Y a des mecs qui ont du pot dans la vie!
Moi il m'est jamais arrivé ce genre de truc en vacance!!!
Enfin, les congés...
J'avais prévu de me ressourcer dans un camping provençal au bord de la mer. Il y avait tout, la plage la forêt les femmes... Les vacances en un mot...
Un jour, après mettre baigner pendant une bonne heure, j'avais décidé de rentrer rejoindre ma copine qui avait décidé de rester à la piscine du camping. Quelle faignéasse, la plage n'était qu'à un ou deux kilomètres à pied et en plus il y avait des plongeons terribles à faire.
Pour rentrer j'avais décidé de faire un petit détour afin de longer le bord de mer, histoire d'admirer le paysage. Mais quelque chose avait attiré mon attention, sur une plage rocheuse, qui plongeait dans l'eau turquoise.
Un homme nu était debout contre un rocher. Bien que, théoriquement, je n'étais homosexuel, il m'attirait. Il était bronzé, et très musclé. Sa peau luisait au soleil, sans doute avait il plongé dans l'eau quelques instants auparavant. Il avait de longs cheveux noirs et bouclés qui descendaient jusqu'au épaule, le style hawaïen en gros...
Je marchais lentement sans faire de bruit, puis je me mis à couvert derrière un buisson lorsque je vis un autre homme, nu, plus grand et fin, avançait devant lui, l'attraper par la taille et l'embrasser. Je voulus partir, mais contrairement à ce que j'aurais cru, ça m'excitait.
Alors je restais, là, silencieux, en train de mater. Ils se caressaient, faisant longer leur main de l'épaule jusqu'à la taille. A chaque fois que la main passait sur un pectoral, je voyais l'homme caressé frémir. Plus les caresses se poursuivaient, plus leurs sexes se dressaient. Et pas que les leurs, le mien se bandait déjà dans mon short de bain.
Chacun saisit le sexe de l'autre doucement pendant qu'ils s'embrassaient depuis toutes ses longues minutes. Moi je fis pareil tout seul, baissant mon short. Je me branlais, tout excité de voir autant de douceur et de sensualité, moi qui imaginais des rapports bestiaux entre hommes. J'avais honte de mes préjugés. L'homme musclé ne bougeait pas, collé à sa pierre, pendant que l'autre embrassait son torse, en le branlant toujours. Il gémissait de plaisir, basculant sa tête en arrière par moment, fermant les yeux par d'autres. Ce couple respirait le bonheur d'être seul au monde sur cette plage. Enfin, seul, théoriquement...
Il allait gobé le sexe de son partenaire, puis en une seconde, tout s'arrêta, ils s'éloignèrent...
Pourquoi, je voulais jouir de cette vue. J'étais intrigué, mais je compris très vite que une famille emprunta le sentier, en entendant les cris des gamins. Je remballais mes affaires, déçu, puis repris ma marche, avant que quelqu'un m'aperçût...
Je rentrais vers ma tente, je me préparais doucement pour la soirée dansante organiser au bar du camping. Je me mis une chemise hawaïenne, en passant encore au bel homme musclé de tout à l'heure.
Je mangeai un peu pour ensuite aller retrouver ma copine au bar. Je la vis sirotant un Malibu, puis elle se dirigea vers la piste de danse.
Elle dansait comme une déesse, ses formes parfaites se découvraient quand elle cambrait son dos. Un mec se mit à danser à côté, et commença à la tripoter. J'étais rouge de colère. J'avais envi de lui refaire le portrait jusqu'à ce qu'elle lui passa une main au niveau de son sexe pour l'exciter.
J'étais devenu vert. Je me décidai à l'oublier, en même temps on s'était connu la veille, on passait une folle nuit d'amour, euh de sexe plutôt, et ça s'arrêta là.
Je trouverais bien une autre occupation.
