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Certains mecs sont calibrés pour...


Une vieille histoire culte, d'un auteur inconnu, pour ce long week-end pascal..... Suite

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Quand Julien est formé à comprendre
quel est son vrai rôle dans une vie

Week end de rêve
Episode III
A bout de quelques minutes, j'entends nettement les bruits caractéristiques d'un couple faisant l'amour. Les râles d'Alex se mêlent aux soupirs et aux cris de Carole. Mon sexe se dresse une fois de plus. De toute la soirée, j'ai souvent bandé, mais pas une seule fois je n'ai eu l'occasion de jouir. Et je ne peux même pas me branler, mes bras étant attachés. Les bruits s'achèvent bientôt. Tout est calme.
Je suis à nouveau seul avec mon érection. Mais je ne tarde pas à m'endormir, épuisé par mes premières aventures dans le monde de la soumission. La lumière ne me gêne plus, mes yeux se ferment et je m'offre pour la nuit aux voyeurs du monde entier. Durant la nuit, mes rêvent m'emmènent dans un harem. Mais un harem un peu particulier, un harem d'hommes. Notre seul but est de donner du plaisir aux femmes qui, dans ce pays imaginaire un peu comme dans la réalité dirigent tout. Mais dans ce rêve, les hommes sont tous des esclaves dévoués aux plaisirs des femmes. Je crois même avoir rêvé devoir donner du plaisir aussi à quelques hommes d'une classe supérieure. Mais je ne m'en souviens pas avec exactitude...
Je me réveille, je n'ai aucune idée de l'heure, ce doit être le milieu de la nuit. Mais je me vois sur l'écran. Je suis immobile, dans l'incapacité de bouger. Mon plug me gène, j'ai honte, j'ai peur. Je me demande pourquoi je suis venu. Puis, petit à petit, je me rappelle les événements de la veille. Mon arrivée, mon inspection, les liens, les photos, ma première pénétration anale, mon exhibition dans le jardin, puis dans la voiture, le repas, l'humiliation du dessert et pour terminer me voilà nu devant une caméra, offert au monde. Tout cela en à peine quelques heures. Moi qui n'osait pas assumer mes fantasmes. Je n'aurai certainement pas fait tout cela de moi même, même si j'en avais eu l'audace. Mais ce qui m'est arrivé m'a plu dans l'ensemble. J'espère que ce n'est pas terminé, que Carole et Alex vont m'emmener encore plus loin dans la débauche, qu'ils vont anéantir encore plus toute trace de pudeur en moi. En tout cas, je sais une chose, c'est que je leur obéirai. Sur ces pensées, je m'endors à nouveau, les caméras filment et diffusent le sourire présent sur mes lèvres.
- Allez, on se réveille mon petit Julien.
C'est Carole. Elle vient d'ouvrir les volets. Elle est magnifique dans la lumière du jour qui se lève. Elle porte une chemise de nuit en soir blanche. Ses seins sont mis en valeur par les dentelles. La vue de cette femme, ainsi que le réveil, ne tardent pas à provoquer chez moi une belle érection.
- Oh! Regardez moi ça comme c'est mignon. Il bande. Attends, avec la soirée que tu as passé hier soir, je pense que tu a droit à un peu de plaisir. Tu as été parfait. Alex dort encore, surtout ne le réveillons pas.
Lentement, elle retire le plug de mon cul puis viens s'empaler sans aucun problème sur ma queue dressée. Elle avait du se caresser avant d'entrer, car sa chatte est déjà dégoulinante de plaisir. Toujours attaché, je n'ose dire un mot. Carole donne le rythme. Elle m'observe.
- Non, ouvre les yeux, je veux te voir jouir.
Elle accélere. Je ne tarde pas à haleter, je vais jouir, enfin. Mais une fois de plus, elle se retire, me laissant, haletant, souffrant de désir. Elle replace les caméras pour que la scène soit bien visible. Puis elle reprends sa position. Les voiles de sa nuisette montent et descendent en une symphonie de couleur joué par les rayons du soleil. Ses doigt pincent mes tétons. Je sens la douleur, associé au plaisir qui monte en moi. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement. J'explose. Je me sens defaillir. Elle continue ses mouvements encore quelques secondes puis sans un mot vient placer son sexe sur mon visage.
Les premières goutes de mon sperme coulent dans mon cou. Carole se baisse un peu plus et colle sa chatte sur ma bouche. Elle ne parle pas, mais c'est inutile. Elle sait que je vais faire ce qu'elle me demande en silence. Effectivement, je lance ma langue à l'intérieur de sa chatte et commence à la nettoyer de mon sperme. Le liquide glisse dans ma bouche, mélé à la mouille de Carole. J'avale, mais je sens un mince filet couler au bord de ma lèvre. La nuisette de Carole recouvre mon visage. Je pense à tous les gens qui nous observent. Je me dis que certains doivent se branler en me regardant. Alors que je lèche depuis plus longtemp qu'il n'en faut pour que le sexe de Carole soit vidé de mon sperme, je sens les soubressauts de la jouissance agiter Carole. Elle se laisse aller et se pose sur mon visage, m'éttoufant presque. Puis elle se relève, m'embrasse passionement et lèche le filet de sperme qui part de ma bouche en direction du sol. Elle sort.

Chapitre VII : Essayages.
Quelques instants plus tard, Alex entre dans la pièce et me dis bonjour. Je lui réponds. Il se dirige vers l'ordinateur pour lire les messages laissés par mes admirateurs. Puis, après avoir éteint les caméras, il me détache et me tend mon string pour que je "m'habille". Nous déjeunons, les événements de la veille et de la nuit m'ont donné faim. Carole me parle du programme de la journée, sans me donner trop de détail.
- D'abord, nous allons aller t'acheter de quoi t'habiller décemment. Tu ne peux quand même pas te promener dans Paris en string. Bien que j'avoue que cela me plairait énormément. Une autre fois peut être. Ensuite, nous irons manger au restaurant, mais cette fois dans un restaurant normal. Ce n'est pas toi qui nous servira. Et s'il fait beau nous irons nous promener en forêt. Tout cela te convient-il Julien '
- Oui, bien sûr. De toutes façon, ai-je le choix '
- Non évidemment, mais tu aurait pu ne pas être d'accord. Bon, allons y.
Nous nous levons. Alex me donne un manteau pour que je puisse sortir dans Paris sans me faire trop remarquer. Nous prenons la voiture et nous nous dirigeons vers Pigalle. Nous entrons dans un magasin ou toutes sortes de vêtements en cuir et latex, ainsi que divers objets tels des fouets ou des menottes sont exposés en vitrine. Carole entre la première, je la suis et Alex ferme la marche.
Apparemment habituée des lieux, Carole pose son manteaux de fourrure et le tend à la jeune femme se trouvant à l'entrée. Alex l'imite. La femme, blonde, plutôt court vêtue, la poitrine opulente et le regard trop maquillé, se retourne vers moi et me tend le bras attendant visiblement que je lui tende mon manteau.
- Non merci, ça ira.
- Comment ça non merci, pas de discussion, donne ton manteau à la charmante demoiselle.
- Mais...
- Tu discutes '
- Non, mais...
Alex se penche à mon oreille.
- Tu sais Julien, je crois que tu ne m'as pas encore vu en colère. Fais ce que te dis Carole immédiatement.
Le ton d'Alex ne laissant place à aucune hésitation possible, je pose le manteau, au grand bonheur de la femme qui s'en saisit et, sans me quitter des yeux une seconde, accroche les trois vêtements sur des cintres. Elle parcours mon corps des yeux pendant de longue secondes. Le silence devient pesant. Déjà, certains clients se tournent pour m'observer. La jeune femme pose son regard dans mes yeux, peut-être pour me faire rougie un peu plus puis me demande dans se préoccuper ni d'Alex, ni de Carole :
- Je m'appelle Katia, que puis-je pour vous monsieur.
- Katia, nous cherchons pour Julien de quoi l'habiller de manière plutôt sexy.
- Mais bien sûr Madame, nous avons tout ce qu'il faut pour cela. Vous avez une préférence, cuir, latex, transparent peut-être.
- Je ne sais pas trop, nous allons en essayer quelques uns. Que nous conseillez-vous '
- Je pense que ce body transparent lui ira très bien. Regardez, il est en plus muni de chaines qui permettent de l'attacher ou vous voulez.
- Non, je veux quelque chose qui fasse plus habillé.
- Peut-être alors cette tenue en latex rouge. Il est vrai que le sexe et le cul sont offert à la vue, mais le reste du corps est caché. C'est un modèle très apprécié de nos clients.
- Il va l'essayer.
- Mais bien sûr, les cabines d'essayages sont par ici.
- Cela vous dérange-t-il qu'il fasse l'essayage ici '
- Pas du tout Madame, au contraire.
La vendeuse me regarde d'un air carrement lubrique maintenant. Tous les clients, sans exception, assitent à mon essayage. Alex m'ordonne évidement de ne pas garder mon string sous la combinaison. J'ai du mal à y entrer, ça colle. Cette combinaison fait ressortir mes formes. Carole m'ordonne de marcher lorsque je l'ai enfilé. Les clients se poussent pour me laisser passer.
Alors que j'avance au milieu de l'allée formée par les voyeurs, je sens des mains qui se font balladeuses. Sur mon cul, sur ma bite et mes couilles, qui pendent à travers le trou dessiné dans la combinaison. Je me retourne et reviens vers la vendeuse, Carole et Alex. J'ai l'impression d'être un robot, il suffit que l'on ordonne quelque chose pour que je m'exécute sans discuter.
- C'est très sexy en effet, mais nous voudrions quelque chose qui lui permette de sortir dans la rue sans se faire arréter par la police.
Tous rigolent, sauf moi. J'ai la tête baissée, je vois mon sexe surgir de ce trou dans le latex rouge. J'ai honte. J'ai peur, et si quelqu'un que je connais passait par là, un collègue, un ami ' La vendeuse m'observe une fois de plus et se dirige dans un autre rayon. Nous la suivons.
- Regardez cette conbinaison de cuir noire. Quasiment toutes les parties sont détachables, si bien que vous pouvez ne gardez caché que le sexe. Ou mieux, si vous voulez, vous pouvez découvrir uniquement le sexe. Mais vous pouvez en enlever les bras ou les jambes, ou le torse. tout est à base de fermeture éclair. L'inconvénient est qu'elle est assez difficile à enfiler seul. Mais je me ferait un plaisir de vous aider à l'essayer.
- Bien sûr. Julien, pose ta combinaison, Mademoiselle va t'aider à essayer celle là.
Pendant que je pose la combinaison rouge, la vendeuse attrape le cintre qui supporte celle que je vais essayer maintenant. Elle se saisit de la combinaison que je viens de poser et me laisse là, seul au milieu de tous. Un couple présent dans la boutique discute avec Alex et Carole, ils m'obervent tous les quatre, un peu en retrait. Lorsque je tente de me cacher le sexe avec les mains, Alex me fait signe de les retirer. Katia, la vendeuse revient bientôt et me demande de me tourner, pour que je sois face à elle. Elle m'enfile le pantalon puis le haut de la combinaison. Pour terminer elle ferme les nombreuses fermetures de la combinaisons. Pendant toute la durée de l'habillage, elle s'est tenu extremement proche de moi, j'ai pu sentir sa poitrine dans mon dos, ses mains sur mes hanches, son souffle sur ma nuque.
- Faites quelques pas, histoire de voir si elle vous va bien.
Une fois de plus, je marche dans la boutique sous le regards de mes maîtres et de la vendeuse.
- Parfait, nous la prenons. D'ailleurs, il va la garder sur lui.
Je sens le cuir sur ma peau. Tout de noir vêtu, je sais que je ne vais pas passer inaperçu, mais je commence à aimer cela. L'impudeur est comme toute chose, elle s'apprend. Alex paie. Carole viens me voir, me dit que je suis très mignon dans cette tenue. Elle m'apprends que le couple avec qui je les ai vus discuter va venir déjeuner avec nous. Elle fait les présentations.
- Monsieur et Madame Mac Pride, je vous présente Julien.
- Bonjour Julien. Tu es appétissant dans cette combinaison tu sais ! Je suis heureuse que nous ayons rencontré Alex et Carole ici par hasard.
- Bonjour Madame.
Madame MacPride me prends par la main et me tire vers la sortie. Dans la rue, je me dit que j'aurai du réfléchir avant de venir chez Carole et Alex. J'essaie de me faire tout petit. Et si je croise une personne de ma connaissance ' Et si on me reconnais ainsi ' Heureusement, la voiture n'est pas loin et je m'y engouffre avec empressement. Nous voilà donc parti vers un restaurant. En fait, c'est une brasserie, tout ce qu'il y a de plus banal dans Paris. Je me retrouve assis entre Carole et Alex, sur la banquette, Monsieur et Madame Mac Pride sont en face nous. Le repas se passe comme si de rien n'était, nous discutons de tout et de rien. Parfois quelques remarques de Madame MacPride me font rougir, mais sans plus. Jusqu'au dessert, j'ai l'impression que tout va bien se passer. Mais c'est sans compter sur l'imagination débordante de Carole ...

Chapitre VIII : Restaurant.
- Julien, pose la partie de ta combinaison qui te cache le sexe.
Je la regarde éberlué. Je n'ose pas bouger. Mais je me rends compte que son regard n'est pas le seul à être braqué sur moi avec insistance. Je me doute que plus un mot ne sortira de la bouche des convives jusqu'à ce que je me sois exécuté.
Tout tremblant, je détache donc la fermeture qui entoure mon pubis et pose le morceau de cuir ainsi libéré sur la table. C'est ce moment précis que choisi le serveur pour venir prendre la commande des desserts. J'avance imperceptiblement mes fesses afin que ma queue se retrouve cachée par la nappe. Le serveur, pas plus bête qu'un autre, ne manque pas de remarquer mon trouble, même s'il n'en connait pas la cause. Alors qu'il repart annoncer la commande en cuisine, Carole se retourne vers moi, un regard que je ne lui avait encore jamais vu lui traverse les yeux l'espace d'un instant. Ce que j'y entrevois m'effraie.
- Qui t'a dis de te cacher '
- ...
- Réponds !
- Personne Madame.
- Je t'ai déjà dis que lorsque tu es avec nous, tu n'as plus droit à la pudeur. Et surtout il t'est interdit, tu entends bien, INTERDIT de ne pas faire ce qu'on te demande.
Pendant qu'elle parle, elle attrape mon sexe et le serre fortement. Je sens la douleur monter en moi. Je n'ose pas réagir, je sais que la punition serait pire. Mais déjà le châtiment s'intensifie. Carole sait très bien ce que je redoute.
- Branles toi !
Lentement, tel un automate, ma main droite passe sous la table, empoigne ma queue et commence un lent va-et-vient. Je m'efforce ne ne pas faire bouger le haut de mon corps pour ne pas être remarqué d'une table voisine ou d'un serveur.
Madame MacPride me regarde droit dans les yeux, un sourire amusé sur les lèvres. Le serveur vient nous resservir du vin. Carole me regarde fixement, ses yeux me disent clairement que je n'ai pas intérêt d’arrêter, même en présence du serveur. Alors mon mouvement se fait légèrement plus lent, plus subtil, mais ne cesse pas. Ma respiration s'accélère imperceptiblement. Le désir se fait de plus en plus fort. Je sens que je ne vais pas pouvoir poursuivre ce traitement très longtemps sans tâcher ma nouvelle combinaison. Madame MacPride, toujours le sourire aux lèvres m'interroge :
- As tu déjà goûté ton sperme julien '
- Oui, Madame MacPride.
- Ahhh! Et à quand remonte la dernière fois '
- Ce matin, Madame.
A ces mots, Alex me regarde, étonné. Il doit se demander comment j'ai pu jouir alors que j'étais attaché. Et encore plus comment j'ai pu avaler mon sperme. Carole lui donne la réponse.
- Mon chéri, il était si mignon ce matin quand je suis allé le réveiller que je n'ai pas pu m’empêcher de le chevaucher. Ce sexe lisse qui bandait ... Tu sais qu'il est des choses auxquelles je ne résiste pas !
- Je comprends.
Madame MacPride poursuit son idée :
- Alex, quel goût à ton sperme '
- C'est ... ça a un goût unique, que l'on ne retrouve nulle part ailleur. Amer peut-être.
- J'adore voir un homme boire son sperme, tu vas le faire pour moi maintenant.
- Ici '
Elle me tend mon verre, à moitié remplit de vin.
- Oui, ici, je veux que tu jouisses la dedans. Tu boiras ensuite le vin.
Sans un mot, j'attrape le verre de la main gauche et le passe sous la table. Ma main droite, toujours en mouvement, accélère de plus en plus. Je ferme les yeux. Je ne peux pas retenir un râle lorsque je me vide dans le verre. Je transpire. Je suis évidement écarlate. Je porte le verre à ma bouche. Madame MacPride m'arrête.
- Attends, nettoies d'abord tes doigts.
Un mince filet de sperme coule entre mes doigts. Je pose le verre, porte ma main à la bouche et lèche avec application. Je retrouve le goût du sperme que j'ai déjà avalé ce matin, alors mélangé au suc de Carole.
- Je pense que tout cela a du te donner soif, non '
- Oui Madame MacPride, un peu.
Obéissant à cet ordre déguisé, je porte le verre à ma bouche et lentement, très lentement, je bois. J'apprécie le vin. J'apprécie le sperme. J'apprécie le restaurant. Et, plus que tout, j'apprécie ce que je suis devenu. Je ne suis ici, le sexe à l'air, en train de boire mon propre sperme dans un verre, que l'objet des perversions de Carole, Alex et leurs amis. Je suis conscient maintenant que, dans cette combinaison, plus rien ne me fait peur. Je ne suis plus du tout enfermé dans mes principes et mes tabous.
Le repas se poursuit gentiment, sans nouvelles bizarreries que l'on m'ordonne de faire. Par contre, je soupçonne fortement le serveur d'avoir remarqué que mon sexe n'est plus couvert. Ses yeux louchent régulièrement sur moi, un petit sourire amusé sur le visage. Tout se passe bien donc, jusqu'à ce qu'Alex demande l'addition. C'est ce moment que choisit Carole pour s'emparer du morceau de cuir qui me cache le sexe. Ce geste provoque chez moi l'équivalent d'une balle en plein cœur. Elle va m'obliger à sortir du restaurant dans mon état actuel.
Le sexe à la vue de tous !
Je sens mon cœur s'accélérer, de petites perles de sueurs coulent sur mon front. L'adrénaline monte en moi. Comment vais-je pouvoir me sortir de cette situation ' Alex se lève, suivi de Madame MacPride et de son mari. Je sens chez eux une envie folle d'éclater de rire. Je me tourne vers Carole, puis vers Madame MacPride. Carole se lève à son tour. Voyant que je reste assis, elle se tourne vers moi.
- Et alors, tu ne nous suis pas, tu restes là '
Je ne répond pas. Je sens ma mâchoire inférieure s’affaisser.
- Allez, habilles-toi et dépêches-toi.
Elle me lance le carré de cuir. Je ferme les yeux, remercie le Saint-Patron des soumis, ainsi que tous les autres Saints-Patrons de la terre et m'empresse de remettre ma combinaison en ordre. Nous sortons.

Chapitre IX : Promenade.
Arrivé dans la voiture, Carole me demande si je serai sorti du restaurant sans mon "cache-sexe". Je lui réponds que non, mais que si je n'avais pas eu le choix, j'aurai bien du m'y résoudre.
- Ne te fais pas de souci, tu sais, nous ne sommes pas là pour faire de scandales. Mais je dois avouer que j'ai bien aimé ton visage lorsque tu m'a vu prendre le morceau de la combinaison. Rassures-toi, nous ne te ferons rien qui puisse te porter préjudice. Enfin, pour l'instant ....
J'espère que ces dernières paroles n'ont été dites que pour augmenter mon trouble, et mon incertitude et non parce qu'elles sont vraies. Mais Carole et Alex m'ont assuré plusieurs fois que rien ne pourrait m'arriver d'irréparable lorsque je suis avec eux. Nous poursuivons donc ce week-end fou. Nous ne sommes que le samedi en début d'après midi et j'ai déjà fait et subit plus de choses que je ne l'imaginait possible en une vie entière. Les MacPride nous ont quitté, apparemment à cause d'un rendez-vous dans un cinéma porno. Je me doute que leur après midi va bien se terminer. Carole me parle du programme de notre après-midi.
- Tu sais Julien, la majorité des hommes adorent voir des femmes baiser ensemble. Moi, ce que j'aime, c'est voir des hommes baiser, et Alex aussi aime voir ça. Toi je ne sais pas si tu aimes voir, mais je suis certaine que tu va aimer le faire pour nous, n'est-ce pas '
- C'est-à-dire que ... je ne sais pas trop ...
- Mais moi je le sais pour toi ! Tu vas te faire enculer parce que j'ai envi que tu te fasses enculer. Et tu vas aimer cela parce que j'ai envi que tu aimes ça.
Un sourire effrayant apparaît sur son visage.
- Et je suis certaine que tu en redemanderas.
Je ne sais pas si j'en redemanderaiss, mais je sais une chose, c'est que je n'ai aucun à priori contre. Je suis là pour faire de nouvelles expériences et aucune, du moins je pense, n'est irréalisable. Que l'on aime ou pas, on ne peut répondre à cette question qu'après avoir goûté. Et je vais goûter à la sodomie si Carole me le demande. On verra plus tard si j'en redemande.
La voiture se dirige vers la sortie de Paris, en direction d'un bois dont je ne connais pas le nom. Nous y pénétrons, empruntons des chemins plutôt calmes. Nous dépassons une voiture dont la porte entrouverte laisse dépasser une jambe dont le pied retiens une petite culotte en dentelle. Trois hommes matent par la vitre baissée la propriétaire de la culotte qui apparemment se branle tant pour son plaisir que celui des voyeurs. Plus loin, nous nous arrêtons. Carole descend et me fait signe de la suivre.
- A genoux.
Alors que je m'exécute, Carole s’accroupit devant moi, ses seins sont à hauteur de mon visage. Elle prend ma tête entre ses mains et plonge son regard au fond du mien. Après m'avoir embrassé fougueusement elle penche sa tête pour approcher sa bouche de mon oreille.
- Tu sais, Julien, aucun encore de nos soumis n'a été aussi brillant que toi. Mais Alex et moi voulons que tu nous demande de continuer. La prochaine étape, je te l'ai dit sera de te faire prendre par des hommes, ici à la vue de tous. Alex et moi aimerions que tu en exprime le désir. Et je suis sûre que tu le veux aussi au fond de toi même, non '
J'ai la gorge sèche. Je la regarde, un peu perdu. Oui, Carole à tout à fait raison, j'en ai envi. Mais je crois cependant que si je suis ici, c'est que c'est une décision que je n'ai jamais été capable de prendre seul. Je savais que Carole et Alex me pousserait à faire des choses que je n'ose pas faire par moi-même.
Je sens tout à coup une main se poser sur mon épaule. Je sursaute. Ce n'est qu'Alex, mais il remarque mon regard affolé. Il se penche et approche sa bouche près de mon oreille, son regard en direction des arbres alentours qui commencent à découvrir deux ou trois hommes qui regardent dans notre direction.
- Tu n'as pas le choix, Julien. Tu vas te faire prendre, ici, devant nous. Que tu le demandes ou pas n'y changera rien. Mais je veux juste être certain que tu en as vraiment envie. Je suis persuadé que tu as aussi envie de le dire, cela te libéreras et tu apprécieras encore plus. Alors'
Nouvelle hésitation. Deux hommes s'approchent maintenant dangereusement. Après avoir pris une grande inspiration, je me lance.
- Oui ...
- Oui quoi Julien '
- J'ai envie de me faire prendre ... Maintenant.
- Bien ! Lève toi et choisi.
Je vois à son sourire et à celui de Carole qu'ils sont contents de moi. Tout comme moi, c'est la première fois que je demande à me faire enculer, même avec ma copine je n'ai jamais osé alors que j'ai ai souvent eu envie.
Alex tend le bras vers les deux hommes qui sont à côté de nous maintenant. Il me demande de choisir lequel des deux va m'enculer. Je réaliserais plus tard que le choix portait sur le premier à m'enculer car les deux évidemment vont profiter de moi. Je me lève donc et m'approche des deux hommes. Leur sourire est la seule chose que je distingue, je serai incapable de les reconnaître dans la rue, je suis dans un autre monde, un état second. J'espère d'ailleurs qu'eux aussi ne me reconnaîtraient pas s'ils me croisaient. Je tends ma main vers le l'entre-jambes de l'un d'eux. Je m'agenouille pendant que le second passe derrière moi et me détache la partie de ma combinaison qui me cache le cul. Je fais jaillir la queue de celui qui me fait face et la prends dans ma bouche alors que je sens un doigt mouillé s'insérer dans mon intimité.
L'homme derrière moi fouille mon anus de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément. Il me dit qu'il va m'enculer profondément, qu'il va me faire jouir parce que je ne suis qu'une salope qui aime se faire prendre par tous les trous. C'est la première fois que l'on me parle ainsi. Je ne suis, ici encore plus qu'hier soir au château et ce midi au restaurant, qu'un objet servant au plaisir des autres. Mon plaisir ne vient que de cet état, celui de soumis aux ordres de ces inconnus qui m’ont pris en mains.
L'homme insère bientôt un second doigt dans mon cul, suivis d'un troisième. Ça me fait mal car il ne me ménage pas. Je suce toujours la queue qui a maintenant une taille plus que correcte. J'aperçois du coin de l’œil Carole qui se caresse lentement et Alex, dont le caméscope ne perd pas une miette de mes ébats.
La queue de l'homme qui me force le cul depuis un moment se présente bientôt à ma porte secrète. Elle n'a aucun mal à trouver un chemin déjà bien ouvert par les doigts qui l'ont précédé. Les paroles de cet homme ont sur moi un effet étrange. J'ai comme l'impression de sortir de moi-même. Et d'ailleurs, mes souvenirs de la fin de cette séance sont plutôt flous pour moi. Je me rappelle que l'homme est sorti brutalement de mon cul pour venir se branler et jouir sur mon visage. Le second à pris sa place et à joui très vite en moi. Je sentais le sperme couler de mon anus lorsque d'autres hommes nous ont rejoint et m'ont tous utilisés. Je ne sais plus exactement combien ils étaient. J'étais dans un rêve ..

