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Histoire du net. Auteur Inconnu. Circonstances

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Mais après c'est pas mal du tout...
Il y a un vrai côté vécu dans ces mots

NADIA
Quand je lis toutes ces histoires ou confidences que les gens déposent ici, je me dis que la mienne n’est pas aussi extraordinaire que cela. En fait, pour moi si, car je ne suis pas habitué à ce genre d’aventure, même passive.
Ma vie s’est déroulée jusqu’à présent, assez sereinement. Je me suis marié jeune (trop sans doute) et si j’ai réussi ma vie professionnelle, côté privée, mon mariage s’est soldé par un divorce. Il y a 3 ans, mon ex femme m’a annoncé un soir qu’elle me quittait. La raison : elle s’ennuyait et avait rencontré un homme qui s’occupait d’elle. Après 10 ans de mariage, ce fût un choc ! Dieu merci, nous n’avions pas d’enfant.
Je suis maintenant plus près de la quarantaine que de la trentaine et à l’époque, j’ai réalisé que j’avais passé plus de temps à construire ma société qu’à m’occuper de ma femme, enfin de mon ex. Mon désert affectif, si je puis appeler cela ainsi, s’est enfin éclairci lorsque j’ai rencontré Nadia.
Je ne la connais que depuis un mois et demi. Je me sens bien avec elle, mais j’évite de me tripatouiller les méninges sur les raisons qui l’ont poussée à me fréquenter.
Ce n’est sûrement pas mon physique : si je ne suis ni beau ni moche, heureusement je crois être assez bien bâti pour mon mètre 78 car je fais beaucoup de sport.
Parfois, je me demande si, sans un sou en poche, Nadia se serait intéressée à moi ? Après tout, elle n’a que 25 ans et j’en ai 12 de plus qu’elle. Cela fait quand même une belle différence, mais tant pis, je prends ce qu’elle me donne, même si cela me coûte cher.
Mais de ce côté-là, je m’en fiche : il y a 2 ans, j’ai hérité de mes parents, une belle maison et le capital de leurs assurances. Fils unique, ils ne souhaitaient assurément pas que je finisse clochard et avaient prévu en conséquence. De plus, comme ma société tourne bien, j’ai la chance de ne pas avoir de soucis d’argent.
J’ai rencontré Nadia chez des amis communs lors d’une soirée. Dès que je l’ai aperçue j’ai été attiré par elle, sans pour autant oser l’aborder. Presque 3 ans de célibat m’ont rendu timoré envers les femmes. En plus, elle semblait si à l’aise en société. J’ai donc eu recours à un ami pour que nous fassions connaissance. Je savais à peu près à quoi m’en tenir car il m’avait prévenu : Nadia était une fille indépendante qui, d’après la rumeur, aimait bien ‘’être gâtée’’.
Il est vrai que son job ne devait certainement pas lui permettre de s’habiller avec des fringues de marque et de porter des bijoux qui n’étaient pas en toc. J’appris ainsi qu’elle était esthéticienne de métier. Elle ne travaillait pas dans un institut. N’ayant pas suffisamment de fonds pour ouvrir son propre institut, elle œuvrait à domicile. Par la suite, je découvris qu’elle avait d’autres talents, comme coiffeuse et, pour mon plus grand bonheur, masseuse aussi. Elle avait accumulé les stages et formations, ce qui lui permettait de pouvoir offrir à ses clientes, lorsqu’elle se déplaçait chez elles, une palette de services.
Mais pour moi, ce n’était que des petits boulots qui ne correspondaient pas au train de vie qu’elle aimait. Pourtant, elle persistait dans ses choix, ne voulant pas avoir un patron ou une patronne sur son dos.
J’étais prévenu, elle avait l’image d’une mante religieuse qui profitait de toutes les opportunités. Je m’en foutais ! Je n’avais d’yeux, que pour cette belle fille aux cheveux noirs, longs et bouclés. A ses yeux sombres qui vous brûlaient comme de la braise lorsqu’elle vous fixait.
Au fil du temps, je réussis à apprendre, car elle m’aimait pas parler d’elle, que Nadia était d’origine libanaise. Mais j’ai encore des doutes sur ses origines car elle a une peau très brune, presque chocolat. Sa bouche joliment ourlée offre deux lèvres bien pleines, presque charnues.
Parfois je me demande si il n’y a pas du sang africain qui coule dans ses veines. Elle a des fesses rebondies et une poitrine qui se dresse fièrement, comme seules les Blacks en possèdent ! Mais ce sujet est tabou. Peut être ne souhaite-t-elle pas évoquer ses vraies racines?
Ce n’est qu’au bout d’une longue cour assidue, agrémentée de ‘’petits cadeaux’’, que j’ai enfin réussi à ce qu’elle consente à devenir ma maîtresse. Il me faut accepter cette appellation, car Nadia se satisfait de ce statut. Elle a été très claire sur ce sujet, dès le début de notre relation. Elle durera ce qu’elle durera. Aussi longtemps que je la laisserai libre de ses mouvements. Par contre, j’ai vite compris qu’a contrario, je me devais d’être disponible pour elle.
Aujourd’hui encore, je sais pertinemment que ce deal est à sens unique, mais je l’ai tant dans la peau que je me contente de cet état. J’adore être avec elle, et quand je l’emmène au restaurant ou dans des soirées, je suis fière de l’avoir à mes côtés. Je sens que les autres types m’envient et Nadia le sait aussi…
Nous n’habitons pas officiellement ensemble même si elle passe assez souvent à la maison. Mais, il lui arrive parfois de disparaître sans que je sache où elle va ni avec qui elle est. J’ai vite compris que je ne devais pas l’interroger sur ses absences. Je n’ai pas le choix : pour la garder, je dois accepter son indépendance.
Côté sexe, elle m’a ouvert de nouveaux horizons insoupçonnés jusque là ! Elle est très directe, plutôt directive pour être exact. Je pense qu’elle me ménage encore.
J’ai dû aussi admettre qu’elle était bi. Ce fût un choc pour moi lorsqu’elle me dit un jour, qu’elle aimait aussi les femmes. Surtout quand elle me confia qu’elle choisissait ses victimes, ainsi qu’elle surnomme ses conquêtes féminines, en fonction de leur docilité. Elle adorait jouer ce rôle de Don Juan au féminin, afin d’exercer sur elles son pouvoir de séduction. Je la sens un tantinet manipulatrice. Cela va même au-delà : très cérébrale, elle la soupçonne de prendre son pied à façonner les gens selon son bon plaisir.
Qu’importe si cela ne fait que peu de temps que je la fréquente, j’irai jusqu’à penser que je la crois perverse et aussi très persuasive…Parfois, lorsqu’elle s’oublie, elle laisse échapper des penchants de dominatrice ; quoique avec moi, elle reste plutôt soft… pour l’instant !
Mais en fait, je m’éloigne de ce que je veux raconter. Quoique non, car Nadia, indirectement, est en relation avec cette histoire, mais c’est un autre sujet.
Donc, voilà la drôle d’aventure qui m’est arrivée récemment et qui m’a fait découvrir que je suis capable d’avoir de drôles d’attitude qui ne me ressemble pas.
Le moi dernier j’ai demandé à mon directeur d’organiser, comme tous les ans, un inventaire complet de notre stock. Il faut dire que ma société distribue un nombre important de matériel de surveillance et de protection divers, tels que : vidéo caméra CCD à haute définition que l’on peut discrètement dissimuler dans un radio réveil, par exemple. Dès que le radio réveil est branché sur une prise de courant, la caméra fonctionne et transmet vidéo et son jusqu’à son récepteur ; émetteur vidéo activé à distance par carte Sim. C’est un émetteur vidéo basé sur la technologie téléphone portable 3G. On insère une carte SIM 3G à l’intérieur du système.
Lorsque vous voulez voir et écouter, vous appelez le numéro de la carte SIM depuis un portable 3G. Il n’y a pas de limitation de distance ; caméra CCD couleur avec micro incorporé qui peut être discrètement dissimulée dans un lecteur CD portable. Dès que le lecteur est branché sur une prise de courant, la caméra fonctionne et transmet vidéo et son jusqu’à son récepteur. On peut brancher ce dispositif sur un magnétoscope, une télévision ou un moniteur. Pour cette caméra espion par exemple, elle a une porté de 20 à 30 mètres à travers mûrs. Tous ces systèmes de surveillance existent en vision nocturne.
A ces articles principalement utilisés par de très grosses sociétés pour lutter contre l’espionnage industriel, il faut ajouter micros et amplificateurs, les suivis de satellites et tous les petits kits, prises diverses, etc. Bref, des centaines de références !
En général, afin de ne pas entraver nos activités, je prévois d’effectuer cet inventaire annuel, le week-end. Nous commençons le vendredi soir et tout doit être répertorié sur ordinateur pour le dimanche soir. Chaque collaborateur est sollicité (et perçoit une belle prime en conséquence) et nous recrutons, le temps des opérations, des stagiaires. Je privilégie les jeunes étudiants et jeunes chômeurs qui bénéficient des mêmes avantages.
Donc, ce vendredi là, nous voilà tous réunis dans le magasin d’entreposage. Cette fois-ci, j’avais convié mes deux meilleurs clients à venir regarder notre organisation. Comme nos relations sont de longue date, ils sont devenus peu à peu des amis malgré qu’ils aient la cinquantaine. Nadia étant absente pendant tout le week-end, je les avais conviés à demeurer à la maison au lieu d’aller à l’hôtel.
Le personnel était parfaitement rodé à ce genre d’exercice, j’eus néanmoins l’agréable surprise de voir arriver mon directeur, le samedi en fin de journée, pour m’annoncer que tout était terminé. Tout le monde y avait passé la nuit et s’était privé de déjeuner pour finir (et dans les normes) plus tôt.
Afin de les remercier, je demandai à ma secrétaire de téléphoner à un traiteur afin de se faire livrer de quoi offrir un cocktail au personnel. Mon directeur eut une très bonne idée en me suggérant d’égayer ceci avec un peu de musique. Il organisa cela avec deux jeunes manutentionnaires qui allèrent chercher leur matériel son. Tout fût rapidement installé et quand le traiteur nous laissa, la petite sauterie put commencer. Apparemment, les gens étaient ravis de cette initiative.
Il y avait environ une soixantaine de personnes et parmi les stagiaires, garçons et filles, je n’en reconnaissais que la moitié. L’ambiance était détendue, les biscuits d’apéritif et les petits fours étaient excellents. Le punch spécialement préparé (et renforcé, je présume, par quelques collaborateurs discrets) était remarquablement bon et corsé aussi ! J’allais donc de groupe en groupe, remercier les gens présents. Le courant semblait bien passer entre les résidents et les stagiaires, car les conversations animées allaient bon train.
Quant à moi, j’évitais de trinquer à chaque fois que je saluais un groupe.
Apercevant mes deux clients mais néanmoins amis, je me dirigeai vers eux. Dans leur petit coin, ils formaient un petit groupe de quatre avec un type qui travaillait dans ma société et une jeune fille blonde dans les 18/19 ans, que je ne connaissais pas. Ils riaient bien sauf que, lorsque je me suis approché d’eux, le gars qui travaille pour moi, sans doute effrayé de devoir se retrouver en ma compagnie, s’éclipsa rapidement.
Nous nous retrouvâmes donc tous les quatre. Alain et Patrice me présentèrent la jeune fille qui se trouvait en leur compagnie : Marie. Ils me firent trinquer à sa santé en me disant qu’il fallait absolument que je l’embauche à nouveau, l’année prochaine, car elle avait de beaux yeux bleus.
La gamine rosit et pouffa de rire. Elle me semblait à la fois à l’aise et gênée, sans doute par ma présence. Je restai avec eux une bonne demie heure et notai que la fille buvait un plein gobelet de punch, à chaque fois qu’un de mes deux amis revenait avec une nouvelle tournée. A ce train là, elle n’allait pas tarder à avoir la tête qui tourne !
Je les laissai enfin pour rejoindre mon directeur.
Tandis que je discutais avec ce dernier, j’observais de loin le trio. A tour de rôle, Alain et Patrice faisaient danser la jeune nana. Entre deux pauses, je la vis refuser d’autres verres de punch mais lorsque le champagne arriva, elle en but plusieurs coupes tout en parlant et dansant.
Vers une heure du matin, nous n’étions plus qu’une poignée. Mon directeur se dirigeait vers les uns et les autres pour leurs demander de partir car il devait fermer l’entrepôt.
Mes amis, la nana appelée Marie et moi, fûmes les derniers à partir. Je laissai à mon directeur le soin de fermer la boutique. La fille avait un peu d’avance sur nous. En la regardant de dos, j’eus l’impression qu’elle avait les jambes en coton ; sa démarche semblait hésitante. Arrivée sur le parking, elle parût indécise. Cherchait-elle sa voiture ? Soudain, elle s’appuya contre un poteau. Nous nous approchâmes d’elle.
- Ca ne va pas, Marie ? : demanda Alain.
La fille lui dit que sa tête tournait et qu’elle avait eu un simple étourdissement. Puis, elle ajouta qu’elle allait prendre sa voiture et rentrer chez sa mère, enfin sa belle-mère.
Alain lui fît comprendre que ce n’était pas très prudent de prendre le volant. Et puis, il valait sans doute mieux que sa belle-mère ne la voie pas dans cet état. Marie leva la tête vers mon ami et hocha la tête. Des quelques mots bredouillés, qu’elle prononça ensuite, on en déduisit qu’elle venait à peine d’emménager chez sa belle-mère, mais que celle-ci était absente.
Néanmoins, Alain insista sur les risques d’accident et lui dit :
- Je vous propose, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, de vous reposer d’abord un peu. Monsieur … habite juste à côté. Vous le reconnaissez, c’est le Patron de la société pour laquelle vous avez travaillé. Vous pouvez avoir confiance. On va vous y emmener et mon ami nous suivra avec votre voiture. Vous vous reposerez un peu et, quand vous aurez récupéré vos esprits, vous pourrez partir. J’ai d’ailleurs des cachets qui vous soulageront C’est plus prudent ainsi, non ?
Une fois de plus, la jeune nana hocha la tête sans rien dire et, ayant remis ses clés à Patrice, elle se laissa guider jusqu’à ma voiture. Je n’étais pas particulièrement emballé par la proposition de mon ami mais je n’allais pas laisser cette gamine s’emplafonner le premier poteau indicateur du coin. Après tout, j’étais responsable.
Arrivé à la maison, Alain me dit qu’il faudrait que la nana s’allonge, histoire qu’elle récupère et ajouta :
- Tu sais, Paul, ne t’inquiète pas, va te coucher. Dès qu’elle ira mieux, on la raccompagnera chez elle. T’as pas besoin d’attendre.
J’étais vraiment crevé, aussi je montais pour aller me coucher.
Ma chambre est en duplex et je l’avais abandonnée à mes deux clients, le temps de leur week-end. Je grimpai donc vers la mezzanine qui surplombait ma chambre. Alors que je tirais la porte coulissante pour avoir un peu d’intimité, je me promis de terminer les travaux de la chambre d’amis. Vrai ! Ce serait plus pratique que cette chambrée de bidasse. J’avais l’impression de dormir à l’étage d’un lit superposé !
Déshabillé, j’avais éteint la lumière et je m’apprêtais à dormir quand j’entendis Alain dire à la fille de boire. Dehors, l’orage éclata soudain. A poil, douillettement glissé sous la couette, la voix de la fille me surprit : elle se plaignait car elle avait envie de vomir.
Ah non ! Je bondis du lit. Elle n’allait pas me ruiner mon parquet !
C’est la peur du ridicule qui m’empêcha d’ouvrir d’un seul coup la porte coulissante. Je l’entrouvris juste assez pour pouvoir regarder en bas.
La gamine, enfin la jeune fille était allongée toute habillée sur mon lit. Elle demanda à aller dans la salle de bain. Alain l’aida à se lever et la soutenant, il la mena vers mon cabinet de toilette qui dessert ma chambre. Heureusement, car ma salle de bain se trouve au fond du couloir !
En me baissant, je vis la nana, Marie, à genoux, la tête penchée sur le bidet.
Etait-ce sous prétexte de la soutenir que Alain lui prenait les deux seins ? Son geste me semblait incongru et déplacé.
Lorsqu’elle eut, me semble-t-il, terminé, mon ami la ramena sur mon lit et il demanda à Patrice de préparer un autre cachet. Ce dernier revint du cabinet de toilette avec un verre. Quand il le tendit à la fille, celle-ci refusa mais Alain insista tant qu’elle finit par le boire.
Alors qu’ils quittaient la chambre, sans doute pour aller dans le salon, je décidai de me recoucher. A moitié somnolent, j’émergeai quand j’entendis Marie se plaindre d’avoir chaud. Elle pensait avoir de la fièvre. Allons bon !!!
- Mais non, il fait très chaud ici, c’est tout ! Je vais vous mettre un peu plus à l’aise. Je reconnus la voix de Alain, puis le bruit de deux chaussures qui heurtent le sol.
- Non, ça va, merci ! : Dit la fille.
Une fois encore, Alain prit la parole et lui conseilla de se mettre à l’aise. Pas étonnant qu’elle ait si chaud.
Intrigué, je me levai de mon lit et à nouveau, j’écartai légèrement la porte coulissante. En dessous, je voyais mon lit. Alain était en train de retirer la petite veste de tailleur de Marie. Les yeux fermés, elle ressemblait à une poupée en chiffon, son corps suivant les mouvements que lui impliquait Alain. Quand ce dernier commença à dégrafer le corsage, je me mis à tiquer. Mais quand je le vis s’attaquer à la jupe de la fille, mon étonnement se transforma en soupçons : où voulait-il en venir ?
- Non, non ! C’est bon, ça va ! : murmura difficilement Marie.
- Laissez-vous faire : dit Alain d’un voix douce. Mettez-vous un peu à l’aise et vous verrez, ça ira mieux. D’ailleurs, avec nous, vous ne risquez rien. Vous avez confiance ?
La gamine ne répondit pas et le laissa faire. Elle paraissait avoir tellement chaud.
Alain avait réussi à faire glisser la jupe. Pour le bas, elle ne portait plus sur elle, qu’un petit slip blanc.
De drôles d’idées se bousculaient dans ma tête. Ma curiosité était titillée et malgré la gêne. J’osais écarter un peu plus le battant. Ce que je fis ne me correspondait pas : je m’allongeais à même la moquette, pour pouvoir regarder dans ma chambre. De la mezzanine, ceux d’en bas ne pouvaient pas me voir car j’étais dans l’obscurité.
Je surpris distinctement le regard que mes deux amis s’échangèrent au moment où Alain s’assit sur mon lit, à côté de la nana. Quand il posa sa main sur la cuisse de la fille, je crus la voir tressaillir.
- Je vais vous masser un peu, ça vous fera du bien : lui murmura-t-il doucement.
Sans attendre la permission, les mains de Alain descendirent vers les pieds de Marie, remontèrent le long de ses jambes, enveloppèrent ses cuisses puis glissèrent lentement vers son ventre qu’elles massèrent en tournant.
Il s’attarda un peu puis remonta vers l’estomac pour redescendre un peu plus bas en mouvements circulaires. Chaque déplacement l’amenait un peu plus près du pubis de la fille. Pourtant, Alain ne tentait aucun geste déplacé et la fille demeurait allongée, immobile.
Au lieu de s’atténuer, la chaleur de son corps augmentait car la fille se plaignit de bouffées successives. Sur un signe de la tête de Alain, Patrice s’approcha et releva le buste de Marie. Son copain en profita pour lui retirer son corsage. En même temps, il réussit à dégrafer adroitement son soutien-gorge.
Tandis que Patrice recouchait délicatement Marie, Alain fit glisser le soutif et la pauvre se retrouva le buste à l’air. Les yeux toujours aussi hermétiquement clos, les bras collés le long du corps, elle ne bougeait pas, comme abandonnée au massage de Alain.
Comme la première fois, sa main remonta du pied vers la cuisse qu’il massa longuement, puis alla vers le ventre.
Marie se laissait faire, les yeux fermés, l’esprit sans doute embué et cotonneux.
A un moment, comme si la fille n’était pas présente, je crus entendre Patrice dire à voix basse :
- Arrête ton manège, ça ne marchera pas.
Et l’autre de lui répondre :
- Mais si, ça marchera, tu verras. Je la sens déjà mieux préparée. Attends, il ne faut pas se presser. Brusquer les choses risqueraient de tout faire rater. Ce serait dommage, regarde, comme elle est bien foutue. Et puis, Paul dort, alors autant en profiter !
A l’énoncé de mon prénom, je réalisai soudain que j’étais en train de mater mes deux amis qui essayaient de se taper une nana. Sous mon toit, en plus !
Et moi, je les espionnais tranquillement…
Dieu merci, la fille était majeure !
Dès qu’ils se turent, Alain reprit son ouvrage. Maintenant, sa caresse insistait sur le haut du slip de la gamine ; descendant parfois, comme par hasard, sur son bas-ventre.
De temps en temps, j’apercevais sa main qui s’arrangeait pour passer légèrement, l’air de rien, sous l’élastique du petit slip tout blanc. Il ne s’était servi que d’une main. Au moment même où il posa la gauche pour lui masser tout doucement le ventre, il insinua la droite sous le sous vêtement, directement sur son pubis.
Incroyable ! S’en était-elle aperçue ? Marie ne bougeait toujours pas !
Je vis soudain la main s’agiter sous le slip. La fille aurait dû hurler et arrêter tout à ce moment là ! Mais elle ne protestait pas, laissant ces deux mains posées sur son corps, toutes deux s’activant.
La scène était si excitante que je m’étais mis à bander !
Tout à coup, Marie ouvrit la bouche et se mit à respirer très fort. Tandis que Alain continuait à remuer sa main droite, la gauche saisit le slip et tira dessus jusqu’à ce que la chatte blonde de la fille apparaisse à ma vue.
Patrice aida son copain en finissant le travail. Il parvint sans aucune difficulté à faire glisser le petit bout de tissu le long des jambes de la gamine.
Dès qu’il se débarrassa du slip, il attrapa les jambes de la fille et les écarta. C’est à ce moment là, que Alain en profita pour passer la main dans la fente offerte. Marie parut soudain électrisée. Elle se cambra comme si elle voulait aller à la rencontre de cette caresse impudique. Avec un doigt, Alain caressa le clitoris, descendit vers le trou, remonta et commença lentement à la branler.
Pendant que la fille se mettait à geindre doucement, il dit à son copain :
- Tu vois bien que ça vient. Tu peux te préparer, elle mouille, la petite cochonne. Regarde comme elle se tend et comme elle bouge son petit cul. Hein, ma belle qu’il sait caresser, tonton Alain ?
Je crus entendre Marie répondre dans un souffle ‘’oh oui !’’.
Je n’en revenais pas. Les quelques instants passés en compagnie de cette fille, lors de la soirée, ne m’avait pas donné l’impression qu’elle était ‘’facile’’. Au contraire, elle paraissait réservée. Ce soudain laisser-aller ne pouvait venir que de l’alcool qu’elle avait ingurgité.
La nana se tordait maintenant sur le lit tandis que Alain lui branlait la chatte. Je l’entendais lui prodiguer des encouragements. Mon attention fut attirée par Patrice qui, debout près du lit, était en train de se déshabiller. Son érection me sauta au visage. Drôle d’impression que de voir son client, la queue raide à l’air !
Tout en se masturbant lentement, il vint tout près du visage de la fille. Il s’agenouilla à côté et, d’un seul coup, il lui prit la bouche. J’avais nettement l’impression que Marie tenait ses lèvres serrées et qu’elle se débattait, certes mollement, mais quand même.
Ses efforts furent brefs car quand mes deux amis s’occupèrent d’elle, elle cessa de se débattre et retomba inerte sur le lit. Il faut dire que, tandis que Patrice lui caressait les seins, Alain s’activait de plus en plus vite sur la fente de la nana.
Aussi, quand Patrice appuya sa main sur le menton de Marie, l’obligeant à ouvrir la bouche, il plaqua ses lèvres et je n’eus aucun mal à imaginer sa langue la pénétrer et fouiller.
J’avais la nette impression que la fille n’en pouvait plus. D’ailleurs, le contraire aurait été étonnant, vu le bruit mouillé que faisait la main de Alain, pendant qu’il branlait Marie. Elle ne semblait pas être insensible à la gâterie de mon ami.
Quelques minutes après, Alain attira l’attention de son copain, lui signifiant de prendre sa place. Dès qu’il quitta le lit, Patrice s’installa entre les cuisses de Marie et se mit à lui lécher la vulve. Elle émit aussitôt de drôles de petits bruits.
Pendant ce temps, Alain retirait lentement ses fringues en regardant le couple avec un petit sourire. J’eus une étrange impression de déjà-vu : encore un client qui se baladait chez moi la queue à l’air !
Il s’approcha et s’agenouilla près de Marie. Il lui prit la tête et présenta sa bite. Patrice devait rudement bien si prendre car la fille, sans l’ombre d’un doute, jouissait fortement.
Ce n’était plus la petite blonde réservée de la soirée mais plutôt une jeune femelle avide car, à mon grand étonnement, je la vis se saisir de la queue de Alain pour l’engloutir entre ses lèvres.
Tout en gémissant bruyamment, elle suçait la bite de mon ami dans tous les sens.
Sans doute Patrice s’est-il aperçu du changement d’attitude de la fille ? Tout est autant qu’il se saisit de ses cuisses et les ouvrit plus largement. Puis s’installant à genou entre ses jambes, il présenta sa queue et, lentement, pénétra Marie.
Un ‘hooonnn !’’ sortit de sa gorge. La bite de Patrice devait être trop grosse pour sa petite chatte. Néanmoins, il réussit à l’enfoncer jusqu’à la racine.
Je le vis rester immobile pendant quelques instants puis, il commença à aller et venir doucement en elle. Quand il se mit à accélérer, la fille cria tant qu’elle laissa échapper de sa bouche, la queue de Alain.
Quelle ne fût pas ma surprise de voir sa petite main, récupérer hâtivement la bite volage pour mieux l’enfourner entre ses lèvres ! Ce n’était plus une victime mais une ‘’associée’’ !
Impossible pour moi, de détourner le regard. Pire, je me branlais en les regardant baiser la fille. Je n’en croyais pas mes yeux. C’était bien la première fois que je voyais deux types ensemble baiser une nana !
Le peu de honte que j’avais en moi, se dissolvait dans le plaisir que j’avais à les espionner. Si mon ex femme m’avait vu…
A un moment, Alain se dégagea de l’emprise de la fille. Il tapa sur l’épaule de son copain. Je n’eus pas à attendre la signification de son geste : Patrice se retira de Marie pour laisser sa place.
Dès qu’elle fût libre, Alain le remplaça mais avec une variante. Avec des gestes presque brusques, il se saisit de la fille et la retourna. Suivit-elle le mouvement volontairement ? Je l’ignore mais, toujours est-il qu’elle se retrouva à quatre pattes sur le lit. Alain ne lui laissa pas le temps de réfléchir : il lui écarta les cuisses et, guidant la queue avec sa main, il la planta sans ménagement, dans la fente.
Marie se mit à crier, puis à geindre dès que le pieu commença à la labourer. Je voyais ses doigts qui crochetaient les draps. Le bassin tendu vers la bite qui la défonçait, elle avait la tête rejetée en arrière. Plus Alain accélérait, plus elle criait. Pas de douleur, de plaisir et cela se voyait !
Patrice, sans doute peu emballer à l’idée de jouer les seconds couteaux, réussit à se glisser sous la fille. Sa bite bien raide n’attendait qu’une seule chose : il agrippa les cheveux de Marie et tira sa tête à lui. La fille comprit tout de suite ce qu’on attendait d’elle. Se saisissant de la bite qui lui faisait face, elle l’empoigna. Je fus surpris de la voracité dont elle fit preuve.
Mais le plus surprenant pour moi, ce fût de la voir avaler le sperme de Patrice et lécher les contours de sa queue afin de n’en prendre aucune goutte.
Quand Patrice se leva du lit, Alain s’arrêta de baiser la nana. Il repoussa la fille et s’allongea sur le lit. Je fus quand même étonné de ne pas voir Marie vexée quand il lui dit : allez, ma petite salope, suce-moi bien et avale !
L’autre s’exécuta avec un certain, apparemment. Et, comme une bonne fille obéissante, elle le suça. Elle s’appliqua tant que Alain finit par lui jouir dans la bouche.
Ce qui me démontra le peu de cas qu’ils faisaient de la fille, c’est qu’une fois leur affaire terminée, les compères ont dit à Marie de se rhabiller rapidement. Ils étaient fatigués et voulaient dormir. Comme goujat, on ne fait pas mieux dans le genre !
Bon, ils eurent quand même la prudence de lui demander si elle pouvait conduire…
Vu les ébats rythmés qu’elle venait d’entreprendre, toute trace d’ébriété avait disparue. En deux temps trois mouvements, elle remit ses vêtements et je les vis disparaître de ma chambre.
Quand mes deux zèbres revinrent, ils se marraient en commentant ‘’l’affaire’’. Ils eurent même un pensée émue pour moi : quel dommage pour notre ami. Dormir alors qu’il y avait eu un si joli petit cul à baiser…
Après leur douche, il ne me resta plus que leur ronflement.
Quant à moi… Impossible de trouver le sommeil. Je n’y parvins qu’après m’être masturbé comme un dingue. Il suffisait que je ferme les yeux, pour revoir la si jolie bouche de la petite blonde engloutir la queue de mes amis.
Ils me quittèrent le dimanche après-midi sans qu’aucune allusion ne soit échangée sur ce qui s’était passé durant la nuit. Je suis toujours en contact avec eux et ce secret perdure encore entre nous. Bizarre, non ?…
Par contre, quand Nadia revint à la maison, sans que je sois prévenu, le dimanche soir, j’eus la trouille de ma vie.
J’étais tranquillement en train de fumer dans le salon quand elle surgit comme une diablesse de sa boîte :
Qu’est-ce que c’est que ça ? Qu’est-ce que ça fait sous ton lit ?
Je la regardai sans comprendre. Je l’ignorais, ce portefeuille n’était pas à moi !
- Marie B… ! Qui c’est cette nana ? Tu l’as baisée pendant que je n’étais pas là ? C’est ça !!??
Je niais ! Et pour cause, j’étais innocent !
De guerre lasse, je finis par lui avouer les incartades de mes deux amis.
Le plus étrange, c’est qu’elle me crût aussitôt (sans peu flatteur pour moi…) et parût soudain très intéressée. Curieuse et malgré mon avis contraire, elle se mit à fouiller dans le portefeuille de la fille.
Tout à coup, son visage s’éclaira : Non, c’est pas vrai ! Incroyable ! Le monde est petit…
Je m’enquis des raisons de son étrange attitude. Elle se mit à rire, mais d’un rire qui faisait froid dans le dos.
- Je vais aller lui rapporter son portefeuille à cette petite !
Je la remerciais mais lui dit que je le ferai moi-même.
- Non ! Non, j’y tiens. Je vais le lui porter chez sa belle-mère. Pas de problème.
Je n’y comprenais rien du tout. Je demandai à Nadia si elle connaissait Marie. Non !
Alors pourquoi se donner cette peine… ?
Nadia dût sentir que je ne lâcherai pas l’affaire et que j’irai porter moi-même ce portefeuille à moins qu’elle ne me fournisse quelques explications. Car son attitude n’était pas rationnelle.
A contrecoeur, elle finit par lâcher quelques informations : non, elle ne connaissait pas Marie mais par contre, les quelques photos d’elle dans son portefeuille, prouvaient qu’elle était mignonne.
Je lui rétorquai que ce n’était pas une raison suffisante !
- Non, en effet, me dit-elle. Ce ne sont pas ses photos qui m’intéresse, quoique… mais plutôt celle de cette femme. Non, ce n’est pas vrai ! Je rêve ?! Quel super hasard, enfin !!!
Son rire me parût féroce alors qu’elle me tendait un cliché. Sur la photo, on pouvait voir une belle femme blonde d’environ quarante ans. A côté d’elle, se tenait Marie.
- Tu vois, cette femme, c’est apparemment la belle-mère de cette jeune nana. En fait, le père de cette Marie s’est remarié avec cette bonne femme. Lui est décédé, il y a trois ou quatre ans. Comme Marie n’avait plus de mère, c’est elle qui s’en est occupée. Enfin, occupée… La gamine a passé sa jeunesse dans un pensionnat. Comme ça, l’autre salope a pu tranquillement craquer le pognon, de feu son mari.
Je lui dis qu’elle exagérait. D’ailleurs, comment savait-elle tout cela ?
- Parce que c’est une sacrée salope, la Maude !
J’interrogeais Nadia : elle la connaissait tant, pour émettre un tel jugement ?
- Moi ? Non, pas personnellement. Mais je peux te dire que c‘est une belle salope qui aime bien piquer les mecs des autres. D’ailleurs, je suis très surprise que la gamine soit revenue. Ce sera moins facile maintenant pour elle, de s’envoyer en l’air. T’es sûr qu’elle habite chez Maud ?
Je confirmais à Nadia ce que m’avait dit Marie : oui, elle venait de s’installer chez sa belle-mère.
- Bizarre… Remarque, elle n’a pas le choix si elle veut continuer à claquer le fric du père de la petite.
J’essayais d’en savoir un peu plus mais Nadia ne me lâcha que quelques informations. Non, cette Maud ne la connaissait pas personnellement. A vrai dire, cette dernière ignorait même son existence. Par contre, elle, la connaissait que trop.
Je sentais dans la voix de Nadia, comme de la haine. Mais au fur et à mesure qu’elle m’en parlait, je décelais aussi, comme une étrange fascination qu’elle exerçait sur ma copine.
Impossible de cerner ce qu’elle ressentait vraiment vis-à-vis de cette femme.
Ce dont j’étais sûr, c’est qu’il y avait un lourd contentieux entre elles. Pourtant, Nadia m’assurait qu’elles ne se connaissaient pas !
In fine et parce que je sentais bien que fallait que je cède, sinon… J’acceptais qu’elle rapporte à Marie, son portefeuille. Nadia m’assura que je n’avais pas de soucis à me faire et qu’elle s’occupait de tout. Elle condescendit à me promettre de tout m’expliquer un jour. En attendant, il fallait que je lui fasse confiance.
Par contre, ce qui ne me rassura pas, c’est son : ‘’Tout compte fait, cela pourrait être intéressant…’’. Mais elle garda pour elle, la signification de cette dernière phrase.
Cela fait maintenant une semaine et demie que Nadia a mis la main sur le portefeuille de la fille. J’ignore si elle le lui a rendu. Si non, pourquoi Marie n’a-t-elle pas téléphoné au bureau pour s’en enquérir ? Après tout, il y a tous ses papiers.
Comme je me méfie des réactions de Nadia, je n’ose pas lui demander ce qu’il en est et elle ne m’en parle pas du tout. Je vais attendre encore un peu et je tâterai le terrain.
Voilà l’histoire. Je suis sûr que beaucoup d’entre vous doivent se dire : ce type est couillon, à sa place, je serai descendu pour baiser la fille avec mes copains !
Bah pas moi ! Mais je ne suis qu’un amateur.
A bientôt, peut être.

Histoire du net. Auteur: La Carpette. Témoignage

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Voici un des meilleurs témoignages ethnologique
de l'évolution mentale d'un homme qui découvre
ses pulsions irrépressibles... 

