail des initiales du propriétaire. J’étais devenue leur chose, leur femme, leur bonniche.
En quarante huit heures, j’étais passé de pote le plus jeune qui a besoin de protection à femelle salope et pédale.

Les quatre semaines suivantes, je suis devenu leur nana. Je les suçais et me laissait tringler quand ils le voulaient. Dans la voiture, sous la tente et dans les auberges de jeunesse.
Sous le brûlant soleil Grec, j’ai appris à me soumettre à leurs fantasmes de jeunes mecs virils et surs d’eux. Au fil des jours les habitudes venaient.
Jean-Yves adorait que je le suce au réveil après son pipi matinal. Souvent, on couchait dans la voiture garée dans un endroit tranquille. Au réveil, Jean-Yves sortait en slip, les yeux embués de sommeil pour se diriger vers l’arbre ou le rocher le plus proche.
Je le regardais baisser son slip sous ses couilles. De sa bitte bien dure d’une érection matinale, sortait un jet puissant qui montait vers le ciel d’un bleu limpide avant de retomber pour s’écraser sur un tronc d’arbre après avoir décris un large arc de cercle.
Au fur et à mesure qu’il se soulageait, sa bitte ramollissait mais restait quand même de bonne taille. Quand il avait fini d’uriner, il revenait vers la voiture, bitte à l’air, une goutte brillante encore accrochée au méat. Sans un mot, il ouvrait ma portière et je m'asseyais sur la banquette, jambes dehors, ma bouche juste au bon niveau, à hauteur de son sexe.
Je devais le sucer lentement, à moitié dégoûté tant les odeurs étaient fortes car nous ne prenions pas souvent de douches. Nos corps sentaient la sueur et le sel de mer. Le sexe de Jean-Yves grossissait à nouveau dans ma bouche grande ouverte. Il dirigeait les opérations en me tenant la tête avec ses grosses paluches d’ouvrier, en m’ordonnant d’accélérer ou de ralentir.
Bernard pendant ce temps préparait le petit déjeuner en nous regardant. Je commençais à reconnaître les signes annonciateurs de la jouissances de Jean-Yves Sa bitte qui devient brûlante, les râles sourds de son propriétaire et très vite les giclées crémeuses, brûlantes et amères qui fusaient dans mon gosier
- C’est l’heure de ton lait
Au bout de huit jours, j’arrivais à tout avaler. C’est ainsi que tous les matins suivants, quand nous couchions à la belle étoile, je prenais une grande rasade de foutre en guise de petit déjeuner alors que j‘avais encore les yeux rougis de sommeil.
Bernard quant à lui, aimait énormément m’humilier et surtout m’enculer pendant que nous roulions. Avant notre départ nous avions installé des rideaux sur les fenêtres arrières du véhicule afin de nous protéger du soleil. Maintenant ils avaient aussi une autre fonction.
Pendant que Jean-Yves conduisait, Bernard venait me rejoindre à l’arrière du véhicule.
- Baisses les rideaux ma poule j’ai envi de ton trou à merde
Je devais me foutre complètement à poil pendant que Bernard sortait sa bitte de sa braguette. Il s'asseyait au milieu de la banquette pour que Jean-Yves puisse suivre les opérations dans son rétro.
- Allez; A cheval ma poule
Au début bien sur, j’avais la trouille d’être comme cela, à poil dans une voiture qui roule. Avec l’impression que tous ceux de l’extérieur pouvaient voir ce que nous faisions. Mais je savais aussi que c’était impossible.
Dos à Bernard, je le chevauchais pour descendre sur son pieu préalablement enduit de salive. Jean-Yves pouvait me voir grimacer de douleur quand le gros gland de Bernard me perforait l’anus brutalement. A coup de reins très brutaux, Bernard me défonçait la pastille. Il me plantait sa pine jusqu’aux couilles.
Il me baisait brutalement, avec méchanceté en me traitant de sale pute et de trou à foutre. Il n’était satisfait que quand je commençais à gémir de douleur en l’implorant de jouir.
La bitte de Bernard est plus courte que celle de Jean-Yves, mais très épaisse, surtout à la base, ma seule salive ne suffisait pas à une bonne lubrification. La douleur devenait rapidement cuisante. C’est pourquoi la crème solaire ne me quittait plus. Heureusement que nous ne avions prévu un stock conséquent de bonne qualité. C’est une des copine de Jean-Yves qui lui avait conseillé une marque pour les bébés.
En plus Bernard donnait une cadence infernale à ses coups de reins sans tenir compte de mes gémissements. Et quand j’avais les larmes aux yeux, il se vidait enfin au fond de mes intestins.
Les premiers jours, il s’est contenté de jouir et me libérait direct, mais très vite il a voulu que je lui nettoie sa pine enduite d’un mélange de sperme de salive et de matières fécales. Et j’ai là encore appris à accepter. Sous la contrainte et la violence. La première fois qu’il me la demandé, j’avais énergiquement refusé de le faire. Mal m’en avait pris.
Je me souviens de ce soir là comme si c’était hier.

A suivre

Bac + 7! Au minimum...