Chapitre X : Réveil.
Je me réveille. Ils m'ont fait boire. Beaucoup. Je ne sait plus trop comment je suis arrivé là. J'ai oublié. J'ouvre les yeux. Alors que j'essaie de me tourner, je me rends compte que je suis attaché, les bras en croix et les jambes écartées. Je suis nu, évidemment. Comme souvent depuis le début de ce week-end complètement fou, je n'ai pas le droit à la pudeur. Il faut toujours que je sois prêt à Les servir.
Dès qu'Ils en expriment le désir, je dois être prêt à leur procurer du plaisir. J'ai mal à la tête. J'ai bu. Je ne peut pas bouger, mes liens sont solidement fixés, comme toujours. J'entends des voix, plusieurs, dans la pièce à coté. Des rires aussi, féminins. Tout à coup, je réalise que je ne connais pas cette pièce, ni ce lit. La pièce est vide, ormis le lit auquel je suis attaché. Un rayon de soleil entre par la fenêtre. Il court sur le lit et finit sa course au bas de mon ventre, comme un doigt pointé sur mon sexe qui durcit. Habitude matinale qu'il à toujours eu. J'aime faire l'amour le matin. Ohhhh, ma tête ..
Tout à coup, la porte s'ouvre. Une femme entre, magnifique. J'aime les femmes, et j'adore encore plus leur donner du plaisir. Celle là est rousse, ses longs cheveux courent sur ses épaules. Ses yeux sont bleus. En me voyant, elle sourit. Je rougis, je ne la connaît pas.
- Mmmmmhhhh !!! Mais c'est mignon ce que je vois là ! Dit elle en s'approchant. Ses longues jambes sont chaussées de bottes en cuir. Elle porte un body, noir, en cuir. La vue de ses seins, de son corps si peu caché par ses vêtements contribue un peu plus à mon érection.
- Tu n'as pas honte. Bander de la sorte ...
Elle rit, moi pas ! Je rougis, comme je sais si bien le faire, même si ce n'est pas voulu.
Elle pose sa main sur mon sexe et commence un va et vient qui je sais va me faire vite jouir. Mon souffle s'accélère. Je ne peux pas bouger. Je suis à sa merci. Elle fera de moi ce qu'elle veut. Je suis à elle. C'est la première fois que je la vois et pourtant je suis à elle. Je suis sa chose.
- Sylvie, vient voir çà. Il démarre au quart de tour.
Cette fois ci, c'est une brune, les yeux verts, des cheveux courts qui entre dans la pièce. Elle est vétue d'une combinaison de latex, rouge. Je ne sait plus ou me mettre. Je ferme les yeux.
- Je crois qu'on va bien s'amuser aujourd'hui avec lui. On va faire un tas d'heureux !!! - Oui, quand je suis entrée, il bandait déjà ...
Mon souffle se fait de plus en plus saccadé. La rousse dont je ne connais toujours pas le nom enlève sa main. Elle approche la bouche de mon sexe, y dépose un baiser.
- Bon repose toi bien mon mignon ... tu va avoir besoin de toutes tes forces aujourd'hui. Ils seront nombreux à t'observer.
Une dernière caresse, la plus frustrante, et les deux créatures sont sorties. Je suis à nouveau seul, mon sexe plus dur que jamais.
Je ne sais toujours pas ou je suis, ni ce qui m'attends. Hier soir, j'éais chez Eux, Alex et Carole, après être revenu du bois ou une bonne dizaine d'homme m'a utilisé. Ma mémoire revient peu à peu. Je me rappelle que nous sommes rentrés. Je sais que j'ai du lécher leur sexe, l'un après l'autre. J'aime autant celui d'Alex que celui de Carole. Ensuite, alors que j'étais allongé sur la table basse, les mains attachées aux pieds de la table, Carole s'est assise sur mon visage. J'ai goûté son sexe, j'en ai bu le suc. La table était froide, son sexe chaud. J'ai lancé ma langue le plus loin possible dans son intimité. Je l'ai sentie jouir sur mon visage. Pendant ce temps Alex prenait des photos. Puis, Carole s'est levée. Elle s'est empalée sur mon sexe, me tournant le dos. Je voyais ses fesses rebondies, fermes, aller et venir sur moi. Elle a pris mes jambes, les a écartées. Alex s'est mis face à elle, puis, tout en l'embrassant, s'est mis à me pénétrer. Je me souvient que nous avons jouis ainsi, tous les trois. Mais eux ne s'occupaient pas de moi. Ils étaient enlacés, moi en elle et lui en moi. Puis je les ai servit, nu sous mon tablier. Ils m'ont fait boire ... et je me suis retrouvé là !
La rousse à parlé de nombreuses personnes qui seront là pour m'observer. Qui seront-ils ' encore des gens que je ne connais pas ' Certainement. Mais je sais une chose. Je ferais tout ce qu'il me demanderont, car je sais que le chatiment peut être parfois désagréable pour celui qui désobéi. Mais j'ai envie de déppasser mes limites, de faire des choses que je n'ai même pas imaginé. Je veux être un objet de plaisir.
Ca fait une bonne demie heure maintenant que je suis seul dans cette pièce, toujours attaché au lit. J'essaie d'imaginer ce qui va m'arriver. Mais je n'en ai aucune idée. Petit à petit, le doute s'insinue en moi. Doute qui peu à peu se transforme en peur. La porte s'ouvre enfin. Un homme entre, nu lui aussi. Non, pas complètement nu, il porte un collier auquel est attaché une corde. Cette corde, elle est tenue par la rousse de tout à l'heure. Dans l'autre main, elle tient ce qu'on pourrait appeler une cravache. Ils s'avancent tous les deux vers moi. Ils m'observent. La femme s'adresse à moi.
- On va voir si tu sauras t'en sortir aujourd'hui ... Toi Détaches lui les mains et mets toi en position.
L'homme s'approche de moi. Il détache ma main gauche, fait le tour du lit et libère la droite. Il m'aide à m’asseoir sur le lit, les jambes toujours écartées. Puis, sans un mot, il monte sur le lit, debout, et présente son sexe à ma bouche. Je regarde la femme, hésitant. Sans prévenir, elle me donne un coup de cravache. Je n'ose pas crier de peur d'en recevoir d'autres.
- Allez !!! Tu crois être là pour te reposer ' Suce le !
Doucement, je prends son sexe dans ma bouche. Je le suce, le lèche. Ma langue cours sur sa queue. Je prends ses couilles dans ma bouche pendant que je le branle lentement de la main gauche. Nous sommes observés par la femme rousse qui fait des commentaires sur ma façon de faire. Au bout de quelques instants, la brune, Sylvie, entre, au bras d'un homme. Tous les trois me regardent sucer cet inconnu. Je fait de mon mieux pour leur plaire. Cet homme, debout devant moi n'est là que pour le spectacle. Nous ne sommes pas là pour notre plaisir, mais pour le Leur. Même si lui ne tarde pas à jouir. Il se retire et joui sur mon visage. Je sens sa semence chaude couler sur ma joue, dans mon cou et sur mon corps. Au bout de quelques secondes, Sylvie prends la parole et s'adresse à celui qui vient de jouir sur moi.
- Bien, maintenant met lui ce collier et cette laisse.
Il s'exécute et m'attache une laisse, puis se retire. Je suis maintenant seul avec ces deux femmes et cet homme. Toujours attaché par les pieds, du sperme partout sur le corps et le visage. Je me rends compte de ma position. Je ne sais vraiment pas ou me mettre, d'autant que mon sexe est fièrement dressé depuis que j'ai sucé cet inconnu. Ils m'observent, sans dire un mot. L'homme sors de la pièce. Les deux femmes détachent mes pieds, un chacune. L'homme revient vite et jette sur le lit un body pour homme en latex noir et un manteau long.
- Habille toi.
C'est la première fois que je m'habille ainsi. J'ai l'impression que ce body ne cache rien, au contraire, il en montre plus que ma nudité habituelle. Il fait ressortir mon impudeur forcée. J'aime la sensation du latex sur mon corps. Cela se voit, Ils sont conscients que j'aime ça. L'homme me tends la veste, que je mets. Il attrape ma laisse et me tire brusquement. Je le suis. Nous sortons.
Dans la rue. Les gens m'observent, ils ne doivent pas souvent voir un homme ainsi tiré par une autre, au bout d'une laisse. J'ai honte. Il me jette à l'arrière d'une voiture, prends le volant. Je ne connais pas notre destination.
Que va-t-il m'arriver d'autre ' Jusqu'où va aller ma soumission ' Quelle vont être les limites de ce qui va m'arriver ' Je me doute que ce qui m'est arrivé n'est rien en comparaison de ce qui m'attends. Sur ces questions, l'homme dit quelque chose qui augmente un peu plus mon désarroi et ma peur.
- Tu vas voir, je suis sûr que tu vas aimer l'arène ....

L’apothéose à suivre...

Lundi de la Pâques

Une vieille histoire culte, d'un auteur inconnu, pour ce long week-end pascal..... Fin

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Quand tout ce dénoue.....
En bien ou en mal pour notre héros?

Week end de rêve
Episode Fin
 Chapitre XI : La Comtesse.
Au bout de quelques minutes de voiture dans Paris, nous arrivons. Je n'ai pas dit un mot de tout le voyage. Je n'ai pas envie de parler. Et de toute façon, on ne m'en a pas donné l'autorisation. La voiture entre dans une cour et une grande porte cochère se referme derrière nous. De nombreux véhicules de luxe sont présents dans la cour. L'homme coupe le moteur. J'attends. Deux femmes discutent non loin de la voiture. Elles ne semblent pas nous avoir remarqué. L'homme descend, leur parle quelques instants. Il revient vers moi, j’aperçois un sourire non dissimulé sur le visage des deux femmes. Il ouvre la porte et attrape ma laisse.
- Pose ta veste et Descend !
Obéissant aux ordres, je ne me retrouve vêtu que de mon body. Alors que je sors de la voiture, les yeux baissés pour ne pas avoir à supporter les yeux féminins posés sur moi, il s'adresse à elles.
- Je vous présente Julien, mais évidemment, ici, il portera le nom qu'il vous plaira.
- Bonjour.
- Bonjour. dis-je après une courte hésitation.
- Nous te trouverons un nom plus tard, pour l'instant Jean Paul va te présenter à la Comtesse.
Celui dont je viens d'entendre le nom pour la première fois tire sur ma laisse et m’entraîne à l'intérieur. Je sens le regard des deux femmes dans mon dos et sur mes fesses à peine cachées. Une fois de plus, je rougis. Je ne sais toujours pas ce qui m'attends. Que peut donc bien être cette arène ' Je sais un chose, c'est que j'ai envie que l'on m'utilise ... et j'ai le pressentiment que je vais être exaucé. Nous entrons par une haute porte vitrée dans une grande pièce qui n'est visiblement que le hall d'une grande maison de maître. Des gens vont et viennent, des verres à la main. Ils se dirigent quasiment tous vers les escaliers qui se trouvent au fond de la pièce. Apparemment, nous sommes au beau milieu d'une réception donnée par et pour le "Tout Paris". Tous m'observent, me détaillent. Jean Paul me laisse seul quelques instants le temps de saluer une personne qui semble être la maîtresse des lieux. J'ai l'impression que les femmes présentes ici ont été sélectionnées grâce à leur beauté. Elles sont toutes magnifiques, habillées en robe de soirée et parées de riches bijoux. Les hommes sont tous sans exception en costume.
Alors que je suis debout, au milieu de la pièce, attendant Jean Paul, un couple s'approche de moi. La femme, brune, les cheveux long tombant sur sa robe rouge caresse mon dos puis mon ventre à travers le latex de mon body.
- J'aime cette matière. Dit-elle. Elle fait ressortir les formes. Et les sensations de celui qui la porte sont multipliées.
En disant cela, sa main s'aventure plus bas dans mon dos, puis lentement passe sous mon cul, entre les jambes. L'homme, une coupe de champagne à la main, acquiesce en riant. Elle prend possession de mes couilles, les malaxe au travers du latex. Rapidement, mon sexe commence à durcir, je n'ose pas bouger. Il est vrai que le vêtement que je porte peut donner des envies. Et la mienne est bien visible maintenant. Bientôt, un serveur passe avec un plateau de petits fours. Le couple m'abandonne pour se servir puis se dirige vers l'escalier, comme tout le monde. C'est à ce moment que Jean Paul revient accompagné de la femme pour laquelle il m'a abandonné quelques instants auparavant. Blonde, ses cheveux longs sont attachés en un chignon. Sa robe en cuir laisse voir un merveilleux décolleté. Elle porte un très mignon tour de cou, en cuir lui aussi, auquel est attaché un pendentif en or. Ses avant bras sont gantés, ce qui renforce un peu plus sa féminité.
Jean se rend compte tout de suite de l'état dans lequel m'a laissé le couple.
- Mmmmhhhh ... Comtesse, regardez moi ça .... notre petit ami est pris d'une érection. Cela doit être dû à votre beauté.
Agissant en maîtresse de maison, et en maîtresse tout court, elle s'adresse à Jean Paul.
- Laissez moi régler cela je vous pris.
- Bien sûr.
Sans rien dire, elle me regarde quelques secondes, qui me paraissent une éternité. Puis, tout à coup, sans que je m'y attende, une gifle s'abat sur mon visage.
- Qui t'a ordonné de bander '
Après une seconde gifle, elle ordonne.
- Réponds !
- Personne.
Une troisième gifle.
- Personne Comtesse ! Et si tu reste ici, ça deviendra Personne Maîtresse !
- Bien Comtesse.
Sur ces mots, sa main se dirige vers mon sexe, le palpe à travers le latex, puis, écartant le body, le libère. Me voilà debout, au milieu du hall d'entrée d'une grande demeure parisienne. Un tas de gens m'observent et je leur montre mon sexe. Je rougis encore un peu plus, si toutefois c'est possible.
- A genoux !
- Bien Comtesse.
- Branle toi.
Lentement, ma main se dirige vers mon sexe et commence un mouvement de va et vient. Malgré la situation, je suis de plus en plus excité. Tout le monde me regarde, les gens se sont arrêtés dans les escaliers, font même demi-tour pour apprécier le spectacle que je leur offre. J'entends des murmures, je distingue même quelques mains qui s'aventurent sous quelques robes.
- Tu ne jouira que quand je te l'ordonnerai. Ici, c'est moi qui commande.
- Oui Comtesse.
- Regardez le bien, mes chers amis. C'est lui que vous allez retrouver dans l'arène aujourd'hui. J'espère qu'il vous plaira. Jean Paul, qui nous amène souvent nos meilleurs spécimens m'en a dit beaucoup de bien.
Elle tourne autour de moi, je suis humilié. Je ne suis plus qu'un objet, un robot. On ordonne et je m'exécute. Je sens le plaisir monter petit à petit. Mais je me retiens, ne voulant pas subir la foudre de cette comtesse inconnue. Alors qu'elle pose un doigt sur mon épaule et qu'elle le fait courir lentement dans mon cou, elle se penche et murmure à mon oreille.
- Maintenant, tu vas jouir pour moi. Parce que je te le demande et que tu ne sais pas faire autre chose que ce que l'on te demande de faire. Ici, tu vas devenir ce que tu n'oseras jamais être ailleurs. Nous allons amener notre plaisir à tous à un point extrême, et c'est toi qui seras l'objet de ce plaisir. L'arène est ce qui va t'arriver de pire, mais aussi de meilleur. Tu va perdre toute notion de temps, de dignité, de fierté et de pudeur. Mais tu va découvrir ce qu'est le vrai plaisir pour un homme tel que toi. Tu vas servir et donner du plaisir à tous ceux qui le désireront. Vas y maintenant, lâche toi ..
Ne pouvant me retenir plus longtemps, et surtout parce qu'elle me l'a demandé, je jouis, sans un mot. Je n'ose pas faire le moindre bruit. C'est tout juste si ma respiration s'est accélérée. Je sens le sperme couler de ma main, de petites tâches se sont formées sur le sol.
- Lèche !
Lentement, je porte ma main à ma bouche et la nettoie de mon liquide chaud. Ensuite, je me penche, et lèche tout le sperme qui se trouve sur le sol. Pour faire tout cela, il faut que je me surpasse. Ici, je ne suis plus moi même, je ne suis que celui que l'on me demande d'être. A partir de maintenant, mes limites ont disparues, elles sont devenues les limites de la Comtesse ...
- C'est bien, lève toi m'ordonne t-elle.
Alors que je m'exécute, elle attrape ma laisse et la tend à Jean Paul. Toutes les personnes qui sont restée assister à mon petit spectacle improvisé retournent dans les escalier pour se diriger au premier étage.
- Jean Paul, vous pouvez l'amener dans l'arène maintenant.
- Bien sûr Comtesse, avec plaisir.
Je suis Jean Paul, nous nous dirigeons vers une porte qui se trouve sous l'escalier. Jean Paul tends la main et ouvre la porte ...

Chapitre XII : L'arène.
Derrière la porte se trouve un petit couloir, long de deux mètres tout au plus se terminant par une autre porte. Sur le coté gauche se trouve un crochet auqeul Jean Paul attache ma laisse, après m'avoir détaché. Il me pousse devant lui, ouvre la seconde porte et me voilà dans ce qu'Ils appellent l'arène. C'est une pièce ronde, assez grande, elle doit faire une quinzaine de mètres de diamètre. Les murs sont recouverts de glaces qui doivent faire chacune deux mètres de large. Dans n'importe quel sens que je regarde, je vois mon image sur les murs. Il y a dans cette arène une lumière plutôt faible. Au dessus des glaces, à environ deux mètres du sol, de nombreux rideaux font le tour de la pièce. Au centre de la pièce se trouvent deux anneaux fixés au sol à environ cinquante centimètres d'intervalle. Jean Paul me guide jusqu'entre ces deux anneaux, puis se retourne et me laisse seul, sans me dire un mot. Il repart par la porte que nous avons empruntés pour entrer. Lorsqu'il la referme, je m'aperçoit qu'il n'y a pas de poignée de ce côté de la porte, donc aucun moyen de sortir d'ici.
J'entends des voix, nombreuses, des rires aussi. Tout à coup, les rideaux se trouvant au dessus des glaces se lèvent, mais très lentement. Les voix se taisent. J'ai les yeux baissés, mais je sais que les rideaux ont libéré la vue de tous les gens que j'ai vu plus tôt dans le hall. Tous les yeux sont posés sur moi. Je lève lentement la tête pour apercevoir qu'il y a trois rangées de spectateurs. Un spot s'allume, je me retrouve au centre d'un cercle de lumière. Comme un artiste arrivant sur scène, j'ai le trac. Mais à la différence d'un artiste, je ne sais pas en quoi va consister le spectacle, même si je ne doute pas d'en être l'acteur.
- Tournes-toi !
Cette voix, je la connais. C'est la voix de la Comtesse. Je me tourne et la cherche du regard, mais je suis ébloui par la lumière. Je suis face à la voix maintenant, mais je ne fait que distinguer la forme sensuelle autant qu'autoritaire de la Comtesse. Je suis dos à la porte par laquelle je suis entré.
- A genoux !
Alors que je m'exécute, j'entends la porte s'ourvrir derrière moi. Alors que je commence à tourner la tête pour voir qui entre dans l'arène, la Comtesse m'apostrophe :
- Qui t'a ordonné de tourner la tête ' Personne ! Tu ne bougeras que quand on te l'aura demandé.
Je sens des mains sur mes jambes, deux de chaque coté. On tire sur mes mollets pour les écarter de sorte qu'ils soient collés au deux anneaux fixés au sol. Puis mes genoux sont fixés au anneaux. J'ai les jambes écartées, je ne peux plus les refermer. Tous les regards sont posés sur moi. J'entends quelques murmures d'admiration, mais je n'ai pas la tête à remercier toutes ces personnes qui m'observent. On m'a souvent dit que j'était mignon, mais ici, j'ai trop peur de ce qui va m'arriver pour y penser. Tout au fond de moi, je sais qu'il ne me sera fait aucun mal irréversible. Mais je ne peux m’empêcher de penser que tout peut basculer d'un moment à l'autre. Mes mains sont attachées dans mon dos à l'aide de menottes en cuir. Les liens sont solides et très serrés. Je n'ai aucun espoir de pouvoir me libérer. Des menottes en cuir sont aussi fixées à mes chevilles auxquelles sont reliées les menottes que je porte au poignets. De cette manière, je suis obligé de me tenir droit, je ne peut pas me pencher en avant. Pour terminer, une cagoule en latex m'est passée sur la tête. Un seul orifice placé au niveau de la bouche me permet de respirer. Je suis dans l'obscurité maintenant. Les bruits se font sourds à travers la cagoule, mais je distingue tout de même la voix de la Comtesse lorsque les deux personnes se retirent.
- Te voilà prêt maintenant. Il me faut aussi te trouver un nom. Attends que je réfléchisse .... Oh, et puis non, tu m'a l'air tellement bien dans ta fonction d'esclave que tu n'as pas besoin de nom. Nous t’appellerons donc Esclave, tout simplement. Mais en tant qu'esclave, tu n'auras pas droit à la faiblesse. Tu devras obéir sans limites aux ordres qui te seront donnés. Il faut que tu sache que tout ce qui va t'arriver ici sera filmé, et chaque participant aura droit bien entendu à une copie de tes exploits.
Je suis dans le noir le plus total, de plus en plus affolé. J'aimerai fuir, mais je suis attaché. J'entends un murmure dans le public. Je sens des présences près de moi, nombreuses. Une main de femme me caresse à travers le body et une voix me murmure à l'oreille.
- Je suis ici pour te diriger. Tu es là pour donner. Et tu vas te donner ! Ton corps et ton esprit ne t'appartiennent plus. Si tu ne m'obéis pas, j'aurai quelques surprises pour toi dont voilà un minuscule aperçu.
Sur ce, je sens les lanières de ce qui est sans conteste un fouet. Elles glissent lentement sur mes épaules. Puis je sens un coup de fouet sur mes bras tendus, un autre sur les mollets au sol, ensuite sur les cuisses et pour finir sur le ventre. J'ai eu mal, mais cela reste supportable. J'essaie donc de bouger le moins possible, pour ne pas subir le fouet un peu plus.
- Tiens-toi droit!
Je tire sur mes bras pour me redresser le plus possible. Mes chevilles sont légèrement décollées du sol. Je sens deux jambes féminines qui se collent à mon corps, devant moi.
- Lèche, et appliques toi.
C'est avec plaisir que je me rends compte que le sexe que l'on me présente est épilé, complètement. Ma langue s'aventure dans les plis de cette chatte qui m'est offerte. Le femme lève une jambe pour laisser un peu plus de place à ma langue. Je m'insinue dans ce corps inconnu. je lèche ce clitoris, l'aspire, le prends délicatement entre mes dents. Je l'embrasse puis lance ma langue profondément à l'intérieur. Des doigts aident ma langue, mais je ne sais pas s'ils sont ceux de la propriétaire de cette chatte délicieuse ou ceux d'une autre inconnue. Je sens son plaisir me couler dans la gorge. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens les contractions typiques de l'orgasme agiter ce doux vagin. J'entends les cris de bonheur de celle que je suis en train de faire jouir. Je ne cesse pas pour autant de lécher le clito. Puis elle se retire. Mon sexe s'est dressé au travers de mon body depuis un moment déjà.
- C'est bien. Elle a bien joui. Passons à la suite. J'ai dans la main un scalpel, et je te conseille de ne surtout pas bouger.
Sur ces mots, je sens la lame sur mon épaule gauche. Lentement, elle découpe le haut de mon body. Je tremble, j'ai peur, je ne vois pas ce que l'on me fait. La bretelle gauche cède. Puis la droite, alors qu'une fine coupure fait couler une petite goutte de sang sur mon épaule. Le body ne tient plus que par les hanches. Mes pectoraux imberbes sont maintenant à la vue de tous.
- Tu as bougé, tant pis pour toi ... La prochaine fois, le scalpel ira peut être un peu plus profond si tu ne fais pas attention.
Une autre paire de jambe se colle à mon ventre. La main qui quelques secondes plus tôt tenait le scalpel me fourre un sexe masculin dans la bouche. Je suis obligé maintenant de sucer cet homme que je ne connais pas. Alors que je le prends dans ma bouche, je sens un liquide chaud jaillir sur mon torse. Un autre homme, qui se branlait près de moi, vient de jouir. Une main étale le sperme. Je suce cette bite du mieux que je peux. De temps en temps, un homme joui sur moi. J'ai le corps, le visage et le dos recouvert de sperme. L'homme ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Je sens un filet de sperme couler au coin de ma lèvre pendant que je continue de lécher le gland lentement.
- Je vois que tout cela te fait bander très fort, mais ne compte pas jouir. Ici, c'est le plaisir des autres que tu dois servir. Et cela ne fait que commencer ...

Chapitre XIII : Film.
Cela dure ainsi un long moment, certainement plus d'une heure, voire même deux ou trois. J'ai complètement perdu la notion du temps. Chaque queue qui joui dans ma bouche est remplacée par une chatte, et vice-versa. Je ne croyais pas pouvoir un jour atteindre un tel niveau d'avilité. J'ai peut être donné du plaisir à une vingtaine de personne, sans compter ceux et celles qui se sont masturbés autour de moi, et sur moi aussi. Mai certains d'entre eux ont du utiliser les services de ma bouche en plusieurs fois. Et pendant tout ce temps, la voix qui me parle a l'oreille n'a pas arrété de me parler, peut être pour me donner du courage, mais certainement aussi pour me montrer à quel point je suis devenu esclave de mes désirs et de leurs plaisirs à eux.
Enfin, tout cela s’arrête. Ma cagoule m'est retirée. Le spectacle qui s'offre à moi est étrange. Je peux me voir dans tous les miroirs autour de moi. Et je découvre enfin la personne qui m'a parlé depuis tout à l'heure. A mon grand bonheur, il s'agit de Carole. Je n'avais plus espoir de la voir ici. Je me doute qu'Alex est dans les tribunes. Peut-être à-t-il joui sur moi ou dans ma bouche tout à l'heure. Je ne le vois pas. Je penche la tête et observe tout ce sperme sur moi. Certaines coulées sont complètement sèches alors que d'autres sont encore tièdes. Carole se met face à moi et m'embrasse rapidement.
- Je vais finir de t'enlever ce body pour que tu puisses te laver correctement.
Elle attrape le scalpel et délicatement termine de le découper sur les côtés. Elle à apparemment l'habitude de manier cet outil ... Je m'en tire avec juste avec une légère égratignure. Cela me fait plaisir de voir que Carole prends soin de moi.
Mon regard se lève un peu. je regarde ces gens qui m'observent avec plus ou moins d'attention. Le spectacle est maintenant plus calme. Ils ont quasiment tous un verre à la main. Certains mangent, comme cette femme qui tient dans sa main une cuisse de poulet et la porte à sa bouche en regardant son voisin droit dans les yeux. Dans un autre endroit, cela n'aurait rien eu de particulier, mais ici, on se croirait vraiment au beau milieu d'une orgie romaine. La main de l'homme se pose sur un sein mais descend rapidement. Je ne peux plus voir cette main mais je ne dout à aucun instant de sa destination. La femme continue de manger comme si de rien n'était, un sourire animal posé sur ses lèvres.
Je me rends compte que je ne suis là que pour faire le spectacle. Je suis un film porno vivant.
Certains vont se branler au cinéma, d'autre viennent ici. La différence est qu'ici tout le monde ose dire pourquoi il est là. Et les gens n'ont pas peur de se mélanger. La première partie de mon spectacle terminée, certains discutent entre eux comme à l'entracte, d'autres se caressent, mais tout ceci se fait dans une atmosphère étrange. J'ai effectivement l'impression d'être dans un film, je ne suis en fait qu'un acteur, l'acteur d'un rôle que je n'aurai jamais cru jouer un jour. Mais je suis un peu fier de moi, de savoir qu'ici je peux faire tout ce qui m'est interdit, ou plutôt que je m'interdis ailleurs. Alors que je sui perdu dans mes pensées, Carole me rappelle à la dure réalité maintenant qu'elle vient de me dévêtir complètement.
- Tiens voici un gant et un bac d'eau. Lave toi bien.
Me voilà donc en train de m'ôter tout ce sperme qui souille mon corps. Cela prends un certain temps car tout est presque sec. Mais apparemment, les gens ne font plus trop attention à moi, hormis quelques regards en coin. Je m'applique à devenir le plus propre possible, n'économisant pas le savon et frottant énérgiquement. Je fais tout cela comme détaché, comme s'il m'était habituel de me laver ainsi, à l'aide d'un simple bac d'eau, devant une bonne cinquantaine de personnes. Pendant tout ce temps Carole reste dans l'arène et m'observe avec affection. Lorsque j'ai fini, elle vient vers moi et m'essuie lentement. Les gestes de Carole me font du bien. Elle me parle doucement à l'oreille pour me dire que j'ai fait d'énormes progrès, que je suis parfait et que je vais voir comment un garçon tel que moi peut tomber dans la débauche la plus totale.
- Et je suis certaines que si tu savais ce qui t'attends, tu t'effondrerais sur le champ.
- Pourquoi, qu'est-ce qui va m'arriver'
- Tu le saura bientôt, mais pour l'instant, je vais te laisser, tout le monde ici, et une personne en particulier, veulent savoir comment s'est passé ton week-end.
Sur ce, Carole se retire, me laissant une fois de plus seul avec mes doutes. Qui est cette personne qui veut savoir, plus que les autres, ce qui m'est arrivé pendant le week-end. Quelles surprises me réservent encore ceux qui ont pris en main mon destin. On amène bientôt deux téléviseurs à écran géant que l'on place au centre de l'arène, sans s'occuper de moi qui suis toujours là, seul, debout dans l'attente de la suite. Lorsque les écrans sont installés de façon à ce que tous les spectateurs puissent les voirs, la comtesse se léve et prend la parole.
- Esclave, tu as été parfait jusqu'ici dans l'arène. Nous allons maintenant voir quelles ont été tes aventures de ces deux derniers jours. Il faut que tu saches qu'une surprise t'attend à la fin de cette séance. Mets toi debout près des écrans, que tout le monde puisse voir quel est l'acteur de ces séquences qui ont été filmées par notre ami Alex.
C'était donc ça, tous les films pris par Alex depuis vendredi soir vont être diffusés maintenant dans l'arène. Je me vois, là, nu, debout, mon image renvoyées par les mirroirs entourant l'arène, attendant de voir mes ébats diffusés devant de nombreuses personnes. Tout à coup, la lumière baisse pour plonger la salle dans le noir, comme au cinéma. Un cinéma dont je vais être l'acteur. Mais autre chose me trouble plus encore. C'est la surprise qui m'attend, et qui est cette personne dont m'a parlé Carole tout à l'heure ...
Les écrans s'allument, l'image est renvoyé partout dans les miroirs de l'arène. Je reconnais tout de suite l'endroit, le magasin où j'ai acheté mon string vendredi à midi. J'apparait bientôt sur l'image. Rien ne va donc m'être épargné, je vais revivre ici toutes mes aventures. Je reste là, comme tétanisé, me regardant descendre aux enfers. D'abord le magasin, puis chez mes Nouveaux Maîtres. Même certaines séquence dont je n'ai jamais soupçonné qu'elles aient pu être filmées, comme mon déshabillage dans l'entrée ou le repas de vendredi soir à l'auberge. A la vue de ces images, je sens mon sexe se soulever lentement, au rythme de mes pulsations cardiaques, qui s'accélèrent de plus en plus. Lorsque la séquence, dans le bois, où j'ai prononcé le désir de me faire prendre arrive, je peux enfin compter le nombre d'hommes qui m'ont utilisé. Neuf ! J'ai été pris par neuf hommes, à la chaine. Moi à quatre pattes, souvent un sexe dans la bouche. Par deux fois, ils sont même venu jouir dans ma bouche. La fellation que j'ai prodigué ce matin à mon réveil termine la projection. Les lumières se rallument.
Je suis là, le sexe fièrement dressé maintenant, les gens applaudissent. Ce film a certainement duré plus de deux heures, deux heures ou je n'ai pas arrété de bander. Je ne sais pas quelle heure il peut être. J'ai perdu toute notion du temps. Mais après une courte réflexion, je me dis que lorsque je me suis réveillé, le soleil était déjà levé depuis un bon moment, il était peut-être dix heures. L'après-midi doit être bien entamé maintenant. Je n'ai rien mangé depuis hier soir.
Les téléviseurs sont sortis de la pièce. Mon sexe retrouve son état normal. C'est étrange, cette sensation de frustration, de ne pas jouir alors que je ne suis là que pour faire jouir les autres. Mais j'adore ça. La comtesse entre et vient me parler.
- Je crois que nous avons tous particulièrement apprécié ce spectacle. Toi aussi je pense. Tu as découvert de nombreuses sensations ce week-end. Tu en connaîtras d'autres avant la fin de cette journée, fais moi confiance. Mais en attendant, peut-être veux tu te reposer un peu, tu es debout depuis longtemps.
- Oui, merci, j'aimerai aller aux toilettes.
- Mais pas de problème.
J'aurai du me douter que cette proposition cachait quelque chose. J'aurai dû savoir que la Comtesse ne propose jamais aux esclaves un peu de répit. A la rigueur elle leur ordonne le répit ... J'ai encore décidément beaucoup de choses à apprendre.


