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Channel: Chez Andre 112
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Entre potes d'enfance.

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Quand un hétéro se laisse convaincre d'essayer.
Essayer quoi?!!
Peut être le Scrabble! Vas savoir!!!


Histoire du net. Auteur: Newnick. Délirium très gros lol!!!

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Un gros délire pour cette jeune fille 
si sympathique.... Et endurante..!

Confession de Sandra
by newnick©
Je m'appelle Sandra, j'ai 34ans et ceci est ma confession.
J'avais 18ans à l'époque, j'étais une jeune étudiante en terminale. Mes compères me qualifiait de sexy et je ne m'y opposais pas vu que j'aimais m'habiller de manière élégante, limite provocante.
Mes tenues préférées étaient une jupe courte, des bas collant à motif, des bottes hautes, des chemisiers ouverts et léger, le tout avec un petit blouson en jeans. Ce qui avait pour effet de provoquer beaucoup de torticolis lorsqu'on déambulait en rue.
Un matin d'été, j'étais sur le chemin de l'école, seule car mon amie était malade.
J'avais décidée de me rendre à l'école à pied afin de profiter du beau temps.
Les rues étaient encore calme, pas beaucoup de voitures, bref une belle matinée.
J'avais mis pour l'occasion une jupe en jeans très courte, des bas en soie couleur chaire, mes haute bottes brunes à talon, un chemisier bleu ciel et ma petite veste en jeans.
Alors que je marchais tranquillement, une main ferme à appuyé un tampon...et j'ai sombré dans un profond sommeil.
A mon réveil, je ne sais pas combien de temps après, j'étais attachée, debout, par les poignets et les pieds.
Mon corps ainsi tendu avait fait remonter mon chemisier, dévoilant mon nombril et l'aube de mes seins. Ma jupe remontait légèrement. Un bâillon m'empêchait d'émettre le moindre son.
La pièce était sombre, j'avais du mal à distinguer quoique ce soit.
Ca ressemblait à une cave, carrée, sans fenêtre. Tout au plus une lampe pendait au plafond.
Il faisait froid et humide.
Après un long moment, alors que mes muscles commençaient à me faire sentir qu'ils n'appréciaient pas d'être tendus dans cette position, j'ai entendu un bruit. Quelqu'un venait d'entrer dans la pièce.
- Mmmmm! Mmmmmm!!
Une voix grave, issue d'un coin sombre de la pièce s'exclama immédiatement
- Tais-toi sale garce! Tu es attachée, dans une pièce sans fenêtre, totalement à ma merci.
J'étais pétrifiée, le ton de la voix était ferme et sec.
Une lampe très puissante s'alluma devant moi, m'aveuglant totalement. Je ne distinguais plus rien.
Je sentais une respiration derrière moi, toute proche et deux mains rugueuses et froides se glissaient sur mes hanches, soulevant mon chemisier.
- On va bien s'amuser toi et moi, quand j'en aurai terminé avec toi, tu ne seras plus qu'une loque...
Je commençais à pleurer, mordant mon bâillon, tentant d'hurler. Je me débattais tant bien que mal. Une horrible douleur remonta de mes fesses... Il venait de m'assener une claque magistrale.
- Bouge, pleure ou tente de te débattre et tu souffriras encore plus petite garce!
Il était toujours derrière moi. Ses doigts déboutonnaient mon chemisier laissant apparaître mon soutif. Il glissa ses mains sur mes seins et commença à les malaxer.
- Belle poitrine, il est dommage de la cacher par un soutif!
Il dégrafa mon soutien gorge et recommença à caresser ma poitrine dénudée.
Il pinçait mes têtons, tirait dessus, les malaxait...
- Mais je vois que la petite garce apprécie ça...
En effet, mes seins réagissaient aux caresses, ils pointaient fièrement.
Je me sentais salie, honteuse de me faire trahir par mon propre organisme.
Il glissa un bandeau sur mes yeux et le serra assez fortement. Il murmura au creux de mon oreille :
- je n'ai pas envie que tu me vois, surtout que ce que je vais te faire est loin d'être légal ma petite garce...
Je me débattais à nouveau, pleurant de plus belle...et une claque sur mon visage cette fois me fit comprendre que cela ne servirait à rien.
Une main se glissa sous ma jupe, remontant entre mes jambes. J'ai serré mes genoux pour retenir cette main.
- Ecarte les cuisses ou tu vas le payer chèrement!
Dépitée, je desserrais mes cuisses, laissant la main remonter, explorant mon entrejambe. Il posa sa bouche sur mes seins, suçant mes têtons durcis pendant que sa main caressait mon slip au travers de mes bas.
Il entreprit de « travailler » mon têton, le mordillant, suçant de plus en plus fort.
Avec son autre main, il pinçait l'autre têton et son autre main pressait contre ma petite chatte, encore « protégée » par mon slip et mes collants.
- je pense qu'il est temps de retirer cette jupe inutile
Alors qu'il parlait, je sentais ma jupe glisser sur mes cuisses.
- Mais que c'est mignon, une petite garce attachée, bâillonnée, avec des bottes, des collants, un beau slip en dentelle et une poitrine généreuse.
- Je parie que tu n'es même plus vierge? réponds-moi petite garce
J'ai hoché la tête en guise de oui, confirmant que je n'étais plus vierge.
- Petite garce, j'aime ça.
Il glissa sa main sur mes fesses, serrant, palpant et mordilla le lobe de mon oreille. J'entendais quelques clics.il me prenait en photo le salaud.
Puis la chaine qui me tenait les poignets au dessus de ma tête se détendit brusquement, faisant basculer mon corps vers l'avant, je pouvais deviner que j'étais positionnée en oblique. Mes bras étaient tendus derrière moi. Ma tête bascula vers l'avant.
Il me murmura :
- Je vais retirer ton bâillon, ne t'avise pas de parler ou crier...ou il t'en coûtera.
Le bâillon tomba sur le sol, libérant ma bouche. Mais j'avais toujours le bandeau sur mes yeux.
- Ouvre ta bouche petite garce.
Alors que je refusais il m'asséna une claque sur les fesses.
- Ouvre ta bouche te dis-je!
Bouche grande ouverte, les larmes coulaient doucement sur mes joues.
Il fixa un appareil qui m'empêcha de fermer ma bouche, une sorte d'appareil métallique, très serré derrière ma tête.
- Sors la langue!
Ne souhaitant plus souffrir, j'ai sorti ma langue.
Puis il glissa son membre en une fois au fond de ma gorge, je manquais de m'étouffer tellement il l'avait glissé avec force.
- Suce moi salope, suce moi bien!
Il effectuait un va et viens au fond de ma gorge, l'appareil fixé m'empêchait de fermer ma bouche. A chaque fois je sentais son membre heurter ma glotte. Il me tenait par les cheveux et forçais sa bitte de plus en plus profondément, de plus en plus violemment.
A plusieurs reprises j'ai manqué de m'étouffer, à chaque fois, il sortait sa bite, me laissant reprendre mon souffle quelques instants et me l'enfournait à nouveau avec force.
Je subis ce viol buccal pendant de long moments, alternant les coups de bite violent avec des vas et viens saccadés. De temps en temps, il poussait ma tête pour que j'avale complètement son membre.
Après un long moment, un liquide chaud et visqueux se rependit au fond de ma gorge malmenée.
Il poussa un long râle de jouissance, son sperme giclait par à-coups, je le sentais dégouliner. Il se retira et frotta sa bite sur mes joues en larmes. Sa semence coulait légèrement sur la commissure de mes lèvres ouvertes.
- Tu es une bonne bouche à pipe, j'aurai du le parier... Ne t'avise pas de recracher petite garce.
Un hoquet de dégout remonta de mon estomac alors que j'avalais son fouttre chaud.
Il me laissa tel quel, attachée et courbée, alors que mes bras me faisaient horriblement mal. Il arracha mon collant et découpa ma culotte avec un couteau.
Les chaines bougeaient et écartaient mes jambes.
Ses doigts rugueux glissèrent sur ma toison et remontaient sur mon petit trou.
Il prit d'autres photos de moi.
- Tu sais que tu es belle ma petite garce
- Je vous en prie, laissez-moi partir, je promets de ne rien dire...
Dis-je en larme.
- Ta gueule salope!
Une violente gifle me fit presque perdre conscience.
Il fixa ce qui semblait être des ventouses sur mes têtons et provoqua une aspiration assez forte. La douleur était assez sévère.
Un doigt explora mon inimitée, forçant le passage sec de ma chatte, m'arrachant par la même un petit cri de douleur.
- On dirait que mademoiselle à besoins de se faire lubrifier la chatte...
Il étala un liquide visqueux et froid sur ma chatte, glissant ses doigts entre mes lèvres, les écartant sans ménagements. Il força un doigt dans ma vulve. Le lubrifiant lui facilitait les choses, ma chatte était détrempée.
Il glissa un doigt puis un deuxième au plus profond de ma chatte. Son pouce pressa sur mon clitoris, ce qui m'a fait pousser un petit cri...qu'il réprima par en tirant sur les ventouses scotchée sur mes têtons.
- Ferme la garce!
Ses doigts trituraient ma vulve, entrant, sortant, tournant...puis il glissa un troisième doigt avec force, poussant violement.
- Tu aimes ça...hein petite garce.
Il n'attendait pas ma réponse et continuait son va et viens avec ses 3 doigts dans ma chatte lubrifiée pendant que son pouce tournait autour de mon clitoris.
Mon corps me trahissait encore car je sentais le plaisir monter petit à petit et ce malgré la rudesse de ses gestes et le fait que je n'étais pas consentante.
Petits à petits des râles de plaisirs que j'avais du mal à masquer du fait de l'appareil qui me forçait à garder la bouche ouverte.
Il continuait à me pénétrer de ses gros doigts rugueux. De temps en temps il glissait un doigt sur ma petite rosace. Je sentais ma chatte s'ouvrir de plus en plus, lubrifiée par le produit et par la propre jouissance de mon corps trahissant ma volonté.
Il retira ses doigts de ma chatte et après quelques instants il enfonça violement un objet assez gros et long au plus profond de celle-ci. J'émis un râle de douleur sous la violence de la pénétration.
Puis il commença à le faire bouger, je le sentais au plus profond de moi...il le sortait, le rentrait avec force, effectuant des vas et viens à répétitions, poussant de plus en plus fortement. A certains moments il effectuait des mouvements circulaires.
Ces manœuvres faisaient de l'effet, je sentais ma chatte s'ouvrir de plus en plus, s'humidifier tellement que le lubrifiant ne servait plus à rien.
Je sentais son souffle froid s'approcher de mon inimitée violée et une langue courir le long de mon clitoris en feu. Alors qu'il me ravageait la chatte, sa langue titillait mon petit bouton.
Je pleurais de plus belle, les larmes coulaient le long de mes joues... alors que mon corps tout entier m'abandonnait, toute résistance était vaine, j'étais son jouet et la seule échappatoire possible était de subir.
J'ai sentis ses lèvres se poser sur mon clitoris et effectuer des suçons. A chaque fois je réprimais un petit cri... de plaisir.
Pendant qu'il continuait à m'enfoncer le gros objet dans ma chatte ouverte et suintante.

Il retira l'objet et glissa 2 doigts dans ma chatte, ses doigts rentraient à présent sans problème... mon corps n'offrait plus aucune résistance.
- Sors ta langue garce!
Il glissa ses doigts sur ma langue
- Nettoie moi mes doigts, goute ton propre jus de garce.
Je léchais ses doigts, goutant à ma propre jouissance.
Vu que je ne semblais pas m'appliquer, il prit ma tête et enfonça ses doigts directement au fond de ma gorge, les frottant sur ma langue et mon palais.
Une fois qu'il avait terminé il s'approcha de mon oreille et me murmura :
- Es tu encore vierge du cul ma petit garce?
J'étais horrifiée, où allait-il s'arrêter.
- Non pitié, non, ne faite pas ça... je vous promets de faire tout ce que vous voulez mais pas ça. Je vous en prie....
- Je ferais de toi ce que je veux garce! tu m'as bien compris.
Il posa ses mains sur mes hanches et je sentis son membre durci se présenter à l'entrée de ma vulve trempée
- Voyons voir comment tu peux jouir sous mes coups de bites
A peine eut t'il fini sa phrase qu'il enfonça son membre d'un coup sec et puissant. Arrachant un hoquet de douleur. Il sortait complètement et rentrait avec force sa bite, poussant à chaque fois au plus profond.
Il allait de plus en plus vite, s'aidant de ses mains rugueuses posées sur mes hanches. Ses mains tiraient vers lui pendant qu'il avançait son bassin afin de me pénétrer à chaque fois de manière forte. Ma chate avalant sa bite d'un coup.
A chaque coup de boutoirs un « han » s'échappait de sa bouche...pendant que je haletais. Il effectua plusieurs vas et viens, alternant des mouvements rapide et des mouvements lents. De temps en temps je sentais un doigt titiller ma rosace.
- J'espère que tu prends la pilule ma petite garce, car je ne compte pas me retirer
Après quelques minutes je sentais qu'il me faisait jouir....j'allais avoir un orgasme alors qu'il me violait.
Mon corps fut pris de spasme violent, une chaleur intense se faisait sentir dans mon bas ventre alors qu'il me pénétrait. Je jouissais comme jamais je n'avais jouie. Il m'avait donné un orgasme tellement puissant que j'avais du mal à contenir mes râles de plaisirs.
Puis il éjacula en moi, je sentais son liquide chaud se répandre dans ma chatte en feu, il finissait son « travail » par plusieurs coups de boutoirs, éjaculant à chaque fois.
- Haaaa ma petite garce, quel plaisir de te défoncer la chatte....tu es étroite et j'adore ça. Tu vas maintenant me nettoyer ma bitte et me la rendre bien dure à nouveau.
Dit-il en empoignant ma tête et en glissant son membre dans ma bouche béante.
- Suce-moi à fond, avale tout sale garce!
Cette fois, ne voulant plus être frappée, je l'ai sucé comme demandé. M'appliquant pour que tout son fouttre sorte et se répande dans ma gorge.
A chaque mouvement de sa bite dans ma bouche, je pouvais sentir son liquide chaud couler hors de ma chatte, glissant le long de mes cuisses dénudées.
- Je vais te détacher et tu vas te rhabiller avec le peignoir qui se trouve face à toi. Ensuite tu viendras te mettre à table ou tu mangeras. Cette nuit, tu dormiras sur la paillasse qui se trouve dans le coin de la cave. N'essaie pas de t'échapper car je n'hésiterai pas à te tuer. Demain nous reprendrons notre petite partie de plaisirs...tu m'as compris garce?
- Oui, j'ai compris...
Il me détacha, retira l'appareil qui maintenait ma bouche ouverte, ôta le bandeau qui masquait mes yeux. Je me jetai sur le peignoir avec difficulté... aveuglée par la puissante lampe.
- Va t'asseoir et mange garce. Tu auras besoins de force pour demain.
Je ne pouvais pas le voir, il était caché derrière la lampe. Je m'assis et commença à manger et boire.
Puis j'ai entendu une porte se refermer, il était sorti de la pièce.
Je m'effondrai en larmes, pleurant comme jamais je n'avais pleurée.
Peu de temps après, mes forces m'abandonnait et je m'endormis sur la paillasse qu'il avait laissé dans un coin.
Après de longues heures à dormir, bien que j'aie perdue toute notion du temps, il me réveilla.
- Debout garce! face contre le mur.
Il m'attacha les mains avec des menottes devant moi, me posa à nouveau un bandeau sur les yeux et fixa quelques choses sur mes chevilles, une sorte de barre pour les forcer à rester écartée.
- Tes parents ont reçu les photos que j'ai prise de toi...ils ont pu voir quel genre de salope tu es.
- Que comptez-vous faire? Pitié, laissez moi partir, je suis certaine que mon père vous paiera.
- Ferme là je t'ai dis! je n'en ai pas fini avec toi...
Il m'attrapa par le bras et me traina sur le sol. Et fixa mes menottes sur le sol.
J'étais à quatre pattes, jambes écartées par la barre de métal entre mes chevilles.
Je me rendis compte aussi que la barre en question était à présent fixée au sol aussi... de sorte que je ne pouvais plus bouger, ni avancer, ni reculer, ni même étendre mon corps. Il m'avait fixé de telle sorte que j'étais coincée à quatre pattes.
- Tu sais que tu as un joli cul de garce!
Dis-t-il en assénant une claque sur mes fesses.
- Je ne vais pas te bâillonner, car j'ai envie de t'entendre hurler et jouir de plaisir.
Alors qu'il prononçait ses paroles, je sentis à nouveau le liquide visqueux et froid du lubrifiant sur ma peau, sauf qu'ici ce n'était pas sur ma chatte, mais entre mes fesses.
Avec ses doigts il s'appliquait à le répandre sur ma petite rosace, poussant de plus en plus fortement dessus. Finalement, le lubrifiant aidant, un doigt glissa dans mon petit cul, puis un deuxième. Il les faisait tourner, rentrer, sortir, par de petits mouvement pour commencer, puis il amplifia le va et viens.
Je me mordais les lèvres pour ne pas crier mais la douleur était atroce, je sanglotais en continu. Il força un troisième doigt dans ma rosace qui se dilatait petit à petit, je ne pu retenir un cri de douleur... ce qui l'encouragea. Il plongeait ses trois doigts au plus profond de mes entrailles, les écartant pour mieux me dilater.
Il besognait ma rosace avec vigueur et violence, m'arrachant à chaque fois des cris tellement la douleur était atroce. Mais à la longue la douleur fit place au plaisir...mon corps me trahissait à nouveau.
De cris de douleurs, je passai à des miaulements de plaisirs. Ses doigts glissaient au fond de mes entrailles, dilatant mes sphincters lubrifiés par le produit qu'il avait utilisé.
- Tu aimes ça..petite garce, je m'en doutais.
Je miaulais de plaisir de plus en plus fort et à chaque fois, il me doigtait plus en avant. Je pouvais sentir ma chatte devenir humide à nouveau, mes seins se durcir, une chaleur monter depuis mon bas ventre... ce salaud me donnait du plaisir.
- Passons aux choses sérieuses à présent!
Il présenta son gland à l'entrée de mon anus légèrement ouvert par ses traitements et l'enfonça brusquement jusqu'au bout. J'hurlais de douleur... mais ça ne le retenait pas.
Il commença à me chevaucher, donnant des coups de boutoirs avec sa bite. Ses couilles frappaient à chaque coup sur ma chattes détrempées. Il me déchirait les entrailles, me ravageait le cul...
Mais comme pour ses doigts, la douleur fit rapidement place au plaisir. Il attrapa mes cheveux alors que sa bite effectuait de sauvage va et viens au plus profond de mes entrailles.
- Mmmmm ouiiii....Mmmmmmm!
Le plaisir était tel que je me lâchais complètement.
Il me martela le cul pendant une longue période, alternant les coups sec au long et lent va et viens, je sentais sa bite plonger tout entier dans mon cul.
Il se retira et m'enfonça rapidement sa bite au fond de ma gorge où il éjacula avec force. Son jus chaud et visqueux glissait le long de ma gorge, remplissait ma bouche. Il me forçait à conserver sa bite au plus profond de ma gorge... j'étouffais sous le traitement et les jets de sperme qui giclait.
Il retira son membre de ma bouche et me laissa tel quel...je pouvais sentir que mon cul restait ouvert, ma chatte dégoulinait et ma bouche était pleine de sa semence chaude et visqueuse.
- Tu es une belle garce...au cul bien étroit... Quand j'en aurai fini avec toi, ton cul sera aussi accueillant que ta chatte... Je t'ai apporté une bassine et un savon. Je t'ai préparé à manger aussi... Repose-toi, lave-toi..Car je n'en ai pas encore fini avec toi sale garce.
Il me détacha et quitta la pièce.
Mon cul me faisait mal des suites du traitement qu'il m'a fait subir. Je m'effondrais à nouveau en pleurs sur ma paillasse. Je me suis lavée et j'ai mangé en sanglotant..Puis le sommeil pris le dessus et je me suis endormie, nue sur la paillasse que mon bourreau m'avait installé.
J'avais perdue toute notion du temps, tout au plus je m'endormais assez rapidement après avoir mangé...
A chaque fois, je me réveillais en forme, certes j'avais encore quelques douleurs au niveau de mon cul, mais c'était normal, surtout après le traitement qu'il m'avait fait subir.
L'angoisse du réveil était immense, qu'allait-il me faire? Pourquoi m'avait t'il enlevée? Et mes parents...ma sœurs? Je voulais tellement les revoir, oublier ce cauchemar.
- Debout petite garce, j'ai une surprise pour toi... Tourne-toi, mets tes mains sur le mur et cambre ton petit cul de garce.
A chaque fois qu'il me parlait, le ton de sa voix glaçait mon sang. Pourtant je ne pouvais qu'obéir à mon geôlier, de peur de subir sa colère. A nouveau il me banda les yeux et me fixa des sangles aux poignets et chevilles.
Je pouvais deviner que les sangles étaient en cuir, toutefois il ne les relia pas à quelque chose d'autre.
- Comme vous le constaterez, elle est parfaite en tout point. Je suis certains que vous en aurez pour votre argent... D'autant qu'elle n'est pas encore totalement docile... donc si elle résiste, n'hésitez pas à la brutaliser un peu.
A qui parlait-il?...il me vendait à quelqu'un??? Mon dieu non!
Il s'approcha de moi et me murmura à l'oreille :
- Je vais rentabiliser mon investissement... ne me déçois pas où ta sœur en paiera le prix.
- Non! pitié, pas ma sœur...je ferai tout ce que vous voudrez mais ne touchez pas à ma sœur.
- A la bonne heure. Bien messieurs, je vous la laisse. Amusez vous bien.
Très vite je sentis plusieurs mains parcourir mon corps dénudé, je pense qu'ils étaient trois. Des doigts se glissèrent entre mes fesses, d'autre courraient sur ma vulve pendant qu'une main triturait mes seins.
- Comment t'appelles-tu?
- Sandra Monsieur.
- Bien Sandra, on a payé pour prendre notre pied avec toi...tu vas donc satisfaire nos moindres désirs.. sinon il se pourrait que ta sœur te remplace.

- Oui Monsieur, pitié, laissez ma sœur hors de tout ceci, je ferais ce que vous voudrez.
Plusieurs doigts entraient et sortaient de ma chatte qui commençait à mouiller, un autre doigt c'était glissé dans mon cul...et une main pinçait mes têtons.
- Bien, j'aime une garce qui se laisse faire...
Je ne pu restreindre un petit cri de douleur lorsque des doigts pinçaient mon clitoris. Une main me serra le bras et me déplaça. Je pouvais sentir les personnes qui étaient devant moi et derrière moi.
Leurs doigts se faisaient de plus en plus entreprenants. Deux doigts coulissaient à présent dans ma chatte pendant qu'un autre doigt était logé dans mon anus, effectuant un léger mouvement rotatif. Une bouche se posa sur mon sein droit, sa langue tournait autour de mon têton endurci préalablement. Toutefois cette langue, ces lèvres étaient très douces.
- Tu as des seins formidable ma belle...
Dis une voix féminine. Elle me mordillait les têtons pendant que les deux autres mains exploraient mon intimité.
A présent je pouvais sentir 3 doigts aller et venir dans ma chatte qui mouillait de plus en plus...et 2 doigts dans mon cul, écartant ma rosace. Je commençais à ressentir du plaisir, mes seins étaient tendu, ma chatte commençait à dégouliner sur mes cuisses.. Je me mordais les lèvres pour contenir mes envies d'exprimer mon plaisir.
Une paire de main m'attrapa par les hanches et me tira vers le sol...accroupie.
Il se glissa en dessous de moi et je sentis illico un gland se présenter à l'orée de mon cul. Il m'empala d'un coup sec et commença illico à me ramoner l'anus avec force et rapidité.
Je pouvais sentir des mains féminines titiller mon clitoris pendant que la bite me défonçait le cul.
- Ouvre ta bouche garce
Je n'ai pas eu le temps de faire quoique ce soit que déjà une paire de main attrapa ma tête et poussa une bite au fond de ma gorge. J'avais à présent une bite qui me ravageait le fion et une autre qui me bourrait la gorge.
Les deux membres effectuant des mouvements de va et viens alternatifs.
La bouche de la femme était descendue de mes seins à ma chatte et je pouvais sentir sa langue explorer ma vulve chaude et moite.
Je suçais le membre présenté comme je pouvais, il faut dire que l'homme me facilitait la tâche en me maintenant la tête et en effectuant des mouvements du bassins, faisant glisser sa longue et grosse bite entre mes lèvres et sur ma langue.
L'autre n'arrêtait pas de me défoncer le cul à grand coup de bite.
Je jouissais allègrement des coups de langues sur mon clitoris, de temps en temps elle glissait un doigt dans ma chatte.
- A mon tour maintenant.
- Attend, on va la prendre en double...elle doit aimer ça cette garce!
En double ???? Mais où donc vont t'il s'arrêter.
On me bascula un peu plus, de sorte que ma chatte était bien présentée, jambes écartées.
J'avais toujours la bite bien enfoncée dans mon cul quand je sentis le bout du gland de l'autre homme se présenter à l'orée de ma vulve humidifiée par la langue de la femme.
Il ne me ménageait pas non plus...car il s'enfonça d'un coup sec.
Je sentais mes entrailles se déchirer, mais je ne ressentais pas de douleurs, bien au contraire... Les deux bites ainsi plantées au plus profond de ma chaire commencèrent à me labourer en alternance.
La femme m'embrassa goulument, tournant sa langue dans ma bouche. Puis elle attrapa ma tête et la tira un peu en avant.
- Bouffe-moi la chatte la garce, bouffe-moi!
Elle appuyait sa chatte sur ma bouche, j'ai commencé à la lécher, lui sucer le clitoris, glisser ma langue doucement dans sa chatte déjà bien dégoulinante pendant que les deux hommes continuaient à me déchirer le cul et la chatte.
Ma langue glissait sur la chatte qu'on me forçait de lécher. Bien que je ressente du dégout, la jouissance provoquée par les 2 membres qui me ramonaient les entrailles était plus forte que tout.
La douleur et le dégout étaient masqués par le plaisir que ces 3 personnes me donnaient. Je m'appliquais à lécher et sucer la chatte qu'on m'offrait, suçant le clitoris, goutant au plaisir que je donnais.
- On échange nos place, j'en ai marre de ramoner le cul de cette garce, je veux gouter sa chatte aussi.
- Tu verras, elle n'est plus aussi fraiche que ça...
Dit l'autre en ricanant.
On me souleva et je senti l'autre glisser en dessous de moi pendant que celui qui m'avait ramoné le cul se présenta devant moi.
La femme continuait de frotter sa chatte sur ma bouche et ma langue.
La bite de l'autre, de celui qui m'avait défoncée la chatte étais plus grosse, plus longe que celle du premier. Mais ça ne l'empêcha pas de forcer l'entrée de mon cul alors que l'autre était déjà bien enfoncé dans ma chatte.
La femme jouis sur mon visage, je pouvais sentir les spasmes de plaisir que ma langue et ma bouche lui provoquait. Son jus se rependit sur mon visage. Elle m'embrassa à nouveau goulument, mêlant sa salive à sa cyprine, tout en torturant mes têtons.
Au bout d'un temps que je n'ai pas su estimer, les deux hommes éjaculèrent quasiment simultanément au fond de moi. Je sentis mon cul et ma chatte se remplir de foutre chaud.
La femme m'agrippa par les cheveux et me traina sur le sol.
- Nettoie-moi leur bite sale garce. Lèche les biens.
J'entrepris immédiatement de lécher et sucer les bites qu'on me présentait successivement. Avalant le sperme, léchant les couilles.
En même temps, je pouvais sentir le sperme couler hors de mon cul dilaté et de ma chatte ouverte. J'étais ruinée, épuisée, fatiguée...je me sentais souillée de partout.
J'avais du sperme chaud sur mes seins, mon visage, ma chatte, mon cul, mes cuisses...
- Superbe garce...je ne regrette pas. Tu as bien tout filmé?
- Ho oui, rassure toi, j'ai même des gros plan de son cul ouvert et dégoulinant.
Un film?? Ils avaient filmés leurs actes???
- Bien ma salope, tu peux retourner te coucher, on en a fini avec toi.
A quatre patte, rampant comme un animale je retournais sur ma paillasse.
Après leur départ, je me suis lavée, tentant de retirer toute les souillures que ces 3 personnes m'avaient laissées.
Puis je me suis endormie...
Après un laps de temps que je qualifierai de long, vu que je me suis réveillée en pleine forme, enfin, en pleine forme... mon corps était encore engourdis des viols successifs que j'avais subis, mais il ne me faisait sentir aucune fatigue, mon geôlier me réveilla.
- Ecoute moi bien ma garce. Dorénavant tu es ma propriétés et je t'utiliserai comme bon me semblera... Je vais te libérer, mais tu ne raconteras à personne ce que nous avons fait.. À personne tu m'entends?
- Heuu...oui monsieur
- Si tu parles à qui que ce soit de ce que nous avons fait, je t'assure que ta mère et ta sœur subiront un sort pire que toi. Tu m'as bien compris sale garce?
- Oui monsieur, je vous en prie ne faite pas de mal à ma sœur et ma mère, je ferais ce que vous voudrez.
- Bien. J'ai ton numéro de gsm...il devra être allumé 24h/24 et tu devras me répondre au moindre appel. Je ne tolérerai aucune excuse ni retard... J'ai de grand projet pour toi...de très grand projet... Je t'ai apporté une paire de bas collant, une culotte quasi identique à celle que tu avais quand je t'ai amenée ici. Rhabille toi et bois le verre qui est sur la table...ça t'aidera à dormir un peu.
- Mais monsieur et les photos que vous avez données à mes parents?
- Tu t'imagines que j'allais les donner directement? je t'ai mentis petite garce. Toutefois je me ferai un plaisir de les diffuser sur internet, de les envoyer à tous le monde dans ton école et dans ton quartier si tu oses me défier...
- Non, non, monsieur, je ferai comme vous voulez. J'obéirai je vous le promets.
- Bien petite garce...tu deviens très docile et j'aime ça... Fini de t'habiller et bois ton verre.. Je n'ai pas que ça à faire.
Après avoir bu le verre, une profonde torpeur m'envahit et je sombrai dans un sommeil profond.
Je me suis réveillée dans un bois, pas loin de chez moi.
Comment j'allais justifier mon absence? Déjà que je ne savais pas combien de jour avait duré mon calvaire....
Et bien la solution vient d'elle-même, quand j'ai appris que ma copine avait fuguée, j'ai prétexté la même excuse mais prise de remords, je suis rentrée.
Pendant une semaine, à chaque fois que mon gsm sonnait j'avais des frissons...pourtant il me laissait tranquille.
La vie avait repris son cour normal, j'étais retournée à l'école, je m'habillais un peu moins sexy...mais ça ne m'empêchais pas de repenser au plaisir que j'avais eu lors des viols successifs que j'avais subi.
A chaque fois que j'y pensais, un profond sentiment de dégout montait en moi...accompagné par une sensation de plaisir.
Pire que tout, il m'arrivait de me masturber dans ma chambre la nuit en repensant aux outrages qu'on m'avait fait subir.
Un mois s'écoula depuis ma libération avant que mon ex-geôlier me téléphona.
C'était en pleine journée, j'étais à l'école. Une chance pour moi c'était entre deux cours. Je me suis donc réfugiée dans les wc pour répondre.
- Tu en as mis du temps ma petite garce.
- Désolée monsieur, j'ai eu du mal à rejoindre un endroit isolé.
- Je n'en ai rien à battre de tes excuses garces, la prochaine fois tu paieras le prix fort pour ton retard. En attendant voici mes premières consignes. Je veux que tu retires ta culotte et que tu laisses ta chatte prendre l'air sous ta jupe. Ce soir, tu sortiras à 19h00 précise de chez toi et tu te rendras au coin de ta rue, une voiture t'attendra. Tu embarqueras dans cette voiture et obéiras à la lettre à son conducteur. Il te ramènera le lendemain. Consigne vestimentaires : tu devras porter ta jupette plissée, tu sais celle que tu ne mets plus depuis un petit temps, des bas blancs, ta paire de botte noire et un chemisier. De plus tes cheveux devront être noués en 2 couettes sur les côtés... Tu as tout compris?
- Mais monsieur, comment je vais justifier ma sortie et ma tenue vestimentaire???
- Démerde toi salope.... mais n'oublie pas ce qui pourrais arriver à ta sœur et ta mère si tu me désobéis.
- Bien monsieur, j'obéirais.
- Enlève ta culotte maintenant garce! et n'oublie pas les consignes pour ce soir.
Il coupa la communication directement.
Comment pouvais t'il savoir que je portais une jupe??? Il me surveillait donc.
C'était donc sans culotte, chatte à l'air que je retournais au cours.
J'avais l'impression que tous le monde pouvait voir que j'étais nue sous ma jupe...c'était assez agréable en fait.
Le soir venu, à l'heure convenue, je sortais de chez moi, argumentant que j'allais étudier chez une copine pour un examen et que je rentrerais demain.
J'avais pris soins de prendre mes affaires dans un sac à dos et je me suis changé un peu plus loin en bas de chez moi dans un buisson.
La voiture m'attendait comme convenu. C'était une grosse voiture aux vitres teintées, je ne pouvais distinguer l'intérieur. La porte arrière s'ouvra et je m'installai. Une vitre teintée me séparait du conducteur.
Dès que la porte fut fermée la voiture démarra doucement. Une voix métallique émana du haut parleur installé entre la vitre et le conducteur.
- Bonjour Sandra, installe-toi bien confortablement, remonte ta jupette et écarte bien les cuisses que je puisse deviner ta petite chatte de putte au travers de tes bas.
J'écartais mes cuisses doucement, laissant entrevois mon entrejambe.
- Bien Sandra, tu es belle, très belle... ouvre donc ton chemisier que j'admire tes petits seins.
La voiture roulait toujours, je déboutonnais mon chemisier doucement, laissant entrevois mes seins nus.
- Tu m'appelleras daddy, compris salope?
- Oui daddy, j'ai compris
- Quand je m'arrêterai, tu m'attendras dans la voiture.
Peu de temps après, la voiture s'arrêta et je pu deviner que le conducteur était sorti de la voiture.
Combien de temps allais-je rester ainsi, jambe écartée, chemisier ouvert...je ne le savais pas.
Perdue dans mes pensées je n'avais pas fait attention mais l'homme était revenu dans la voiture.
- Tu trouveras dans le petit coffre situé au milieu des sièges un bandeau, je veux que tu le prennes et que tu le mettes sur tes yeux avant de rentrer dans la chambre que j'ai réservée... Tu vas attendre 5min et me rejoindre, chambre 457 au 2e étage. N'entre pas sans ton bandeau compris ma petite?
- Oui daddy, j'ai compris.
Après 5 minutes je suis sortie de la voiture, nous étions dans un motel comme on en trouve beaucoup le long des autoroutes... Je rejoins la chambre 457 et posa le bandeau sur mes yeux, ensuite j'ai frappée à la porte.
- Entre ma petite fille, entre donc, viens rejoindre daddy
A peine étais-je entrée que la porte se ferma derrière moi.
- Suis moi ma petite fille, viens sur les genoux de daddy.
Une main me guida à travers la chambre, ne voyant rien je me déplaçais avec difficulté, mais la main me tenait fermement. Je m'assis sur ce qui était les genoux de mon « client ».
Il posa immédiatement une main sur mes cuisses et une autre dans mon dos.
- Tu sais que tu plais à daddy ma petite
- Merci daddy
Sa main commençait à me caresser les cuisses, remontant légèrement ma jupette.
- Mais tu sais que tu as été très méchante ma petite fille...très très méchante
Daddy va devoir te punir!
A peine eut t'il fini sa phrase que déjà il me bascula le corps sur le lit.
Je me retrouvais face contre le coussin. Il m'écarta les cuisses avec sévérité et fixa mes bottes avec une corde afin de me maintenir les jambes bien écartée.
Il glissa un coussin sous mon ventre pour me faire relever le postérieur.
Ensuite il me fixa les mains avec des cordes rêches...qui était très serrée.
- Daddy, qu'ai-je fais?
- Chuut ma petite...chuut...daddy doit te punir.
Une violente douleur me traversa le corps, suivi d'une deuxième et d'une troisième. A chaque fois j'hurlais de douleurs tellement ça faisait mal.
Il me glissa un morceau de tissus dans la bouche et recommença à me fesser avec quelque chose qui me zébrait les fesses. Les coups pleuvaient, sans s'arrêter.
A la douleur je devinais qu'il utilisait une cravache ou quelque chose qui s'en rapprochait. Je pleurais comme jamais, aveuglée par mes larmes. La douleur était trop forte, je mordais mon baillons et suffoquait tellement il me faisait mal.
Ma tête tournait, je faillis perdre conscience sous les coups que je recevais.
Il a dû le constater car les coups stoppèrent net.
Mon postérieur était en feu, j'avais mal...terriblement mal.
Les larmes qui coulaient en continu de mes yeux avaient remplis le coussin sur lequel ma tête reposait. Je suffoquais dans mon baillons, tentant d'hurler ma souffrance. Il releva ma jupette et me massa doucement mes fesses endolories au travers de mes bas.
- Tu méritais cette punition ma petite fille... Ta chatte n'est pas rasée comme daddy le veux, donc tu dois être punie.
Son massage se fit de plus en plus doux, il glissait sa main entre mes cuisses, remontant le long de ma chatte.
- De plus la prochaine fois, je ne veux plus voir cette paire de bas collant...tu porteras des stay up, compris ma petite fille?
Je répondis en sanglotant :
- Oui daddy
Il déchira mes bas à hauteur de mon cul et repris le massage. Ses doigts glissaient le long de l'élastique de mon slip. Il écarta légèrement l'entrejambe de mon slip et glissa un doigt dans ma vulve.
- On dirait que tu n'es pas contente de voir daddy...ce n'est pas grave, tu prendras bientôt assez de plaisir avec ton daddy... Je vais te détacher et retirer le bandeau qui masque tes yeux, n'oublie pas si tu parles c'est ta sœur et ta mère qui paieront... et je t'avoue que ta sœur me tente énormément.
- Je vous le promets daddy, je ne parlerai pas. Faite de moi ce que vous voudrez mais ne touchez pas à ma sœur.
Il me détacha les poignets, les mollets et me retira le bandeau qui me masquait la vue.
L'homme qui était en face de moi était de corpulence moyenne, un peu bedonnant, dégarni sur le front...je lui donnais la quarantaine.
- Tu sais, daddy à toujours voulu être gynécologue, mais il n'a pas réussi les examens d'entrée, faute de pratique. Mais daddy va examiner sa petite fille. Allonge toi sur le lit, soulève tes jambes et écartes les biens que daddy puisse procéder.
Sans mot dire, je me couchais sur le lit, comme demandé.
Il prit une vieille mallette en cuir noire et fouilla dedans.
- Si tu cries, daddy te puniras sévèrement.
Le ton était donné et très clair, je subirais sans me plaindre.
Il sortit un spéculum en métal de sa mallette et l'enduit de gel lubrifiant. Avant même que je n'ai eu le temps de bouger, il l'enfonça profondément dans ma chatte et commença à l'écarter.
Je pouvais sentir ma chaire se distendre, se dilater...la douleur commençait petit à petit à monter mais je tenais bon. Il continuait l'écartement, jusqu'où allait-il aller? Il allait me déchirer la chaire s'il continuait...et il s'arrêta, contemplant son œuvre.
Je pouvais sentir l'air frais entrer dans ma chatte, étrange sensation.
Il s'approcha et fis mine d'observer à l'intérieur, puis il desserra le spéculum doucement.
- Tourne toi ma petite fille, l'examen n'est pas terminé.... Cambre-toi et avec tes mains écarte tes fesses au maximum.
J'écartais mes fesses comme je pouvais, encore douloureuse des coups de fouet que j'avais reçue. Il remit du gel sur le spéculum mais il l'enfonça directement dans mon anus légèrement ouvert. J'ai enfoncé ma tête dans le coussin pour étouffer le cri de douleur.
A nouveau il commença à l'ouvrir de plus en plus, écartant mes sphincters au maximum. La aussi je sentais l'air entrer dans mon cul béant...puis il glissa ses doigts sur ma chatte, se frayant un chemin entre mes lèvres et commença un massage de mon clitoris.
- Tu as un cul parfait ma petite fille, j'aime ça.
Je retenais mes pleurs de douleurs dans le coussin, mais son massage commençait à me faire de l'effet. Ma vulve se mouillait petit à petit.
Il retira le spéculum, enfila une paire de gant médicaux et enfonça 3 doigts dans mon anus ouvert et 3 doigts dans ma chatte trempée. Je le sentais me malaxer de l'intérieur, il prenait un plaisir à tourner ses doigts en latex au plus profond de moi.
La séance dura encore quelques heures, puis il me demanda de le sucer en paiement de son examen gynécologique.
Finalement je m'endormis dans ses bras et au matin il me ramena sans mot dire chez moi. Je devais le revoir une fois par mois, c'était un « client » régulier.