Je m'en allait donc énerver, à vifs pas. Je décidai de me prendre une douche, pour me déstresser. En chemin j'entendis des bruits suspects. Sur le côté un muré de deux mètres soutenait le sol. Avant l'aménagement du camping, le terrain devait être en pente. Au dessus une caravane était stationnée. Un lampadaire situé sur le sentier où je marchais créait l'ombre d'un couple sur la caravane. Je ne pouvais les voir directement à cause d'un arbre, mais grace à l'ombre je vis qu'il était en pleine ébat sexuel. A entendre les cris, il y avait une femme et un homme.
A cette époque j'étais jeune, et le voyeurisme m'excitait. J'avais de la chance, c'était la deuxième fois aujourd'hui. Mais contrairement à la première, je comptais jouir pleinement de la situation. En attendant je jouais les commandos pour avoir la meilleure vue possible, sans être repéré. Je connaissais bien le camping, et je me retrouvai rapidement derrière la caravane, pour avoir une vue imprenable. Il n'y avait personne, tout le monde était à la soirée dansante....
Enfin, je m'assis, prêt à mater. L'homme était de dos par rapport à moi, il pénétrait la femme plaquée contre l'arbre. Chacun des assauts masculins la faisait prendre son pied, elle criait de jouissance. Je me branlais, en voyant, sa merveilleuse poitrine généreuse. L'homme prit la jambe de sa partenaire, la plaqua contre lui avec force et virilité en la maintenant à bout de bras. Ainsi l'entrée de son vagin était ouverte, à son apogée. Par sa posture, la femme était immobile s'agrippant à l'arbre. L'homme de sa main libre la tenait par la taille et continua ses coups de reins.
Chacun engouffrait la verge au plus profond du vagin. Je conclus qu'il la transperçait, en entendant les cris de la femme. Le visage de la femme transcrivait un mélange de jouissance et de douleur. Elle avait mal, son dos devait frotter contre l'arbre à chaque perforation de la part de son amant. La position devenu vite inconfortable. Je l'admettais, je voulais pas être à sa place. L'homme sentait l'orgasme arriver pour eux deux. Il la décrocha de l'arbre, la posa au sol, elle était maintenant accroupie face à moi, les yeux fermés afin de profiter des dernières minutes du débat. Il reprit la pénétration face à moi, en gémissant.
Je fixais les seins qui se balançaient à chaque pénétration, je m'en branlais avec toujours plus de vigueur. Enfin j'allais jouir. Mes yeux montèrent, virent son visage ouvert au plaisir, puis je mattais le corps de l'homme. Ses abdos, ses pectoraux, sa peau bronzée et humide....
Je l'avais déjà vu, c'était l'homo de la plage. Enfin, homo, plutôt bisexuel....
J'aimais son corps, il m'excitait encore plus. Ses pectoraux se contractaient pour la pénétrer avec plus de force, et de plus en plus vite . Il était en train de faire jouir sa maîtresse, et moi avec. Celle-ci criait, encore et encore. J'en avais les tympans qui bourdonnaient tellement elle criait fort. J'en oubliai que je pouvais être vu, je me branlais farouchement, échappant quelques cris de ma bouche. J'éjaculai au moment où la femme eut un spasme plus fort que les autres, l'empêchant de crier pendant quelques secondes. Je compris qu'elle avait jouit, et relevant la tête je vis que l'homme me dévisageait. Il avait du me repérer pendant les deux secondes de silence.
Je pris la fuite mort de peur. Je courais vers les douches, je m'enfermais dans une. J'oubliais de mettre le verrou tant je tremblais de tous mes membres. Je me désabillais. Enfin nu, je laissai couler l'eau sur mon corps enlevant par la même occasion le sperme qui était sur ma main. Je reprenais doucement mon calme, l'eau me procurait des frissons, étant donné que j'avais jouis quelques instants auparavant, elle m'apaisait.
Puis la porte derrière claqua d'un coup, j'étais terrifié, le visage blafard, je me retournai.
Là, je vis l'homme nue, le sexe encore rouge et en érection....
