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Ardem: Les Trois soeurs Darnum: Sabarra... Suite.


Ardem: Les Trois soeurs Darnum: Sabarra... Suite.

Obéissance...

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Mon copain est très obéissant
et gentil avec nous....

Histoire du net. Auteur Inconnu. Hard de chez Hard...

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Cette histoire est comme un conte de fée:
Ça commence très mal pour l’héroïne...
Vraiment très très mal..!

Dérive extrême
J’avais vingt-quatre ans quand tout a réellement commencé. Sans famille depuis mon adolescence, je m’étais appliquée à faire de sérieuses études et à vingt et un ans, je trouvai une place de secrétaire dans une grosse société d’import-export.
J’avais aussi connu quelques brèves aventures auxquelles très vite je mettais fin. Cela dura trois ans. J’étais paraît-il fort jolie, ce qui me valait de nombreuses propositions. A cette époque, j’étais assez grande. Je mesurais un mètre quatre-vingt, mais j’avais une certaine tendance à prendre du poids. Je devais constamment surveiller celui-ci pour rester en de-dessous de soixante cinq kilos.
Ce fut Marc qui enleva le morceau. Il venait régulièrement à la société où je travaillais et ne manquait pas de me draguer lors de chacune de ses visites. Finalement, je cédai à ses avances.
C’était, à l’époque du moins, un charmant garçon. Nous nous mîmes très vite en ménage. Il avait un grand appartement où je vins m’installer. J’étais bien amoureuse de lui et accédais à tous ses caprices. Encore novice sur le plan sexuel, je le laissai prendre toutes les décisions dans ce domaine.
C’est ainsi que je me laissai sodomiser, mais refusai fermement toute nouvelle tentative de ce type, tant ma première expérience avait été pénible. Je refusai aussi obstinément de me laisser prendre en levrette, considérant cette position nettement dégradante pour une femme. Malgré mes réticences, nous étions Marc et moi heureux ensemble.
Deux années se passèrent. Marc ne tarda pas à me faire connaître son dernier fantasme. Il voulait me voir me donner à un autre homme. Je refusai catégoriquement, tant la chose me semblait déplacée.
Mais il insistait de plus en plus, et je réalisai que je devrais finir par lui donner satisfaction. Durant un week-end, il invita chez nous un nouvel ami. Il s’appelait Eric. Il était très grand, des cheveux noirs et des yeux très clairs. Il souriait toujours, ce qui me plut énormément. il semblait aussi avoir un solide sens de l’humour, se moquant parfois de Marc sans que ce dernier s’en rende compte.
J’avais très vite réalisé que Marc avait organisé ce week-end afin d’assouvir son fantasme. J’étais maintenant décidée à laisser faire, craignant qu’une trop grande résistance de ma part pourrait avoir de graves suites pour notre couple. Mais Marc était décidé à mener les choses en douceur vers leur terme. Il nous invita, Eric et moi, dans un grand restaurant.
Durant tout le repas, il dirigea la conversation et très vite la fit dévier sur des thèmes sexuels, me faisant rougir à plusieurs reprises, au grand plaisir de son invité qui visiblement me jaugeait. Il avait été placé à côté de moi et durant le repas laissa une de ses mains glisser sur mes cuisses .
Je me sentis réagir : inexplicablement, je mouillais et les exigences de Marc, j’étais étonnement maintenant prête à les satisfaire. Après le repas, nous sommes allés dans un cabaret. Marc immédiatement leva une fille qui vint se joindre à notre groupe. Très vite, il s’élança avec elle sur la piste de danse, et je fis de même avec Eric. Comme habituellement, la musique, un très beau slow, favorisait les approches. Eric s’était collé contre moi, et je laissai faire. De sa main, il me caressa les cheveux, et suivit le contour de mes lèvres. Honteuse, mais aussi heureuse, je sentais ma culotte se mouiller de plus en plus.
A distance, Marc avait surveillé le jeu d’Eric. Il comprit que j’étais mûre. Très vite, il renvoya la fille, paya la note, et nous sommes allés rejoindre sa voiture. Eric et moi nous étions placés à l’arrière, sans que Marc trouve à y redire. Je m’aperçus que du coin de l’oeil il nous surveillait dans le rétroviseur. Il voulait du spectacle, il l’aurait. Sans vergogne, je pris la main gauche de mon voisin et la glissai sous ma jupe
- Caresse-moi, très vite !
Je sentis ses doigts se glisser sous mes dessus et s’arrêter sur le clitoris. Il le pinça doucement, l’étirant. Je devenais comme folle Jamais Marc ne m’avait fait cela ! Je gémis, en ayant soin que Marc ne rate rien de mes plaintes. Puis, brutalement, je jouis en poussant un cri. Je vis Marc sourire dans le petit miroir. Il sentait que son fantasme allait se réaliser.
Arrivés à la maison, je fis comprendre à Eric qu’il avait à satisfaire le besoin que j’avais de sa verge. J’avais ouvert sa braguette, et caressais son sexe tendu. Puis, je montai à l’étage, lui faisant signe de me suivre.
Nous sommes arrivés dans la chambre à coucher, où nous attendait mon grand lit. Marc nous avait suivis et s’installa à son aise dans un fauteuil, afin de regarder en toute liberté le spectacle qu’il nous savait prêts à lui offrir. Eric, toujours souriant, me regarda me dévêtir.
Lorsque j’eus enlevé mon dernier vêtement, ma culotte trempée, je la lançai à la figure de Marc qui la porta à son nez. Je m’étais couchée sur le lit, et fit signe à Eric de venir me lécher la chatte. Je m’efforçai à rester calme, car je voulais que la séance dure longtemps, bien plus longtemps que celles que Marc m’accordait parcimonieusement.
Volontairement, je bougeai mes jambes, les écartant au maximum, et me mis à faire des commentaires cochons, chose que je n’avais jamais faite avec mon amant. Puis je fis comprendre à Eric qu’il avait à se déshabiller lui aussi : il était temps qu’il me prenne.
Je regardais le visage de Marc qui changea subitement. Je m’étais en effet mise en levrette, chose que je lui avais toujours refusée. Je demandai à Eric de me présenter sa verge afin que je puisse la prendre en bouche. Elle était déjà impressionnante, ce qui m’effraya quelque peu.
Marc, devenu vert de rage, regardait sans oser intervenir. Je fis alors se placer Eric entre mes cuisses et lui fis comprendre que j’étais prête : il pouvait me posséder. Par bonheur, j’étais de plus en plus mouillée, car les dimensions de son membre étaient vraiment hors du commun. Jamais je n’avais été possédée ainsi.
Le sexe d’Eric avait envahi le mien sans sembler me laisser le moindre espace de liberté. J’étais vraiment pleine, et eus du mal à m’adapter au rythme qu’il avait imprimé à son corps.
J’eus le temps de regarder dans le miroir de la garde-robe placée à côté du lit le spectacle que nous offrions, et je fus impressionnée. J’étais de plus en plus excitée, et connus coup sur coup deux orgasmes qui me laissèrent sans force .
Je ne pus m’empêcher de me tourner vers Marc et de lui dire d’un ton moqueur
- Alors, tu es content ? Tu as eu ce que tu voulais. Jamais je n’ai été aussi comblée et ce n’est pas fini. »
Marc, de plus en plus furieux, n’osa pas me répondre. Je glissai quelques mots à l’oreille d’Eric qui hocha la tête. Il se retira et plongea les doigts de sa main droite dans ma chatte et les graissa avec son sperme. Il écarta alors mes fesses, afin d’accéder à mon anus qu’il prépara doucement.
Puis, il se mit en place. Il me faisait atrocement mal, mais je voulais que Marc réalise ce qu’il avait fait. Puis, au bout d’un moment, la douleur s’estompa et je pus me mettre à suivre le rythme d’Eric qui parvint à me procurer mon premier orgasme anal. Je le laissai en moi un bon moment, sans bouger, habituée déjà à ce nouveau sentiment de plénitude.
Et en moi-même, je ne pus m’empêcher de songer à mon avenir. Je savais déjà que je me séparerais de Marc pour le remplacer par Eric, qui se préoccupait davantage de mon plaisir que ne l’avait fait son rival. Je voyais Marc serrer les dents, rageant de se voir ainsi remplacé, mais réalisant aussi qu’il en était responsable.
Quand Eric fut parti, après m’avoir donné son numéro de téléphone, Marc m’engueula si fort que je préparai en vitesse une valise et rappelai Eric pour lui demander de venir me chercher, ce qu’il fit sans plus attendre.
Pendant deux mois, Eric et moi avons vécu une période heureuse. Je l’aimais maintenant d’un amour profond, et il me rendait la pareille. Je n’avais plus entendu parler de Marc, et ce silence commençait à m’inquiéter. Je le connaissais trop bien pour ne pas savoir qu’il ne m’abandonnerait pas si facilement. De plus, depuis quelques jours, je me sentais épiée, sans savoir ni pourquoi ni comment. C’est un peu plus tard que ma vie bascula complètement.