Mon « geôlier » m'appelait parfois quatre à cinq fois sur le mois, à chaque fois j'obéissais. Je me faisais prendre par différent type de personne, des gros, des moches, des vieux, des jeunes, des couples, des femmes, des pervers, des sadiques....tous abusaient de mon corps et je prenais du plaisir avec tous.
L'âge venant, les appels devenaient de moins en moins nombreux.
Ca fait maintenant 5 ans qu'il ne m'a plus appelée...mais la semaine dernière j'ai reçu un coli par la poste.
Le courrier n'était pas daté ni signé, tout au plus il contenait un cheque, un petit mot et une enveloppe assez lourde :
Voici 50% de ce que j'ai gagné avec toi, il te revienne. Puisses-tu en profiter comme j'ai profité de toi ma petite garce.
L'enveloppe contenait les vidéos qu'on avait faites sur moi ainsi que les photos et les négatifs.
J'ai encaissé le cheque et conservé l'enveloppe et son contenu.
Voilà, je me suis confessé et je me sens un peu mieux.
Maintenant il est temps pour moi d'aller m'occuper de la jeune pétasse que j'ai enlevée pour mon plaisir personnel.

Histoire du net. Auteur: Inconnu. Equipage solidaire

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Laissons les choses se faire...
Et après, il n'y a plus qu'à faire...
La salope!!!

Casablanca
Mesdames et Messieurs nous avons commencé notre descente sur l´aéroport de Bruxelles National, veuillez maintenant attacher vos ceintures de sécurité !".
Claire la maître de cabine de ce Boeing 767 charter aux couleurs belges, sortit de son sac a main un petit miroir et son rouge a lèvre. Elle se reconnut évidemment et l´instant d´une seconde le vide s´était á nouveaux fait dans sa tête: "quel voyage, comment une telle chose puisse m´être arrivée." Elle avait 37 ans, blonde aux cheveux mi-court et était encore assez fière de son corps. Pour ses 1m60 elle ne pesait que 50 kg. Sa poitrine avait hélas cessé de grandir a l´age précoce de 15 ans et elle ne portait que du 75B. Son mari l´aurait bien voulu plus large de ce coté, elle lui disait alors d´un air narquois que le bon dieu aurait du mieux répartir et lui prendre un peu de son derrière, surtout après avoir eu deux enfants…
- Claire je te trouve bien soucieuse, tout va bien ?" lui fit Dorit la stewardess flamande. La plus jeune de l´équipage.
- Oui, oui, répondit-elle, c´est la descente, les oreilles quoi!". Et puis elle murmura sans que Dorit ne l´écoute: "Tout est de ta faute…".
Le Boeing 767 vira une dernière fois sur la droite et quelques minutes plus tard, se posa a midi, avec exactement 6 heures de retard a Bruxelles. Claire assise sur un strapontin pensait : 6 heures ! C´était 6 heures de trop, 6 heures á effacer de sa mémoire…définitivement. Y arrivera t-elle ?
- Au revoir messieurs dames, á bientôt"
Les passagers qui désembarcaient défilaient maintenant devant-elle. Elle avait l´impression d'être une actrice et tout les passagers des spectateurs inconnus. Elle n´aurait jamais pu faire le signalement d´un passager á la police: ils étaient tous les même, surtout aujourd´hui oú ses pensées étaient ailleurs.
Elle avait quitté l´avion sans prendre congé du reste de l´équipage ce qui n´était pas dans ses habitudes. Sa Golf noire était encore parquée au même emplacement qu´elle l´avait laissé 2 jours plutôt. C´était un vol tout a fait normal: Bruxelles - Dakar, une nuit á Dakar puis retour. Pourquoi tout avait maintenant pris un caractère si différent ?
Elle mis sa valise d´hôtesse dans le coffre de sa voiture et monta. Elle allait démarrer quand elle se vu maintenant pour une seconde fois dans un miroir: elle poussa d´un geste énervé le rétroviseur de coté et ferma les yeux.
En fait tout commença par la fin. Le séjour á Dakar s´était bien passé et dans 4 heures l´avion qui devait la ramener en Belgique aurait du atterrir. Elle aurait encore le temps de réveiller son plus jeune enfant, et de lui faire ses tartines pour l´école. Puis tout un coup le téléphone de bord sonna et le Capitaine flamand l´appela au Cockpit. Avec cet accent hollandais quel aimait beaucoup chez lui, il lui dit:
- Claire fait le nécessaire avec les passagers, Patrick et moi avons des problèmes avec le réacteur N°=1, on va devoir atterrir en escale technique á Casablanca ».
- Oui Ruben, c´est bon je prépare la cabine… »
Vers 2 heures du matin nous atterrissions pour apprendre que le personnel technique de la compagnie aérienne locale avait besoin de toute la nuit pour réparer l´avion.
Ce n´étais pas ma première escale technique et j´étais heureuse de voir que les marocains avaient la situation bien en main. D´abord les passagers, puis l´équipage fut transporté en bus a l´hôtel Hyatt Regency au centre ville. J´était crevé de fatigue, Dorit tout a fait énervante nous disait pendant le trajet d´une demi heure qu´elle avait aujourd´hui son anniversaire et quel comptait bien fêter á Bruxelles avec son petit ami et ne pas rester justement ce jour dans un bled inconnu.
A la réception de l´hôtel 5 étoiles les problèmes continuaient. Les passagers avaient déjà occupé la plupart des chambres et des suites et il ne restait que 4 chambres pour les 8 membres de l´équipage. C´est le moment oú je suis d´habitude contente d´être une chef de cabine, car comme le commandant et son copilote je bénéficie alors d´une chambre pour moi toute seule. Les 3 hôtesses restantes se partagent donc une chambre.
Je n´avais pas compté sur la générosité de Ruben:
- Dorit, tu as aujourd´hui ton anniversaire, alors on va jouer aujourd´hui le monde á l´envers, si Patrick et surtout Claire n´ont pas d´objections nous nous partagerons une chambre a trois pour ces quelques heures á Casablanca, comme ça tu auras au moins eu un petit cadeau de notre part ! C4est d´accord ? »
Il fallait voir le visage de Dorit et des deux autres stewardess, elles étaient aux anges. Impossible pour moi de m´opposer, et puis pourquoi aussi, je connaissais Ruben depuis quelques années déjà. La cinquantaine et déjà grand-père, amateur de voile et marié a une très gentille femme que j´avais connue lors d´une fête d´été de notre compagnie.
Quant à Patrick il était wallon comme moi, 26 ans, grand homme, musclé. Il ressemblait plus a un animateur de village de vacances qu´à un intellectuel. Je m´avais demandé parfois comment il avait passé tout ses certificats de pilotage, son intelligence ne se lisait vraiment pas sur son visage.
Entourée de mon équipage nous décidions d´aller immédiatement nous coucher, car le vol continuerait á priori dans la matinée.
Nous entrions a trois dans la jolie chambre de l´hôtel. Le personnel de cet hôtel avait déjà fait déposer un petit matelas pour une personne devant le grand lit double king size.
- Alors Patrick, nous nous couchons ensemble dans le grand lit et puis toi Claire tu prends le matelas, d´accord ? »
Comme nous n´avions pas pris nos valises (elles étaient restées dans la soute a bagage) Patrick entrepris rapidement a mon grand étonnement de se déshabiller pour rester en slip. Il était beau gosse et le savait, mais je le trouvais impudique.
J´allais donc dans la salle de bain, j´avais envie de me doucher car j´avais déjà beaucoup transpirée mais je rejetais cette idée. J´enlevai mes souliers, ma chemise blanche, mon foulard et ma jupe bleu et restait en soutient gorge blanc avec mes bas fin noirs sur ma culotte blanche elle aussi. Puis me disant que si les deux dans la pièce voisine éteignait la lumière je pourrai même bien enlever mes bas. Très courtois les deux éteignaient aussitôt, et je me glissais bien á l´aise dans les draps du petit matelas. Je m´ endormit tout de suite.
Mes rêves étaient très mouvementés. J´étais bien endormi mais je rêvais de mon mari, j´avais comme une envie subite. Je sentais comme s´il me caressait les seins, comme s´il jouait avec mes bourgeons et les mordillait. J´étais vraiment chaude et dans mon sommeil j´écartait mes cuisses pour le sentir…
C´est là ou j´ouvris les yeux, c´était incroyable, cela devait être un rêve, quel audace, Patrick était là, allongé près de moi sur le coté a ma gauche, une main sur mon bas ventre, le caressant, comme mon père le faisait quand j´étais gamine et que j´avais des maux de ventre. Il remontait ensuite et me caressait la poitrine sans ôter mon soutien gorge. J´étais si étonnée et fâchée que je m´apprêtait a lui faire la scène de sa vie, quand il remonta sa main m´appliqua son index sur la bouche et me murmura a l´oreille «Tu vas réveiller Ruben »
J´étais déjà perdue, je crois. Il avait du s´appliquer á me caresser depuis longtemps pendant mon sommeil. J´étais très chaude, je sentais à travers ma culotte mon sexe enflé et très mouillé.
Je ne disais rien, tout un coup Patrick n´étais plus Patrick. Patrick était devenu une possibilité inattendue pour moi d´assouvir une envie sexuelle.
A cause de mes voyages fréquent et de nos deux gosses, mon mari et moi ne couchions plus très souvent ensemble. Et puis c´était toujours le même schéma. Ici a Casablanca ce n´était pas la même chose. J´étais si loin de Bruxelles et n´avais encore jamais de ma vie été réveillée par des caresses interdites.
Je fermais les yeux, Patrick rabaissa la bretelle de mon soutien-gorge et s´appliqua à lécher et sucer l´aréole et le téton de mon sein gauche. Sa main était toujours posée sur mon bas ventre et parce que je commençais a m´onduler, il la descendit et la déposa sur mon slip.
Là il caressa avec deux doigts par dessus le tissus mes grosses lèvres. J´étais aux anges et je haletais déjà. Il descendit alors sa tête et se positionna entre mes cuisses. J´avais perdu tout control de moi-même. Je voulais faire l´amour et me donner.
Avec une main posée sur chaque coté de mes cuisses il m´enleva ma petite culotte, la jeta de coté, et continua avec ses doigts a me caresser les lèvres de mon vagin. Puis il colla sa bouche a mon sexe avide de plaisir et lécha d´abord tout doucement puis toujours plus fortement mon clitoris. Il s´aida de son pouce gauche pour soulever la petite peau qui cachait mon clitoris enflé.
C´était l´extase il suçais le clitoris et descendit parfois pour pénétrer sa langue dans mon vagin. J´eu un orgasme violent. Des spasmes qui comme des vagues déferlaient de mon sexe vers mon ventre. Mon coeur battait très fort. Je dus faire attention de ne pas être trop bruyante, je ne voulais surtout pas réveiller Ruben !
- C´était bon me fit Patrick ? Tu es si belle, j´ai envie de toi ! »
Pendant toutes ses caresses j´avais senti son sexe emprisonné dans son slip battre contre mes cuisses, mais pas une seule fois j´avais entrepris de le toucher. Peut-être par peur du non retour de cette situation dramatique. Il enleva lui-même son dernier vêtement et je pus voir dans la pénombre un gros sexe enflé, dur, presque a la verticale.
Mon seul partenaire sexuel était jusque-là mon mari et j´était á la fois impressionnée et un peu peureuse à la vue de ce gros gland et des gros testicules. Je devais être devenue folle, je pris le sexe dans ma main et entrepris de le masturber très fortement. Je tirais sa peau frénétiquement jusqu´au dessus de son gland pour la rabattre presque méchamment sur le bas.
Apres quelques secondes de ce traitement il me repoussa sur le dos et s´allongea sur moi. Il voulait maintenant me pénétrer. Jamais un autre penis que celui de mon mari était entré en moi. J´était surexcitée.
Il dirigea avec précaution son gland vers l´entrée de mon vagin et s´enfonça d´un trait jusqu´ à la base. J´étais á ce moment contente d´être si mouillée car son sexe était quand même plus gros que celui que je connaissais jusqu´a maintenant. J´avais presque l´impression de revivre ma première expérience sexuelle.
Je fermais les yeux et le laisser me prendre il s´activait et devenait de plus en plus bruyant. J´avais déjà eu un orgasme et j´étais assez fatiguée, c´est pour cela que je ne m´activait plus tellement. Je sentais un orgasme approcher mais ne le désirai pas vraiment. Peut-être ne voulus-je pas luis donner cette deuxième satisfaction. Lui pantelait et me demandais maintenant á l´oreille de gémir et de ne plus cacher mon plaisir.
C´est a ce moment précis que la lumière de chevet du grand lit s´allumait. Ruben s´était réveillé et nous contemplais faisant l´amour.
Je repoussai Patrick qui resta quand même bien enfoncé en moi et commença a balbutier quelques excuses de l´ordre de : « Ruben c´est pas ce que tu pense ! », je cherchais des yeux une couverture ou un drap mais rien n´étais á porté de ma main.
Ruben me regarda et je senti son regard posé sur mes seins. J´étais mal á l´aise dans cette situation. Que se passera t-il maintenant. Quelle honte, peut-être fera-t-il une déclaration á la compagnie aérienne ?
Informera t-il mon mari ?
Ruben en slip se leva et s´approcha de moi,
- Continue Patrick, notre petite Claire en a vraiment besoin «
J´avais honte, j´étais rouge et plus du tout concentrée sur mon plaisir. Patrick était loin de jouir je le savais. Ruben s´agenouilla a cote de ma tête et me caressa les cheveux comme un père attendri.
Il rabaissa ensuite son slip et me laissa voir sa queue. Elle ressemblai plus a celle de mon mari. Ruben était circoncis ce qui m´étonna pour un flamand. Mais ce qui m´étonnai encore plus c´était de voir que tout son poil pubien étaient gris. Je n´avais jamais pensé que les poils du sexe prenaient dans l´age aussi une couleur grisâtre.
Lui aussi bandait fortement mais plutôt a l´horizontale, comme un gros stylo ou marqueur.
Il présenta son penis a la hauteur de ma bouche et je compris tout de suite qu´il voulait que je le suce. Comme j´avais déjà sucé mon mari qui aimait d´ailleurs cela, je connaissait cette pratique sexuelle et ouvris la bouche. Etant couchée sur le dos, il avait bien du mal à me pénétrer. J´arrivai juste un peu a sucer son gland. Patrick toujours sur moi vit que cela ne marchait pas et se releva en sortant son sexe de mon vagin dilaté.
Tout de suite Ruben se jeta sur mon sexe et entreprit de le lécher. Il était moins gentil que Patrick et très goulu. Toujours un de ses doigts soit masturbant mon clitoris, soit écartant mes lèvres et surtout ce que je n´aimait pas tellement, se promenant avec un doigt dans la raie de mon derrière, cherchant mon petit trou pour l´agasser.
Il s´était couché sur moi et j´avais maintenant son pubis sur mon visage. Pour ne pas jouer les saintes ni touche je masturbais son penis, le léchant parfois ou encore le suçant un peu.
Les attouchements de Ruben commençaient a me faire gémir, il s´était maintenant concentré avec un doigt sur mon clitoris et un autre doigt tournait incessamment autour de mon petit anneau. Patrick lui tapa á l´épaule et lui dit
- Eh, Captain, moi aussi j´existe !
Ruben se releva, déjà en sueur. La pièce sentait le sexe, bien que mes deux amants n´avaient toujours pas joui alors que moi déjà 2 fois.
Patrick se coucha alors sur le dos et m´invita á m´asseoir sur lui. J´avais envie de lui et ne prêtait plus d´attention á Ruben. Je pris dans la main droite ce sexe, le tirant un peu a l´horizontale, le dirigeant vers mes lèvres génitales et me laissait tomber sur ce dernier. Tout de suite pleine de bonheur je commençais à monter et descendre sur lui. Lui me pinçai mes tétons et palpai mes petits seins.
C´est a ce moment que je senti deux mains écarter mes fesses et quelque chose de chaud et mouillé sur mon trou du cul. C´était incroyable, Ruben, notre capitaine était en train de me lécher le cul, de pénétrer avec sa langue dans mon petit trou.
J´eu aussitôt un troisième orgasme torride.
Ruben se releva ensuite et dirigea alors son Penis vers mon derrière. Je compris naturellement tout de suite ce qu´il voulait.
- Non Ruben, pas cela je ne l´ai jamais fait auparavant et ça fait mal ».
Il ne dit rien alors j´entrepris de me dégager de Patrick, ce dernier me pris dans ses bras et me fis basculer en avant, vers lui. J´étais comme prisonnière de ses bras puissants. La croupe dégagée en boutoir vers l´arrière.
Patrick me glissa dans l´oreille:
- Tu apprécieras tu verras
Ruben promena son penis irrigé vers mon petit trou et comme solution finale j´essayais de fermer mon anneau. En vain, millimètre, par millimètre il me pénétra. Mon anneau céda sous la pression. Patrick avait pendant ce temps arrêté tout mouvement. J´étais concentrée sur mon derrière qui brûlait et je me trouvais monstrueuse d´éprouver une sensation de plaisir de ce coté.
C´est alors qu´il dit avec cet accent flamand:
- Mais qu´est ce quel est bonne la petite Claire!
Et je détestait tout un coup cet accent!
Ruben en moi ne bougeait plus et me laissait le temps de m´accoutumer á cette première pénétration de ma vie. Puis il glissa sa main droite entre Patrick et moi et entrepris de frictionner mon clitoris déjà bien inflammé.
Patrick repris ses vas et viens et Ruben très gentleman ne bougea pratiquement pas. Cette nouvelle astication de mon clitoris me redonna un plaisir fulgurant. Et je commençais de moi-même à bouger.
Patrick avait relâché son étreinte et mes seins étaient á nouveau libre. Ruben s´y agrippa, serrant mes tétons entre ses doigts. Puis Ruben cria alors tout d´un coup « Claire tu es si serrée », donna deux coups de rein et se vida en moi. Je sentais la chaleur de son sperme aller au fond de mon ventre, un quatrième orgasme arriva. Je n´avait jamais cru cela possible. Et puis Patrick s´enfonça vigoureusement pour la einieme fois et se déversa lui aussi enfin complètement en moi.
J´étais épuisée.
Tout doucement notre capitaine se glissa en dehors de moi, sa verge était un peu rouge et je compris que notre plaisir avait été trop loin.
Je me relevai de Patrick qui avait entrepris encore de m´embrasser sur la bouche. Mais je ne voulais pas, j´en avait assez d´eux maintenant. Je courus vers la salle de bain avec mes dessous et pris une douche très chaude.
Puis je rhabillais mon uniforme. J´espérait que les deux hommes étaient eux aussi habillés quand je ressortis. Mes amants avaient eux aussi remis leur uniforme, et le capitaine discutait déjà avec son portable.
Je quittais la chambre sans un mot pour aller prendre un petit déjeuner.
Claire avait démarré le moteur de sa voiture et roulait maintenant vers Mechelen oú elle habitait. Non tout sera comme si rien était, elle ne dévoilera pas ce secret á son mari. Elle avait quelque remords mais elle était pour la première fois de sa vie sexuellement rassasiée.

Dans tous les sens et les trous!

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Quelques minutes de défonces sexe...


Histoire du net. Auteur Alicia. A NE JAMAIS FAIRE!!!!!!

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J'ai longtemps hésité avant de publier cette histoire
qui décrit tous les risques que peuvent prendre nos ado...
Mais elle est bien écrite et attire l'attention de tout parent!!
A vous de voir et décider!

Points de vue...
Petite précision :
Les histoires racontées dans cette série, même si elles sont inspirées de faits réellement vécus, sont en partie voir totalement remaniées selon mon envie, mes fantasmes. Ces histoires restent donc de pures fictions. C'est pour cela que je m'amuserai à décrire les évènements de différents points de vue et parlerai de moi (Alicia) de temps en temps à la 3eme personne au lieu du "je" habituel.
(Tous les personnages ont plus de 18 ans)
L'histoire du point de vue d'Alicia
Je dansais et me déhanchais au rythme de la musique. Je venais d'avoir les résultats du bac le matin même et j'étais au rattrapage. Loin d'être découragée, il me fallait ce soir me défouler. Ainsi lorsque mon meilleur ami me proposa d'aller à une soirée pour fêter les résultats du bac, j'acceptai sans aucune difficulté.
Je me retrouvais donc là, au milieu de la piste de danse, dans mon petit haut blanc à bretelle et ma mini jupe bleu claire. Il faut croire que je plaisais assez, je sentais plusieurs regards brulants se poser sur moi. Du coup certaines filles me jetaient des regards furieux. Plusieurs garçons tentèrent de m'aborder mais je les rejetai tous. J'étais là pour m'amuser pas pour me trouver un copain (surtout que j'en avais déjà un).
Au bout d'un moment, un peu fatiguée, je partis à la recherche de Benoit (mon meilleur ami), que j'avais perdu de vue depuis un moment. Après l'avoir décrit à quelques inconnus qui croisèrent ma route, je le retrouvai finalement dans une chambre avec deux autres de mes camarades de classe Thibault et Maxime. Je jetais un coup d'œil par la porte légèrement entrouverte. Ils fumaient (et au vue de la fumée, cela ne devait pas être de simples cigarettes), pendant que devant eux dansait Jessica. Cette pétasse, je ne pouvais pas la blairer, j'avais toujours pensé que c'était une salope. Et vu la façon dont elle dansait et l'orientation que prenait la soirée dans cette chambre, cela ne faisait que confirmer mes soupçons. Je partis au moment où Jessica, à quatre pattes sur le sol, se diriger sensuellement vers Benoit, tout en se passant la langue sur les lèvres.
J'étais très énervée... Où était ce de la jalousie ? Voir mes trois camarades de classe regarder le corps de Jessica avec de l'envie, du désir... cela me donnait envie d'être à sa place...
Pfff quelle conne ! Elle avait réussi à m'exciter. Non, ce qu'il me fallait c'est de la détente pas de l'exercice. Fumer, c'est ça qu'il me fallait, mais pas des cigarettes. Je me voyais mal retourner dans la pièce en demander à Benoit qui était surement très occupé à l'heure qu'il est. De toute façon, ça ne devait pas être bien compliqué de trouver du shit ici.
Après avoir scrupuleusement observé la salle, je trouvai enfin le « fournisseur » de la soirée, il était plutôt mignon et me regardai de temps en temps. Je l'abordai sans aucun complexe.
- Salut » dis-je bêtement avec mon plus beau sourire
- Salut » répondit il béatement
- Dis moi, j'aimerai me détendre un max, et j'ai cru comprendre que tu avais tout ce dont j'ai besoin... »
Je rougis instantanément en comprenant l'horrible double sens de ma phrase. Il éclata de rire devant ma gêne.
- Ne t'inquiètes pas, j'ai compris ce que tu voulais. C'est 50 euros la dose. »
- Aie... je n'ai que 20 euros sur moi. Tu peux me faire une ristourne ? Ou alors je te paye le reste plus tard. »
- Non, je suis désolé, on me fait tout le temps ce genre de coups, je serai un peu fou d'accepter mais... »
- Mais ?... » repris je plein d'espoir
- Je pense qu'on pourrait s'arranger pour ce qu'il te manque »
Voyant assez rapidement où il voulait en venir, je lui répondis
- Heu... Non, je ne suis pas vraiment ce genre de filles, je vais m'arranger pour trouver la somme manquante. »
Je m'éloignai sans lui laisser le temps de répondre.
Je retournai du côté de la chambre où j'avais laissé Benoit espérant qu'il soit sorti. Ouf, c'était le cas.
Benoit, le sourire béat, continuait à fumer devant la chambre. Vu son visage, aucun doute qu'il avait du avoir une belle pipe dans les règles de l'art. Et mes autres camarades ne devaient être laissés pour compte si je me référais aux sons que produisait Jessica criant son plaisir au travers de la porte.
- Dis-moi Benoit, tu en as encore ? » lui demandais-je en pointant du doigt son joint
- Désolé ma belle, c'est le dernier. »
Il dut lire la déception sur mon visage, car il enchaina rapidement
- Mais tu peux en obtenir facilement ici tu sais. »
- Oui je sais, mais je n'ai pas assez d'argent »
- Ahlala Alicia, tu ne prévois jamais rien, combien il te faut ? »
- 50 euros » (oui je sais, 30 euros auraient suffit mais bon, autant en profiter, non ?)
Il sortit un billet de 50 de sa poche et me le tendit.
- Merci merci merci. Merci mille fois. » lui dis-je en lui sautant au cou.
Puis je récupérai le billet et m'empressai de retrouver le fournisseur.
Entre temps, il avait changé d'endroit, il se trouvait dans une chambre. Un gars en sortait juste avec une barrette.
- Voilà ! » dis-je triomphant en lui tendant le billet de 50.
Il sourit.
- C'est bien joli tout ça, mais ça ne suffit plus, mes prix ont augmenté, je suis passé à 100 euros. »
- Quoi ??? » criai-je
- Oui, j'ai presque tout vendu, et pour les dernières j'augmente toujours mes prix - Je n'ai que 50 euros, c'est à prendre ou à laisser » lui lançai je sur un air de défi
- En réalité, ce n'est pas l'argent qui m'intéresse le plus chez toi... mais ça je pense que tu l'as compris »
- Tu peux toujours rêver, je ne suis pas ce genre de filles ! »
- En attendant, il semblerait que tu en es vraiment envie de ton joint, et je suis le seul à en fournir dans le coin. »
Je ne dis rien, il continua
- Moi je t'aide à te détendre, il est donc normal que tu m'aides à me détendre également » lâcha-t'il avec un sourire.
J'étais furieuse et je le lui montrai du regard. Mais j'avais vraiment envie de cette barrette.
Je m'allongeai comme une pierre sur le lit de la chambre et lâcha à mon tour :
- Vas y fais ce que tu veux mais en échange je veux deux barrettes »
- Non non non » dit il en souriant « C'est moi qui dicte les règles, et je veux que tu me détendes sans rien avoir à faire. Et ce que tu y gagneras dépendra de ta prestation »
Je me relevai encore plus furieuse que jamais face à lui. Il me regarda droit dans les yeux. Il était devenu très sérieux.
- A genou » m'ordonna-t-il
Je fus pris de court par cet ordre. Ne sachant pas trop comment réagir, toute trace de colère partie de mon visage, j'obéis sans poser de question. Il me regardait et semblait attendre. Je n'avais maintenant plus de doute sur la façon dont il voulait que je le détende.

