↧
Sont à nouveau sur le marché. Qui veut en profiter... Rediffusion
↧
Un dimanche de brèves
Sociologie sexuelle des mélanges...
Trouver sa juste place
Les vacances...
J'étais en vacances et occupais mes journées sagement.
L'immeuble dans lequel j'habitais s'était pratiquement vidé et je ne croisais de temps en temps qu'un groupe de jeunes lascars qui devaient avoir entre 18 et 20 ans et qui rodaient parfois en fin de journée.
Je ne sais pourquoi mais chaque fois qu'ils m'apercevaient, je sentais leur regard se poser sur moi avec insistance. J'entendais des murmures mais je n'y faisais pas trop attention.
J'avais aménagé depuis peu dans cet immeuble et je ne connaissais donc pas grand monde sinon personne.
Par contre, je faisais parfois des aller retours entre chez moi et la cave qui se trouvait au sous sol, afin d'entreposer quelques cartons qui étaient encombrants et dans lesquels j'avais mis quelques livres qui ne me servaient plus mais que je désirais garder.
J'étais habillée tout simplement, d'une chemise assez ample et d'un mini short qui ne cachait pas grand chose de mon intimité, mais comme il n'y avait personne dans les environs je restais à l'aise....
Je pris ainsi l'ascenseur et allais au sous sol. Une fois arrivé, j'entrepris de bloquer la porte de celui-ci en mettant un carton et sortir les deux autres que j'avais pris avec moi.
Soudain j'entendis du bruit derrière moi.
C'était 3 des jeunes qui trainaient d'habitude qui avaient investi le hall des caves afin de fumer probablement un pétard, vu l'odeur qui était rependue dans la pièce.
- Bonjour M'sieur, tu fais quoi si tard dans les caves?"
- Salut, comme vous voyez je viens d'aménager et je profite de la soirée"
J'entendis rire et chuchoter alors que je sortais mes cartons...
- Tu veux un coup de main?"
Sur ces paroles, deux des jeunes prirent mes cartons et me suivirent jusqu'à ma cave. Je les entendais chuchoter derrière moi et je réalisais soudain que ma tenue, et surtout mon mini short devait attirer les regards...
Une onde de chaleur me parcourut soudain et je sentis sur mes joues monter une certaines rougeur alors que dans mon corps, une onde d'excitation montait tout doucement.
Arrivé devant ma cave, j'ouvris la porte avec ma clef et nous rentrâmes tous les 3 pour y déposer les cartons. Ensuite ils allumèrent leurs joints et ils m'en offrirent un que je pris.
Nous avions commencé à discuter de tout et de rien mais je voyais cependant, au détour de la conversation, que leurs regards trainaient vers mon mini short qui laissait quelque peu trahir une certain excitation qui commençait à m'envahir.
La discussion se fit peu à peu plus intime...
- Tu es seul dans la vie, t'as pas de meuf?"
- Non mais c'est pas plus mal, ça me laisse faire ce que j'ai envie de faire..."
Les 3 lascars se mirent à rire, d'un rire entendu et la conversation continua, mais le fait de me retrouver ainsi devant ces 3 jeunes ne me laissait pas indifférent du tout et cela commençait à se voir....
Eux me mataient à présent. Je sentais leurs regards me déshabiller presque et je commençais à voir une bosse apparaitre sur leur pantalon.
L'un d'eux osa :
- Ca me plait bien comme t'es fringué et tu es toute jolie avec ton short"
Je fis semblant de ne pas relever l'allusion, mais je commençais aussi à bouillir dans mon corps et je suppose que mon mini short laissait de plus en plus apparaitre mon envie car un silence se fit.
La conversation s'arrêta et je décidais de remonter chez moi.
Un des jeunes me dit alors
- Si tu veux, on peut t'aider si tu as d'autres cartons..."..
Mais dans sa voix je sentis une invite qui trahissait bien ses intentions, et en regardant discrètement, je vis bien que leurs pantalons étaient tendu par des envies à assouvir...
Je repris l'ascenseur, non sans avoir senti au passage une main trainer discrètement sur mes fesses et s'insinuer discrètement vers mon fondement.....
Une fois chez moi, l'excitation se fit vraiment forte..
Mais que faire...????
J'étais dans mon immeuble et je pouvais m'exposer à des ennuis et même si ces jeunes semblaient sympas, je ne savait pas ce qui pourrait leur passer par la tête...
Je m'assis sur mon canapé et commençais à siroter un whisky en essayant de chasser mes idées sexuelles, mais l'excitation était là et je me mis doucement à caresser mon sexe qui était dur et gonflé, et je sentis ma rondelle ouverte qui exprimait son désir... Le désir commençait à être terriblement fort, de connaître cette aventure là et mon envie de m'offrir...
Oui, j'avais envie de redescendre, de me faire baiser, défoncer, j'avais envie qu'ils me prennent à tour de rôle comme une pute, j'avais envie qu'ils fassent de moi selon leurs envies, et de m'offrir entièrement à eux, quelles que soient les conséquences.
Je mis alors une très petite nuisette, tres courte, un string transparent, et une superbe paire de mules à talons...et je décidais de reprendre l'ascenseur afin de retourner à la cave.
Arrivé au sous sol, il semblait n'y avoir personne. Déçu, j'allais vers ma cave, j'ouvris la porte et je me mis machinalement à ranger mes cartons.
Soudain, j'entendis des pas.. je ne me retournais pas et fis comme si ne rien n'était.
- Tu es une vraie salope toi pas vrai, tu nous as excité et va falloir assumer maintenant. On va te faire voir ce qu'on veut t'inquiète pas..."
Je me retournais alors et je vis 6 jeunes qui me dévoraient du regard en se branlant. Je me mis face à eux. Mon visage montrait bien que j'étais déjà bien excitée mais je décidais de jouer le jeu.
- Non laissez moi tranquille sinon je vais crier..."
Sur ce , le premier s'approcha de moi et m'embrassa à pleine bouche. Pendant ce temps, les autres s'étaient approchés de moi, ils étaient nus et ils bandaient à fond, excités par ma tenue.
Celui qui m'embrassait me força à me mettre à genou et inséra sans ménagement sa queue dans ma bouche. Je me débattais doucement mais j'étais trop excitée par la situation et la queue que j'avais en bouche était tellement délicieuse que je me mis à le pomper goulument.
Au bout de 2 mn, il me releva et me força à me mettre de dos en écartant les jambes.
- Non, pas ça, je ne veux pas" leur disais je, en essayant de protéger mon trou qui s'était dilaté et était prêt à les recevoir.
- On va bien te limer et après tu en redemanderas, espèce de pute, on voit bien que t'en veux pas vrai?!!!"
- Je vous en supplie, laissez moi, laissez moi..."
Celui que j'avais sucé s'approcha de moi et d'un coup, pénétra mes entrailles dans un râle qui en disait long sur son envie. Au même moment, je pris mon poppers et inhalais à fond, ce qui eut pour effet de m'ouvrir complètement.
- Salaud, laissez moi, arrêtezzzzzz...."
A présent, je me cambrais bien alors que le jeune me défonçait avec violence. Je sentais sa queue au fond de mon ventre et il ne tarda pas à se déverser en moi dans un râle sonore et soudain.
- Ouiii..oui... allez y, je suis votre chienne, enculez moi à fond, j'en veuxxxxx...ouiiiii"
Il fut vite remplacé par le suivant qui m'enfila sans aucun ménagement. Je me faisais littéralement défoncer le cul par ces lascars qui en voulaient. Je passais de queue en queue sans aucun ménagement. Les lascars étaient déchainés et m'insultaient tout en le limant avec une force incroyable.
Je me faisais baiser avec une force telle que je jouissais sans discontinuer et mon jus s'écoulait le long de mes jambes pendant que je recevais des fessées, mais je ne ressentais que du plaisir, un plaisir absolument fou.
Le dernier à me baiser était le plus jeune de la bande, il était noir et sa queue était démesurée, elle faisait au moins 25cm. Il ne me laissa pas le temps de réagir et s'enfonça dans moi en un seul coup, me laissant échapper un râle de douleur et de plaisir mêlés. Sa bite était énorme et à chaque coup de rein, j'avais l'impression qu'il me transperçait les entrailles.
Mon trou était écartelé mais prenait cette bite sans difficulté et lui m'enculait avec une férocité rare. Sous ses coups de boutoir, je me mis à jouir comme une folle, criant mon plaisir et lui disant de m'enfiler encore plus fort.
Ma jouissance était terrible. De ma queue coulait du foutre sans que j'aie à me caresser et mon trou se contractait par moments, du plaisir reçu, et mon baiseur me défonçait alors avec encore plus de vigueur.
Je jouissais du cul et de la queue!
Je criais mon plaisir et lui m'insultait:
- Espèce de chienne, tu aimes ça pas vrai! t'en veux! Je vais faire de toi ma pute et la pute de tout le quartier, tu vas être notre vidangeuse et tu vas travailler pour moi..."
- Ouiiiiii vas y, ohhhhhhhh, oui, c'est boooonnnnn.. oui je suis une pute, une chienne, je suis à vous tous! prends moi, vas y plus fort, féconde moi, je ferai la pute pour toi, devant toi...défonce, je t'en supplie, défonce...."
Il se mit alors à jouir comme un fou alors que je jouissais aussi une quantité incroyable de jus qui coulait à terre. Il m'inondait et moi je n'arrêtais plus de jouir par tous les trous.
Il se retira prestement de mon trou , puis se rhabilla en m'apostrophant.
- Tu en voulais pas vrai! on viendra te voir salope et on fera de toi notre pute, t'inquiète pas, tu es à moi, mais j'aime partager et on va te rendre encore plus salope que c'que t'es, chiennasse"
J'avais pris ma queue dans ma main et je continuais à jouir comme une folle, alors que de mon trou s'échappait un flot de semence...
Je mis un long moment à bouger, écartelée que j'étais, littéralement inondée de foutre. Je pris mes mules à la main, et repartis à l'ascenseur pour remonter chez moi.
Une fois sur mon lit, je constatais que j'étais dilatée à un point que je n'aurais jamais imaginé, et que de ma rondelle s'écoulait encore une quantité folle de foutre.
Je me caressais encore puis, n'y tenant plus, je mis mes doigts dans mon trou et je recueillis le foutre qui tombait pour le mettre dans ma bouche avant de m'endormir.
Cela me donna une nouvelle jouissance....
Je m'étais faite de nouveaux amis qui allaient continuer mon apprentissage, et de quelle manière....
Sociologie sexuelle des mélanges...
Trouver sa juste place...
Découvrir de nouveaux modes de vie
Cécile
Cécile, 18 ans est une parisienne élevée dans un milieu aisé et bourgeois du centre de Paris. Scolarisée dans une école privée avec restriction vestimentaire. Après la lycée, il lui suffit de marcher 500 mètres environ pour être à la maison où la bonne se charge de l'accueillir tout comme ses 2 autres sœurs beaucoup plus jeunes. A son âge, Cécile se sent un peu prisonnière de son mode de vie, très encadré, basé uniquement sur l'éducation et la réussite sociale.
L'été elle part sur la côte d'Azur avec ses parents ou bien chez ses grand-parents. elle a bien tenté de prendre des libertés pour aller à des soirées dansantes organisées chez des copines. Mais l'autorité des parents en a eu raison. L'école et la réussite avant tout. “Et puis tu es trop jeune pour sortir. Ce n'est pas convenable… tu viens à peine d'être majeure réitère souvent sa mère. C'est principalement elle qui se charge de l'éducation car le père, gros industriel se consacre toute la semaine à son travail et est très souvent absent.
Alors qu'elle rentre du lycée, Cécile a pris l'habitude d'échanger quelques mots avec un jeune coursier en scooter, desservant le quartier de temps en temps.
De 2 ou 3 ans son aîné, il n'a pas fait d'études et pratique ce job pour se faire un peu de ronds en plus du trafic parallèle de vêtements de marque volés ici et là. Il vit en banlieue à Nanterre. Ces quartiers il les connaît parfaitement ainsi que tous les squats, endroits connus de Cécile, qu'à travers des reportages télévisés ou d'actualités lorsqu'il s'y passe quelque chose.
Le jeune banlieusard, surnommé Rap, lui parle toujours sèchement et la provoque parfois par rapport à son milieu, son rythme de vie. Cécile lui répond en baissant la tête et lui pose des questions sur ce qu'il fait. Rap lui parle de liberté, de sortie la nuit, de voiture de bourge qu'il casse avec ses copains, il reproche à Cécile d'être naïve sur le monde… Il lui parle de sexe, de drague. Cela gène Cécile qui finit par passer son chemin lorsque la provocation devient trop gênante.
- Un jour, quand tu en auras marre d'être conne, je pourrai t'emmener
faire un tour.”
Cécile passe son chemin et rentre chez elle. L'heure du repas est l'occasion pour manifester sa crise d'adolescence. Un soir de novembre, sur le retour du lycée, Cécile se fait accoster par Rap sur son scooter.
- Salut, j'ai fini ma tournée. Il fait froid mais sec. Je t'emmene faire un
tour si tu veux.”
Cécile marche avec son sac à dos sur son manteau bleu marine. Elle ne répond pas.
- A c'est vrai, la petite fille à sa maman rentre bien vite à la maison, le gros méchant loup va la manger”
- Laisse-moi ! Je ne suis pas d'humeur ce soir.
- La bourge fait des caprices… Qu'est ce que tu as ? T'as tes ours ?
- J'en ai marre de ces profs. Je n'ai pas assuré à mon devoir de maths, ma
mère va encore m'embêter toute la soirée.
- Allez montes je t'emmène. Tu l'emmerdes ta mère
Cécile sans réfléchir monte sur le scooter et Rap démarre en trombe. Après de
nombreux tour dans Paris éclairé, Rap s'oriente vers sa banlieue en passant de
chemin piéton en escalier et dans des ruelles servant de raccourcis. Vers 23h00, Rap s'arrête au niveau d'un pâté de vieilles maisons paraissant désaffectées.
- Qu'est ce que tu fais. Où va-t-on ?”.
- Je caille et j'ai faim. On va chez des potes. Rentres et montes.
Cécile pénètre dans un vieille cage d'escaliers en bois étroits et raides. Une forte odeur d'urine et de poubelles s'en dégage.
- C'est ici.”
Rap frappe à la porte sous la forme d'un code. Cette dernière s'ouvre. Un jeune homme les fait rentrer en regardant avec insistance et provocation la jeune fille. IL a les cheveux longs, sales. Il s'installe sur un vieux fauteuil et reprend à fumer un pétard. Dans la même pièce sombre, éclairée d'une ampoule jaune, un autre homme paraissant plus âgé mais aussi sale et agressif du regard est entrain de fumer mais ne dit rien. Il regarde Cécile en la fixant. Le premier répondant au nom de Zis s'adresse à Rap :
- Qui c'est? :
- Une bourge en fugue. Je l'ai ramenée du 16ème. Elle est dans un lycée privée de curetons.”
- Elle a l'air bonne cette gueuse. C'est à toi.
- Non, je l'ai emmené faire un tour en banlieue, elle connaît pas.
- Elle baise ? dit Zis en la toisant de la tête aux pieds.
- Je ne pense pas. Elle est pucelle la bourge.
Cécile est gênée et immobile. Elle rougit. Rap se roule un joint et s'assoie pour le fumer.
- Je vais rentrer maintenant. Tu peux me ramener ?” dit Cécile en s'adressant à
Rap.
- Non je suis crevé. Et puis démerde toi, je suis pas ton chien.
- Elle ne va pas partir comme ça. On peut passer un moment ensemble si tu
veux.
Zis se lève s'approche de Cécile et lui enlève le manteau en forçant un peu. Cécile ne saît pas comment réagir.
- Laissez-moi, je veux rentrer.”–
Le regard de Cécile cherche refuge vers Rap qui ne la regarde pas. Elle se
tourne alors vers le 3ème espérant une intervention de sa part. Zis s'impose devant Cécile et commence à la peloter à travers ses vêtements.
- Qu'est ce tu as sous ta jupe. Petits nichons enveloppés.
Zis la pelote de plus en plus et essaie de remonter la jupe de Cécile qui la retient. Elle commence à pleurer et à crier. Zis la plaque contre le mur et lui remonte
violemment sa jupe bleue jusqu'aux hanches. Mais le collant bleu marine opaque
interdit toute intrusion à Zis.
- Allez, laisse toi faire. Fait voir ta petite chatte.”
- Non, laissez-moi, au secours.
Cécile commence à crier. D'un seul coup, le 3e homme, plus fort, répondant au surnom de Boug, se lève en sursaut et surgit du fond de la pièce. Cécile y voit un salut de sa part. Pas du tout. Boug arrache Zis de Cécile et empoigne Cécile par son pull.
- Maintenant, tu vas te mettre à poils doucement devant nous. J'ai envi de
baiser. Fais pas de difficultés sinon je t'en colle une.
Toute tremblante et en pleurs, Cécile acquiesce et commence à s'exécuter. Zis
s'assoit dans un fauteuil qu'il approche à un mètre d'elle.
Cécile enlève son pull et déboutonne son corsage bleu ciel. Déboutonné jusqu'en bas, elle le sort de sa jupe et l'ouvre devant les 3 regards d'obsédés. Elle porte un petit soutien gorge de coton blanc à petites fleurs rose. Il moule parfaitement sa petite poitrine ronde de taille 80A.
- Magnes-toi” dit Zis d'un air excité.
Cécile fait descendre sa jupe à ses pieds en essuyant ses larmes de temps en
temps. Le collant opaque permet juste de distinguer la forme d'un slip. Ce
dernier apparaît lorsque Cécile enlève son collant. De la même couleur que le
soutien gorge, il moule parfaitement ses fesses rebondies et cache juste le
bas ventre. Cécile marque un temps d'arrêt. La blancheur du coton tranche
nettement avec sa peau légèrement mate. Boug l'apostrohe :
- Alors ! Tu veux que je t'aide à continuer. Enlève moi ça vite, sinon je
vais décharger sur moi avec de te baiser.
Cécile défait l'agrafe de son soutien gorge et dévoile ses deux poires fermes
aux bouts bruns. Tout en tremblant, elle descend son slip et le pose sur le
reste de ses vêtements, à ses pieds. Zip lui prend aussitôt, regarde le fond
du slip et se met à le sentir.
- Hum, ça sent la petite chatte de pucelle bien propre.”
Boug attrape Cécile par le bras et la fait mettre a genoux devant lui. Il défait son pantalon et sort son gros sexe d'un vieux caleçon tout fripé.
- Suce moi la bite. Tu la prends bien dans la bouche et tu me suces.
Cécile prends le sexe de Boug avec sa main tremblante et commence à l'enfourner dans sa bouche. Il sent l'urine. Mais elle n'a pas le choix. Zis baisse son pantalon et sort son sexe en érection.
- Dépêche toi, je ne vais pas tenir longtemps? Il faut que je la baise.
Après 4 ou 5 minutes de va et viens, Boug lui dit d'arrêter et l'emmène se coucher sur un vieux matelas servant de lit au premier venu.
- Zis, tu passes avant, tu as une petite bite, pour la dépuceler c'est mieux.”-
Zis se jette dessus et lui écarte les jambes de force pendant que Boug lui tient les bras au dessus de sa tête. Cécile pleure et pousse un gloussement au moment de la pénétration.
6 Hum, hum, c'est bon elle est étroite. Tu n'aimes pas encore mais tu vas aimer. Hum, hum, tu auras été dépucelée avant ta mère, hum. Ah putain, je jouis…
Dans la foulée, Boug monte dessus et commence la même opération. Cécile sent
le sexe plus gros la pénétrer. Elle ne dit plus rien et s'est relâchée. Sa respiration prend le rythme des va et viens du gros Boug. Après 5 bonnes minutes de pénétration, Boug finit par jouir.
- Viens Rap, viens la prendre. Elle est prête.
Rap écrase une cigarette dans le cendrier et s'approche en baissant son pantalon. Cécile, épuisée le regarde venir et ne résiste plus. La pénétration de Rap lui provoque un gémissement. Le va et vient lent, la détend. Après 3 bonnes minutes de va et viens, Cécile se met à gémir de jouissance provoquant l'éjaculation de Rap.
- Putain, tu aimes ça ma salope.
- Elle vient de découvrir la baise grâce à nous. Ce sera une vrai salope
de bourgeoise. Dit Zis en rigolant.
Rap se relève et dit à Cécile :
- Allez, rhabille toi, je te ramène si tu veux.”
Cécile s'exécute et commence à se rhabiller. Le sperme coule le long de ses jambes. Elle prend un mouchoir pour s'essuyer avant de remettre son slip.
- Tu vois, ce qui t'arrive, c'est à cause de ta mère et de son éducation de merde. Je suis sur que ta mère est bonne et que c'est une mal baisée. Aujourd'hui elle serait jalouse de toi. A ta place, je ne lui en parlerai pas. Elle t'interdira de sortir même étant majeure.
Cécile écoute Rap en remettant son manteau.
- Ma mère je l'emmerde. Tu me ramènes et c'est tout.
- Si ta mère t'emmerde, tu n'as qu'à nous l'emmener on lui fera la même chose en plus hard. Elle t'embêtera plus. Je suis sur qu'elle baise que pour procréer, cette bourge coincée. Réfléchis. Tu la mets entre nos mains et on s'occupe du reste. Allez, salut, casse toi dit Boug
Cécile est raccompagnée par Rap jusque dans son quartier. Rap a pris soins de
brouiller les pistes en passant par d'autres chemins confus pour le retour.
En la déposant Rap s'adresse à Cécile :
- T'es bonne à baiser. Si je pouvais je te remettrai ça. Ta mère doit être bonne aussi. Je la baiserais bien. On peut s'occuper d'elle si tu veux. Réfléchis, un jour je t'accosterai, tu me diras.
- Fiches-moi la paix.
Cécile marcha vers chez elle en pleurant et s'essuya les yeux avant de rentrer chez elle. Après des explications inventées, elle pris une bonne douche et se coucha. Depuis elle médite sur sa soirée et sur le sort à infliger à sa mère de plus en plus confiante.
↧
↧
Un Dimanche avec Varenne et De Saxe....... Fin
↧
Vive le sport
Faites du sport
Tout le temps...
Partout et à chaque occasion.
↧
Histoire du net. Auteur KeKoLo56. Révolution!
Certaines jeunes demoiselles
sont prêtes à se mélanger à la plèbe!!!
Deux aristos et la racaille
La comtesse Blanche du Breuil s’ennuyait fermement au bal des débutantes à l’hôtel Crillon. Les valses avec de jeunes aristos boutonneux ne l’avaient jamais passionnée. Elle préférait en effet d’autres passe-temps plus insolites pour une personne de sa condition.
Elle était la beauté incarnée à 22 ans, blonde avec de grands yeux bleus, des seins superbes qui tendaient le bustier de sa robe du soir, un long cou sur lequel brillait une rivière de diamants. Ses cheveux blonds étaient relevés en un savant chignon qui laissait voir ses oreilles exquises auxquelles pendaient des boucles d’oreille en rubis.
Son amie, la baronne Violaine de La Trellière, qui aimait à l’accompagner dans ses virées avait également le même sentiment d’ennui et voulait s’arracher à ces mondanités pesantes pendant lesquelles elles étaient sensées trouver un mari fortuné et surtout emparticulé. Les deux jeunes femmes décidèrent donc de concert d’abandonner le faste de la salle de bal pour aller dans un endroit plus adéquat à leurs désirs.
La comtesse et la baronne trouvèrent le moyen de s’écarter sans que leurs parents ne remarquent leur absence. Elles passèrent prendre leurs longs manteaux de fourrure pour affronter le froid qui les séparait de la Mercedes que Violaine avait eu en cadeau de son père, un financier très élevé qui jouait sur son titre de duc pour impressionner un monde des affaires où le nom faisait souvent tout.
- Où veux-tu aller, demanda Blanche en entrant dans la voiture de luxe en faisant attention à ne pas prendre sa longue jupe dans la porte. J’ai envie d’un endroit où l’on s’amuse plus que la dernière fois.
- Ne t’en fais pas, vu comment on est habillées, on rentrera où on veut et on aura tout ce qu’on veut.
- Allez, direction les Halles alors, on devrait trouver ce qu’on veut là.
La Mercedes se fraya un chemin rapidement jusqu’à un endroit des halles connu pour ses boites de nuit mal famées et se gara devant l’une d’entre elles. Les deux aristocratiques jeunes femmes se firent remarquer dès leur sortie de la voiture.
On voyait en effet assez peu souvent deux créatures de rêve sortir d’une voiture de PDG dans cette rue! La comtesse avait sous son manteau de fourrure une superbe robe du soir à la jupe longue et ample en brocart de soie grise et de longs gants de la même couleur.
Quant à la baronne, brune avec des yeux verts, sa robe était plus provocante mais tout aussi luxueuse: la robe de satin cramoisi, longue et ample avec un faux-cul à l’arrière, s’ouvrait sur une minijupe à l’avant. Minijupe qui laissait apercevoir les cuisses lisses et parfaitement galbées de la jeune aristocrate. Elle avait de plus un large chapeau en velours noir dont les plumes blanches bouffantes se recourbaient sur ses épaules nues.
Pour Mohammed et Abdou qui allaient rentrer dans la boite “l’Aquarium” après 1 heure de RER depuis leur cité, la vue des deux femmes provoqua un sifflement admiratif et Abdou ne put s’empêcher de lancer, sans trop d’espoir pourtant;
- Oh, les meufs, ça vous dit de rentrer avec nous!
La comtesse du Breuil dit alors avec un ton aguichant, au grand étonnement des deux jeunes zonards:
- Pourquoi pas. Mon amie et moi avons besoin d’être introduites dans ce lieu qui nous est inconnu.
Le beur et le black en restaient sans voix: deux tops sapées comme des princesses leur lançaient une invite à peine voilée! L’occasion ne devait pas se perdre!
- Ouais, moi c’est Mohammed, et toi tu t’appelles comment lança le beur à Blanche (il adorait les blondes et fantasmait énormément dessus).
- Blanche, comtesse du Breuil du Bois d’Arviers.
- Et moi c’est Violaine, baronne de La Tréllière, dit sa compagne.
Putain! Des aristos en plus! Comment ils allaient se la jouer dans la cité! Une érection monstrueuse commença à se faire sentir dans leur pantalon. L’envie dévorait les visages des autres jeunes qui faisaient la queue devant la boite. Ces deux salopes aristos avaient accrochés avec les premiers qui leur avaient adressé la parole!
Blanche et Violaine prirent chacune le bras de leur partenaire pour entrer dans la boite et remirent leurs manteaux de fourrure au gars du vestiaire qui ne put s’empêcher de faire un clin d’oeil admiratif aux racailles qui les accompagnaient.