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Faut avoir des capacités certaines 
avec un prof comme lui

Mes Histoires. INEDITE. On the road..! Suite

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On the road !!!
Épisode III
Nous nous étions arrêtés à la tombée de la nuit dans un chemin désert et nous avions monté la tente pour un repos bien mérité. J’étais particulièrement fatigué, parce qu’ils m’avaient éclaté le cul plusieurs fois dans la journée. J’en avais encore les traces dans mes fesses et le long de mes jambes.
En se déshabillant, Bernard s’est aperçu que sa bitte avait une teinte assez crade. Bien sur, nous avons tous compris pourquoi il y avait sur sa hampe ces traces brunâtres. J’ai cru mourir de honte sous leurs regards ironiques. Bernard m’a traitée de femelle merdeuse.
- Tu vas nettoyer ça...
- Pourtant avec le cul que t’as tu dois pas avoir de problème pour chier....
- Ça doit sortir tout seul....
J’ai voulu prendre la gourde et un chiffon.
- Il faut pas gaspiller l’eau ma poule.
Le ton de Bernard était mauvais, très mauvais avec une voix dure et ironique.
- Avec ta bouche ça fera aussi l’affaire...
D’une voix chevrotante j’ai refusé.
- Tu ferais mieux de le faire pétasse... C’est ta merde, pas la mienne...
Pour la première fois, j’ai osé leur tenir tête et j’ai à nouveau refusé.
- Non je veux pas... Pas question.... J’en ai marre... Marre..... Vous êtes des enfoirés, des sales cons... J’en peux plus de vous... Je veux rentrer chez moi.... Je veux partir...
Je sentais monter en moi une boule d’angoisse qui se libérait. Comme un stress longtemps contenu qui sortait violemment. Je criais dans le soir. Les yeux embués de larmes de soulagement.
Brusquement Jean-Yves s’est trouvé derrière moi et d’un violente bourrade dans le dos, il m’a envoyé sur le sac de couchage qui me servait de matelas. Bernard s’est joint à lui et après un rapide combat ils m’ont mis à plat ventre.
- Puisque tu veux pas nettoyer, je vais te nettoyer le cul moi.
Il m’a écarté les jambes avec l’aide de Bernard. Puis il s’est couché sur moi et me la mise dans le cul à sec. J’ai eu un sursaut de douleur. J’ai hurlé dans la nuit. J’avais l’impression qu’on me déchirait l’anus. Pourtant ce n’était pas la première fois.
- Tiens ma salope! Je vais t’apprendre à obéir...
Je gesticulait sous la douleur. Bernard m’a alors bloqué la tête contre le matelas. A la limite de l’étouffement. Jean-Yves me niquait de plus en plus fort. Il sortait son sexe jusqu’au gland avant de me l’enfoncer de toute ses forces. Mon corps tremblait sous ses coups de bittes.
- On va t’apprendre à obéir salope....
Il me sodomisait de toute ses forces. Chaque coup de queue me faisait crier. Son membre très dur irritait mes parois sèches. J’avais l'impression qu’on m'enfonçait des épingles dans ma corolle. Mes cris se perdaient dans la nuit.
Quand il s’est vidé en moi, j’ai cru que la première étape de ce qu’ils considéraient comme une punition était terminée et que Bernard allait remplacer Jean-Yves dans mon cul. Je paniquais en repensant à la grosseur de son boudin.
Mais Jean-Yves est resté fiché en moi sans bouger, la bitte bien plantée au fond de mes entrailles. Je la sentais mollir.
- Je vais te nettoyer ton cul de pute sale pédale
Je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire puisqu’il venait de jouir. Bernard non plus.
- Tu fais quoi mec... J’ai la gaule aussi moi....
- T’inquiètes on va lui apprendre à être bien obéissant...
Quand j’ai compris ce qui se passait, j’ai pleuré sans retenue. Des larmes silencieuses. Jean-Yves était entrain de pisser en moi. De me remplir le cul avec son urine. Mort de honte je sentais le liquide remplir mon trou. Jean-Yves parla à Bernard
- Comme il est crade de l'intérieur et qu’il faut économiser l’eau je suis entrain de lui faire un lavement à la pisse...
Bernard éclata de rire
- Génial...
- Prépare toi, j’ai bientôt fini tu prendras ma place.
Bernard s’est branlé devant moi. Dés que Jean-Yves a libéré la place Bernard m’a rapidement couvert. Il avait la bitte très dure. J’ai hurlé à nouveau. Il m’a niqué très vite. Je sentais mon trou expulsé de l’urine à chaque coup de queue de Bernard. J’arrêtais pas de crier dans le noir. Il s’en foutait de mes cris et de mes pleurs. Son gros manche aspergeât mes entrailles.
Lui aussi est resté immobile au fond de mon corps et à nouveau de la pisse qui gonfle mon ventre. Malgré la douleur de mon anus, je sentais monter le niveau de liquide dans mes intestins. J’étais humilié, vaincu, larvé et j’attendais sans bouger qu’il finisse. Les larmes coulaient sans discontinuer sur mes joues.
Quand il me libéra enfin, j'eus juste le temps de sortir de la tente et sous leurs quolibets et leurs rires, je me soulageais les entrailles.
Dans le silence de la nuit, on pouvait parfaitement entendre les pets qui sortaient de mon anus et le puissant jet qui jaillissait de mon trou et s’écrasait sur les pierres chaudes du sol grec.
Ce soir la, j’ai atteint le fond de mon humiliation. Moi, accroupi, entrain de chier devant Jean-Yves et Bernard rigolards et en même temp méprisants. Ils me donnèrent le coup de grâce en me refusant de l’eau pour me nettoyer. J’ai du le faire avec des feuilles mortes devant eux. Et quand ils sont venus à coté de moi, leurs sexes à l’air à hauteur de mon visage j’ai compris.
- Maintenant tu vas nous les astiquer ma salope sinon on peut être encore plus méchants.
J’ai lavé avec ma bouche leurs teubes merdeuses. J’ai découvert ainsi le goût de mon cul et de leurs urines
- Regarde.... Ça la fait bander cette salope.... Tu pues trop... Tu coucheras dehors
Et c’était vrai...
Je me suis branlé pendant qu’ils ronflaient sous la tente.
Le lendemain quand il a fallu à nouveau sucer leur chairs souillées, je l’ai fait sans révolte avec une tenace envie de dégueuler. Bien sur, j’ai obéis à leurs ordres tout le reste du voyage.
J'étais leur esclave et leur lope et le soir quand ils dormaient je me branlais.