Chapitre XIV : Surprise.
- Qu'on lui amène un pot de chambre !
- Quoi ' Ici ' mais ..
La gifle stoppe toutes mes protestations. Cela aussi j'aurai dû m'y attendre. Et j'aurai dû le savoir, on ne proteste jamais. Il va donc falloir que j'urine là, devant tout le monde. Je ne pourrai jamais le faire. Et pourtant, plus je me dis que je n'y ariverai pas, et plus l'envie de pisser est forte. Alors qu'un homme pose un pot de chambre en porcelaine à mes pieds, la Comtesse se met derrière moi et me caresse lentement les fesses.
- Allez, ne nous fait pas attendre.
- Mais, je ne peux pas ...
- Détends toi, ou dois-je te donner la féssée '
- Non Comtesse, j'essaie.
Effectivement j'essaie. Je me dis que de toute façon, les gens présents dans cette arène ont tous assisté à mes ébats de tout à l'heure ainsi qu'à la projection du film. Et comme je n'ai pas uriné depuis que je me suis levé ce matin (on ne m'en a pas laissé le temps). L'envie et la plus forte et un long jet d'urine sors bientôt de mon sexe. Je n'ai jamais eu aussi honte, même pas dans la boutique hier pendant l'essayage.
- Stop !
- Pardon '
- Arrête toi de pisser ! Tout de suite.
Il me faut faire un effort quasi surhumain pour m’arrêter. Mais au bout d'une seconde ou deux, mon jet d'urine se tarit. L'envie de pisser est encore plus forte. Quelle folie va-t-il encore m'arriver, pourquoi me faire pisser ainsi, devant tout le monde, pour ensuite me dire de m’arrêter ' Est-ce juste pour voir si j'en suis capable ' Je ne sais pas.
La comtesse me passe un bandeau sur les yeux. Je ne vois plus rien, je suis vraiment désorienté. Au bout de quelques secondes, un main se saisie de mon sexe du bout des doigts. La voix de la Comtesse m'ordonne de recommencer de pisser. Je me lache donc, le sexe dans cette main inconnue. Je suis tombé bien bas, une fois de plus, je me dis que je suis arrivé au bout, qu'il ne peut rien m'arriver de pire.
Et pourtant ...
Tout à coup, une main me retire le bandeau que j'ai sur les yeux.
Mon cour s’arrête à la seconde ou je découvre le visage de la personne qui me tient le sexe. Je n'arrive pas à y croire. Ma vie est terminée, je ne pourrait plus me regarder en face. Cette personne n'est autre que Soraya, ma copine, l'amour de ma vie. Elle me regarde en silence. Une larme coule lentement du coin de son œil droit. Je ne sais pas quoi dire. Ma tête explose de question. Comment a-t-elle su que j'étais ici ' Comment vais-je lui expliquer ' Va-t-elle toujours vouloir de moi après ça ' Et pourquoi n'a-t-elle rien fait pour arréter tout cela ' N'est-elle pas partie pour le week-end '
Alors que je tente de bredouiller son nom, elle murmure un "chut" amoureux et m'embrasse. Je tremble. Mon envie de pisser s'est évidemment arrétée. Elle me regarde comme si c'était la première fois qu'elle me voyait, et aussi la dernière. Elle me découvre. J'ai peur, je suis persuadé qu'elle ne va plus vouloir de moi.
- Je t'aime Julien.
- M... M... Moi aussi Soraya.
Voilà tout ce que je trouve à dire, "Moi aussi". C'est d'une platitude inégalable en un instant pareil.
- Je ne croyais pas que tu sois capable de tout ça.
- Mais ...
- Tais toi. Tu voulais connaître la soumission. Tu connais.
- Comment as-tu appris '
La discussion a duré ainsi quelques minutes, pendant lesquelles elle n'a pas laché mon sexe. Elle m'a tout raconté. Comment elle avait réagit la seule et unique fois ou je lui ai parlé de mes désirs de soumissions. Comment à force de réflexion, elle s'est rendu compte que c'était aussi ce qu'elle désirait. Comme je discute souvent sur Internet, elle s'est arrangé pour entrer en contact avec des gens qui pourraient me donner un premier aperçu de la soumission. Son choix s'est porté sur Carole et Alex. Elle leur a parlé de moi et ils se sont arrangés entre eux pour que je crois notre rencontre sur ce forum due au hasard. Et vendredi soir, c'est avec Soraya qu'Alex discutait sur le forum internet.
Et moi qui était certain avoir tout choisi. J'était persuadé de les avoir sélectionné. Mais non. Et a bien y réfléchir, ils sont les seuls que je n'avait pas rencontré sur un forum dédié au BDSM. Ils ont su faire venir la discussion la où ils voulaient qu'elle aille. Depuis le début je n'ai fait que suivre les désirs de Soraya. C'est tout elle ça ! Tout ou rien ! Faire de Julien un objet sexuel ' Qu'à cela ne tienne ! Un week-end chez Carole et Alex (qu'elle a rencontré de nombreuses fois) est la meilleure des façons de commencer.
C'est ce moment là que chosit la Comtesse pour intervenir.
- Julien, je pense que tu devrais t'agenouiller devant ta nouvelle maîtresse.
- Oui, mets toi à genoux devant moi.
Sans hésitation aucune, je m'agenouille et baisse la tête.
- Définitivement, j'aime te voir ainsi Julien. Le corps entièrement rasé est une chose que j'apprécie particulièrement. Il faudra que tu veilles à rester parfaitement imberbe dorénavant. Et je suis persuadé que Carole et Alex n'apprécieraient pas de te voir autrement
- Qu .. Quoi '
- Mais oui. Nous allons certainement les revoir souvent. Ce qu'ils ont fait de toi ce week-end m'a énormement plu. A partir d'aujourd'hui, tu seras mon plaisir, mais aussi le leur.
- .... Bien ....
- De toute façon tu n'a pas le choix, à compter de maintenant tu n'as plus aucun pouvoir sur moi. Je vais vivre comme je l'entends. Toi aussi d'ailleurs .... tu vivras comme je l'entends !
- Je ferais ce que tu voudras, je t'aime.
- Heureuse de te l'entendre dire.
Après quelques secondes ou son regard a été plongé dans le mien, elle s'assoit sur une chaise, amenée là comme par hasard au bon moment. J'ai honte, je suis là, aux pieds de celle que j'aime, et elle sait maintenant tout de ce que je croyais lui cacher. Pour me montrer que je suis devenu pour elle un objet de plaisir, elle saisit ma tête et la porte entre ses jambes après avoir relevé sa jupe.
- Lèche-moi, et Fais-moi jouir !
FIN

Histoire du net. Auteur inconnu... Transformation....

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Quelquefois une simple rencontre
décide de ton orientation sexuelle

La première fois d'une kahba
Cette histoire a débuté il y a maintenant trois ans. À cette époque, je venais d’avoir 18 ans, j'étais encore puceau et je me sentais attiré par les hommes. Très timide et du genre quelconque, je n'avais jamais osé franchir le pas.
Je mesurais dans les 1m75 et devais peser aux alentours de 80 à 85 kilos, donc comme vous le devinez, assez rondouillard, pour ne pas dire grassouillet. Le truc qui me faisait penser que j’étais attiré par les hommes était qu’à chaque fois que je me sentais maté par un mec, je ressentais des fourmillements dans le bas du ventre, mon souffle s’accélérait et mes jambes se ramollissaient.
La première fois que je me suis retrouvé avec lui, j’étais loin de m’imaginer la suite. À vrai dire, je ne sais même plus si j’étais capable d’imaginer quoi que ce soit.
C'était un dimanche en fin de matinée, de retour d’une ballade. Il y avait un parc immense pas très loin de la cité où habitaient mes parents et même si je n’étais pas du tout sportif, je me forçais à y aller marcher pour essayer de perdre mes rondeurs. Ce matin là donc, sur le chemin du retour, j’ai décidé de passer par une ZI désertée les week-ends.
En temps normal, une bonne partie de la zone était encore en activité mais il y avait aussi quelques usines désaffectées et en état de délabrement bien avancé. J’avais entendu parler de cet endroit comme un lieu peu fréquentable, avec ce que cela pouvait représenter pour moi à cette époque, surtout lorsque j’entendais parler de «beurs qui niquaient les jeunes PD français».
Ce matin là, l’endroit était désert et au bout d’une dizaine de minutes, je n’avais toujours croisé personne. J’avançais, scrutant à droite et à gauche, espérant apercevoir quelqu’un mais rien. Déçu, je m’apprêtais a faire demi tour lorsqu’une 504 bleu turquoise est apparue, roulant à faible allure.
Mon cœur se mit à battre très rapidement quand elle s’est retrouvée à ma hauteur et que j’ai pu en apercevoir le conducteur. C’était un homme d’origine maghrébine, qui devait avoir dans la quarantaine bien avancée, bedonnant. Il passa à côté de moi en ralentissant et en baissant sa vitre.
Je me suis senti devenir tout rouge et dans ma tête tout se bouscula. Je continuais d’avancer, tétanisé par la situation, comme si j’avais été pris en flagrant délit de quelque chose, sentant en même temps l’excitation monter. Une fois que la voiture m’eut dépassé, je l’entendis accélérer de nouveau puis freiner et repartir.
En jetant un œil rapidement derrière mois je compris que le conducteur venait de faire demi tour et qu’il revenait vers moi. Il recommença son manège arrivé à ma hauteur en ralentissant. En regardant alors dans sa direction je vis que la fenêtre côté passager était aussi ouverte. Il avait une moustache, portait une chemise et il avait effectivement de l’embonpoint.
Tétanisée et apeuré, je continuais mon chemin, marchant à côté de lui sans oser le regarder franchement, laissant mes pas me guider. À un moment, je tournais à droite sans réfléchir et sans savoir où j’allais. Mais je ne pus aller bien loin car je venais de m’engouffrer dans une espèce d’impasse. Au bout de la ruelle, je trouvais une sorte de terrain vague recouvert de ronciers et autres saloperies de mauvaises herbes dans lesquelles je n’avais pas envie de m’aventurer.
Je continuais malgré tout d’avancer, d’autant que la voiture venait de s’arrêter à l’entrée de l’impasse et que j’entendis une porte claquer. J’avais envie de me sauver mais pour ça, je devais faire demi tour et donc repasser obligatoirement devant le mec. Le bonhomme le savait car en me retournant, je vis qu'il s'était appuyé contre le mur par très loin de sa voiture et qu’il me matait. La peur au ventre, je regardai aux alentours pour voir où je pouvais aller. Je n’avais pas cinquante solutions; soit je rebroussais chemin, soit je décidais d’affronter les ronces.
C’est alors que j’ai vu au milieu des arbustes et ronciers l'entrée d'une bâtisse dont la porte était entrebâillée. Pensant qu’une autre issue me permettrait de m’esquiver (voir inconsciemment de me retrouver à l’abri des regards), je décidai de me diriger vers celle-ci.
Un regard vers le mec m’apprit qu’il était en train de se frotter la bite. Ses intentions étaient pour le moins les plus claires et n’avaient rien pour me rassurer, d’autant qu’il me montrait de manière très explicite la bosse qui déformait son pantalon de toile à la hauteur de sa bite. J’ai détourné la tête rapidement et j’ai sentis sous moi mes jambes se ramollir.
Je me suis dirigé vers la porte, sans même prêter attention aux griffures des ronces que je ressentais à travers mon survêt. Je ne savais plus où j’en étais et dans ma tête, mes sentiments étaient confus; une part de moi désirait aller plus loin et en goûter plus et l’autre me soufflait de me sauver au plus vite.
L'espace qui me séparait de cette porte me paraissait immense, d’autant que sans me retourner, aux bruits des feuillages écrasés et écartés, je devinais que l'homme me suivait. Il se rapprocha très vite et arrivé à ma hauteur, il me demanda dans un fort accent maghrébin:
- Hey ti vas où?
Sans répondre, j'ai lui jeté un regard, écarlate, tremblant de la tête aux pieds, dans un mélange de honte, de peur, de désir. Il se plaça face à la porte et regarda rapidement autour de nous avant de me pousser vers l’intérieur.
- Rentre, rentre vite!
L'endroit était plein de gravats, débris et de papiers en tout genre. Une fois à l'intérieur, je restais figé sur place, sans trop savoir quoi faire. Il commença à me peloter les fesses à travers mon survêtement, tirant sur le vêtement pour le faire descendre.
- Avance encore Karhba, là bas c’est mieux.
Complètement abasourdi, je me laissais guider, docile, vers l'endroit qu'il m’indiquait. Lorsque nous fumes dans l’impossibilité d’avancer plus, il défit sa braguette et sortit un sexe énorme. Je l’entendis me dire:
- Vas-y salope, suce mon zob, Karhba! Vas-y, suce salope de français!
Voyant que je ne bougeais pas, il m’attrapa par les cheveux et tira d’un coup sec pour m’obliger à me mettre à genoux devant lui. Tremblant, j'attrapais sa bite et à l'instant où mes doigts touchèrent son gland, j’ai ressenti comme une décharge électrique dans tout le corps. De sa main libre il défaisait sa ceinture et de l’autre il me tenait toujours par les cheveux.
- Vas-y, bouffe mon zeb grosse pute!
La ceinture défaite, il laissa glisser son pantalon sur ses mollets et descendit son slip. Sa bite m’apparut encore plus grosse et j’ai vraiment paniqué à cet instant. J’avais à peine posé son gland humide sur mes lèvres qu’il m’attrapa par la nuque et s’enfonça d’un coup. Surpris, j’ai écarté au maximum les lèvres pour faciliter le passage et j’ai failli vomir lorsque son gland a buté et s’est immobilisé au fond de ma gorge pendant un moment.
J’ai eu du mal à trouver ma respiration, entre deux mouvements pour me débattre, le nez coincé dans son pubis très poilu qui sentait l’urine, et ses grosses couilles qui venaient battre sur mon menton.
- Lèche ma bite pédé!
Sans me laisser de répit, ni même desserrer son étreinte, il me pilonna la bouche par des assauts rapides et sauvages. J’avais mal aux mâchoires et aux gencives tellement il y allait avec force, et j’essayais de ne pas perdre l’équilibre à chaque poussée, à genoux dans les gravas.
D’un coup il se retira de ma bouche et me releva brutalement. Il attrapa les élastiques de mon survêtement et de mon slip pour le faire descendre brutalement mes pieds, foutant mon cul blanc à l’air. Je ne m'en étais pas rendu compte mais j'avais une gaule d'enfer, et j’avais ma bite qui me faisait mal tellement j’étais excité.
- Enlève le maillot! Fous toi à poil!
Pendant que je lui obéissais comme un zombie, il me claqua les fesses, me les malaxait avec fureur. J’avais retiré mon maillot et je pensais qu'il allait s'arrêter là mais il me demanda de lever une jambe, il attrapa mon pantalon et il tira si fortement dessus qu'il fit valser une de mes baskets et une chaussette.
Il me plaqua ensuite contre le mur et s'appuya contre moi, plaquant sa bite contre mes fesses. La peur me faisait trembler de tout mon corps et je transpirais comme un porc. Je ne me voyais pas recevoir dans le cul ce truc énorme. J'ai voulu me dégager mais il me plaqua un peu plus fort contre le mur. Je sentais son souffle au chaud et rauque contre ma nuque.
Ses frottements allaient de plus en plus vite et fort heureusement pour moi je sentis rapidement un liquide chaud et gluant se répandre dans mon dos. Je me doutais qu'il venait de jouir. J’étais soulagé de ne pas être passé à la casserole.
Sauf que... Au moment où je me suis retourné pour me rhabiller, il me demanda de retirer mon slip complètement.
- Tu pensais que c’était fini ma pute hein! Nla! J’vais t’enquiller avec mon zob bien dur! Tu vas voir c’est quoi une bonne teub d’immigré dans ton gros cul crémeux!
Paniqué, à poil au milieu des gravats à le regarder se branler, je me passais dans la tête les pires des scénarios. Le temps me semblait arrêté pour toujours. Je sursautais lorsque je l'entendis de nouveau alors que son sexe était dressé de plus belle, gonflé à bloc et qu’il me retourna:
- Vas-y, donne ton ki, pédé.
Dans un dernier élan d’angoisse, je le suppliai de ne pas aller plus loin en lui disant que je j’avais jamais fait ça. Sa réponse fut sans appel:
- C’est pas grave, j’en ai rien à foutre bâtard! T’avais qu’à pas venir!
Il cracha alors dans sa main et lubrifia son pieu. Il me pencha devant lui avec force et plaça son gland à l'entrée de mon orifice. C’est d’un mouvement sec qu’il entra en moi.
La douleur fut tellement vive que j'ai poussé un cri, que j’ai perdu l'équilibre et je crois même aussi un instant avoir aussi perdu connaissance. Il me rattrapa de justesse tout en continuant de me niquer sauvagement, les mains sur les hanches pour m'attirer à lui violemment. J'avais tellement mal que j’en pleurais.
Insensible à ma douleur et mes plaintes, à croire que cela l’excitait d’ailleurs, il entrait et sortait entièrement sa bite pour mieux me fourrer le coup suivant. Pour ma part, je me souviens que je ne bandais plus et que ma petite bite oscillait entre mes jambes à chaque assaut.
Cela dura un bon moment, jusqu’à ce qu’il s’enfonce en moi dans un râle de fauve et que je sente sa queue gonfler encore plus, qu’il tressaute en me serrant la couenne, s’appuyant de tout son poids sur moi.
Il se retira comme il était entré, d’un coup, m’arrachant un autre cri de douleur. Je sentis alors un liquide chaud glisser le long de mes cuisses, pensant immédiatement que c’était du sang. C’était évidemment du sperme qui dégoulinait le long de mes jambes.
- Mler zamel, t’a un bon ki de femelle à niquer! L’autre dimanche tu reviens pareil ici pour que je baise encore! Si tu veux pas venir, je sais où ti habites dans la cité et je dirais à tout le monde comment ti fais avec les arabes dans la zone! C’est comme ti veux...
C’est sur ses mots qu’il s’est rhabillé après avoir essuyé sa bite avec mon maillot et me l’avoir jeté à la tête. Avant de partir définitivement il se plaça devant moi et dit:
- Ti cé, tu vas devoir obéir sinon je raconte tout! Ti es ma pute et je ti nique quand je veux!
Lorsqu’il fut parti, je retrouvai mes esprits et me rhabillais encore tout tremblant et en sueur. Dire que j’ai mal dormi les jours qui suivirent cette aventure n’est qu’un doux euphémisme... j’en faisais des cauchemars, voyant des bites énormes, ma propre queue tendue à faire très mal, jutant seul dans mes draps sans me toucher, plusieurs fois par nuit, me réveillant en sueur le matin dans des draps poisseux...
Au fils des jours qui passaient, j’avais bien du mal à me concentrer. Je ne savais pas si je retournerais dans la zone le dimanche suivant, qui approchait d’ailleurs à grands pas. Dès que j’y pensais, la gaule me reprenait malgré ce que j’avais subi. Le mercredi suivant la rencontre, j’avais encore mal au cul!
Dans la rue, dès que je croisais un arabe qui me regardait et qui me souriait, j’avais l’impression que celui-ci savait que je m’étais fait prendre. En fait, j’ai su par la suite que cela n’était pas entièrement faux pour certains d’entre eux...
Le dimanche arriva à vitesse grand V.
Pour cette deuxième fois que je le rencontrais, j’étais simplement habillé d’un short de foot noir en nylon, d’un slip et d’un t’shirt assez ample. Il faisait beau et la chaleur de l’été s’était installée et les chaussettes n’étaient même plus de mise dans les basquettes.
Lorsque je suis arrivé au rendez-vous, au même endroit que la fois précédente, le coin était aussi peu fréquenté et j’ai vite repéré la voiture garée à l’ombre sous un pont désaffecté. Il était assis derrière le volant, sa portière ouverte.
Dès qu’il m’aperçut, il sortit de la voiture, ferma la portière et vint se placer dos au mur sous l’arche du pont. Il me laissa arriver à sa hauteur et ouvrit sa braguette pour sortir sa teub déjà à moitié gonflée, le gland bien décalotté.
- Dépêche ma pute, j’attends depuis tout à l’heure! À genoux, vite, et ouvre bien la bouche pour sucer!
Je me suis agenouillé devant lui dans un mélange d’excitation et d’appréhension. En fait, d’un coté j’étais pressé de reprendre ce morceau de chair à pleine main et l’enfourner dans ma bouche et de l’autre, j’avais peur et redoutais ce qui pourrait arriver ensuite.
Son pieu gonfla très rapidement entre mes lèvres au fur et à mesure qu’il me pilonnait la bouche. Ses assauts sont vifs dès que mes lèvres se posent sur son gland déjà baveux, signe de son excitation. Je l’ai sucé pendant un bon moment alors qu’il surveillait la route qui passait juste devant nous, sortant de temps en temps sa bite enduite de salive pour me baffer avec sur tout le visage, puis la faisant pénétrer de nouveau au fond de ma gorge d’un coup puissant et viril.
En fait, ce n’est pas lui qui entrait mais plutôt ma tête qu’il attirait vers lui en me tirant par les cheveux ou par les oreilles. Je me retenais comme je pouvais, les mains en appui sur ses cuisses que je devinais massives à travers le pantalon de toile. Je ne sais pas si cela venait de la chaleur, de l’excitation ou d’autre chose mais je transpirais abondamment et sentais la sueur couler dans mon cou, le long de mon dos et de mon ventre.
- Oué vas-y, pompe Karhba! Avale bien!
Au moment où il disait cela, il m’avait coincé la tête bien appuyée contre son pubis, la teub enfoncée, le nez dans les plis de son pantalon et de sa chemise. J’avais du mal à respirer et je n’arrivais pas à me dégager tellement ma posture était indélicate.
Lorsqu’il me relâcha, j’en profitais pour respirer un grand coup, laissant dégouliner la salive des commissures de mes lèvres. Je retrouvais à peine mes esprits qu’il me redressa, me retourna et me fit prendre position, les mains à plats sur le capot de la voiture.
Il remonta vite fait mon t’shirt sur mes épaules et baissa d’un coup sec et maladroit mon short puis mon slip. Je me suis retrouvé le cul offert en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Je l’entendis défaire sa ceinture et baisser son pantalon puis, il m’écarta les fesses en s’y reprenant à plusieurs fois tellement j’étais glissant.
Je n’ai pas tardé à sentir son gland se placer sur ma rondelle et me pénétrer sans même un temps d’arrêt. Malgré la transpiration et la salive sur sa bite, je ne pus m’empêcher de pousser un cri de douleur quand il entra.
J’ai eu beau lui demander de faire doucement, il n’écouta pas et continua ses assauts, me perforant les intestins, me déchirant l’anus. La douleur de la semaine dernière fut ravivée rapidement.
En fait, comme j’avais le short au bas des pieds, je n’avais pas pu écarter les jambes et autant dire que je l’ai senti passer. Il m’encula comme un sauvage, ne s’arrêtant même pas lorsque son téléphone sonna, me coinçant contre le capot de la bagnole, s’affalant lourdement sur moi en m’écrasant de tout son poids.
Rapidement, il se raidit et chercha à s’enfoncer encore plus. Je devinais qu’il était en train de se vider dans mon cul, m’insultant entre deux halètements. Il se retira vite fait et rangea sa teub. Il sorti son téléphone et après quelques manipulations, le porta à son oreille pour sûrement écouter un message.
- Remets tes vêtements, faut aller quelque part.
Surpris et légèrement inquiet je l’ai regardé tout en remontant mon slip et mon short. Je n’osais rien demander, d’autant qu’il m’avait déjà ouvert la portière arrière pour que je monte.
Le trajet fut de courte durée car en fait il m’emmena juste de l’autre coté de la zone, pas très loin d’un parc de loisir. Je connaissais cet endroit et je savais que la jonction entre le parc et le no man’s land se faisait par un espèce de grillage complètement déchiqueté. Je savais aussi qu’il y avait dans le coin des endroits tranquilles mais je ne m’y étais jamais aventuré.
Lorsqu’il quitta la route pour emprunter un chemin envahi par les herbes, il se mit a rouler doucement, regardant à droite et à gauche, semblant chercher son chemin ou quelqu’un, voire les deux. À un moment, il tourna à gauche et se retrouva à l’abri d’un espèce de hangar désaffecté, sans toit.
Deux hommes attendaient, en train de discuter. Tous deux étaient maghrébins, d’une quarantaine d’années, l’un vêtu d’une djellaba blanche et l’autre d’un pantalon de toile et d’une chemise. À l’arrivée de la voiture, ils s’approchèrent et virent discuter avec le conducteur. Bien évidemment, je ne compris rien car ils parlèrent en arabe, jusqu’à ce que celui qui m’avait amené se tourne vers moi et me dise:
- Enlève ton maillot! Dépêche-toi!
- Devant les autres?
- Ta gueule! Fais ce que je te dis sinon ti vas avoir à faire à moi!
Devant le ton qu’il avait employé et la tête qu’il faisait, je décidai d’exécuter ses ordres. Je retirais mon t’shirt et le posai à coté de moi sur le siège. L’homme qui avait la djellaba avait fait le tour de la voiture pour venir s’appuyer et se pencher à mon carreau que le conducteur avait descendu. L’autre était resté appuyé côté conducteur. Ils échangèrent quelques mots, me scrutant avec des grands sourires.
- Maintenant mes amis veulent que ti descendes le short tout doucement!
- Mais...
Je n’ai pas eu le temps de finir qu’il m’attrapa par les cheveux et me tira à lui:
- Ti est juste une salope pour les arabes alors ti fais comme je ti dis!
Il me relâcha et encore sous le choc, je fis descendre doucement mon short devant eux, après avoir passé mes pouces sous l’élastique. Les mecs rigolaient à pleines dents, se caressant vulgairement le paquet. Je devais être rouge pivoine, honteux d’être exhibé de la sorte. D’autant que celui qui se trouvait à côté de moi s’était approché et me caressait vulgairement les seins, le ventre et l’intérieur des cuisses à pleine main. Déboussolé je me laissais faire, les écoutant parler entre eux.
- Enlève le short et les chaussures et jette sur le siège devant!
Alors que je me penchais en avant pour retirer mes chaussures, l’autre en profita pour passer une main dans mon dos pour la glisser sur mon côté gauche, saisir et pétrir mes bourrelets alors que de son autre main, il m’appuyait sur la tête. Quand il arrêta, je réussis à me rasseoir correctement et déposais mes vêtements avec le maillot sur le siège passager avant.
L’homme avait recommencé à me tripoter et me forçait à écarter les jambes. Il attrapa mon slip et ma bite par la même occasion pour tirer dessus, rigolant et parlant de plus en plus fort. À mesure qu’il tirait et que je tentais de me débattre, je sentais mon slip glisser entre mes fesses, comme l’aurait fait un string. Quand il arrêta, j’entendis l’ordre de finir de me déshabiller.
- Maintenant ti enlèves le slip, pidi!
J’ai attrapé l’élastique de mon slip pour le faire descendre, baissant les yeux pour ne pas croiser leurs regards. Le fait de les savoir en train de me matter me mettait vraiment très mal à l’aise, n’ayant jamais ressenti et vécu ce genre de situation.
Mon slip était à peine arrivé à mes pieds que celui qui m’avait amené (j’appris par la suite qu’il s’appelait Karim) l’attrapa et tira violemment dessus pour finir de me l’enlever, m’obligeant à relever les pattes, et le jeta avec mes autres vêtements. J’étais complètement nu sur la banquette de cuir à l’arrière de la voiture, carrément offert aux trois hommes.
- Allez bâtard, maintenant ti vas nous montrer ton gros cul tout blanc de français qui se fait niquer par les arabes! Fous-toi à quatre pattes sur le fauteuil et donne ton ki!
Alors que je me retournais pour me mettre dans la position demandée, je vis celui qui se trouvait jusqu’alors côté conducteur venir ouvrir la portière arrière pour se planter face à moi. D’un geste rapide, il défit sa ceinture, ouvrit sa braguette et descendit son pantalon à mi-cuisses, faisant apparaître un vieux caleçon en coton gris élimé, taché et déformé par une grosse bite déjà bien dure. D’une main, il remonta sa chemise sur son ventre poilu et de l’autre, il baissa son caleçon, faisant jaillir son pieu et sortir ses couilles. Je me suis retrouvé avec sous les yeux un gland épais violacé.
- Chouf karbha, c’est pour toi! Bouffe tout! Bouffe ma grosse teub!
Celui qui se trouvait derrière moi avait lui aussi ouvert la portière. Il prenait plaisir à s’occuper de mes fesses, les malaxant ou les claquant d’une main, tout en m’obligeant à écarter les jambes en passant son autre main entre celles-ci pour m’attraper la bite et tirer dessus, faisant bien coulisser son avant bras entre mes fesses.
Pour lui faciliter la tâche, Karim s’est penché par-dessus son siège pour attraper ma jambe droite et la soulever. Je me suis retrouvé dans la position d’un clébard qui pisse contre un arbre et j’avais du mal à conserver mon équilibre, tiraillé de partout. Celui qui était devant moi me tenait par la nuque et me baisait la bouche ardemment. Sa bite sentait l’urine et le rance mais ce qui m’effrayait le plus, c’était la grosseur. Il était tellement gonflé que je sentais les veines qui couraient tout le long de la hampe.
Tout ce que j’avais pu voir jusqu’à ce moment n’avait d’équivalent. Il faut dire aussi que je n’avais pas vu beaucoup de spécimens et que la comparaison avec ma bite était ridicule vue sa taille par rapport aux leurs. Et cela ne fit qu’accentuer mes craintes. Celui que j’avais dans la bouche se tendit soudainement:
- Putain je vais ti jouir dans ta bouche! Avale, avale tout pidi!
Je n’ai pas eu le temps d’essayer de me dégager qu’il se vida en de gros jets. Il y en avait tellement que je n’ai pas pu tout garder en bouche, obligé d’en avaler une partie, le restant dégoulinant de part et d’autre. Il continua de me pilonner la bouche encore un moment avant de se retirer et de se rhabiller aussi rapidement qu’il avait tout déballé.
L’autre est venu aussitôt prendre sa place en soulevant sa djellaba et je vis qu’il ne portait rien dessous. Il m’attrapa par la nuque et m’enfourna sa queue arquée, tendue elle aussi à craquer, entre les lèvres. Il fit quelques aller retour, faisant claquer ses grosses couilles bien pendantes sur mon menton, le souffle court. Il se retira juste au moment de jouir pour me balancer son foutre sur la gueule et dans les cheveux.
J’en avais déjà partout mais il continua de m’en badigeonner en essuyant son pieu sur mes joues et mon menton. Puis il laissa retomber sa djellaba et referma la portière. Il rejoignit les deux autres qui étaient en pleine discussion et j’aperçu quelques billets changer de main...
En remontant dans la voiture, Karim se retourna et me jeta mes habits:
- Mler pidi! Mes amis ont bien kiffé et veulent refaire vite fait avec toi! La prochaine fois, ti seras habillé comme une fimelle! Je vais prendre des affaires de ma cousine pour que ti sois comme ils veulent! Ti reviens à trois heures dans le parc pour le rendez-vous et ti mets pas de slip sous le short et pas de chaussettes aussi, comme ça fera plus vite pour te changer.
- Mais...
- Ta gueule sale pidi! Ti dis rien du tout et ti obéis! Ti as intérêt à venir sinon ti sais que je raconte tout et Mohamed (ndla: celui qui avait la djellaba) il sait aussi où ti habites! Ti dois me respecter et faire comme je ti dis sans rien dire, surtout devant les autres!
-Oui, répondis-je en terminant de m’habiller.
Je ne savais plus où j’en étais, cela allait très vite. En l’espace des deux rencontres, il avait pris le pas sur moi et me tenait. Je ne voyais pas trop quoi faire d’autre dans l’immédiat que de lui obéir sous peine d’être balancé avec ce que cela pourrait engendrer dans le quartier.
Je me suis essuyé comme j’ai pu le temps qu’il me ramène là où il m’avait retrouvé, essayant d’effacer les traces de ce qui venait de m’arriver. J’étais à peine descendu de la voiture qu’il partait sans me regarder.
Je rentrais chez mes parents vite fait, évitant soigneusement de regarder les gens que je croisais. J’avais l’impression que tout ce que je venais de faire était lisible sur mon front.
Durant le repas de ce midi là j’étais entièrement à côté de la plaque. Je répondais complètement de travers, voire pas du tout aux questions posées et je mangeais très peu. Pour éluder les questions et surtout les réponses quant à mon attitude, je prétextais que j’avais du mal à dormir en ce moment à cause de la chaleur et en profitais pour prévenir que j’irais au parc tout l’après-midi. Je finis de manger, débarrassais mon assiette et sortis rapidement de table avant d’avoir à répondre à d’autres questions.