Il s'approcha de moi, doucement sans un mot. Je tremblais, je m'imaginais les pires choses qu'ils pouvaient m'arriver. Allait-il me tabasser jusqu'à ce que je pisse le sang de partout ? Possible, il n'y avait aucun témoin.
Non, je me rappelais de la plage, il était possible qu'il puisse me violer. J'en avais peur en voyant son engin. Je me reculais de plus en plus, jusqu'à taper le bouton poussoir de la douche. L'eau coulait mouillant nos corps. J'étais coincé, il me coupait toute retraite.
Alors il se mit à parler...
- Tu as deux possibilités... »
J'étais tétanisé, qu'est ce qu'il allait me proposer...
- Soit tu me suces... »
Soit je devais me retourner afin qu'il me pénétre, pensais je au fond de moi.
- Soit je te suce !! »
- P*tain, qu'est-ce que tu m'as foutu les boules..., criai-je soulager de penser que j'allais pas me faire défoncer l'anus.
- Je vois ça tu trembles comme une brebis devant un loup, répondit-il avec une voix virile et douce, à la fois.
Je repris mon calme avec de longues respirations. On se regardait, je ne voyais aucune violence dans ces yeux maintenant. Il avait joué la comédie avec beaucoup de talents. Je m'approchais de lui posant ma main sur son torse. On en frémit tous les deux.
- Je sais pas, les deux propositions sont tentantes. C'est certain, j'adore qu'on me suce. D'un autre côté j'ai jamais sucé une bite. En plus elle est belle et grosse la tienne. disais-je d'un air coquin...
Je me collais à lui, caressant ces muscles. J'étais, depuis la première fois que je l'avait vu, admiratif devant ses pectoraux. Je touchais doucement ses tétons, ils pointaient déjà. J'embrassais furtivement ses pectoraux, puis sa bouche.
Mon sexe se remplit alors de sang, je bandais. C'était la première fois que j'étais si proche d'un homme, physiquement bien sûr. Il me passa une main sous les fesses, me plaqua contre lui pour me rouler une pelle. Je fondis sur place, je frissonnais. Quand il me lâcha, mes jambes n'eurent pas la force de me soutenir. Je tombai devant lui, à genoux. Son sexe était devant mes yeux, je le saisis pour le gober immédiatement.
Je me mis à le sucer. J'étais un homme, je savais parfaitement comment il fallait sucer pour le faire défaillir. Je le suçais comme j'aurais voulu que les femmes me sucent. Je léchais du bout de langue, la base de son sexe, je remontais doucement jusqu'au gland, et je terminai par un passage furtif sur le frein. Il frémissait. J'empoignai alors ses fesses de mes de mains, afin de le masturber qu'avec mes lèvres. Je la mis entièrement dans ma bouche, et recommencais de plus bel. Il laissa échapper un « humm » de sa bouche.
- On m'a jamais sucé comme ça, tu es doué pour ta première fois...
A ces mots, j'eus le désir de le faire jouir dans ma bouche. Je saisis sa queue d'une main, la décalotais, pour enfourrer son gland dans ma bouche. Je le pressais contre ma langue, pendant que je masturbais sa verge énergiquement.
- Tu bandes, humm, tu bandes comme un taureau..., c'est moi qui te fais ces effets là ? ».
Oui, c'était lui, il me faisait vibrer de plus en plus quand j'entendais sa respiration s'accélérait anarchiquement. Je tins alors de mes deux mains sa taille, et le plaquai contre la douche, pour que l'eau ruisselle sur son corps.
Il poussa un cri de jouissance, j'en gobai sa queue plus profondément. Ma tête se balançait en avant, en arrière, afin de créer des mouvements de va et vient. Je faisais attention à ne pas lui toucher la queue avec mes dents, j'en avais déjà tant souffert.
Il se tordait de plaisir, je sentais ses fessiers se contractaient, frénétiquement, jusqu'à ce que tous ses muscles se raidirent. Il était en train de jouir dans ma bouche. Je goûtai alors sa semence, et continuai à le masturber de mes lèvres afin de ne pas perdre une goutte.