Je m’étais assise à une terrasse de café fort encombrée. Ne trouvant pas de place, deux dames vinrent me demander si elles pouvaient s’installer à ma table. Elles étaient charmantes et se mirent à babiller avec moi de choses et d’autres. Ensuite, je dus me rendre aux toilettes. Je me souviens d’avoir rejoint ma table et mes interlocutrices, puis ce fut le trou noir. Plus aucun souvenir.
Je me réveillai bien plus tard. Il faisait matin, j’avais donc apparemment dormi plus de dix heures. Je me trouvai couchée sur un lit, dans une chambre nue. Une fenêtre avec des barreaux donnait sur une pelouse clôturée au fond par un mur. Une porte de fer donnait l’accès à un grand bois se trouvant derrière ce mur.
Il y avait dans la chambre deux portes, la première donnait sur un cabinet de toilette, et était ouverte. La seconde était fermée. Je me rassis sur le lit, interloquée. Où étais-je et pourquoi ? La seconde porte s’ouvrit alors et une femme entra. Elle était grande, trapue, et portait un uniforme gris, sans grâce. Elle me fixait d’un œil mauvais
- Ah, vous êtes enfin levée. Prenez un bain, ensuite je vous ferai déjeuner et vous conduirai voir Madame. »
Je ne pus m’empêcher de demander
- Que fais-je ici, et qui est Madame ? Et que me veut-elle ?
- Elle est la directrice de cet établissement, et vous donnera toutes les explications relatives à votre séjour ici. »
Je sentis qu’il était vain de discuter. La femme était sortie et avait refermé la porte à clé. Je me fis alors couler un bain dans lequel je me plongeai avec plaisir. Je m’étais déshabillée dans la chambre et avais posé mes vêtements sur une chaise. J’étais encore dans l’eau, perdue dans mes pensées et des souvenirs étonnamment vagues lorsque j’entendis la porte s’ouvrir à nouveau. La femme entra dans la salle de bains.
- Alors, vous n’êtes pas encore prête ? Dépêchez- vous, Madame déteste attendre, et vous risquez d’être punie ! »
Après m’être essuyée, je rentrai dans la chambre. Tous mes vêtements avaient disparu, et à leur place je découvris une tunique de tissu léger, de couleur turquoise, fendue sur les deux côtés. La femme m’ordonna d’enfiler ce vêtement sans aucune explication, et me força à la suivre à travers de longs couloirs, dans lesquels personne ne circulait.
Puis, elle frappa à une porte et me fit entrer. Je pénétrai dans une salle où derrière un impressionnant bureau se trouvait une femme d’une quarantaine d’années, fort bien conservée. Elle avait des cheveux blonds et des yeux gris dont la dureté m’effraya. Les murs du local étaient nus, et elle me dit de m’asseoir sur une chaise se trouvant devant son bureau. Elle m’inspectait de façon méchante. J’étais de plus en plus effrayée.
- Voilà donc la nouvelle qui nous est arrivée hier soir. Tout s’est bien passé ? » demanda-t-elle à la garde-chiourme qui s’était placée derrière moi
- Aucun problème, madame. » répondit - elle.
La directrice se retourna à nouveau vers moi
- Alors allons-y. Je vais tout vous expliquer. Et veuillez ne pas m’interrompre, je n’ai pas de temps à perdre avec vous. Voilà : vous êtes ici dans un centre d’éducation destiné à vous transformer en esclave. Vous y resterez normalement six mois, avant de nous quitter définitivement. En fait, au terme des six mois, vous serez vendue aux enchères et la moitié du produit de la vente sera versée à celui auquel nous sommes redevables de votre présence. Ici, vous apprendrez l’obéissance absolue. Comme vos six collègues, car cet établissement ne prend en activité que sept personnes portant chacune le nom d’un jour de la semaine. Vous serez louée à l’heure ou au jour, à l’un ou à plusieurs de nos clients.
Vous devrez vous soumettre à tous leurs désirs, quels qu’ils soient. Chaque prestation sera cotée par eux de un à dix. Trois cotations égales ou inférieure à cinq vous vaudraient d’être vendue immédiatement en solde à n’importe quel prix, sans nous soucier de la qualité ou du sérieux de l’acheteur éventuel. Une cotation nulle, donnée pour faute grave par un client, provoquerait votre départ pour le petit bois. Le lever aura lieu à sept heures le matin et dès huit heures vous et vos collègues serez réunies dans une salle commune où durant trois heures vous pourrez faire ce que vous voulez : lecture, cartes, télévision ou autres distractions. Vous partagerez avec une collègue, différente chaque semaine, une chambre commune. Les nuits ou les soirées durant lesquelles vous ne seriez pas prises par la clientèle, nos gardes auront le loisir de vous emmener dans leur chambre, afin d’y parfaire votre dressage. Et croyez-moi, elles y prendront plaisir ! » Et se tournant vers la garde : Pas vrai, Solange ?
- Parfaitement, madame, et je dois dire que notre nouvelle élève en tentera plus d’une ! »
La directrice se leva alors
- Suivez-moi, je vais vous présenter à vos collègues. »
Elle m’amena dans une grande salle où se trouvaient six jeunes femmes. Elles étaient totalement nues et leurs corps totalement épilés portaient d’évidentes traces de coups de fouet. Elles me sourirent cependant et vinrent m’entourer. Sans ménagement, elles m’enlevèrent ma tunique.
- Comme tu es jolie ! Tu vas avoir beaucoup de travail ! » s’exclama l’une d’elles.
J’essayai de masquer de la main ma toison, mais Solange me donna immédiatement un coup de cravache
- Habitue-toi de suite à courir nue, et enlève immédiatement de ton esprit toute réaction de pudeur. Cette dernière ne peut avoir cours ici où tu devras apprendre à être accessible de partout et à n’importe quel moment. »
La directrice intervint alors et me regarda en détail
- C’est vrai, tu as un très joli corps. Il sera encore plus joli encore lorsqu’il portera des traces de fouet ! » et se tournant à nouveau vers Solange « Cet après-midi, prévois une première séance. Trente coups au total, sur les reins et les fesses. Et ne la ménage pas. Fais-la pleurer ! »
Je voulus dire quelque chose, mais j’avais déjà été tirée hors de la salle
- Nous allons maintenant voir la salle des fêtes où dès fin de la semaine prochaine tu seras sans doute appelée à officier. »
Je fus vite édifiée. La salle des fêtes, située à un niveau inférieur, était très vaste. Quoique n’ayant aucune notion de leur pratique, je découvris plusieurs croix de bois, munies de courroies, plusieurs chevalets, des carcans. Au centre de la salle, deux colonnes de pierre avec des anneaux. Il y avait également, descendant du plafond, toute une série de câbles et de chaînes.
Accrochés aux murs, des fouets, des martinets, des outils divers. Dans une boîte, sur une grande table, toute une série de pinces et de poids. Egalement, à côté d’un brasero, de longues aiguilles d’acier. Il y avait aussi une grande table avec à chaque coin un poteau de bois présentant lui aussi des anneaux. Puis, dans un coin au fond de la salle, un fauteuil gynécologique. Je me sentis pâlir et la directrice se mit à rire
- Comme tu le vois, il y en a pour tous les goûts, et tu goûteras de tout, que tu le veuilles ou non ! »
Elle me fit ensuite sortir et m’amena à ce qui allait être ma chambre et que j’aurais à partager avec une autre fille. Elle était petite, avec une fenêtre en hauteur laissant passer la lumière du jour. Un lit de fer à deux places avec un matelas épais et une simple couverture se trouvait dans un coin de la pièce. Il y avait également un tabouret posé à côté d’un mur auquel se trouvaient attachés deux anneaux. Une table et une chaise complétaient l’ameublement. Dans un minuscule cabinet de toilette, un lavabo, une douche, un bidet et un WC
- Voilà ton repaire ! »
Je me mis alors à pleurer, mais une gifle brutale me fit réfréner mes larmes.
- Il est temps maintenant de penser à ton press-book. »
Comme je m’en étonnais, elle me sourit
- Pour chacune de nos élèves, nous avons établi un press-book. Ainsi nos visiteurs pourront avoir une idée de ce qu’ils vont découvrir, et même s’ils le désirent réserver par avance l’une ou l’autre de nos pensionnaires, ce qui arrive fréquemment. »
Rentrées dans son bureau, elle me fit s’asseoir et me tendit un album
- Regarde, voilà le press-book de Mardi, que tu es appelée à remplacer »
J’ouvris l’album et me mis à le feuilleter. Si en première page on ne voyait qu’une grande photo de Mardi, une blonde souriante, les pages suivantes étaient plus explicites. On le voyait totalement nue, de face,ou de dos. On découvrait aussi en gros plan sa chatte, décorée de deux grands anneaux. Puis, on pouvait voir sa croupe. Sur une des photos, elle écartait de ses mains ses fesses, permettant de voir sa rosette ouverte avec en dessous une indication « Diamètre six centimètres. »
D’autres pages permettaient de voir Mardi en action : sa bouche faisant des fellations, son sexe pénétré par un pénis, sa rosette emplie d’un énorme godemiché, une scène de double et même de triple pénétration. Puis plusieurs scènes de sodomie. Je regardais, bouche bée.