Impossible de ne pas obéir.... A suivre 

Histoire du net. Auteur inconnu... Transformation.... Fin

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Quelquefois une simple rencontre
décide de ton orientation sexuelle
et certaines rencontres de ta soumission

La première fois d'une kahba
Fin
Arrivé dans ma chambre je me suis assis sur mon lit, complètement déboussolé. J’avais peur de retourner là-bas mais je ne voulais surtout pas que cela s’ébruite. Je ne savais pas jusqu’à quel point ils savaient où j’habitais et ce qu’ils pourraient raconter. Après un moment d’hésitation, je finis par me préparer en ôtant comme il me l’avait demandé mon slip et mes chaussettes...
Je quittai l’appartement de mes parents un quart d’heure avant le rendez-vous, juste vêtu d’une paire de vieilles basquettes, de mon short en nylon sans rien dessous et de mon maillot. Le fait de me retrouver dans cette tenue en pleine rue m’excita et je ne tardais pas à avoir la gaule.
Naturellement, dans le short ample, cela se voyait et je devais essayer de camoufler le tout sous mon maillot, du moins le temps d’arriver dans la zone moins fréquentée. J’y croisai deux ou trois hommes, immigrés, qui avaient un grand sourire aux lèvres en me regardant mais je ne m’arrêtais pas et continuai mon chemin, à leur regret je présume. Arrivé au lieu du rendez-vous, la voiture était déjà là. Il descendit, un sac plastique à la main.
- Mets-toi nu et après, ti mets tous les vêtements qu’il y a dedans!
Alors que je voulais monter dans la voiture pour me changer, il m’en empêcha:
- Non pas besoin, fais ça dehors! Vite!
Il sortit du sac une jupe courte et un espèce de chemisier en satin, avec une perruque et des escarpins à talons. Alors que je regardais bouche-bée tout l’attirail posé sur le capot de la voiture, il me tira de mon hébétude en attrapant mon short et le baissant:
- Magne-toi pidi! À poil et mets tout ça!
Je retirais mon short et enfilai la jupe qu’il me tendit. Évidemment, les vêtements étaient trop petit. J’ai eu du mal à fermer la jupe autour de ma taille. La peau blanche de mes grosses cuisses ressortait vulgairement par rapport à la couleur marron foncé de la jupe qui m’arrivait à mi-cuisses et j’avais l’impression que mon cul était à peine camouflé en dessous. Le chemisier lui me boudinait et faisait ressortir mes bourrelets et ma poitrine.
Je posais la perruque sur ma tête et enfilais les escarpins, qui fort heureusement étaient assez grands. Je n’étais plus moi-même et me sentais vraiment tout bizarre, pire qu’une pute. J’avais envie de m’enfuir en courant mais j’en étais incapable. Deux autres hommes étaient en train de regarder la scène, dont l’un avait carrément la bite à la main en train de se branler.
- Voilà! Comme ça c’est bien! Ti es devenue une vraie fimelle! Ti vas plaire à tous les arabes du coin ma salope! On va dans le parc...
- Hein? Où ça? Non, je peux pas aller comme ça, c’est pas possible!
- Bellah foumouk!? Tu obéis Karhba! Les zamels de français comme toi, c’est juste que des trous à bite pour les immigrés et ils disent rien! Avance et ti vas jusqu’aux terrains di foot. Moi ji reste derrière toi! Si ti déconnes, j’ti jure, je te chope, ti prends une raclée! Et si on ti demande comment ti t’appelles, tu dis Stéphanie! C’est bon?
Sans répondre - les larmes commençant à me monter aux yeux - je me mis à déambuler honteusement dans cette tenue au milieu de la zone pour aller jusqu’au grillage qui délimitait le contour du parc. J’avançais le plus vite qu’il m'était possible à cause des escarpins, manquant de me tordre les chevilles tous les deux pas, n’arrêtant pas de tirer sur la jupe qui remontait à chaque pas. Pour parvenir du côté des terrains de foot, une fois le grillage passé, je devais traverser une partie du parc mais heureusement, ce n’était pas où il y avait les activités de loisirs.
Je n’y ai croisé que des hommes seuls, semblant se promener tranquillement. Tous ne manquaient pas de me dévisager et de me scruter de la tête aux pieds, se retournant sur mon passage.
Arrivé aux abords des terrains de foot, je repérais Mohamed assis sur un banc, en pleine discussion avec un autre homme du même âge, la peau noire ébène. Tous les deux étaient habillés d’une djellaba avec des sandalettes aux pieds. Je passais devant en espérant que je ne serais pas reconnu mais je venais d’être rattrapé par Karim qui me prit par le bras et m’obligea à aller vers le banc.
- Wesh, comment ça va? Mes amis, je vous présente Stéphanie!
- T’es mignonne la fatima! répondit Mohamed. Approche ma belle!
Karim me poussa vers lui sans ménagement car je ne bougeais pas. Je manquais de tomber et c’est l’autre homme qui me rattrapa avec un grand sourire mettant en valeur ses dents en or. Il glissa direct une main sous la jupe et se mit à me caresser les fesses. Mohamed s’était levé et m’avait plaqué une main sur son sexe.
- Vas-y, touche mon zeb! Fé le bien durcir! Amuse-toi bien avec ma beauté! Vas-y, il est pour toi ma poupée.
Pétrifié, je le laissais guider ma main entre ses cuisses, frottant sa bite et ses couilles, sentant son pieu durcir à nouveau, cherchant Karim du regard. Dans le feu de l’action, l’autre s’était mis à me peloter gauchement les fesses, les cuisses, le ventre, m’attirant contre lui, jusqu’à me forcer à m’asseoir sur ses genoux, relevant la jupe bien haut.
J’ai de suite senti au travers de la toile de la djellaba un morceau de chair énorme gonfler entre ses jambes. Alors que Mohamed soulevait sa djellaba pour me plaquer la tête sur sa bite, le black déboutonna le chemisier comme un sauvage et me prit les seins à pleines mains, me les pétrissant comme un forcené, m’arrachant des grimaces de douleur.
La bite de Mohamed ne tarda à glisser entre mes lèvres, me ravivant le goût de sperme du matin. Coincé sous la toile qu’il avait redescendu, la perruque en vrac, j’avalais tant bien que mal sa teub, tentant de l’empêcher d’entrer trop profondément, en essayant de le repousser avec mes mains en appui sur son ventre. Le black avait lui aussi remonté sa djellaba en restant assis et à mesure qu’il me faisait sauter sur ses genoux, je sentais sa bite se rapprocher de mon trou.
À un moment, j’entendis Karim dire quelque chose en arabe et immédiatement les autres me lâchèrent, m’aidant à me redresser et à retrouver un semblant d’apparence. Je reboutonnais vite fait le chemisier en regardant autour de nous pour voir ce qui se passait.
En fait, il s’agissait simplement d’une mère de famille qui arrivait en poussant une poussette, accompagnée des deux autres gamins. Étant donné la distance, elle ne devait rien avoir vu. Karim me prit par le bras et m’indiqua un endroit au fond du parc, derrière les terrains de foot.
- Allez pétasse, on va là bas! On sera plus tranquille.
Effectivement de loin, l’endroit semblait déserté. À mesure que l’on approchait, le black me remettait la main au cul sous la jupe, me pinçant de temps à autre les fesses ou essayant de glisser un doigt entre elles, tout en discutant avec Mohamed.
Comme nous ne croisions personne, ils ne se gênaient pas dans leurs attouchements et ne faisaient rien non plus pour camoufler la gaule qu’ils avaient et que l’on devinait aisément sous leurs djellabas. Une fois les terrains de foot passés, nous avons bifurqué et emprunté un petit chemin façonné par quelques passages non réglementés, au fil du temps, qui permettait maintenant d’accéder derrière les buissons et bosquets pour être carrément à l’abri des regards.
En me retournant, je vis que Karim n’avait pas suivi. Je me suis donc retrouvé avec les deux autres qui se sont foutus carrément à poil, retirant en même temps leur djellaba.
C’est là que j’ai pu voir la queue immense du black; un gros boudin noir d’au moins 20cm de long avec un diamètre de 4 ou 5cm, le bout rose comme un gros champignon tendu vers le ciel. C’est le black qui m’attrapa et me plaqua dos contre lui, plaçant sa queue raide entre mes jambes.
Mohamed déboutonna et abaissa le chemisier sur mes bras, m’interdisant de la sorte pratiquement tout mouvement. Il se remit à me triturer la poitrine, me pinçant et tirant le bout des seins. Alors que je gesticulais pour essayer de me dégager, il m’attrapa par la nuque pour me forcer à me baisser devant lui, m’attirant de nouveau vers sa queue toujours autant gonflée.
C’est là que je remarquais qu’il avait la bite et les couilles rasées, ce qui faisait ressortir son paquet car il était plutôt très poilu de partout. Il me fit bouffer son zob sans ménagement alors que le black, après avoir craché dans sa main pour me lubrifier la rondelle, était en train de me rentrer deux doigts dans le cul.
Malgré la pénétration du matin par Karim, je le sentis passer, entrer et sortir, me fouillant les intestins. Heureusement qu’il crachait abondamment sur ses doigts car la bave facilitait le passage et évitait de me faire trop morfler. Par contre, voyant que cela coulissait pas trop mal, il en profita pour en rajouter un troisième. J’étais incapable de dire où j’avais le plus mal, entre les assauts de la bite de Mohamed entre mes lèvres et les gros doigts du black qui me pistonnaient de plus en plus vite.
Au moment où il retira ses doigts et tenta de m’enculer, malgré la préparation, je ne pus recevoir le gourdin, vraiment trop gros pour ma rondelle à peine dépucelée depuis une semaine.
À chaque fois qu’il poussait pour entrer, je gémissais et me tordais douleur en essayant de me dégager, essayant de le repousser avec mes mains, mais par la même occasion, je permettais à Mohamed de s’enfoncer bien profondément dans ma gorge.
Pris de panique, je me débattais autant que possible, essayant de repousser l’un et l’autre, gesticulant du cul pour éviter au black de rentrer mais rien n’y faisait, j’étais coincé entre eux et ils s’amusaient en me voyant agir de la sorte. Je pense même que je devais les exciter encore plus.
En fin de compte, le black abandonna, me lâcha après une claque énorme du plat de la main sur les côtes et c’est Mohamed qui vint se planter derrière moi. Je ne sais pas comment il se débrouilla mais lui me pénétra d'un coup sec, m’arrachant un cri de douleur.
J’avais tellement mal que je me suis mis à pleurer, serrant entre mes mains le tissu de la jupe. Du moment où son gland passa ma rosette, il me transperça jusqu’à la garde sans s’arrêter et resta un moment sans bouger, me tenant plaqué bien fort contre lui.
Le black s’était positionné devant moi et se branlait. Il ne tarda pas à se vider et m’aspergea le bas-ventre et les cuisses de grands jets de foutre épais, arrosant par la même occasion ma queue qui ballottait entre mes jambes.
Mohamed ondulait du bassin, m’enculant de plus en vite et de plus en plus profondément, venant faire claquer ses cuisses contre mes fesses à chaque assaut. Il se raidit soudainement et se vida en moi, poussant sur sa teub par petits coups secs et vifs.
Lorsqu’il ressortit de mon cul endolori pour se rhabiller, j’avais du mal à tenir debout tout seul. J’avais mal partout et ne savais plus où j’en étais. Le sperme dégoulinait de mon cul en feu et j’en avais plein les poils pubiens. Je rabaissais la jupe pour la remettre en place comme je pus et refermais le chemisier.
J’étais tout trempé d’un mélange de sueur et de foutre et les vêtements me collaient à la peau. Je récupérais la perruque qui était par terre. Quand nous sommes ressortis par le petit chemin, je vis Karim qui attendait assis contre un arbre. Il se leva à notre approche et échangea quelques mots avec les deux autres hommes. Ceux-ci avaient l’air ravi du moment qu’ils venaient de passer. Ils nous quittèrent rapidement, me laissant seul avec Karim.
- Alors conasse, comme ça ti as pas voulu que le noir il t’encule! Ti verras, un jour il va arriver à te niquer! Il va bien te défoncer ta chatte de fimelle en chaleur. Allez avance! On retourne à la voiture.
J’allais faire demi-tour pour reprendre en sens inverse le chemin par lequel nous étions arrivés mais il décida de passer autre part. En fait, il existait un endroit le long du parc où le grillage était percé, permettant le passage d’un homme. De l’autre côté, nous étions de nouveau dans le no man’s land, à l’abri des regards de monsieur tout le monde mais pas de ceux qui venaient rechercher de la viande fraîche.
Le coin grouillait de mecs à la recherche d’un bon coup. Très vite, un mec s’approcha de moi mais Karim lui fit comprendre que ce n’était pas la peine. Ils devaient se contenter de nous regarder passer, sachant que Karim avait relevé la jupe et la tenait bien haut, exhibant mon cul. J’ai avancé comme ça devant tout le monde, les yeux baissés, rouge de honte.
Arrivé à la voiture, j’ai enfilé mes vêtements vite fait, jetant le déguisement à même le sol du véhicule. Je n’avais qu’une hâte, c’est que Karim me relâche, afin d’aller prendre une douche pour tenter d’effacer tout ce que je venais de subir.
- Mler ma fimelle, tu as bien travaillé. Demain soir, tu vas prendre le métro et aller à la station Porte de la Chapelle pour m’attendre la-bas vers 5h. Ti feras comme aujourd’hui, ti viens juste habillé comme ça, c’est tout!
A ce que je venais d’entendre, je compris que je venais de me fourrer dans de sacrés draps….
Arrivé chez moi, je filais rapidement sous la douche pour me laver. Après m’être bien savonné et nettoyé les parties intimes, je me séchais tranquillement et enfilais un caleçon et un survêtement. La soirée se passa calmement et inutile de dire que j’avais la tête ailleurs en regardant la télévision.
Les douleurs au cul me remettaient en mémoire les assauts que j’avais subits dans l’après-midi et étrangement, j’en ressentais maintenant du plaisir. À mesure que je me repassais le film des événements, ma queue gonflait pour devenir bien dure.
Heureusement que j’étais seul dans le salon, mes parents étant en train de préparer leur départ en vacances, car cela me permettait de me trouver des positions pour camoufler mon érection, et par la même occasion, d’éviter d’avoir trop mal.
En repositionnant correctement ma bite, je m’aperçus à quel point j’étais excité en sentant la mouille sortie de mon prépuce. Pensant à ce qui allait m’arriver le lendemain soir, je n’osais pas me toucher de peur d’exploser.
Malgré mes précautions, cela ne manqua pourtant pas d’arriver quelques instants plus tard, sans même me toucher, simplement par le biais du frottement de la toile du caleçon sur mon gland que j’avais réussi à décalotter un peu. Je me suis vidé en éjaculant comme jamais cela ne m’était arrivé auparavant, prenant un plaisir intense, balançant la purée sans aucune retenue dans mon caleçon. J’étais bon pour en changer avant d’aller me coucher.
Le lendemain, je fus réveillé de bonne heure par le vacarme dû au départ des mes parents. Je savais qu’ils devaient partir tôt dans la matinée mais j’espérais pouvoir dormir tranquillement. Loupé. Je restais un moment sous le drap, attendant que le remue-ménage se calme, observant les rayons de lumière passer entre les volets mal fermés.
Comme tous les matins en cette période j’avais la bite bien tendue et bien dure. À vrai dire, je l’ai eu bandée pendant une bonne partie de la journée, celle-ci se redressant à chaque fois que je pensais à mon rendez-vous du soir. Cela m’était d’ailleurs facilité du fait que j’avais juste renfilé mon caleçon de la veille, après l’avoir décollé.
Je ne craignais pas de voir déboulé quelqu’un et du coup j’avais décidé de ne porter que cela, surtout que le temps tournait à l’orage. Il faisait une chaleur étouffante, et le ciel se chargeait à mesure que la journée passait. Il faut aussi avouer que je m’étais enduit le cul de crème pour apaiser la douleur.
Je me suis habillé juste avant de partir; j’enfilais un pantalon de survêtement en nylon sans rien dessous, un maillot assez grand et mes baskets. En montant dans le métro, j’avais la sensation d’être tout nu et évidemment je bandais. En cette période de congé, il y avait pas mal de monde et c’était aussi l’heure d’affluence avec la sortie du travail.
Sans être trop collé comme des sardines, il y avait quand même pas mal de gens debout. Je me suis frayé un passage pour aller au fond du wagon, le trajet étant sans changement pour moi. Je pouvais ainsi être plus tranquille pour camoufler mon érection. Fort heureusement, j’avais enfilé un maillot de basket trop grand pour moi et cela me permettait de rester discret.
J’avais juste peur que quelqu’un vienne s’appuyer contre moi et du coup sentir ma queue dressée. Les stations défilèrent à vitesse grand V et je faillis louper la mienne, tellement j’avais la tête dans les nuages. Je bousculais deux ou trois personnes pour sortir juste au moment où retentissait la sirène de fermeture.
Comme je ne savais pas sur quel quai je devais retrouver Karim, j’ai décidé de laisser les gens évacuer pour tenter de l’apercevoir d’un côté ou de l’autre des rails. Une fois la foule dispersée, je me suis mis à observer partout pour le trouver.
Il était de l’autre côté, dans la direction inverse de celle que je venais de prendre, ce qui semblait logique. J’empruntais rapidement un dédale de couloir et d’escalier pour aller à sa rencontre. À mon approche, il me fixa sévèrement et détourna les yeux. Je compris de suite qu’il voulait rester discret.
Il me lança deux trois regards et me fit comprendre de me placer devant lui, ce que je fis docilement. Le quai se remplissait petit à petit et à l’approche de la rame, je me suis rendu compte en me retournant qu’il était juste derrière moi. Alors que je m’écartais pour laisser sortir les gens, j’ai senti sa main se placer furtivement sur mon cul.
Le wagon s’étant bien vidé nous sommes monté. Lui s’installa sur un strapontin, assis non loin de moi tandis que je restais debout, me tenant à la barre verticale du milieu. Il resta assis pendant trois stations, me dévisageant de la tête aux pieds, se caressant furtivement les parties sans trop se cacher, un grand sourire aux lèvres et le regard complice lorsqu’il regardait un autre homme assis en face de lui, qui avait bien repéré le manège.
Pour ma part, je ne savais plus où regarder et mon rythme cardiaque commençait à bien accélérer. Karim avait les bras croisés et les mains posées sur son sexe. Je ne pouvais donc pas voir s’il était excité mais je l’imaginais sans difficulté, ce qui accentuait ma gêne.
Lorsqu’il se leva alors que nous arrivions à une station très fréquentée, il ne fit rien pour camoufler la grosse bosse qu’il avait au niveau du pubis. J’ai cru un moment qu’il allait rester à sa place mais alors que les portes se sont refermées, il laissa sa place à une dame âgée et se fraya un chemin entre les passagers pour venir se placer derrière moi, me coinçant entre la barre et lui. Tandis qu’il saisissait la barre de la main gauche, son autre se plaça le long de ma jambe à l’arrière.
Il s’était placé sur mon côté gauche, et je me suis retrouvé inévitablement avec le dos de ma main frottant contre sa bite, aidé des roulis du métro qui ont facilité les attouchements. Les caresses de ma main contre son pieu m’ont permis de vérifier que sa bite était gonflée.
Rouge pivoine je regardais furtivement le mec qui nous avait grillé auparavant et je vis qu’il continuait de ne pas en perdre une lampée. De là où il était, il ne pouvait cependant pas voir que Karim avait placé sa main sur mon cul et me pelotait les fesses.
À l’arrêt suivant, d’autres personnes sont montées, nous obligeant à nous décaler vers le fond du wagon, contre les portes. Dans le mouvement de foule, je me suis retrouvé pratiquement dos aux portes opposées à celles de l’entrée, Karim toujours positionné à côté de moi mais avec en plus le mateur qui s’était rapproché de nous! Je fus obligé de placer mes mains sur mon bas-ventre pour continuer de cacher et de protéger ma bite dressée.
À peine repartis, je sentis la main de Karim passer sous mon maillot et attraper l’élastique de mon pantalon de survêtement. Je fus pris de panique dès qu’il commença tirer dessus pour le faire descendre. J’attrapais instinctivement le devant du pantalon au niveau de ma bite pour empêcher la manœuvre et me reculais au maximum pour plaquer mes fesses contre la porte.
Ma réaction ne me sauva guère, bien au contraire. Comme Karim avait déjà bien tiré sur l’élastique, je ne fis que l’aider encore plus. Je me suis retrouvé les fesses entièrement dénudées, fort heureusement encore cachées par le maillot. Ne pouvant pas le descendre plus bas, Karim s’est rapproché au maximum de moi et a commencé à frotter sa bite contre mon côté gauche, faisant coulisser en même temps son pouce entre mes fesses, jouant toujours avec l’élastique du survêtement. Bloqué de la sorte, je ne pouvais que le laisser faire.
Le souffle court, des bouffées de chaleur au visage, je sentais sa main rugueuse sur ma peau remonter le long dans mon dos pour redescendre ensuite pour faire de nouveau glisser mon survêtement vers le bas, tout en accentuant ses caresses entre mes fesses.
Au bout d’un moment, sa main se stabilisa au niveau de mon cul et c’est au contact de ses doigts sur ma rondelle que j’ai été pris de tremblement et que j’ai attrapé la chair de poule. J’étais électrisé par son audace mais aussi par ma soumission à ce mec que je ne connaissais pas plus que cela. Jamais je n’aurais pensé en arriver là et ce n’était pas terminé! En effet, je le sentis me farfouiller les fesses, glissant ses doigts entre ma raie puis revenant vers mon trou et inversement.
Nouvelle station, nouvel arrêt. Malgré le mouvement des personnes autour de nous, il ne retira pas sa main, continuant son incursion comme si de rien n’était. Avant même que le métro ne redémarre, il entrait un doigt dans mon cul. Je sursautais de surprise, ne pensant pas qu’il aurait été jusque là. La crème que j’avais mis avant de partir lui avait grandement facilité le passage, à tel point qu’il m’en enfonça un second dans la foulée.
Il resta un instant sans bouger, les doigts bien enfoncés. En fait j’effectuais une partie du travail en tentant de garder mon équilibre, balancé par le roulis du wagon du métro, m’empalant pratiquement seul. De temps en temps, il remontait sa main d’un petit mouvement sec, entrant davantage ses doigts dans mon cul. J’avais de plus en plus de mal à respirer et ne savais plus où me mettre, ni où regarder. J’avais l’impression que tout le monde me regardait et savait ce qui se passait. Je n’entendais même plus le bruit du train, perdu dans une espèce de brouhaha cotonneux.
À la station suivante, je me suis retrouvé un peu plus comprimé, les portes du métro ayant même eu du mal à se fermer tellement le wagon était bondé à l’avant. Il profita de la situation et accentua ses assauts, me faisant bien sentir ses doigts qui entraient et sortaient de mes entrailles, glissant entre mes fesses et m’élargissant la rondelle à chaque passage.
J’ai été tiré de mon brouillard en entendant sa voix. Surpris, je me suis retourné vers lui mais ce n’était pas à moi qu’il parlait. Il était en pleine discussion avec un autre homme qui s’était retrouvé à notre hauteur, à côté de Karim. À mesure de la discussion, l’homme souriait et me regardait fixement d’un regard salace et sadique, montrant ses dents en or. En fait, quand je dis qu’il me fixait, son regard alternait entre mon visage et mes fesses. Je savais que Karim était en train de lui raconter ce qu’il me faisait.
L’homme profita de l’arrêt suivant pour remplacer la personne qu’il y avait devant alors qu’elle partait. Face à moi, il passa une main par dessus mon épaule droite pour prendre appui contre la porte. J’étais entièrement cerné, caché aux yeux des autres voyageurs par les deux hommes. Les yeux baissés, je vis le type descendre le zip de sa braguette. Il écarta les pans de son pantalon de toile et sortit sa queue.
Une fois celle-ci extirpée de son carcan, il la positionna sur mes mains qui n’avaient pas bougé et s’appuya bien contre moi. Le morceau était chaud et bien épais, circoncis et déjà à moitié gonflé de ce que j’avais pu en voir. Karim avait toujours ses doigts dans mon cul et s’amusait à les écarter.
Le mec ne tarda pas à bander complètement. De sa main libre, il m’obligea à écarter les miennes pour passer sa teub bien dure sous mon maillot, la plaquer contre mon ventre pour commencer à y frotter son gland. Son souffle s’accéléra à un moment donné et il se tendit, stoppant ses mouvements. Il était en train de me jouir dessus alors que le métro était passé en aérien.
Son sperme ne tarda pas à dégouliner sur mon ventre et alors qu’il rentrait sa bite encore gonflée dans son froc, mon maillot vint se coller à ma peau toute gluante, déclenchant l’apparition des belles taches. Le mec descendit à la station d’après sans même m’avoir regardé, échangeant juste quelques mots avec Karim.
Comme il ne restait plus qu’une station avant le terminus, le wagon s’était légèrement vidé. Afin de rester un minimum discret, Karim avait retiré ses doigts et s’était légèrement écarté de moi. Pour le coup, je me suis retourné complètement face aux portes pour essayer de voir les dégâts. Je me suis rendu compte que mon maillot était bien tâché et que j’allais avoir du mal à tout dissimuler en sortant du métro.
Heureusement que le sperme était sous le T’shirt, cela limitait la casse; mais par contre il avait aussi dégouliné sur mon survêtement mais ça, je ne m’en suis rendu compte que plus tard.
Je suis sorti du métro en laissant passer le maximum de gens devant moi, sans être pressé. Karim ne s’était même pas rendu compte que je n’avais pas suivi dans le flot des voyageurs. Je suis sorti une fois la place vidée, marchant le plus vite possible. C’est en sortant de la bouche de métro que je vis que Karim m’attendait. Je passais devant sans rien dire quand il m’emboîta le pas. Arrivé à ma hauteur il me dit:
- Ti vois le bâtiment, là-bas? Dès que ti arrives sous le porche, tu entres dans le local à droite et tu baisses ton froc, bâtard. Je viens te retrouver de suite.
Le bâtiment en question faisait partie d’une cité que je traversais régulièrement pour gagner du temps, plutôt que de la contourner. En passant sous le hall, j’ai vite remarqué le local poubelle non éclairé, ouvert à tout venant.
J’y suis entré en vitesse, profitant qu’il n’y avait personne aux alentours, rapidement rejoint par Karim. Tandis que je commençais à me dévêtir, il me poussa dans un recoin sombre du local, derrière une grosse poubelle.
- Magne toi de te foutre à poils pédé, j’ai trop envie de baiser ta chatte de fimelle!
J’avais à peine descendu mon pantalon qu’il releva mon maillot, m’attrapa par la taille et m’enfonça sa teub d’un coup sans aucune difficulté pour trouver l’entrée, me faisant serrer les poings pour supporter la douleur.
Il se vida dans mon cul après juste deux-trois aller et retours bien en profondeur, tellement j’imagine son degré d’excitation devait être important. Il se retira aussi vite et aussi brutalement qu’il était entré.
C’est en remontant mon pantalon pour me rhabiller que je sentis qu’il était tout poisseux et plein de sperme lui aussi...
Ce soir là, Karim me laissa en plan et partit sans rien dire.
Pas de suite.... Dommage

Saint Fidèle.

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Tous les 24 Avril, mon épouse 
fête dignement devant moi la Saint Fidèle



Faut pas parler aux messieurs qu'on connait pas....


UN W.E. de partage....

UN W.E. de partage.... Fin

Ciné-club

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Voici Giulia... Comment?.. 
Vous ne connaissez pas Giula..!?


Histoire du net. Auteur inconnu. Jasmin...

