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8 Mai: Hommage à tous ceux qui défendent ou ont défendu notre fier pays
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Jour férié
Ce jeudi on a reçu un couple de potes.
On a passé une bonne journée..!
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Histoire du net. Auteur inconnu. L'autochtone.... Fin
Être à lui... Vivre et partager...
Découvrir d'autres plaisir...
Apprendre à prendre.
Constantine
Fin
Des fesses musclées et rebondies. Toutes de poils vêtues. Un sexe… surprenant ! Plus par son épaisseur que par sa taille. Lorsque ma main droite le découvre, elle marque un temps en découvrant que pouce et index ne peuvent de rejoindre lorsqu’elle tente de se saisir de la base. En même temps qu’elle découvre que la taille ne doit dépasser les quinze centimètres, elle caresse sans surprise l’extrémité sans prépuce. La main d’Abdel me force inexorablement à m’agenouiller. Je n’oppose aucune résistance.
- Tu veux que mes lèvres et ma langue découvrent ton pénis et lui rendent hommage, elles ne rêvent que de ça, j’imagine.
Abdel agrippe mes cheveux de ses deux mains et donne le rythme à la fellation. Il s’auto-fellationne par ma bouche interposée. Je relève difficilement les yeux et contemple ce visage qui affiche son plaisir. Comme sa queue n’est pas trop longue, j’arrive à en saisir la plus grande partie. Mes mains sont accrochées à ses deux fesses, et très vite, je les sens qui se contactent et vibrent de plus en plus.
Bientôt, je le sens qui tire ma tête avec de plus en plus de fermeté et d’autorité d’avant en arrière, forçant ma bouche à accepter le rythme qu’il veut donner à son plaisir. Cela va de plus en plus vite. Cela va très vite, en fait. Il m’étouffe presque. J’ai presque un haut-le-cœur, mais j’oublie ce léger inconfort, tellement je suis excité par l’autorité d’Abdel ! Je sens mon sexe qui enfle lui aussi, au fur et à mesure que croît l’excitation de mon amant.
Puis tout va très vite. J’entends ses cris sourds en même temps que je sens les spasmes de son sexe et la chaleur des jets de sperme dans ma bouche. Ses cris rauques ! Ses muscles tendus ! Ses mains tremblantes qui m’arrachent presque les cheveux ! Il enfonce encore plus loin son sexe dans ma bouche ! Je devrais vomir… j’éjacule à ce moment précis !
Puis je sens la pression fuir les mains d’Abdel. Et c’est alors mon tour de la mettre sur mes propres mains afin d’empêcher que s’arrête le mouvement de va-et-vient, et de repêcher les ultimes gouttes de sperme au fond de ma gorge. Orgasme sublime ! Sensations opposées qui s’unissent pour hurler un plaisir en commun.
Tout a été très vite ! trop vite sans doute. Nous en avons tous les deux conscience. Peut-être à cause de cela, au lieu de s’éloigner l’un de l’autre, comme cela arrive si souvent, nos deux corps s’enlacent. Nos bouches se rencontrent. Nos langues aussi.
- Le goût du sperme ne te dérange pas ? je demande à voix basse.
Il semble réfléchir.
- Non ! En fait j’aurais cru… mais non ! Et toi ?
- En général, il me dérange après l’orgasme ! Pas avant, jamais !
- Tu avales toujours ?
- Ça dépend.
- Ça dépend de quoi ?
- Ben… du garçon ! dis-je en riant, quelque peu gêné.
- Et moi ? Ça va ?
- Toi ! Ça va très bien !
- J’ai envie de te faire l’amour, tu veux ?
- Une petite douche d’abord ?
- Tu veux que je te frotte le dos ?
- Non. C’est moi qui te frotterai le dos ! Je veux que tu rougisses comme une jeune langouste.
Nous rions. Je me sens relaxé, détendu… heureux, peut-être ?! Ses mains parcourent mon corps, son index cherche mon anus. Je le repousse. Mon corps n’a pas besoin de nouvelles caresses. Pas encore. Le sien si, apparemment.
- Quelques instants de bonheur, après tout ce boulot et ces employés de merde, quelle chance !
Nous rions de nouveau. Il me traite de raciste, de sale blanc. Aux caresses succèdent une violente tape sur ma fesse pour me rappeler toute l’envie qu’Abdel a encore en lui.
Quelques instants plus tard, nous sommes sous la douche. Comme promis, après avoir sans économie aucune inondé le loofa de savon liquide, j’entreprends de le savonner ! Il se laisse faire comme un chat que l’on caresse ! Que cela jamais ne s’arrête, semble-t-il penser. Je parcours son dos musclé et ses fesses rebondies ! J’insiste tellement sur celles-ci qu’elles seront immaculées mais rouges jusqu’au lendemain matin, c’est sûr ! Je m’agenouille dans la douche ! Je frotte maintenant ses cuisses, puis ses jambes, puis ses pieds !
Il se laisse faire sans parler ! Juste quelques grognements de jouissance. Je le vois aussi qui fait bisquer ses muscles. Donnant à sa stature déjà suffisamment athlétique une allure d’éphèbe ! Le fait-il pour moi ? Pour lui ? Pour nous deux ? Lorsqu’il se retourne, je suis encore à genoux, et me retrouve nez à sexe avec un pénis qui a retrouvé toute sa dimension. Nos regards se rencontrent. Nous nous sourions. Je souris à son énergie. Lui anticipe une nouvelle caresse.
Je commence à le sucer. Sa queue est encore plus ferme que tout à l’heure ! L’eau nous coule encore dessus. On oublie la douche. Nous sommes tous les deux nus dans une île déserte près d’un torrent, sous l’eau d’une chute. À part que l’eau est tiède ! Abdel vient d’arrêter la douche. Je continue à enfourner son membre au plus profond que je le puisse. Je vois bien que plus je l’avale loin, plus son soupir est bruyant, me signifiant ainsi combien il aime. Gentiment il me repousse et met sa queue hors d’atteinte.
- On retourne au lit ?
Ça a l’air d’une question mais ce n’en est pas vraiment une. Rapidement nous nous séchons. Je ne peux qu’être admiratif de nouveau en contemplant la magnifique plastique de corps d’Abdel. À ce moment, je l’ai tellement dans la peau qu’une nouvelle bouffée de plaisir m’envahit à mon tour. Ma queue est bientôt brandie. Et comme nous sommes l’un en face de l’autre, il le voit. Il rit à son tour et donne une tape sur ma queue. Je fais de même sur la sienne, et cela dégénère dans une bonne partie de fou rire où nous nous poursuivons dans l’appartement, chacun armé d’une serviette, que nous faisons claquer habilement sur la fesse de l’autre. Comme nos corps sont encore mouillés, ça fait mal ! Mais nous n’en rions que plus.
J’ai ouvert une nouvelle bouteille de Viognier, sorti des olives géantes du frigo, ainsi que des anchois que j’ai ramenés de France. Abdel découvre le goût des anchois. Une première, dit-il. Pas mauvais du tout !!!
Je veux…
Au bout de la bouteille, nous sommes bien ivres tous les deux. Non pas seulement du vin, mais aussi de cette liberté d’être ensemble et de nous aimer à notre guise. Abdel m’explique que chaque fois « qu’il a une occase… », c’est toujours à toute allure, dans le recoin d’une cave, au milieu d’odeurs de merde ou de poubelles, ou encore plus vite dans une chambre, avec l’autre qui te demande de baiser encore plus vite, homme ou femme, avant que l’inconnu survienne.
Alors tout de suite, il profite.
- Moi aussi, lui dis-je.
Pour d’autres raisons, sans doute. Car je suis tombé raide dingue de ce corps sauvage et musclé, de cette queue si dure, du sourire moqueur, aussi !
Abdel avoue une petite faim. D’autorité, il ouvre la porte du frigo et dégotte, ici et là, du fromage blanc et un pot de miel. Nous nous retrouvons tous deux nus, ivres, riant de notre bonheur et de notre liberté, partageant le fromage blanc avec l’unique petite cuillère propre que j’ai dégotée.
Entre deux poussées de rire, alors que c’est mon tour de lui donner la béquée, il me donne du « maître blanc », accent africain néocolonial compris, auquel je réponds par un « Ta gueule, l’Arabe ! », lequel provoque la soi-disant colère de l’Arabe en question, lequel plonge les doigts dans le fromage blanc et me le projette sur la gueule ! Bref, c’est bientôt le chaos ! Si le pot de fromage avait été petite taille, no problem, mais voilà !!! King size !
On s’en est mis partout !
Au lieu de s’en indigner, beurrés comme nous sommes, nous éclatons de rire… puis nous rapprochons, et nous nous enlaçons, faisant glisser le blanc fromage sur nos corps.
La petite orgie, quoi ? ! Enfin, visuellement, c’est vraiment ça ! C’est à celui qui en fera le plus. J’ai commencé à branler Abdel avec une main pleine de fromage ! Abdel, dont le visage est plus blanc que beurre, vient se frotter contre mon torse en gémissant. Nos deux queues sont bandées à mort. La situation nous excite autant l’un que l’autre.
Nous cherchons comment nous pouvons nous exciter et délirer davantage au milieu de tout ce fromage ! Abdel enferme nos deux queues dans sa main. Il serre jusqu’à faire mal et branle nos deux membres en même temps.
Mais ça ne suffit pas.
Il ouvre le pot de miel, après un « Tu vas voir ».
J’ai quand même insisté pour une douche ! Le mélange fromage blanc - miel, pas trop mon truc ! Abdel s’est laissé convaincre, mais tout juste… Nous nous sommes retrouvés allongés sur le lit, tout juste dégrisés. Nous nous sommes longtemps embrassés.
- J’aimerais bien que tu me fasses l’amour ! dit Abdel.
- Je suis plutôt passif, tu sais !
- Je sais, mais j’éprouve un plaisir, un bonheur que je n’ai jamais connu jusque-là ! Et j’aimerais que tu me pénètres !
- Ce serait la première fois pour toi ?
- Ben oui !
- T’as vraiment envie ?!
- J’ai un peu peur d’avoir mal, mais j’ai très envie !
- Je crois que j’ai quelque chose pour toi !
Je me lève, vais vers mon armoire, sors une petite sacoche rose (ça ne s’invente pas) d’un sac, et le jette sur le lit, vers Abdel qui le récupère au vol.
- C’est quoi ? demande-t-il.
- Ouvre ! C’est cadeau !
Il ouvre et découvre tout d’abord le slip gode en latex puis l’un des godemichés vibrants, cadeaux d’Éric.
- Ouah ! C’est quoi ?! s’étonne-t-il en prenant le slip gode.
Je lui explique que la meilleure façon de le savoir, s’il est toujours partant pour se faire niquer, c’est de commencer par les préliminaires, et que j’ai décidé que son cadeau ferait bien l’affaire pour ceux-ci. Il avoue son étonnement.
- J’en avais déjà vu sur Internet, mais jamais en vrai !
- Commence par le gode.
- Aide-moi !
- Avec plaisir ! Mets-toi à quatre pattes sur le lit, écarte les jambes et ferme les yeux ! Je m’occupe de tout !
- Qu’est-ce que tu vas faire ?
- Laisse-toi surprendre, tu veux bien ?
Il rigole et va s’allonger sur le lit en tendant son cul vers le plafond, m’offrant la vue sur sa jolie rondelle. Je vais mettre un CD de Nat King Cole en sourdine, finis au passage un verre de blanc qui traînait et retourne le mater. Qu’il est beau ! cette peau brune ! ces muscles saillants !
- Ne dis rien, Abdel ! Laisse-moi d’abord t’admirer ! Nom de Dieu, comme t’es beau ! Comme ton cul est beau ! Comme je vais aimer t’enculer !
- Va…
- Shhhhhh ! Tais-toi, j’ai dit. Et ferme les yeux ! À partir de maintenant, tu n’as plus le droit de parler ! Seulement de gémir… et de jouir !
Je vais à la salle de bain et en reviens avec de l’huile solaire. J’ai décidé que la beauté serait encore plus belle si elle brillait de mille feux ! J’enduis tout son corps ! Je le sens prendre plaisir à ce massage inattendu. Ses fesses qui ondulent d’une façon… plus que provocante, ont bien entendu droit à un soin très spécial. Par ses mouvements, il me fait sentir son plaisir, mais aussi son impatience.
Je le laisse languir. Je me recule. Je l’admire. Un instant, j’aimerais être lui. Il reste allongé immobile. Il sait que je le regarde. Lui aussi doit avoir une forte dose de narcissisme en lui. J’aimerais avoir un appareil photo et immortaliser cet instant de grande émotion.
Je me rapproche de lui. Mes mains parcourent à nouveau en le caressant cette peau de satin. J’écarte avec douceur ses fesses, et lorsque ma langue vient titiller sa rondelle, Abdel réagit :
- Comme c’est bon, c’est bon !
Je décide de le punir pour avoir rompu le charme. Je retourne à la salle de bains, en reviens avec une large bande de tricostéril, et… l’applique sur sa bouche.
- Tu veux que ce soit moi, le maître ! J’ai dit oui ! Je veux que tu te taises, et donc tu vas te taire ! Ça va ?
Il agite la tête de bas en haut pour m’indiquer qu’il accepte le jeu et ses règles. Je recommence ma caresse buccale.
- Mmmmh !!! Mmmmmh !!
Ma langue pénètre doucement, puis moins doucement, et plus tard le plus profond possible dans son anus.
- Ouaammmmmhh ! Mmmmh !
L’excitation d’Abdel est le meilleur des excitants pour moi. Ma queue est tendue vers le haut et j’ai beaucoup envie de jouir, mais je sais qu’il est beaucoup trop tôt, et je me retiens. Abdel a rouvert les yeux, bien sûr. Il se retourne régulièrement et ses yeux me disent son désir. Sa queue aussi, d’ailleurs. Parfois, je la caresse avec la main, allant des bourses vers le gland… et le « langage MMMMmmmh » d’Abdel monte d’un ton. Je lui souris vicieusement, ne lui laissant aucun espoir sur la rapidité de la suite à venir.
Et puis mes yeux se sont posés sur le pot de miel. Et puis mes mains. J’ai trempé mon majeur droit dedans, et l’ai doucement introduit dans l’anus d’Abel.
- Ma langue, mon doigt, du miel ! Je te gâte, Abdel, hein ? ! Tu aimes ?
- Mmmmmhhhhh.
En tout cas, ça ne lui déplaît pas, j’en suis sûr ! Mon doigt mielleux va au plus profond possible de sa longueur. Puis je me mets à dessiner des cercles d’abord étroits, puis un peu moins… jusqu’à ce que mon doigt trouve toute son aisance. Je reviens me réapprovisionner chez les abeilles avec l’aide de l’index, et ce sont maintenant mes deux doigts qui peinent d’abord, puis beaucoup moins ensuite en tourbillonnant dans le joli cul d’Abdel.
- Ça te plaît, mon joli ? Tu commences à jouir ?
Sa réponse, il la fait en ondulant de la croupe et en articulant quelques sons qui traduisent sans ambiguïté aucune son contentement.
- J’ai deux bonnes nouvelles, Abdel. Ton anus est dilaté comme je l’aime et on va pouvoir passer à la phase deux. Et comme t’as été obéissant, je vais t’enlever ton bâillon et tu auras le droit de parler.
Dont acte.
- Ah ! ce que c’est bon ! Comme tu t’y prends bien ! Tu me rends fou, la vérité vraie, tu me rends dingue !
- T’es prêt pour la suite ?
- C’est quoi, la suite ?
- Ben… le vibro !!
- Ouaouh ! J’ai peur ! Allez, vas-y quand même ! En fait, j’en crève d’envie ! Et puis, je crois que tout peut passer maintenant !
Je prends le vibromasseur, j’appuie sur le bouton ON. L’engin se met à vibrer dans ma main. Je le trempe dans le miel, comme si, désormais, ce pot était le passage obligé de tout ce qui rentre dans le cul d’Abdel. Puis j’approche le membre vibrant près de l’anus dilaté d’Abdel.
- Tu me diras si t’as mal, Abdel, hein ?
- Ok, vas-y.
Naturellement, par réflexe, le cul d’Abdel refuse dans un premier temps l’extrémité plutôt large du vibro.
- Ça veut pas rentrer ! dit-il, comme paniqué ou déçu.
- T’inquiète pas. Ça va venir ! Détends-toi !
- En fait, j’arrive pas trop à me détendre !
- Fais comme si tu étais aux chiottes ! Pousse !
- Comment ça, pousse ?
- Pousse comme si tu voulais chier !
- Mais je vais chier, si je fais ça !
- T’inquiète pas ! Pousse et te pose pas de questions !
- Ok.
Au début, il pousse un tout petit peu. Et le vibro, un peu trop gros, c’est vrai, a de la peine à s’introduire en douceur. Puis, sous mes injonctions susurrées à voix basse de continuer à pousser et à se détendre, le message passe dans sa tête… et soudain, le vibro s’enfonce…
J’ai un peu souffert moi-même des premières fois où j’ai été pénétré, même si, après coup, j’ai aimé la violence du rapport, alors je sais. Je n’essaie pas immédiatement d’enfiler l’engin jusqu’à la garde, bien que l’envie soit grande. Je le pousse de cinq, six centimètres, jusqu’à ce que je sente la première résistance, et je vais et je viens, de plus en plus facilement il est vrai, sur cette course assez limitée.
- Comment tu te sens ? C’est good ?
- Aaaah ! c’est super good ! Oh oui ! Continue comme ça ! Mmmh, comme je sens bien les vibrations… c’est génial !
- Pousse encore plus ! Je vais l’enfoncer davantage !
Ainsi fut fait ! Abdel s’est totalement détendu, a poussé très fort, et le vibro a été comme aspiré d’un coup vers le fond de son anus.
J’ai continué pendant cinq bonnes minutes à aller et venir en lui, faisant glisser le vibro sur toute sa course, jouant, entrant et sortant, puis lui l’enfonçant à fond d’un seul coup, sans que je ne ressente plus aucune résistance.
- Ça glisse bien.
- Ouais… c’est super… a-t-il répondu en gémissant.
- Tu vas pas éjaculer ?
- C’est pas loin ! Arrête un peu !
Plutôt que d’arrêter, j’ai enfoncé le gode à fond et l’ai laissé dans cette position. Puis je me suis saisi du sexe d’Abdel et ai serré bien fort. Je sais pas si c’est vrai, mais il paraît que ça empêche de venir trop vite. Sur moi, ça marche assez bien.
Puis je suis sorti sur la terrasse me fumer une clope. Non sans avoir ceint autour de mes reins une serviette de bain. Je suis tout de même le boss, ici. Une réputation à protéger. J’adore. Dehors, le style, le show ! Dedans, à quelques pas, Abdel et son cul qui m’attend ! L’ange et le démon ! Le yin et le yang ! Le gentil cadre et le voyou !
Lorsque je retourne à l’intérieur, Abdel joue avec le vibro ! Le faisant rentrer et sortir, lentement, à sa guise. « Quel beau cadeau je viens de lui faire », ne puis-je m’empêcher de penser. Je pense aussi qu’aujourd’hui est un jour nouveau dans ma vie homosexuelle. Je pensais n’être à l’aise que dans un rôle passif, et je me découvre des pulsions actives que j’ignorais. J’avance jusqu’à lui, je contemple son jeu. Il me regarde le contempler. Nous nous sourions.
- Comme c’est bon ! me dit-il.
- Ce qui est bon, Abdel, surtout, c’est qu’on se soit rencontrés !
Hochement de tête de sa part.
- Qu’est-ce que t’aimes le plus chez moi, Abdel ?
Il retire le vibro de son cul. S’assoit. Souffle. Réfléchit, les yeux regardant le plafond.
- Ta Liberté, Jean ! ta liberté !
- Tu veux dire quoi, exactement ?
- Tu le sais bien ! Ici, ce que l’on fait est plus qu’interdit. Et toi, tu transformes l’interdit en rêve.
- C’est beau ce que tu dis ! lui dis-je en le chambrant en prenant l’accent arabe.
Rires !
- Connard !
- Enculé !
- Même pas vrai !
Je me jette sur lui ! Nous luttons pour rire ! Puis j’approche mon sexe de sa bouche. Il l’avale et lui redonne rapidement toute sa raideur. Quelle pipe ! Ma queue va-et-vient dans sa bouche sans trouver le moindre obstacle… Si ce n’est cette langue qui titille mon gland et s’apprête à le faire bientôt exploser… Je m’extrais de justesse. Je retourne Abdel et me retrouve avec la queue devant son cul.
- T’es prêt pour le grand saut ?
- Oui ! Vas-y !
Comment dire. Si mon premier coup de queue est gentil, ne trouvant aucune, mais alors aucune résistance, le second est brutal ! Et le troisième ! Et les autres ! Je l’encule à chaque coup jusqu’à la garde, en imprimant le plus de force possible, et Abdel gémit son plaisir.
- Ah oui ! Oh c’est bon ! Mmmmh ! vas-y !… encore… À fond !!! Ohhhhh oui !
J’ai tellement attendu que, très rapidement, j’éjacule en lui, longuement, très longuement. Je lui hurle mon plaisir dans les oreilles, et lorsque tout est fini, ma queue est encore toute raide, et se trouve bien à l’aise, nichée dans l’anus de mon amant.
Ah, mon amant ! Quel joli mot ! Et qu’il lui va bien, à Abdel !
Lorsque je me retire, je me couche sur le dos, à côté d’Abdel, et ferme les yeux quelques instants. Je les ouvre à nouveau. Abdel est allongé sur le côté, sa tête en appui sur sa main gauche, sa main droite masturbant lentement son sexe tendu. Ses yeux grands ouverts me regardent et me sourient.
- J’ai très envie de toi !
- T’es pas crevé ?
- Tu rigoles ! J’ai très envie, tu sais ?
Sa main quitte son sexe pour venir caresser mon entrejambe et mon sexe au repos. Je me retourne sur le ventre, nos yeux rivés les uns dans les autres, l’invitant à continuer. Sa main se retrouve sur mes fesses. Il me caresse, me pelote, me pince aussi. Pendant quelques minutes, j’ai droit à un agréable massage… qu’une grande claque vient interrompre.
- Ouhh ! Tu fais mal ! dis-je sans me rebeller pour autant.
- C’est moi le patron, maintenant. J’ai envie de te niquer. Te niquer bien à fond. Tu m’as niqué, c’est normal que je te nique aussi…
C’est qu’il dit ça sérieusement, l’enfoiré.
- T’es un vrai poète, Abdel !
De nouveau, nous engageons une partie de rire et une vraie bagarre. Et je fais bien attention d’avoir le dessous. Je me retrouve bientôt immobilisé sur le ventre, Abdel assis sur mes fesses, ses mains paralysant mes bras. Vaincu.
- Allez, baise-moi, l’Arabe, lui dis-je, mais fais-le bien !
- T’inquiète pas, le Français, tu vas morfler.
Je sens son gland tout nu et tout dur qui vient jouer avec ma rondelle. Suivant mon conseil, il crache dessus, et me pénètre bientôt, un peu, beaucoup, passionnément… Je ne dirais rien de plus aujourd’hui… Mmmmh, c’est trop bon !
Pas de suite......... Vraiment dommage!
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Le 10 Mai est un jour important pour certains d'entre nous...?
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Une lampée par jour! C'est mieux que n'importe quel complément vitaminé..!
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Un Dimanche de brèves...
Quelques fois on cache de lourds secrets...
Surtout quand on est jeune...
AngusDonc je me présente, je vais m'appeler dans l'histoire Angus.
Avec mon meilleur ami on partageait tous, cigarette alcool soirée etc... Mais on s’était promis on touche pas au copine du moment. Donc tout se passe bien, soirée télé a trois car moi a l’époque j’étais seul, sortie toujours a trois. …
Jusqu'au jour ou quelque chose se passa...
En effet juste avant les fêtes de noël elle vient me voir car elle ne sait pas quoi offrir à son chéri, je lui réponds que si ça lui fait plaisir, j'ai un traducteur de langue qui dort dans un tiroir et que je peux lui revendre pour qu'elle puisse lui en faire cadeau. Elle accepte et lui promet de lui rapporter très rapidement.
C'est la que les choses sérieuses commencent
J'arrive chez eux et au moment ou j'ouvre la porte, elle descend les escaliers et vient à ma rencontre et la nous nous noyons dans nos regards. Nous restons comme ça 2 a 3 secondes et je lui tends enfin le futur cadeau pour qu'elle le mette en lieu sur.
Le soir même nous décidons d'aller manger un morceau dehors sur le stationnement, je dis à mon ami que je dois parler seul a seul avec sa copine au prétexte du cadeau de noël. Confiant il sort et s’éloigne de la voiture.
Je me retourne vers elle, appelons la « Béné » et lui dit en la regardant droit dans les yeux que tout a l'heure j’étais à deux doigts de l'embrasser. Quelle ne fut pas ma surprise quand elle me dit que elle aussi elle était partie pour m'embrasser et direct au but, elle me dit de rester un moment ce soir avec elle car après le resto mon copain, appelons le « Rico » va se coucher de bonne heure.
A l’époque il était ambulancier et il se levait vers 5 heures du mat et quelle voudrait ce qui peut se passer une fois tous les deux.
Le dîner est très bizarre . Le repas fini, on repart chez eux, Rico et moi allons brancher la console et démarrons une partie de jeu vidéo, au bout d'une heure, il me dit qu'il en a marre et décide d'aller se coucher. Moi de mon coté, je prétexte de finir le niveau pour ne pas perdre l'avance du jeu.