- Humm, c'est bon..... , lança mon homme.
- Oui je trouve ça très bon...., répondis je, en me relevant, afin d'avaler son sperme devant lui.
- Tu suces bien. Même très bien, mais pas autant que moi, je suis un expert....
- Prouves le..... »
A son tour il me plaqua avec douceur contre la douche. Il posa ses mains sur mes pectoraux, j'en frémis, et d'autant plus lorsqu'il descendu ses mains jusqu'aux hanches. Il embrassait ma peau douce, au dessous du nombril. Il me faisait attendre j'en pouvais plus.
- Suce moi », criai je.
Il n'en faisait rien, et continuais à me caresser tout autour de mon sexe sans jamais le toucher. Cela m'avait vite énervé. Je le pris par ses cheveux mi-longs, et le plaquai contre mon sexe, qu'il avala d'un coup. Humm, c'était bon. C'était vraiment un expert comme il l'avais dis.
Pendant que je savourais chaque seconde, j'entendis un bruit de douche. Je relevai les yeux. La porte de ma douche était grande ouverte, celle dans face aussi....
C'était la femme de tout à l'heure, celle qui s'était fait pénétré par l'homme, l'homme de la plage, l'homme que j'avais sucé, l'homme qui me suçait à présent... Elle m'avait aussi suivi, et prenait sa douche en nous regardant. Elle se caressait le clitoris, qui était rouge vif.
Son visage s'ouvrait au plaisir. Voyant son état d'excitation, je pensais qu'elle m'avait maté en train de sucer son amant depuis le début. Le mateur matait, ce renversement de situation n'était pas pour me déplaire. Voyant cette belle femme se toucher, ma verge grossit encore et encore dans la bouche de mon homme. Elle se caressait les seins, et en les malaxant, je sentais que l'orgasme arriverait plus vite.
Cette vue me faisait baver, pendant que l'autre suçait toujours, toujours plus. Je n'avais plus qu'une seule envie, c'était que la femme venait nous rejoindre sous la même douche. Mais elle s'amusait à provoquer mon envie, sans la satisfaire.
Alors je sentis que mon amant arrêtait sa fellation. Il se releva, faisant glisser ses mains jusqu'à mes aisselles, me tint avec force pour me soulever. Je m'accrochai au pommeau de la douche, pendant que je posai mes genoux sur ses épaules. Il posa ses mains sur mes fesses afin de me soutenir, et recommença de gober ma queue.
Cette fois j'avais l'impression de transpercer sa gorge, je fermais les yeux oubliant l’exhibition de la femme. Je m'ouvrais au plaisir, je jouissais.
- Haaa, haa, encore plus fort « , criai je de tous mes trippes...
J'avais tous mes muscles contractés par la position dans laquelle je me trouvais. Il se pencha en arrière, pour que je dusse lâcher prise et attraper son cou. Il se retourna et le posa délicatement au sol, allongé sur le dos. Il était désormais à quatre pattes, ainsi sa main me saisit avec force sans difficulté, et entreprit des va et vient frénétiques...
Sous le plaisir je cambrais mon dos, penchant ma tête en arrière, voyant par moment la belle qui se enfonçait un doigt au plus profond de son intimité. Ses petits bruits me donnèrent des spasmes irréguliers.
Puis dans un dernier soupir, j'ouvris la bouche sans qu'un mot puisse sortir.
C'était si bon, que chaque coup de langue de mon amant sur mon gland soulevait mon buste...
Quand il se releva enfin, je vis son visage plein de foutre, on en riait.
Je ne pouvais plus bouger, je devais reprendre mes esprits, et mon souffle.
Sa maîtresse nous rejoignit, elle l'embrassa doucement et rapidement sur sa bouche encore arrosée de mes semences.
- Alors, est-ce que le gamin est satisfait ?, demanda-t-elle...
- C'est pas à moi de le dire...