Les débuts de la Carpette.
Ça a commencé comme ça
Depuis quelque temps, rien à faire, je désirais être cocu. J’avais beau me dire que c’était stupide, dangereux, qu’il n’était pas sain de se livrer à une expérience pareille, rien à faire.
Je lui faisais l’amour – plus exactement, comme elle sait si bien le faire, elle me caressait, m’arrêtant promptement dans mes caresses, et dès qu’elle me caressait, je ne maîtrisais plus rien, ni le glisser de ses doigts, ni les sensations, j’étais sa chose maintenant, elle faisait de ma queue ce qu’elle voulait, je bougeais, gémissais, et là, à coup sûr, juste avant, avant qu’elle ne prenne mon sexe entre ses doigts, qu’elle vienne sur moi – comment pourrait-il en être autrement – juste avant que je sente les lèvres de sa chatte murmurer à mon gland, je te prends, là, l’image était nette que sa chatte humide, ouverte, sa chatte prête, avalait une autre queue que la mienne, et là, je parlais, je décrivais l’homme, le mâle, à la queue sublime, et douce, l’homme qui la prenait, et elle dansait sur moi, engouffrait mon sexe, je perdais les pédales, elle savait quand, exactement quand me faire gicler, j’étais comme un godemiché vivant pendant que je lui décrivais son amant la faisant jouir, et là, au moment voulu, juste quand elle le désirait, je giclais.
Je me taisais alors. J’étais vidé, honteux, je pensais à sa chatte pleine de son sperme à lui. Mais je ne pouvais y goûter. Approcher mes lèvres. Pas le droit d’y toucher, pas le droit de lécher, juste ma queue objet qu’elle engouffre, et elle qui jouit, moi qui gicle, cocu déjà.
Je n’en pouvais plus de ce rêve, de ce désir, de ce besoin. J’imaginais des amants membrés, musclés, j’imaginais son désir, et son plaisir. Dès qu’elle évoquait un homme croisé par hasard où non, je voulais l’entendre dire qu’il lui plaisait. Vite découvert elle me rétorquait que non, ce n’était pas un amant.
J’avais beau dire, j’avais beau faire, bien avant que ce ne soit le cas, j’étais déjà plus que cocu.
Je n’imaginais pas ce que cela voulait dire. Je n’y arrivais pas, n’en avais pas idée. Jusqu’à ce jour, ou loin d’elle, puisque travaillant à l’époque assez loin, j’eus un soir, je m’en souviens, une conversation avec une collègue, seule elle aussi.
Belle femme, mais qui ne me plaisait pas, du genre de celles que j’évitais, très sûre d’elle, les yeux perçants, la voix dure. Là sur la terrasse ensoleillée de ce café, au détour de la conversation dont je ne me rappelle plus le sujet, elle me fixa de ce regard que j’avais déjà trouvé gênant, et me dit textuellement :
- Tu sais que tu es un soumis. .
Je n’ai rien dit d’abord, j’avais l’impression de manquer d’air, d’avoir soif, d’être
rouge tomate. Je ne savais pas ce que cela signifiait, mais je savais que c’était vrai. Avec les quelques neurones encore capable de fonctionner je dus lui demander d’une voix étranglée :
- C’est quoi un soumis ? ,
la réponse résonne encore :
- Un larbin… ,
- Ca veut dire quoi concrètement lui demandais-je essayant de sourire,
- Ca veut dire que tu fais ce qu’on te dit et point barre .
Mais comment pouvait-elle savoir ça ?
- Comment sais-tu ça demandais-je ?
- Ca se sent dit-elle en riant, tu ne bandes pas là ? ,
Oui exact, je bandais comme un cerf. Je ne dis rien.
- Donc tu bandes me dit-elle.
- Si tu n’étais pas soumis tu aurais ri, où bien même si tu bandais tu m’aurais pris la main pour que je touche, et qu’on passe la nuit ensemble. Là non. Tu attends les ordres.
Touché à vif. Déjà largement déployée ma queue fit un bond supplémentaire.
J’osais un :
- Mais je suis marié , qui fut suivi d’un :
- Et alors ça prouve bien que tu es une lavette. .
Je ne savais plus quoi dire. Ce fut elle qui prit la décision que nous irions manger un morceau et je l’ai suivi docilement. Nous avions repris une conversation à l’air normal au restaurant lorsqu’au dessert elle me prit à brûle-pourpoint :
- Alors ça fait quoi de savoir qu’on est un larbin ?
J’ai gardé le silence –
- Le mieux c’est que tu répondes sans réfléchir, il ne faut pas passer à côté de sa vocation
- Je pense que tu as raison ai-je dit en me sentant défaillir.
Si j’avais dû me lever à cet instant deux choses auraient été probable, que le restaurant tout entier apprécie mon érection, et que je tombe par terre sans forces.
- Tu vois, tu ne te sens pas mieux ?
- Si, ai-je dit, reprenant un peu courage.
- C’est normal d’avoir honte, mais il faut bien des soumis pour des femmes comme moi non ? ,
j’ai approuvé intérieurement. J’avais cependant un petit problème :
- Mais et ma femme dis-je.
Elle rit. Franchement. Puis me dit :
- Alors là, tu vois je pense qu’elle va être contente. .
J’étais étonné. Contente de savoir que je suis soumis ?
- Oui tu ne vas plus l’emmerder avec tes histoires de mâle.
et elle rit de plus belle. Je devais être livide en lui demandant ce que ça voulait dire.
- Là tu vois c’est trop pour ce soir, tu vas réfléchir à tout ça, t’informer, grandir un peu, et tu verras si tu veux vraiment savoir ce qu’il en est. .
La soirée était terminée, en rentrant je suis tombé de sommeil, non sans avoir de longues minutes durant, réfléchi à ce qu’être soumis voulait bien dire.
Nous pouvions passer la journée sans nous voir, ce qui tombait bien puisque je ne désirais pas la voir ce jour-là. J’ai entamé ma journée de travail normalement, avant de me surprendre pendant la pause du déjeuner à tâtonner des recherches sur internet.
Tombant sur certains sites j’étais effrayé, j’avais peur que l’on me voie, peur d’ailleurs que ce qu’elle avait vu elle, soit visible par tout le monde. J’étais sûr que ça se voyait, je voulais cacher ça à tout prix. La journée fut très confuse. Je l’ai croisé une fois dans la journée, j’ai baissé la tête en la saluant, et elle me lança souriante
- Alors ça réfléchit là haut en indiquant le crâne.
Réfléchir n’était pas le mot juste, emballer, oui, ça surgissait de partout. J’aimais les images que je voyais, et les mots. En à peine quelques heures j’avais l’impression d’avoir trouvé ce qui me manquait. J’étais pourtant loin du compte.
Le soir venu, chez moi, à l’abri, je me suis mis à l’aise, c'est-à-dire totalement nu devant l’ordinateur, j’en ai oublié de manger tant je fus pris par ce que je lisais et voyais.
Parlant couramment l’anglais, je fus rapidement pris par les sites américains sur le sujet. Une histoire m’avait particulièrement plue, d’un soumis que sa femme cocufiait à tort et à travers, puis qu’elle soumettait à la chasteté, puis… Cela n’avait pas de fin, je me voyais parfaitement dire oui à tout. Sauf que ma femme, ferait une drôle de tête en apprenant ça.
L’autre hic, était que je ne me voyais pas avouer tout ça à ma collègue.
Le lendemain un email de sa part m’attendait :
- Je viens chez toi ce soir, prépares-moi un repas, en me faisant une proposition avant, je ne mange pas n’importe quoi. Et puis il faudrait que tu sois nu pour me recevoir. .
J’ai refermé ce truc immédiatement. Mon coeur battait vite. Je fus incapable de me concentrer sur quoique ce soit toute la journée. Je n’avais pas répondu à 17h lorsque j’ouvris ma messagerie. Pas de nouveau message. La mort dans l’âme je lui envoyais un message :
- C’est d’accord ,
La réponse fut immédiate :
- Bien sûr que c’est d’accord, tu aurais déjà répondu non sinon, ou pire… .
J’ai ,réfléchi rapidement, et lui ai proposé un menu qu’elle a légèrement modifié, en indiquant le vin qu’elle voulait boire et à quelle température. J’ai filé faire les courses chez le traiteur – cela me semblait préférable mes talents en la matière étant proches de zéro – et également acquis des douceurs chocolatées dont je la savais friande.
Rentré chez moi j’ai fait le ménage. Impensable et pourtant. Puis j’ai réalisé qu’elle n’avait pas indiqué d’heure. Le dîner pouvait supposer aux alentours de vingt heures.
Mais… j’ai filé prendre une douche, me raser, m’habiller…. Suis retourné dans le salon, j’ai pris un journal, fait semblant de lire, mon coeur battait à cent à l’heure.
J’ai jeté le journal, et je me suis dénudé. Il devait être 19 heures. Ceci fait, nu, et en érection, j’ai préparé la table basse autour du grand canapé en cuir blanc. J’ai pris soin au vin et à sa température.
Je ne tenais pas en place. Dans ma tête c’était le vide, je n’imaginais rien, j’étais terrorisé au fur et à mesure que l’heure avançait.
Puis elle a sonné. J’ai manqué d’air. J’étais nu, bandant, et je devais aller ouvrir.
Quelle honte. Mais j’allais le faire, puis tout lui expliquer, lui dire que je m’étais trompé. Deuxième coup de sonnette, j’ai couru à la porte, j’ai ouvert, nu.
- C’est bien dit-elle en entrant,
- Maintenant à genoux c’est mieux, plus respectueux .
Et je me suis mis à genoux. Et elle m’a regardé un long moment. Un très long moment, terrible. J’avais une honte impossible à maîtriser.
- T’as raison d’avoir honte on ne voudrait pas de toi pour son 4 heures, tu t’en rends compte j’espère. ,
j’ai murmuré un faible oui.
- Oui sans Maîtresse c’est comme un cheveu dans la soupe, immangeable…. , o
Oui Maîtresse bien sûr comment n’y avais-je pas pensé. J’étais toujours là à genoux dans l’entrée,
- C’est bien tu ne bouges pas sans que je te le dise… ,
Ca me semblait tellement naturel,
- Et tu peux m’ouvrir le chemin à quatre pattes jusqu’à ma place ? ,
- Oui Maîtresse ai-je dit, fier de moi, et j’ai avancé à quatre pattes,
- Pas si vite, tu me forcerais à tirer sur la laisse s’il y en avait une… Tu aurais pu avoir l’idée quand même non ? ,
- Oui Maîtresse j’aimerais bien ,
- Je savais qu’on était fait pour s’entendre. .
je l’ai guidée jusqu’au canapé, et je suis resté là à genoux, dans l’attente, presque soulagé d’avoir trouvé une façon de me tenir, nu et à genoux devant ma Maîtresse.
- J’attends me dit-elle.
- Quoi ?.. dis-je brusquement.
- Le vin abruti ,
évidemment, pardon Maîtresse, je me suis levé,
- Non c’est mieux à quatre pattes, faut t’y habituer… ,
Bien sûr je suis bête, à quatre pattes, direction le frigo, la bouteille, je peux même rester à quatre pattes pour la sortir de là, et pour choper le tire-bouchon à tâtons dans le tiroir là haut, chance un verre dans le lave-vaisselle que j’ai lancé tout à l’heure, propre maintenant.
Je ne prends qu’un verre ? Oui un seul, tu verras bien ce qu’elle te dit.
Je prends un verre, j’ouvre la bouteille, difficulté, un verre une bouteille, quatre pattes ? tant pis, un verre dans une main, la bouteille dans l’autre, j’avance à genoux, ça rabote sur le parquet, mais j’aime assez me présenter ainsi devant elle. Le verre sur la table, je sers.
- Bien tu as déjà fait des progrès... Viens à mes pieds dit-elle me faisant signe, je m’approche,
accroupis-toi c’est ce qu’il y a de mieux, tu n’es pas encore un chien… rire de sa part.
Je suis à ses pieds accroupi.
- Tu t’es renseigné alors ?
Je m’apprête à répondre –
- Vas me chercher quelque chose à grignoter ,
J’y vais, à quatre pattes. Elle m’attend patiemment.
- Alors racontes . je raconte. Presque tout.
- C’est tout dit-elle amusée.
Je raconte l’histoire de l’homme cocu qui.
- Tu vois… ça te plait non ? -
- Oui, bien sûr et j’explique avec ma femme tout ça.
- évident dit-elle, va falloir passer à l’acte .
Ecran noir. Passer à l’acte ? Avec ma femme ?
- Oui évidemment, tu ne penses pas quand même que tu vas pouvoir t’amuser à jouer au soumis, pendant que ta femme s’emmerde non ?
Je n’avais jamais pensé à ça. Mais en fait dis-je, je ne peux pas lui dire comme ça que je suis un soumis.
- Tu en as accepté l’idée je vois me dit-elle.
Que pouvais-je dire, c’était l’évidence. Nu à ses pieds en train de la servir et de lui expliquer que je voudrais être le cocu de ma femme, j’aurais eu bien du mal à ne pas approuver. J’ai approuvé.
- Donc tu finiras par lui dire… .
Vrai, je ne voulais pas mentir à ma femme, ni la tromper, je voulais être près d’elle, lui obéir, je voulais son plaisir avant tout.
- Comment vas-tu faire ? .
Pour lui dire je suppose, et bien… je vais lui écrire.
- Oui il faut, ça amortit le choc.
- Le choc ?
- Oui si elle ne s’y attend pas ça va l’étonner. , alors, mais non, ce n’est pas parce qu’elle est étonnée qu’elle ne voudra pas de toi en soumis. Elle le sait probablement d’ailleurs, même si elle ne sait pas exactement de quoi il s’agit. .
Comme moi, ça me redonnait du courage.
- Où alors, elle le sait et elle attend.... Quoi ? Que tu te décides… triple buse… .
J’ai repensé aux nuits. A l’attitude de ma femme qui semblait à la fois indifférente à ce que je pouvais dire, et en même temps y prendre plaisir.
- Si tu ne dis rien c’est que tu te poses la question…
- Oui, mais non, ma femme…
- Ta femme est comme toute femme, elle aime sa liberté, et avoir un mari à ses pieds qui la traite comme une Reine, sûre que ça la branche, même s’il y a pour toi des désagréments…. .
- Désagréments dis-je ?
- Sers-moi à manger d’abord, et ressers-moi un verre, tu manques à tes devoirs… .
J’ai tout fait comme elle m’a dit, en essayant d’y mettre le style. Evidemment, nu, je ne bandais plus, je n’étais pas sûr que ce fut précisément appétissant.
- Ce qu’il y a de bien tu vois c’est que tu as pris un verre, et un couvert, tu ne t’es pas préoccupé de toi, c’est un bon début pour un chien, je dirais même que tu as des qualités innées, mais c’est pour ça que je t’ai repéré.
- C'est-à-dire ?
- C'est-à-dire que tu es un vrai soumis, fait pour ça, tu en trembles de joie à cette idée, tu transpires le bonheur d’avoir trouvé ta voie . c’était vrai.
Elle mangea en silence, j’attendais tranquillement.
- Lèches-moi dit-elle son dessert terminé.
- Quoi ?
- Broute mon minou tu comprends mieux ? ,
Elle avait écarté les cuisses. J’ai remonté la jupe, elle avait encore sa culotte, j’ai approché les doigts pour, mais..
- Stop, tu fais avec la langue only…. Tu vois un chien mettre les doigts toi ?
J'’ai donc lapé, et lapé encore, en m’appliquant. Mes partenaires précédentes m’avaient toujours félicité pour cette compétence. Elle fit de même.
- Tu te débrouilles bien dans cette partie dit-elle... Écoute moi, il faut que tu lui dises. Choisis la manière, mais ce doit être clair, sans équivoque, tu te sentiras mieux après. Ce serait dommage pour elle qu’elle ne découvre pas ce que c’est qu’un vrai mari.... J’ai opiné.... C’est bien, tu dois aussi continuer à te renseigner sur la soumission, et y penser souvent. Il ne faut pas que réfléchir, il faut agir, donc, chez toi, avec elle, tu vas être gentil comme avec moi, compris ?
- Oui Maîtresse.
- D’accord t’as du potentiel, tu vas aller loin tu vas voir.
Ca m’a fait frémir cette remarque.
- C’est bien que tu frémisses ça ne va pas être une partie de plaisir. .. Pourquoi ?.. T’as pas de chance tu vois, comme t’es un vrai soumis, plus on t’en demande, et plus t’es content, alors tu sais quand tu as une garce comme moi par exemple tu peux être sûr qu’on cherche à tout avoir. Le maximum. Et toi le maximum c’est tout sans limites.
- Sans limites ? –
- Oui, cocu pour commencer, frustré évidemment, tu vas aimer ça, et puis faire le ménage, obéir, tout ce qu’elle va vouloir, dommage pour toi le chien….
- Je ne pouvais cacher mon excitation –
- Je vois qu’il y a du concret derrière les mots…. On va voir jusqu’où ça va - jusqu’où ça va ?
- mets-toi là bas à quatre pattes, le cul en l’air -j’hésite, qu’auriez-vous fait à ma place – - je dois sévir ? - non Maîtresse, et je m’en vais à l’endroit indiqué.
- Tournes-toi , - Non tu ne dois pas me voir
Je me retourne je ne la vois plus, je sens son mouvement, proche de moi, je sens, oui c’est cela, sa chaussure qui vient toucher mon sexe
- Tu sais que tu as une petite queue quand même
Je suis vexé on m’a toujours dit qu’il était respectable, ce que je lui dis
- Respectable ? Tu veux rire - j’explique – on n’a pas voulu te faire de la peine.
Je garde mon opinion pour moi –
- Monsieur est susceptible ? Mais le chien lui, il adore ça qu’on le traite en chien non ?
Oui Maîtresse,
- Et ce chien a une petite queue ,
- oui Maîtresse,
- Et ce chien est une lopette ? - silence – Me dis pas que tu n’as jamais joué à toucher une queue ? - Si Maîtresse,
- Tu es une lopette alors ?
- Oui Maîtresse.
Sa chaussure vient frapper mon sexe, je me couche presque
- Sensible l’animal...
- Oui Maîtresse.
Une claque sur le derrière
- Et ça tu préfères ?
- Oui Maîtresse,
- T’es vraiment une belle salope tu sais ?
- Oui Maîtresse,
- Tu aimes qu’on te parle comme ça non ?
- Oui Maîtresse,
- Tu vas être un bon chien ,
- Oui Maîtresse,
- On t’a déjà dit que t’étais moche poilu comme ça ?
- Non Maîtresse,
- Voilà c’est fait alors, tu es laid….
Je l’ai pensé, mais jamais on ne me l’avait dit,
- On va raser tout ça non ? - silence – Tu ne veux pas être épilé comme une jolie petite femelle ? -aïe aïe aïe, j’aime trop ça – - Bien sûr, regardes ta petite queue elle en bave d’avance….
C’est vrai je sens trop de choses, je crois que je vais jouir sur place
- Attends un peu
Elle s’est approchée, je sens un doigt sur mon cul,qui glisse, jusqu’à la raie, je me raidis, me tends,
- T’as peur ?
- Oui Maîtresse,
- Mais tu en as envie hein, salope ? ,
- Oui Maîtresse.
Elle enfonce son doigt, je me cambre,
- Tu vois ça te fait du bien non ?
Je me mets à gémir et me trémousser,
- Voilà, à l’état de nature tu es mieux que quand tu fais semblant
- Oui je crie,
- C’est bien, tu es doué ma belle
Elle retire son doigt, je me couche presque, cul haut levé, et je sens qu’elle enfonce, qu’elle enfonce le goulot de la bouteille, et là je m’ouvre, j’écarte grand mes cuisses, et je crie : enculez-moi !!!
- Ben voilà, tu vois quand tu veux
- Oui Maîtresse,
- Et qu’est-ce qu’elle veut ma salope ?
- Etre une vraie salope Maîtresse,
- Mais ça se dresse une salope, ça s’éduque.
- Oui Maîtresse.
Elle retire la bouteille.
- Vas me servir un café maintenant.
Je rampe, y vais à quatre pattes, je reviens à genoux.
- Record battu elle me dit.
- Comment ?
- T’es certainement la salope la plus rapide à la réaction que j’ai connue
Je suis tout fier de ce qu’elle me dit.
- C’est vrai ?
- Oui, doué, réactif, spontané, sensuel, du potentiel, ça va plaire à ta Maîtresse….
- Ma Maîtresse ?,
- Ta femme salope…. Enfin, ta Maîtresse bientôt
Je ne dis rien j’en penses pas moins,
- Pas convaincu on dirait ?
- Je me vois mal lui avouer ça,
- Pourtant va falloir… .
Et je vois dans ses mains un polaroïd, et elle me prend en photo….
- Bouges pas...
- Je ne bouge plus,
- Attends.
Elle se lève va chercher la bouteille, s’approche,
- Lèves le cul.
Je le lève, elle l’enfonce à nouveau, et prend la photo,
- Une jolie collection non ? -silence- j’en ai plein des comme ça, si tu savais le nombre de mecs qui sont salopes… Tu n’es pas le seul, mais toi t’es vraiment doué… - fierté encore –
Toujours la bouteille dans le cul, je me trémousse,
- On dirait que tu bouges la queue dit elle.
Et elle boit son café.
- Je vais devoir y aller… Il est tard on bosse demain. Le programme : demain je
veux un message de ta part m’expliquant pourquoi tu as aimé être une salope ce soir… prochaine séance, même heure ici, dans une semaine, toujours à poil bien sûr, ne te rases pas, je sais que tu en auras envie, mais je veux te voir faire, donc tu le feras devant moi… Dernière chose, tu vas aller te mettre là-bas debout, tu ne dis rien et tu fais ce que je te dis d’accord…. d’accord bien sûr.
Je me lève, je vais à l’endroit indiqué, près d’un lampadaire, qu’elle allume.
- C’est bien tu es docile. Branles-toi
Je commence à me toucher
- Je ne t’ai pas dit de te caresser mais de te branler… .
J’empoigne ma queue, et je vais le plus vite possible tirant fort sur la peau, lorsque je fais ça je plie les jambes, j’essaye de rester droit debout,
- Tu me dis quand ça vient , elle regarde.
Je me branle, je ne vois rien,
- Regardes-moi , je la regarde,
- A quoi tu penses ?
- Que je suis une salope,
- Evidemment quoi d’autre ?
- Que j’obéis à ma Maîtresse,
- Bien, continues...
Je continue, je vais gicler.
- Je vais gicler Maîtresse,
- Continue
- Mais je vais gicler par terre !
- Oui
Je continue, je gicle par terre, gros flot de sperme blanc qui vient s’écraser sur le parquet, je me branle encore jusqu’à la dernière goutte, je gémis.
- Lèches !
Je la regarde.
- Tu as bien entendu, tu ne vas pas laisser ça par terre…. Lèches .
Je lèche, j’avale mon sperme. Elle photographie,
- Evidemment on pourrait dire que tu lèches du lait concentré… - elle rit,- mais c’est du foutre, -elle rit- tu es une vraie salope , elle rit, j’attends.
Elle passe sa main sur ma queue et mes couilles,
- En voilà une petite chose, tu me raccompagnes maintenant, tu ranges derrière moi, tu vas te coucher, et n’oublies pas ce que je t’ai dit
- Oui Maîtresse.
Rien oublié, j’ai fait exactement comme indiqué, en état de choc, les jambes coupées par la masturbation, j’étais vide à nouveau, mais dès que je fus dans le lit, une érection à nouveau, énorme, impossible de m’endormir, je pensais à la bouteille, aux photos, aux mots.
Je me suis levé, nu, encore, j’ai écrit un brouillon de message – pourquoi j’aime être une salope – j’ai fini la bouteille de vin encore aux trois-quarts pleine, dans le brouillard je me suis endormi.
Le lendemain en un j’ai envoyé le message à ma Maîtresse.
Réponse : - tu es bien une salope, je suis contente pour toi.
La semaine s’est passée à travailler, réfléchir, je me suis informé, j’ai lu. Et à l’heure dite, j’ai été lui ouvrir à quatre pattes.
- Ce sera rapide m’a-t-elle dit,on sait l’essentiel toi et moi.
- Oui Maîtresse.
- On va dans ta salle de bains. .
Nous y sommes allés.
- Tu as dû acheter du matériel ?
- Oui Maîtresse,
- alors ? .
J’ai sorti un rasoir pour dames, une mousse dépilatoire,
- Va pour la mousse mets-toi dans la baignoire.
J’y suis,
- Debout.
Je me lève,
- Vas-y !
J’ai appliqué la mousse,
- Sur tout le corps... Les bras aussi...
j’ai appliqué.
- Bouges pas....
Elle a regardé sa montre,
- Vas-y.
J’ai passé la spatule, tous les poils s’en allaient,
- Tu te sens comment ?
J’ai réfléchi :
- Femelle,
- Non lopette, tu ne peux pas être femelle voyons, tu es un mâle, tu as vu que tu as une queue, donc un mâle qui se sent féminin c’est une lopette
- Je suis une lopette,
- Voilà, branles toi maintenant.
- Comme la dernière fois ?
- Oui comme la dernière fois.
Même topo, le foutre sur le sol de la salle de bains,
- Et maintenant ?
- Je lèche Maîtresse,
- C’est bien lopette.
Et je lèche.
- Il faut que j’y aille.
- Déjà ! Vous revenez quand ?
- Mais je ne reviendrais pas.
Elle devine ma déception.
- Faut pas être déçu, avec tes pré-dispositions tu as besoin d’une vraie Maîtresse, et tu l’as c’est ta femme.
Regard interrogateur
- Tu vas lui expliquer ce que tu es, et tu seras son soumis – même plus que ça, mais à toi, de faire le boulot - silence – Ecris-lui, dis-lui ce que tu as découvert sur toi.
J’étais chagriné.
- Dans ton cas, c’est mieux comme ça. Tous les deux on s’amuserait, mais tu n’as pas besoin de ça, tu as besoin d’être vraiment une lopette soumise tu vois, ça me prendrait trop de temps et d’effort, surtout qu’en fait, tu rêves d’être soumis à ta femme.
- Mais ?...
- Mais si, avoue...
- Oui c’est vrai...
- Donc écris-lui et fais de beaux rêves.
Et elle me plante là, dans la salle de bains, moi nu, épilé, déjà me demandant comment je vais expliquer à ma femme pourquoi je n’ai plus de poils, et ce n’est pas parce que je fais du vélo.
Bizarrement le sommeil fut rapide à venir.
Et le lendemain, plus difficile, j’ai écrit à ma femme, une fois, deux fois trois fois, plus de vingt pages d’email, des explications, des définitions, mes envies, mes fantasmes, tout sauf elle. Réponse : - Sauras-tu être à ma hauteur ?.
J’ai traduit : décidément tu es tombé bien bas. Je n’avais rien compris mais j’étais perdu. J’ai envoyé copie de la réponse de ma femme à celle qui m’avait initiée,
Réponse : - Ca ne me regarde pas, fais pour le mieux, sois sincère .
J’avais la trouille. J’avais tout dit, je m’étais transformé en lopette, et j’étais lâché en rase campagne, face à ma femme qui allait me réduire en miettes.
Le surlendemain retour à la maison. Comme si de rien n’était. Le soir même le lit conjugal, et l’habitude de l’amant. J’ai senti ma femme plus en jambes, mais c’est une impression ai-je pensé, elle est contente que je sois quand même normal. Mais quand même, avant d’introduire ma verge dans sa chatte, pourquoi m’a-t-elle touché si longuement le pubis ?
La vie reprit donc son cours normal, j’avais essayé, mais par lâcheté, tout continuait comme avant, sauf que dès que je reprenais ma semaine de travail, je chattais le soir, étant seul.
J’avais trouvé un salon de discussion BDSM, je posais des questions, je me renseignais, pour être honnête il y eut quelques séances de domination par internet, et même deux fois avec ma webcam, je faisais ce que l’on me demandait, être ainsi devant l’objectif comme une lopette m’excitait.
Et un soir, je fis la connaissance de Blue Lola. Une switch, aussi à l’aise soumise que Dominatrice. Évidemment avec moi Dominatrice exclusivement. Elle-même me dit que c’était logique, je ne pouvais pas faire semblant.
Elle posa une règle immédiatement, d’abord en me demandant si j’étais marié. Je répondis honnêtement. Oui dis-je. « Bien me dit-elle, il ne pourra rien se passer entre nous de réel. » J’ai hurlé ma déception silencieusement sur le net, j’avais en tête ma toute première Maîtresse, et je rêvais de recommencer. « T’enflammes pas, je vais t’aider. »
Mais pour moi, Maîtresse / esclave – nous avions sauté un pas, et moi, après mes lectures, j’avais fini par admettre cela, j’étais un esclave pas un soumis « c’est définitif, pour la vie, et réel, toi tu es marié, tu aimes ta femme, c’est donc elle ta Maîtresse, je peux te guider, t’aider à aller avec elle vers cette voie, mais c’est tout ».
J’ai accepté. Pas franchement convaincu à l’idée de répéter ma première expérience. Et mon éducation commença. Avec elle je modifiai mon comportement. L’épilation était devenue permanente, et ma future Maîtresse à la maison constatait régulièrement l’état de mon pubis.
Dans nos dialogues avec Blue Lola j’explorais le coté féminin de ma personnalité, jusqu’à ce qu’un jour n’y tenant plus j’enfile un dessous de ma femme.
J’en fis part à ma Maîtresse virtuelle, qui m’engueula bien sûr. « N’as-tu pas honte ? C’est son intimité, tu veux des culottes de femme ? Achètes-en, mais pas les siennes, ça ne t’appartient pas, ce n’est pas ta chose ». Je restais coi, et j’ai acheté des culottes, et des bas, et des soutiens-gorges.
Puis Blue Lola m’annonça un jour que je devais maintenant voler de mes propres ailes, que je savais ce qu’il me restait à faire. Ma mission professionnelle se terminait également, je devais rentrer définitivement. Rentrer avec les culottes, les bas, les soutiens-gorges ? Hors de question, j’ai tout jeté.
En rentrant je pensais, fini tout ça, maintenant tout revient à la normale. C'est à dire que je suis un mari normal, aimant normalement ma femme, faisant normalement l’amour à ma femme.
Penses-tu, dès le premier soir, le cocu pointe son nez. Puis chaque fois que ma future Maîtresse m’introduit en elle. Je perfectionnais la technique, devenait de plus en plus lyrique, décrivant jusqu’à la queue de l’individu, ou des multiples individus qui se chargeaient de la jouissance de celle que j’appelais déjà ma Reine sans qu’elle le sache.
Je ne pouvais me contenter de ça, et après la séance d’épilation, je courais enfiler une culotte de mon épouse. Un court moment, avant de la remettre tout de suite en place. Puis un jour, je l’enfilai pour une journée. Puis une nuit, ma femme :
- C’est bizarre, il me manque des culottes
La nuit, elle avait attendu le moment, sur le moment comme d’habitude naïf comme je suis, je ne me suis pas demandé pourquoi elle avait attendu la nuit, juste au moment où nous allions faire l’amour à plusieurs, je veux dire elle, ses amants, et moi qui en profitait. Donc tenant ma queue, glissant lentement sa main, elle dit soudain :
- C’est bizarre, il me manque des culottes
Et là, à peine quelques secondes de réflexion, même pas de réflexion respiration, angoisse, je saute :
- Oui c’est moi ,
- Toi ?
Marque d’étonnement – je reste silencieux
- Et tu en fais quoi ?
Je n’avais pas prévu ça !
- Comment ça j’en fais quoi ?
- Oui une collection ?
- Non je les mets.
Et là, l’engueulade en règle, les mêmes termes que Blue Lola, et je savais qu’elle avait raison, je lui dis,
- On fait quoi ? dit-elle,
Sursaut de lucidité
- Je suis un soumis je dis...
- Ca ne m’arrange pas dit-elle
- Pourquoi ? ,
- J’ai épousé un mari pas un soumis...
- Oui je sais mais je ne veux pas te perdre,
- Donc ?
Là je ne comprenais pas !
- Que veux-tu lui demandais-je ?,
- Moi rien, c’est toi qui veut être soumis, pas moi
Elle avait encore raison bien sûr.
- Donc, je me soumets à toi, tu es libre de faire ce que tu veux..
- Libre ? –
- Oui libre ,
- Précises ,
- Libre d’avoir des relations sexuelles avec d’autres hommes, je ne peux pas te satisfaire comme mari, je suis un soumis, et je voudrais être ton soumis.
- Je veux bien t’aider -soulagement, moment de silence- j’accepte me dit-elle.
Je n’en croyais pas mes oreilles.
- Mais tu laisses mes culottes tranquilles
J’ai promis...
Voilà, ça y était tout commençait. Je pouvais masser ma Reine, les pieds chaque soir, parfois son corps quand elle en éprouvait le besoin, et je devais, elle me l’avait demandé montrer que je voulais me soumettre à elle, en effectuant des tâches.
Ce fut long, mais je m’y suis mis.
Petit à petit avec plus d’ardeur, puis j’ai créé la carpette, ma Reine m’ayant dit que ce serait bien, que cela m’aiderait, qu’il y avait des choses que les autres devaient savoir, que je serais utile aux femmes comme elles, et aux hommes comme moi.
J’étais d’abord réticent, mais je finis par me rendre à l’évidence, cette forme d’exhibition me convenait. Je pense aujourd’hui que ma Reine savait ce qu’elle faisait.
La dynamique, la situation s’approfondissait. Restait l’amant.
J’avais cela en tête, souvent. Je lui en parlais. Elle ne repoussait pas le sujet, répondait simplement :
- Ce n’est pas le moment
Un jour je lui adressais un message lui demandant la signification de - ce n’est pas le moment. . réponse sobre :
- Tout simplement tu n’es pas prêt. .
Je fus satisfait de cette réponse, je pensais souvent qu’en fait elle attendait que je redevienne normal. Je le lui dis.
- Mais non, tu es bien un soumis, mais on ne passe d’un claquement de doigts d’avant à après. Tu ne dois plus être jaloux.
Message reçu...
J'ai travaillé sur moi-même. Je m’efforçais de le lui montrer.
Le Saint Graal était à portée de main, je devais lui montrer ma volonté, ma constance.
Et un jour :
- Tiens j’ai eu un message de Frédéric.
Je n’ai rien dit, je pensais Frédéric qui, mais je n’ai rien dit. Puis le lendemain, ou le surlendemain : - Frédéric m’a dit…
Encore rien dit. J’ai attendu le lendemain, et dans un mail je lui dis : « Je ne veux pas paraître lourd, ni jaloux, mais tu as évoqué devant moi Frédéric, de qui s’agit-il ?
Une réponse simple à sa manière : « un ami de jeunesse au lycée – et lorsque je dis ami, c’était mon premier petit copain, on a toujours adoré faire l’amour ensemble, et même quand j’avais d’autres petits amis, on continuait à le faire » .
Vous imaginez la scène. J’étais certain. Mais je ne voulais pas trop en faire.
Comment ai-je répondu exactement, je pourrais faire l’effort de m’en souvenir, ce qui importe, c’est que je me trouvais langue pendante, ça y était, un amant potentiel, pas imaginaire, un vrai de vrai avec une queue, et qui lui répond.
Quelques jours plus tard, le ballet des « Frédéric » continuant, je reçois un mail de ma Reine dans l’après-midi « Je vais voir Frédéric après-demain, tu devras t’occuper des enfants, comme il a loué un gîte rural, je dors là-bas c’est plus pratique et je n’aime pas conduire la nuit »
Infernales quarante-huit heures transformées en soixante-douze, j’avais sous estimé le lendemain. En route j’avais perdu mon fantasme de la voir faire l’amour avec un amant. J’étais d’accord pour tout, prêt à tout, pourvu qu’elle ait un amant.
La fin de journée atroce, avec quelques masturbations à la clé, le lendemain j’ai rongé mon frein, surtout ne rien dire, ne rien faire qui compromette la nuit avec son amant, futur amant, mais en suis-je bien sûr ? le jour J de la nuit en question, docilité, douceur, gentillesse toute la panoplie sans exception. Avant son heure de départ, un mail : «  Je te souhaite une très bonne soirée ma Reine, je t’aime, prends du plaisir ». La réponse « Merci je t’embrasse »
Si elle m’embrasse c’est sûr, ils vont faire l’amour.
Le soir, occupations routinières dont le repas des enfants, le soir la télé sans la voir, je bandais comme un turc, je me suis branlé, une fois, deux fois, sans éjaculer, je ne voulais pas, je voulais sentir ce moment, le vivre pleinement.
Vers 22H30 au lit, un policier, que je n’arrive pas à lire, je m’endors, 23h probablement, je me réveille, 0h24 : ça y est, elle jouit me dis-je, je n’arrive pas à me rendormir jusque vers 1h passée.
Lendemain matin, la trique. Je bande. J’aime trop ça. J’espère être cocu. Je veux l’être. 10h pas avant un SMS : « Je rentre »... Rien de plus.
Charbons très très ardents, pas de branlette, je veux rester l’esprit clair, et surtout voir et revoir les images de sa queue qui s’enfonce en elle. 13h j’envoie un email «  Alors ma Reine ta soirée s’est bien passée ? » Rien. Je regarde en permanence ma messagerie.
15h15, ça y est, là devant mes yeux, la réponse. J’ouvre. Je lis : « Bonne soirée, restau nous avons fait l’amour » Je suis heureux, j’en gicle illico, là derrière le bureau, j’essaye de retenir, pas maintenant, là ici au bureau, discrètement direction toilette, je m’arrange comme je peux, j’ai joui, j’ai les jambes qui flageolent, la tête qui tourne, retour bureau, je réponds
- je t’aime ma Reine, heureux que tu aies eue du plaisir
La fin de journée approche, je vais acheter les meilleurs chocolats de la ville, elle adore ça, et un bouquet de fleurs phalliques, obscènes, colorées, je rentre à la maison, je lui souris de tout mon amour, de toute ma soumission, je lui tends les chocolats et les fleurs, elle sourit, ses yeux verts scintillent, deux fois heureuses, par son amant, par sa carpette, et moi ça y est c’est fait je suis cocu, vivement la prochaine fois !
La naissance de La Carpette.

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Certains réalisateurs se privent 
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Sous toutes les coutures mêmes
Z'ont du pot les mecs... 