Je n'avais fait une fellation qu'une fois auparavant, l'année dernière, j'avais 17 ans et mon copain 21. On était en voiture un soir alors qu'il me ramenait, et avait commencé à me faire des avances devant chez moi. Ne voulant pas céder à ses avances, j'avais du trouver un autre moyen pour le contenter, je ne suis pas allée jusqu'au bout mais il m'a semblé qu'il avait très apprécié ses 10 mn de plaisir devant chez moi. Par la suite, il m'avait pressé plusieurs fois pour que je recommence, mais même si je n'avais pas trouvé l'expérience désagréable, je n'y avais pas tellement pris gout.
Je voulais mes deux barrettes et pour cela, j'étais prêt à y mettre le paquet. Me rappelant des mimiques de Jessica, je commençai par lui jeter un regard torride tout en passant ma langue sur mes lèvres. Puis je commençai à frotter délicatement mon visage sur son entrejambe, je sentis alors quelque chose gonflée à l'intérieur. A en voir son visage, il semblait déjà ressentir du plaisir.
Sans plus attendre je déboutonnai son jean puis sortis sa queue qui arrive à quelques millimètres de mes lèvres. Instinctivement je sortis ma langue qui vint caresser le bout de son gland. Je sentis sa respiration s'accélérer. Je le fis entrer doucement dans ma bouche tout en poussant un soupir de désir. Cela dut achever de l'exciter, je sentis une main se poser sur ma tête et commençait à exercer une pression. Je me laissais faire et engloutis bientôt la quasi-totalité de sa queue.
Il devait être en train de jubiler. Quelques temps plus tôt, je me refusais à lui en faisait ma vierge effarouchée et là je me retrouvais à genou devant lui, bien soumise, en train de le sucer. A ces grognements et ses soupirs, je pouvais dire qu'il y prenait beaucoup de plaisir. A ce moment là je me sentis aussi salope que Jessica que je critiquai peu avant. Je voulus reprendre les choses en main si je suis puis dire. J'attrapai sa queue avec ma main gauche et commença à intensifier mes vas et viens. A chaque fois, je sortais presque entièrement sa queue de ma bouche et la reprenait aussitôt le plus profondément possible, ce qui avait pour résultat de lui faire lâcher un « Ahhhhhh » évocateur. Je dois dire que cette situation commençait sérieusement à m'exciter et je ne pus m'empêcher de faire plonger ma main droite vers mon entrejambe. Je me caressai tout en lui prodiguant une fellation magistrale.
- Attention, je sens que je viens » me dit-il tout d'un coup
C'était sympa de sa part de prévenir, beaucoup de garçons n'auraient pas eu cette courtoisie (surtout dans cette situation). Mais j'étais trop excitée, j'intensifiai mes vas et viens. Je pris sa queue à deux mains pour continuer à le sucer je m'agrippai à ses fesses de la main droite. Il posa ses deux mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements.
- Oui vas y, suces moi, je viens ! »
Je sentais à présent un certain pouvoir sur lui, le pouvoir de lui donner du plaisir. A chaque aller retour, je poussais maintenant des soupirs de plaisir de plus en plus pervers pour montrer que j'aimais ça. Je faisais tourner ma langue autour de sa queue tout en le suçant afin de lui donner le maximum de plaisir.
Je sentis ses mains se crispaient dans mes cheveux, je sentis sa queue frémir dans ma bouche puis je sentis sa semence chaude atteindre mon palais. Je continuai à le pomper plus lentement cette fois tout en continuant mes tours de langue.
- Ahhhhhhhh » lâcha-t'il enfin
Quand ma bouche fut pleine, je sortis sa queue de ma bouche, recula légèrement et le regarda, là j'ouvris ma bouche pour lui montrer tout ce que j'avais récolté et passa une nouvelle fois ma langue sur mes lèvres avant d'avaler (J'avais vu ça dans un film X et j'avais cru comprendre que les hommes adoraient ça).
Il reboutonna son jean et s'assit sur le lit pour reprendre son souffle. Puis il me sourit.
- C'était incroyable ! Tu as bien mérité tes barrettes. »
Il me tendit deux barrettes de shit (surement les dernières) que je pris avant de partir rapidement. Je réalisai à peine ce que je venais de faire. Tout ça pour fumer un coup.
Je sortis de la maison en prenant soin d'éviter Benoit ou toute personne que je connaissais. Pensant à mon copain, j'avais honte.
Je venais de me prostituer juste pour un peu de drogue. Et pourtant... j'avais adoré...
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L'histoire du point de vue de Thomas
J'étais venu à cette soirée sans grande conviction. J'avais 23 ans et me retrouver au milieu d'ado de 17-18 ans ayant passés le bac ne m'enchantait guère. Mais je savais cependant que ce serait le meilleur endroit pour dealer ce soir. Je dois avouer qu'il y avait quand même quelques jolies filles. Une en particulier attira mon attention.
Elle dansait et se déhanchait au rythme de la musique. A voir son énergie, elle était vraiment là pour se défouler. Elle était ravissante dans son petit haut blanc à bretelle et sa mini jupe bleu claire. Sa longue chevelure blonde descendait jusqu'au milieu de son dos. Ses mouvements étaient d'une sensualité hors du commun, ce qui avait pour résultat que la plupart des mâles à proximité ne pouvaient s'empêcher de garder leurs yeux fixés sur son corps. Certaines filles, mêmes semblaient subjuguées (lorsqu'elles n'étaient pas jalouses). Plusieurs garçons tentèrent de l'aborder mais sans succès.
Au bout d'un moment, surement fatiguée, je la vis s'éloigner. Je repris donc mes affaires et chercha de nouveaux clients. Les affaires allaient plutôt bien, légèrement plus tôt un gars était venu m'acheter une grosse quantité pour lui et ses deux potes. Ils étaient accompagnées d'une fille habillée de manière très sexy voir indécente, j'en avais profité pour la mater discrètement. Puis ils étaient monté tous les quatre à l'étage en direction des chambres, la suite des évènements pour eux avait surement du être très agréable, songeai-je.
Le temps passa un peu. La soirée allait bon train lorsque j'aperçus de nouveau la blonde sensuelle qui m'avait ébloui par ses mouvements de danse. Elle semblait chercher quelque chose ou quelqu'un. Au bout d'un moment son regard se posa sur moi, j'étais alors en affaire avec un étudiant. Je jetai de temps en temps des coups d'œil vers elle pour voir si elle me regardait toujours. Et c'était le cas. Elle commença à avancer vers moi, je la regardai approcher avec curiosité.
- Salut » dit-elle d'une voie enjouée avec un sourire à faire fondre un moine tibétain.
- Salut » répondis-je un peu pris au dépourvu
- Dis moi, j'aimerai me détendre un max, et j'ai cru comprendre que tu avais tout ce dont j'ai besoin... »
Je la vis rougir instantanément en comprenant l'incroyable double sens de sa phrase. La voir ainsi si timide, elle, la blonde sensuelle, me fit éclater de rire. Puis pour la rassurer, je lui répondis :
- Ne t'inquiètes pas, j'ai compris ce que tu voulais. C'est 50 euros la dose. »
- Aie... Je n'ai que 20 euros sur moi. Tu peux me faire une ristourne ? Ou alors je te paye le reste plus tard. »
J'avais pris l'habitude de ne jamais faire crédit même dans ce genre de cas.
- Non, je suis désolé, on me fait tout le temps ce genre de coups, je serai un peu fou d'accepter mais... »
Je réfléchissais à toute allure à ce que je pouvais lui proposer comme solution, je ne voulais pas qu'une aussi jolie fille ne puisse pas se détendre comme elle le voulait.
- Mais ?... » Reprit elle plein d'espoir
Je n'avais qu'à lui proposer de ne prendre que la moitié d'une dose, ce qui lui suffirait largement pour se détendre.
- Je pense qu'on pourrait s'arranger pour ce qu'il te manque... »
Avant que je puisse finir ma phrase, elle me coupa :
- Heu... Non, je ne suis pas trop ce genre de filles, je vais m'arranger pour trouver la somme manquante »
Elle s'éloigna avant que je n'ai le temps de répondre. Elle avait mal interprété ce que j'allais dire, même si je dois admettre que j'aurai pu tourner ma phrase autrement. L'idée qu'elle puisse m'offrir son corps en échange de ma marchandise me fit frissonner et, je dois l'avouer, commença à faire naitre des images dans mon esprit. Je commençai à espérer qu'elle ne trouve pas l'argent manquant.
Je ne l'aperçus plus pendant un moment. Elle avait du partir. Un peu déçue, je montai dans une chambre pour être un peu au calme. Un gars entra dans la pièce peu après derrière moi, il voulait m'acheter un peu de mon stock. Au moins la soirée aura été bonne financièrement.
Je fus assez surpris de voir réapparaitre la belle blonde dans l'encadrement de la porte au moment où le mec sortait. Une agréable surprise je dois dire.
- Voilà ! » Dit elle triomphant en me tendant un billet de 50 euros.
Un peu déçu en voyant qu'elle avait trouvé finalement la somme, j'eus une idée. Je souris.
- C'est bien joli tout ça, mais ça ne suffit plus, mes prix ont augmenté, je suis passé à 100 euros. »
- Quoi ??? » Cria t'elle
- Oui, j'ai presque tout vendu, et pour les dernières j'augmente toujours mes prix. »
J'étais si convaincant que j'aurai pu réellement croire ce que je disais.
- Je n'ai que 50 euros, c'est à prendre ou à laisser » me lança-t'elle sur un air de défi.
Je décidai qu'il était temps de rentrer dans le vif du sujet.
- En réalité, ce n'est pas l'argent qui m'intéresse le plus chez toi... mais ça je pense que tu l'as compris. »
- Tu peux toujours rêver, je ne suis pas ce genre de filles ! »
- En attendant, il semblerait que tu en es vraiment envie de ton joint, et je suis le seul à en fournir dans le coin. »
Elle ne dit rien, je continuai
- Moi je t'aide à te détendre, il est donc normal que tu m'aides à me détendre également » lâchai je avec un sourire, satisfait de ma phrase.
Elle semblait furieuse et me fusillait du regard. Mais j'avais vraiment envie d'elle.
Je la vis s'allonger comme une pierre sur le lit de la chambre et déclarer :
- Vas y, fais ce que tu veux mais en échange je veux deux barrettes. »
Cela eu pour réaction de me faire sourire. Elle devait avoir à peine 18 ans et j'en avais 23. Je savais que j'avais l'avantage dans ce genre de discussion.
- Non non non. C'est moi qui dicte les règles, et je veux que tu me détendes sans rien avoir à faire. Et ce que tu y gagneras dépendra de ta prestation. »
Elle se releva encore plus furieuse. C'était le moment ou jamais de tenter ma chance. J'essayai de devenir le plus sérieux possible en la regardant droit dans les yeux. Je rassemblai toute l'autorité que je pouvais avoir et ordonna :
- A genou. »
Je vis que je l'avais déstabilisé. Elle hésita un moment, toute trace de colère partie de mon visage, puis se mit à genou devant moi. « Bingo » me dis-je.
Je la regardais en attendant qu'elle commence. A ce stade, il ne faisait aucun doute qu'elle avait compris ce que j'attendais d'elle.
Tout à coups, quelque chose changea dans son regard. Il était devenu sauvage, torride même. Elle commença à passer sa langue sur ses lèvres. Doucement. Je sentais mon sexe gonfler dans mon pantalon à la vue de cet appel à la luxure. Elle frotta doucement son visage contre mon entrejambe. Je sentais sa bouche s'entrouvrir comme pour mesurer mon excitation à travers mon pantalon. Je sus à ce moment là que je m'apprêtai à vivre quelque chose de fantastique.
Elle commença à déboutonner mon jean puis sortit rapidement ma queue qui arriva juste devant sa bouche. Je vis sa langue sortir de sa bouche et venir au contact de mon gland. Ce contact m'électrisa, mon cœur s'emballât et ma respiration s'accéléra. Je sentis ma queue commencer à entrer dans sa bouche doucement. Elle poussa un « Mmmm » si sexy, que je ne pus me retenir de poser une main sur sa tête pour l'inviter à me prendre plus profondément en bouche. Elle n'opposa aucune résistance et engloutit bientôt la quasi-totalité de sa queue.
« Quelle salope tout de même » songeai-je en sentant sa langue caresser mon gland dans sa bouche. Elle me fait le coup de la vierge effarouchée et maintenant elle semble plus perverse que jamais. « En tout cas, j'ai touché le jackpot » me dis-je intérieurement.
Elle s'occupait tellement bien de moi que je ne pouvais m'empêcher de lâcher des « Ahhh » de satisfaction. Puis elle sembla vouloir redoubler d'effort, elle attrapa ma queue avec sa main gauche et commença à intensifier ses mouvements. Elle sortait ma queue presque entièrement de sa bouche avant de la reprendre chaque fois un peu plus profondément. C'était un véritable délice ! Sentant ma jouissance venir, je pensai qu'il était bon de l'avertir. Je préférai qu'elle aille jusqu'au bout mais je ne voulais pas gâcher ce moment magique, surtout qu'elle semblait prendre autant de plaisir que moi.
- Attention, je sens que je viens » dis-je d'un coup
Alors que je m'attendais à la voir ralentir, elle intensifia ses vas et viens à ma plus grande surprise et pour mon plus grand bonheur. Elle prit ma queue à deux mains pour continuer à me sucer puis s'agrippa à mes fesses de la main droite. Je décidai d'en profiter un maximum et posa mes deux mains sur sa tête pour accompagner ses mouvements.
- Oui vas y, suces moi, je viens ! » criai-je.
A chaque aller retour, elle poussait des soupirs de plaisir de plus en plus pervers. Cela m'excitait au plus haut point. Je sentais sa langue tourner autour de ma queue tout en me suçant. Cela eut raison de moi. Mes mains se crispèrent dans sa chevelure puis je me sentis jouir dans sa bouche. Elle continua sa fellation et ses caresses buccales pendant un moment. C'était divin !
- Ahhhhhhhh » lâchai je enfin pour reprendre ma respiration.
Elle sortit ma queue de sa bouche, recula légèrement et me regarda. Elle ouvrit la bouche pour que je puisse voir qu'elle n'en avait pas perdu une goutte et passa une nouvelle fois sa langue sur ses lèvres avant d'avaler. Si j'avais pu, je crois que j'aurai eu un second orgasme.
Je reboutonnai mon jean et m'assit sur le lit pour reprendre mon souffle encore tout étourdi par cette prouesse buccale. Je tournai la tête vers elle en souriant.
- C'était incroyable ! Tu as bien mérité tes barrettes. »
Je lui tendis deux barrettes de shit (elle les avait amplement méritées). Elle les prit et s'en alla en un éclair sans me laisser le temps de réagir. Je partis à sa poursuite mais ne put la rattraper à cause de la foule.
C'était de loin la plus belle fellation que l'on m'est faite.
Une fille comme ça, on en trouve une sur des milliers...
La reverrai-je ?

Pt'i Babtou à leur service.... Rediffusion d'un samedi d'automne...

Un dimanche de brèves.

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Témoignages de Valérie la s....

Croisière en mer pour Valérie
Comme prévu, il est quinze heure quand Line et Georges, un couple de quarante ans, et Valérie et Luc, un couple de vingt ans, prennent place sur le bateau. C'est Gil, beau gosse de vingt ans, célibataire, neveu de Line, qui est au commandes.
- Quelle belle journée, dit Georges, on pourrait se baigner.
Les couples regagnent leur cabines, et se donnent rendez-vous sur le pont. Line plonge la première.
- Elle est excellente, dit-elle, de l'huile.
Tout le monde se jette à l'eau. C'est vrai que la chaleur est caniculaire. Après une bonne heure de bronzage, Line se lève pour préparer le repas.
- Un coup de main? Propose Valérie.
- Si vous voulez, répond Line.
Et les voilà en cuisine.
- Il est beau gosse vôtre neveu, dit Valérie.
- D'après ses copines, c'est surtout un chaud lapin, répond Line. Attention à vous, il aime les belles filles. Et vous êtes superbe.
Vers neuf heure, tout le monde passe à table. Gil a décidé de naviguer de nuit, aussi, va-t-il s'allonger une petite heure. A la fin du repas, le visage de Luc devient de plus en plus blanc. Il se précipite aux toilettes pour vomir. Il a le mal de mer.
- Viens, dit Valérie, va t'allonger.
- Tenez, prenez çà, propose Georges, çà va vous calmer, et vous faire dormir.
- Merci, répond Luc, excusez moi. Tu m'accompagne chérie.
Le couple regagne leur cabine. Vers minuit, ne pouvant dormir, Valérie passe une chemise de nuit, et décide d'aller prendre l'air. Elle monte sur le pont. Gil est à la barre, en bermuda, torse nu. Quel athlète.
- Il fait un temps magnifique, dit Valérie.
- Oh oui, répond Gil. Vous avez vu la lune? La nuit va être claire. C'est bien d'en profiter.
- C'est dur à conduire un engin comme çà? Demande Valérie
- Pas du tout, répond Gil. Vous voulez essayer? Tenez, prenez les commandes.
Sans que Valérie s'en aperçoive, Gil met le pilotage automatique.
- Vous croyez que je vais y arriver? Ajoute Valérie.
Il se place derrière , et pose ses mains sur celles de Valérie.
- Voilà, dit-il, tenez bien les manettes.
Doucement, il l'a lâche, et pose ses mains sur ses hanches. La chemise de nuit n'est pas épaisse. Il sent toute les formes de la jeune femme. les mains remontent et se posent sur les seins. Les bouts sont prêt à traverser le tissu.
- Que faites vous, sursaute -t-elle. Déconnez pas, il n'y à que trois mois que je suis mariée.
- Ils ont l'air beaux, remarque-t-il. Ils sont durs, et quel bout.
Valérie est traversée par une agréable frisson. Une douce chaleur envahit son bas ventre.
- Ha..ha..s'il vous plait, soupire-t-elle. Si quelqu'un nous surprend. Arrêtez.
- Tout le monde dort à cette heure ci, la rassure Gil.
Valérie commence à se soumettre. sa respiration s'accélère. L'humidité gagne son entre jambe.
- Salaud, dit-elle, quittez ma chemise, ce sera mieux.
Gil la force à écartées ses cuisses pour pouvoir glisser une main.
- C'est quoi çà, dit-il, c'est bien mouillé.
- C'est ma petite fente, caressez là, surtout mon clitoris. Ha..ha..que c'est bon.
Valérie lâche les commandes, et passe ses bras en arrière. Elle écarte le short par l'entre jambes et prend un testicule dans chaque mains.
- Et çà, c'est quoi? Demande Valérie, une belle paire de couilles. Et cette grosse queue, tu vas me la mettre, hein? Salaud. Vas-y, nique moi maintenant que tu m'as excitée.
Valérie se cambre en arrière pour mieux se faire prendre. Gil, la queue en érection, n'a qu'à poussé. Valérie pousse un cri de plaisir.
- Hou..hou..gémit-elle, caresse le bout de mes seins, mon clito aussi, oh putain, si on
m'avait dis que je prendrais un coup de queue ce soir. Ha...ha...oui, comme je jouiiiii.... Oui, vas y, viens toi aussi, fais toi plaisir. rempli moi la chatte, elle en meurt d'envie.
- Tu es une petite bordille, toi, tu aimes te le faire mettre, hein? tu me fais jouir là, ouais, vas-y, bouge ton cul, salope. Il;faudra me nettoyer tout çà après.
- Oua, qu'est-ce-que tu m'as mis. Il y a longtemps que tu as pas tiré une femme. Tant mieux pour moi.
Valérie se retourne, prend Gil par la nuque, et l'embrasse.
- Ou ta queue est-elle allée se nicher pour être sale comme çà? Ironise Valérie, en lui tenant la queue. Elle est pleine de mouille. Allez, viens.
Elle s'assied sur une chaise qui se trouver contre la cloison, l'attire vers elle, et lui prend la queue entièrement décalottée du bout des lèvres. Elle a ses jambes écartées aux maximum. Gil fait tourner un doigt sur le clitoris complètement sorti de sa capuche.
- Lui aussi, il est sale, gémit Gil. Oh non, tu vas tout avaler salope, oui...oui quelle pipe, qu'est-ce-que tu es bonne.
- Et moi, soupire Valérie, regarde comme je suis écartée par ta faute. Hum, c'est bon,hein? sourit Valérie. Cà c'est de la baise. Je vais bien dormir.
Valérie rejoint sa cabine. En passant devant celle de Line et de Georges, elle entend parler.
- Allez, laisse moi dormir, dit Georges.
- Tu as vu ta queue comme elle est raide? Répond Line, elle dort pas elle. Laisse moi te sucer au moins. C'est Valérie qui te fais cet effet, salaud. Tu aimerais te la faire, hein? Surtout qu'elle à l'air chaude. Je l'ai surprise avec Gil sur le pont. Tu l'aurai entendu jouir. J'ai l'impression qu'elle aime la queue.
- C'est vrai que j'aimerai bien la baiser, poursuit Georges. Quel canon. Allez, tu me la taille cette pipe? Comme tu es écartée, tu attends que je te chatte, c'est çà?
" Mon dieu, qu'est-ce-qu'il m'arrive," pense Valérie. Elle s'allonge près de son mari. " Mon chéri, quelle idée on a eut de faire cette croisière. Tu es malade comme un chien, et,
en plus, non seulement je t'ai trompé, mais je me suis faite surprendre par Line."
A peine sorti de ses réflexions, elle entend frapper à la porte.
Elle ouvre, c'est Line. Elle vêtue d'une chemise de nuit ultra courte. tout comme Valérie.
- Je venais voir si çà allait, dit Line.
- Entrez, répond Valérie. C'est toujours pareil, il dort.
Line attrape Valérie par le menton, et la pousse contre la porte. Puis, elle glisse une main entre ses cuisses. Valérie a compris, elle se laisse faire . Machinalement, elle écarte ses jambes.
- Vous allez tout balancer à mon mari? Demande Valérie. Vous attendez quoi de moi?
- On trouvera bien une solution, ma chérie, répond Line. Et ce minou, il est toujours mouillé. Viens t'allonger. N'est pas peur, il dort.
Valérie s'allonge à côté de son mari, un bras pendant en dehors du lit. Line se met à genoux, et commence a caresser la chatte de Valérie.
- Tu aimes qu'on te chatte, hein? Et ton petit trou, fais voir un peu que je le doigte. Hum. C'est bon. Et toi, tu as pas une main?
Valérie lance sa main entre les cuisses de Line. Celle ci pousse un petit cri de plaisir.
- Ben, dit dontc gémit Line, directement sur mon petit bouton? Vas-y, joue avec lui, petite vicieuse. Tu me fais du bien là. tu me fais jouiiiiirr. Ha...ha...ouiii.
- Moi aussi je joui, pleure Valérie, je suis devenu complètement pute. Mais c'est tellement bon, encore, encore oui hou...hou.. On recommencera un de ces jours j'espère.
- En fait, poursuit Line, c'est une des solutions que j'avais envisagé. Mardi, c'est
l'anniversaire de Georges, je pensais t'offrir en cadeau. Qu'est-ce-que tu en penses?
- Coquine, répond Valérie, tu veux partouzer. D'accord. Dit moi, Gil, il te tringle pas un peu. Allez, avoue.
- C'est vrai, répond Line, une fois par semaine, il passe à la maison. Il me nique pendant deux heures. C'est un bon étalon, plutôt bien monté.
- Putain, ajoute Valérie, s'il est bien monté. J'en ai pris plein la chatte et la bouche hier soir. Le salaud, çà c'est un mâle. Et les testicules qu'il a? A côté de mon mari. Et le tien, il est bien monté.
- Surprise, répond Line, tu verras mardi.
- Attention, poursuit Valérie, je suis jeune, s'il tombe sur un jour ou je suis en chaleur, çà va lui faire drôle.
- T'inquiète pas, répond Line, tu seras pas déçu. Et au fait, Luc, il est bien monté?
Valérie écarte le bermuda de son mari, et lui sort entièrement ses attributs
- Tiens, constate par toi même, dit Valérie.
Line soupèse les couilles de Luc, joue avec la queue, s'attardant sur le gland qu'elle prend soin de décalotté en jouant avec le prépuce. Aucune réaction.
- C'est dommage, regrette Line.
Valérie glisse une main entre les cuisses de Line.
- Et cette chatte toute mouillée, ce clitoris décapuchonner, c'est pas dommage, hein? Salope, viens ici qu'on se suce. On va s'éclater pour nôtre dernière nuit en mer dit Valérie.
- Oh putain, mais tu me mors le clito, se plaint Line. Attend, vilaine, tu vas voir.
- Aie aie, ouais, vas-y, pince le ce salaud, soupire Valérie, ha...ha.. je joui, ouiiii.
- Que c'est bon, gémit Line, moi aussi je joui,hou...hou..ha oui..oui hum.

…...................
Mardi, vers huit heure trente, on sonne à la porte de Line. Elle ouvre, c'est Valérie.
- Bonjour ma chérie, dit Line.
- Je suis venu, comme convenu, répond Valérie.
- Habillé comme çà, tu ferai bander un mort, dit Line. Fait voir. Pauvre chérie, mais tu es toute mouillée. Ta chatte a envie de prendre un bon coup de queue. Justement, on est encore au lit avec Georges. J'étais en train de jouer avec lui. Tu vas voir son fifre comme il est raide.
- Ma chérie, dit Georges, viens vite qu'on s'amuse un peu.
Valérie se jette sur le lit, et se couche sur le côté, blottit contre Georges. Elle passe une jambe par dessus son corps, et se retrouve les cuisses écartées.
Line saisit la queue de son mari, et la présente contre la chatte de Valérie.
- Allez, mon chéri, prend la.
Valérie prend Georges à pleine bouche, et le fouille avec sa langue. Petit à petit, elle sens sa queue qui l'a pénètre.
- Alors, mon trésor, dit Valérie, bon anniversaire. Ta femme t'a fait un beau cadeau. Te taper une jeune de vingt ans. Tu sens comme je te serre dans ma mouille. Doucement, on a tout le temps.
Line, elle, caresse les fesses cambrées de Valérie. Son majeur se fait de plus en plus vicieux.
- Ta femme, tu sais ce qu'elle me fait, gémit Valérie, elle me doigte mon petit trou cette salope. Vous me tenez tout les deux, hein?.Ha..haaaa...ha..oui je joui, ha..ha je jouiiii... Vas-y, laisse toi aller, vide toi dans ma chatte.
- Oh oui, je me vide, Line, elle me fait cracher, han..han oui.
- Eh, ho, calmez vous tout les deux. C'est pas encore fini, Georges.Il te faut la sodomiser, et te faire tailler la bougie. Après, c'est à moi.
- Vous êtes deux salauds, rit Valérie, je vais vous épuiser, vous allez me supplier d'arrêter. Tiens mon cul toi, vicieux.
Valérie se positionne pour recevoir la bite de Georges.Il n'a pas flanché d'un poil. Il l'a pénètre violemment. Le cri de Valérie traverse l'appartement.
- Comme il m'encule le salaud, oh putain, il va me déchirer.
Valérie passe une main entre ses jambes.
- Et c'est quoi qui pend là, c'est tes grosses couilles,hein. S'il te plait, prend mes seins. Et toi Line, gratte mon clitoris, puni le ce polisson.
- Je joui, cri Georges, c'est pas vrai, deux fois coup sur coup. Ha..ha..oui, tu me sens chérie.
- Bien sur que je te sens, répond Valérie, vas-y fais toi plaisir, vide toi.
Les jets de spermes déferlent dans le cul de Valérie jusqu'à la dernière goutte. Epuisé, Georges s'écroule sur le lit.
- C'est quoi çà, demande Valérie. A non, pas de pause. Ta pipe maintenant. Toi Line, je veux que tu me chatte, ok? Après, je m'occuperai de toi.
- Mais Valérie, se plaint Georges, dix petites minutes, s'il te plait.
Il a pas fini sa phrase, que Valérie le saisit par les couilles, et le tire vers elle. De ses lèvres humides, elle décalotte le gland, insistant sur le méat, et avale la queue jusqu'au fond de sa gorge.
- Tu as trouve une partenaire qui te mate, n'est-ce pas chéri? Ironise Line.
- Mais, comme elle fait, je vais encore jouir, hurle Georges, je crache, tiens , avale çà.
- T'inquiète pas, Georges, j'avale tout et je nettoie, répond Valérie la bouche pleine.
Elle libère la queue de Georges, mais la tient toujours en main.
- Regarde ton noeud comme il est décalotté, il est tout rouge. Et tes couilles, elles se sont vidées, hein,
Elle tiens la base du gland avec deux doigts, et écarte le méat avec deux autres.
- C'est par là que tu m'as rempli de partout, hein? salaud. Maintenant, je vais m'occuper de ta femme.
Georges tombe du lit, et s'écroule sur la moquette.
- A nous deux, dit Valérie, je sais s'il te restera assez de mouille.
Line a un sourire en coin, elle est vicieuse, expérimentée, pouvant faire semblant s'il le faut. Valérie risque de tomber de haut. Valérie s'allonge sur Line et lui écarte les les jambes de force. Elle prend position de sa chatte, accrochant le clitoris au passage. Mais, dans cette position, elle offre tout son corps à Line. Chatte, petit trou et seins. Line décide de passer à l'attaque. Elle fait front sur les trois points.
- Haaa, hurle Valérie en se dressant sur les genoux. Oh putain.
Elle cambre son corps en arrière. Elle est prise, et bien prise. Une main a pris possession du bas du corps. Deux doigts dans la chatte, et le pouce bien
enfoncé dans l'anus. L'autre main joue avec le bouts des seins démesurés par l'excitation.
- Qu'est-ce-que tu me fait, soupire Valérie, je suis paralysée.
- Là, répond Line, je vais te vider. Tu sens comme je joue avec ton corps de pute. Tu te régales,hein?
Line fait rouler les lèvres humides de Valérie entre ses doigts, tire sur le bouton sorti de sa capuche
- Tu vas tomber dans un épuisement total. Tu auras juste la force de bouffer la chatte. Après, avec Georges, on s'amusera encore avec toi. Tu veux bien ma chérie?
Valérie s'effondre sur le lit, fesse cambrées, toujours doigtée par Line.
- T'arrête pas, s'il te plait, fait moi jouir, vas y, sert toi de moi. Ha..ha..ha..oh oui, que c'est bon d'être une femme, oui, je joui, çà y est, je viens, ha..ha..ha..ouiiii.
Entre temps, Georges a refait surface. Il a repris sa place sur le lit. Valérie est blottie au milieu du couple.
- Tu pourras pas satisfaire ton mari ce soir, dit Line.
- Tant pis, il s'agit que moi je le soit. Oh, tu as retrouve la forme Georges, ta couette est toute raide.
- Si on remettait çà jeudi, propose Line, enfin si Valérie est d'accord. On pourrai inviter Gil
- Mais, c'est une super idée, jubile Valérie, j'espère qu'il me donnera un coup de queue.
- Cà va partouzer grave, se réjouit Georges.
Et voilà, rendez vous est pris

Partage Dominical... Fin


Anthologie du film inter...