Enfin seul, continuant a jouer a la console,Bene vint derrière moi et commença un massage sur les épaules. Je mis la console en pause et me retourna vers elle. Elle fit le premier pas et m'embrassa a pleine bouche . J'allais droit au but et une de mes mains alla lui caresser sa chatte au travers de ses vêtements.
Je la pris par la main et partons en direction du salon,la je l'assis sur le canapé et tout en s'embrassant,je fais glisser sa culotte le long de ses jambes. Je commence par lui caresser le clito et un doigt pénètre dans sa grotte suivi bientôt d'un deuxième. Je commence mes va et vient …
Mon autre main est maintenant occupée à caresser ses seins je sens la jouissance monter en elle et la voit attraper un oreiller pour étouffer ses cris de plaisir. Après un temps d’accalmie,je lui signale que je n'ai pas fini et que j'adorerais lui lécher sa chatte, c'est la qu'elle prit les choses en main.
Elle me fit allonger et déboutonna mon pantalon. Tout en me roulant des pelles ,elle sortit ma queue de mon boxer et commença a me branler. Elle abandonna ma bouche et vint s'occuper de mon gland qu'elle lécha avec perfection et d'un coup elle m'engloutit ma bite entièrement.
C’était divin,tantôt des va et vient avec sa bouche tantôt elle jouait avec sa langue sur mon gland qui était violacé de plaisir. A ce stade je n'allez pas tenir longtemps. Je lui fit part que j'allais jouir et Béné fit la sourde oreille .
Je lâcha des jets de sperme dans sa bouche et elle avala tout ce qui sortait.
Béné m'avait vidé.
Je me prépare à passer a l'action une seconde mais elle freina mes ardeurs et me dit que maintenant qu'on avait fait connaissance un peu plus intimement on aurait tout le temps devant nous.
C'est pourquoi le rendez vous serait pris pour le lendemain matin car Rico ne serait pas la de la matinée....
Le lendemain matin, j'arrive donc chez elle. Elle me reçoit encore en chemise de nuit(il est encore tôt). Ni une ni deux, je fonce sur elle l'embrasse en glissant ma langue dans sa bouche tandis que ma main va se promener sous sa chemise de nuit pour me rendre compte qu'elle est nue dessous.
Elle me demande si j'ai du temps devant moi. Je lui réponds que oui et la elle m’entraîne dans la chambre sans oublier au passage de fermer la porte d’entrée a clé. Dans la chambre elle fait tomber la chemise et je découvre que cette petite coquine s'est rasé la chatte complètement.
Je l'allonge sur le lit et tout en l'embrassant, je la caresse et ma main va directement en direction de sa fente. Je lui écarte les jambes et descends ma tête tout doucement sans oublie de lécher ses seins au passage.
J'arrive enfin au-dessus de ma convoitise et plonge ma tête entre ses jambes. Je commence par lui lécher son clitoris tout en lui faisant un doigte. Ma langue fouille avec plaisir et récupère le jus qui sort au fur et a mesure. Je m'attarde sur l'entrée de son trou et ne tarde pas a découvrir son point sensible.
Elle commence à onduler de partout m'attrape la tête appuie sur cette dernière et m'encourage en se caressant les seins et le clitoris. Elle n’hésite pas a crier de plaisir je remonte ma tête vers la sienne pour pouvoir l'embrasser tout en la pénétrant avec 2 doigts.
D'un coup Béné me repousse pour mieux me déshabiller. Elle m'arrache complètement mon boxer saute sur ma queue et me l'avale littéralement
Tout en me branlant, Béné se met à me lécher les couilles et sa langue remonte le long de ma queue.
Elle fait des va et vient avec sa bouche. Je sens le désir monte et lui en fait part.
Elle s'arrête, revient m'embrasser et se pose au-dessus de ma bite.
Sa fente vient caresser mon gland violace de désir et je n'attends qu'une chose c'est qu'il rentre dans sa grotte chaude et humide. Elle attrape ma queue et vient la positionne au-dessus de l'entre de sa chatte. Lentement elle descend et ma queue la pénètre tout en douceur. Je ne reste pas inactif et m'occupe de ses seins en les malaxant et les suçant a tour de rôle pendant que de son cote elle attaque les va et vient dans sa chatte tout en se caressant le clitoris
Étant pris dans notre élan, nous n'avions pas entendu les coups frappés a la porte d’entrée. Béné se leva, attrapa sa chemise de nuit et alla voir à la fenêtre. Elle l'ouvrit et vit une des voisine qui était venu pour prendre le café avec elle.
Je voyais bien Béné qui n'arrivait pas a se défaire de cette conversation, moi je profitais de cette situation pour venir derrière elle et lui caresser la raie de son cul et sa fente avec une de mes mains.
Cette incartade eut pour effet de stopper nette la conversation ce que ne manqua pas de signaler son ami qui était toujours a la porte. Béné essayait de tenir la conversation mais ce fut plus difficile quand je lui introduit un doigt dans sa chatte.
Je lui fit quelque va et vient et une idée sournoise me vint à l'esprit.
Étant bloquée à la fenêtre pour le moment, je m'aventurais au niveau de son anus. Je commençais à lui caresser le contour et voyant qu'elle se cambrait, je pris ce geste comme accord.
Je mouillais mon doigt avec le jus qui ruisselait sa fente et pénétra son petit cul avec un doigt.
Un petit cri sortit de sa bouche et son ami se posa des questions se demandant se qui lui arriver.
Je retirais mon doigt pour tenter de laisser place a ma bite. Béné se retourna vers moi et vit que je me mis en position.
Elle me présenta son petit trou et vint me placer à l’entrée. Pour ne pas qu'elle crie (on ne sais jamais)je m'introduit en elle le plus doucement possible. Béné était là, figée à la fenêtre devant son ami qui commencer vraiment a se poser des questions car la respiration de Béné devenait de plus en plus courte et forte a la fois car de mon coté, je n’étais pas reste inactif, j'avais démarré mes va et vient dans son petit trou.
Ni tenant plus,Béné bredouilla un truc rapide a son ami et ferma rapidement la fenêtre car la jouissance de par son petit trou était imminente
Béné faisait elle meme les va et vient dans son petit trou apparemment elle aime ce faire prendre par ce cote la.
Les coups de butoir contre ses fesses devenaient de plus en plus fort et de plus en plus rapide.
Béné jouissait avec un intense plaisir. Je me retirais doucement de son petit trou et je partis m'allonger sur le lit. Béné vint me rejoindre,se mit au dessus de moi et vint m'embrasser.
Elle me mordilla l'oreille et me dit qu'elle n'en avait pas fini avec moi.
Sur ce, je la renversais et me retrouvas prêt à la pénétrer ce que je ne tardais pas a faire tellement j'avais envi de jouir.
J'attaquais mes va et vient dans sa chatte tout humide de plaisir j’étais au bord de la jouissance et lui en fait part. Béné me fait part qu'elle ne prend pas la pilule et me demande de sortir ma bite au moment opportun.
Je continuais de lui ramoner sa chatte de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je sortis ma bite de sa chatte et commençais a gicler sur son ventre. Béné se redressa et vint placer sa bouche a l’extrémité de ma bite qui lâchait toujours des jets de sperme. Elle finit de me branler et sa langue vint laver mon sexe bientôt suivi par sa bouche qui m'engloutit entièrement.
Nous nous allongeâmes un moment et après avoir repris quelque peu nos esprits,Béné vint caresser ma bite et me demanda si jetais partant pour un deuxième service car Rico ne revenait pas avant 14 heures.
Pour toute réponse j'allais lui caresser sa fente et ma tête repartit en direction de sa chatte avec comme décision de la faire jouir avec ma langue
J'attaquais mes coups de langue au niveau de son clito et lui écartais les lèvres pour pouvoir glisser ma langue et faire des va et vient dans sa chatte qui etait redevenue toute humide.
Tout en gémissant Béné me demanda de me mettre en position 69 pour pouvoir profiter de ma queue.
Elle attaquait mon gland avec sa langue pendant que moi je m'activais toujours a lui lécher sa chatte. Béné me léchait mes couilles tout en branlant ma queue qui était redevenue dur et gonflée de sang.
Elle me pompait avec fougue et délice tandis que moi j'avais glissé un doigt dans son anus bientôt suivi d'un deuxième. Béné etait au ange.
Elle avait lâcher ma queue et commençait a gémir sous les coups de langue et les va et vient dans son petit trou. Pour étouffer ses cris ,Béné récupéra ma bite et me l'engloutit entièrement elle me caressait les couilles et me les sucait en descendant avec sa langue.
C’était divin,je me disais que mon ami avait une sacre chance d'avoir une baiseuse comme ca dans son lit sauf que aujourd'hui c’était mon tour et que j'allais en profiter jusqu'au bout.
Après l'avoir fait jouir et crier avec ma langue, Béné vint positionner sa chatte au dessus de ma queue. Mouillais comme l’était sa chatte ma bite n'eut aucun mal a la pénétrer.
Béné attaqua les va et vient avec force et vigueur elle approcha sa tête de la mienne et dans un geste commun,nous sortons nos langues et nous nous les enroulons tantôt dans sa bouche tantôt dans la mienne.
Ses va et vient s’accélère et se sent Béné prête a jouir … Je retire délibérément ma queue de sa chatte et lui demande de se lever car j'ai une petite idée en tête
Je plaçais Béné en position de la levrette et la pénétra. Ma bite faisait des va et vient dans sa chatte tandis qu'une de mes mains alla chatouiller son petit trou.
Je réussis a pénétrer Béné avec mon pouce dans son petit trou et j’essayais d'alterner les va et vient de ma bite avec ceux de mon pouce. Je sentais Béné remontait dans une jouissance inaretable et décidais de sortir ma queue de sa chatte .
Béné se désola de ce geste mais des qu'elle sentit ma bite au niveau de son trou du cul elle se repositionna prête a me recevoir. Je la pénétrais tout en douceur et démarrais mes va et vient entre ses fesses.
Je décidais d'alterner les va et vient dans son cul et dans sa chatte.
Béné me fit comprendre que cette façon de la baiser lui plaisait énormément ;tantôt dans sa chatte et tantôt dans ses fesses ; au bord de la jouissance je decidais de finir dans sa chatte et de sortir ma bite au moment du non retour.
Mes coups de bite étaient de plus en plus rapide. Béné commençait a jouir sans retenue, de mon cote j'essayais un peu de me calmer pour ne pas lui couper sa jouissance.
Je me retirais et Béné vint tout de suite s'occuper de ma queue qui était violacée de désir elle decidat de me finir avec sa bouche et sauta sur ma bite qu'elle me pompa avec fougue.
A ce ryhtme la je ne tardas pas a jouir. Béné récupérait la moindre goutte qui sortait de ma queue. C'est moi même qui dut relever la tête de Béné tellement elle m'avait vidait les couilles.
Nous sommes restes comme ça encore quelques instants et nous nous sommes rhabillés en nous promettant de remettre ça le plus tôt possible.
Depuis nous baisons régulièrement ensemble mais ça ce sont des autres histoires que j'aurais le plaisir de vous conter
Donscott
Quelques fois on cache de lourds secrets...
Même les plus averti de la vie
Histoire de Jean dominé par sa maîtresse (très experte!)
Jean sentit qu'il était observé. Un cliquetis et la porte en face de lui soudain s'ouvrit.
De l'obscurité qu'il découvrit au-delà de cette porte, il entendit une voix douce et autoritaire à la fois lui ordonna de faire trois pas.
Jean les fit, entendit la porte se refermer et plusieurs verrous ou serrures se verrouiller.
- Maintenant, déshabille-toi entièrement, plie et empile tes vêtements correctement par terre. Tu n'en auras plus besoin pour un moment. Quand tu auras finis, attends la suite avec attention.
Jean se dévêtit rapidement et plia ses vêtements, puis il ferma les yeux d'anxiété et lentement se redressa et attendit la suite. Il s'agenouilla presque aussitôt lorsqu'il sentit la main gantée de l'inconnue lui attraper et serrer les couilles.
Grimaçant, il reprit tout de même ses esprit mais senti des ongles lui griffer le torse puis lui pincer sauvagement les tétons, et glisser finalement le long de son ventre, passer entre ses cuisses pour lui peloter les fesses.
Elle lui passa une cagoule sur la tête et zippa l'arrière et noua le lacet à la base du cou.
La bouche, les yeux et le nez restaient exposés et complètement disponibles.
- A quatre pattes !"ordonna-t-elle. Il se mit à quatre pattes et attendit.
- Ouvre les yeux et regarde mes talons !"
Suivant docilement les instructions, Jean ouvrit les yeux. De sa position, il eut tout loisir d'admirer les magnifiques cuissardes en cuir vernies. Son regard se focalisa ensuite sur les talons de quinze centimètres de haut.
Il se prosterna d'avantage, de lui même, et embrassa les pieds gainés de cuir. Il lui avait souvent parlé de sa passion pour le lêchage des cuissardes, mais il savait qu'elle réservait ce genre de privilège qu'en guise de récompense quand elle était satisfaite de ses performances dans sa soumission.
- Suis moi. Garde les yeux baissés.
Ils se déplacèrent le long du hall et tournèrent dans un salon. A quatre pattes, il était capable de voir un sofa en cuir, un fauteuil profond, et une table de salon. Elle s'assit dans dans le fauteuil.
- Viens ici et allonge-toi sur mes cuisses. Allonge-toi vers la gauche que je puisse user de ma main droite.
Jean se plaça docilement en travers des cuisses de sa maîtresse. Elle écarta légèrement les cuisses et ajusta sa position de manière à ce que la queue de Ian pende entre ses jambes gainées de bas noirs.
Elle resserra ses cuisses sur son membre et de sa main gauche lui maintint la taille.
Sa main droite commença à frapper ses fesses. Sans faire de pause, elle le frappa une fesse après l'autre alternativement.
Après une cinquantaine de fessées sur chacune d'elles, elle le poussa brusquement de ses genoux. Jean chuta lourdement.
- Retourne-toi à terre et allonge-toi sur le dos! fit-elle sans tenir compte de ses gémissements. Pose ta tête entre mes pieds !"
Elle leva le pied gauche et doucement le plaça sur son téton gauche. Appuyant sur son talon plus fortement, elle leva son pied droit et plaça son talon droit sur ses lèvres.
- Ouvre-la et lèche mon talon... Oui. C'est ça... Prends-le en entier maintenant... Allez, avale ! Suce-le ! Je sais que tu aimes ça... Suce, allez lèche ! Fais-le briller pour moi.
Tandis qu'il s'appliquait à satisfaire à sa maîtresse, elle frotta son talon gauche sur sa poitrine. De pus en plus fort, mettant sa chair à vif! L'odeur du cuir l'excitait mais la douleur lui ôtait toute envie de trouver du plaisir. Elle parcourait également son corps d'une cravache qu'elle faisait claquer sur ses couilles et sa queue ramollie de temps en temps.
- Pourquoi n'es tu pas en érection ' Quel est ton problème vermisseau ' Tu ne veux pas satisfaire ta maîtresse ' Branle-toi, fais la durcir pour moi vermisseau !"
Il empoigna son sexe ramolli et essaya de le faire raidir, mais il avait trop souffert jusque là. Maintenant les deux talons étaient installés sur ses tétons. La pression était moins forte, mais s'exerçait à deux endroits.
Sa cravache s'abattait encore sur des zones sensibles en guise d'avertissement et parfois s'abattait sur ses mains alors qu'il se branlait. Soudain la correction s'arrêta. Seule la pression sur ses seins trahissait l'impatience de sa Maîtresse...
Finalement il se mit à bander bien dur.
- Stop, ça suffit!"
Les talons quittèrent sa poitrine et sa maîtresse se releva pour contempler le résultat. Elle lui jeta un préservatif neuf.
- Couvre-toi vermine, sinon tu vas me souiller de tes cochonneries!"
Jean enfila le condom à tâtons. Elle releva sa jupe en cuir découvrant largement son sexe rose orné d'une toison abondante. Il grimaça en devinant la suite. Autant il adorait être chevauché, autant il craignait l'étouffement sous la croupe femelle avide de sa langue de vermisseau soumis. Otant ses chaussures à talons, la Maîtresse entreprit de flatter ses testicules avec ses orteils.
La pression variait lui causant plaisir et douleur en alternance. Enfin elle arrêta ce petit jeu lorsque son membre fut bien doit et violet de désir, et elle se baissa vers lui avec un sourire cruel.
- Tu aimes souffrir vermisseau! moi j'aime te voir à ma merci..."
Elle posa ses genoux de part et d'autre de son cou sur ses épaules, serrant sa tête entre ses pieds chauds et humides. Ian gémit, mais son cri se perdit dans les lèvres chaudes et humides. Elle appuya ses mains sur son esclave et bougea de manière à se que le cuir de ses gants le caresse.
Son nez comprimé enregistra peu à peu la puissante intimité. Un mélange d'urine tiède et de sueur concentrée lui emplit les sens. Ses hormones mâles furent fouettées par ce fumet de femelle sauvage et despotique. Il devait se hâter car elle ne quitterait pas cette position avant d'avoir joui. Elle est intraitable: son plaisir de Maîtresse est prioritaire!
Respirant par le nez avec lenteur et difficulté, il explore sa fente de la langue à la recherche du bouton libérateur...
Maintenant, elle pressait ses mains gantées sur son os pelvien et se concentra sur son plaisir. Elle chevauchait son visage et sa langue comme s'il s'agissait d'une chevauchait express à la poursuite de quelques sauvages.
Une fois trouvé la chose, il la masse avec lenteur au début. Dans le sens de la longueur puis de la largeur alternativement. Il s'applique à mesure que l'étouffement et la panique le gagne. Pas de droit à l'erreur. S'il lui fait mal, la jouissance tardera longtemps à venir... Maîtresse adore cet instant, le souffle chaud du supplicié s'insinue avec difficulté entre ses fesses tandis que sa délicieuse langue fouille et augmente son désir. Elle commence à mouiller tandis qu'il respire visiblement de pus en plus mal. Elle voit aussi sa queue bleuir de désir et d'impuissance.
Comme la jouissance approchait , elle se pencha en arrière et attrapa sa cravache.
L'orgasme n'est plus très loin, elle soulève imperceptiblement ses fesses pour le stimuler. Jean perçoit cette encouragement qui lui autorise plus d'air. Saisissant son clitoris entres ses lèvres douloureuses de compression, il le gratifie d'un mouvement de succion qui ne tarde pas à faire effet. Maîtresse lâche un râle comme un rugissement de lionne comblée! Elle se soulève, puis se tourne dans l'autre sens.
D'un geste sensuel, elle enleva de son poignet une lanière de cuir qu'elle noua à la base du pénis de son esclave. Tirant sèchement sur la lanière, elle enroula le sexe avec le reste de celle-ci piégeant ainsi le sang dans le sexe de l'esclave mâle.
Maintenant sa verge était en parfaite érection.
Elle vient placer sa fente au dessus de son membre distendu. Dans une lente descente, sa chatte pleine de mouille vint s'écraser sur le ventre de Jean.
Poussant sur ses cuisses par à-coups, elle imprime à son propre bassin un mouvement de balancement qui procure à Ian une délicieuse sensation. Mais contrariée par la compression du cordon de cuir. Jean sait que s'il jouissait à cet instant son orgasme comprimé s'éteindrait sans plaisir comme un pétard mouillé. Très échauffée par ce qui a précédé Maîtresse sent à nouveau le plaisir emplir sa chatte! Elle veut être seule à jouir cependant. L'orgasme la saisit soudain.
Elle se met alors à lui frapper les cuisses et le ventre tout en poussant des cris de jouissance. Les cris de souffrances étouffées de son esclave servaient à l'exciter d'avantage.
Quand l'orgasme eut éclaté, elle posa sa cravache et se dégagea de son pénis tuméfié. Elle se retourna à nouveau et pressa fortement sa chatte ruisselante sur la bouche de Jean, laissant échapper ainsi un torrent de mouille dans sa bouche.
Jean était sur le point de s'étrangler ou de s'étouffer, il dû tout avaler pour respirer.
Il continua ensuite à laver se sexe devenu hypersensible afin de prouver sa totale dévotion au plaisir de sa Maîtresse.
Après une minute, elle se releva et se réinstalla dans le fauteuil.
- Viens ici et lèche-moi .
Il prit sa position sur ses genoux. Elle agrippa sa tête par les cheveux et la tira contre sa chatte toute trempée. La langue de Ian chercha à nouveau le bon devenu énorme et dur. Par un balayage de gauche à droite de la tête, il la gratifia d'un va et vient irrésistible de sa langue tendue. Bientôt, un nouvel orgasme la secoua.
Elle poussa ensuite les épaules de Jean vers le sol à l'aide de ses pieds et les écrasa.
Dans cette position, il ne pouvait garder ses yeux que sur les talons. En fait, sa contemplation se promenait sur sa svelte silhouette. Comme elle se calmait, elle nota qu'il la contemplait.
Elle ne pouvait tolérer une telle attitude, cela signifiait qu'il ne craignait pas suffisamment son courroux. Elle devait corriger cette mauvaise attitude. Avec une nouvelle étincelle de furie dans les yeux, elle descendit les pieds de ses épaules et se redressa.
- Comment tu as eu cette audace ' Comment tu as eu cette AUDACE ' T'ais-je donné la permission de me regarder ' Réponds-moi !
- Non maîtresse.
Son regard rêveur devint embarrassé.
- Je ne tolérerai pas la désobéissance. Je devrais te bannir pour toujours de cette maison.
Que pensais-tu ' Tu pensais qu'en me servant et en me donnant quelques moments de plaisir que tu ferais un peu ce que tu veux ' Réponds-moi, vermisseau.
- Non, maîtresse. Je suis désolé. S'il vous plaît ne me renvoyez pas. S'il vous plaît ! Torturez moi si vous le voulez, mais s'il vous plaît, gardez-moi.
- Te punir, hein ' Te torturer ' Et te pardonner aussi je suppose '"
- Oh oui... S'il vous plaît maîtresse. J'endurerais vos punitions et je continuerais à vous servir. Testez moi. Seulement ne me renvoyez pas !"
Sa sincérité plut à sa Maîtresse. Elle regardait son corps prosterné, et une idée jailli dans son esprit. Oui, ce pouvait être amusant. Et s'il refusait d'accepter toutes les punitions elle pourrait simplement le renvoyer. La douleur ne peut être pire pour un esclave que de perdre sa maîtresse qui aime vraiment lui donner le traitement qu'il désire.
- D'accord, je te donnerai une chance. Mais souviens-toi par la suite. Soit attentif et fais exactement ce que tu as dit et je te laisserai peut être encore me servir. Si tu ne suis pas mes instructions, tu seras renvoyé. Clair '"
- Oui, maîtresse !"
- Prosterne-toi et embrasse mes pieds. Baises mes pieds qui vont te punir.Fais-le !
Il allongea son corps sur le sol et commença à embrasser ses pieds avec frénésie.
- Arrête ! Mets-toi à quatre pattes.
Se redressant, elle vint dénouer le lacer de cuir qui enserrait toujours son membre.
Maintenant pose ton visage sur le sol et joins tes mains entre tes jambes pour écarter tes fesses.
- Lèves bien ton cul. Ecarte mieux tes fesses ! Maintenant tiens-les bien ouvertes.
Lentement Maîtresse contourna son esclave et quand elle fut derrière lui, elle mesura précautionneusement la distance, bascula en arrière son pied droit et délivra un coup de pied dans ses couilles qui le projeta en avant sur le ventre.
Il empoigna ses bourses, suffoqué, tout en se contorsionnant sur le sol. Pendant ce temps, elle ajusta soigneusement sur ses hanche un god-ceinture noir.
- Arrête de bouger vermisseau
Et profitant qu'il cessait tout mouvement et ses plaintes, elle s'allongea sur son dos et le pénétra d'un bon coup de reins! La douleur anale fit hurler Jean, plus il se plaignait et plus elle y allait de bon coeur.
- Ca lui fit-elle à l'oreille c'est pour toutes les filles à qui tu as fait mal quant tu étais un petit coq prétencieux!
Son pénis inutile était coincé entre le carrelage froid et son propre ventre chaud.
Sous l'effet de son poids, des soubressauts dus poids de sa maîtresse et du god qui lui martelait la prostate de l'intérieur, acculé au plaisir il ne pourrait tenir bien longtemps. Jean ne tarda pas à jouir.
- Un vraie salope!" lâcha maîtresse en retirant le god...
Tandis qu'elle se relevait, il gémit:
- Merci, merci ,Maîtresse...
Maîtresse s'en alla vers la porte.
- Attends ici pour moi.... Je n'ai pas encore fini avec toi
Jeannot
↧
La vie est de plus en plus difficile..!
Certains jeunes ménages ont
de plus en plus de difficultés
pour boucler leur fin de mois
↧
Histoire du net. Auteur Inconnu. Lucien
Quand le partage devient
bonheur partagé et assumé.
SELMA
Il y a quelques semaines, je suis allé en séminaire en Normandie, au bord de la mer. Le séminaire avait pour objectif de nous faire rencontrer les commerciaux d’une entreprise d’un autre secteur d’activité pour comparer et partager nos pratiques commerciales : le ciblage client, l’approche marketing, la qualité de la relation, etc.