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Bientôt les vacances
Il y a des offres promotionnelles 
pour passer des vacances en Tunisie

VACANCES A DJERBA.
Episode 1 : L'arrivée...et les premiers émois en terre africaine.
Karim nous attendait, comme il l'avait promis dans notre correspondance, à l'aéroport de Djerba. Je ne l'avais vu que sur des photos où il était toujours représenté nu, en compagnie de jolies femmes qui honoraient sa virilité majestueuse. Il correspondait tout à fait à ce que je recherchais pour Maria et moi, un homme âgé d'une quarantaine d'années, élégant, souriant et bien doté par dame nature.
J'en avais parlé à ma femme en lui racontant que je l'avais connu dans l'un des nombreux séminaires où je me rendais dans toute l'Europe pour les besoins de mon travail. Elle ne m'avait posé pas trop de questions à ce sujet. Elle connaissait mes fantasmes érotiques et mon goût pour les jeux de l'amour libertins et sa présence dans le hall d'accueil ne la troubla en aucune mesure.
Dés que je le vis avec une petite pancarte où était inscrit mon prénom, je sus que nos vacances dans cette petite île tunisienne commençaient sous les meilleurs auspices. Il était tel que je l'imaginais. Il n'y avait eu aucune tromperie sur la ? marchandise ?. Son visage halé était surmonté par une belle chevelure poivre et sel. Il était grand, plus d'un mètre quatre vingt, et bien musclé. Quand il nous vit s'avancer vers lui, il agita ses mains pour nous signaler sa présence. Je le vis sourire de satisfaction. Il avait certainement reconnu Maria car je lui avais envoyé quelques photos de Madame ? comme nous l'appelions dans nos échanges de courriels.
Il me touchât la main pour me dire bonjour, embrassa ma femme avec un léger brin de sensualité, juste sur le coin des lèvres et bien entendu s'occupa de tout pour la récupération de nos bagages. Sur le parking, il se dirigeât vers une imposante Toyota blanche qu'il ouvrit avec sa clé automatique et laissa la porte avant ouverte pour que Maria s'y installe confortablement. Elle était ravi de ce geste et lui sourit avec beaucoup de grâce et de féminité. Malgré les heures de voyage et la fatigue qui en résultait, elle irradiait de beauté.
Sur la route ensoleillée qui nous menait à sa villa, Karim nous raconta un peu de l'histoire de son île natale. Il observait ouvertement Maria qui avait relevé ses jambes lui dévoilant ainsi le haut de ses cuisses bien fuselées. Il se retournât vers moi et me complimentât sur la beauté de ma « gazelle ».
Maria le regardât avec des yeux brillants et le remerciât pour le compliment. Je le remerciais également et posais mes mains dans l'échancrure du chemisier blanc de mon épouse en ouvrant un bouton pour dévoiler un peu la naissance de sa gorge profonde et chaude. Entre les deux seins une goutte de sueur coulait lentement et faisait briller sa peau. J'allais plus avant en passant mes mains sur ses tétons qui étaient déjà bien longs et bien durs. Maria a des tétons absolument obscènes qui peuvent atteindre prés de trois centimètres quand ils sont bien manoeuvrés aux plus chauds des ébats sexuels.
Comme pour accompagner mon geste, Karim posa sa main libre sur le haut des cuisses de Maria.
Nous étions arrivé depuis une petite demi-heure et déjà, elle se faisait caresser dans une voiture par un homme qu'elle venait juste de rencontrer dans le hall d'un aéroport du continent africain qu'elle découvrait pour la première fois. Elle écarta légèrement les jambes pour l'encourager à aller plus haut et se retourna pour me regarder avec son sourire le plus coquin :
- Mon chéri, je sens qu'on va bien s'amuser avec Karim ! Tu as vu, il a déjà les doigts sur mon clitoris ! C'est un beau salaud comme je les aime !
Elle se laissa glisser sur le fauteuil en cuir, renversa la tête dans un léger soupir et regarda l'homme qui la caressait :
- Continue...plus haut ...
De ma place, à l'arrière du véhicule, je ne perdais pas une miette de la progression de la main de Karim dans l'entrejambe de mon épouse. Mon sexe était dur et j'encourageais le tunisien :
- Allez Karim, fais ce qu'elle te demande...je t'avais prévenu que c'était une gourmande ! A peine arrivée, elle en veut tout de suite !
- Oui, oui... ta femme est toute trempée... son entrejambe suinte... je vais m'arrêter pour la lécher et me délecter de son nectar brûlant !
- Non...Ne t'arrête pas Karim... ne gare pas la bagnole... continu de me caresser comme tu le fais... c'est bon comme ça !
Maria écarta ses jambes au maximum de ses possibilités pour faciliter les attouchements de Karim et, surtout, pour bien me montrer comment elle se faisait toucher sans pudeur dans la circulation du petit village que nous étions en train de traverser.
Je ne savais pas si les passantes voilées et les passants pouvaient voir ce qui se passait à l'intérieur de la grosse voiture blanche qui les frôlait, avec une belle européenne qui se prélassait sur le confortable fauteuil à l'avant.
Notre hôte, tout en conduisant, accentuait ses caresses, pénétrait de ses doigts dans le sexe béant et dégoulinant de mon épouse qui haletait. Elle prit les mains de son pourvoyeur de plaisir et les léchât avec délectation en me regardant :
- Tu veux me goûter sur les doigts de ce salaud ?
Je pris avec frénésie l'index qu'elle me tendait et le léchât lentement.
- Tu es bonne, ma chérie, tu sens l'animal !
Karim retira ses doigts de ma bouche et continua de fouiller ma femme de plus en plus profondément.
Maria gémissait de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle atteigne son premier orgasme en terre tunisienne. A ce moment, au plus fort de ses halètements, je saisis son téton droit et le tirai avec force. Elle cria à ce contact et s'affala sur son siège, repue et épanouie.
Elle était belle, comme les lumières dans ses yeux qui me fixaient avec amour. Elle se retourna vers moi et m'embrassa en promenant sa langue sur les commissures de mes lèvres et en léchant tendrement le coin de mes yeux.
- Je t'aime. Plus je jouis avec d'autres hommes et plus je t'aime... Toi, mon époux ! Comment expliquer ce paradoxe ? Je ne dois pas être normalement constituée !
Dans les cinq minutes qui suivirent, alors que Maria était toujours à récupérer de sa jouissance, nous arrivâmes à la porte à deux battants d'une grande villa toute blanche.
- Bienvenue chez moi, nous dit Karim en actionnant le klaxon.
Un jeune vient nous ouvrir et nous pénétrons lentement sur un chemin de terre qui nous mène en face du perron de la maison.
- Voila, vous êtes chez vous ! nous précise notre hôte.
Il demande à un homme venu du fond du jardin pour nous accueillir de s'occuper de nos bagages et nous fait entrer dans une grande et haute pièce avec au fond un escalier de granit rose.
- Suivez-moi ! Nous demande-t-il.
Et, bien sur, nous le suivons. Tous les couloirs et toutes les pièces que nous traversons sont décorés avec goût et raffinement.
-Maintenant, je vais vous montrer votre chambre.
Il nous précède dans une très grande pièce avec, au centre de celle-ci, un lit monumental couvert d'un voile de satin pourpre en parfait accord avec les teintes miels des murs. Deux portes fenêtres laissent rentrer la lumière du soleil couchant, une gigantesque rose des sables est posé au creux d'une niche et deux grands miroirs se font face à la tête et au pied du lit.
- J'espère que votre nid d'amour vous agrée ? Il y a une grande salle de bain attenante avec tous les sels pour le bain et tous les savons pour le corps de ? madame ?. Je vais vous laisser seuls un instant, j'ai des petites choses à régler avec l'équipe d'entretien de la villa. Prenez tout votre temps pour vous installer et ensuite je vous attends sur la terrasse extérieure pour des rafraîchissements.

Episode 2 : Le restaurant...elle va oser !
Nous restons seuls dans cette grande chambre. Une fois l'enchantement passé, Maria me regarde en souriant :
- Ton ami est vraiment charmant et son hospitalité est digne d'un seigneur. Je suis très heureuse d'être là ! Tu as vu ce lit...un vrai lit à partouze ! Cela promet pour les nuits à venir ! Et s'il baise aussi bien qu'il caresse, je vais me régaler... et toi aussi ! Tu as bien maté comme il m'a fait jouir avec ses doigts ? Tu es un beau cochon... Et je t'aime. Allez aide moi à défaire les valises ! J'ai très envie de prendre un bon bain avant de m'habiller juste assez pour que vous me dénudiez rapidement !
- Bien sur j'ai vu et surtout entendu la puissance de ton orgasme. Tu n'as pas eu honte de jouir ainsi sous les attouchements d'un inconnu, dans une bagnole avec ton mari assis derrière ? Et ce lit... tout de suite, il te fait penser à une partouze ! Mais, ma chérie, c'est le programme que nous avons prévu pour toi ! Je vais te faire partouzer par tous les amis de Karim...et c'est sur ce lit, avec les deux miroirs que tu vas passer de délicieux moments ! Toutes les nuits si tu veux, tu auras droit à l'hommage de tunisiens qui ont déjà entendu parler de toi et qui se préparent à baiser une belle salope d'européenne. Ils vont payer pour ce plaisir ! Karim les a déjà prévenu que tu étais à vendre. Bien sur, tu seras l'unique vedette de ces soirées...et on pourra te photographier et même te filmer... si tu n'y vois pas d'inconvénients, tu mettras un masque pour cela. J'ai l'intention de t'exhiber sur le net pour tous les vicieux qui en feront la demande. Et je suis certain qu'ils seront très nombreux à vouloir te voir en action et se caresser en te regardant. Tu vas devenir une vedette des sites pornographiques.
- Alors, ils seront des milliers à me mater et à se faire durcir devant les photos et les films des dépravations que tu vas me faire subir ? Tu es un véritable amour, mon chéri ! Tu pourras me faire faire tout ce que tu voudras, toi, et tous les hommes que tu auras choisis pour moi ! Je serai une bonne pute ! Ils ne regretterons pas leur pognons tous ces cochons ! Je vais leur en donner pour leur argent...et toi, tu vas te régaler à me voir baiser avec tous ces vicieux ! Je sens que ce lit hors norme va vraiment assouvir tous mes désirs de luxure et que tu vas bien me dévergonder comme tu aimes le faire !
Sur ces prometteuses paroles, elle disparu dans la salle de bain et quelques secondes plus tard, j'entendis l'eau couler. Le soleil avait maintenant disparu derrière la palmeraie attenante à la villa et la première nuit tunisienne se profilait à l'horizon qui avait revêtu sa parure de feu.
Je rentrais à la suite de Maria dans la salle de bain pour, moi aussi, me purifier des fatigues du voyage. Je regardais le corps de ma femme flotter au milieu de la mousse des sels aux colories pastels qui avaient remplis l'immense baignoire.
- Je vais me faire la peau toute douce pour la soirée. Ce sera un grand plaisir que de sentir vos mains s'y promener dessus. Ne te lave pas trop, mais surtout ne mets pas de ces déodorants débiles qui empêchent ton odeur animal de se dégager de ton corps et de m'étourdir les sens ! Tu sais combien je suis sensible à ce genre de parfum naturel du mâle ! Tu me connais ! Ca me rend folle que de te lécher les dessous des aisselles !
Elle sortis ses mains d'en dessous la mousse et me caressa amoureusement la queue qui se mit à durcir instantanément. Elle en poussa un soupir de satisfaction et replongeât complètement dans la baignoire.
- Je ne vais pas de torturer maintenant ! J'ai toute la nuit pour çà !
Je ressortis le premier pour m'apercevoir que la nuit était déjà tombée. Le ciel était rempli d'étoiles et, pour un mois de novembre, il présageait d'une chaleur agréable. Je me rappelais qu'il faisait assez froid en Corse au moment où nous étions parti.
Je passais rapidement un pantalon de toile noire, léger et une chemise à manches longues de la même teinte, légère aussi. J'entendais Maria sortir de la baignoire en fredonnant un vieil air coquin de Barbara.
La porte s'ouvrit et elle passa juste la tête :
- Dépêche toi de rejoindre Karim au salon, je ne veux pas que tu me voies m'habiller ! Je veux te faire une surprise ! Tu vas être content ! Karim aussi je pense !
J'obéis à sa demande et allais rejoindre notre hôte sur la terrasse au bord d'une piscine aux dimensions olympique, toute éclairée de lumières bleues.
A mon arrivée Karim se leva et me servi une boisson fraîche sans alcool.
- Un bon jus d'orange de mon verger, me précisa-t-il. Je n'aime pas trop ingurgiter de l'alcool ! Ce n'est pas que je suive à la lettre les directives musulmanes, mais l'alcool est un mauvais compagnon pour l'homme quand il s'agit d'honorer la féminité... et je pense que ta femme mérite que nous ne nous mettions pas en mauvaise posture dans ce domaine. Tu as vraiment une épouse délicieuse et belle comme une nuit d'orage. Par contre j'ai préparé pour elle une douce liqueur de dattes de Tozeur. Pour les femmes c'est différent ! l'alcool libère leur libido, même, si je pense, elle n'ait pas besoin de cela pour être la tornade que j'imagine ! Les petits attouchements que je lui ai prodigués sur la route lui ont littéralement mis le feu aux tripes. Elle mouillait comme une fontaine ! Tu as aimé la voir ainsi avec moi ?
- Tu as été très bien ! Elle m'a d'ailleurs dit qu'elle avait pris un super pied ! Elle adore quand on la caresse tendrement ! Elle ne vas pas tarder à arriver ! Qu'as-tu prévu pour ce soir... Et pour la semaine ?
- Ce soir je vous amène dans un restaurant sur le vieux port. C'est un ami qui en ai le propriétaire. Je lui ai parlé de vous et d'elle en particulier. Il nous attend. Tu verras on vas très bien manger et ensuite on rentrera pour la baiser comme elle le mérite ! A moins que tu n'ais quelques idées perverses ! C'est quand même ton épouse et tu la connais mieux que quiconque !
- En effet j'aurais bien quelques petites idées pour pimenter le repas et bien débuter la soirée. Crois-tu que nous pourrions l'exhiber d'une manière feutrée dans un coin du restaurant ou dans les toilettes ? Je pense que dans la rue ce doit être impossible dans un pays musulman ! Je n'ai pas envie de finir au poste de police ! Toi non plus, j'imagine ! Mais si ton copain, le patron du restaurant veut voir son corps, ses seins et son cul... et même la toucher... et pourquoi pas en faire profiter les serveurs... Je pourrais demander à Maria de les exciter, de leur toucher la queue... et même de les sucer... dans un coin tranquille bien sur !
Karim fut assez abasourdi par l'audace de ma demande. Il prit un instant pour me reverser un second grand verre de jus d'orange et me répondit qu'il était impatient de se retrouver au restaurant et fasciné par la mise en scène que nous pourrions mettre en place.
- Je te propose qu'on garde ces bonnes résolutions pour le dessert. Pendant le repas, on sentira comment les choses peuvent se passer.... et on agira en conséquence ! Tu penses qu'elle peut être d'accord pour se livrer ainsi à tant de dépravations ?
Je lui répondis qu'il n'était pas au bout de ses surprises avec une femelle comme Maria...
La grande porte fenêtre qui donnait sur la terrasse grinçât sur ses gonds, ce qui nous fit tourner le regard...
Et Maria entra...
Nous ne vîmes tout d'abord que son ciré noir noué à la taille. Elle avait passé des escarpins noirs avec des lacets cloutés de strass qui lui enserraient les chevilles et des bas résilles noires à larges ouvertures.
Elle avançait lentement, sure de son effet. Devant nos regards admiratifs, elle défit la ceinture du ciré comme si elle devait commencer un effeuillage en règle et nous sommes restés cloués par son audace... mini jupe noire en cuir, pas de soutien-gorge sous un magnifique chemisier noir transparent qui laissait largement découvrir ses magnifiques seins et ses tétons dressés.
Elle y avait ajouté des gants qui arrivaient au dessus de son coude et une écharpe noire avec des filaments...le haut des ses bas noirs était agrémenté d'une large bande rouge et était maintenu par des portes jarretelles...une déesse de la luxure !
Karim lui flatta les hanches en une longue et langoureuse caresse et me regardât pour me faire comprendre que Maria avait mis le feu aux poudre. Sa tenue laissait toute liberté aux scénarios que nous avions projeté.
Elle nous sourit alors que notre hôte lui versait une bonne quantité de liqueur de dattes dans un petit verre.
- Alors, que pensez vous de ma tenue pour ce soir ? Remarquez que pour ne pas trop choquer, j'ai pris soin de cacher mon corps avec mon ciré de pluie. De plus il ne fait pas très chaud, et je le supporte aisément.
Je lui répondis qu'elle était très belle et parfaitement vêtue pour la nuit qui s'annonçait. Karim rajouta qu'elle était, ainsi, une véritable déesse de beauté et de provocation à peine atténuée. Elle semblait satisfaite de notre réponse et avala d'un trait le contenu du petit verre d'alcool.
- Mhuum ! Ce breuvage est vraiment délicieux, mais je le trouve quand même très fort! Vous voulez me saouler pour mieux abuser de moi ?
En souriant Karim lui en reversa un second verre, qu'elle dégusta lentement avec un sourire épanoui.
- Je meurs de faim !
Nous nous sommes levé, j'ais pris Maria par la main et nous avons suivi notre ami tunisien qui se dirigeait vers la grosse voiture blanche garée dans l'allée bordant la villa.
Durant le trajet nous nous aperçûmes que les petites ruelles du village étaient vivantes et grouillaient de vie avec les étals des commerçants qui attendaient encore d'éventuels clients.
A l'avant du véhicule, Karim avait posé sa main droite sur les cuisses gainées de mon épouse et je pouvais le voir la caresser du bout des doigts. Maria le regardait, me regardait et nous souriait. Comme lorsque nous venions de l'aéroport, il nous parlait en plaisantant de la vie nocturne à Djerba.
Maria lui posait des tas de questions sur la vie des femmes sur cette île, car on n'en voyait aucune dans les rues. Karim lui répondit qu'elles étaient déjà toutes à la maison en train de cuisiner pour leurs hommes. Les yeux de maria brillaient comme un coucher de soleil. L'ambiance était voluptueuse.
Karim rangeât la Toyota dans un emplacement près de l'eau qui somnolait avec en bruit de fond le grincement des petites barques qui se balançaient au grès des vaguelettes. Il ouvrit la portière de Maria, la prit par les hanches et nous précéda sur le chemin en escaliers pour atteindre la porte du restaurant.
Nous pénétrâmes dans une grande salle richement décorée de teintures, de divers objets représentant l'artisanat tunisien et plongée dans une lumière douce offerte par des bougies posées sur chacune des tables. Il restait quelques dîneurs répartis çà et là dans cette agréable pénombre.
Un homme petit, légèrement enveloppé, bien typé arabe maure vint vers nous pour nous souhaiter la bienvenue. Il embrassa Karim qui nous présenta Ahmed comme son ami et propriétaire de l'établissement. Celui-ci nous sourit en s'inclinant poliment. Je le vis regarder particulièrement Maria en la détaillant à travers le ciré noir qu'elle avait toujours sur ses épaules et jeter un clin d'oeil admiratif à son ami.
Il nous installa sur la terrasse à l'écart des autres convives. Rapidement un serveur vint nous porter la carte du menu. Lui aussi portât particulièrement son attention sur ma femme qui venait de déposer son ciré sur le dossier de sa chaise. Dans cette pénombre on distinguait très bien ses beaux seins en forme de poire et ses tétons durcis qui pointaient à travers son chemisier transparent.
Karim commanda pour nous trois des bricks au thon, une spécialité djerbienne et du poisson au four accompagné de légumes et de salade. Le tout se trouvait agrémenté par une bonne bouteille de vin du cru. Je remarquais que chaque fois qu'un plat arrivait le serveur était différent. C'est ainsi qu'en une heure, le temps que durât ce délicieux dîner, quatre jeunes serveurs tunisiens purent admirer les formes généreuses et pratiquement dénudées de mon épouse. Je le lui fit remarquer :
- Tu as vu comme tu impressionnes ces braves garçons ! Ils se relaient pour pouvoir reluquer ton décolleté plongeant. Tu ne penses pas que tu pourrais leur en montrer un peu plus ?
- Que veux-tu que je fasse ? Je ne peux quand même pas m'enlever le chemisier, ici, en plein restaurant ! Il y a quand même du monde !
- Peut-être pas ici, mais tu peux les attirer dans les toilettes et exhiber tes seins et même plus si tu le sens ! Je suis persuadé qu'ils apprécieraient énormément le spectacle de ton corps... Ils doivent bander comme des jeunes taureaux... je suis sur qu'ils en parlent entre eux...je suis sur que tu en a envie !
Karim rajouta en la tutoyant pour la première fois :
- J'ai senti pendant tout le repas que tu as besoin de sexe. Je vais les voir et leur demander de te suivre dans les toilettes...Allez lève toi et montre leur la belle salope que tu es !
- Oui, je vais y aller et leur montrer, à ces jeunes étalons, ce qu'est une belle femelle en demande de sexe !
A suivre .....










Histoire du net. Auteur inconnu. Jasmin... Fin

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VACANCES A DJERBA.
Fin
Chapitre 3 : Les toilettes du restaurant.
Sur ces paroles il se leva lentement, et se dirigeât vers l'aire d'accueil où se tenaient les quatre serveurs et le patron. Je le suivit du regard et le vit leur parler en la montrant du menton. Maria, elle aussi, suivait ce qui se passait entre les tunisiens. Elle me regarda avec du feu dans ses yeux. Elle semblait prête à nous donner satisfaction.
Voyant que les choses allaient se préciser, je fouillait dans les poches de mon veston et en sortit un masque noir que j'avais pris soin d'emporter avec moi. Je le lui donnais, comme un signal. Elle le prit et le posa sur la table.
Dès qu'il revint et sans lui donner le temps de dire quelque chose, elle se leva lentement, se débarrassa de l'écharpe qui enveloppait ses épaules, ramassa le masque et marchât, en ondulant des hanches, vers le fond de la salle où se trouvait les pièces d'eaux... lieux magiques de ses premières dépravations tunisiennes.
Aussitôt un des jeunes la suivit accompagné de Karim. Je laissait passer une petite minute et me dirigeais moi aussi vers les toilettes. Quand j'ouvris la porte des latrines, je vis maria, le masque noir posé sur son visage, appuyée contre le lavabo, la jupe relevée à la taille, les jambes bien écartées, délicatement fléchies, le chemisier complètement ouvert et ses seins bien tendus par le désir que lui procurait la situation.. Elle se caressait l'entre cuisses devant les deux hommes qui la regardaient.
- C'est bon, hein, de me mater quand je me fais chauffer en me frottant la chatte... vous aimez les belles salopes comme moi...je veux que vous sortiez vos queues...je veux vous voir bander pour moi ! Caressez vous ! J'adore voir les hommes se gâter en regardant ma toison qui scintille de mouille ! Allez regardez bien...je m'écarte...mon clito est bandé à mort pour vous...vous allez me le lécher et me le rougir à le faire exploser de plaisir...Je suis une grosse salope, une chienne bonne à baiser !
Karim et le jeune serveur avaient sorti leurs queues et je pus m'apercevoir que le jeune possédait un attribut plus que conséquent. Sa bite devait mesurer près de vingt cinq centimètres. Elle était lisse et parcourue sur toute la longueur de veines bleues gonflées par le désir. Maria le regardait avec délice en sortant la pointe de la langue et la promenant sur ses lèvres rouges écarlates.
En me voyant rentrer elle murmura :
- Chéri, c'est dépravant ce que tu me fais faire ! Mais c'est bon d'être ainsi honorée par ces hommes dans ce lieu public...J'aime çà...observe moi et régale toi !
Je vins me positionner derrière elle, toujours face au deux hommes, lui écarta complètement le chemisier en le faisant sortir de sa jupe et lui saisi les deux tétons avec le pouce et l'index pour les caresser et les faire durcir un peu plus. Je savais jusqu'où ils pouvaient s'allonger. Je l'exhibais comme jamais je ne l'avais fait et comme toujours j'en avais rêvé. Je m'adressais à Mourad, c'était le prénom du jeune serveur :
- Approche toi et vient lui lécher un sein...et toi Karim, l'autre sein est pour toi !
Ils s'approchèrent ensemble et chacun titilla le téton qui lui était destiné. De mon coté, j'avais saisi les lèvres du sexe de Maria et les lui écartais en caressant l'entrée de sa vulve et son clitoris.
Trois homme étaient en train de s'occuper activement de mon épouse qui gémissait de plus en plus et se tordait comme un serpent dans un dédale ; Karim, en lui mordillant la pointe d'un sein, avait lui aussi écarté le string de Maria et avait carrément enfoncé un doigt au plus profond de son intimité.
Je le rejoignis. Maria avait maintenant deux doigts d'hommes différents qui la fouillaient et la faisait geindre de plaisir. Je sentis soudain un autre doigt à travers la fine membrane du vagin. C'était Mourad qui la dominait en lui explorant le doux conduit de son anus.
Trois doigts, trois hommes... ma femme était comblée et ses halètements s'étaient transformés en petits cris qui jaillissaient de son ventre chaud comme de la braise en fusion. Maria eu un premier orgasme qui la laissât pantelante comme une marionnette entre nos bras. Ses jambes la lâchaient. Je la retins et la remis d'aplomb. Elle m'embrassa fougueusement en me suçant la langue comme elle aurait avalé une bite.
Elle s'adressa aux deux hommes :
- J'en peux plus... j'en veux encore plus … je veux vos queues en moi... prenez moi...maintenant !
Ce fut Karim qui la retournât face à moi et lui écartât un peu plus les jambes
- Accroche toi à ton mari... je ne vais pas te baiser la chatte maintenant... je vais te prendre le cul debout comme une jument... cambre toi et écarte bien les fesses... Tu es une vraie chienne lubrique !
Karim approchât son sexe de l'entrée de l'étroit fourreau du cul de ma femme. Il était un peu moins long que celui de Mourad, mais beaucoup plus épais, presque aussi large qu'une canette de bière. Il s'humectât le gland, crachat sur le trou de Maria et s'enfonça lentement. Sous la poussée de l'engin, Maria se cambrait et respirait fortement. Il arrêta une seconde sa pénétration...
- Allez salope...viens vers moi...enfonce toi mon gourdin !
- Ah ! Oui... je le veux tout entier en moi... encule moi salop... encule moi profond... j'aime çà... oui... je suis ta chienne !
Karim la besognait férocement en alternant les coups lents et les coups où il rentrait complètement sa barre d'ébène. Maria était comme folle. Sa tête allait dans tous les sens. Elle couinait comme une truie :
- Oh ! putain qu'est ce qu'il me met ton copain mon chéri... Il m'encule à fond... a fond ! je jouis par le cul ! Je vais m'évanouir !
Pendant ce temps, Mourad admirait cette somptueuse femelle en train de se faire trouer le cul devant son mari dans les toilettes publiques du restaurant où il travaillait. Son sexe était devenu pourpre et long, très long même !
Je me détachait de ma femme et pris le jeune par le bras pour qu'il prenne ma place face à elle. Maria posa ses bras sur ses épaules et commença à lui lécher et à lui mordre le bout de ses seins. Elle était face à lui. Derrière elle, le pantalon descendu sur les chevilles, Karim continuait de la sublimer comme un forcené.
Il lui prit la tête et la pencha pour que sa bouche se retrouve à la hauteur du magnifique sexe de Mourad. Maria comprit tout de suite. Elle emboucha le jeune serveur et l'avala presque en entier. Elle passa sa langue de feu sur toute la longueur de la hampe pour finir en apothéose par lui mordiller le gland.
Mourad ne résista pas longtemps à ce traitement de haute faveur qu'il n'avait jamais connu. Il lâcha tout son sperme sur le visage masqué de mon épouse en proférant en arabe des insultes que je ne compris pas.
Presque aussitôt Karim sortit son engin du cul de Maria laissant entrevoir une dilatation de l'orifice qui avoisinait le diamètre d'un verre de thé. C'était un spectacle surréaliste ! Il la força à se mettre à genoux et lui baisa la bouche en ahanant avant de se tordre de jouissance et de lâcher tout son jus dans sa gorge :
- Avale...avale tout ma belle salope !
- Oui...oui...donne...donne moi tout de toi, salaud ! Je veux tout...je veux t'avaler ! C'est bon...c'est bon !
Maria avait la bouche grande ouverte et je la voyais déglutir pour boire toute la jouissance de Karim. Je me penchais vers elle et l'embrassa en mettant ma langue au plus profond d'elle. Le sperme de Karim me coulait sur les lèvres. Il avait un goût salé de nectar divin.
Les deux hommes se recouvrir et sortirent ensemble des toilettes. Je restais avec ma femme. Je la relevais et l'aidais à remettre en place ses vêtements.
- Alors, ma chérie, çà t'as plu ? Tu en as eu assez ? Comme tu voulais ?
- Oh oui ! C'était dépravant à souhait, surtout dans ce lieu... et avec deux hommes... devant toi ! Mais je suis prête à recommencer ! tu me connais... je suis infatigable dans ce domaine ! Mais la nuit n'est pas finie ! N'est ce pas ? Elle ne fait que commencer ! Et toi, çà t'as plu ?
- Beaucoup ! J'aime te voir prendre du plaisir ainsi et avec d'autres hommes que moi ! Tu as raison, la nuit ne fait que commencer et nous te réservons, avec Karim d'autres réjouissance que tu apprécieras certainement en belle vorace de sexe que tu es. Tu es très belle après que tu ais joui ! Je t'adore, ma belle dépravée ! Bon ! Je crois qu'il est temps que nous allions finir notre dîner ! Tu n'as pas faim après ces petites frasques ?
- Très faim ! De tout ! Et très soif aussi !
Nous sortîmes ensemble des toilettes. La salle était maintenant vide. A part, bien sur, la table que nous occupions et où Karim était en train de discuter en arabe avec son ami, le propriétaire des lieux.
Celui-ci se leva à notre arrivée et tira la chaise de Maria, pour que celle-ci puisse s'y asseoir. Il la félicita pour sa beauté et s'inclina élégamment avant de se retirer. Karim le laissa s'éloigner et s'adressa à mon épouse :
- Mon ami a été très impressionné par ton audace de te livrer ainsi dans les toilettes. C'est la première fois qu'une telle chose arrive dans son restaurant. Il a donné la consigne à son équipe de n'en point parler pour protéger sa réputation. Tu sais qu il te trouve délicieuse. Il a demandé à mieux te connaître... Tu vois ce que je veux dire. J'ai pris la liberté de l'inviter à venir un peu plus tard boire un petit digestif à la villa. Il est à peine minuit et la nuit s'ouvre devant nous... devant toi belle gazelle.
- Tu as bien fait ! Il a l'air très raffiné et j'ai très envie de continuer cette nuit comme je l'ai commencé... avec trois hommes pour moi toute seule. Pour le moment verse moi un bon verre de ce vin et commande le dessert. J'ai toujours très faim quand je viens de baiser et de jouir comme une folle ! Tu as été merveilleux mon cher ami... n'est ce pas mon chéri qu'il a été à la hauteur ?
- Oh oui ! Et j'espère qu'il va continuer ! J'en suis sur même !
Nous finîmes le repas en plaisantant sur les rumeurs qui allaient circuler entre les jeunes serveurs sur la présence et la sexualité de la française. Karim nous a quand même confirmé que ce qui s'était passé dans les toilettes avec le jeune tunisien demeurerait secret... du moins jusqu'à notre départ !
Maria avait l'air satisfaite d'avoir acquis, dès sa première sortie à Djerba, le statut de ? belle salope ? ! Elle riait de bon coeur en buvant les verres de vin que nous lui servions et sa joie me faisait plaisir à voir.
Quand Karim demanda la note, un jeune serveur nous amena une petite boite où se trouvait une rose rouge avec un mot du propriétaire nous informant que les repas nous étaient offerts. Maria prit la fleur et la glissa dans l'échancrure de son chemisier.
Nous sortîmes sous les regards envieux du personnel toujours présent. Juste avant de franchir la porte, Maria se retourna pour sourire au chanceux qui avait eu l'honneur de la voir s'exhiber et qui avait joui sur son visage.
Tous les serveurs s'inclinèrent poliment et le propriétaire nous accompagnât jusqu'à la voiture garée sur le parking. Il ouvrit la porte avant à mon épouse et lui caressa discrètement les fesses alors qu'elle s'installait confortablement. Maria lui sourit et remonta sa mini jupe jusqu'à la lisière des ses bas résilles, écarta ses jambes, enleva son string pour lui permettre d'admirer sa chatte divinement épilée et le lui donna.
- A tout à l'heure ! Lui dit-elle.
Ahmed porta la petite culotte à son nez, la respira voluptueusement et la mis dans une poche de son veston.
- A tout de suite ! Lui répondit-il. Je ferme mon établissement et je vous rejoins chez Karim.
Le trajet du retour fut court. Maria était radieuse et de temps en temps excitait notre hôte en lui effleurant délicatement la bosse de son pantalon. Elle poussait des petits soupirs de satisfaction en constatant l'effet que ses attouchements produisaient. En effet, je pouvais voir, de ma place à l'arrière, que la proéminence à l'entre jambes de Karim était de belle facture.
- Regarde comme il bande pour moi ! Il a une superbe queue ! Je l'adore !
Et disant cela, elle défit la ceinture et abaissa la braguette pour sortir un membre bandé bien épais qu'elle saisit et secoua voluptueusement. L'homme se trémoussait mais ne quittait pas la route des yeux.