La salle était pleine et surchauffée. Les femmes sentirent avec désir la bouffée de chaleur à l’entrée se répandre sur leurs gorges nues. Mohammed et Abdou regardaient alentours pour voir s’ils pouvaient appeler des potes afin de se faire remarquer avec leurs “conquêtes”.
Ils ne tardèrent pas à voir un groupe de lascars de leur cité qui avaient leurs habitudes ici. Ils s’empressèrent de les rejoindre avec les filles.
- Putain! S’exclama un grand black du groupe. Vous nous présentez vos copines!
Là dessus, Blanche lui adressa une œillade suggestive et effleura sa braguette en passant à côté de lui. Le black eut un mal fou à ne pas pousser un râle de plaisir à ce moment là. Les deux filles firent la bise à tous les mecs du groupe, une dizaine, en faisant bien attention à toucher la commissure de leur lèvres. Elles déclinèrent à nouveau leurs titres.
Elles s’assirent alors dans le cercle en touchant le plus de monde possible. La comtesse du Breuil du Bois d’Arviers commença, en faisant semblant de murmurer quelque chose à l’oreille de son “cavalier”, à lui lécher l’oreille. Elle lui rajouta:
- Suis moi aux toilettes tout à l’heure.
Mohammed senti sa queue se raidir à lui en faire mal. Putain, ce qu’il allait lui mettre tout à l’heure! Ses rêves les plus fous allaient devenir réalité!
Quant à Violaine, elle s’arrangea pour caresser ostensiblement la protubérance qui enflait le jogging d’Abdou depuis leur rencontre. Comme elle s’était également assise à côté du black qu’elle avait lubriquement salué toute à l’heure, ce dernier essayait le plus possible de la coller, ce à quoi elle ne tentait aucune esquive d’ailleurs.
Quand Blanche se leva, Mohammed sauta comme propulsé par un ressort, conforté par l’œillade qu’elle ne manqua pas de lui lancer en prenant la direction des toilettes. Elle eu du mal à y parvenir car tous les mecs de la boite essayaient de la coller au passage et sa longue jupe faite plus pour virevolter dans les salles de bal que pour danser en boite commença à se froisser sérieusement.
Elle choisit les toilettes hommes et Mohammed s’y engouffra à sa suite. Elle n’eut pas le temps de se retourner qu’il la serrait déjà contre le mur, lui oppressant les seins de ses mains et lui faisant sentir son érection. Elle poussa un gémissement de plaisir et sentit le désir monter en elle avec fougue.
Mohammed lui couvrait le cou de baisers et retourna son bustier afin de faire jaillir les seins hors de la soie et de sucer leurs tétons. Blanche saisit sa jupe à deux mains et la remonta le plus haut qu’elle put, dévoilant son charmant pubis sans culotte et déjà copieusement humecté. A sa vue, Mohammed poussa un râle de bête et baissa son pantalon de survêtement. Sa bite était tendue à l’extrême.
Mohammed lui saisit les jambes, la souleva et plaça sa chatte humide juste devant son sexe, Blanche lui enserrant le cou de ses bras gainés de longs gants et de diamants. Le jeune Arabe la pénétra violemment, lui arrachant un cri de surprise mêlé de jouissance. Les coups de boutoir qu’il lui donnait la remplissaient de jouissance.
Elle adorait se faire prendre par ceux que ses parents appelaient avec mépris de la “racaille” ou des “infidèles”. Eux seuls avaient cette ardeur qui réveillait en elle la femelle assoiffée de sexe sous ses airs de comtesse inaccessible.
Elle se souvenait en particulier d’une chasse à courre où elle avait faussé compagnie au groupe pour aller se faire violer par un camp entier de gitans. Elle avait ensuite mis le désordre dans sa tenue de cheval sur le compte d’une chute…
Elle pensait que ce trait de son caractère lui venait d’une de ses ancêtres, la duchesse de Dormeuil, qui s’était fait violer par des pirates barbaresques en 1570 alors que son navire avait été capturé par le redoutable el Hadj abd el Hamid.
Le journal secret de la duchesse Marie-Elisabeth de Dormeuil avait retracé son viol par tout l’équipage musulman, puis par le capitaine, qui lui avait laissé sa fraise ainsi que ses bijoux pour mieux jouir de cette noble chrétienne au milieu de sa robe de cour en velours de soie saccagée et souillée du sperme des infidèles. La duchesse avait particulièrement apprécié cet « incident » et s’était employée à être la plus obéissante des esclaves blanches à Alger.
On raconte que de nombreux cheiks avaient plaisir à voir une captive chrétienne de particulièrement noble extraction se faire sodomiser par les muletiers maures des environs. Malheureusement rachetée par sa famille, la duchesse avait dû rentrer en Europe mais Blanche avait retrouvé ses papiers et se trouvait une analogie frappante avec elle…
La vue était particulièrement charmante, avec cette fastueuse créature enserrant un zonard de ses bras et de ses jambes, encore à moitié vêtue de sa robe du soir, qui se faisait défoncer la chatte contre le mur malodorant de ces toilettes empestant l’urine. La comtesse s’était laissé aller à embrasser le cou de Mohammed de baisers ardents afin de redoubler son ardeur.
Soudain, Mohammed la laissa tomber sans la prévenir:
- Mets toi à genoux, salope! lui enjoignit-il, d’une voix qui laissait transparaître une impatience extrême
Docile mais excitée, Blanche se mit à genoux, sa robe du soir s’élargissant en corolle de soie autour d’elle. Se seins étaient toujours mis à nus et uniquement recouverts de sa rivière de diamants.
Mohammed lui arracha sa robe déjà largement ouverte qui s’effondra à ses pieds, la dévoilant, nue et superbe, sur le carrelage souillé des toilettes. Comprenant parfaitement la situation, la comtesse releva son cul, écarta ses cuisses et troussa sa jupe afin de dévoiler son anus au jeune Beur.
Ce dernier ne se fit pas prier et l’encula sans ménagement. La vision de ce cul blanc parfait offert de salope de la noblesse française le rendait fou. Le collier de diamant de Blanche pendouillait à son gracieux coup au rythme des coups de boutoir assénés par Mohammed.
Pour le zonard de banlieue, défoncer cette aristo qu’il pensait inaccessible et qui sentait si bon multipliait par cent la jouissance. Sa bite avait forcé le délicat anus de la comtesse et il sentait son gland électrisé aller et venir dans cette petite pute pour riches.
Ayant fermé les yeux et étant toute ravie par l’outrage que lui faisait subir son violeur, la comtesse du Breuil n’entendit pas venir un autre Arabe entrant dans les toilettes.
Le spectacle qui s’offrait à lui était absolument splendide: une superbe noble blonde parée de bijoux splendides se faisait sodomiser par un frère au milieu de ses atours de soirée jetés à bas. Et cette conne semblait aimer çà en plus!
D’un coup d’oeil, Mohammed lui fit comprendre qu’il pouvait s’occuper de «l’avant» de la fille, tant qu’il ne l’emmerdait pas sur « l’arrière ».
Blanche, qui avait les yeux fermés et poussait de petits glapissements, sentit d’un coup une poigne se saisir de ses cheveux et ravager son chignon puis une bite s’insérer de force dans sa bouche. Le goût fort de l’engin l’excita encore plus et elle se mit à prodiguer ses talents les plus secrets, enveloppant le gland avec sa langue.
Les deux Arabes éjaculèrent quasiment en même temps et celui qu’elle pompait le fit tellement fort, qu’elle ne put avaler tout le sperme et qu’une partie lui coula sur la poitrine.
Ses deux amants poussèrent des grognements de bête et la laissèrent gire à poil sur les carreaux des toilettes pour aller se prendre une bière et se laisser le temps de se reremplir les couilles.
Dans sa torpeur, elle ne se rendit pas compte que plusieurs mecs l’avaient regardé se faire prendre comme une salope et n’attendaient que le départ des deux arabes pour se faire cette petite pute d’aristo à leur tour.
La comtesse fut relevée, plaquée contre le mur et sentit une bite s’introduire dans sa chatte et la ramoner puissamment. Blanche fut particulièrement excitée de voir que les mains qui lui pétrissaient les seins étaient celles d’un black.
La sarabande infernale recommença et le black ne cessait de l’insulter tout en la baisant avec force :
- Sale petite pute, tu la sens ? C’est pas les pédés du XVIème qui peuvent te niquer comme ça, hein ?! Je vais te défoncer, petite salope de bourge ! ».
Blanche, la bouche ouverte et les yeux rivés au plafond sentait avec délectation la bite du zonard écarter les lèvres de son vagin si délicat et prenait un plaisir incroyable aux insultes qu’il lui adressait.
Le black la maintenait d’une main rude sous les nibards tandis que de l’autre il fourrageait à la recherche du clito de la comtesse. Celle-ci ne pouvait retenir de petits cris de jouissance et parfois de douleur (le noir lui pinçait souvent les bouts de ses seins).
Au moment de jouir, celui-ci la retourna pour que cette salope de française puisse le voir en face, ce qui ravit la comtesse. Le foutre du noir jaillit à grosses saccades et se mit à couler sur les cuisses de la jeune aristocrate.
Le black laissa ensuite choir la comtesse sur le sol et s’essuya la queue dans la soie de la robe avant de sortir.
La comtesse se releva, rajusta sa robe, qui avait déjà beaucoup perdu de sa superbe et dont la soie était tachée de multiples auréoles. Ce n’était pas grave, son père lui offrait de toutes façons des robes de bal des plus grands couturiers à longueur d’année.
Elle sortit à nouveau dans la salle. Encore toute bouleversée des sensations qu’elle venait de vivre, elle avait totalement oublié de laver le sperme qui avait giclé sur sa poitrine et ses seins.
Ce qui venait de se passer dans les toilettes ne pouvait être ignoré de personne vu les cris qu’ils avaient poussés tous les trois et le désordre de sa coiffure, si bien ordonnée et laquée il y a 10 minutes…
Les commentaires autour d’elle fusaient : « salope », « pute de riche »…
Pendant ce temps, son amie, Violaine de la Trellière, n’était pas restée inactive : elle avait consciencieusement pompé tous les types de la bande sous la table. Quand Blanche reparut à la table, elle retrouva la baronne les cheveux défaits, son chapeau à larges bords ayant depuis longtemps été jeté à bas pour mieux empoigner sa chevelure.
Elle était empalée sur les genoux d’un grand noir, celui-ci ayant mis les seins blancs de la jeune noble à l’air afin d’en sucer les tétons. L’ampleur de sa jupe masquait le fait que la bite du noir la ramonait profondément, mais les ondulations de la jeune femme trahissaient cette saine occupation.
A peine eurent-ils finis qu’un des leaders de la bande décida de lever le camp pour rejoindre la cité et exhiber ces deux superbes créatures à leurs potes. Ils auraient encore plus de renommée qu’en cramant une douzaine de bus !!
Et en plus, s’ils laissaient les caïds de la cité baiser les deux aristos, ou peut être même les faire violer par le reste des lascars, ils auraient sûrement de la dope pour le reste de leur vie !!
Les deux jeunes femmes eurent à peine le temps de récupérer leurs manteaux de fourrure qu’elles furent agrippées et jetées sur la banquette arrière de la Mercedes dont Mohammed avait trouvé les clés en fouillant leur sac.
Abdou prit le volant et démarra en trombe, suivi par deux autres voitures remplies de lascars surexcités. Les deux aristocrates furent immédiatement mises à nu et une orgie commença à se dérouler sur la banquette arrière au milieu des fourrures et de la soie.
Les colliers et les bracelets n’avaient pas résisté bien longtemps aux acrobaties auxquelles les deux jeunes femmes étaient forcées par leurs ravisseurs. Le sol de la voiture était constellé de perles aux prix inimaginables.
Quant à la parure de diamant de la comtesse Blanche, un Arabe l’avait empoigné à plein mains et fait sauter le fermoir ouvragé malgré tout le sperme qui le recouvrait.
La baronne fut forcée (à son plus grand plaisir) de pomper un beur pendant que la comtesse du Breuil, les jambes remontées sous le menton, se faisait défoncer par un black. Leurs cheveux avaient perdu la moindre trace de coiffure et leurs longs gants d’opéra étaient bien chiffonnés à force de branler les bites des quelques racailles qui avaient pris place à l’arrière.
Mais la cité était bientôt en vue…
A suivre
↧
↧
Histoire du net. Auteur KeKoLo56. Révolution.... Fin
Chaque catégorie sociale vit dans son milieu
Mais quand les milieux se mêlent!!!
Deux aristots et la racaille
Fin
Chapitre 2Le Mercedes pilotée par Abdou déboula à l’intérieur de la cité, suivie par les deux autres véhicules. Il klaxonna plusieurs fois, puis stoppa la lourde berline dans un crissement de pneus en face de l’entrée du bloc D.
Les lascars des deux voitures suiveuses en sortirent, très énervés et excités, et firent une haie d’honneur entre les portes arrière de la Mercedes et l’entrée du bâtiment. Les portières s’ouvrirent enfin, Abdou et Mohammed en sortirent, acclamés par la foule.
Enfin, Blanche et Violaine daignèrent quitter leur carrosse germanique, port altier, démarche aérienne, malgré une tenue quelque peu froissée et les traces collantes des assauts précédents.
La blonde comtesse s’avança, regardant les hommes dans les yeux, sa langue passant sur ses lèvres. Violaine la suivait, le regard haut, sa jupe mal repositionnée, à dessein, laissant voir l’absence de carré de dentelle, qu’elle agitait négligemment du bout des doigts.
Elle poussèrent ensemble la porte et se laissèrent guider vers l’escalier menant aux caves. Les gars faisaient énormément de bruit, rires gras, sifflements, quelques insultes fusaient. Suffisamment de bruit pour que les quelques voisins restent tranquillement cloîtrés chez eux, et pour que quelques jalousies se réveillent.
En effet, dans la minute, descendirent deux jeunes femmes. Koumba et Leila, toutes griffes dehors, apostrophèrent Abdou et Mohammed.
- C’est quoi, ce bordel ! C’est qui, ces deux putes ? »
Blanche et Violaine se retournèrent vers les deux viragos. Koumba, jolie jeune black, en short moulant et tee-shirt très échancré, laissant deviner les courbes agressives de son corps musclé, laissant son regard remonter du bas de la robe en soie jusqu’au bustier d’où un sein laiteux s’échappait.
- Comtesse Blanche du Breuil. Et je ne suis pas une vulgaire pute ! »
Mohammed répliqua :
- C’est juste une grosse salope ! »
Tous les lascars éclatèrent de rire.
Leila s’approcha de Violaine. Sa poitrine voluptueuse, sous un chemisier un peu passé, maintenue par un soutien gorge gros bonnet, se soulevait assez rapidement, sous l’énervement. Son pantalon de survêtement portait quelques traces de saleté dues à ses entraînements de boxe.
- Et toi, la deuxième suceuse, t’as aussi un titre ?
- Baronne Violaine de la Treillère, pour t’être agréable, catin ! » répondit-elle en esquissant une révérence pleine de moquerie.
Leila sourit rageusement.
- Je crois la soirée va être longue… Vous avez ramené vos putes, nos chattes ne vous conviennent plus ? On va voir ce qu’elles ont de plus que nous ! »
Toute la troupe descendit et s’arrêta devant un box. Ce box etait aménagé avec chaises, vieux sofas et quelques matelas à terre. Une stéréo déversait déjà son flot de rap US, les basses très présentes faisant bouger les hauts parleurs des baffles. Les cannettes et les bouteilles d’alcool fort circulaient de main en main. Koumba se plaça face à Violaine.
- Joli, ton ensemble. On échange ? »
Deux blacks s’approchèrent de Koumba et l’un lui ôta son t-shirt pendant que le second lui dégrafait son short. Le mini string peinait à contenir son sexe lisse et gorgé de désir. Ses courbes et son derrière rebondi étaient un appel au sexe. Ses tétons pointant trahissaient son envie de baise.
Violaine fut violemment agrippée, son manteau de fourrure lui fut arraché et sa robe enlevée non sans brutalité par des mains avides de la caresser, sa jupe dézippée tomba à ses pieds dans un hurlement de joie de la part des hommes présents.
Koumba tendit alors la main vers le collier de diamants de la belle aristocrate et s’en empara avec un regard avide. Elle retira également violemment les bagues et les boucles d’oreille puis lui enleva ses longs gants de soie.
Abdou et Mohammed se faisaient féliciter pour leur prise. Koumba remarqua alors la chatte taillée de la baronne.
- Je vais te raser la chatte, ma belle, comme ça t’auras plus les poils qui collent !
Elle se colla à Violaine, tétons contre tétons, et l’embrassa goulûment.
Violaine se dégagea rapidement, dégoûtée et lui cracha à la figure. Koumba sourit, puis la gifla à deux reprises.
- Empoignez la ! »
Un grand black se plaça derrière Violaine et lui enfonça son gland dans la rondelle. La prenant par les hanches, il commença à s’enfoncer centimètre par centimètre dans l’anus délicat de l’aristocrate. Abdou s’approcha et tira en arrière la chevelure brune pour la maintenir. Deux beurs s’etaient chargés d’écarter chacun un bras légèrement en arrière.
- T’aimes pas les meufs, la bourge ? T’es pas encore assez salope ? »
Par provocation, Koumba se pencha pour lui lécher les tétons. Violaine répliqua par un coup de genoux maladroit vers la black. Aussitôt, deux autres se chargèrent de lui immobiliser les jambes, et de les soulever du sol, genoux pliés, pieds vers le haut contre les fesses. Son corps était agité par les coups de butoir du grand black. Leila s’approcha alors.
- C’es toi qui m’a traité de catin, hein, la pute ? Tu te sens bien, tu profites, avec une grosse bite de nègre dans ton cul ! »
Puis elle se mit à lui gifler les seins à plusieurs reprises, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Son cul était soumis à de vrais coups de bélier, elle sentait le sexe en elle grossir, prêt à exploser.
Dans un hurlement, le black lui remplit l’orifice en l’insultant.
A ce moment là, Leila cessa de martyriser la douce poitrine de Violaine, rougie par les coups. Les tétons de la baronne, gonflés, s’érigèrent fortement sous la pression sanguine.
Elle fut jetée, jambes écartées sur un matelas. Koumba enfonça deux doigts dans son anus, recueillit un peu de sperme qu’elle étala sur les poils pubiens. Elle sortit ensuite une lame aiguisée.
- Désolée, ma belle, pas de mousse à raser ! »
Elle commença alors son travail. Violaine était immobilisée par un jeune beur qui glissa son sexe entre ses deux seins et commença à se branler contre les deux globes de chair. Surexcité par le fait de faire subir un tel outrage à une bourge, il ne tarda pas à éjaculer avec fougue, son sperme éclaboussant le fin visage de la baronne jusqu’aux cheveux.
Pendant ce temps, la comtesse avait depuis longtemps été débarrassée de ses atours et de sa parure pour se faire prendre par tous les lascars de la cave. Sa vulve et son anus débordaient du foutre que les zonards lui pompaient dedans minute après minute.
Quant à sa bouche, il ne se passait pas trois secondes sans qu’une bite ne lui soit enfournée dedans de force. Leila s’empara de sa robe et de ses bijoux, les passa, puis s’amusa à défiler et à remonter les escaliers, poursuivie par trois jeunes la bite à la main.
Elle ne se sentait pas très à l’aise à cause de la longue traîne et de l’ampleur de la jupe, mais la sensation de la soie sur ses seins et des diamants sur son cou la remplissait de jouissance : il lui revenait enfin ce dont elle avait rêvé et elle contribuait à humilier une de ces bourges cathos qu’elle haïssait.
Elle courut vers la Mercedes et fut aussitôt ceinturée par deux mains puissantes. Sans savoir ce qui se passait, elle tourna la tête pour voir deux des jeunes bloqués face contre terre par plusieurs policiers. Le troisième détala vers les caves.
- Vous êtes en sécurité, mademoiselle ! »
Leila décida rapidement d’improviser
- Mon amie est encore à l’intérieur ! Je dois la retrouver ! Oh mon dieu ! Quelle horreur ! »
Koumba admirait la chatte rasée de la baronne Violaine, qui elle, se délectait de foutre. Elle enfila alors la robe du soir de sa victime et se passa avec délectation les bijoux. Elle se dirige ensuite dans un coin du box pour s’admirer devant le miroir. Elle ne prêta pas attention aux hurlements émanant du haut des escaliers.
- Une descente ! Les keufs ! Tirez vous ! Les keufs ! »
Aussitôt tel une nuée de volatiles, tous les mecs, rentrant leurs queues, disparurent par les différents couloirs. Blanche, essuyant le sperme coulant de sa bouche et constatant la disparition de sa belle robe de brocart, enfila le chemisier et le survêtement laissés par Leila.
Se dirigeant vers son amie, elle aida Violaine à se relever.
- Ca va, ta chatte ? »
Violaine avala, puis lui sourit. Passant le tee-shirt, elle constata que ses seins étaient légèrement compressés par l’étroit vêtement, ses tétons encore douloureux marquaient le tissu de façon arrogante.
- Je suis sure qu’en plus, je vais nager dans le short de cette grosse vache ! »
Un sourire vengeur anima alors son visage. De concert, les deux aristos se jetèrent sur Koumba. Violaine exultait. Blanche s’assit sur le torse de Koumba, lui écrasant les seins, en lui bloquant les bras.
La baronne s’adressa à la jeune black :
- Alors, baronne Violaine de la Treillère, tu ne dis plus rien, sale pute !! Quelle jolie robe, Madame la baronne ! Oh, et cette fourrure et ces diamants !»
Blanche lui enfonça sa culotte de dentelle dans la bouche. Avisant une batte de base-ball posée par terre, Violaine s’en empara et pointa le manche contre la chatte de Koumba.
- Madame la baronne a envie de se faire défoncer la chatte ? Je suis sure que Madame la baronne va adorer ! »
Blanche s’amusa à sortir les seins de la black du bustier et tira vers le haut les larges tétons, faisant gémir de douleur ou de plaisir le corps d’ébène. Violaine avait à peine introduit le bout de la batte dans le sexe de Koumba, lui faisant pousser un râle distinctif qu’elle sentit des bras puissants se saisir d’elle.
Les deux aristos furent violemment plaquées au sol par 6 policiers, probablement des CRS, leurs mains entravées dans le dos par des menottes. Koumba fut délicatement relevée et emmenée, le manteau de fourrure obligeamment déposé sur ses épaules par un officier de police accompagné d’une auxiliaire féminine. Blanche et Violaine remontèrent les escaliers rapidement, poussées par des matraques, et furent jetées à l’arrière d’un fourgon grillagé.
A ce moment, Leila entraînait une auxiliaire féminine vers le lieu de détention supposé de son amie la baronne Violaine de la Treillère, à savoir la chaufferie du bloc H.
La jeune recrue réalisa alors son erreur d’avoir voulu aider seule la pseudo comtesse, quand la porte de la chaufferie se referma brutalement derrière elle et que Leila s’empara de sa radio.
- Alors, poulette, t’as peur ? »
L’auxiliaire de police Mélodie se retourna alors, et ses yeux verts firent face aux regards noirs et menaçants des quelques jeunes planqués dans cette chaufferie.
- Une pute de flic ! La salope ! Toi et tes potes, vous nous avez gâchés la soirée. On allait défoncer deux bourges salopes comme on n’avait jamais vu ! On va se rattraper ! On va te baiser comme jamais, ma belle ! »
…......................................;
A peine quelques jours après sa mésaventure en boîte l’ayant conduite à être la pièce centrale d’une tournante en banlieue en compagnie de son amie la baronne Violaine de la Trellière, la comtesse Blanche du Breuil eut la surprise d’entendre son téléphone portable sonner.
Une voix au fort accent de racaille se fit entendre :
- Alors comtesse de la Pute, tu te souviens de moi ?
Cette voix produit un effet fulgurant sur la jeune et belle noble. Elle venait en effet de reconnaître le timbre de Mohammed, l’Arabe qui l’avait si copieusement baisé dans les toilettes de la boite : il avait du récupérer son numéro dans les dépouilles de son sac à main qu’elle avait laissé aux lascars.
D’une voix tremblante d’émotion, la comtesse s’entendit répondre dans un râle:
- Oh oui ! Si bien !
- Alors, la petite bourge pleine de fric a encore envie de se faire défoncer par de vrais mecs ?
Pour la comtesse qui commençait à sérieusement se languir des étreintes qu’elle avait du subir lors de cette folle soirée, l’occasion était trop belle de ne pas récidiver.
Elle pensa cependant pimenter la rencontre en y invitant ses amies ayant le même penchant afin de leur faire vivre ces sensations inoubliables qu’elle leur avait narrées. De plus, ses parents étaient en voyage aux Etats-Unis et le château de famille était vide de tous domestiques en cette saison. Une remarquable orgie pouvait donc y être organisée.
- Oui, j’en ai très envie. Et je connais pas mal de mes amies qui en meurent d’impatience également.
- Ouais, continue, tu m’intéresses ! aboya le jeune dans le téléphone.
- Si vous pouvez réunir une vingtaine de vos amis, je pense pouvoir en faire autant avec les miennes. Naturellement toutes de l’aristocratie et toutes parées de leurs plus beaux atours pour vous servir dans mon château.
L’excitation de Mohammed semblait être à son comble à l’autre bout de la ligne :
- T’en fais pas, taspé, on va venir en force ! Vous pourrez plus vous asseoir !
Blanche lui donna l’adresse de son manoir de famille et demanda une semaine afin de pouvoir réunir ses amies et préparer dignement les lieux.
Elle téléphona immédiatement à ses amies intimes qui furent toutes ravies de l’aubaine qui se présentaient à elles. La comtesse leur recommanda de revêtir leurs plus belles robes de soirée et leurs bijoux les plus luxueux afin de rendre hommage comme il se devait à la virilité de leurs hôtes.
Du côté de la cité, cette semaine fut l’une des plus agitées qu’on puisse imaginer : les caïds de banlieue s’imaginaient déjà chacun avec des aristos en esclaves sexuelles et bon nombre de petits frères étaient totalement incontrôlables. La tension semblait monter d’heure en heure.
Le soir prévu, la cour du château s’était remplie de voitures de luxe d’où débarquaient les plus jolies jeunes filles de la noblesse, et parfois même de leur mères qui n’avaient pas pu résister à un tel attrait. Le froufroutement des robes de bal de grands couturiers et les éclats que jetaient diamants, rubis et or qui resplendissaient sur des poitrines frémissantes remplissaient le hall du salon de réception où avait été dressé un buffet surchargé de Champagne et de gâteaux. Tous les employés avaient été renvoyés pour le week-end et les nobles dames constituaient les seules occupantes.
Toutes étaient titrées, on ne comptait plus les comtesses, marquises et autres duchesses. La jeune princesse Hermine de Viry-Clanché était même là, splendide dans une très ample robe de soie violette dont le décolleté laissait paraître un collier de diamant qui avait été donné à son ancêtre par Louis XIV lui-même. C’était une jeune femme de 23 ans dont la blondeur et le teint pâle soulignaient le caractère aristocratique de ses traits.