L’univers était très masculin et, entre les séances de travail, nous avions quelques moments de liberté pour nous balader et faire un peu de sport. Les soirées étaient aussi l’occasion de faire mieux connaissance les uns avec les autres et de passer des moments de convivialité. Chaque soir, nous avions pour habitude d’aller dîner vers 20 h 30 dans un restaurant en ville puis de finir dans un bar très sympa à jouer au billard, en buvant un verre. J’avais ainsi sympathisé avec quelques commerciaux de l’autre société ; en particulier avec Lucien, un type très jovial, toujours prêt à mettre l’ambiance et à déconner. Sa décontraction antillaise était communicative et les soirées en sa compagnie étaient festives.
Le dernier soir, après quelques verres d’alcool autour d’une table basse, Lucien se laissa aller à quelques confidences :
- Ça va pas fort avec ma femme ; en fait, on est séparés depuis un mois. En rentrant du séminaire, je m’installe dans un petit studio, Porte de Clichy. La situation s’est lentement dégradée. Elle m’a reproché de toujours vouloir faire la fête, de ne pas assumer mon rôle de père.
Je ne savais pas quoi dire mais je prenais une attitude attentive pour le laisser s’exprimer. Ça semblait lui faire du bien.
- En plus, sexuellement, ça n’a jamais été top mais en vieillissant ça ne s’arrange pas. On ne fait plus l’amour qu’une ou deux fois par mois. Toujours dans le noir et dans la même position. J’ai quarante ans, j’ai encore l’âge de m’amuser.
J’étais à la fois embarrassé mais aussi curieux. Personne ne m’avait jamais fait de confidence intime de la sorte.
- Ça fait quinze ans que je suis avec elle et nous ne nous sommes jamais vraiment éclatés. Tu te rends compte qu’elle ne m’a jamais sucé en quinze ans ! Elle trouve ça sale. Je lui ai dit d’essayer pour voir mais rien à faire. Par contre, elle n’a jamais refusé un petit cunni. Le seul souvenir hot que j’ai avec elle c’est une levrette sur le capot de la voiture. On était ensemble depuis trois mois. Après rien ! Que du classique et dans le noir.
Les confidences devenaient de plus en plus intimes. Mon pouls s’accélérait en écoutant, je pensais à Selma. Pendant ce temps, Lucien enchaînait les bières.
- Tu sais quoi ? Je vais te dire… Quand j’étais jeune, j’avais une copine super chaude. Toutes les positions y passaient. Et puis, j’ai rencontré Claudia. Mes parents m’ont convaincu que c’était une fille bien comme il faut. Alors j’ai laissé tomber ma copine avec qui je vivais un truc dingue pour me marier avec Claudia. J’ai deux beaux enfants mais j’ai ruiné ma vie amoureuse. Et sexuelle aussi. Je te dis tout. Ma copine adorait la sodomie… et moi aussi ! Ça fait plus de quinze ans que je ne l’ai plus fait. Eh oui, pendant quinze ans, je suis resté fidèle à la mère de mes enfants. Mais maintenant, je retrouve ma liberté. Et toi, ta femme, elle est comment ? Elle est libérée ? Elle est d’accord pour les fellations et la sodomie ?
- On a une vie sexuelle très libérée, tu sais. Oui, elle pratique sans problème les fellations et la sodomie.
En même temps que je disais ça, je sentais une grande excitation m’envahir. Parler des pratiques sexuelles de Selma était pour moi la réalisation d’un fantasme.
- T’as vachement de la chance. C’est important d’être libéré sur le sexe.
- Il est temps d’aller se coucher, Lucien.
On en est resté là. Nous sommes effectivement allés nous coucher et le lendemain chacun regagnait son chez-soi.
Dans les jours qui ont suivi, un soir que Selma et moi abordions les préliminaires, j’ai eu l’idée, pour pimenter la situation, de lui raconter ma conversation avec Lucien.
- Tu as parlé de mes pratiques sexuelles avec un inconnu. Tu es gonflé quand même.
En même temps qu’elle me disait ça, elle commençait à me caresser la verge qui instantanément grossissait à vue d’œil.
- Tu lui as dit que j’aimais faire des fellations. Tu es sûr ? Mmmhhh.
Nous étions tous les deux nus debout au milieu de la pièce. Elle s’est mise à genoux et m’a pris dans sa bouche avec avidité. Elle pompait très activement. Je sentais sa langue lécher mon gland. C’était délicieux. Elle s’est redressée.
- Tu as eu raison de lui dire, j’adore ça !
Elle m’a alors tourné le dos pour venir s’appuyer contre moi. Ma queue était collée contre ses fesses, le bout très humide de sa salive mélangée à des prémices de sperme.
- Tu lui as dit aussi que j’aimais la sodomie. Tu dois vérifier que tu n’as pas menti.
Elle s’est alors penchée en avant, s’est appuyée de la main gauche sur la console de la chambre et, en se cambrant, a utilisé sa main pour écarter sa fesse droite. J’ai alors empoigné mon membre encore bien humide que j’ai pressé contre sa petite rondelle ridée, tout en écartant la fesse gauche avec ma main libre. L’excitation aidant, je me suis introduit délicatement, sans trop de résistance. Une fois enfoncé de quelques centimètres, je n’ai plus eu besoin de bouger. Selma était tellement excitée qu’elle s’est mise à faire des mouvements de bassin, d’abord doucement puis de plus en plus rythmés. Elle allait et venait en gémissant.
- Oui, oui, oui. J’adore me faire défoncer. Tu lui as dit ?
Au bout d’un moment elle a ralenti la cadence. J’étais quasiment à bout. J’étais sur le point de tout lâcher. Elle s’est arrêtée et a avancé le bassin pour se dégager de mon pilon.
- Tu lui as dit aussi que j’aimais le sperme ?
Face à moi, elle s’est de nouveau agenouillée, a pris ma bite dans sa main et a commencé à me branler de plus en plus fort. Elle bombait le torse pour pointer ses seins en direction de mon sexe. Elle tenait très fermement la verge en la frappant contre ses seins. Je n’y tenais plus. L’éjaculation a été très forte. Le sperme a jailli par grands jets, atteignant en premier son cou et ses joues avant de se répandre sur sa poitrine. Elle ne me lâchait pas, elle voulait profiter jusqu’à la dernière goutte. Elle frotta mon gland sur ses tétons pour récupérer toute la semence. J’étais épuisé. Elle était superbe avec un air hautain, heureuse de ce qu’elle venait de faire. Elle s’est relevée lentement. Son visage et sa poitrine luisaient du plaisir que je venais de déverser sur elle. Elle le portait fièrement, preuve de son pouvoir sur moi. Elle s’est dirigée, majestueuse, vers la salle de bain. Je n’avais toujours pas bougé et je la regardais s’éloigner, les yeux fixés sur ses fesses magnifiques.
oOo
Quelques jours plus tard, de nouveau à l’occasion de préliminaires, Selma est revenue sur le sujet.
- Ça m’a beaucoup excitée que tu parles de moi à un inconnu. As-tu gardé ses coordonnées ? On pourrait peut-être essayer quelque chose avec lui ?
Je n’aurais pas osé le suggérer mais puisque c’était elle qui le proposait, je trouvais l’idée très excitante.
- Je dois avoir son numéro. Si tu veux, je l’appelle. Je peux lui dire que je l’ai trouvé très sympa et que ce serait une bonne idée de se voir avec toi. Je ne lui dis rien d’autre, comme ça, quand tu le vois, s’il ne te plait pas, on peut arrêter.
Dès le lendemain, j’ai appelé Lucien sur le numéro de portable qu’il m’avait laissé.
- Salut Lucien, tu te souviens de moi ? Je me suis dit que ce serait sympa de se revoir, on s’était bien amusés durant le séminaire.
- Super idée, l’ami ! T’es dispo samedi en début d’après-midi pour un café ? Je t’invite dans mon studio.
- OK. Ça t’embête pas si je passe avec ma femme ?
- Non. Au contraire, c’est une bonne idée. Je t’envoie l’adresse par SMS. À samedi.
À peine raccroché, j’ai envoyé un SMS à Selma pour l’informer de l’invitation. Par message retour, elle m’a simplement écrit « Super ».
Le samedi est vite arrivé.
- Essaye de mettre une robe aguichante mais pas trop quand même. Que tu puisses esquiver si tu ne le sens pas. Si tu arrives avec une robe trop provocante, il va tout de suite comprendre des choses.
- Tu as raison. Je vais mettre une robe agréable et en dessous une lingerie plus… osée !
Selma a finalement choisi une très jolie robe de couleur vert bouteille, assez décolletée pour voir juste le début de ses seins et pas trop courte. En dessous, elle a enfilé un string de dentelle noir, très sensuel et le soutien-gorge assorti. Vu la saison, il n’était pas utile d’ajouter des bas. Elle a enfilé de petits escarpins ouverts et nous sommes partis
Lucien habitait dans un vieil immeuble assez étroit. Nous avons franchi une première porte sans aucune sécurité pour nous engager dans un couloir au bout duquel s’ouvrait une petite cour un peu crasseuse. Une fois traversée la cour pavée, Selma enfonçant ses talons entre les pavés et pliant ses chevilles avec un déhanché délicieusement excitant, surtout connaissant sa tenue sous la robe et les intentions pour lesquelles elle l’avait enfilée.
Nous nous sommes présentés devant une porte, pas plus récente que la précédente mais qui, cette fois-ci, présentait un interphone d’âge indéfini. Après avoir essayé de déchiffrer les noms manuscrits sur des petits papiers en décomposition, j’ai enfin appuyé sur le bon bouton. Lucien a crachoté quelques mots que je n’ai pas compris sauf « 2e étage ». J’ai cédé la place à Selma pour monter l’escalier pentu en colimaçon. Juste derrière elle, j’avais le visage sous ses fesses que je regardais rouler sous la robe pendant qu’elle montait l’escalier. Ses mollets fins et bronzés qui finissaient sur deux chevilles fines étaient une invitation aux caresses.
Nous sommes arrivés au second étage. Il n’y avait qu’une seule porte, face à l’escalier. La porte était ouverte et Lucien en occupait l’ouverture, le sourire accroché aux lèvres, les dents d’un blanc éclatant et les épaules larges emballées dans un pull léger moulant. Il dégageait un charme certain et, à ce moment-là, je me suis dit que Selma allait être tentée par l’expérience. Il a fait la bise à Selma en se présentant. Je voyais ses yeux aller de bas en haut puis faire le chemin inverse tout en l’invitant à entrer.
- Salut vieux, ça va ? Sympa d’être venu. Ça me fait plaisir de vous avoir à la maison et de faire la connaissance de Selma.
- Ça nous fait plaisir aussi de prendre un café avec toi. J’avais parlé à Selma de notre rencontre au séminaire et de nos conversations et elle était impatiente de te connaître.
Je lui disais ça en lui lançant un petit coup d’œil rieur.
- Installez-vous dans le canapé. Café pour tout le monde ?
Nous nous sommes enfoncés dans le canapé. La robe de Selma est remontée au milieu de ses cuisses avec ce mouvement. J’ai remarqué qu’elle ne cherchait pas à la redescendre. Un signe de plus que quelque chose allait peut-être se passer.
Lucien est arrivé quelques minutes plus tard avec trois expressos qu’il a posés sur la table basse. Puis il s’est installé sur un tabouret qui surplombait le canapé. Selma s’est redressée pour prendre son café puis s’est avancée pour prendre sa tasse. Immanquablement, en se penchant pour attraper la tasse, son décolleté s’est ouvert et j’ai vu Lucien plonger son regard dans les seins offerts de ma femme. J’étais de plus en plus excité par la situation. Je voyais Lucien en train de la mater sans beaucoup de discrétion et Selma s’offrir à ses regards avec consentement. Nous avons commencé à discuter de tout et de rien, boulot, vacances à venir…
Selma a fini par aborder, la première, notre rencontre en séminaire :
- Alors ce séminaire ? Vous avez fini par sympathiser. Heureusement que vous aviez des soirées pour décompresser. Vous avez picolé, non ?
Nous avons ri un peu nerveusement à son allusion.
- Ouais, c’est vrai. On a bu, on a déconné, on s’est un peu raconté nos vies. Il paraît que tu es une femme formidable ? Ton mari dit plein de choses agréables à ton sujet.
- Ah, bon ? Il dit des choses gentilles me concernant ? Lui qui me fait tellement de reproches. Je serais curieuse de savoir quel compliment il a pu me faire.
- En fait, j’ai raconté à ton mari mes déboires conjugaux. Mes pauvres problèmes de couple, si tu préfères. Avec l’alcool, je me suis laissé aller à lui raconter mes petites misères intimes. Et il m’a dit que lui avait la chance d’avoir une femme qui le comblait sexuellement !
J’ai senti mes yeux devenir tout ronds. C’était l’instant où l’après-midi allait basculer d’un côté ou de l’autre. J’attendais le commentaire de Selma.
- Il m’a dit qu’il t’avait raconté des détails de notre vie intime. Je me suis demandé l’effet que ça avait pu te faire d’entendre les détails de la vie sexuelle d’une inconnue. Ça t’a excité ? T’es pas trop déçu en me voyant ?
- Il avait pas exagéré. Tu es très sexy et, en plus, je sais déjà de quoi tu es capable.
Selma a posé sa main sur sa cuisse en se cambrant légèrement :
- Je te plais, alors ?
- Énormément !
Selma s’est levée du canapé. Elle s’est dirigée vers moi, s’est agenouillée sur le canapé et s’est mise à m’embrasser langoureusement en caressant mes cheveux et ma nuque. Elle m’a tiré par le bras pour me relever et a continué à m’embrasser ; baiser que je lui rendais bien.
Lucien était dans le dos de Selma, toujours assis sur son tabouret en train de nous regarder. Selma a déboutonné ma chemise puis me l’a retirée. Elle passait ses mains dans mon dos, sur mon torse avec de plus en plus d’intensité. Je glissais mes mains vers ses fesses pour les prendre à pleines mains. Selma a décroché ses lèvres des miennes, a interrompu ses caresses et s’est retournée vers Lucien.
- Ça t’embête pas de nous regarder ? Ça m’excite que tu regardes, tu veux bien ?
- Allez-y, c’est génial.
En l’entendant, j’ai passé mes mains sous la robe pour la remonter. En un instant, elle était en soutien-gorge et string de dentelle noire, soulignant sublimement ses formes. Elle a baissé mon pantalon et mon caleçon et m’a poussé aux épaules. Je me suis affalé sur le canapé, la bite hypertendue.
Elle est venue s’agenouiller sur moi en écartant les cuisses. Elle s’est posée sur ma bite sans retirer sa culotte. Elle adore se frotter comme ça, en sentant le tissu entre nous. Du coin de l’œil, je voyais que la culotte était déjà très humide. Elle allait et venait langoureusement, ses yeux retournés de plaisir. Pendant ce temps, Lucien avait les yeux fixés sur le cul de Selma. Cambrée, les fesses légèrement écartées et soulignées par le string, j’imaginais sans problème le paysage offert à Lucien.
Selma a fini par écarter la culotte et venir s’empaler sur ma verge turgescente. Elle était tellement humide qu’elle s’est assise sur moi sans aucune résistance, mon gland frappant brutalement le fond de son vagin trempé.
Lucien venait d’enlever sa chemise et descendait son pantalon. J’ai dégrafé le soutif de Selma. Elle montait et descendait sur moi à un rythme lent, ses seins ballottant devant mon visage. À chaque fois que je le pouvais, j’attrapais un téton avec ma bouche. Ils étaient fermes.
Lucien a fini de se déshabiller. Il présentait une érection digne des pires caricatures sur les blacks. Sa queue était magnifique. On l’aurait crue sculptée par Rodin dans une pièce de cuivre. Elle était de couleur café, nervurée finement avec un dessin de grande précision ; le gland pourpre. Magnifique. Ses couilles habillées de bourses noires semblaient taillées dans un cuir d’ébène de première main. Sans être démesuré, il avait des dimensions de belles proportions assurant l’esthétisme de l’ensemble.
Il tourna autour du canapé et approcha son visage de celui de Selma, la regardant dans le blanc des yeux. Elle continuait d’aller et venir en gémissant. Elle a baissé les yeux vers son sublime pénis et l’a fixé. Subitement, elle a collé ses lèvres aux siennes et leurs langues se sont emmêlées fougueusement.
Il a refait le tour du canapé et s’est avancé vers Selma, a posé un pied sur le canapé et a basculé son bassin en avant. Elle a pris la pièce d’art dans sa bouche. Elle a d’abord encadré le gland d’airain entre ses lèvres. Une fois le calibre estimé, elle a avancé le visage pour absorber davantage le superbe objet. Les yeux mi-clos, elle savourait la friandise splendide qu’elle était en train de sucer.
Lucien était maintenant super excité. Il avait posé sa main sur la tête de Selma et la pressait de plus en plus fermement vers lui. En un instant, la quasi-totalité de sa verge avait disparu dans la bouche de ma femme. Selma avait des lèvres très charnues. Juste sous mes yeux, je voyais sa bouche ouverte et ses lèvres épaisses serrées autour du plus beau membre qu’elle n’ait jamais aspiré.
Lucien s’est retiré puis est venu se placer derrière Selma. Elle était au top de l’excitation. Les yeux fermés, elle m’a dit :
- Écarte-lui mes fesses et tiens-les bien.
J’ai pris les deux gros lobes à pleines mains et je les ai fortement écartés. Je l’ai vue glisser un doigt dans sa bouche, le ressortir humide et passer sa main entre ses fesses. J’ai compris qu’elle se lubrifiait.
Lucien tenait sa bite dans la main droite. Il s’est approché du cul de Selma. Je ne voyais pas ce qui se passait mais je devinais. Et puis, j’ai commencé à sentir ce qui se passait. Une sensation incroyable que je ne connaissais pas. J’ai senti la bite de Lucien qui touchait la mienne. Il orientait son gland vers l’orifice étroit. Je l’ai alors senti en train d’appuyer.
Puis, comme si une barrière cédait, j’ai senti la grosseur de sa bite venir glisser le long de la mienne. C’était tellement serré que j’avais l’impression qu’il était entré par le même trou que moi. Selma était en pleine jouissance. Plus Lucien s’enfonçait dans son cul, plus elle se cambrait et tendait ses fesses vers lui. Elle gémissait de plus en plus fort. Ses seins, face à moi, pointaient plus que jamais. Je sentais le superbe engin de Lucien continuer à s’enfoncer le long du mien. Jusqu’où allait-il aller ? Un instant, j’ai eu un éclair d’inquiétude qu’il la blesse.
Selma avait repris des mouvements plus saccadés. Lucien était au fond. Moi aussi. Selma profitait de la situation. Lucien, penché au-dessus d’elle, avait pris ses seins à pleines mains. Pendant ce temps, nous nous embrassions à pleine bouche. Plus aucun de nous trois n’y tenait. Mais Lucien n’avait pas mis de préservatif et même si nous étions en pleine extase il n’était pas question de prendre le moindre risque. Selma a ralenti le mouvement et lui a demandé de ne pas jouir. Il s’est retiré doucement puis elle s’est relevée de moi.
Elle avait un air épanoui et satisfait :
- Comment vous voulez que je vous finisse ? Vous méritez que je vous fasse plaisir après le bien que vous m’avez fait.
Lucien était super chaud :
- Mets-toi à genoux, tu vas voir.
Tous les deux debout face à elle, nous nous sommes branlés. Elle avait mis ses mains sur nos hanches et attendait en nous regardant, souriante. Le visage haut, les seins tendus face à nos bites. Je suis le premier à avoir éjaculé. Un premier jet est venu se poser sur sa joue gauche. Elle n’a pas esquissé le moindre geste de recul. Le second jet a atteint sa lèvre inférieure et son menton. En la voyant passer la langue sur sa lèvre, Lucien a lâché à son tour son plaisir. Un jet énorme qui est venu s’écraser en plein milieu du visage, forçant Selma à fermer les yeux. Le sperme s’est écoulé sur sa bouche. Lucien a continué d’éjaculer des jets pleins qu’il a orientés vers la droite de son visage. Pendant ce temps, j’avais fini de me vider dans son cou et sur ses seins. Elle était couverte de nos spermes, toujours souriante, les liquides entremêlés sur son visage, au bord de ses lèvres, sur sa langue, dans le bas de son visage.
Lucien et moi étions dans le même état que deux sportifs après des heures d’efforts. Selma est partie à la recherche de la salle de bains pour se débarbouiller. Elle est revenue quelques minutes plus tard. Le moment avait été tellement intense qu’aucun de nous trois n’a ressenti le besoin de se rhabiller. Nous sommes restés une bonne heure nus ensemble, à boire un verre.
Avant de se rhabiller, Selma a passé sa main sur les épaules de Lucien, sur ses fesses et enfin, elle a pris son sublime membre dans la main. Elle s’est baissée et lui a déposé un délicat baiser sur le gland. En se redressant, elle a fixé Lucien dans les yeux et lui a dit :
- Merci.
Le plus marquant était qu’il n’y avait aucune gêne entre nous. Quand nous sommes repartis, nous partagions l’idée qu’on venait de faire quelque chose de tout à fait naturel et de bon.
↧
Histoire du net. Auteur Inconnu. La nuit.
On dit souvent: Ce que femme veut....
Et même si au début on ne veut pas trop...
Mais bon... Si elle le veut...
Train de nuit.
Cela faisait environ une heure que le train roulait dans la campagne. Des champs, des pâturages et des petites collines défilaient par la fenêtre du compartiment. Le contrôleur venait de poinçonner nos billets. Le compartiment prévu pour six personnes en accueillait quatre.
Elle et moi, ainsi que deux blacks approchant la trentaine ou l’ayant juste passée, assis côté à côte prêt de la porte. Ils étaient grands, élancés, et leur t-shirt moulant et leur bermuda cachaient deux corps qui semblaient très bien faits. Je les observais un instant et remarquais qu’ils se rinçaient l’œil sur un magazine pour adulte, bien que l’un d’entre eux cherchait à en dissimuler le titre avec sa grande main d’ébène.
Elle ne semblait pas les avoir remarqués, plongée dans un livre, les jambes croisées car elle portait une robe blanche ornée de fleurs qui lui donnait des airs de « belle des champs. »
Je continuais à épier les deux lascars et l’un d’eux s’aperçut de mon inquisition. Gêné, je détournais le regard et lançais une banalité à ma copine à laquelle elle répondit promptement et se replongea aussitôt dans sa lecture. Ce coup-ci, je remarquais que c’était eux qui nous regardaient! Enfin j’eus plutôt l’impression qu’ils la reluquaient! Sous mes yeux!
Je les affublais de nombreux adjectifs désagréables en pensée, et décidais de me lever pour aller faire un tour dans le couloir. Quand je passais à leur niveau, un des deux dit à l’autre quelque chose en créole ou bien en africain que je ne compris évidemment pas. Mais ils avaient l’air content! Ils étaient contents que je quitte le compartiment, pour mieux la zieuter! «Les enfoirés » me dis-je.
En même temps que je proférais cette insulte, je fus surpris de constater que mon sexe tressautait légèrement dans mon pantalon. J’étais excité par l’idée qu’ils puissent la mater en mon absence et, étrangement, cela atténua la jalousie qui m’avait poussé à sortie du compartiment.
Je me baladais dans ce couloir étroit et désert, fis quelques allers-retours avant de me diriger aux toilettes. Pendant que je pissais mon esprit commença à s’emballer, je les imaginais s’être rapprochés d’elle afin de pouvoir mieux la lorgner. Je voyais même par projection mentale, un des noir qui mettait la main dans la poche de son bermuda pour se tripoter le sexe. Je me surprenais à imaginer leur vit. J’étais sûr qu’ils étaient énormes !
Un sentiment de jalousie malsaine commença à m’envahir. Je rangeai ma verge dans mon falzar remarquant que ces pensées l’avait faite croître. Je ne pouvais pas sortir comme ça. Si quelqu’un se trouvait dans le couloir, il remarquerait ma bosse. Je la serrai entre mes cuisses pour refréner mon érection naissante, mais je continuais à me représenter mentalement des scènes qui me dégoûtaient, enrageaient, et aussi m’excitaient. Tant pis pour la bosse, je voulais vérifier ce qui se passait dans le compartiment.
Je traversais le couloir à grandes enjambées jusqu’à la porte de notre compartiment qu’il me semblait avoir laissée entrouverte… Elle était fermée! Un instant mon cœur s’arrêta de battre dans ma poitrine. « Les enculés! » marmonnais-je, prêt à tirer violemment sur la porte coulissante. Je me ravisais et décidais de regarder par un des côtés de la porte qui possédait une vitre, mais les rideaux bordeaux avaient été tirés des deux côtés. Cependant celui à ma gauche avait un coin relevé, découvrant un rectangle de vitre d’environ cinq centimètres sur trois. Je me baissai pour y coller mon œil gauche.
L’un des blacks était assis face à elle et semblait fixer son entrejambe. Elle avait les jambes décroisées. « La salope! Elle sait qu’il la mate et elle aime ça.» Je réfléchissais à quel sous vêtement elle portait? Et je ne voyais que des strings. Des rouges, des blancs, des bleus, des transparents.
L’autre black s’était rapproché d’elle et semblait lire par-dessus son épaule. « Tu parles! Il doit reluquer ses petits nichons. » J‘étais en colère après elle et en même temps très excité. A cet instant je bandais même comme un âne. Je regardais à droite et à gauche pour m’assurer que le couloir était toujours désert et retournais à mon espionnage. J’étais maintenant convaincu que le black en face d’elle scrutait sa culotte et que l’autre rivait ses yeux sur ses petits seins nus sous sa robe. Comment pourrait-il lire par-dessus son épaule? Et comment s’était-il rapproché aussi prêt d’elle sans y être invité?