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Découvrez les aventures d'une salope 
qui s'assume et le raconte 
pour notre plaisir

La ''tournante'' avec la camionnette du chantier
Il y a quelques années, j’avais environ 50ans, de mes moments de drague précédent sur l’un de mes parkings préférés déjà évoqués, j’avais déjà à plusieurs reprises remarqué qu’une camionnette avec plusieurs ouvriers, s’arrêtait certains jours à peu près à la même heure, à proximité de mon endroit privilégié, pour un arrêt « pipi ». Cette camionnette équipée genre mini bus, véhiculait incontestablement des hommes du bâtiment, en provenance d’un chantier de la capitale et retournant en province.
Quoi qu’il en soit, en ce vendredi de mai déjà très chaud pour la saison et de bon augure pour l’été à venir, donc propice aux exhibitions, je m’y trouvais en maraude et bien entendu, en très stricte tenue d’Adam à part de légères sandalettes aux pieds.
Mes légers vêtements étant cachés dans des branchages, tout proche de ma voiture. Mon sexe et couilles enserré dans mon appareillage perso de cockring (voir photos), je déambulais façon sioux dans les buissons car pas encore assez touffus, la verge tendue et fière, dans l’attente de chaudes rencontres, et néanmoins prêt à me cacher au besoin.
La circulation d’heure de pointe était très dense sur l’autoroute, chacun pressé de rentrer chez lui. Mais le parking encore assez calme, n’allait pas tarder à subir son affluence « d’amateurs » bien particulier. Ainsi presque en face de mon endroit, il y avait aussi un émule nu, que j’apercevais par moments venant en orée des bosquets pour observer les allées et venues. Lui-même, moins discret d’ailleurs et que je connaissais de vue, ne m’avait même pas aperçu.
D’une alerte par le passage d’un véhicule de tuniques bleues quelques 10’ plus tôt et par expérience, je savais maintenant être tranquille un bon moment, à ce propos. Trop occupés par la circulation, ils ne reviendront plus de ces instants-ci. Les sens malgré tout toujours en éveils, les mauvaises surprises pouvant survenir à tous moments.
Comme le confrère d’en face, je venais par instants en lisière des fourrés observer les alentours, lorsque soudain la fameuse camionnette, s’arrêtât presque face à moi. Surpris à mon propre piège, plus de retraite éventuelle possible vers mes effets, ceux-ci se trouvant à l’opposé.
Aussitôt 5 hommes d’âge variés en descendirent pour, en large arc de cercle sur la pelouse rêche, procéder à leur arrêt pipi. L’un presque face à moi, à moins de 2 m et parlant à son copain la tête tournée sur le coté, ne pourra pas ne pas m’apercevoir lorsqu’il regardera devant lui. Impossible. Seul quelques branches aux feuilles éparses nous séparent. Soudain pour se rajuster, me voit et, étant immobile, m’enhardi alors néanmoins fièrement avec ma hampe super tendue en faisant encore un pas en avant, presque en dehors des buissons pour y être ainsi certain d’être vu en érection dans ma nudité la plus totale, en invite non déguisée. Ameutant et alertant aussitôt les autres hommes de la présence d’un exhibi-voyeur, s’avance promptement dans ma direction.
A ce moment, plus d’échappatoire possible. L’instant que je suscitais et avais finalement provoqué étant arrivé, je fis front à l’assaut imminent, mais pour plus de discrétion reculais néanmoins de 2-3 pas dans les fourrés et attendis leur rapide arrivée. Me rejoignant très vite en totale érection maintenant, son sexe rigide et turgescent en main, il me caresse une fesse, marquant un temps d’arrêt de quelques secondes pour me contempler complètement nu, me féliciter à la fois de mon indécente et de ma proposition leur ainsi offerte. Me disant que j’allais donc en avoir pour mon compte !
Aussitôt une main posée fermement sur la nuque, plus en obligation qu’en invite d’ailleurs, m’oblige immédiatement à me plier pour l’engloutir. Forçant mes lèvres, il m’envahi illico le gosier tout entier. Pas très gros, je suffoquais néanmoins sous la précipitation de l’attaque. De la pose ainsi penchée et non équivoque que je pris ostensiblement avec mon derrière présenté de façon très impudique avec les jambes admirablement écartées, bien vite le gland d’un 2e homme, se pressa sur mon anus. Ma rondelle lubrifiée à l’avance et s’évasant à souhait, cette pine y fut engloutie spontanément à fond de culée. Se cramponnant alors dans mes hanches il attaqua sauvagement une chevauchée d’enfer, et en quelques coups trop rapides, éjacula son sperme brulant au fond de mes entrailles.
Subitement entouré par tous ces hommes attroupés, auxquels se joignirent encore le chauffeur et 2 autres restés à l’intérieur du véhicule, une nuée de mains se pressèrent sur tout le corps, me caressant et me  palpant sous toutes les coutures.
Entouré par tous ces rustres males en rut toutes bites dehors, maintenant excités comme pas possible par ma tenue et l’offrande volontaire que je leur faisais de mon corps, j’allais maintenant puisque je l’avais cherché et voulu ardemment, leur servir en hommage de vides couilles. Il devrait certainement m’en cuire sévèrement par de véritables viols si je voulais à présent m’échapper ou seulement vouloir arrêter, avant que tous n’aient eu le temps de décharger leurs couilles. Je restais donc bien coi, préparé à ne refuser aucunes de leurs envies, a subir toutes leurs outrances et excès. Pourquoi devrait-il avoir violence de leurs parts puisque je suis consentant ? Je suis là pour cela. Peut-être brusquerie sous leurs précipitations, mais bon ça fait pas de mal.
Crachant soudainement le jus que le 1e venait de gicler dans ma bouche, deux autres queues prirent aussitôt possession des trous laissés trop brièvement libres.
Celles-ci beaucoup plus grosses m’envahirent impitoyablement pour, elles aussi entamer leurs va et vient interne. De la bouche, et me tenant la tête agitée les mains plaquées aux oreilles, celle-ci cognait le fond de ma glotte, écartelant mes mâchoires à outrance. Du derrière, des râles de satisfaction m’indiquèrent déjà la libération rapide et imminente du pseudo violeur. Une autre tige impatiente tentât même de forcer mes lèvres pour envahir ma cavité buccale alors qu’elle était toujours toute entière occupée par la grosse queue précédente. S’astiquant impatiemment le chibre et se frottant sur mes lèvres, pendant que je suçais son copain, il arriva ainsi à éjecter inutilement sa semence sur ma joue. Celle en bouche finissant très vite elle aussi à me gicler tout son foutre profondément dans la gorge, inondant mes amygdales.
A peine retiré de mes sphincters, une nouvelle bite en pris l’assaut avec force, tout comme ma bouche d’ailleurs, à nouveau appropriée par une juvénile queue, fine mais très longue.
Eux aussi entamèrent de furieux mouvement alternés et véloces, comme pressés d’en finir au plus vite. Mon conduit culier ramoné de ces façons rudes et coriaces commença à crier sa douleur. Bien vite celui qui l’occupait m’inonda à nouveau les intestins à brusques coups énergiques. Secoué et ballotté rapidement en tous sens par ces hommes, ils me passèrent ainsi tous sur le corps, ou plutôt dans le corps, en quelques minutes à peine, chacun à leur tour. Tourbillonnant du cul sous leurs injonctions pour être fesses à l’enculeur, encerclé par tous, mes globes charnus étaient ainsi rapidement présentés de l’un à l’autre, cajolés et envahis. Une dure claque, parfois. Par moment tout en suçant la pine que j’avais en bouche, je pouvais observer les alentours sous un angle de vue plutôt restreint. C’est ainsi qu’à un moment donné que je vis l’un d’entre eux, d’age plus que mûr, face à moi, et de type forcément étranger, genre turc ou arabe, attendant calmement son tour, s’enduire la hampe et le gland d’une crème blanche.
Heureux présage et surtout prudent ! Car il était tout simplement énorme. Bien plus gros en diamètre que les bouteilles d’eau minérale de 50cl que j’utilise généralement en entraînement, mais aussi très long.
Ayant déjà reçu de très gros diamètre dans le fondement, et même fisté à de nombreuses reprises, cela ne m’inquiétât pas outre mesure. Hormis la précipitation subie depuis le début, je n’en retirais pas encore vraiment beaucoup de plaisir. Seule satisfaction comme je l’avais voulu, le nombre de prises et être manipulé rudement.
Celle-ci allait au moins m’en procurer !
La place anale se libérant après la satisfaction du dernier enculeur, il prit position derrière moi. D’une seule et hâtive poussée, il s’enfonça instantanément l’immense queue entre mes fesses écartelées à outrance, durement malmenées depuis le début. Solidement maintenu par toutes ces mains m’entourant, je ne pu plus bouger d’un seul cm et endura cet assaut agressif, en poussant un cri étouffé par une nouvelle queue entrée férocement en bouche.
Un suave parfum noisette renforcé d’ailleurs d’un peu de crème anale, m’indiqua sans hésitation possible, que celle-ci sortait de mon adorable cul. Je m’en pourléchais les babines.
Instantanément une violente et interne brûlure anale, me fit gigoter en tous sens, voulant ainsi échapper à cette énorme étreinte quasi contre nature, tant elle était disproportionnée. Mais profondément fiché en moi, vigoureusement encerclé comme je l’étais, mission impossible. La raison était tout autre. La brûlure anale était atroce. Cramponné dans mes chairs il me ramonait la cheminée avec furie. Cela dura de longues minutes durant lesquelles, il me secoua à grands coups de pistonnages, lorsqu’ enfin, il me noya les entrailles en poussant de longs gémissements. Se retirant enfin avec un étrange bruit de succion, comme une bouteille de champagne qui saute, je senti aussitôt les dégoulinades de spermes le long de mes jambes et m’avachi accroupi au sol, épuisé, crachant et toussotant. L’anus littéralement en feu, je compris alors, qu’il s’était enduit la queue de baume ou crème réchauffante utilisée pour les massages musculaires sportifs.
Ainsi en moins de 20 voire 25 minutes toutes au plus, ils déchargèrent tous leurs testicules dans mes entrailles que je leurs avaient offertes complaisamment.
Plusieurs s’étaient déjà éloignés et les derniers après s’être rajustés, pratiquement sans un mot, à part me demander si l’on se reverra, rejoignirent la camionnette me laissant là, recroquevillé au sol, pissant du cul tout le foutre qu’ils y avaient introduis à la chaîne. En démarrant, me firent au revoir, heureux du bon moment passé. Et pour cause ! Ben tiens !!!!
Mon derrière brûlant de douleurs d’avoir été malmené si vigoureusement en très peu de temps, criait son martyre à travers mes chairs. Mais j’étais super content. Content et heureux, prêt à recommencer d’ailleurs. C’est qu’ainsi que joignant enfin l’endroit où se trouvaient mes vêtements, les jambes flageolantes, j’y restais un bon moment, pour encore servir de vide couilles à 3 autres hommes y arrivés individuellement par la suite, ne pouvant évidemment deviner ce qu’il s’y était passé peu de temps avant. J’étais donc super satisfait de ma journée.
Content non seulement du plaisir à vouloir m’exhiber de la sorte, de m’offrir ainsi de cette façon comme vide couilles et subir des pénétrations à la chaîne, content aussi d’avoir vaincu mon anxiété d’affronter plusieurs hommes à la fois, content donc des étreintes passives subies.
Et, la semaine suivante ainsi que durant celles des mois qui suivirent à chaque fois le vendredi, je retrouvais avec ravissement cette camionnette, pas toujours avec les mêmes hommes ni d’ailleurs en même nombres. Parfois 1 ou 2 de plus ou de moins, mais toujours des possessions intenses, rapides, librement consenties et non cruelles, - ils l’avaient d’ailleurs bien compris, sinon je n’aurais plus été là -, aussi majestueuses, rapides et expéditives. Puis un beau jour…plus de mini bus, sans doute d’autres chantiers…Dommage.

L'âne de mon coiffeur
Je piaffais d’impatience durant toute cette semaine, pressé d’éprouver cette nouvelle expérience contre nature et surtout non conforme par sa taille. Appréhendant cet instant, plusieurs jours de suite, je m’y préparais avec soins en m’engodant longuement à l’aide de grosses bouteilles de plastique, de façon à apprêter mon anus à cette dilatation extrême et profondément à l’aide de tube de mousse d’isolation, comme évoqué dans d’autres articles.
Ayant déjà été fisté à plusieurs reprises, ce n’est pas tant la grosseur en elle-même qui m’inquiétais vraiment, mais surtout la vivacité de l’animal. Allait-il pouvoir forniquer calmement sans coups de sabots ou autres ruades ??
Donc le lundi arrivé, je m’y rendis très vite, légèrement vêtu- quasi nu, comme à mon habitude. Sitôt parvenu, nous nous rendons dans le donjon, où il m’ordonne illico de me mettre à poils.
Lui-même fait pareil et revêt une sorte de grande cape noire que je lui connais. J’en bande énorme avec mes cockring sous l’envie pressante. Me félicite et me flatte pour ma propension et mon flegme. C’est presque la 1e fois, que je le vois à poils.
De là, nous nous dirigeons vers un appentis extérieur attenant à l’étable, sans crainte de regard indiscret de voisin, l’agencement des lieux ne le permettant manifestement pas. L’endroit 3 m sur 4 environ, ouvert au vent sur un grand côté, est couvert d’un toit ondulé. Une auge d’un coté, des ballots de foin et fourrage sur l’autre. De la paille recouvre le plancher, et là au centre de cette arène improvisée, il place un étrange banc plus haut sur pied d’un côté, avec une découpe en son centre pour ne pas s’y écraser le sexe. L’âne devinant déjà sans doute la suite des évènements, est là à quelques mètres, apparemment très calme. A part son immense engin, noir luisant, en partie couvert de poils, pendouillant mollement sous son ventre, il parait trépigné d’impatience.
« Il est toujours comme ça » me dit mon Maître. Je scrute cette matraque gigantesque en grosseur et longueur, palpitante et dodelinante, qui va bientôt m’empaler. Un manche de pioche ou une batte de base ball à coté, paraîtrait presque ridicule.
D’un geste docte de la main, il me convie enfin à prendre place sur ce trône de supplicier. Je dois m’y mettre à califourchon et à m’aplatir plat ventre sur le plateau, avec le derrière dirigé vers la partie haute. Ma queue se place tout naturellement dans la découpe y aménagée.
Un grand panneau de bois, est alors placé par dessus moi et destiné à me protéger des sabots du bestial. Une toile me protège encore le dos, d’éventuelles griffures.
Ce qui fait que maintenant mon entrée anale se trouve ajustée à quasi même hauteur que le sexe de l’âne, qu’il vient de positionner derrière moi, après m’avoir copieusement lubrifié le croupion, ses pattes avant raclant le bois au-dessus de moi. Le bestiau piétine de précipitation, son engin flagelle mes jambes et se frotte sur mes cuisses. Je commence à m’affoler et crains le déchirement de l’anus sous la brutalité de l’invasion. Dirigé de mains de …Maître, (c’est le cas de le dire) sa queue monstrueuse pour taille humaine, se positionne brièvement sur mon sphincter qu’instinctivement et brusquement, d’une unique poussée prodigieuse, il m’envahi copieusement le rectum sans la moindre hésitation. Bizarrement, je n’en ressens pas plus de mal, que cela.
Toutes paniques promptement envolées, le moment crucial passé, mes tremblements cessent comme par magie.
Poussant tant et plus, il rue, tortille et me comble rudement les entrailles d’un sexe moins gros que je ne le croyais au départ, et beaucoup moins dur aussi, à tel point qu’assez mou d’ailleurs, à culée au fond de mes viscères, je sens ce braquemart bifurquer subitement sous ses coups violent, progresser ainsi très loin dans l’entrée de mes intestins, et m’envahir le côlon descendant. Cela n’est tout simplement pas possible, j’ai une queue de 40 cm de long et de 6-7 cm de diamètre profondément fichée dans le cul ! Inouï et sensationnel. Mais quelle fabuleuse saillie. Je ronronne de bonheur et geins de plaisirs prodigieux jamais atteins auparavant. Je me trémousse en tous sens, savourant l’instant magique que je suis en train de vivre, faire durer cette plénitude le plus longtemps possible. Ce ténesme avec mon anus écartelé à outrance et vigoureusement martyrisé, est à son paroxysme. Ses poils rêches me raclent durement les fesses et me liment l’entrée culière, que je vais avoir en sang si cela continue de trop. Ce n’est pas tous les jours qu’il sera faisable de reproduire pareille insémination. Me saisissant des fesses à pleines mains, je tente inutilement de les écarteler d’avantage pour qu’il entre encore et encore. L’âne prodigue des ruades d’enfer, malgré tout très bien supportées étant donné la rudesse de l’assaut.
Mon Maître calme et jugule quelque peu l’animal, au demeurant très docile, habitué à ce genre de fécondation. Il a manifestement déjà dû en voir passer beaucoup sous lui, pour être aussi discipliné. Il gigote de l’arrière train, fornique toujours tant et plus. Je m’accroche au banc tant je suis secoué en tout sens, ses testicules cinglant avec force mes cuisses.
Je m’inquiète auprès de mon Maître, de sa disponibilité à éjaculer et lorsqu’il va y arriver, de sa quantité.
« T’inquiète pas, quelques secondes encore, et cela va te ressortir par les oreilles !!! »
En effet, soudain j’ai la très mauvaise sensation que l’on me vide du plomb fondu directement dans les entrailles. L’animal se frétille et se vide les énormes couilles en m’emplissant les intestins. J’en ai la nausée. Entre mes fesses, je sens que mon Maître assiste l’âne en continuant de le masturber partiellement et en le retenant pour qu’il ne se retire trop vite de mes chairs.
Qu’il en profite encore jusqu’au bout et moi aussi. Je me sens les boyaux inondés, par de gluantes semences et des dégoulinades de trop plein se font ressentir sur mes jambes. D’ailleurs, il ne débande pas et cogne encore dans mes viscères, avec de curieux bruits de succions et de clapotis incongrus. Plus serein à présent, l’âne n’en continue pas moins son limage méthodique de ma rondelle anale, lubrifiée comme elle ne l’a jamais été.
Maintenu en position idoine par mon Maître, celui-ci m’ordonne à présent de me branler sans tarder. J’ai à peine le temps de me prendre en main, que déjà je joui à grosses giclées. Divinement. J’en ai l’anus qui se resserre d’avantage autour du zob animal. Il joui encore le bougre me semble –t-il, toujours tenu en place dans mon conduit anal par mon Maître. Enfin, avec un énorme bruit de succion, comme une bouteille de champagne qu’on ouvre, il se retire de mon antre. Heureusement que je suis étendu sur ce banc, car je crois que j’en serais tombé à terre, inanimé. Des étoiles de syncope me pétillent dans les yeux. Oufti mé qué bé fait !! Tout cela a-t-il duré plus de 2’ ?, 3’ maximum, mais quel pied !!!
Les jours suivants, les fesses et l’anus endolori, se rappelèrent souvent à mes souvenirs. Mais quelle expérience, que j’acceptais bien volontiers de reproduire plusieurs fois de suite durant les mois suivant.
Certaines fois, un public restreint est présent. Adeptes et partisans du Maître voisins du donjon, nous sommes quelques fois ainsi à être 4 ou 5 à participer à ces séances parti cul ières. Libres d’y participer comme aide du Maître ou attachés, nous assistons impuissants attendant notre tour, aux supplices et autres tortures infligées aux autres. L’émulation faisant, que c’est à qui résistera le plus longtemps ou endurera avec flegme tel engin de martyre.
 

Les africains
Un jour, revenant d’avoir été cherché de la documentation de voyage dans un office de tourisme des environs, je décidais de passer par le quartier de Matongé de Bruxelles (quartier africain) avant de rejoindre la gare pour mon retour. J’aime bien passé par là, pour l’ambiance assez folklorique et particulière du lieu.
Comme il faisait très chaud, je décidais de m’attarder et de prendre une consommation dans un de ces typiques petits cafés.  J’entrais donc dans le premier venu et m’installais tranquillement à une table. Quatre noirs à une autre table, y jouaient bruyamment aux dominos, un autre avec un blanc discutaient accoudés au bar, une autre table occupée par un noir seul, tandis que le patron lui aussi noir essuyait des verres dans son comptoir. A mon entrée, la plupart me dévisagèrent comme lorsqu’un nouveau venu fait irruption dans un lieu.
Le patron ayant apporté ma commande, je me plongeais négligemment dans mes prospectus mais bientôt, la sensation étrange d’être épié et ausculté, celle d’un regard scrutateur posé sur vous, m’envahi. Relevant la tête, j’inspectais à la dérobée les alentours et constatais qu’il s’agissait du noir, seul à sa table qui me regardais avec insistance. Nos regards se croisèrent et il eu un petit sourire. Je n’y prêtais pas plus d’attention et me replongeais dans ma documentation mais toujours cet indéfinissable malaise d’être scruté. Durant les minutes qui suivirent, nos regards se croisèrent maintes et maintes fois, et toujours ce sourire un peu idiot. Mon verre presque vide, fut remplacé par le patron en disant m’être offert par ce noir.
Ma parole, mais voilà que je me fais draguer maintenant! Sans trop le vouloir, je lui fis signe merci et santé ! Par geste, il me demanda s’il pouvait se rapprocher, et n’ayant pas d’apriori, je fis oui de la tête.
Ainsi, durant près de 10’ nous parlerons de tout et de rien.
Sachant très bien ce que l’un et l’autre pense et envie de son vis-à-vis, il me propose soudain de le suivre chez lui, prendre un verre, habitant à quels que pas de là.
Sans hésitation j’accepte son invitation, et histoire de lui montrer que je ne suis pas dupe, lui dit tout de go que je souhaite qu’il soit bien « monté »parce que j’aime les gros calibres. Tout bas, il m’assure que oui, que je n’ai pas à m’en faire à ce sujet, qu’il en a une comme une pine d’âne, bourrée d’énergie prête à servir et me combler d’aise, que jamais plus je n’en verrais une pareille !
Vidant alors nos consommations, nous sortons du café et nous nous dirigeons vers un immeuble tout proche, de plusieurs étages divisés en plusieurs lofts ou studios, d’après le nombre des boites aux lettres. Arrivé dans son logement très rudimentaire (une grande pièce salon-chambre à coucher avec un coin cuisine, une petite salle de bain-toilette dans un autre coin dissimulé par un rideau), nous nous dévêtissions rapidement pour se coucher tête-bêche sur le lit.
Il me fait compliment de mon service 3 pièces enserré dans ses cockring et de mon pubis totalement imberbe.
J’en fais de même pour lui, car effectivement, c’est un vrai âne en rut. Une queue noire luisante, tendue à l’extrême. Enorme, plus de 6 cm de ǿ et d’une longueur…assez démentielle ! Ses poils denses et crépus, sont rêches au touché.
Je crains cette bite et l’envie tout à la fois. Déjà, je l’empoigne et tente de me l’introduire en bouche, je dois écarteler les mâchoires de façon démesurée. J’y parviens enfin et suce avec délectation cette pine africaine au gout étrange, que je m’enfonce aussi loin que possible dans la gorge évitant de m’étrangler. Il me fait pareil et me pompe avec ardeur. Sous l’appétence j’en suis déjà presque à éjaculation que je me retiens avec force. Heureusement, bien vite il me fait mettre à quatre pattes, lui offrant ainsi mon derrière, objet de sa convoitise.
Me positionnant correctement, les jambes fort écartées, le derrière détendu, dans une posture plus qu’indécente en d’autres lieux, j’attends son assaut qui ne s’aurait plus tarder. Il prend la précaution de m’enduire l’anus de crème lubrifiante et puis … se positionne dans l’axe, son énorme gland prenant appui sur ma rondelle. D’une seule brutale et violente poussée, une seule !, le voilà brusquement tout en moi, de tout son dard rigide planté profondément dans mes fesses au fond de mon rectum, sur lequel je le sens venir buter. J’en pousse un cri de douleur sous la rudesse de l’intromission, bien vite remplacé par cette sensation de bonheur et d’extase. D’abord lentement puis de plus en plus vite, il entreprend une chevauchée dantesque, me ramonant le conduit culier sur toute sa longueur. De part sa grosseur, je me fais l’effet d’un insecte épinglé sur une planche.
Soudain, toc toc, à la porte du logement qui s’ouvre à la volée, n’étant pas fermée à clé. Un autre noir entre, et trouvant sans doute la situation tout à fait normale, venant voir au plus près, nous complimente, et sans aucunes gènes ou hésitations ni autres paroles, baisse son pantalon pour me présenter sa verge molle, de belle dimension quand même, sous le nez, de façon à ce que je l’avale. Ne pouvant me dérober, empaler comme je l’étais ni encore moins m’échapper à poils, j’ouvris la bouche dans laquelle il se rua. Moins gros que son copain, ce me fût plus aisé à l’engloutir. Me tenant la tête immobile entre ses mains puissantes posées sur les oreilles, il s’astiqua le chibre maintenant tendu, entre mes lèvres, son pote toujours planté dans mon derrière occupé à me limer la rondelle dont le ténesme atteignais son paroxysme. Fourrageant de toute la longueur de son épaisse hampe, il me bourrait le fion jusqu’à culée. Subitement par de violentes secousses, il se déversa à longs jets brulants de sperme dans mes entrailles. Se retirant aussitôt avec un bruit de succion, je dû néanmoins garder la pose, incapable de bouger à cause de la pine en bouche, mais surtout subitement maintenu par plusieurs paires de mains posées aux épaules, hanches et au dos.
En effet, c’est alors que je me rendis compte que par la porte restée ouverte, d’autres noirs étaient entrés dans la pièce. Sans doute 2 ou 3, je ne pouvais pas les voir, la tête toujours emprisonnée, les sons estompés par mes oreilles couvertes.
Le tam-tam a bien fonctionné, et le piège aussi s’il en avait eu un.
Je suis donc bel et bien pris dans la nasse. Chacun d’entre eux allant maintenant en profiter et me passer dessus, j’en suis certain. Ou plutôt passer entre les fesses.
Je serais donc involontairement leurs vides couilles. Combien y en a-t-il dans le bâtiment ?
Très vite donc, une autre queue m’investi vigoureusement les intestins pour, en quelques mouvements très rapides, y répandre sa semence presque en même temps que celle de celui en bouche. M’asphyxiant sous des flots sperme, je failli m’étouffer mais n’eu pas le temps de reprendre mes esprits ni même bouger, que de nouveau une grosse pine s’engouffra entre mes lèvres ainsi qu’une autre dans mon anus. Je sentais un trop plein suinter de ma rondelle malmenée, et s’écouler le long de mes jambes.
Cette fois aussi, ce noir en bouche ne bougeant pas, il se masturba en me tenant lui aussi la tête, qu’il me faisait aller et venir à son rythme. Me contentant de le tenir seulement bien serré entre mes lèvres, parfois il allait à fond de gosier pour se faire une gorge profonde. Cela n’était pas difficile étant donné la longueur généreuse de ces queues.
L’autre dans mon conduit culier, agissait comme s’il ne connaissait pas trop le chemin ! Une fois il allait de l’avant avec force et vigueur butant mes fesses, de l’autre il reculait lentement jusqu’à sortie! Et ainsi de suite durant de longues minutes. Il tentai de m’évaser davantage le croupion.
Tous biens nantis par Dame nature, ils me remplissaient néanmoins d’aise. Diable, je savais les noirs à se sujet bien pourvus, mais là…chapeau, cette fois j’en avais pour mon grade. Dans ce cas, l’on ne pouvait pas parler de viol proprement dit, mais qu’ils abusaient tout simplement de la situation présente !!!
Pour être comblé, ça je l’étais et cela ne me déplaisais pas, j’aime les tournantes, être pris par plusieurs à la suite, tant qu’il n’y a pas violence physique. L’émulation des uns et des autres, donne des ailes. Disons qu’il aurait été plus correct de l’annoncer, je ne me serais pas dérobé.
L’un comme l’autre, hâtivement y allèrent aussi pour leur distribution copieuse de jus gluant et chaud. De la bouche, sous la violence et la spontanéité des jets au fond de ma gorge, cela me ressorti en partie par les narines. Toussant et crachant, j’eu du mal à reprendre ma respiration. Du cul trop lubrifié, coulais toujours un trop plein de sperme.
Jusque là malheureusement, cela n’étais rien. Cela n’avait rien à voir avec ce qui allait maintenant m’arriver !!! Cette fois ça allait être du copieux, j’allais l’apprendre hélas à mes dépens.
Car soudain en effet, toujours à quatre pattes, plusieurs mains me firent tourner comme un rôti au four, pour me mettre à plat dos. Et c’est alors que je "Le" vis devant moi.
Un géant de bien 2m de haut, à poils total, un sexe de taille normale pour lui, mais immense pour nous.
Au moins 25 cm de long et 7-8 cm de ǿ, rigide comme une barre à mine tendue à l’horizontale. Redoutable de puissance et impressionnant.
Ses copains, me plaçant sur le bord du lit, disposant des coussins sous mes fesses pour être plus à hauteur, me remontant les jambes sur la poitrine, les pieds vers le plafond et me tenant négligemment fermement à plusieurs, j’étais incapable de bouger et ne pouvait qu’attendre cet outrage excessif, que je le veuille ou non. De part la position dans laquelle je me trouve fermement maintenu immobile, le cul gluant offert, cela ne pourra être cette fois-ci, qu’un vrai viol si je tente un tant sous peu de vouloir résister.
S’approchant avec un petit sourire sournois, le tuyau tendu à l’horizontale, il pose son gland pointu démesuré sur ma rosette, croche ses mains dans mes cuisses levées, s’arc-boute et … pousse doucement allant de l’avant.
La douleur de la pression se fait déjà forte sous cette épreuve. J’ai envie d’hurler, qu’il stoppe, que jamais cela d’une telle dimension, ne rentrera complètement. Il va me déchirer les muscles anaux !
Mais non me dis-je, je sais que c’est parfaitement possible. En bien d’autres occasions, je me suis engodé avec des flacons en plastique de diverses dimensions et diamètres bien comparables, et même été fisté vigoureusement à plusieurs reprises.
Mais là cette fois, c’est tout différent !
Mais il n’en a cure, pousse et pousse encore, je sens ma rondelle heureusement huilée à profusion, comme l’obturateur d’un appareil photo, qui lentement s’évase tant et plus, libérant le passage dans lequel il s’engouffre petit à petit. Une fois passé la barrière anale, oh miracle. Je n’en crois pas mes yeux, bientôt le colossal gland s’est frayé un chemin dans mes chairs. Il force toujours et je ne résiste pas, me détendre me dis-je. Je regarde médusé et stupéfait cette gigantesque queue qui maintenant, petit à petit progresse en moi. Il force encore et avance mm par mm. Un véritable pieu pour m’empaler, à l’instar du supplice du pal de jadis. Heureusement que la lubrification, due aux prises précédentes a été généreuse.
Je me crois les sphincters déchirés tant la douleur est démesurée. L’anus écartelé à outrance, enfin la détente musculaire bienfaitrice ! Le rectum pouvant, lui, se dilater bien d’avantage encore. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il poursuit son avance et enfonce son énorme hampe dans mes fesses. Je le sens atteindre de son engin disproportionné, le fond du boyau. Il est brulant et m’envahi malgré tout divinement bien comme jamais je ne l’ais été en réalité. La douleur de l’emprise fini doucement par s’estomper pour faire place à une sensation de bien-être divin malgré la monstruosité de l’engin planté dans mes chairs.
Entamant alors une cavalcade genre rodéo, je suis secoué vigoureusement d’avant en arrière malgré que je sois toujours maintenu cloué au lit par de nombreuses mains. Je le vois sous le nez, entrer-sortir, l’épaisse hampe luisante de sperme et de crème anale, que c’en est insensé comme vue, j’en suis littéralement fasciné.
Je bande dément par la force des choses, ma pine pointe le plafond, elle aussi plus grosse que jamais. J’en suis moi-même tout confus. Libre des mains, je me caresse. On me tord les seins, me câline de partout. Un noir me saisi à pleine main pour me masturber que j’en oublie momentanément le mal au cul tant mes fesses sont écartelées et mes entrailles envahies.
Soudain d’un retrait trop hâtif, le voilà dehors ! Sa pine semble plus grosse encore, se dresse brièvement comme pour un salut, reprend son horizontalité.
Et puis…me réinvesti férocement le fourreau d’un seul mouvement jusqu’à culée, m’arrachant un cri de douleur sous la brusque prise.
Lime quelques coups et …ressort, pour me réinvestir à nouveau sauvagement. J’ hurle qu’il arrête mais poursuis sa torture.
De nouveau quelques coups à butée et ressort.
Pour réintroduction brutale et méchante. Douleur fulgurante.
Ma parole, mais il le fait exprès.
Un autre noir dispose un coussin sous ma nuque qu’il me tire en arrière. Glissant un doigt entre mes lèvres, me fait ouvrir la bouche. Pour être investie à fond de gosier par la queue d’un noir monté accroupi sur le lit. Mon champ de vue est subitement restreint.
Je comprends, mais il est bien trop tard, qu’il s’agit d’un jeu pour eux et surtout pour mon enculeur, que c’est maintenant un quasi vrai viol. Son plaisir sans doute est de me voir souffrir, d’avoir mal. Je ne peux leurs échapper, solidement rivé entre ces mains robustes. Mon anus irrité par ces pénétrations brutales et barbares à répétitions, crie sa souffrance. Les larmes m’en montent aux yeux, Diable d’homme, quand vas t-il jouir, que cela puisse s’arrêter.
Ce fut hélas encore comme cela pendant plus de 5’, chaque réentrées cruelles me fait envie de crier de douleur, mais impossible avec cette bite plantée dans le museau. J’en oublie même le noir qui me branle toujours l’érection démente. Soudain, les amygdales inondées, je ne peux que déglutir !
Quand, je sens les mains de mon violeur se crisper dans mes cuisses, ralentir sa cadence, je devine qu’il arrive enfin à jouissance. Que celle-ci qui lui monte des entrailles, lui sera sublime et salvatrice. Pour moi aussi.
En effet, pour être copieuse, elle fut plus qu’abondante. Dire que je suis inondé, est peu dire. Je cru qu’il me remplissait les intestins avec sa lance à incendie, que cela allait me ressortir par la bouche, et à la fois par le nez et les oreilles, tant il fut copieux. Son sperme s’écoule par mon anus brulant. Bien bouter dans mes profondeurs, il garde la pose sans défaillir. C’est à mon tour de jouir, je la sens monter irrésistiblement de mes reins, elle va fuser avec force. La délivrance merveilleuse.
Je joui avec puissance. Mon 1e jet monte à une hauteur quasi inimaginable et retombe en pluie sur mon ventre et les couilles. De jets interminables, le noir me secoue toujours la verge pour en extraire les dernières goutes. Enfin, doucement l’enculeur se retire de mes tripes, sa queue n’a presque pas changé de volume. Enfin ils me relâchent de leurs étreintes, je suis littéralement vidé de toute énergie, ne sachant plus bouger ankylosé par la pose longtemps tenue. Quand finalement je puis me redresser, la tête me tourne un peu et la plupart des noirs ont disparu. Reste seulement mon inviteur et celui arrivé en premier. Ils me félicitent et me congratulent pour ma performance, et mon cul accueillant.
Ben tiens justement, il me fait un mal de chien celui là. Mon anus malmené de cette façon, mettra certainement plusieurs jours à s’en remettre. D’un verre bienfaiteur et rajusté, m’en allais d’un pas mal assuré. Je marchais quasi comme un canard, tant la gène culière me faisait mal.
Mais s’avez-vous la meilleure d’entre toute ? C’est que dans l’aventure, j’égarais ou perdis ma documentation de voyage. Je dû ainsi revenir le lendemain à cet office de tourisme, et bien sûr, par pur masochisme repassais par ce même café. Où…, je retrouvais le noir qui m’avait "invité" la veille.
Naturellement, l’on remit le couvert. Cela ce passa quasi pareil, même nombre que la veille, sauf que le géant n’était pas là ! Heureusement, ou dommage! Mais quel plaisir.

Vous pouvez lire toutes ses aventures sur son blog:
http://exhibsmriccardo.erog.fr/

Sont à nouveau sur le marché. Qui veut en profiter... Rediffusion

Un dimanche de brèves

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Tous les lieux sont propices à découvertes...
Consenties.....

 Vieux pervers et ma copine
Hello, Mon nom est Julien et je vais vous raconter l’histoire absolument véridique qu’il m’est arrivé avec ma copine Laura. Laura et moi, ça fait un an que l’on est ensemble. On s’est rencontré à l’université car on est dans la même faculté de droit, on a tous les deux 20 ans et on est un joli petit couple comme on nous le dit souvent.
Elle est châtain claire, mesure 1 mètre 68, est assez mince, elle a de joli yeux bleus, de joli petit sein et une jolie paire de fesses. Sur le plan sexuel, on s’est tout de suite entendu, j’étais son premier homme et elle est vite devenue accro au sexe. Ce jour là, on était allé voir un match de hockey, un match important de play-off que je ne voulais louper pour rien au monde.
Laura n’aime pas trop venir au match avec moi, « une bande d’hommes stupides bourrés de testostérone qui supportent une dizaine de bûcherons patinant après un bout de plastique » dit-elle, elle était donc venue à contre cœur, ou plutôt pour passer du temps avec moi, car c’est vrai qu’à cette époque, nous n’avions pas beaucoup de temps à nous, à cause des cours.
Nous avons donc pris le train, puis le bus jusqu’à la patinoire où avait lieu le match. Laura était habillée d’un pantalon noir moulant ses jolies fesses et d’un pull colle roulé car il faisait un peu froid dans la patinoire. Je dois dire qu’elle était très sexy et que beaucoup d’hommes l’ont regardé.
Il y avait déjà beaucoup de monde qui faisait la queue pour entrer dans l’enceinte, ce qui mit ma douce moitié d’une humeur plutôt mauvaise. C’est pour cela que quand nous sommes enfin entrés, elle a voulu directement aller s’acheter des cigarettes et s’acheter à boire.
Evidemment qu’il y avait de nouveau la queue, c’est pour cela que nous avons pris directement 3 bières chacun afin de ne pas revenir à chaque pause. Nous sommes ensuite aller dans les gradins, nous étions à des places debout.
Vu que le match était important, la patinoire était pleine et nous étions tous serrés. A côté de nous, il y avait un homme d’une cinquantaine d’année et sa fille qui devait avoir à peu près notre âge, les deux semblaient être de fervents supporters. L’homme semblait déjà avoir un peu bu vu l’enthousiasme avec lequel il parlait à sa fille, mais sans être ivre.
Laura, elle de son côté, avait bu ses 3 bières en à peu près 10 minutes et le sourire lui revenait gentiment. Nous nous fîmes un tendre baiser et la bonne humeur était revenue.
Le match commença, notre équipe dominait et le public était très agité. Après une dizaine minute de jeu, le premier but arriva, les supporters exaltaient, les gens se serraient, sautaient, nous étions comprimé les uns contre les autres et c’est à ce moment que je vis l’homme effleurer les fesses de Laura.
Il n’a sûrement pas du faire exprès me dis-je. Je demandais à Laura qui me dit qu’elle pensait également qu’il n’avait pas fait exprès. Nous nous sommes embrassé et le jeu a repris.
Le deuxième but arriva immédiatement après le premier ce qui déclencha une nouvelle cohue. Nous étions à nouveau balancés les uns contre les autres. Je vis à nouveau l’homme effleurer les fesses de Laura comme si c’était involontaire mais cette fois il le fit plusieurs fois de suite. Il n’y avait plus de doute, ce n’était pas tout à fait involontaire.
J’étais un peu jaloux mais très excité par la situation, je sentais mon sexe grandir dans mon caleçon. Laura me regarda et me dit :
- On peut échanger de place, le vieux en fait il fait exprès de me toucher les fesses ».
Et c’est là que je ne sais pas pourquoi, l’excitation et l’alcool je suppose, mais je lui glissais à l’oreille :
- Non, reste ! Moi ça m’excite »
Ces mots sont sortis tout seul de ma bouche comme s’ils s’étaient échappés, je ne revenais pas de ce que je venais de dire. Laura me regarda un peu bizarrement mais resta à sa place. Le match avait repris, toujours avec autant d’ambiance dans le public.
Moi, de mon côté, j’avais de la peine à me concentrer sur le match car je n’arrivais pas à décoller mes yeux des fesses de ma chérie. Je m’imaginais les mains du « vieux » se poser à nouveau sur ces deux formes, Jamais avant je n’aurais cru que de voir Laura se faire tripoter m’aurait excité et en plus à ce point.
Un supporter se frayait un chemin pour aller aux toilettes, ce qui entraîna un petit mouvement de foule à notre hauteur. Je fixais les fesses de Laura, et là je vis la main du vieux se poser clairement sur le postérieur de ma copine, cela ne dura pas longtemps mais cette fois il avait fait plus que de les effleurer, il les avait tripotés.
Sa main entière s’était posé sur le pantalon moulant et il y avait même eu un minuscule mouvement de ses doigts. La fesse droite de Laura s’était alors légèrement déformée sous l’attouchement de cette main étrangère. L’homme qui avait une trentaine d’année de plus que Laura, faisait comme si rien ne s’était passé et parlait même avec sa fille, qui n’avait, elle, rien vu tout comme le reste du public d’ailleurs.
Laura me regarda droit dans les yeux, je lui souris, elle me rendit mon sourire et nous nous sommes embrassés. J’observais l’homme, je suivais la trajectoire de ses yeux. Il regardait le match mais de temps en temps ses yeux se détachaient du jeu pour plonger sur le petit croupion de ma bien-aimée. L’homme ne savait absolument pas que j’avais remarqué son petit jeu.
Je n’en pouvais plus tellement mon sexe était comprimé dans mon pantalon, lui, devait être au moins dans le même état que moi. La première pause s’approchait, il ne restait que quelques minutes. Le quinquagénaire était toujours à côté de Laura, j’avais l’impression qu’ils étaient collés, ils n’étaient en fait pas plus collé lui et elle que moi à elle, nous étions tous collé à notre voisin en fait. Sa main pendait à coté de Laura, elle s’approchait de plus en plus de ce terrain désormais connu.
Ce pervers profita que tout le monde soit attentifs au 30 dernières secondes - sa fille y compris- pour poser sa main une nouvelle fois sur la fesse droite de ma copine, il l’a laissa cette fois quelques secondes et malaxait tout doucement. Laura, elle, se laissait faire et regardait le match. Après 10 secondes de ce traitement, Laura descendit sa main et caressa celle du vieux d’un léger mouvement pour lui signifier cette fois d’une manière certaine son accord.
La cloche sonna la pause et l’homme enleva rapidement sa main. Laura m’embrassa à nouveau et nous décidâmes d’aller nous chercher quelque chose à boire et surtout parler de ce qui s’était passé. Nous avons pris à nouveau 3 bières chacun, sans doute pour pimenter encore un peu ces instants.
- Je bande comme un fou » lui ai-je avoué.
- Tu as vu comme il m’a touché le cul me lança-t-elle d’un air excité, je lui fis un hochement de la tête et elle ajouta je mouille comme jamais mon chéri, surtout ne le prend pas mal. On peut tout arrêter et aller regarder le match ailleurs si tu le veux. Mais la situation m’excite vraiment. »
- Tu sais la situation m’excite aussi et je ne le prends pas mal, à près tout c’est moi qui ait voulu ce qui arrive… je t’aime » terminai-je.
Je la pris par la main et l’emmena où nous étions précédemment. Le vieux était toujours là avec sa fille. Nous bûmes rapidement nos bières et le match recommença. Pendant les 10 premières minutes les mains de l’homme restèrent sagement à leur place et mise à part quelques regards furtifs rien ne se passa. J’étais déçu et croyait que le petit jeu était finit.
Laura me regarda et me fit une sorte de sourire qui, je ne le compris qu’après, voulait dire « tu veux qu’on continue à jouer ? », je le lui rendis. Un court instant après je vis ma chérie faire une sorte de petit mouvement du bassin et se frotter discrètement les fesses contre les jambes tendues de l’homme.
Celui-ci a réagit tout de suite et, toujours discrètement, commença a caresser la cuisse droite de Laura. La fille, qui était de l’autre côté de l’homme et qui regardait le match, ne voyait toujours rien. Moin de mon côté, je regardais du coin de l’œil pour ne pas me faire repérer.
Le vieux remontait toujours un peu plus haut sa main et arrivais maintenant vers la braguette du pantalon de Laura. Sa main était toujours collée au pantalon de ma douce et faisait des petits mouvements circulaires. Laura avait fermé les yeux et son visage exprimait la jouissance, elle se mordait les lèvres. Je vis que Laura faisait de petits mouvements en avant pour encore intensifier la jouissance du traitement que ce pervers lui faisait subir.
Les doigts du vieux appuyaient sur l’avant du pantalon et ce dernier devait appuyer sur le clitoris de Laura car à chaque mouvement des doigts elle avait un léger spasme. Leur manège commençait à devenir un peu voyant et c’est sans doute pour cela que le quinqua retira sa main. A ce moment là ma tête allait exploser, ce flot de jalousie et d’excitation me prenait jusqu’au plus profond de mes nerfs.
A ce moment là, tout ce passa extrêmement vite. Tellement vite, que je n’eus même pas le temps de me demander si ce qu’il se passa plus tard était réellement ce que je voulais. L’homme dit quelque chose à sa fille et fit une petite tape sur les fesses à Laura il se dirigea vers la sortie où se trouvaient les toilettes…
J’avais maintenant tout compris à son plan mais avant même que je puisse réfléchir si je voulais vraiment cela, ma douce moitié était déjà partie en direction des toilettes sans même me consulter, pire, sans même me regarder.
J’étais comme paralysé, mes muscles étaient tétanisés, ma tête ne fonctionnait plus, tellement il y avait de questions qui la traversaient. Qu’allaient-ils faire ? A ce moment là est-il à l’intérieur d’elle ? Est-ce qu’elle jouit ?
J’étais bouleversé, mais d’imaginer ma petite amie à genoux, tirer une pipe à un homme beaucoup plus âgé qu’elle me faisait bander au plus haut point. Ils disparurent pendant plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que les minutes furent des heures et que je n’étais plus très attentif au match.
La fille du vieux regardait toujours le match avait autant de passion et ne semblait pas se soucier de l’absence de son père. Je vis Laura revenir, le vieux lui n’était pas encore là.
Il revint que quelques minutes après avec deux boissons, au cas où sa fille se serait posé des questions sans doute. Laura vint se mettre devant moi, je la pris alors dans mes bras. Il fallait que je sache vite, que je sache enfin ce qu’il avait fait à ma copine.
Sa bouche vint se coller à la mienne, nos langues se rejoignirent. Je sentais sa langue tourner autours de la mienne comme si ma langue était un phallus. Nous arrêtâmes de nous embrasser et faisions semblant de regarder le match. Je descendis ma main jusqu’à l’entrée du pantalon de Laura, avec l’autre main je descends au maximum sa veste afin de cacher la pénétration de ma main dans son pantalon.
Arrivé à l’intérieur, première surprise, Laura n’a plus de string. J’entre alors 2 doigts dans sa petite fente mouillée afin de trouver d’éventuelles traces de pénétration, sa petite chatte est trempée mais il ne me semble pas qu’elle soit assez dilaté pour qu’elle ait été pénétrée. N’en pouvant plus de douter je lui glisse alors à l’oreille :
- Tu l’as sucé ? ».
Elle met fait alors un signe négatif de la tête. Je décide donc de vérifier la troisième possibilité sans trop y croire, je passe ma main derrière, glisse mes doigts entre ses fesses et son pantalons.
Mon index se pose sur son petit trou du cul, je constate qu’il est mouillé, je le fait alors pénétrer quelques centimètre et constate que l’anus de Laura est dilaté, dilaté comme jamais il ne l’a été. Mon doigt n’a aucune peine à entrer jusqu’au fond du cul de ma copine, le canal est gluant et dilaté jusqu’au plus profond. Je retire ensuite mon doigt, un long fil de sperme suit. Laura pousse, joue avec son sphincter afin de vider son rectum bien rempli.
Je sens le sperme sortir sous forme de petits pets qui viennent s’écraser dans ma main. Je sors ma main du pantalon, je la regarde, fasciné par ces trainées blanches qui ont envahit ma copine. Laura lèche alors ma main et avale jusqu’à la dernière goutte le sperme du vieux pervers…