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Il faut se laver les cheveux deux fois 
par semaine minimum.
Film de 1976





Histoire du net. Auteur inconnu. The Shame....

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Itinéraire et expériences d'une bourgeoise 
qui a constamment besoin d'être recadrée!

PLEASURES AND SHAME OF A SOCIALITE
Viviane est une femme très distinguée, élégante, sûre d'elle et de son charme.
Veuve à 33 ans, elle a de nombreux prétendants, qu'elle tient éloignés avec une gentillesse un peu hautaine. Mais en même temps elle est incapable de s'opposer à celui qui la traite avec autorité, voire avec une certaine brutalité. Celui-ci peut alors la prendre n'importe quand et n'importe où, se contentant d'ouvrir rapidement ou de baisser les vêtements qui couvrent son sexe pour permettre une pénétration rapide, sans ménagement et sans tendresse.
Malgré cela, Viviane est capable de jouir intensément dans ces conditions, même, et on peut ajouter surtout, si elle les ressent comme humiliantes. Cela l'a amenée plus d'une fois à accepter ce qui pourtant, à son avis, est inacceptable pour une femme qui se veut vertueuse comme elle. Tony, un homme nettement plus âgé qu'elle, rencontré peu après la mort de son mari, s'en est vite rendu compte et a pris sur elle une emprise totale, l'utilisant pour son plaisir à sa guise, et la punissant par des fessées vigoureuses chaque fois qu'elle lui a déplu.
Il sera, je l'espère, intéressant de raconter, dans le désordre, quelques épisodes de sa vie.

UNE SOIRÉE MONDAINE
Il vaut la peine, pour commencer, de raconter la soirée qui a marqué une étape nouvelle dans la dégradation de Viviane. Elle et Tony étaient invités chez des amis. Pendant le repas, elle avait été brillante à son habitude, sûre de sa beauté, de son charme et de son intelligence.
Cela l'a amenée, comme souvent, à faire de l'ironie aux dépens de la plupart des présents, hommes ou femmes. Pendant le café, alors que tous étaient confortablement assis dans des fauteuils ou sur le canapé, elle a décoché une flèche particulièrement dévastatrice vers un homme qui lui avait déplu dès le début, le trouvant très grossier et antipathique.
Tony a immédiatement réagi :
- Tu dépasses les bornes, tu dois être punie, et cette fois tu le seras ici même, devant tous ceux que tu as agressés.
Viviane comprit qu'en insistant sur « cette fois », il voulait faire savoir à tous que ce ne serait pas la première fois que cette femme si hautaine serait physiquement châtiée. Elle a rougi, et a tenté de le fléchir :
- Non, chéri, pas ici, je t'en prie…
Mais sa voix tremblante montrait qu'elle savait que sa plainte serait inutile, et que son humiliation était inévitable. Tony a repris :
-Lève-toi et mets-toi en position devant la cheminée. Tu sais comment.
Viviane a étouffé un sanglot devant cette nouvelle allusion à des châtiments qui lui faisaient tellement honte, mais auxquels elle était incapable de s'opposer. Elle s'en voulait de sa passivité, mais a obéi quand même, très rouge, mais tentant de faire bonne figure, comme si cela ne pouvait pas l'atteindre.
Arrivée devant la cheminée, elle s'est un peu penchée en avant et a posé les mains à plat sur elle. Tous les présents ont pu apprécier à quel point cette position lui était familière, ce qui a été commenté à haute voix.
Tony l'a laissée dans cette position honteuse pendant un moment, puis a demandé à une des femmes présentes, une de celles que Viviane avait le plus critiquées, si elle voulait bien se charger de la nécessaire fessée, en précisant :
- Comme d'habitude, elle doit être fessée cul nu.
La femme a souri, s'est levée et s'est approchée de Viviane, qui n'avait pas bougé, mais dont on voyait aux mouvements de ses épaules qu'elle pleurait.
La femme avait environ soixante ans, très élégante, encore belle. Tranquillement, elle a pris le bas de la robe de Viviane, l'a levé et l'a coincé dans sa ceinture. Tous ont pu voir qu'elle portait de fins collants et une culotte de dentelle. La femme les a baissés lentement, les amenant à mi-mollets.
Les somptueuses fesses de Viviane étaient entièrement exposées ; La femme s'est écartée pour que tous puissent bien les voir, et a commencé la fessée, doucement d'abord, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Dans le miroir au dessus de la cheminée, on pouvait voir le beau visage qui tentait d'abord de paraître impassible, puis grimaçait à chaque coup et enfin, n'arrivant plus à se maîtriser, se couvrait de larmes pendant qu'on pouvait entendre ses gémissements, puis ses cris.
Après quelques minutes, alors que ses fesses devenaient rouges, elle s'est même laissée aller à supplier qu'on arrête, demandant pardon et promettant de ne plus recommencer. La femme a regardé Tony d'un air interrogatif, mais il lui a fait signe de continuer. Viviane semblait souffrir de plus en plus, elle vacillait sur ses jambes, ses genoux fléchissaient. Tony enfin dit qu'elle pouvait arrêter La femme s'est retirée, visiblement à regret.
Viviane, croyant que son épreuve était terminée, s'est retournée et a commencé à remonter sa culotte, mais Tony l'a immédiatement arrêtée.
- Reste en position, ce n'est pas fini !.
Avec de nouvelles larmes, Viviane a obéi. Tony s'est adressé à tous les présents :
- Estimez-vous que cette charmante dame a été suffisamment punie ?
Presque tous ont dit que non : ils appréciaient trop cette scène exceptionnelle. Il a repris :
- La suite de son châtiment sera d'une autre nature.
Se tournant vers l'homme antipathique avec qui Viviane avait été particulièrement méprisante:
- Cher ami, que diriez-vous de prendre cette belle femelle ? Je suis sûr que le spectacle auquel nous venons d'assister vous a donné quelques désirs. Elle est à vous pour les satisfaire. Quoi qu'elle pense, je suis certain que sa chatte aspirera goulûment votre membre.
Viviane a esquissé une timide protestation :
- Non, s'il te plaît, pas lui, pas devant tout le monde… s'il te plaît, je serai sage, je t'obéirai toujours… pas ça…
Protestation évidemment inutile. Tony n'y a même pas réagi, et l'homme s'est avancé vers cette croupe si bien présentée. Il a mis les mains à l'intérieur des cuisses de Viviane pour les ouvrir, et a constaté que leur écartement était limité par les dessous qui l'entravaient. Il s'est adressé à la femme qui était restée à côté, lui disant
- Voulez-vous retirer ces vêtements qui me gênent. Je veux pouvoir la pénétrer commodément.
La femme s'est penchée pour le faire, et a dû retirer les chaussures pour ôter le collant. Elle s'est tournée vers Tony :
- Je les lui remets ?
- Non, une pénitente n'y a pas droit.
Pendant ce temps, l'homme avait ouvert sa braguette et sorti un membre énorme, long et épais, déjà complètement dressé. Il s'est approché de Viviane et s'est enfoncé d'un coup, comme Tony l'avait prédit, ce qui a suscité des commentaires du genre :
- La salope était déjà trempée ! elle aime être fessée !
La jeune femme a poussé un cri au moment de cette invasion de son intimité, mais très vite s'est reprise et a tenté de rester digne, de ne pas donner à cet homme la satisfaction de la faire jouir, et aux autres le plaisir d'assister à sa défaite.
L'homme a commencé à aller et venir lentement dans son vagin, puis de plus en plus vite, surveillant ses réactions, en amant habile et expérimenté. On voyait dans le miroir Viviane serrer les dents, mais bientôt ses gémissements ont montré qu'elle perdait le contrôle et que peu à peu elle ne pouvait que s'abandonner au plaisir qui montait ;
C'est le moment que l'homme a choisi pour se retirer en partie et rester immobile. Croyant qu'il l'abandonnait, Viviane, perdant toute pudeur, a crié :
- Non … non… finissez-moi… je veux jouir…
Souriant de sa victoire, l'homme se retira complètement, provoquant chez Viviane un râle de déception. Il l'a alors pénétrée d'un coup, et un long cri a fait savoir à tous qu'elle jouissait intensément. Il l'a amenée à un orgasme complet, et s'est retiré sans avoir lui-même joui, se réservant pour la suite.
Viviane, épuisée par ses sensations intenses, est tombée, ses jambes ne pouvaient plus la soutenir. Elle est restée ainsi recroquevillée à terre, demi nue, secouée de sanglots de honte de s'être donnée ainsi en spectacle. Elle oubliait son habituelle pudeur, et exposait son sexe luisant de ses sécrétions. Après quelques minutes, elle a repris ses esprits et a tenté de se relever. Mais Tony veillait.
- Je ne t'ai pas dit de te relever, tu es à ta place par terre. Monsieur, ajouta-t-il en s'adressant à celui qui avait si bien joué le rôle attendu de lui, ne voulez-vous pas profiter de la position de cette femme pour l'utiliser d'une autre façon ?
L'homme, évidemment, approuva, ravi. Tony se pencha et souleva Viviane pour la mettre à genoux, puis appuya sur sa nuque pour poser sa tête à terre. Dans cette position, sa croupe était encore mieux offerte que précédemment, et entre ses cuisses que Tony avait écartées fermement, on pouvait voir sa vulve.
- Voilà, elle est à vous, cher ami, et à qui d'autre en veut. Vous avez le choix entre deux conduits, tous deux aussi délectables, j'en ai l'expérience.
Quand ils rentrèrent, le sexe de Viviane et son anus dégoulinaient du sperme de cinq hommes, elle avait les fesses rouges et brûlantes, et elle ne savait plus combien de fois elle avait joui. Elle en avait honte et, une fois de plus, elle se jura que cela ne lui arriverait plus…

QUELQUES ANNÉES AUPARAVANT …
Il y avait beaucoup de monde à la Gare de Lyon quand Viviane y est arrivée. Le train de nuit pour la Côte, qu'elle voulait prendre pour rejoindre son mari, partait 20 minutes plus tard, et elle n'avait pas de billet.
Elle se précipita vers le premier guichet qui vendait les billets pour les trains en partance, où attendant déjà une queue assez longue Viviane y prit place juste au moment où un homme y arrivait aussi. Il lui déplut immédiatement, c'était un homme assez gros, au visage rouge, habillé de vêtements p)robablement chers, mais trop voyants. Deux bagues brillaient à ses doigts, ce qu'elle trouva vulgaire.
Viviane et lui arrivèrent en même temps et se heurtèrent. Elle, sûre de son bon droit, et habituée à voir les hommes céder devant son charme, le regarda froidement :
- Monsieur, j'étais là la première !
L'homme sourit, très calme :
- Mais certainement, Madame, passez, je vous en prie.
Viviane eut un instant d'embarras devant cette politesse à laquelle elle ne s'attendait pas, et pris sa place dans la queue sans plus s'inquiéter de l'homme.
On annonçait le départ du train quand elle y arriva, eut juste le temps d'y monter et commença à chercher son compartiment de deux couchettes, la seul qui fut encore disponible, bien qu'elle ait été habituée à voyager en single quand elle était seule.
Elle prit place sur la banquette, en attendant que l'homme des Wagons-lits vienne déplier sa couchette. Elle vit avec soulagement que celle d'en face était inoccupée.
Viviane pensait à son mari qui l'attendrait en gare de Nice, à la façon dont il la serrerait dans ses bras et l'emmènerait à leur hôtel où, espérait-elle, il lui ferait l'amour comme toujours avec tendresse, attentif à son plaisir à elle plus qu'au sien.
Elle rêvait ainsi quand la porte s'ouvrit, et l'homme de la queue entra, posa bruyamment sa valise dans le filet et s'assit lourdement. Ce n'est qu'à ce moment qu'il sembla s'apercevoir de la présence de Viviane, et la salua cordialement, avec un sourire ironique. Elle répondit par un hochement de tête hautain, pour bien marquer qu'elle n'avait aucune intention d'avoir une relation quelconque avec lui.
Il n'insista pas, sortit d'un sac en plastique un sandwich et une canette de bière, et commença à manger. Viviane, qui avait prit la précaution de dîner avant, supportait mal l'odeur du saucisson et le bruit de l'homme qui mangeait.
Ce fut le contrôle des billets, puis la mise en place des couchettes. Viviane, gênée par la présence de cet homme si antipathique, se contenta de retirer ses chaussures et s'allongea. Après un moment, l'homme s'adressa à elle :
- Vous allez en vacances, ma petite dame ?
Viviane ne répondit pas. Elle fut un instant tentée de fermer les yeux et de faire semblant de dormir, mais finit à garder les yeux ouverts, sans répondre, pour bien faire comprendre qu'elle n'avait aucune envie d'entamer une conversation avec lui. Il fit deux autres tentatives, sans plus de résultat. Il se leva et s'approcha d'elle et se pencha, la surplombant de tout son volume:
- Alors, ma petite dame, on n'a pas appris la politesse ? On méprise ceux qui ne sont pas de son monde ? Vous méritez une bonne fessée pour vous apprendre les bonnes manières !
Outrée, Viviane voulut le gifler, mais sa position la rendait maladroite, et l'homme n'eut pas de peine à saisir son poignet avant que la main n'atteigne sa joue.
- Pas de ça, ma petite dame, je ne suis pas votre valet… et il faut que vous compreniez qu'on ne bat plus les valets. Vous avez vraiment besoin d'une leçon.
D'un geste brusque, il retira le drap dans lequel Viviane s'était enveloppée pour la nuit. Elle poussa un cri d'indignation et tenta de le lui arracher, inutilement. Ce fut lui qui le lança aussi loin que le permettait l'espace exigu de la cabine. Viviane tenta de le prendre de haut ; s'efforçant de garder son calme, elle lui dit :
- Monsieur, je ne vous connais pas, et je n'ai aucune envie de connaître un goujat comme vous.
L'homme ricana :
- Ça, je l'ai bien compris, mais tu vas quand même l'avoir, ta fessée !
Avec force, il la tira, la mit debout, la retourne et la fit courber en avant sur la couchette. Elle tenta de protester et de se débattre, mais il ne semblait pas entendre ses protestations, et il était suffisamment vigoureux pour qu'elle ne puisse pas lui résister.
Il la plaqua sur la couchette d'une main entre les épaules, et commença à claquer ses fesses. Au premier coup, Viviane poussa un cri, plus de surprise que de douleur, mais se reprit très vite, et s'efforça de rester stoïque, de ne rien manifester et de montrer que tout cela ne l'atteignait pas. Après une douzaine de coups sur la jupe, il la releva et poussa un sifflement admiratif :
- Quel beau cul ! Un cul fait pour le plaisir des hommes ! Mais pour le moment, je vais le faire rougir pour t'apprendre la politesse, ma belle ! Je vois que tu n'as pas de culotte, et ce n'est pas ce mignon collant qui va te protéger !
Il frappa la croupe de Viviane de plus en plus fort. Elle ne pouvait plus garder son attitude stoïque et hautaine et commençait à pleurer et à crier. Mais au bout d'un moment l'homme se rendit compte d'un changement : les cris devenaient des gémissements, et il sentait que ses muscles étaient moins contractés, et elle ne faisait plus d'efforts pour s'échapper.
Il eut un sourire de victoire. Sans un mot, il mit la main entre les cuisses de Viviane, qui poussa un cri indigné, mais ne bougea pas. Il retira sa main et la renifla :
- Tu mouilles, salope, tu aimes ça. Et bien, tu vas être servie !
Sans la laisser se redresser, il sortit de sa poche un petit canif, pinça le collant à l'endroit du sexe et le découpa, juste une fente d'une dizaine de centimètres à peine, qu'il agrandit légèrement en déchirant le fin tissu, qui céda facilement. Il n'essaya pas de la dévêtir plus, comme si le corps de cette femme n'avait aucun intérêt, comme si elle était réduite à son sexe. Viviane haletait, essayait vainement de reprendre sa dignité, mais en même temps s'ouvrant pour cet homme.
Lui, calmement, ouvrit sa braguette pour en sortir un sexe déjà dur, à la tête violacée. Sans se presser, il le dirigea vers le sexe de Viviane à travers la fente du collant et s'y enfonça lentement Elle réagit très vite, comme si elle n'attendait que cette pénétration.. Ses fesses ondulèrent, son vagin absorba avidement cette queue inconnue. Elle cria, sa croupe se colla contre le ventre de cet inconnu comme si elle voulait être sûre de l'absorber au maximum. Viviane, si réservée, si hautaine, jouissait en hurlant son plaisir. L'homme ne se retira pas, attendit un instant qu'elle se calme et recommença à aller et venir, la faisant jouir encore deux fois.
Il se retira enfin, le sexe encore dressé, souleva la tête de Viviane par les cheveux et présenta son sexe à sa bouche. Elle eut un mouvement de recul, mais très vite revint, ouvrant au maximum la bouche pour absorber complètement ce sexe énorme.
L'homme prit sa tête à deux mains, et la fit aller à son rythme jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour et décharge son sperme sur ce visage déjà maculé par les larmes qui avaient fait couler le maquillage. IL la repoussa et retourna s'allonger sur sa couchette sans un mot.
Brusquement, Viviane se mit à pleurer : calmée après ses trois orgasmes, elle avait honte de ce qu'elle avait fait. Elle se pencha pour reprendre le drap qu'il avait arraché, mais il réagit tout de suite :
- Laisse ça ! Je ne t'ai pas dit de te couvrir ! Ôte plutôt ta jupe, et ton collant, tu es ridicule avec cette fente !
Essayant de reprendre quelque indépendance, elle continua son geste, prit le drap et commença à s'y enrouler. L'homme la regardait avec un air ironique. Il attendit qu'elle soit bien couverte pour se lever et, sans effort visible, la mettre debout.
Ignorant ses protestations et ses tentatives pour lui échapper, il la gifla deux fois, et la retourna et claqua plusieurs fois ses fesses.
- Apprends à obéir à ceux qui te baisent. Tu étais bien contente, tout à l'heure d'avoir ma queue dans ta chatte ! Dis-le, que tu étais contente !
Nouvelles claques. Viviane serra les dents ; elle ne céderait pas une deuxième fois à cette brute. Mais la fessée continuait, sa volonté faiblissait.
- Arrêtez, arrêtez, je vous en prie. Qu'est-ce que vous voulez ?
- Dis que tu as aimé avoir ma queue dans ta chatte, et que tu veux l'avoir encore !
Elle résista, serra les dents, mais finit par céder :
- Oui… oui… j'aimais avoir votre queue dans ma chatte… voilà, je l'ai dit, arrêtez.
L'homme sentit que comme durant la première fessée, Viviane commençait à s'abandonner. Il insista, maintenant sûr de sa victoire sur cette femme si distinguée :
-… et tu la veux encore ? Dis-le !
- Oui…oui…
- Oui quoi ? nouvelle claque.
- Oui, mettez-moi de nouveau votre queue dans ma chatte.
- Mieux que ça ! demande à genoux !
Complètement matée, reprise par son désir de jouissance, Viviane se laissa tomber à genoux devant l'homme.
- S'il vous plait, monsieur, prenez-moi de nouveau, mettez votre grosse queue dans ma chatte, enfilez-moi, je suis à vous… faites-moi jouir !
Elle s'agrippa aux genoux de l'homme, sa bouche cherchant le sexe à travers le pantalon. Sans avoir besoin d'un nouvel ordre, elle se débarrassa du drap et très vite dégrafa sa jupe et arracha son collant.
Nue sous la ceinture, elle s'allongea par terre et ouvrit les cuisses, tendant les bras pour l'attirer sur elle, dans elle. Lui se contenta de la regarder avec toujours le même sourire ironique. Puis, lentement, il se plaça entre les jambes ouvertes de Viviane et appuya la pointe de son soulier sur le sexe offert.
Elle se frotta contre le cuir, essayant de se faire jouir par ce contact. Quand elle fut près d'y arriver, il retira brusquement son pied. Elle poussa un cri de frustration et s'ouvrit encore plus:
-S'il vous plait, prenez-moi, enfilez-moi, bourrez-moi… je ferai tout ce que vous voulez… tout… tout ce que vous voulez.
Elle se remit à genoux tout en suppliant et baisa les chaussures de l'homme qui restait impassible. Enfin, il parla :
- A poil, et tout de suite !
Hâtivement, maladroitement tellement elle voulait faire vite, Viviane déboutonna son chemisier et l'ôta. Elle marqua un léger arrêt avant d'ôter son soutien-gorge, comme si tout à coup elle prenait conscience de l'insolite de la situation.
Mais très vite, elle se trouva nue, debout devant lui, et instinctivement mit une main devant son pubis et un bras devant ses seins, bras que l'homme claqua légèrement. Elle comprit immédiatement et croisa les bras dans le dos, s'exposant complètement aux regards de l'homme. Mais il ne semblait pas satisfait :
- J'ai dit à poil ! Enlève tes bijoux ! je te veux vraiment nue !
Les mains de Viviane tremblaient de plus en plus en enlevant collier, bracelet, bagues. Il les prit et les posa sur sa valise, loin d'elle.
- L'alliance !
Elle pâlit
- Non, je ne l'enlève jamais… ce n'est pas bien… pas ça…
Toujours calme, il vint vers elle, la courba sur son bras et recommença à la fesser. Il ne fallut pas longtemps pour qu'elle cède. Baissant les yeux, elle retira son alliance et la tendit, tremblante à l'homme, qui la posa avec les autres, hors d'atteinte d'elle.
Viviane avait perdu toute sa superbe, elle ne s'était jamais sentie aussi nue, aussi vulnérable, incapable de résister à cet homme, à son besoin de cet homme qu'elle n'avait jamais vu quelques heures plus tôt et dont elle ne savait même pas le nom.
Négligemment, il effleura la pointe d'un sein et le regarda durcir et se dresser encore plus. Viviane gémit, s'approcha de lui, essaya de se frotter à lui pendant que sa main cherchait sa queue.
- Prends-moi… prends-moi…PRENDS-MOI!
Son impatience, son désir la faisait hurler sans s'inquiéter de ce qu'on pouvait entendre à côté.
L'homme la souleva sans effort, la posa à terre à genoux et appuya sur ses épaules pour lui mettre la tête au sol. Viviane se laissait manipuler, complètement passive, abandonnée, sans autre volonté que celle de jouir encore.
Il la regarda un moment, admira ses hanches et ses fesses qui s'épanouissaient sous une taille très fine. Les pointes de ses seins frôlaient le sol, ses seins fermes n'étaient pas déformés par la position. Elle haletait.
Il se mit à genoux derrière elle, plaqua les mains sur ses fesses et les écarta. Elle comprit ce qu'il voulait et esquissa une protestation :
- Pas ça… ça fait mal… je ne l'ai jamais fait… prends-moi comme tu veux…mais pas ça…
L'homme l'ignora. Tenant les fesses écartées, il regarda l'anus exposé :
- Quel mignon petit trou ! Il doit être bien étroit, ton cul, il va bien me serrer… ça va être jouissif.
Elle gémit. Il sortit son sexe et le dirigea vers l'anus de Viviane, qui instinctivement contracta ses fesses. Il réagit immédiatement par une claque vigoureuse qui la fit crier.
- Ouvre-toi, salope, ou…
Il n'eut pas besoin de préciser sa menace, elle se détendit un peu, tremblante. Il mouilla de sa salive le bout de son sexe et le dirigea vers la petite ouverture, appuya le gland et commença à forcer l'entrée. Peu à peu, difficilement, l'énorme pieu distendait les délicates parois du rectum de Viviane. Elle hurla, tente de se dégager.
Avec force, il la maintint et continua sa pénétration. Elle pleurait, criait, incapable de parler et de supplier. Il saisit un sein dans chaque main et s'y accrocha, serra. Viviane ne savait plus pour quelle douleur elle criait, ou si c'était de honte d'être ainsi traitée. Elle pleurait, criait, hurlait, émettait des paroles incohérentes.
Il réussit enfin à introduire la totalité de son sexe, et commença à aller et venir, avec peine d'abord, puis moins difficilement. Viviane gémissait doucement, épuisée par ses cris. L'homme continua plusieurs minutes, et jouit enfin. En même temps, il glissa la main entre ses cuisses et enfonça deux doigts dans le vagin qu'il trouva trempé, ce qui le fit ricaner :
- Tu vois, tu aimes ça… Elle tenta une protestation, interrompue par un orgasme intense.
Il se retira, nettoya sa queue et alla s'allonger sur sa couchette sans plus la regarder. Elle resta sur le sol. Elle était tombée sur le côté et ne faisait aucun effort pour se relever. Ses fesses étaient tournées du côté de l'homme, qui pouvait voir des traînées de sperme s'écouler de l'anus légèrement entr'ouvert.
Quand elle eut repris un peu de forces, elle se leva et regarda l'homme qui semblait dormir. Elle s'allongea à côté de lui, se colla contre lui et chercha son sexe. Il ouvrit les yeux :
- Tu n'en as pas assez ? Tu en veux encore ? Et bien, branle-toi !
Viviane poussa un gémissement de honte devant cette rebuffade, mais n'insista pas. L'homme s'était retourné, se désintéressant d'elle ostensiblement. Pleurant, se sentant méprisée, elle retourna sur sa couchette où, épuisée, elle s'endormit immédiatement.
Elle n'eut pas le temps de dormir longtemps. La lumière du jour le réveilla. L'homme était entièrement habillé et lisait. Elle se leva, consciente de sa nudité devant cet homme qu'elle ne pouvait pas considérer comme son amant, malgré tout ce qui s'était passé, et qu'elle n'arrivait plus à comprendre. Il la regarda d'un œil froid. Elle balbutia, ne sachant pas comment se comporter :
- Il faut que je fasse ma toilette.
- Oui, bien sûr. Et alors ?
- Mais… mais… pas devant vous.
Il ricana :
-Tiens, madame a de la pudeur. C'est nouveau, ça. Tu ne t'en souciais pas tant, tout à l'heure. Vas-y, fais ta toilette, je ne vais pas sortir pour ton caprice. Je t'ai déjà bien vue, tu ne me montreras rien de nouveau.
Cette réponse réveilla l'orgueil de Viviane, qui reprit son air hautain, semblant dire : Je suis au dessus de ça, pour moi, c'est comme si tu n'était pas là. Elle se lava tant bien que mal dans le minuscule lavabo et commença à s'habiller.
Elle passa son soutien-gorge et chercha son collant qui avait glissé sous la couchette. Elle préféra se rhabiller entièrement avant de s'accroupir pour le chercher, afin de ne pas s'exhiber devant l'homme. Quand elle l'eut entre les mains, elle s'aperçut qu'il était immettable, l'ouverture sur sa vulve s'était agrandie, et un bout de tissu pendant. L'homme la regardait avec l'air de s'amuser :
- Et oui, tu devras aller cul nu… comme ça tu seras prête à te faire enfiler rapidement. Je suis sûr que tu aimes ça.
Elle le regarda, furieuse, cherchant une réponse qui remettrait à sa place ce malotru. Mais en même temps une image s'imposait malgré elle : un inconnu la troussait découvrant la bas du corps nu, la courbait en avait et la pénétrait sans un mot. Cette brève scène la fit de nouveau mouiller.
L'homme s'en aperçut-il ? Il se leva et s'approcha. Elle le regardait venir tout près, comme fascinée, incapable du moindre geste. Elle dit à peine non quand il la retourna, la fit pencher en avant, leva sa jupe et s'enfonça dans son vagin. Elle jouit très vite. Il se retira et se rajusta. Elle restait haletante, tentant avec peine de reprendre un peu de dignité.
L'homme lui tendit ses bijoux :
- N'oublie pas ça. Quoique, après tout, je pourrais les garder pour services rendus. Mais je n'en ai pas besoin.
Il les lança sur la couchette et sembla de nouveau se désintéresser d'elle. Elle les remit, et s'aperçut que l'alliance manquait. Elle aurait bien voulu n'avoir plus rien à faire avec lui, mais il fallait bien la lui réclamer.
- C'est vrai, j'oubliais, tu es mariée… vraiment, cette nuit, on n'aurait pas dit. Tiens, la voilà !
Il la lui lança. Maladroite,, elle ne la rattrapa pas et dut de nouveau s'accroupir pour la chercher. Il ne fit pas un geste pour l'aider.
Le train ralentissait, s'arrêta en gare de Nice. Elle sortit du compartiment, il la suivit. La plupart des autres voyageurs étaient dans le couloir. Il sembla à Viviane que certains la regardaient avec attention. D'habitude, elle aurait trouvé normal qu'on la regarde, ce ne pouvait être qu'avec admiration.
Mais cette fois… Qu'avaient-ils entendu ? La porte sur le quai s'ouvrait, la file des voyageurs s'ébranlait. Elle se retourna un instant. L'homme regardait ailleurs. Sortant du wagon, elle vit son mari qui courait vers elle.