- Comme tu le vois, le répertoire est joli. Il faudra t’y atteler, car tu auras à le reproduire. Demain tu passeras la visite médicale de rigueur. Tu auras droit à une visite de ce genre par semaine. Puis durant deux jours un photographe viendra prendre les photos nécessaires pour que début semaine prochaine nous puissions avoir un album similaire destiné à remplacer celui-ci dont nous n’aurons plus besoin, puisque demain soir Mardi ira au petit bois, pour faute grave, et il nous faut te préparer très vite pour lui succéder. »
Je frémis en réalisant ce que prendre ces photos impliquaient. Mais je n’avais pas le temps de réfléchir. La directrice continuait
- Toute nouvelle venue est annelée après six semaines. Comme tu le verras, deux de tes collègues ont été totalement infibulées. Tu ne le seras pas, car cela risque de diminuer plus tard ta valeur marchande. Et quand tu seras bien dressée et devenue une parfaite esclave, toute une clientèle fortunée se pressera pour t’acheter. Une fois partie d’ici, nous n’obtenons plus aucun renseignement relatif au sort d’une élève. La plupart quittent le pays pour le Moyen-Orient. Plusieurs princes ou émirs sont de bons clients pour nous. Celles dont nous devons nous débarrasser en solde comme je te l’ai déjà dit, aboutissent en général dans un bordel miteux d’Afrique ou d’Amérique du Sud, et crois-moi, leur sort est loin d’être enviable ! Obéis, quoi qu’il t’en coûte. C’est le conseil que je te donne. »
Puis se tournant vers la garde
- Solange, tu la prends en charge. Tu sais ce que tu as à faire Et demande à Kathy de t’aider.
Je fus traînée hors du bureau et ramenée dans la salle des fêtes où nous attendait une seconde garde, aussi robuste et trapue que Solange. Toutes deux me saisirent sans ménagement et allèrent m’attacher, le ventre contre une des colonnes. Et la séance commença. Je hurlai immédiatement, provoquant les rires de mes bourrelles
- Crie seulement, ici personne ne t’entendra. »
Quand elles me détachèrent, je m’affalai sur le sol. Mes fesses me brûlaient atrocement. Jamais je n’avais été traitée de la sorte, et je réalisai que ce genre de séance allait se produire souvent. On me détacha et on me ramena dans la salle où se trouvaient trois de mes collègues, les autres étant prises en main par des visiteurs. Elles essayèrent de me consoler, en vain.
Mais elles me conseillèrent aussi de m’efforcer à satisfaire les gardes qui éventuellement viendraient me chercher pour la nuit. En effet, quand une prisonnière parvenait à les faire jouir, ses peines étaient appliquées avec moins de sévérité. Mais il était évident qu’y arriver n’était pas facile, tant le dégoût qu’elles inspiraient était énorme. On m’apprit aussi que dès le lendemain, je serais épilée.
Les anneaux aux seins et aux lèvres du sexe ne seraient placés que plus tard. Quand je questionnai mes collègues sur ce qui nous attendait six mois plus tard, elles avouèrent être incapables de répondre. Jamais une esclave vendue n’était revenue à l’institut.
Et la perspective d’un long esclavage dans des pays où les femmes ne valaient pas grand chose n’était pas faite pour être encline à l’optimisme. Laissant tomber le sujet, je demandai alors quels étaient les traitements appliqués lors de visites de clients
- Oh, il y a à boire et à manger. Chaque fois tu seras prise au moins une fois par chacun de tes orifices. Quant aux jeux sexuels, tu seras amenée à les découvrir. Le pire de tout, c’est lorsque des femmes accompagnent ici leur homme, ce qui arrive parfois. Elles sont toujours féroces, et ne cherchent qu’à nous faire souffrir. Méfie- toi d’elles. Elles ont facilement tendance à sous-coter les prestations. Et tu sais déjà ce que signifient de mauvaises notes ! »
Mais parler me faisait du bien. Mes collègues se trouvaient dans le même bateau que moi, et l’une d’elle qui en était à son cinquième mois paniquait à l’idée de voir arriver l’échéance de sa vente aux enchères. Les autres et moi avions le temps d’y penser.
Après une mauvaise nuit que je passai sur le ventre, tant mes cicatrices me faisaient souffrir, je me préparai à ma deuxième journée.
Après le déjeuner, je fus amenée à la visite médicale .Celle-ci était effectuée par une doctoresse, aussi revêche que les gardes. Elle m’examina de la tête aux pieds : état de la dentition, prise de sang, examen du sexe et honte suprême, examen de mon anus dont elle prit note de l’ouverture. Quand ce fut fini, elle me donna une première boîte de pilules
- Pour t’éviter de méchants ennuis plaisanta-t-elle.
Puis, se tournant vers Solange
- Trois jours de quatre, trois jours de six et deux jours de huit. »
Je me demandais ce dont il s’agissait, mais je le sus le soir où je fus attachée sur mon tabouret, avec dans le cul un gode de quatre centimètres de diamètre Chaque séance durait deux heures. Je supportai facilement les six premières séances, mais les deux dernières furent atroces. J’avais l’impression d’avoir été déchirée, mais ne pouvais rien faire. Mes mains étaient attachées à deux anneaux du mur, au-dessus de ma tête, et mes pieds, eux, étaient attachés aux pieds du tabouret.
Chaque jour encore, j’eus droit à une séance de vingt coups de fouet
- Pour ne pas perdre les bonnes habitudes ricana Solange.
Entre-temps, le photographe avait commencé son œuvre. Les premières photos ne me posèrent aucun problème. Mais quand je vis en gros plan plusieurs photos de mon anus distendu, je pleurai de honte .
Pour les autres photos, je dus subir plusieurs sodomies, des multiples pénétrations, pratiquer plusieurs fellations. Et je dus accepter tout ce qu’on exigea de moi. Quand le projet de press-book fut prêt, deux jours plus tard, je fus appelée chez la directrice qui me le montra
- Beau travail !- me dit-elle – tu vas plaire énormément, et à mon avis tu seras choisie par de nombreux clients. Reste à voir si tu les accueilleras comme il le faut. Ne te risque pas à tromper notre attente. Tu commenceras ton service dans trois jours, et déjà six clients t’ont réservée. Prépare ton cul et ta bouche, car je sais qu’ils seront le plus souvent sollicités ! »
La manière froide dont la directrice me parlait de ces choses m’écoeura. Visiblement, j’étais considérée comme un vulgaire morceau de viande qu’on jetterait après usage, six mois plus tard.
J’eus aussi à supporter pour la première fois les envies de Solange Elle me fit venir dans sa chambre, se déshabilla et se couchant sur son lit me donna l’ordre de la faire jouir. Sa chatte, non épilée, était extrêmement touffue et visiblement jamais soignée. Malgré ma répulsion, je dus m’atteler à lui lécher le clitoris, et introduire ma langue dans son vagin.
Par bonheur, je parvins à la faire jouir. Mais ce n’était pas fini : elle se retourna alors et me montrant du doigt son anus m’intima l’ordre de le nettoyer avec ma langue. De tout ce que j’avais vécu là depuis mon arrivée, cet ordre fut le plus difficile à exécuter. Je m’appliquai à la tâche et fus récompensée par de petits cris.
Elle me remballa alors dans ma chambre en me précisant que le lendemain matin, je serais épilée par elle. Et elle me promit d’essayer de ne pas trop me faire souffrir.
Le lendemain matin, après avoir déjeuné, je fus amenée dans la salle des fêtes où Solange me fit subir une nouvelle séance de flagellation.
S’ensuivit la séance d’épilation. Assistée par une autre garde, Solange procéda à l’épilation de mon sexe, de mon cul et de mes aisselles. J’étais désormais aussi nue que le jour de ma naissance, mais lorsque je me regardai dans un miroir, je rougis de honte. La fente du bas de mon corps me paraissait maintenant totalement indécente. Plus un poil n’en cachait la vue, et je regrettai amèrement ma toison disparue. On m’amena ensuite dans la salle où je retrouvai six autres filles. Comme je m’étonnai de ce chiffre, on me répondit
- L’ancienne Mardi, que tu remplaces maintenant, doit partir au bois ce soir, et a été placée depuis une semaine en cage d’isolation. »
Je tentai de savoir ce que signifiait l’expression « aller au bois » déjà utilisée par la directrice, mais personne ne me répondit. La journée se passa sans aucun événement majeur.
Vers sept heures, Solange vint chercher notre groupe .Elle nous attacha l’une derrière l’autre avec une chaîne et nous fit descendre à la cave. Dans un coin de celle-ci, une cage de fer dans laquelle, couchée sur un matelas, se trouvait une fille nue.
Je reconnus la fille du press-book que m’avait montré la directrice. Solange entra dans la cage et se saisit de la fille dont elle menotta les mains dans le dos, et lui dit
- C’est l’heure d’aller au bois. Les autres t’attendent déjà !