C’est avec une certaine appréhension que j’ai appris que nous allions coucher à l’auberge de jeunesse de Thèbes. C’était la première fois que nous couchions à nouveau dans une auberge après celle d’Epidaure. Je me demandais avec anxiété comment cela allait se passer.
L’auberge de Thèbes, ressemblait aux précédentes. Surpeuplée d’une faune bigarrée avec une ambiance assez chaude et bon enfant. Nous avons veillé très tard car nous avons eu droit à un concert de guitare improvisé par des allemands suant de bière.
Nos lits de camps étaient dans un long dortoir aux murs crépis de blanc. Nous étions dispersés assez éloignés les uns des autres. J’en fus soulagé. Je pouvais enfin dormir l’esprit tranquille car il était absolument impossible de faire quoi que ce soit de discret.
Mais je me trompais car au milieu de la nuit je fut réveillé par Bernard qui me chuchota à l’oreille qu’il avait envie de mon cul.
- Enlève ton slip pétasse et à plat ventre.
Le cœur battant la chamade, je me suis débarrassé de mon slip je me suis mis à plat ventre sur le lit de camp. Mes jambes en dehors du lit, mon cul légèrement relevé.
Bernard se mit sur moi ses jambes poilues entres les miennes et son torse humide de transpiration sur mon dos glabre. Il a mis mon drap sur son dos pour nous dissimuler. Très vite il m’a donné ses doigts à sucer avant de me les enfoncer dans le cul pour lubrifier un peu. Il a recommencé le même manège plusieurs fois avant de positionner sa verge tendue entre mes fesses. Il m’a lentement enfilé son sexe dans le cul. Le sommier a grincé un peu. Bernard s’est arrêté puis a repris. Il m’a enculé doucement en silence, en ralentissant chaque fois que le sommier faisait des siennes et en accélérant après.
Soudé contre mes fesses, il m’ouvrait doucement la pastille par des mouvements latéraux qui me forcèrent à mordre le matelas pour éviter de gémir. Il a jouit au bout d’une dizaine de minutes et m’a tout de suite libéré pour retourner se coucher.
Je restais inerte sur mon lit, les jambes toujours écartées et le sperme de Bernard coulant lentement le long de ma raie pour se figer sur mes couilles. Les deux mecs de chaque coté de mon lit ronflaient comme des forges.
J'étais entrain de me nettoyer entre les fesses avec mon drap quand brusquement la porte du dortoir s’est ouverte. Je n’avais pas eu le temps de remettre mon slip. Deux types sont entrés en chantant à tu-tête. Ils étaient complètement saouls et nous ont tous réveillé. Tout le monde leur gueulait après.
Les deux mecs se sont calmés à l’arrivée du patron. Un vieux mec taillé comme une armoire à glace avec des cheveux grisonnant et une moustache qui lui barrait la moitié du visage. Il a houspillé les deux soudards qui ont gagné leurs lits en titubant et se sont écroulés sur le mince matelas.
Le patron continuait à râler en grec contre tous les jeunes qui ne savaient pas se tenir. Il s’est dirigé vers la porte à coté de laquelle se trouvait mon lit. Il est resté quelques secondes sur le seuil à balayer la pièce d’un regard noir.
Avant d’éteindre la lumière son regard s’est posé sur moi. Il me regarde fixement d’un air intrigué. Je comprend qu’il a vu la tache humide sur mon drap et qu’il a deviné que je suis nu en dessous. C’est bien sur, contraire à tous les règlements intérieurs des auberges de jeunesse. Je rougis de confusion en croisant son regard.
Il a eu un drôle de rictus avant d'éteindre la lumière et quitter le dortoir à présent calme.
Je tente de me rendormir. J’entends des bruits de vomissements. Certainement un des poivrots de tout à l’heure. Ronflements et sifflements divers reprennent petit à petit. Je profite du noir pour remettre mon slip. Il est humide. Je ne cesse de me retourner dans mon lit. Je repense au regard du patron. Ce mépris. Cet espèce de dégoût et de trouble. Je suis sur qu’il a deviné. Il doit s’en passer des choses dans une auberge de jeunesses.
Tout le monde dort sauf moi. La porte du dortoir est légèrement ouverte et une raie de lumière coupe la pièce. Certains des dormeurs s’agitent ou sursautent sur leurs lits. Je n’arrive pas à trouver le sommeil. J’ai encore l’anus qui coule. Mon esprit vagabonde à la limite de l’inconscience et du rêve. La lumière du couloir s’est éteinte...
Un air frais me balaye le visage. Je ne me suis pas aperçu que la porte du dortoir est ouverte. Une ombre massive se découpe devant mon lit. Je devine qui se penche au dessus de mon lit.
Dans la presque obscurité, nos regards se croisent. Une grosse main se pose sur mon torse à la limite du drap. Un doigt calleux barre verticalement ses lèvres. J’ai compris que je devais me taire. De toute façon, je n’avais nullement l’intention de crier.
La grosse main calleuse descend lentement le long de mon torse en entraînant le drap avec elle. Son souffle calme tranche nettement avec le mien haché et précipité. Ses gros doigts, rien à voir avec ceux de mes copains, caressent doucement mon torse imberbe. Je tremble. La main continue de descendre. Je ferme les yeux. Elle est sur mon slip et progresse entre mes cuisses. Je n’ose pas les écarter.
La main m’abandonne. Elle tâtonne sur mon lit avant de se saisir de mon poignet. L’ombre se redresse en me tirant. Je me lève. Il me pousse devant lui. Nous sortons dans le couloir sombre et désert. Il referme doucement la porte du dortoir.
Je reste immobile dans le couloir. Il est derrière moi et caresse mon dos, mes fesses, mes reins. Je suis excité. J'ai la chair de poule. Je tremble doucment. Les mains font entré mon slip dans ma raie. J’ai les fesses à l’air. Les mains se saisissent de l'intérieur de mes cuisses. J’écarte les jambes. Il me caresse l'intérieur des cuisses en remontant jusqu’à mes couilles douloureuses. Il me malaxe le bas des fesses de plus en plus vigoureusement. Il me pousse. Je marche.
Il ne lâche pas mes fesses et tire sur le fond de mon slip. Il m’a fait tourner à droite. Nous passons devant le dortoir des filles. Il ouvre une porte et me pousse. C’est une toute petite pièce uniquement éclairée par l'écran d’une télé allumée. C’est tout ce que je peux voir. La télé diffuse des images d’un groupe folklorique. Le son est atténué. Presque inaudible.