Autant d’interrogations qui ne faisaient que grandir un sentiment de jalousie extrême et une excitation intense dans les plus infimes parties de mon être. Et surtout un besoin de savoir ce qui aurait pu se passer. Ils n’allaient tout de même pas la violer. A moins qu’elle se laisse faire. J’imaginais des choses pas très catholiques. Elle savait que j’allais revenir d’un instant à l’autre? Elle n’oserait pas quand même?
Celui qui prétendait lire par-dessus son épaule s’approcha d’elle, son biceps effleurant le bras dénudé de ma copine et le salaud appuyait carrément son épaule musclé contre la sienne sans quitter sa place. Ses yeux étaient rivés dans son décolleté. Et elle continuait à faire comme s’il ne se passait rien! Je décidais de mettre un terme à cette scène qui me rendait fou de rage et là, alors que j’avais toujours l’œil collé à la vitre, son regard croisa le mien une fraction de seconde.
Elle se leva brusquement, tira sur sa robe et se dirigea vers la porte. J’arrêtais immédiatement de les épier et rampais pitoyablement avant d’essayer de me relever pour faire semblant d’arpenter le couloir comme si de rien n’était. Mais avant d’être complètement debout la porte s’ouvrit et elle sortit, un sourire que je ne lui connaissais pas aux coins des lèvres.
Je me sentis ridicule et décontenancé. Mon cerveau cherchait quelque chose d’intéressant à dire, voire de drôle, mais je n’avais pas envie de rigoler. Je voulais crier, hurler, lui dire que c’était une salope, la mettre plus bas que terre, la rouer de coups. Mes pensées fusaient si vite que je ne m’aperçus pas qu’elle s’était approchée de moi.
Je le remarquais quand sa main se positionna entre mes jambes et pressa délicatement mes couilles. Comme toujours ce geste m’attendrit. Ces chiennes ont le don d’annihiler la colère masculine avec une bonne gâterie ou une partie de jambes osée. C’est peut-être pour cela que les hommes sont souvent en colère...
Elle plongea son regard bleu dans le mien tout en malaxant mes bijoux de famille et je crois que je devais sourire comme un niais. Elle approcha sa bouche de mon oreille. Je sentais son souffle chaud qui s’engouffrait dans mes tympans et elle me susurra :
- Avant de dire quoi que ce soit, laisse-moi aller jusqu’au bout de ce que je veux te dire, même si certaines parties de mon discours t’agacent, et le mot risque d’être faible, laisse moi aller jusqu’au bout. Sache que je respecterais ta décision finale. Alors qu’en dis-tu ?
J’imaginais le pire mais vu qu’elle respecterait ma décision finale, je n’avais rien à perdre.
- Je t’écoute. Furent les mots qui sortirent de ma bouche.
- J’ai envie de me taper les deux blacks! Et je crois qu’ils en ont aussi envie! T’as vu comme ils me regardent! Je sais que je n’ai jamais fait des trucs comme ça, mais là je me sens prête. J’ai envie d’être leur pute pour un moment. Tu peux regarder. Même peut-être participer. Ça dépendra de mon humeur…
Elle s’arrêta net, certainement à cause du masque de rage qu’arborait mon visage. Je voulais la baffer, la traîner par les cheveux jusqu’à une porte de sortie et la foutre hors du train. J’espérais qu’un autre train passerait par là et désintégrerait son corps de salope, éclaboussant de ses tripes et de son sang de chienne la vitre de l’infortuné conducteur. D’une voix calme, elle me tira de mes rêveries assassines.
- Tu dois écouter jusqu’au bout, et de toute façon si tu ne veux pas, comme je te l’ai dit il ne se passera rien.
J’acquiesçais et elle poursuivit son discours tout en continuant à me tripoter les bourses. En fait, elle n’avait jamais arrêté et je remarquais que j’avais la verge qui tendait mon pantalon.
- Pour le moment je comprends que tu ne vas pas me donner le feu vert, mais j’ai quelque chose à te proposer. Si tu me laisses réaliser ce fantasme qui vient de naître dans mon esprit je te laisserais réaliser une fois le tien avec autant de femmes que tu le souhaites et pendant ce temps je serai ta chienne ou leur chienne toute dévouée. Je te laisse…
Avant qu’elle n’ait pu finir sa phrase je lui donnais mon approbation car sur l’instant elle avait transformé ma jalousie et ma colère en une lubricité sans borne. Mon sexe me faisait mal tellement il était devenu raide et dur. Et puis la proposition était intéressante. Il me tardait que ce soit mon tour! Elle lâcha mon entrejambe, déposa un baiser furtif sur mes lèvres, me sourit et dit à haute voix d’un ton sévère:
- Mate nous comme tout à l’heure. Ce coup-ci ton voyeurisme sera satisfait.
Elle avait du quitter le compartiment pas plus de trois ou quatre minutes. Je retournais à mon petit bout de vitre et repris mon poste de voyeur. Elle reprit son bouquin et s’assit en écartant amplement les jambes afin que celui face à elle puisse bien regarder cette fois ci.
L’autre, comprenant ce qui allait leur arriver, ne se contenta plus d’appuyer son épaule contre la sienne, il glissa sa grande main directement sur sa cuisse qu’il caressa à l’intérieur quelques secondes avant de remonter sous sa robe. Ma copine dit quelque chose à celui qui s’était enhardi et se tourna vers l’autre en lui demandant autre chose.
Évidemment je ne voyais que ses lèvres remuer sans entendre le moindre son et cela ajoutait de la tension érotique au spectacle qu’elle m’offrait. Je plongeais ma main dans mon pantalon palpant mon sexe en complète érection. Le black qui lui faisait fasse ouvrit la braguette de son bermuda d’où jaillit un sexe flacide très sombre de circonférence hallucinante.
J’imaginai comment elle devait être en érection. Ce que je n’allais pas tarder à voir car il se leva et fourra son gourdin dans la bouche de ma femme tout en poussant sa tête avec ses grandes paluches pour qu’elle le pompe jusqu’au pubis tant que cela était encore possible. Au bout de cinq ou six allers retours il retira sa queue, laissa tomber son bermuda sur les chevilles, et commença à se branler en approchant ses couilles de ma copine qui les goba, l’une après l’autre et les deux à la fois.
Sa bite était vraiment énorme, très épaisse, digne des gros godes noirs que l’on peut trouver en sex-shops. L’autre devait enfoncer ses longs doigts dans son con ou lui caresser le clitoris car elle se tortillait sous sa main. Elle léchait les couilles de l’autre et remontait le long de son sexe hors norme en y baladant une langue experte couverte de salive. Elle s’attardait sur son frein et le lui titillait en alternant pressions douces et fortes de la pointe de la langue.
Il l’empoigna par les cheveux et lui dit un truc que j’imaginais salace et la força à engloutir ce chibre large qui lui distendait les joues. Elle avait la bouche grande ouverte comme si elle faisait une fellation à une canette de coca. Le black baisait sa bouche avec de petits coups de reins et l’obligeait à avaler presque la totalité de sa queue. De la voir faire des gorges profondes à ce chibre noir me filait une trique de tous les diables.
Celui qui baladait ses mains vers la chatte de ma copine avait exhibé son sein droit en tirant sur le soutif avec les dents. Il l’aspirait à pleine bouche, mordillait le téton, le suçait, le léchait tout en continuant ses caresses sous la robe. J’imaginais deux doigts qui s’immisçaient dans la fente déjà humide.
L’autre s’amusait maintenant à la gifler avec sa gigantesque pine noire qui aurait pu être un tentacule de créature des fonds marins. Elle embrassait ce gros sexe que le noir baladait sur son visage. Elle sortit la langue qu’elle fit tourner lentement sur ses lèvres avant de la faire remonter des couilles au gland circoncis, en plusieurs allers retours, en gardant toujours un regard coquin pour le black qui se tordait de plaisir sous la bouche mouillée de cette traînée improvisée.
Puis, elle s’arrêta net, poussa celui qui lui tétait la poitrine et faisait je ne sais quoi sous sa robe, et cessa tout aussi brusquement de sucer l’autre. Puis elle se mit debout, tira une nouvelle fois sur sa robe et leur dit quelque chose.
Le noir au gros sexe qui ballottait maintenant entre ses jambes tel un serpent accroché par la queue à une branche, recula et retira son T- shirt dévoilant un corps imberbe aux muscles bien dessinés. Il devait mesurer dans les 1m90, possédait des épaules larges, des biceps développés par des heures passées à soulever de la fonte ou à effectuer un travail manuel éreintant, de robustes avant-bras qui se terminaient par de grandes mains aux doigts longs et effilés, des pectoraux puissants, des abdominaux sculptés comme ceux des athlètes de haut niveau, un cou imposant, une belle mâchoire carrée, des pommettes hautes, un front large, un petit nez épaté sans trop l’être, des cheveux coupés court comme son pubis, des cuisses et jambes recouvertes d’un fin duvet de poil plantées sur de grands pieds capable de soutenir ce tas de muscles. Et ce gourdin! Il avait commencé à débander mais son membre n’en restait pas moins éléphantesque. Il aurait fait pâlir le grand Rocco de jalousie.
Le second était en train de faire glisser son boxer découvrant une belle queue, déjà très longue en semi érection. Il était beaucoup moins impressionnant physiquement: plus petit, moins costaud, mais avait un corps plus élancé, un visage plus fin, plus féminin, monté sur un cou délicat qu’une magnifique paire d’yeux coquins illuminaient.
Ma copine s’était assise sur la banquette face aux blacks qui se mettaient à poil pour elle, à ses ordres apparemment car elle continuait à leur dire des choses. Elle avait retroussé sa robe jusqu’aux hanches et se caressait les lèvres à travers son petit string qu’elle finit par écarter pour enfoncer deux doigts dans sa petite moule.
Elle leur dit quelque chose. Le moins costaud se mit à s’astiquer le manche, sa main droite montait et descendait le long de son pénis gorgé de sang d’une longueur aussi impressionnante que la largeur de la bite de l’autre. Le noir au tentacule marin s’approcha de ma femme, posa les deux genoux à terre prêt de la banquette, attrapa ses cuisses pour amener son entrejambe à son visage. Il tira sur son string qui se déchira, le jeta à terre, et plongea la tête entre les cuisses de ma belle.
L’autre continuait à se branler énergiquement, son pénis droit comme un i géant dépassait son nombril de toute la longueur du gland. Mon regard retourna sur ma femme qui appuyait sur la tête du black qui lui bouffait la chatte. Elle ondulait des fesses, s’arc-boutait et écrasait la tête du costaud de service contre son intimité certainement recouverte de cyprine. Elle fit signe au branleur de s’approcher.
Je bandais comme jamais. Ma main entière tripotait ma queue, je caressais le gland avec la paume de la main, ce qui m’agaçait et en même temps me procurait des sensations exquises, mes doigts caressaient mes couilles, s’amusaient à décalotter et calotter. « Bite longue » s’était approché de ma douce qui jouait avec la bouche autour de la couronne de son gland. « Bite épaisse » avait toujours la tête entre ses jambes et lui léchait ou aspirait la vulve.
Elle enfourna le sexe au fond de sa gorge et commença à effectuer un va et vient rapide qui semblait ravir « bite longue. » Le second promenait maintenait sa langue vers le clitoris et redescendait vers l’entrée du vagin en s’y introduisant de temps en temps. Elle se tourna vers moi et regarda dans ma direction, tirant sur les cheveux de « bite épaisse » pour qu’il lui lèche plus avidement le minou.
En même temps l’autre tenait ma femme par les cheveux et lui baisait la bouche. Elle me fit signe de venir avec l’index. Je crois qu’il ne me fallut pas plus de cinq secondes pour me retrouver dans le compartiment le pantalon sur les chevilles, ma queue dressée dans les mains.
- Ça te plaît? Dis-le que ça te plaît de me voir entre les mains de ces deux étalons. Tu as vu leur grosse bite noire. Tu aimes me voir les sucer. Tu veux que je suce les deux en même temps?
Je l’avais déjà entendu me parler de manière crue pendant nos ébats amoureux, mais devant des inconnus, et qui participaient qui plus est, cela me troublait. J’étais mal à l’aise et excité comme rarement je l’avais été.
Je n’avais donné aucune réponse mais elle avait fait se relever l’homme à la bite d’éléphant et prenait les deux phallus en bouche, engloutissant les deux glands en même temps. Puis, elle ressortait la plus longue et en tapotait la plus épaisse, ce qui n’avait nullement l’air de gêner les deux blacks, certainement complices de baise à plusieurs reprises.
Elle tenait chaque verge dans une main et s’amusait à frotter les glands, l’un contre l’autre, avant de les reprendre en bouche, les ressortir pour les lécher, jouer avec la langue sur la longueur, la circonférence, les couilles.
- Alors tu ne parles pas? Branle-toi plus vite. Maintenant j’ai envie qu’ils fourrent ma chatte. T’as envie de me voir baiser par ces deux queues? Dis-le.
Sans m’en rendre compte, ni vraiment le souhaiter, du moins à voix haute, je m’entendis dire un « oui je le veux » qui me surprit et me fit sourire. Elle s’était relevée et avait fait s’asseoir la plus épaisse queue à sa place et s’apprêter à s’y empaler, tournant le dos à son partenaire improvisé de baise hardcore.
Je voyais ce sexe disproportionné qui avait du mal à rentrer dans le vagin de ma tendre moitié. Elle ondulait du bassin autour du gland, essayant de forcer l’entrée, se relevait, recommençait, jusqu’à ce que je vis le gland entrer en entier. Elle resta un instant immobile, appréciant la lente dilatation de son trou. Le black exposait ses seins qu’il malaxait.
Cet énorme sexe noir contrastait avec la peau très claire de ma femme et cela me rendait à la fois, fou de jalousie et de désir. Elle demanda à l’autre de lui sucer les orteils, ce qu’il fit en ce mettant à quatre pattes comme s’il était un chien soumis. Elle se balançait de droite à gauche et, d’un seul coup, elle descendit jusqu’aux couilles de « bite épaisse » en poussant un râle de douleur ou de plaisir. Le plaisir d’être remplie par un engin aussi gros?
- Tu veux voir mon trou. Il doit être bien dilaté après avoir été pilonné de la sorte.
Elle se releva un instant, s’assit sur le black en se balançant en arrière pour me montrer son vagin grand ouvert qui dégoulinait d’excitation. J’avais envie de lui bouffer la moule. Mais déjà elle se retournait et demander à « bite épaisse » de la prendre en levrette. « Bite longue » se mit de l’autre côté pour se faire pomper pendant que l’énorme bite black défonçait l’entrée du vagin de ma femme qui haletait à chaque assaut, sa chatte déversant sa lubricité sur ce phallus noir qui la baisait comme elle adore l'être: A quatre pattes, le cul en l'air.
Il jouait avec ses fesses, les écartant et les resserrant, examinant son petit trou avec le majeur, pressant délicatement l'entrée de son anus mais continuait ses allers retours violents qui faisaient tressaillir le corps entier de ma copine. L’autre se faisait branler et pomper en même temps.
Ma femme utilisait ses deux mains pour astiquer ce long manche et il restait encore presque la place pour en utiliser une troisième. Il grognait de plaisir sous la bouche experte et gourmande de ma chérie qui l’astiquait et le suçait comme une folle pendant que l’autre labourait sa chatte à grands coups de rein bien placés.
Elle se retira et s’allongea à même le sol les jambes repliées et relevées et demanda à « bite longue » de la pénétrer. « Baise-moi avec ton bâton! Je suis ta chienne pour un instant. Il ne se fit pas prier plus longtemps, mit un genou à terre et glissa sa queue dans la fente de ma femme. Elle y entra sans problème tant le terrain avait été préparé, déblayé conviendrait mieux, par « bite épaisse.»
Sa longue quéquette noire entrait et sortait de ma copine tel un piston à plein régime. Il lui limait le con comme un malade, poussant de petits râles secs chaque fois que son sexe quittait son petit temple humide. Il la pilonna, la niqua, la déchira, la baisa comme un fou pendant prêt de cinq minutes au cours desquelles ma femme hurlait des « vas-y » , des « plus vite », des « plus fort » accompagné du même verbe à l’impératif que tout le monde devrait deviner.
Il transpirait, son long corps chocolat ruisselait de sueur tellement il avait dépensé de l’énergie à la baiser. « Bite épaisse » caressait sa poitrine, tordait les mamelons avec le pouce et l’index pendant que son pote la défonçait. J’étais sur le point d’éjaculer et décidai de ralentir le rythme de ma branlette afin de profiter de la suite des événements avec la même excitation. « Bite longue » fit une grimace, sortit son phallus et déversa trois jets chauds de sperme sur les fesses de ma femme.
- Regarde-moi ça! Il se permet de me souiller de son foutre et il ne m’a même pas fait jouir! Nettoie-moi ça et fais-moi jouir avec la langue pendant que je suce ton pote et mon copain.
Il enleva le sperme avec un mouchoir qu’il venait de prendre dans son bermuda, et en fit une boule qu’il jeta à terre. Je m’approchai afin de glisser par derrière mon sexe dans la bouche de ma femme comme elle me l’avait si gentiment proposé. « Bite épaisse », loin d’être sourd, s’était lui aussi positionné au dessus de sa tête afin que ma femme puisse prendre sa tentacule en bouche.
Elle prit d’abord ma bite qu’elle suça avec douceur et lenteur comme je le lui demande souvent. Sa main gauche caressait mes couilles et sa main droite palpait le sexe énorme du black qui grandissait encore. Elle sortit mon sexe de sa bouche et demanda au black d’y mettre le sien. J’étais à 30 cm de cette verge qui était couverte de veines épaisses et gonflées.
Le gland noir était vraiment impressionnant et devait faire pas loin de la largeur de trois de mes doigts, brillant de bave, on aurait dit qu’il avait été huilé. Comment arrivait-elle à avaler une telle bite? Elle me prit la queue et la mit dans la bouche en même temps que celle du black. Nos deux queues se touchaient, la mienne de taille modeste contre cette grosse poutre noire. Cela me gênait un petit peu, mais je ne voulais pas gâcher ce moment qui semblait ravir ma femme qui haletait de plus en plus et ondulait des hanches, les pressant contre le visage du cunnilincteur.
Il broutait le minou de ma femme avec beaucoup d’ardeur tout en triturant son anus. J’espérais que ma femme ne sorte pas nos bites pour les frotter l’une contre l’autre comme elle l’avait fait tout à l’heure. Elle était en train d’étouffer avec nos sexes au fond de la gorge mais continuait à les avaler goulûment tandis que l’autre était en train de la faire monter au septième ciel avec sa langue qui fusait sur l’intégralité de sa chatte, exerçant des pressions plus appuyées là où ça avait l’air de faire le plus de bien. Elle arrêta cette douce fellation et commença à gémir en lui ordonnant de bien la lécher. Elle branlait nos queues lorsqu’elle explosa de plaisir, roulant des fesses et proférant une sorte de plainte longue et sourde.
« Bite longue » se releva, il avait de nouveau le sexe qui cognait contre le ventre. Il retourna ma femme et la fit se mettre à quatre pattes, prit sa bite dans les mains, et cracha dessus à plusieurs reprises. Il se baissa un instant pour coller sa langue contre le petit trou de ma femme qu’il pourléchait avec beaucoup de tendresse. La pointe de sa langue s’arrêta un moment sur l’ourlet anal pour finir par se forcer un passage à l’intérieur.
Ma copine avait repris sa double pipe et je n’allais pas tarder à jouir à mon tour. Je me retirai et me glissai sous elle afin qu’elle puisse venir s’enfiler sur ma queue toute raide. Elle comprit tout de suite et quelques secondes plus tard mon gland passait son minou dégoulinant pour aller finir sa course, bien au chaud, quelque part dans son ventre.
L’autre continuait sa feuille de rose et ma femme continuait à bouffer cette grosse bite noire que je voyais en contre plongée. « Bite longue » cessa de lui bouffer le cul, pris sa bite dans la main gauche, la plaça entre les fesses de ma femme pour la sodomiser. Son gland pénétra le trou du cul de ma belle qui gémit à son passage. Quelques secondes plus tard, il l’enculait en profondeur.
Je sentais sa verge qui exerçait une pression sur la mienne à travers la paroi vaginale. Le gigantesque sexe de l’autre black tressautait sous les attaques buccales de ma femme. Il n’allait pas tarder à décharger. Il se retira et se masturba sur le visage de ma femme, grognant comme un sanglier, jusqu’à ce que son corps soit pris de violentes secousses accompagnées de jets de foutre chaud qui devaient consteller ses lèvres, son menton, ses yeux et ses joues.
Je ne pouvais effectuer que de petits vas et viens dans sa douce chatte car la sodomie était si énergique qu’elle restreignait mon espace de manœuvre. « Bite épaisse » alla s’asseoir et endossa le rôle de voyeur. Il nous matait la prendre par le cul et le minou. Sa respiration s’était accélérée et elle suppliait le black de l’enculer plus en profondeur. Il ne se fit pas prier et enfonça sa queue un peu plus loin entre ses fesses.
Puis elle me demanda de me retirer afin qu’elle puisse goûter la moiteur de son vagin. Je présentai ma pine à ses lèvres recouvertes du foutre maintenant sec de « bite épaisse. » qui se caressait le nœud en regardant le spectacle que nous lui offrions. L’autre lui martelait le le petit trou en donnant de temps à autres, une vive claque sur les fesses, ponctuait d’un « t’aimes que je te prenne le cul petite salope. »
Elle prit mon sexe dans la main droite, répéta qu’elle voulait être enculée plus fortement, et l’introduisit au fond de la gorge pour commencer une très agréable fellation lente qui dura environ deux minutes avant qu’elle ne sortît ma pine de son palais afin de demander à « bite épaisse » qu’il lui « prenne le cul.»
Pendant ce temps l’autre l’avait sodomisée comme un marteau piqueur fracassant du bitume et, il laissa la place à son pote, qui déjà essayait de faire entrer son gland énorme entre ses fesses. « Bite longue » avait prit mon ancienne place et fourrait son phallus au fond de son ventre. Elle avait repris la fellation et je sentais que j’étais sur le point d’éjaculer.
- Ouvre grand la bouche et sort ta petite langue de chienne. Lui dis-je en quittant cet antre moite.
Le gland démesuré venait de forcer l’entrée du cul de ma copine qui cria de surprise et de douleur. Il s’arrêta le tant que le sphincter épouse la forme et surtout la circonférence de son gros sexe.
L’autre en dessous la baisait avec sauvagerie faisant rentrer sa longue queue noire jusqu’aux couilles avec une célérité impressionnante. Comment pouvait-il aller aussi loin dans ses entrailles? Puis ma femme hurla si fort que je craignis que quelqu’un ne débarquât dans le compartiment afin de vérifier si tout allait bien. L’autre était rentré dans son cul, écartant l’anus comme il ne l’avait jamais été.
- Tu m’as fait mal mon salaud. Mais ça me fait mouiller aussi. Sors de là et recommence à me défoncer le petit trou.
Il sortit, c’est alors que je vis le sphincter dilaté de ma femme qui restait béant, comme si on y avait glissé une main. Cette vue à la fois très crade et excitante me fit exploser sur sa langue et on fond de ses amygdales. Plusieurs jets de sperme terminèrent certainement au fond de son estomac. Sa bouche était colmatée d’un jus blanc épais qui faisait luire ses lèvres.
L’autre entra d’un seul coup au fond de son minuscule orifice, ce qui la fit jouir une nouvelle fois dans un cri aigu suivi d'un long râle de contentement. Celui qui fatiguait son bassin avec sa longue verge, sortit de sa chatte et alla coincer son pénis au fond de la gorge de ma femme. Il la prit par les cheveux et baisa sa bouche comme il avait fourré son minou il y a à peine deux minutes. « Bite épaisse » s’acharnait sur son cul, écartant à chaque fois un peu plus cet orifice que les blacks avaient baisé sans ménagement.
Déjà je commençais à sentir des vagues d’une nouvelle phase d’excitation se déversaient sur moi. Je pris ma verge en main et me mis à me branler jusqu’à ce qu’elle fut de nouveau dure. Je retournai sous ma femme pour remettre ma queue au fond de sa chatte pendant que la bite monstrueuse lui perforait les intestins. J’eus du mal à m’introduire car le sexe de l’autre réduisait l’espace vaginal poussant à travers la fine paroi qui sépare les deux trous.
Tous les orifices de ma femme étaient comblés par des phallus. Je ne pouvais pas imaginer qu’elle pouvait être autant salope. Elle se trémoussait sous les attaques de nos sexes qui lui labouraient la chatte et le cul et émettait des gargouillis érotiques, la bouche remplie par la longue bite noire. On la baisa par tous les trous pendant plusieurs minutes avec une énergie que je ne me connaissais pas. Je crois qu’elle a joui une nouvelle fois pendant qu’on la prenait tous les trois comme des bêtes.
Ensemble nous nous retirâmes presque au même moment et pendant qu’un black en ma compagnie inondions le visage de foutre de ma femme, l’autre déchargeait son sperme dans le sillon de ses fesses.
Après cet excellent moment de communion charnelle, chacun se rhabilla et reprit sa place sans dire un mot. Les deux black descendirent avant nous et nous quittèrent avec un simple hochement de tête.