A demain pour la suite...

Histoire du net. Auteur Inconnu. Hard de chez Hard... Fin

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Cette histoire est comme un conte de fée:
Ça commence très mal pour l’héroïne... 
Et cela fini très bien pour cette Donzelle
Mais entre le début et le fin çà chauffe!

Dérive extrême
Fin
La fille se débattait, en larmes. Une autre garde intervint et la maintint solidement pendant que Solange lui faisait une piqûre
- Cela soutiendra ton cœur, car il va en avoir besoin
Puis, traînant entre elles la prisonnière, et nous ordonnant de les suivre, les deux gardes nous firent remonter au rez-de-chaussée et sortir sur la pelouse derrière le bâtiment. On nous aligna côte à côte. Il y avait là, formant une haie, un groupe d’une vingtaine d’hommes vêtus de noir et masqués. A côté d’eux, la directrice, deux autres gardes féminines et un homme impressionnant, torse nu.
Il se saisit de Mardi, lui passa au cou un collier de fer, y attacha une laisse et la tira derrière lui, suivi de l’assistance qui formait un petit cortège. Au fond de la pelouse, la porte de fer était ouverte. On devinait à l’intérieur le bois, que quelques projecteurs éclairaient, la nuit étant déjà tombée. Le groupe passa la porte qui fut refermée. On nous fit nous asseoir sur le sol, et nous dûmes attendre.
Très vite, on entendit des cris de douleur, des hurlements. Puis, de longues périodes de silence, suivies de nouveaux hurlements. Ce n’est que longtemps après que tout se calma. La porte se rouvrit, le groupe des hommes en noir revint vers le bâtiment suivi de la directrice et de Solange accompagnée de ses collègues. La porte fut refermée. La fille par contre ne revint pas.
Cinq collègues furent ramenées dans la salle des fêtes, accompagnées d’une partie des hommes, et y passèrent le reste de la nuit. Pour ma part, j’avais été replacée dans ma chambre et attachée au mur après avoir été placée sur le tabouret.
La sixième collègue m’accompagna dans ma chambre, et nous reçûmes l’autorisation de nous parler. Un peu honteuse de ma position, j’engageai la conversation. Nous étions nues toutes les deux, mais elle semblait en avoir l’habitude ce qui n’était pas mon cas.
Puis le soir Solange vint me libérer du tabouret en nous apportant un petit repas. Jeudi, c’était ici son nom, me signala qu’il nous était interdit d’utiliser ici nos vrais prénoms, ceci afin de détruire cette partie de notre personnalité Quand je lui demandai comment faire pour dormir, elle me sourit d’un air engageant
- Nous serons deux dans le même lit et crois-moi, c’est une des rares choses qui sont agréables ici !
Effectivement, alors que nous venions de nous coucher, la lumière s’éteignit. Je sentis immédiatement le corps de Jeudi se coller contre le mien, et sa bouche chercher mes seins. N’ayant aucune expérience homosexuelle, je décidai de laisser faire. J’avais bien besoin d’un peu de tendresse.
Et je découvris avec ma compagne que faire l’amour avec une autre femme était tout sauf désagréable. Le lendemain matin, je fus appelée chez la directrice. J’attendais, debout et nue, qu’elle prit la parole.
- Tu as vu ce qui s’est passé hier. Ce n’est pas la première fois que la chose arrive, et je t’ai prévenue à ce propos. Demain arrivera ici un délégué de notre meilleur client. Deux fois par an, il vient s’approvisionner chez nous en chair fraîche destinée à son maître. Je t’ai choisie pour te préparer à ce qui t’attend là-bas. Regarde !
Elle sortit d’une armoire un énorme godemiché en matière synthétique, représentant fidèlement une verge en érection. Je restai bouche bée devant les dimensions de l’engin, n’en croyant pas mes yeux. Voyant mon ahurissement, la directrice reprit :
- Notre client est affligé, si l’on peut dire, d’un sexe de cette dimension. Comme il ne pratique que la sodomie, il nous faut donc préparer une croupe susceptible d’accepter un outil de cette taille. Tu as été choisie. Comme tu dois rester ici obligatoirement durant six mois, nous aurons tout le temps de te préparer. A titre documentaire, je te montre une photo de celle qui a été envoyée là-bas il y a deux mois déjà. Comme tu le vois, elle est bien nourrie. Et pourtant, au départ, elle n’était pas plus grosse que toi. Regarde à quoi elle ressemble maintenant ! »
Sur la photo, je voyais une fille nue. Sa figure était restée belle, mais son corps était lui devenu énorme, boudiné, graisseux. Je frémis. La directrice plaça alors un disque dans un lecteur et sur un poste de télé, je découvris l’image de la même fille, de dos, couchée à plat ventre sur des coussins. Deux autres femmes lui écartaient les fesses, et je pouvais voir son anus ouvert, énorme et distendu. Je vis alors se présenter en gros plan, face à cette ouverture béante, le sexe dont j’avais pu voir le fac-similé. Il était invraisemblable.
Je ne voyais de l’homme que le bas du ventre avec sa verge, une véritable torpille. Et je vis en gros plan le début de la sodomie. Au bout de quelques instants, le cul de la fille avait avalé le monstre. Je me mis à pleurer. J’allais donc ressembler à çà ?
- Pourquoi ? osai-je demander à la directrice
- Parce que l’homme qui t’a vendue à nous a fait stipuler dans le contrat que tu seras vendue à ce maître, dont il connaît la réputation. Et je respecte toujours nos contrats. Ta véritable formation à ton avenir ne débutera réellement que dans trois mois. En attendant, tu travailleras de la même manière que nos autres pensionnaires.
Une centaine de jours avant la date prévue pour ton départ, tu devras entamer un régime qui devra te faire gagner au minimum dix kilos par mois. Au moment d’être vendue, tu devras au minimum peser cent dix kilos, et même plus si possible. J’allais oublier de te le dire.
Quinze jours avant ton départ là-bas, nous devrons t’exciser le clitoris et faire pratiquer sur toi l’infibulation pharaonique. Ton futur maître ne veut pas que tu puisses jouir autrement que par le cul, et veut condamner définitivement l’accès à ton vagin. La semaine prochaine, nous devons procéder à l’infibulation d’une autre élève. Je te ferai y assister pour te faire découvrir ce que tu auras à supporter plus tard !
Je tentai une protestation, mais la directrice m’arrêta net.
- Tu ne peux pas réagir ainsi. Je vais te montrer ce qui est arrivé à Mardi lorsqu’elle a été emmenée au bois. Je crois que cela te fera réfléchir, car c’est le sort qui t’attend si tu ne réponds pas à mes attentes. Je ne peux pas me permettre de perdre cet important client !
Elle plaça dans un lecteur une cassette, et je revis la scène que j’avais vue le soir. Mais ici, le film ne s’arrêtait pas à la porte. Je vis pénétrer dans le bois Mardi qui se débattait de plus en plus énergiquement, toujours suivie par le petit groupe d’hommes.
A une centaine de mètres de la porte d’entrée se trouvait une clairière. Au milieu de celle-ci une estrade et sur cette estrade une croix de St André, une potence avec plusieurs câbles, un chevalet et tout un matériel de torture. Le bourreau, car c’en était un, fit monter Mardi sur l’estrade et alla l’attacher à la croix. Le reste du petit cortège avait pris place sur des gradins entourant l’estrade.
Le supplice de Mardi dura longtemps et elle mit près de deux heures à mourir. Il était vraiment atroce, au point que je ne pus m’empêcher de vomir. Mais j’avais compris, et promis à la directrice de lui obéir aveuglément, quoi qu’il m’en coûte.