Le vieux referme la porte derrière nous, et se colle immédiatement contre mon dos. Ses mains deviennent de plus en plus pressantes sur mon slip. Puis sans plus attendre elles se saisissent de la fine étoffe pour la descendre a mi-cuisse, juste au dessus de mes genoux. J’ai chaud et pourtant, je tremble toujours. Impossible de contrôler mes muscles. J’écarte les cuisses du mieux que le permet mon slip. Je sens les grosses mains partir à la découverte de mes fesses et de ma raie offerte. Inconsciemment, je me cambre plus. Je me laisse faire et je bande comme un malade, moi qui ne bande jamais avec mes potes. J'ai une boule dans le ventre. J'ai envie...
Le vieux comprend vite que le slip entrave mes mouvements et il m’en débarrasse avec précipitation. Je suis complètement à poil dans cette petite chambre avec un vieux grec que je connais absolument pas!
J’écarte mes jambes au maximum. Je sens le cal de ses paumes me flatter les fesses. Bientôt, ses gros doigts noueux me triturent le trou. Je serre les dents quand il me plante un de ses doigts dans le cul. Il le pousse de plus en plus loin. Son ongle me griffe. Il le tourne dans mon trou. Le doigt est enduit de salive.
Zip de fermeture éclair. Froissement de tissu. Souffle profond. Il est collé contre moi. Un de ses mains se pose sur mon bas ventre et me ceinture. Sa bitte est bien tendue entre mes fesses. Elle cherche l’entrée et la trouve.
J’ai un peu peur. Ma bitte ramollie. Je me rend compte que je lui tend mes fesses. Je suis entrain de devenir une vraie pute. A la télé, Nana Mouscouri à remplacé le groupe folklorique. Elle chante an grec...
Le bras qui me ceinture me tient fermement contre le bassin musclé. Il doit être très poilu. Presque autant que Bernard. Son autre main se pose entre mes omoplates et me pousse pour que je me penche sur la petite table en Formica qui est devant la télé. Le froid du contact contre mon torse me fait frissonner.
Les bras me lâchent et les mains ouvrent mes fesses. Le vieux me crache plusieurs fois dans la raie. Son gland brûlant étale la salive autour de mon anus avant de s'immobiliser contre mon œillet.
A peine un soupir profond quand il s’enfonce dans mes reins. Je pousse un petit cri qui résonne ridiculement dans la pièce. Un vrai cri de gonzesse. Le vieux s’enfonce lentement en moi. Sa bitte me semble interminable. A chaque nouvelle poussée elle me fore les entrailles plus loin. Elle pénètre de plus en plus loin dans mes intestins. Le vieux prend son temps pour bien me l’enfoncer. Au plus profond de mon corps. Il ressort sa bitte lentement avant de la replanter d’un coup sec qui la pousse encore plus avant. A nouveau ce gémissement ridicule qui sort de ma bouche quand son bassin très poilu touche enfin mes fesses. J’ai l’impression délirante d’être embroché. Sa bitte doit être d’une sacrée longueur. Le gland tape sur ma prostate et à nouveau cette envie de pisser.
Il commence alors à me limer le cul. Il rajoute de temps en temps de la salive. Son pieu de chair me pistonne profondément, avec méthode. Il est très dur. Comme du bois. Son gland tape régulièrement contre ma prostate. Ça fait mal. Les grosses paluches de paysans agrippent mes hanches pour m’éviter d’avancer et de faire bouger la tables à chacun de ses assauts. Il me tringle méthodiquement, en prenant tout son temps, avec des grands mouvements de balancier qui collent régulièrement son pubis poilu contre mes fesses ouvertes.
Je me laisse enculer. Sa bitte de plus en plus dure grossit encore dans mon fion. Mes mains serrent les bords de la table.
Nana chante toujours. Cette fois ci en anglais !
Je tends mes fesses en serrant les dents. J’ai mal mais j’aime me faire défoncer le fion par ce vieux. Cet inconnu qui doit avoir trois ou quatre fois mon âge. Je savais pas que les vieux peuvent bander aussi dur et aussi longtemps. En plus il a une bitte très longue.
Je le laisse se servir de mon cul. Il le fait sans aucune gêne. Il ne tient absolument pas compte de mes envies. Il se soulage avec un petit jeune. Point à la ligne. Il profite de l’aubaine. Et moi, je lui tend mon cul en bandant.
Moi le petit français, qui était partis pour la première fois en vacance avec ses amis et sans ses parents, après m’être fait à moitié violé par des nordiques, après avoir servi de femmes à ses meilleurs potes et encore leur servir de femme, voilà que je suis à nouveau dans une auberge de jeunesse entrain de me faire baiser par un inconnu à qui j’offre mon cul.
Je suis réellement entrain de devenir une pute à qui il suffit de caresser les fesses pour que je tende mon cul à la première bitte qui passe.
Le patron accélère brusquement le rythme de l’enculade. Ses mains m’écartent au maximum les fesses pour qu’il puisse aller le plus loin possible dans mon corps. Il marmonne des trucs incompréhensibles et va de plus en plus vite et de plus en plus brutalement. Il est entrain de me dévaster le cul. Les jambes flageolantes et largement écartées, mon corps tressaute à chaque coup de pieu. Mon torse collé sur la table, mes mains serrant les rebords, j’attends avec excitation et douleur le moment de ma délivrance.
Cela ne tarde pas . Il m'inonde le cul, son gland bien au chaud au fin fond de mon cul. Et moi je jouis aussi sans me toucher.
Le vieux toujours planté en moi se couche sur mon dos à la recherche de son souffle. Son haleine sent l’ail et cette odeur me ramène à la triste réalité. Je viens de me faire enculé par un vieux qui pue de la gueule. J’ai mal au cul et j’ai envie de dégueuler.
Que diraient Jean-Yves et Bernard si ils me voyaient dans cette position avec cet inconnu. Le patron se redresse et me libère l’anus. D’une main il me flatte les fesses. Je me redresse. Il me tend mon slip en souriant dans la pénombre et me reconduit gentiment vers la porte.
Comme un somnambule, je traverse à poil le couloir. Le sperme coule de mon trou. Mécaniquement, je m’essuie la raie avec mon slip. Avant de rentrer dans le dortoir, je remet le tissu sale. Je m’endort en gardant l’image de mon trou, irrité et béant, déversant un filet de sperme dans la raie et sur le fond de mon slip.