A ces mots je tressaillis. Je me relevai d'un bond. Elle était en train d'embrasser son amant, qui c'était essuyé la bouche. Elle s'arrêta et vint m'embrasser langoureusement....
- On y va, cet endroit et trop lugubre pour faire l'amour... », dit elle...
Je pris mon short d'une main, et la suivi avec mon amant....
Dehors le froid nocturne faisait pointer ses seins, et par de regards yeux dans les yeux avec mon homme, nous nous disions qu'elle nous donnait beaucoup d'envies. Nous avions envie de la plaquer sur le champ, de l'embrasser, de saisir ses seins, de l'embrasser sur tout le corps....
Mais il se faisait tard, les personnes du camping commençaient à rentrer dans leur tente, ou caravane. Nous courions de buisson en buisson, tous les trois nus, pour ne pas se faire repérer...
Elle nous emmenait vers la foret, c'était tout prêt du camping. Elle s'arrêta juste au niveau d'une petite clairière éclairée par la pleine lune. On avait la chair de poule, mais qu'importe, on allait vite se réchauffer.
Elle s'avança vers moi, plaqua sa main contre mon sexe, qui grossit immédiatement. Elle le massait doucement en me lançant :
- Hum, j'ai envi de toi, enfin de la partie que je tiens en main. Et ça depuis cette après-midi, tu te croyais seul au dessus de la plage... ».
Quel étrange hasard, sur ces mots une peur paranoïaque venait en moi. Mais devant ses caresses j'oubliai mes pensées, je n'avais plus qu'une seule envie, une envie sexuelle...
Elle goba mon sexe, juste après s'être agenouillé.
- Alors qui suce le mieux ? répliqua l'amant en s'approchant de moi.
- Je suis incapable de juger quoique ce soit à présent, approche !! » répondis je, en haletant de plus en plus.
Il s'avança jusqu'à que je puisse lui saisir sa queue, afin de la masser. Je tirai dessus afin de décrocher un doux baiser langoureux.
- Tu ....
- Tais toi, je savoure », le coupai-je.
Il descendis sa main sur mes fesses, il caressa mon anus. J'en frémis. Il tenta de mettre un doigt, histoire de le dilater.
- Tu sais, je vois mal ta grosse queue me pénétrer, gloussai-je, avec inquiétude.
- On me le dit souvent...»
Il m'embrassa le cou, je regardais le ciel, tant je vibrais. Dieu devait nous maudire, tant nous avions de plaisir si bas, sur terre. Je massais sa verge du bas jusqu'au gland. De ma main elle devenait de plus en plus dure. De ma main gauche, je lui caressais le torse. Je l'aimais vraiment son torse. Je ressentais chacune de mes caresses par des accoups au niveau de son sexe.
- Tu apprends vite, petit....
- Tu es un bon prof.... », répliquai-je.
La femme me suçait sublimement, elle avait du recevoir des cours de mon amant, je contractais de plus en plus tous mes muscles. Mon extrémité se gorgeait de sang, j'en pouvais plus. Puis elle s'arrêta, enfin lança de sa voix coquine et sensuelle
- Tu ne vas pas jouir comme ça, se serait trop facile « .
Alors elle se tourna, à peine, vers mon amant, qui se tenait à côté de moi. Elle saisit son sexe d'une main, avec force, et s’essaya sur les fesses, les jambes allongées dans l'herbe humide. Elle obligea ainsi l'homme à poser ses genoux à terre.
Puis elle commença à le sucer en pliant une jambe, afin que je puisse profiter de la vue de sa chatte. Elle voulait que je prenne une initiative, cela me paraissait évident. Je voulais jouir, je perdais patience. Je devais donc lui procurer autant de plaisir que possible afin qu'elle me demande de sa voix sensuelle « Prends moi « .