Le château de Breuil était une ravissante bâtisse du XVIIème siècle avec des jardins à la française, où de grands bassins étaient approvisionnés par de majestueux jets d’eau. Un parc arborisé de plusieurs hectares environnait le manoir et le tenait à l’écart des regards envieux du petit peuple.
Soudain, un tintamarre de klaxons se fit entendre à l’entrée de la propriété et une dizaine de voitures plus ou moins déglinguées entrèrent en trombe dans la cour et freinèrent dans un bruit de crissement de pneus devant les escaliers d’honneur du luxueux manoir.
Une nuée d’une cinquantaine de jeunes bondit immédiatement hors des véhicules et se rua à l’assaut des portes d’entrée. La majorité était très largement black-beur et même quelques filles s’étaient jointes au groupe.
Malgré leur excitation, ils ne purent que s’arrêter un moment devant le ravissant spectacle qui leur était offert : c’était la fine fleur de la noblesse française leur était offerte, drapée dans les robes les plus luxueuses et parées de bijoux dignes de reines, la poitrine battante d’excitation sous les décolletés.
La jeune comtesse Du Breuil, ayant remis un peu d’ordre pour faire pigeonner sa superbe poitrine dans sa robe longue de couleur bleu nuit, fit un signe à ses amies leur signifiant de prendre soin des nouveaux arrivants.
Ce temps d’arrêt ne fut que de quelques secondes, l’avidité reprenant facilement le dessus, les jeunes loubards se jetèrent sur les aristocratiques hôtesses. Comme ils étaient sensiblement plus nombreux que les jeunes femmes, quelques disputes commencèrent sur des sujets de « propriété », les caïds les plus renommés voulant s’arroger les plus belles et les plus somptueusement vêtues.
La princesse Hermine de Viry-Clanché, dont l’altier maintien trahissait la haute noblesse fut immédiatement entourée par plusieurs chefs de bande qui entreprirent de lui malaxer les seins et de palper sa chatte au travers de la soie de son ample jupe. Malgré tous ses cours de maintien et sa fierté naturelle, la princesse ne pu s’empêcher de pousser de petits glapissements de plaisir à la sensation de ces rudes et viriles mains parcourant son corps si délicat et pressant ses seins sans aucune retenue. Ses cris furent cependant vites étouffés par des langues forçant ses lèvres de corail afin de goûter au nectar qu’elles recelaient
Déjà, de belles jeunes femmes avaient été bousculées sur les boudoirs et les canapés Louis XVI, leurs jupes troussées, leurs corsages retournés dans un bruit de soie déchirée et de petits cris de surprise.
La comtesse du Breuil n’eut que le temps de voir son amie la baronne de la Trellière empoignée par un jeune et forcé par une poigne de fer dans sa coiffure à s’agenouiller pour faire une fellation avant de se retrouver elle-même dans les mains de quatre racailles à l’air patibulaire, trois arabes et un noir. Ce dernier lui susurra à l’oreille tout en lui dévorant le cou de baisers et de coups de langue :
- Allez, dans une chambre, vite ! On veut être tranquille avec toi !
Elle entraîna ses nouveaux maîtres dans la grande chambre de ses parents à l’étage. La double porte sauta presque de ses gonds lorsque deux des jeunes l’ouvrirent d’un coup de pied. La chambre était décorée avec un luxe inouï, des lambris recouvrant tous les murs et le plafond d’où pendait un lustre en cristal. Un immense lit à baldaquin trônait au centre de la pièce, entouré de meubles dorés.
La comtesse fut libérée de sa robe du soir en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les morceaux de soie déchirés étant rejetés avec rage par les quatre jeunes. Plus vêtue que de ses bijoux, de ses gants d’opéra en satin et de ses chaussures à talon hauts, la jeune aristocrate est jetée sans ménagement sur le lit d’apparat. Ses jambes sont écartées par la poigne ferme d’un des arabes, dévoilant sa vulve trempée et des poils pubiens parfaitement rasés.
-Oh, la belle vue ! ricana le black, avant de descendre son pantalon et de sortir un sexe d’ébène tendu à l’extrême.
Passant devant les trois autres lascars qui avaient été moins rapides pour enlever leurs survêtements, il enfonça sa bite d’un coup dans la chatte de la comtesse et commença à la ramoner puissamment. Blanche, la tête en arrière, vit une verge se présenter devant sa bouche et l’enfourna aussitôt, lui offrant le havre doux et humide de ses lèvres.
Elle empoigna également la bite du troisième et se mit à le branler pendant que le dernier voyou se masturbait à la vue de sa poitrine sur laquelle les diamants de son collier dansaient sous les coups de butoir qui lui assénait le black.
Ce dernier, trouvant qu’il avait assez perdu son temps dans la noble chatte de la jeune femme et voulant jouir encore plus de sa supériorité, retira son sexe et attrapa la comtesse sous les reins, lui remontant les fesses à la hauteur de son engin. Comprenant ce qu’on attendait d’elle, Blanche du Breuil écarta encore plus les jambes afin de laisser libre accès à son anus. Elle sentit le bout d’une langue titiller son petit orifice et lança un cri d’orgasme déchirant sous l’intensité de cette caresse.
- Madame aime ça !
- Ouais, vas-y Sékou ! Montre lui comment on les nique, nous, les bourges !
La comtesse s’y attendait, mais maintenant on y était…
Le gland s’enfonça soudainement en elle dans un éclair de douleur et de plaisir. Sékou, le black, ne put cependant tenir longtemps et éjacula en elle au bout de quelques allers-retours. Sortant sa bite de l’orifice, il s’essuya les traces blanchâtres sur un lambeau de la robe de la comtesse qui traînait par là.
Profitant d’un cour répit le temps que les jeunes changent de place, Blanche rouvrit les yeux et vit que le grand fauteuil devant la cheminée venait d’être occupé par un couple dont la femme semblait être la duchesse de Sauzun et qui chevauchait son partenaire avec une frénésie sauvage, sa coiffure ayant perdu toute trace d’organisation. Elle eut le temps de sentir une giclée de sperme brûlant atterrir sur ses tétons et maculer son engageante poitrine : le spectacle avait eu raison de celui qui se branlait sur ses seins.
Pendant ce temps, en bas se passe l’essentiel de l’orgie.
Le buffet a été largement pillé et mis à bas. Les lascars ayant aggripé les bouteilles de Champagne afin de les boire au goulot, les premiers signes d’ébriété commencent à se faire sentir.
Les filles de la cité, plus lucides, ont entrepris de détrousser les colliers, bagues, boucles d’oreille et autres bijoux des jeunes aristocrates. Elles pensent également à récupérer les robes qui n’ont pas été trop abîmées et font le tour des placards, jetant les vêtements à terre afin de renouveler leur garde robe.
Certaines, ayant fait un butin particulièrement riche se pavanent dans de longs manteaux de fourrure, le cou orné de plusieurs colliers de diamants et les mains chargées de bagues en rubis et de chevalières aux armes des plus nobles familles.
Par terre, dans le Champagne renversé, la crème des gâteaux écrasés sous les étreintes et au milieux des robes du soir arrachées de leur corps, les nobles demoiselles se font tringler par des zonards en surnombre, chacune en ayant plusieurs sur elle.
Certaines, maintenues contre les murs d’où pendaient les portraits de leurs ancêtres servaient de dépôt à foutre à l’assistance déchaînée qui leur remplissait leurs culs et leurs vagins bien nés de sperme plébéien.
La princesse de Viry-Clanché était devenue le centre d’un attroupement de plus en plus important. Allongée en travers d’un divan, chacun de ses orifices était occupé et sa tête maintenue. Elle branle, elle suce, elle se fait baiser, elle se fait enculer par l’un, par l’autre, par deux mecs à la fois, parfois même des filles se glissent dans la file et à la grande satisfaction de l’assistance se font elles aussi sucer par Hermine qui lentement, progressivement commence à perdre conscience… Le foutre déborde de tous ses trous et sa tiare en rubis qui a glissé de sa chevelure trône sur la coiffure afro d’une pétasse de banlieue…
Le flashs des appareils photos crépitaient, chacun voulant se faire immortaliser au cul d’une noble ou se faisant pomper par une marquise. Certains de ces clichés et de ces films feraient un tabac ! Les plus entreprenants imaginaient déjà leur commercialisation sur le net.
Dans le jardin, la baronne Violaine de la Trellière avait été jetée toute habillée dans le bassin par des jeunes après la première fellation qu’elle avait brillamment effectuée. Se relevant tant bien que mal, engoncée dans sa large robe qui était alourdie par l’eau, elle fut entraînée dans les écuries qui se trouvaient non loin de là. Sa poitrine était parfaitement moulée par le corsage détrempé de sa robe Dior. Elle fut jetée dans le foin malodorant qui faisait d’habitude la litière des chevaux de chasse à courre.
Pensant qu’une levrette serait la position la plus appropriée pour et endroit, la baronne se mit à quatre pattes, relevant haut sa noble croupe. Les deux jeunes beurs qui l’avaient amené là ne se firent pas prier. L’un d’eux troussa la jupe et introduit sa bite dans le vagin de Violaine pendant que l’autre lui mit sa bite dans la bouche après avoir écarté les cheveux mouillés de la jeune femme.
- Allez, suce, salope d’aristo !
Ne pouvant répondre à cette injonction car une jeune fille bien élevée ne parle pas la bouche pleine, la baronne s’employa cependant à prodiguer ses coups de langue les plus experts sur la verge circoncise qui lui emplissait la bouche pendant qu’elle se faisait défoncer la vulve. Son baiseur est très bien membré et très endurant, elle sent ses couilles dures cogner contre ses parties charnues à chaque coup.
Finalement, le lascar lui emplit l’orifice en de longues saccades de foutre chaud en gluant :
- Oh, ouiiii !!!! Que c’est bon un cul d’aristo tout propre !!!
Peu de temps après, le beur qu’elle suçait retire sa pine de la bouche de la jeune femme et finit de se branler en maintenant sa tête à hauteur. Lui aussi jouit dans un cri bestial, le jet de foutre lui arrivant en plein visage.
Ses deux « amants » repus et les couilles vidées laissèrent la baronne de la Trellière gire détrempée dans le foin et le purin, le souffle coupé par les sensations orgasmiques qu’elle venait de subir.
La sarabande infernale continua jusqu’au matin avancé, quand plus aucun des participants mâles ne pouvait bander.
Raflant les derniers lambeaux qui pouvaient encore avoir une valeur à leurs yeux, les zonards repartirent dans leurs voitures pourries, certains ayant quand même pensé à récupérer les clés des voitures de luxe des si charmantes demoiselles qui les avaient si bien accueillis.
Le spectacle était tout bonnement apocalyptique : les meubles brisés sous les assauts sexuels, le sol de la sal de bal jonché de bouteilles et de détritus, des lambeaux de robes du soir Dior, Yves Saint Laurent, Balenciaga, jetés aux quatre vents… Et au milieu de tout cela, les délicates représentantes de la fine fleur de la noblesse, à poil, délestées de leurs bijoux, tous les trous débordant du foutre de la lie de la banlieue, peinant à se remettre des multiples orgasmes qu’elles avaient eus…
La comtesse Blanche du Breuil se demandait réellement comment remettre le château en ordre avant le retour de ses parents…
Auteur: Kekolo56
↧
Un bon moment
Avec une salope pareille
On va pas se priver de tout tester..!
↧
Hitoire du net. Auteur inconnu. Diane De......
Vive la révolution..!
A bas les privilèges...
Diane de Mornay
Mon nom est Diane de Mornay. J’ai 25 ans, et comme mon patronyme l’indique, je suis noble. Je souhaiterais raconter une aventure extrêmement inhabituelle pour une jeune fille de ma condition et qui me plonge dans un trouble coupable à chaque fois que j’y repense.
Je suis une belle blonde aux yeux verts très mince avec des seins fermes en forme de pomme qui, de l’aveu des hommes, donnent envie de mordre dedans. J’ai déjà eu quelques aventures sexuelles au cours de ma scolarité et de ma vie étudiante, mais rien qui ne sorte de mon milieu ultra privilégié.
Un soir de février, nous devions aller avec mes parents et quelques amis à une soirée de gala à l’opéra de Paris.
Comme pour ces soirées là, j’avais mis toute l’après-midi à me préparer à notre hôtel particulier pour être à mon avantage. Ma mère avait d’ailleurs supervisé ma toilette au cas où je rencontre un jeune homme de bonne famille ayant l’heur de me plaire. Elle reste en effet très traditionnelle et croit me faire rencontrer mon futur mari de la même manière qu’elle a rencontré mon père.
J’avais mis une robe de soirée en soie bleu nuit de Balenciaga à la jupe ample et longue avec traîne. J’avais également mis de longs gants d’opéra en soie de couleur crème qui remontaient au dessus de mes coudes. Le décolleté de ma robe était fendu en son milieu, ce qui laissait voir avec une audace calculée la rainure formée par mes seins. Une cape-manteau Christian Dior sans manche et dont le col relevé dépassait ma tête, également en soie, complétait cette toilette.
J’avais à l’occasion mis les bijoux que mes parents m’avaient offert pour mes 18 ans : une rivière de diamants autour du cou, deux boucles d’oreille assorties, des bracelets de perle ainsi que des bagues avec des rubis.
J’avais coiffé mes longs cheveux blonds en un savant chignon à l’aspect très lisse. Il ne nous restait plus qu’à partir. Notre chauffeur nous déposa sur les marches de l’opéra et le souffle froid de la nuit sur mes épaules nues me fit frissonner. Nous montâmes rapidement l’escalier afin de nous retrouver le plus rapidement possible à l’intérieur.
Je donnais mon manteau à la consigne, et nous nous rendîmes au cocktail privé organisé avant le commencement de l’opéra.
La salle était remplie de dames en robe du soir de grands couturiers parées de bijoux d’un prix inimaginable ainsi que de messieurs en smoking. Nous fîmes naturellement le tour de nos connaissances, ma mère me présentant à quelques messieurs ayant des fils célibataires, comme d’habitude…
Je pris un verre de champagne sur un plateau convoyé par un serveur du traiteur et me mis à discuter des sujets mondains obligés avec quelques autres invités.
Au milieu de la conversation, une sensation étrange me démangeait le cou, comme si j’étais observée, épiée. Je me retournais pour vérifier si mes sens ne m’avaient pas trompé.
C’est alors que je vis que je ne m’étais effectivement pas trompée : le serveur à qui j’avais pris le verre de champagne me dévorait littéralement des yeux.
Il s’agissait d’un jeune black à l’allure athlétique et dont les yeux perçaient les miens d’une manière insoutenable. Dés qu’il vit que je l’avais remarqué, il détourna les yeux. Comme un automate, sans réfléchir, je lui adressai un sourire. Ce court instant m’avait remplie d’une bouffée de chaleur telle que je n’en avais pas connue !
Un de mes interlocuteurs le remarqua mais le mit sur le compte du champagne : « Eh bien, Mademoiselle de Mornay, il semble que la cuvée 1985 de Dom Pérignon soit un peu chargée en alcool ! »
Je ris avec l’assemblée à cette plaisanterie, soulagée que la raison de mon trouble n’ait pas été démasquée.
L’impression d’être observée ne cessa cependant pas de toute la durée du cocktail. Je regardais souvent à la dérobée si le serveur continuait à m’épier. Il ne pouvait en effet pas détourner les yeux de moi. A chaque fois que je le surprenais, il détournait les yeux de moins en moins et je ne pouvais m’empêcher de le fixer en souriant.
Pourtant, je n’avais jamais flashé sur un noir auparavant, ni même pensé sortir avec l’un d’entre eux. Certaines de mes amies qui avaient tenté l’expérience m’avaient bien fait miroiter des délices interdits, mais je n’avais jamais été tentée et n’avais d’ailleurs jamais eu d’occasion tout court.
Celui-ci avait un je ne sais quoi d’animal et de populaire qui me captivait. Je devinais une musculature puissante sous son costume et ses yeux me transperçaient de part en part.
Enfin, on annonça que l’opéra allait commencer et nous nous rendîmes dans notre loge privée. Nous nous assîmes dans un bruit de froissement de soie et nous nous mîmes à écouter le spectacle.
Bien qu’étant passionnée par l’opéra, je ne parvenais pas à me concentrer sur la musique et le chant. Les yeux du serveur noir me hantaient et mon esprit ne pouvait s’en détacher.
Une sensation de moiteur m’oppressait et, plus honteusement, je ressentais une chaleur accrue dans mon sexe. Je tentais de lutter contre ces pensées, mais mon trouble ne faisait qu’augmenter, jusqu’à sentir ma culotte humectée de cyprine.
N’y tenant plus, je m’excusais auprès de mes parents, prétextant une envie d’aller aux toilettes. Je ne savais pas encore exactement pourquoi je voulais sortir de la loge. La raison me dictait d’aller me rafraîchir ou prendre un peu l’air frais pour me remettre les idées en place, mais mon inconscient me disait autre chose…
Je me dirigeais vers les toilettes à pas rapides dans le couloir alors désert, tout le monde écoutant la musique, en relevant ma jupe pour ne pas me prendre les pieds dedans. C’est alors que j’aperçu le serveur black qui venait de finir de débarrasser le buffet et qui sortait après s’être changé. Revêtu d’un jean, de baskets et d’un sweater à capuche pour retourner dans sa banlieue, son aspect laissait encore plus transparaître le côté animal et populaire qui m’avait troublé.
Je m’arrêtais et ouvris la bouche, mais aucun son ne sortait de ma gorge… Une de mes mains quitta ma jupe pour se positionner sur ma poitrine. Je pouvais sentir mon cœur battre à un rythme infernal. Il me regarda droit dans les yeux et, mon état étant plus qu’un aveu, il me montra d’un signe de tête la porte des toilettes.
Je m’y engouffrais en courant à moitié, handicapée par l’ampleur de ma robe. Il me suivit et referma la porte derrière moi.
Je n’eus pas le temps de me retourner qu’il me serrait contre le mur, me couvrant le cou de baisers. Une main tentait de s’infiltrer dans mon bustier et se prit dans la rainure de mes seins, l’autre fourrageait dans ma jupe à hauteur de mon sexe.
Je sentais ma culotte complètement trempée de désir et me retournais pour l’embrasser à pleine bouche. Il me roula une pelle comme je n’en avais jamais connue : longue, dévastatrice, profonde… Je dus reprendre mon souffle.
Je le vis défaire la fermeture éclair de son jean pour en sortir un sexe en pleine érection. Il était visiblement très excité et bandait comme un taureau ! La taille de son sexe était bien plus grosse que ce que j’avais connu jusqu’à présent et celui-ci était de plus circoncis.
Hypnotisée par cet engin, je tombais à genou devant lui dans le froufroutement de ma robe sur le carrelage des toilettes. Prenant son sexe à la main, il me dit d’un ton sans équivoque :
- Allez, suce moi !
C’était la première fois que j’entendais sa voix et son accent de type « banlieue » m’électrisa encore plus. Je pris sa queue dans mes mains gantées de soie et la contemplais, paralysée par l’instant. Il me prit alors la tête et me mit le visage dans ses poils pubiens en grognant d’énervement:
- Allez ! Vas-y ! T’attends quoi ?! »
L’odeur qui envahit mes narines était particulièrement forte et augmenta encore mon excitation. Je pouvais sentir la mouille dégouliner sur mes cuisses… Tout en massant délicatement sa bite, j’approchais ma bouche de son gland, et, tendrement, l’effleurais de mes lèvres. Il tressaillit légèrement, tandis que ma langue parcourait ses bourses, puis remontait le long de sa verge. Puis, après lui avoir fait un beau sourire, je l’introduisis dans ma bouche, en en palpant chaque centimètre.
Le prépuce circoncis était agréable à sucer et ma langue fit amplement connaissance avec lui. Je laissais aller le manche de son engin entre mes lèvres délicates, donnant des coups de langue sur le gland. J’entendais ses grognements de plaisir et j’enserrai sa taille de mes bras, faisant passer mes mains sur ses fesses musclées.
Je sentais mes seins qui tendaient la soie de mon bustier sous l’effet du désir. Le nez perdu dans ses poils, je ne pensais qu’à l’engin que j’avais en bouche, qui allait et venait avec un goût aussi fort. Je laissais vagabonder mes mains de ses fesses à ses testicules. Je commençais même à introduire un de mes doigts dans son anus. Soudain, un feulement :
- Mhhhhhh. Ouiiiiii. Ca vieeennnnnt…. »
Je sentis sa bite se gonfler dans ma bouche et ses couilles se recroqueviller dans ma paume. Et d’un coup, le sperme m’inonda le palais au rythme de ses spasmes. J’avalais avec peine les saccades de foutre les unes après les autres, des vagues de plaisir envahissant mon corps. Ayant péniblement dégluti, je lui léchais goulûment le membre afin de le nettoyer des traces de foutre restantes. Ce blanc sur la hampe noire me fascinait de manière hypnotique.
Je devais être toute rouge, l’inconvenance de la situation étant à son comble ! Si ma mère, la marquise de Mornay, savait que sa fille léchait la bite d’un noir à genou dans les toilettes…
Il me repoussa la tête et se laissa tomber le dos contre le mur en gémissant, visiblement foudroyé par la puissance de son orgasme.
Je me relevais et soudain la situation me revint en tête : je me précipitais vers la glace pour voir mon état. Le jeune black ayant éjaculé dans ma bouche, je n’avais pas de sperme sur le visage, mais mon rouge à lèvre avait piteux état. Ma coiffure était encore à peu près en ordre mais ma robe était légèrement froissée sur le bustier et sur la jupe.
Je l’entendis derrière moi :
- Allez, viens, on va continuer ça chez moi. Moi c’est Djafar.
Un frisson me parcourut. J’étais déjà terrorisée par la situation, et là il voulait m’emmener chez lui. Comment expliquer mon absence à mes parents? Mais, comme envoûtée, je ne pus que me retourner et balbutier :
- Je m’..m’appelle Diane. Diane de Mornay. D’…d’….d’accord…. M…Djafar…
Je me relevais et nous sortîmes des toilettes. Heureusement que l’entracte n’était pas encore arrivé et que le couloir était vide. Je courus à l’entrée reprendre mon manteau, mes tempes étant en feu. Djafar étai sorti par l’entrée de service et m’avait dit qu’il passerait me prendre devant l’opéra.
Cette fois, je ne remarquais pas le froid de février malgré mon décolleté : mon sang bouillait et je n’entendais que les bruits de mon cœur dans mes oreilles. Le goût de la queue de Djafar et de son sperme emplissaient encore ma bouche et m’enivraient.
Soudain, un klaxon m’arracha à ma torpeur et je remarquais Djafar, au volant d’une Golf hors d’age qui gesticulait pour me faire venir :
- Ho ! Tu penses à quoi ? Allez, bouge !!
J’empoignais ma jupe et montais à bord de la petite voiture, ayant du mal à trouver de la place pour y faire rentrer l’ampleur de ma robe et de mon manteau. A peine avais-je refermé la porte que Djafar démarra comme un fou et se lança à toute allure dans les rues de Paris. Je n’étais visiblement pas la seule à être complètement excitée !
- Alors, tu t’appelles Diane, c’est ça ? »
- O…oui… », dis-je en baissant la tête
- Oah, dis. C’est la première fois que tu suces un black ? »
Je ne pus même pas prononcer une parole vu mon état, mais je fis oui de la tête. De son côté, il passait plus de temps à me mater qu’à regarder la route.
- Hé ! Tu sais que t’es mega bonne, toi ? J’ai encore jamais été pompé par une bourge comme toi, mais putain que c’est bon ! »
Arrivés sur l’autoroute, il mis sa main sur mes cuisses et les palpa au travers de la soie de ma robe. Il remonta vers ma chatte et j’écartais les cuisses sans même y penser. Alors qu’il atteignit mon intimité, je poussais un soupir de jouissance et commençais à me masser les seins.
- T’es une vraie fontaine, toi ! Je sens que je vais devenir accro aux bourges, Madame la marquise ! » ricana-il.
Je n’avais pas remarqué que j’avais tellement mouillé que ma robe en était auréolée !!
Remarquant une aire, il donna un coup de volant sec pour s’y engouffrer et je dus me rattraper à la poignée pour ne pas me cogner contre la porte sous l’effet de surprise. L’aire était vide à une heure aussi avancée de la nuit, à part un ou deux camions où devaient dormir les chauffeurs, les rideaux des cabines étant tirés. Un des réverbères était en panne, ce qui donnait à la lumière environnante une touche inquiétante. Mais sur le moment, j’étais loin de penser rationnellement !
Djafar sorti de la voiture comme propulsé par des ressorts. En un bond, il fit le tour du capot et ouvrit ma porte avant que j’aie pu réagir. Il m’empoigna par le bras et me fit sortir :
- Allez, j’peux vraiment pas attendre jusqu’à chez moi !
Sa force était réellement impressionnante car il me tira de l’habitacle comme si je ne pesais pas plus qu’une poupée de paille. J’étais presque suffoquée par l’excitation du moment…
- Remonte moi ça ! » aboya-il en montrant ma robe
J’aggripais les larges replis formés par ma jupe et mes jupons et les remontais aussi haut que je le pouvais.
Il se mit à genoux devant moi et tenta de m’enlever ma culotte. Il était tellement excité qu’il n’y arrivait pas et il prit un canif dans sa poche avec lequel il la découpa en deux. Il rejeta les morceaux de dentelle rageusement derrière lui et se releva.
D’une main, il retourna le bustier de ma robe pour en faire jaillir mes seins. Je sentis la fermeture éclair dans mon dos sur le point de se rompre devant la violence et la rapidité de son geste.
Par un réflexe, je mis une main devant ma poitrine. Il l’empoigna vigoureusement et me poussa contre la voiture.
Je sentis le métal froid sur mon dos au travers de mon manteau, mais Djafar, ayant entrepris de baisser son jean et son slip vint immédiatement se coller contre moi. Il passa ses mains sous mes fesses et entrepris de me lever à hauteur de son sexe.
Mes mains abandonnèrent ma robe et je m’accrochais à son cou. Je sentis son gland fourrager contre ma vulve pour trouver l’entrée. D’un coup, il enfonça fougueusement son membre en moi, me faisant pousser un cri tenant autant du plaisir que de la surprise. Malgré sa taille, j’avais émis tellement de cyprine qu’il entra en moi sans problème.
J’enroulais mes jambes autour de ses hanches et il commença à me ramoner profondément. Jamais les lèvres de ma chatte n’avaient à ce point été écartelées. C’est comme si mon vagin entier était empli par une chair ardente. Le plaisir éprouvé dépassait de loin tout ce que j’avais connu jusque là. Mes seins nus frottaient contre le tissu rêche de son sweat à chaque ondulation.