Je continuai alors ma période d’adaptation. Tous les soirs, Solange venait veiller à ce que je pratique bien sur le tabouret l’insertion de godes d’un diamètre croissant. Je sentais mon anus devenir de plus en plus souple, je supportais de mieux en mieux les séances de fouet. Je tentais aussi, mais sans résultat, d’éloigner de mon esprit les images de mon avenir.
L’échéance, peu à peu, se rapprochait. Et je ne voyais pas comment je pourrais y échapper. Eric, ma seule chance de secours, ne devait pas savoir où je me trouvais. Je ne le savais pas d’ailleurs pas moi-même, et toutes les autres élèves se trouvaient dans le même cas.
Nous étions embarquées dans un mauvais navire. Je m’accoutumais à la souffrance, aux privations, à la honte de voir mon corps manipulé comme un vulgaire objet. Dès que je fus mise « en service » je dus servir de nombreux clients. Je connus tous les supplices, toutes les injures. Parfois aussi, mais plus rarement, le plaisir. Mais lorsque cela m’arrivait, j’étais littéralement honteuse.
Je pratiquai aussi, et de plus en plus souvent, l’amour avec d’autres femmes. Mais les clientes ne l’exigeaient de moi que pour mieux m’humilier, et mes seules joies étaient les nuits que je passais avec l’une ou l’autre collègue. Et aussi parfois avec Solange, qui me subjuguait de plus en plus.
Faire l’amour avec elle ne me répugnait même plus. J’en retirais certains avantages, comme une certaine modération dans les corrections qu’elle devait m’infliger. Le plus pénible pour moi fut, quinze jours après mon arrivée, le spectacle de l’infibulation pratiquée sur l’élève qui devait me précéder là où je devrais aboutir quelques mois plus tard.
Cette séance eut lieu un soir, dans la salle des fêtes. Toutes les filles avaient été rassemblées autour d’une table d’opération sur laquelle avait été attachée la future opérée. Sur une estrade, plusieurs hommes assistaient à la cérémonie. Intentionnellement et méchamment, la directrice m’avait fait attacher sur un chevalet placé à côté de la table, et derrière moi, un homme était prêt à me sodomiser. Un chirurgien, venu on ne sait d’où, devait officier. Il demanda à la directrice s’il fallait anesthésier localement la victime. Elle refusa catégoriquement
- Un délégué du futur propriétaire se trouve dans l’assistance, uniquement pour contrôler que tout se passe comme dans son propre pays, où jamais la femme n’est anesthésiée.
Le chirurgien expliqua à l’assistance ce qu’il allait faire. L’excision du clitoris serait totale, supprimant définitivement toute possibilité de jouissance par ce petit appendice. Puis, il exciserait partiellement les petites lèvres et une partie des grandes lèvres. Il coudrait enfin ensemble le reste des grandes lèvres, ne laissant qu’un petit passage pour uriner. Dans le même temps, deux anneaux seraient apposés aux seins de la victime.
Avant de débuter, il fit venir près de la table l’homme délégué par le futur acheteur qui lui remit un moule du sexe bandé de son maître. Le chirurgien alors fit relever et écarter les jambes de la femme et après avoir graissé son anus et l’engin qui devait le perforer, fit la démonstration demandée. Malgré ses dimensions, le gode trouva sa place, non sans hurlements de la victime.
Au même moment, alors que le spectacle m’avait fait mouiller, je sentis l’homme qui se trouvait derrière moi me sodomiser brutalement. Et excitée par le spectacle du phallus artificiel planté dans le cul de la femme, je ne pus m’empêcher de jouir.
La suite fut moins agréable. Avec une aiguille chauffée au rouge, l’opérateur perfora les mamelons qui avaient été étirés auparavant par un tube sous vide, et y plaça immédiatement les anneaux. Puis, sans attendre, il s’attaqua au clitoris, provoquant des hurlements de la fille qui s’évanouit. Je ne perdis rien de la suite du spectacle très sanglant. Il dura très longtemps. Découvrir ainsi ce qui m’attendait très bientôt me fit pleurer. Mais j’étais totalement impuissante à contrarier le cours du destin.
Et les semaines et les mois se passèrent. Jeudi m’avait grosso modo expliqué le fonctionnement de l’institut. En fait, l’institut fonctionnait en partie comme un ancien bordel
Chaque début d’après- midi, nous étions rassemblées dans une salle où se trouvaient quelques fauteuils et canapés. C’est là que nous étions présentées aux clients, soit que ceux-ci avaient déjà réservé, soit qu’ils étaient nouveaux. On les faisait entrer dans cette salle, puis nous venions à sept, vêtues simplement de nos tuniques, et devions nous placer en rang devant les clients qui nous attendaient.
Nous devions alors nous mettre nues, et les clients tournaient autour de nous pour faire le choix. Ils avaient le droit de nous tâter, et même de nous pénétrer avec un doigt. Sur demande, nous devions parfois nous mettre à genoux, tête contre le sol et fesses écartées, de manière à leur montrer notre anus.
On bandait les yeux des filles choisies, et elles étaient emmenées par les clients dans la salle des fêtes. Il arrivait parfois qu’une seule fille soit choisie par trois clients, et celle-là était à plaindre. Parfois aussi la salle était réservée durant plusieurs heures par un seul client qui se contentait d’une fille, mais le cas était plutôt rare, car très onéreux pour l’homme.
Ma première séance dans cette salle eut lieu avec deux autres filles accompagnées de sept hommes. Comme mes collègues, j’avais les yeux bandés. Je me sentis saisir par deux hommes qui m’attachèrent sur une croix de St André couchée par terre et que l’on redressa ensuite. Je restai un moment sans que l’on s’occupe de moi. J’entendis très vite le bruit de coups de fouet et les cris d’une collègue. Une autre gémissait doucement, puis poussa un cri strident. J’ignorais totalement ce qu’on était occupé à lui faire.
Mais des mains se saisirent de mes seins qu’elles malaxèrent méchamment, tordant mes mamelons. Puis je ressentis à chaque sein une fulgurante douleur. On venait sans doute d’y placer une pince. Je commençais à peine à m’habituer au mal que l’on suspendait à chaque pince des poids qui étirèrent mes mamelons vers le bas. Puis, les mêmes mains s’attaquèrent aux lèvres de mon sexe qui furent traitées de la même manière. Après des minutes qui me parurent une éternité, on retira les pinces du bas et on m’introduisit dans la chatte un gode qu’elle accepta facilement.
Mais il était gonflable et bientôt je sentis son volume augmenter. Il distendait maintenant mon vagin me donnant l’impression que celui-ci allait éclater. Je hurlai de mal, provoquant les rires de mes tortionnaires. On me détacha, et on alla me placer dans un carcan qui emprisonnait ma tête et mes mains. J’étais sans défense.
On me graissa l’anus, et quatre hommes me sodomisèrent à la suite. La soirée se prolongea : je fus fouettée à coups de tiges d’osier. Puis on me versa de la cire brûlante sur le sexe Mes amies et moi subîmes encore d’autres supplices, dont je n’ai même pas gardé le souvenir.
Et dorénavant, les journées se suivirent et se ressemblèrent. On avait fait de nous du bétail, qu’on traitait comme tel, sans guère plus de respect que si nous étions des animaux. Ce genre de scènes, je le vécus tous les jours durant trois mois. Je m’étais habituée à la souffrance, comme les autres filles Et la peur du petit bois avait annihilé en nous la moindre envie de résistance.