Ma copine n’avait pas dit un seul mot et, à leur départ, elle s’approcha de moi et déposa un baiser sur mon cou en me disant: « la prochaine fois c’est toi qui jouera. » Le reste du trajet se fit dans un silence solennel mais mon esprit imaginait déjà le « prochaine fois » qu’il me tardait de vivre.
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A sa merci.....
C'est pas beau d'abuser d'une femme sans défense...
Enfin.... On peut en profiter.....
Mais juste un tout petit peu alors...
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L'invité.
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Fais beau! Aérons nous et profitons de la sylve.... Rediff
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Un Dimanche de brèves
Il semble que Dirtygayhairy relance son blog.
N'hésitez pas à y aller... Il écrit super bien
Adresse dans mes liens...
Deux lobes, deux globes parfaits, une raie finement velue et veloutée comme la peau d’une pêche, deux couilles lourdes mais pas trop pendantes, une bite superbement proportionnée : voilà ce que m’offre Grégoire à quatre pattes sur mon lit. Avec ses 22 ans à peine, il a tout pour plaire.
Chaque mois, Grégoire a pris l’habitude de s’organiser une journée « fion ouvert » où il reçoit, chez lui, une quantité incroyable qui viennent le satisfaire. Ce petit gars est sans doute une bonne salope mais pas un inconscient alors son fion, on le visite avec capote. Sur la table de chevet, il y a du gel et des préservatifs pour tout un régiment. Il faut dire que le mois dernier, parmi les 26 mecs qui l’ont sauté, il y avait dix militaires.
Grégoire est un obsédé du cul. Il passe des annonces sur des tas de sites et fait des rencontres très excitantes. Il se fait mettre partout. Comme en plus, il est assez exhib, il ne recule devant aucun risque… bien calculé. Un jour, il m’a dit qu’on l’avait même baisé au troisième étage de la Tour Eiffel et dans le cockpit d’un avion de ligne.
Cette nuit donc, c’est « fion ouvert » et il est là à attendre. Si la plupart de ses « visiteurs » ne prennent pas le temps de se foutre à poil pour l’enculer, moi si. J’aime sentir ses fesses nues contre mes cuisses et le redresser pour qu’il colle son dos à mon torse velu.
- Viens vite ! me dit-il. J’ai trop envie !
- Tu en es où là ?
- Tu es mon douzième.
- Mazette ! Il est à peine minuit ! Tu vas améliorer ton score.
- J’espère bien. Baise-moi bien à fond comme tu sais si bien le faire.
Entendre ça c’est du velours. Une douceur qui emplit mes oreilles ! Comment ne pas lui donner directement ce qu’il demande. J’enfile ma capote. Pas besoin de gel. Il est déjà très ouvert. Onze avant moi. J’entre d’un coup sec. Il miaule.
- Oh oui, nique ta salope !
- Tu en veux, toi ?
- Tu n’imagines pas !
Oh que si ! Je sais très bien que pour une grosse bite bien juteuse, mon Grégoire est prêt à tout. Je commence à bouger. Ma queue prend sa place et je suis bien dans ce fourreau élastique. Je fais doucement coulisser ma tige pour huiler la machine. Très vite, j’ai compris que je pouvais passer à la vitesse supérieure. Il couine et m’exhorte de lui bourrer le fion à la dure. Je m’exécute. Avec des « han » de bûcheron en rut, je lui explose le trou à coups de reins.
- La voilà ma grosse bite, salope !
Je suis à l’ouvrage depuis une dizaine de minutes lorsqu’il me demande de ne pas jouir trop vite.
- ça t’embête de rester avec le suivant ! J’aimerais que vous vous occupiez de moi à deux !
C’est la première fois qu’il me demande ça. D’habitude, ses « visiteurs » se suivent, se croisent parfois mais ne partagent pas… enfin c’est ce que je croyais. J’accepte d’attendre le suivant. Je continue mon limage en douceur pour éviter de larguer trop vite ma purée. La porte d’entrée reste ouverte toute la nuit et mon successeur arrive. Le mec a une trentaine d’années comme moi, une bonne gueule et a l’air d’être un bon vicelard. Grégoire fait très vite des présentations avant de nous supplier de le loper hard.
- Tu vas morfler, ma salope ! lui dit Stéphane.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il est à poil et nous rejoint sur le pieu qui ressemble à un champ de bataille. Les choses s’organisent sans qu’on ne doive parler. Je me retrouve avec la bite dans la bouche de Grégoire tandis que Stéphane lui fourrer l’oignon. Je ne suis pas toujours tendre avec les mecs que j’encule mais Stéphane lui est un véritable animal sauvage. Grégoire gémit, il hurle sa douleur et, lui, il le bourre sans ménagement. Sa bite est large et elle beau être la treizième a investir l’endroit, c’est douloureux ! Mon collègue enculeur est un vrai bourrin, un mâle dominant par excellence… Son plaisir passe avant tout et la salope qu’il utilise pour ça doit fermer sa gueule.
- Ferme ta gueule, sale pute, et suce ! Toutes les mêmes, ces salopes ! Elles en veulent, elles en veulent et dès qu’on leur en donne, elles chialent.
Grégoire pleurait effectivement. Il souffrait et pourtant il ne demandait pas à son enculeur d’être plus doux. Il subissait. J’ai laissé Stéphane à son enculade virile pendant que je me laissais téter la bite par Grégoire.
- Putain de bordel de merde ! Ce trou !
- Tu as l’air de l’apprécier !
- Plutôt, oui ! C’est la première fois que tu te le fais, toi ?
- Non, je viens souvent. Et toi ?
- Je suis son cousin. Une nuit, j’étais en ville et je suis venu pour lui demander de m’héberger… La porte était ouverte et il y avait un mec qui l’enculait sur la table de salon. J’ai trouvé ça très excitant. Chaque fois qu’il organise « sa nuit de baise », j’accours !
Grégoire ne disait rien. Faut dire qu’il avait la bouche bien remplie.
- Si ça te dis, on peut finir ensemble !
- Et les autres… enfin ceux qui vont suivre…
- Ils suivront… mais avec nous ! Ma petite fiotte de cousin adore se faire partouzer ! N’est-ce pas, petite pute ?
Grégoire a poussé un grognement qui devait être un « oui ».
- La dernière fois, le dernier est parti vers 5 h du mat’ et la pute avait le fion en chou-fleur. Je lui ai dit qu’il n’en avait pas fini avec les bites et je l’ai emmené dans des chiottes sur une aire d’autoroute.
- Raconte-moi ça !
- Ça t’excite, hein ?
- Oui, ça me fait bien durcir.
- Je l’avais obligé à mettre une tenue de pute ! Sous son jogging, il avait le corps complètement rasé, un plug dans le cul, un cockring à la base de sa grosse bite et des anneaux aux seins. Une chiennasse !
- Woaw !
- Je l’ai fait mettre à poil et je l’ai promené sur l’aire de repos avec collier et laisse de chien… Il bandait comme un âne. Il y avait peu de monde mais ceux qui ont vu ça ne l’ont sûrement pas oublié. A peine arrivés dans les toilettes toutes crades, il s’est accroupi entre deux pissoirs… Il attendait le « client » ! Je l’ai bien dosé au poppers et il planait. Un routier allemand est arrivé. Un mec très sexe, blond avec un futal en cuir et une grosse bosse. Il a sorti une teub d’enfer qui a aussitôt giclé une pisse jaune et odorante sur la gueule béate de mon petit slave. Il en coulait tellement que la pute n’arrivait pas à tout boire. Le routier bandait bien et il a poussé son engin dans la gorge offerte. Pendant qu’il pompait le mastard, Grégoire a demandé que je le douche avec ma pisse.
- Et je suppose que tu ne t’es pas fait prier ?
- A ton avis ? Le routier s’est intéressé au cul de la pute et en découvrant le plug il s’est déchaîné. Il l’a collé contre le mur et lui a administré une bonne correction. Un deuxième mec est arrivé. Il avait une aussi bonne bite et la salope l’a pompé pendant que le routier faisait rougir son cul. Celui-ci a ensuite joué un petit moment avec le plug et l’a sorti en disant qu’il allait le remplacer par un truc vivant, dur et chaud. Le blond a planté sa teub dans le fion de mon slave mais il n’a pas pu crier parce que le nouvel arrivant lui faisait sucer le plug. Un tableau excitant à crever ! Tu imagines : cette petite pute bien emmanchée par les deux trous !
- Le routier avait une grosse bite ?
- Elle était de bonne taille. Au bout d’une heure, il y avait quatre mecs pour s’occuper de ma pute. L’excitation était à son apogée et dès que je premier a annoncé qu’il jouissait, j’ai ordonné qu’il le fasse sur la gueule de ma tarlouze. Les quatre mecs l’ont littéralement arrosée. Y’avait du sperme bien épais sur tout son corps et surtout sur sa gueule. Les mecs se sont tirés sans dire un mot. Si l’Allemand a dit un truc… J’ai pas compris mais ça devait être gentil. Je suis resté là un moment avec ma lope toujours à 4 pattes comme la chienne qu'elle était devenue.
Une fois de plus, je me fis cette réflexion : pourquoi un mec au physique de rêve, qui pourrait se taper n’importe qui rien qu’en levant le doigt… pourquoi un mec comme ça ressent-il le besoin d’être soumis et dresser comme une chienne ?
Avec Stéphane, on a changé de place et j’ai eu droit à enculer à nouveau Grégoire. Sa belle bite se balançait, dure comme du bois, sous ses belles fesses musclées. Il faisait jouer son fion comme une chatte bien humide.;;
Pute au bois
Barry. Quel mec ! 1 m 85 ! Musclé ! Très bien charpenté ! Un visage de vrai mec avec un soupçon de… Putain ce mec est indéfinissable…
Barry se promène souvent en forêt car il adore la nature. Un samedi, alors qu’il prenait son bol d’air de fin de semaine, il est tombé sur un couple d’hommes qui faisait l’amour. Enfin… qui baisait…
N´ayant jamais eu l´expérience d´une telle situation, il se trouva l´espace d´un moment stupide et embarrassé. Toutefois, cette impression ne fut que de courte durée car il se rendit compte qu’il bandait. Excité à tout rompre, notre Barry !
Il avait eu des nombreuses maîtresses et il n’avait jamais goûté aux joies de l’homosexualité. Un jour, une de ses conquêtes, une fille un peu conne, lui avait demandé s’il n’était pas un peu pédé…
- Pourquoi dis-tu ça ? lui avait-il demandé, un peu vexé. Je ne t’ai pas satisfaite ?
- Là n’est pas la question ! avait répondu la fille. Tu agis comme la plupart des homos… Toujours chercher à plaire et ne pouvoir te satisfaire d´une relation unique. Et puis, tu aimes drôlement te regarder dans un miroir !
Pendant tout un temps, Barry avait été inquiet de cette réflexion et il avait voulu se « tester ». Il avait pris ses renseignements sur la façon de draguer des homos et il avait été attiré par les milieux louches et aux pratiques dangereuses. Il avait toujours préférait choisir ses femmes, au hasard de ses sorties, se fiant à son intuition, en espérant rencontrer à chaque fois un plaisir nouveau... Il apprenait aujourd’hui que son instinct de prédateur était propre à ses congénères gays.
Il avait appris récemment que le bois où il aimait se promener était un endroit de drague et de baise pour mecs. Il était fréquenté, du moins une partie, par les voyeurs et les exhibitionnistes, peuplé de créatures étranges, traversé de bruits plus ou moins étranges. Barry se découvrit d’abord des penchants de voyeur puis d’autres d’ exhibitionniste.
Au fil des jours, il adorait se montrer, provoquer, susciter le désir et l´envie.
Tout bascula ce samedi-là ! Barry prit l'un des petits chemins qui s'enfonçaient dans le bois et il croisa plusieurs fois des mecs seuls. Il savait qu´il était au bon endroit pour satisfaire ses nouveaux fantasmes. Il marcha encore un moment au milieu du silence et des bruissements de feuilles. Il atteignit enfin un sous-bois délicieux.
Sur les lieux, il constata qu´il n'était pas le seul à avoir eu l’idée de se perdre ici. Il n'allait pas être difficile de se trouver un partenaire pour passer un agréable moment. On était en automne et les journées étaient courtes. L'obscurité commençait à s'installer tandis que la fraîcheur de la nuit tombait. Barry s’installa sur une souche d’arbre. Il eut tout le loisir de détailler un couple qui cheminaient sur un sentier étroit en se donnant des bisous. Un des deux mecs le regarda en le souriant. C’était une invitation…
- Quelle agréable perspective ! pensa Barry tout excité.
Le couple s’enfonça dans les fourrés et Barry décida très naturellement de les suivre Ils passaient sous le rayon de la lune. Ils marchaient toujours côte à côte, en amoureux. Ils s’arrêtèrent quelques mètres plus loin un endroit discret et sombre, à l’abri des regards indésirables.
Les deux hommes ôtèrent une partie de leurs vêtements. Barry se mit à bander ; il avait de la peine à avaler sa salive. Le plus jeune des deux mecs se tourna vers Barry . Il appréciait le plaisir à se laisser exhiber par son copain. Barry tira sa grosse bite veineuse hors de son pantalon et se masturba à dix mètres des deux mecs. Ces deux-ci étaient entourés d’un halo de sensualité qui le rendait dingue. Le silence se faisait oppressant. Il entendit la voix du plus jeune :
- Oh, mon chéri, non ! Tu… tu exagères… Pas ça !
Mais déjà, l’autre lui avait enlevé son pantalon et il était cul nu. Le déshabilleur palpa d'une main impatiente l'entre jambes de son amant. La main claqua sur les fesses et le garçon fut tourné vers Barry qui matait la scène. La situation était on ne peut plus excitante. La chatte du jeune type était offerte, béante. Le type plus âgé cracha dans la raie et fit un petit signe à Barry. Comme celui-ci n’osait encore bouger, le type encula son partenaire qui n’en pouvait plus.
- Oh oui, Fred, baise-moi… Baise ma chatte…
- Qu'est ce qui t'arrives, ma petite pute ?
- Je n’en peux plus, Fred ! Il me faut une bite…
- Tourne-toi, ma salope !
L’enculeur poussa un cri rauque tandis que gémissait la femelle. Au rythme des gémissements cadencés, il commença à bien la besogner.
- Mmmm, mon chéri, occupe-toi de moi comme je l'aime !
Barry les regardait baiser sauvagement et il frotta sa queue qui rebondissait comme un ressort. Ces jeux d'exhibition continuèrent pendant un certain temps avec des cris, des injures et tout ce qui est nécessaire pour exciter un mâle. Les deux mecs voulaient trouver à exciter Barry jusqu'à ce qu´il ait envie de pousser le jeu un peu plus loin, au-delà du voyeurisme .
Barry avait libéré son sexe érigé comme un pieu rigide et il l’agitait avec force. L’enculé salivait en voyant le membre, épais, long de plus de 25 centimètres et aussi très large. Il le voulait en lui. Les deux gars continuaient leur manège exhibitionniste mais Barry continuait à leur faire comprendre qu’il n’était pas encore prêt à les rejoindre. Il redoublait de vigueur en s’astiquant le sexe. Le couple restait bouche bée en voyant le membre luisant qui coulissait dans le poing viril. Tous les deux ne cessaient de le dévorer des yeux... L’engin qui pendait entre ses grosses cuisses musclées était magnifique, énorme, gorgé de sang, le gland bien dessiné et tendu comme s'il allait exploser. D’ailleurs, il allait exploser ! Pas de la façon entendue mais…
Les trois hommes se toisaient, se lorgnaient, échangeaient des regards muets très intenses. Barry était bouillant. Le couple se sentait brûlant, presque tremblotant à la vue du sexe érigé qui les rendait fous. L´enculé continuait à regarder le sexe tentant de Barry.
- Regarde, Tom, il est énorme ! Qu’est-ce que ça doit être bon de l’avoir là… au fond…
- Putain, j’ai trop envie de le sucer.
Barry avait compris. Il se taisait. L’enculeur se retira du cul de son mec. L’enculé s’adressa à Barry.
- Tu veux me baiser ?
N'obtenant pas de réponse, il reformula sa question.
- Tu veux me prendre ? Moi, j’ai très envie …
Les deux mecs s’approchèrent. L’un des deux s’agenouilla devant Barry puis le suça. L’autre l’embrassa avec fougue. La bouche qui s’occupait de la bite commença à s´activer de manière de plus en plus experte léchant, suçant et engloutissant le fruit de tant de désirs. Barry cria légèrement.
- Pas si vite ! Je…
Le suceur passa à une fellation plus classique, plus calme, arrachant des bruits plus doux au « pompé » . Barry pensait déjà à ce cul si tentant qu’on lui offrait de baiser. Toutefois, il savourait l'instant présent, sa verge imposante coulissant dans un fourreau humide… Barry se cabra. Il devait être au bord de la jouissance. Le jeune type parla à l´oreille de celui qui suçait.
- Non ! Pas comme ça… Je le veux…
Se retournant et découvrant ses fesses blanches et rondes, le jeune type lui offrit une vision sur le paradis. Barry se masturbait comme un fou en regardant les lobes charnus.
- Viens ! Il te veut en lui ! dit le plus âgé des deux mecs en attirant Barry vers sa femelle en chaleur.
Barry suait.
- C’est pas ta première fois quand même ? Tu as déjà sauté une pute au bois ?
Barry n’avait pas envie de répondre, de parler. Le type saisit sa queue et commença à le branler doucement.
- Tu ne vas pas le regretter, je t’assure ! Son trou est vraiment étroit. Une bonne chatte serrée…
- J'ai l'impression qu’il aime bien se faire enculer, dit Barry à l´homme.
- C'est pas rien de le dire ! Il aime constamment avoir le cul rempli.
- Moi, j'adore les femmes… si tu vois ce que je veux dire.
- Peu nous importe… Tu es là et le cul de ma pute te fait envie ! Sers-toi, mec ! Tu en as envie, oui ?
- Je crois que oui !
- Plante-le alors !
Barry regarda son énorme verge qui se dressait telle une matraque… gigantesque, impressionnante. Le type penché en avant se cambrait au maximum pour préparer l’arrivée de l’obus. Il frémissait à l´idée qu´il allait le recevoir au fond de ses fesses. Barry se plaça derrière lui et il sentit sa bite frôler l’anus brûlant.
L’autre gars lança à son compagnon.
- Allons, il arrive… ouvre-toi ! Montre-lui de quoi tu es capable, ma petite pute !
- Ouiiiiiii
Il était très excité et lui obéissait. Il s'empara du membre raide et le plaça à l'entrée de son cul.
- Entre ! Vite ! Entre ! Entre ! Je n’en peux plus !
- Dis-moi si je te fais mal !
- Tu ne me feras pas mal… J’en ai pris d’encore plus grosses… mais en caoutchouc !
- Bon ! Je vais t´enculer maintenant, écarte bien tes fesses !
Barry enfila une capote et glissa enfin sa queue dans le cul qui se cambra un peu à l'introduction. Sa bite força le passage. Il sentit l’ anus s´ouvrir doucement. Barry était vraiment étonné des dispositions du garçon. Son cul était effectivement très serré. Comment pouvait-il recevoir entre ses fesses un sexe aussi gros ? Barry se le demandait. Il sentit le gland gorgé de sang se frayer un passage à peine douloureux.
L’enculé avait beau fanfaronner et prétendre qu’il avait l’habitude des gros calibres, il grimaça de douleur en accueillant le reste du membre de Barry. Cette fois, tout était entré. Jusqu’à la base ! Barry resta un moment sans bouger puis il fit ressortir son sexe pour le renfoncer doucement. Après l´avoir enfoncé jusqu´à la garde, il sentit ses couilles taper sur les fesses du jeune type frémissant.
- Putain de meeeeeerde, c’est groooooooos !
- Tu l’as voulu, mon ange ! lui dit son mec qui encourageait Barry à continuer.
Barry hésita un peu. Son braquemart se mit à faire un mouvement de va et vient. Il finit par tirer des cris de bonheur au jeune type extatique.
- C'est trop bon ! C’est super !
- C'est génial ! Il avait le cul plein ! Tu le combles dans tous les sens du terme…
- Il est dans mon cul ! Oh, mon chéri comme j´aime cette sensation ! Vas-y c'est bon ! C'est trop bon !
Après quelques va et vient, l’enculeur balèze prit de ses deux mains les hanches de sa « victime » consentante, les serra très fort et avec des râles étouffés il lui remplit le cul par saccades.
Barry revient souvent dans ce bois. Il y fait régulièrement d’intéressantes rencontres.
Barry est aujourd’hui marié et père de deux adorables bambins.......
Jérôme en veut
Je m’appelle Jérôme, et c’est mon mec qui m’a demandé de vous écrire, pour vous raconter mes expériences de soumis. J’ai rencontré Luc il y a cinq ans et notre vie sexuelle est très vite devenue morose et routinière. J’avais personnellement pas mal de fantasmes inassouvis. Luc les connaissait mais ne semblait pas attiré par ceux-ci.
De retour d’une soirée bien arrosée, alors que je me couchais, Luc me dit qu’il n’avait pas sommeil et qu’il souhaitait ressortir.
- Tu es dingue ? Moi, je suis crevé…
- Et si c’est pour réaliser un de tes fantasmes les plus fou ?
- Hein ?
- Tu m’as bien compris… Je vais sortir, draguer un mec et revenir te raconter tout ce qu’il m’a fait.
Il est sorti de la maison, puis est immédiatement revenu pour retirer son slip en me disant qu’il n’en aurait pas besoin. Il est donc parti. Je n’ai pas pu dormir bien entendu. L’attente fut très longue et terriblement énervante. Vers quatre heures, il m’appela de son portable. Je l’entendais gémir et encourager celui qui était en train de la baiser. Je ne pouvais qu’écouter et me masturber. C’était de l’inédit ! La frustration ajoutait à l’excitation de la situation. Il est rentré au lever du soleil, soit 8 h du matin, l’air ravi et heureuse. Il s’est approché de moi et m’a dit :
- Mon trou a été limé par trois grosses bites. Regarde mes fesses.
Elles étaient poisseuses.
- C’est le sperme de mon dernier amant qui dégouline ! Il avait une bite énorme, comparé à ton ridicule petit bout de chair ! Il m’a baisé en profondeur et a voulu jouir sur mes fesses rondes. Profites-en car c’est tout ce dont tu auras droit pour l’instant !
Je n’y croyais pas, mon fantasme de cocu soumis se réalisait enfin. Luc avait bien préparé son coup. J’étais là, hyper excité, la bite à angle droit et il se refusait à moi.
- Raconte ! Je t’en supplie !
- Tu n’as pas assez la honte comme ça ?
- Non ! Je veux savoir, Luc !
Il m’expliquât donc que ce n’était pas un mais trois amants qu’il avait eût pendant la nuit.
- Ils m’ont pénétré chacun après que je les ai sucés.
J’étais frustré et excité comme un fou. J’ai voulu me branler et il a crié :
- Si tu essayes encore de te toucher le salsifis, je t’attache les mains derrière le dos !
Je devais rester ainsi frustré jusqu’à ce qu’il m’autorise à me caresser. Il m’a fallu attendre le soir pour pouvoir jouir de ses aventures qu’il prit un malin plaisir à me raconter de nouveau. Le début de semaine fut calme et nous évitions de reparler de cette aventure hors du commun. Le jeudi, il m’annonça qu’il me préparait une surprise :
- Tu vas apprécier, j’en suis certain !
Après le repas du soir, il alla se changer. Il revint habillé de cuir et de métal : un vrai Maître de film SM. Il m’ordonna de me mettre nu et de m’allonger nu sur le lit de notre chambre. Il m’attacha à celui-ci avec des cordelières, bras et jambes écartés. Il m’enjamba et frotta son sexe sur mon visage.
- C’est tout ce dont tu as droit, le reste sera pour mes camarades de jeux de la soirée !
Et il m’abandonna là, impuissant, avec mon érection, ne pouvant rien faire d’autre qu’attendre. Il quitta la maison et revint un peu après 4 h du matin. J’étais épuisé d’être resté si longtemps dans cette même position inconfortable. J’entendis plusieurs voix et je compris vite qu’il n’était pas seule ! Il avait ramené un mec à la maison !
- Il est ici, dans la chambre !
Très vite ils entrèrent dans notre chambre. Il voulait me montrer celui qu’il avait dragué et ramené pour se faire baiser là près de moi. Je l’ai donc entendu crier de plaisir pendant plus de deux heures. Je l’ai vu se faire niquer par les deux trous par une bite énorme. Il prenait un malin plaisir à commenter bruyamment les exploits de son amant.
- Oh oui, tu es le meilleur ! Elle est si grosse ta matraque ! Ouiiiiiiiiii, tu assures, mec !
A quatre pattes, Luc suça le mec, il lui lécha la bite, puis le mec le pénétra longuement avant de se vider sur son cul rassasié. Mon mec criait de plaisir comme jamais il ne l’avait fait auparavant.
Le mec se rhabilla et sans m’avoir adressé la parole, il quitta notre appartement. Luc se pencha vers moi :
- Alors, tu as aimé, parce que moi j’ai adoré !
Je ne le reconnaissais pas.
- Ce soir, c’est quatre mecs qui m’ont baisé comme une putain, et ils ont tous éjaculé sur mon corps.
Il a essuyé tout ce sperme sur mon corps puis a décidé de me branler. A peine avait-il pris ma queue en main que je jouissais à gros bouillons.