Djafar me tenais toujours par les fesses et me faisait faire de petits sauts pour amplifier encore plus le va et vient de sa bite en moi. Je sentais la soie de mon manteau se froisser sérieusement contre la vitre de la voiture, mais la tenue de ma toilette était la dernière de mes préoccupations.
Il se mit à me lécher les tétons de mes seins, qui étaient maintenant durs à m’en faire mal. Mon cri de jouissance à cette nouvelle caresse le poussa à me les mordiller. Mon Dieu ! Je perdais la tête de plaisir ! L’indécence de ma situation le multipliait par dix et mes halètements devenaient de plus en plus forts ! Jamais ma chatte n’avait servi d’écrin à un membre pareil.
Sous les coups de boutoir de Djafar et de ses assauts de mes tétons, je sentis monter en moi un puissant orgasme qui me secoua de part en part. Je me cambrais de toutes mes forces contre la voiture et tendis mes jambes à l’horizontale avec une telle force qu’un de mes escarpins à talon aiguille fut éjecté de mon pied.
Les parois de mon vagin se contractèrent en cadence avec force sur la verge de Djafar. Ce fut pour lui le coup de grâce et il déversa de puissants jets de foutre chaud en moi. Je ne pus réfréner un cri sauvage en renversant ma tête en arrière.
Je m’effondrais sur le cou de mon vigoureux amant black, totalement annihilée par la jouissance. Il retira son sexe de mon vagin et l’essuya dans un pan de mon manteau en soie. Il avait également le souffle coupé par notre violent coït. J’essuyais quant à moi la cyprine et le sperme gluant qui coulaient en abondance sur mes cuisses avec la tulle de mes jupons.
J’essayais de remettre un peu d’ordre dans ma tenue et repositionnais mon bustier. Je jetais un oeil dans les environs afin de récupérer l’escarpin que j’avais perdu quand je vis que les rideaux aux fenêtres des camions n’étaient plus fermés!
Le bruit que nous avions fait lors de notre accouplement les avait sûrement réveillés. Deux visages hilares de routiers me dévisageaient et l’un d’eux, voyant que je l’avais aperçu, mima une fellation.
Morte de honte, je ramassais rapidement ma chaussure et revins encore toute pantelante à la Golf de Djafar.
Celui-ci, me dévisageant avec un grand sourire de satisfaction, me lança :
- Allez, on remonte ! Je vais te montrer que j’ai encore des forces, ma belle !
Cette fois-ci, je voulais réellement aller jusqu’au bout de l’aventure et du plaisir de mon propre gré. Je remontais donc dans la voiture. Je poussais un gros soupir en retombant contre le dossier du fauteuil et mis ma main sur le sexe de Djafar. Je pouvais le sentir au travers du jean et je passais ma paume langoureusement dessus. Je ne voulais surtout pas que mon bel amant africain perde sa fougue avant la fin…
Le trajet dura une éternité à mes yeux, tellement j’avais envie de reprendre l’action où nous l’avions interrompue. Pourtant Djafar enfonçait la pédale d’accélération à fond et la Golf semblait sur le point de se désintégrer sous l’effet de la vitesse.
Enfin, nous aperçûmes les tristes barres en béton du quartier de Djafar. Je n’étais naturellement jamais entrée dans une cité et n’en connaissais que les échos que nous en faisaient parvenir les médias. J’avoue que je n’étais pas très rassurée même si mon désir de pousser la jouissance jusqu’à son extrémité était le plus fort…
Nous nous garâmes au milieu d’un ensemble de HLM passablement défraîchis où les paraboles aux fenêtres étaient particulièrement nombreuses.
Alors que je sortais de la voiture, je pouvais distinguer des groupes de jeunes au bas de presque chaque immeuble, certains ayant de terrifiants molosses en laisse. Je me blottis contre Djafar alors que nous nous approchions de l’entrée de son bâtiment : une bande de sept jeunes à dominante black-beur squattait le hall en se passant des cigarettes que je pensais être du hasch.
Djafar en profita pour me passer copieusement la main aux fesses et me susurra après m’avoir léché l’oreille :
- T’en fais pas, princesse, c’est juste que mes potes, ces lascars là. J’te veux que pour moi. J’ai pas fini avec toi.
Dès que nous passâmes la porte du hall, toutes les conversations s’arrêtèrent et les regards convergèrent vers nous. Je pouvais voir leurs yeux me dévorer et des sifflets admiratifs se firent entendre :
- Oh, Djafar, c’est qui ce top que tu trimballes ?
- Putain, la vache ! Ta race, Djafar !
- Hé, tu donnes trop dans la bourge, maintenant ?
D’un air triomphant, Djafar me retourna et m’embrassa avec voracité et me pétrissant le corps de ses mains afin de bien montrer que j’étais sa chose. Le contact de sa langue contre la mienne m’ôtait toute volonté et me faisait baigner dans un océan de désir et de soumission.
Ayant fini de m’embrasser, il me retourna et me plaqua le dos à lui. Je pouvais sentir son sexe à nouveau dur comme de l’acier se frotter à mon anus entre les couches de nos vêtements. Il tira mon manteau vers l’arrière, histoire de me dénuder les épaules, et commença à me caresser les seins. Je ne pouvais m’empêcher de soupirer de félicité en fermant les yeux.
- C’est mieux qu’une bourge, les gars. Madame est une aristo !
De nouveaux, les sifflets admiratifs fusèrent à qui mieux mieux…
- Elle m’a sauté dessus alors que je taffais pour ce boulot merdique de loufiat à l’opéra. Elle en a jamais assez, sur ma mère ! »
Il ponctua cette dernière phrase d’une gifle contre ma poitrine et je poussais un petit glapissement de surprise qui fit s’esclaffer l’assemblée.
Il me poussa vers les escaliers en lançant à ses potes :
- Vous m’excuserez, mais c’est l’heure de monter la pouliche. Ce s’rait pas poli de faire attendre Madame la Marquise ! »
Je pus entendre une série de ricanements et de commentaires salaces derrière nous alors que nous commençâmes à monter les marches, Djafar me donnant de petites claques contre les fesses pour me faire avancer plus vite.
Alors que nous allions passer la porte de l’appartement de Djafar, derrière laquelle on entendait la télévision à fond, au cinquième étage, il me prit a nouveau par le poignet et me pressa contre lui, me regardant dans les yeux avec agressivité :
- Y’a mes parents. Alors tu leur montres du respect, compris ? »
- Oui, oui, tout ce que tu voudras ! »
Il ouvrit et me fit passer dans l’appartement. Des remugles de cuisine africaine m’accueillirent dès le pas de la porte. Un désordre à la limite de la malpropreté caractérisait son logement.
Djafar me poussa plus qu’il m’emmena vers le salon d’où partaient les bruits de la télé. Ses parents regardaient une émission de variété, une jeune fille d’environ 15 ans qui devait être sa sœur faisant le rechapage dans un coin.
- Hé, j’vous présente une invitée surprise ! lança-il à la cantonade. J’veux pas être dérangé, compris ?
Ses parents me fixaient avec incrédulité, mais sa mère avait un grand sourire sous son voile. Vous imaginez, voir son fils avec une superbe bourgeoise de l’aristocratie ! Quant à sa sœur, son regard était empli d’une jalousie malsaine et ne pouvait se détacher de mes bijoux.
Sans attendre de commentaire, Djafar me fit pivoter d’un tour de main et me fit entrer dans sa chambre. Celle-ci était remplie de posters de groups de rap et de photos le montrant avec ses « lascars » ou accompagné de conquêtes féminines.
Il m’arracha mon manteau Dior de mes épaules et le jeta dans un coin de la pièce.
- Et maintenant, tu strippes ! me dit-il en mettant sa chaîne hi fi en marche.
Il s’assit dans un vieux fauteuil défoncé et prit une posture de rappeur afin de jouir du spectacle. Je n’aimais pas beaucoup le rap et cette musique n’était pas ce qu’il y a de mieux pour faire un strip langoureux, mais je ne voulais absolument pas décevoir ce si viril amant black.
Je commençais donc à onduler devant lui en me caressant les seins et les hanches avec mes mains gantées de soie. Je voulus commencer par ôter ma parure de diamants, mais il me rappela à l’ordre :
- Non ! Tu gardes ça ! J’veux te baiser avec !
Je lui obéis docilement et commençais à dézipper le dos de ma robe. Arrivée au bas du dos, je laissais tomber le bustier afin de révéler ma poitrine. Je pris mes seins nus entre mes mains et les pétris à m’en faire mal. Sur son ordre, j’en léchais également les tétons.
Je continuais à danser et dézippais le reste de la fermeture éclair. Je fis tomber le reste de ma robe Balenciaga à mes pieds comme une large corolle. J’étais maintenant complètement nue, à l’exception de mes bijoux, de mes gants et de mes escarpins. J’en profitais pour me masturber et exciter mon clitoris en écartant les jambes dans une posture indécente, mais tellement électrisante.
- Allez, tes cheveux ! »
Je retirais l’épingle à tête de rubis qui retenait mon chignon et qui avait jusque là résisté aux traitements que j’avais subi. Mes lourds cheveux blonds tombèrent alors en cascade sur mes épaules. A cet instant, Djafar quitta sa position et vint me rejoindre en se déshabillant fébrilement:
- Il y a encore un trou avec lequel je n’ai pas fait connaissance » me dit-il en me passant une main sur les fesses.
Je compris tout de suite. Je me mis à quatre pattes sur le lit en relevant la croupe afin de lui présenter mon anus en offrande. Il se positionna derrière moi et je sentis ses mains parcourir mes courbes. Il approcha son visage de mes fesses et sa langue parcourut mon anus de bas en haut. L’onde de choc que provoqua cette caresse en moi m’ôta toutes forces et je faillis tomber de tout mon long sur mon lit, mais Djafar me retenait et tenant fermement mes seins.
Instinctivement, j’écartais encore plus les cuisses afin de lui faciliter l’accès à mon trou. Sa langue fit avec précision le tour de mon rectum avant de s’y enfoncer par petits coups vicieux. Mes soupirs devaient profiter à tout l’immeuble !! Soudain, un liquide gluant m’envahit la raie des fesses : Djafar avait craché sur mon anus afin de le lubrifier et étalait sa salive avec ses doigts.
Le moment fatidique était arrivé et je sentis son gland à l’entrée de mon petit trou. Il me prit par les hanches et m’empala centimètre par centimètre sur son membre d’ébène. Mon œillet s’ouvrit avec peine : je n’avais jamais été emplie de cette manière de ce côté-là et la douleur se mêlait à un plaisir intense. Une fois qu’il eut rentré sa queue de toute sa longueur, il se mit à me pilonner avec véhémence :
- T’es si étroite !! Oh oui, t’es trop bonne ! »
Je ne pouvais rien répondre, à part des ahanements de plaisir. Djafar me besognait comme un possédé, m’abreuvant de termes obscènes. Le va et vient de son sexe en ma plus profonde intimité était la chose la plus excitante qui m’était jamais arrivée ! Je sentis soudain son sexe se raidir et enfler dans mon cul, sensation suivie d’un cri de jouissance et de puissantes giclées de sperme m’inondant le conduit.
Il ressorti son membre après quelques mouvements destinés à lui vider complètement les bourses et m’agrippa par les cheveux :
- Et maintenant, on joue à la fée du logis, Madame la Marquise ! »
Il me mit la tête à hauteur de son sexe noir recouvert du blanc de son foutre. Sans me faire prier, et sans même penser qu’il venait droit de mon cul, je le pris dans la bouche en fermant les yeux. Il était encore plus chaud que lorsque je l’avais sucé la première fois dans les toilettes de l’opéra et ce goût mêlant son odeur, de la sueur, du sperme et ce je ne sais quoi provenant de mon petit trou mettait mes sens en folie. Je le léchais consciencieusement, m’attardant particulièrement sur son gland circoncis.
Une fois que je lui eus nettoyé la bite, Djafar me releva et me regarda attentivement. Il me prit mon collier de diamants et me dit :
- Ca fera un beau cadeau pour ma sœur, tu crois quand même pas que déguster une bite pareille c’est gratuit ?
Je le laissais faire, morte de fatigue et de plaisir. De toutes façons, je lui aurais laissé l’ensemble de mes bijoux et de ma toilette pour m’être faite tirer comme çà!
Nous nous rhabillâmes en silence et je tentais de remettre un peu d’ordre dans ma coiffure. Je ne sais plus exactement ce qui s’est passé ensuite, étant dans une sorte d’état second, mais je me souviens que Djafar m’a raccompagnée en voiture à notre hôtel particulier peu de temps avant que mes parents ne reviennent de l’opéra. Le baiser que je lui dérobais au sortir de sa Golf fut particulièrement fougueux.
J’eus ainsi le temps de me laver et de me mettre au lit avant que ma famille ne me surprenne. J’ai mis mon absence soudaine de la loge sur le compte d’un malaise passager et ils n’en ont jamais rien su.
Pour ma part, je ne peux m’empêcher de repenser à cette soirée et à Djafar sans mouiller…
↧
Ils reviennent de temps en la voir.... Redif.....
↧
↧
Les pompes de nos moitiées....
↧
Brèves dominicales.....
Quelques fois la vie nous amène à nous découvrir
des facettes inconnue de notre personnalité....
Grâce à sa femme......
Soumis à l'amant de ma femme. Je me présente, je me prénomme Guy, je viens d'avoir vingt huit ans. Je suis marié depuis trois ans avec Valérie, âgée de vingt quatre ans.
Je vais vous conter un passage de ma vie, qui, si au début était passionnant, a vite tourné , en se qui me concerne, au cauchemar.
Un samedi soir, on décide de regarder un film érotique. je suis vêtu d'un caleçon, Valérie, d'un chemise de nuit ultra courte. Elle s'approche, et s'appuie contre mon épaule.
- Tu es bien câline, lui dis-je, çà t'excite?
Elle glisse sa main dans mon caleçon.
- Ben dit dont, mon cochon, çà t'excite pas toi, sourit-elle.
Je lui demande si elle veut qu'on aille au lit.
- Non, sur le canapé, en levrette. Tu soulèveras ma chemise de nuit, j'écarterai bien mes jambes, puis tu caresseras ma chatte jusqu'à ce qu'elle soit bien mouillée. Après, tu me niqueras, tu glisseras tes bras sous mon ventre, et tu prendras mes seins. Moi j'attraperai tes testicules et les ferai rouler entre mes doigts. Cà te plait comme programme?
- Putain, si çà me plait, salope.
Tout ce passe comme Valérie l'avait prédit. Elle est cambrée au maximum, et moi dur comme du béton. Ma femme gémit de plus en plus. Elle atteint l'orgasme assez rapidement. C'est en hurlant que le lâche ma semence dans sa chatte.
Un jour, sur les conseils d'une amie, on décide d'intégrer un club d'échangistes. Si, au début, mon épouse était plutôt réticente, elle s'avère plus entreprenante, plus espiègle.
Disons que moi, par rapport à elle, je suis moins actif.
Je me déplace dans la salle, quand, justement, je tombe sur Valérie. Elle est assise sur un homme de type maghrébin, d'une cinquantaine d'année. La jupe de ma femme est remontée en haut des cuisses. Ses seins sont sortis du bustier. L'homme les suce goulument.
Les jambes de Valérie sont écartées à cent quatre vingt degrés.
- Alors ma chérie, je vois que tu t'amuses.
- Oh mon dieu, Guy, il m'a écartée ma culotte, et çà fait une heure qui caresse ma chatte et mon petit bouton. J'ai déjà joui deux fois. Si tu savais comme il est vicieux.
L'homme prend la bouche de Valérie, et l'embrasse. Sans un mot, il disparait parmi les autres participants. Honteuse, mon épouse me regarde en baissant la tête.
- Mais chérie, çà fait parti du jeux, je t'en veux pas.
- J'ai envie de rentrer, me dit-elle.
…............................
Au fur et en mesure de nos sorties, mon épouse prend de l'assurance. C'est elle qui dirige nos soirées, me faisant comprendre qu'elle voulait aller jusqu'au bout.
Aussi, c'est par hasard que je la découvre entièrement nue, à genoux sur une table basse, jambes écartées, en train de se faire prendre par le même maghrébin, que lors de nôtre première séance. Il tient Valérie par les hanches, et la nique brutalement. Je suis la scène, les yeux exorbités.
- C'est vôtre épouse, demande l'arabe.
- Oui, lui dis-je.
- Elle est bonne, poursuit-il.
Ma femme essaie de me dire quelque chose. Mais elle est tellement secouée par les coups de boutoirs de ce mâle, qu'elle a du mal à s'exprimer. Je m'approche de son visage pour essayer de comprendre.
- Demain..man..de..lui son..son..nommm, bafouille-t-elle.
- Elle demande comment vous vous appelez.
- Ralhid, répond-il.
D'un coup, Valérie hurle, un orgasme terrible. Son corps se tend comme un arc. Il l'a rend folle. Lui aussi se met à grogner. Il sort de la chatte de ma femme, ôte son préservatif, et, tout en se branlant, il me bouscule pour venir placer sa queue énorme, contre les lèvres de Valérie. Il l'a prend par les cheveux, la force à ouvrir la bouche.
Ma femme le suce énergiquement, et à la façon dont elle creuse ses joues, je comprend qu'elle est en train de tout avaler. L'homme passe devant moi, avec un sourire ironique.
- Tu en voulais un peu, peut être. Dommage, ta pute a tout avalé. Mais si un bon coup de queue te tente, te gêne pas.
- Heu...Non..merci, pas ce....
- Une autre fois, poursuit le maghrébin, je sens que tu dois aimer çà.
Il me caresse gentiment la joue, et s'éloigne en récupérant ses vêtements.
Je rejoins vite mon épouse qui s'est vautrée sur un canapé, les yeux cernés, en larmes.
- Quel amant merveilleux, quelle queue, soupire Valérie.... Oh putain, je veux le revoir.
- Mais enfin, mon amour, çà ne va pas. on a dit qu'on irait pas trop loin.
- Je veux le revoir je te dis. Je t'avais averti, et je tiens à ce que tu participes à nos ébats. D'autant que tu ne le laisse pas indifférent.
- Quoi, tu ne voudrais quand même pas que je me donne à lui... Que je me fasse sodomiser.
- Bien sur que si , mon amour, me répond Valérie. Que tu lui taille une pipe aussi. C'est toi qui a eu l'idée, tu dois en assumer les conséquences maintenant. Tu dois te soumettre comme je me suis soumise.
Je me prends la tête à deux mains. Mais je rêve, elle ne va pas m'imposer çà. Comment sortir de cette impasse.
…........................................
Depuis la soirée torride que Valérie à passé au club, elle ne rate pas une occasion de rappeler ses intentions érotiques
- Alors mon chéri, dit-elle, toujours pas décidé.
- Tu tiens vraiment à me faire prendre par Ralhid, dis-je, tu veux que je devienne pédé.
- C'est le plus beau cadeau que tu puisse me faire. Une femme aime voir son mari soumis à son amant.
- Bon, bien que çà me coute, on va réfléchir à une date.
- Mais c'est tout réfléchi mon amour, répond-elle.
- C'est à dire, que je lui demande.
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, que deux gros bras me prennent par la taille. Un sourire éclaire le visage de ma femme. J'essaie de me débattre, mais ne peut rien devant la force de cet homme.
- Allez, on se calme, dit-il.
Je reconnais la voix de Ralhid. Il est tout nu derrière moi. Je sens sa queue énorme, frotter contre mes fesses. Valérie s'avance, et baisse mon caleçon.
Ralhid se met sur une chaise, et m'assied sur ses genoux, dos à lui, jambes écartées.
- Mais çà va pas, dis-je en me débattant, qu'est-ce-qu'il te prend.
- A, il t'a dis de te calmer, dit Valérie. Tu veux pas, en plus qu'il te donne la fessée.
Mon épouse se met toute nue, prend elle aussi une chaise, et se place en face de nous pour ne rien manquer du spectacle.
D'une main, Ralhid me tient par les couilles. De l'autre, il joue avec mon sexe, faisant coulisser le prépuce sur le gland. Il me soulève légèrement, et me gratte l'oeillet avec le pouce.
- Je t'en prie Ralhid, tu vas me faire mal, ta queue est trop grosse.
- Je te promet d'y aller doucement, répond-il.
Je sens la queue de Ralhid qui commence à me pénétrer. Mon petit trou commence à se dilater.
- Aie, aie hiaou, arrête, tu me fais mal, tu vas me déchirer.... ouille, aie.
je serre les dents. Je suis en larmes. Inexorablement, la queue de Ralhid se met en place dans mon ventre. Malgré mes sanglots, ma femme assiste à la scène sans lever le petit doigt. Elle joui de me voir soumis à son amant.
- Si tu savais comme je mouille de te voir comme çà, dit-elle... Regarde mon clitoris comme il est sorti ce salaud. c'est Ralhid qui va en profiter après.
Je cherche des solutions. Comment en suis-je arriver là, arriver à me soumettre à ce point. Mais ce sont les propos de ma femme qui font le plus mal.
-Alors, mon amour, tu es en train de devenir une petite fille... Et qu'est-ce-qu'elles font les petites filles? Elles taillent des pipes, hein?.
- Sale pute, tu te régales de voir ton amant qui m'encule.
- Mais mon chéri, répond-elle, c'est toi la pute, c'est toi qu'il encule. Tu aimes pas? Regarde ta queue, elle est toute raide. Tu veux que Ralhid joue avec?.
Ralhid saisit mes testicules et les fait rouler entre ses gros doigts. Il prend le bout de ma queue avec deux autres doigts, et me décalotte. je ne peux m'empêcher de gémir.
-Vas-y, tape lui une queue, dit Valérie, il faut bien qu'il en profite lui aussi, hein, petite pédale.
J'en peux plus, je sens le désir monter en moi. je n'aurai jamais cru qu'un homme puisse me procurer autant de plaisir. Je me surprend même a onduler du bassin sur l'énorme bite.
- Haaa...ha, vas-y Ralhid, branle, décalotte moi complètement je vais cracher, ha..ha.. salaud.
Ma semence gicle en direction de Valérie.
-Bande de salauds, gémit-elle, regardez ce que vous me faites faire. Ma petite chatte est toute excitée, oui, oui.
Ma femme hurle de plaisir.
D'un coup, Ralhid me soulève, libérant les vingt centimètres de chair qui labourait mes entrailles. Il me fait mettre à genoux devant lui.
- Allez, ordonne-t-il, suce.
Tel un automate, j'avale doucement le membre, jusqu'à ce que le gland cogne au fond de ma gorge. Il me prend par les cheveux, et guide lui même les va et vient.
- Regarde nôtre petite fille comme elle turlutte bien, dit Ralhid. Pour te récompenser, tu vas tout avaler, hein, ma chérie.
Je sens les premiers jets de sperme au fond de ma gorge. J'essaie d'avaler à mesure, mais c'est trop. Voyant que j'étais en train de m'étouffer, Ralhid se retire, et finit de cracher sur mon visage. Je suis pris de sanglots tant l'humiliation est forte.
- Ben mon salaud, dit Valérie, quelle pipe tu lui a taillée.
Je suis toujours à genoux, essuyant mes lèvres d'un revers de main. Sans un mot, sans un regard, Ralhid et mon épouse prennent la direction de la chambre. Une bonne partie de la nuit, je vais entendre ma femme hurler de plaisir.
Valérie et Ralhid sont toujours amant aujourd'hui. Et moi, toujours aussi soumis. Ralhid passe trois fois par semaine à la maison, même quand ma femme n'est pas là. il joue avec moi en attendant quelle arrive.
Quelques fois la vie nous amène à nous découvrir
des facettes inconnue de notre personnalité....
dans certaines circonstances.....
Voyage en autocarCette histoire vraie, bien sur, remonte à une bonne dizaine d’années. J’avais 50 ans, alors. Je n’avais jamais voyagé seul mais cette fois là ma femme n’était pas avec moi pour ce voyage professionnel d’une semaine en autocar, en juillet.
Tout avait été parfaitement préparé, sauf que le chauffeur n’avait pas été compté pour le nombre de chambres. Assis près du poste de conduite, j’avais beaucoup discuté avec lui, de tout et de rien. Le même âge que moi, il était un peu rond et costaud cependant. Quand il s’est agi de le caser quelque part, je me suis proposé pour partager la chambre où il y avait deux lits, deux grands lits !
La première nuit, il m’annonça directement qu’il avait l’habitude de dormir « à poil ». Je lui ai répondu que ça ne me gênait pas et que je le comprenanis car il faisait bien chaud. Moi j’avais un pyja-short.
Je suis allé à la douche en premier. Il m’a succédé et en ressorti avec une serviette autour de la ceinture, qu’il a retiré avant de passer sous le drap, je n’ai rien « vu » et je me suis senti frustré. Sous le drap je devinais les formes de ses couilles, de sa queue. On a éteint et on s’est vite endormis, surtout lui, fatigué par la conduite de l’autocar.
Vers 3 heures du matin, je me suis réveillé, je ne sais pas pourquoi. Mon voisin, ronflait doucement, presque sans bruit. Il dormait bien. Dans le peu de lumière de la chambre, j’avais l’impression que son corps était découvert. Pour en être sur, j’ai saisi ma petite lampe de poche que j’avais posée sur la table de nuit. Doucement, je l’allumais. Son faisceau lumineux ne se dispersait pas et et donnait un cercle lumineux net. Ainsi, je découvrais deux superbes couilles velues applaties contre une cuisse, très velue aussi. Son sexe pendait contre les couilles. Il était très beau, bien cylindrique et assez long au repos.
Je promenais le faisceau de lumière sur ce bel ensemble. Au bou de quelques minutes, j’ai vu ce sexe bouger, se déplacer et changer doucement de forme, devenant plus gros aussi et plus long. Il commençait à bander. Et tout d’un coup j’ai compris : mon voisin ne dormait plus d’ailleurs il ne ronflait plus. J’étaignais la lampe et j’ai entendu une voix calme et grave:
- Continue, continue ! Et même tu peux le toucher, si tu veux ! Viens le toucher, même sans lumière ». Et j’ai obéi.
Je me suis mis à genoux près de son lit et j’ai saisi cette hampe dure dans ma main droite et j’ai touché les couilles tièdes de ma main gauche. C’était agréable. Je me suis à le branler et il a commencé à gémir. Je n’avais jamais fait cela et je n’avais jamais sucé un gars, surtout à mon âge ! Et il m’a demandé :
- Suces moi ! »
L’ordre était direct et je l’ai fait. Ma bouche, mes lèvres ont décalotté le gland large et très doux. Et j’ai commencé à pomper son gland qui me remplissait la bouche. Puis il a enfoncé sa tige dans ma gorge et là c’est lui qui imposait le rythme et la profondeur de la pénétration. Il me tenait la tête et ses coups de reins faisaient le reste.