Je m'allongeai dans le sens qu'indiquaient ses jambes, posai une main sur ses fesses, et ma bouche sur sa vulve. Je commençais par me délecter de son nectar, en longeant du bout de ma langue son clitoris. Je sentais qu'elle frissonnait. Ses frissons se propageaient dans tout ses membres, lorsque je la pénétrai de ma langue dans son vagin. Elle voulut glousser de plaisir mais son cri était atténué par la fellation.
Je carressais de ma main libre sa jambe qui reposait au sol, sa peau douce m'émerveillait. Ma deuxième main dériva de ses fesses jusqu'à son anus. Là je pénétrai d'un doigt ce dernier tout en continuant mon rituel langoureux. Elle en frissonna tellement que sa bouche et la queue, qui s'y trouvait, en tremblaient . Par répercution, je faisais donc frissonner les deux amants. Leur respiration se saccadait.
L'homme poussa quelques cris tellement elle suçait bien. Je pouvais le confirmer. Elle devait lui presser le gland avec ses lèvres, en insistant avec sa langue. A moins qu'elle ne soit en train de longer sa verge avec sa bouche. En tout cas il devait être aux anges, et je voulais que ma compagne de ce soir le soit aussi...
Mon doigt s'enfonçait toujours plus dans son anus. Toutes mes phalanges étaient à l'intérieur, puis ressortaient, dans un va et vient toujours plus rapide. Elle frémissait toujours plus aux assauts de ma langue dans son vagin. Je retirai ma langue, recommençai à lécher son bouton devenu totalement rouge de plaisir. J'enduis mon doigt de mouille afin de lubrifier son anus, puis je continuai à la pénétrer de ma langue.
Pendant ce rituel, j'entendis sa voix. Elle n'en pouvait plus. J'attendais, toujours et avec de plus en plus d'envie qu'elle me crie, m'ordonne de la prendre.
Elle enleva le sexe du bel homme musclé de sa bouche, pour crier. Mes caresses lui provoquaient tant de plaisir, elle perdait le contrôle de ses mouvements, elle n'arrivait plus à sucer notre compagnon.
- Ahh, j'en peux plus, humm «
Stimulé par son cri, je la caressai avec plus d'insistance, pendant que je vis l'homme embrassait ses seins. Elle se pencha en arrière, s’appuyant sur ses bras, les yeux fermés. Puis elle se coucha à terre, toujours cambrée pour permettre à mon doigts de la pénétrer analement.
Notre homme la soutenait en posant une main sous son dos, pendant qu'il caressait à présent un sein de sa main, l'autre de sa bouce.
Elle se tordait de plaisir, contractait plus fréquemment ses membres jusqu'à ce que sa bouche laissa échapper un long cri qui se tut dans un long spasme, avant de recommencer doucement. Elle venait de jouir, mais nous continuions nos caresses plus lentement.
J'enlevais mon doigt de son anus pour qu'elle puisse s'allonger entièrement. Elle reprenait difficilement son souffle tant le plaisir avait été fort. Elle essayait de parler mais elle n'y arrivait pas. On la calma par de doux baiser tout le long de son corps jusqu'à ce que sorte de sa bouche...
- Hummm, c'était si bon. Merci mes hommes.
- Mais ce n'est que les préliminaires, répondis je d'un ton coquin, afin de me venger de la fois précédente.
- Oh oui, achevez moi. »
Je pensais que nous avions eu tous les trois la même idée à cet instant. Mon homme et moi étions relevés, les sexes en érection. Notre maîtresse était toujours allongée, en train de nous regarder, enfin nous, façon de parler.... Elle matait nos queues, puis elle laissa à l'autre mec :
- Pour la pénétration « par derrière », je ne la sens pas trop ta grosse queue....
C'était vrai, il en avait une belle et large. Si elle était plus petite, je serais tenté sans aucun doute à ce qu'il me pénètre. Mais bon, la tâche, qui m'avait été désigné par nécessité, ne me déplaisait guère....
L'homme s'allongea, la femme l'enjamba. Le stress était palpable, nous étions déjà fatigués, mais excités de finir dans un feu d'artifice tel que celui qui allait se préparer.