PREMIER ADULTÈRE
Pour une fois, Viviane se rendrait seule au dîner de gala de la Fondation d'Aide aux Jeunes Artistes. Son mari était en voyage d'affaires, et avait insisté pour qu'elle y aille quand même. Les invités étaient répartis un peu au hasard par tables de six où alternaient les femmes et les hommes.
Viviane était entre un industriel assez âgé à sa droite et un avocat d'une quarantaine d'années à sa gauche. Tous deux, très mondains, avaient exprimé leur plaisir d'être à côté d'une aussi jolie femme. La conversation avait mis du temps à s'installer, mais les hors d'œuvre n'étaient pas terminés que tous discutaient avec animation.
Tout à coup, Viviane sentit une main se poser sur son genou gauche. Ce ne pouvait être que celle de l'avocat. Elle se tourna vers lui pour lui jeter un regard indigné, mais il parlait avec enthousiasme d'une exposition qu'il venait de visiter, et elle renonça à l'interrompre.
Elle serra les genoux, mais, fermement la main les écarta. Viviane n'osa pas mettre la main sous la table pour repousser cette main indiscrète, qui commençait à se glisser sous la jupe et remontait tout le long de la cuisse, sans se presser, mais sans hésitation, sûre d'elle.
Viviane regretta d'avoir mis des bas tenant seuls au lieu de collant qui l'aurait mieux protégée. Justement, la main arrivait à la peau nue qu'elle caressa légèrement, semblant en apprécier la douceur. Elle s'arrêta entre les cuisses, la où la peau est la plus douce, et reprit son mouvement. Viviane hésitait. Allait-elle faire scandale ?
Ça ne se fait pas, dans ce monde. Elle se décida à mettre la main sous la table et, à travers la jupe, tenta de déplacer la main. Inutilement, elle résistait efficacement à sa pression. L'avocat continuait à discuter. La main atteignait le haut de la cuisse et un doigt frôlait le sexe de Viviane à travers la dentelle de la culotte.
Elle avait de la peine à suivre la conversation et encore plus à y participer. Tout en essayant de faire bonne figure, toute son attention, toute sa sensibilité étaient concentrées sur ce point si sensible entre ses cuisses et cette main dont elle était incapable de se débarrasser. Et d'ailleurs le voulait-elle vraiment ?
La main continuait sa progression avec assurance. Le doigt s'insinua tranquillement à l'intérieur de la culotte et effleura le clitoris. Viviane faillit crier, se reprit à temps et se mordit les lèvres. Ce qui se passait autour d'elle restait dans un brouillard qui recouvrait les visages et étouffait les paroles.
D'un coup, le doigt s'enfonça dans le vagin sans rencontrer de résistance: il était trempé. L'homme se pencha vers Viviane et lui dit à mi-voix :
- Donnez-moi votre culotte, d'une voix calme, sûre d'elle.
Elle le regarda, suppliante, mais il regardait en face de lui et discutait comme avant. Elle fut tentée par une protestation vigoureuse. Mais avoir tous les regards concentrés sur elle ? Ne serait-elle pas ridicule ? Et puis… voulait-elle vraiment que cette main se retire ? Toute sa raison lui disait qu'il le fallait, mais son vagin aspirait le doigt, malgré elle, elle poussait son ventre vers lui. Comme somnambule, elle mit les deux mains sous sa jupe et très vite baissa sa culotte et la mit dans la main qui s'en empara, se retira et très vite revint. Elle n'osait pas regarder cet homme qui arrivait à obtenir tellement d'elle.
Il se pencha de nouveau vers elle :
- Relevez votre jupe et asseyez-vous directement sur vos fesses nues.
Toujours le même ton d'évidence, qui n'envisageait même pas qu'on puisse lui désobéir. D'ailleurs Viviane pensait plus à résister. Rouge de honte, elle attendait l'ordre suivant. .
Le repas se terminait, on commençait à servir le café. Le doigt, qui était retourné dans le vagin de Viviane, s'agitait un peu plus, et un autre doigt effleurait le clitoris. Maintenant, l'homme la regardait avec un petit sourire.
Tout à coup, elle sentit l'orgasme monter. Elle tenta de résister, de penser à son mari, elle se mordit les lèvres. Sans effet. La jouissance la saisit. Elle réussit à s'empêcher de crier, mais savait bien qu'on devait remarquer quelque chose. L'industriel à sa droite lui demanda, soucieux :
- Ça va ? vous n'êtes pas bien ? Elle réussit à balbutier :
- Ce n'est rien, un étourdissement, c'est fini.
Mais en face d'elle une femme la regardait fixement. Elle avait probablement compris. Viviane rougit encore plus, baissa les yeux, ne voulant plus rien savoir de son entourage.
On commençait à se lever, les conversations se terminaient, certains proposaient d'aller terminer la soirée ailleurs. Viviane déclina toutes les offres. Elle voulait se retrouver seule, comprendre. C'était la première fois qu'un homme autre que son mari la faisait jouir et, elle devait le reconnaître, avec une force qu'elle avait rarement connue.
Elle se dirigea vers le vestiaire, prit son manteau et se dirigeait vers la sortie quand on lui prit le bras. Elle se retourna : c'était l'avocat, qui, sans un mot, l'entraîna vers le parking, loin de sa voiture à elle. Elle se trouva de nouveau incapable de lui résister et le suivit dans une zone un peu à l'écart du parking. Une Safrane était isolée. Il mena Viviane vers elle et la poussa sur le capot. C'en était trop, elle résista :
- Non… ça suffit comme ça !
Il ignora sa protestation et appuya sur sa nuque pour la courber sur le capot. Elle continuait à résister, et à protester de plus en plus fort. D'un geste brusque, il releva le bas de la robe, découvrant ses fesses nues. Avec force, il appliqua une première claque, suivie très vite de plusieurs autres. Viviane continuait à dire Non…Non, mais ne résistait plus.
Il la plaqua sur le capot, la maintenant d'une main entre les épaules, et ouvrit sa braguette et sortit son sexe dressé. Il n'eut aucune peine à s'enfoncer dans ce vagin qui, malgré tout, l'attendait. Les deux jouirent ensemble, vite, comme impatients. Il se retira, rabattit la robe, et la fit se redresser.
Toujours sans un mot, il lui tendit une carte de visite et entra dans sa voiture qui démarra, la laissant seule dans le parking. Tremblante, elle chercha sa voiture. Elle déchira la carte en petits morceaux et les dispersa par terre, les piétinant rageusement. Elle partit en pleurant, perdue. Pour la première fois, Viviane avait trompé son mari.
Les jours suivants furent difficiles. Viviane avait des remords, elle s'en voulait d'avoir su peu résisté. Mais, par moments, le souvenir de ses jouissances l'ébranlait, elle mettait la main entre ses cuisses comme elle l'avait fait jeune fille, toujours avec honte et mauvaise conscience. Et son mari qui ne reviendrait que dans deux semaines… Ce délai la terrifiait.
Une semaine plus tard, son amie Muriel lui proposa de dîner ensemble. Elles se connaissaient depuis longtemps et Muriel, un peu plus âgée, avait souvent servi de confidente et de conseil à Viviane. Elles se voyaient moins depuis son mariage, et elle accepta volontiers cette soirée qui la sortirait de sa solitude.
Elles avaient agréablement bavardé, quand Muriel lui demanda comment s'était passé le dîner de la Fondation. Viviane rougit :
- Bien… très bien…. Et elle commença à parler d'autre chose.
Muriel comprit vite qua Viviane avait quelque chose à cacher et insista :
- Ne détourne pas la conversation. Il s'est passé quelque chose, et tu vas me le dire.
La rougeur des joues de Viviane était un aveu suffisant, et Muriel était curieuse.
- Allons, parle ! ou est-ce qu'il faudra te fesser pour que tu t'y décides ?
Au mot « fesser », Viviane se revit sur la capot de la voiture de l'avocat, les fesses nues et brûlantes… et la suite à laquelle elle ne voulait pas penser. Elle rougit encore plus, leva vers son amie un regard suppliant. Mais Muriel ne se laissa pas attendrir. Elle se leva et s'approcha d'un air décidé et menaçant. Viviane céda :
- Non… ne me fesse pas… non… je vais tout te dire. ..........
A suivre....

Histoire du net. Auteur inconnu. The Shame.... Fin

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Viviane continue d’apprendre 
quelques fois contre sa volonté...
Elle adore en plus cette salope!!! LOL!
 

PLEASURES AND SHAME OF A SOCIALITE
Fin
Muriel se rassit, gardant son visage sévère :
- Dis-moi vraiment tout, sinon…
Viviane commença par parler de ses voisins, des conversations, retardant le moment où elle devrait parler de cette main si sûre d'elle. Muriel ne se laissa pas détourner :
-Tout ça, c'est du bavardage, ce n'est pas ça qui te fait tellement rougir. Alors, avoue… avoue tout !
- Tout à coup, j'ai senti une main… sur mon genou, sur ma cuisse…
Elle continua son récit, essayant d'éviter ce qui la gênait le plus, reconnaître sa propre excitation. Muriel fut impitoyable, satisfaite seulement quand Viviane, toute en larmes de honte, dut lui dire que, oui, elle mouillait, oui elle avait joui sous ce doigt.
Peu à peu, avec encore plus de peine, Muriel lui fit raconter ce qui s'était dans le parking. Elle chercha d'abord à cacher qu'elle avait été fessée, mais Muriel sentit qu'il manquait quelque chose à son récit et dut la menacer à nouveau d'une fessée pour qu'elle en parle. A la fin, Viviane pleurait
- Pourquoi tu me fais dire tout ça ? J'ai si honte de m'être laissée aller…
Muriel sourit :
- C'était une expérience qui te manquait. Tu es trop sage, tu regardes trop les hommes de haut. Et maintenant, que vas-tu faire ?
- Comment, qu'est-ce que je vais faire ? Rien, bien sûr. Quoi d'autre ?
- Non, pas question ! Tu vas revoir cet homme !
- Le revoir ? tu es folle ! et mon mari ?
- Ton mari est très loin, et ce n'est pas lui qui va te faire jouir avant longtemps.
- Mais cet homme ne me plaît pas… et d'ailleurs je ne connais même pas son nom.
Muriel sourit :
- C'est maître André Fauve. Je le sais, c'est le seul avocat à la Fondation. Tu vas l'appeler demain matin, tu demanderas à lui parler personnellement, tu te présenteras et lui diras que tu veux le revoir.
- Jamais ! M'humilier ainsi ? Pas question !
- Lève-toi !
- Pourquoi ? qu'est-ce que tu veux ?
-Je t'ai dit de te lever ! Obéis sans discuter !
Le ton autoritaire de Muriel, à qui elle avait déjà tant cédé ce soir, affaiblit les défenses de Viviane et sa volonté. Tête basse, elle se leva ; Muriel lui fit signe d'approcher, lui prit le poignet et la fit basculer en travers de ses genoux. Viviane tenta de se débattre.
- Qu'est-ce que tu fais ? qu'est-ce que tu veux ? Aïe… aïe… arrête…tu es folle…
Muriel avait commencé à la fesser, sur sa jupe d'abord, puis l'avait troussée et frappait sur la fine culotte.
- Tu vas m'obéir ? Tiens, prends ça ! Et ça encore… Demain je vérifierai si tu as bien téléphoné, et sinon, gare à tes fesses !
Les coups avaient complètement aboli la volonté de Viviane
- Oui, Muriel, oui, j'appellerai… promis… arrête…
Muriel s'arrêta à regret. Elle avait pris un grand plaisir à fesser son amie et à la sentir céder, s'abandonner. Elle se promit qu'à la première occasion… Viviane restait debout, tête basse, très rouge, le visage couvert de larmes, se frottant les fesses.
- Allons, assieds-toi et arrête de te frotter les fesses comme une gamine, tu es ridicule.
Viviane poussa un petit cri de protestation, mais se rassit, obéissante.
-Tu l'appelleras demain ?
- Oui, Muriel.
-… tu iras à son rendez-vous ?
- Oui, Muriel.
- Et tu lui diras que tu veux qu'il te baise de nouveau ?
- Muriel, voyons, je ne pourrai jamais…
- C'est pourtant ce que tu veux ?
- Je ne sais pas… laisse-moi…
- Assez discuté. Tu iras, et n'oublie pas que j'aurai les moyens de vérifier.
Cette nuit, Viviane dormit très mal. Elle était choquée de la façon dont son amie l'avait traitée, mais elle était excitée, ses mains retournèrent entre ses cuisses et elle jouit en se revoyant fessée.
Le lendemain, elle se réveilla en se disant qu'elle avait été stupide de céder ainsi. Muriel s'était conduite de manière inadmissible avec elle, et une promesse extorquée dans ces conditions n'avait aucune valeur.
Mais, à mesure que la matinée avançait, sa résolution faiblissait. Après tout, pourquoi pas ? Le souvenir des deux orgasmes que cet homme avait provoqués était vivant dans son esprit et devenait parfois une obsession. Elle allait le revoir, ne serait-ce que pour le démystifier et s'en débarrasser.
Elle appela donc. Comme prévu, elle tomba sur la secrétaire et dut donner son nom et insister que c'était bien personnel. Enfin, elle entendit sa voix :
- Bonjour. Que voulez-vous ?
Toujours le même ton froid et autoritaire. Lui parlerait-il un jour autrement, comme les hommes avaient coutume de s'adresser à elle ? Elle balbutia :
- Un… un rendez-vous.
- Demain, 18 heures. Et il raccrocha.
L'après-midi et la journée du lendemain furent horribles pour Viviane. Tantôt elle se disait qu'elle était folle, à d'autres moments son ventre brûlait à l'idée de ce qui pourrait se passer. Enfin la soir arriva. Viviane hésita sur sa tenue, et opta finalement pour son tailleur le plus sérieux. Elle ne voulait pas avoir l'air de se jeter à sa tête. Donc un tailleur gris, un collant gris aussi, un chemisier blanc boutonné jusqu'au cou, des dessous sages.
Elle se regarda dans le miroir de sa chambre : Comme elle le souhaitait, elle était élégante comme toujours, sans rien de provoquant. Elle se dit qu'elle faisait plutôt femme d'affaire, et espéra qu'il en serait impressionné. Un discret collier de perles, une bague pour faire pendant à son alliance complétèrent une tenue qui, pensait-elle, inspirerait le respect.
Enfin l'heure arriva, elle sonna, le coeur battant, mais cherchant à ne montrer qu'un visage parfaitement calme. C'est une jeune femme qui ouvrit, probablement une secrétaire.
- Vous désirez ?
- J'ai rendez-vous avec Maître Fauve.
Sa voix trembla. Ces deux mots la troublaient. Le mot Maître, d'abord. Devait-elle considérer cet homme comme son maître ? C'est ainsi qu'il s'était conduit au dîner, et elle l'avait accepté. Mais maintenant ? Et puis Fauve ? Elle le ressentait bien comme un fauve prêt à se jeter sur elle. Son ventre se tordit à cette idée, et elle entendit à peine la secrétaire lui disant de la suivre. Elle entra dans le bureau, dont la secrétaire ferma la porte en partant. L'homme la regardait froidement. Sans lui dire de s'asseoir, il demanda :
- Que voulez-vous ?
Elle fut désarçonnée par cette entrée brutale en matière. Il ne faisait rien pour lui faciliter ce qu'elle avait à faire.
- …je… je…
- Parlez, vous me faites perdre mon temps.
Elle ouvrit la bouche, la referma, incapable de parler, glacée par cet accueil. Il se leva, avançant lentement vers elle, sans cesser de la regarder
- Vous vous décidez, ou faudra-t-il vous contraindre ?
Viviane continuait à le regarder s'approcher, incapable de réagir. Il était maintenant tout près d'elle.
- Non ? Vous ne voulez rien dire ? Soit !
Avec force, il la retourna malgré sa résistance, et appliqua une claque retentissante sur les fesses à travers la jupe. Viviane poussa un cri et essaya de se dégager, mais son autre main la tenait fermement. Il continua un moment, ignorant ses cris. Il avait pris ses deux poignets dans une main et continuait la fessée de l'autre.
Viviane pleurait, suppliait qu'il arrête :
- Je vais vous dire…arrêtez, ça fait mal.
Il continua un moment, puis la redressa et la tourna face à lui :
- Qu'est-ce que vous avez à me dire ? Parlez !
Elle était toute rouge, baissait la tête pour éviter les yeux de l'homme.
- Au dîner, l'autre jour… vous avez…
- Oui, je sais très bien ce que j'ai fait. Et alors ?
Tout en parlant, il l'avait de nouveau retournée mais cette fois il l'avait courbée sur le bureau et troussée.
- Non… que faites-vous ?
- Vous êtes venue vous faire de nouveau enfiler, comme au dîner ? Dites-le !
Une série de claques s'abattirent sur les fesses qui n'étaient plus protégées que par un fin collant un une culotte encore plus fine.
- Oui… oui… arrêtez…
Nouvelles claques, le collant baissé aux genoux.
- Oui quoi ? Soyez claire, Madame.
- Oh ! ne soyez pas méchant. Vous savez très bien pourquoi je suis venue.
Il baissa la culotte et d'un geste brusque la déchira et le collant aussi. Il rit :
- Tu n'en auras plus besoin.
Quelques claques directement sur les fesses maintenant nues :
- Dis-le que tu es venue te faire baiser !
- Oui…oui… baisez-moi
Elle avait à peine fini qu'elle sentit que son sexe était envahi. Il n'eut pas à attendre longtemps. Après quelques allées et venues dans ce vagin trempé, elle hurla son plaisir.
Il se retira, elle resta immobile, reprenant son souffle, et se redressant enfin se colla à celui qui l'avait fait jouir, attendant un geste et une parole de tendresse. Mais il la repoussa, montrant la culotte et le collant déchirés :
- Ôte ça, tu es ridicule.
Essayant de retrouver un peu de dignité, elle retira lentement ses chaussures puis ce qui restait de ces deux vêtements qui l'avaient si peu protégée, et les remit, lissa sa jupe et se tint debout devant lui, le regardant de haut, comme elle le faisait habituellement avec tous les hommes. Il ne sembla pas impressionné et lui dit simplement :
- Ta jupe !
Elle le regarda, ne comprenant pas. Il répéta :
- Ta jupe, je ne veux plus la voir. Donne la moi !
Elle balbutia
- Mais… mais… je ne peux pas… non…
Il la gifla :
- Tu ne me dis plus jamais non ! Apprends à obéir.
En larmes, la joue en feu, elle la dégrafa et la fit tomber, l'enjamba et la ramassa, la lui tendit, la tête baissée, honteuse de sa docilité, et plus encore d'être demi-nue sous son regard froid.
Il prit la jupe, les lambeaux de la culotte et du collant et les jeta dans une poubelle. Viviane le regardait, fascinée, ayant renoncé à toute volonté. Au fond d'elle-même, elle savait qu'elle ne pourrait rien lui refuser.
Il mit la main entre ses cuisses et enfonça deux doigts dans son vagin, et ricana en constatant que l'humidité n'avait pas diminué. Elle commença à s'agiter sur ces doigts, cherchant à jouir de nouveau. Mais il les retira d'un coup, riant encore plus quand elle poussa un cri de frustration.
- C'est moi qui décide si et quand tu vas jouir, pas toi.
Elle s'approcha de nouveau de lui, tentant de le séduire, de l'exciter, frottant son ventre nu contre le sexe de l'homme à travers le pantalon. Il resta froid, elle pleurait de désir et de frustration.
- Nous partons !
-Nous partons ? Où ?
Pas de réponse. Il se dirigea vers la porte.
- Mais… je ne peux pas sortir comme ça…
- Et bien, on verra tes fesses rouges et on saura que tu as été vilaine et qu'il a fallu te fesser comme une gamine.
Elle rougit, troublée et honteuse à l'évocation de ce qu'elle avait subi. Il sortait, elle se colla contre lui, comme si elle serait cachée par lui. Il marchait à grands pas, ne semblant pas s'occuper d'elle. Ils prirent l'ascenseur sans rencontrer personne, arrivèrent au parking.
Le souvenir de ce qui s'était passé dans un autre parking, avec le même homme, la fit frissonner. Un couple les croisa, les regarda sans rien dire. La femme se retourna pour les regarder encore. Ils arrivèrent à la voiture, mais cette fois il se contenta de lui ouvrir la portière, poliment, comme si elle était habillée normalement et ne venait pas d'être fessée et baisée par lui.
Elle s'assit, il prit place à côté d'elle et avant de démarrer, lui écarta les genoux qu'elle avait pudiquement serrés. Elle rougit, mais ne tenta pas de les refermer.
Toutefois, quand la voiture arriva près d'un camion, il ralentit pour rester à la même vitesse que lui, et elle vit le chauffeur qui la regardait. Sans réfléchir, elle resserra les cuisses, ce qui lui valut une claque immédiate laissant sur sa cuisse une marque bien nette.
Le camionneur sourit et fit un signe d'approbation. Viviane pleurait de honte, elle s'en voulait d'être incapable de s'opposer à ces humiliations. Lui gardait son visage froid, ne la regardant apparemment pas.
Arrivés chez lui, il reprit son comportement poli et attentionné, lui tenant les portes, la faisant passer devant lui. Il la fit entrer au salon et asseoir dans un fauteuil, où il lui écarta de nouveau les cuisses.
Il redevint mondain en lui demandant ce qu'elle voulait boire, mais quand elle lui demanda de l'eau, il hocha la tête et lui servit un cognac. Et garda les yeux sur elle jusqu'à ce qu'elle ait tout bu. Ça n'allait certainement pas lui tourner la tête, mais elle sentit qu'une fois de plus il lui imposait sa volonté sans qu'elle puisse lui résister.
Il resta longtemps assis en face d'elle, le regard fixé sur sa vulve qu'elle ressentait comme une brûlure. Elle avait besoin qu'il la prenne, qu'il la pénètre, qu'il prenne possession de tout son corps, qu'il la brutalise s'il le voulait, pourvu qu'elle sente ses mains sur son corps. Enfin, il parla, du même ton froid avec lequel il s'était toujours adressé à elle :
- Ouvre ta veste !
Elle s'empressa d'obéir, comme à ses ordres suivants. Il lui dictait ses moindres gestes, comme si elle ne savait pas se déshabiller elle-même. Quand elle fut nue, il lui fit signe d'approcher, mais tout de suite précisa :
- A genoux !
Viviane rougit et s'exécuta. Il recula un peu le fauteuil dans lequel il était assis pour allonger la distance. Elle arriva tout près de lui, resta à genoux et le regarda d'un air suppliant. Il sourit:
- Tu es vraiment à ta place là. Tu ne trouves pas ?
Viviane rougit et ne dit rien, incapable de parler.
- Je t'ai posé une question. Réponds ! Ou faudra-t-il de nouveau te fesser ?
Une fois de plus, le mot « fesser » la fit frémir, elle ne savait pas si c'était de crainte, de honte ou de désir. Il lui était impossible d'y résister. Elle balbutia :
- Oui, ma place est à genoux devant vous.
Il sourit, lui caressa les cheveux comme à un chien qui a bien rapporté.
- Caresse-toi !
Docile, elle mit la main entre ses cuisses, qu'il écarta une fois de plus. Elle esquissa une caresse, se reprit, chercha son clitoris… et tout à coup fondit en larmes :
- Je ne peux pas… pas devant vous… s'il vous plait… pas ça… je ne peux pas.
Il saisit ses cheveux, la souleva, frappa trois fois ses seins et la laissa retomber sans un mot. Pleurant encore plus, Viviane remit la main entre ses cuisses. Rouge de honte, d'embarras, elle finit par obéir et faire sous son regard ce qu'elle n'avait jamais fait que seule, bien cachée sous ses draps. Elle finit par jouir sous les yeux de l'homme.
Il la retourna, toujours à genoux, pressa sur sa nuque pour lui mettre la tête au sol. Il la manipulait comme une poupée, souleva un peu le bassin pour mieux exposer la croupe, appuya sur ses reins pour la faire cambrer, écarta ses jambes.
Une fois de plus, Viviane se laissait faire, totalement abandonnée entre les mains de cet homme. Quand il l'eut bien disposée à son goût, il la pénétra d'un coup, et elle jouit très vite. Il se retira, se rajusta et sembla se désintéresser d'elle. Elle restait par terre, haletante.
- Tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, rentre !
C'était comme s'il l'avait giflée, une fois de plus il l'humiliait, lui rappelait que c'était elle qui avait besoin de lui. Elle remit ses chaussures, son soutien gorge, son chemisier et sa veste sous le regard distrait de cet homme qui venait de jouir en elle mais semblait maintenant s'en désintéresser.
- Je ne peux pas rentrer comme ça, et j'ai laissé mon sac dans votre bureau.
Il s'absenta un instant et revint avec un vieux manteau d'homme, qu'elle s'empressa de mettre. Il lui tendit un billet de 20€
- Ça suffira pour le taxi. Ton sac, tu peux venir le chercher à l'étude, tu le demanderas à ma secrétaire. Si un jour j'en ai envie, je t'appellerai.

TROUBLES DE CONSCIENCE
Les jours suivants furent horribles. Pour commencer, il lui avait fallu aller dès le lendemain reprendre son sac à l'étude. Devant l'air froid de la secrétaire, elle avait rougi et balbutié :
- Je… j'ai oublié mon sac.
La secrétaire le lui donna immédiatement, avec la jupe qu'elle n'avait pas osé réclamer. Viviane rougit encore plus, saisit les deux objets et s'enfuit. Bien sûr, la secrétaire ne pouvait avoir aucun doute sur ses relations avec son patron, qui avait délibérément, Viviane en était sûre, fait en sorte de l'humilier en joignant la jupe au sac. Elle se jura qu'elle ne le reverrait jamais.
Une fois seule, Viviane fut confrontée à la réalité de sa situation : pour la première fois, elle avait trompé son mari, si gentil, si prévenant, si confiant…
Elle était torturée par le remords, et en même temps ne pouvait s'empêcher d'être troublée en se souvenant de cette soirée. Elle détestait cet homme trop sûr de lui, autoritaire et brutal, pourtant son sexe se réveillait dès qu'elle pensait à lui.
Et son mari n'était pas là, lui qui aurait pu la satisfaire et lui faire oublier ce faux-pas…Après quatre jours, elle se décida à appeler son amie Muriel, sans trop savoir ce qu'elle en espérait. Elles résolurent de se voir le soir même.
- Alors, comment c'était, avec ton amant ?
Viviane hurla :
- Ce n'est pas mon amant !
Muriel rit :
- C'est quoi, alors ?
- Je… je sais pas… un moment de faiblesse sans importance, c'est tout. D'ailleurs ça n'a pas été loin, et maintenant c'est fini.
- Et c'est pour ça que tu es venue m'en parler ?
Viviane rougit :
- Mais non, je voulais seulement te voir, bavarder…
-Viviane, ne me mens pas ! Tu sais que je ne l'accepte pas, et que je n'hésiterai pas à te punir si tu oses ma cacher quelque chose. Tes fesses doivent s'en souvenir… Tu ne dis rien ? Soit, tu l'auras voulu ! DEBOUT !
Malgré son air hautain et sûr d'elle, Viviane était (et est toujours) incapable de résister à une autorité un peu ferme. Muriel la vit avec délectation se lever, encore plus rouge, si c'était possible. Elle lui fit signe de venir s'allonger en travers de ses genoux. Viviane obéit, comme dans un état second. Le ton de son amie et le souvenir de la fessée qu'elle lui avait infligée quelques jours plus tôt la troublaient. Une fois de plus, elle obéissait, et se détestait d'obéir.
Elle s'allongea comme Muriel le lui ordonnait. Elle avait envie de protester, mais ça ne donna que des non… non… presque inaudibles. De toutes façons, Muriel était bien décidée à mener la correction jusqu'au bout.
Avec des gestes décidés et précis, elle troussa Viviane, découvrant un fin collant gris à travers lequel on distinguait une petite culotte de dentelle. Rapidement, le collant se retrouva aux genoux, suivi de la culotte blanche. Les fesses de Viviane étaient maintenant exposées aux yeux de son amie, et bientôt à ses mains. Les timides protestations continuaient :
-Non, Muriel… je t'en prie, pas ça… pas la culotte… non…pas la fessée… non…
Évidemment, Muriel n'en tint aucun compte, et dès que les fesses furent nues, elle commença. Quelques claques modérées d'abord, puis de plus en plus fortes. Très vite, Viviane se mir à crier, puis à pleurer.
- Muriel, je t'en supplie, arrête… je vais tout te dire… arrête…
Muriel ajouta quelques claques, et s'arrêta, sans toutefois la laisser se relever.
- Alors ? J'attends… Qu'est-ce qui s'est passé avec ton amant ?
Viviane pleurait de douleur, de rage, de honte, et avait de la peine à parler.
-Et bien, je suis allée chez lui…
Peu à peu, elle raconta tout : Comment il l'avait fessée pour lui faire dire pourquoi elle était venue, comment il l'avait prise demi-nue, le trajet en voiture, comment il l'avait obligée à se caresser et à jouir sous ses yeux, enfin le retour sous un vieux manteau…
Muriel la maintenait à plat ventre sur ses genoux, l'obligeant à donner les détails les plus intimes et le fessant chaque fois qu'elle estimait qu'elle n'était pas suffisamment sincère ou pas suffisamment précise.
Peu à peu, était-ce l'évocation de ces évènements ou la honte d'en parler dans cette position humiliante, Viviane commença à être excitée. Elle n'avait jamais été attirée par les femmes, mais maintenant, sentant le corps de Muriel et sa chaleur si proche, c'est d'elle que, confusément, elle attendait la satisfaction dont elle avait besoin.
Toutefois, on lui avait toujours dit, dans sa famille, qu'être attirée par une femme était un vice condamnable. Bien sûr, elle se considérait comme émancipée de ces interdits d'un autre âge, mais il lui en restait quelque chose, l'idée vague que ce n'est pas bien.
Muriel n'avait pas de ces scrupules. Bien que préférant nettement les hommes, elle ne dédaignait pas un beau corps de femme, quand l'occasion se présentait. Et c'était justement le cas à ce moment : sentir tout contre elle le corps de Viviane abandonné, après le plaisir certain qu'elle avait pris à la fesser la décida.
D'un geste rapide, elle mit la main entre les cuisses de Viviane, chercha le clitoris, l'effleura puis le caressa franchement, provoquant d'abord un raidissement et un Non incertain, puis l'abandon complet. Elle continua un peu, puis prit la tête de son amie, elle l'introduisit sous sa jupe.
- Écarte ma culotte et suce-moi !
Elle avait pris son ton le plus autoritaire, et constata vite que Viviane obéissait et plaquait sa bouche contre ce sexe qu'elle n'avait jamais vu. Elle jouit très vite en serrant la tête de Viviane entre ses cuisses, puis s'attacha à lui rendre la pareille.
Une demi-heure plus tard, elles étaient toutes les deux nues. Viviane se serrait contre son amie. Mais bientôt, maintenant qu'elle était satisfaite, ses scrupules revenaient, et tout à coup elle s'éloigna et chercha de quoi se couvrir. Muriel réagit tout de suite :
- Reste ici !, reprenant son ton autoritaire.
Viviane se mit à pleurer.
- Que va dire mon mari ?
Muriel rit :
- Ce qu'il ne sait pas ne lui fera aucun mal. Et puis avec moi, ce n'est pas comme avec ton avocat.
Ce rappel redoubla les larmes de Viviane.
- Tu crois que je suis vraiment une perverse ? Qu'est-ce que je vais devenir ?
Elles parlèrent longtemps, sans que Muriel réussisse à atténuer le sentiment de culpabilité de Viviane. Mais il n'est pas sûr qu'elle l'ait vraiment voulu : elle trouvait les larmes de son amie très excitantes, au point que trois fois, au milieu de la conversation, elle exigea de nouveau que son amie la satisfasse. Viviane le faisait après des protestations dont Muriel ne tenait pas compte mais, son amie l'obligerait à le reconnaître, cela l'excitait, ce dont témoignait l'humidité de son vagin que des doigts indiscrets venaient régulièrement constater.
*****
Viviane rentra encore plus troublée, partagée entre sa mauvaise conscience et le besoin de jouir de nouveau. Enfin, son mari rentra, toujours aussi amoureux, elle ne lui dit rien de ce qu'elle considérait comme des fautes graves, puis comme des fautes moins graves, et peu à peu n'y pensa plus trop souvent.
Un matin, son mari était rentré depuis près de deux mois, le téléphone sonna :
- Ici la secrétaire de Maître Fauve. Il vous attend aujourd'hui à 17h, et elle raccrocha sans attendre la réponse.
Évidemment, la première réaction de Viviane fut l'indignation. Cet homme se permettait de la convoquer ainsi sans s'inquiéter de son accord ou même de sa disponibilité, comme une putain. Et il ne l'appelait même pas lui-même !
La secrétaire, celle qui lui avait rendu sa jupe, ne pouvait avoir aucun doute sur leurs relations, ce qui rendait cette sommation encore plus humiliante. Et bien, elle n'irait pas, elle n'était pas à ses ordres ! Son mari était là, elle n'avait aucune raison de recommencer ce qui ne pouvait se justifier que par la frustration. C'était décidé, elle n'irait pas, il pourrait l'attendre autant qu'il le voudrait…
A 17h, elle sonnait à la porte de l'étude. Elle s'était dit qu'elle allait dire son fait à ce malappris prétentieux, puis partirait avec dignité.
A 17h. 30, elle était courbée sur le bureau, la jupe largement relevée, la culotte par terre, et le sexe de l'avocat allant et venant avec vigueur dans son vagin.
Tout à coup, un téléphone sonna. Sans cesser son va et vient, l'homme se pencha, fouilla le sac de Viviane, en sortit son portable et le lui tendit.
- Réponds !
Elle regarda l'écran :
- Mais… c'est mon mari.
Elle essaya de se dégager, mais il la tenait fermement.
- Réponds-lui !
Viviane n'osa pas désobéir, mais chercha à écourter la conversation. Son mari lui disait qu'il avait un moment, et qu'il avait eu envie d'entendre la voix de sa femme, comme il le faisait parfois, en époux amoureux. Il lui demanda ce qu'elle faisait. Elle bredouilla qu'elle était avec une amie et qu'elle l'entendait très mal.
L'homme avait accéléré son rythme, et elle était terrifiée par ses sensations et par la jouissance qui montait. A son soulagement, la peur coupa net son excitation, mais elle ne put émettre que quelques paroles confuses. L'homme se pencha vers son oreille :
- Allons, sois plus gentille avec ton mari, ou je te fesse !
En même temps, il avait mis une main entre ses cuisses et cherchait le clitoris, qu'il caressa ; il savait qu'elle y était particulièrement sensible, et n'eut pas de peine à l'amener tout près de l'orgasme.
Au téléphone, elle devenait de plus en plus incompréhensible, au point que son mari s'inquiéta, lui demandant si elle n'était pas malade. Elle dit hâtivement que non, tout allait bien, et coupa la communication.
Honteuse, elle tenta d'échapper à son étreinte.
- Je veux partir, c'est affreux ce que vous me faites faire. Sans répondre, il accéléra encore plus son rythme, et la caresse du clitoris devint plus précise. Affolée par la jouissance qui montait et sa honte de ce qu'il l'avait obligée à faire, elle trouva la force de repousser la main qui savait trop bien la caresser et réussit à se redresser. Rapidement, il la plaqua de nouveau sur le bureau et claqua vigoureusement une fesse. –Tu restes ainsi sans discuter, compris ? Il appliqua une nouvelle claque.
Prise entre sa mauvaise conscience, son désir de jouissance, sa honte, la peur de la fessée, et l'excitation que provoquait chez elle toute autorité un peu décidée, Viviane se soumit : -Ne… ne me faites pas mal… je serai sage. Dans son affolement, elle retrouvait un langage de petite fille qu'on va punir.
L'homme sourit, lui donna une nouvelle claque qui résonna, accéléra son rythme, et très vite elle hurla dans l'orgasme.
Il se retira, redressa Viviane et la retourna, poussant sa tête vers son sexe encore à moitié dressé.
- Nettoie-moi avec ta bouche et file. Il ne faut pas faire attendre ton mari.