Il m’a saisi chacun de mes tétons entre ses doigts et me les a écrasés. Je voulais hurler de douleur mais j’étais baillonné par sa large queue. Je sentai que son excitation montait et d’un coup il a cessé de bouger et avec une sorte de rale profond il a libéré son sperme par saccades puissantes dans ma bouche qui se remplissait. Il demanda sèchement :
- Bois, bois, sale pute, bois tout, tout !! »
et il me tenait la tête, la queue enfoncée jusqu’au bord des couilles. Et je me suis mis à tout déglutir, je connaissais le goût de mon sperme que j’avais découvert en lèchant ma femme. Là c’était du sperme servi directement du mâle à son amant. Et c’était bon, délicieux.
Il me renvoya sur mon lit en me disant:
- Je vais dormir un peu pour reconstituer mon sperme. A mon réveil je te baiserai, comme une femelle que tu es. Peut-être que tu seras la pute du groupe. Il y a d’autres seuls, des veufs qui voudront surement tirer un bon coup.... Mais à mon réveil je te baiserai !
J’ai été réveillé par le bruit de la douche. Mon voisin de chambre, mon amant était dans son lit. Il était réveillé et m’a dit :
- Salut, en forme ? »
J’ai regardé l’heure : il était 5 heures du matin. J’ai demandé qui était dans la douche, il m’a répondu :
- C’est Gérard, tu vois qui c’est ? Il voyage seul, lui aussi et il partage sa chambre avec Maurice. Je l’ai appelé sur son portable et il est venu. Il est intéressé par ma proposition de tirer un coup. Il a promis d’être discret. »
Quand la douche a cessé, Gérard est sorti de la salle de bains, enveloppé dans une serviette. Il a allumé la lumière de la chambre, m’a dit salut et s’est approché de moi et s’est allongé dans mon lit, près de moi après avoir laissé tomber la serviette de bains.
Nous avions tous les trois 50 ans ou un peu plus et chacun de nous était nu, devant les deux autres. Gérard bandait comme un âne. Il était veuf depuis six mois. Il me dit :
- N’ai pas peur je suis sain et j’ai un peu d’expérience. As- tu été déjà pris ? »
Je répondis que non avec ma tête. Et il me prit dans ses bras, se colla contre mon corps nu. C’était bon ce contact, viril et tendre. Viril car Gérard avait tout d’un colosse : 1m95, au moins et 100 kg ! Et tendre parce qu’il était câlin. Sa poitrine forte était cependant porteuse de peu de poil.
Il commença par m’embrasser, bouche ouverte et langue mobile, cherchant ma langue que lui donnait sans retenue. Une de ses mains se porta sur un de mes seins et commença à me travailler le téton et je découvris un nouveau plaisir, derrière une douleur naissante car il devenait plus puissant dans ses pincement du téton.
Mon compagnon de chambre se branlait et me demandait de ne pas crier. Mais j’avais mal. Gérard se redressa et son autre main se porta sur mon autre sein et engagea le même traitement du téton. Mes deux tétons étaient maintenant travaillés avec autant de puissance. J’essayais de me dégager mais Gérard était assis sur moi et m’empêchait de bouger et l’autre collègue me tenait maintenant par les bras.
Gérard me lâcha les tétons et m’embrassa. Je retrouvais mon calme. Il vint me présenter son sexe :
- Il te plait ? ».
Je répondis oui et il me dit que ça tombait bien car il me l’offrait. Et il le mit sur les lèvres et je le suçais goulûment, avec gourmandise ! . le chauffeur du car, Antoine, me lâcha et revint quelques secondes plus tard et m’écarta les fesses.
- Je te prépare car, comme promis, je vais te baiser, et Gérard aussi ! »
Je dis que je ne voulais pas mais rien n’y fit et Antoine me remplissait l’anus de crème ou de gel. Ses doigts me pénétraient. Cela me rappelait que ma femme, quand on faisait l’amour, me faisait cela il y a quelques années et que j’aimais ça !
Il m’ouvrait doucement mais surement en disant qu’on avait tout notre temps, car il était bien tôt. Je vais te dépuceler me dit Antoine. Et je sentis son gland se poser sur mon anus alors que je m’étouffais presque avec le sexe de Gérard dans ma gorge. Il allait et venait tandis qu’Antoine forçait mon anus. Je criais de douleur quand il entra en moi. Gérard posa sa main sur ma bouche en disant :
- Vas-y ouvre le, baise le, baise notre femelle. »
Et Antoine s’enfonça en moi et ce fut douloureux comme si on me déchirait l’anus. Et il a commencé à aller et venir, me traitant de femelle, de salope et cela m’excitait d’être ainsi dominé. Gérard m’avait lâché et j’étais face à face avec Antoine qui me baisait et cela augmentait mon plaisir.
Je me sentais rempli par son sexe qui me paraissait, dans mon ventre, plus gros qu’hier soir. Je me sentais partir dans des sensations que je ne connaissais pas : je jouissait du cul, du ventre, comme une femelle. Antoine accélérait l’amplitude des mouvements et allait de plus en plus loin en moi ; Et il se mit à grogner comme un taureau ; il me féconda, m’engrossa amplement. Je sentais les spasme de ses jets de sperme. Il s’écroula sur moi comme un arbre mort.
Gérard lui dit de dégager et il se retira d’un coup avant même d’avoir débandé. Je criais mais ce fut rapidement que Gérard me rempli le ventre de son sexe encore plus large. Je ne souffrais plus.
Je l’accueillais puissant de ses 100kg. Il me baisait comme un fauve en rut. Et rapidement à son tour il me féconda. Ses jets de sperme était chauds et puissants. C’était bon et j’aimais encore ça !
Il me retourna et ma pénétra encore et là cela dura un bon moment. Ses aller et retour dans mon ventre faisait un bruit de clapot : Floc, floc, floc…C’est=r dire combien j’étais rempli de sperme de mes deux amants et ce n’étais pas fini car Gérard déchargera lourdement encore et encore une bonne fois !Je n’en pouvais plus. Mon anus suintait de sperme qu’Antoine recueillit avec ses doigts et me donnait à lécher.
Maintenant il est six heure dit Antoine. On va dormir encore une heure et on verra au réveil avant le petit déj.
Et le voyage ne faisait que commencer et Antoine me dit qu’il allait essayer de convaincre les autres mâles solitaires de venir s’ajouter à notre groupe. Il y en a 3 autres.
Je suis revenu de mon voyage rempli de sperme reçu tous les jours le matin et le soir, voire la nuit et une fois dans la journée dans des toilettes de station service. J’étais la pute de ce voyage, et tout était fait dans la discrétion … je crois !
Pierre
↧
A dispo
Ma salope est en formation...
Test de ses capacités.
↧
Histoire du net. Auteur Mickaël.... Les filles
La vengeance est une plat......
MICKAEL
À mes deux pestes à moi.
À cette année formidable que nous avons passée ensemble.
À nos soirées de révision, à nos angoisses avant les examens, à nos fous rires et aux nuits de fête.
En souvenir du jour où, après un pari perdu, vous m’avez condamné en guise de gage à raconter une histoire érotique nous mettant en scène tous les trois. Si je n’ai pas été très imaginatif à cette occasion, aujourd’hui je me lâche et je vous offre cette histoire.
Rassure-toi, Anne-Sophie, j’ai forcé le trait, tu n’es pas vraiment comme ça. (Mais un peu quand même !)
Et toi, Élodie, ne prétends pas que tu ne serais pas capable de faire une chose pareille, je ne te croirais pas !
Les filles, je vous adore !
Cela faisait déjà plusieurs mois que je supportais tant bien que mal ces deux filles. Je n‘avais pas le choix car nous travaillions tous les trois sur le même projet dans un laboratoire de recherche universitaire. C’était donc cohabitation forcée, dix heures par jour, cinq jours par semaine. Et je n’étais pas au bout de mes peines : encore au moins un an à tirer avant de pouvoir passer à autre chose !
Au début, j’ai fait beaucoup d‘efforts pour Élodie, la plus sympa des deux.
La première fois que je l’ai vue, j’en suis tombé raide amoureux. Il faut dire qu’elle était vraiment craquante avec son grand sourire, ses taches de rousseur et ses yeux malicieux. Sans parler de sa poitrine de compétition et de son derrière. Un tout petit peu enrobée, juste ce qu’il faut, comme je les aime.
Malheureusement pour moi, Élodie est aussi délurée et bavarde que je suis timide et j’ai tout de suite compris que je n’avais aucune chance. Que voulez vous, dans la vie, il faut savoir admettre ses limites et faire avec ! Je me suis donc contenté de fantasmer, en traquant la marque de son string sous son jean ou en louchant dans son décolleté et dans l’emmanchure de ses t-shirts.
Mais attention, si je suis coincé avec les filles, je ne suis pas plus stupide que la moyenne et j’ai rapidement compris son petit jeu : elle a vite senti que je voudrais bien mais que je n’osais pas, donc elle a abusé de la situation. Les nanas, c’est toujours comme ça. Même si on sait qu’elles nous prennent pour des pigeons, quand elles nous plaisent, on ne peut rien leur refuser, surtout avec un sourire ou un petit mot gentil. Alors, les premiers temps, je me suis tapé pas mal de boulot à sa place. Inconsciemment, je devais espérer que ça l’inciterait à faire le premier pas. C’est fou ce que je peux être naïf, parfois !
L’autre oiseau rare, c’est Mademoiselle Anne-Sophie. Un poème, celle-là. Magnifique petite blonde au look hyper sophistiqué, cheveux très courts savamment coiffés en pétard avec des mèches colorées, piercings à gogo, du genre à changer de tenue trois fois par jour. Au royaume des têtes à claques, personne ne pourrait lui contester la couronne. Méprisante à souhait, jamais un sourire, jamais un mot aimable. Il n’y a qu’Élodie qui trouve grâce à ses yeux. Elle peut passer des heures à travailler à vos côtés et vous ignorer totalement. Et si elle n’a pas d’autre solution que de vous adresser la parole, elle ne se donne même la peine de vous regarder. Charmante, je vous dis… Mais ce qui m’énerve par dessus tout, c’est que cette espèce de peste est particulièrement brillante, qu’elle a quasiment toujours raison et réussit à peu prêt tout ce qu’elle entreprend. Et c’est très dangereux ça, car, dans le petit monde universitaire où nous allons évoluer et rapidement nous retrouver en concurrence, elle risque de me coller sous l’éteignoir pour le reste de mes jours, ou pire, de me contraindre à travailler sous sa direction… Tout mais pas ça, par pitié !
Alors au fil des semaines, la situation s’est tendue. J’en ai eu assez d’être le bouffon de service, et j‘ai trouvé mon costume d’amoureux transi de plus en plus pénible à porter. Il m’a même semblé qu’elles devenaient toutes les deux de plus en plus chiantes. Certains jours, on aurait dit qu’elles le faisaient exprès.
J’avais jusqu’à présent toujours réussi à éviter le conflit ouvert, mais vendredi dernier, ça a été plus fort que moi et j’ai explosé.
Élodie n’en faisant qu’à sa tête, comme d’ habitude, avait planté une de mes manips en cours depuis une semaine. Et lorsque j’ai râlé, l’autre pimprenelle s’est mise à jeter de l’huile sur le feu, m’accusant d’être le boulet du labo, champion toutes catégories de lenteur et d’incompétence. À croire qu’elle n’attendait que ça !
Déclaration de guerre en bonne et due forme :
- Mon travail n’est sûrement pas parfait, mais pour un gars qui doit supporter toute la journée un gros thon et une mal baisée, ce n’est déjà pas si mal !
Quelques secondes de silence.
Premier tir de riposte, avec armes conventionnelles : je prends en pleine figure un classeur, des pots à crayons et une bouteille d’eau minérale.
Immédiatement après, Anne-Sophie dirige vers moi un missile à tête nucléaire :
- Écoute-moi bien, connard. J’ai la preuve que les résultats de ta soi-disant « super publication », dont tu nous rebats les oreilles à longueur de journée, sont complètement bidouillés. Je me doutais bien qu’un abruti comme toi ne pouvait pas pondre un truc pareil. J’ai épluché les fichiers de sauvegarde des ordinateurs. Ils gardent la trace de toutes les modifications apportées aux résultats avec en prime le jour, l’heure et l’identifiant de celui qui les a faites. Pas besoin de te dire ce que j’ai trouvé, tu le sais aussi bien que moi. Ça sera lundi matin sur le bureau du patron. Il te reste le suicide ou l’ANPE. Salut !
J’eus à peine le temps de répondre par un soupir dédaigneux, genre « même pas mal », que la porte du labo claqua dans un bruit de tonnerre, faisant tout trembler, me laissant seul, en proie à une angoisse terrible. Parce que ce qu’elle avait dit était vrai !
Bien sûr cette garce avait beaucoup exagéré. Je n’avais modifié que quelques résultats, à la marge, j‘allais dire comme beaucoup d’autres étudiants, histoire de présenter un travail nickel. Mais pas de bol, je m’étais fait pincer. Il avait encore fallu qu’elle se mêle de ce qui ne la regardait pas, celle là. C’est incroyable !
J’imaginais tout à fait ces deux pestes allant pleurnicher dans le bureau du patron, lui expliquant que je les empêchais de travailler et que je les insultais.
- Et en plus, Monsieur, il falsifie ses résultats. Sur des publications qui engagent la réputation du laboratoire, avec votre nom en caution !
Non seulement j’allais être viré sur le champ avec les félicitations d’usage, mais il est certain que le boss mettrait un point d’honneur à m’empêcher d’aller plus loin dans mes études. Et compte tenu de son aura dans le milieu, il n’y avait pas à parier un centime sur mon avenir !
Difficile d’être plus mal. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit, cherchant désespérément une parade qui n’existait pas. Sauf à négocier avec ces deux horreurs, la fin de ma carrière était inexorablement programmée pour lundi matin.
J’avais le numéro de portable d’Élodie mais elle était sur répondeur. Samedi, j’ai dû laisser dix mille messages l’implorant sur tous les tons de bien vouloir me rappeler. Je me suis excusé, j’ai proposé de les rencontrer, de les inviter au restaurant pour discuter, de leur offrir la lune si elles le voulaient… Rien à faire, aucune nouvelle.
Encore une nuit blanche avec une énorme boule à la place de l’estomac.
Nouvelles tentatives dimanche matin, toujours la messagerie vocale.
Miracle, à midi, Élodie décroche.
- C’est quoi ce cinéma, tu as saturé ma messagerie avec tes appels, tu crois que je n’ai que ça à faire, d’écouter tes jérémiades ?
YESSSSSS… je l’avais et je ne la lâcherais pas. Plus question d’être timide, il en allait de ma survie. Je finis par obtenir à l’arrache un rendez-vous chez Anne-Sophie, à dix neuf heures.
- Et ne t’imagine surtout pas qu’on va te pardonner !
- Je n’imagine rien, j’ai juste besoin de vous parler.
- Et bien tu ne vas pas être déçu.
Pas très engageant tout ça, mais je m’en moquais. Au moins le contact était rétabli.
* * *
Drinnnngggg… Des secondes qui n’en finissaient pas, un bruit de bottes qui se rapprochait en claquant sur le parquet et Élodie qui ouvrait enfin, l’air plus renfrogné que jamais.
Je dis bonjour, sur le ton le plus humble possible. Pas de réponse. Elle claqua la porte derrière moi, sans un mot, et repartit dans la pièce voisine causer avec Anne-Sophie.
L’accueil était à la hauteur de ce que je craignais mais il fallait positiver. Après tout, ça partait tellement mal que la situation ne pouvait que s’améliorer ! Allez, courage.
Pour ne pas brusquer les choses, je préférais attendre en regardant les photos sur les murs, en faisant semblant de m’intéresser aux livres dans la bibliothèque, aux CD, en passant le temps… Mais rien ne bougeait, elles papotaient toujours, une histoire de voyage au Maroc, me semblait-il.
Cela faisait maintenant plus d’un quart d’heure que je tournais en rond dans le séjour, et toujours pas de signe de vie de l’autre côté. C’est sûr, je ne leur demandais pas de me sauter au cou mais je n’étais pas non plus venu pour faire , et il allait bien falloir passer aux choses sérieuses. De toute façon, je n’étais pas dupe, elles le faisaient exprès, c’était bien leur genre. Sûr qu’elles devaient s’amuser à voir combien de temps j’allais tenir comme ça, à attendre leur bon vouloir.
Avec une audace qui me surprit moi même, je finis par passer la tête dans l’encoignure de la porte. C’était la chambre et les deux filles étaient allongées sur le lit, avec une pile de catalogues de voyage.
J’essayais l’humour pour détendre l’atmosphère, on ne sait jamais, si ça marchait :
- Dites, je ne voudrais pas déranger, mais si vous vous occupiez un peu de moi !
Anne-Sophie laissa bruyamment tomber son livre, l‘air excédé.
- Il va encore nous casser les pieds longtemps, celui-là ? Mais pourquoi l’as-tu fais venir ?
Élodie ne répondit pas. Elle posa doucement ses revues et prit tout son temps pour s’asseoir confortablement sur les coussins, adossée au mur. Elle me regardait fixement, droit dans les yeux, un petit sourire en coin. À mon avis, elle attendait cet instant depuis pas mal de temps, j’ai une bonne intuition pour ce genre de choses.
- Laisse, Anne-So, laisse. Je vais m’en occuper.
Ça y était, le match allait enfin pouvoir commencer !
Je profitais de ce moment de franche convivialité pour essayer de placer mon baratin. Peine perdue. Je n’eus pas le temps de finir la première phrase qu’elle me coupa la parole.
-Alors comme ça, je suis un gros thon. C’est une question de physique ? Je sens le poisson ? Tu dois vachement t’y connaître en filles, pour avoir un jugement aussi fin ! Mais tu as peut être raison. On va voir. Ok ? Donc, il pèse combien le gros thon à ton avis ?
- Écoute, Élodie, c’est une expression idiote, je…
- STOP ! Deux options : tu réponds aujourd’hui à mes questions, ou lundi à celles du patron. La règle du jeu n’est pas négociable. Et remarque bien qu’on ne t’a pas forcé à venir. Alors, combien ?
Nouvelle tentative d’explication. Élodie répondit d’un air agacé, en me montrant du doigt la porte de sortie.
- Tu peux y aller, on a plus rien à se dire.
- Ok, Ok, j’ai compris, ne t’énerve pas.
- COMBIEN ? DÉPÊCHE ! cria-t-elle, me faisant sursauter.
J’essayais de faire galant.
- Disons 60 kg ?
- Perdu, t’es un gros nul. Tu retires ta chemise.
- Pardon ?
-Tu as bien entendu. Grouille, parce que je n’ai pas que ça à faire. À moins que tu préfères rentrer chez toi pour une nouvelle nuit blanche ?
- Mais il n’en est pas question, enfin. Tu me prends pour qui ?
- Dépêche, ou tu vas le regretter.
- Je te rappelle que nous sommes presque des universitaires maintenant. Nous ne sommes plus à la maternelle ! Il serait temps d’avoir un comportement responsable.
- Parce que tu penses qu’insulter ses collègues en les traitant de gros thon et de mal baisée, c’est responsable comme comportement ?
Le ton commençait à monter. Je n’aimais pas ça.
- Écoute, Élodie, on a tous les deux passé l’âge de ces jeux d’adolescents… On pourrait…
Elle m’interrompit en hurlant, rouge de colère :
- ALORS CASSE-TOI, ON T’A ASSEZ VU ! TU AURAS CE QUE TU MÉRITES LUNDI. DÉGAGE !
Je pris peur. Élodie ne se maîtrisait plus et je risquais de tout perdre d’une seconde à l’autre, si ce n’était pas déjà fait. Je me dépêchai d’obéir, défaisant en tremblant mes boutons, avant d’ouvrir ma chemise et de la poser sur le lit.
Elle se calma un peu, mais la situation restait tendue.
- Deuxième question : tour de poitrine du gros thon ?
- Allez, arrête. Je suis sincèrement désolé, je ne pense pas un mot de ce que je vous ai dit…
Elle me fusilla du regard. Je sentis qu‘elle allait de nouveau se mettre à crier. La balle était dans mon camp mais je savais bien que je n’avais pas le choix et que si je partais maintenant, je le regretterais toute ma vie.
- Euh ! 95C…
Elle sourit.
- Affligeant, tu as perdu tes chaussures ! Les deux.
Grosse angoisse. Je compris tout à coup comment cette histoire allait se terminer. Non, ce n’était pas possible. Moi, le garçon le plus pudique de la terre, je n’allais quand même pas devoir faire un strip-tease devant ces deux nénettes !
- On continue : je mesure combien ?
J’essayai 1,72 m.
- Pas loin, mais raté. Tes chaussettes, s’il te plaît.
Mon cœur n‘avait jamais battu aussi fort. Pas d’issue de secours en vue. Dans quelques instants, j’allais me retrouver à poil sous l’œil narquois d’Élodie. Quant à Anne-Sophie, fidèle à elle même, elle avait le nez dans ses catalogues, ne daignant même pas lever la tête.
- Bon, on passe aux questions difficiles maintenant. Tour de hanches ?
- 80 ?
- Ben voyons, et puis quoi encore ? Ton pantalon, vite.
Je tremblais tellement que j’eus du mal à défaire ma ceinture. Je fis glisser mon pantalon jusqu’à mi-cuisse, écartant les jambes pour le bloquer, en le retenant avec les mains…
- Pas comme ça. Donne-le moi.
Je pris une grande bouffée d’air et je le retirai rapidement, en essayant de ne penser à rien.
J’étais maintenant en caleçon, rouge comme une tomate, ne sachant pas où mettre mes bras pendants. Élodie faisait durer le plaisir et prenait tout son temps.
Non, ça ne pouvait pas arriver, il fallait absolument que je trouve quelque chose pour arrêter ce jeu. Après tout, ce serait comme si elles m’avaient vu en maillot de bain, pas de quoi dramatiser.
Elle interrompit brutalement le cours de ma pensée :
- Dernière question pour monsieur super macho. Écoute bien : quel est mon tour de fesses ?
Ses yeux pétillaient de plaisir.
- Écoute, Élodie… Mon regard se fit suppliant. Tout ce que tu voudras mais ça, je ne peux pas… Comprends-moi…
— Alors, combien ?
Je répondis timidement 90, sans y croire.
- Mauvaise pioche. Donne-moi ton slip.
Et elle tendit la main dans ma direction.
Je n’avais pas d’autre alternative que d’obéir à cette petite garce… et je baissais lentement mon caleçon d’une main, essayant de protéger avec l’autre ce qui me restait d’intimité.
De toute ma vie, je n’avais jamais ressenti un tel sentiment de honte. J’étais vaincu, tout nu, les yeux baissés et les mains crispées sur le pubis devant ces deux filles qui me mataient avec un sourire complice et un air triomphant.
Élodie se leva lentement et vint vers moi, arrogante, la poitrine en avant, faisant bruyamment claquer ses bottes sur le parquet.
Elle me tourna longuement autour, me détaillant de la tête aux pieds. Par moment, elle s’approchait tellement que je sentais sa peau contre la mienne, puis elle se reculait pour mieux m’observer, comme un chat qui aurait enfin réussi à attraper une souris et s’apprêterait à jouer avec elle.
J’espérais que la partie allait bientôt prendre fin. Erreur, elle avait à peine commencé.
Élodie se campa devant.
- Regarde-moi dans les yeux.
Une fois de plus, je dus lui obéir.
- Maintenant, mets les mains dans le dos.
J’eus l’impression que la terre s’entrouvrait sous mes pieds. Je voulus protester mais je n’arrivai qu’à bégayer quelques syllabes. J’étais tétanisé. Pour la première fois depuis très longtemps, je crus que j’allais pleurer.
Elle recommença son petit numéro.
- Je compte jusqu’à cinq. C’est la dernière occasion qu’il te reste pour te faire pardonner. Après, c’est le bureau du patron lundi… Un…
J’essayai de me motiver. Ce poste de chercheur, j’y tenais tellement. Je travaillais pour cela depuis des années. Je n’allais pas tout gâcher aujourd’hui. Dans dix ans, j’aurais tout oublié de cette histoire.
- Deux…
C’est idiot, si j’étais très malade et qu’elles soient infirmières ou médecins, je ne ferais pas tant de difficultés pour me déshabiller.
- Trois…
Je n’ai qu’à me dire que c’est un bizutage, comme en subissent chaque année des tas d’étudiants. Et encore, j’ai de la chance, elles ne sont que deux. D’habitude c’est toute l’année du dessus qui te voit à poil sur l’estrade.
- Quatre…
Non, ce n’est pas possible ce qui m‘arrive, je ne peux pas, je n’y arriverai pas…
- Et cinq !
Élodie ouvrit encore une fois la bouche mais je ne saurais jamais si c’était pour me laisser encore une chance ou pour porter l’estocade, parce qu’à cet instant, sans même me rendre compte de ce qui se passait, je me jetai à l’eau et mis les mains dans le dos.
Elle prit un peu de recul, et passa de longues secondes à m’examiner en détail, un grand sourire aux lèvres, savourant sa victoire.
- Et bien, ça ne valait pas le coup de faire tout ce cinéma, il n‘y a vraiment pas grand-chose à cacher. Tu sais, Anne-So, monsieur super macho a de toutes petites couilles !
L’autre peste jeta vaguement un œil, avant de reprendre sa lecture :
- Et c’est quoi, ce machin ridicule ? Mon neveu de dix ans a une bite plus grosse !
- Attends, c’est normal, un gros thon et une mal baisée, comment veux-tu que ça l’excite ?
Là, elle avait tort. Si me trouver nu en public, surtout devant des filles que je connaissais, était le pire cauchemar imaginable, je n’aurais jamais pensé que cette situation puisse être aussi troublante. Pourtant, ce que je commençais à ressentir entre les jambes ne me laissait aucun doute sur la suite des événements et je sentais bien que je n’allais plus pouvoir maîtriser longtemps la situation. J’étais déjà assez humilié comme ça, si en plus je me mettais à bander !
Élodie s’assit au bord du lit et me tendit une jambe.
- Retire mes bottes.
Je m’accroupis, profitant de cette opportunité pour tenter de masquer ma nudité.
Elle était habillée tout en noir, avec de grandes bottes à lacets qui laissaient voir de magnifiques bas sous une petite robe tenue par un gros ceinturon argenté. Superbe, mais pas vraiment le moment pour faire attention à ce genre de détail.
Je pris un maximum de temps pour délier et ôter ses bottes, redoutant l’instant où je devrais me relever. Peine perdue. Une fois ses jambes libérées, elle posa ses pieds sur mes épaules, puis les descendit lentement sur mes pectoraux pour venir frotter le tissu de ses bas sur mes mamelons. L’effet fut immédiat et je vis ses yeux prendre un air gourmand, alors que ma queue se mettait à pencher lourdement sur le côté.