Le lendemain au réveil, j’avais encore le cul irrité. Jean-Yves et Bernard ne se sont aperçu de rien. Bien sur, je ne leur ai rien dit et sur la route, j’ai du satisfaire leur manque sexuel de la nuit passée dans cette auberge, dés qu’ils ont trouvé un endroit discret dans un champ, à la sortie de Thèbes. Quand Bernard me la mise dans le cul, j’imaginais avoir celle du vieux encore en moi et quand j’ai sucé Jean-Yves, j’ai regretté ne pas avoir fait la même chose à la bitte de cette nuit.
La routine des vacances à repris. J’étais vraiment leur femme, leur obéissant, mettant à leur disposition ma bouche, mon cul, mes mains et tout mon corps.
A la moindre de leurs envies, je répondais par ma soumission. Et bien sur cela devenait de plus en plus humiliant pour moi. Laver leur linge, respirer l’odeur de leurs slips, embrasser leur pieds. Je devais aussi branler ou sucer celui qui conduisait, rester à poil dans la voiture quand les rideaux arrières étaient baissés, me mettre à quatre pattes dans la tente. Et encore, leur montrer mon trou , le lubrifier moi même avec mes doigts. Et pire encore, leur servir d’urinoir le matin, chier devant eux, ou marcher en me déhanchant pendant les visites des ruines.
J’ai appris à être leur salope. Tout ceci bien sur, quand nous étions seuls. Il faut aussi préciser qu’ils ne souhaitaient plus aller dans les auberges et ils cherchaient des endroits calmes et déserts après avoir visités les lieux touristiques du coin ou nous étions.
J’acceptais tout, même les fessées de Jean-Yves, même la grosse carotte que Bernard m’a enfoncé dans le cul. Je vous ai écrit une lettre avec ce gode improvisé dans le cul. Ils lisaient toutes mes lettres avant que j’ai l’autorisation de vous les envoyer et, quand par hasard, nous sortions le soir, je n’avais plus de slip sous mon short.
Tous les soir de la dernière semaine passée en Grèce, ils m’ont obligé à les subir les deux. Pendant que je suçais l’un l’autre, me sodomisait et ils changeaient souvent de place pendant que je restais des heures entières en levrette sous la tente.
Le pire fut le dernier jours, à la frontière entre le Yougoslavie et la Grèce. Ils avaient décrétaient ce soir là, que ma cuisine étaient de la merde.
- C’est du caca ta tambouille...
- Ouais..... de la vraie merde....
- Tu vas y goutter à de la merde.... Tu verras comme ça tu pourras comparer ma salope.....
A coups de poings et de gifles, j’ai léché leurs culs. On avaient pas pris de douches depuis trois jours. En suffocant de dégoût et de honte, j’ai enfoncé mon nez dans leurs raies sales et odorantes. J’ai lapé leurs corolles poilues et merdeuses, j’ai bouffé leurs muscles sombres et palpitants.
- Nettoie bien ma pute...
- Bouffe ma merde.. Tu mérites que ça...
Quand ils m’ont enfin lâché, je suis parti en courant, pour vomir derrière un rocher. Il pleuvait ce jour là. Devant mes yeux embués de larmes, je revoyais la raie imberbe de Jean-Yves, maculée de taches sombres et de trace rose de papier hygiénique. La main de Bernard m’écrasant le visage dans cette raie musclée. Je sentais sous ma langue le raie très poilue de Bernard. Les poils collés autour de sa rondelles. Les pets qu’il lâchait en riant. Je n’arrivais plus à contrôler les renvois de mon estomac et dans mon cerveau, les odeurs de leurs fions sont encore là.