LEÇON DE MUSIQUE
La famille de Viviane était très attachée à ses traditions, et l'une d'elles voulait que les jeunes filles apprennent à jouer d'un instrument de musique. Sa mère l'avait fait, et bien qu'il y ait des années qu'elle n'avait pas touché un piano, elle insistait que ce complément d'éducation était nécessaire pour sa fille.
Celle-ci n'y tenait pas, mais puisqu'il fallait y passer… Pendant des années elle était allée une fois par semaine chez une vieille demoiselle très gentille, et pas trop exigeante. Viviane avait 16 ans quand la brave dame décida qu'il était temps, à 72 ans, de prendre sa retraite et de s'installer à la compagne.
Viviane espérait que ce serait l'occasion d'arrêter, mais ses parents, en fait surtout sa mère, ne cédèrent pas. Après quelques conciliabules avec des amies et des cousines, elle fit son choix : un homme, cette fois, qui avait la réputation d'être très exigeant et d'obtenir d'excellents résultats.
Viviane essaya bien de discuter, mais devant la détermination maternelle elle céda, se réservant d'être ferme sur d'autres points, beaucoup plus importants, comme de pouvoir sortir avec son amie Muriel et en même temps, mais ça elle ne le disait pas, avec son copain Antoine. Et un prof homme, ça lui convenait, elle le mettrait dans sa poche, comme tous les autres. Viviane était une séductrice précoce.
Elle s'attendait à un équivalent masculin de la vieille demoiselle. Elle se trompait. Son nouveau professeur semblait avoir à peine dépassé la quarantaine, était très élégant, et il l'accueillit avec une politesse froide, ne semblant pas remarquer le sourire séducteur de sa nouvelle élève.
Il lui fit raconter ce qu'elle était supposée avoir appris, et lui dit de jouer un des morceaux qu'elle avait mentionnés. D'un air nonchalant, Viviane s'installa au piano et commença à jouer. Le professeur l'écoutait avec attention, marquant la mesure avec une baguette. Quand elle eut terminé, elle le regarda, l'air satisfait, mais lui gardait un air mécontent.
- Vous pensez avoir bien joué ?
- Euh… j'ai peut-être fait quelques fausses notes…
- Quelques fausses notes ? Vous avez massacré ce morceau ! Essayons en un autre, et prenez garde. Sinon… Il fit un grand geste avec sa baguette, qui siffla.
Viviane se remit au travail, furieuse : jamais la vieille demoiselle ne lui avait parlé comme ça. Elle ne voulait pas le reconnaître, mais elle était impressionnée par l'autorité de son nouveau professeur. Elle se donna de la peine, trop peut-être, et très vite ses doigts s'emmêlèrent, et elle fut obligée d'arrêter. Elle n'osait pas le regarder, et suggéra d'une voix incertaine : -Je vais recommencer…
- Inutile, vous ne faites aucun effort. Il faut changer de méthode. Levez-vous !
Étonnée, Viviane se leva et se tint debout, ne sachant pas quelle contenance prendre.
- Si vous jouiez d'un autre instrument, peut-être que quelques coups de baguette sur les doigts auraient été indiqués. Mais dans ces conditions, ce seront vos fesses dont il va être question. Donnez-moi votre culotte et présentez-moi vos fesses !
Viviane le regarda, ahurie :
- Ma culotte… mais pourquoi ? … vous voulez me fesser ? Pas question ! Ca ne se fait plus !
Elle essaya de prendre un air supérieur et scandalisé, mais au fond d'elle-même elle reconnaissait l'emprise que cet homme commençait à exercer sur elle. Sa voix manquait de conviction et devenait plus tremblante à mesure qu'il la regardait avec son air froid.
- Ca se fait, et vous allez en faire l'expérience tout de suite, ma petite demoiselle. Donnez-moi immédiatement votre culotte, ou je vous la retire moi-même, et votre jupe avec !
Du bout de la baguette, il leva le bas de la jupe. Viviane poussa un cri et voulut s'éloigner, mais elle était dos au piano, et s'y heurta, se sentant ridicule. Le professeur avait levé la jupe jusqu'à exposer complètement la fine culotte de son élève.
Elle agrippa la baguette et tenta de l'éloigner, mais il la tenait fermement. Avec une force inattendue, à laquelle elle était incapable de s'opposer, il appuya la baguette sur le ventre et l'utilisa pour commencer à faire glisser la culotte. Viviane était outrée, jamais on ne l'avait traitée comme ça, mais elle se trouvait paralysée, incapable de s'opposer efficacement à cet homme.
Calmement, celui-ci avait posé la baguette et baissait la culotte à deux mains. Il s'arrêta quand elle fut aux genoux. La jeune fille pleurait. Sans se presser, il chercha la fermeture éclair qui fermait la jupe et l'ouvrit. La jupe tomba. Viviane essaya de la retenir, mais il lui suffit de dire:
- Ne bougez pas ! pour qu'elle interrompe son geste. C'est tout juste si elle ne s'excusa pas. Elle était dans un état second, sans volonté.
Il la regarda un instant, demi-nue debout devant lui. Sans réfléchir, elle mit les deux mains devant son pubis. Personne ne l'avait vue ainsi depuis que sa toison avait poussé. Il reprit sa baguette pour lui en donner un léger coup sur les mains. Elle comprit tout de suite, et docilement mit les bras le long du corps. Elle se sentait dans un état bizarre, nouveau pour elle. A la fois elle était indignée, et en même temps elle se sentait incapable de résister, elle avait honte et pourtant ne voulait pas que ça s'arrête. Avec force, il la fit basculer en travers de ses genoux. Elle poussa un cri d'indignation, mais ne fit rien pour l'en empêcher.
Il resta un moment à contempler cette jeune croupe exposée devant lui. Viviane pleurait doucement, mais ne disait rien.
Une première claque lui fit pousser un cri, malgré sa résolution d'être stoïque. Les suivantes, de plus en plus fortes, eurent raison d'elle : elle supplia d'arrêter, promit d'être sage, de bien travailler, de s'appliquer… Il continua, tranquillement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus parler tellement elle pleurait. Après une dernière claque, particulièrement forte, il palpa les fesses rougies, et la fit lever.
- Reprenons la leçon. Voyons si ça vous a incitée à mieux faire attention. Reprenez le même morceau. Asseyez-vous, et allez-y !
- Mais… mais, ma jupe, ma culotte ? dit-elle d'une toute petite voix, rendue incertaine par les larmes.
- C'est avec votre culotte que vous jouez ou avec les doigts ? Vite, au piano, et ne me faites pas perdre mon temps.
En larmes, Viviane retourna sur le tabouret devant le piano. Le contact du siège sur ses fesses les rafraîchit un instant, mais aussi l'embarrassa. Elle n'avait jamais ressenti cela, et elle ne savait pas si ça lui était agréable ou non. Gênant, sûrement, mais… La voix du professeur la ramena à la leçon.
- Alors, vous êtes là pour travailler pas, pour rêver !
Elle s'empressa de commencer, mais elle tremblait, ses doigts lui obéissaient mal. A la première faute, il abattit la baguette sur la haut des fesses. Elle cria. Il lui dit simplement :
- Continuez ! Évidemment, ça alla de plus en plus mal, et ses reins et le haut des fesses furent bientôt couverts des marques rouges laissées par la baguette. Viviane n'en pouvait plus, elle faisait n'importe quoi. Tout à coup, elle s'arrêta, sa tête tomba sur le clavier, elle pleurait, suppliait, disait qu'elle ne pouvait plus…
- Vous êtes vraiment impossible ! Mais je ne renonce jamais, je ferai de vous une pianiste acceptable, que vous le vouliez ou non. Je l'ai promis à votre mère. Maintenant, la leçon est terminée, vous pouvez rentrer.
Viviane se leva avec peine ; elle gardait les yeux baissés, elle n'osait pas regarder celui qui l'avait tellement maltraitée. Elle avait honte de sa semi-nudité, honte de ce qu'elle avait subi, honte du trouble qu'elle ressentait confusément.
Toujours sans le regarder, elle remit rapidement la jupe et la culotte qu'il lui tendait, et se dirigea vers la porte. Il la précéda, l'ouvrit, s'effaça pour la laisser passer, en homme du monde.
- A la semaine prochaine, Mademoiselle, et exercez-vous régulièrement !
Elle ne répondit pas et s'enfuit.
Quand elle se retrouva seule sur le palier, sans réfléchir, sa main se retrouva dans sa culotte, cherchant son clitoris, et elle jouit immédiatement. C'était la première fois qu'elle jouissait autrement que seule sous ses draps, dans l'obscurité. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait et elle avait honte de ce qu'elle avait fait.

Soumis.

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Elle a de la chance d'avoir 
un mari aussi soumis et cocu

Histoire du net. Auteur Inconnu. Oenologie!!

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Rien ne vaut un bon apprentissage
chez de bons patrons!!!

LA CAVE DU PATRON
L'autre jour, je rangeais la cave au restaurant où je travaille, j'ai 25 ans, je fais ce métier depuis 2 ans, le patron est venu pour m'aider, un gars d'une quarantaine d'années, marié, 1m80, mince mais musclé, on rangeaient la nouvelle livraison de vin et il a débouché un grand cru pour le goutter, pas mal le vin, ça nous a égaillés et on s'est mis à déconner sur les femmes puis le sexe, à un moment où j'était penché en avant à ouvrir des caisses, il m'a mit la main aux fesses en riant et en me disant que j'avais un joli petit cul, j'étais un peu gêné mais comme ont rigolaient, je n'ai rien dis mais il a recommencé et la , il m'a massé les fesses plus fermement en me disant que si je voulais, il pourrait me sucer, nous étions à la deuxième bouteille de dégustation et une certaine langueur me poussait à me laisser aller.
Je lui dis quand même que je ne suis pas homo, il me répond, pas besoin pour se faire du bien et il me saisit le paquet à pleine main, je ne sais pas si c'est l'intimité du lieu, le vin ou ses caresses, mais je me mets à bander.
- Tu n'es pas homo mais tu as l'air d'aimer ce que je te fais'
- Je crois que c'est le vin, lui dis-je
Il ouvre mon pantalon, le baisse et se met à fouiller dans mon slip
- Tu as l'air bien monté me dit-il en me massant le sexe et les testicules
Je bande de plus en plus et il sort ma queue en s'agenouillant à mes pieds, il la regarde, la lèche sur toute sa longueur et baisse mon slip.
- Beau morceau que tu as là, tu sais que tu pourrais me faire plaisir
- Comment ça patron, je n'ai jamais....
- Comme avec les femmes, tu me fais comme tu leur fais, tu as déjà pris la petite porte avec elles, non'
Il me branle doucement, sans décalotter en massant mes couilles, j'ai envie de me faire sucer, mais quand même, un mec
- Oui bien sur, mais je ne suis pas....
- Je sais, ferme les yeux, pense à une femme et laisse toi faire, tu vas aimer
Il m'embouche et me décalotte avec ses lèvres, la vache que s'est bon, il descend jusqu'au pubis et remonte
- Tu sens la pisse, ça m'excite et il se remet à me pomper, il le fait bien et en fermant les yeux, je crois être sucé par une copine, il a passé une main derrière et me pelote les fesses puis ses doigts glissent dans ma raie, je me contracte sous l'attouchement
- Tu es puceau du petit trou, me demande t'il'
- Ben oui
- Pas moi, me répond t'il, tu veux pas me la mettre'
- Patron, c'est gênant
Il se retourne quand même, prend appuis sur une pile de caisses et me tend ses fesses
- Viens, met la moi, une belle tige comme cela, tu vas bien me ramoner et d'une main, il s'écarte les fesses pour me montrer le chemin de son anus, sa raie est velue et l'orifice marron palpite au milieu de sa forêt capillaire, il prend plusieurs fois de la salive à sa bouche et se tartine la rosette, il se rentre même un doigt dans le cul pour préparer le passage, je suis éberlué par son attitude et en même temps, je bande comme un phoque, j'ai envie de fourrer.
Je me colle à son arrière train et positionne ma verge, le gland contre son trou, il pousse de lui même vers ma queue et s'empale en deux secondes, toute la longueur de ma bite disparait dans son sphincter.
Il a poussé un râle de plaisir, il en a vraiment envie, de se faire enculer
- Vas-y maintenant, défonce-moi, me dit-il
Je me mets en mouvement, son conduis est chaud et serré mais bien lubrifié par la salive, ma verge coulisse bien et je le ramone comme je fais avec mes copines, je ressors entièrement ma queue par moments pour mieux lui la renfoncer, ça lui déchire la rondelle à chaque fois, il couine sous la douleur-plaisir que lui procure ces pénétrations, je lui lime le cul en profondeur puis juste l'entrée, avec mon gland.
- Ahhh, salaud, t'encule bien dit-il dans un râle, fais moi dedans
Je comprends à ses paroles, qu'il veut que j'éjacule en lui, j'accélère le ramonage et sent mon plaisir monter, encore quelques coups de reins et je lui lâche ma purée dans les intestins, il pousse un crie de plaisir, il a du sentir le sperme couler en lui, ma bite fait des flocs-flocs dans son sphincter, encore quelques allés-retours et je me retire doucement de son cul, sa rosette est béante et du jus s'en écoule, ma queue est souillée et je reste comme ça, à pas savoir où m'essuyer
Il se retourne, je vois un filet de jus blanchâtre qui s'écoule de sa verge molle, a-t'il jouit'
- Alors, tu as aimé, un cul de mec '
- Oui, merci patron, c'était aussi bon qu'avec les nanas
- Oh, mais ton dard est tout sale, attend, je vais appeler ma femme, elle va te nettoyer ça
- Ca va pas patron, pas vôtre femme, qu'est ce qu'elle va dire????
Il l'appelle avec l'interphone et lui dit de descendre avec le nécessaire, un code entre eux sans doute.
- T'inquiète, elle le sait que j'aime ça, quand j'ai personne sous la main pour me le faire, c'est elle qui me prend, d'ailleurs elle aime regarder aussi quand je me fais enculer, elle participe, c'est une vicieuse, elle me branche sur des hommes parfois, rien que pour regarder des mecs s'enfiler en se touchant la vulve, tu vas voir, quand elle va te laver, elle va te tester.
Sa femme arrive dans la cave avec un trousseau de toilette et un récipient d'eau chaude
- Ah, bien, je vois qu'on prend du bon temps ici, qui s'est fait fourrer aujourd'hui'
- C'est moi, dit le patron, le jeune est puceau des fesses
- Faites voir vôtre attirail, jeune homme, il a du vous chocolater le bâton, mon cochon de mari'
Je lui tends ma verge crottée entre les doigts
- Holà la, il s'est lâché sur vous, je vais vous débarbouiller ça, elle prend une lingette, la passe dans l'eau savonneuse et me nettoie le sexe, elle rince et me lave les testicules aussi, c'est bon, c'est chaud, sa main part entre mes cuisses et elle me lave la raie en frottant doucement mon anus, je trouve de suite la caresses agréable
- Alors comme ça, vous êtes vierge de derrière'
- Oui Madame, je ne suis pas homo
- Ce n'est pas grave ça, pas besoin de l'être pour aimer prendre une verge dans les fesses, vous avez bien sodomisé mon mari non, et pourtant il ne l'est pas'
- Ah, oui'
- Ca ne vous dis pas d'y goutter, il vous ferez ça très bien, de plus, je peux vous préparer à le recevoir en vous, une femme sait faire ce genre de chose
Elle a continuée à me laver et me sécher pendant qu'elle me questionnait, me touchant plusieurs fois l'anus avec insistance, comme pour le tester, son mari m'avait prévenu
- Je vais vous mettre un peu de crème d'hygiène intime sur le sexe, c'est une crème pour femme mais ça marche sur les hommes aussi
Elle prend un tube dans la trousse de toilette et dépose une grosse noix de produit sur mon gland, elle l'étale en me massant des deux mains, elle masse bien, ses mais massent aussi mes couilles et je me remets à bander
- Ah, popaul se réveille dit-elle, beau morceau, le patron doit être content d'avoir eu un truc comme ça dans le cul, hein chéri'
- Oui, pas mal, il m'a bien baissé, je l'ai sentie passer dit-il en nous regardant, la verge à la main, se branlottant pour retrouver de la vigueur
Elle a passée une main entre mes cuisses et m'étale maintenant de la crème dans la raie, elle touche du doigt ma rondelle et la masse en cercle, j'aime cette caresse et je me détends de l'orifice, elle en profite pour appuyer un peu et une phalange me pénètre, je sens que la crème me lubrifie et que je ne pourrais pas l'empêcher de rentrer en moi, c'est ce qu'il ce produit, un doigt entier vient de passer ma barrière virginale
- Et ça, vous aimez'
- Heu, oui Madame, vous le faites bien
- Attends, je vais voir si tu es accueillant, tu veux bien'
- Je ne sais pas Madame, quesque vous voulez me faire'
- Je vais voir si tu peux prendre plus que mon doigt
Et là, je sens qu'elle en rentre un deuxième, c'est moins agréable que le premier, je me sens écartelé, je pousse un petit crie de surprise
- Ho la pucelle, elle a mal avec seulement deux doigts, attend un peu que j'en rajoute un de plus pour pleurer
Le patron a l'air bien excité par la scène, son sexe a pris une taille de plus, son gland est mauve et gros, je le vois quand il se décalotte, une verge bien bandée qui me fascine, par moment j'ai envie de la toucher.
Il a du sentir mon attirance car il s'approche de moi et me la met dans la main
- Touche comme elle est dure et chaude me dit-il
Je la prend à pleine main et commence à le masturber, dans mes fesses, la patronne a remis de la crème et ses doigts coulissent sans douleur, elle me masturbe aussi et l'envie de ma faire sodomiser commence à poindre en moi, son mari m'appuie sur la tête pour me faire comprendre qu'il veut que je le suce, je me courbe pour le prendre en bouche, sa femme en profite pour passer derrière moi et un troisième doigt rejoint les deux autres, je suis déchiré du cul mais je ne proteste pas, j'ai une verge dans la bouche.
Le sexe du patron sent aussi l'urine, ça m'excite à mon grand étonnement, je le pompe comme mes copines me le font, je lui masse les couilles, elles sont grosses et velues et je les imagine pleines de foutre, je n'ai jamais avalé de sperme
- Chéri, viens voir ce mignon petit trou, il va te faire envie
Le patron passe derrière moi et s'accroupit pour me mater l'orifice fouillé par les doigts de la patronne
- A ça, c'est un bel anus de puceau, je suis sur que je serais bien dedans
- Ecoutez jeune homme, dit la patronne, vous êtes bien préparé, vôtre anus est à présent très accueillant, offrez le à mon mari, vous goutterez ainsi à ce plaisir que vous lui avez donné tout à l'heure, vous ne le regretterez pas
- D'accord, j'ai murmuré, honteux d'accepter d'être enculé par un homme, mais le désir est là, je veux maintenant savoir ce que procure une verge dans l'anus, je m'offre à la sodomie, je veux être dépucelé du cul.
La patronne a retirée ses doigts et les essuies avec une lingette
- Va y chéri, il est prêt, encule le
Elle a descendue sa culotte sur ses chevilles et, jambes écartées, se paluche la moule, son mari me saisit aux hanches et place son énorme gland contre ma rosette, il se frotte un peu pour récolter de la crème et lubrifier son braquemard, sa femme, les yeux hagards, le presse de me prendre
- Vas-y chéri, pète lui le cul, fourre le à fond, remplis lui la boîte, je veux l'entendre pleurer de plaisir
Je sens qu'il pousse pour forcer le passage, mon anus ne résiste pas, déjà bien ouvert par les doigts de sa femme, la verge me pénètre d'une traite et rentre profondément dans mon sphincter, je miaule de douleur.
Je suis envahis, la chose est énorme en moi, elle progresse au plus loin qu'elle peut, je dis, stop, arrêtez, c'est trop gros mais le dard est en moi et le patron me maintient fermement.
Sa femme se doigte, penchée sur mes fesses, à regarder la queue de son mari me perforer, elle donne des coups de langue sur sa verge et sur mon anus, il se met en mouvements, doucement il se retire puis se renfonce, il fait ce que je lui ai fait, il sait bien enculer aussi, plusieurs fois, il est ressortit entièrement et m'a remis son gland dans le cul, jouant avec le bourrelet, il me baise comme si j'étais une femme.
La sienne a saisie une bouteille et se la rentre dans la vulve, elle se masturbe violement en encourageant son homme à mieux me fourrer.
- Baise le bien chéri, fait lui un souvenir de sa première fois, casse lui le cul
- Je suis bien dedans, dit-il, il est serré, je vais lui faire dedans
- Non, dans la bouche, fait lui dans la bouche
Le patron me besogne, je ne suis plus qu'un trou pour sa queue, je ressens quand même du plaisir, le frottement sur ma prostate est de plus en plus jouissiffe, je vais éjaculer sans me toucher.
La patronne a posée la bouteille sur le sol, elle s'accroupie dessus et se la rentre dans l'anus, elle glisse sur le goulot qui la pénètre entièrement puis elle pousse pour faire rentrer le reste, elle est comme une folle à se déchirer la rosette, elle s'astique vivement le clitoris, le jus coule de sa vulve formant une flaque à ses pieds, elle pousse des petits cris à chaque centimètre entrant dans son sphincter.
Son mari me travail le boyau en férocité, je sens l'orgasme rectal arriver, je ne retiens rien et le sperme me coule du sexe, je prends un pied comme je n'en ai jamais pris, une sensation totalement nouvelle.
Il se met à gueuler qu'il va venir et se retire de mes fesses avec un bruit de bouchon,
Il vient devant moi et me présente sa queue souillée, je ne peux pas faire ça, trop pour aujourd'hui, je me détourne, dégoutté, mais c'est sa femme qui vient le nettoyer avec la bouche et la bouteille dans son anus, elle avale tout, ça n'a pas l'air de la gêner.
C'est une bite propre qu'il me fait sucer, je le pompe, l'astique, le branle et le liquide séminal m'arrose le palais et la gorge, je goutte à son jus de couilles épais, salé et sucré à la fois, en le mélangeant à ma salive , j'arrive à l'avaler.
La patronne se finie en gueulant des trucs obscènes et se met à pisser par terre en se défonçant l'anus avec la bouteille.
J'ai le cul en feu, un goût de sexe, de sperme et d'urine dans la bouche mais je reste quelques instants dans les vapes, j'ai été bien secoué, dans tous les sens du terme,
Une révélation pour moi, savoir que je peux prendre du plaisir par derrière me fait entrevoir l'avenir différa ment.
Le patron a ouvert une troisième bouteille pour arroser mon dépucelage et, tous les trois, nous nous sommes promis des parties de fesses pour le futur.......

Pt'i Babtou à leur service.... Rediffusion d'un samedi d'automne...

Un dimanche de brèves.

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Avec eux

Le mignon
Je suis au collège et je suis en stage dans le bâtiment.
Je travaille avec des hommes du Maghreb qui dorment dans des baraques de chantier, ils sont très gentils, il y en a un avec de grosses moustaches qui me regarde avec un drôle d'air.
Le chef, qui est aussi mon responsable de stage, me dit :
- Je ne veux pas te voir en short comme la semaine dernière, même s'il fait chaud. Tu travailles bien, ce serait dommage que tu aies des problèmes. Tu collabores avec des types qui n'ont ni chèvres ni femmes, ne viens pas te plaindre. Et retourne au travail.
Il me donne un bleu de travail et des chaussures de sécurité. Je ne comprends rien à ce qu'il me dit.
Quelques semaines plus tard, je regarde des images de femmes nues collées dans les WC en me branlant, quand je m'aperçois qu'on me regarde par un trou dans la cloison.
Je me rhabille vite fait et sort prestement. Il est là devant moi, me barrant le passage, se lissant la moustache. Le regard dur, sans un mot, il prend ma main fermement et la plaque sur la bosse que fait son sexe sous son pantalon. Je me sens rougir et la retire prestement.
Il dégrafe sa braguette et sort une généreuse queue au gland décalotté. Il pose ma main dessus, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe, doucement il les fait coulisser sur toute sa longueur.
- Branle-moi !
Je m'active, son regard planté dans le mien.
- C'est bien, tu es drôlement mignon !
Il déboutonne mon bleu et le baisse avec mon slip à mi-cuisses.
- Tu es encore plus mignon comme ça !
Je suis tétanisé, il me pétrit les couilles et la queue avec vigueur. Sous ses caresses je ne tarde pas à bander, malgré la peur d'être surpris. Comme s'il avait lu dans mes pensées, il me pousse dans les WC, place sa queue sous mes couilles, saisit mes hanches et fait coulisser son gros gland dur et chaud entre mes cuisses. Je suis impressionné par la dureté de sa queue, je bande.
Très vite, il murmure des mots incompréhensibles, grogne, inonde mon entre-cuisses et le bas de ma raie de chaude liqueur, il remonte mon slip, mon pantalon et me plante là en criant "à la prochaine !".
Les fesses et l'entrejambes englués de son sperme, je retourne au boulot. Personne ne me regarde, je travaille soulagé.
Depuis ce jour, il ne se passe pas une journée sans que sa main frôle discrètement mes fesses et mon sexe. À table, quand il est à côté de moi, il tripote ma braguette ou prend ma main et la pose sur la bosse de son pantalon, je me sens rougir j'ai peur que les autres s'en aperçoivent et n'ose retirer ma main. De plus en plus entreprenant, Moustache m'entraîne dans les endroits isolés et sombres.
- Allez, mon mignon !
Paralysé par la peur, je le laisse baisser mon pantalon et sa queue vigoureuse coulisse entre l'entrejambes enduit de sa liqueur. Je retourne au boulot.
Au 5ème sous-sol, occupé à nettoyer un regard, un bruit me fait sursauter. Je me redresse, il est devant moi.
Terrifié, je le regarde ouvrir sa braguette et sortir sa queue, pointer son gland énorme vers mon visage. Il effleure mes lèvres, ne laissant aucun doute sur ses intentions.
- Allez mon mignon ! Suce !
Son gland frappe mes joues et presse mes lèvres. Épouvanté, je desserre les dents. Son noeud envahit ma bouche, il passe une main derrière ma nuque et enfonce sa bite au fond de ma gorge, ce qui me fait tousser.
- Ouvre ta bouche !
À chaque aller-retour, son gland touche ma glotte, ce qui me fait éructer et monter les larmes aux yeux. Les jointures de mes lèvres me fond mal. Un jet brûlant frappe le fond de ma gorge. Surpris par la quantité je m'étrangle, tousse et ingurgite sa liqueur au goût poivré jusqu'à la dernière goutte.
C'est les lèvres en feu que je regagne la surface.
Un autre jour, dans un local où sont entreposées des bobines de câbles, il devient plus entreprenant :
- Baisse ton pantalon !
Je proteste, d'un geste sec il le tire vers le bas et déchire mon slip.
- J'aime que tu me résistes ! Tu es encore plus aguichant ! C'est charmant de te voir bander quand ma queue glisse entre tes cuisses ! Tu es trop délicat pour me résister ! Tu mérites une fessée !
Il me pousse sur une bobine, des claques s'abattent à toutes volées sur mes fesses qui rougissent et me brûlent.
- Tu as un cul prometteur ! Bien rebondi !
Il m'oblige à me cambrer, sa queue coulisse entre mes fesses. Cette tige douce, robuste et chaude me procure une drôle de sensation. Après un long moment, sa liqueur inonde ma raie.
- Ça te plaît de te faire graisser le cul !
Je me sens rougir. Une main appuie sur mes reins puis glisse sur mes fesses et les écartent, un doigt s'insinue dans ma raie, chatouille ma rondelle enduite de sperme et d'un coup il l'introduit dans mon anus. Une décharge électrique envahit mes couilles et je jouis d'un jet puissant.
- C'est bon de se faire taquiner la rondelle ! Hein ? Tu es de plus en plus dévergondé ! Tu m'affrioles avec ta rosette bien lisse ! Allez rhabille-toi !
Je retourne au travail, j'ai l'impression que tous me regardent. Ma raie trempée de liqueur me rappelle la tige dure et chaude qui y glissait. Je reste médusé par le plaisir que me donnait ce doigt introduit dans mon anus quelques minutes auparavant.
Le dernier vendredi du mois de juin, une fête de fin de chantier est organisée, les Portugais veulent que je goûte au porto, on mangent du couscous, des Italiens que je ne connais pas me font boire du vin de leur pays. Nous sommes tous plus ou moins enivrés.
Grisé, je me laisse traiter de coquine quand Moustache prend ma main et me dit "Va jouer à la femme !". Tous rigolent.
- Quand le gland passe, tout passe !, plaisantent-ils de plus belle.
Trop ivre pour réagir, je le laisse m'entraîner vers une cabane sous leurs regards hilares. La porte refermée, il me déshabille, m'allonge sur le lit et m'embrasse dans le cou. Je frissonne sous ces baisers.
Il glisse un oreiller sous mon ventre. Toujours le cerveau dans les brumes, je sens à peine ses mains rugueuses écarter mes fesses, sa tige chaude, dure comme de l'acier, glisse entre mes fesses. Cela m'excite plutôt, je me détend, je m'abandonne complètement. Sa bite quitte ma raie.
Frustré, je grogne. Brusquement, son gland appuie sur ma rondelle, une décharge électrique traverse mes reins. Dessoulé, je pousse un cri strident de bête agonisante, mes poings serrent les couvertures. J'appelle au secours, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.
Je crie "À l'aide ! À l'aide !"
J'entends une voix dire "Il s'est fait embourbé la petite lune !". Des rires fusent.
Sans s'occuper de mes cris et encouragé par les gloussement du dehors, il saisit fermement mes hanches et, d'une puissante poussée, s'enfonce jusqu'aux couilles dans l'étroitesse de mes reins, bousculant tout sur son passage.
Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu'à ce tison ardent qui brutalise mon étroitesse. Il reste un long moment immobile et se retire. Toute douleur disparaît, je reprends mon souffle et d'un coup il m'encule jusqu'à la garde, il ressort et m'encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit.
Je crie ma détresse.
Dehors, des voix s'esclaffent : "Tu en prends plein ton cul ! Tu te fais laminer la rondelle ? Articule !", et ils rigolent.
Sans s'occuper de mes cris, il me sodomise à fond. Plus je me lamente, plus ça l'excite, il devient violent et me claque les fesses en me défonçant la rondelle à grands coups de butoir.
De dehors me parviennent les rires et les quolibets.
Je n'ai plus la force de lutter. Sodomisé plus doucement, je me laisse aller, je soupire. Je n'ai plus la volonté de crier, de protester. Il se retire, masse ma rondelle et teste son élasticité avec son pouce. Il s'exclame :
- Tu as un beau cul ! Ta rondelle est très élastique ! Pousse ! Pousse ! Elle s'ouvre comme une jolie fleur ! Je ne peux pas résister à une aussi jolie fleur bleue !
Son gland appuie sur ma rondelle qui se dilate et l'engloutit, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins.
Chevillé à ce pieu, je me détend. Tout en me sodomisant, il me susurre à l'oreille :
- C'est mieux qu'un doigt ! Tu es une vraie libellule ! Ton silence en dit long !
Il me retourne sans un mot, les yeux brillants. Supérieur, le sexe toujours en érection, il passe une main sous mon menton, m'oblige à redresser la tête, dirige sa queue vers ma bouche, son gland appuie sur mes lèvres. Résigné, je l'avale malgré mon dégoût. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit ma bouche, inonde le fond de ma gorge, m'obligeant à déglutir sa semence jusqu'à la dernière goutte.
Des larmes coulent sur mes joues, qu'il essuie avec son gland en proclamant "il ne faut pas te plaindre, tout ce qui t'arrive est de ta faute. Allez, met-toi à quatre pattes."
Asservi, je prend la pose. Je me crispe quand je sens son gland dur et chaud qui appuie sur ma rondelle.
- Tu ne gueules plus.
Sa queue s'enfonce dans mon étroitesse.
- Allez, crie, ça m'excite.
Il me sodomise profondément, écartant bien mes fesses.
- Allez, braille.
Il me claque les fesses à toutes volées. J'hurle à chaque claque. Satisfait, il passe une main sous mon ventre et me branle tout en me sodomisant, une onde de feu irradie mon anus, descend dans mes couilles, une lumière éblouit mes paupières, je me répands en longs spasmes, je chancelle et, au bord de l'évanouissement, je m'écroule.
C'est la première fois que je jouis avec une telle violence, je mets plusieurs minutes à refaire surface, toujours rivé à son pieu. Doucement, il reprend ses allers-retours, accélère ses va-et-vient, se retire et crache sa sève brûlante sur mon dos en criant "putain que c'est bon de t'enculer, tu me vides les couilles jusqu'à la dernière goutte. Tu as un cul super. Tu baises comme une vraie salope."
Puis, plus tranchant, il me dit "vas te laver le cul". Je vais me laver, vexé. Il s'approche, me regarde et me dit :
- Tu as un beau cul, tu as la rosette encore ouverte. Si tu as encore un peu mal au cul, maintenant que le passage est ouvert, pas la peine de te plaindre : dans une heure ça ira mieux. À moins que tu te fasses encore enculer, avec tout le ramdam que tu as fais, tous ceux qui sont dehors sont au courant. Et saouls comme ils sont, ça ne m'étonnerait pas qu'ils veuillent te baiser. Allez je me casse, et ne reste pas trop longtemps à poil.
Je suis resté seul un peu désabusé.