- excuse-moi, je n’ai pas pu me retenir !
- Eh ben, mon salaud, dit-il, on peut dire que ça t’excite ! Lèche mes doigts que tu as osé souiller avec ton jus !
Depuis, il a régulièrement d’autres amants, dont un régulier que je dois sucer avant et après qu’il le prenne. Pendant qu’ils s’amusent ensemble, je dois retourner dans la cuisine, préparer le repas avec un gode au cul et attendre que l’on m’appelle. Je n’ai plus jamais de rapport avec Luc qui se refuse systématiquement à moi pour se réserver aux grosses bites.
J’ai droit aux injures, à la soumission et au rôle de voyeur.
Je suis un cocu soumis et heureux.
Luc a rendu un sens à ma vie.
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Certains naissent pour obéir et nous servir...
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Jour de vidange
Quand on a envie de se soulager,
on sait ou aller se vidanger...
Un vrai pt'i pro de la teub!
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Histoires du net. Auteur.Telis cat. Obéir.
Quand la vie nous impose des sacrifices...
L'enfant.
Tout cela avait commencé de manière presque banale. Mon mari et moi étions ensemble depuis plusieurs années maintenant et l'envie d'un enfant était naturellement venue. Mais, après six mois d'essais infructueux, le doute commença à nous envahir. Alors nous avons fait des tests. Ces derniers révélèrent que le problème venait de Christian, mon mari. Il était stérile. Et, apparemment, une fécondation in vitro n'y changerait rien...
La nouvelle nous anéantit et la tension entre nous fut vive pendant plusieurs semaines. Enfin, un soir, Christian me prit à part et m'exposa sa solution. Il me proposa que Dan, un de nos amis de longue date en qui nous avions toute confiance, soit le père de l'enfant. La solution me parut appropriée. D'autant que j'étais sorti avec lui pendant une courte période par le passé. Cependant il y avait quelque chose qu'il ne m'avouait pas, je le sentais bien...
Je compris ce qu'il me cachait quelques jours plus tard. Christian ne devait pas rentrer ce soir et je fut étonné que quelqu'un vienne sonner. C'était Dan. Je supposais alors qu'il venait à propos de l'enfant. J'avais raison, du moins partiellement. Nous avons commencé à discuter. Je n'osais aborder le sujet, un peu gênée. Enfin il prit une grande inspiration et demanda :
- Tu sais pourquoi je suis là, n'est-ce pas ?"
- Euh... Oui... Enfin, je crois..."
- Bon... Tu veux qu'on... Enfin qu'on s'y mette ?"
Je me figeais et fronçais les sourcils :
- Comment ça ?"
- Et bien... Il faudra bien. Enfin tu vois..."
J'éclatais de rire :
- Mais non, imbécile ! On fera ça in vitro !"
Il lâcha d'un ton sec :
- Non."
- Comment ça, non ? Ne fais pas l'enfant, voyons..."
- Je ne fais pas l'enfant. Christian ne t'as pas dit ? On ne peut pas faire de fécondation in vitro avec quelqu'un d'autre que son conjoint. Ou alors c'est avec un donneur inconnu qu'il faut le faire."
- Mais... Christian ne m'a rien dit..."
- Ah ? Je le comprends, c'est pas facile. Bon ben maintenant tu sais."
Je restais silencieuse, abasourdie par la nouvelle. Il finit par briser le silence et dit d'un ton taquin :
- C'est si pénible que ça comme idée ?"
- Euh... Non, non, bien sûr. Mais..."
Qu'est-ce que j'étais en train de raconter ? J'étais en train de lui dire que ça me plairait de tromper Christian... Quelle conne ! Il posa sa main sur ma jambe et je déglutit avec peine. Il dit en souriant :
- Allons nous coucher alors."
- Euh... Oui."
Je me retrouvais sans trop comprendre comment à dormir avec lui.
Il ne tarda pas à me prendre. Il ne m'avait pas vraiment laissé un souvenir impérissable de nos précédents ébats mais là c'était encore pire. Il me fourrait mécaniquement. Les quelques caresses qu'il me prodiguait étaient clairement plus destinées à lui faire plaisir qu'à moi. Il éjacula. Mais il continua. Il avait toujours été endurant et avait une sacrée libido. Il n'était pas en forme et ne se vida que cinq fois avant de s'endormir.
Je restais les jambes écartées à attendre qu'il remette ça. Puis j'entendis ses ronflements et compris que c'était fini pour ce soir. J'avais l'air bête dans cette position... Je soupirais : au moins il m'en avait mis plein la chatte. Je plongeais mon doigt en moi et en ressortit un peu de sperme. Je le goûtais. Sa semence avait toujours un goût aussi immonde.
Christian me manquait terriblement. J'aimais le sucer. Il m'arrivait même d'apprécier le goût de son jus et de le déguster comme une friandise... Je me caressais en pensant à lui. Des larmes me vinrent en pensant à la douleur qu'il avait du ressentir en acceptant que Dan me touche à nouveau. Mais il m'aimait. Je finis par jouir et m'endormir à mon tour...
Le lendemain matin je me réveillais seule. Dan, avec sa goujaterie habituelle me demanda de lui faire son petit-déjeuner. J'obéis sans rien dire. Le silence était pesant à table. Il demanda alors :
- Tu veux toujours un gosse ?"
Je soupirais : quelle question idiote !
- Bien sûr..."
- Bon ben enlève ta robe de chambre, passe sous la table et suce-moi."
Je me figeais. Comment osait-il ? Je levais les yeux et vis son sourire en coin. Je voulus me révolter mais mon corps ne répondait plus. Avant que je ne comprenne ma robe de chambre glissait au sol. La honte m'envahit : j'étais en train de passer sous la table de ma cuisine pour lui sucer la queue et il présentait ça comme un service qu'il me rendait...
Il ne fit aucun effort pour m'aider d'ailleurs, je fus forcée d'écarter moi-même les pans de son peignoir pour atteindre sa verge. Il prit juste la peine d'écarter un peu les cuisses. Il me complimenta, me disant que Christian m'avait bien éduquée et que j'étais devenue une bonne suceuse de bite.
J'avais envie de lui cracher que c'était parce que Christian me donnait envie de le sucer, lui. Mais je me tus. Je le haïssais. J'avais honte, j'étais en colère. Je regroupais toutes ces émotions en moi. Puis je les ai relâchées. A mon grand étonnement je ne le repoussais pas avec vigueur mais me mis au contraire à le pomper de toutes mes forces...
Cela eut l'effet escompté : sa hampe devint bien vite dure et raide. Il n'eut pas besoin de me demander : je m'appliquais à l'avaler, l'aspirer, le lécher sur toute la longueur. Il continua à me complimenter et me donner des instructions : 'Tète-moi le gland', 'Lèche le dessous de ma hampe', 'Caresse-moi les bourses'... Et il me caressait les cheveux comme une petite fille. Enfin il lâcha nonchalamment :
- Allez, retourne-toi si tu veux te faire fourrer."
A nouveau mon esprit se révolta. A nouveau mon corps n'obéit pas. Et à nouveau il m'humilia en ne faisant aucun effort pour me pénétrer. Il daigna juste écarter un peu plus les cuisses et maintenir son sexe pour que je puisse me planter plus facilement. Je me contorsionnais et finis par y arriver. Je fus surprise par la facilité avec laquelle son membre entra en moi. On peut même dire qu'il fut littéralement aspiré. Je ne m'étais même pas rendu compte que j'étais trempée de mouille... Mon visage rougit et de honte et de colère. Contre lui mais aussi contre moi. Et même contre Christian. Je me mis à sangloter mais lui continua à manger sans s'en préoccuper. Sa verge ressortit plusieurs fois et je fus forcée d'aller la chercher pour la remettre entre mes cuisses. Enfin il dit d'un ton neutre :
- Je vais juter. Plante-toi bien, surtout."
J'essayais de faire de mon mieux mais n'y arrivais pas. Il soupira et tira mes cuisses vers lui avant de bouger ses hanches. Puis il éjacula. Il se vida en moi puis me dit d'aller me tenir les jambes en l'air pour que sa semence coule bien en moi.
Je savais que c'était inutile, que c'était juste pour m'humilier. Mais j'obéis sagement. Je me retrouvais les jambes appuyées sur le bord de l'évier et les épaules au sol. Il me regardait d'un air goguenard. Puis il se leva et vint inspecter ma chatte. Il se rassit alors et dit :
- C'est bon, reviens à ta place."
Je soupirais et me glissais à nouveau sous la table. Je réalisais alors qu'il voulait peut-être dire que je pouvais m'asseoir à nouveau... Maintenant je lui avais livré mon corps comme une catin...
Je sentis ses mains caresser mes fesses, mes hanches, ma chatte toujours humide. Enfin il parla :
- Bon, je me suis suffisamment plié à tes désirs. Je prend les commandes. Sors ton cul, veux-tu ?"
Il était vraiment odieux. Il laissait sous-entendre que tout cela avait été une faveur qu'il m'avait faite. Je fulminais sous ma table. Et je reculais malgré tout. Je savais qu'il voulait m'enculer. Il avait essayé par le passé, sans succès.
Christian m'avait prise de cette manière une fois mais nous n'avions pas vraiment pris de plaisir et n'avions pas renouvelé l'expérience. Dan se fichait de mon plaisir, lui : il allait juste me défoncer le cul comme une bête. Et c'est justement pour ça que je mouillais...
La fraîcheur de mon désir coulant sur ma cuisse me rappela combien j'étais excitée. Seul mes reins et mes fesses dépassaient de dessous la table : je n'étais qu'un trou à ses yeux. Et moi je me sentais chienne. Sa chienne. Et j'étais en chaleur.
Son entrée fut aussi fracassante que je l'imaginais. Je me mordis les lèvres pour ne pas hurler. J'eus à peine le temps de fermer les yeux et d'esquisser un sourire béat qu'il commença à me ramoner vigoureusement. Je me mordis de nouveau les lèvres. Le goût du sang envahit ma bouche.
Je changeais sans cesse de position, bien qu'il ne s'en rendit pas compte. Je me plaçais sur mes avant-bras, sur un seul bras et colla même mon visage au sol. Ma joue frottait au rythme de ses assauts brutaux. J'étais en sueur et j'étais sûre que lui aussi. Il haletait alors que sa peau claquait contre la mienne. Quand il parla sa voix était hachée :
- Putain... Depuis le temps que j'attendais ça ! La première fois que j'ai vu ta rondelle je me suis dit que ce serait un délice d'ouvrir ce petit trou. Mais là... Oh putain !"
Il ponctua sa phrase de violents coups de rein. Puis il enfonça ses doigts en moi et put constater combien j'étais chaude. Je l'entendis sucer ses doigts puis dire en ricanant :
- Je prend bien mon pied, tu sais ! Mais apparemment je ne suis pas le seul... Hein, ma salope ?"
- Ou... Oui... C'est... C'est trop bon."
- Quand je pense que t'étais contre ! Que de temps perdu !"
- Oh oui, j'étais trop conne. Bourre-moi à fond."
Il ne se fit pas prier : il me déchira l'anus avec plaisir. Je poussais de petits cris et il me claqua les fesses en riant :
- Alors ? On aime, ma pute ?"
Je ne répondis pas. Il continua à ahaner en s'arcboutant sur moi. Puis il lâcha dans un soupir :
- Si tu veux que je te bourre à fond ne retiens pas tes cris : ça m'excite..."
Je lâchais alors tout et m'époumonais de douleur. Je couinais de plaisir aussi. Il ajouta sur un ton sarcastique :
- N'en fais pas trop non plus, sinon c'est pas crédible..."
Je balbutiais alors :
- Je... J'en rajoute pas... Oh... Ta queue me fait mal... Ah... Ah.. Oui !!! Très mal."
- Umm... Salope."
- Oh oui."
- T'en veux plus, hein ?"
- Tu... Tu peux me faire souffrir encore plus ?"
- Oh que oui !"
- Vas-y alors, déchaîne-toi !"
- Accroche-toi, pétasse ! T'auras plus d'anus après ça !"
- Umm... Ca m'exci... Aïe !!! Oh..."
Je me laissais aller à la douleur. Mes seins ballottaient et tapaient sur mon bras. Je n'avais plus de sensations précises, juste une immense déchirure qui irradiait de mon arrière-train. Les bruits parvenaient étouffés à mes oreilles. Je ne savais plus trop dans quelles positions j'étais. Une immense vague de plaisir me submergea et je hurlais de plaisir.
Quand je revins un peu à moi et que mes spasmes se calmèrent je crus sentir qu'il avait encore accéléré. C'était si bon. Au dernier moment il me planta la chatte et juta entre mes cuisses en ricanant :
- T'as vu ? Je pense à ton marmot aussi !"
Je souris vaguement : moi je l'avais complètement oublié ...
Je restais sous la table, attendant qu'il m'encule de nouveau. Mais il me dit :
- Sors de là, on va baiser en haut, ça m'excite de te sodomiser dans votre lit conjugal."
Je sortais docilement de dessous ma table et me dirigeais vers l'escalier. Il m'attrapa au passage par les cheveux et ajouta :
- Oh, suce-moi d'abord."
Je m'agenouillais et lui pompais le dard avec application en me touchant la chatte. Il me caressa les cheveux en souriant :
- Mon petit aspirateur à bites... Tu sais que tu es bonne ?"
- Umm..."
- T'aimes ma bonne queue ? C'est parce que tu la suces que tu te doigtes ?"
- Umm, umm !"
- Tu te fourres le cul aussi, j'espère ?"
- Umm !"
- Fais voir."
Je bombais mon cul et écartais ma fesse avec ma main libre sans arrêter de le sucer. Il dit alors :
- Ca me fait bien bander... Enfin ça tu le sens !"
Je cessais enfin de le sucer pour le lécher un peu :
- Oh que oui, mon salaud ! T'as envie de me la foutre dans le cul, hein ?"
- Bien sûr ! Tu y vois une objection ?"
- Non..."
Je le suçais de nouveau. Je ne savais pas encore si je ne faisais que le faire durcir pour qu'il me défonce ou s'il voulait juter dans ma gorge. Mais je m'en foutais : je n'avais qu'à attendre comme une petite chienne docile. Il m'annonça avec une pointe de sadisme :
- Je vais te fourrer la gorge. Bon courage."
Je fus touchée d'une telle attention. Mais je du bien vite me concentrer sur le fait de ne pas vomir et de respirer quand je le pouvais. Quand il me relâcha je bavais comme un bébé. Il me leva la tête et demanda :
- Ça va ?"
Je voulus répondre mais n'y parvint pas. Alors je hochais la tête. Il poursuivit alors :
- Bon ben j'y retourne alors."
Il n'attendait évidemment pas de réponse et ne me laissa pas le temps d'en formuler une avant de recommencer à m'étouffer. Lorsqu'il me libéra à nouveau mes yeux étaient rougis de larmes. Je l'aspirais de toutes mes forces pour le remercier de m'avoir bien baisé la bouche. Il poussa un râle de plaisir et me traita de petite pute. Puis je le vis de nouveau scruter mes fesses. Je me penchais en avant, bombant mon cul et avalant son sexe profondément. Il murmura :
- Tu peux en mettre trois ?"
Je souris pour moi-même et fourrais quatre doigts dans mon anus. Il poussa un sifflement d'admiration :
- Quelle pétasse ! J'en demandais pas tant..."
Il bloqua ma tête et je sentis que sa verge vibrer. Je le léchais doucement et il gicla. J'avalais goulûment, savourant chaque goutte. Enfin il me laissa lui nettoyer la hampe avant de demander :
- T'aimes ma semence ?"
- Non, elle a un goût immonde."
- Et pourtant t'avales..."
- Bien sûr ! Je suis une salope. Tu jutes dans ma gorge. J'avale. C'est logique."
- Ben oui, c'est logique."
Il se tut, me laissant lécher consciencieusement son sexe. Puis je me relevais et le masturbais. Je voulus l'embrasser mais il me repoussa en disant :
- Non. T'es juste une pute pour moi."
- C'est vrai. Excuse-moi."
Il me caressa le visage puis sourit. Il me claqua la fesse et lança en riant :
- Allez dépêche ! Faut que je t'encule maintenant que tu t'es fait plaisir !"
Je lui lançais un regard pétillant puis dis :
- Merci !"
Et je montais devant lui en ondulant du cul, parfaitement consciente que son regard scrutait mes deux orifices avec envie...
Je ne me rendais même plus compte de ce qu'il me faisait : je me contentais d'enchaîner les orgasmes. Il me pénétra encore et encore. Par devant et derrière. Je le suçais quand il n'était plus en forme. Ou simplement quand il avait envie.
J'avais du sperme partout. J'étais chienne. J'étais sienne. La seule chose marquante fut une brève discussion entre deux baises. Nous étions allongés l'un contre l'autre et il me caressait le sein. Il dit juste :
- Bon, j'appelle des potes. T'es trop cochonne pour moi."
- Je... Non. S'il te plaît."
- Allez..."
- Non."
Je sentis que sa queue était raide de nouveau. Alors j'en profitais pour le prendre par les sentiments :
- Encule-moi plutôt."
Il soupira et dit :
- Bon, ok."
Puis il me mit sur le ventre et me défonça.
Enfin vint le moment de séparer. J'avais peur. Peur de redevenir celle que j'étais. Peur de devoir faire face à ce que j'avais fait, ce que j'étais devenue le temps d'une matinée. J'avais passé cette matinée à baiser. Comme une chienne. J'avais pris du plaisir à me faire enculer. Même Christian n'y était pas parvenu. Et lui ... La seule chose qu'il avait eue à faire c'est me traiter comme une salope. Et j'avais mouillé. Et là encore je mouillais, nue devant la porte ouverte. Il me regarda et dit :
- Bon, faudra remettre ça."
- Je... Non..."
- Et le gamin ? Je pense pas que ça suffira une fois..."
- Euh... Je..."
- Tu sais, j'ai une idée."
- Ah ?"
- Oui. Viens chez moi Jeudi soir, tu seras plus à l'aise que chez toi."
- Probablement..."
- J'amènerais des amis aussi."
- Je... Je..."
- Je sais que tu regrettes de ne pas avoir osé quand je te l'ai proposé. Là tu pourras te lâcher."
Un larme coula sur ma joue : je ne saurais même pas qui serait le père de mon enfant...
- Bon, j'y vais."
Je ne répondis rien. Il me regarda à nouveau. Puis il toucha ma chatte. Je sursautais un peu, pour la forme plus que par surprise. Je ne fus pas non plus surprise lorsqu'il me demanda d'écarter les jambes pour mieux voir. J'étais trempée, bien entendu. Il soupira puis dit :
- Allonge-toi par terre et fais-moi bien voir."
J'obéis, m'allongeant sur le carrelage froid de mon entrée et écartant les cuisses. Il secoua la tête puis sortit son sexe :
- Bon, je vais être en retard mais je peux pas te laisser comme ça..."
Ce salaud faisait encore comme si tout cela était un service qu'il me rendait. Il n'avait pas totalement tort d'ailleurs... Il s'allongea sur moi et me baisa avec sa délicatesse habituelle. Autant dire aucune.
Mais je ressentais chaque centimètre de son sexe allant et venant en moi. Ses dents qui mordaient mon téton m'envoyaient des décharge de plaisir et je me cambrais, bombant le torse vers lui. Je ne fus guère surprise d'avoir un orgasme avant qu'il ne jute.
Il ignora superbement la vague de plaisir qui me prit, se contentant de continuer à me limer sans changer de rythme, comme si j'étais juste un trou.
Puis il se vida, se releva, me fit nettoyer puis ranger sa queue et partit sans se retourner. Je m'effondrais alors sur le sol de l'entrée en sanglotant. Je gémissais le nom de Christian, comme un talisman qui me protégerait contre le mal qui m'envahissait. Mais il était trop tard : Jeudi, j'irais chez Dan. Et je ferais ce qu'il me demanderait de faire...
…..................................
Je ne sais pas si c'est une suite ou un extrait d'une suite.
C'est le même auteur.
Le Maître
J'entre et te regarde en souriant. Je m'exclame joyeusement :
- Ca commence bien ! Tu as déjà oublié un détail important, sale pute !"
Tu es un peu déboussolée par le décalage entre le ton de ma voix et ce que je dis. Tu balbuties :
- Euh... Désolée."
Léger silence. Tu oses enfin demander :
- J'ai oublié quoi ?"
Je fronce les sourcils :
- Tu ne vois vraiment pas ?"
- Ben... Non."
Je soupire :
- Quelle conne."
Puis je te fais un vague signe de la main :
- Mets-toi contre le mur."
Tu obéis :
- Comme ça ?"
- Oui. Regarde bien devant toi."
Tu entends ma braguette s'ouvrir. Mes mains se posent sur tes épaules. Mon sexe dressé vient alors s'écraser sur ton jean. Je dis alors :
- Tu vois maintenant ? Tu voulais que je t'encule comment ?"
- Ben... Je comptais me déshabiller..."
- Tu n'as pas pensé que je ne souhaitais pas attendre ?"
Tu rougis :
- Non... Désolée... Mais tu ne m'avais pas dis de t'attendre nue !"
- Il faut tout que je te dise alors ? Tu n'es pas capable d'anticiper un minimum mes désirs ?"
- Je... Désolée..."
Je sens que tu es prête à pleurer. Je te relâches en soupirant et dis :
- Bon, c'est pas grave."
- Me... Merci."
Je te regarde. Tu me regardes puis baisses les yeux. Je gronde :
- Ca commence à bien faire maintenant ! T'attend quoi pour te désaper ?"
- Euh... Je... Oui... Désolée."
- Arrête de t'excuser et fous-toi à poil."
Tu t'exécutes dans un semblant de strip-tease. Je te saisis par les épaules et te secoue :
- Je t'ai pas demandé un show ! Je veux me vider les couilles, tu comprends ça ?"
Je te repousse en arrière. Tu n'arrives plus rien à dire et sanglotes : tu avais tellement envie de me plaire mais tout se passe mal...
Tu te dépêches d'enlever tes habits. Je lâche :
- Allonge-toi par terre."
Tu sens mon impatience dans ma voix. Tu aimerais tellement te rattraper, me faire bander très fort pour toi. Tu t'apprêtes à t'allonger et réalise que tu allais faire une autre bêtise en t'allongeant sur le dos. Tu attends alors. Il ne se passe rien pendant un moment. Tu crains que je n'ai changé d'avis, que je ne veuille plus de toi comme mon objet sexuel. Mais tu sens bientôt mes vêtements que je te jette dessus. Tu ne bouges pas. Je dis laconiquement :
- Écarte les fesses."
Tu obéis et saisis ton fessier à deux mains pour me montrer ton anus. Tu sens que je m'allonge à tes côtés. Tu ne me vois pas : tu as mon pantalon sur le visage. Ma main parcoure ton dos. Tu restes silencieuse, en attente. Je t'attache les poignets et dis alors :
- Tu as de la chance : je bande encore malgré tes conneries."
Tu ne sais pas si tu dois répondre. Je ne t'en laisse de toute façon pas le temps : ma queue s'enfonce en toi. Tu hurles et pleures : c'est douloureux. Ton corps se tend. Je te ramone sans m'en préoccuper, je maintiens juste ta nuque au sol, retenant ton corps alors que tu essaies de te cambrer, d'échapper à ma verge qui te pilonne. Enfin je jutes en toi dans un soupir de contentement. Je dégage ta tête, te caresse le visage, essuie tes larmes pour les goûter.
Je suis toujours en toi. Je demande :
- Tu as aimé ?"
Tu sanglotes :
- J'ai mal..."
- Ah oui ?"
- Oui..."
- Pourquoi tu as mal ?"
- Ta queue... Ta queue m'a fait mal..."
- Donc c'est à cause de ma queue si tu souffres ?"
- Oui."
- Alors je te repose la question : tu as aimé ?"
- Je..."
- C'est ma queue, rappelle-toi."
- Oui."
- Alors ?"
- J'aime. J'adore. Encore, j'en veux encore."
- C'est bien, ma chienne, c'est bien. Tu en auras encore, ne t'inquiètes pas."
- Umm... J'ai hâte !"
Je ris :
- Quelle gourmande !"
Je te regarde. Tu commences à reprendre ton souffle, à te détendre. Je sors alors de ton anus et dis :
- Suce, ma salope, suce."
Tu te retournes et viens ramper vers ma queue. Tu la suces avec délectation. Je te laisse faire en jouant doucement avec tes mèches humides de sueur. Tu te redresses comme tu peux et me regardes :
- Tu ne veux pas m'enculer encore ?"
- Suce."
- Je pensais que tu aimais ça..."
- Oui. Mais j'ai tout mon temps. Là j'ai envie que tu suces."
- D'accord."
Tu m'avales à nouveau. Cette fois-ci je pousse sur ta nuque, te force à m'avaler plus profond, fais glisser tes lèvres sur ma verge. A un moment je tire sur tes cheveux et te force à me regarder dans les yeux. Tu tentes de me lécher le gland puis abandonnes et te lèches juste les lèvres. Je te demande alors :
- Avoue, tu avais envie que je t'encule, n'est-ce pas ?"
- Oui."
- Malgré la douleur."
- Ou a cause d'elle..."
Je te souris et tu me renvoies mon sourire. Je sens combien tu aimes me plaire. Je renfourne ma hampe dans ta gorge et fais bouger ta tête. Tu suces avec application, respirant quand tu le peux. Je regarde autour de moi, détaillant l'entrée. Je pense aussi au moyen d'exploiter le mobilier pour t'attacher, te prendre. Enfin je sens que ma sève monte. Je te regarde à nouveau et dis :
- C'est joli chez toi. Je vais juter."