A suivre

Bientôt Noël..... Et des soirées chaude de cocus...

Un Dimanche de brèves

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Quand l'obéissance devient un art

Humiliations
Mon mari chercha sur internet mon prochain maître. Il posta une photo de moi avec le visage masqué. Puis il sélectionna un homme parmi les nombreuses réponses. Il choisit les plus pervers et vicieux et en prit un.
J’ai 29 ans, je m’appelle Sabine. Je suis blonde coupe carrée, je porte des lunettes et je mesure 1m75 pour 60 kg.
J’avais rendez-vous avec cet homme le soir même sur une aire de repos d’autoroute. Je du enfiler ma petite robe rouge moulante ouverte sur les côtés et des chaussures noires à talons aiguilles.
Mes instructions étaient de lui obéir au doigt et à l’œil sans possibilité de refuser. Nous montâmes dans la voiture et partîmes vers le parking, non sans avoir la peur au ventre.
On se gara à l’entrée du parking derrière une voiture grise. On sortit de la voiture et mon maître s’approcha de nous. Je fus terrifiée, il s’agissait de mon prof d’histoire à l’athénée !
Il m’appela directement par mon prénom, montrant qu’il m’avait reconnue sur la photo. C’était un gros porc qui bavait sur ses élèves et faisait des allusions sur le sexe à son cours. Il était de taille moyenne, dégarni, ventripotant, la cinquantaine. J’étais vraiment gênée de la situation.
- Alors comme ça tu es devenue une putain ? »
Je devins rouge de honte.
- Non, je fais ça gratuitement ! »
- Tu m’as toujours excité à l’école, je bandais en pensant à toi et en te regardant. Et dire que maintenant te voilà mon jouet sexuel ! »
Je me retournais vers mon mari pour lui exprimer mon désaccord mais il lui donna raison.
- Chérie, tu as accepté, maintenant tu dois assumer »
Résignée, je me retournai vers Monsieur Goffin en baissant les yeux en versant quelques larmes et lui dis d’accord. Il se colla à moi et m’enlaça, une main dans le dos et une main directement sur les fesses.
Il me pétrissait les fesses sans ménagement pendant que j’essuyais mes larmes.
Sa main gauche s’empara de mes seins par-dessus ma robe, puis se glissa à l’intérieur pour me peloter. Sa main droite avait remonté ma robe. Le contact de sa peau sur la mienne me donna des frissons. Je n’en revenais pas d’être entre les mains de ce pervers qui d’ailleurs connaissait bien ma famille.
Il baissa ma robe jusqu’à mes chevilles. Je me retrouvais nue dans ses bras sur un parking connu pour ses pervers. Il m’embrassa à pleine bouche rentrant sa langue pour chercher le contact avec la mienne. Mon mari se colla à mon dos pour m’embrasser la nuque, je sentais quelque chose de bien dur contre mes fesses.
Et pendant que Mr Goffin et moi nous embrassions, mélangeant nos langues, il me dit à l’oreille :
- Dorénavant ce sera ton maître, tu es à lui »
Mr Goffin avait entendu et remercia mon mari. Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genou et ouvrit son short découvrant une queue tendue de bonne taille.
- Suce ! »
Je pris sa queue en bouche et commençai à le sucer. Il me déformait les joues.
Je l’entendais gémir de plus en plus fort puis il se crispa et explosa dans ma bouche, déversant du sperme en grande quantité que j’avalai et qui déborda de mes lèvres.
Je levai les yeux vers lui et il me regardait avec un sourire satisfait.
- Maintenant va jusqu’au bout du parking et reviens ! »
- Mais il y a des voitures et des camions … »
Ils rirent tous deux. Je me relevai et commençai à marcher, résignée.
- Marche comme une pute ! »
J’entendis l’ordre au loin. Je marchai donc un pied bien devant l’autre, mes cuisses se frottant à chaque pas. J’imaginais bien le spectacle que j’offrais à mon maître, mes fesses se dandinant.
Arrivée à hauteur des premiers véhicules, je pris mon courage à deux mains et continuai à avancer. J’avançais en baissant les yeux. J’entendais des portières et des murmures, on m’appelait et on me faisait des commentaires.
Arrivée au bout après 5 minutes de marche, je fis demi-tour me rendant compte qu’une demi-douzaine d’hommes me suivait. Je marchai donc dans leur direction pour rejoindre Mr Goffin et mon mari.
En traversant le groupe, certains me caressèrent au passage, agrippant un sein ou mettant la main aux fesses. J’étais morte de honte et j’avais très peur. J’accélérais le pas, les pervers me suivaient toujours. Arrivée près de Mr Goffin, celui-ci m’enlaça par la taille et me retourna vers les pervers.
- Elle est à vous messieurs. Elle prend dans la chatte et sans capote. »
Je me retournai terrifiée vers mon mari mais il souriait, comprenant qu’il était d’accord.
Tout s’enchaîna rapidement. J’étais entourée par les hommes qui me pelotaient tout le corps et m’embrassaient partout même sur la bouche !
On m’entraîna vers la table de pic-nic toute proche et on me coucha sur le dos, les jambes écartées. Je vis le porc entre mes jambes détacher son pantalon et sortir son sexe volumineux.
C’était un grand chauve, le quarantaine, blanc. Il posa son gland à l’entrée de mon vagin puis me pénétra. Il me ramonait sauvagement en me tenant les jambes et me pétrissant un sein de temps en temps. J’étais vraiment humiliée. Un inconnu était en train de me faire l’amour sans capote devant d’autres hommes…
Soudain, il se raidit en criant. Je compris qu’il était sur le point d’éjaculer.
J’espérais qu’il se retirerait pour éjaculer sur mon corps mais je sentis soudain une chaleur dans mon ventre. Ce connard venait d’éjaculer en moi !!
Sans me remercier à part un « salope » adressé avec dédain, il se retira et sans attendre, un autre porc pris sa place et me pénétra. Je pleurais résignée…
Il était du style méditerranéen, petit, moustachu, fin de quarantaine. Sa queue glissa dans mon sexe sans problème, facilitée par le sperme du précédent. Il me baisa également sans ménagement et se vida en moi.
Tout à tour ils passèrent sur moi au grand plaisir des spectateurs et de Mr Goffin qui me prenait en photo.
Mon mari se masturbait en me regardant.

Quand l'obéissance devient un art
et un jeu qui risque d'être dangereux...
Pour qui..?