Elle n'alla pas plus loin. Elle le réservait certainement pour la suite.
Une fois arrivés, Karim alerta son domestique pour qu'il prépare le grand salon sur la terrasse et apporte tous les alcools et le grand narguilé. Il fit également installer un grand divan large et profond recouvert d'un tissu chatoyant d'un rouge vif.
Maria nous fit savoir qu'elle voulait prendre une petite douche et se refaire une beauté pour le reste de la nuit. Elle nous quitta et se dirigeât vers notre chambre.
Je restais avec Karim.
La nuit était délicieusement tiède et silencieuse.
Je fouillais un peu la discothèque et trouvais des CD bien adaptés pour émoustiller ma femme. En effet, ma femme aime danser et aime s'exhiber en dansant. J'en fis part à Karim qui manifesta son plaisir à ce talent qu'il ne connaissait pas encore et qui présageait des moments très chauds. Il fit installer la sonorisation sur une table basse et se retira quelques instants pour, me dit-il, se mettre à l'aise et passer une djellaba. Il me conseilla d'en faire de même.
J'allai donc dans notre chambre pour me mettre nu et passer une longue tunique. J'entendais Maria qui chantait sous la douche. Elle était d'humeur lutine.
Quelques secondes après je rejoignis la terrasse où se trouvait déjà Karim vêtu d'une belle djellaba noire avec des motifs blancs brodés sur le col.
Ahmed était arrivé durant mon absence. Il avait gardé son pantalon et son veston bleu marine avec une chemise bleu ciel. Il avait juste quitté sa cravate. Les deux hommes s'entretenaient en arabe. A leurs sourires je sus qu'ils parlaient certainement de ma femme. Ils se levèrent à mon arrivée et cessèrent poliment de parler dans leur langue maternelle.
- Ta gazelle est une sacrée coquine ! Me dit ahmed. En France, vous faîtes souvent des choses comme elle vient de faire à mon restaurant.
- Dans des restaurant, jamais ! Elle a réservé cette primeur à ton établissement. Mais nous organisons de temps en temps des petites soirées à la maison où des hommes que j'ai choisi viennent pour honorer sa féminité. Jamais plus de deux hommes et moi ! Jamais de femmes, malheureusement pour moi. Elle aime être la seule femme dans ce genre de divertissement. De plus, elle est très jalouse et ne veut pas me voir avec d'autres femmes.
- C'est dommage, me dit Karim, car je connais ici à Djerba, une jeune fille d'à peine vingt ans, très belle et très sensuelle qui aime les gazelles, mais qui ne trouve pas son bonheur sur l'île ! Elle s'appelle Mara ! Presque le même prénom ! Elle aurait, je suis certain, beaucoup de plaisir à rencontrer ta femme.
- J'aurai moi-même beaucoup de plaisir à la rencontrer !
- Penses-tu que je peux l'inviter demain ou après demain pour un dîner ? Qu'en pensera ton épouse ? Je lui prends quelquefois des photos. Tiens regarde j'en ai quelques unes ici.
Il se leva, alla chercher dans un meuble à tiroirs et en ressortit une pochette de photographes d'où il tirât deux photos d'une jeune femme nu ou en lingerie blanche et assise sur des tabourets, les mêmes sur lesquels nous étions nous-même installé. Le décor était celui de cette terrasse. Je les regardais attentivement. La jeune fille tunisienne était d'une beauté à vous couper le souffle !
- Délicieuse ! Vraiment très appétissante ! Elle a une chute de reins diabolique et un cul à damner un saint ! Mais je ne peux rien présumer de ses éventuels rapports avec ma femme ! Toutefois il me semble que c'est une bonne initiative que de l'inviter pour un dîner ! L'occasion fait souvent le larron ! Et Maria est toujours très demandeuse de plaisirs charnelles. D'ailleurs, je l'entends qui arrive.
Des bruits de talons sur le parquet en grès du couloir et Maria sortit sur la terrasse.
Elle avait revêtu, si l'on peu parler ainsi, une robe longue noire en voile transparent largement fendue sur les deux cotés. Un petit string noir cachait à peine sa touffe. Elle avait gardé ses mêmes escarpins noirs à hauts talons et ses bas résilles. Elle n'avait pas cru de circonstance de mettre un soutien gorge et on voyait très bien ses beaux seins en poire et surtout ses tétons qui pointaient agressivement.
Elle avait également posé son masque doré sur le visage en prévision des photos et du film que j'avais projeté de réaliser en souvenir de cette soirée de luxure et de son émission sur le net. Pour pimenter son image de femme animale, elle avait mis autour de son cou un collier de chienne noir clouté.
Dès le moment où elle apparu ainsi dévêtue, mon membre devint dur. Je vis Ahmed ouvrir de grands yeux de ravissement. Il ne devait jamais avoir vu une tenue pareille sur une femme aussi belle et aussi sexuellement offerte.
Je vis, également, une très grosse bosse qui se formait sous la djellaba de notre hôte. Maria avait, elle aussi, remarqué l'état d'excitation de Karim. Elle arborait un sourire des plus coquin quand elle nous déclara :
- Messieurs, je suis à vous !
Elle resta debout pour se faire admirer et passa lentement devant chacun de nous en nous gratifiant d'un léger baiser sur la bouche en nous léchant les lèvres.
Je me levai pour mettre une musique adéquate, chaude et rythmée.
Maria commença à danser toute seule en nous regardant. Une bretelle de sa robe était tombée de son épaule. Elle en fit de même pour la seconde, laissant ainsi ses épaules nues.
Ahmed se leva et se mit en face de ma femme. Il dansa un petit moment avec elle, corps contre corps en lui caressant les fesses et le bas de son dos à travers le voile de la robe. Après quelques secondes, il lui saisit la nuque, attira sa bouche vers lui et l'embrassa fougueusement. Maria, toujours en dansant, lui rendit son baiser avec la même ardeur.
Ce fut un spectacle très érotique que de voir sa femme danser et embrasser avec une telle ferveur un autre homme que moi, devant moi et un troisième homme...même un quatrième, car le domestique de Karim qui était en train de servir du champagne dans nos coupes, ne perdait rien du mouvement de ma femme et de son cavalier qui étaient collés l'un à l'autre.
En effet, les deux danseurs ondulaient du bassin au rythme de la musique. Maria avançait son ventre à la rencontre de celui de l'homme qui l'embrassait. A son comportement, je savais qu'elle était déjà bien chaude et prête à toutes les dépravations. Elle lui passait la main sur la braguette.
C'est alors que je vis une bosse monstrueuse qui déformait le pantalon du restaurateur. Maria remarqua elle aussi cette érection hors du commun. Elle se détachât du baiser et le regarda dans les yeux :
- Je te fais bien bander mon salaud ! D'après ce que je touche tu es monté comme un âne ! J'ai envie de te voir nu !
Elle lui enleva d'abord son veston qu'elle jeta par terre et entrepris de lui défaire un à un les boutons de sa chemise qu'elle ôta voluptueusement. Ahmed se retrouva vêtu de son seul pantalon. Maria commençait à lui lécher sa poitrine abondamment velue et lui mordillait les bouts des seins.
L'homme gémissait sous les effleurements de mon experte épouse. Il avait remonté un pan de sa robe et lui caressait les fesses à deux mains. Il entreprit de lui ôter son string qui se retrouva au milieu de ses vêtements sur le sol de la terrasse.
Le baiser devenait de plus en plus bruyant de gémissements et de succions imprégnés par leurs deux langues qui s'introduisaient profondément dans leurs bouches.
Je me levai et allai dans la chambre chercher l'appareil photo et le caméscope.
Quand je revins, Karim se tenait debout derrière mon épouse et lui mordillait la nuque en frottant son ventre contre ses fesses rebondies. Je pris un premier cliché du trio qui dansait, ma femme au milieu des deux hommes.
Elle s'était retournée et embrassait maintenant notre hôte en ne quittant pas de sa main droite l'entre jambes d'Ahmed. La bosse était proprement vertigineuse et j'attendais de voir l'engin qui était destiné au plaisir de ma femme.
Je m'approchais pour bien cadrer la langue de Maria qui allait de bouche en bouche avec des gémissements qui devenaient de vrais petits cris.
Les deux hommes se mirent à genoux, l'un face à elle, l'autre derrière elle. Ils avaient relevé les deux pans de sa robe jusqu'à sa taille et la léchaient goulûment, l'un la chatte et l'autre le cul. Maria, debout, se tordait comme une liane.
Elle était totalement soumise aux appétits sexuels des deux hommes. Je pris une magnifique photo de ce moment. Le domestique, dans un coin de la terrasse, se caressait à travers sa djellaba en regardant cette admirable femelle s'abandonner ainsi aux convoitises de son maître et de son ami.
Je la vis fléchir sur ses deux jambes comme un pantin désarticulé et l'entendis crier comme une démente. Elle eut ainsi son premier orgasme.
Violent, animal, céleste.
Je n'arrêtais pas de clicher sa déperdition pour l'éternité.
On s'est mis à trois pour la relever et l'asseoir sur le profond divan. Sans attendre, je lui enlevais complètement sa robe et la laissais presque nue, seulement vêtue de ses escarpins, ses bas résilles, son collier de chien et son masque. Les deux tunisiens ne relâchaient pas leurs attentions. Karim enleva sa djellaba et Ahmed son pantalon...je ne crut pas ce que vis !
Maria rouvrit les yeux à ce moment, admira avec un petit cri de satisfaction ce qu'elle avait à quelques centimètres de sa bouche...
- HOU ! LA ! LA ! Tu as vu cette bite mon chéri... démente … elle va me rendre folle quand il va me la mettre... il va me défoncer la chatte et le cul avec une matraque pareille. Je veux être sa jument... son esclave ! J'en ais jamais pris d'aussi grosse et d'aussi longue - et s'adressant à Ahmed - Tu vas me prendre avec ta trique ! Je suis à toi !
- Elle est belle hein...elle te plais... tu la veux pouffiasse... tu baves devant elle... je vais te défoncer tous tes trous, espèce de salope ! Je vais te soumettre et te traiter comme une grosse chienne !
- OH ! OUI ! Insulte moi ! Fais moi ce que tu veux... Je veux être ta chienne... Je veux être votre chienne à tous les quatre... Je veux devenir folle de jouissance... Putain quel bite... Je vais la faire durcir comme de l'acier... Je la veux... Je la veux dans ma bouche...je la veux dans mon ventre... je la veux dans mon cul !
Le moment était surréaliste.
La musique se mêlait à la fête et nous amenait à la transe.
Le champagne faisait pétiller notre soif de cette femelle. Son effet était euphorisant.
Le domestique s'était rapproché. Il se masturbait avec vigueur et sa queue avait maintenant une couleur pourpre, prête à exploser.
Karim s'était assis prés de mon épouse et lui doigtait la chatte. Ses doigts étaient trempés du plaisir qui suintait et coulait de l'entre jambes de la femelle déchaînée.
J'avais laissé l'appareil photo et avais saisi le caméscope pour filmer ces minutes d'une beauté et d'une intensité bestiale.
Le sexe d'Ahmed était monstrueusement beau. Une barre d'ébène de près de trente centimètres, bandée comme un cheval en rut prêt à la saillie.
Maria se jeta dessus comme une bête affamé.
Elle commença par cracher sur la hampe et par lécher les couilles du gros tunisien. Elle s'activait sur ce manche sans fin avec voracité et délice. Ses deux mains se promenaient le long des veines gonflées et finissaient par saisir les fesses de l'homme pour bien le maintenir près d'elle. Elle lui glissait l'index sur les plis de son anus et lui taquinait l'entrée de son conduit.
L'homme haletait et son souffle devenait de plus en plus bruyant :
- C'est çà espèce de pute... lèche moi bien... suce moi les glaouis... mouille les bien... crache... crache... - et se tournant vers moi - ... Putain ta femelle c'est une vraie pro de la bite... elle va m'exploser la queue, ta salope de femme !
- Et toi, tu vas lui exploser le chatte... elle n'attends que çà... c'est une vraie chienne... elle en a jamais assez... allez baise là maintenant !
- Non, je vais l'enculer tout de suite... c'est tout ce qu'elle mérite cette truie !
- Oui... oui... encule moi, gros porc... mets la moi toute entière... lime moi le fion salaud... je la veux... je la veux... elle est bonne ! Je veux mourir avec elle !
Maria était déchaînée. Elle s'activait à pomper la queue qui lui était offerte comme si elle était morte de faim. Elle arrivait à en glisser presque la moitié jusqu'au fond de sa gorge. Elle s'en dégageait en soufflant pour mieux l'engloutir à nouveau. Le rythme devenait démentiel. La musique emportait les âmes et les corps.
Ahmed se tordait de plaisir sous les assauts de ma femme. Son gros ventre ballottait. Ses yeux se perdaient dans une folie sexuelle proche de l'évanouissement.
Je filmais ces instants beaux comme une apocalypse et magnifiquement bestiaux.








Fais beau! Aérons nous et profitons de la sylve.... Rediff

Un vie sans animal de compagnie serait bien triste non..?


Un Dimanche de brèves.....

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Surtout en province 

Premier article, anciens souvenirs…
Je suis brun, 1,72 m pour 62 kg, très athlétique, avec un fessier, paraît-il très sexy… Je me présenterai physiquement un peu mieux une prochaine fois. Ce soir, je vous raconte juste un de mes meilleurs souvenirs.
Il y a quelque temps, je vivais dans une petite ville de province, au centre de la France. Il y avait là un lac artificiel, avec des toilettes publiques et un petit bois à côté. Ce lieu était et reste un endroit de fornication homo, et bisex, même si depuis, les toilettes ont été détruites.
Je m’y rendais souvent après la débauche pour tailler deux, trois pipes, et me faire ramoner. J’adorais le plaisir de la baise rapide, l’idée de vider les couilles de ces mecs qui sortaient du boulot et venaient se défouler sexuellement dans ce lieu. J’y ai pris des kilomètres de sexe, et des litres de foutre. Il m’arrivait même de m’y travestir, une perruque, des bas, une guêpière, des faux seins (mais chut, ceci fait partie des choses que j’aurai à vous conter). J’y ai aussi rencontré des couples…
Ce soir-là, un soir d’hiver relativement froid, je m’y arrêtais, et filais direct aux pissotières.
(Passage au présent volontaire, cela facilite l’écriture)
Je m’installe devant une pissotière, baisse mon jogging, et attends. Deux, trois mecs m’ayant repéré, me suivent. C’est la routine, peu de temps d’observation, ici on sait pourquoi on se promène à une heure du matin.
Je patiente tout juste une petite minute, que l’un d’eux se place derrière moi, enfile une capote, et commence à appuyer sur ma rondelle. Petit calibre, il me pénètre sans problème, et commence à me limer. Je pose les mains sur la faïence, resserre mes jambes, histoire de mieux le sentir me limer. Il palpe mes seins, s’accroche à mon cul. Il accélère, je sens la capote craquer, je lui dis, mais il continue et se répand en grognant dans ma chatte….
Il part… me laissant dégoulinant de foutre.
Je me retourne, pensant partir aussi, et me retrouve face à trois bites bien droites. Je me penche et attrape la plus proche, épaisse, courte et bien dure. Il bouge dans ma bouche, sans violence, mais sûrement. Je palpe ses couilles, et caresse ses fesses, appuyant dessus pour l’encourager. Un des deux autres passe derrière moi et me lèche la raie. Puis, il m’enfile, me lime sans ménagement, il ne peine pas, tellement je suis déjà humide de mon premier amant. Il ressort et vient éjaculer dans ma bouche. J’avale, en crache une partie sur le sol. Celui que je suçais prend sa place dans mon cul, me lime aussi très fort et éjacule dans mon fondement. Il ressort et vient me présenter sa bite flasque dans la bouche. Le troisième que je suçais laisse la place et file m’enculer. Pendant que je nettoie la seconde bite, il me ramone et me traite de pute, de salope, de garage à bites… Il commente mon cul, disant qu’il est bien petit, comme celui de sa femme, mais bien plus ouvert…
J’éjacule sans me toucher… Mon sperme coule en partie sur mes jambes. Je suis en sueur, mon cul ouvert, et mon corps ballotté sous les coups de boutoir. Et dire qu’il fait moins de zéro degré à l’extérieur. Ici, on dirait la back room d’un sauna homo. Le gars poursuit son travail, tout en continuant de copieusement m’insulter : « tu aimes ça, hein, chiennasse… tu aimes servir de pute… te faire défoncer comme une bonne bourgeoise ». Je réponds des « oui!!!» de femelle comblée. Puis, je commence à geindre, rendant ma voix aiguë, comme celle d’une gonzesse.
- Putain t’es bonne ! Vas-y, gueule, je vais t’inonder ton cul de pouffiasse…
Je lui obéis, criant plus fort encore mes « oui » de plaisir. Il me défonce littéralement et se vide sur mes fesses, en longs et grands jets de foutre. C’est chaud, brûlant même. Il étale son sperme à l’aide de sa pine et s’enfuit…
Je m’essuie comme je peux, dégoulinant de sperme. Je marche rapidement à ma voiture… Un mec me file au train, avant d’ouvrir ma portière, je me retourne. Pas un mot, je lui roule une pelle, passe à l’avant de la voiture, il baisse mon pantalon, me couche, dos sur le capot moteur. Je lève les jambes, et il s’introduit dans ma petite chatte. Une position que j’adore, les jambes sur les épaules de mon baiseur, bien pris, sentant parfaitement le sexe dans mon conduit. Il en arrive à me faire bander.
Il ne lui faudra que quelques instants, que quelques mouvements bien saccadés pour jouir dans mon cul…
Je me redresse, récupère des Kleenex, et à nouveau excité, je décide de retourner faire un tour dans les pissotières, de retourner dans l’abattoir…
La place est déjà prise. Je referme la porte. La température semble élevée, par rapport à la rigueur de l’hiver.Au centre des toilettes, un jeune est entouré de six hommes. Comme moi tout à l’heure, il se fait démonter la bouche et le fondement. Lui est en jean et col roulé. Son pantalon est sur ses chevilles, et ses baiseurs ont fait passer le pull sur son dos. Il a le torse à l’air, il bande joliment et ses seins pointent de belle manière.
Les autres mecs sont plus vieux, pas des beaux gosses, mais ils bandent tous. Par contre tout se passe en silence. Juste des bruits de succion, des cuisses qui claquent sur les fesses.
Je bande, moi aussi, comme un fou. Je descends mon survêtement et commence à me branler en jouant les voyeurs. Puis, je passe à l’action. Je touche le cul de la douce salope… Il est assez large, mais imberbe. J’ai une vue incroyable sur la pine qui le lime. La colonne qui entre et sort me rend dingue. J’ai encore envie. Je chope une bite libre et commence à la branler. Puis rapidement, je suce. Le mec se laisse faire, je m’accroupis pour être plus à l’aise. Tout se passe très vite, mais personne ne me touche le cul. Deux mecs jouissent dans ma bouche.
La pièce se vide. Mais la p’tite pute reste en place. Je me pose sur son anus explosé et l’enfile sans un mot. N’étant pas forcément actif avec les mecs, je prends mon temps, savourant la rareté du moment. J’apprécie ma queue qui coulisse dans son cratère.
Un homme rentre, il se place devant, sort sa bite et se fait mettre en forme. Son sexe est très gros, notamment son gland et le début de la hampe.Il passe derrière moi et tente de me prendre. La position est complexe, mais notre excitation commune l’emporte. Il s’introduit, et mène la danse.
Il arrive à s’introduire plus loin à chaque coup. J’exulte ! La femelle que je baise maintient une pression constante sur mes cuisses, de ce fait je n’ai pas besoin de bouger, j’ai juste à suivre le rythme !
Puis, je l’attrape par les épaules et me vide en deux, trois mouvements dans son cul. Le troisième poursuit son œuvre, puis se retire, il m’agenouille et balance des rasades de sperme sur mon visage. Mon passif, lui, s’active au-dessus de mon visage et se vide dans ma bouche.
On se relève, se rhabille, puis le dernier à partir me roule une méga pelle et disparaît.
Cela reste un de mes meilleurs plans « bareback. » Depuis j’ai discrètement fait les tests HIV. Rien ! Mais depuis, je reproduis ce genre de plans, notamment en sauna (maintenant que je suis sur Paris), mais avec capotes…
Mais ceci est une autre histoire, que je vous raconterai prochainement.
Ne souhaite pas publier son adresse

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En province ou à l'étranger

Je suis nu, allongé sur le sable à l'intérieur des dunes sur la côte marocaine.
Sur la plage déserte, quand on s'éloigne de la ville, tout est propice aux expériences les plus variées avec les garçons marocains. De mon poste qui surplombe la plage, je vois venir un cavalier. C'est l'un des militaires qui surveillent l'endroit. Il se rapproche de moi au petit trot. Je feins de dormir et écarte les jambes au maximum... offert.
J'entends le cavalier arriver à ma hauteur, descendre de cheval et me dire:
— Tu es bien bronzé... tu aimes le soleil!
J'ouvre un oeil. Ce garçon de 25 ans en treillis est encore à quelques mètres. Il se rapproche. Son regard balaye tout mon corps, il me dit encore:
— C'est bien, ici pas besoin de slip de bain, tu peux rester nu.
Il passe à côté de moi. Je tourne la tête. Je le vois se camper derrière moi, droit, les jambes écartées, la main sur la braguette, son regard fixé sur mon cul.
— Tu as un beau corps et de belles fesses.
De sa main il continue à s'étreindre la bite à travers le treillis.
— Écarte bien tes cuisses!
J'obéis. Il fait glisser la fermeture-éclair du treillis et libère un sexe raide qu'il commence à branler. Le regard toujours accroché sur mon cul, son sexe est sombre, presque noir. Il tranche avec sa peau à peine mate, lourd épais puissant comme un avant bras, il le branle avec application. Il se rapproche et appuie la pointe de sa rangers au bord de ma rondelle puis remonte la rangers sur les fesses en appuyant avec force. Tout en continuant à se branler il se met à genoux et m'ordonne:
— Mets toi à 4 pattes!
De sa main libre, il m'écarte les cuisses. Je m'attends à ce qu'il me sodomise. Mais non, il va se branler jusqu'à jouir et tout en restant à quelques centimètres de moi, il va me gicler juste au bord de la rondelle plusieurs jets de foutre que je sens dégouliner le long de mes cuisses. Alors il se rapproche de mon visage et me dit:
— Essuie avec ta bouche! en me présentant son sexe encore trempé de sperme qu'il m'enfonce dans la bouche puis le retire et me le passe sur la figure.
Il sourit, se redresse et glisse sa bite à peine débandée à l'intérieur du treillis. Il remonte à cheval:
— Je te verrai ce soir sur la plage. Inch 'Allah!.
Je descends me baigner dans l'océan et reviens m'allonger. C'est maintenant un Marocain d'environ 30 ans qui arrive. Il est en short qui laisse deviner un sexe proéminent déjà en érection. Peut-être a-t-il tout vu de ce qui vient de se passer.
— Bonjour. Je ne te dérange pas si je reste là?
Sans attendre de réponse il s'assied. Sa main caresse mon dos et descend jusqu'à mes fesses qu'il empoigne. Toujours assis, il enlève son short laissant surgir une superbe queue, tige raide tressautante sur ses couilles rasées.
— Elle te plaît?
Je veux le sucer mais il ne m'en laisse pas le temps et préfère me recouvrir de son corps me pesant de toute sa masse sur mon dos et m'enserrant dans ses bras puissants comme un étau.
— Je vais te casser le cul ma chérie!
Je lui passe une capote. Il se soulève légèrement puis agenouillé, à pleines mains, il saisit mes fesses qu'il écarte pour cracher un jet de salive qui me mouille la rondelle. Sa bite est trop grosse, il n'arrive pas à me pénétrer.
— T'as un cul serré, passe moi de la crème...
je lui tends un tube de gel qu'il fait couler sur mon trou avant cette fois de se glisser comme dans du beurre.
— T'es bonne chérie, bouge ton petit cul.
Quand il est complètement entré, je ressens alors en même temps le plaisir et la douleur de ce sexe immense dans mon corps. Il s'écrase de nouveau contre moi et s'agite frénétiquement. C'est trop douloureux, je veux crier, mais la paume de sa main rêche s'appuie sur ma bouche. Alors il bouge avec encore plus de force, commence des mouvements de va-et-vient qu'il accélère jusqu'à ce que vienne sa jouissance. Il reste un moment en moi avant de se retirer et jeter au loin la capote. Je bande à fond mais ne veux pas jouir avant d'avoir subi le désir d'autres Marocains.
Nous allons nous baigner et je repars seul à travers les dunes. Je descends plus bas vers une zone étendue de taillis, épais maquis où je me perds.
J'ai noué un très court tissu de coton autour de mes reins. De face le tissus dissimule mon sexe mais derrière mes fesses sont complètement dégagées. Un froissement de branchages et 2 garçons surviennent derrière moi. Ils n'ont pas plus de 18 ans, très sombres de peau ils sont en short et torse nu. Musclés. Leurs gestes sont brusques. Ils me tirent brutalement vers eux, arrachent le tissu, leurs mains m'agrippent, me pétrissent, ils me mettent à genoux et me présentent 2 sexes jumeaux, courts et larges de 16 cm à sucer.
Je vais de l'un à l'autre, les enfourne jusqu'à m'étrangler. Ils se branlent en même temps que je suce. Je prends le paquet de leurs couilles dans ma bouche et roule doucement la langue. Après cela, chacun d'eux me jouit dans la bouche. Je remarque alors plus loin un mec qui observe la scène depuis une dune surélevée. Ils le voient aussi et lui font un signe.
Il commence à descendre. Autoritairement ils me mettent sur le ventre, m'écartent les cuisses. Chacun me tient fermement ses mains appuyées sur les cuisses.
— On va te donner en cadeau à Mourad! Il a un gros zob et peut nicker des dizaines de fois.
Quand Mourad arrive, ils me laissent à lui. C'est un mec de 30 ans baraqué, agenouillé entre mes jambes écartées il a saisi mes fesses, les 2 jeunes lui disent quelque chose en arabe et il commence à me donner des claques, ce qui les fait rire.
Maintenant il me claque à toute volée, il ne s'arrête que pour me pétrir le dos ou me soulever et me pétrir les pecs. Mais visiblement, il aime me claquer le cul et sans cesse il reprend ce geste. À un moment il approche ses lèvres de mes fesses pour les mordre avec volupté. Je crie. Puis il me retourne sur le dos me jetant sur le sable.
— Je vais casser ton cul!
Les pieds passés sur ses épaules, je suis au bord de sa bite. Au moins 25 cm mais c'est le gland qui me semble encore plus impressionnant par sa grosseur inhabituelle. Je lui dis de prendre une capote dans le sac de plage, ce qu'il fait. Je tends le bras afin de prendre le gel mais ses 2 accolytes m'ont devancé et se rapprochent pour m'enduire la rondelle de gel. Mourad est prêt, il s'enfonce en une fois, d'un seul coup de hanche il est complètement en moi et se déchaîne sans freins.
Les 2 jeunes Marocains de chaque côté ont commencé à se branler près de mon visage et très vite leur jouissance vient se répandre au dessus de mes lèvres. Mourad les repousse d'un geste. Sa main me barbouille la figure de ce sperme abondant. Je ne sens plus mon cul sous les assauts de sa bite. Je n'en peux plus. J'ai déjà joui 2 fois. Mon sexe est maintenant mou et ballote pris dans le rythme de Mourad qui m'encule. Avant de jouir, il va me mettre à 4 pattes et me prendre de cette façon pour pouvoir recommencer à me fesser à toute volée.
Pour jouir il s'allonge totalement sur moi et reste un long moment avant de se retirer. Lorsqu'il se retire, sa bite est tout aussi raide et quand je tourne la tête je le vois qui se branle. Son torse est imberbe tandis que ses cuisses puissantes sont poilues. De sa main restée libre il me malaxe la nuque, redescend en griffant le dos pour finir sur mes fesses qu'il pince et griffe. Sa deuxième jouissance vient vite et il m'éclabousse tout le dos de son sperme puis se penche pour y essuyer les dernières gouttes coulant de sa bite.
Quand je reviens de me baigner, ils sont partis. Je reprends le chemin à travers les dunes et le maquis jusqu'à la route.