Tous les lieux sont propices à découvertes...
Consenties.....Ou forcées...

Concert de Rock
Auteur : WifeWatcher
Ça s'est passé dans les années 70. Ma femme avait 22 ans. Elle était mince avec de petits seins fermes, de longs cheveux bruns, des jambes sexy. Elle tenait absolument à aller voir sa star du rock préférée qui passait en concert dans notre ville.
Il y avait une foule de gens dehors. Des fans, des revendeurs de billets au noir, de tout, une masse de gens qui se pressaient et se bousculaient. Nous avons fini par nous retrouver au bout de la queue, pas loin de la porte d'accès à la scène.Nous étions en train d'attendre patiemment quand la porte de la scène s'est ouverte et on a vu sortir un homme du genre de ceux qui installent le matériel de scène des artiste. Il était débraillé, les cheveux en bataille et il avait un ventre a bière qui faisait éclater sa ceinture.
- Hey, vous avez vos billets, ma jolie madame ? " il a demandé à ma femme, Pat.
- Euh... oui " Puis à moi : On les a bien, hein, mon chéri ? "
- Oui, dans ma poche " j'ai répondu.
- Je peux y jeter un œil " dit cet individu plutôt repoussant.
Ayant pris les billets, il s'est frotté le menton.
- C'est bien ce que je pensais, ils sont faux. Y en a plein de faux comme ça. Cette tournée est complètement pourrie de faux billets. "
- Ah, non! c'est pas possible" s'est écrié Pat. Alors on pourra pas entrer ? "
- Pas avec ça, non " il dit en nous les rendant.
- Mais je parie que vous, vous pourriez nous faire enter ? " j'ai dit d'un ton sarcastique.
Ce que ce gros mufle n'a pas compris. Je savais que les billets étaient bons car je les avais achetés moi même au guichet officiel quinze jours avant ( Ca devait être une surprise pour Pat) mais j'ai joué le jeu juste pour savoir combien d'argent il comptait nous soutirer
- Ben... oui, je pourrais vous faire renter " dit-il.
- Combien ? " je lui ai demandé.
Il a semblé complètement surpris par ma demande
- Rien...Non, je demanderais quand même pas de l'argent à une si jolie dame ... euh ; un charmant couple comme vous.
Est-ce je l'avais donc du mal jugé ? Peut-être qu'après tout c'était quelqu'un de correct malgré son allure peu engageante.
Mais en fait c'était une vraie ordure :
- Non, c'est pas de l'argent qu'il faut, mais si la petit dame voulait être gentille avec moi... "
- Ça va pas ! " je l'ai coupé brutalement.
J'allais lui dire ce que je pensais de lui quand Pat a dit de sa petite voix douce :
- Alors on pourrait enter ? "
- Bien sûr, ma petit dame, " dit-il avec un grand sourire.
- Une seconde, non,...
Mais Pat , tout excitée m'a interrompu.
- Mais, mon chéri, on pourrait entrer et tu sais combien je veux aller à ce concert.
Là, j'étais vraiment sur le cul ! Ma jolie petit femme, si angélique, une femme qui n'accepte même pas un gros mot à la maison, la voilà qui envisage de faire l'amour avec un parfait inconnu et en plus un qui est vraiment pas ragoûtant.
J'étais tellement surpris que, au lieu de lui dire que les billets étaient bons et que le type essayait de la baratiner pour pouvoir la baiser, que je l'ai laissée continuer. C'était presque devenu une histoire de curiosité et je me demandais jusqu'où ma petite cochonne irait.
- D'accord alors, puisque t'insistes." j'ai fait, en faisant sembler de céder avec bonne grâce.
- Parfait, alors venez par ici " dit le gros salaud en ouvrant la porte tout grand.
Il nous a fait passer par un couloir puis un escalier. Je ne savais pas du tout dans quelle partie de l'immeuble on se trouvait mais j'ai compris qu'on était quelque part dans le sous-sol. Puis on est arrivé dans une pièce, il a ouvert la porte et a fait entrer Pam en me disant
- Toi, tu attends ici. "
- Ca va, Pat ? " je lui ai demandé.
- Oui, ça va aller." et la porte s'est refermée et je sui resté là à attendre.
Ça m'a semblé être une éternité, mais en regardant ma montre j'ai vu que ça ne faisait que cinq minutes. Mais des sentiments étranges tournaient en moi : ça me faisait plaisir de donner une leçon à Pat mais ça me ça me faisait quelque chose de savoir qu'elle faisait l'amour avec un autre homme (même si c'était un homme de Néanderthal !) et ce qu'il y avait de plus bizarre c'est que j'étais excité.
J'avais une des plus belles bandaisons que j'ai jamais eues. J'avais l'impression que j'allais éclater de là, comme de la figure aussi. J'étais si rouge que j'avais l'impression de brûler. Tout ça c'était complètement absurde, j'étais plein de colère, de passion, exaltation de jalousie, tout ça en même temps.
J'étais sur point de me précipiter dans cette pièce quand un autre type est arrivé de derrière et il est entré dans la pièce.
A ce moment, j'ai vu Pat allongée sur le dos sur une table avec les jambes autour des hanches du premier type. Lui, encore tout habillé, il enfilait ma femme à grands coups de bite. La scène n'a duré qu'une seconde car le second type a refermé la porte mais ça m'a arrêté net dans mes pensées. Je venais juste de voir ma jolie petite femme se faire salir par un inconnu d'allure absolument révoltante et la seule chose qui m'ennuyait c'est que je ne pouvais pas regarder !
Quelques minutes ont passé et le premier type est sorti; à ce moment j'ai pu voir que le second avait pris sa place et il enfilait ma jolie Pat. Le type est passé devant moi en m'ignorant comme si je n'étais pas là.
J'ai attrapé la porte avant qu'elle ne se referme et je suis entré sans faire de bruit. Le type qui baisait Pat m'a regardé et a continué à faire ce qu'il faisait. J'ai vu une chaise derrière la porte je m'y suis installé et j'ai regardé. J'ai regardé ma femme se faire tringler par le type.
A en juger par ses gémissements de plaisir, je me rendais compte que ça ne lui déplaisait pas et je ne sais plus comment je l'ai fait, mais je me suis retrouvé avec ma queue à la main en train de me branler tout en regardant Pat se faire niquer.
La porte s'est ouverte et trois types sont entrés, l'un portant un costume de scène -plus tard j'ai su que c'était un des musiciens-. Ils se sont mis autour de Pat et ont commencé à jouer avec ses seins, à les sucer et le musicien lui a fourré sa queue dans la bouche.
Puis, ils se sont mis à la baiser l'un après l'autre. Pas à jouir dans elle, non, juste la baiser quelques minutes et changer de place si bien que chacun a eu droit à sa chatte, à sa bouche ou lui a léché les nichons.
Pat avait l'air d'adorer se faire enfiler par plusieurs queues. Je voyais bien qu'elle était de plus en plus excitée, elle criait de plus en plus fort et soudain selle a eu un orgasme, un cri de pur plaisir s'est échappé de ses lèvres, un peu assourdi - ou plutôt noyé- car sa bouche était pleine de foutre.
Le musicien s'était vidé les couilles dans sa bouche, et l'un après l'autre les autres ont joui dans sa chatte. Le premier a juté et un autre l'a remplacé; sa queue faisait des bruits mouillés en pompant dans le foutre du premier. Le troisième a pris son temps pour la baiser tout en douceur ; Les deux autres ont dû trouver le temps long et s'ennuyer ; ils sont partis.
- Merci de nous avoir prêté La madame ! " s'est écrié l'un d'eux.
Quand la porte s'est refermée, le type qui était encore en train de baiser Pat m'a appelé:
- Tu veux niquer cette jolie petite cochonne? il m'a demandé.
- Mais, c'est ma femme!" j'ai répondu
- Oui, ça l'était tu veux dire, répliqua-t-il. Maintenant c'est notre petite pute, notre vide couilles qu'on peut remplir à chaque fois qu'on a besoin. ".
Savait-il ce qu'il disait ? Savait-il que chacun de ses mots m'excitait encore plus ?
- Alors, tu veux niquer ce garage à bites ? " a-t-il redemandé.
- Oh oui, oh oui!" j'ai bredouillé.
- Alors mets-toi à genoux et demande-le moi l'autorisation. ".
J'hésitais mais il a crié
- A genoux!'
Je m'y suis mis, à côté de lui, avec ma tête qui touchait presque le derrière de Pat. Imaginez un peu la scène, ma femme allongée sur la table, les jambes posées sur les épaules d'un inconnu et moi agenouillé juste devant sa bite qui allait et venait dans la chatte de celle que j'avais toujours considéré comme MA femme.
Soudain, il m'a attrapé par les cheveux et a agité sa grosse bite sous mes yeux; elle dégoulinait du foutre de tous les autres hommes et il donné un coup de bite sur la figure.Il l'a essuyée sur moi et ensuite il me l'a enfournée dans la bouche.
Pas simplement dans la bouche mais à fond dans ma gorge. Il ne lui a fallu que quelques va et vient et il a juté dans ma bouche et j'ai dû tout avaler.
Puis il m'a poussé conte ma femme et m'a collé la figure sur sa chatte gluante de foutre. Il a fait demi tour et est parti.
Nous étions seuls. J'ai enlevé mes vêtements et j'ai baisé Pat, une vraie bonne baise, une excellente baise.
Ensuite nous nous sommes nettoyés et nous avons été prendre nos places. Nous n'avons manqué qu' un quart d'heure du show. Plus tard, en repartant, le musicien m'a passé une carte : une invitation à une partie que faisait le groupe à son hôtel.
Là, ça a été formidable, Pat s'est fait prendre par tous, les mêmes mecs qu'avant mais, ce qui l'a fait délirer c'est que les membres de ce groupe de réputation mondiale l'ont baisée, eux aussi.
Quand à moi, je me suis tapé la femme du chanteur du groupe et une des filles qui fait les chœurs.
C'est ainsi que nous avons commencé l'échangisme et nous le faisons encore aujourd'hui. Pat test toujours aussi belle et elle aime toujours autant la bite !





Laura me raconta plus tard que le vieux l’attendait devant les toilettes. Qu’ils étaient entrés dans une cabine ensemble, sans se parler. Arrivés dans la cabine il l’avait traité de salope et l’avait sauvagement déshabillé. Il l’a ensuite peloté tellement fort qu’elle en avait mal. Il lui a alors introduit un doigt dans la fente mais ne s’y pas attardé longtemps. « il n’y avait que mon cul qui l’intéressait, il voulait juste m’enculer » m’a-t-elle dit plus tard.
Il l’a alors mise à 4 pattes et lui a léché l’anus en vitesse, lui a inséré directement 2 doigts. L’homme l’insultait tout en lui « travaillant le cul » comme il disait. Il s’assit alors sur les toilettes et demanda à Laura de s’asseoir sur lui, tout en écartant ses fesses. Laura m’avoua que l’immense bite du vieux (comme elle l’appelle) eut de la peine à entrer, c’est pour cela qu’il maintenu une pression de ses main sur ma copine pour l’obliger à s’asseoir sur sa bite malgré la douleur qui la traversait.
Ce pervers lui transperça littéralement le trou du cul. Laura au quelques larmes mais l’alcool faisait toujours son effet et l’aida à apprécier cette sodomie. Son anus était maintenant bien dilaté et elle pouvait faire de petits sauts sur son vieux pervers. A ce moment là elle se sentait remplie comme jamais, elle prenait réellement du plaisir. L’homme se contracta et Laura sentit son anus se remplir jusque tout au fond. Jamais elle n’avait connu une telle dose de sperme l’envahir. Le pénis qui était au fond d’elle, lui propulsa une dizaine de jets qui allaient tapisser les parois de son rectum.
Après quelques secondes de repos, Laura se leva, se retira du pénis déjà à moitié mou. Le vieux se rhabilla, prit le string de Laura dans sa poche et repartit sans même lui dire un mot. Voila notre histoire, elle s’est passé la semaine dernière. J’ai dit à Laura que pour moi elle pourrait recommencer quand elle le voudrait, elle m’a dit que si l’occasion se représentait, peut être…
Ca fait une semaine que nous faisons l’amour comme jamais, j’aime tellement me savoir cocu, j’aimerais bien avoir des témoignages d’autres hommes ou femmes dans ma situation, n’hésitez pas à m’envoyer vos mails de réactions !!!

Un Dimanche avec Varenne et De Saxe....... Suite

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Une mise en image par De Saxe 
d'un des romans de Varenne.
Suite... 







  A dimanche prochain pour la suite





 
 



 A dimanche prochain pour la suite

W.E. de visite

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Amant. Mari. Quelle importance?
Si tout ce passe en bonne intelligence...



Histoire du net. Auteur:Talis cat.... Evolution...

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C'est très bizarre.... Extrême....
Mais pas mal du tout.... 
Quand on découvre un autre monde

La drogue du viol.
Je n’ai pas vraiment envie d’aller à cette soirée, j’ai eu une semaine fatigante.
Mais mon ami a insisté. De même qu’il a insisté pour que je porte ces vêtements. Une jupe courte, un porte jarretelle, une culotte en dentelle, un collier tour du cou et un débardeur qui laisse deviner que je n’ai pas de soutien gorge. J’ai quand même une veste pour ne pas faire trop pute dans la rue. J’imagine qu’il veut encore que ses amis le flattent. Et puis probablement qu’il veut me baiser aussi.
Je soupire, vivement que la soirée se finisse et qu’il tire son coup, que je puisse aller dormir. Nous arrivons devant la porte. Il sonne. Un homme d’un certain age (entre 40 et 50 ans, je pense) nous ouvre. Je suis étonnée.
Une fois entrée, je retrouve des gens de notre âge. Ce doit juste être le chaperon de quelqu’un pensais-je. Il y a trois mecs et deux filles. Je ne reconnais personne. Je crois cependant avoir déjà aperçu l’une des filles, mais je ne saurais dire où.
J’entends la porte claquer, l’homme vient apparemment de partir.
La deuxième fille m’intrigue …
Elle fait très masculine et est habillée avec un pull col roulé … Pas très sexy.
Nous nous asseyons sur le divan et j’écoute d’une oreille discrète les conversations banales. Je ne me préoccupes même pas du fait que mon ami me caresse ostensiblement la hanche, la main sous mon débardeur.
Il aime bien montrer que je lui appartient.
Nous buvons un peu. Ma tête est bizarrement légère. Je sens une chaleur dans mon bas-ventre. Il me murmure à l’oreille :
- Tu veux faire l’amour ?”
Je réponds distraitement, sans même réfléchir :
- Oui, pourquoi pas”
Il m’allonge sur le dos, remonte ma jupe et dégrafe mon porte jarretelle. Un des mecs m’ôte mon débardeur. Je me laisse faire sans réagir. J’ai la tête dans le coton mais je me sens bien.
Il glisse ses doigts en moi. Je suis déjà humide. Il a l’air satisfait :
- Ca l’air efficace le truc qu’il nous a donné. J’espère juste qu’elle oubliera vraiment tout, comme il nous l’a promit …”
La fille que je connais vaguement répond.
- T’inquiète pas pour elle, mon chéri. Viens plutôt t’occuper de moi.”
Je ne m’offusque même pas quand il se relève et va la rejoindre dans un fauteuil.
Il la caresse longuement.
Les mecs hésitent un peu.
- Allez-y les gars, faites vous plaisir, elle est là pour ça !”
Ils s’avancent vers moi, je sens leur mains sur mon corps, dans mon intimité. Je commence à sucer celui qui m’a ôté mon débardeur.
- Toi aussi, vas-y”
J’entends la deuxième fille se déshabiller.
Elle s’agenouille à mes côtés, me caresse les seins et se met ensuite à les téter.
Un des mecs nous regarde en se branlant. L’autre commence à me prendre alors que je continue à sucer le troisième.
Apparemment mon ami aussi prend son pied à en juger par les petits cris que pousse l’autre pétasse.
Mes mains vagabondent sur la poitrine de l’autre fille. Puis je descend entre ses jambes. Je suis surprise d’y trouver une verge bien dur mais je suis incapable de penser. Je me contente de le masturber. Elle gémit et sa bouche rejoint la mienne alors qu’elle me caresse toujours la poitrine.
Nous nous embrassons, le gland du gars entre nos lèvres.
Enfin ils se reculent. Je les imagine plus que je les vois se branler.
La trans me fait me redresser et elle se place sous moi. Je m’empale volontiers sur ce sexe qui ne devrait pas être là. J’entends le claquement de la peau de mon ami sur les cuisses de la fille. Cela m’excite plus que ça ne me révolte. J’entends celle-ci murmurer :
- Pas tout de suite mon chéri, ne soit pas si impatient, prends moi encore un peu par devant”
Je devine ce qu’il lui a demandé, c’est un grand adepte de la sodomie. Pratique que je n’apprécie guère, mais bon.
Je retire pourtant un grand plaisir de la deuxième queue qui s’infiltre dans mon anus pendant que ces pensées me traversent l’esprit … Et ce malgré la douleur.
Peut-être qu’il ne sait juste pas s’y prendre en fait.
J’embrasse longuement la trans, nos seins se frottent l’un à l’autre, c’est exquis.
Puis je suce à nouveau la queue qui s’est approchée de moi, avant de chercher à l’aveuglette celle du troisième mec.
Je la trouve enfin et la branle.
Je sens la trans qui me suce les mamelons, le mec qui m’encule pétri mes seins.
Enfin ils s’écartent tous de moi. Je m’allonge alors sur le dos, offerte. J’entends le cri de l’autre fille
- Ah, oui, c’est bon … Prends moi le cul …”
Certainement pas aussi bon que ce que je suis en train de vivre … En tout cas si j’en crois mon expérience avec mon ami, pensais-je.
Un mec s’approche, me plaque les jambes le long du corps et commence à pilonner mon fion. Je lui fais sucer mes doigts puis les enfoncent dans ma chatte brulante.
Des mains triturent mes seins sans ménagement.
La trans c’est placé près de ma tête et j’enfourne son sexe dans ma bouche avec délice.
Le troisième mec l’encule.
Elle se penche en avant, embrasse le gars qui me possède le cul.
Sa verge m’étouffe mais je fais de mon mieux pour l’avaler toujours plus loin.
Les coups de rein du troisième gars rythme les plongées du sexe de la trans au fond de ma gorge. Je manque d’étouffer plusieurs fois, tousse sans jamais recracher ce délicieux sexe.
La trans recule et je soupire de dépit quand sa bite sort de ma bouche. Elle continue à se faire enculer. L’autre fille aussi, si j’en crois ses halètements.
Le gars qui s’occupait de mes seins viens se placer sous moi. L’autre gars arrête de m’enculer et me doigte. Je chevauche l’étalon qui s’offre à moi et il me mordille les tétons. L’autre gars plonge sa main dans mon anus …
Je gémis de plaisir, Dieu que c’est bon !
La trans a fini de se faire prendre et elle caresse le troisième mec. Puis elle vient me présenter sa queue. Je la suce avidement. Je me fais à nouveau prendre par devant et derrière.
Le gars qui m’encule me penche en avant, il se met par dessus moi et me prends comme une guenon. Je ne tarde pas à comprendre la raison de sa position lorsqu’une troisième queue entre en moi, d’abord dans ma chatte puis, très rapidement, dans mon cul.
J’arrête de sucer, pousse un râle de douleur et recommence à sucer la trans.
De grands jets de mouille s’échappent de ma chatte.
- Wow ! Tu nous avais pas dit que c’était une femme-fontaine ! C’est trop le pied!
Normal c’est la première fois de ma vie que je mouille ainsi. Même moi je ne le savais pas … Mon ami bafouille :
- Euh … Ouais … J’ai pensé que ce serait sympa comme surprise…”
La fille supplie :
- Voyons chéri, ne t’arrêtes pas pour autant … Et mon petit cul alors ? … AIIE, pas si fort !”
- Dés … Désolé …”
- Ce n’est pas grave, mon chou, j’aime bien aussi mais ne soit quand même pas trop violent …”
J’entends ses grands coups de rein et les cris de cette pute. Je parie qu’il enrage. Je m’en fous. Tout cela me parait si loin … Je plane sur un nuage.
Enfin tout ce petit monde s’extrait de moi et je comprends que cela va bientôt se terminer … Dommage !
Je m’agenouille à terre et attends patiemment, la bouche grand ouverte. Les premiers jets ne se font pas attendre. Certains ratent ma bouche mais j’attends patiemment qu’ils aient tout les quatre finis.
Puis j’avale goulument. Enfin j’astique tour à tour les queues offertes.
Mon ami est quand-même sacrément vexé de me voir aussi chienne alors que d’habitude je suis plutôt passive. Il abandonne sa grognasse pour venir se branler devant ma face, je lui tends mon visage docilement.
La fille proteste :
- Attends, pourquoi tu t’occupes de cette catin ? Et moi ?”
Il dit d’un ton sec :
- T’auras ton tour, petite pute”
Elle est estomaquée, je sens les larmes montées dans sa voix :
- Salaud ! T’es qu’un salaud … Dire que je suis venue exprès pour toi … Salaud
Elle se rhabille et je sens la semence chaude me recouvrir le visage. Je bouge ma tête pour bien en recevoir partout.
Enfin il recouvre ses esprits, range sa queue et rattrape la fille. Je les entends se disputer dans l’entrée. Je m’affale langoureusement sur le divan.
Les mecs me caressent, je leur rends leur caresse, suce leurs glands ramollis.
La trans s’allonge à mes côtés, nous caressons nos poitrines respectives en nous embrassant. J’entends des gémissements qui viennent de l’entrée, apparemment elle s’est déjà réconciliée avec lui … Quelle pute … enfin je ne suis guère mieux.
Je pose la tête contre la poitrine de la trans. Elle me caresse les cheveux.
Je sens un mec s’introduire en moi. Par devant ? Par derrière ? Les deux ?
Je ne sais pas trop je me sens bizarre … Je m’endors avant qu’il ait fini.
Quand je me réveille je suis déboussolée, je ne me rappelle de rien.
Pourquoi sommes nous tous nus ? Et que fais mon ami enlacé avec cette fille ?
L’homme est là, il me regarde.
- Ca va tu te sens bien ?”
J’utilise mon débardeur pour cacher ma poitrine et mon sexe, je ne pense même pas à descendre ma jupe.
- Qu … Que c’est-il passé ?”
Mes yeux parcourent la pièce, s’arrêtent sur la trans
- Mais … Mais c’est pas une fille !”
L’homme fronce les sourcils, il murmure :
- Elle parait bien trop lucide … Je me suis trompé dans les dosages ou ce con n’a pas suivi mes instructions ?”
Il tousse
- Tu ne te rappelle de rien ?”
Comment peut-il savoir … Mais des sensations, des impressions, me remontent à l’esprit.
- Non, pas vraiment … Enfin si … Mais c’est flou …”
Il s’avance vers moi. Il a un magnétisme fou, je lâches malgré moi mon débardeur. Il s’assied à mes coté, ma nudité n’a pas l’air de le déranger.
- Raconte moi”
- Euh et bien …”
J’essaie de me rappeler … Je rougis de honte
- Qu’est-ce qu’il y a ?”
- C’est très gênant à dire …”
- Quoi donc ?”
Il prend quelques cacahuètes sur la table. Je prends mon courage à deux mains, murmure :
- Je me rappelle une grande jouissance …”
Il interromps sa mastication puis, calmement :
- Ah ? Et des moments plus précis ?”
- Oui, deux …”
- Lesquels ?”
Cet homme me fascine, nos yeux se croisent et ne se lâchent plus, je défaille. J’ai très honte mais je raconte malgré tout :
- Un moment ou je sentais des queues en moi et j’avais l’impression d’étouffer... Pourtant j’adorais ça …”
- Ah, ils t’ont fait une gorge profonde …”
Je ne comprend pas trop ce qu’il veut dire mais je continue :
- Et une autre fois ou je sentais un sexe dans ma bouche et un autre dans mon vagin … Et pourtant je ressentais un immense plaisir provenant de mon anus … De la douleur aussi”
- Triple pénétration … Impressionnant … Et tu as aimé ?”
Je réponds sans hésiter :
- J’ai adoré … Mais je crois que je me suis pissée dessus …”
- Ca sentais l’urine ?”
- Non, je ne me rappelle pas”
- Tu t’en rappellerais si c’était le cas …”
Puis il ajoute comme pour lui-même :
- Une femme fontaine, de plus en plus intéressant”
Il se tourne vers moi :
- Ecoute, c’est vraiment rare les filles qui prennent leur pied au point que le truc qu’on t’a fait avaler ne fonctionne pas. Tiens je te donne ma carte. Contacte moi si tu veux d’autres moments comme ça … Mais tu pourras pleinement en profiter cette fois-ci”
Il s’aperçoit alors que je n’ai pas de poche dans ma jupe.
- Attends je vais la mettre dans la poche de ta veste.”
Je t’interromps, saisis la carte.
- Je sais où la ranger”
Sans même réfléchir je la plonge dans ma chatte
- Comme ça pas de risque de la perdre.”
Cela l’excite terriblement. Il me veut mais se retient, je le lis dans son regard. Il me dit alors sur un ton presque solennel :
- Tu veux découvrir d’autres plaisirs ?”
Je réponds sans hésiter :
- Oui, bien sur !”
Je le suivrai en enfer si il me le demandait.
Il fouille dans sa poche, en sors un collier tour du cou incrusté de faux diamants. Certains d’entre eux dessinent une sorte de logo. La fermeture dorée ressemble à celle d’une laisse. Les deux premiers maillons d’une chaine en pendent.
- Tiens c’est pour toi”
Je retires mon collier et le laisse me fixer le sien.
- Tu vois ce symbole, cela signifie que tu m’appartiens”
Je hoche docilement la tête. Il pointe son doigt vers mon ami
- Qui est-ce ?”
- Je ne sais pas”
- C’est bien …”
Il me caresse la joue. je sens son excitation. Je mouille.
- Prenez moi, s’il vous plait”
Il déglutit. Quelle maitrise … Mon ami m’aurait déjà violée sans demander son reste.
- Non, il faut que tu le mérites”
- Bien, Maitre”
Le mot est sorti de lui-même. Il me regarde puis murmure :
- Vraiment tu es faite pour ça … Je sens que tu seras une de mes favorites”
Je ne m’offusque même pas de l’idée de n’être qu’une femme dans son harem.
- Merci, Maître”
- Habilles-toi, je t’emmène ailleurs”
J’obéis. Je saisis ma culotte mais il me devance.
- Ca, je garde”
Il la fourre dans sa poche. Je rougis de plaisir.
Je finis de m’habiller. Je me relève et fait quelque pas mais le frottement de la carte dans mon vagin m’excite trop, je mouille encore plus.
Je veux l’enlever mais il m’arrête.
- Non, tu la garderas toujours en toi maintenant. Je t’autorise juste à l’enlever lorsque tu vas aux toilettes ou que tu prends ta douche … Mais surtout tu la garde quand tu te masturbes. Cela t’aidera à mouiller moins facilement. Tu jouis vraiment trop vite.”
Je souris :
- Mon ex ne serait pas d’accord avec vous, Maître”
- Oublie ce crétin, il ne sait pas ce qu’est une femme”
Je le crois sans problème …
- Viens, suis moi …”
Il me prend par la main et je me laisse entrainer … Vers où, je ne sais pas …
Il m’emmène vers sa voiture. Une petite citadine classique. Cela pourrait être une 2CV brinquebalante que je ne pourrais m’empêcher de l’admirer malgré tout. Cette voiture est à Lui. Tout comme moi.
Je remarque le logo sur la vitre arrière. Le même que celui de mon collier. Oui, exactement comme moi, pensais-je. Je ressens une grande fierté. Il ouvre la porte m’invite à m’asseoir en me tendant sa main. Je la saisis et me laisse guider sur le siège. Je veux attacher ma ceinture, il m’arrête d’un geste.
- Non, ce serait dommage d’écraser une jolie poitrine comme la tienne.”
Je rougis, murmure :
- Merci, Maître”
Il sourit, me regarde quelques instants puis referme la porte. Il s’assied sur le siège conducteur, boucle sa ceinture. Il démarre. Je sens un vertige me prendre. Je réalise que je viens de franchir le seuil, qu’il n’y a plus de retour possible. Cela m’excite terriblement. Je mouille à nouveau. Ma respiration s’accélère. Il s’en aperçoit, cela l’amuse.
- Tu es encore excitée ?”
- Oui, Maître”
- Ne vas pas mouiller ta jupe … relève la plutôt.”
Je m’exécute, révélant mon sexe humide. Il jette un œil puis retourne à sa conduite, l’air de rien. J’ai envie de hurler : Caresses moi, prends moi ! Mais je reste silencieuse. Je ferme les yeux mes mains glissent sur mon corps malgré moi.
- Arrête de te toucher comme ça, laisse plutôt l’excitation monter en toi.”
Je déglutit avec peine. J’ai la gorge sèche, je lèche mes lèvres.
- Oui, Maître. Je suis désolée.”
- Ce n’est pas grave, c’est tout nouveau pour toi, c’est normal.”
Je sens une pointe de tendresse dans sa voix, cela me touche énormément
- Merci, Maître.”
- C’est normal, tu feras une brave soumise, très courageuse.”
Je ne dis rien mais rougis à nouveau.
Enfin il se gare. Il sort de la voiture et vient m’ouvrir, m’offrant son bras. Je sors, ma jupe toujours relevée offrant le spectacle de ma chatte à tout le monde. Je n’en ai cure, si tel est son désir …
Je me laisse guider.
Nous nous dirigeons vers l’entrée d’un sous-sol. Un long couloir noir… Puis nous arrivons dans une grande pièce avec plusieurs portes, chacune arborant un symbole différent.
La pièce est éclairée par des bougies et des tentures et des tableaux la décorent. Cela contraste avec la froideur du couloir. Nous nous dirigeons vers la porte arborant son logo.
- Je vais te présenter.”
Nous entrons.
Le spectacle est irréel. Il y a toutes sortes d’instruments. Une croix en bois, un long bloc, de forme triangulaire, des menottes sur les murs…
Je scrute ensuite les gens présents. Il y a une fille, attachée à un pilier au centre de la pièce, nue. Ses mains sont attachées à ses chevilles derrière le pylône et elle penche en avant. Elle doit souffrir le martyr, tout son poids reposant sur ses genoux et ses poignets.
Elle ne réagit pas, la tête pendante… Peut-être est-elle évanouie ?
Je remarque alors qu’elle a la bouche baillonnée, une énorme boule lui maintenant la mâchoire ouverte. Elle porte aussi un masque de cuir sur les yeux… Et le même collier que le mien.
Je devrait me sentir révoltée, fuir. Mais je ne suis que fascinée.
La deuxième fille est quand à elle habillée d’un porte jarretelle et de bas. Elle a aussi un joli soutien gorge qui entoure ses seins mais les laissent apparents.
Et à nouveau le collier…
Elle est à quatre pattes. Un homme est occupé à la faire sucer sa queue, la tenant par les cheveux.
Un autre la cravache.
Je remarque alors des boucles en fil blanc sortant de ses orifices. Deux dans sa chatte et un dans son cul. Je suis intriguée mais la réponse ne tarde pas à venir alors que l’homme glisse la cravache dans la boucle qui sors de son cul et tire d’un coup sec.
Deux boules sortent alors que la fille pousse un hurlement étouffé par le sexe de l’homme qui la tient par les cheveux.
On dirait des boules anti-stress …
Il sort sa verge, se penche vers la fille
- Tu n’aimes pas ?”
La fille hoche vigoureusement la tête
- Si, si !”
Il l’embrasse puis remet sa bite dans sa bouche.
Mon regard parcourt le groupe d’hommes au fond de la pièce, ils se masturbent. Je remarque qu’ils me scrutent. Je me dresse bien droite, ressortant ma poitrine et mes fesses. Je veux que mon Maître puisse être fier de moi. Ils ont l’air d’apprécier.
Enfin mon regard se pose sur la dernière femme.
Elle a elle aussi un porte jarretelle et des bas mais porte une guêpière qui cache ses seins. Elle a aussi des talons aiguilles et le fameux collier …
Elle tient un homme en laisse. Ce dernier à une cagoule de cuir qui recouvre tout son visage, il n’y a que trois ouvertures, une pour sa langue, et les deux autres pour ses narines. Il a les mains attachées dans le dos. Il s’active à la lécher. Je remarque un collier autour de son cou. Le logo ressemble à une version simplifiée de celle de mon Maître… Cela m’intrigue
Je ressens une grande animosité dans le regard de cette femme… Je ne comprends pas pourquoi… Me connais-t-elle ?
La suite demain....

Histoire du net. Auteur:Talis cat.... Evolution... Fin

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On va sur des summums de soumission
Carrément Pavlovien...