Avec eux... Comme professeur

Années 70
Jeune homme ,j'avais découvert ma bisexualité tandis que ,dans les toilettes D'un square ,j'avais été fasciné par un homme qui se « touchait » devant l'urinoir Contigu du mien.Mon trouble était grand au point que je m'étais senti mal à l'aise.
Je ne parvenais pas à détourner mon regard du sexe de l'homme qui, lui, me regardait Sans vergogne.
Devant mon émoi ,il s'était enhardi à me caresser les fesses sans que Je proteste.A tout moment quelqu'un pouvait surgir et nous voir.Mais l'homme Si excité n'y pensait sans doute même pas.
Puis l'homme vint se positionner derriére Moi , dégrafa mon pantalon,fit glisser mon slip sur mes cuisses et me caressa les fesses, Se mit à genoux ,m'embrassa les fesses,introduisit son index dans mon anus mouillé Par l'excitation de la situation.
C'était nouveau pour moi cette sensation d'être pénétré... Dans mon intimité... L'homme se releva ,mit de la salive sur son sexe et m'écartant les fesses Pointa son sexe sur mon anus.Je tremblais de peur et n'osait rien dire,subjugué par cet amant entreprenant.
Délicatement il forca le passage ,réussit à introduire son gland,et s'enfonça En moi dans une douleur mêlée de plaisir.Enfouit au fond de moi ,il me ceintura pour Que son sexe reste planté dans mon corps,m'embrassa et me murmura:
- Tu vois ça ne fait pas si mal que ça!
Et il ressortit de mon corps pour mieux se renfoncer d'un coup en moi. Je ressentis un plaisir immense ,j'étais pris par un homme ,dans les toilettes où nous Pouvions être surpris à tout moment. Vint le moment après moult va-et-vient Où la sperme de mon amant s'écoula en moi.L'homme resta collé à moi pendant Un bon moment,me murmurant des mots tendres.
Puis il se retira; nettoya son sexe au lavabo pendant que je m'essuyais le derriére Avec des kleenex. Revenu de mon trouble je regardais mon amant, un maghrébin d'une quarantaine d'années,grand, Habitant dans un foyer pas loin du square me dit-il .Il me demanda si demain soir Je pouvais venir au foyer.Je lui répondis oui ,un peu timidement .
Intérieurement j'avais un peu peur d'aller là-bas ,surtout si quelqu'un me voyait Rentrer dans un foyer de maghrébin.
Le lendemain soir ,non sans avoir hésité ,je me rendis au foyer.Il y avait plusieurs groupes d'hommes dehors mais je ne vis pas mon « amant ».Je faisais demi tour quand un homme s'approcha de moi et me dit
- Ton copain va arriver si tu veux tu peux venir l'attendre dans ma Chambre ».
Je rougis de savoir que quelqu'un d'autre connaissait notre relation.
Et puis je songeais qu'il n'y avait aucune femme ici et que ça devait manquer à tous ces hommes. Cette pensée m'enivrait ,tous ces mâles en manque de sexe ,et moi en manque de mâle!Inconsciemment j'intégrais la peau d'une femme...

J'étais sur le point de dire non quand L'homme qui devait avoir la trentaine ,petit et replet , jovial de prime abord, Constatant que j'hésitais , me dit
- Tu n'as rien à craindre Ali est mon copain,allez viens »
Et je le suivis. Sa chambre était petite. Il me proposa du thé ,j'acceptai. Assis il ne cessait de se caresser le sexe au point que je pouvais voir une bosse importante sur sa braguette.
Je commençais à ressentir une certaine excitation quand il fit jaillir son sexe de sa braguette qui ne pouvait plus contenir l\'engin, Et vint à la hauteur de ma bouche en me disant « suce-moi »Son sexe était long et massif.
Je m'exécutais et pris son engin lequel tenait à peine dans ma bouche.Je sucais,et Sucais encore et encore ,enivré par l'odeur masculine ,virile, un flot de sperme envahit Ma bouche . C'était si bon que j'engloutis toute sa semence comme un breuvage hallucinant! L'odeur du sperme m'affole ,m'obséde longtemps aprés l'avoir savouré.
Puis mon nouvel amant se déshabilla. Nu il était beau , son corps velu , ses fortes cuisses, son sexe puissant avec ses bourses rondes et lourdes :un beau mâle !
- Je te plais hein ? oui ,oui . Tu aimes les zobs d'arabe ?
- Ben oui ton copain Ali m'a dépucelé Hier dans les toilettes.
- Je le sais il m'a raconté que tu avais un sacré cul alors fais moi le voir !
Je me déshabillais ,mon amant me fit mettre à quatre pattes sur le lit et me caressa les fesses.
- Ah oui c'est un cul de femme ça !!.. Tu devrais t'habiller en femme, t'aurais du succés au foyer... Tu sais ici les hommes ne demandent que ça .
Il me tapotait sur les fesses,
- Ah quel cul De salope !! Si tu veux que je te prenne le cul il faudra faire ce que je veux. D'accord ?
- Tu veux quoi ?lui dis-je .
- Tu sauras après quand tu auras gouté mon zob dont tu ne pourras plus te passer.
J'étais complétement offert à cet homme dans une chambre de foyer où des dizaines d'hommes allaient peut-être se servir de moi.Au fond n'est-ce pas ce que j'étais venu chercher ? L'idée de faire jouir tous ces hommes me procurait du plaisir.
Mon amant commença à me prendre . Son gros zob avait du mal à rentrer. Mais tout son engin finit par pénétrer mon intimité. C'était gros et bon et j'étais si excité que je lui dis des mots d'amour ,que j'étais sa femme ,que je l'aimais.que je ferai tout ce qu'il voulait,tout et tout.
Cet homme me rendait fou : il allait et venait en moi ,ressortait pour réentrer de nouveau son engin violemment.je gémissais.Il m'embrassait.Me disait Des mots d'amour. Il explosa en moi et inonda mon corps de son sperme chaud.
Blotti contre moi, son sexe se détendit et ressortit. J'avais jouit . Jouit grâce à un homme. J'étais devenu amoureux d'un maghrébin ,un marocain qui s'appelait Said.
On est resté l'un contre l'autre à s'embrasser ,se caresser. En fait mon amant des toilettes publics m'avait donné à un autre. J'étais dans un foyer avec des maghrébins et j'aimais les maghrébins.
Allez savoir pourquoi ! Ils m'excitaient plus que les autres hommes.je les voulais tous et j'allais me donner à eux à fond. Avec eux j'avais envie d'être « femme »
Said ,au fil du temps a voulu que je reste avec lui car il ne voulait pas que j'aille me faire « baiser » comme il disait, à droite ou à gauche.
C'est ainsi que je suis devenu la « salope du foyer » Said me faisait habiller en femme, invitait quelqu'un , nous laissait, et revenait quand je m'étais bien fait prendre le cul.
J'ai connu des dizaines de maghrébins,et même des noirs africains avec des sexes immenses que j'ai sucé et eu entre les fesses.
Je suis resté 10 ans avec Said.
Nous avons vécu dans une maison où il y avait toujours des maghrébins qui ne savaient où aller et bien sûr avec qui je finissais par coucher.
Un jour ,je suis parti .et j'ai cessé mes relations homosexuelles. Parfois j'ai envie d'un maghrébin ou d'un africain ...

JPC

Partage Dominical... De toutes sortes

Désillusion

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On a connu meilleur amant!
Mais la nana est bien docile

Histoire du net. Auteur:Posillipo. Papillonage amoureux...

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Moi je trouve que c'est une vraie salope
Mais libre à vous de la trouver
 "délicieuse" 
comme dit son mec.

Mariée pour un vieux.
Auteur: Posillipo
En rentrant du bureau, ce soir-là, j’ai trouvé ma chérie passablement excitée.
- Figure-toi que notre voisin de palier est technicien en informatique. Il s’est proposé de réparer notre ordinateur."
Elle s’est collée contre moi, comme elle le fait souvent quand elle a besoin de petits câlins. Dans ces moments-là, elle est attendrissante à souhait et ses sourires me transportent de bonheur.
- C’est bien, ai-je répondu en caressant ses longs cheveux blonds et en déposant de petits baisers sur ses joues délicates.
Elle s’est mise à rire contre ma poitrine. Je sentais son parfum exquis, la chaleur tiède de sa peau, le léger tremblement de son corps.
- Pourquoi ris-tu ?”
- Tu ne devineras jamais…”
- Dis-moi !”
- Il m’a fait…”
Elle hésita, leva son regard bleu vers moi, bleu comme la mer Egée, ce merveilleux regard qui me faisait fondre à chaque fois, et finit par annoncer d’une façon un peu timide :
- Il m’a fait des propositions.”
Elle s’est serrée davantage, en m’enlaçant la taille. Son corps semblait se dissoudre dans le mien.
- C’est-à-dire ?” ai-je demandé avec douceur.
- Oh ! Pas tout à fait des propositions… Disons qu’il m’a fait comprendre que je lui plaisais bien.”
- Mais c’est un vieux ! me suis-je exclamé.”
Laurella et moi étions un jeune couple. Nous avions aménagé depuis quelques semaines à peine. J’avais croisé à quelques reprises ce voisin. C’était un homme petit, à l’air assez timide, un peu rondouillard, avec quelques rares cheveux blancs sur la tête. Il devait avoir au moins cinquante ans, c’est-à-dire deux fois plus que ma mie.
Il n’était vraiment pas le genre à faire rêver ma petite Laurella, si jolie, si fleur bleue. Non, son prince charmant, elle l’avait déjà trouvé. C’était moi. Etant donné que j’écris cette histoire, je pourrais raconter n’importe quoi, dire que je suis un homme merveilleux, très beau, à faire craquer toutes les demoiselles. Eh bien non, je vais dire la vérité.
Je suis un homme qui entre tout à fait dans la norme, ni très grand, ni play-boy. Mon atout, il paraît que c’est dans mon regard qu’il faut le chercher. Des yeux noirs, plutôt sombres, qui font leur petit effet auprès des dames. D’ailleurs ils ont séduit Laurella. « Ils pourraient séduire des tas de femmes », m’a-t-elle dit souvent.
Eh oui ! Laurella, si réservée, si bien élevée par des parents catholiques pratiquants, a un fantasme. Elle aimerait me voir faire l’amour avec une autre femme.. De mon côté, je ne suis pas en reste, j’aimerais qu’elle se fasse prendre par un homme.
Ces fantasmes s’invitent dans notre lit dans les moments les plus chauds. Nous les accueillons toujours volontiers. Souvent nous imaginons qu’un homme, ou même plusieurs, partagent nos plaisirs. Je raconte à Laurella qu’ils la prennent de tous les côtés, et la simple évocation de toutes ces queues qui nous frôlent la fait jouir.
Cette nuit-là, elle a voulu que nous pensions à notre voisin.
« Mais il n’est pas beau », ai-je soufflé.
– « Je sais, mais ça ne fait rien. Je suis tellement cochonne que j’adorerais qu’un vieux comme lui… tu comprends, n’est-ce pas ? »
Ces simples mots m’ont excité, et je l’ai labourée comme un sauvage, et elle a joui dans des cris superbes. C’était merveilleux.
Pendant plusieurs nuits, nos étreintes furent pimentées par la présence imaginaire du voisin. Je n’ai pas tardé à me rendre compte qu’il n’était pas un fantasme comme les autres.
Car jusqu’ici nous avions imaginé des hommes qui n’existaient pas dans la réalité, nous nous étions mêlés à des corps virtuels. Cette fois, il s’agissait d’un être en chair et en os qui habitait à quelques mètres de nous à peine.
Un soir, j’ai trouvé Laurella toute gaie.
- Qu’y a-t-il ?” ai-je demandé.
Elle riait :
- Il est revenu.”
Devant mon air un peu ahuri, elle a ajouté :
- Le voisin, pardi ! Si tu l’avais vu, il était dans tous ses états, surtout que j’avais mis “une jupe au ras des fesses. Il n’arrêtait pas de lorgner mes cuisses en suant à pleines gouttes.”
J’ai souri :
- Et ça te fait plaisir, petite coquine, d’exciter un pauvre vieux. C’est pas très gentil.”
- Si, si. J’ai été très gentille. J’avais même un peu de peine pour lui, alors je l’ai laissé me frôler à plusieurs reprises.”
- Frôler ?”
- Oh ! Rien de bien méchant. Nous étions assis côte à côte devant l’ordinateur, et il en a profité pour serrer sa cuisse contre la mienne. Je l’ai laissé faire. Je ne me suis pas retirée.”
- Mais… c’était un encouragement.”
Laurella a ri encore.
- Je crois que c’est ce qu’il a pensé. A un moment, il s’est permis de poser sa main sur ma cuisse.”
- Et… Qu’as-tu fait ?”
- Je l’ai retirée, voyons !”
Comme je la regardais sans rien dire, elle précisa :
“- Mais pas tout de suite. J’ai fait comme si je ne m’apercevais de rien. C’est seulement au bout de quelques secondes que je l’ai grondé.”
Toujours en riant, elle ajouta :
- Je suis coquine, non ?”
J’ai ri moi aussi :
- Tu mérites la fessée… D’autant que tu me sembles très excitée. Qu’as-tu ressenti quand il a mis sa main ?” Un peu de rouge a coloré ses belles joues pâles.
- Tu veux la vérité ?”
- Bien sûr”
Elle s’est à nouveau blottie contre ma poitrine.
- J’ai envie de faire l’amour avec toi. Maintenant.”
Je l’ai dévisagée avec un peu de surprise :
- Tu es sûre que vous n’êtes pas allés plus loin ?”
- Non, je t’assure. Mais j’avoue que sentir sa main sur moi m’a procuré des picotements dans le ventre.”
Cinq minutes plus tard, nos corps dénudés se livraient à de chauds ébats. « Oh, je suis excitée ! Je suis excitée ! », n’arrêtait pas de répéter Laurella. Je l’avais rarement vue aussi chaude, en vérité. C’était magnifique. Après, nous sommes restées étendus, rompus par nos jouissances, et j’ai dit, en essayant d’être le plus tendre possible :
- Sincèrement, tu aimerais qu’il te baise ?”
Elle n’a pas répondu tout de suite. Ce n’est qu’au bout de deux minutes au moins qu’elle a murmuré d’une voix à peine audible :
- Pourquoi pas, Pierre, j’aimerais… Et toi ?”
Elle a posé une main délicate sur mon ventre. Il n’était pas nécessaire que je réponde. Ma verge avait repris en un éclair une vitalité incroyable. Elle m’a embrassé la bouche, puis :
- Je te choque, mon chéri ? Nous avons toujours dit qu’un jour ou l’autre il faudrait vivre nos fantasmes, n’est-ce-pas ? Cette fois…”
Je ne l’ai pas laissée terminer. Je me suis entendu dire :
- J’y réfléchirai, mon cœur”.
J’avais peur. Il me semblait qu’un fossé existait entre les fantasmes et leur réalisation. Oui, j’adorais jouer au cocu dans nos divagations érotiques. Mais dans la réalité, ce rôle me plairait-il ?
Je passais des lendemains difficiles, tiraillé par mes pulsions d’un côté et par mes réserves de l’autre. Je savais bien qu’un jour où l’autre Laurella et moi mènerions une vie dissolue. J’en avais très envie même. Mais n’était-il pas trop tôt ? Trois mois de mariage seulement.
A ce rythme qu’adviendrait-il de nous dans dix ans ? Notre couple serait-il toujours uni ? Pourrions-nous encore nous aimer ? Quand j’approfondissais ma réflexion, je me rendais compte que mes hésitations n’avaient qu’une seule source : la peur de perdre Laurella. N’allait-elle pas trouver mieux que moi ? N’allait-elle pas s’amouracher du premier venu ?
Je me dis finalement que je devais prendre le risque. Après tout, la quasi-totalité des gens qui divorcent n’ont jamais fait une partouze de leur vie. Peut-être d’ailleurs est-ce pour cela qu’ils ont tant envie de quitter femmes, époux, enfants, pour aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte. Pas pour des partouzes, bien sûr. Non, tout simplement pour connaître d’autres corps, d’autres jouissances. Ils explosent, à la longue. Ils ne sont pas équipés d’une soupape de sécurité, c’est-à-dire de la possibilité d’une infidélité libre, consentie et partagée.
En fait, ma décision n’a pas tenu compte particulièrement de ces considérations. Je crois que ce qui m’a poussé à jeter Laurella dans les bras du voisin, c’est la conviction que j’allais satisfaire un de ses plus grands désirs. Je l’aimais tellement Laurella que je lui aurais apporté un amant sur un plateau d’argent si elle me l’avait demandé. La savoir heureuse, même dans la couche d’un autre, me comblait de joie.
Je voulais me sacrifier pour elle, comme les chevaliers d’autrefois qui mouraient parfois en joutes pour leur belle. Je voulais m’effacer, ne plus exister. Seul son plaisir comptait.
- Tu veux vraiment te sacrifier ? me demanda-t-elle un dimanche après-midi, alors qu’il pleuvait à verse dehors et que nous n’avions aucune envie de nous promener en ville.”
Elle avait posé la question avec un regard coquin qui me signifiait de répondre oui.
- Alors viens ! me dit-elle. Laisse-toi faire !”
Elle me conduisit sur la terrasse baignée par la pluie.
- Avance ! dit-elle.”
- Sous la pluie ?”
- Bien sûr. Où serait le plaisir, sinon ?”
J’ai obéi. L’eau coulait drue. Ma chemise et mon pantalon furent trempés en quelques secondes.
- Enlève tout ça ! fit-elle. Mets-toi à poil !”
Je l’ai regardé, médusé. Son regard trahissait son excitation. J’ai obtempéré, et je me suis retrouvé nu devant elle. Elle a attaché mes poignets à l’aide de cordages reliés à des anneaux fixés au mur. J’avais les bras en l’air, comme un supplicié, mon corps offert à son regard et à la pluie qui le fouettait.
Je ressentais une merveilleuse excitation. Elle a passé ses mains sur ma poitrine, mon ventre et sur mon sexe raide comme une barre de fer. Puis, elle m’a embrassé avec fougue, avant de se reculer et de saisir d’une verge de roseau. En m’a vu frémir.
- Ne crains rien ! Je ne te ferai pas mal… du moins pas trop. Mais je ne vais pas te frapper maintenant. Je vais attendre qu’on te voie.”
Je savais qui était ce « on ». De l’immeuble d’en face, on pouvait nous apercevoir d’un seul appartement. Il était occupé par un jeune couple, et nous ne nous gênions jamais pour paraître nus sous leurs yeux. Mais cette fois, c’était différent. Ils ne nous avaient jamais vus en train de nous livrer à des jeux érotiques.
- Quand ils apparaîtront, tu recevras quelques coups. Je suis sûr que ça leur plaira, et qu’ensuite, en faisant l’amour, ils penseront à toi, à tes cris, au bruit de la verge sur ta peau, à ton beau corps exposé sous la pluie et livré au sadisme de ton épouse.”
J’ai adoré. La femme nous a vus en premier. Elle a appelé son mari, et ils sont restés sans rien dire pendant toute la durée de mon si agréable supplice. Plus tard, une fois rentrés dans l’appartement, ma femme et moi, nous nous sommes branlés, l’un en face de l’autre, tout en nous racontant des histoires bien fortes, bien troublantes.
Des images nous hantaient. Les amazones que l’on attachait aux poteaux, sous les regards de la foule excitée, sous les regards de Lucile se réjouissant de ce merveilleux spectacle. Elles étaient belles ces amazones au moment où les archers pointaient leurs flèches, dignes, magnifiques, et elles s’offraient à tour à tour aux flèches mortelles sans une plainte.
Le voisin de palier revint au bout de quelques jours voir Laurella. Bien sûr, il avait attendu que je sois parti pour venir frapper à la porte. Il avait attendu aussi que sa femme - une sorte de matrone qui vous disait bonjour du bout des lèvres quand vous la rencontriez dans l’escalier – soit partie elle aussi.
Laurella m’a raconté qu’elle a laissé Antoine seul devant l’ordinateur pendant un long moment, histoire de le faire languir, avant de lui demander s’il voulait boire quelque chose.
- Volontiers, a-t-il dit.”
Elle lui a servi un whisky et elle est venue s’asseoir près de lui. Elle portait un jean cette fois. Ce qui n’a pas gêné notre homme de glisser une main sur ses cuisses.
- Mais que faites-vous ?” s’est-elle exclamée.
- Oh ! Chère voisine, je ne fais pas grand mal. Laissez-moi s’il vous plaît vous caresser gentiment. J’ai tellement besoin d’affection, savez-vous.”
- Mais vous avez une épouse ?”
Il a haussé les épaules.
- Nous nous parlons à peine. Alors, pour ce qui est de l’affection… Vous m’avez compris.”
Laurella m‘a dit que le pauvre vieux lui a fait de la peine. Elle est comme ça, Laurella, très sensible, la larme à l’œil pour un rien. Lui, il a dû en remettre deux ou trois couches pour se faire plaindre. Toujours est-il qu’elle a accepté qu’il laisse sa main.
- Il t’a caressée comment ?” ai-je demandé.
- N’aie crainte ! J’ai simplement ouvert un peu mes cuisses. Si tu l’avais vu ! Il était cramoisi, le malheureux, il respirait avec effort.”
- Sa main est remontée jusqu’où ?”
Laurella a enlacé mon cou et déposé un baiser sur ma bouche.
- Ben, là où tu penses, pardi ! Mais c’est pas grave, il y avait le pantalon pour me protéger.”
Elle s’est détachée pour observer mon expression. Je ne devais pas avoir l’air très ravi, car elle a demandé d’une voix timide :
- Tu es fâché ?”
Non, après tout, je n’étais pas fâché. Ou du moins je me disais que je ne devais pas l’être. Le voisin ne pouvait constituer une menace. Trop laid, trop vieux. Ce n’est pas pour lui que Laurella ferait ses valises.
Et puis cette histoire commençait vraiment à me plaire. J’adorais voir Laurella si excitée. Sa libido faisait de la cavalcade, et en fin de compte c’est moi qui en profitais. D’ailleurs, ce soir-là, au lit, nous avons encore parlé du voisin (au fait il s’appelle Antoine).
Parlé, n’est pas l’expression qui convient. Disons qu’il nous a hantés. Il était là parmi nous, invisible, impalpable, mais il était là quand même. Nous étions trois. J’enfonçais Laurella par devant, et lui arrivait par derrière, pour une impeccable prise en sandwich. Bref, nous avons imaginé plein de choses, et après l’amour, ma petite épouse adorée m’a chuchoté à l’oreille : « Tu vois que ça te plaît quand il me baise. »
OK. Elle avait gagné. « Va avec lui, si tu veux », ai-je répondu.
Elle m’a regardé avec des yeux incrédules, avec ses beaux yeux bleus qui étaient à moi jusqu’ici et qui bientôt plongeraient dans le regard d’Antoine quand elle lui dirait : « C’est bon ! Encore ! Prends-moi ! » ou d’autres mots semblables.
- C’est vrai ? C’est bien vrai ?” s’est-elle exclamée avec une joie enfantine, comme si je lui avais promis un diamant ou un séjour aux Seychelles.
Ça m’excitait de sentir son désir, son avidité de sexe.
- Je suis fier de toi, de ta décision,” m’a-t-elle dit.
Moi aussi j’étais fier d’elle. Laurella était vraiment la femme de mes rêves. Gentille, adorable et terriblement salope. Une perverse. C’est ça que j’aimais. Je bandais en pensant qu’elle rêvait de la bite du voisin, qu’elle rêvait de ses couilles et de son cul. Souvent, quand nous étions chauds, elle me criait : « Je suis une petite salope, ta vicieuse, ta pute. »
Et à présent, elle me le disait encore.
- Tu verras, m’a-t-elle susurré. Tu verras que je suis une bonne, une vraie.”
Je l’ai serrée contre moi et nous n’avons pas tardé à dormir.
Le lendemain, le voisin est revenu. Laurella avait mis un short minuscule pour l’accueillir, un short qui laissait voir ses longues et fines jambes et qui serrait bien son ravissant derrière. Elle avait enfilé aussi un tee-shirt très moulant, sans soutien-gorge. Je dois dire que quand je la vois comme ça, elle me fait sacrément de l’effet.
Elle a un petit corps splendide et on a envie d’y mettre ses mains partout. Elle m’a dit qu’Antoine a failli s’étrangler quand elle lui a ouvert la porte. Il n’a pas tardé à se précipiter sur elle, mais elle l’a retenu, pas assez cependant pour l’empêcher de glisser les mains sur sa poitrine. « Si tu avais vu, m’a raconté Laurella, il était tout tremblant. Moi, ça me faisait mouiller. J’ai résisté bien sûr. Mais il était tellement entreprenant, tellement nerveux. Et puis c’était bon de sentir ses mains sur moi. J’avais envie au fond qu’il me fouille partout. C’était dur de résister. A un moment, il a collé sa bouche contre la mienne. J’ai fini par lui céder et on s’est roulé une pelle pas possible. »
Bon sang, comme ce récit m’a chaviré ! J’étais assis sur le divan quand elle m’a raconté cela. J’ai posé une main sur mon sexe à travers le pantalon. Il était devenu tout rigide, et je l’ai caressé un peu. Laurella est venue s’asseoir contre moi. Elle m’a embrassé, en chuchotant : « Tu vois que ça te fais de l’effet ! Tu vois que tu aimes ça ! »
J’ai voulu savoir jusqu’où ils étaient allés. Laurella m’a raconté qu’elle avait consenti quelques baisers seulement, des baisers bien chauds quand même, et qu’elle s’était laissée peloter pendant un petit quart d’heure, le temps pour lui de glisser une main sous le caleçon dans l’entrejambe et d’introduire un doigt dans son sexe humide.
- Mais tu es une vraie salope ? ai-je murmuré. Tu l’as laissé faire ?”
Elle riait :
- Oh ! Ce n’était pas si méchant. Et puis, ça me faisait tellement de bien.”
- Et toi ? Qu’as-tu fait ?”
- J’ai posé une main sur sa queue. A travers le pantalon, bien sûr. Il a voulu que je déboutonne sa braguette, mais j’ai refusé. Alors, il a commencé à enlever son pantalon. Mais je me suis levée, en faisant semblant d’être fâchée et je l’ai mis à la porte.”
Je n’étais donc pas encore cocu. Mais j’avais conscience que les choses allaient se précipiter. Au prochain rendez-vous, Antoine obtiendrait davantage, et ainsi de suite, jusqu’au moment final, jusqu’à l’apothéose.
En tout cas, ça me plaisait bien tout ça, même si ça me faisait un peu peur. Et le lendemain, au bureau, je n’ai pas arrêté de penser à ce que Laurella aurait à me raconter à mon retour. J’étais certain qu’ils allaient franchir de nouvelles étapes. Je me sentais vraiment heureux de la sorte. J’avais l’impression de vivre mieux, d’une façon plus large, plus forte, comme si mes poumons respiraient un air nouveau et tonifiant.
En fait, j’étais en plein tourbillon. J’assistais avec un certain délice à l’effondrement de mes repères, comme si j’avançais en pleine ivresse au bord d’un ravin, les yeux bandés. J’avais conscience de vivre dangereusement, et cela me procurait d’agréables décharges d’adrénaline. Je quittais avec délice les rives tranquilles d’une existence médiocre pour m’aventurer dans des espaces plus vastes, mais pleins d’embûches peut-être, bâtis à la mesure de mes attentes. Je savais que j’allais être cocu.
Et ce terme de cocu, que je méprisais tant autrefois, devenait comme une sorte de trophée. Je le savourais avec bonheur. J’en prononçais les deux syllabes avec délectation. Le mot qui me faisait si peur, je l’aimais désormais. J’imaginais bien que ma salope de femme – excusez-moi cette expression, mais le mot salope, je l’emploie ici comme un compliment - j’imaginais bien, donc, que la salope ne s’arrêterait pas à Antoine, et qu’elle me cocufierait encore et encore, toujours avec mon assentiment.
Depuis peu, je m’étais mis en tête que ce serait bien qu’elle « se fasse » tout l’immeuble. Oh ! Ce n’était qu’un tout petit immeuble. Une de ces demeures bourgeoises construites juste avant la guerre de 14, avec quatre étages et deux appartements à chaque palier (pour la petite histoire, nous habitions au quatrième). Oui toute la maison forniquant avec ma tendre et si charmante épouse. Quelle aventure ! Quel bonheur ce serait !
Pendant la semaine qui a suivi, Antoine est revenu cinq fois. Il a livré cinq batailles et il est reparti chaque fois avec une toute petite victoire supplémentaire. Laurella lui abandonnait son corps au compte-goutte. Un jour, il lui a demandé d’enlever son tee-shirt. Elle a refusé. Elle l’a laissé simplement caresser ses seins à travers le tissu, puis, juste au moment où il allait partir, elle l’a ôté. Il s’est jeté sur elle. Il a pétri ses seins comme un fou. Elle l’a laissé faire pendant une ou deux minutes, puis elle l’a repoussé sur le palier.
Ce soir-là, j’ai dit à Laurella :
- Le moment approche. Tu ne peux plus le faire tourner en bourrique comme ça. Il doit se branler tout seul chez lui.”
- - Oui, c’est ce qu’il m’a dit. Il ma confié qu’il n’arrêtait pas de se masturber dans la salle de bains en pensant à moi. Il devait faire attention pour que sa femme ne s’en aperçoive pas.”
- C’est normal, le pauvre.”
- Le pauvre ? Il a bien de la chance de pouvoir me peloter !”
Elle m’a regardé droit dans les yeux, soudain sérieuse, presque grave :
- A présent j’aimerais bien qu’on passe à la vitesse supérieure.”
Je l’ai serrée contre moi et nous avons échangé un long baiser passionné, un de ces baisers bien profonds et pleins de désirs enfouis, comme en ont les couples en proie à par leurs pulsions les plus folles. J’ai murmuré :
- Oui, j’ai envie désormais. Je n’arrête pas de penser à vous deux. Je bande comme un malade chaque fois que je vous imagine en train de faire l’amour et de souiller notre lit conjugal. »
Elle m’a enlacé, en répétant :
- Oh ! Merci chéri, j’en ai tant envie, si tu savais. Tant envie. » Elle a hésité avant d’ajouter en me regardant d’une façon presque maternelle : « Cela ne te choque pas au moins ce que je te dis, que j’ai envie d’un autre ? Tu ne seras pas malheureux, n’est-ce-pas ? Tu sais, ce n’est pas de ma faute si je suis comme ça. Quand que je vois un homme qui me plaît, certains jours, je ressens des fourmillements dans le ventre. Si je pouvais, je me ferais baiser par la terre entière ! »
- Non, j’adore que tu sois une salope, j’adore que tu veuilles me tromper.
- Mais je ne te trompe pas. Je le fais avec ton accord…
- Je sais, je sais bien. Mais je porterai les cornes quand même.
Elle a ri :
- Oh oui, mon chéri, je veux que tu portes de belles cornes, toujours. »
Nous avons décidé que demain serait un grand jour. Je ne voulais pas qu’ils couchent déjà. Non, mais je voulais que la frontière soit irrémédiablement franchie et qu’Antoine sache que désormais Laurella allait vraiment baiser avec lui, et même que la chose allait se produire bientôt.
- Demain, ai-je dit à Laurella, tu l’accueilleras avec un visage assez sévère, presque hostile, et tu lui demanderas avec fermeté de s’asseoir devant l’ordinateur. Tu lui diras que tu attendais mieux de lui et que ton mari n’est pas content parce que l’appareil a encore des problèmes et qu’il a menacé de faire venir un vrai réparateur.”.......
C'est pas fini....