- Tu vois, dit-elle, il peut y arriver, quand on l’aide un peu.
Anne-Sophie était absorbée par ses catalogues. Elle me regarda à peine :
- Pour le même prix, on a une semaine à Agadir !
Élodie continua, un sourire sadique aux lèvres, et fit glisser un pied sur mon ventre, avant de l’insinuer entre mes cuisses qu’elle écarta sans ménagement.
- Maintenant, debout.
Et elle joignit le geste à la parole, repoussant avec ses orteils mes testicules vers le haut.
Je dus me relever, tout honteux, à moitié recroquevillé sur moi-même, essayant de cacher ce début d’érection avec les mains.
- Ça rime à quoi, cette tenue ? Comporte-toi un peu en mec ! Les mains dans le dos ! Tiens-toi bien droit ! Et écarte les jambes, qu’on en profite !
Pour un garçon aussi pudique que moi, devoir s’exhiber de la sorte était insupportable et j’avais une envie irrésistible de la claquer très fort. Il fallait vraiment que je n’aie pas le choix, pour supporter une pareille humiliation.
Si mon sexe avait durci, il pendait encore vers le bas et j’espérais pouvoir en rester là. Mais Élodie ne l’entendait pas ainsi :
- C’est mou tout ça, je suis sûre que tu peux bander bien plus fort. Tiens, allez, pour t’aider, je vais me déshabiller un peu.
Et alors que j’étais debout devant elle, tout nu, elle retira doucement ses collants, me dévoilant des jambes de rêve.
Je n’en croyais pas mes yeux et sentis, sans rien pouvoir faire, que ma queue se redressait inexorablement, passant par l’horizontale pour venir pointer vers le ciel, raide comme un pieu, gonflée comme jamais. Les deux filles éclatèrent de rire en me regardant durcir devant elles.
Je fermai les yeux, attendant la fin de mon calvaire.
Malheureusement, tout cela n’était rien à comparer de ce qui m’attendait.
Élodie m’ordonna ensuite de me rapprocher puis elle se pencha en arrière sur le lit, prenant appui sur ses coudes. Elle m’enserra très adroitement le sexe avec ses deux pieds et, lentement, me décalotta, repoussant au maximum mon prépuce, découvrant un gland rouge et humide qu’elle se mit à masser délicatement. Le contact de ses pieds nus sur ma chair était terriblement excitant et malgré tous mes efforts, je ne tardai pas à perdre le contrôle de la situation, ne parvenant plus à rester immobile.
Pisse-vinaigre se rappela à nous :
- Je te préviens, s’il se laisse aller sur ma moquette neuve, ça va mal aller. Il me nettoie tout avec la langue.
Mais Élodie continuait de plus belle, alors que chaque pression de ses pieds m‘arrachait maintenant un petit gémissement qui l’amusait beaucoup.
Anne-Sophie jetait de temps en temps un coup d’œil, entre deux pages, beaucoup plus intéressée par son voyage que par mes fesses.
Au bout de quelques minutes, je fus au bord de l’explosion, me tortillant dans tout les sens pour essayer de tenir.
- Je t’en supplie, Élodie, arrête. Je n’en peux plus !
- Déjà ? Il t’en faut vraiment peu. Finalement, ce n’est pas une question de physique, mon côté gros thon, puisque je l’excite.
- Je te l’ai déjà dit, c’est sûrement un problème d’odeur, il doit être sensible de la narine ce type là. Il y a une autre possibilité, c’est faire trois jours à Agadir et quatre à Marrakech.
- On va voir. À genoux, vite !
Et c'est pas fini.....
↧
↧
Histoire du net. Auteur Mickaël.... Les filles... Fin
La veangenace est un plat
qui se "déguste" froid.....
MICKAEL
Fin
J’obéis, trop heureux de ne plus avoir à me donner en spectacle.
Elle posa ses plantes de pieds sur mon visage.
- Ça sent mauvais ?
- Non.
- Non, mon chien ?
- Non, Élodie.
- Non, Mademoiselle Élodie, s’il te plaît. À partir de maintenant, tu ne t’adresseras plus à moi que de cette manière et tu me vouvoieras, ou tu seras sévèrement puni. C’est compris ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
- Alors lèche-moi les pieds, et sans me chatouiller, je suis très sensible.
Cette fille était vraiment une grande malade, mais pendant ce temps là, au moins je ne risquais pas de jouir devant elle. Il n’aurait plus manqué que cela !
Et elle remit le nez dans les catalogues avec l’autre peste, comparant le prix des demi-pensions à Agadir et des hôtels à Marrakech. Mais qu’est-ce que j’en avais à foutre de tout ça ! Qu’elle aille au bout de ses fantasmes de nymphomane refoulée et qu’on en finisse rapidement.
- Lèche bien entre les orteils, c’est ce que je préfère, et n’abîme pas mon vernis avec tes dents, ou gare.
- Oui, Mademoiselle Élodie.
L’exercice dura un bon quart d’heure, le temps de lui bichonner les deux pieds. Il faut dire que c’était plutôt agréable. Elle avait une peau très douce, sentant un peu le cuir de ses bottes et j’eus même parfois le plaisir de la sentir sursauter sur des petits coups de langues bien appuyés. Pour un garçon, c’est toujours plus sympa que de recevoir des ordres. Je ne dis pas que j’étais content d’être là, loin s’en faut, mais il y avait de petits avantages à la situation.
- Tu sais, Anne-So, ce n’est pas un problème d’odeur de pieds, il a l’air de bien aimer. Tu crois que ça vient des dessous de bras ?
- Peut-être. En tout cas, maintenant il bande mou.
- Ouais, c’est lamentable. Ça suffit. Avoue, tu as aimé ?
- Oui.
Je me ravisai tout de suite :
- Oui, Mademoiselle Élodie.
Trop tard. Elle n’attendait que ça !
- Je vais t’apprendre à m’obéir, tu vas voir. Mets-toi debout.
Je m’exécutai, redoutant le pire. Elle se leva aussi.
- Tu m’as manqué de respect, tu mérites une punition. Pour ta peine, tu vas te branler devant nous !
-… Écoute Élodie, euh ! Mademoiselle Élodie… Je vous en prie… Vous ne croyez pas que ça a suffisamment duré ?
- Tu peux arrêter quand tu veux, mais tu connais la règle du jeu !
- On peut aussi passer par Marrakech.
Je pensais tout bas « la ferme, toi, tu me stresses encore plus que l’autre ! »
Je commençai à me tripoter tout doucement du bout des doigts mais ce n’est pas du tout ce qu’elle attendait.
- NON, NON, NON… Vas-y franchement, comme si on n’était pas là. Tous les garçons adorent se branler, on sait ça depuis Freud. Tu ne vas pas essayer de nous faire croire que tu es une exception. Allez plus loin, plus vite…
Je n’avais pas le choix et la mort dans l’âme, je dus me donner en spectacle.
- Voilà, ça commence à ressembler à quelque chose… Allez, allez, plus vite…
Je ne pensais plus à rien, essayant d’oublier leur présence.
- C’est bien, tu continues comme ça, et je préfère te prévenir que si tu t’arrêtes ou si tu jouis, ça va aller très mal pour toi. Maintenant, tu me regardes.
Et devant mes yeux ébahis, elle défit son ceinturon et retira sa robe. Élodie, sur laquelle j’avais fantasmé des nuits entières, était debout devant moi, seulement vêtue d’un string et d’un soutien-gorge noirs, magnifique, avec ses petites taches de rousseur sur les épaules et dans le décolleté, et sa poitrine de rêve. Elle prenait un malin plaisir à se retourner, me montrant des fesses pour lesquelles j’étais prêt à me damner.
- Ça te plaît ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
- Il faut dire que tu as passé tellement de temps au labo à regarder sous mes bras ou dans mon décolleté, que tu as bien mérité une récompense.
J’étais au bord de l’orgasme. Il fallait que j’arrête tout de suite, ce n’était plus tenable.
- Mademoiselle Élodie ?
- Oui ?
- Je vous en prie, je n’en peux plus. Laissez-moi arrêter, s’il vous plaît !
- C’est bien, je vois que tu commences à comprendre. Mets les mains sur la tête.
Je me dépêchai d’obéir. Il était temps. La chaleur m’envahit le bas ventre, irradia dans mes testicules, et se répandit dans ma queue qui fut prise de secousses incontrôlables. Chaque muscle de mon corps se banda. Je ne bougeais plus, je ne respirais plus. Même les deux filles retenaient leur souffle.
La vague finit par s’arrêter tout près de l’explosion, avant de refluer lentement, laissant régulièrement passer de petites contractions, me faisant craindre à tout instant une éjaculation tardive incontrôlée, devant ces deux chipies qui n’attendaient que ça !
Quelques secondes de frémissements et je pus enfin me détendre. Ça y était, c’était fini. Je venais de passer à deux doigts de la pire humiliation. Élodie posa son index sur mon gland et vint masser mon orifice pour vérifier que je n’étais pas en faute.
- C’est bon, pas de sperme. On continue, mais la prochaine punition sera pire, alors fais bien attention à ton comportement. Maintenant, va te laver les mains, c’est dégoûtant ce que tu as fait.
- Oui, Mademoiselle Élodie.
Nouvel exercice : il me fallut traverser tout l’appartement sous leurs yeux et leurs rires moqueurs, la queue au garde-à-vous, pour rejoindre la salle de bains.
Au retour, après une inspection scrupuleuse de mon index, Élodie me colla ses aisselles sous le nez.
- Tu aimes l’odeur ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
Elle s’allongea sur le lit, les bras étendus en arrière. Sa voix se fit tendre.
- Alors lèche-moi, tout doucement…
J’obéis. C’était très agréable. Sa peau était veloutée sans la moindre irrégularité et elle était impeccablement épilée. Sur le devant, ma langue se hasarda près de la naissance de son sein. Elle ne dit rien. Si seulement j’osais… Non, elle avait gardé son soutien-gorge et j’avais trop peur d’une autre punition. J’allai d’un bras à l’autre, léchant, sentant, embrassant. Je me sentais presque bien.
- On peut aussi rajouter un raid dans le désert, mais ça fait monter le prix.
L’enquiquineuse de service était de retour.
Élodie replia ses bras en soupirant. Fin de l’épisode. Dommage, j’aimais bien.
- Tu sais, ce n’est pas un problème d’odeur sous les bras. Ça lui a plu aussi.
- Ah bon, ça vient peut être de tes fesses.
- Tu crois, Anne-So ? Toi, assois-toi au bord du lit.
- Oui, Mademoiselle Élodie.
Elle se leva et se campa debout devant moi, les poings sur les hanches. J’avais une érection d’enfer que je ne cherchais même plus à cacher. Aussi étrange que cela puisse paraître, il me semblait que je commençais à prendre plaisir à ce petit jeu !
- Branle-toi pour nous.
- Oui, Mademoiselle Élodie.
- Tu connais la règle ?
- Oui, Mademoiselle Élodie. Je ne dois ni m’arrêter avant que vous m’en donniez l’ordre, ni jouir, sous peine d’une punition.
- Bien, tu apprends vite… Vas-y, on te regarde.
J’étais terriblement excité et tout pouvait arriver d’un instant à l’autre. J’essayais de maîtriser la situation par des mouvements du poignet aussi rapides que courts, juste au contact de la peau, sans serrer la main, mais Élodie ne fut pas dupe.
- Attention, si tu triches tu seras puni. Serre bien ta bite avec tes doigts. Plus fort, et va jusqu’au bout. Voilà, et plus vite. Et ne t’avise pas d’essayer de m’abuser encore une fois.
- Oui, Mademoiselle Élodie. Excusez-moi, Mademoiselle Élodie.
Je dus ainsi me donner de nouveau en spectacle avec, en arrière fond, Anne-Sophie qui analysait maintenant les locations de 4x4 dans le désert !
Se masturber en position assise était moins humiliant que debout, mais la belle Élodie ne manquait pas d’imagination pour me chauffer à blanc. Elle se rapprocha lentement de moi, jusqu’à effleurer mon visage avec son bassin, puis tout doucement, elle fit glisser son string vers le bas, me dévoilant d’abord une toute petite toison taillée très court au milieu de son pubis, puis des lèvres gonflées, que je devinais déjà humides. Je n’en croyais pas mes yeux. Elle était presque nue, ne gardant plus que son soutien-gorge.
- Tu aimes ?
- Oui, Mademoiselle Élodie, dis-je en tremblant, d’une voix mal assurée.
- C’est quand même mieux que de mater le string des filles au labo, non ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
- Et tu crois que je ne te voyais pas faire, gros vicieux ?
- Je m’excuse, Mademoiselle Élodie.
- Ça te faisait quoi ? Dis-nous un peu, pour voir.
- Ça m’excitait, Mademoiselle Élodie.
- CONTINUE ! dit-elle en élevant la voix. Je ne vais quand même pas être obligée de t’arracher les vers du nez ?
Et elle m’attrapa les testicules avec une main en tirant vers le haut, me forçant ainsi à me lever.
- Tu racontes tout, sans rien nous cacher, c’est un ordre. Compris ? Mets donc les mains sur la tête quand je t’interroge.
- Compris, Mademoiselle Élodie. J’y repensais après, quand vous n’étiez plus là.
- Et puis ?
Je ne savais pas quoi répondre, cela devenait trop intime. Elle serra de plus en plus ses doigts, jusqu’à ce que je reprenne ma confession.
- J’y pensais le soir chez moi dans mon lit… et je me masturbais en imaginant que vous vous déshabilliez devant moi… Je l’ai fait souvent… tous les soirs au début… Des fois, j’imaginais que je vous faisais l’amour aussi…
Ma voix tremblait de plus en plus, je ne pouvais plus contenir mon émotion.
- Ben voyons ! Et pourquoi pas à trois avec Anne-So, pendant que tu y es ! Je suis sûre que tu y as déjà pensé, n’est-ce pas ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
Silence. Sa main se referma de nouveau. Je repris :
- J’aimais bien imaginer que vous faisiez l’amour toutes les deux devant moi.
- Et on faisait comment ? Dis-moi pour voir.
Ses questions devenaient vraiment gênantes. C’était encore pire que d’être à poil. Mais cette folle était capable de me broyer les testicules si je ne parlais pas.
- D’abord, vous vous embrassiez… Puis vous vous caressiez…
À chaque fois que je terminais une phrase, elle serrait le poing jusqu’à ce que je reprenne.
- Vous vous caressiez partout… Puis vous vous masturbiez… Vous vous pénétriez avec les doigts.
- AH, ÇA SUFFIT ! s’écria Anne-Sophie. C’est dégoûtant d’entendre des choses pareilles ! Ce gars ne pense qu’à ça. C’est un véritable obsédé !
- Oui, tu as raison, renchérit Élodie, l’air grave. Quand je pense qu’on a travaillé dans la même pièce que lui, nous, des filles innocentes, sans défense, à côté de ce pervers !
Alors celle-là, c’était la meilleure ! Depuis tout à l’heure, ces deux espèces de détraquées me forçaient à assouvir leurs pires fantasmes, et c’est moi qui passais pour un délinquant sexuel ! Dans d’autres circonstances, je crois que j’en aurais éclaté de rire.
Élodie me regarda droit dans les yeux en recommençant à serrer sa main.
- Est-ce que tu regrettes, au moins ?
- Oui, Mademoiselle Élodie. Je m’excuse, Mademoiselle Élodie.
La pression devenait difficile à supporter. J’avais vraiment mal et commençais à me tortiller de douleur, la suppliant du regard, mais elle restait impassible. Plus je grimaçais et plus elle souriait.
- Ne bouge pas, je suis sûre que tu aimes ce que je te fais, n’est-ce pas ?
Je murmurais « oui Mademoiselle Élodie », entre deux gémissements.
- Tu veux que j’arrête ?
- S’il vous plaît ! Mademoiselle Élodie.
- Alors, ne t’avise plus jamais de nous manquer de respect, compris ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
Et elle desserra tout doucement sa main, me laissant reprendre petit à petit mes esprits, avant de retourner s’allonger à plat ventre sur le lit et de reprendre sa discussion sur les hôtels marocains avec Anne-Sophie, comme s’il ne s’était rien passé.
J’attendis debout, la queue au garde-à-vous, sans savoir que faire. C’était incroyable. J’aurais dû souhaiter plus que tout que ce jeu s’arrête mais non, cette petite peste avait raison, j’aimais ça. J’étais nu devant ces deux filles, humilié, soumis et pourtant je n’avais jamais été aussi excité de ma vie.
Plusieurs minutes passèrent avant qu’elle ne s’adresse de nouveau à moi.
- Tu mets les mains dans le dos et tu m’embrasses dans le cou.
Je ne me fis pas prier, finalement heureux de quitter le monde de la punition pour retrouver celui du plaisir. Sa peau était tellement douce, elle sentait si bon.
- Descends.
Je m’attardai sur les petits grains de beauté qui parsemaient son dos et le creux de ses reins. Je promenai mes lèvres sur ses petites rondeurs qui m’attiraient tant.
- Descends, je t’ai dit.
J’arrivai à la naissance de ses fesses, là où ses formes s’arrondissaient. Je les embrassai, les caressai avec mes lèvres, ma joue, ma langue.
- Au milieu.
Ma bouche se rapprocha de son sillon pour venir l’embrasser. Je le parcourus de haut en bas, mes lèvres humides collées dessus.
Élodie se cambra et, tout en continuant sa discussion sur les hôtels marocains, se mit à genoux, soulevant les fesses et écartant les cuisses, offrant sans aucune pudeur à mon regard incrédule toute son intimité.
- Ta langue. Entre mes fesses.
J’obéis, glissant ma langue là où la peau se fait plus humide. Élodie commença à bouger le bassin, me forçant à la lécher sur toute la hauteur de son fondement.
- Tu aimes cette odeur ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
- Continue. Plus profond.
La pointe de ma langue touchait maintenant le fond de son sillon, glissant au rythme des ondulations de son corps.
Elle s’immobilisa alors que j‘étais juste sur son anus.
- Lèche bien.
Je commençai doucement, un peu gêné.
- Mieux que ça, c’est un ordre.
Je m’appliquai alors, sans retenue, sur la peau luisante et plissée de son petit orifice, que je sentais se contracter au contact de ma langue.
- Très bien. Tu aimes mon goût ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
- Alors, pousse ta langue.
- Vous voulez dire, à l’intérieur… Mademoiselle Élodie ?
- Oui, et si tu n’obéis pas tout de suite, tu vas vraiment le regretter.
Je préférai m’exécuter et j’introduisis le bout de ma langue à l’intérieur de son anus, léchant les premiers centimètres de sa muqueuse.
- Ça te plaît ?
- Oui, Mademoiselle Élodie.
- Tu vois, Anne-So, ce n’est pas non plus l’odeur de mes fesses, le côté gros thon.
- Bon. Et bien je crois qu’il ne nous reste plus que la foufoune.
Élodie se retourna et me regarda avec un immense sourire.
- On va voir ça. Va te rincer la bouche, c’est dégoûtant ce que tu as fait.
Éclats de rires des deux nénettes et nouveau défilé dans l’appartement, la queue au zénith.
- Tu as vu, côté bite, c’est quand même autre chose que tout à l’heure !
- Ah, ces petits jeunes, il faut tout leur faire découvrir !
Et voilà qu’Anne-Sophie se mettait à faire de l’humour, j’aurais vraiment tout vu aujourd’hui. Finalement, elle gagnait peut-être à être connue.
Au retour, Élodie m’ordonna de m’allonger sur le lit. À côté de moi, Anne-Sophie, repartie dans son trip à dos de chameau, ne regardait même pas ce qui se passait. Elle est vraiment incroyable, celle-là !
Élodie vint se mettre à genoux sur moi, le pubis juste au-dessus de ma bouche.
- Lèche-moi l’intérieur des cuisses.
- Oui, Mademoiselle Élodie.
Que du bonheur. J’étais le plus heureux des hommes. Je pris tout mon temps, dessinant avec ma langue de longues arabesques sur sa peau, alors que je sentais l’excitation monter en elle.
Elle avait fermé les yeux. Ses lèvres toutes humides, gonflées de désir, avaient rougi. Je la pénétrai avec la langue et la léchai en profondeur, alors que son vagin ruisselait et que sa cyprine s’écoulait lentement dans ma gorge.
Rapidement, elle ne tint plus en place et son bassin se mit à onduler au rythme de ma bouche. À chaque fois que j’effleurais son petit clitoris, elle sursautait, renvoyant la pointe de ma langue toujours plus loin en elle. Les rôles étaient maintenant inversés, et c’est moi qui la regardais alors qu’elle tentait en vain de se maîtriser, ne pouvant plus retenir les premiers soupirs de plaisir.
Je lui massais le dos, les reins, les fesses. Elle serrait les cuisses de plus en plus fort, se penchant en avant sur moi. Lorsque mes mains atteignirent enfin ses lèvres, elle se jeta en arrière avec un gémissement avant de se reculer sur mon ventre pour venir s’empaler sur mon sexe, en dégrafant son soutien-gorge, enfin totalement nue, me dévoilant les seins que j’avais tant rêvé de voir.
Il n’y avait maintenant plus de Mademoiselle Élodie qui tenait et j’entendais bien prendre ma revanche en la faisant hurler de plaisir, sans aucune retenue, devant Anne-Sophie. À chaque coup de boutoir dans son ventre, elle gémissait un peu plus fort. Je l’attirais vers moi, prenant ses seins lourds dans la bouche, léchant ses aréoles, mordillant ses tétons, caressant chaque recoin de son corps.
Elle se mit à crier, me suppliant de continuer et j’accélérai le rythme, poussant de plus en plus fort dans son vagin, lui écartant les fesses avec les mains. Lorsque je forçai enfin son petit orifice pour y glisser un doigt, elle se redressa, en poussant un grand cri.
- Maintenant, maintenant… oui… Encore, vas y… oui… oui… oui… Ça y est presque… encore… ça y est…
Je jouis en même temps qu’elle, la faisant tressaillir de nombreuses secousses, continuant encore longtemps à danser dans son ventre, goûtant jusqu’au bout mon bonheur, avant qu’elle ne finisse par s’effondrer sur moi.
Quelques secondes passèrent et pisse-vinaigre ramena sa fraise, levant enfin le nez de son catalogue.
- Dites, faudrait voir à pas dégueulasser mon couvre-lit, et toi, va te laver la bite avant d’en mettre partout, c’est dégoûtant !
Élodie rigola, moi je préférai ne rien dire. Il ne s’agissait pas de tout gâcher maintenant.
Troisième aller et retour dans la salle de bains, je commençais à connaître le chemin. Ça tombait plutôt bien car j’avais une furieuse envie de vider ma vessie. Et l’autre maniaque qui croyait que j’allais m’astiquer la zigounette !
Tout bien réfléchi, j’avais passé une soirée d’enfer, même si le début avait été un peu difficile. J’avais pris un pied incroyable avec la petite Élodie et si l’autre enquiquineuse avait eu la correction d’aller voir ailleurs si on y était, ça aurait été franchement génial !
D’ailleurs, au sujet d’Élodie, j’avais bien l’intention de m’incruster un peu maintenant. Je crois que j’avais réussi à la fois à désamorcer la bombe atomique qui devait m’exploser à la figure lundi, et à me trouver une nana dont les fantasmes feraient pâlir d’envie tous mes copains.
Finalement, j ‘avais très bien fait de me comporter comme ça vendredi soir. J’aurais même dû gueuler avant, ça nous aurait fait gagner du temps à tous les deux.
J’étais perdu dans mes pensées, assis sur le trône, lorsque la porte s’ouvrit et Anne-Sophie me lança :
- Qu’est-ce que tu fous encore, dépêche-toi un peu, on n’a pas que ça à faire.
Comme d’habitude, Mademoiselle Anne-So avait parlé sans même me regarder, en me tournant le dos. Je levais les yeux et vis d’abord sa main sur la poignée, puis son bras, avant de m’apercevoir avec effarement qu’elle était… toute nue !
Je finis de pisser à toute allure et ressortis, l’air ahuri, de la salle de bains, pour découvrir une scène surréaliste : les deux nénettes étaient à poil, assises sur le lit, et avaient remis le nez dans leurs catalogues de voyage. Les bras m’en tombaient. Je croyais avoir tout vu aujourd’hui mais là, ça dépassait l’entendement.
Il faut dire qu’Anne-Sophie était aussi agréable à regarder qu’elle était difficile à supporter : bronzage presque intégral, musclée, des seins plus petits mais beaucoup plus fermes que ceux d’Élodie, la fesse haute, un vrai physique de rêve. En plus des piercings aux oreilles, à la lèvre, à l’arcade sourcilière et à la langue que je connaissais déjà, elle arborait un large tatouage en forme d’arabesque en bas du dos et un bijou au nombril, au-dessus d’une petite toison pubienne impeccablement taillée en triangle.
- Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
- Écoute, Anne-Sophie, là je ne me sens plus tellement en forme, tu vois.
Pour sûr qu’elle pouvait voir, mais elle s’en moquait complètement.
- Dépêche, je te dis.
J’obéis, une fois de plus. Il y a des moments où c’est lassant. Élodie vint s’asseoir en tailleur face à moi et commença par me faire de petits bisous sages sur le nez, puis alors que, très inquiet, je surveillais du coin de l’œil Anne-Sophie qui enfilait un gant en latex, elle glissa sa langue dans ma bouche et m’embrassa avec fougue. C’est à ce moment que l’autre me pénétra, bougeant d’abord doucement ses doigts dans un lent va-et-vient, puis me massant de plus en plus fermement, appuyant sur des points exquisément sensibles, avec des gestes d’experte.
La vue d’Élodie nue, collée à moi, sa langue dans ma bouche et les doigts de fée d’Anne-Sophie me firent rapidement bander comme un âne, ma queue se relevant par petits à-coups qu’elle accompagnait de la main en me décalottant progressivement, tout en me massant les testicules.
La langue d’Élodie allait au rythme des mains d’Anne-Sophie, ses lèvres sur les miennes m’empêchaient de gémir et ses yeux devenaient de plus en plus malicieux alors qu’elle sentait le plaisir revenir en moi. Je fus rapidement de nouveau dans un état d’excitation insupportable et Élodie fit encore monter la pression d’un cran en se mettant à me caresser les seins.
Je secouais la tête pour lui faire comprendre, j’essayais de repousser sa langue, je serrais au maximum les fesses mais rien n’y faisait et elles continuèrent leur petit jeu, parfaitement en cadence, sourdes à mes appels. Je crus qu’elles avaient décidé de m’humilier jusqu’au bout et de me faire jouir comme ça, pris de toutes parts, devant elles. J’haletais dans la bouche d’Élodie, mes cuisses tremblaient, ma queue ne tenait plus en place dans la main d’Anne-Sophie, c’en était presque fini…
Soudain tout s’arrêta en même temps, me laissant à la fois soulagé de ne pas perdre un peu plus mon honneur, et frustré d’un orgasme qui s’annonçait imminent.