La drogue du viol.
Ou Le Donjon.....
Enfin mon Maître me sort de ma rêverie en tapant dans ses mains.
- Mes amis, je vous présente ma nouvelle soumise, elle débute mais elle a d’excellentes dispositions.”
Le regard de la femme se fait brasier, je sens qu’elle voudrait me tuer. Je recule.
Mon Maître n’en a cure. Cette femme n’a pas de prise sur lui. Cela me rassure.
- Lève les bras.”
Je m’exécute. L’homme à la cravache c’est arrêté, il s’assied sur la fille. Un autre homme le rejoint. La douleur déforme les traits de la fille mais elle ne dit rien et tente tant bien que mal de rester le dos droit.
Elle ne peut d’ailleurs pas dire grand chose, l’autre homme à arrêté ses mouvements de hanches pour me regarder mais sa queue et toujours fermement plantée dans sa bouche …
Mon Maître enlève mon débardeur. Mes seins aux tétons durcis se dévoilent à l’assistance. J’entends les hommes applaudir, siffler. La femme boue de rage, tire sur la laisse de l’homme. Il tente de la calmer en intensifiant ses mouvements de langue.
- Où as-tu appris à lécher, petit con ? Fais ça mieux, même mon chien me lèche mieux …”
Je suis révulsée par son attitude. Comment peux t-elle accorder de l’attention à un autre homme que son Maître, MON Maître ? Je suis malgré tout très excitée par la situation, ma chatte s’humidifie à nouveau.
- Montre leur à quel point tu m’appartiens.”
Je devine ce qu’il veut. Je glisse mes doigts dans ma chatte et en extrait la carte de visite. SA carte de visite … Je ne peux m’empêcher de jouir et un jet de mouille atterrit à mes pieds. Nouvelles salves d’applaudissements, murmures d’approbation…
Mon Maître me gronde gentiment :
- Moi qui voulait leur faire la surprise …”
Je baisse les yeux, murmure :
- Pardon, Maître. Je suis désolée.”
Les larmes me viennent aux yeux. J’entends un gloussement de contentement sortir de la gorge de la femme. Je sais qu’elle voudrait se moquer de moi, mais elle n’ose pas, de peur de froisser le Maître.
Ce dernier me prend gentiment par la mâchoire. Relève délicatement ma tête, me regarde dans les yeux. Ma vue est troublée par les larmes.
- Ce n’est rien, je t’apprendrai à te retenir, à jouir à la demande, ne t’inquiètes pas.”
Je chuchotes honteuse :
- Oui, Maître. Merci, Maître.”
La femme fulmine. Elle saisit la tête de l’homme et le jette à terre.
- Imbécile ! Bon à rien ! Comment veux-tu que je jouisse ?”
Il bafouille :
- Pardon Maîtresse, je fais de mon mieux …”
Elle hurle :
- JUSTEMENT ! Tu n’es pas capable de mieux ? Explique moi pourquoi je te garde ?”
L’homme sanglote :
- Pardon, pardon, je vais m’améliorer, je vous le promets, Maîtresse.”
Elle saisit un fouet et frappe l’homme. Ce dernier hurle. Tout le monde regarde le spectacle, amusé. La femme en retire une grande jouissance, elle frappe de plus belle.
Enfin le Maître frappe à nouveau dans ses mains.
- Calme toi, Marilyn, tu sais bien que ta frustration ne vient pas de ce pauvre homme, il fait de son mieux. Je croyais t’avoir mieux éduqué…”
Elle blêmit :
- Pardon, Maître, mais, vous comprenez, il…”
- Tais-toi, Marilyn. Ce n’est pas pour ça que je t’ai autorisé à avoir des soumis… Ai-je eu tort ?”
- Non. Bien sur que non, Maître. Je ferais plus attention à l’avenir.”
Elle ne peut se retenir d’appuyer son talon aiguille sur le torse de l’homme. Mais elle repose le fouet. L’homme se retient de crier. Le Maître dit :
- Bien, je vois que tu as compris.”
Il se tourne à nouveau vers les hommes. Marilyn se rassoit et l’homme s’empresse de la lécher du mieux qu’il peut.
- Je dois l’amener au vestiaire, lui trouver quelque chose de plus… adéquat à se mettre. Je reviens.”
Il m’entraîne alors dehors. Avant de partir, je remets la carte de visite à son emplacement sous l’œil amusé des convives.
Une fois seuls, je ne peux m’empêcher de questionner le Maître :
- Maître, comment pouvez-vous supporter que cette femme, Marilyn, ait d’autres hommes ? Ne devrait-elle pas être à vous corps et âmes ?”
Il me regarde, amusé de ma naïveté et aussi impressionné par mon adaptation rapide à ma condition de soumise.
- Tu sais, Marilyn est un chat sauvage, elle ne supporte pas les cages… Je devrais la laisser partir un jour, d’ailleurs.”
Je sens une pointe de regret dans sa voix.
La jalousie m’envahit, les larmes me viennent à nouveau au yeux. Je dis d’une voix étranglée :
- Et moi que suis-je ? Et pourquoi as-t-elle un nom ?”
Il semble amusé plus que fâché par mon attitude. Il pose sa main sur ma joue. Je laisse ma tête reposer sur sa main. Mes larmes coulent. Il dit tendrement :
- Toi tu es ma petite chienne, fidèle et obéissante. Tu auras un nom. mais pas tout de suite.”
Je chuchote, ma voix est à peine audible :
- Merci, Maître. Je vous serais toujours fidèle. Jusqu’à la mort”
Je sens son excitation monter. Il me veut, je le sais. Il enlève sa main, toussote et dit en rigolant :
- Je pourrais t’appeler Lassie !”
- Oui, Maître, j’aimerais beaucoup”
Il est désarçonné par ma réponse. Son excitation monte encore.
J’ouvre les yeux et nos regards se croisent. Nous restons les yeux dans les yeux un moment. Je sens le désir brulant monté en lui. Je devine son sexe durci dans son pantalon.
Enfin il reprend ses esprits, se détourne.
Son self-controle m’impressionne… Mais je le maudis. J’aimerais tant qu’il se laisse aller et qu’il me prenne, là maintenant. Des doigts, de la langue, du sexe… De toutes les manières possibles.
Sa voix me tire de ma rêverie.
- Tu viens ?”
Je sursaute. Il a déjà commencé à se diriger vers un couloir.
- Oui, Maître , j’arrive.”
Je le rattrape.
Nous arrivons dans une nouvelle pièce. Des gens, hommes et femmes, se changent, mettent des tenues parfois bizarres, parfois normales, mais toujours sexy. Je regarde avec intérêt. Le fait d’être torse nu et la chatte à l’air ne me gêne pas. Mon maître parle à un homme, lui donne mon débardeur.
Je l’entends dire :
- Faites-y bien attention, elle est très fragile.”
L’homme réponds :
- Bien sur, je vais la confier à un jeune homme que j’ai embauché récemment. Il est très doué pour mettre à l’aise les nouveaux.”
- C’est parfait alors.”
Mon Maître me fait signe. Je m’avance.
- Je te laisse entre les mains de ses messieurs, ils vont te faire belle.”
- Oui, Maître.”
Il s’en va.
L’homme fait signe à un jeune garçon. Il me parait un peu efféminée… Il lui donne mon débardeur puis lui dit :
- Bien. C’est une toute jeune soumise. Prends en grand soin. C’est à Lui”
Le garçon parait étonné.
- Lui ? Une débutante ? Elle doit être très spéciale !”
Je rougis de fierté à ce commentaire. Je me tiens bien droite, le collier tour du cou de mon maître bien visible.
- Raison de plus pour en prendre soin.”
- Bien patron.”
Sa voix se fait douce.
- Ca va, pas trop anxieuse ?”
Je ne comprends pas sa question. Pourquoi serais-je anxieuse ? Je suis là où mon maître a décidé que je devrais être, donc en sécurité.
- Non, je devrais ?”
Il est de plus en plus étonné. Il murmure :
- Je comprends mieux…”
Il me prends délicatement la main. Sa voix est comme du miel dans mes oreilles. Je crois que j’aurais pu tomber amoureuse de ce garçon. Il est mignon, doux… Mais je suis à Lui. Personne d’autre n’existe désormais. Sauf si Il le décide …
- Viens on va te choisir un joli ensemble.”
Je le suis docilement. Il m’aide à ôter le peu de vêtements qu’il me restait. Il les plie délicatement. Va les ranger dans un casier, en sort une plaque numérotée. Il s’apprête à la poser sur un chaise mais je lui prends des mains.
- Je vais ranger ça avec les affaire de mon Maître”
Je glisse sans hésiter la plaque dans mon vagin, à côté de la carte de visite. Il me regarde. Ses yeux se remplissent d’un respect soudain. Il murmure :
- Oui, je comprends Son choix… Peut-être es-tu celle qu’Il attendait… Tu as l’air si épanouie, rayonnante, belle…”
Il ne peut s’empêcher de faire glisser sa main sur mon flanc, son pouce effleure mon sein. Je recule, hurle :
- NE ME TOUCHEZ PAS !!! JE SUIS A LUI, UNIQUEMENT A LUI !!!”
Tous les yeux se fixent sur moi. Les regards sont réprobateurs, surpris, envieux… Je n’en ai cure. J’ai été souillée. Je me serais promenée nue dans des endroits glauques et me serait faite violer par les passants si il l’avait voulu mais je ne supporte pas l’idée que l’on puisse m’effleurer sans son consentement..
Il va me traiter de catin, me répudier, je ne serais plus sienne… J’éclate en sanglots. Mes bras pendent le long de mon corps. Il ne m’a même pas prise et je l’ai déjà perdu.
Le garçon se reprend. S’agenouille face à moi. Saisis délicatement mes mains. Il fais attention au moindre de ses gestes. Il murmure en me regardant dans les yeux:
- Je suis désolé, je n’aurai pas du. Je m’excuserai auprès de ton Maître, je lui expliquerai, ne crains rien. Il comprendra, j’en suis sur.”
Il est tellement gentil, compréhensif doux… Ah, comme je l’aurais aimé. Je murmure :
- C’est vrai ?”
- Oui, et je vais t’aider à te faire belle pour Lui. Comme ça Il comprendra combien tu tiens à Lui.”
- Oui, je veux qu’Il soit fier de moi …”
- Il le sera, ne t’inquiète pas… Il l’est déjà, j’en suis sur.”
J’essuie mes larmes. Ses paroles me rassurent.
- Merci.”
Il m’aide alors un mettre un ensemble en résille fine. Cela me couvre tout le corps. J’ai cependant le dos découvert. Des omoplates jusqu’au creux des reins. Puis j’enfile deux très long gants de cuir, Il ne couvre que mon majeur et le dos de ma main mais remontent jusqu’au dessous de mes aisselles.
- Tu aimes ?”
- Oui, c’est très joli.”
- On va rajouter un petit bustier, cela mettra en valeur ta poitrine”
Je lui fait entière confiance.
- Rentre le ventre. Cela te serrera un peu au début mais tu t’y habitueras.”
Enfin il m’amène face à un miroir.
- Alors ?”
Je me regarde. Je ne reconnais cette femme dans la glace. Elle dégage un aura de sexualité intense… Ses seins, MES seins, pointent, le bustier les faisant légèrement remonter …
- C’est moi ?”
J’entends une pointe d’amusement dans sa voix. Il est heureux de l’effet que cela me fais.
- Oui, c’est toi. Regardes comme tu es belle. Doutes-tu encore qu’Il veuille de toi?
Les larmes me montent à nouveau aux yeux. Comme j’espère qu’il a raison ! Ma voix s’étrangle :
- Je veux être à Lui… Rien qu’à Lui…”
- Il le sait, ne t’inquiètes pas.”
Enfin nous nous dirigeons vers une nouvelle porte. Un nouveau couloir sombre… Des embranchements. Toujours les logos sur les portes. Je reconnais le sien, l’excitation monte en moi, mes genoux tremblent, la tête me tourne.
Je mouille par anticipation. Je sens la plaque et la carte de visite en moi… Cela me rassure. Oui, je suis à Lui, uniquement à Lui. Le garçon ouvre la porte, une tenture de velours nous barre le passage. Il attend.
Enfin mon Maître apparait. Il me regarde.
- Tu es très belle.”
Je rougis, chuchotes en baissant les yeux :
- Merci, Maître.”
Il s’approche de moi, me tient par le menton, son regard se plonge dans le mien. Je souris timidement. Je vois ses sourcils se froncer. L’inquiétude m’envahit… Qu’ai-je fait de mal ? Il se redresse. Il y a de la colère dans Sa voix.
- Elle a pleuré ? Que c’est-il passé ?”
J’éclate en sanglots… Non ! Ne me laisse pas seule, ne me laisse pas ainsi, regarde moi, je suis à Toi ! Ce n’est pas ma faute ! Je bafouille :
- Désolé, Maître, je suis désolée. Pardonnez moi, je suis sale… Je suis une catin… Je suis souillée… S’il vous plait, ne m’abandonnez pas !”
Je tombe à genoux m’accroche à son pantalon.
- Expliques-toi enfin, que t’arrive-t’il ?”
Je n’arrives qu’à pleurer de plus belle. Le jeune garçon vient à mon secours.
- Je suis désolé j’ai eu un geste déplacé, je pensais que ça l’aiderait à se détendre… Mais elle a mal interprété, elle pense qu’elle Vous a trahi, que Vous allez l’abandonner”
La voix du Maître se fait menaçante :
- Que lui as-tu fait, parles !”
Le garçon à un mouvement de recul puis il se reprend.
- Je lui ai effleuré le sein …”
Il est gêné. Mon Maître lui adresse un regard noir. Il grommelle :
- J’avais pourtant dit qu’elle était fragile …”
Il s’agenouille face à moi, me saisit par les épaules. Sa voix est plein de tendresse: :
- Ce n’est rien. Tu n’as rien fait de mal. C’est moi qui aurait du rester auprès de toi…”
Je dis d’une voix faible :
- Mais je l’ai laissé me toucher… Vous ne l’aviez pas autorisé… J’aurais du être plus attentive, moins allumeuse…”
- Tu es chez moi. Je VEUX que tu sois allumeuse, que tu leur montres combien tu es belle. Qu’ils aient envie de toi. Je veux être fier de toi. Que tu sois la perle de mon domaine.”
- Merci, Maître, merci.”
Il m’embrasse. C’est la première fois… Je n’ose y croire. Il pousse délicatement sa langue dans ma bouche et nos salives et nos langues s’entremêlent. Je m’accroche à son cou. L’embrassant fougueusement.
Le garçon essaie de s’esquiver. Mon Maître arrête son baiser, il pose son front sur le mien. Sa voix est tranchante comme une lame.
- Ne refais JAMAIS ça, compris ?”
Le garçon s’arrête déglutit avec peine.
- Bien … Bien sur, cela ne se reproduira plus.”
- Bien”
Je m’accroche à son cou, pose ma tête sur son épaule en sanglotant. Je ne peux m’arrêter de répéter :
- Merci, Maître, merci.”
Enfin il se redresse, m’aide à me lever. Je sèche mes larmes.
- Viens.”
- Oui, Maître.”
Nous traversons la tenture. Il referme la porte. A nouveau la même pièce. La fille du poteau est maintenant attaché face contre ce dernier, on dirait un koala… Un homme la maintiens en hauteur en la sodomisant.
L’autre fille est allongée sur le dos, un homme sous elle. Elle branle deux sexes et en suce un troisième. Elle se fait prendre par devant et derrière. Je remarque qu’elle porte maintenant des pinces reliés par un chaine sur ses tétons.
Marilyn est occupée à sodomiser avec une drôle de ceinture l’homme cagoulé. Le dos de ce dernier porte de grande trace rouge. Elle a encore le fouet en main et ne manque pas de lui donner de léger coup de temps en temps. Elle me regarde méchamment et glousse :
- Et bien alors, ma petite, on a pleuré ? On a peur ? Je te croyais prête à tout ?”
Le Maître rétorque :
- Tais toi, Marilyn, tu oublies ta place”
Son ton est glacial.
- Approches”
Elle obéit avec réticence. Je peux maintenant voir que sa ceinture porte un énorme sexe en plastique.
Le Maître la gifle violemment. Elle tombe.
- C’est ma nouvelle soumise. Tu lui dois le respect.”
- Oui, Maître.”
Elle contient difficilement sa rage.
- Elle s’appelle Leslie, excuses-toi auprès d’elle.”
Elle parait complètement perdue
- UN NOM ? Vous lui avez déjà donné un nom ? Vous ne pouvez pas !”
Nouvelle gifle.
- Je suis le Maître. Je fais ce qu’il me plait.”
Il lui prend le fouet des mains et la frappe sans se retenir. Le sang coule sur son dos. Elle hurle.
Enfin il reprend le contrôle de lui-même.
Je suis très fière que mon Maître m’accorde autant d’importance, je ne me préoccupe même pas de la douleur de cette femme.
-Excuse-toi maintenant.”
Les mots sortent difficilement de sa bouche. On dirait un serpent. Mais je la sais impuissante.
- Excuse-moi…”
- Finis ta phrase.”
Je sens le dégoût l’envahir… La honte et la colère aussi.
- Excuse-moi… Leslie…”
- Bien tu n’as plus le droit de jouer ce soir, vas t-en”
Elle se dirige sans mot dire vers la tenture.
- Pas par cette porte…”
Le Maître s’approche de l’homme et lui arrache son collier. Marilyn geint :
- NON !!!”
L’homme ne dit rien mais éclate en sanglot, il tombe, seul les chaines l’empêche de tomber au sol. Le Maître continue à parler, sans se préoccuper d’eux :
- Il va falloir refaire ton éducation… Ou peut-être devrais-je t’abandonner.”
Il détache l’homme qui se laisse glisser au sol et se roule en boule, pleurnichant. Marilyn éclate en sanglot, se jette à ses pieds :
- Non, Maître, par pitié, non !”
Il lui ôte doucement son collier. Elle ne résiste pas. Elle gemit :
- Non, pas ça… Offrez moi à vos amis, je serais sage, non…”
J’ai pitié d’elle… Je dis tout bas, de peur d’être grondée :
- Maître, soyez indulgent. Je crois qu’elle a compris…”
Il me regarde. Je réprime un mouvement de recul. Je panique. J’en ai trop dit ! Il va me jeter dehors moi aussi ! Non !!! Les larmes reviennent me remplir les yeux.
Sa voix est d’une infinie douceur :
- Tu es trop gentille Leslie. Tu ne connais pas Marilyn. Elle a besoin de ça de temps à autres…”
Je réponds, honteuse d’avoir doutée de lui :
- Oui, Maître. Pardon, Maître.”
Il dit d’une voix neutre :
- Tu devrais prendre exemple sur elle, Marilyn. Je te donnes une semaine pour réfléchir à ton attitude…”
Elle hoche la tête piteusement :
- Oui, je serais sage. Très gentille. Obéissante.”
Elle veut reprendre le collier.
Il le range dans sa poche.
- Tu n’es plus mienne durant cette semaine. Goûtes à la liberté.”
Elle s’effondre, hurle :
“- NOOOOOONNNNN !!!”
Il n’en a cure, il se redresse, se rapproche de moi, détaille mon corps du regard. Il dit d’une voix distraite sans se retourner.
- Quand tu reviendras, si tu reviens, tu n’auras plus de nom. Il faudra le gagner à nouveau.”
Nouveaux geignements plaintifs de l’ex-Marilyn. Il ne s’en préoccupe pas et ajoute d’un ton sec.
- Vas t-en, maintenant. Adieu, Marilyn”
Elle sanglote, se redresse péniblement. J’ai beaucoup de peine pour elle. Des larmes coulent de mes yeux. Mon Maître les sèche du doigt, caresse mon visage.
- Une telle compassion… Oui, c’est merveilleux…”
La porte se referme doucement alors que celle qui a perdu son nom part. L’ex-soumis reste prostré au sol. Personne ne semble se préoccuper de lui …
Deux hommes s’avancent alors vers moi. Le maître me fait allonger sur un banc. Une queue s’approche de ma bouche, je la branle et la suce… Comme j’aimerais que ce fut celle du Maître…
Je sens des doigts se glisser entre les mailles de ma combinaison, caresser mon intimité et mon anus. Je mouille. Les doigts se glissent en moi. Il s’arrête sur la plaque.
- Tiens ? Qu’as-tu dans la chatte ?”
J’arrête de sucer et réponds :
- La plaque de mon casier. Je me suis dis que je devais la mettre avec les affaires de mon Maître. Ai-je eu tort ?”
Mon maître répond :
- Non, tu as très bien fait.”
Sa main caresse mes cheveux. Je rougis de plaisir et suce à nouveau la queue tendu vers moi. J’entends le bruit d’un cutter mais ne m’en inquiètes pas. Le Maître est là et ne pense qu’à mon plaisir. Je sens que l’homme tire sur mon ensemble le tissu se déchire.
Il glisse le dos de la lame dans ma fente. Je frissonne… De plaisir. Je mouille. Je l’entends faire un mouvement sec, la lame n’est plus dans mon sexe. Je devine le trou béant dans la combinaison au niveau de mon entrejambe. Cela m’excite, je suce de plus bel.
Il rabat mes jambes vers mon visage. Mon cul se révèle à lui. Cette fois-ci je sens la lame caresser mon anus alors qu’une nouvelle ouverture se fait dans mon ensemble. Il ne reste plus que quelque centimètre de maille entre mes reins pour retenir la combinaison. Ainsi que le bustier. L’homme me lèche l’anus.
Enfin les deux hommes m’aide à me relever, me bande les yeux, caresse me seins… Je sens leur queues contre mes cuisses, mes fesses, mon ventre… Puis ils me soulèvent du sol. Je me laisse faire. Il me dépose sur le bloc triangulaire. Mes pieds ne touchent pas le sol. Tout mon poids repose sur mon sexe.
Je mouille abondamment.
Il me font pencher en avant. Je sens maintenant l’arête du triangle tout le long de mon torse… Mes seins pendent de chaque côté. Ils m’offrent leur sexe et je les suce avidement. J’entends le bruit d’un gant de cuir que l’on enfile. Je ne sais comment mais je sais que c’est mon Maître.
Je suis toute excitée : Il va enfin s’occuper de moi ! J’ai envie de jouir rien que d’y penser mais je me retiens. Il s’approche de moi. Me claque les fesses.
Les deux hommes se reculent. Je pose la tête sur le chevalet. Mon Maître demande :
- Tu es heureuse ?”
- Oui, Maître…”
- Tu veux quelque chose ?”
- Oui, Maître. Je vous veux.”
Je ne le vois pas mais je sais qu’il sourit.
- Prépares-toi alors…”
- Je suis toujours prête, Maître.”
- C’est bien…”
Je sens sa main gantée pénétrer mon anus. La douleur est atroce.
Pourtant la seul sensation que je garde en tête est le bonheur d’être enfin à lui. Ma mouille gicle en grands jets sur le chevalet et je hurle ma jouissance…

Grâce à Jobar -un des mes visitieurs les plus assidus- que je remercie, 
vous pouvez découvrir toutes les histoires de Talis Cat à cette adresses
http://www.histoire-erotique.org/auteur-928.html

A la découverte des gouffres

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Pour tout faire entrer...
C'est juste une question de patiente...



Histoire du net. Auteur Inconnu. Itinéraire.....

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Quand une femme aimante devient 
amante pour faire plaisir à son mari
Mais pas qu'à lui bien sur.....

Mon cadeau d’anniversaire
Ma Femme est la plus belle femme du monde. Nous sommes mariés depuis presque 10 ans, et nous avons deux filles. Elle a été compréhensive en acceptant de temps en temps mes fantasmes de domination féminine, et d’être cocu. Cela nous a donné quelques bons moments, mais elle a toujours pris garde à ne pas aller plus loin.
Le week-end dernier elle me demanda de rester à la maison avec les enfants pendant qu’elle allait à la plage avec ses amis pour Mardi-gras. Lorsque je suis rentré vendredi, elle put partir, mais je ne savais pas que c’était avec un homme célibataire et avec qui elle pourrait donner l’occasion à mon fantasme d’être cocu de devenir réalité.
Le samedi soir lorsqu’elle m’appela, tout allait bien, et elle me dit que deux personnes lui avaient fait des propositions. La première d’un couple, et l’autre d’un garçon, mais c’était un peu plus subtil. J’ai d’abord pensé qu’elle m’excitait exprès, puis j’ai réalisé qu’elle était sérieuse. Elle me dit que c’était intéressant, mais qu’elle ne pouvait imaginer d’elle même d’aller plus loin dans cette histoire.
Elle me rappela plus tard dans la soirée, me disant qu’elle voulait être avec ce garçon célibataire qui la draguait. J’ai reçu un coup à l’estomac. J’étais maintenant certain à 99% qu’elle était sérieuse. Mon estomac avait des noeuds, toutes les émotions déferlaient sur moi de la jalousie à l’excitation la plus totale. Je l’aime et je sais que ses sentiments sont mutuels. Je voulais que cela arrive, je voulais qu’elle ait du plaisir à sa manière, je voulais qu’elle fasse l’amour avec un autre homme. Elle me répondit qu’elle pensait le faire avec lui, et qu’elle me tiendrait au courant.
J’attendis une heure, puis je ne pus plus attendre. Je lui envoyai des SMS, le premier disait : «que je voulais qu’elle prenne un amant, qu’elle prenne du plaisir.» le suivant : «qu’elle devait revenir à la maison le lendemain avec le goût de son sperme sur ses seins et sur ses lèvres», je ne songeai même pas au fait qu’il n’y avait aucune chance qu’elle fasse l’amour avec lui sans préservatif. Le dernier disait : «envoie moi un message si tu le fais», comme cela je saurai.
Au fur et à mesure j’envoyai d’autres messages, j’avais éjaculé déjà, beaucoup. En lui écrivant de nouveaux messages, je me masturbais à nouveau. Je devenais fou en songeant à ce qui allait arriver.
Je reçus un message à 23h45, mon coeur bondit jusqu’à ma gorge, mon sexe s’est durci, et j’ai reconnu cette sensation familière de papillons dans mon estomac. Je m’étendis sur le lit, et je me suis masturbé à nouveau en même temps que j’imaginai ma femme dans un millier de positions différentes.
Qu’est-ce qu’elle aimait ? Etait-il bien monté ? Etait-il gentil ? Avait-elle du plaisir ?
Appréciait-elle ? Comment la baisait-il ? Que se disaient-ils ?
Et j’ai éjaculé à nouveau.
A une heure du matin elle m’appela. J’ai répondu nerveusement, et elle m’annonça que c’était fait. Ma merveilleuse femme m’appelait pour me dire qu’elle venait juste de prendre un amant, et qu’elle m’avait fait cocu. J’ai eu un millier de questions. Comme je voulais la tenir dans mes bras, la regarder dans les yeux et lui poser ces questions. Elle me dit avoir fait l’amour pendant deux heures. Deux heures ! Mon Dieu !
Mon sexe était dur à nouveau, elle me raconta comment elle l’avait étendu sur le dos, et pris son sexe dans sa bouche. Comment il l’avait arrêtée parce qu’il ne voulait pas jouir trop vite. Comment elle l’avait monté alors qu’il était étendu sur le lit.
Il a un gros sexe, lui demandais-je. Elle me répondit qu’il l’avait plus longue que moi, mais moins épaisse. Comment et ou a-t-il éjaculé ? Sa réponse :
- J'étais à quatre pattes quand il a joui. Il n’avait pas de préservatif !
Un autre homme avait joui dans le ventre de ma femme.
Puis elle me dit qu’elle était très excitée, et qu’il lui avait fait connaître le septième ciel. Ses propres mots ! Elle me dit alors qu’elle n’arrivait plus à me parler, et elle raccrocha.
Je voulais tout savoir. Je voulais savoir maintenant. Je voulais la tenir. Regarder dans ses yeux, et lui dire que je l’aimais. Pour l’instant, je voulais m’étendre et me branler encore, en pensant à ma femme en train de faire l’amour.
J’imaginai son visage, ce qu’elle disait pendant qu’il la pénétrait. Me demandant à quoi ressemblait sa délicieuse petite chatte avec son sexe qui la labourait. Je devais attendre le lendemain pour connaître toute l’histoire. J’ai joui pour la dernière fois de la nuit, et suis tombé dans un profond sommeil. Demain ne viendrait pas assez vite.
Je me suis réveillé avec les mêmes pensées que la nuit précédente. Mon sexe était en érection. Je me suis demandé si elle avait passé la nuit avec lui. Avait-il encore fait l’amour après que nous ayons parlé ? Une fois de plus je me suis masturbé, jusqu’à ce que mon sperme jaillisse.
La journée était aussi longue qu’une semaine. Lorsqu’elle fut à la porte, j’ai couru pour l’embrasser. Les mots n’exprimaient pas ce que je ressentais, combien je l’aimais, combien je voulais la goûter, la sentir. Mais avec deux jeunes enfants il est pratiquement impossible de trouver d temps pour cela dans la journée.
Lorsque nous nous couchâmes je lui ai posé plus de questions. Elle me raconta comme il aimait ses seins, comme il les a sucé, comme il l’a baisé. Comment il l’avait étendu sur le dos avec ses mains sur ses épaules, et qu’il la pénétrait profondément. Comment les autres avaient entendu ses gémissements, et ses cris quand elle avait joui deux fois.
J’étais dur à nouveau. J’ai voulu lui faire l’amour, mais elle me dit qu’elle avait encore un peu mal de la nuit précédente, et qu’elle n’en avait pas envie. J’étais nu, et je m’étendis dans le lit, elle à mes côtés, alors qu’elle me racontait tout en détail. Je lui ai demandé si elle avait encore envie de lui, et sa réponse fut : « oui ».
Elle m’excita avec ses yeux, son sourire sexy, en me disant qu’elle voulait sortir avec lui, et faire l’amour avec lui à nouveau. Et évidemment, j’ai joui à nouveau.
Au bout de deux jours, elle m’offrit un livre sur la manière de réaliser le «parfait cunnilingus», et quelques conseils sur ses préférences. Et j’ai appris ceci pour elle. C’était si excitant d’être aussi proche d’elle de cette manière.
Puis vendredi, la veille de mon anniversaire, elle m’écrivit une carte:
au verso, joyeux anniversaire, j’ai un cadeau pour vous !
Au verso elle écrivait :
« Pour ton anniversaire, je ne t’offrirai rien. Mais je vais offrir quelque chose à mon amant. Je l’ai invité à venir aujourd’hui pour passer 48 heures avec moi. Je veux jouer avec lui, faire l’amour avec lui, et dormir avec lui tout le week-end. Et tu vas satisfaire ton fantasme. Tu vas me voir baiser avec un autre homme. La seule exigence, absolue et complète, est de faire tout ce que je te dirai de faire. Si tu ne le fais pas, si tu discutes, nous t’exclurons de la maison pour le reste du week-end, et tu ne verras rien. Si tu es d’accord, prends le téléphone, et invite mon amant à venir à la maison, il attend ton appel. Joyeux anniversaire ! »
Je n’arrivai pas à y croire. Elle avait emmené les enfants chez la belle-mère.
J’allais voir ma femme faire l’amour avec son amant !
J’ai accepté immédiatement, et composé le numéro de téléphone.
- Que dois-je lui dire ai-je demandé ?
- Bats-moi... a-t-elle répondu.
J’ai inspiré profondément, lorsque j’ai entendu sa voix j’ai dégluti et dit :
- Je serais très heureux si vous veniez à la maison passer deux jours avec ma femme.
- Je suis sûr que tu l’es... répondit-il... alors écoute, je te demanderais ça une fois seulement, tu veux réellement que je le fasse ?
J’ai croassé que c’était ce que je voulais.
- D’accord, tu comprends les règles alors ?
J'ai répondu que oui.
- Bien, quand je vais arriver, je veux que tout soit prêt, d’accord ?
J’ai encore dit oui.
- Ah une dernière chose, prends le dictionnaire, cherche le mot cocu, et écrit la définition sur un grand carton, j’arrive dans une heure.... Et il raccrocha.
Ma femme souriait, et me tendait un grand carton, et j’ai écrit dessus :
«  cocu : un homme avec une femme infidèle.
Elle regardait par-dessus mes épaules. Je lui dis :
- Et bien tu vas l’être ?
- Quoi infidèle ?... Si tu me demandes si je t’aime, oui je t’aime. Mais si tu me demandes si ça m’excite, et si je vais te virer du lit pour l’avoir deux jours, tu ferais bien d’y croire. Et elle rit.
Puis elle me demanda d’attendre son amant pendant qu’elle se préparait. Ce furent les plus longues minutes de ma vie.
Il me salua, puis vit le carton.
- Je ne vais pas la garder tu sais, on va juste se marrer deux jours. Et pendant ces deux jours, tu vas vérifier que ce qu’il y a écrit sur ce carton est vrai. Alors ou est ma femme ?
Je suis allé la chercher.
Elle semblait « prête », elle avait pensé à lui.
Puis ce fut le dîner. Enfin, ils dînèrent tous les deux, en m’ignorant, se comportant comme de jeunes mariés. Ils s’embrassaient, se caressaient, se chuchotaient à l’oreille.
Puis nous nous installâmes pour regarder un DVD. Je le voyais caresser ses seins, et elle, sa main sur ses cuisses. Ils ne se sont pas déshabillés. Pour ma part je sentais l’excitation, mais ils restèrent ainsi deux heures à se caresser. Lorsque le film fut fini, il lui demanda s’ils allaient au lit.
- Au lit oui, mais pas pour dormir » lui répondit-elle.
Il sourit et tous les deux se tournèrent vers moi, ma femme me dit doucement mais de manière délibérée :
- Monte, prend un oreiller, une couverture, et ce dont tu peux avoir besoin cette nuit, tu dors ici.
- QUOI ? ai-je crié, je dors en bas ? Tu m’as dit que je pourrais vous regarder ! je me sentais frustré.
- Mais lis la carte chéri, elle dit que tu me regarderas, et tu le feras, mais elle ne dit pas que tu vas voir à chaque fois, et ce soir c’est moi et mon amant. Tu restes en bas, et si tu mets un seul pied dans les escaliers, je te ire d’ici. Mais si tu es gentil, et que tu fais ce qu’on te dit, on laissera la porte ouverte, et tu nous entendras. Alors dépêches-toi de faire ton lit pour que je puisse aller dans notre lit avec mon amant.
Elle avait raison, j’ai fait ce qu’elle m’a dit. Ils avaient préparé leur coup. J’ai pris un oreiller, une couverture, et je me suis assis dans le salon. Ils se dirigeaient vers les escaliers, et juste avant, il s’écarta de ma femme, vint vers moi, pointa le doigt vers le carton et me dit :
- Lis-le pour moi ».
Je l’ai regardé, ai vu son érection sous son pantalon, et ai dit :
« cocu : un homme avec une femme infidèle. ».
Il se tourna vers elle, et en commençant à monter les escaliers, ils dirent ensemble :
- Bonne nuit, cocu ! ».
Je me demandais si j’allais entendre quelque chose cette nuit, au bout de cinq minutes de silence. Je pouvais voir la moitié des escaliers d’où j’étais allongé, je me demandai si les sons porteraient aussi loin.
Soudain, sa jupe vola jusqu’en bas des escaliers. Ils me tentaient, elle était en haut avec lui, et n’avait plus de jupe. Juste le temps d’accepter cette pensée, et j’avais baissé mon slip. Un bruit signala l’atterrissage de ses chaussures. Puis ce fut sa chemise à lui, et bientôt l’escalier était encombré de leurs vêtements.
Je pensais qu’il voyait les seins de ma femme, j’attendais sans respirer, lorsque la culotte de ma femme attaché au slip de son amant tombèrent au pied de l’escalier. Maintenant ses jambes s’étaient enroulées autour de ses cuisses, et j’ai joui.
Au bout de dox minutes, j’ai entendu de faibles gémissements. Les avais-je imaginé ?
Puis ils se firent plus forts. J’ai souri, je connaissais ce bruit, puis elle dit :
- Lèche-moi, je t’en prie, n’arrête pas.
C’était comme un coup de poing à l’estomac. Je connaissais ce son, le son de ma femme quand elle fait l’amour, son son le plus intime… Mais je n’étais pas avec elle. Je n’avais jamais entendu ma femme jouir d’un autre homme. Mais là, aucun doute, il la faisait jouir.
- OUIIIII, je jouis !!!! »
J’étais heureux, elle avait du plaisir, j’étais en érection, et tout allait bien. Je savais qu’il allait la pénétrer, elle aime jouir avant d’être pénétrée, ce ne serait plus long maintenant. J’attendais l’étape suivante. Mais je n’étais pas prêt à entendre ce que j’entendis, elle jouit à nouveau, et c’était encore avec sa langue, elle n’avait JAMAIS fait ça, lorsque je l’avais fait jouir avec ma langue, elle ne voulait rien d’autre qu’être pénétrée.
Que se passait-il ?
Je me suis posé la question jusqu’à ce que je l’entende jouir à nouveau, et qu’elle le supplie de la pénétrer. Imaginez-vous ceci, je ne pouvais pas trouver les mots pour décrire mon état. J’entendais
ma femme, de sa voix la plus profonde, la plus sensuelle, le SUPPLIANT :
- Baise-moi, mets-moi ta queue, je la veux maintenant, VAS-Y !
elle le voulait lui, pas moi – lui. Puis :
- Ouiiii, vas-y, oui, ohhhhhhhhhhh…
Il avait introduit son pénis en elle, il la faisait jouir. J’ai lu le carton : « cocu : un homme avec une femme infidèle ». et je me suis rappelé la promesse de son amant : « je ferais tout ce que je peux faire pour que tu sois sûr que cela te concerne. » Et il le fit.
Le reste était dans le brouillard pour moi. Je ne sais pas combien de fois ma femme a crié de plaisir, je sais seulement que c’était plus qu’avec moi. Les orgasmes se succédaient, et elle me dit plus tard avoir atteint un point où elle jouissait sans interruption.
Puis j’entendis quelque chose que je n’avais jamais entendu, un grognement profond, beaucoup plus profond que sa voix l’est habituellement. J’ai compris au bout d’un moment que c’était sa voix à lui, en train de jouir. Elle et moi nous l’entendions jouir, moi en bas de l’escalier, et elle dans ses bras, son pénis en elle.
Puis elle eut un cri perçant, que je n’avais jamais entendu. Les deux bruits se mélangeaient, ils me remplissaient de désir, d’envie, de jalousie, de peur, et je bandai plus que jamais je n’avais bandé.
J’ai dû m’endormir comme ça, parce que je l’entendis me dire de me réveiller.
C’était le matin – il était nu en face de moi. J’ai regardé son pénis.
- J’ai tenu promesse, ta femme est un bon coup, et je vais continuer à en profiter, ça va prendre un peu de temps pour qu’elle te soit fidèle nouveau... Voilà nos instructions, tu vas nettoyer ici, puis te laver, et nous amener le petit déjeuner au lit. Deuxièmement on va t’appeler « cocu » maintenant, et troisièmement : joyeux anniversaire !
Je me suis douché, habillé, j’ai préparé le petit déjeuner, je l’ai monté dans la chambre. La porte était fermée, et j’ai poliment frappé. La porte s’est ouverte sur ma femme complètement nue.
Je la voyais nue, en face de moi, et son amant étendu dans le lit.
Cette image de son corps nu, son ventre, sa toison, ses seins, restera à jamais gravé en moi. Ma femme et son amant nus dans notre chambre, et je tenais un plateau avec leur petit déjeuner. Elle prit le plateau sans un mot, se retourna et ferma la porte.
Alors que je commençai à descendre, je l’entendis me crier :
- On descend dans un instant, cocu.
Pendant des années j’avais imaginé cela, elle avec un amant. J’avais pensé tout imaginer, mais j’avais tort. Rien ne peut vous préparer à voir votre femme nue avec un autre homme !
Je m’assis dans le salon, avec une érection en béton, me rejouant ce que je venais de voir. Ma femme était infidèle, et j’étais son cocu !
Puis ils descendirent. Ils se tenaient par la main. Elle me dit :
- Tu vas nous voir aujourd’hui. Mais on a une proposition à te faire, et tu choisis d’accepter ou non. Ce soir nous allons faire l’amour, et tu pourras regarder. Puis nous te demanderons de sortir, et nous passerons le reste de la nuit, et le lendemain ensemble, sans toi. C’est ce que nous t’avons promis. Mais il manquerait quelque chose sans quelqu’un pour «nettoyer». Alors si tu VEUX être notre nettoyeur, tu pourras regarder tout ce qu’on fait pour le reste du week-end... Alors ?
Je pensais connaître la réponse mais j’ai posé la question:
- Qu’est-ce que je vais avoir à nettoyer ?
Elle sourit.
- J’ai dit à mon amant que tu aimerais lécher le foutre de mon amant dans ma chatte. Et il aimerait vraiment voir ça. Mais tu devras le nettoyer avant que je te laisse me toucher... C’est la moindre des choses que tu puisses faire. Il m’a fait tellement plaisir cette nuit, et je sais que tu veux le remercier. N’est-ce pas ?
Je n’avais jamais touché la queue d’un homme. Je n’en avais même pas vu jusqu’à ce matin. Je ne m’imaginais pas entrain de faire ce qu’elle disait. Mais la vue de ma femme nue avec lui, me hantait encore, je savais que je voulais en voir plus. Et sans plus réfléchir j’ai murmuré « oui ».
Puis nous sommes sortis, je conduisais, ils étaient assis à l’arrière. Ils plaisantaient sur les tartes à la crème. Dans la rue ils se tenaient par la main comme des amants, lui faisait de son mieux pour m’appeler « cocu ».
La journée passa ainsi. J’ai acheté un soutien-gorge et une culotte en soie à ma femme, avec un petit jeu dans la boutique pour qu’il soit évident qu’il en profitait et que je payais. Au dîner au restaurant, je n’arrivais pas à manger. Ils se parlaient, m’ignorant, pendant ce qui m’a semblé des heures. Puis il se tourna vers moi et dit :
- Allez viens cocu, c’est le moment de me regarder pendant que je baise ta femme.
Nous retournâmes à la maison en silence. C’était ce que je voulais, mais il y avait tant d’émotions en moi. J’étais très très très excité. Les dernières 24 heures m’avait laissé dans un état bien au-delà de ce que j’avais connu.
Ils me dirent que le cerveau était l’organe le plus érotique, et ils jouèrent sans arrêt avec celui-ci. J’étais gêné aussi, je ne pouvais pas cacher mon excitation. Je ne sais pas ce qui était le plus intense, ce qu’il me disait qu’il allait faire à ma femme, ou ma femme me disant qu’elle voulait qu’il le fasse. Fantasmes et réalités se percutaient devant moi, que je sois prêt ou non.
Nous arrivâmes à la maison. Et j’amenais une chaise dans la chambre. Il me dit :
- Déshabille-toi
J'obéis, mais en enlevant mon sous-vêtement j’ai réalisé que j’étais plus conscient que je ne le pensais. Eux aussi se déshabillèrent bien sûr, mais j’étais à l’extérieur, juste comme si j’étais nu devant un couple d’étrangers – ma femme et lui !
Ils commentèrent le gâchis qu’était mon érection que personne n’en ferait rien, puis il me dit de m’asseoir confortablement. Et il saisit un rouleau de bande velpeau. Il attacha mes poignets à la chaise en m’expliquant :
- Il ne faut pas que tu viennes nous gêner pendant qu’on te fait cocu.
J’ai promis de ne pas les gêner, mais j’ai demandé de pouvoir me masturber en les regardant. Il a ri.
- Tu ne comprends pas ? On en fait pas ça pour TOI, on le fait à toi. Ta place c’est d’être assis ici, et de me regarder pendant que je baise ta femme.
Puis il attacha mes chevilles.
Je me sentais comme sur une chaise électrique. Quelque chose allait m’arriver.
Puis ils baisèrent devant moi. Les gars croyez-moi, si c’est votre truc de voir votre femme faire ça, la première jouissance de votre femme avec son amant est un moment que vous n’oublierez jamais.
J’étais excité comme jamais. Puis ma femme vint nue devant moi, resta silencieuse pendant que je regardai son corps dénudé et intouchable. Puis elle me parla doucement :
- Maintenant je vais baiser avec lui devant toi, et tu ne peux rien y faire. Tu ne peux pas le faire arrêter, et tu ne peux pas jouir. Juste assis, tu regardes. Je vais te faire cocu, devant tes yeux.
Il s‘agenouilla devant elle, sa queue à quelques centimètres de sa chatte, et il s’arrêta.
Il se tourna vers moi et dit :
- Tu sais, j’ai réalisé hier en baisant ta femme que mon boulot c’était de l’aider à te faire cocu, alors la position du missionnaire est parfaitement adaptée. Tu vois ses tétons qui pointent vers moi, son ventre qui m’appelle, et qui bouge d’excitation, et ses magnifiques cuisses toutes grandes écartées, c’était quoi la définition déjà ?
Je pensais que c’était une question rhétorique, mais il attendait ma réponse. J’ai essayé mais je restai muet. Puis j’ai fini par grincer :
- Cocu : un homme avec une femme infidèle.
- Tout juste, alors je te pose la question, est-ce que ta femme ressemble à quelqu’un qui t’est fidèle? Regarde là. Regarde-là vraiment, l’est-elle ?
Elle était nue sur le lit, jambes écartées, attendant qu’il la pénètre.
- Non... ai-je répondu tranquillement.
Puis il se tourna vers elle :
- Que veux-tu ? lui demanda-t-il.
Sans une hésitation elle répondit :
- Je veux que tu me baises.
- Ce n’est pas assez bien dit-il.
Elle essayait de saisir sa queue avec sa chatte, mais il la tenait éloigné.
- Baise-moi s’il te plait ! Baise-moi maintenant je le veux ! cria-t-elle.
- Pas encore assez bien... dit-il.
Elle me regarda droit dans les yeux et dit :
- Ce n’est pas toi que je veux, c’est lui que je veux.
C’était la phrase magique. Avant même qu’elle tourne les yeux vers lui, il s’enfonça en elle. Il enfonça toute sa queue dans la chatte de ma femme d’un coup long et puissant. Et d’un seul coup sans me toucher alors que je voyais sa queue entrer en elle, j’ai joui !
Personne ne m’a touché, personne ne m’a regardé, mais j’ai joui. Ma semence a éclaboussé dans toute la pièce. Je ne savais pas à qui ça ressemblait, mais je l’ai entendu dire à ma femme :
- Ton mari approuve ton choix.
Cela m’excitait tellement de voir sa queue entrer et sortir d’elle. Elle aimait ça aussi. Elle jouissait sans arrêt. Je regardai cet homme baiser ma femme. Je regardai sa réaction. Elle criait, gémissait, répondait à ses mouvements.
Dans mon imagination son sexe était toujours propre, sans être froissé, une danse virtuelle, en vrai ce n’était pas ça, m femme ressemblait à un animal sans dignité, sans penser à rien sauf à la queue dans sa chatte. Elle voulait sentir sa queue tout au fond d’elle. Je me demandai si c’était ce que je voulais vraiment. Mais instantanément la réponse fut « oui ! » Je n’avais jamais connu un tel plaisir. J’étais en érection. Ma queue réagissait à chaque instant, rien dans mes souvenirs de baise n’est aussi bon que cet instant.
Puis il la retourna face à moi, et s’introduisit en elle, elle me regardait, et me disait pendant
qu’il la baisait lentement :
- Cocu on a décidé que pour ton anniversaire on devait te dire comme c’est bon de baiser ensemble, on espère que tu n’oublieras jamais cette queue en moi, et mon amant qui te dit qu’il aime me baiser, ohhh je jouis…. Sa queue est si bonne, j’aime qu’il me baise…. J’espère que t’aime aussi….. maintenant regarde-moi, je jouis……. Cocu !!!!
Je n’arrêtais pas de trembler, j’étais nu sous une tempête de neige. Je tremblai de partout. Heureusement que j’étais attaché, j’aurais tout cassé. Puis il me regarda.
- Hé cocu, d’habitude on amène des cadeaux à un anniversaire, mais c’est toi qui m’a fait un cadeau. Ta femme ! C'est un bon coup. Si tu savais comme c’est bon en elle, quand elle est dans cet état. Jouis pour ton cocu, vas-y ! Regarde-la, elle respire plus vite, sa chatte me bouffe la queue, ça y est elle jouit, regarde ta femme qui jouit... Voilà, maintenant cocu, il reste une chose à faire... C’est le moment pour moi de décharger en elle. Imagine, pendant deux jours mon sperme va nager en elle. Ta langue n’est pas assez longue pour tout prendre tu sais. Alors tu veux que je gicle dans ta femme ?
- Oui.. ai-je dit d’une voix bizarre.
- Pas assez bien... dit-il d’une voix moqueuse.
- Oui s’il te plaît, jouis dans ma femme.. ai-je répondu rapidement.
- Pas encore assez bien !
Puis je l’ai regardé, pendant qu’il la baisait en rythme, qu’il entrait et sortait d’elle, je l’ai regardé elle, gémissante, jouissante, ne prêtant pas attention à notre conversation, et j’ai dit clairement :
- Oui s’il te plaît, baise ma femme, jouis en elle, vide-toi en elle, fais-moi cocu !
- Avec plaisir. »
Toute la tension sexuelle fit irruption dans notre chambre, ma femme explosa, elle cria, et il gicla déversant sa semence en elle. J’ai joui pour la seconde fois. Je l’ai vu. De mes yeux vu, elle a baisé avec un autre homme, un autre homme a baisé ma femme, pendant que j’étais assis et que je regardais.
Il sortit d’elle. Me regarda dans les yeux.
- Ma queue est toute couverte de sperme, lèche moi. »
Je venais de jouir deux fois. Je n’avais pas d’envie. J’ai souhaité ne pas avoir éjaculé avant. Puis j’ai réalisé que je ne m’étais pas fait éjaculer, c’était arrivé sans que je ne puisse rien y faire. J’avais deux choix, accepter que ce soit la dernière fois que je les vois faire ça, ou faire ce que je devais faire. Il se leva, se tint devant moi, et dit :
- Tu veux bien détacher ton cocu de mari ?
Ce qu’elle fit. J’avais peur d ce que je devais faire, peur de ce qu’ils allaient dire, et peur d’aimer ça. Sa semence couvrait sa queue, et dégoulinait sur ses poils pubiens. J’ai dit :
- Je n’arrive pas à le faire.
Ils me dirent, ça ne fait rien. Ils souhaitaient que j’avais passé un bon moment, et qu’ils me verraient demain vers quatre heure. J’essayais de discuter mais rien à faire. Je proposais de nettoyer ma femme d’abord, mais là aussi ils refusèrent.
Alors je l’ai fait... Je me suis agenouillé entre ses jambes. J‘ai touché sa queue avec mes doigts, léché son gland. Et il dit :
- A ce rythme nous serons trop vieux pour nous souvenir de ce qui s’est passé le temps que tu finisses. Nettoie-moi cocu.
J’ai respiré un grand coup, ouvert la bouche, et j’ai pris sa queue. Son foutre était salé et amer. Je pensai que le sucer leur suffirait, mais non.
- Arrête-toi cocu... Ne bouge pas ta bouche... Voilà garde-là toute en toi. Maintenant regarde.
ils se sont embrassés. J’ai bandé encore. Lorsque ce fut fini pour son amant, je me suis tourné vers ma femme. Elle était étendue sur le lit, et pendant que j’avançais entre ses jambes, il s’approcha aussi. Nous avons regardé les lèvres de sa chatte ouverte. Elle était trempée de partout. Et j’ai léché.
- C’est bon non ? me dit-il.
J’ai acquiescé. J’ai léché ma femme de partout. Sans penser à rien. La semence coulait d’elle. Je léchais tout, sans rien laisser. Mon cadeau d’anniversaire était réussi. J’ai pu les regarder faire encore l’amour, et lécher sa queue et sa chatte.
Maintenant je sais ce que ça fait de voir sa femme baiser avec son amant. Ils regardaient mon érection, comme si elle était obscène dans «leur» chambre à coucher. Et ils me dirent de sortir. Je suis descendu et me suis masturbé.
J’ai passé la nuit dans le salon, pendant qu’ils dormaient dans leur lit. A quatre heures il me dit qu’il allait à nouveau baiser ma femme, et que je ferais mieux de monter rapidement, si je ne voulais rien rater et le nettoyage.
Je suis monté les ai regardé, ai léché, et les ai regardé s’habiller avant de partir. Ils ne m’ont pas rattaché sur la chaise. Mais je n’avais pas le droit de me toucher en leur présence. J’ai été meilleur pour le nettoyage.
On s’est assis ensemble dans le salon avant son départ.
Elle mit ses bras autour de moi, et nous lui avons souhaité un bon retour.