Nous cherchions simplement à survivre, malgré les incertitudes planant sur notre avenir .J’ai particulièrement gardé le souvenir d’un soir où de dix-huit à vingt-quatre heures je fus la proie de deux couples, dont la partie féminine se montra d’une cruauté énorme.
Les deux femmes cherchaient à m’humilier. Je fus forcée à lécher l’anus de la première tandis que la seconde, équipée d’une culotte avec gode, m’enculait. Les deux hommes se contentaient de regarder la scène. Je fus traitée de salope, de putain, de bonne à rien. Je fus fouettée comme jamais je ne l’avais été Le spectacle de mon sang semblait les déchaîner encore plus. Elles me brûlèrent avec des cigarettes, me percèrent les seins avec de fines aiguilles.
Puis elles s’attaquèrent à mon clitoris sur lequel elles étendirent du harissa, me faisant hurler. C’est épuisée que je pus rejoindre ma chambre pour y retrouver ma voisine qui essaya en vain de me calmer .
Au début du quatrième mois commença ma dernière formation. Je fus amenée dans une chambre où dorénavant je vivrais seule. Il y avait là un lit confortable muni aux quatre coins d’anneaux de fer, une table, un confortable fauteuil, un grand frigo et même une télévision qui curieusement ne projetait que des spectacles de festins et de nourriture.
Pratiquement toute la journée, je devais restée couchée sur le lit, et m’y reposer. On me gavait constamment de nourriture, de gâteaux et de friandises sucrées. Comme boissons, simplement du potage et du coca. Ma gourmandise naturelle joua contre moi. Incapable de résister, je commençai à me gaver de ce qu’on me présentait, et particulièrement de chocolat dont je faisais une consommation effrénée. Et le résultat ne tarda pas.
La température qui régnait dans cette chambre était toujours élevée, provoquant chez moi une soif que j’avais du mal à calmer : j’en arrivai à boire plus de trois litres de coca par jour.
Pour m’empêcher de dépenser des calories, on me plaça une ceinture de chasteté qui m’interdisait toute masturbation, et je ne pouvais me lever que pour me rendre aux toilettes. Tous les jours passait une garde qui me lavait sur mon lit, et j’étais surveillée en permanence par la doctoresse qui chaque jour contrôlait mon poids, et aussi mon cœur. Cette période dura deux mois.
J’avais alors déjà grossi de vingt-cinq kilos, et mon corps me faisait maintenant honte. Solange elle-même se moquait de moi et m’amenait parfois devant un miroir
- Regarde la grosse vache que tu deviens. Finie l’époque où en douce tu riais de moi. Je donnerais beaucoup pour te voir à l’œuvre dans le harem auquel tu es destinée !
Mais je gardais en mémoire le petit film que m’avait montré la directrice, et n’osai pas me rebeller. Six semaines avant mon départ, on commença à travailler mon anus, afin d’apporter la touche finale à ma préparation. Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, je portais désormais dans le cul un gode dont un système de courroies interdisait le retrait. On ne me l’enlevait que deux fois dix minutes par jour, afin de me permettre de satisfaire mes besoins naturels, puis aussitôt après on me le remettait en place.
Chaque semaine, on changeait de gode, augmentant de cinq millimètres son diamètre. L’ouverture de mon anus ressemblait de plus en plus à celle de la femme dont j’avais pu voir la photo. De temps en temps, malgré tout, j’étais offerte à quelques clients auxquels je devais me contenter de faire une fellation.
Et je devins sans m’en rendre compte l’attraction de l’établissement. Certains venaient même chaque semaine afin de pouvoir se rendre compte de mon évolution. Je n’avais même plus honte de m’exhiber devant eux, devenant presque fière du monstre que peu à peu je devenais. Mais on avait soin de me bander les yeux, ce qui me convenait d’ailleurs fort bien. Un soir, un des hommes occupée à me sodomiser se pencha sur moi et murmura à mon oreille
- A demain soir, courage ! »
J’avais reconnu la voix d’Eric. Il m’avoua plus tard avoir mis un détective aux trousses de Marc et ce détective suivant mon ancien amant, avait constaté qu’il se rendait très souvent en province, dans un domaine fermé. Des recherches lui avaient permis d’apprendre ce qui se passait là, et il avait risqué le coup.
Admis à une séance, contre une forte rémunération, il m’avait retrouvée. Et moi j’avais retrouvé l’espoir.
Le lendemain soir, en effet, vers vingt heures, alors que toutes les filles étaient soit enfermées dans leur chambre, soit aux mains de quelques clients dans la salle des fêtes, plusieurs voitures et combis de la police débarquaient dans le domaine qui avait été encerclé. Personne ne put prendre la fuite.
Eric était présent, et je pus enfin l’embrasser. J’étais honteuse de mon nouvel aspect, mais il me rassura. Avec un régime approprié, je redeviendrais très vite celle qu’il avait connue. Les autres filles étaient folles de joie, et dansaient littéralement. Elles se moquaient des gardes et de la directrice, toutes menottées.
Les clients eux furent également emmenés pour vérification d’identité. Plusieurs cartons de documents divers, photos, press-books et listes de clients furent saisis. Je parlai alors aux policiers du petit bois situé derrière la propriété.
Une patrouille s’y rendit immédiatement, et y découvrit toute une installation comprenant une scène, des gradins, et du matériel de torture. Il n’était pas difficile de réaliser ce qui s’était passé là. Effectivement, des fouilles entreprises dès le lendemain matin révélèrent la présence de six cadavres, tous féminins.
Le procès dura très longtemps, et les accusés furent tous condamnés à de très lourdes peines. Les clients, eux, ne furent condamnés qu’à des peines avec sursis. Marc, lui, dont j’avais révélé à la police le rôle qu’il avait joué dans mon cas, fut également condamné à une lourde peine de prison, mais il se suicida quelques mois plus tard, se pendant dans sa cellule.
La police avait également, grâce aux papiers saisis, déterminé l’identité du gros client. Mais il était protégé, réfugié dans son pays, et aucune action ne put être entreprise contre lui. Dans un coffre bancaire, au nom de la directrice, furent découverts quelques lingots d’or et une importante somme d’argent qui permit de payer aux sept victimes, dont moi-même, une forte indemnité.
Il fut par contre impossible de retrouver la moindre trace des précédentes pensionnaires de l’établissement, qui avaient été vendues au cours des années précédentes. Toutefois, la publicité donnée à l’affaire eut tout de même un résultat, réveillant la méfiance féminine, prise cette fois en défaut. Mais au fond de moi-même, je savais bien que ce n’était que provisoire, et que tôt ou tard existerait un nouvel établissement de ce genre.
Depuis ma libération, Eric et moi avons vécu plusieurs mois en ménage. M’imposant un sévère régime, au bout d’un an j’avais à peu près retrouvé mon poids normal. Alors un beau jour, Eric me fit le magnifique cadeau de me demander en mariage.
Et je trouvai très vite le moyen de l’en remercier. Je lui fis cadeau d’une petite fille, Aline, blonde aux yeux bleus, qui devint l’idole de son père. Et moi, lorsque parfois je songeais aux mois passés dans cette affreuse école, il me suffisait d’entendre les rires de ma gamine pour effacer ces sinistres souvenirs.