Mais ce repos ne dura pas. Le temps de retirer son gant et Anne-Sophie s’allongea sur le lit, m’attrapant par les cheveux pour me forcer à m’asseoir sur elle. Là, j’en avais plus qu’assez d’être pris pour un vulgaire sex-toy par ces deux détraquées ! D’une main, elle saisit ma queue et la poussa sans ménagement au fond de son ventre. De l’autre elle m’empoigna les testicules et je compris immédiatement qui allait diriger la manœuvre. Pour preuve, j’eus juste le temps d’ébaucher un mouvement des bras en direction de ses seins, qu’elle me broya littéralement les bijoux de famille, me renvoyant immédiatement dans la position de départ. Ça allait être gai !
Même quand elle baise, Anne-Sophie reste pareille à elle-même, aussi chiante qu’efficace. Au début je n’ai pas aimé du tout mais après, c’est devenu incroyablement bon. Elle a commencé par de tous petits mouvements, très contrôlés, ne contractant que son vagin. Puis elle y a ajouté des ondulations des hanches, de plus en plus rapprochées, alors que son bassin se soulevait en rythme, me comprimant à chaque fois la queue contre son pubis.
Quelques minutes de ce traitement et je n’en pouvais plus. Je cherchais la faille qui me permettrait d’imprimer mon rythme pour reprendre le contrôle, mais il n’y avait rien à faire, j’étais prisonnier de ses hanches et de ses mains qui me rappelaient que toute tentative de passage en force était impossible.
Pas un cri, pas un soupir, juste sa respiration de plus en plus rapide. Cette fille est vraiment incroyable, elle fait l’amour comme d’autres s’entraînent pour un marathon. C’est moi qui maintenant gémissais de plus en plus fort, essayant en vain de maîtriser une situation qui risquait à tout moment de m’échapper définitivement. Anne-Sophie continuait de me faire rouler sur son ventre, à son rythme, sous les yeux d’Élodie qui ne ratait rien du spectacle.
Lorsqu’enfin elle jugeât qu’elle avait assez joué et voulut en finir, elle lâcha mes testicules et accéléra, me plaquant sur elle en appuyant de toutes ses forces ses pieds sur mon dos. La réponse fut immédiate : je perdis tout contrôle sur moi-même et alors que son corps d’athlète se contractait, arc bouté sur ses bras rejetés en arrière, jouissant en silence, je me cambrais et, dans un grand soupir, répandais ma semence au fond de son ventre.
J’aurais bien prolongé la chose par un petit câlin, mais Mademoiselle Anne-Sophie n’était pas du genre à perdre son temps. Je fus immédiatement éjecté sur le côté, sans égard ni commentaire, puis les deux filles ramassèrent rapidement leurs vêtements et disparurent dans la salle de bains, ne pensant déjà plus qu’au prix des chameaux à Ouarzazate !
J’en déduisis, désabusé, qu’elles n’auraient plus besoin de mes services pour ce soir, et je me rhabillai en silence, me demandant finalement si tout cela n’était pas qu’un rêve.
Erreur ! Elles ressurgirent tout à coup comme deux petits diables, Élodie toujours aussi excitante avec ses bottes et sa mini robe noire, et Anne-Sophie déguisée en Lara Croft.
- Bon alors, puisque tu voulais tant nous inviter au restaurant, finalement on accepte. On a réservé une table à ton nom. Dépêche, il ne faudrait pas être en retard.
Et elles n’avaient pas fait les choses à moitié. Restaurant grande classe, super repas, mon compte en banque s’en souvient encore. Avec, bien sûr, une carte de poisson.
- Tu vas pouvoir te régaler, il y a du thon !
- Très drôle ! D’ailleurs, à ce sujet, je pense que notre petite discussion de vendredi dernier est close, n’est-ce pas ?
- Va savoir, avec une mal baisée tout est possible.
À part ces quelques amabilités, la soirée fut plutôt agréable. Mademoiselle Anne-So alla même jusqu’à s’adresser à moi en me regardant dans les yeux, c’est vous dire !
Elles parlèrent de tout et de rien mais ne firent aucune allusion à ce qui venait de se passer. À chaque fois que j’essayais d’y revenir, elles détournaient fort adroitement la conversation. J’attendis en vain le dessert, puis le café, puis le moment où l’on dut se quitter. Rien.
Et elles disparurent comme par enchantement à la sortie du restaurant, après un vague au revoir, me laissant seul sur le trottoir.
Inutile de vous dire que je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Dès le lendemain, la routine reprit ses droits au labo. Anne-Sophie redevint pareille à elle-même, ne me prêtant aucune attention, et Élodie recommença à virevolter en tous sens, me saoûlant de bla-bla sans intérêt et n‘en faisant qu’à sa tête.
Dire que ces deux petites pestes m’avaient quasiment violé la veille et qu’elles faisaient maintenant comme si de rien n’était !
À chaque fois que mon regard croisait Anne-Sophie, je la revoyais nue devant moi, et lorsqu’Élodie ouvrait la bouche pour parler, c’est à dire à peu près tout le temps, je croyais entendre ses hurlements alors que je la faisais jouir. C’était à devenir dingue.
Il me fallut plusieurs jours avant de retrouver un minimum d’équilibre et de pouvoir prendre un peu de recul.
En bon scientifique, je me mis alors à analyser méthodiquement ce qui m’était arrivé, recherchant dans mes souvenirs tout ce qui concernait ces deux filles depuis que nous avions commencé à travailler ensemble, recoupant les données, décortiquant leur comportement. Et la conclusion fut sans appel : elles me manipulaient depuis le premier jour. Elles cherchaient insidieusement à me pousser à bout depuis des semaines et avaient sûrement planifié leur petite orgie depuis fort longtemps.
Mieux, il était évident que les choses allaient continuer et que je devais maintenant m’attendre à une deuxième manche. Mais là, je n’avais pas l’intention de me laisser faire. Je décidai donc de prendre la main et de leur en faire baver à leur tour, le jour venu. Mais pour cela, il allait me falloir faire preuve, dans la plus grande discrétion, de beaucoup de perspicacité.
Pas de suite...
Mais elle n'est pas nécessaire non plus... Le texte est assez beau comme cela non?
↧
Profonditude
Ma salope adore se faire démonter le garage
↧
Histoire du net. Auteur Inconnue... Frou frou
Quand on a "ça" dans la peau....
Ça te prends par le bas,
Ça te prend par le haut,
Etc... Ec.....
Madame la directriceMe voici dans ce bouge. Néon de couleur, sono assourdissante, odeurs de frites grasses et de mauvaises grillades, la clientèle qui va avec…
Un samedi soir ordinaire dans cet abominable bar-tabac de banlieue qui fait office de brasserie et où circule toutes sortes de merdes. Les chiottes ou le parking servent de lieux d’échange. Mais ce n’est pas la drogue qui m’attire !
Je n’en prends que rarement et je l’achète plus chère, mais de meilleure qualité, à mon dealer patenté. Le tenancier d’une boîte de nuit chic des beaux quartiers. Non, je suis ici pour satisfaire un autre vice.
Mon vice, la queue !
J’ai besoin de mâles. Tant et plus !
Pas du raffiné, mais du vrai, du brut de décoffrage. Bien macho, un tantinet arsouille. Celui qui vous tronche sans façon ni tendresse. Juste attentif à son plaisir mais capable de vous exploser la rondelle. Je n’en peux plus.
Voici des mois que je me contente des étreintes ordinaires de mes amants ordinaires. Mon équilibre mental exige que je me fasse mettre deux ou trois fois par jour. Minimum ! Si je n’ai pas ma dose, je deviens nerveuse, irritable, détestable même.
Heureusement, j’ai un cheptel de choix grâce à ma boîte de pub. Commode de diriger une grande agence, cela multiplie les occasions. Et comme je suis plutôt bandante, les mecs tombent dans mon pieu facilement. Je recrute de beaux garçons et pas un seul pédé. Que du mâle bien monté et dispo.
J’ai ainsi sous la main une horde de collaborateurs toujours ravis de sauter leur patronne. Et puis, de temps en temps, les clients de l’agence ne sont pas tous ventripotents ou chauves. J’ai horreur des gras-du-bide ! Je n’apprécie la grosseur qu’au niveau de l’entrejambe. Jamais au-dessus !
Non, il arrive que les grandes entreprises qui font ma clientèle me fassent cadeau de superbes étalons qui me ravissent le temps de monter une campagne. Il y a aussi les hommes politiques ou les stars du show-biz.
De temps en temps, il y en a qui ne sont pas complètement nazes et baisent comme des divas. Sans compter les rencontres de hasard, un soir de théâtre ou dans les boîtes de nuit. Si je ne jouissais pas comme la dernière des grosses cochonnes, je pourrais passer pour une nympho, mais voilà, je jouis, je jouis, je jouis. Je ne vis que pour jouir.
J’ai trente-cinq ans et de bons revenus, je suis au summum de ma beauté et de ma carrière, toutes les frasques me sont permises. Tant que les hommes sont à mes pieds !
Mais il m’arrive de penser avec terreur au moment où l’âge me rattrapera. J’ai croisé la semaine dernière le responsable com. d’une grande société de transport aérien. Un ancien pilote, la quarantaine sportive, de superbes yeux gris et un sourire ravageur. Comme vous pouvez le voir, contrairement à ce que disent les mauvaises langues, chez les hommes, je ne m’intéresse pas qu’à la bite et aux performances sexuelles. Il faut aussi qu’ils aient du charme et du caractère. Et tant qu’à faire, qu’ils ne soient pas trop cons.
Deux heures après il me montrait sa maîtrise dans le maniement du manche à balais et me faisait faire des loopings au fond des cieux. Une semaine que je plane matin, midi et soir. Je pense même qu’entre-nous les choses pourraient devenir sérieuses. C’est déjà le plus si affinités.
Pourtant, ce soir, il faut que je satisfasse la part obscure de ma sexualité. Quel que soit le nombre de mes amants du moment, quelle que soit leur qualité, et quelle que soit l’intensité de mon plaisir, vient l’heure où je dois me plonger dans le vice et la violence.
Les occasions de débauche ne manquent pas à Paris me direz-vous. Il y a même de jolies partouzes où l’on peut se faire tringler une demi-douzaine de fois par de charmants jeunes gens ou des messieurs portant encore beau. Je ne dédaigne pas ce genre de délires.
Mais trop de gens que je croise par ailleurs, vie professionnelle ou relations sociales, pour que je puisse aller au bout de mes fantasmes et de mes pulsions. Mais ici ces hommes sont des gens de mon monde. Aussi lubriques soient-ils, ils restent relativement courtois et policés.
Pas de quoi me donner les frissons de la terreur et de l’abjection qui seuls me font atteindre le nirvana. J’ai essayé les soirées SM pour tenter de satisfaire mes instincts et mon goût de la souffrance.
Des manoirs isolés dans les environs de Paris, les catacombes, toujours tendance depuis trente ans, parfois des lieux un peu moins convenus comme les quais ou un bateau sur la Seine accueillent ces soirées plus prétentieuses que véritablement spéciales. Cela n’est qu’un pis aller.
De belles mises en scène pour des pratiques ritualisées. Trop de beau linge pour que ces exhibitions satisfassent mes fantasmes et mes pulsions. Des perversités bourgeoises où les victimes, quand il y en a de véritables, sont immanquablement de pauvres types ou des pétasses qui pensent changer de monde en se prêtant aux caprices de gens fortunés ou puissants.
Quelques heures, ils sont amusants mais vite si désespérants, leurs douleurs et leurs cris vite lassants. Le jus du citron extirpé, ils sont rejetés à leur néant. C’est le destin du commun des mortels, ne jamais sortir des ténèbres extérieures.
Ces nuits, sont tellement codifiées et ritualisées, leurs participants si prévisibles et si timorés que je suis devenu bourreau faute d’être une victime parfaitement comblée.
J’ai trouvé la solution, en faisant mon marché dans les banlieues les plus crades de la couronne. Je peux m’éclater dans les bras des petits caïds qui se croient des hommes parce qu’ils dealent et portent un flingue. Avec eux, je peux me rouler dans la fange, dans leurs bras, je me fais massacrer et ils m’arrivent de craindre pour mon intégrité physique. Les coups, la violence et la contrainte n’ont plus rien de simulé et moi je connais le grand frisson.
Ce soir je vais me goinfrer de petits voyous. Ma cure de honte et de chienneries. J’ai un besoin maladif de sexe crapuleux. De temps en temps il faut que je satisfasse mes instincts les plus bas. Je suis une salope. Une garce qui a besoin pour jouir totalement de s’abaisser à des étreintes sordides, brutales et multiples.
J’ai découvert les plaisirs de l’ignoble, voici deux ans, à l’occasion d’une série de photos de mode pour un magazine féminin très branché. Nous devions présenter des fourrures de prix. Un de nos créatifs a eu l’idée de génie, la banlieue et ses bandes. L’argument : des filles nues sous leurs fourrures dans des décors sordides et pouilleux et à chaque fois entourés de gamins de plus en plus déchaînés et de plus en plus menaçants. La première photo une panne de voiture au pied d’une HLM, la dernière, un simulacre de viol dans une cave crasseuse. Débile mais porteur.
Le concept a eu un énorme succès chez les commanditaires et ce numéro a battu tous les records de vente. L’érotisme des photos et des situations n’avait pas échappé aux lectrices. Et surtout aux lecteurs qui furent plus nombreux que les filles à se procurer leurs exemplaires des mésaventures de trois écervelées égarées dans une banlieue chaude. Nous avions réussi onze pages juste aux frontières de la pornographie et du fait divers graveleux.
Il faut dire que les modèles tremblaient réellement de trouille et que les figurants étaient de vrais loubards. Par précaution, nous avions osé un casting original, trois starlettes du porno faisaient le mannequin. Les professionnelles avaient toutes refusé de s’exhiber dans des postures et des situations impudiques et violentes. Une équipe avait soigneusement préparé les lieux et recruté les comparses. On les a bien payés et une douzaine de gros bras canalisait leurs ardeurs. Tout était resté sous contrôle, mais limite.
Sauf pour moi… À cause de moi ! Il était dix-sept heures. Depuis une bonne heure, on tournait la dernière scène. Des centaines de photos pour n’en garder que deux. Les trois filles et huit voyous. Christèle et Johanne sont ligotées et jetées à terre. La première, bâillonnée, porte un manteau de vison rasé, et sa mise défaite dénude une épaule et un sein. La seconde porte une veste d’agneau doré trop courte pour ne pas dévoiler ses ravissantes fesses qu’un beau nègre reluque sans scrupule.
Il a les mains sur sa ceinture comme s’il allait enlever son falzar. Quant à Séréna, une superbe black, agenouillée sur un matelas couvert de taches (bravo les décorateurs), ils sont quatre à la frapper ou à la menacer de couteaux et son manteau déchiré s’est largement ouvert sur ses trésors.
Difficile de tenir les mecs pour qu’il ne la viole pas pour de bon. Dans un coin, l’un d’eux avait sorti sont engin et se branlait sans complexe. Sévir n’aurait fait que mettre de l’huile sur le feu. Les monteurs se démerderaient pour squeezer les images trop hard. Inutile de préciser que j’étais dans un état d’excitation…
Pour la troisième fois de l’après-midi j’entraîne à l’écart un des garde du corps. Un beau nègre avec des paluches et des panards qui me font espérer… J’ouvre sa braguette et j’enfourne ma main dans sa culotte. Pas déçue la belle Karine !
La bite tient ses promesses. Un bon vingt centimètres et la dureté de l’acier. Furieuse la belle Karine ! Je l’ai pas doigté trente seconde qu’il m’inonde la main et s’en met plein le slip.
Incroyable le nombre de gaillards qui éjacule comme des lapins. En fac, j’en avais connu un comme ça. Il n’y avait que la couette qui avait profité de ses libations. Il m’avait éjaculé en pleine gueule avant même que mes lèvres l’aient touché.
Je lui fous une claque et le renvoie sur le plateau, le temps de remettre les bretelles de ma robe à la bonne place. L’agence de sécurité n’a pas intérêt à me le refourguer ce nullard.
Je n’ai pas le temps de me rajuster qu’ils sont trois autour de moi, sortis de je ne sais où. Des beurs ni très propres ni très beaux, mais déterminés. Ils m’entourent, ils me pressent. L’un d’eux se frotte contre moi. Je sens sa bite contre mon ventre, bon dieu, ça me retourne.
- Ahmed, t’as vu la meuf
- Dommage, un peu vieille !
- Sûr, mais un sacré petit lot répond le second.
- C’est mignon tout plein, renchérit le troisième. Touche un peu ces nibards, du premier choix.
Il a déjà glissé sa main dans mon décolleté. Cinq doigts me malmènent le sein droit. Malgré moi je frissonne.
- Et chaude avec ça la salope, s’écrit l’un d’eux.
- Normal, à cet âge, c’est des vraies chiennes !
- Elle aime ça ! Même qu’elle voulait se faire tirer par un nègre.
- Encore une qui croit qu’ils l’ont plus grosse.
Une autre main me pelote l’autre sein.
- Viens Mahmoud, y en a pour tout le monde.
Difficile de lutter avec une robe rouge minimaliste. Si étroite que je déborde de partout. Quand je marche, les cuisses se dévoilent jusqu’au revers des bas, et les boutons du corsage sont assez ouverts pour qu’on plonge les yeux dans mon sillon mammaire.
Les basques me collent si bien aux fesses qu’ils ont vu que je n’ai plus de culotte. Voilà belle lurette qu’elle a fini chiffonnée en boule dans mon sac, toute trempée de la mouille et du foutre qui me coulaient de la foufoune. Et mon string de rechange a suivi le même destin quand je me suis fait tringler une seconde fois par un photographe. Nous avons d’ailleurs convenu de nous revoir, il veut faire des photos cochonnes de moi.
J’ai peur, j’ai honte et j’aime cette peur et cette honte. 95 C et pas une faiblesse, ils se régalent les petits cons. Et moi aussi. Malgré mes craintes et une certaine gène devant cette attaque imprévue et brutale, mes pointes durcissent, mes seins démangent et s’échauffent. Je sens que je m’alourdis contre eux. Ils le sentent également et se font plus pressants.
- Elle en veut cette pute, tu sens comme elle tremble.
Dans mon dos, une main se glisse le long de sa cuisse, passe les jarretelles et se perd vers mon entre-jambe. Malgré moi je gémis un peu quand ses doigts toquent à l’entrée de ma vulve détrempée.
- Putain ! elle a la cramouille toute chaude et pleine de jus. Je te l’avais dit, elle a même pas de culotte.
- Écarte les cuisses que je te fourre mieux.
Je commence à m’affoler. Je me débats, je tente de fuir. À mon tour de prendre une mandale. Hélas, mes cris n’alertent personnes. S’ils les entendent, mes collaborateurs m’imaginent en galante posture.
Un vrai coup, méchant et vicieux. Et moi, je suis presque au bord de la syncope tellement ça m’a fouetté le ventre. J’ai aimé sans pouvoir leur cacher. Ils se sont déchaînés.
Me voici immobile et soumise. Inutile de lutter, ils sont trois et chacun est bien plus fort que moi. Et puis une main qui grouille sur mes lèvres et deux autres qui pétrissent mes seins, forcément je ne suis pas insensible.
Le haut de ma robe est tombé libérant ma poitrine qu’ils dévorent d’une bouche avide. Je me laisse même embrasser sur la bouche.
- T’as vu cette pute, elle veut de la bite.
Derrière moi, le troisième, dont j’ignore le nom, a retroussé ma jupe sur mes fesses nues. Il continue de me fourrer la chatte. J’ai fini par écarter les cuisses comme il le souhaitait. Trois doigts vont et viennent, rugueux et maladroits. Grisant !
- Sûr qu’elle va en avoir de la bonne grosse bite.
- Un paquet tu veux dire.
- On va lui exploser sa petite chatte de blanche.
Quelques mouvements sporadiques. Il a sorti sa pine de sa braguette et le presse sur ma croupe. Une belle trique, dure, impérieuse, impatiente. C’est malin, j’ai le cul en feu.
Malgré leurs airs de matamores, ils sont timides. Ils sont si jeunes. Mahmoud, le plus vieux n’a pas dix-huit ans. Et dire que je serai accusée de détournement de mineurs si on me surprenait presque à poil, en train de me faire à moitié violer par ces trois petits cons.
Ce crétin se masturbe dans la raie de mes fesses. Il me tient par les hanches et son membre dressé s’écrase entre les globes charnus en une lancinante et frustrante caresse. Je n’en peux plus. Je me courbe davantage pour faire saillir ma croupe, je glisse une main entre mes cuisses et j’empoigne la bite pour la guider où il convient.
Il entre facilement et s’enfonce jusqu’aux couilles. Ses grelots velus tanguent sur le haut de mes cuisses. Il ramone sans se soucier de moi. Il baise comme il se branle, je ne suis qu’un trou, un sac à bites. Je tremble de tout mon corps. La peur, la honte et le plaisir.
- Hé les mecs ! je vous dis pas comment elle est trempée cette meuf ! ? Mais tu la mets, t’es un rapide.
- Non c’est elle qui est rapide. Une vraie salope, elle se l’ait mise toute seule.
- J’suis sûr qu’elle aime autant sucer que se faire sauter.
- On partage ? demande le plus vieux.
Mon fouteur ne dit rien. Il donne de grands coups de reins en gémissant. Ses doigts crochent mes fesses et sa queue me défonce. Il va de plus en plus vite. Si ça continue, encore un qui va jouir trop vite. J’aime, mais je ne suis pas rassasiée.
Sans attendre de réponse le jeune Arabe baisse son jogging et se branle sous mon museau. Une odeur âcre de pine pas très propre. Il soulève mon visage et cherche à m’enfourner son gland luisant dans la bouche.
Je me rebelle. J’ai toujours eu horreur des types qui veulent se faire sucer quand je me fais sauter. Ça gâche le plaisir. Et je me prends une grande gifle.
- Tu dis jamais non, poufiasse !
La joue me brûle, j’ai des larmes aux yeux. Il est grand, musclé, brutale et vulgaire. Finalement il m’excite. Sa bite revient sous mon visage.
- Suce chérie où je te saigne.
Un poignard sur ma gorge. Cette ambiance nouvelle, dérangeante, explosive m’excite aussi. Il me tient les cheveux et frotte sa verge sur mes lèvres. Il sent fort. Il a une verge épaisse et dure. Et moi, je suis toute molle.
L’autre s’active dans mon dos. Profond et rapide. Jamais trop profond mais beaucoup trop rapide. Il se vide en longues giclées juste de quoi me donner une moitié d’orgasme. Une plainte de frustration. Je n’ai pas le temps de l’engueuler, l’aîné en profite pour s’enfourner.
- Oui, c’est ça ouvre ta gueule de suceuse, je sais que tu aimes ça salope !
Il pousse sans ménagement, il me fait mal. J’adore malgré le goût trop fort. Son ventre plat et musclé m’émeut, je le caresse du bout des doigts. Il frissonne. Le troisième, Ahmed, a pris la place de son copain derrière moi. Il est nu.
C’est le plus beau. Son corps à la beauté des corps adolescents. Jusque-là, il ne disait rien et restait en retrait se branlant avidement. Il enlève les restes de ma robe. Un truc de chez Kenzo à mille euros et quelques que je mettais pour la première fois.
Quand je suis nue, il se frotte contre moi. Je sens sa bite qui bat mes fesses et ses mains qui s’insinuent partout. Mon sexe inondé par le foutre de son prédécesseur, mes seins rougis d’avoir été tété et griffé à qui mieux mieux, mes fesses maltraitées…
Ses doigts trouvent mon cul. L’anus s’ouvre docilement quand il enfonce l’index et le majeur. Le bonheur. Je pousse ma croupe pour accompagner sa pénétration et comme je pousse un soupir de plaisir, son compère en profite pour pousser son avantage. Sa bite s’enfourne jusqu’au fond de ma gorge. Je suffoque et je bave, la bouche trop pleine pour avaler ma salive. Au rythme où il lime, c’est son foutre qui va bientôt ruisseler sur mon menton.
Ses doigts s’agitent dans mon anus. Il fouille sans ménagement, en gosse mal élevé. Je gémis de plaisir.
- Si tu voyais son cul, aussi ouvert qu’une chatte.
Pas étonnant gamin, je me suis fait enculer voilà pas trois heures. C’est rodé et parfaitement lubrifié. Sa bite glisse entre mes fesses, un frisson de dégoût et d’excitation me parcourt. Je suis vraiment une chienne. Une terrible secousse, un coup de rein magistral, sa bite me défonce la rondelle. Je me retiens aux hanches de Mahmoud.
- Waou ! Quel trou du cul ! C’est comme ça que j’aime les greluches.
Il pilonne et je beugle. C’est tellement fort que je mords la verge de Mahmoud, et je me prends une baffe ;
- Conasse ! pas les dents où je te bute.
L’un a la queue rivée comme un bâillon dans ma bouche, l’autre va et vient comme un fou. À chaque fois, le boutoir sort presque en entier avant de s’enfoncer de nouveau, toujours plus brutal, toujours plus profond. Une main violente mon sexe, l’autre gifle mes fesses. Ils explosent l’un après l’autre. Le premier dans ma bouche, le second dans mon cul et deux fois je jouis comme une malade.
- Quand tu veux ma belle. On est là tous les jours. On fera venir des copains si tu veux.
Je dois être vraiment folle, j’ai envie de revenir. Et au bout de huit jours, j’étais de retour. C’est là que tout c’est joué et que j’ai basculé. J’avais envie de me faire baiser. Envie de ces simulacres de viols qui n’en étaient pas que dans la mesure où je les recherchais. Où je les provoquais !
Mais quelle honte et quelle inquiétude. Imaginez que ce genre d’incartades vienne à se savoir. Je serais perdue de réputation et de crédibilité. Tout Paris se moquerait de moi. Je les connais trop pour attendre la moindre pitié de ces gens-là. Il va falloir cloisonner.
Un coup de fil à Mahmoud, j’avais noté son numéro de téléphone, preuve évidente de mon aliénation. Nous convenons d’un rendez-vous. Pas votre cave, c’est trop glauque… … Je passe vous prendre à 20 heures au métro Stade de France. On file à ma campagne.
Mon idée n’est pas fameuse, mais je n’ai pas eu le temps de fignoler un plan. J’ai une baraque paumée dans la nature du côté du Vexin. Sauf cata, j’y serai tranquille. Parfaitement tranquille. Ils sont là, en plus nombreux. Cinq !
Ce n’est pas pour me rebuter, mais cela va compliquer les choses. Difficile de tout garder sous contrôle avec des “grands” qui vont vouloir jouer aux caïds devant leurs cadets. Il y a en effet là deux grands frères venus profiter de l’aubaine. Une bourge déglinguée et bien foutue qui veut se faire sauter. Un truc à ne pas louper. Il y a Djamel, le “frère” d’Ahmed et Johnny (sûrement un surnom), le “frère” de Râd, celui dont j’ignorais encore le nom.