C'est beau l'amour..!

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Dans cette situation 
même pas besoin de prendre une douche avant!
Pour ceux qui la prennent avant bien sur...

Réponse à un anonyme sympathique;

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Qui ne connaît pas Giulia?

Giulia est un film des années début 1990 de Roy Stuart
 et produit par Tinto Brass.
A sa sortie plusieurs scènes ont été censurées notament celle ou 
la sublime Anna Biella fait pipi devant le Vatican.
Pour moi ce film reste une référence absolue 
dans le mix Porno-érotique italien. 
Le DVD non censuré existe.
J'espère avoir répondu cher visiteur
Et merci de fréquenter mon blog.
Que j'ai encore un peu de mal a tenir actuellement.
Bisous à vous tous.

Histoire du net. Auteur inconnu. L'autochtone....

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Certains stages professionnels sont bénis des dieux...
Pour se découvrir et s'assumer

Constantine
Je suis arrivé il y a une semaine à Constantine. J’aime la ville, ses gens, leur générosité. J’aime me balader dans les rues le jour, le soir, la nuit parfois. J’aime les odeurs et les bruits de Constantine.
Je découvre, un peu fourbu, ma chambre dans cette pension que m’a recommandée mon ami Abdel. La journée a été crevante. Je dois rester deux mois dans cette ville, avec comme objectif de tenir la réception d’un hôtel de la chaîne pour laquelle je bosse depuis un peu plus de deux ans…
C’est mon premier job depuis l’École, et ma première mission à l’étranger. J’ai pas eu de peine à l’avoir, cette mission. Venir bosser ici, ça n’intéressait pas grand monde. Personne en fait. À part moi. Parce que depuis un an environ, j’explore les contours de mon homosexualité, et qu’à Marseille, avec la famille et les amis, je n’arrive plus à respirer. Alors Constantine, oui !
Je vais avoir 24 ans, et j’ai bien dû avoir cinq relations durables avec des filles. Sans compter celles, sans lendemain, avec les filles aussi, au hasard des soirées et des teufs chez les uns ou les autres. J’étais un garçon qui ne se posait pas de questions à ce sujet, pour parler franc, enfin pas trop ! Pourtant dans ma bande de copains et de copines, on parle très librement, de sexe, d’amour, de telle copine qui nous dit avoir essayé avec telle autre.
Et puis bien sûr, il y a eu Kévin. Kévin avec qui j’étais déjà à la maternelle, et qui compte beaucoup pour moi. Kévin que l’on ne voyait jamais sortir avec une fille, Kévin que l’on a charrié, un peu, gentiment quand même, à ce sujet, et qui a bien essayé de nous donner le change un soir en sortant avec une fille, la seule fois, il y a longtemps. Et puis un soir, chez moi en fait, Kévin s’est méticuleusement beurré la gueule pour se donner le courage nécessaire, et nous a dit que… ça y est, qu’il jetait l’éponge, et nous a annoncé avec courage qu’il n’aimait pas les filles… qu’il avait essayé pourtant, mais que ça ne donnait vraiment rien. Et qu’il sortait depuis deux semaines avec un garçon, et que c’était… génial ! Qu’il était fait pour ça et que pour ça ! Et qu’il fallait l’aimer quand même ! Bien sûr qu’on a dit oui.
Le coming-out de Kévin… Un grand frisson dans la tête pour moi ! Mais comme un boxeur, même si j’ai été sonné par le coup, je n’étais pas encore au tapis… mentalement. Simplement tout se bousculait, je me posais des questions que je ne m’étais jamais posées avant. Le corps d’un garçon ?! Le contact d’un garçon ?! L’idée ne m’écœurait pas ! J’étais tout de même curieux !
Le seul avec qui j’en ai parlé, c’est Kévin. Il m’a bien laissé parler, puis il m’a dit là où il en était passé lui aussi. Comme ça le faisait chier toutes ses années où il était mal, où ça le gavait franchement de sortir en boîte avec nous.
J’ai eu une première relation avec un de ses amis. Pas terrible. Puis une autre, mieux. Puis encore une autre. Depuis six mois, je ne couche plus avec les filles. Et ça ne me manque pas, c’est sûr ! Les mecs, c’est devenu mon truc.
Avec Kévin ? Non, pas possible ! Ça ne m’est même pas venu à l’esprit. Je crois qu’on n’a pas vraiment d’attirance l’un pour l’autre.
Et puis, il y a encore des tas de choses de coincées dans ma tête. Les copains ne sont pas au courant. Ni ma famille ! Et bien sûr que ça me fait chier. J’ai l’impression de me cacher. Je n’ai pas l’impression, JE me cache ! Et puis les mecs, mon ami ! Les mecs ! Qui sont beaux, masculins, virils ! Pfff !
Je rigole, parce que je n’aurais pas écrit ça il y a quelque temps ! Mais c’est vrai que de plus en plus, je me suis surpris à regarder quelques beaux mecs dans la rue. Les latins, les noirs, les Arabes, les typés quoi, ceux chez qui on devine ou on voit qu’ils ont ce qui faut là où il le faut !
Et à Marseille, c’est pas ce qui manque ! Et je peux dire que chaque fois, j’ai cette sensation inexplicable, cette gorge plus sèche, cette émotion, le cœur qui bat plus vite… de plus en plus vite à chaque fois !
Un an environ après cette discussion avec Kévin, j’ai eu cette proposition de passer de l’autre côté de la Méditerranée. J’ai pas mis beaucoup de temps à dire oui.
Enthousiasme à cause du challenge professionnel, mais aussi soulagement à accepter ce départ vers l’Algérie, à cause de ce que je suis devenu, et que je n’arrive pas à dire aux autres. En plus, l’Algérie, à Marseille, ça ne nous fait pas peur. En fait, on la côtoie tous les jours. Elle est présente partout. Qui a sa famille, ses copains. Qui envoie ses mandats. Qui t’invite à manger la Chorba. Lorsque j’ai été à Alger, la première fois, j’ai trouvé des différences, sûr ! mais pas tant que ça !
Je veux écrire ce qui s’est passé pendant cette année qui a précédé mon départ.
Au fil des mois, si je cachais mon homosexualité aux autres, j’ai tout de même décidé de ne pas me la cacher à moi-même. C’était la moindre des choses, non ?! Et de savoir exactement où je voulais en venir avec cette envie imprécise des hommes.
Tout d’abord, au fil des relations avec les mecs, j’ai commencé à comprendre que je préférais subir, enfin je veux dire : être passif, plutôt qu’actif. Et puis, ça a commencé à se préciser en discutant avec les copains de Kévin. Les gays, je veux dire. Certains sont d’authentiques folles avec lesquelles je me sentais peu de points communs, mais avec lesquelles néanmoins j’aimais parler.
L’un d’eux, Éric, m’a avoué qu’il adorait se maquiller, prendre soin de son visage bien sûr, mais aussi du reste de son corps, pour offrir le meilleur de lui-même tant à son ami qu’à son miroir. Un jour, il m’a proposé de passer chez lui. J’y suis allé. Si nous nous sommes caressés et embrassés, c’était plus par amitié qu’autre chose. L’un et l’autre vibrions davantage pour être pris que pour prendre. On en est restés là.
Par contre, Éric m’a dit qu’il avait tout de même flashé sur moi, car il trouvait que j’avais des traits féminins. En fait, il était presque jaloux, m’a-t-il dit parce qu’il trouvait les siens plus grossiers, à côté. Moi, je le trouve pas mal.
Ce jour-là, a été un grand jour pour moi.
J’ai dit oui. Oui à son gommage, son massage facial, son épilation de sourcils puis un léger maquillage.
Pendant qu’Éric s’activait, je regardais mon visage qui changeait. Et j’aimais ça. Tout de même, au début, j’étais inquiet je dois dire. Comme si je poussais une porte interdite. Comme si pour moi c’était moins engageant de faire l’amour avec des garçons, moins compromettant que… de devenir femme.
Enfin j’en étais pas là, encore ! Mais tant que je suis resté à quelques kilomètres de la maison paternelle, jusqu’au départ pour l’Algérie en fait, l’instinct de culpabilité ne m’a jamais quitté.
Je me souviens de cette après-midi chez Éric :
- Si tu sortais comme ça, m’a-t-il dit, et que tu mettes les fringues qui vont avec, je te parie ce que tu veux qu’on te prend pour une meuf… c’est sai-si-ssant !
J’étais en slip dans sa salle de bains, devant un grand panneau miroir mural.
- Arrête tes conneries, Éric ! T’as vu ma tignasse ! Et t’as vu mes poils aux jambes et sur le torse ? C’est pas deux ou trois poils en moins autour des yeux et un peu de rouge à lèvres et de fond de teint qui vont changer la bête, non ?!
Il y avait du boulot. Éric en a convenu.
- Attends voir ! Reste ici, je reviens !
Il m’a planté là dans la salle de bains. J’en ai profité pour me griller une blonde. Je ne fume pas souvent, sauf lorsque je suis angoissé. Quand il est revenu, avant d’entrer il a lancé :
- Ferme les yeux, Jean !
Et lorsque je les ai rouverts, il était devant moi, nu. Alors j’ai vu la différence. J’ai compris aussi le pas qu’il me restait à faire. Du boulot ! Beaucoup de boulot!
Éric, en tournant sur lui-même au ralenti, tel un danseur de ballet, exhibait devant mes yeux un corps totalement imberbe ! Pas un poil sur tout son corps !
- Comment tu fais ? lui ai-je demandé.
Je ne sais pas s’il s’est mépris sur mon étonnement, car tout de go, il m’a répondu :
- Du sport, Jean ! D’abord du sport ! Je vais à la piscine deux fois par semaine après le boulot. Et puis je fais de la musculation aussi.
Il m’avait déjà montré un rameur dans une pièce à part de son appartement.
- Je ne pou-rrais-pas, dit-il, en détachant les syllabes avec beaucoup de féminité dans la voix, montrer un gros bide et des pectoraux tout flasques ! Im-po-ssible ! ! a-t-il encore précisé en prenant une pose étudiée et en faisant tout doucement glisser sa main sur sa poitrine.
- Arrête, tu vas m’exciter ! lui ai-je dit en le bousculant gentiment pour le faire redescendre sur terre.
On a rigolé un bon moment, puis il m’a expliqué qu’il avait commencé à se raser il y a deux ans :
- D’abord le torse ! Tout de suite le torse ! Et puis un jour, ce fut le sexe et le maillot, tu vois. Et pour le derrière, m’a-t-il précisé en se retournant et en prenant une pose très suggestive mettant son postérieur en évidence, j’ai demandé à Mehdi, tu sais Mehdi, le gars qui est teint en blanc et qui travaille au salon avec moi ?!
Je voyais. J’avais rencontré Mehdi à plusieurs reprises et on avait sympathisé. Sans plus.
Éric a changé de pose et a dit d’un ton très fier et avec un geste précieux de la main :
- Je ne me rase plus !
Je l’ai laissé venir. Il est venu assez vite :
- J’en ai eu vite marre des poils qui repoussent et qui font que tu te grattes toute la journée que c’est plus possible ! Alors j’ai demandé à Pierre, tu sais le gars qui tient le bar du Plaza, et il m’a donné l’adresse d’un dermato.
Il reprend souffle :
- … et j’ai commencé par les parties.
- Tu veux dire que tu t’es fait épiler définitif ?
J’étais vaguement au courant du système. Une de mes copines et ma mère aussi en étaient déjà passées par là.
- Je croyais que c’était le torse qui passait en premier pour toi ? lui ai-je demandé.
Éric était lancé dans son histoire :
- Attends ! C’est moi qui raconte. J’ai commencé par en bas, parce que là, a-t-il précisé en mettant sa main à plat au-dessous de son nombril, c’est incroyable ce que ça gratte, t’as pas idée, quand tu te rases !
- Dis donc, ça a dû quand même te coûter la peau des fesses de faire faire… tout ça ? lui ai-je demandé en le désignant de la tête aux pieds.
Éric a repris le fil de l’histoire :
- La première fois, c’est vrai, j’ai payé cent euros. La seconde aussi, d’ailleurs !
On a ri comme des bossus à sa sortie.
- … Et puis quinze jours plus tard, je me suis trouvé nez à nez avec le dermato au Plaza. Tu connais le Plaza, hein ? !
Oui, je connaissais, un bar gay parmi tant d’autres.
- On a pris un coup ensemble. Il a pas mis longtemps pour me dire que lui aussi était gay. On est sortis ensemble, il est su-per-sym-pa, faut que je te le présente. D’ailleurs on sort toujours ensemble… enfin de temps en temps, tu me connais, hein, j’aime pas trop me fixer. Donc tu penses bien que depuis, eh ben c’est gratuit pour moi ! Il se rattrape sur les épilations des filles ! Et je te garantis que ça marche, son business !
Et Éric est de nouveau parti dans un grand éclat de rire. Tout de même, j’en revenais pas :
- Attends Éric ! Tu veux dire que là, ce que je vois, tout ton corps quoi, a été passé au laser et que ça repoussera plus jamais ?
- Ben ouais ! Enfin j’espère bien que ça ne repoussera plus, mais ce n’est pas 100% garanti ! Tu sais, pour certaines parties, comme les jambes ou le maillot, j’ai dû faire faire plusieurs séances.
Gentil Éric et ses mines de folles ! Il me fait rire, et même beaucoup. Et il est super gentil. Mais jamais je serai tenté ou poussé à ce comportement… que je respecte, qu’on ne s’y trompe pas, mais qui est un comportement de folle, quoi !!
Pour ce qui est des épilations, j’ai eu très envie ! Et puis Éric a pas mal insisté aussi !
Quelle n’a pas été ma surprise, la première fois que j’ai passé le pas du cabinet du dermato, de découvrir que celui-ci, qui s’appelle Barthélémy, est plus noir que noir ! … de Côte d’Ivoire. J’ai rien contre les noirs, au contraire, je rêve d’être tout contre, mais je ne m’y attendais pas, c’est tout.
On a commencé par le sexe. Avant, il faut se raser ! Lorsqu’on s’est mal rasé, on sent passer les séances de laser !
J’ai sympathisé avec Barthélémy. Pas mal, même ! D’abord, j’étais recommandé par Éric. Donc il savait que je savais et lycée de Versailles. La première fois, je lui ai tout de même proposé de payer la séance. Il n’a pas voulu. Éric m’avait prévenu. Il m’avait dit aussi qu’il n’était pas jaloux pour un sou. Et que si son dermato me tentait, il n’avait rien contre.
Et, c’est parti comme ça. Très rapidement. Comment dire ? Pour faire bref, près chaque séance, un grand pieu noir s’enfonçait en moi, et c’est dans son cabinet que s’est développée cette sensation insidieuse d’être femme chaque fois un peu plus, et garçon chaque fois un peu moins.
Il savait tout ça, Barthélémy ! Il était homme, très homme. Et j’aimais tellement ça. Et lui aimait tellement que pour lui je sois un peu femme. Quand il me recevait, dans son cabinet du centre-ville, il portait une sorte de sarreau de chirurgien, ainsi qu’un pantalon de toile verte. Et dessous, rien !
Pendant qu’il travaillait, je regardais sa virilité s’affermir et il me regardait le regarder, et ça nous faisait sourire, l’un et l’autre. Sourire seulement. Ni lui ni moi n’avons vraiment beaucoup discuté. Cela faisait partie un peu de nos conventions. Ce qui suivait après l’épilation n’en perdait rien en force et en virilité, au contraire. Comme si le silence transportait l’ambiance de la domination. C’est un peu ça, je crois.
Je crois que c’est à la quatrième ou cinquième séance, qu’il a fait les fesses. La fois suivante, juste après la séance, alors qu’il s’apprêtait à me pénétrer, à m’enculer (excusez-moi, mais j’aime bien ce verbe !) à sa façon habituelle, c’est-à-dire assez vite because les clients qui attendent, assez brutalement aussi je dirais, il a suspendu son geste.
Pour l’occasion, j’étais allongé à quatre pattes sur le lit de travail, les jambes très écartées, la taille cambrée pour que mes fesses et mon petit trou lui soient facilement accessibles. Il a commencé par admirer son travail épilatoire, a commencé par caresser mes fesses, m’a demandé si j’étais satisfait. J’ai répondu par l’affirmative.
- Elles sont toutes pâlottes, tes fesses, tu trouves pas ? a-t-il dit avec sa voix grave. Comme si le sang ne circulait pas… a-t-il continué comme pour lui-même… Et puis elles sont toutes froides… a-t-il poursuivi.
« Ben ouais », ai-je pensé sans répondre. « Ça fait tout de même une heure que je suis à poil. C’est peut-être normal qu’elles soient pas chaudes comme la braise. »
Et puis j’ai compris.
Il a commencé par de petites tapes timides, comme pour faire gentiment revenir sang et couleurs. Je ne disais toujours rien. Il alternait les caresses de la main droite avec des tapes régulières de la main gauche. Et puis les tapes sont devenues de moins en moins gentilles. J’ai failli dire stop. Mais je ne l’ai pas fait. J’ai voulu savoir comment je réagirais au final de cette nouvelle pratique. Ce n’était pas insupportable après tout.
Lorsqu’il a eu mis comme à son habitude, une généreuse rasade de gel lubrifiant, et qu’il a commencé à introduire son membre, mes fesses… étaient bien réchauffées. Tout a été progressif. Plus il s’enfonçait en moi et plus ses tapes régulières se faisaient violentes. Régulières, car chaque fois qu’il me pénétrait, j’avais droit au plat de sa main. Je savais quand exactement la claque allait venir. J’attendais la douleur. Je ne crois pas que je la souhaitais. Mais je trouvais juste que Barthélémy me tape si son désir pouvait s’en trouver augmenté. J’avais mal, mais j’aimais bien ce sentiment de domination complète. Lorsqu’il n’a plus pu se retenir, Barthélémy s’est retiré, m’a retourné sans ménagement aucun, a pris mes longs cheveux à pleines mains, me faisant mal à nouveau et a éjaculé abondamment sur mon visage, en gémissant très bruyamment. Puis il m’a introduit son membre encore jutant dans la bouche pour que je finisse… le travail !
Comme à chaque fois, pendant qu’il se douchait, je suis allé me branler dans le lavabo, pour calmer mon feu intérieur. La première fois, après son orgasme, je lui avais demandé de me branler, mais il n’avait pas voulu le faire.
Négatif… d’un simple mais définitif hochement de tête.
À mon tour je me suis douché rapidement pour calmer aussi le feu sur mes fesses ! Et pour la première fois après l’amour, il m’a offert de trinquer d’un petit malt hors d’âge. Il avait envie de parler. Rare pour un homme pressé. Sa cliente suivante avait dû se décommander. Il m’a demandé si ça m’avait plu. Sans préciser quoi. Mais lui et moi savions qu’il parlait de ce qui avait accompagné la partie.
- C’est toi qui décides, tu le sais bien ! je lui ai répondu. Si ça te plaît à toi, alors ça me plaît à moi ! À toi de prendre le plus de plaisir possible ! À moi celui d’en donner le plus possible ! En prenant avec reconnaissances les miettes qui voudraient bien s’offrir !
J’avais assimilé une fois pour toutes que j’étais heureux dans la soumission. Par contre les coups en eux-mêmes ne m’ont jamais excité. Je confirme et je signe, ils m’ont fait mal.
À partir de ce jour, la seule chose qui ait changé, c’est qu’avant les séances avec lui, je me mettais de l’huile de calendula pour adoucir un peu.
Je n’ai pas fait le total des séances chez Bart, puisqu’il aime qu’on l’appelle ainsi. Il y a eu aussi quelques week-ends sympas dans sa maison de Saint-Raphaël. Avec l’autre plaisir non dissimulé d’y aller avec lui dans sa vieille Buick décapotable de collection. Je ne suis pas très voiture, mais là, quand même, ça en jette.
Bart a 32 ans. Il est grand, environ 1,90m, puissant. D’après ce que j’ai compris, il a été content de prendre ses distances avec sa famille qui réside en Côte d’Ivoire, voilà déjà une dizaine d’années. Je crois qu’il ne voulait pas trop du mariage qu’on lui proposait. Son père est dans les affaires là-bas, et je crois que même s’il ne faisait pas des journées entières d’épilations, la vie ne serait pas trop dure pour lui.
Ces huit derniers mois, j’ai passé beaucoup de temps avec Éric, que j’aime beaucoup et qui me fait tellement rire. Éric a suivi en connaisseur la progression de ma perte définitive des poils. On parlait sans retenue de Bart et… de ses goûts particuliers pour les fesses rouges, comme dit Éric.
Éric m’a dit ne pas aimer du tout ce genre de choses, mais m’a cité plusieurs noms de mecs qui aiment une pratique plus poussée du sado-maso, puisqu’il faut l’appeler ainsi. Je lui ai expliqué que pour moi ce n’était pas une fin en soi. Juste un besoin de plaire à l’amant.
Souvent, je passais tout le week-end avec Éric, dormais chez lui le dimanche soir et passais la journée du lundi, sa journée de repos, avec lui. Après m’avoir fait aimer le look féminin du maquillage, Éric m’a appris les rudiments du maquillage. Parfois Éric mettait une perruque et me demandait comment je le trouvais. J’ai été franc, il avait l’air d’un travelo. Ça le mettait en rage contre moi. Mais quoi, c’était vrai ! J’ai essayé à mon tour pour lui faire plaisir, mais celles qu’il avait étaient toutes blondes à cheveux longs, et ça me faisait le même look de pute.
Un week-end, à Grasse, j’en ai parlé avec Bart, comme ça, pour parler de quelque chose.
- C’est pas parce qu’Éric n’a pas de goût pour les perruques que ça ne t’irait pas ! m’a-t-il dit.
- Tu aimerais que j’en mette une ? lui ai-je demandé, un peu surpris quand même.
On était dehors, devant la piscine de sa maison, nus, en train de prendre le soleil. C’était l’heure de l’apéritif, et Bart avait ouvert une bouteille de Viognier. Il a fait tourner négligemment le liquide dans son verre, a pris tout son temps comme pour peser le bien-fondé de ma question.
- Pourquoi pas ?! a été son verdict.
- Si ça te plaît, moi je veux bien ! ai-je précisé. Mais vraiment, t’aurais vu la tronche de pétasse que ça me faisait, je ne crois pas que ça t’aurait vraiment excité !
Le vin tourne et tourne dans le verre. Puis il boit une lente gorgée, comme si l’effort de lever le verre était en soi un exploit :
- Franchement Jean, je n’arrive pas à t’imaginer avec un look de pétasse, comme tu dis. Ne lui répète pas, ça lui ferait de la peine, mais Éric n’aura jamais les traits fins que tu as.
- En tout cas avec la perruque…
Bart m’interrompt d’un geste :
- Si t’as essayé une perruque de merde, tu pouvais qu’avoir un look de merde. On va aller en ville, et on va t’en choisir une, de perruque ! Une vraie ! Une chouette ! Et surtout pas une blonde ! Tu es brun, tes yeux sont bleus mais tes sourcils sont noirs, c’est une perruque brune qu’il te faut. Je crois que j’ai dans la tête ce qu’il te faut.
- On fera comme tu décideras, Bart, tu le sais bien
- Bien sûr que je le sais, petit blanc bien sage ! m’a-t-il répondu avec l’un de ses rares sourires en se levant. On y va tout de suite.
Nous sommes allés jusqu’à Cannes en passant par la magnifique route de la côte. Nous sommes allés directement chez un ami coiffeur de Bart. Un autre grand noir baraqué, au crâne totalement rasé, entièrement vêtu de blanc, tee-shirt moulant et pantalon qui nous a reçus pieds nus dans son salon. Ils devaient bien être une dizaine, garçons et filles, occupés à coiffer les clientes. Un bon business quoi !
Bart et Xavier - le nom du gars - se sont longtemps étreints. Bart m’a présenté. J’ai su qu’ils étaient amis d’enfance, et que pour des raisons assez similaires, Xavier vivait en France depuis quelques années. Bart a expliqué sans façons le pourquoi de notre visite.
- Je sais pas ce que t’en penses, Xavier, moi je le vois avec une perruque à cheveux courts et noirs… tu vois, qu’il ait un look de fille qui veut s’habiller en garçon.
- Tu veux jouer sur l’ambigüité, quoi ?! a demandé Xavier.
- Exactement !
- Qu’en pense le jeune toubab ? m’a demandé Xavier avec un sourire aussi blanc que le tee-shirt.
- Eh bien il dit… pourquoi pas ! ai-je répondu, subjugué par la carrure et la dégaine en générale du Xavier et en lui rendant son clin d’œil
- Ouhh, Xavier, Xavier, mon ami, je crois que tu as un ticket avec le jeune homme blanc ! a dit Bart en rigolant.
- J’espère que le jeune homme blanc saura retrouver un jour le chemin de ma case ! a dit Xavier en forçant l’accent africain puis en éclatant de rire.
- Voyons voir ce que nous avons ! a-t-il ajouté avec sa voix habituelle.
Nous étions montés à l’étage du salon, en empruntant un élégant escalier en colimaçon. Il a passé un coup de fil à une certaine Éva qui a fait une apparition marquée quelques minutes plus tard, longue et frêle silhouette toute de noir vêtue avec les bras chargés de postiches capillaires. Bart s’était calé les fesses dans un splendide club en cuir.
Xavier m’a d’abord mouillé les cheveux avec un vaporisateur, puis a habilement attaché mes cheveux avec quelques pinces. Je devinais l’expert. J’en ai essayé une vingtaine. Et chaque fois, Bart hochait négativement la tête… jusqu’à la vingt et unième :
- Celle-là ! a été son verdict.
- Tu crois ? ai-je demandé en m’observant dans la glace.
En fait, c’était la plus discrète et en même temps la plus stylée.
- Et toi Xavier, t’en penses quoi ? ai-je demandé.
- Je préférais celles qui étaient plus flashy, pour être sincère ! Celle-là tout de même, c’est la classe.
- Tu pourrais demander à une fille de le maquiller pour voir l’effet final ? a demandé Bart.
- Tu sais bien que tu peux me demander n’importe quoi ! J’appelle quelqu’un.
Et il est redescendu vers le salon, me laissant seul avec Bart. Bart s’est levé et m’a annoncé qu’il me laissait. En fait, c’était prévu. Il devait manger à Nice avec une de ses cousines, son mari et ses gosses, et je n’étais pas prévu au programme. On devait se retrouver le soir dans un petit resto cannois, sur la Croisette. Je me suis retrouvé seul quelques minutes, le temps de me plonger dans un magazine de coupes pour femmes. Xavier est revenu suivi d’une fille super canon.
- Tiens, je te présente Yasmina qui va te maquiller. Je vous laisse, j’ai à faire. Et soyez sages, hein ? ! Yasmina attention, mon ami m’a dit qu’il était dangereux.
Un clin d’œil complice pour moi, un tourbillon, et le voilà reparti.
- Il est toujours comme ça ? je demande à la fille.
- Toujours à 200 à l’heure, c’est sûr ! a-t-elle répondu.
J’ai suivi Yasmina dans une cabine de maquillage. Elle m’a confortablement installé, m’a fait me dévêtir le haut, a regardé mon dos puis ma poitrine. Elle a apprécié le travail de Bart en connaisseuse. On a discuté épilation. Elle m’a confié qu’à part le maillot elle ne s’était rien fait faire de plus, because c’est pas donné.
- Ça ne te dérange pas trop de maquiller un garçon ? ai-je demandé à un moment, car moi-même, je suis un peu gêné tout de même.
Elle a levé les yeux au ciel.
- Tu devrais pas. J’ai vraiment l’habitude. Il y a beaucoup d’amis de Xavier qui viennent, pour les fêtes, ou simplement pour le plaisir d’être maquillés et en fait une bonne partie des homos de Cannes et de la région passent par ici.
J’ai eu droit à un soin, puis au maquillage. Des gestes précis. Elle m’a promis une surprise. Je l’ai eue ! Elle m’a refixé la perruque, m’a demandé de fermer les yeux… m’a guidé vers un miroir, m’a demandé de les ouvrir à nouveau… Cette fois, ça y était. J’étais complètement fille.
Yasmina m’a ramené dans le salon de Xavier ! Où j’ai passé la demi-heure suivante à me regarder dans le miroir. Le résultat me plaisait beaucoup. J’attendais de voir ce qu’allait dire le monde extérieur. Je ne l’ai pas entendu arriver. Lorsque je me suis aperçu de la présence de Xavier en haut de l’escalier, je ne savais pas depuis combien de temps il était là.
Il avait la bouche ouverte. Il me dévisageait et ne disait rien. Je lui ai souri, me suis levé et ai marché jusqu’à lui.
- Alors, beau mec ! J’te plais ? ai-je dit en secouant les cheveux et en me déhanchant autant que je savais le faire.
Il a secoué la tête plusieurs fois de suite.
- Hé ben, mon ami ! Pour être franc, ça faisait longtemps que j’avais pas kiffé comme ça !
Je lui ai reposé ma question
- Tu es … très beau ! ou très belle, je sais plus… tu préfères quoi, toi ?
J’étais pas sûr.
- C’est trop nouveau pour moi ! Je ne sais pas !
Je découvrais le mot « plaire ».
- Je sais ce qu’on va faire ! a dit Xavier en redevenant speed. On va arroser ta renaissance au champagne ! Tu n’as pas le droit de dire non ! m’a-t-il dit en pointant le doigt vers moi.
Je lui ai souri de mon air le plus fille.
- Alors je dis oui ! ai-je répondu simplement.
Il s’est absenté quelques minutes, puis est revenu avec un plateau avec du champagne, deux verres, des petits canapés à apéritif
- Une vraie maîtresse de maison, dis donc.
- Attention à ne pas me prendre pour la folle qui fait le service pour Serrault et Tognazzi dans la Cage aux folles, hein ?!
J’aime beaucoup Xavier. Son humour, sa classe naturelle, son élégance bien sûr… Il a beau être pété de thunes, il est très simple et ne cherche qu’à ce que tout le monde autour de lui soit heureux. Personnel et amis.
Et puis son physique ! Trop ! Too much !
Je lui ai raconté mes études, ma famille, mes amis, la découverte récente de mes goûts sexuels, de mes doutes, de mes projets… Lui s’est beaucoup moins livré finalement… comme si ma vie et mes petits soucis l’intéressaient plus que se raconter… la classe ! Mais c’est bien lui qui rythmait la discussion, et qui avait toujours une anecdote incroyablement drôle à raconter. On a sifflé la bouteille rapidement. Il est allé fermer le salon, puis est revenu avec une nouvelle bouteille, un Dom Pérignon, cadeau d’un ami très cher, a-t-il précisé ! Et il a proposé qu’on aille la boire chez lui, dans son appartement, à l’étage au-dessus.
Pour atteindre son appartement, j’ai découvert quelque chose de fabuleux : un authentique passage secret qu’il m’a dit avoir fait installer à prix d’or. En fait, il a fait pivoter une large moulure située à droite de la bibliothèque du salon où nous nous trouvions. Il fallait être mince pour passer, mais ça allait pour nous. Nous avons débouché sur un étroit passage d’un mètre carré environ, occupé dans son intégralité par un nouvel escalier en spirale. Je lui ai dit à quel point j’étais admiratif et épaté, et ça a eu l’air de beaucoup lui faire plaisir. L’appartement où je suis arrivé par un nouveau passage secret, était… splendide.
A suivre pour découvrir l'Eden

Histoire du net. Auteur inconnu. L'autochtone.... Suite

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 Vivre..... Apprendre à déguster.... 
A se donner... Et prendre....