Tu ne dis rien. De toutes façons tu ne peux guère parler. Tu te contentes juste d'avaler mon sperme. Je remontes ta tête. De la bave et du sperme coulent des commissures de tes lèvres alors que tu me souris. Je déclare alors :
- Voilà, je me suis bien vidé les couilles. Maintenant on va pouvoir bien te frustrer sans que j'ai envie de te sauter dessus immédiatement tellement tu es chienne."
- Umm... Oh oui."
Je te souris et dis juste :
- Brave pute."
- Je suis à ton service."
- Je le sais, salope, je le sais. Et tu vas le regretter."
Tu te lèches les lèvres en souriant de plus bel...
Je ne sais pas si ce texte est complet...
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Histoire du net. Auteur Inconnu. Evolution
Quand une rencontre voulue
vous emmène dans un autre monde.
Et que vous en êtes heureuse chère Madame.
Le Maître choisi
Comment me suis-je retrouvé dans ce train, habillée comme une pute ? Non, pire qu'une pute probablement...
J'ai rencontré cet homme sur un site de rencontre. Je voulais juste me sortir du quotidien de mon couple. Juste fantasmer. Mais je me suis senti attirée. Et un jour je lui ai demandée de faire de moi sa soumise, sa chienne. Il m'a demandé si je savais ce que ça impliquait, que j'allais devenir sa chose. J'ai répondu que oui.
Alors il m'a envoyé des instructions pour notre première rencontre. Il a rajouté un post-scriptum disant que je pouvais à tout moment changer d'avis. Mais que cela signifierait alors la fin de nos échanges, que je n'existerai alors plus pour lui. J'ai longuement hésité. Puis je lui ai juste envoyé un message disant que je serais là. Il n'a pas répondu.
Et je me suis retrouvé dans ce train. Le seul vêtement que je porte est une robe. Le bas est fendu sur le côté jusqu'à la ceinture. Rien de trop choquant si ce n'est qu'il a exigé que je dévoile ma jambe en rabattant le tissu entre mes cuisses. Je me doute que l'on voit aussi ma fesses. Et que l'on devine aisément que je ne porte pas de culotte, ou alors un string qui ne doit pas cacher grand chose.
J'aurais pu ne pas dévoiler ma jambe, il ne l'aurait jamais su. Mais j'étais déjà sous son emprise, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas le décevoir. Le haut de la robe était inexistant pour ainsi dire... Deux triangles de tissu. Leur base partait du milieu de la ceinture pour aller jusqu'à mon flanc. Et la pointe était sur mon épaule, les deux triangles rattachés derrière mon cou. Autant dire que mes seins étaient presque entièrement dévoilés. L'étoffe était de plus très moulante et l'on devinait facilement mes tétons.
Comme il l'avait prévu, je me suis faite accoster. L'homme m'a simplement demandé mes tarifs. Comme prévu j'ai répondu que je n'étais pas disponible, que j'allais chez un client. Puis je lui ai tendu ma carte. Une simple carte avec des tas d'abréviations expliquant mes prestations. Des abréviations dont je ne comprenait pas le sens mais qui devait faire de moi une catin prête à tout pour de l'argent, j'en étais sûre.
J'avais honte, tellement honte. Mais je le gardais en moi, je ne voulais pas le décevoir... Comme prévu l'homme a insisté. Alors j'ai accepté de lui tailler une pipe dans les toilettes. Juste une pipe. Mais bien sûr il a voulu plus. Et, comme prévu, je lui ai donné plus... Il a éjaculé trois fois en tout, il devait vraiment être en manque.
Une fois arrivée à destination je suis descendu du train. Je m'étais nettoyé le visage, remaquillé et avait même bu quelque chose pour enlever le goût de sa queue et de son sperme de ma bouche. Je devais être parfaite pour lui.
Il m'attendait dans sa voiture. Je me suis assise à côté de lui, rougissante. Il ne m'a pas salué et m'a juste dit :
- Tu t'es faite baiser ?"
J'ai hoché la tête. Je pleurai de honte. Intérieurement. Il a démarré en me disant :
- C'est bien. On est entre nous, montre-moi ta chatte."
J'ai poussé le pan de ma robe pour dévoiler mon intimité. Il a jeté un œil :
- Qu'est-ce que tu as fait exactement ?"
Ma voix était hésitante, j'avais du mal à ne pas pleurer. Mais je ne devais pas. J'ai commencé à lui raconter :
- D'abord je l'ai sucé et j'ai bu son sperme."
- Bien. Et ensuite ?"
- Ensuite, il a voulu que je le masturbe un peu. J'ai accepté et il a vite repris de la vigueur. Il a insisté pour me prendre, m'a proposé de me payer plus que mon tarif. J'ai cherché des excuses. Je lui ai dis que je n'avais pas de préservatifs. Il en a sorti un. Alors j'ai acceptée."
- Brave petite. Il t'a sodomisée ?"
J'ai répondue, outrée :
- Non ! Je lui ai dis que mon client voulait que mon cul soit vierge pour lui."
- Et il l'est ?"
- Oui !"
- Totalement ?"
J'ai rougi, baissé les yeux. Il a sourit et dit :
- Je me doutais que t'étais une bourgeoise coincée du cul, tu sais. Je parie que tu n'avais jamais avalé avant non plus."
J'ai hoché la tête. Je me suis mise à pleurer. Il a dit :
- Ne t'inquiète pas, bientôt tu ne seras plus coincée du tout..."
J'avais honte, tellement honte. Qu'étais-je devenue ? J'ai murmurée pour moi-même :
- Je suis une traînée, une salope..."
Il m'a entendu. Il a attendu que l'on soit à un feu et il s'est tourné vers moi. Il m'a giflé. Il m'a dit :
- Je t'interdis de dire, de penser ça. Tu n'est pas une salope. Tu es une traînée, une pute, oui. Mais pas n'importe laquelle. Tu es MA pute, compris ?"
Je l'ai regardé en me tenant la joue. J'ai hoché la tête. Il m'hypnotisait : j'étais sienne. Il m'a dit de continuer mon récit. Je lui ai raconté qu'après l'homme s'était reposé un peu mais qu'il était revenu une troisième fois. Il voulait me couvrir le visage de sperme, ça l'excitait. J'ai accepté et nous sommes retourné aux toilettes. Tout le monde me regardait. D'autant que nous n'avions pas été très discrets lors de notre discussion. J'aurais voulu mourir. Mais il me fallait accomplir mon devoir. Alors je l'ai sucé et il m'a juté au visage. Mon récit fini je me suis tue. Il est resté silencieux puis il a simplement dit :
- C'était la première fois aussi ?"
- De quoi ?"
- Que tu te faisais juter au visage ?"
J'ai hochée la tête. Comment devinait-il tout ça ?
- Et tu as pris ton pied ?"
- Non !"
- Tu devrais. Une bonne pute le ferait. Tu as simulée au moins ?"
- Euh... Oui, bien sûr."
- Et tu n'as pas pris ton pied ?"
J'ai hésité... Le prendrait-il mal ?
- Je... J'ai mouillé quand il m'a prise la deuxième fois."
Il m'a regardé. Je n'osais pas lever la tête. Il a dit :
- Bon. C'est un bon début."
Je n'ai rien dit. Nous avons continué à rouler. Il a tendu sa main. Je lui ai donné l'argent que j'avais gagné en me prostituant. Il a compté, un œil sur la route. Puis il a dit :
- Bien... Très bien. Tu es une bonne pute."
Puis il a rangé les billets et m'a doigté distraitement la chatte en conduisant d'une main. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai joui. J'étais atrocement honteuse, j'avais mouillé les siège de sa voiture. Mais je me sentais si heureuse...
Nous sommes arrivés chez lui. Il est venu m'ouvrir la portière. Puis il m'a guidée chez lui. Nous nous sommes assis au salon et nous avons discuté en prenant l'apéritif. C'était très étrange. J'étais tendue. Je savais que j'allais me faire baiser, comme une chienne. Mais il semblait agir comme si ça n'avait pas été prévu.
A un moment il s'est levé, probablement pour aller chercher à boire. Avant que je ne comprenne il était à côté de moi et sortait son sexe. J'ai levé les yeux et il s'est mis à m'uriner dessus. J'ai eu un mouvement de recul. Mais il s'est avancé.
Alors je lui ai offert mon visage. Ça avait commencé. J'ai ressenti ça comme une délivrance. Je n'ai même pas hésité quand il m'a demandé d'ouvrir la bouche, de lui nettoyer le gland quand il a eu fini. Nous avons échangé un regard. Il m'a giflé et a hurlé :
- Espèce de truie ! A cause de ton hésitation j'en ai foutu sur la moquette et le fauteuil ! Bonne à rien !"
Il m'a giflé à nouveau puis m'a saisi à la gorge :
- Maintenant tu vas nettoyer."
Il est parti me laissant pantelante par terre. Quand il est revenu il m'a jeté un seau et une serpillière :
- Allez, lave."
J'ai obéi. Pendant que je lavais il m'a ôté ma ceinture, puis ma robe. Il m'a claqué les fesses plusieurs fois puis il les a écarté. Je savais qu'il scrutait mon anus et j'ai rougi de honte. Il a murmuré :
- Toi, tu vas te faire enculer, ma belle."
Je n'ai rien dit. Je ne me suis pas révoltée. Puis une phrase m'a échappée, comme une envie subite :
- Bien sûr. Et j'espère que ce ne sera pas tout !"
Il a ricané :
- oh non, ce ne sera pas tout ! Tu auras plus. Bien plus que tu n'aurais voulu..."
J'ai frissonné mais j'ai continué à nettoyer. Il est parti.
Quand il est revenu il avait des menottes de cuir, une laisse, un bâillon, un foulard... Il me les a montré et a dit :
- Tu vois tout ça ?"
- Oui."
- C'est pour toi."
- Merci."
Il est resté pensif quelques instants :
- Mais j'ai envie de faire un petit jeu d'abord..."
- Ah ?"
- Oui. Tu vas faire comme si tu avais ces liens, mais je ne te les mettrais pas."
- D'accord."
- Bien. Tu as les yeux bandés."
J'ai fermé les yeux. Il a continué :
- Je vais maintenant te bâillonner. N'oublie pas qu'il y a une boule pour garder ta mâchoire ouverte..."
J'ouvre la bouche. J'ai rapidement la gorge sèche... Il attend. Enfin il ajoute :
- Je viens de t'attacher les poignets dans les dos. Et tes chevilles aussi."
Je place mes mains dans mon dos, colle mes chevilles ensemble. Il me pousse alors en avant, je tombe. Je me retiens d'utiliser mes bras, d'ouvrir les yeux. Je percute le sol dans un bruit sourd. Un cri m'échappe. Il tempête :
- Et ton bâillon, salope ? Tu te crois où ?"
Je veux m'excuser mais me rappelle le bâillon et reste la bouche ouverte. Il me tire par les cheveux et me mets sur le dos. Il me gifle puis m'étrangle. Ma figure s'empourpre. Je reste les yeux fermés et la bouche ouverte. Je me tortille sans jamais oublier que mes poignets et mes chevilles sont liés.
Il se calme, me remet face au sol, m'ordonne de lever mon cul vers lui. Il le claque. Puis il le saisit à pleine main et enfourne son sexe profondément en moi. J'ai mal. Mais je ne peux hurler. Je pousse des cris étouffés par ma mâchoire immobile, ma gorge sèche. Ça lui plaît, il me prend plus fort. Enfin il me libère de mon bâillon. Je m'autorise alors à hurler. Ça l'excite, je le sais. Il glisse sa main sur ma chatte et murmure :
- Mais c'est que tu es trempée... Tu aimes vraiment ça, cochonne."
Il a raison. J'en ai honte mais j'aime ça, ça me fait jouir. Je me sens pleine de lui, sienne. Il m'humilie et j'adore ça. Il dit en sortant sa verge de mon anus :
- Met-toi sur le dos. Tu n'as plus les yeux bandés."
Je me laisse tomber sur le côté puis gigote pour me retrouver sur le dos. Je regarde alors son sexe. C'est la première fois que je le vois en érection. Il est beau. J'ai envie de le sucer. Mais il ne me l'a pas demandé. Alors j'attends. Il se branle et me couvre de sperme. La sonnette retentit. Il sourit :
- Joli timing..."
Il se finit. Puis il se dirige vers l'entrée sans ranger sa queue et me lance :
- Va te laver un peu, tu sens le sperme et l'urine. Viens nous rejoindre dés que tu as fini."
Je suis allée me laver, comme il me l'avait demandé. Je me suis même remaquillée. Pas par coquetterie. Mais parce que je savais que voir mon maquillage couler l'excitait. Je voulais qu'il soit excité. Qu'il me batte, qu'il me viole.
Puis je suis allé dans l'entrée. Son ami discutait avec lui. Leur deux queues étaient sortis. Il m'a demandé de le saluer. J'ai obéi et j'ai commencé à lui tailler une pipe en guise de bonjour. Son ami a ri :
- En voilà une sacrée salope ! On lui demande de dire bonjour et elle vous taille une pipe !"
- Umm... Oui, mais elle pourrait faire mieux. Par exemple ne pas s'agenouiller. Ça offrirait plus de possibilité."
Ce n'était pas un ordre mais j'ai obéi. J'ai gardé le sexe de son ami en bouche et me suis redressé. J'étais penché en avant et mon cul l'appelait. Il m'a écarté les fesses et doigter l'anus en disant :
- Tu sais que je n'ai pas encore eu droit à sa chatte ? Elle l'a pourtant offerte à un inconnu dans le train..."
- Oh, vraiment ? C'est une belle cochonne !"
- Non, une pute. Elle lui a tiré du pognon en échange."
Son ami a ri. Savait-il que c'était sur son ordre que je l'avais fait ? Ou peut-être qu'il s'en fichait, du moment que je le suçais...
- Une belle pute alors. Elle doit bien gagner sa vie. On devra pas la payer au moins ?"
- Non, elle veut juste être ma chienne. Ça la change de ses clients."
- Ok. C'est quand même une cochonne alors..."
Ils ont ricané. J'étais rouge de honte. Mais je continuais à sucer consciencieusement. Son ami lui a demandé :
- Tu vas lui prendre sa petite chatte alors ?"
- Non, j'ai tout mon temps."
Il m'a empalé. J'ai étouffé un cri, sucé plus fort pour oublier la douleur. Son ami à eu l'air d'aimer :
- Putain, elle aime la bite !"
- Et oui !"
- Même la douleur ne l'arrête pas..."
- Ça on verra quand Rufus s'en sera occupé."
- Tu veux la donner à Rufus ? C'est du gâchis !"
- Rufus est un pote, je lui dois bien ça..."
- Quand même... Une si belle femme."
- Bah, elle s'en sortira. En quelques semaines elle sera opérationnelle."
Son ami est resté silencieux. Je les entendait avec horreur discuter comme si je n'étais pas là. Non, plutôt comme si le fait que je sois là n'avait pas d'importance. Et moi je ne réagissais pas. Ils souhaitaient me livrer à un malade qui allait probablement me faire souffrir atrocement. Et tout ce que je trouvais à faire c'est sucer son ami plus fort, dans le vain espoir qu'il puisse le persuader de changer d'avis. Peine perdue. Il a fini par dire :
- Fais comme tu veux. Après tout on va bien en profiter avant !"
Il m'a donné un grand coup de bite dans le cul puis a rigolé :
- Ça c'est sûr !"
Il m'a attrapé par les cheveux, m'a redressé et m'a murmuré :
- Rappelle-toi... Tu peux arrêter à tout moment..."
Je n'ai rien répondu. Il m'a relâchée et je suis retourné sucer la verge de son ami...
Je continue à sucer avec ardeur son ami alors que mon Maître fait claquer ses hanches sur mes fesses. Enfin je sens la sperme couler dans ma bouche. J'aspire fort, avale goulûment. Ils n'ont rien eu à dire, à exiger de moi : c'était une évidence. L'ami de mon Maître m'offrait sa semence et je me devais de l'avaler.
Enfin la verge sort de ma bouche. Je pousse un soupir de dépit malgré moi. Mon Maître me plaque alors contre le mur et m'encule violemment. Puis il s'arrête, maintenant ma tête contre le mur. Je tente de le regarder et demande :
- Vous ne me violez plus le cul ? Je vous ai déplu ?"
Il ne répond pas. Il me tire vers le bas. Je m'agenouille. Sa queue est si près... Je tend le cou, tire la langue. En vain, il retient ma tête. Son ami ricane :
- Quelle affamée ! Elle aime la bite !"
- Non."
- Comment ça ?"
- Explique, sale chienne."
Je parviens à lécher son gland du bout de la langue. Puis je réponds :
- Je n'aime que la queue de mon Maître. Les autres m'indiffèrent."
- Ah oui ? Tu m'as bien sucé pourtant !"
Je rétorque, outrée :
- Bien sûr ! Mon Maître m'offre une nouvelle queue. Je me dois de la traiter comme si c'était la sienne !"
Il pousse un sifflement d'admiration :
- Eh bé... Tu l'as bien dressée !"
Mon Maître murmure juste en me dévisageant :
- Ouais..."
Il n'a pas dit que mon dressage ne faisait que commencer. Nos regards se croisent et je suis heureuse d'y lire son plaisir. Je mouille terriblement. Je veux me toucher mais il m'arrête d'un mot. Mes jambes tremblent : je suis au bord de jouir.
Puis il enfourne son sexe entre mes lèvres et je le suce avidement. Il me force à l'avaler, m'étouffe. Mais je m'en fiche, je lèche comme si c'était un délicieux cadeau. Je savoure le goût particulier de sa queue, différent d'auparavant. C'est si bon. Son ami rit à nouveau :
- Dire qu'elle bouffe son cul indirectement ! Quelle cochonne !"
Je rougis vivement en réalisant que ce goût dont je me délecte est celui de mon cul, de ma merde. Mais je ne peux m'empêcher de continuer. Je pousse des petits couinements de plaisir. Il sort son sexe. Je l'accompagne de la langue, retardant le moment où je n'aurais plus son membre en bouche. Puis il ordonne d'un ton sec :
- Tes seins."
Il n'a pas besoin d'en dire plus. Je saisis ma poitrine, la presse, caresse son sexe avec. Les tétons frottent le dessous de son gland. Il se masturbe et jute dessus. Je les masse, savourant la sensation du liquide gluant entre eux. Puis j'enfourne son sexe dans le val de ma poitrine en le regardant. Il sourit et me fait sucer ses doigts. Je ferme les yeux et soupire. Il dit à son ami :
- Va au salon et sers-toi un verre de whisky. Ramène la bouteille après."
- Ok."
Puis il s'adresse à moi avec douceur :
- Tu vas jouir, salope."
Je lui suce le gland puis j'arrête de le branler et lèche son membre maintenant recouvert de sa délicieuse semence. Son ami ne tarde pas à revenir. Il tend la bouteille à mon Maître. Il boit au goulot avant de me dire :
- En position, chienne."
Je me mets en levrette, instinctivement. Je sens le verre froid contre mon anus. Il pousse et la bouteille me pénètre. De l'alcool coule et me brûle. Je hurle de douleur. Puis il pousse à nouveau et je m'effondre au sol, anéantie. Je jouis comme rarement j'ai joui. Des larmes coulent sur mes joues. Des larmes de honte.
Il vient de me faire jouir avec un goulot de bouteille. Sans même me toucher avant. Juste en m'enculant et en enfonçant cette bouteille. Ma chatte est encore vierge de son sexe. Elle coule pourtant, dégouline de mouille. Je suis sienne et j'ai honte. Il fait rentrer et sortir la bouteille et je gémis. Puis il la ressort et me fait boire le fond de la bouteille.
A nouveau le goût de mon cul sur mes lèvres. Je m'en délecte. Il souhaite que je goûte mon cul. Alors je ne peux qu'aimer ça. C'est si simple que cela me terrifie.
Je reste ainsi un moment, le visage collé au sol, le cul dressé. Il a planté à nouveau la bouteille et je resserre mon anus pour ne pas qu'elle tombe. Ils ne sont même plus là. Ils discutent au salon.
Puis ils reviennent. Ils me font relever. A nouveau je dois serrer mon cul pour ne pas perdre la bouteille que mon Maître m'a offerte. Ils me bandent les yeux, me fixent un collier et une laisse en discutant tranquillement. Ils attachent ensuite mes poignets derrière ma nuque, les fixant au collier.
Mon Maître ressort la bouteille. Il la fait glisser sur mon corps. Je sens le goulot jouer avec mes lèvres intimes. Je me tend, prête à la recevoir. Il la plante. Je manque de jouir à nouveau, me mord les lèvres en retenant un grand cri de jouissance. C'est la première fois qu'il honore mon intimité. Avec une bouteille, certes. Mais c'est lui qui l'a planté. Pas son ami. Lui. Il m'a faite cet honneur.
Je suis heureuse. Je voudrais le remercier mais je sais qu'il me veut silencieuse. Je mouille dans la bouteille. Son ami appuie sur ma vessie en murmurant :
- Laisse-toi aller... Complètement..."
J'urine alors. Ça coule dans la bouteille. A côté aussi, coulant sur mes cuisses. Je devrais avoir honte, me révolter. Mais je n'y arrive pas. Je retiens une nouvelle vague de jouissance. Puis il me fait boire. Je me délecte du nectar qui coule sur mes lèvres. J'en connais la composition pourtant. Mais je n'arrive pas à trouver cela mauvais. Ni même sans saveur. J'en voudrais plus, toujours plus. Il vide le reste de la bouteille sur mon corps. Odeur d'alcool, d'urine. J'ouvre grand mes narines. Je défaille de plaisir. Il murmure :
- Petite souillon..."
Je retiens ma respiration. Vas t-il se fâcher ? Me renier car je suis trop sale pour lui ? Mais il me tire juste par ma laisse en disant :
- On va te laver, tu en as bien besoin !"
Je me mets à pleurer. De joie. De soulagement. Son ami demande :
- Pourquoi elle chiale, cette conne ?"
- Parce qu'elle est mienne. Ça la rend heureuse."
Il n'a même pas eu besoin de me demander. De toutes façons mon avis en compte pas. Si il s'était trompé j'aurais simplement changé de raison pour pleurer. Mais il ne pouvait pas se tromper. Pas lui. Pas mon Maître. Son ami parait impressionné. Il murmure à nouveau :
- Vraiment bien dressée..."
Je ris intérieurement. Il n'a pas eu besoin de me dresser. Juste accepter que je sois à lui. Il aurait été insultant qu'il eut à faire des efforts pour me faire sienne...
Je sentis l'air frais sur ma peau nue. Nous devions être dehors. Je crains un instant d'être en pleine rue. Surtout que je marchais sur du béton. Ou alors devant chez lui, livrée au regard. Je commençais à paniquer, voulus fuir. Puis je me rappelais que j'étais à lui. Que seul lui pouvait décider ce qui était humiliant ou non pour moi. Mais je m'étais arrêtée... Il gronda :
- Un problème, sale pute ?"
- N... Non, je suis désolée, Maître. Aucun souci."
Il me gifla et cria :
- Ne me mens jamais ou je te renie !"
Je me remis à pleurer. Pas pour les mêmes raisons. Il était fière de moi et je venais de tout gâcher. Je tombais à genoux, malgré l'étranglement du collier et tenta de me pencher en avant pour lui lécher les chaussures en suppliant :
- Pardon, Maître ! Pardonnez votre vile chienne ! Je ne voulais pas ! Pardonnez-moi !"
Il a dégagé son pied, donné un coup sec sur la laisse et m'a tiré à nouveau sans répondre. Je reniflais comme une gamine en le suivant. Puis il me laissa debout au milieu de...
Sa terrasse ? La rue ? Je ne savais même pas...
Un jet d'eau glacé interrompit mes pensées. Je fis un bond en arrière. Il grogna :
- Reste en place, pétasse. Et tourne sur toi même qu'on puisse te laver bien partout."
Je bafouillais :
- Ou... Oui, Maître. Pardon."
- Arrête de t'excuser et obéis, tu me gonfles."
Je m'apprêtais à m'excuser de nouveau mais refermais la bouche. Comment pouvais-je être aussi stupide ? Je n'avais pas à m'excuser. Soit il ne voulait plus de moi et mes suppliques ne serviraient à rien. Soit il voulait encore de moi et mes excuses ne feraient que l'importuner. J'oubliais ma place, j'oubliais qu'il n'avait aucune raison de se préoccuper de mes excuses. Quelle imbécile ! J'avais honte à nouveau. Mais honte de ne pas être à la hauteur de ses attentes, de le décevoir par mon attitude. J'offrais alors mon corps au jet. Je savourais ces caresses indirectes, tirant du plaisir d'être le centre de son attention.
Enfin le jet s'interrompit. J'attendais frémissante. Soudain ses doigts sur moi. Je tressaillis. Peut-être était-ce ceux de son ami ? Non, j'étais sûre du contraire. Je me surpris à reconnaître des détails infimes de sa morphologie. J'aurais été bien incapable de reconnaître ainsi les mains de mon mari... Puis je sentis un tube de plastique dans ma chatte. Il dit :
- Ouvre l'arrivée d'eau."
Ma chatte se remplit. Je sentis mon ventre se tendre. Puis le jet s'arrêta. Il pinça les lèvre de mon intimité. De l'eau coulait malgré tout. Il susurra :
- Essaie d'en garder le maximum, ma chienne."