Histoire du net. Auteur:Posillipo. Papillonage amoureux... Fin

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Le Antoine il va risquer la crise cardiaque
Les jeunes n'ont vraiment aucun respect!!!

Mariée pour un vieux.
Fin
C’est ainsi que Laurella a agi. Et tandis que le pauvre Antoine se mettait au travail, elle s’est absentée dans la salle de bains. Quand elle est revenue, cinq à dix minutes plus tard, le pauvre voisin a failli s’écrouler sous l’effet de la surprise.
Jamais il n’aurait pu penser que la scène qu’il avait sous les yeux aurait pu se produire. Là, à trois mètres de lui, dans l’entrebâillement de la porte, venait de surgir une apparition, un spectacle à peine croyable, un spectacle qui éblouissait ses yeux et le frappait en pleine poitrine comme un coup de poing : Laurella le regardait, debout, immobile et nue, oui complètement nue, sans le moindre voile pour couvrir sa peau. Les épaules nues, la poitrine nue, le ventre nu, les jambes nues. Elle se tenait les mains derrière le dos, les cuisses légèrement écartées, exhibant sans pudeur le triangle doré de son sexe.
- Il n’a pas bougé, m’a raconté Laurella. On aurait cru qu’il avait été saisi par la foudre, paralysé en somme, la bouche ouverte, les yeux exorbités. Alors, coquine comme je suis, je me suis approchée, histoire qu’il en prenne plein la vue, pour qu’il me voie en gros plan, qu’il me mate bien. Je voulais que ses yeux me boivent, me dévorent, qu’ils ne perdent pas une parcelle de ma peau. C’était bon, tu ne peux pas savoir, de sentir son regard lubrique sur moi. Je mouillais, je mouillais… Une vraie fontaine. « Vas-y, je lui ai dit, profite ! Mate ! Régale-toi ! Je veux que tu me scrutes complètement. Mais attention. Cette fois, défense de toucher. Ne fais pas l’imbécile ! Si tu fais un geste vers moi, c’est fini, je te chasse pour toujours. » Le pauvre, il était bien incapable de faire quoi que ce soit. Il suait à grosses gouttes, il haletait, et même il bavait un peu. C’est à ce moment-là que la sonnerie du téléphone a retenti. Je me suis tournée pour aller prendre le combiné sur le guéridon. J’ai marché lentement pour qu’il ait le temps de bien me voir de dos. C’était toi à l’autre bout du fil. Tu m’annonçais que tu rentrais plus tôt que prévu, que tu allais arriver d’ici cinq minutes.”
Ce coup de téléphone n’était pas innocent. Avant de sortir de la salle de bains, Laurella m’avait envoyé un sms. Je savais que dans cinq minutes à peu près, le temps qu’elle se fasse admirer par Antoine, je devrais l’appeler. Antoine est donc rentré chez lui dans l’état qu’on devine. Mais auparavant, il a demandé à Laurella de lui jurer qu’elle recommencerait.
- Oui, a-t-elle répondu. Et tu auras peut-être plus la prochaine fois”.
- Plus ?”
- Sois patient ! Attends quelques jours ! Et tu ne le regretteras pas.”
Il était inutile de se raconter des histoires. Nous savions que le moment fatal était imminent.
- Arrêtons de le faire marcher, ai-je dit. Donne-lui ce qu’il veut !”
Laurella s’est jetée sur moi avec passion.
- Oui, oui, s’est-elle écriée. Cette fois, je dois y passer. Il faut qu’il me baise. J’en ai terriblement envie, tu sais.”
Je l’ai serrée très fort pour lui murmurer entre deux baisers sur son cou :
- Tu veux sa queue, n’est-ce pas. Tu veux qu’il te la mette…”
- Oui, oui, oui. C’est ça. Oh, Pierre, je mouille fort rien que d’y penser. Quand veux-tu que je le fasse ? Quand veux-tu que ta petite femme chérie te fasse enfin cocu ?”
- Pas demain. Laisse-moi accomplir un travail d’abord.”
- Mais quoi ?”
- Tu verras.”
J’ai pris un petit air mystérieux, et elle n’a pas cherché à en savoir davantage. Ce travail, j’y songeais depuis quelques jours déjà. Il allait me permettre de profiter à merveille de la situation. Car si j’appréciais l’idée que ma femme puisse jouir dans les bras d’un autre homme et qu’elle me raconte ensuite son aventure, je préférais de loin assister moi-même aux ébats. Oui, je suis voyeur, je le confesse sans honte. J’ai toujours rêvé de voir un couple faire l’amour, d’admirer deux êtres collés l’un à l’autre et sombrant, au milieu de leurs gémissements, dans un océan de plaisirs.
Mais comment voir ma femme et Antoine ensemble ? Comment savourer leur spectacle ? Elémentaire, mon cher Watson. Il faut savoir que notre chambre communique avec une penderie très vaste, presque aussi grande qu’une vraie pièce. Et que le haut de la porte de cette penderie est percé d’un rectangle muni d’une vitre translucide.
Le lendemain, je suis donc allé chez un miroitier, j’ai fait tailler une glace sans teint à la dimension de la vitre. Ensuite, j’ai enlevé la vitre et je l’ai remplacée par la glace.
- Viens admirer mon œuvre Laurella ! En me plaçant derrière la porte, que j’aurais soin de fermer à clef, je dispose d’une vision parfaite de la chambre, et je demeure invisible.”
Elle a vérifié. Il était impossible de me voir, il était impossible de savoir qu’il s’agissait d’une glace sans teint.
- Tu ne peux pas savoir comme ton idée me plaît, m’a-t-elle confié. Comme ce sera bon de savoir que tu me regardes, comme ce sera délicieux d’offrir mon corps à ta vue, mon corps pris par un autre, souillé par un autre, mon corps qui se tordra de plaisir.”
La nuit précédant la grande rencontre fut une des plus belles de notre union. Nous nous sommes aimés comme jamais. Le simple fait de savoir que dans quelques heures mon voisin serrerait contre lui cette femme que j’aimais tant me remplissait d’une excitation étrange, inconnue jusqu’ici et terriblement bonne.
Quand je glissais mes mains sur ses seins, son ventre ou sa croupe, j’imaginais Antoine qui allait faire les mêmes gestes, je pensais à la joie qu’il en retirerait. Quel plaisir il aurait de sentir cette chair si tendre et si ferme à la fois au bout de ses doigts, quel plaisir de la pétrir jusque dans les endroits les plus intimes !
C’était tellement bon de posséder Laurella que j’aurais voulu que le monde entier ressente ce que j’éprouvais avec elle, un peu comme un riche collectionneur qui tire sa satisfaction dans l’exhibition de ses œuvres d’art. J’étais sûr qu’Antoine m’envierait d’avoir une femme comme ça, aussi belle, aussi voluptueuse ; et c’est lui qui serait jaloux, pas moi.
Je pensais aussi au plaisir de Laurella. Comme ce devait être bon pour elle d’avoir un corps nouveau contre soi, de pouvoir toucher une autre peau, de sentir une autre bite, une autre paire de couilles ! Comme elle serait bien, abandonnée aux caresses et aux coups de boutoir de ce nouvel amant ! J’aurais donné une fortune pour qu’il existât un appareil branché sur Laurella et moi pour me transmettre toutes les émotions qu’elle éprouverait, qui me donnerait l’illusion que ces émotions étaient aussi les miennes.
Nous nous sommes endormis très tard dans la nuit, repus, les sens engourdis. Au matin, j’étais dans un état d’euphorie. Je n’étais plus moi-même. C’est comme si un autre avait pris ma place, un autre Pierre surexcité comme jamais, ivre du bonheur de livrer bientôt sa femme à toutes les débauches. Je me disais : « Plus que quelques heures à attendre, et je jetterai ma chérie dans les bras du voisin, je la verrai jouir, je la contemplerai tout mon saoul. Quel extraordinaire moment ce sera ! »
J’ai réveillé Laurella doucement, avec de petits baisers sur ses joues et sa poitrine. « C’est le grand jour, lui chuchotai-je, le jour le plus intense, le plus dangereux aussi, que notre couple a vécu. » Elle souriait. Je la sentais planer dans un nuage rose. Elle a dit :
- Pourquoi dangereux ? Tu sais très bien que ça ne changera rien à mes sentiments pour toi. Je t’aimerai toujours. Quelle merveilleuse complicité nous avons !”
- Oui, oui, une complicité délicieusement perverse.”
Et j’ai recommencé à bander. Je l’ai embrassée partout et je l’ai de nouveau chevauchée en lui disant :
- Dans quelques instants, c’est Antoine qui fera ça, c’est lui qui sera à ma place, tu auras sa queue dans le con, tu te rends compte ? Tu réalises ?
Elle n’arrêtait pas de jouir. Je me suis arrêté parce que je voulais qu’il lui reste assez d’énergie pour le voisin. Je l’ai aidée à se lever afin de la conduire dans la salle de bains.
- Non, a-t-elle protesté, il faut que j’aille aux toilettes d’abord.”
Je l’ai donc emmenée aux toilettes, comme si elle avait été un enfant et je l’ai assise sur la cuvette. Laurella n’a pas de fausse pudeur. Elle fait souvent ses besoins en laissant la porte ouverte. Elle n’est pas gênée par les bruits qu’elle peut faire.
Moi, c’est pareil. Je trouve ça très bien de ne pas être coincé sur ce plan. Il faut savoir ne rien se cacher quand on vit ensemble, il faut savoir aussi accepter son corps, l’accepter totalement, avec tous ses aléas ; et « faire caca », contrairement à ce qu’on nous a enseigné dans notre petite enfance, n’est pas un acte sale, du moins c’est mon opinion, c’est un acte naturel, voilà tout. Pendant qu’elle a fait ses besoins, je suis resté là, près d’elle, et elle m’a dit :
- Approche-toi ! Donne-moi ta queue !”
Elle l’a prise dans sa bouche, et j’ai songé qu’elle allait faire la même chose à Antoine dans pas longtemps. Du coup, j’ai bandé encore plus, mais je me suis retiré bientôt pour ne pas jouir, car je savais que la matinée serait longue et chaude et que je devais me réserver.
- Tu vas prendre un bain relaxant, ai-je dit. Je le ferai couler, je déposerai des sels odorants dans l’eau tiède, je te laverai, je te sècherai. Je veux te préparer amoureusement. Je veux prendre le plus grand soin de ton corps avant de l’offrir à cet homme. J’hydraterai ta peau avec tes meilleures crèmes et je te parfumerai comme une déesse.”
Jamais je n’ai pris autant de plaisir à laver Laurella. Ce bain était plus qu’un bain, c’était un acte érotique. Tout d’ailleurs devenait érotique entre nous depuis quelques jours, tant nous étions imprégnés par la douce perspective du coït adultère.
Qui a pu penser que ce que nous nous préparions à commettre pouvait anéantir un mariage, assassiner un amour ? C’était tout le contraire. Jamais, je crois, Laurella et moi nous nous étions autant aimés. J’avais l’impression que nous étions deux piles électriques, et qu’entre nous passaient une toute l’énergie et tout l’amour du monde.
Je tremblais presque en nettoyant sa peau. J’ai glissé mes doigts savonneux dans sa chatte.
- Il faut que je la prépare bien pour Antoine », lui ai-je dit en souriant.
- Oui, chéri, me répondait-elle, prépare-la bien car tout à l’heure il va y enfiler sa grosse queue.
Nous avons ri en évoquant son engin.
- Il doit être assez gros, m‘a-t-elle dit, si j’ai pu en juger en le caressant à travers le pantalon.
- J’espère qu’il sera plus gros que le mien et qu’il te donnera plus de plaisir encore. »
J’ai glissé aussi un doigt dans son anus, et j’ai pris du plaisir à bien le nettoyer. Je savais que ce trou-là serait interdit à Antoine, du moins cette fois. « Je ne veux pas lui donner tout le premier jour », m’avait dit Laurella. J’étais bien d’accord.
Ensuite, j’ai passé de la crème hydratante sur sa peau. Je voulais que son corps soit le plus agréable possible au toucher, je voulais que les mains d’Antoine glissent sur ma femme comme sur un tissu de soie fine et légère. Je voulais que mon voisin éprouve le plus de désirs possible, qu’il bande sans retenue et qu’il enfourche bien ma mie pour lui arracher les plus beaux cris de jouissance.
Bon, maintenant je crois que je vais m’arrêter là. Je comptais raconter la suite, c’est impossible. Comment pourrais-je transmettre dans mon récit toute l’intensité, toute la force des sensations que j’ai éprouvées devant le spectacle que m’ont offert Laurella et Antoine ?
Même l’écrivain le plus doué, même le peintre le plus fin, le plus précis, le plus talentueux ne pourrait décrire ce que fut le flot riche et puissant de mes émotions. Il faudrait posséder la plume du diable pour cela, et encore !
Quelques jours après que ces deux la eurent fait l’amour – l’expression « faire l’amour » ne convient pas ici, il vaudrait mieux dire baiser – Laurella me dit :
- Mais pourquoi t’arrêtes-tu d’écrire ? Pourquoi ne poursuis-tu pas ton histoire, notre histoire ?
Je lui ai répondu :
- Désolé chéri, mais ne je peux pas, et je lui ai expliqué pourquoi.
Elle m’a traité de fou, et même de joyeux imbécile.
- Alors, s’est-elle exclamé, tu vas stopper le récit au moment crucial ? Au moment où tous les gens attendent de lire ce qui va se passer ?
- Oh, ai-je fait, tous les gens, c’est beaucoup dire. Je ne pense pas que ce que nous avons fait intéresse grand monde. C’est banal, au fond.
J’ai vu une larme percer au coin de son œil.
- Banal pour les autres, a-t-elle dit, mais pas pour nous. Moi qui croyais t’avoir offert quelque chose d’unique, de si précieux ! C’était tellement fort, tellement beau !
- Oui, et bien c’est justement pour cela que je ne peux pas écrire, parce que c’était si fort et si beau que je suis bien incapable de faire partager cela au lecteur.
Elle a haussé les épaules, dégoûtée, et elle est allée s’enfermer dans la chambre, cette chambre qui pour moi, quelques jours auparavant, avait été le centre du monde, le point de gravité de l’univers visible et invisible.
Très bien, me suis-je dit, je vais continuer, pour lui faire plaisir. Je vais raconter la suite.Mais qu’on ne compte pas sur moi pour entrer dans les détails, pour expliquer que le pénis était comme cela ou comme ceci, mesurait tant de centimètres, et pour énoncer toutes les acrobaties auxquelles un couple se livre dans ces cas semblables.
Le style une jambe par-dessus, une jambe par-dessous, en haut, en bas, par-devant, par-derrière, et toutes ces descriptions de positions physiques ça m’assomme vraiment. Chaque fois que je lis un truc comme ça, je passe au paragraphe suivant, parce que je ne comprends rien.
C’est comme les descriptions détaillées de mouvements de gymnastiques qui illustrent les croquis dans les livres. Ça me prend la tête, et au bout d’un moment je décroche.
Bref, replongeons-nous donc dans l’ambiance de cette belle matinée. Après le bain de mon épouse, j’avais mis le nez dehors quelques instants sur le balcon. Un chaud soleil de fin d’été baignait la façade ocre, un soleil du sud de la France qui brillait dans un ciel d’un bleu intense. Des grillons chantaient dans les arbres, et je me dis que j’avais de la chance de vivre là, dans cette région magnifique, aux côtés de cette femme si belle et si chaude et si particulière. Laurella avait mis une robe blanche. « C’est à dessein, m’avait-elle expliqué. Le blanc évoque la pureté. J’ai l’impression d’être très pure, en vérité, parce que les sentiments qui m‘animent, les pulsions qui surgissent en moi semblent relever d’une vérité profonde et sans tache. »
Quelques minutes avant dix heures (l’heure du rendez-vous), je me suis enfermé dans la penderie, non sans avoir déposé un dernier baiser sur les lèvres de ma chérie. Mon cœur battait la chamade quand la sonnette retentit. Très vite, ils sont entrés dans la chambre.
- Reste-là, debout !a dit Laurella à Antoine, en le maintenant à distance près du lit. Tu vois, le moment que tu attendais tant est arrivé. Tu vas parvenir à tes fins, car c’est bien cela, n’est-ce pas, tu as envie de me prendre ?”
Antoine, le visage écarlate, fit oui de la tête.
- Alors, mon bon ami, je vais exaucer ton désir. Mais tu devras m’obéir. Ainsi, je te demande de ne pas bouger pendant que je vais me dévêtir. Oui, j’enlèverai moi-même mes vêtements, sans que tu me touches. Je veux que tu me regardes, que tu me mates comme hier. J’adore m’exhiber. Je mouille déjà en sachant que je vais me dénuder.”
Je les regardais tour à tour. Antoine fixait Laurella avec un regard lubrique, tandis que les yeux de ma chérie brillaient d’un éclat particulier et que son teint pâle avait cédé la place à un rose étincelant, aussi lumineux qu’un pétale de fleur.
Laurella défit quelques boutons, avec une lenteur délicate, et la robe tomba à terre. Puis, assez vite, elle retira la haut et le bas. Je n’avais que très rarement eut l’occasion de la contempler à cette distance. Elle me parut plus belle encore que d’habitude.
C’est comme si je la voyais pour la première fois. Ses formes avaient une grâce infinie, presque magique, qui remuaient en moi de brûlants désirs. Oui, on ne pouvait qu’avoir envie d’attirer à soi ce corps si bien fait, on avait envie de le prendre et de s’y blottir, d’en caresser tous les contours et d’en saisir les chairs à pleine main ou à pleine bouche.
Ce corps si parfait s’approcha du petit homme moche et vieux. « La belle et la bête », ne puis-je m’empêcher de penser.
- Me voilà, dit Laurella au voisin pétrifié. Mon corps sera à toi dans un moment. Mais auparavant permets-moi de te déshabiller moi-même.”
Avec une lenteur calculée, pleine d’une tension érotique, elle a retiré un à un tous ses vêtements. Quand Antoine s’est retrouvé en caleçon, elle s’est agenouillée devant lui et elle a enlevé ce dernier morceau de tissu, découvrant une pine énorme. Elle a saisi l’engin dans la main en poussant un petit cri d’admiration.
- Comme il est beau ! Quelle bonne trique tu as là ! Si mon mari te voyait, il serait jaloux.
Et elle a glissé un regard coquin dans ma direction. Elle a enveloppé la queue de ses mains, arrachant des cris de bonheur à notre Antoine, puis, sans prévenir, elle l’a englouti dans la bouche. Moi, derrière la glace sans teint, j’étais au paradis. Je bandais comme un fou. Voir ma femme gober la queue du voisin, c’était quelque chose d’énorme.
Je n’en revenais pas. Je me disais que c’était trop bon, trop fort, que je devais réaliser à fond ce que je vivais. Mais en même temps, je ressentais des sentiments contraires. J’éprouvais une certaine jalousie. Assister en direct à son cocufiage, même si on l’a souhaité, désiré, voulu, ce n’est quand même pas facile. Cependant je fis en sorte de refouler ces éléments négatifs qui, si je les avais laissé m’envahir, m’auraient volontiers gâché la fête.
Elle a sucé Antoine avec un appétit féroce. On voyait qu’elle aimait ça. Elle enfonçait le dard jusqu’au fond de la gorge et elle le retirait tout baveux dans des mouvements parfois doux et lents, parfois frénétiques.
D'autres fois sa bouche lâchait un moment la pine toute raide au gland bien dur et bien violacé, pour s’emparer des couilles. Elle les avalait avec gourmandise, ou plutôt avec frénésie, comme une affamée qui se jetterait sur un plat succulent. En même temps, elle glissait les mains sur ses fesses. Tout ça me plongeait dans des états démentiels.
Ma queue était sortie de la braguette et je l’astiquais comme il faut. Je savais que je ne devais pas jouir afin de garder ma semence pour mon épouse adorée, mais c’était impossible. Tôt ou tard, ça partirait malgré moi. Jamais, me semblait-il, je n’avais connu une pareille excitation.
Laurella reçut en pleine figure de bonnes giclées de sperme. Elle en avala une partie.
- J’espère, dit-elle, que tu en as gardé pour tout à l’heure. Parce que je veux que tu m’inondes le con, je veux ton jus dans mon trou.”
Elle l’emmena sur le lit. Elle était déchaînée
- Viens, fit-elle. Viens baiser ta voisine ! Viens te la faire ! C’est ce que tu voulais n’est-ce pas depuis le début, quand tu me lorgnais dans l’escalier ou dans la rue ? Tu voulais, mais tu ne pensais jamais y arriver, non ? Tu me prenais pour une jeune femme bien sage qui adore son petit mari, incapable d’être infidèle. Eh bien non ! Ta voisine est une pute ! Une vraie chienne, et tu vas la baiser. Viens ! Monte-moi ! Et dis-moi des insanités ! J’adore ça. Dis-moi que je suis une salope, une grosse salope, une putain, la dernière des putains !”
Je n’en revenais pas de ce vocabulaire. Mon petit amour était devenu une bête folle. Bien sûr, c’était des mots qu’elle me disait souvent, mais là, d’emblée, avec le voisin, ça me stupéfiait. Elle lui montra notre photo, la photo de mariage, posée sur un guéridon.
- Tu vas le faire cocu, n’est-ce pas ? Tu remarques, je ne tourne même pas le cadre. Ça m’excite de me faire baiser devant lui, devant ce cliché qui symbolise tant de choses. Ça m’excite aussi que tu m’enfonces ici, comme une chienne, sur le lit conjugal, dans les draps où il dort, où il me baise, où il m’a baisé ce matin et où il me baisera ce soir…”
J’ai eu peur que Laurella, sur sa lancée, ne dérape bientôt et ne lui avoue que j’étais caché derrière la porte. Mais non, elle s’est arrêtée de parler, elle s’est mise à quatre pattes et elle s’est bien ouverte pour se faire enfiler. Mon Dieu ! La queue d’Antoine dans le con de ma femme !
C’était magique, ahurissant. Je me pinçais pour constater que je ne rêvais pas, tant cela me paraissait irréel, surréaliste. Des émotions terribles me submergeaient comme si tout à coup les murs s’étaient ouverts sous la puissance de torrents qui emportaient tout sur leur passage. Je me retenais pour ne pas crier. Je croyais devenir fou.
Vous pensez que j’exagère ou que je suis trop sensible ? Mais non. Vous ne pouvez pas savoir ! Imaginez un instant, un tout petit instant, votre femme à la place de la mienne, mais imaginez-le vraiment, et peut-être vous comprendrez ce que pouvaient être les sensations qui se bousculaient en moi, qui me soulevaient la poitrine et m’entraînaient vers des abîmes infinis.
Antoine, qui s’était montré un peu timide au début, devint un amant diabolique. Il enfonçait Laurella d’une façon divine, avec une force insensée, arrachant des cris démentiels à mon épouse.
- C’est bon ! C’est bon ! Oh ! n’arrête pas ! », répétait-elle souvent avec sa petite voix chantante. Une fois, elle a dit : « ça n’a jamais été aussi bon. Jamais je n’ai connu ça. »
- Ton mari ne t’a jamais fait un tel effet, n’est-ce-pas ? a surenchérit Antoine.”
- Oui, oui, tu me baises terriblement bien. Jamais Pierre ne m’a baisé comme ça. Oh ! Antoine chéri, tu es le meilleur.”
Je savais que Laurella voulait s’amuser en disant cela, qu’elle voulait m’exciter aussi. Elle me regardait d’ailleurs, avec des petits sourires en coin. Ces propos m’ont fait un peu de peine cependant mais ils m’ont fouetté agréablement aussi. Allez comprendre pourquoi ! L’homme est ainsi fait, tiraillé entre ses contradictions.
C’est quand ils ont pris la position du missionnaire que j’ai souffert le plus. Parce qu’elle le regardait avec ces mêmes yeux si reconnaissants et si empreints de bonheur qu’elle avait pour moi d’habitude. Elle avait les mêmes petits cris, les mêmes gémissements, et je voyais bien qu’ils n’arrêtaient pas de se regarder au fond des yeux et qu’ils communiaient ensemble intensément.
Elle l’embrassait à pleine bouche, avec la même fougue. Mais c’était une souffrance que je pourrais qualifier de plaisante, au risque de paraître masochiste. De toute façon, souffrance ou pas, une seule chose comptait : le bonheur de Laurella, et j’étais content de lui en avoir donné beaucoup ce matin-là, par procuration. Ils ont joui tous les deux comme des bêtes. C’était un spectacle unique, à couper le souffle.
Une fois que ce fut fini, elle a demandé à Antoine de se rhabiller en vitesse et de déguerpir.
- On se reverra bientôt ?” a-t-il demandé à voix basse, comme un garçon timide.
- Oui, oui,” a fait Laurella un peu agacée.
Elle était redevenue froide, presque glaciale, comme si elle avait parlé à un étranger, et Antoine est reparti un peu penaud. J’ai alors ouvert la porte et elle m’a sauté dans les bras.
- Oh, mon chéri, mon petit chéri, ne cessait-elle de dire. Comme j’ai été heureuse, comme j’étais bien ! Merci, merci. Oh ! comme j’ai bien baisé ! Si tu savais ! Tout ce que j’ai éprouvé ! C’était merveilleux. Et toi, et toi, raconte mon chéri, raconte ! Mais viens d’abord !” Elle a ouvert ses cuisses. Son con était encore tout ouvert, dégoulinant de sperme.
- Le jus d’Antoine, dit-elle, le jus tout chaud de ton voisin. Viens le lécher ! Viens ! Je veux que tu mettes ta langue dessus, je veux que tu le lapes comme du bon lait et que tu l’avales !”
J’ai obéi. J’étais fou de joie, fou d’ivresse. Ma tête tournait. J’étais au septième ciel. Ensuite, je l’ai enfoncée, j’ai trempé ma bite dans la crème d’Antoine, dans le trou chaud que sa queue venait de quitter. Et nous avons fait l’amour comme des dieux.
Voilà le résumé de l’histoire. Ah ! J’oubliais ! Je dois ajouter un autre élément. Il y avait longtemps que je n’avais plus était en présence d’un sexe d’homme - en dehors du mien, bien sûr – et je dois dire que cela ne m’a pas laissé indifférent. Quand Laurella l’avait caressé puis pris entre ses lèvres, j’ai eu pendant un court instant la vision que c’était moi qui faisait ses gestes, moi qui avait cette belle queue en bouche. Je n’ai pas peur de l’avouer : la nudité d’Antoine, même si elle n’avait rien de particulièrement attirant, m’avait troublé. Ai-je des tendances, comme l’on dit ? Evidemment oui. Je me suis dit alors, du fond de ma penderie, qu’il faudrait qu’un jour je goûte aux joies de la bisexualité.
Comme par hasard, quelques jours plus tard, Laurella m’annonça : « Tu sais, les pédés italiens de l’étage au-dessous, ils ne sont pas si pédés que ça. J’étais dans l’ascenseur avec eux, et il faut voir comment ils ont mis les yeux dans mon décolleté. J’en avais des frissons. »
Il y a longtemps que Laurella rêve, lors de nos étreintes, que des hommes se mêlent à nos jeux, des hommes qui ne seraient pas là uniquement pour elle, des hommes auxquels nous goûterions tous les deux.
Antoine, quant à lui, a pris une sorte d’abonnement chez nous. Au moins deux fois par semaine, il frappe à la porte. Laurella le fait entrer. Elle a su tirer parti de la situation. Elle attend qu’il sorte un billet de cinquante euros de la poche, elle s’en saisit, va les introduire dans une tirelire, puis elle baisse sa jupe ou son pantalon, selon le cas, afin d’offrir sa croupe.
Et il la prend comme ça, debout, tandis qu’elle se penche, appuyée à la table de la salle-à-manger. « Vas-y ! Tire ton coup ! », lui dit-elle dans un souffle. « Viens vider tes couilles ! » Evidemment, elle garde tout le jus dans sa chatte pour m’obliger à le lécher à mon retour.
Elle fait ça d’ailleurs le soir peu avant mon arrivée, afin que ce soit encore bien chaud. « Tu comprends, me dit-elle, je ne le fais pas payer parce que je suis vénale. Non, ce n’est pas ça du tout. C’est parce que j’aime jouer à la pute, j’aime qu’on paye pour me baiser. C’est mon côté pervers. »
Moi, quand elle me dit ça, je grimpe au plafond. Je bande comme un âne. Délicieuse Laurella. Je crois que j’ai épousé la femme la plus merveilleuse du monde..................

Padirac!

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Monsieur a de grandes capacités..!

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