Constantine
Suite
- Mon jardin secret, Jean, m’a-t-il confié. Peu de gens y viennent ! Je ne fais jamais de fêtes ici. Tu comprends pourquoi ? m’a-t-il dit en me faisant découvrir le grand salon d’un grand geste circulaire de la main.
L’appartement de Jean, c’est un… petit bout d’Afrique ! avec des couleurs de terre et d’ocre que viennent trancher quelques rares objets aux couleurs très vives. Ici des instruments de percussion, beaucoup ! Là une sorte d’immense xylophone ! J’ai admiré pendant un long moment, jusqu’à ce que je sente la main de Xavier posée sur mon épaule. Je me suis retourné vers lui. Nous avons échangé un bref baiser.
- Merci de m’avoir permis de voir tout ceci… merci pour tout en fait ! Pour le maquillage ! Pour le champagne ! Tu dois dire que je suis mal élevé ! Tout ce que tu as fait pour moi depuis que je suis arrivé, et je ne t’avais pas encore dit merci !! Merci, merci !!
Et nous nous sommes embrassés chastement de nouveau.
- Arrête ton tir avec tes remerciements, Jean…
Sa main a caressé délicatement ma joue, puis :
- À vrai dire, vous me troublez tellement Mademoiselle, que je ne sais si je peux vous demander…
- Tout ce que vous voudrez, bel ami ! ai-je répondu, mes yeux rivés dans les siens.
- J’aimerais…
Il a fallu que ce soit moi qui le pousse.
- Dites, Bel ami !
Il a chassé une miette invisible sur mon épaule, puis a enfin poursuivi :
- Tu sais danser ?
- Oui, j’aime bien !
- Eh bien je vais mettre une musique de Côte d’Ivoire. C’est spécial ! C’est une sorte de blues avec des cordes et des percussions… uniquement. Chaque fois que j’écoute cette musique j’ai les larmes aux yeux. Et j’aimerais que… ben que tu fasses un strip-tease devant moi.
J’avoue que je m’attendais à quelque chose de plus direct, et ça m’a beaucoup plu. Je l’ai déjà écrit… la classe !
- On y va ? lui ai-je proposé en guise de réponse.
Il m’a souri, puis est allé commander la fermeture de tous les stores de l’appartement. Puis, pendant que je buvais une nouvelle coupe de Dom Pérignon, il est allé mettre le CD annoncé.
- Je vais me mettre à l’aise avant toi… si vous le permettez, belle demoiselle ?!
La pointe d’humour quand il faut. Toujours. Cher Xavier !
Et il s’est mis en caleçon ! me découvrant un corps d’ébène, de muscles et d’exception. Il s’est installé dans un sofa.
- Allez ! Que le spectacle commence ! a-t-il dit en activant la télécommande de sa chaîne.
L’alcool m’avait totalement libéré, et j’ai voulu être au top. Enfin j’ai fait de mon mieux. Et pendant que je m’effeuillais, Xavier, en toute liberté, se massait délicatement le bout des seins d’une main, et se caressait le sexe de l’autre. La musique était envoûtante ! J’essayais de reproduire fidèlement les changements de rythme en donnant des à coups calculés avec le bas de mon corps, comme je l’avais vu faire quelques années auparavant dans un cours de danse africaine.
Le morceau était long ! Et bientôt, je me suis retrouvé à danser nu ! La seule chose qui me restait étant… ma perruque ! Pris par le rythme magnifique du morceau, Xavier est alors venu me rejoindre, et m’a montré… ce qu’était que danser sur ce genre de musique !
Il tournait autour de moi en souriant, en me frôlant, en flattant mon sexe de la main. Quand j’ai voulu faire de même, il a enlevé son caleçon, laissant aussitôt apparaître un énorme pénis brandi dans ma direction.
J’ai pu le toucher, et le prendre dans ma main, mais nous avons attendu que cesse la magie de la musique pour nous enlacer et nous embrasser. Xavier était légèrement plus grand que moi, et alors que nous étions plaqués l’un contre l’autre, j’ai senti son sexe immense vouloir me pousser tellement il était raide. Nous sommes allés nous doucher.
Au passage, la perruque est partie. J’ai fait la connaissance de son immense salle de douche à l’italienne, où nous nous sommes savonnés, puis frottés respectivement avec de splendides loofas. J’ai appris qu’elles venaient de chez lui. Que sa mère les lui faisait parvenir.
Pendant qu’il se frottait les cheveux, je me suis mis à genoux et ai entrepris de le sucer. C’était pas évident. Ma bouche est tout ce qu’il y a de normal, et sa queue… était quand même hors-norme ! Pas aussi grosse que celle de Bart, mais tout de même, énorme ! J’ai tout de même éprouvé un bonheur sans pareil à le prendre en bouche. Pendant que je le suçais lentement, avalant le gland et le reste aussi profondément que me le permettait ma gorge, le temps s’est arrêté !
J’ai commencé à accélérer progressivement mes va-et-vient, alors que je sentais que son sexe était sur le point d’exploser tant il me paraissait rigide et tendu, tel la peau d’un de ses tam-tams. J’étais également très excité, et me suis demandé si je n’allais pas éjaculer, alors qu’il ne m’avait à peine touché. Je l’entendais gémir de plus en plus fort, et ai cru un moment qu’il allait prendre son plaisir comme ça, tout de suite, dans ma bouche.
Mais il m’a repoussé délicatement mais fermement des deux mains, et m’a relevé jusqu’à ce qu’à nouveau, nos lèvres viennent à se toucher. Nous nous sommes de nouveau longuement embrassés. Xavier embrassait formidablement bien. Sa langue venait s’enrouler autour de la mienne, puis la fuyait pour aller explorer un endroit non encore exploré de ma bouche ou de ma gorge… C’était tellement fort, que j’ai senti une giclette de sperme qui me quittait… et il a fallu que je me presse le sexe très fort pour ne pas venir tout de suite.
- Tu vas préférer que ce soit moi qui te prenne ? a-t-il demandé.
J’ai répondu par l’affirmative. Nous sommes sortis de la douche. Xavier m’a séché avec application et en douceur. Quelques instants plus tard, nous étions allongés sur un lit immense. Peu pressés, nous nous embrassions, nous nous léchions. Xavier est allé chercher un petit pot de crème, m’a expliqué que « ça venait du Pays », avec un grand sourire, a entrepris de me mettre une noisette de crème sur le bout de mes seins et des siens. Et nous nous sommes massés l’un l’autre !
Incroyable ! Effets combinés de la crème et des caresses, j’ai alors connu une sensation particulière, comme si la jouissance allait venir par les seins. Je gémissais bruyamment. Xavier était heureux de son effet.
Il m’a fait remarqué que Bart avait fait un travail formidable sur mon corps, et que j’avais la peau aussi lisse que celle d’une jeune fille de par chez lui. J’ai appris plus tard qu’il aimait bien aussi les filles ! Comme quoi !
Je me suis retrouvé bientôt sur le ventre, la croupe bien cambrée, avec Xavier qui léchait avec application ma rondelle. Il a essayé de me pénétrer avec précaution, mais je ne sais pourquoi, je n’arrivais pas à me détendre et à lui laisser le passage. Il m’avait pourtant bien doigté, avec un puis deux doigts, et m’avait bien lubrifié… Il a même essayé quelques injures, des tapes bien plus fortes que celles que m’infligeait Bart. Rien n’y faisait. Il s’est levé et a été fouiller dans le tiroir d’une commode. Il est revenu tout sourire avec un splendide plug. J’avais déjà vu ce genre de gadgets, chez Éric notamment, mais jamais, je n’en avais essayé.
- Et si ça ne marche pas, j’ai plus gros ! m’a-t-il dit en explosant de rire.
- Je sais pas pourquoi… ai-je tenté de me justifier.
- Te bile pas ! On va y arriver ! On a tout le temps !
Il m’a enfoncé le plug jusqu’à la garde, et celui-ci est entré jusqu’au bout sans difficulté.
- Il est tout de même quelques centimètres plus petit que moi ! a dit Xavier en riant.
J’ai gardé le plug en moi et nous sommes allés… danser une sorte de slow africain… nos corps soudés l’un à l’autre… nous embrassant avec passion, avec le plug bien arrimé dans mon anus. Nous avons terminé la bouteille de champagne. J’étais complètement bourré. J’étais bien. Lui aussi.
Nous sommes retournés nous allonger. Xavier a retiré le plug et m’a pénétré d’un coup jusqu’à la garde. Ce fut tellement fort comme sensation que j’ai d’abord hurlé, et que je crois bien que j’ai immédiatement éjaculé. Mais cela avait été si intense, que je n’en suis même pas sûr. Toute la sensation était concentrée dans mon anus.
Avec cet engin énorme qui se déchaînait en moi. Xavier m’a imposé ce traitement de force pendant de longues minutes. C’était à peine supportable. Mais je ne pouvais plus le lui dire. J’étais comme paralysé d’un mélange de douleur et d’intense plaisir. Je ne pouvais que crier comme une bête à chacun de ses assauts. Je crois même m’être évanoui à un moment. Enfin je n’en suis pas sûr ! C’était de la folie.
Je l’ai enfin entendu hurler à son tour un plaisir énorme et ai nettement ressenti les premiers jets de sperme dans mon anus. Nous nous sommes écroulés l’un à côté de l’autre. Je crois que je me suis endormi tout de suite après.
Xavier m’a réveillé quelque temps plus tard. Juste pour dire :
- Bart vient d’appeler. Il reste chez sa sœur, et toi tu restes dormir ici ! Dormez, demoiselle, vous avez été magnifique, a-t-il rajouté avec une dernière caresse sur mes cheveux.
Je n’ai rien répondu. Plus de forces. Et je me suis rendormi immédiatement.
….......................................
J’occupe mon nouveau poste dans cet hôtel à Constantine depuis un mois environ. Pas eu le temps de chômer. J’ai fait de mon mieux, avec toutes les réserves de sens pratique dont je suis capable, pour bousculer les inerties, combattre les rivalités, valoriser les petites mains, etc. Je suis bien crevé, mais ça commence à rouler dans la bonne direction. Je crois que les gars m’aiment bien, et les tensions se limitent de plus en plus.
Ah si, j’ai un rebelle ! Un dénommé Abdel qui, depuis la réception où il travaille, fait de la résistance. Pas vraiment ni directement avec moi. Mais il est assez arrogant avec la plupart de ses collègues, surtout les aînés…
J’ai pris à part Khaled, l’un de ses plus jeunes collègues et que j’aime bien. Je lui ai parlé du cas Abdel. Il m’a répondu en souriant que ça ne le gênait pas trop, qu’il le connaissait un peu, qu’il était à part, un artiste, m’a-t-il confié. Qu’il faisait de la peinture, et qu’il avait besoin du job pour croûter, mais que le boulot le gavait grave !!
Que faire ?
Même si je mélange jamais travail et plaisir, je ne peux pas me cacher le faible que j’ai pour Abdel. Ce garçon de 22 ans dégage quelque chose de… spécial. Le look, une façon plutôt informelle de s’habiller, sa morgue, sa façon de parler et répondre tant aux clients qu’aux collègues, le regard, le regard surtout !
Je laisse donc filer pour l’instant. Mais chaque fois que mes yeux et les siens se rencontrent, je sens quelque chose se liquéfier en moi, et je suis obligé de me faire violence pour briser le courant naissant.
Ma vie est tristouille. Heureusement qu’il y a la piscine et le hammam qui me permettent de me décontracter. Et puis l’intimité de ma chambre. Je me trouve de plus en plus narcissique, prenant un réel plaisir solitaire à me mettre nu, à me maquiller comme je sais désormais si bien le faire, à enfiler l’une des perruques que mon ami Xavier m’a offertes avant le départ pour l’Algérie, puis à m’enduire tout le corps d’huile d’amande douce… puis à passer du temps devant le miroir mural, rentrant le ventre, même s’il n’y en a vraiment pas beaucoup, faisant bisquer les pectoraux, et prenant des poses, plus suggestives les unes que les autres.
J’ai ramené maints gadgets, plugs, godemichés. Le cadeau d’Éric ? J’ai souri lorsqu’il me l’a offert. On appelle ça un slip gode je crois. Le gode est rivé à l’intérieur du slip en latex, côté intérieur bien sûr, et après une aide lubrifiante, on se déplace avec un gode dans le cul. En général, je ne le garde pas plus de deux heures, mais j’aime beaucoup !
Bart quant à lui, m’a averti du désert culturel adapté aux gays, et il m’a refilé une dizaine de DVD de Cadinot. J’imagine que c’est interdit ici, aussi lorsque j’ai passé la douane en arrivant, j’ai un peu serré les fesses. C’est vrai que c’est vraiment excitant et bien tourné.
J’ai aussi ramené quelques tenues féminines. Deux robes moulantes et une mini-jupe.
À deux reprises, je suis sorti dans Constantine. Une fois avec un ami toulousain de passage, une autre fois avec un copain italien qui tient la réception dans un tout petit hôtel du coin. La seconde fois, nous étions dans l’un des seuls bars ouverts très tard dans la nuit. J’étais assis à une table avec Damiano, et en m’absentant pour aller aux chiottes, je suis passé devant un groupe de jeunes, et me suis trouvé nez à nez avec Abdel le Rebelle.
Nos regards se sont accrochés.
Il y a eu comme un grand vide dans mon esprit.
Comme si la salle était devenue silencieuse.
Comme si lui et moi étions seuls.
Son regard n’était pas hostile, juste curieux.
Le premier, j’ai rompu le charme.
Je l’ai salué de la tête.
Il a marqué un temps de retard.
Il m’a semblé le voir légèrement sourire, ou peut-être le sourire était-il uniquement dans ses yeux ?
Puis il a hoché la tête à son tour.
Tel un automate, j’ai alors poursuivi mon chemin et me suis retrouvé aux chiottes. Je crois bien que j’ai dû regarder devant moi pendant cinq minutes, la bite à l’air, avant de pouvoir pisser.
Les nuits qui ont suivi ont été agitées. Sans arrêt je me réveillais. Inutile de préciser qu’Abdel était le personnage récurrent de mes rêves. Comme toujours j’allais me branler pour calmer mes nerfs. Ça ne m’empêchait pas d’accumuler du déficit en heures de sommeil. Je suis devenu complètement à cran, limite agressif.
Et les journées étaient rythmées par de réguliers échanges de regards entre Abdel et moi. Au fond de moi-même, j’étais furieux de mon impuissance, et c’est ce que mes yeux devaient dire. Et devant moi, j’avais ce même regard arrogant et moqueur aperçu dans le bar, l’autre soir.
Un soir, alors que je venais d’avoir un entretien téléphonique plus mouvementé que d’habitude avec le contrôleur financier, à Marseille, je suis allé me dégourdir les jambes vers la réception, et ai été témoin à nouveau, d’une de ces prises de bec stérile entre Abdel et l’un de ses collègues. Je ne suis intervenu qu’à partir du moment où l’autre a bousculé Abdel.
- Pourquoi pas un match de boxe pendant que vous y êtes ?
Hors de moi, je les ai convoqués dans mon bureau. Je leur ai fait un discours aussi moral que stupide, tant pour évacuer ma rancœur du moment que parce que c’était tout de même un peu trop. Bien entendu, Abdel le rebelle simulateur avait retrouvé tout son calme. L’autre était encore chaud comme les braises. J’ai renvoyé ce dernier chez lui en lui promettant un blâme officiel. Et je me suis retrouvé seul avec Abdel.
Silence.
- Écoute Abdel, je suis fatigué de ton comportement ! J’ai renvoyé ce type mais c’est toi que j’aurais dû renvoyer !
- Alors pourquoi tu l’as pas fait ?
Silence.
- Je suis fatigué, Abdel ! J’ai pas envie de polémiquer avec toi ! Il y a un truc qui colle pas entre nous deux et je sais pas quoi ! Je devrais t’en vouloir et probablement te virer ! T’es d’accord ?
Silence de sa part. Il a beau être brave, l’idée de perdre le job doit pas bien l’amuser. Je me jette à l’eau :
- Si t’es d’accord, on va avoir une discussion tous les deux, après le travail. Viens me voir vers 7h ce soir, ok ?
- Où ça ?
- Dans ma chambre. Tu sais où elle est ?
De nouveau, les yeux qui sourient.
- Je préfère 8h !
- Ça m’aurait étonné ! Tu lâches rien, hein ?!
- J’ai une course à faire, ajoute-t-il.
Tu parles ! Aussi fier qu’un bédouin ! Lorsqu’il sort du bureau, je soupire longuement. Tout ça m’a épuisé. Je passe chez mon assistante et lui dis que j’ai mon compte, que je ne reviens pas avant le lendemain.
Ma chambre, qui est plutôt un appartement, se situe tout en haut de l’hôtel. On y accède soit de l’hôtel via l’ascenseur, soit de l’extérieur par des escaliers. Je sais que mon prédécesseur qui était assez… fort, m’a avoué ne jamais, au grand jamais, les avoir empruntés. C’est un peu un penthouse ! La classe.
Sieste et douche plus tard, pastis aussi, Marseille oblige, je me retrouve de nouveau en tête-à-tête avec mes contradictions. Je me rase soigneusement et me prépare comme je sais le faire avant l’arrivée d’Abdel. Lorsque deux coups se font entendre derrière la porte, j’ai juste eu le temps d’enfiler un baggy et un tee-shirt avec le Che ! Et aussi de mettre un peu de gel dans les cheveux ! Hé, vous me prenez pour qui ?
Son visage est moite, sa respiration rapide. Je devine qu’il a pris l’escalier extérieur. No comment. Lui aussi a fait quelques efforts de toilettes. Un jean moulant, des baskets plus blanches que blanches, pas de chaussettes bien sûr, une chemisette rouge satin très flashy dont les trois premiers boutons sont défaits, laissant apparaître le haut de sa poitrine.
- Vas-y, rentre ! T’es déjà venu ici ?
Il prend le temps de jeter un regard circulaire :
- Non, jamais !
- Rentre, reste pas scotché, je vais pas te bouffer… tout de suite !
Humour stupide. Sourires convenus. Il s’avance. Je le vois immédiatement attiré par les deux eaux-fortes de Derain qui sont accrochées sur un mur du salon.
- C’est cool, ici ! J’aime bien ça ! C’est de qui ? demande-t-il en montrant les Derain.
Je le lui dis. On va vers eux. Je suis aussi mal à l’aise que lui. Je me lance :
- J’ai entendu dire que tu peignais ?
Intrusion. Colère. Réaction.
- Qui t’a dit ça ?
- Tes amis de la réception ! C’est un secret ?
Pas de réponse.
Abdel se retourne vers moi :
- Je suis venu pour m’excuser pour ce qui s’est passé à la réception tout à l’heure… Heu… je crois que je l’avais un peu trop charrié, l’Abdou. C’est de ma faute, pas la sienne.
Et moi de respirer meilleur !!
- Eh bien voilà une affaire de réglée ! lui dis-je avec une tape sur l’épaule. Assieds-toi, on va fêter l’armistice ! Tu veux quoi ? Une bière ? Un verre de vin ?
- Non, je bois pas d’alcool. Un coca, si tu as.
L’atmosphère est immédiatement plus détendue. On parle peinture. Il me parle des cours qu’il prend avec une vieille prof anglaise de Constantine, de ses progrès, de ses rages, qu’il apprend l’anglais en même temps. Je bois mon Viognier et l’écoute se raconter. Il accepte finalement un verre de blanc.
- J’ai envie de goûter.
- La première fois ?
- J’ai déjà bu du vin rouge et j’ai pas aimé. Je veux essayer le blanc.
Et moi de lui vanter les mérites du cépage ! Du coup, il est forcé de me dire qu’il trouve ça vraiment bon.
- Alors, ça te plaît la vie à Constantine ? (Après avoir accepté un second verre qui semble lui délier la langue.)
- J’ai pas beaucoup d’amis ! En fait, je n’en ai aucun ! Alors ouais, c’est vrai, Marseille me manque parfois ! Heureusement que tu me donnes du souci, ça m’occupe.
On rigole plus librement. Il m’explique que le job est assez alimentaire pour lui. Que son rêve, c’est de vivre de sa peinture… un jour.
- Pourquoi pas ? dit-il fièrement.
- T’es aussi rebelle qu’un fellagha d’avant l’Indépendance ! Tu verras, tu y arriveras !
Nouveaux rires ! Nouvelle bouteille !
- Tu as une fille qui t’attend en France ? demande-t-il.
Temps d’arrêt. Décision. Merci, Viognier !
- Non, pas de fille !
Silence. Nouvelle gorgée.
- Il est bon ton… Vi-o-gnier ! dit-il en détachant les syllabes et en lisant l’étiquette.
« Que ce type est beau ! » ne puis-je m’empêcher de penser, alors que les effets du vin commencent insidieusement à se faire sentir.
- Je crois bien que je suis un peu pompette, dis-je.
Il éclate de rire et commente le mot pompette, et me dit que lui aussi commence à être pompette !! Je crois que la discussion, ce qu’elle avait d’intéressant, est restée en suspens :
- Tu crois que tu peux garder un secret pour toi, Abdel ? Même pompette ?
Regard profond. Quelque chose bouge. Et tu le sais, Abdel.
- Oui.
- Je ne suis pas attiré par les filles.
Nouvelle longue gorgée. Abdel se ressert tout seul cette fois. Sourire entendu :
- Alors nous avons presque un point commun, Jean.
- Pourquoi presque ?
- Parce que j’aime les filles… et les garçons !
- Et tu préfères ?
- L’intelligence. Je ne suis pas encore fixé, pour être franc !
- Ça, j’arrive pas à le comprendre ! T’as vraiment pas une préférence ?
- Reste ici quelques mois, Jean ! Tu verras la vie des jeunes, ici ! Si une fille te plaît, tu dois faire gaffe ! Si un garçon te plaît parce que tu peux pas sortir de filles, tu dois faire gaffe aussi ! Alors tu finis par prendre ce qui se présente ! Enfin, je veux dire, tu es forcé d’adapter tes sentiments au quotidien.
- Et t’en es où ?
- Je suis déjà sorti avec deux filles ! Deux Françaises, clientes de l’hôtel, pour tout t’avouer ! Et je peux aussi te dire que je suis pas le seul !
- Et les garçons ?
- Ça, c’est plus fréquent ! Tu verras, c’est pas les occasions qui manquent. Mon problème, c’est que j’ai des principes. Je suis plutôt… actif. Je laisserai jamais quelqu’un me baiser. Et comme on est plutôt nombreux comme ça, ça limite quand même les possibilités. Et toi ?
- Je suis la chance de ta vie, Abdel ! Je suis passif. J’adore les actifs… et tu me plais… énormément !
J’ai posé mon verre sur la table du salon, et suis allé fermer les rideaux du salon ! Seule une magnifique lampe à pétrole renvoie une faible lumière dans la pièce. Ambiance. Les femmes de Derain nous regardent. Lorsque nos lèvres se rencontrent, j’ai comme un grand flash dans les yeux.
Il pose son verre à son tour et vient poser ses deux mains dans mon cou pour m’attirer et me serrer très fort contre lui. Son odeur corporelle, où je devine le cumin, vient assaillir mes narines, et je respire à fond cette odeur d’homme qui m’a tant manqué ces derniers temps. Sa langue tourne doucement et assez maladroitement dans ma bouche, mais la mienne vient lui indiquer le rythme qui convient. Un peu plus tard, mes doigts s’activent pour défaire les boutons de son habit de feu.
- J’aime beaucoup ta chemise ! lui dis-je.
- C’est vrai ?
- C’est pas vu ! Surtout ici !
- C’est ce que tout le monde me dit quand je la mets ! Je l’adore aussi ! C’est un ami qui me l’a ramenée d’Espagne !
- Abdel, mes goûts sexuels sont… particuliers ! J’espère que ça te plaira ?!
Nouveau long baiser. Où j’avale goulûment son abondante salive.
- Particuliers ? C’est quoi, particuliers ?
- Tu verras. Plus tard, tu verras !
J’enlève sa chemise, la mets sur un cintre et vais la suspendre à une chaise.
- T’es méticuleux, dis donc ! dit-il en souriant.
- Ça fait partie de mon jeu, tu verras !
Même combat pour son pantalon ! Évidemment, son slip est à chier !
- Qu’est-ce que c’est que cette merde ? je demande en le tenant à bout d’index, comme si c’était un chiffon sale.
Ça le fait exploser de rire et j’en rajoute sur l’impossibilité à être gay à part entière dans un pays où les slips sont si nuls. Et je lui fais aussitôt mon premier cadeau, un shorty HOM noir en lycra, piqué à Éric par erreur. Il l’essaie immédiatement. Ça lui va… trop bien !
Imaginez un mec de 1m 85, avec des carreaux de chocolat sur le ventre, des pectoraux de joueur de rugby et la musculature des trapèzes qui va avec. Une peau marron, bronzée juste comme je l’aime, pas plus, des fesses rebondies qui sont un appel vibrant au massage, les contours d’un sexe déjà bien excité qui joue à faire bouger le lycra, comme un œil fatigué qui clignoterait à intervalles réguliers…
- T’es une vraie gravure de mode, Abdel ! En France, tu passes un casting, ils te prennent tout de suite !
- Y prennent les Arabes ?
- Les Arabes, les Blacks, les bruns, les métis !!! Tout ce qui est beau et qui fait vendre !
Nous rions. J’embrasse Abdel. Une grande douceur dans son baiser. Je ne sais si c’est le poids de son bras qui fait incliner mes lèvres vers sa poitrine. Je suis bientôt en train de sucer un téton qui se durcit au fur et à mesure. Gémissements, approbation, joie de la caresse !
- Tu as le corps d’une fille ! dit-il avec un zeste d’étonnement dans la voix, tu es doux comme une femme ! poursuit-il.
- Et ça te plaît ?
- J’adore !
Ses deux mains enserrent alors mes fesses après les avoir pelotées, comme pour s’assurer de la réalité de ce qu’elles touchent.
- C’est incroyable, t’as pas un seul poil… j’ai jamais vu ça !
- Tu aimes ça, hein ? dis-je.
- Oh oui !
Et tandis qu’il parle, nos corps se frottent inlassablement l’un à l’autre, s’explorant de tous côtés, faisant en sorte que la moindre caresse augmente notre plaisir. Il ne cesse d’être étonné par mon corps épilé et le dit :
- J’ai eu une relation avec un client de l’hôtel il y a deux mois… originaire de Singapour… il était beaucoup plus petit… et pas un poil, comme toi, à part autour de la queue, tout de même. C’est marrant, il ne se rasait même pas. Je ne sais si c’est qu’il ne pesait pas 50 kilos, et qu’il avait les traits très fins, mais j’ai cru qu’il avait pas plus de 20 ans… il en avait 34 !
Nos corps continuent leur exploration. C’est incroyable comme les rôles se répartissent instinctivement. Avec sa main sur mon visage, Abdel pousse ma bouche vers son autre sein et lui donne son autre téton à sucer ! Bien sûr que j’obéis. Ma queue durcit encore un peu plus en l’entendant réagir à mes caresses. L’excitation me gagne progressivement à mon tour. Tandis que je lui donne du plaisir en le mordillant, en faisant que ma langue tourne et retourne autour de sa pointe dressée, mes mains explorent son corps.

A suivre pour cette exploration
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