Le jeux
Tout d’abord, je tiens à me présenter : je m’appelle Claude, j’ai 38 ans, je suis marié à Morgane, 37 ans, belle brune aux yeux bleus, qui me rend toujours fou d’amour. Nous sommes mariés depuis 2001 et avons deux magnifiques enfants de neuf et six ans.
Notre vie est plutôt banale, entre boulot, vie de famille et quelques sorties avec les copains. Au niveau sexuel, c’est très classique, et, comme dans de nombreux couples, pour moi ce n’est pas assez fréquent alors que pour mon épouse une fois de temps en temps, c’est largement suffisant. Nous sommes exclusivement monogames et contre toute forme de partage ou de mélangisme. Ma femme est très pudique, il est hors de question pour elle de faire du seins nus à la plage ou d’exhiber son corps à d’autres personnes que moi.
Toute cette histoire avait démarré par une invitation à un week-end pour l’inauguration de gîtes, que venaient de terminer un couple d’amis. Pour l’occasion, ils avaient ouvert les quatre gîtes et tout le monde pouvait aller et venir entre les différents logements.
Nous étions plus de quatre-vingts invités. Ils avaient prévu plusieurs cochons grillés et un bar monstrueux, avec boissons à volonté. De notre côté, nous avions prévu de rester dormir chez nos hôtes et nous pouvions en profiter pour nous laisser un peu aller. Même Morgane, pourtant peu habituée à consommer de l’alcool, avait rarement un verre vide à la main.
Je ne l’avais plus vue depuis une petite heure, je l’avais vue entrer dans le gîte le plus éloigné avec Marc et quatre des amis de son club de poker. Je décidai de les rejoindre, un peu inquiet et jaloux de son absence. Arrivé sur place, je la vis : elle était attablée avec les cinq hommes et ils avaient démarré une partie de poker. Fred et deux autres collègues étaient debout et assistaient à la partie. Je m’approchai et ma première réaction fut de surprise : en effet deux des hommes qui étaient à table étaient torse nu !
J’interrogeai Fred, qui m’annonça calmement que Morgane s’était laissé entraîner dans une partie de strip-poker. Je n’en revenais pas ! Elle, si pudique et réservée, jouait contre cinq hommes à un strip-poker ! Dans le gîte, elle était d’ailleurs la seule femme. Je décidai de ne pas intervenir, sachant que, de toute façon, même avec l’alcool, elle était bien trop pudique pour aller trop loin, d’autant plus que - pour le moment - elle gérait plutôt bien la partie.
Les parties et les verres s’enchaînant, ma douce et tendre avait de plus en plus de mal à se concentrer et venait de perdre son premier vêtement. Elle avait ôté son petit gilet, il lui restait encore son chemisier, son jean, et ses sous-vêtements. Tandis que du côté des hommes, deux d’entre eux n’avaient plus que leur caleçon, Marc était torse nu avec son jean, et les deux autres étaient, l’un en t-shirt mais sans pantalon, alors que l’autre - un grand chauve très baraqué - n’avait perdu aucun vêtement.
La partie suivante fut décisive pour l’un des voisins de ma femme : il perdit son dernier vêtement. Tout le monde attendait pour savoir s’il irait jusqu’au bout. Sans se dégonfler, en restant assis, il ôta son dernier habit et le posa au centre de la table. Ma femme était plus rouge et plus gênée que lui. Je la voyais qui regardait discrètement ce sexe légèrement gonflé, juste à portée de main…
La partie reprit et ma femme perdit son pantalon. Au tour suivant, Marc perdit son jean. Les verres continuant à se remplir, les joueurs commençaient à avoir du mal à garder leur concentration. Le grand baraqué perdit pour la première fois et retira sa chemise. Sans elle, il était encore plus impressionnant, sculpté comme un champion de body-building !
À la partie suivante, l’autre voisin de mon épouse perdit et se leva pour ôter son caleçon. Il faisait un peu le fanfaron, il monta sur sa chaise et mima une petite danse sexy avant de baisser son caleçon sur ses chevilles. Son sexe, au repos, se balançait au rythme de ses gesticulations et tout le monde rit de bon cœur. Les deux voisins de ma femme étaient à présent entièrement nus.
Sans doute distraite, Morgane perdit la partie suivante. Elle retira son chemisier, se retrouva en dessous, et ses voisins ne se privèrent pas pour admirer ses courbes magnifiques. Et la partie suivante vit le grand baraqué perdre son pantalon.
La mène qui démarrait allait être capitale : soit mon épouse perdait son soutien-gorge, soit l’un des deux derniers mâles allait nous exhiber son membre. Ce fut l’un des voisins de mon épouse qui perdit ! Après concertation, il fut décidé qu’il aurait un petit gage : il devrait se lever et faire le tour de la table pour remplir tous les verres. Il s’exécuta et tout le monde put constater que son sexe avait pris du volume depuis que ma femme s’était retrouvée en sous-vêtements.
À la partie suivante, ma femme perdit de nouveau. Je me demandais comment elle allait réagir, je m’attendais à ce qu’elle refuse de montrer sa poitrine et se retire du jeu. Mais, soit je ne connaissais pas mon épouse, soit l’alcool l’avait totalement désinhibée. En effet, sans aucune hésitation, elle passa les mains dans son dos, dégrafa son soutien-gorge et s’exhiba aux regards des joueurs et des quelques spectateurs présents dans la pièce.
Les hommes avaient l’air d’apprécier et semblaient également vouloir en voir plus, car, à la partie suivante, ils semblaient s’être ligués pour faire perdre mon épouse. Celle-ci avait réalisé dans quel piège elle venait de tomber, et refusa de retirer son dernier rempart. Les autres joueurs insistèrent un peu, sans s’énerver. Aussi, pour que l’ambiance ne tombe pas totalement, Marc lui proposa de se lever, et, au lieu de retirer son petit tanga, de faire le tour de la table pour servir tout le monde. Elle accepta et passa entre les chaises pour remplir tous les verres. Tous les joueurs en profitèrent pour admirer ses seins de près et mater ses jolies fesses.