Voici ce petit monde embarqué. Les grands à l’avant, Johnny à mes côtés… Les gamins à l’arrière. Ma grosse Mercedes les fait bicher. J’en étais certaine. Je l’avais choisie pour cela. J’entends déjà leurs petits cerveaux qui s’emballent. Clic-clac, clic-clac, clic-clac, ils cherchent quand et comment me la piquer. Pourvu que l’envie de me baiser soit la plus forte. Ça serait con que leur précipitation m’interdise de prendre mon pied.
Car j’ai pris quelques précautions. Le sexe abrutit moins les femmes que les hommes. Quand ils bandent, leur queue leur sert de cerveau. Même le cul trempé une fille garde un peu de jugeote. Tout va bien, l’envie de me niquer est la plus forte.
Je dois reconnaître que le manteau de renard et la robe de cocktail que j’ai achetée dans un magasin Dior est un vibrant appel au viol. Trop serrée, trop courte et trop décolletée, elle les sidère quand j’enlève mon long manteau de fourrure avant de remonter en voiture. Ce serait une belle litote de dire qu’elle mettait mes seins et mes jambes en valeur. Elle était proprement (si j’ose dire) racoleuse.
D’ailleurs, quand je l’avais essayée, la vendeuse s’est un peu laissée aller. Bien que je n’aie qu’un goût très modéré pour les gousses, j’avoue que j’ai aimé sa façon de me brouter le minou pendant que je l’essayais. Un vrai traquenard cet essayage.
Sitôt mon coup de fil, je m’étais mise à la recherche d’une tenue adaptée aux circonstances. Mon importante garde-robe ne contenait que des vêtements coûteux et raffinés, pas vraiment adaptés à la chasse du loubard de banlieue. Mais je voulais me faire ravager une toilette de prix sur le corps en me faisant défoncer comme une femelle en chaleur.
À vrai dire, je n’avais pas choisi ce magasin spécialisé dans la lingerie et le vêtement sexy tout à fait par hasard. Le haut de gamme. De la fringue pour call-girls de luxe ou bourgeoise à la page. Genre comment vivre une sexualité épanouie. Vous savez, le marronnier le plus éculé de la presse féminine. Nous nous y fournissions de temps à autre pour accessoiriser certaines publicités. Les belles blondes un rien pute continuent de faire vendre malgré les campagnes féministes. La femme-objet se porte bien.
Claire, la jeune et ravissante gérante me rend parfois service, histoire d’arrondir ses fins de mois. Dans la pub comme ailleurs, les belles filles délurées et capables d’égayer la soirée d’un gros client sans avoir l’air de professionnelles sont précieuses.
En fait, c’est une fieffée salope. Elle fait ça autant pour le plaisir que pour le fric, car les situations scabreuses ne manquent pas quand on “escorte” certaines personnalités un peu déjantées. Leur notoriété ou leur richesse les a libérées de toutes inhibitions, elles plongent à corps perdu dans leurs fantasmes et leurs folies.
- Gaëlle ! Quelle heureuse surprise… … Que puis-je pour toi ma chérie ?
Quand je lui eus précisé que je cherchais une tenue chic pour soirée canaille, elle eut un sourire entendu et me dit :
- Oh ! Oh ! J’ai ce qu’il te faut. Une robe de Dior. Un truc immettable qui vient juste de rentrer. Laurent, va me chercher dans la réserve la nouvelle robe de cocktail.
Une robe magnifique. Craquant le petit vendeur. Et délicieusement effronté. Dès mon arrivée, il m’a reluquée avec une insistance charmante. Comme je contemple son beau petit cul, impeccablement moulé dans son jean quand il s’éloigne, Claire me lance un clin d’œil.
- Le travail est épuisant, faut bien se délasser de temps à autre. Et puis certaines clientes sont sensibles à la qualité et à l’attention du service.
- Je sais, je sais… Mais tu as de la chance, il est si difficile, de nos jours, de trouver du petit personnel de qualité.
- Oui, mais j’ai des arguments très convaincants quand je recrute.
Nous rions aux éclats. Il m’apporte la robe comme un trophée. De la soie et du satin, léger et doux. Du beau, du très beau. Le prix est en rapport avec la qualité. Il me drague ouvertement.
- Si Madame le désire, je peux l’aider.
- Laisse-nous Laurent, Claire est une amie, je m’occupe d’elle personnellement.
Elle m’entraîne vers une cabine d’essayage. Comme le magasin est vide, elle “oublie” de refermer la porte. De dos, Laurent nous regarde dans un vaste miroir. Une situation qui n’est pas pour me déplaire. Entre autres perversions, j’ai celle d’être un tantinet exhibitionniste et très allumeuse.
Si Laurent veut jouer les voyeurs, tant pis pour lui. Car à cet instant, j’ai plus envie de le torturer que de me faire sauter. Je porte un ensemble tailleur de la Bonne Renommée, une maison que j’aime beaucoup. Patchwork de ton ocre, prune, kaki, rouge et marron, rehaussé de rubans et de broderies “ethniques”, l’ensemble est très seyant, de bon ton mais aguichant car la jupe longue se fend jusqu’en haut de la cuisse.
Je déboutonne la veste. Elle tombe vite pour libérer un soutien-gorge de soie et de dentelles qui a beaucoup de peine à contenir mes seins. Claire les regarde avec une convoitise sans ambiguïté, mais qui me surprend. Je la savais insatiable en matière de gus, je ne lui connaissais pas ce penchant saphique. Je fais lentement glisser ma longue jupe.
Me voici avec un string très, très, très exigu et les jarretelles coordonnées, dentelles couleur prune et lilas. Mes fesses sémillent à qui mieux mieux. Les bas fumés gainent joliment mes jambes que j’ai longues et voluptueusement galbées. Le reflet de Laurent s’apâlit dans le miroir et les yeux de Claire brillent d’une lueur vicieuse. Je commence à aimer cet essayage.
J’enfile la robe rouge avec difficulté. Elle est un peu trop petite. Un modèle de salon pour mannequin rachitique. Je ne suis pas grosse, mais j’ai des fesses et des nichons qui font bander les mecs. Et j’en suis très fière. Pas seulement fière, ravie aussi. La grâce de mes appas me vaut bien du plaisir. Les hommes ne seraient pas si nombreux à vouloir me sauter si je n’étais pas aussi bien balancée. C’est un des moments que je préfère dans l’amour, quand le désir illumine la prunelle d’un homme. C’est là qu’ils me font craquer. Une sorte de réflexe de Pavlov, leur désir déclanche le mien. Enfin… s’ils sont bandants.
Et cette lueur vient de d’allumer les yeux de Laurent. Dans ceux de Claire également.Une sourde chaleur s’éveille entre mes cuisses. Je devrais être en mesure de faire face aux aléas de la situation. Avant même que j’ai fini d’enfiler la chose, il devient évident que le port du soutif est incompatible avec les audaces du bustier lacé. Il laisse le dos nu et fait pigeonner les nibards. Je me déleste du disgracieux accessoire.
Un moment je suis presque nue, et très excitante, perchée sur mes hauts talons et juste “déshabillée” d’un string et d’un porte-jarretelles. Mon image dans la glace qui m’offre à la convoitise de Laurent est des plus obscènes. Son jean moulant ne cache rien de son érection. À voir la bosse, c’est une belle bite. Le contraire m’eut étonné de la part de Claire. Elle est comme moi, elle les aime avantageuses. Les grosses bites offrent mieux matière aux fantasmes. Et l’on aura beau dire, quand on a une dans le trou de balle, la taille fait la différence. Une belle et bonne !
Mais même ainsi, elle est un peu trop moulante. J’ai quelque peine à canaliser l’entièreté de mes roploplos dans l’étroitesse du bustier. Quand le droit est rentré au bercail, c’est le gauche qui se fait la malle. Et tout va de mal en pis si j’ose dire, car le mâle de service rougit dangereusement.
C’est délicat à cet âge. Faudrait pas qu’il me fasse une crise d’apoplexie. De mal en pis je vous dis ; Claire prend prétexte de la situation pour venir à mon aide. Elle commence par délacer le bustier pour mieux y enfermer les rebelles mamelles. Le seul résultat tangible de cette initiative malheureuse c’est qu’ils jaillissent allégrement de leur fourreau. Les voici qui prennent l’air au risque de prendre froid. La fluxion de poitrine ça vous arrive si vite que Claire, pleine de sollicitude, les emprisonne de ses deux mains.
L’effet est garanti, ils deviennent brûlants. Il lui faut dix bonnes minutes à les tordre et à les presser en tout sens pour les refermer dans leur étui. Sous son apparente maladresse, elle fait preuve d’une maestria étonnante. Si maladroite qu’elle pince l’un après l’autre les mamelons. Et moi qui ré-pète que les femmes me laissent indifférente, je me laisse faire. Pas un geste de fuite, au contraire. Et je tremble, et je vibre et je gémis doucement.
Mon string est trempé, mon ventre fait d’étranges borborygmes. Des bruits d’eau et de d’orage. J’aimerais qu’elle aille plus loin, qu’elle les suce, qu’elle m’embrasse, qu’elle m’enlève cette foutue robe et me fasse l’amour au milieu du magasin. Laurent vient d’ailleurs de fermer la porte à clé. Mais non, Claire reste de glace. Elle me tripote sans laisser percer la moindre émotion. Juste une habilleuse qui s’occupe de sa cliente. Et voici ma poitrine enfin canalisée.
Les lacets resserrés font bouffir mes deux seins dans la profonde échancrure. Ils frissonnent et démangent. Mais Claire semble indifférente à mon état fébrile. Heureusement, le contact de la soie est divin. Ce tissu a une douceur et une souplesse qui en fait un suave et caressant écrin. Mais elle est si étroite qu’elle cisèle les tétins. La robe colle à ma peau, je suis plus nue que nu. Quelques pas et je vois le dessin du slip et les jarretelles qui dépassent du bas de la jupe. - Splendide ! s’écrit Laurent, Mademoiselle, vous êtes superbe.
- C’est gentil, mais j’en doute ! Regardez-moi tous ces plis disgracieux.
Claire intervient:
- Elle te va comme un gant, mais sous un gant, on ne met rien. Tu devrais supprimer la culotte et mettre des bas sans jarretelles. Si j’ai bien compris l’usage que tu veux en faire, ça sera pas plus mal comme ça !
Vu sous cet angle, elle n’a pas tord. Vu sous l’angle qu’elle adopte, encore moins! Claire est à mes genoux. Ses mains entourent mes chevilles. Mains chaudes, pleines de patience et de douceur. À travers le voile de mes bas, elles flattent le mollet, toujours indifférentes et attentives. Mains qui chuintent, jambes qui frissonnent !
Je m’ouvre doucement, presque aussi sournoise que ses mains. Hélas, mes faux-semblants ne peuvent la tromper. Elle a le nez à hauteur de mon sexe et hume à loisir mes odeurs affolées. Et puis que m’importe. Je veux trop ce qui va suivre même si je fais semblant de l’ignorer encore. La voici qui passe le genou. Lente, douce et patiente ! Toujours lente, douce et patiente ! Et toujours hypocrite ! Un effleurement du bout des doigts juste au creux du genou. Négligent! Dédaigneux! Et moi j’ai le jarret qui plie et la jambe qui tremble.
Elle s’attarde là où elle me sent déjà vulnérable, encore loin de l’ourlet de ma jupe ras de touffe. Même si elle m’entrave, cette jupe est une merveille à porter. La soie en est aussi caressante et douce que ses mains. Mes cuisses s’écartent plus visiblement. De toute façon, je soupire et je vacille trop pour rester discrète. La chaleur de mon ventre me monte au visage. C’est délicieusement inconfortable. Moi si hâtive en amour, je redécouvre le plaisir musical des préliminaires.
Une femme, pleine de douceur, de patience et de lenteur me fait redécouvrir ce long glissement qui conduit d’un palier vers un autre dans l’échelle du désir. Ma jambe lui sert de gamme, mon désir monte de ton avec sa main. Elle non plus ne cherche plus à dissimuler.
Mes chevilles, mes mollets, mes genoux et toujours et encore mes genoux. Le creux du genou qui me fait défaillir et gémir. Mains vagabondes et habiles ! Main audacieuse aussi, L’une d’elles se hasarde jusqu’aux attaches et au-delà du porte-jarretelles, là où la peau la brûle. Je me pâme sous cette longue et lente caresse qui fuse. Je voudrais m’ouvrir davantage, mais l’étroitesse de ma robe m’en empêche. Une entrave qu’elle se garde d’abolir.
La caresse se fait plus précise, mais l’entrave nous excite autant que la caresse. Nous partageons le même délice frissonnant de vouloir et de ne pas pouvoir. Oh le merveilleux plaisir de vouloir se donner et d’en être empêchée ! Comme lassée par l’obstacle, sa main redescend sur mes pieds qui s’émeuvent et chancellent sur leurs hauts talons.
Elle devrait me soutenir, elle sent bien que je perds pied. Elle branle mes chevilles et miracle, c’est tout là-haut, entre mes cuisses, que résonne sa caresse et coule mon plaisir. Je bave tellement que j’ai le haut des cuisses trempées et soupirant.
Une de ses mains se décide à vérifier. Elle passe sous ma jupe et frôle mes cuisses, se glisse par l’étroite fourche de mes jambes pour atteindre cette frontière magique où la cuisse n’est plus la jambe mais pas encore le sexe. Elle s’y promène, juste à l’articulation, à la bordure des premiers poils, sans jamais se hasarder à la source de ces eaux qu’elle apprivoise. Sa main va vite, je suis docile.
L’autre la rejoint et roule la jupe sur mon ventre pour me libérer. Je l’attends en moi. Elle s’attarde, joue avec les jarretelles, savoure la peau entre le nylon et la culotte de soie. Je me tortille, je m’entortille en espérant qu’elle me titille là où je l’espère. Elle verrait cette garce comme ma chagatte lui boufferait la main. Mais rien de tout cela.
L’une après l’autre elle détache les pinces de la jambe gauche et roule le bas sur ma cuisse. Lentement, doucement et patiemment ! Je me vide littéralement à laisser mon plaisir glisser avec cette effrayante avalanche. Quand le bas est au pied, je veux le lever pour qu’elle libère ma chaussure et l’étoffe. Une petite tape m’en dissuade.
Et Laurent nous regarde et je suis heureuse de m’exhiber, et je suis heureuse de savoir que je l’excite. Et Claire dégrafe les jarretelles et roule l’autre bas sur au long de la jambe droite. Encore plus lentement, encore plus doucement, toujours plus patiemment ! La tortue des sophistes. Et je mouille, je délire, je m’agite, je me tords, je me cambre et m’affaisse. Je dois pleurer un peu......
Pas de suite....
↧
Ils reviennent de temps en temps la voir.... Redif.....
↧
↧
Brèves Dominicales....
De surprises.......
Wesh les mâles… bien ou quoi ?
J’me présente vite fait : oim c Djamel 33piges 180/70, teint mate avec un bon gros zobi de 21/6 entre les pattes :-P
Depuis quelques mois, j’ai mon meilleur ami du bled, qui vit chez oim pour changer de vie. Là-bas il avait une vie de m…., sans taf, il avait sa famille à charge..Je lui ai trouvé un boulot ici à Paris, et il crèche chez oim en attendant d’avoir assez de tunes pour s’prendre un appart à lui…
J’taf comme démarcheur pour une grande boîte et du coup, j’suis pas souvent chez oim, s’qui permet à Nordine de bien profiter de l’appart… et croyez-moi il en profite un max : Nordine c’est un beau mâle de 26piges macho et il fait baver les meufs comme les p’tits cefrans de la téci
Un soir, je suis rentré avec un jour d’avance… j’arrive sur le palier et là j’entends des gémissements et des voix venant de mon appart. De suite, j’me dis : il mate un film de boules, mais il pourrait au moins mettre moins fort ce con… !!!
J’rentre et là je le trouve à 4 pattes sur la table basse avec des keumés entrain de lui faire sa fête bien comme il faut
Il dégage le tismé qui lui fend la chatte en deux et se précipite vers oim… :
- Ecoute Djam, il faut que je t’explique… steuplé ! Il faut que j envoie du blé chez oim et c’est la seule façon que je connaisse pour m’faire un max de tunes en peu d’temps…
- Ok fini s’que tu as commencé oim j’file sous la douche…
J’avais même pas ouvert les robinets que je l’entendais gémir et encourager les keumés à bien s’occuper d’lui et de bien s’lâcher. A s’moment là j’ai pensé… c vraiment une tépu c’Nordine, j’aurais jamais pensé… J’vais pour rentrer dans la douche et là j’baisse la tête et j’mate ma bite dure et mouillée
A peine sec… je file au salon et j’mate un autre keum (que j’ai déjà aperçu ici dans la téci) lui bourrer la chatte à grands coups de bite pendant qu’il suce les deux autres zgeg en même temps s’qui fait durcir mon sboub encore plus…, même si en réalité c’est impossible.
Il fait davantage la chienne de garce et me quitte pas des yeux un seul instant… Là Kamel (le mec que j’ai déjà vu) m’interpelle et me dit :
- Wesh man, viens mater ton coloc s’faire tourné comme une lopsa
Là Nordine descend de la table à nouveau, se mets à mes pied, tire sur la serviette qui m’entrave encore la taille et englouti direct ma teub en fond de gorge. Putain il a une bouche bien profonde et je mate dans ces yeux qu’il kiffe ca m’sucer.
Les mecs se rapproche de nous et décide de lui faire une double. Kamel et le tismé veulent rentrer en lui à deux et rien qu’à cette idée Nordine me pompe encore mieux qu’au début. J’le mate et lui crache sur la face en lui disant…
- T’es vraiment une morue toi, et il m’réponds
- C’est clair et t’as encore rien vu Djam
Les mecs entrent dans son minou avec un peu de mal, mais lorsqu’ils y arrivent… Karim (le dernier) lui travaille les tétines et lui appuie sur les épaules afin qu’il s’enfonce bien comme il faut sur les deux queues qui lui ouvre sa chatte. Nordine lâche mon zgeg pour gémir et excité la fente de la pine à Karim pour passer à la mienne et vice versa.
Le tismé et Karim le bourrine grave et ca le fait gémir toujours plus… Ils donnent de sacré coups de queue au fond de son cul affamé se qui prévient Nordine qu’ils sont prêt à largué la sauce.
Nordine se cambre encore plus afin de leur laisser le libre accès à sa chatte et ils commencent à grogner comme des porcs se qui nous fait comprendre qu’ils sont entrain de lui engrosser la chatte (à travers les kpotes bien sur). Ils se vident bien dans son trou et ressorte alors qu’ils sont encore bien durs.
Karim excité ne tarde pas à lui jouir sur la face… Il reçoit un paquet de yop sur le visage et Karim s’empresse de l’étaler avec son sboub tout en lui crachant à la gueule en le traitant de chiennasse.
Nordine n’as pas encore joui que les keumés se rhabille et se casse et disant :
- Putain ça valait bien la tune qu’on t’a filé pour te tourné la tépu, c’est quand tu veux pour recommander lopsa.
A peine les keumés ont passé la porte que je l’attrape par les cheveux et l’emmène sous la douche. Je lui crache dessus et op direct la ssepi commence à lui arroser d’abord le torse et je remonte pour lui crader aussi la face et ca bite qu’il a bien dure (elle fait 19/20 et bien épaisse pour une morue qui s’fait emmanché par des inconnus).
Je voulais l’humilier et ça m’excitais grave de lui faire subir ça après l’avoir vu se comporter comme une chienne avec ces mecs tout ça pour du fric.
A peine la dernière goutte sortie il m’pousse et s’empale direct sur mon sboub et se la prend direct au fond… miam. Si ca bouche et profonde, son cul est ouaou, EXCELLENT !!! J’ai pas l’impression qu’il y a un quart d’heure il s’faisait démonter la chatte par deux queues. Il s’excite les tétons et se fait jouir sur mon torse, s’qui m’déclenche ma jouissance.
Je suis vidé et lui aussi. On prend notre douche ensemble sans rien dire, puis on file chacun dans notre chambre pour aller dormir…
De surprises....... en surprises
La femme de mon pote est une salopeJ'en riais déjà, j'allais surprendre Damien pour son anniversaire, en rentrant chez lui en douce dans son superbe appartement du 12ieme, j'allais le surprendre et lui donner cette montre sur laquelle il bavait depuis des semaines.
J'étais entré avec l'aide la concierge qui m'avait laissé quand mon portable vibra :"alors t'es où vieux filou ! On est tous sur la terrasse du café Gunot à t'attendre !"
C’était jacques : ma surprise était plus que raté une vraie bérézina.
"Quoi t'es chez moi (rires) mais y'a personne ma femme est chez sa copine et moi je t’attends avec les autres potes comme un con depuis 1 heure !!"
Je raccrochais quand un bruit venant de l'appartement me glaça : un voleur ?!
Je me baissais d'instincts quand j'entendis un cri, ou plutôt une sorte de gémissement, je me dirigeais à pas feutré vers la source qui m'emmena à la chambre de Jacques et me rapprochant, les cris étaient décidément des gémissements : et oh surprise je découvrais Mathilde la femme de jacques couchée sur le lit et les jambes écartées se faisant dévorer l'entre cuisse par un jeune et bel arabe très musclé !
Incroyable ! Mathilde cette petite bourgeoise sexy il est vrai mais tellement bcbg et amoureuse de Jacques, se faisait bouffer la chatte par ce jeune homme qui en profitait pour lui parler plus que sèchement.
Alors qu'elle gémissait de plaisir par les caresses buccales reçu du jeune homme celui ci marmonnait:
- hum tu aimes ça hein petite salope… ça te plait que je te bouffe ta chatte dégoulinante, ma parole t'es une vrai fontaine …"
Elle serrait les dents et balançait sa tête en arrière totalement sous le contrôle du plaisir :
- Attend prend ça dans ton cul et ta chatte de pute… ahh alors sale pute tu aimes te faire bien embrocher comme ça ?"
- Oui oui" répondis t'elle en grimaçant ne cachant pas son plaisir et sa servitude.
- Je vais te défoncer le fion salope, je vais te prendre ton petit cul de mère de famille salope et tu vas en redemander n'est ce pas ?"
- Oui oui prend moi comme une salope…" répondit elle dans un souffle court et à ma grande surprise.
L’homme se redressa alors et ôta son maillot moulant se mettant à genoux sur le lit devant Mathilde ouverte.
Elle se redressa et sortant la queue du jeune de son pantalon, une belle queue bien large et longue elle se mit à le sucer comme une pute avidement, avec envie et entrain caressant ses couilles et aspirant.
Cette attitude de salope sembla surprendre et plaire à son jeune étalon qui sans ménagement lui tint les cheveux et se mis a lui baiser la bouche à coups de reins puissants dans sa bouche soumise qui avait de nombreuse fois embrasser mes enfants.
Elle gémissait et semblait souffrir de cette violente pipe qu'elle subissait, il lui forçait sa bouche a coups de queue et lui baisait même la gorge, elle semblait vouloir le repousser, mais il continuait…
Le bruit était obscène … elle gémissait ou râlait en plus de cela et lui grognait en lui baisant ainsi sa délicate bouche.
Puis se calmant il dit :
- Espèce de salope tu aurais aimé que je t'envoie tout dans la gorge hein… mais je veux te remplir le cul je veux te prendre ton fion de salope et bien sentir ma queue te dilater le cercle salope !"
Disant cela il cessa de lui défoncer la bouche et ELLE toute seule se tourna à 4 pattes sur le lit appuyant sa tête sur ce même lit ; lui présentant son cul … l'écartant même me sembla t'il.
Mais quelle salope! Me dis-je en moi même alors que ma queue se raidissait : en effet j'en avais parfois rêvé de son cul, qu'elle serrait toujours dans des jupes droites bien moulantes ou des robes moulantes à souhait. Et cette garce offrait ce bijou à ce type, ce jeune brute qui la rudoyait et l'insultait…
J’en étais comme fou…
- Prend moi comme une pute… dit-elle d'une voix douce et ferme remplie d'un désir que je ne lui connaissais pas… Prend moi le cul il est a toi, défonce moi bien fort…"
ajouta t'elle en frottant sa tête contre le drap comme une chatte trop excitée.
Le jeune enchaina une paire de claque sur son cul blanc et offert qui la fit crier de surprise
- JE décide sale pute !… et tu va en prendre plein le cul ma petite salope!"
Dit il en pointant sa queue à l'orifice qu'elle lui offrait, sur lequel il venait de cracher, et d'un coups sec il la pris ainsi dans son anus entrant en elle de tout son long lâchant un râle de plaisir.
Elle poussa un gémissement et s'accrocha aux draps
La bite de ce type était dans le cul de Mathilde.
- Allez salope ce n’est pas ta première queue dans ton cul… mais putain qu'il est bon et serré salope … écarte bien tes fesses que je te la rentre à fond"
Disant cela il envoya un coups de reins qui n'était que le premier d'une longue série dans le cul de Mathilde qui se faisait ainsi défoncer le cul avec force par ce forcené qui l'abreuvait d'insultes :
- ouche toi salope ! Touche ton petit abricot pendant que je te casse le cul salope, je vais te défroisser ton anus comme une chienne ! Dis-moi que t'aime ça la sentir au fond de ton cul ! Dis le moi !!" lui dit-il alors que secouée par les coups de reins elle se lamentait comme une vraie salope de film porno bon marché.
- Oui oui oui j'aime ta queue dans mon cul tout au fond… de mon cul… oui…"
- Redresse toi sale pute je veux que tu te vois dans la glace alors que ton coursier te casse le cul !"
Disant cela il la redressa et continuait de lui défoncer le pot la secouant et la faisant visiblement jouir comme rarement.
Il se saisi de ses seins ballottant qu'il retira du pull en v qui les tenait et les exhibant il en pressait le bout adroitement ce qui fit venir à Mathilde une grimace de jouissance… elle n'en pouvait visiblement plus, ce jeune homme lui faisait vivre une expérience folle et jouissait de cette sodomie violente bien plus que de raison.
Mais ainsi redressé elle me faisait presque face par le miroir et nos regards se croisèrent pendant l'espace de 2 à 3 secondes alors que secouée par les coups de reins dans son fondement elle tentait de reprendre son souffle le jeune étalons lui susurrant toujours un flot d'insanité à l'oreille vrillant ses seins.
Je me plaquais au mur : interdit. Elle m'avait vu.
Que faire. Je quittais l'appartement en quatrième vitesse et rejoignait mon ami cocu à ce bar où la fête fut si belle…
↧
Pour ceux qui passent leurs vacances au Maghreb
↧
Tour de France
↧