Chaud! Chaud! Chaud! Quelques redif en ce Mercredi Automnal...

Il faisait tellement chaud cet été là...! Elle avait vraiment besoin de se raffraichir.

Avant le Week-end, un Vendredi de brèves......

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Se découvrir chienne....

Le supermarché
Auteur : Letourneur
C'était il y a déjà quelques années, j'aimais déjà les beaux sous-vêtements, mais comme je n'avais pas beaucoup d'argent, mes parents ne me donnaient pas beaucoup d'argent de poche, j'avais trouvé une solution pas très légal, je les volais.
Ma technique était au point, je prenais plusieurs modèles, le plus possible, je les enfilais les uns par dessus les autres, et ramenais quelques modèles dans les rayons histoire de ne pas éveiller les soupçons.
Ce petit jeu était assez excitant, ne pas se faire prendre m'amusais beaucoup.
Un jour, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai essayé un peu plus, j'avais repéré un superbe bague dans un présentoir du super marché, je demande à une caissière d'ouvrir le présentoir, et par un habile tour de passe-passe, réussit à en subtiliser une.
Ayant peur que les vendeuses s'aperçoivent de quelque chose, je décide de la dissimuler, et comme d'habitude j'en profite pour enfiler un petit ensemble sous-tif et slip brésilien dans la cabine d'essayage.
Je déchire l'emballage, mais je n'ai pas le temps de m'attarder, un vendeuse arrive, je la dissimule dans ma culotte, bien au chaud. Je me dirige vers la caisse, paye mes quelque articles, et m'avance. Et là, une alarme se met en route, catastrophe. Me voilà repérée, dans ma précipitation, j'ai du oublier d'enlever la totalité de l'antivol. Qu'est-ce que je vais devenir ?
La caissière me demande de repasser devant le portique. Rebelote, l'alarme retentit. Elle me demande de vider mes poches, et bien sur rien n'en sort. Elle fait alors signe à un vigile, qui se dirige vers moi.
- Bonjour mademoiselle, je vais vous demander de bien vouloir me suivre !
Je le suis sans hésiter, c'est un colosse, les cheveux très courts, très musclés, et puis je n'ai pas envie de faire de scène, je suis sans doute connue, il ne faut pas que cette affaire s'ébruite, que dirait mes parents. Je le suis donc, sans broncher.
Je me retrouve dans un petite pièce, un autre vigile s'y trouve déjà, un black, encore plus grand que le premier. Tu n'as rien vu lui demande-t-il ?
- Non, rien, mais elle était du coté des sous-vêtements, je l'avais repéré, un jolie demoiselle comme elle -. Dit-il en souriant.
- Votre sac, s'il vous plait ! - Je le lui tend sans rien dire.
- Mais c'est une mineure, elle n'a que 17 ans ! -
Et oui, j'étais encore mineure. Il me dit alors :
- Comme vous êtes mineure, je vais être obligé d'appeler vos parents et la police, pour qu'il m'envoie une femme-policière pour pouvoir vous fouiller, à moins que. ! -
- A moins que quoi !- lui demandais-je.
- A moins que vous n'acceptiez que nous vous fouillons, tenez, signez-moi cette décharge, pour éviter les poursuites -.
Je m'exécute toute de suite, il ne faut surtout pas que mes parents soit au courant, il me priverait des vacances programmées avec mon copain, moi qui attend ça de puis près de trois ans, seuls pendant quinze jours quel pied ça va être. Je signe donc.
- Allez-y, déshabillez-vous ! - me dit-il, avec un sourire en coin.
Il se tourne vers son collègue et lui murmure :
- Tu filmes ? -.
L'autre acquiesce de la tête. Je fais mine de n'avoir rien entendu et commence à enlever mon pull, puis mon T-shirt.
- Tiens tiens, vous portez souvent deux paires de soutien- gorge me demanda-t-il ironiquement.
- Ben, regarde la bonne paire qu'elle a ! - dit l'autre.
Il me fit signe d'enlever mon soutien -gorge, ce que fis en lui tendant la paire subtilisée. Il regarde l'étiquette .
- Ho, du 90B, c'est du costaud, pas étonnant qu'elle se serve, il faut bien maintenir tout ça, il y a du monde au balcon, mais passons au chose sérieuse, votre jeans, s'il vous plait ! -
La encore, contrainte et forcée par la situation, morte de honte, rouge comme une pivoine, j'enlève mon jeans, mais pendant cette opération, par malheur, la bague tombe accidentellement de ma culotte. Il la ramasse.
- Les sous-vêtements, on en voit presque tous les jours, mais la bague, ça peut vous coûter cher, ma petite demoiselle -
J'enrage, je suis au bord des larmes, que faire, je suis prise comme un rat.
- Mais avant tout, vérifions qu'elle ne cache rien d'autre, à poil, maintenant ! - m'ordonna le grand black, profitant de la situation.
Mes dernières protections s'envolèrent donc, j'étais totalement nue.
- Tournez-vous et touchez la pointe de vos pieds ! - me demanda l'autre vigile, ce que je fis, il se pencha lui aussi, scrutant mon intimité.
- Quelle belle chatte, bien tondue, ça fait plaisir à voir, c 'est tout beau, frais, ça n'a pas du servir encore bien souvent ! -
Il avait raison, je n'avais que quelques expériences.
- Qu'est-ce que l'on va faire de vous, on va appeler le patron, il verra bien -.
- Au non, je vous en supplie, pas le directeur, il connaît mon père ! -
- A bon, on va s'arranger à l'amiable, ma petite, qu'est-ce que tu sais faire, est-ce que tu suces ? -
- Non, je ne l'ai jamais fait ! -
C'était vrai, mon copain me le demandait, mais j'avais toujours jusque là refuser, je trouvais ça trop dégradant.
- Et bien, il y a un début a tout ! - dit le grand black.
Joignant le geste à la parole, il déboutonne son pantalon et sors sa bitte. Elle est énorme, elle fait bien 20 cm de long, pleine de veines, je n'en crois pas mes yeux. Je me mets à genoux, et commence à sortir ma langue, et lui lèche le gland, du mieux que je peux.
- Rentre la en entier, c'est mieux ! -
J'essaie, mais elle est trop énorme, et sans faire exprès , lui met un coup de dent sur le gland. Il crie de douleur, et me jette un regard furieux.
- Tu vas voir, ma salope, me lance-t-il, assis-toi sur le bureau, et passe tes jambes, sur mes épaules -.
Il se retourne, fouille dans un sac, enfile un préservatif. Je l'écoute et prend position, il me pénètre sans ménagement, elle est vraiment énorme, il n'enfonce pas tout au départ, il me faut 2 bonnes minutes pour m'habituer à un tel engin, et là il en remet un couche, et sa bitte disparaît presque entièrement .
Petit à petit, je m'y fait, et commence même à lui faciliter la tâche, je mouille. J'apprécie qu'il aille carrément au fond du vagin, ça me provoque des décharges, et je me contracte sur sa bitte, lui augmentant son plaisir.
- Regarde, elle mouille, la petite pute, elle aime ça ma parole -
L'autre s'approche, constate les faits et commence à s'occuper de mes seins ,il les soupèse, il les malaxe, les tord, et en lèche le bout, il a vraiment l'air d'apprécier.
- Si seulement ma femme en avait des comme ça, mais non, c'est une vraie planche à repasser, pas la peine de lui offrir de sous-tifs, elle n'en porte jamais, mais elle , regarde cette gamine, à son âge, je crois rêver !-
C'est vrai que je fais des envieuses dans les vestiaires de l'école et de la piscine, il faut dire que ça facilite les choses avec les garçons, un qui me plait, je laisse malencontreusement tomber un objet, prend mon temps pour le ramasser, et observe sa réaction, s'il me souris, c'est dans la poche, il apprécie ma paire, garantie sans silicone.
Mais dans le cas présent, je préférais qu'ils apprécient moins mes formes. Le black continue, la vitesse augmente, ses couilles me touchent à chaque va-et-vient. Il souffle violemment, il sue à grosses gouttes.
- Tiens, on va essayer quelque chose me dit l'autre ! -
Le black à ce moment se retire, arrache sa capote et éjacule sur mon visage, il asperge mes seins, il est tout heureux. L'autre s'approche et me lèche la chatte, il introduit alors son doigt dans mon anus, puis un stylo. Il crache sur ses doigts, puis m'en enfile 2, puis 3. Ca a l'air de l'amuser, il continue, 2 doigts dans l'anus, et un doigt dans la vulve. Puis il se décide :
- A quatre pattes, fait le chien, je vais te prendre en levrette ma cochonne ! -
Il se met à genoux, enfile un capote, s'approche de mon anus, m'écarte les fesses avec ses mains, il tapote mes fesses avec son gland, puis, d'un coup, s'introduit en moi. Alors, la je hurle. Il me met sa main sur ma bouche, puis attrape ma culotte, et me la bourre dans la bouche.
Le va-et-vient sont lents, douloureux au départ. Mais comme pour l'autre, je m'habitue, me dilate, bien que la douleur demeure, c'est supportable. Le black ne tarde pas à bander comme un taureau, il s'approche, curieux.
- Tu veux essayer, c'est encore meilleur, c'est plus serré, c'est le pied ! -
Il s'arrête et le black prend le relais. La douleur redevient vive, la sienne c'est du XXL.
- On va innover, arrête un peu, met toi debout ! -
Il me fait mettre une jambe sur le bureau et l'autre à terre, il se place derrière moi et m'encule.
- Prend là par devant, on va tester la double- pénétration ! -
En effet le black réintroduit sa bitte dans ma chatte, et l'autre m'encule Quelle sensation, quand les deux accordent leurs mouvements je suis compressé entre leurs deux corps.
Ces 2 grosses bittes travaillent de concert. L'effet est terrible, mais je ne peux gémir, j'ai ma culotte dans la bouche, ça m'arrange bien, pas besoin de me retenir. Le deux glands se touchent presque, il n'y a qu'une fine paroi qui les sépare.
C'est l'extase, comme je ne l'ai jamais ressenti avant. Finalement ils éjaculent, l'un dans ma chatte, l'autre dans mes entrailles. Je me rhabille , ils me font cadeau de la bague et des sous- vêtements, et me disent :
- Quand tu repasseras, sers-toi, mais laisse un peu le rideau entr'ouvert, qu'on en profite, on te laissera tranquille ! -

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A tout âge....