Ils décidèrent de reprendre la partie. Au premier tour, Marc perdit, et, sans hésitation, se leva pour retirer son boxer. Son sexe était totalement bandé, et, à peine libéré, vint se plaquer sur son ventre. Il s’excusa auprès de Morgane, en lui précisant qu’elle était la principale cause de son trouble !
Au tour suivant, Morgane perdit de nouveau, mais elle refusait toujours d’ôter son dernier vêtement et proposa de se lever à nouveau pour effectuer le service. Marc et ceux qui étaient entièrement nus objectèrent qu’eux avaient joué le jeu, et qu’ils exigeaient son vêtement sur la table… L’ambiance avait changé et était un peu plus lourde, je pensais que mon épouse devait se retirer, mais je n’intervins pas, un peu excité et curieux de voir jusqu’où elle irait.
Le grand costaud proposa à mon épouse de refaire une partie à quitte ou double. Tout le monde attendait de savoir ce qu’il voulait. Il lui proposa, soit de se déshabiller immédiatement, soit de faire une dernière mène. Si elle gagnait elle gardait son tanga, si par contre elle perdait, elle devrait caresser tous les sexes, c’est-à-dire les masturber tous les cinq. Je m’attendais à ce qu’elle pose son vêtement sur la table pour mettre fin à la partie. Encore une fois elle me surprit et demanda les cartes. La tension était palpable, tout le monde posa ses cartes et il fallut se rendre à l’évidence, Morgane avait perdu !
Elle ne bougeait pas, personne ne disait rien. Ce fut l’un des voisins de Morgane qui se leva le premier. Il se tourna vers elle, en flattant doucement son sexe avec sa main, et attendit. Elle le regarda, son regard passant de son visage à son sexe. Tout cela me semblait irréel, mais je ne voulais pas intervenir. Au bout de quelques longues secondes il lui prit la main et la posa sur son membre. Elle le laissa faire, mais restait passive, c’était davantage lui qui se masturbait avec la main de mon épouse, qu’elle ne le caressait. Son autre voisin se leva à son tour, prit l’autre main de Morgane, et la posa sur son sexe gonflé et dur. Je vis Morgane commencer une lente masturbation. L’homme accélérait les caresses de Morgane, soudain il se crispa, lâcha la main de mon épouse qui continua sa caresse jusqu’à ce qu’il éjacule. Alors il s’effaça, pour que Marc vienne prendre sa place.
Morgane saisit son sexe et débuta sa caresse. Marc posa sa main sur le sein de mon épouse et essaya de la caresser. Elle lâcha le pénis pour écarter sa main, car il n’était pas convenu qu’elle se laisse peloter. Quelques instants plus tard, il tenta une nouvelle approche sur sa poitrine, avec le même résultat. Mais à la troisième tentative, elle le laissa faire, et son compère s’occupa de l’autre sein. Mon épouse cessa ses mouvements sur les deux membres qu’elle avait en mains. Inutile de continuer à chauffer à nouveau leurs propriétaires, puisqu’ils s’excitaient davantage en lui caressant la poitrine. Ainsi son supplice finirait plus rapidement…
Cependant, je voyais son attitude évoluer, elle semblait commencer à prendre du plaisir sous les caresses. Les deux acolytes semblaient également apprécier ses mains douces sur leurs sexes, et c’est assez rapidement qu’ils jouirent de concert sous ses doigts. Marc éjacula vigoureusement, les premiers jets de sperme atterrirent sur le visage de Morgane, à la commissure des lèvres. Il posa son index sur son visage, étala légèrement sa semence, puis présenta son doigt à la bouche de mon épouse. Il força légèrement le passage, et Morgane ouvrit les lèvres pour lui lécher doucement le doigt et gouter sa semence.
Les deux derniers joueurs s’approchèrent à leur tour, pour profiter des caresses de mon épouse. Le grand costaud retira son slip et dévoila un sexe de taille peu commune. Il ne bandait pas encore mais son braquemart était déjà beaucoup plus volumineux que la moyenne. Ils s’approchèrent et elle prit leurs sexes en main. Le pénis du grand costaud la troublait, elle ne le quittait pas des yeux. L’autre joueur haletait. Elle avait à peine débuté sa caresse, qu’il vint entre ses doigts. Le grand baraqué fit pivoter Morgane vers lui et prit ses seins dans ses mains. Il lui malaxait la poitrine et de temps en temps prenait ses tétons entre les doigts en les tournant délicatement. Elle semblait commencer à éprouver du plaisir sous ces caresses. Doucement, le grand balèze appuya ses mains derrière la tête de Morgane, et rapprocha son visage de son membre, maintenant bien dur. Elle tourna la tête au dernier moment, maintenant il frottait son gland contre sa joue. Elle continuait de le masturber mais refusait de le prendre en bouche. Lui, avait posé sa main droite sur la cuisse de Morgane et l’approchait petit à petit de son entrejambe. Elle ne résista pas, au contraire, elle ouvrit légèrement les jambes pour lui faciliter le passage. Il ne se fit pas prier et passa ses doigts sous le fin tissu. Mon épouse semblait apprécier cette caresse et gémissait doucement. Elle avait maintenant tourné la tête vers le dard qui se présentait et tout en le masturbant, elle le touchait du bout des lèvres.
Le Tarzan, de son côté, ne restait pas inactif. Malgré la présence du tanga, il avait réussi à glisser ses doigts entre les lèvres intimes de Morgane, et les faisait aller au rythme de ses caresses. Elle n’était pas loin de la jouissance. Voyant cela, il en profita pour enfoncer un peu plus sa queue, elle se laissa faire et ouvrit un peu plus la bouche pour l’accueillir. Il allait et venait dans sa bouche, de temps en temps il sortait son sexe et elle le léchait sur toute sa longueur. Brusquement, elle se cabra : elle venait de jouir sous ses caresses. Elle continua sa fellation encore quelques instants et il se crispa à son tour. Elle voulut le retirer de sa bouche, mais il l’y maintint avec sa main, avant de jouir en elle. Elle ne dit rien et lorsqu’il retira son sexe, elle sortit la langue pour le nettoyer.
Enfin elle se leva, prit ses vêtements avant de se diriger vers la salle de bains, sans un mot ni un regard pour moi.

Autour d'un thème Dominical..

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