Puis il glissa le tube dans mon anus. Je fus remplie à nouveau. J'avais mal et j'étais nauséeuse. Enfin il ressortit le tube. Je serrais les fesses, anticipant son ordre. Je restais quelques secondes ainsi, au bord de la rupture. Enfin une petite phrase :
- Lâche tout."
Sa main quitta mon sexe et je me vidais sur le sol. A nouveau la honte me prit. J'étais sûre qu'il n'y avait pas que de l'eau qui giclait de mes orifices... Il ricana :
- Et bien ! Ça en avait bien besoin... Dire que j'ai foutu mon sexe la dedans !"
J'ai rougi, gênée d'avoir ainsi souillé son magnifique sexe. Mais il me rassura en ajoutant :
- Heureusement tu l'as bien nettoyé, petit aspirateur à bite !"
Puis il me claqua la fesse et m'essuya la chatte et le cul avec une vieille serpillière.
Il m'entraîna alors sur du gazon. Il me fit agenouiller et je suçais leur deux queues avec délice. Puis je sentis qu'il s'allongeait alors que son ami pilonnait vigoureusement ma gorge. J'étais follement excitée : il allait me prendre !
Il me prit par la taille et m'attira à lui. Je sentis son gland sur mes lèvres intimes. Je me mis à mouiller abondamment. Il allait me prendre la chatte, enfin. Le dernier trou qu'il n'avait pas conquis. Il s'enfonça et je jouis sur le coup. Je restais la bouche béante alors qu'il profitait de mon corps en massant mes seins et me limant. Son ami saisit mon visage et profita de ma bouche ouverte pour enfourner sa verge. Je me remis à sucer, aspirant, léchant.
Enfin il ressortit et se dirigea vers mes fesses. Il les claqua en demandant :
- Alors, ma pute, tu penses que ça va rentrer ?"
- Non. Je ne suis pas habituée."
- Ah ? Tu veux dire que je ne vais pas pouvoir te baiser le cul en même temps qu'il te lime ?"
Je ris :
- Bien sûr que si ! Ça ne rentrera pas. Mais vous n'aurez qu'à forcer."
- Oh. ca va te faire mal, non ?"
- Bien sûr."
- Et tu vas jouir ?"
- Comme une salope."
Il claqua à nouveau mes fesses et dit joyeusement :
- Bien ! On y mettra d'autres choses alors !"
Je ne compris pas ce qu'il voulait dire mais je n'eus pas le temps d'y réfléchir : il pénétra mon anus. Je m'effondrais sur mon Maître. Il me releva la tête en m'étranglant. Mon corps ballottait sous leurs assauts. Il gueula :
- Eh ! Tu tombes pas dans les pommes sans mon autorisation, ok ?"
Je luttais contre l'engourdissement qui saisissait mon corps endolori. Je me mordis la langue, espérant rester consciente. Il me gifla et cela me réveilla. J'étais si contente : il prenait la peine de m'aider. Un sexe se frotta sur ma joue et je le pris en bouche. Puis on pris ma main et le posa sur un autre que je commençait alors à branler méthodiquement.
Je ne réalisais pas tout de suite. L'arrivée d'une autre queue sur ma joue me fit enfin prendre consciente qu'ils n'étaient pas deux. Mais bien plus.
Je pris peur : allais-je être privée du sexe de mon Maître ? Je me mis à pleurer en suçant avec l'énergie du désespoir. Ils me firent tourner sur moi même. Mon Maître me limait maintenant à nouveau l'anus. Son ami se pencha sur moi entraînant son sexe loin dans ma chatte, la déformant vers le haut.
On me forçait à avaler profondément une queue en branlant deux autres. Je compris pourquoi il s'était ainsi penché sur moi quand un autre sexe chercha l'entrée de mon vagin. Il eut du mal à entrer et ne s'enfonça guère loin mais cela suffit à m'arracher des cris de douleur étouffés.
Cela excita mes compagnons et ils me prirent plus vigoureusement. Je n'avais à nouveau plus que deux queues en moi. Le moment que je craignais arriva enfin : mon cul s'emplit de sperme. Mon Maître allait m'abandonner. Mon seul espoir était d'être assez salope pour rapidement l'exciter de nouveau.
Son ami ne tarda pas non plus, son sperme coulant sur mon ventre alors qu'il giclait sur mon corps. D'autres verges vinrent les remplacer. Je me fis aussi pute que je pus, aussi affamée qu'il me parut possible. Je gémissais mon plaisir. Très vite je n'eus même plus à simuler. La simple violence de leur assaut et l'idée du plaisir que mon maître devait ressentir me guidant vers des orgasmes répétés. Je fus remplie par vague. Il y eut des pauses alors que les premiers devaient se faire durcir à nouveau pour revenir en moi.
Chaque fois que mon Maître me prenait je le reconnaissais. Ses mains, sa langue, son sexe... J'y accordais une attention particulière, jouissais plus qu'avec les autres. Je me devais d'apprécier tout ces sexes puisqu'il me les offrait. Mais jamais autant que le sien. C'était inconcevable, inimaginable.
Enfin les membres cessèrent peu à peu d'être remplacés. J'étais fourbue mais heureuse. Un peu déçue aussi. J'aurais voulu que toutes ces queues soient la sienne. Et qu'il me prenne jusqu'à l'inconscience. Je rougis en me réprimandant intérieurement de penser que sa verge ne suffirait pas à mon bonheur. J'étais trop épuisée pour avoir honte maintenant...
Ils me firent lever et je fus aussi étonnée qu'eux lorsque mes jambes cédèrent. Ils ricanèrent :
- On l'a bien défoncée, la salope ! Regardez dans quel état on l'a mise !"
- Ouais, je paries qu'elle a la chatte sèche d'avoir trop mouillé !"
- Et son cul ? Il doit être aussi dilaté qu'un tunnel routier !"
- Tu parles ! On pourrait y faire entrer un TGV !"
- Et en plus lubrifié par son sang..."
Ils éclatèrent de rire. L'un d'eux me porta dans ses bras et je me mis à pleurer. Il grogna :
- Qu'est-ce qu'elle a cette conne ? Elle a joui comme une malade et maintenant elle fait genre qu'elle est outrée ?"
- Pose la à terre, tu vas comprendre."
La voix de mon Maître. Comme un baume sur mon corps meurtri. Il vint et me prit dans ses bras. Il avait tout de suite compris. Je me serrais fort contre lui. Les autres jouaient avec mon corps, me mettaient des doigts mais je m'en fichais. J'étais dans ses bras. Contre son torse. Je fermais les yeux et perdis conscience...
…...................................................;;
Je me réveillais la tête dans le coton. J'avais du mal à respirer et je voulus tousser mais des mains me tinrent fermement la tête. Je compris alors que j'avais une verge en bouche et entrepris de faire mon travail : la sucer. Des mains me caressaient. J'étais allongée sur le divan. Les hommes discutaient tranquillement et profitaient de mon corps. L'homme que je suçais dit :
- Ah ! Notre poupée gonflable se réveille enfin !"
Les hommes commencèrent alors à s'agglutiner autour de moi. J'avais toujours les yeux bandés et je cherchais à tâtons un sexe à branler. Je ne tardais pas à en trouver un. Je fus un peu déçue que ce ne soit pas la sienne.
Un deuxième sexe força l'entrée de ma bouche. Je suçais comme je pouvais. Je sentis un homme monter sur le divan. J'écartais les cuisses pour l'accueillir. Il me prit doucement. C'était lui, je le savais.
J'avalais les deux verges profondément et jouis au son de sa voix me câlinant en me traitant de sale pute ...
Pas de suite......
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Dégustitude....
Quand le mari accepte de participer....
Mais pas forcément comme mari....
Comme quoi..? Regardez...
Regardez mieux...
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Histoire du net; Auteur inconnu. Les potes
Certains proverbes ont
un vrai sens, voir une réalité...
Tous de mèche!!!
Il y a un peu plus de deux ans, mes potes et moi, nous avons créé une boîte : VIGILES & CO. On a pas mal ramé au début, maintenant ça va… Du moins, je le croyais, jusqu’à aujourd’hui.
Aujourd’hui : coup dur. Le fisc réclame des arriérés de TVA, plus une pénalité. Habituellement c’est Karim qui règle ce genre de dossiers. Il est absent ; on découvre que ce salaud a raflé le magot et s’est barré en nous laissant le caca.
Quand on raconte, les types des Impôts se fendent la poire mais du moins acceptent-ils d’en rabattre, pourvu qu’on se mette à jour. Où trouver le fric ? On rumine, on tire des plans, on tourne en rond… Ce fumier de Karim a tout raflé.
Karim est – était – le gestionnaire et un associé, au même titre qu’Abdel, un autre Beur, ou bien Moctar, le Black de service, et moi, fils d’immigrés portugais, sans oublier Nathalie ma meuf, mais elle, c’est différent. Elle ne bosse pas avec nous ; elle est serveuse dans un bar. Je m’explique…
Comment dire ? Ça remonte à nos débuts. Lorsqu’on a consulté, le type de la loi nous a conseillé de garder le statut salarié. Comme aucun de nous ne voulait faire du trapèze sans filet, on a été amené à chercher une solution extérieure ; Nathalie s’est dévouée. En théorie, c’est donc elle le PDG, ou plutôt la gérante. Bien sûr, c’est pour la galerie.
Nathalie est une chic fille et bien roulée ce qui ne gâte rien. Tout le monde l’adore. Je l’aime. Bientôt trois ans que nous sommes ensemble. Elle travaille dans une brasserie du centre-ville. Abdel, Moctar et moi décidons de la rejoindre, histoire de bouger et accessoirement pour casser une graine, bien que personne n’ait grand faim après tout ce charivari.
On débarque dans la brasserie. Le patron est un pote, Jojo qu’il s’appelle, on vomit nos griefs… Karim… ce gros naze… l’ordure… des trucs comme ça, Jojo compatit, on boit, on grignote pendant que Nathalie bosse. Elle n’a pas trop de temps, le boulot. Il y a foule. De toute façon, elle pige tout de travers. C’est une blonde.
- Ils ont pas dit que ça pouvait s’arranger ?
- Si !
- Alors pourquoi vous fermeriez la boîte ?
- Mais non… le fric… ouais, t’as raison ! Ça va s’arranger…
Pas la peine de discuter avec une blonde. Vrai aussi que mon humeur n’est pas accommodante ; l’embrouille me bouffe les neurones. Et Abdel et Moctar ne sont pas non plus dans de meilleures dispositions.
- J’ai pas le cœur à lever une meuf, ronchonne Moctar quand je lui fais remarquer le potentiel alentour.
Surprenant pour quelqu’un vif comme l’éclair et toujours prêt à tirer.
Sur ces entrefaites, un message inespéré : « Désolé, j’ai l’argent, vous attends chez ma mère. Karim ».
On est ahuris ; même dans les films, ça n’arrive jamais ce genre de rebondissement. Les hypothèses fusent. L’allégresse chasse l’angoisse. Faut y aller ; Nathalie veut en être.
Nous déboulons à quatre chez la mère à Karim.
- Karim vient de partir… annonce-t-elle, totalement démolie.
- Il est parti où ? questionne-t-on, unanimes et dépités.
- Il a pas voulu dire… Là ! Le sac, il a dit que c’est pour vous.
Abdel s’empare du sac.
- Qu’est-ce qu’il a fait Karim ? Toi, Pedro, tu me le dirais si c’était grave, supplie la maman en s’adressant à moi.
- C’est rien du tout… Vous faites pas de souci Madame Boughraf.
Je réponds arrondissant mon intonation autant que les angles parce que je la respecte beaucoup, et malgré tout distrait parce que je ne veux rien perdre de ce que font les autres.
Le sac contient de l’argent, beaucoup d’argent ainsi qu’un mot griffonné à la va-vite.
Désolé les gars, je croyais m’en tirer sans faire de bruit ; c’est pas possible. Je vous donne ce que j’ai récupéré ; l’autre moitié quand je rentre dans mes fonds. Pour le fisc, chargez-moi, déposez plainte ; de toute façon, je ne serai bientôt plus en France. Bonne chance. PS : j’ai la honte.
Ce n’est pas tout à fait ce que son SMS promettait mais le tas de billets nous impressionne malgré tout. Selon nos estimations, cela devrait faire la balle pour quelque temps. On est tous soulagés quoiqu’on dise.
- C’est toujours ça de récupéré. Bon ! Qu’est-ce qu’on fout maintenant ?
Après tant d’émotions, la perspective de nous séparer nous paraît incongrue. Sans compter qu’il y a le fric ; pas question de se balader en ville avec ça. Á qui le confier ? Même si personne ne l’avoue, la belle confiance d’antan n’est plus ce qu’elle était.
- Allons à l’appart, si vous voulez, intervient soudain Nathalie, trépignant d’impatience.
Son offre emporte l’unanimité. Elle loue un appartement dans un immeuble voisin. J’y vis d’ailleurs avec elle. Ce n’est pas loin ; nous nous y rendons à pied ; en chemin nous achetons deux packs de bières chez le Tunisien du coin.
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J’ai posé les packs sur la table du salon, chacun se sert, on boit au goulot. L’ambiance est morose ; les paroles rares. Il a été convenu que Nathalie garderait l’argent ; ça ne m’enchante guère mais à défaut de coffre au bureau, pas de meilleure solution.
Un point nous chiffonne encore, que résume parfaitement Abdel :
- Est-ce qu’on peut pas se débrouiller sans porter plainte contre Karim ?
Ça se fait pas chez nous, sans compter qu’on a encore un peu de sentiment pour lui.
- Pas possible ! C’est obligatoire pour prouver notre bonne foi, a dit le type du fisc, rappelle Moctar, ruinant tout espoir.
Á nouveau le silence. On en veut à Karim pour sa trahison plus encore que pour le fric mais on n’efface pas facilement des années de souvenirs communs.
- Remarque, il risque pas grand-chose, une fois planqué en Algérie, s’exclame Abdel, en pensant à voix haute.
- Et ça m’étonnerait qu’on revoie jamais le reste du fric, ajoute Moctar.
Allez comprendre ! Cette prévision pour le moins pessimiste suscite l’hilarité générale. Chacun semble soudain rasséréné bien que la donne n’ait pas fondamentalement changé. Je ricane, Moctar raille, Abdel se gausse. Puis les ricanements, les railleries et autres conneries montent d’un cran et tout le monde se tord, même Nathalie participe au concert. On en rajoute, on rit, on s’esclaffe, les nerfs relâchent.
L’atmosphère est maintenant détendue, chacun dégoise, tous s’agitent. Abdel cherche du whisky, trouve un fond de bouteille de rhum ; Moctar tripote la chaîne, charge un CD ; moi, j’évacue les cadavres et fais le ménage ; Nathalie me donne la main en plaisantant mes heureuses dispositions…
Moctar l’interrompt, l’invite à danser. Mademoiselle fait la mijaurée. C’est une surprise parce qu’elle adore danser. Le Black insiste, nous l’encourageons ; joyeux chahut ; elle s’incline. Abdel prend la suite, Moctar à nouveau puis encore Abdel… Ambiance de fête, on boit, on chante, on rit, on danse… Moi ? C’est mon habitude de me défiler plus souvent qu’à mon tour mais ma meuf est maligne.
- Pas d’excuse, c’est ton tour, commande-t-elle.
Pas moyen de me dérober.
- T’as rien remarqué, susurre-t-elle tandis que nous nous trémoussons en essayant de ne pas renverser les chaises.
- Quoi ?
- T’as pas vu que j’ai enlevé mon collant ?
Maintenant qu’elle le dit, je vois qu’elle est jambes nues. Elle portait un épais collant noir, faut croire que je deviens miro ! Où veut-elle en venir ? Sûr qu’elle va encore râler que je reluque les autres filles et pas elle. Prudence ! Je marche sur des œufs.
- Si, si… tu sais… on a pas mal de soucis…
- Je suis nue sous ma robe, me souffle-t-elle encore, tout près de l’oreille.
Merde alors ! Ne vous faites pas de cinéma ! L’explication est triviale, je lui demande aussi sec, vous pensez bien : en rentrant, elle est allée pisser. Ça pressait tellement qu’elle a mouillé la culotte si bien qu’elle l’a ôtée et le collant avec.
C’est drôle, maintenant que je sais, sa robe m’apparaît bien courte, trop courte, indécente même. Je lui en fais reproche. Elle rit, heureuse mais pas moins railleuse.
- Mais t’es jaloux !
- Non, non… Euh… c’est que…
- T’avais même pas vu.
Je la ferme, sinon elle n’en finirait pas de me charrier et les autres pourraient fort bien ouïr des échos, ce que je ne veux pas. Il y a aussi que je suis toujours mal à l’aise dès que je dévoile mes sentiments. Est-ce de la pudeur ? La pire, trempée d’orgueil et persillée d’un poil de machisme.
Sans doute m’accommoderais-je de l’audace de Nathalie si elle ne se montrait pas autant émoustillée… Quelle fièvre ! Elle est tout excitée. Et avec ça que son désir est contagieux, je sens monter les frémissements du mien. Pour le coup, j’en oublie complètement mes soucis pour ne plus penser qu’à elle.
Depuis que je sais, j’ai retrouvé de l’allant, je colle à mon tour sans plus le passer, je colle à son corps sans plus le lâcher. Il le faut pourtant sinon de quoi j’aurais l’air vis-à-vis des copains. Ceux-là aussi me semblent grandement allumés, surtout Moctar dont l’empressement n’est pas loin de me déplaire.
Aussi loin que je me souvienne, nous avons toujours été rivaux quand il s’agissait des filles. C’est lui qui nous a présenté Nathalie. Elle prétend qu’il n’y a jamais rien eu entre eux mais je suis malgré tout convaincu qu’il m’en veut de la lui avoir piquée.
Le sagouin serre Nathalie plus qu’il ne devrait. Que puis-je faire qui ne me rendrait pas ridicule ? Du reste, c’est à elle et à elle seule de réagir. Ne se fait-elle pas plus conciliante qu’elle ne devrait ? C’est mon impression, une désagréable impression.
L’excitation colore la jolie frimousse, la coiffure est échevelée, la gestuelle imprévisible. La prunelle pétille ; il y a longtemps que je ne l’ai pas vue s’éclater à ce point. Le couple s’esclaffe. Mon imagination prépare la vengeance, échafaude des tortures…
Maintenant c’est au tour d’Abdel de danser avec Nathalie. Elle a noué ses bras autour de son cou ; lui a posé ses mains sur les hanches de sa cavalière. La prise a pour effet de solliciter la minirobe dont le tissu remonte insensiblement. Je retiens mon souffle, pressentant l’inévitable. Je suis paralysé, sans voix, sans ressource ; mon regard reste bloqué, verrouillé, direction la révélation…
N’est-ce pas la naissance d’une fesse ? Le pli apparaît. Ces rides attendrissantes, imprimées dans la chair à la limite entre la croupe proprement dite et l’attache des cuisses. Je reconstitue mentalement les globes fessiers, le sillon. Ou bien est-ce une réalité ? Je ne sais plus. Moctar est pareillement hypnotisé. Il me lance des regards équivoques, presque venimeux. Nous partageons de facto la même fascination face à la troublante exhibition. Mon cœur, ma tête, mon ventre, mon sexe, sont emplis d’une exaltation sans mesure.
Silence, les baffles grésillent à vide, le couple se défait, je me précipite : une pulsion irrépressible : prendre la relève d’Abdel ! Pourquoi tant de hâte ? Il me fallait griller la politesse au Black, le salopard guignait la place. Allumé comme il est, le pire était à craindre.
Nathalie ondule, pressant son ventre contre ma queue, écrasant ses seins contre ma poitrine, nos corps sont collés, nos lèvres sont unies, nos langues se marient. Le slow est langoureux… Moctar rapplique, je ne l’ai pas vu venir. Il prend place derrière Nathalie. Elle semble amusée, ne regimbe pas. Je la boucle, craignant d’être bouffon…
En temps ordinaire, pareil jeu ne porte pas à conséquence, on rit, on blague et tout se dénoue dans la gaieté. En l’occurrence, tout peut survenir… Nathalie est immobilisée, prise en sandwich entre lui et moi. Elle n’en essaie pas moins de gigoter, forçant l’étau des corps qui l’emprisonnent, frottant son pubis sur ma verge bandée.
- On dirait que ça t’excite, apprécie-t-elle.
La finaude s’avise de vérifier, dégage un peu d’espace entre elle et moi puis glisse sa main en vue de caresser ma queue par-dessus le tissu du jean.
Je bande comme je n’ai pas bandé depuis longtemps, mais aigres sont mes réflexions. Des pensées perfides instillent le poison : Pourquoi cambre-t-elle tant les reins ? Pour frétiller du cul sur la bite au Black ?
Les yeux de Nathalie ne quittent pas les miens. Elle sourit, pose à nouveau ses lèvres sur mes lèvres. Sa langue se fait espiègle, le baiser passionné. Une partie de moi est en train de fondre, l’autre se rebiffe. Cette autre partie commande ma main : il me faut moi aussi vérifier. J’effleure la hanche, surfe sur la courbe ; la lisière de la robe est presque à mi-fesse, la peau nue… La rage ! Je dénude davantage.
- J’espère que tu sais ce que tu fais, proteste-t-elle en désolidarisant légèrement nos lèvres et écarquillant les yeux avec étonnement.
Elle ne se rebiffe pas plus que ça, n’essaie pas même de rajuster sa tenue et reste cul nu, collée au Black. Je bous, regrettant mon geste mais je lui en veux de ne pas corriger. Un sang dopé à la vindicte coule dans mes veines… J’imagine la grosse queue de mon rival, lovée dans le sillon entre les globes. Et ses mains ? Où sont ses mains ?
Je me détache, prends du champ. L’autre, telle une pieuvre, déploie ses tentacules et raffermit son emprise. Nathalie se méprend.
- C’est ce que tu veux, couine-t-elle en me défiant du regard.
Je me mure dans un silence dédaigneux, dardant un regard bravache, manière de dire « fais ce que tu veux, je m’en lave les mains ».
Pathétique !
Le spectacle est pitoyable. Elle est nue des pieds jusqu’à la taille, légèrement courbée en avant sous le poids du Black, lequel malaxe un sein par-dessus la robe. Son autre main glisse sur le pubis, plonge dans l’entrecuisse nue…
Un venin pervers dévore mes entrailles. Je me meurs de l’abandonner à l’autre mais c’est elle et elle seule qui choisit. Mon orgueil m’interdit une autre alternative. Je ne lèverai pas le petit doigt pour inverser le cours du destin, dussé-je connaître l’enfer pour le restant de mes jours. Je tourne le dos et rejoins Abdel, drapé dans ma dignité.
Le Black n’y va pas par quatre chemins. Il a tôt fait de la mettre en position, croupe tendue, échine ployée, mains en appui sur le plateau d’une chaise. Pantalon descendu, il prend place derrière elle. Je détourne le regard, croise celui de mon voisin. J’y lis de la concupiscence et de la pitié aussi. Est-ce à mon égard ?
Un cri de surprise, des gémissements. Je devine que le Black l’a pénétrée, qu’il a pénétré Nathalie, qu’il a… Un coup de poignard en plein cœur ne m’aurait pas fait plus de mal. Je reste prostré, aveugle mais pas sourd.
Des râlements, des gémissements… J’égrène les secondes, décompte interminable… Des cris, des aboiements, des halètements, des jappements, aigus, rauques qui n’en finissent pas… J’ai des envies de meurtre, je lutte, je me vide la tête… Penser à autre chose… Pitié, Mon Dieu… Le dernier galop, scandé par un chœur à deux voix…
L’apocalypse ! Ou l’apothéose, c’est selon. Elle hurle et gueule sans retenue aucune. A-t-elle jamais gueulé autant avec moi ? Sa jouissance scelle mon infortune. Ma vie, la sienne, la nôtre, notre bonheur passé et tout ce qui ne sera plus, défilent devant mes yeux. Rien ne sera plus comme avant !
J’entends Moctar s’exclamer.
- C’était génial.
C’en est trop, je me lève avec des intentions de meurtre.
- Tu vas pas nous chier une pendule parce que j’ai tiré un coup. Je la baise tous les jours ta nana, me balance-t-il sans ménagement.
Touché ! Je m’arrête net.
Le Black me toise de sa hauteur, c’est un colosse, il me rend une bonne tête et au moins vingt kilos, de quoi réfléchir quand même. Sa bite pendouille, luisante d’humeurs. Derrière, Nathalie est encore pliée, la lune à l’air.
Au même moment, indifférent au drame en train de se jouer, Abdel nous contourne ; ses intentions sont pour le moins équivoques.
- Toi, c’est pas le moment, hurle Nathalie à l’encontre du Beur qui vient l’entreprendre. Puis, s’adressant au Black : plus con que toi, faut se lever de bonne heure, tu pouvais pas la fermer.
Mes neurones pédalent dans la colle puis soudain tout devient clair, les cocus sont toujours les derniers à le savoir. Je vois rouge et fonce, n’écoutant que mon inconscience.
Résultat, je finis la nuit à l’hosto. Quant au reste, j’ai tout perdu, ma nana, mon logement et aussi mon boulot. En un sens on peut dire que c’est la faute à ce salaud de Karim. Du reste, j’ai appris que lui aussi la sautait.
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Fais beau! Aérons nous et profitons de la sylve.... Rediff
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