Sont à nouveau sur le marché. Qui veut en profiter... Rediffusion

Un dimanche de brèves

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Quand tous les genres se mélangent.
Pour des découverte en tous genres...

Grève de bus
Auteur : Hornyboy,
Il y a plus d'une douzaine de personnes à l'arrêt du bus que j'attends  depuis une vingtaine de minutes. Et je me dis que, quand il va arriver, il sera bondé . Ces grèves de la RATP nous rendent la vie difficile ...
Certains disent que les grèves ont un bon côté, c'est l'occasion de rencontrer des gens, d'échanger quelques paroles avec des voisins, ce qu'on ne fait jamais le reste du temps où chaque voyageur se plonge dans son journal et ne relève le nez qu'en arrivant à son arrêt.Par contre, les jours de grève, les voyageurs sont plus enclins à se parler.
C'est ce qui m'arrive quand une dame se m'adresse la parole. Comme toujours, les premiers mots sont pour se plaindre des conséquences de la grève et elle me raconte les difficultés qu'elle a eu ce matin pour venir travailler dans le centre de Paris.
Ah, voici le numéro 42. Bien entendu, il est plein ! Enfin j'ai quand même de la chance car sans bus, j'aurais dû marcher presque deux heures pour rentrer chez moi. Je monte dans le bus déjà bien plein, et il y a encore cinq ou six personnes se tassent encore derrière moi. D'une main, je tiens mon sac bien serré sous mon bras car cette cohue est un endroit rêvé pour un pickpocket. Je m'accroche à une barre de l'autre main pour ne pas perdre l'équilibre.
Enfin, c'est une façon de parler, car il y a tant de monde, nous sommes tellement serrés qu'on tient tout seul ! La masse que forme les voyageurs oscille un instant quand le bus démarre. Je regarde autour de moi et je vois que je suis coincée entre trois ou quatre hommes et une femme. Elle est d'âge moyen, le visage aimable et un léger parfum se dégage de ses vêtements.
Au dernier arrêt viennent de monter encore trois personnes et cette fois, il me semble que le bus ne pourra pas prendre d'autres voyageurs tellement nous sommes serrés. Impossible de bouger la main ou la jambe. A peine ai-je assez de place pour respirer.
Heureusement que je n'ai que des vêtements d'été, une jupe légère et un corsage, car il commence à faire très chaud avec tous ces passagers pressés les uns contre les autres. Dans un virage les voyageurs oscillent comme une seule masse et chacun essaie de se retenir là où il peut.
C'est alors que  je sens une main  toucher ma cuisse gauche et y rester immobile. Je sens sa chaleur. Et lentement, la main se met à bouger, d'abord elle descend, puis après quelques mouvements comme si elle cherchait à me gratter, la voici qui remonte  le long de ma cuisse.
Me voilà tombée sur un  peloteur!
Je regarde autour de moi pour essayer de voir qui cherche à s'amuser avec moi. Il n'y a rien à dire sur les hommes qui m'entourent, ce sont des gens ordinaires que j'imagine mener une vie sans histoire entre leur bureau et leur pavillon de banlieue où ils vont retrouver femme et enfants. L'un, le style jeune cadre, est assez grand, les cheveux blonds et a une trentaine d'année. L'autre , la quarantaine est du genre latino, brun avec une moustache. Il y a aussi un petit chauve. Je vois encore un grand père serré contre mon bras gauche et à droite, un peu en arrière, un sac à dos me rentre dans  le bras. C'est celui d'un jeune, dix-huit, vingt ans, un étudiant peut-être. Non aucun de ces gens ne semble être mon peloteur.
Et pourtant, la main continue à avancer doucement en augmentant parfois sa pression sur ma cuisse. Soudain, je prends conscience que, non seulement cette main remonte vers mon entrejambe, mais aussi qu'elle à réussi  à passer sous ma jupe et est directement posée sur ma peau.
Que faire ? Mes mains sont bloquées par la marée humaine, l'une tient mon sac serré sous mon bras gauche, l'autre, en l'air, s'accroche à une barre. Je pourrais crier, m'emporter, mais contre qui ?
Tous mes voisins ont l'air tellement innocent....et je ne me vois pas m'emporter et tempêter contre un peloteur que je ne peux même pas identifier et que tous penseraient être imaginaire. Qui ne lancerait pas à mon égard : " Elle prend ses désirs pour des réalités " ?
Le grand père... c'est lui. En le regardant bien , il n'a rien du petit grand père mais tout du vieux beau, du vieux vicieux. Trois cheveux soigneusement tirés sur un crâne chauve, la cravate bouffante, l'œil vif ...
Il est du genre à faire la sortie des écoles en proposant des bonbons aux petites filles. Je le fixe droit dans les yeux, je lui crache à mi-voix :" Vieux cochon ! " et il me regarde sans comprendre - semble-t-il ; profitant d'un cahot du bus, je parviens à tourner un peu sur moi même de sorte qu'il soit maintenant presque dans mon dos, trop loin pour pouvoir atteindre mon bas ventre.
Effectivement, l'attouchement a cessé. Et soudain, il reprend, et la main vient se coller directement sur mon sexe. Elle reste quelques secondes sans bouger, puis entreprend une série de pressions douces et régulières. je regarde encore autour de moi, mais je ne vois que des têtes occupées à bavarder, à lire ou simplement à rêver.
Je serre les jambes pour emprisonner la main mais celle-ci n'est pas assez engagée dans mon entrejambe pour que je puisse la bloquer et la retenir. Mais il a compris et se retire ; j'ai gagné, il sait que je sais et que je n'accepte pas ses attouchements.
Une ou deux secondes passent et il revient à la charge : je sens un doigt, puis deux qui essaient de tirer sur l'entrejambe de ma culotte. Le cochon ! A ma droite le petit étudiant me regarde fixement. Il a l'ait de jouir de la situation, ce petit vicieux. Une espèce de puceau boutonneux qui voudrait faire ses premières armes avec une femme.
En plus, il a réussi à placer son bras contre mon sein droit. Voilà qu'il va me peloter, en plus ! Il ne me manque plus que sa queue pour compléter le tableau ! Je parviens à écarter ce vicieux en donnant une bourrade.
La main s'est arrêtée, mais est toujours là avec un ou deux doigts posés sur le clitoris. Je réfléchis un instant et me dis que ça ne peut pas être cet étudiant. D'abord, il maintenant trop loin de moi, son bras ne pourrait pas m'atteindre. Mais surtout  ces caresses sont bien trop dosées, bien trop précises, bien trop subtiles pour un jeune peu expérimenté. A chaque secousse du bus, un autre doigt passe et repasse le long de mon sexe...
Il me semble qu'il cherche à ouvrir mes lèvres et à s'introduire au milieu d'elles. La paume appuie plus haut, sur mon clitoris. Je suis furieuse et en même temps j'ai une sensation agréable : la chaleur de la main pénètre tout mon ventre et les pressions sur le clitoris irradient mon corps de pulsions que je ne peux maîtriser. Totalement contre ma volonté, je me sens frissonner et j'ai du mal à contrôler ce frémissement.
 Brutalement, je sens les lèvres se séparer, ouvertes par le doigt qui les parcourt, qui remonte et viens s’arrêter sur mon clitoris, le titiller mon clitoris, appuyer dessus, l'entourer, l'agacer.
Je voudrais protester, crier, arracher cette main, mais je me sens incapable de le faire, abandonnée à cette caresse qui se répercute sans tout mon corps : je me surprends à écarter mes cuisses légèrement, malgré moi.
Je continue à chercher qui peut être celui qui s'est emparé de moi. Je regarde le latino sur ma droite qui lit l’Équipe, puis le jeune cadre, le walkman sur les oreilles,  et enfin le chauve. Ils ont tous l'air absorbé ou tellement indifférent.
Ce doit être la femme à ma gauche. Je suis maintenant certaine que c’est la douceur d'une main féminine qui explore mes lèvres pour en trouver ma fente la plus intime. Oui, la caresse est douce et précise, seule une femme peut avoir le toucher de velours de cette main, seule une femme peut savoir si exactement où elle doit pratiquer ses caresses et comment les faire.
Je dévisage la femme et elle me regarde, mais je ne sais pas comment réagir. Je devrais exploser, me dégager de force mais mon ventre est si chaud et si tendu que je suis paralysée ; ma tête refuse la dispute, l'esclandre et m'oblige à accepter, mieux, à me prêter au jeu de cette main.
Je sens mon ventre s'avancer, aller à la rencontre de la main pour qu'elle accentue la pression ; j'écarte les jambes pour qu'elle pénètre plus facilement mon intimité. En même temps, je sens que je suis mouillée, ma culotte est humide et mon vagin me brûle. Je regarde encore la femme et lui souris à demi. Aussitôt, la pression augmente entre mes cuisses et un doigt  parcourt mes lèvres dans tout leur longueur avant de s'enfoncer dans mon vagin.
La femme me rend mon sourire. Nous voici complices, je me soumets à sa volonté, j'accepte sa main qui me rend folle. Forcée, caressée et ouverte par une femme, en secret, dans un bus... La tension est insupportable pendant que j'attends que ces doigts s'enfoncent toujours plus loin en moi. 
Mon entrejambe est tellement mouillée que j'ai l'impression qu'elle va couler sur mes cuisses. Il me semble même que je peux sentir une odeur musquée monter, l'odeur enivrante d'un sexe de femme...
Je n'ai pas demandé cela, mais je suis trop excitée maintenant pour vouloir que ça s'arrête. Je sens monter en moi des forces que je ne peux pas contrôler , des sensations qui me submergent.
C'est à peine si me rend compte que le bus vient de tourner et débouche devant la gare du Nord. Les passagers commencent à s'agiter - pour autant qu'ils le peuvent, tant ils sont serrés- et se préparent à descendre. Dans quelques secondes quand le bus va s'immobiliser le long du trottoir.
Alors la main se fait plus insistante et quand  deux doigts remontent toutes mes lèvres intérieures et se placent de chaque côté du clitoris,  le serrent lentement et avec une grande douceur puis  relâchent leur pression, un spasme me traverse et je sens mon ventre, puis tout mon corps devenir plus chaud et vibrer, tandis qu'un grognement, tel celui d'un animal, s'échappe de mes lèvres.
Je n'ai plus de force , c'est à peine si mes jambes me portent et c'est avec  reconnaissance  que je sens mon voisin de gauche, le jeune cadre, me prendre par le bras pour me soutenir. Sa main est douce, chaude et  mouillée, elle a une odeur musquée  tellement enivrante !
 
Quand tous les genres se mélangent.
Pour des découverte en tous genres... 
Avec des fois le même genre...

Brève : Déplacement pro.
Auteur : Witerabite
En déplacement professionnel pour plusieurs jours, je devais partager une chambre d'hôtel avec un collègue hétéro sur qui je fantasmais. En fait j'avais flashé sur lui des mois avant quand il était arrivé et puis bon le temps passant ça s'était calmé de toute façon je savais qu'il était hétéro donc c'était cuit... Et puis on avait fini par devenir potes, on rigolait bien ensembles on sortait et je jouais au parfait hétéro...
Mais là, le fait de partager un peu d'intimité dans cet hôtel a réveillé mes pulsions! Le voir se balader en Shorty devant moi dans la chambre, sortir de la salle de bain avec juste une serviette autour de la taille, encore humide. Son torse nu avec les pecs et les abdos juste dessinés, l'odeur de son eau de toilette qui embaumait la chambre je n'en pouvais plus!
Ma frustration atteint son comble le soir où on a décidé de profiter du sauna de l'hôtel après la salle de sport. Nous voila assis côte à côte dans la moiteur du sauna, lui tout détendu n'y voyant pas malice puisqu'il croit être avec un pote hétéro et moi hypnotisé par les gouttes de sueurs qui ruisselle sur son torse et descendent vers son entrejambe à peine masqué par une serviette desserrée mais qui masque quand même sa queue...
Je peux juste entrapercevoir un peu de sa toison pubienne. Il ne remarque même pas que je bande comme un taureau sous ma serviette! Puis vient le moment des douches, pas de bol ce sont des cabines individuelles, décidément je ne pourrais même pas voir sa bite juste une fois! Voir sa bite, quelle forme? quelle taille? quelle épaisseur?et ses couilles, et ses poils, ça devient mon obsession... La nuit même, dans la chambre, je me branle pendant qu'il dort juste à côté de moi.
La journée suivante passe, le boulot me calme un peu. Le soir pas question de le passer encore dans l'hôtel. On décide de sortir, faire un peu la tournée des bars. Je suis pour... Picoler me fera du bien. J'espère juste qu'il ne lèvera pas une fille, imaginer sa queue fourrant une chatte ajouterait un peu plus à ma torture! Mais non, lui qui d'habitude emballe facilement, n'a ce soir pas de chance. Alors il picole double dose et on se marre bien...
On rentre à l'hôtel bien beurrés tous les deux mais lui plus encore. Il se déshabille à moitié et tombe KO sur son lit en cale-bute et en chaussettes et se met à ronfler légèrement.
Moi qui suis un peu plus clair je me déshabille tranquillement et au moment d’éteindre la lumière je remarque qu'il bande. On voit bien la forme de sa queue durcie sous le tissu de son Shorty. Il ronfle, je m'approche. Le tissu moule assez bien sa queue. Il bouge un peu dans son sommeil il se gratte au niveau du nombril puis sa main plonge un peu dans le Shorty, il se la touche mais la main ressort sans rien découvrir.
C'en est trop, je suis prêt à courir le risque...
Je saisis à deux mains l'élastique de son Shorty, le soulève un peu et le tire tout doucement vers le bas, découvrant sa queue et ses couilles. J'en mouille d'excitation. Je mate son attirail et je ne peux m'empêcher de comparer avec le mien! Sa bite doit faire la même longueur que la mienne mais la mienne est un peu plus épaisse et j'ai les couilles un peu plus pendantes.
Maintenant que j'ai libéré sa queue elle continue de se dresser et je ne peux m'empêcher de donner des coups de langue au niveau de son frein, chaque coup de langue fait gonfler un peu plus son gland.
Comment peut on avoir la queue aussi raide en étant aussi KO?!
Je dois pas être le seul avoir les couilles pleines à ras bord! Enhardi, je lèche maintenant sa queue de la base jusqu'au gland en luis massant les couilles, il pousse un petit gémissement mais ne se réveille pas, peut être qu'il rêve qu'il se fait sucer...
Je le mate de la tête au pied, il est trop bandant: son torse musclé sec, sa queue et je bloque sur ses petites chaussettes...Je prends un de ses pieds retire la chaussette délicatement et commence à lui lécher ses orteils fins. Puis je remonte à sa queue que je me met à pomper goulûment. J'ai sa queue dans la bouche, ses couilles dans les mains, de temps à autre il pousse un petit gémissement qui m'excite un peu plus.
J'en étais à me demander si il pourrait juter inconsciemment quand il se réveilla brusquement l'air ébahi. J'ai sa queue dans ma bouche et le cœur qui bat à 200 à l'heure.
Je dégrise instantanément, je me dis qu'il va me casser la gueule, que je n'ai plus d'ami. Ma bouche laisse échapper sa queue mais ne sait pas quoi dire! Il a un léger mouvement de recul tout en se redressant, nos visages se font face, il respire aussi vite que moi je n'arrive pas à interpréter son regard... Et là, avant que j'ai le temps de dire ouf il me saisit par la taille, me retourne, me baisse la cale-bute.
Je finis de l'enlever, je me penche en regardant derrière je le vois cracher dans sa main et se mouiller le gland. Il me la rentre d'un coup et commence à me baiser. Je n'en reviens pas, c'est allé si vite...
La veille je me morfondais et maintenant j'ai sa bite dans le cul!
Et surtout alors que je ne suis pas très anal, elle est rentré sans problème et c'est trop bon. Y a pas à dire il a le coup de bite! Si j'avais su plus tôt que se faire enculer pouvais être aussi bon je ne serais pas resté actif toutes ces années!! Je peux pas m'empêcher de gueuler que c'est bon, oh oui vas y!
A l'entendre gueuler il prend son pied lui aussi, et c'est de mieux en mieux jusqu'à ce qu'il réussisse à me faire prendre mon premier orgasme anal et puis un autre. Je gueule tellement fort qu'il s'arrête en me demandant si il m'a fait mal!
C'est trop mignon, je lui dis que non je prends juste un pied énorme!
On rit, il me dit qu'il ne va tarder à jouir et il repart de plus belle. Je me branle en même temps. Il accélère, pousse des cris de plus en plus rapprochés puis un dernier cri plus long et il s'arrête le corps agité de soubresauts tandis que je sens un liquide chaud dans mon cul.
Il se retire, je me remets sur le dos allongé face à lui et je fini de m'astiquer. Je viens bientôt gicler, je m'astique de plus en plus vite et de l'autre main je me titille un téton. Je vois qu'il m'observe avec attention et je gicle tellement fort que des grosses gouttes de mon sperme s'abattent sur son ventre.
Et on est là maintenant en sueur, à poil, face à face à s'observer, nos queues qui commencent à débander tout doucement... L'excitation se dissipant, je commence à être gêné, plus que lui même on dirait! Je sais pas trop quoi dire...
- Ça t'a plu?
En guise de réponse il me demande si je baise avec des femmes.
- Bien sûr (mentis-je effrontément!).
- T'es bi alors?
- Et oui, fis-je (c'est sûrement débile mais je pensais que ça l'effraierai moins que je sois bi plutôt que gay). Toi aussi? demandais-je.
Il me dit que non, avec un mec c'est la première fois, il n'aurais jamais imaginer être au pieu avec un mec mais que c'est franchement pas désagréable. Il n'envisage pas du tout de virer de bord mais à l'occasion à l'avenir pourquoi pas!
- Je suis ton homme dis-je!
Il sourit, on s'allonge et on continue à discuter de sexe tous les deux.
On parle de nos expériences respectives en toute liberté, je finis par avouer que moi et les filles en fait c'est pas vraiment ça! On aborde plein de sujet de curiosités respectifs, on rigole et on finit par s'endormir.
Le lendemain la journée de boulot est d'une banalité totale puis vient le soir...
On rentre après avoir un peu picolé et une fois dans la chambre on s'allonge, on se regarde et on se dit qu'est ce qu'on fait? C'est lui qui met les pieds dans le plat:
- Je me viderais bien les couilles!
- No problem!
Je m'approche, je lui déboutonne le pantalon, je l'enlève. Il bande, je lui demande si il veut que je le suce.
Il se fout à poil, ça veut dire oui j'imagine. Je le suce avec application, je déploie toutes mes astuces techniques. Il en redemande, il dit que c'est trop bon, la meilleure pipe de sa vie. Et quand je me mets à lui bouffer les couilles il gueule de plus belle. J'attrape sa main et la guide vers sa queue pour qu'il se branle pendant que je lui bouffe les couilles.
C'est très excitant de le voir s'astiquer. Je continuerais bien comme ça jusqu'à le faire gicler à coup de langue. Mais il reste un hétéro avec une sexualité basique quoique très active. Pour lui baiser et jouir ça implique forcément pénétration.
- OK tu peux m'enculer après tu es le seul à m'avoir fait jouir du cul!
Mais ce coup ci je veux le voir pendant qu'il me défonce, alors je me couche sur le dos, je lève bien haut les jambes pour lui présenter mon trou de balle et je lui dis viens. Il s'approche la queue à la main et encore une fois la rentre comme dans du beurre.
Et c'est reparti comme la nuit dernière, c'est trop bon... Tantôt il accélère, tantôt il ralentit. L'expression de plaisir de son visage m'excite au plus haut point. Alors que je me branle en même temps, il finit par m'attraper la queue et il m'astique. Petit à petit, la baise devient moins mécanique, je lui caresse le dos, les fesses puis je passe l'autre main sur ses pectoraux, il se penche de plus en plus vers moi tout en continuant à aller et venir dans mon cul.
Sa bouche est presque sur la mienne, nos souffles se mêlent. J'entrouvre la bouche pendant que je lui caresse les fesses, je sors un peu la langue, la sienne sors aussi entre deux gémissement et puis nos langues se frôlent et on finit par se rouler une vraie pelle.
Une de ses mains me caressent le long du torse. Pendant qu'on continue à s'embrasser je commence à titiller sa rondelle avec un doigt, ça le surprend il me dit non. Je lui d'attendre de voir, est ce que je l'ai déçu pour l'instant?! Alors on reprend je titille son trou de cul tout en douceur et je sens la rondelle qui se détend alors qu'il me pilonne de plus belle. Finalement il se redresse et ce mouvement fait s'enfoncer mon doigt et je le doigte de plus belle!
Je sens qu'il accélère, il me branle en même temps, je sens qu'il va jouir et là surprise il se retire et commence à se branler au dessus de moi et il m'envoie deux ou trois giclées de sperme sur le torse en poussant un râle.
Ensuite il s'est allongé à côté de moi il m'a demandé si j'avais joui et comme j'ai répondu pas encore il m' a gentiment astiqué pendant qu'on se roulait une pelle.
On continue à baiser de temps en temps. On sait qu'on ne finira jamais en couple mais c'est ensemble qu'on prend le plus notre pied au pieu.
Avec moi il ose proposer tout ce qui l'excite, il adore la sensation que procure mon petit cul serré sur sa queue, il adore se faire sucer jusqu'au bout sans avoir à prévenir qu'il va gicler puisque de toute façon j'avale tout goulûment... et petit à petit je lui montre de nouvelles façons de ressentir du plaisir...
Il n'aurait pas imaginer adorer autant se faire lécher les pieds et encore moins devenir accroc à mes tétons et je ne parle pas de la première fois où j'ai fourré ma langue dans son cul!
Je ne désespère pas bientôt de faire sauter l'ultime verrou le jour où il me permettra de l'enculer tendrement...

Un Dimanche avec Varenne et De Saxe....... Suite

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Une mise en image par De Saxe 
d'un des romans de Varenne.
Suite... 





  A dimanche prochain pour la suite

Dames équipées

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Certains Messieurs adorent 
avoir des jouets un peu particuliers...
 

Histoire du net. Auteur inconnu. Future salope....

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Quand l'amie d'un ami est partagée avec son ami...
Quand le copain teste son pote...
Bref c'est dans tous les sens...