Son vagin était encore mouillé de son nectar et de ma salive. Lorsqu'elle s'assit sur le sexe de notre partenaire les jambes écartées. Ce dernier glissa au plus profond de son intimité. Elle aimait ça à en juger son soupir de jouissance. Elle commença un mouvement de haut en bas, en poussant sur ses genoux afin de lever ses fesses puis de les abaisser, sur le sexe dur comme un roc.
Ils continuèrent ainsi doucement. Ils s'ouvraient au plaisir devant moi, qui ,à cette vue, reprenais vigueur. Ce plaisir leur donnait de doux coups de fouet, et la fatigue sur leur visage disparaissait petit à petit. La voir dominée ainsi m'excitait furieusement, instinctivement je portais une main sur ma verge. Elle était brûlante, et rouge de désir. Les amants poursuivirent sauvagement, la femme griffait le torse de son esclave sexuel.
Puis elle se pencha afin de recevoir un baiser violent, ils se mordaient tour à tour les lèvres, la langue. Elle m'offrait une vue sur ses fesses magnifiques. Cette vue n'était qu'un ordre que j'exécutais sans réfléchir. Nous ne pouvions plus parler de dominant, dominé. Nous n'étions devenus que les pions d'un plaisir unique et intense qui ne demandait plus qu'une étreinte pour exploser....
Je me plaçai derrière elle, agenouillai les jambes écartées. Ils arrêtèrent leur va et vient afin que je me positionne. J'empoignai ses hanches, dirigeai mon gland vers l'anus. Celui-ci était déjà lubrifié et dilaté par la pénétration de mes doigts.
Alors je perforai doucement mais avec force son cul, elle criait de douleur, de plaisir ou des deux quand je m'enfonçai jusqu'à la culbuter.
Les deux va et vient reprirent alors...
Je sentais que, dans ce petit trou serré, j'allais pas résister longtemps. Je la pénétrais doucement, mais les sensations étaient divinement intense. Je pouvais plus me concentrer sur ce qui se passait autour de moi. Je vis quand même avec beaucoup d'efforts que l'homme se laissait porter par les va et vient, d'avant en arrière, de notre femme que je créais de mes culbutes.
Lui qui allait jouir était obligé de retarder son éjaculation. Il y goûtait un plaisir intense, son impatience lui donnait une envie insoutenable. La femme gémissait de plus en plus, et dans cette lenteur je les entendais me crier :
- Vas y, accélère... ACCELERE
- Oui, défonce moi.... »
J'étais maître de la situation, je n’accélérais pas mais je défonçais l'anus de la demoiselle par saccade, avec une vigueur, une force, qu'elle criait, telle était sa manière de me supplier de continuer encore plus.
Je décidai enfin de donner rapidement des coups de reins, intenses, je les entendais crier, je m'entendais crier aussi.
Je ne saurais qu'est-ce qui se passa exactement dans cette explosion, ce feu d'artifice, de jouissance. Nous jouîmes en même temps sans doute, en un spasme long qui s'empara de nos trois corps. Elle devait sentir nos semences chaudes expulsées en elle. Je continuai quelques mouvements, à chacun d'eux nous tremblâmes de plaisir.
On se retira doucement dans un rapide frémissement. La lumière de la lune transperçait la cime des arbres à présent. Il était tard, et la fraîcheur de cette nuit d'été nous apaisait. Nous nous allongeâmes alors, côte à côte, exténués, afin de reprendre nos esprits.
- Au fait, maintenant qu'on se connait bien, vous vous appelez comment ? « , demandai-je, d'un ton enfantin..
Nous entamâmes une discution. Apparemment la femme et l'homme ne se connaissaient pas plus que je ne les connaissais... Nous étions nus dans l'herbe, et le froid nous gagnait, alors nous rentrâmes dans le camping, désert, il devait être assez tard...
La fatigue s'emparait de nous, et nous rentrâmes nous coucher....