La copine de Romain
C’était un samedi et je devais passer mon week-end chez Romain mon meilleur pote. Après une soirée bien arrosé, Romain et sa copine Ludivine, une superbe brune allèrent se coucher. J’étais en train de regarder la télé quand je suis tombé sur un film de cul. Je me mis à l’aise dans le canapé et sorti ma queue pour me branler. J’arrivais quasiment à l’extase quand j’entendis :
- Tu veux un coup de main ?
Je me retournais toujours ma bite à la main et je vis Ludivine, la main sous sa jolie petite nuisette.
- Romain dort, je m’ennuyais toute seule alors je suis descendue…
Elle s’approcha de moi, pris ma bite dans sa main et commence à me masturber.
- Tu sais, tu m’as bien fait mouiller quand je te matais !
Et elle se pencha et me lécha le gland puis pris ma bite dans sa bouche.
- Attends ! Romain pour se réveiller…
- T’inquiète pas, il dort bien… Depuis le temps que j’ai envie de toi !
J’étais aux anges, je me faisais sucer par la meuf de mon meilleur pote ! Elle savait y faire. Elle s’arrêta et me dit :
- Lèche moi !
Je ne me fis pas attendre, je lui retirai sa nuisette, elle avait des seins magnifiques. Je léchais ses tétons puis je descendis vers sa chatte qui était vraiment toute trempée. Je lui titillai le clitoris et je lui enfonçai deux doigts dans sa petite grotte. Elle ne gémissait plus, elle criait :
- Fais moins de bruit, tu vas réveiller Romain !
- J’m'en fous, c’est trop bon !
Elle se releva m’embrassa et me dit :
- Prends moi maintenant.
Elle était tellement humide que ma queue s’enfonça comme dans du beurre. Je la pris en levrette tout en caressant son petit anus.
Je lève la tête et la, je vis Romain, à poil en train de se branler en nous regardant !
- Continue, elle ne va pas tarder à jouir !
J’étais sur le cul, mon meilleur pote me disait de continuer à troncher sa belle brune !
Il s’approcha de nous et donna sa queue à sucer à Ludivine. Elle était totalement déchaînée. Elle nous demanda de la prendre en même temps. Je laissai ma place à Romain pour aller préparer le petit trou de cette petite salope. Je lui mis un, deux et puis trois doigts dans son cul. Je lui redonnai ma queue à sucer pour qu’elle soit bien dure.
Je m’enfonçai dans ce trou bien serré, elle n’eu aucun mal à me prendre tellement elle était excitée. Nous la limions à deux, son mec dans sa chatte et moi dans son cul. Avec ce traitement, elle ne mit pas longtemps à venir et elle eut un magnifique orgasme. Je me retirai de son cul et lui donnai ma queue à sucer après deux ou trois va-et-vient, je lui envoyai mon foutre dans sa bouche, sur son visage, dans ses cheveux.
Quand à Romain, il voulu que ce soit moi qui le fasse jouir.
- T’es malade ! Luis dis-je
- Allez, je t’ai laissé baiser ma copine, tu peux bien me rendre ce service !
- Je vais t’aider, me dit Ludivine tout en me branlant à nouveau.
Je pris la bite de Romain dans ma main et je la branlai.
- On va le sucer, me dit Ludivine !
J’étais tellement excité par le traitement que me faisait Ludi, que je lui obéis. Je pris sa petite bite dans ma bouche, Ludivine me remplaça pendant que je lui léchais les couilles.
Elle pris ma main et la plaça devant le trou de Romain, je lui enfonçai un doigt, Ludivine aussi et il projeta des saccades de sperme, j’en avais partout. Ludi m’allongea et me lécha pour récupérer son sperme ensuite elle me pris en bouche et me fit jouir une nouvelle fois.
Pour me remercier Romain me branla, je lui pris sa bite et la branlai également. Ludivine nous regardais en se masturbant elle aussi.
Nous avons joui tous les trois ensemble. Je pris une douche et allai me coucher aussitôt.
Le lendemain matin, je me réveillai et je vis que Ludivine était entrain de me sucer et que Romain la prenait en levrette. La journée commençait bien…
Pour ceux qui ne connaissent pas Ludivine, Romain et moi-même je fais une rapide présentation. Nous avons tous les trois 20 ans. Romain et mon meilleur pote depuis toujours, sa copine Ludivine est une très jolie fille, brune, des seins superbe et une jolie petite chatte. Quant à moi, je m’appel Math, 1m75, 65 kilos, brun et j’arrive toujours à me fourrer dans les bons coups… Après cette fabuleuse aventure, Ludi, Romain et moi avons eu de plus en plus de relation à trois. Je vais donc vous en raconter une.
Ce matin, je reçois un message sur mon portable, c’est Romain qui me dit de venir ce soir chez lui car une surprise m’attend. Avec lui, on peut vraiment s’attendre à tout. Une journée banale se passe et le soir venu, je sonne à la porte de Romain.
- Salut
- Salut, alors c’est quoi cette surprise…
- Entre, tu vas tout de suite la voir !
En effet, arrivé dans le salon, je vois la belle Ludivine assise et surtout entièrement nue, les jambes bien écartées, elle a les poignets et les chevilles attachés et un string dans la bouche, l’empêchant de parler.
- Alors, ça te plait !
- Bah ouais, elle est super bonne mais c’est quoi le but du jeu ?
- C’était un des ces fantasmes d’être ma petite chienne alors je l’ai réalisé. Mais j’avais pas envie d’être seul, c’est pour ça que je t’ai appelé. Et si tu veux tout savoir, elle n’était pas au courant de ton arrivée.
- Sympa !
Tout en me parlant, Romain était entrain de pincer les tétons de Ludi qui poussait des gémissements étouffés par le string.
- Je t’explique le but du jeu comme tu dis, c’est simple… c’est no limite ! Tu peux lui faire tout ce tu veux, tout ce qui te passe par la tête, elle est obligée d’accepter.
- Et si elle refuse ?
- Elle aura une punition, ça marche ?
- Et comment !
Nous nous sommes déshabillés tous les deux, on bandait déjà. J’ai présenté ma queue à Ludivine qui l’a tout de suite avalée. Mon dieu, qu’elle suce bien, ce que j’adore c’est qu’elle bave. C’est moi qui imprime le mouvement de sa pipe en la tenant par la nuque. Pendant ce temps, Romain se branle en nous regardant.
- Allez suce ton mec salope !
Je la prends par les cheveux et l’entraîne vers la queue de Romain. Je la laisse s’occuper de lui. Je m’agenouille face à sa chatte, je ne l’ai jamais vu mouiller autant, tout le devant de la chaise est trempé, je luis enfonce deux doigts directement. Elle gémit et rejette la bite de son mec, Romain le la lui remet et la tient par la nuque. Je rajoute un doigt dans sa chatte, elle n’en peut plus.
- Attends, on va la mettre sur le canapé, on pourra mieux la baiser.
Nous détachons notre soumise d’un soir pour la mettre à quatre pattes sur le canapé. Romain lui remet son membre dans la bouche et la force à le prendre en entier, ce qu’elle fait sans problème. Quant à moi, je replonge mes trois doigts dans sa chatte.
- Eh Romain, d’après toi, est-ce que ma main peut rentrer en entier dans sa chatte?
- A mon avis, mouiller comme elle est, t’as pas de soucis !
Avec les conseils de mon ami, je lui enfonce entièrement ma main. A ce moment un orgasme la frappe et elle recrache la queue qu’elle avait dans la bouche. Je bouge ma main de plus en plus vite et elle crie de plus en fort.
Romain, se rapproche de son cul qu’il lèche à grand coup de langue. Il lance un cracha sur la rondelle de sa meuf et lui enfonce deux doigts. Il fait des va-et-vient de plus en plus rapides et rajoute un doigt. La pauvre, elle se fait fister la chatte et son mec lui met trois doigts dans son cul.
- Autant mettre tes autres doigts, n’oublie pas c’est no limite !!!
- T’as raison !
Il crache une nouvelle fois sur ce petit cul et rajoute deux doigts de plus. Ludivine s’écroule sur le canapé avec un nouvel orgasme. La voilà avec une main dans sa chatte et une autre dans son cul.
Etant légèrement engourdie, je retire ma main toute luisante de mouille et je la pénètre avec ma queue de plus en plus tendue. Romain lui aussi retire sa main mais ne dit pas son dernier mot. Il crache une nouvelle fois dans son cul distendu et lui lèche la rondelle. Ludivine a passé une main sous elle et se caresse son clito. Dans la pièce on entend que des râles et des gémissements.
Je laisse la place à mon pote qui s’assoit sur le canapé désormais trempé de la mouille de Ludi. Elle s’empale sur la bite de son mec qui l’insulte à tour de bras. Je présente ma bite à Ludivine qui la suce aussitôt goulûment.
- Allez suce le bien à fond, t’aimes ça salope. Allez pompe-le !
Romain prend la tête de sa meuf et mène la cadence, c’en est trop pour moi, je jouis dans sa bouche en hurlant de plaisir. La pauvre manque de s’étouffer en voyant la quantité de foutre, elle avale une bonne moitié et l’autre se déverse sur son menton et ses seins. Elle reprend ma queue et la nettoie, la bête reprend de la vigueur.
C’est au tour de Romain d’atteindre le point de non-retour, il accélère les mouvements, Ludi lâche ma queue et s’accroche à son mec. C’est dans un râle qu’il déverse son jus dans la chatte de notre belle brune. Ludivine n’en peut plus, elle s’écroule et s’endort peu à peu.
- Viens, on la laisse se reposer !
- Putain, c’est une sacrée cochonne ta meuf ! J’en reviens pas !
- Et oui et y’a un truc qu’elle adore, c’est qu’on s’occupe de son cul.
- Elle a été servie !
- Je te propose un truc, on va lui prendre uniquement le cul jusqu’à ce qu’ont jouisse, ok !
- Pas de problème, chef !
Un quart d’heure après, Ludivine se réveille et nous rejoint dans la cuisine. Elle a encore plein de sperme partout.
- Qui t’a autorisé à venir ici ?
- J’avais soif…
- Tu dois demander avant de faire quelque chose, c’est clair ? Mets-toi à genoux !
- …
- Bon, tu veux boire quoi… du jus d’orange ?
- Oui
Romain prend la bouteille et la déverse sur la tête de Ludivine.
- Te voilà rassasiée, qu’est qu’on dit ?
- Merci…
- Maintenant tu lèches !
Ludivine se penche et se met à lécher le sol. En voyant ce tableau, ma queue se remet à bander, je me dirige vers le cul de Ludi et sans ménagement, je l’encule d’un coup sec. Elle relève la tête et pousse un énorme cri. Romain la prend par les cheveux et lui remet la tête par terre.
- Alors petite chiennasse, tu l’aimes ma queue dans ton cul, hein, t’aimes ça.
- Oui, défonce-moi le cul, plus fort !
Romain qui se branlait énergiquement prend ma place dans cet endroit si confortable. Je me place devant elle, la prend par ses cheveux pleins de jus d’orange et je lui mets ma queue dans sa bouche. En tournant la tête, je vois des légumes pauser dans un coin. J’enlève ma queue et récupère un concombre d’une taille moyenne.
- Elle aime le concombre ta meuf ?
- Oh oui, elle adore ça….
- Allez redresse la et allonge la sur la table.
Ludivine s’allonge sur la table, Romain qui soulève les jambes, sa chatte est littéralement détrempée, sa mouille coule sur ses cuisses. Je crache en direction de son cul et lui enfonce le légume. Elle hurle de douleur au début et très vite de plaisir mais ses hurlements sont étouffés par le membre de Romain qu’il met dans sa bouche.
Elle le pompe tant bien que mal tant elle est excitée, Romain est à bout et il se branle au-dessus du visage de sa belle et qui complètement recouvert de sperme. Moi, je retire le concombre et mets ma queue à la place. Je la ramène vers moi et lui donne des grands coups de boutoirs, je sens mon foutre qui arrive et j’accélère mes mouvements, je veux jouir dans son cul.
Ludivine est prise de spasmes et un autre orgasme la foudroie, c’en est trop pour mois et je gicle dans son trou. En reprenant mes esprits je m’aperçois que sa chatte a encore gonflé et que sa mouille s’étale sur la table.
- Je vais pisser, dit Romain
- Attends, on pourrait peut-être en profiter pour laver la demoiselle parce qu’elle fait peine à voir, elle a du foutre partout.
- Pas bête, allez salope, vient avec nous, on va faire ta toilette.
Dans la salle de bain, Ludivine s’allonge dans la baignoire et Romain lui pisse dessus.
- Allez, on sait que t’aimes ça, ouvre la bouche cochonne !
Ludi ouvre grand la bouche tout en se doigtant la chatte. Arrivé mon tour, je fais placer Ludivine à quatre pattes et vise son trou et sa chatte. Une fois terminer, Romain fait lécher la baignoire à sa meuf.
- Moi aussi j’ai envie de faire pipi !
- Et bien vas-y ma chérie…
Ludivine s’accroupit et tire sur sa chatte, un long jet sort de celle-ci, je ne peux pas m’empêcher de me branler en voyant ce spectacle.
- C’est bien ma chérie, tu nous as bien obéi, on arrête là pour aujourd’hui.
- Merci mais je vous en supplie, prenez-moi la chatte, j’en peux plus !
- Pas de problème, va-y Math, saute-la !
Sans plus attendre, je la sort de la baignoire et la pause sur le bord de l’évier, elle est pleine d’urine. J’enfonce ma bite dans sa chatte toute humide. Elle s’agrippe à moi, j’accélère le mouvement et elle me griffe avec ses ongles. Elle part dans un orgasme infernal, elle crie, elle hurle, je la pilonne encore plus fort et elle a un nouvel orgasme.
A côté de moi, Romain se branle comme un malade. Je sors ma queue de cette fontaine et je me branle tout comme mon pote au-dessus du visage de Ludivine. On jouit au même instant, elle aussi car elle avait de nouveau glissé ses doigts sur son clito. Elle nous nettoie la queue et nous la laissons prendre tranquillement une vraie douche.
- Merci encore pour cette surprise, si elle a d’autres fantasmes à réaliser je suis partant !
- Elle en plein d’autres ! Elle aimerait bien… non laisse tomber…
- Bah allez dit… qu’est-ce qu’elle aimerait bien ?
- Elle aimerait qu’on s’encule !!!
- Non sérieux ? Elle vraiment des drôles d’idées ta meuf !
- Et oui
- Mais je serais partant quand même !
- Partant pour qu’on baise ensemble ?
- Bah ouais pourquoi pas…
- Bah ouais pourquoi pas…
Ludivine arriva dans la cuisine avec une minuscule serviette de bain.
- Alors les garçons, on complote dans mon dos ?
- Non, en fait pour te remercier, on va réaliser un des tes fantasmes !
- Et lequel ?
- Tu rêves de voir deux mecs s’enculer et bien on va le faire pour toi.
- C’est vrai ?
- Oui mais suce-nous pour nous mettre en forme.
- Pas de problème.
Ludivine s’est assise entre nous avec une queue dans chaque main. J’en profite pour passer ma main sous sa serviette pour lui caresser la chatte, elle encore super humide, l’idée de voir deux mecs s’enculer l’excite plus que tout. Elle nous suce comme si sa vie en dépendait.
Elle m’embouche jusqu’au fond de sa gorge tout en branlant énergiquement son mec, j’enfonce deux doigts dans sa chatte, elle gémit de plus en plus. Ludi retire ma queue de sa bouche :
- Alors qui se fait enculer en premier ?
- Moi, je veux bien.
- Ok Math, met toi à quatre pattes sur le canapé, je vais te préparer.
J’obéis aux ordres de Ludivine et je sens sa langue experte me lécher le cul, elle enfonce sa langue le plus loin possible. Romain vient se placer devant moi, il agite sa queue.
- Tu me suces…
Pour seule réponse, j’avale sa bite, la langue de Ludi m’excite et mon cul commence à se détendre.
- Ah putain tu suces bien.
En voyant cela, Ludivine m’enfonce deux doigts dans le cul. Moi je suce de plus en plus vite cette queue.
- Regarde Romain, il aime ça.
- Ouais, j’ai bien envie de le prendre maintenant avant qu’il me fasse jouir.
Je m’arrête de le sucer et il vient se placer derrière moi.
- Vu comment elle t’a léché, je pense que je peux il y aller franco !
- Non, vas-y doucement quand même.
- Ok
Ludivine s’est placée devant moi, elle m’embrasse à pleine bouche. Elle s’installe confortablement, les jambes bien écartées et se caresse le clito. Romain commence à enfoncer son gland dans mon petit trou. Je cris de douleur, je sens sa bite rentrer en moi.
Enfin, il est en moi, il reste immobile un moment pour que je m’habitue à sa queue et il commence ses va-et-vient. Doucement au début puis de plus en plus rapide, la douleur a laissé place au plaisir. Ludivine s’est enfoncée deux doigts, elle devient de plus en plus hystérique. Elle attrape ma tête :
- Lèche-moi la chatte, j’en peu plus !
Je m’exécute immédiatement. Elle est complètement trempée, je lui titille son clito et lui met trois doigts. Je la doigte comme un sauvage, elle hurle, je la sens, tout comme moi, proche de l’orgasme.
Romain m’a empoigné les hanches et me prend comme une bête. Mes cris sont étouffés dans la chatte de Ludi qui me tient depuis le début par les cheveux. Son corps se contracte, elle m’arrache les cheveux, elle est entrain de jouir.
Romain gémit lui aussi de plus en plus, il se retire et s’astique devant mon visage. Il explose comme un geyser, j’ouvre la bouche pour en récupérer le maximum, Ludivine est dans un autre monde, j’ai toujours mes trois doigts dans sa grotte plus qu’humide et elle nous regarde avec un magnifique sourire. Romain termine de se vider les couilles. J’ai du sperme partout, sur le visage dans les cheveux. Ludi s’approche de moi pour me lécher le visage, elle récupère le foutre de son mec.
Romain est vidé, il est assis dans un fauteuil tout en nous regardant.
- Et bien les mecs, on peut dire que c’était puissant mais il y en a un qui n’a toujours pas joui.
C’est vrai je n’avais pas encore joui. Ma bite était bandée à son maximum et mon cul me brûlait. Ludivine alla s’asseoir à côté de son homme.
- Ca va être à ton tour mon chéri, c’est à toi de te faire enculer.
- Maintenant ?
- Oui maintenant, tu ne vas pas laisser ton meilleur ami dans cet état quand même?
- Bon d’accord.
Romain remonta ses jambes au-dessus de ses épaules et Ludi s’agenouilla pour lécher ce petit trou. Elle lui faisait le même traitement qu’à moi, il était aux anges. Je m’approchai de lui et lui donna ma queue. Il la prit à pleine main pour me branler, il l’approcha de sa bouche pour la gober. Il suçait vraiment bien.
Je luis pris la tête, lui retira ses mains de ma bite pour imposer moi-même le rythme. Ludivine avait enfoncé un doigt et me regardait prendre la bouche de son mec. Après ce traitement, je pris la place de Ludivine et j’enfonçai mon gland dans son anus. Je prenais possession de son cul en le pilonnant de toutes mes forces. Ludivine c’était placé dos à lui et se faisait lécher le cul. Elle admirait mon travail.
Romain avait pris la même cadence que moi pour pénétrer avec ses doigts le cul de sa meuf. Elle gémissait de plus en plus fort, moi j’arrivais au point de non-retour, je fis un dernier va et vient puis je me retirai pour me mettre face à Ludi. Elle se place face à ma queue, que j’astiquais à fond, je senti mon foutre monter et j’explosai à la gueule de cette petite salope. Elle ouvrit la bouche pour ne pas en perdre une miette, elle reçus six grosses giclées, je ne pouvais plus. Elle me prit en bouche pour me nettoyer.
- Eh bien, on peut dire que vous avez réalisé un autre de mes fantasmes. Vous m’avez fait mouiller comme une folle. On recommence quand vous voulez.
- Je suis pas sûr de recommencer tout de suite, j’ai le cul en feu, pas toi Romain ?
- Si, tu me l’as explosé.
- Vous voyez ce que je subis ! Bon il est tard je vais me coucher, merci mes chéris.
Elle nous roula une énorme pelle et monta se coucher. Il était très tard et Romain me proposa de dormir ici.
….................
Le lendemain matin, Romain me réveilla :
- Je vais courir, tu viens avec moi ?
- Il est quelle heure ?
- 10 h 30
- Tu peux aller courir tout seul, je reste ici. Ludivine est levée ?
- Nous elle dort encore, bon j’y vais.
- Ouais salut.
Il m’avait réveillé et impossible de me rendormir. Je montai à la salle de bain, la porte de leur chambre était entre ouverte, je m’approchai et mon érection matinale refit surface. Ludivine était dans son lit, les jambes écartées et elle s’amusait avec un gode, avec son autre main elle se caressait les seins. J’entendais des petits gémissements quand elle accéléra son mouvement et qu’elle se leva pour se mettre à genoux sur le lit.
J’avais une vue magnifique. Elle avait posé sa tête sur l’oreiller et sa croupe était à quelques mètres de moi. Elle s’enfonça son gode et fit des mouvements très rapides, ses soupirs absorbés par le coussin. Sa mouille coulait le long de ses cuisses.
Je ne pouvais plus, il fallait que je sorte ma queue pour me branler, je n’avais pas envie de la sauter, je préférais la mater. Ludi sortit le gode de sa chatte pour le diriger vers son cul, elle n’eut aucun mal à entrer ce sexe artificiel. Cette petite salope se godait le cul tout en se doigtant la chatte. Je ne m’y pas longtemps à jouir, c’est à ce moment que Romain décida de rentrer de son jogging.
- Tu t’es pas recouché ? T’as l’air tout bizarre ?
- Non, non ça va impeccable ! Je vais pas tarder à partir.
- OK, mais tu prends ton petit dèj avec nous.
- OK
Après s’être douché, Romain prépara le petit déjeuner, Ludivine arriva dans sa jolie nuisette blanche. J’avais dans ma tête des images d’elle entrain de se goder. Après un bon repas, je repartis chez moi, fatigué de ce week-end très mouvementé.
......................

Histoire du net. Auteur inconnu. Future salope....

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Quand la copine d'un pote revient à la charge
Pour bien se faire charger..!

La copine de Romain
Fin
Quinze jours plus tard, je reçu un appel de Ludivine, elle était seule chez elle car Romain avait du s’absenter pendant quelques jours, elle me demandait de passer la voir, ce que je fit avec plaisir.
A peine arrivée à l’appartement, elle me sauta au coup et m’embrassa à pleine bouche. J’en profitai au passage pour passer mes mains sur son cul, moulé par une jolie jupette noire.
- Eh bien, ça c’est des retrouvailles !
- Ouais, tu m’as trop manqué. Viens t’asseoir, j’ai quelque chose à te demander.
- Qu’est-ce qui se passe ?
- Voila Romain est parti pour trois jours dans sa famille et je veux en profiter pour faire des cochonneries avec toi. En fait j’aimerais bien être ta soumise.
- Rien que ça !
- Oui, l’autre fois, j’ai adoré ce que vous m’aviez fait et j’ai envie de recommencer. Tu pourras me faire tout ce que tu veux, je suis à partir de maintenant ta petite chienne.
- Comment refuser une telle proposition, par contre j’ai mes conditions.
- Pas de problème ! Je t’écoute.
- Ta seule tenue sera un string, tu dois m’obéir au doigt et à l’œil, si jamais tu ne respectes pas mes ordres tu seras punie par contre si tu te conduis bien, tu auras une récompense. A partir de maintenant, tu m’appelles Maître. J’ai bien l’intention de faire de toi une petite pute. Tu as des questions ?
- Non Maître.
- C’est bien tu comprends vite. Maintenant tu vas me montrer tes strings.
Dans sa chambre, elle se déshabilla, surexcitée. Ses tétons étaient tendus et une tache d’humidité maculait sa petite culotte.
- T’as l’air d’aimer ça petite pute, retire ta culotte et touche toi !
Elle obéit à me ordres et commença à se doigter, ses deux doigts faisaient des mouvements assez rapides, elle commençait à gémir. Je m’approchai d’elle et lui retirai ses doigts pleins de mouille.
- Suce-les !
Elle se suça les doigts un par un. Cette petite salope me faisait bander et elle l’avait remarqué. Elle s’agenouilla et mit ses mains sur mon sexe. Je la pris par les cheveux et la lança sur le lit.
- Ici, c’est moi qui donne les ordres, je t’ai pas demandé de me sucer, tu vas goûter à ta première punition. Mets-toi à quatre pattes, tu vas recevoir dix fessées. Tu conteras chacune d’elle et tu me remercieras. D’accord !
- D’accord, Maître.
Elle tendit son cul en arrière. Elle aimait visiblement se faire traiter de chienne et elle mouillait. Ma première fessée était assez douce, la deuxième aussi mais à la troisième :
- Aaahhh !!!!
- Compte !
- Trois… aahhhh…. Merci
- Merci qui ????
- Merci Maître.. aahhh..
- T’en auras cinq de plus !
C’est finalement au bout de quinze fessées que la punition de Ludivine s’arrêta. Elle avait les fesses rouges écarlates.
- Bien, maintenant montre-moi tes strings !
- D’accord Maître.
Elle avait une collection impressionnante, une large gamme de couleur et de matière. Je lui choisi un string ficelle noir avec des petits cœurs argentés sur les côtés, très mignon.
- Maintenant, vas prendre une douche et rejoint moi dans le salon, t’as dix minutes.
En l’attendant, j’appela trois bons copains toujours en quête d’aventures sexuelles. J’expliqua la situation et tous acceptèrent mon invitation. Je leur avais donné rendez-vous vers 23 heures. Ludivine vient me joindre avec son minuscule string. J’étais assis dans le canapé.
- Mets toi à genoux devant moi ! Dis-moi, petite chienne, qu’est-ce que tu as comme jouets sexuels ?
- Euhhh, j’ai juste un gode, Maître.
- C’est tout ?
- Oui Maître.
- Bon, je vais arranger ça, on va aller faire quelques courses, il faut que tu sois belle pour ce soir.
- Il y a quoi ce soir, Maître ?
- Je te réserve une surprise, en attendant, suce-moi !
Elle ne se fit pas attendre, elle dégrafa mon pantalon et sortit ma bite prête à exploser de puis un bout de temps. Je retrouvais l’experte en pipe, elle me léchait les couilles, la hampe puis m’engloutissait. Je lui pris les cheveux pour régler moi-même la cadence, elle adore ça. Je lui baisais la bouche, de la bave coulait sur son menton. Je retirai ma queue de sa bouche en me branlant comme un malade. Elle reçut tout mon foutre sur sa jolie petite gueule.
- Hummm c’est bien ma salope, vas te laver. Ensuite tu mettras une mini jupe et un haut très sexy, je te fais confiance pour le choix.
Quelques minutes plus tard, Ludivine descendit encore plus sexy que tout à l’heure. Elle avait choisi une mini jupe noire, un haut rouge avec un décolleté sympathique, pour finir elle avait également de magnifiques bottes lui arrivant aux genoux.
- Je vous plait Maître ?
- Tu es super bandante ma salope.
Elle monta dans la voiture et après quelques kilomètres, je lui demande de retirer son string, ce qu’elle fit son problème. Je pouvais désormais, jouer avec son clito pendant tout le trajet. Je la pénétrais de deux doigts et elle s’agrippait au siège. En arrivant devant le sex-shop, elle était en transe. Dans le magasin, il n’y avait pas beaucoup de personne, un couple qui regardait les dvd, un homme d’une quarantaine d’année qui se renseignait sur les prix des cabines et un homme un peu plus vieux qui feuilletait quelques magazines. Je me dirigea vers les godes, Ludivine me suivait à la trace.
- Fais ton choix, prends un gode et un plug.
- D’accord Maître.
Elle n’osait pas toucher les différents modèles, je pris alors un gode d’une taille énorme et le mis dans sa main. Elle fit quelques va et vient et sembla contente de mon choix. Elle choisit elle-même un plug de bonne taille et des boules de geisha.
Je la sentais de plus en plus excitée et je l’emmenai dans le rayon “sm”. Je pris un bâillon boule, des pinces pour ces gros tétons, une cravache, un foulard et deux paires de menottes. En voyant les instruments, elle changea de visage, pour la détendre je lui demanda de choisir ce que bon lui semblait. Elle fit le tour du magasin et me présenta un collier relié à une laisse.
- Avec ça, je serais vraiment ta chienne !
- Bon choix ! Maintenant, on va aller se faire un petit film, suis-moi !
Elle me suivit jusqu’à une cabine et entra la première. Je laissai la porte ouverte derrière moi et je choisis un film au titre explicite « Ma pute offerte ». J’avais sortis ma queue et Ludivine me branlait en regardant le film ou une jolie blonde se faisait prendre par deux gros black.
Il fallait que je me vide les couilles, Ludi se mit à quatre pattes et je la pris directement, elle se tenait à l’écran. Je la défonçais littéralement, m’agrippant à ses seins, elle hurlait de plaisir. En me tournant, je vis que l’homme de quarante ans nous matait, il avait sorti sa queue et se branlait.
Je changeai de position, Ludivine se mit dos à moi et me chevaucha, laissant au mec tout le loisir de l’admirer. Il se branlait de plus en plus vite et cette situation m’excitait. Je lui mis un dernier coup de reins et je déchargeai mon sperme dans la chatte juteuse de Ludivine.
Notre mateur allait jouir et j’ordonna à Ludivine d’aller le sucer. Il se laissa faire avec plaisir et à peine une minute plus tard, il l’aspergea de son foutre. Ma chienne avala tout immédiatement. Le mec se rhabilla et monta à l’étage.
Ludivine avait du sperme plein la figure, elle se nettoya rapidement puis se rhabilla. Arrivé à la caisse, le vendeur regarda Ludi d’un air pervers et elle lui fit un regard d’allumeuse. Il était quasiment 21 heures, il était temps de retourner à la maison.
- Alors ça ta plu ?
- Oui Maître, j’ai adoré.
- Tant mieux parce que la soirée ne fait que commencer.
En arrivant à la maison, je lui ordonnai de se déshabiller. Une fois nue, elle s’installa sur le canapé à quatre pattes avec les mains attachées dans le dos, sa tête était posée sur un oreiller et son cul pointait vers le ciel, une position très humiliante qui lui allait à ravir.
Mes trois potes devaient arriver dans quelques minutes alors, pour patienter je me mis derrière Ludivine pour lui titiller son joli petit cul. Je léchai sa rondelle et rentrai deux doigts, je savais qu’elle adorait cette caresse. Mes mouvements se faisaient de plus en plus rapides, je passai ma main sur sa chatte qui depuis le début de la soirée n’avait cessé de mouiller.
- Ta surprise va bientôt arriver mais en attendant je vais jouer avec ton plug. Tiens suce-le bien à fond !
Le plug s’enfonça sans encombre, je fis quelques va-et-vient pour la faire gémir avant de le laisser au fond de son cul. Il fallait maintenant que je m’occupe de cette chatte juteuse à souhait sans pour autant la faire jouir. Après un petit cunilingus et un bon doigtage que je l’ai laissée aux portes de l’orgasme.
J’ai pris les boules de geisha, elle n’avait pas choisi les plus petites, et j’ai fait entrer la première boule, puis la seconde, jusqu’à la dernière et huitième. Elle mouillait comme une folle. La sonnette de la porte retentit, ce qui inquiéta Ludivine.
- T’inquiète pas, c’est ta surprise qui arrive et t’as intérêt à être très gentille si tu ne veux pas être punie !
- Oui Maître, je serais très gentille.
Mes trois potes se tenaient devant la porte et ils avaient l’air très excités. Il y avait Vincent, grand et très baraqué, brun, les yeux marrons. Ben, un mec petit assez bedonnant, châtain les yeux marrons et Martin un grand black sportif et musclé lui aussi. Je leurs présentai Ludivine qui était toujours dans une position humiliante avec en plus un plug enfoncé dans son cul et des boules de geisha dans sa chatte.
- Allez-y les mecs, faites-vous plaisir ! N’hésitez pas, elle très obéissante ! Moi, je vous regarde… pour l’instant.
C’est Ben, le petit gros qui sortit sa queue en premier et qui l’enfourna dans la bouche de Ludi, Vincent présenta lui aussi son sexe. C’est eux qui commandaient leur pipe car notre petite chienne avait les mains attachées. Martin quant à lui retira les huit boules qui étaient maculées des sécrétions de Ludi, avant de les remplacer par sa langue. Ses gémissements étaient étouffés par les queues de Vincent et Ben. Ces derniers prirent la place de Martin, Ben donna de grands coups de langue sur le vagin détrempée tandis que Vincent s’amusait avec le plug. Martin avait donc le champ libre pour empaler la bouche de Ludivine.
- Allez salope, suce ma grosse queue ! T’aimes ça, hein ?
Il la tenait par les cheveux, la forçant à aller de plus en plus loin. Quanq elle se retirait de grands filets de bave l’accompagnaient.
- Tu baves ma salope ! Allez pompe !
Pendant que Ludivine peinait à faire sa pipe, Ben lui avait mis trois doigts et Vincent avait retiré le plug pour y mettre sa langue. Puis Ben et Vincent se sont accordés pour se relayer dans la chate de Ludi. Ils la pénétraient violemment et le cul de notre proie claquait contre leurs ventres pendant qu’ils la labouraient. Martin quant à lui continuait de se faire sucer. De temps en temps il lui donnait ses couilles à lécher ou il se retournait pour qu’elle puisse lécher son anus.
Puis deux garçons ont changé de position. Ben lui a détaché les mains avant de glisser sous elle, en profitant au passage pour titiller ses tétons, et Vincent a plaçé sa queue devant ce petit trou si accueillant. Ils s’enfoncèrent dans ses orifices en s’arrangeant pour la culbuter sur le même rythme.
Notre pute d’un soir n’en pouvait déjà plus de cette gorge profonde qui durait depuis un moment mais maintenant il fallait qu’elle supporte deux queues, qui lui donnaient énormément de plaisir …
Mais c’est elle qui avait choisi ce statut de soumise.
Tout le monde était sur le point de non-retour, Martin tenait fermement la tête de Ludi à deux mains tout en “l’insultant” à tour de bras. Ben s’agrippait aux seins lourds de Ludivine tandis que Vincent s’accrochait aux hanches.
C’est Martin qui lâcha tout le premier, il déversa la moitié de son foutre dans la bouche de Ludi qui fut obligée d’avaler et il lança ses derniers jets sur le visage de la belle. Vincent se dégagea de son cul et entra sa bite dans la bouche de Ludi qui le pompa férocement, lui aussi vida ses couilles au fond de la gorge de la petite brunette. Il la tenait assez fort pour ne pas qu’elle en perde une goutte. Ben se contenta de se branler devant le visage de Ludivine, qu’il arrosa copieusement.
Elle était recouverte de spermes et surtout épuisée par le traitement qu’elle venait de subir.
- Elle vraiment bonne ta meuf !
- Ouais, mais c’est pas ma meuf. C’est celle d’un pote et elle est à moi jusqu’à demain. Alors vous pouvez en profiter toute la nuit, moi je la prends après.
- Ok, avec plaisir.
- T’a pas un truc à boire, elle m’a crevé cette salope.
- Allez dans la cuisine, je vous rejoins.
Les trois gaillards s’éclipsèrent, je me retrouvai seul avec Ludivine qui reprenait ses esprits.
- Alors, ça va ma belle ?
- Oui et toi, t’en a bien profité ?
- C’était super, t’es toujours prête à aller jusqu’au bout ?
- Oui Maître, plus que jamais !
- Bon va te rafraîchir parce que la nuit ne fait que commencer…
- Et si on allait en boîte ! Lança Martin
- Oh oui pourquoi pas, il faut bien qu’on la sorte notre petite pute !
- Suivez-moi, on va l’habiller !
Ludivine était toujours assise nue dans le salon, elle reprenait ses esprits après avoir été prise par trois gaillards. Mais le repos fut de courte durée :
- Allez, viens avec nous, ce soir on sort, il faut que tu sois belle
La jolie brunette suivit Vincent sans dire un mot, les autres gars étaient déjà à l’étage. Ben avait disposé sur le lit la tenue de soirée de Ludi, au programme : mini jupe blanche, top moulant rose, string rose clair et de grandes bottes blanches.
Décidément, Ben avait du goût. Un peu plus loin, il y avait les accessoires qui allaient compléter la tenue : un plug, des boules de geisha, un collier et une laisse, des menottes. En voyant tout ces “jouets” Ludivine commença à s’exciter.
- Allez, dépêche-toi ! Met toi à quatre pattes sur le lit.
Elle s’installa sans broncher, écartant même un peu les jambes, et je lui mit une bonne claque sur le cul en passant mon doigt contre sa chatte.
- Tu mouilles encore ! Ça te plait de faire la salope !
- Oui ! J’adore !
- Et tu aimes que je te claque le cul ?
- Oui !!!

Ses fesses devenaient de plus en plus rouges et elle aimait ça. Vincent, Ben et Martin bandaient dur en matant ce petit spectacle. Je pris le plug qui entra sans difficulté dans ce petit trou tout dilaté.
- Tourne-toi maintenant et écarte tes cuisses !
Elle écarta ses jambes et sa chatte fit la même chose. Une chatte bien humide dans laquelle j’enfonça deux doigts, histoire de la faire couiner un peu avant d’y enfoncer la première boule, puis la seconde jusqu’à la dernière et sixième. Elle mouillait comme une folle et ça ne faisait que commencer.
- Maintenant tu t’habilles, tu te maquilles un peu, et tu redescends dans quinze minutes.
- D’accord Maître.
Un quart d’heure après Ludivine était plus belle que jamais. Elle avait un peu de mal à marcher avec son plug et les boules de geisha, mais Ben passa tout de même sa main sous sa jupe pour vérifier que tout était en ordre. Il y avait déjà une petite trace humide sur son minuscule string rose.
- C’est bon, notre salope a tout gardé et elle mouille comme une fontaine.
Je passai le collier autour de son cou et accrochai la laisse au bout.
- Et maintenant tu vas marcher comme une bonne petite chienne, aux pieds de ton Maître.
Elle s’agenouilla, sa jupe remonta, laissant apparaître son string. Elle marcha dans cette position jusqu’à la voiture de Martin. Ben pris place à l’avant, Vincent et moi à l’arrière et Ludivine entre nous. Nous voilà parti en direction d’une discothèque de la région. Vincent attacha les mains de Ludi dans son dos avec les menottes et il la dirigea vers ma queue que je venais de sortir.
- Aller suce ton Maître !
Elle goba ma queue entièrement, cette salope en voulait ce soir. Je maintenais sa tête en l’obligeant à aller jusqu’au bout.
- La fait pas gerber dans ma voiture ! Gueula Martin
- Mais non t’inquiète pas, au pire, c’est elle qui nettoiera
Elle me suçait toujours à fond, elle gémissait en même temps car Vincent s’amusait avec les boules de geisha. Il les faisait entrer et sortir la faisant encore plus mouiller. Moi j’accélérai les mouvements de sa tête et je jouis de longues saccades dans cette petite bouche si accueillante. Comme une bonne chienne, elle avala toute ma semence.
Sur le parking de la boîte, Vincent rentra les boules au fond de sa chatte et remis le string et sa jupette en place, moi je ramassai ma bite. Ludivine sortit de la voiture avec ses mains menottées et sa laisse autour du cou, elle s’agenouilla en face nous.
- Bon n’oublie pas que tu es là avant tout pour nous satisfaire !
Vincent détacha les mains et le cou de Ludivine. Il y avait beaucoup de monde dans cette discothèque et Ludi était tout excitée. A peine arrivée, elle se dirigea vers la piste et se déhancha sans retenue.
Martin se colla à elle, elle devait sûrement sentir sa grosse bite black se frotter contre son cul. Elle dansa pendant des heures et Ben la prit par le bras et l’emmena dans les toilettes des mecs. Deux hommes pissaient tranquillement quand Ludivine et Ben arrivèrent dans la pièce.
- Les mecs, ça vous dit de vous faire sucer ?
- T’es sérieux ?
- Carrément, vous avez à faire à une vraie salope, profitez-en !
- OK
- Venez dans la cabine !
Ils s’enfermèrent à quatre dans la cabine. Ludi avaient trois bites pour elle et ne se priva pas pour les lécher. Elle commença par sucer le gland d’un des inconnus tout en branlant l’autre puis elle inversa tandis que Ben se branlait en matant la scène. Les mecs étaient trop excités, le premier balança son foutre qui atterri sur la main et le bras de Ludivine et le deuxième jouit dans sa bouche.
- Merci beaucoup !
- Ouais, c’est bon, tirez-vous maintenant.
Ben se retrouva seul avec Ludivine, il lui demanda de retirer son string qui était complètement trempé ainsi que son plug et les boules de geisha.
- Lèche-moi tout ça !
Elle emboucha les boules pleines de mouille et suça le plug qui sortait de son cul.
- C’est bien. Maintenant, tu vas te déshabiller et attendre sagement ici.
- Mais Ben, je vais pas attendre toute nue ici !
Ben lui donna une gifle.
- Tu te tais et tu obéis !
- D’accord
- Je vais te mettre ce foulard sur les yeux.
- D’accord.
- Je vais te laisser, tu barres la porte derrière moi et je frapperai trois fois pour que tu m’ouvres.
Notre brunette se retrouva nue avec un foulard sur les yeux dans une cabine des toilettes pour homme. Après dix minutes d’attente, on frappa trois fois à la porte, il y avait Ben, Martin et une jeune fille blonde.
- Voilà Anne-So, on te présente Ludivine, notre petite salope d’un soir. Elle nous obéit au doigt et à l’œil.
Anne-So était une jolie blonde avec des seins tous mignons : 1m 68, 53 kg, des yeux bleus. Elle était vêtue d’une mini jupe noire avec un haut jaune.
- T’as compris ta mission Ludi, tu dois faire jouir Anne-So. Faites pas trop de bruit nous plus, si vous ne voulez pas attirer tous les mecs.
Anne-So releva sa jupe laissant apparaître un petit string ficelle jaune, Ludivine se jeta sur ce bout de tissu et passa ses doigts à l’intérieur. Elle le retira et glissa sa langue entre les lèvres humides de la belle blonde. Ses doigts se mélangeaient à sa langue faisant haleter Anne-So.
Martin libéra sa queue et l’enfourna directement dans le cul de notre chienne. Elle poussa un cri de surprise et repris son cunilingus. Elle la doigtait de deux doigts et sa langue titillait son clito. Ben se glissa sous elle et pénétra son vagin ruisselant. Elle gémissait tellement qu’elle avait du mal à lécher sa nouvelle copine.
Anne-So enfonça ses ongles dans les cheveux de sa lécheuse et la voyant proche de l’orgasme, Martin se retira du cul de Ludi et enfonça sa bite dans la bouche de la blonde. Elle eu un énorme orgasme heureusement étouffé par les giclées de Martin. Ben accéléra la cadence et se vida dans la chatte de Ludi qui jouit au même moment.
Tout le monde se rhabilla, les filles quittèrent discrètement les toilettes, il était quatre heures du matin, Ludivine avait fini sa soumission. Math et Vincent étaient sur une banquette, elle alla les rejoindre.
- Alors ma belle, tu es enfin libre !
- Oui, mais j’aimerais être prise une dernière fois par Vincent parce que toi, tu m’as encore jusqu’à demain.
- Ok, ça marche ! Amusez-vous bien.
Vincent et Ludivine s’éclipsèrent de la discothèque pour rejoindre la voiture.
Arrivé auprès de la voiture, on voyait Ludivine avec la queue de Vincent entre les seins. Il s’agitait comme un malade entre ses gros nichons pendant qu’elle lui donnait quelques coups de langues sur le gland. Il lâcha quatre longs jets de sperme qui atterrirent dans son cou et entre ses seins. Vincent se rhabilla, Ludi sortit les seins à l’air et elle embrassa les trois compères un à un. Quelques mains se glissèrent sous sa jupe, d’autres sur ses seins.
- Merci les garçons, vous m’avez bien excité toute la nuit, j’espère que je vous ai bien fais jouir.
- Merci à toi ! T’a été super bonne !
- Bon vous nous ramenez à la maison.
Le retour fut beaucoup plus calme que l’aller. Ludi avait sa tête sur mon épaule, Martin conduisait et Ben et Vincent dormaient. On arriva à la maison vers 5h30.
- Salut les mecs, à bientôt !
- Salut Ludi !
Ludivine sauta dans la douche et elle en avait bien besoin. Elle était couverte de sperme. Moi je suis resté devant elle et j’ai admiré ce corps de rêve. Elle me donna ensuite sa place avec un grand sourire, et quelques minutes plus tard elle dormait déjà, fatiguée par cette nuit intense.
Le lendemain matin ou plutôt le lendemain après-midi, j’entrepris de réveiller ma belle brune à ma façon. Elle me tournait le dos, je glissai un doigt au niveau de sa petite rondelle, je l’enfonçai tout doucement, faisant des va-et-vient.
- Hummm, j’adore ce réveil !
- Tant mieux, et comme ça tu aimes toujours ?
J’avais mis un doigt sur sa chatte qui pour une fois n’était pas encore humide.
- Oh oui, c’est encore mieux !
Je mis ma tête face à ce sexe si merveilleux tout en glissant ma langue le long de ses lèvres. Elle écarta les cuisses et posa sa main sur mes cheveux. J’accélérai mes coups de langue, la faisant gémir de plus en plus. Ses ongles s’enfoncèrent dans mon crâne et je lui mis trois doigts. Elle mouillait comme une folle.
Mes mouvements se faisaient encore plus rapides, j’ajoutai un doigt et elle eut un orgasme qui la terrassa. J’avais le visage plein de mouilles et elle se mit à mon niveau, m’embrassa langoureusement.
- Je te suce maintenant ou on prends un p’tit dèj d’abord ?
- Aujourd’hui, c’est toi qui décides ma belle.
- Ok, alors je vais te faire patienter ! On va manger !
- Ca marche.
Elle avait vêtu d’une nuisette noire, celle qui m’avait tant excité la première fois. Moi, j’étais en caleçon avec une très belle érection.
- J’aurais peut-être dû te sucer avant !
Je préparais le petit déjeuner et Ludi s’agenouilla en face de moi, baissa mon caleçon.
- Je suis désolé, je ne peux pas m’en empêcher.
Elle me lécha les couilles, embrassa mon gland, lécha ma hampe sur toute ma longueur. Elle me faisait languir, après tout elle pouvait, c’était comme une petite vengeance. Elle me suça entièrement, en prenant son temps. Elle me faisait une pipe bien baveuse, comme je l’aime tant, en se caressant. C’était trop bon.
- Tu es plutôt fraise ou abricot ?
- Quoi ?
- Moi j’aime mieux la fraise !
Elle prit le pot de confiture de fraise, plongea ses doigts dedans et recouvra mon sexe de cette mixture. Elle reprit ma bite en bouche pour sucer encore plus doucement. Elle en mit aussi sur mes couilles qu’elle goba pour nettoyer. Je n’en pouvais plus.
- Tu veux jouir où mon chéri ?
- Sur ta chatte.
- Hummm, pourquoi pas.
Elle se mit sur la table avant d’écarter ses cuisses et de reprendre ma bite dans sa main pour la branler de toutes ses forces. C’est dans un râle que je me suis vidée sur sa chatte bien ouverte. Elle porta ma semence à sa bouche puis on s’embrassa. Tout en s’embrassant, elle se masturbait avec le sperme que j’avais déposé sur sa chatte.
- J’ai encore plus faim maintenant, on mange cette fois ci !
- Oui, on mange.
- Dis-moi ma puce, qu’est-ce que tu as le plus aimé de toute cette nuit.
- Euhhh, quand tu m’as emmené au sex-shop, quand les mecs sont arrivés et que tu m’enculais, puis aussi la fille que j’ai léchée dans les toilettes de la boîte.
- Ta lécher une fille toi ?
- Bah oui, une superbe blonde, Anne-Sophie, elle m’a laissé son numéro.
- Et c’était bien ?
- Ouais, super bien mais j’aurais bien aimé qu’elle me lèche ! Au lieu de ça j’ai eu le droit à deux bites. Mais c’était quand même bien.
- J’ai loupé ça, dommage !
- Mais je vais la faire revenir, t’inquiètes pas !
- Je serais invité alors ?
- Oui !
Le téléphone sonna, c’était Romain, son petit copain, qui lui annonçait qu’il rentrait dans deux heures. Ludivine raccrocha et elle me chevaucha.
- Allez lapin, je te laisse une dernière heure pour me baiser. Romain rentre dans deux heures.
- Une heure, c’est tout !
- Oui c’est tout ! Et dépêche-toi, faut pas qu’il te voit ici.
- Ok, alors motive-moi un peu !
- Pas de problème.
Elle se mit deux doigts en faisant des va-et-vient très rapides, j’entendais des «floc-floc» tellement elle était encore humide. Moi je me branlais en la matant.
- Ca te plait quand je me touche ?
- J’adore, aller grimpe là-dessus !
- Hummmm ouuuiiiii !
Elle enfonça ma queue au fond de sa chatte et mena la danse pendant que je m’agrippais à son cul. Je le prenais à pleines mains lui donnant quelques fessés.
- Ouuuii, claque-moi le cul ! J’aime ta queue !
On changea de position et se pencha sur la table, le cul bien relevé. Je pris sa chatte d’abord, sa mouille dégoulinait le long de ses jambes. Je mis mon doigt dans la confiture de fraise et l’enfonça dans son trou qui en avait pris plein hier soir.
- Encule-moi ! S’il te plait, enfonce ta grosse queue dans mon cul !!!
- Tu la veux où ma queue ???
- Au fond de mon cul !!!!
Je mis ma queue devant son cul et elle coulissa tranquillement au fond. Je la pris par les cheveux et pilonna cette croupe si accueillante !
- Prend ça !
- Ouiiiiii, j’suis ta salope !!! Encule-moi plus fort !
Elle était déchaînée, peut-être avait-elle peur de se faire surprendre par son mec, moi ça ne me gênait pas. Au contraire elle m’excitait plus que tout ! Je la baisais maintenant violemment lui tirant ses cheveux. Elle, elle criait. Je lui pris un sein et tira son téton.
Sentant que j’allais venir, je mis mes mains sur ses hanches et accélérais encore mes mouvements. Je jouis de longues saccades au fond de son cul et elle jouit au même moment, avec un cri de libération. Je mis ma tête contre son cou pour l’embrasser tendrement. Mon sperme dégoulinait de sa rondelle et pour me remercier, elle m’embrassa et me suça la bite une dernière fois.
- Merci mon lapin.
- Merci à toi, dommage que je doive partir.
- Ouais mais si mon mec te trouve la, même si vous vous entendez bien, j’ai peur qui le prenne mal.
- Tu vas lui raconter ta nuit ?
- Ca va pas ! Je compte sur toi, déconne pas !
- Il le prendrait pas mal si ça se trouve !
- Je veux pas tenter.
- Je peux prendre une douche avant de partir ?
- Mais bien sur, je t’accompagne.
On prit une douche tous les deux, une douche très calme puis elle me dit dans l’oreille :
- Je te l’ai pas dit mais il repart dans deux semaines pour quelques jours !!! Ca te dirait de me tenir compagnie.
- Avec plaisir.
- Comme ça je te présenterai Anne-Sophie, je suis sure qu’elle va te plaire!!! Mais cette fois-ci, j’aimerais bien qu’on inverse les rôles…

FIN DE LA SERIE

Ciné-Club

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Céline Galore vous connaissez?

Et Aya Nielsen?..


Histoire du net. Auteur Nu23. Chronique d'une vie de couple

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Points de vue croisés....
D'un mari qui découvre  sa femme
D'un couple qui découvre la pluralité...
Pour le plus grand bien de la chatte de Madame...

Patrick et Laure: Premier volet.
Je m’appelle Patrick, fonctionnaire de taille moyenne avec un embonpoint très prononcé. Il faut que je vous raconte comment j’ai surpris ma femme en charmante compagnie.
Ma femme parlons-en. Laure 41 ans sportive, pratique le judo, elle souffre également d’un embonpoint, mesure 1m58, pèse 75kg, sa chevelure châtain clair est parsemée de mèches grisonnantes. Son tour de poitrine 110 E m’excite beaucoup, et porte des jupes de taille XX.
Mais depuis quelque temps, une lassitude s’est installée dans notre couple, Laure semble me fuir et les jours passant, je me suis fait à l’idée qu’elle n’était plus portée sur le sexe. Ne travaillant pas, s’occupant de nos trois enfants, elle négligeait sous côté femme et maîtresse.
Un jour me sentant indisposé, j’ai demandé l’autorisation de rentrer chez moi pour me reposer. Je pensais être tranquille puisque Laure m’avait dit vouloir rendre visite à une amie. Le bus me déposa comme d’habitude à quelques pas de chez moi.
A peine la porte refermée, j’entendis immédiatement des gémissements provenant de la chambre. Je m’approchai silencieusement pensant surprendre Laure se donnant du plaisir. La porte de la chambre n’était pas complètement fermée, le spectacle que je découvris me coupa le souffle et m’excita.
Laure avait la tête posée sur la cuisse d’un mec. Une cuisse lisse. Elle avait sous les yeux, une paire de balloches. C’étaient de vraies couilles de mâle. Également dépourvue de pilosité, bien gonflées. Elles l’attiraient comme des fruits exotiques.
Elle en avait pris une dans la bouche. Le mec s’était redressé aussi sec. Un petit brun aux cheveux ras. Son mouvement avait fait découvrir sa queue au voyeur que j’étais devenu. Une longue flèche mince et rouge qui se balançait contre son ventre plat. Son visage était éclairé d’un sourire vicieux et satisfait.
- Bouffe-moi bien les couilles, salope, et mets beaucoup de salive! Tony va s’occuper de toi.
Du coin de l’œil, tout en suçant et en mâchonnant les glandes du mec encore gonflées, Laure tourna son regard vers un second bonhomme que je n’avais pas vu. Aussi glabre que le premier, avec le crâne rasé. Laure avait écarté les cuisses quand il avait plongé son museau entre ses fesses.
Connaissant Laure, cette petite gâterie n’était pas pour lui déplaire. Le premier lui relevait la tête en tirant brutalement sur ses cheveux. Au regard de Laure, je me rendais compte que la situation la dépassait. Je comprenais alors qu’elle avait voulu savoir si elle était encore capable de susciter le désir chez un homme. Et les manières brusques de son partenaire, lui faisait comprendre que la situation pouvait déraper à tout moment,
- Laisse-toi faire, t’auras pas à t’en plaindre.
Juste à ce moment-là une langue touchait son trou du cul et deux doigts investissaient sa chatte. Elle semblait ne pas savoir résister à cette caresse.
Surtout que cette langue s’était posée exactement au bon endroit et qu’elle essayait de s’enfoncer, de forcer son oeillet. Laure s’est penchée sur la bite du premier.
Elle était surprenante avec un gland comme un champignon, beaucoup plus large que le cylindre. Et le corps de la bite était foncé, presque brun, tandis que le gland était rouge vif. On aurait dit un sexe en deux parties distincte. Comme un faux.
Les mouvements de Laure pour sucer cette belle queue et pour mieux s’offrir à la langue qui la fouillait, faisait que ses seins pendants bougeaient à chacun de ses mouvements.
Derrière Laure, Tony lui léchait le cul et elle ne pouvait pas se retenir. Elle couinait des petits gémissements chaque fois qu’il atteignait les points les plus sensibles. Surtout que, même temps il avait glissé deux doigts dans son vagin. Pas très longs mais épais…et qui l’écartaient bien.
- Suce-moi maintenant…qu’il n’y en ait pas que pour toi!
Je pensais tout de suite aux confidences de Laure. Elle aimait sentir la bite des mecs dans sa gorge. Renifler leurs odeurs. Et par-dessus tout les sucer pour savoir le goût qu’elles ont. D’après elle, il n’y en a pas deux qui aient exactement le même. Une découverte à chaque fois d’après elle.
Me remémorant nos parties de jambes en l’air avant l’arrivée de nos trois enfants, je savais qu’entreprise comme elle l’était, Laure était prête à aller jusqu’à la conclusion. Et à les terminer comme ils en auraient envie. Mais ce n’était pas dans leur idée.
Laure dut le comprendre quand elle sentit Tony s’allonger sur son dos. Elle sentait sa queue se frotter contre elle. Une queue mince et dure comme l’acier. Il lui rentra dans le cul d’un seul coup de reins. Un vrai poignard dans son fourreau. Laure aimait qu’on la plante ainsi. Et son cul aussi aimait ça.
- Attends un peu fillette…le meilleur est à venir.
Et il roula sur le côté en entraînant Laure avec lui. Puis il s’est retrouvé sur le dos, et elle aussi était sur le dos. Couché sur lui. Ses gros seins pleins s’écartaient, bougeaient à chaque mouvement. Ses cuisses étaient restées écartées et sa chatte épilée était grande ouverte et accessible. Mais ce n’est pas ça qui la fit crier. Elle ne s’était pas aperçue qu’il n’avait rentré que la moitié de sa queue dans son cul épanoui. Quand il l’entra complètement, elle crut qu’il la déchirait. Et en même temps c’était merveilleux de le sentir s’enfoncer aussi loin et aussi profondément dans son cul. Çà glissait comme du velours tiède et humide.
Quand Tony frotta son énorme gland tout le long de sa fente toute poisseuse de jus, Laure remonta ses fortes cuisses jusqu’à ce que ses genoux touchassent sa poitrine généreuse. Ça la forçait à cambrer les reins et à tendre les fesses. Elle sentait encore mieux la queue du mec qui l’enculait.
- Vas-y ma belle, tu vas te prendre les deux bien à fond, mais tout en douceur.
Et c’est vrai qu’il faisait attention en rentrant. On devait lui avoir dit que son gland était un peu gros et qu’il pouvait blesser. Il a bien pris son temps. Laure était tellement mouillée et tellement disposée qu’il aurait pu y aller plus vite et plus fort. Ça la faisait presque jouir, rien qu’à la façon dont il creusait son chemin. J’imaginais le gland comme une grosse taupe aveugle qui frayait sa route dans le ventre de Laure.
- Ah! Ah! Ah! Dis donc Tony, tu me branles avec ta queue au travers de sa chatte!
Laure criait que c’était super de le sentir s’enfoncer aussi loin dans son cul. Ses chairs vibraient sous les coups de boutoir de deux hommes. Deux mains s’étaient emparées de ses mamelles, et jouaient avec. Les écrasaient, les soulevaient,
Aux coups de queue désordonnés, je me rendais compte, qu’ils n’étaient pas loin de juter, ça c’était sûr. Laure aussi, elle était à deux doigts de partir. Il ne lui en fallait pas beaucoup. Au premier coup de reins plus appuyé de Tony a répondu un coup de reins nerveux de l’autre, au troisième, Laure commença à grogner et à grincer des dents. Leur sperme gicla presque en même temps. Laure s’envoya en l’air avec de grands cris.
Quand elle reprit ses esprits, elle demanda aux hommes de partir car son mari allait rentrer.
Je ressortis aussi silencieusement de chez moi que j’y étais entré. Je surveillais la sortie des deux hommes qui avaient baisé ma femme. Deux mâles satisfaits, se congratulant de la bonne affaire qu’ils s’étaient faite. Je me rendais compte que mon sexe était raide de désir.

Patrick et Laure: Deuxième volet
Auteur: Nu23
Voici quelques semaines, Patrick, mon mari, a invité l’un de ses anciens amis, en stage dans la région. Il est dix-neuf heures, je termine de prépare le dîner bien que monsieur m’ait prévenu de l’arrivée de son copain qu’au dernier moment. Il faut préciser que depuis deux jours, nous sommes un peu en froid. On se dispute pour des peccadilles et l’on boude chacun de son côté jusqu’à ce que Patrick vienne me taquiner. C’est ce qu’il fait. Il vient me peloter les fesses alors que je suis entre mes casseroles et mes assiettes.
Son pieu de chair me laboure. Je viens de mettre la dernière touche à mon maquillage, j’ai revêtu mon tablier de protection, afin de ne pas tacher ma jupe moulante et mon chemisier. Je connais Patrick, il est un peu jaloux. Aussi, j’ai particulièrement soigné ma tenue et j’ai mis sous le chemisier un soutien gorge redresse-seins, donnant ainsi l’impression que mes seins sont libres sous le tissu.
Patrick a dû le remarquer et il essaye de passer ses mains sous ma jupe, en profitant que les miennes soient occupées au fourneau. Je tente d’échapper à ses investigations en me tortillant, mais c’est peine perdue. Il baisse mon slip à mi-cuisses. Je lui ordonne de le remettre, sinon je l’enlève. Ses mains viennent s’incruster dans mon entrejambe au moment où Eric, notre invité, sonne à la porte.
Patrick m’abandonne, slip baissé, pour accueillir son ami. De mon côté, dans la cuisine, après un bref moment d’hésitation, je décide d’ôter ma petite culotte afin de lui montrer que je sais mettre mes menaces à exécution. Puis je range mon tablier et je vais rejoindre les deux hommes au salon.
La soirée se passe remarquablement.
A l’apéritif et surtout à la fin du repas, au moment du digestif, j’ai pu faire apprécier mes jambes. Éric est sur le côté, tandis que Patrick, placé en face de moi, a obligatoirement dû apercevoir mon minou lorsque je décroise les jambes.
Éric a dû remarquer également quelque chose car Patrick a son pantalon bien gonflé au niveau du bas-ventre. Finalement, comme il est tard, il nous laisse à regret. Nous l’accompagnons jusqu’à la porte. Patrick m’a prise par la taille et n’hésite pas à me caresser le haut des reins. A peine la porte refermée, mon mari se jette sur moi. Je dois avouer que je suis également terriblement excitée. Etre entièrement nue sous ma jupe devant deux hommes pendant toute la soirée, m’a mise dans tous mes états. En un tournemain, Patrick m’ôte le haut et le bas et nous nous retrouvons à poil, tête-bêche, allongés sur la moquette de l’entrée.
Tandis qu’il me lèche la foufoune, j’empoigne à pleine main son membre dur et chaud. Le gland que je décalotte et recalotte au rythme de ma caresse, est déjà humide. Le saligaud a dû bander toute la soirée. J’active mon mouvement en le traitant de “salaud qui exhibe sa femme devant son copain!”. Cela semble l’exciter, et je continue en l’accusant d’être un voyeur sans scrupules qui aimerait bien voir sa femme se faire baiser par son copain. A ma grande surprise, il ne proteste pas. Son sexe durcit encore entre mes mains. Je le sens tressauter et frémir avant d’éjaculer plusieurs giclées de sperme sur ma poitrine, son ventre et mes mains. Il y en a partout, mais heureusement pas sur la moquette.
La séance n’a duré que cinq minutes et je reste, pour ma part, complètement frustrée. Patrick, un peu gêné par une jouissance aussi rapide, s’éclipse dans la salle à manger tandis que je vais me nettoyer dans la salle de bains. Je reste un peu dépitée quand on sonne à l’Interphone. C’est Eric qui demande à venir récupérer ses clefs d’appartement qu’il a dû laisser dans le salon.
Je lui ouvre et tandis qu’il monte l’escalier, je me précipite sur ma jupe et mon boléro que j’enfile en toute hâte. Puis je le fais entrer au salon où il retrouve rapidement ses clefs, glissées sous la table. Il me demande où est passé Patrick. Je lui réponds qu’il est allé se coucher. Eric me propose alors de terminer de débarrasser la table. Dans la cuisine où il m’apporte les derniers verres, il n’hésite pas à s’approcher de moi et à me serrer de très près. J’essaye de le repousser. Je lui dis que Patrick peut survenir à tout instant et nous surprendre. Il me rétorque alors qu’il a tout entendu tout à l’heure derrière la porte, et qu’il est tout excité à l’idée de trousser la femme qui s’est promenée nue sous sa jupe. Joignant le geste à la parole, il passe ses mains sous le tissu et me flatte les cuisses et les hanches. Il rajoute en plus qu’il sait que Patrick est caché derrière la porte du salon et qu’il doit nous observer.
Persuadée qu’il ment, je lui fais une proposition ; j’accepte qu’il m’embrasse si c’est vrai, et qu’il parte immédiatement si c’est faux. Sûr de moi, je vais dans le salon. Je fais semblant de chercher un couvert tombé par terre et, à quatre pattes sous la table, j’inspecte la partie entrouverte du salon. Oh stupeur! Patrick est bien là! Je vois parfaitement ses pieds et même une partie de l’ombre de son corps sur la cloison du couloir.
Eric me rappelle à son souvenir en me demandant si j’ai bien trouvé ce que je cherchais. J’acquiesce en me redressant précipitamment. Je peste contre Patrick et son voyeurisme.
Eric s’est rapproché de moi par-derrière. Il met ses mains sur mon ventre. Je mets les miennes sur les siennes. Je sens son souffle sur mon cou, et son corps tout contre le mien. J’ai une soudaine envie de faire l’amour et une folle excitation m’envahit :
- Patrick est couché, dit Eric tout haut. S’il désire venir, nous devrions l’entendre venir d’ici une minute.
Mais Patrick ne bouge pas. J’ai de plus en plus de mal à contenir les mains d’Eric qui vagabondent sur mes hanches, sur mes cuisses, sur mon ventre à même la peau. Il m’ordonne de l’embrasser. Toujours de dos et debout, je lance mes mains derrière sa nuque et, ma tête posée sur son épaule, il joint ses lèvres aux miennes. Patrick ne bouge pas. Un sentiment étrange m’envahit. Mon esprit voudrait qu’il intervienne mais mon corps désire ardemment le contraire. Du reste, les mains d’Eric sont remontées jusqu’à mes seins qu’il pétrit maintenant sans ménagement. Il pince doucement les pointes exacerbées pour de nouveau les malaxer à pleines mains.
Il m’ôte mon chemisier, et c’est torse comme nu que je m’exhibe. Ses mains caressent mes hanches, puis descendent le long de mes cuisses. Soudain, d’un geste bref, il me retrousse entièrement la jupe, découvrant mon cul et ma chatte toute mouillée. Patrick peut entrer maintenant, je ne me contrôle plus.
Eric, d’une main plonge dans mon minou, tandis que l’autre sonde mon sillon fessier. Je donne de petits coups de reins pour mieux sentir la main qui me fouille le ventre. L’autre main teste l’élasticité de ma petite pastille, à ce jour inviolée. Je sens un doigt mutin forcer sans difficulté mon petit œillet rose. Il s’enfonce profondément dans mon cul. Eric me branle des deux côtés à la fois. Ma chatte et mon cul sont en feu. Un premier orgasme me submerge.
Je m’abandonne complètement à Eric qui termine de se déshabiller. Je sens sa bite sur mes reins. Il me fait pencher en avant. Je prends appui sur le rebord de la table de la salle à manger en lui offrant ma croupe comme dessert. Je creuse les reins tandis qu’il promène, debout derrière moi, sa queue le long de mon sillon ténébreux. Les lobes écartés, je suis prête à tout. Son gland s’arrête sur ma rosette qu’il presse un peu, avant de continuer plus bas entre mes lèvres ruisselantes. Il les écarte avec son sexe avant de l’enfoncer d’un coup au tréfonds de mon ventre, me donnant un nouvel orgasme. Il me bourre, il me lime, il me pistonne vigoureusement. Son ventre claque sur mes fesses à chaque pénétration. Il fait trembler mes seins volumineux en me secouant.
Je n’hésite pas à dire tout haut le plaisir que me donne Eric. Nous changeons de position. Je m’allonge, le dos sur la table de la salle à manger. Il m’écarte les cuisses, et me pénètre à nouveau sans ménagements. A chaque coup de reins, je vois sa belle queue luisante disparaître au fond de mon ventre. Je devine Patrick en train de nous regarder et cela me stimule encore plus. J’ouvre largement mes jambes pour qu’Eric s’enfonce encore mieux. Il me bourre la chatte à grands
coups de pine. Le rythme s’accélère encore. Je jouis une nouvelle fois le supplie d’en finir, mais il ne réduit pas sa cadence, au contraire.
Il me pilonne jusqu’à ce que, enfin, il décharge ses bourses gonflées de plaisir en plusieurs jets drus et puissants au fond de mon ventre.
Après le départ d’Eric et un passage dans la salle de bains, je rejoins Patrick qui ne dort pas. Il me saute dessus et, plus excité que jamais, me trousse comme une pute. Il jouit toujours aussi rapidement, mais cette fois je suis trop épuisée pour lui en vouloir.
le lendemain après-midi, j’ai rendez-vous avec Eric. J’avertis Patrick et lui propose de se cacher dans le placard de la chambre. A ma demi-surprise, il accepte.
Eric arrive vers 15 heures. Rapidement, je l’entraîne vers la chambre où je prends tout mon temps pour attirer mon amant et mon mari spectateur.
Je prends des poses plus que suggestives en me déshabillant, et je lui demande d’en faire autant. Rapidement, nous nous retrouvons nus sur le lit, l’un contre l’autre. Il me prend en levrette, puis il s’allonge sur le dos et je le chevauche. Sa main glisse sur ma colonne vertébrale, descend jusqu’au sillon fessier. Un doigt s’enfonce à l’intérieur de mon anus. Prise de tous côtés, je me démène pour me faire pénétrer au maximum. Je pense un court instant à Patrick qui doit observer sa femme en train de jouir sur la belle pine d’Eric. Ce dernier s’active fébrilement. Il me retourne et me plaque sur le dos. Il m’écarte les cuisses et reprend son mouvement de piston. Je suis aux anges, et je maintiens moi-même mes jambes, telle une salope des bas-quartiers. Eric s’est mis au-dessus de moi. Son pieu de chair me laboure le ventre. Soudain il se dégage, prend son sexe dans la main et le dirige un peu plus bas vers ma petite corolle
Son gland teste le petit œillet qui résiste un instant. Je n’ose bouger. Un sentiment de crainte et d’envie m’immobilise. La pression s’intensifie et la rosace humidifiée, élargie par ses doigts inquisiteurs, finit par céder. Lentement, doucement mais sûrement, la pine d’Eric s’enfonce jusqu’à la garde. Il m’encule complètement. Je sens ses couilles velues chatouiller le bas de mes reins. La brûlure initiale s’estompe. Il commence à bouger, doucement d’abord, puis de plus en plus rapidement. Il me traite de tous les noms. J’ai l’impression qu’il va m’écarteler. Il est terriblement excité et moi aussi. J’ai véritablement le feu au cul. Je le supplie d’en terminer, mais il continue à m’enculer à couilles rabattues jusqu’à ce qu’il finisse par éjaculer au fin fond de mes entrailles. Nous refaisons l’amour deux fois avant qu’il ne parte ; dans la salle de bains, sous la douche, et dans le couloir au moment du départ, où il décharge au fond de ma gorge en me faisant avaler le jus de sa jouissance.
Une fois parti, Patrick me saute dessus mais moins fébrilement que la veille. Je le soupçonne de s’être soulagé tout seul en nous regardant, sans pouvoir attendre davantage.
Nous devions faire des travaux, plus exactement le carrelage du salon, et c’est pour cela que j’ai contacté des entrepreneurs. Les devis présentés étaient de beaucoup trop élevés pour notre budget. Un entrepreneur m’avait laissé sous-entendre qu’il pouvait baisser le prix.
Lors de l’entrevue, je m’étais aperçu que ma femme Laure ne le laissait pas indifférent. J’en avais parlé à ma femme qui s’était offusquée que je puisse lui suggérer de s’offrir contre la révision du devis. Mais lentement cette idée l’excita:
- Pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable, me disait-elle en acceptant de recevoir l’entrepreneur.
Un après-midi, j’ai repris contact avec l’entrepreneur et suite à ma demande, il me fit comprendre que seule ma femme pourrait le faire changer d’avis. D’après lui, elle avait des arguments que je n’avais pas.
Je m’empressais de téléphoner à Laure pour lui dire que le lendemain elle allait recevoir la visite de l’entrepreneur. Elle accepta de négocier mais à la condition que je ne sois pas très loin au cas ou.
Sa proposition me comblait, j’allais une fois de plus satisfaire mon penchant de voyeur.
Durant toute la matinée, elle s’était montrée très nerveuse et sa chatte coulait abondamment. Elle avait mis un porte-jarretelles, des bas noirs et bien sûr pas de slip. Elle avait passé une robe boutonnée en défaisant deux boutons en haut et trois en bas. Ses seins volumineux donnaient l’impression de vouloir s’échapper de son décolleté. En marchant, elle montrait ses cuisses un peu fortes.
Vers treize heures, on sonna à la porte. Je me précipitais dans ma cachette. Avant d’aller ouvrir, Laure se regarda dans la glace, elle vit qu’en marchant sa chatte était visible.
En ouvrant la porte, elle eut une belle surprise : dans l’encadrement se trouvait, non pas un homme mais deux, deux métis très bien bâtis. Akim le patron prétendait avoir besoin de l’aide d’Ali pour mesurer la pièce.
Laure les fit entrer et leur offrit un café. En revenant elle s’accroupit devant eux pour servir le café, et elle resta dans cette position, les genoux bien écartés. Sa robe était bien ouverte de sorte qu’ils avaient vue sur sa chatte. Akim souriait en s’adressant à ma femme :
- Je vois que vous êtes directe et je le serais aussi ! Je baisse le devis de moitié si Ali et moi nous vous baisons maintenant. Durant le chantier, vous serez à notre disposition : chatte bouche et cul !!!
D’une voix sure Laure répondit :
- Je suis d’accord. Mais pour comme vous dites le cul, je ne suis pas très chaude. Les hommes comme vous ont la réputation d’être montés comme des ânes. Je ne veux pas me montrer bégueule mais …
- Ton homme ne t’encule jamais ?
- Non mais d’autres si. Mais je n’ai pas trop l’habitude. Et puis qui me dit que je peux vous faire confiance ?
Vous pouvez très bien me baiser et ensuite revenir sur votre proposition.
Akim se leva et lui tendit le devis signé de sa main. Laure avait sa braguette juste à la hauteur de sa bouche. Il sortit sa bite et elle l’emboucha. Mon dieu quelle bite! Jamais elle n’en avait sucé d’aussi grosse et longue. Ali fit de même, de sorte que Laure passait de l’une à l’autre. Ils lui disaient :
- Allez, suce salope ! Ton mari nous l’avait dit que tu étais une pute !
- Ah tu voulais de la bite ? Eh bien tu vas être servie !
Au bout de dix minutes, ils l’aspergèrent tous les deux de sperme, qu’ils lui firent étaler avec sa main. Puis ils la relevèrent, lui retirèrent sa robe, sortirent ses seins de son soutien-gorge. L’un s’en occupa, l’autre se mit à l’embrasser. Ils jouèrent avec les nichons de Laure. Ils les soulevaient, les pressaient, tiraient les pointes.
Akim promenait son gland encore mou sur le clito afin de se faire rebander. Quand sa grosse bite fut bien dure, il lui ordonna de se mettre en levrette.
- A quatre pattes ! Tourne ton cul vers moi, ouvre que je vois tout !
Soumise et sans plus aucune retenue, Laure prenait appui sur le sol des épaules en lui offrant le spectacle de son cul haut, tendu, de son intimité dévoilée comme elle ne l’avait jamais été à personne.
Il s’était mis derrière elle et frottait sa bite sur sa vulve, poussant plusieurs fois et faisant mine de la prendre enfin. Elle suppliait :
- Oui, oui, prends-moi ! Mets-la moi, mets-la moi !
Ouverte à deux mains, dévoilant toute sa raie, son sexe, elle espérait sa grosse queue.
Les deux hommes échangèrent un regard complice. Akim s’allongea sur le sol et ordonna à Laure de venir s’empaler sur sa bite qu’il tenait dans sa main.
Dès qu’elle fut fourrée, elle devint comme folle, criant des obscénités :
- Salaud ! Fourre-moi bien la chatte ! Prends-moi comme une vieille putain ! Remplis-moi de ta grosse queue ! Secoue-moi ! j’ai faim de ta belle bite !
Elle s’agitait sur cette queue qui la remplissait. Elle avait les mains dans les cheveux, ses nichons se balançaient à chacun de ses mouvements. Akim était fasciné par le spectacle de ces grosses mamelles qui semblaient dotées d’une vie indépendante. Laure se pencha vers lui pour lui enfouir le visage entre ses mamelles. Elle offrait inconsciemment son cul à Ali.
Ali se mit à s’occuper du cul de Laure, d’abord avec sa langue puis après avec son doigt. Il lui enfila sans douceur un doigt dans très profond dans son derrière.
- Aïe ! Qu’est-ce que tu fais ? Je ne veux pas que tu me la mettes là !
Il la tenait d’une main sur ses reins. Laure se tortillait pourtant mais cela devait l’exciter encore plus. En essayant de se dégager, elle le suppliait :
- Non, Ali, s’il te plaît, pas là, pas là !
En lui disant de se tenir tranquille, il lui donna une, puis deux autres claques sur le cul, très fortes. Elle obéissait finalement en continuant à le supplier :
- Je ne veux pas ! Ne me fais pas ça, s’il te plaît Ali ! Je ne veux pas être sodomisée, je t’en prie !
- Mais je ne veux pas te sodomiser ! On ne sodomise pas une femme comme toi !
Soulagée, Laure s’offrit encore plus. Quant elle comprit ce qu’il voulait. Elle cria de peur et de douleur en se crispant pour lui faire barrage, mais elle savait déjà qu’elle ne pourrait éviter l’humiliation de se faire violenter le cul. Quand son gland força son anneau, elle le supplia de nouveau :
- Non ! Non, arrête ! Enlève-la, enlève ta queue de mon cul, je t’en prie ! Je ferais tout ce que tu voudras, mais pas ça ! Prends-moi devant, dans la chatte, j’ai envie. Pas dans le cul, tu me déchires !
Il s’était retiré d’un coup. Elle hurla mais quand il lui ordonna de le sucer, elle n’avait pas trop hésité, trop contente de ne plus être enculée ! Malgré la douleur encore présente, elle s’appliqua à le satisfaire. Ali comprit qu’elle avait abandonné toute fierté et en a profité.
- A quatre pattes ! Montre ton cul, ouvre que je vois tout !
Soumise, malgré les coups de queue d’Akim, elle avait tout fait selon leurs désirs. Akim laissa sa place à Ali dans sa chatte bien baveuse.
Akim lui présenta sa bite pleine de sécrétions à sucer. Laure avait la chatte et la bouche remplie de sperme. Ils lui disaient en rigolant :
- Tiens, salope, surtout garde tout le sperme pour ton mari, ce soir ! En rentrant il va se régaler !
Bien entendu, sa chatte et sa bouche ne leur suffisaient plus. Ce qu’ils voulaient, c’était son petit trou. Quand Ali, le premier, réussit à faire entrer sa grosse bite dans son cul, Laure cria. Ce fut un vrai délire de jouissance ! Il déchargea et Akim prit aussitôt la relève. Son anus était maintenant élargi et bien graissé. Voyant que sa chatte réclamait sa part, Ali la prit par-devant. Ce fut un merveilleux sandwich !
Quand ils la quittèrent, elle était complètement repue. Je la retrouvai toute nue, du foutre s’écoulant partout de ses trous. De la main, elle étala le foutre sur son opulente poitrine, en me demandant de la faire jouir par le petit trou. Avec les doigts elle se préparait la rosette, mélangeant le foutre à sa mouille.
J’eus aussitôt une belle trique et sans pudeur je me branlais, la regardant à son affaire. Laure me présenta son gros cul, s’asseyant sur ma queue dure comme du granit. Je la soulevais en prenant ses fesses, fourrant mon braquemart entre ses deux globes. Il y avait le feu là-dedans. Son petit anneau rosâtre enserrait mon dard. Tel un bouc assoiffé de chèvres, je la sodomisais debout sans faillir, pilonnant, besognant sa petite corolle encore plus sensible que son con baveux. Elle me suppliait d’en finir, tandis qu’elle se pinçait le petit bourgeon.
N’y tenant plus, j’inondais le cul de Laure en six rasades de foutre onctueux. Jouissant à l’unisson, ce fut l’atteinte du septième ciel, sa raie culière dégoulinait de sperme et de cyprine.
J’ai cru devenir fou quand ma femme me proposa de l’accompagner lorsqu’elle allait remettre à Akim le devis que j’allais m’empresser d’accepter.
Pas de suite.
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