Rien ne ce serait passé s’il y avait eu des sacs
Auteur : Sexanapal
D’abord une petite réflexion : « rien ne ce serait passé s’il y avait eu des sacs à la caisse ». Cela semble énigmatique au premier abord mais tout prendra un sens par la suite…
Avant de continuer, il me semble que je dois respecter la règle de la description de ma personne : je m’appelle Ana et je vis avec mes enfants et mon mari dans une petite ville de la région du centre.
Du haut de mes quarante-et-un ans, j’ai une vie très agréable et pleine d’amour.
Sous l’impulsion de mon mari, mes quinze années de mariage ont fait de la prude jeune fille que j’étais, une amante avide, pratiquant tout ce que deux adultes consentants et fidèles, de sexes opposés, peuvent imaginer.
Le seul bémol à ce tableau idyllique, c’est que deux grossesses et le temps me rappellent à leur souvenir par la présence de quelques kilogrammes en trop. Mais mon type latin (espagnol) et surtout mon quatre-vingt-quinze D me permettent de rendre invisible ce petit souci de poids, commun à beaucoup de femmes de mon âge.
Je précise aussi que mon mari aime que les gens se retournent sur moi donc, comme je suis légèrement exhibitionniste, je m’habille assez sexy mais toujours très correct.
Tout commence un après-midi. Je viens d’amener mes enfants à l’école et, sur la route du retour, je passe à la superette de notre village pour quelques courses. Je prends un panier en entrant et déambule entre les rayons. Je saisis ce dont j’ai besoin, remplis mon panier, enfin rien d’extraordinaire, si ce n’est la présence d’un homme dans les trente-cinq, quarante ans dont je croise plusieurs fois le regard, un regard qui essaye maladroitement de voir ce qui se trouve dans le décolleté de mon cache-cœur. Cela m’amuse énormément et je pense à mon époux qui, dans ces moments-là, m’aurait dit :
- Regarde cet homme, tu lui égayes sa journée, alors fais un petit effort pour la lui rendre inoubliable…
Cela veut dire d’en montrer plus. Mais il n’est pas là, alors… et puis zut ! Cela m’amuse de voir les efforts de cet individu récompensés, alors je décide de lui montrer ce qu’il veut voir, mais discrètement, comme si cela n’était pas fait exprès.
Sous le prétexte de refaire le nœud de mon cache-cœur, je desserre ce dernier puis, chargée de mon panier, je vais au rayon des fruits et légumes. Je fais mine de tâter les produits en attendant que mon voyeur se mette en place face à moi. Je prends, en étal supérieur, un kilo d’oranges et, dès que je suis sûre qu’il ne va rien rater au spectacle, je me penche en avant pour saisir un sac de pommes de terre, dont je n’avais nul besoin, faisant bailler mon petit haut. Je présente ainsi, à la vue de tous, ma poitrine simplement contenue dans un redresse-seins qui ne cache rien et surtout pas mes aréoles et mes tétons tendus à l’extrême par l’excitation de la situation. Et voilà un heureux de plus, du moins pour aujourd’hui.
Ma bonne action faite, je me dirige à la caisse et, entre deux « bips », je demande à la caissière un sac pour y mettre mes emplettes. Mais en vain : plus de sacs, ni en libre-service, ni payant. Elle me donne un carton vide, en guise de réceptacle, que je remplis. Je paie puis me dirige vers la sortie en laissant un petit sourire à mon voyeur qui passe derrière moi à la caisse, et qui signifie :
- Je sais ce que tu as vu…
Je retourne à mon domicile, à deux pas du magasin, chargée de ce carton qui me paraît peu fiable. Quand, à la porte de la maison, ce dernier cède par le fond et étale son contenu sur le trottoir. Je vocifère quelques mots non répétables ici, puis me décide à ramasser le tout, après avoir ouvert ma porte d’entrée pour y mettre en vrac, au fur et à mesure, ce que je ramasse.
Et si j’ai oublié, sur l’instant, que mon cache-cœur n’est plus fermé correctement, mon voyeur sortant du magasin à cet instant doit, quant à lui, s’en souvenir parfaitement.
Je suppose que l’aide qu’il m’offre alors est mue par l’envie d’en voir un peu plus. Cependant, à cet instant, moi je ne vois qu’une main secourable, bien venue, surtout pour ramasser les oranges qui, de par leurs formes, avaient pris des directions toutes opposées.
Les denrées sont maintenant étalées dans mon entrée. Je remplis mes bras de ces dernières et demande à mon « voyeur-sauveur » s’il peut en faire autant et pousser son aide jusqu’à ma cuisine. Il s’exécute, poussant même la délicatesse jusqu’à refermer la porte du talon.
Nous voilà donc dans ma cuisine et, dès que nos bras sont vides, je le remercie. Puisque c’est le début de l’après midi, je propose à mon invité de prendre un petit café avec moi. Il accepte et je mets en route la cafetière. Je lui propose de s’asseoir et, dans un long soupir du genre « Je suis bien contente que mon calvaire soit enfin fini », je m’assieds de même.
Et là, c’est un grand moment de solitude, car je découvre que mon sein droit est complètement dévêtu et que mon partenaire de café a du mal à me regarder dans les yeux. Je m’en sors par un :
- Oups ! Désolé ! Ils ne restent jamais en place, ceux là !
En refermant mon haut, tout en allant chercher le café, je resserre mon cache-cœur puis reviens, les tasses d’une main et la cafetière de l’autre.
Je pose puis remplis la tasse de mon voyeur, de même pour la mienne et je me réinstalle en face de mon invité. En touillant mon café j’essaye de créer une ébauche de conversation mais en vain, mon voisin de café reste pensif. Puis, comme un coup de fusil, me lance un :
- Je suis déçu !
- Mais de quoi donc, dis-je
- Bien moi, je l’aimais bien ce sein.
- Il est toujours là, vous savez, mais caché, comme il se doit.
- Mais je crois qu’il ne veut pas être caché car il essaye toujours de sortir comme au magasin, dans la rue et tout à l’heure, à cette même table.
Je bois mon café brûlant, juste pour ne pas avoir à répondre mais il continue :
- Si sa nature c’est le grand air, il ne faut pas la contrarier
Il tend sa main armée de sa petite cuillère vers moi et tente de dévoiler un de mes seins en la glissant sous le tissu. Surprise par cette audace soudaine, j’avale de travers mon café et profite de la toux que cela me provoque pour m’éloigner un peu.
- Mais que faites-vous ? Si vous les avez vus en trois endroits différents cela devrait vous suffire non ?
- Vus ? Non, juste aperçus et, puisque le mal est fait, pourquoi ne pas assumer ?
Il retend son bras vers moi pour, à nouveau, essayer d’écarter mon décolleté et, encore une fois, je fais un mouvement vers l’arrière juste pour que ses doigts ne puissent que frôler le tissu, aidée en cela par la largeur de la table
- Il est une chose que de montrer ses charmes malgré soi, il en est une autre que de se les faire dévoiler. Je vous demande donc de ne plus essayer, répliqué-je
- À nouveau je suis déçu, me répondit-il, ils sont si… appétissants.
Je me sens gênée mais émoustillée par cette demande venue de la bouche d’un inconnu. Puis, comme ça, sans même réellement le décider, je mets mes mains dans mon dos, saisis le nœud de ma tenue, le défait puis écarte les pans de tissu et libère complètement ma poitrine
- Ainsi, vous pourrez peut être boire plus sereinement votre café, dis-je d’un ton sec, vous voici libéré de votre déception ?
- En effet et je vous remercie de ce spectacle, jamais café ne fut plus agréable à boire et, si j’en crois vos tétons, cela ne vous est pas non plus indifférent ?
Il retend à nouveau la main et, avec sa petite cuillère, il me frôle un téton. C’est étrange comme sensation et un frisson me traverse le corps. Mais, juste le temps de me remettre, la cuillère fait place à un doigt, puis à une main et enfin les deux. Mon voyeur est en train de me peloter délicatement. Il se lève, se glisse derrière moi et reprend son ouvrage.
Je suis pétrifiée, je ne peux plus ou ne veux plus bouger. C’est si inattendu et si agréable que j’en ferme les yeux. Cela dure un petit moment mais un souffle chaud puis des lèvres brûlantes posées sur ma nuque indiquent qu’une nouvelle étape est franchie et, à nouveau, un frisson me fait sursauter.
Il me retourne avec ma chaise puis, de sa langue, me caresse un téton puis l’autre.
Ce n’est pas la première fois que l’on me fait cela, ce n’est même pas original cependant, plus que l’acte, c’est la situation qui m’excite de plus en plus et je ne cesse de me poser la question : « jusqu’où pourrais-je aller ? » La réponse ne tardera pas à venir.
Il se relève, me prend les mains, me les pose sur la bosse que forme son sexe dans son pantalon. Je le caresse donc au travers du tissu puis je déboutonne un à un les boutons de son jean, pour plonger ma main sous son caleçon et en sortir un sexe qui montre une érection plus qu’honorable. Je caresse, soupèse puis masturbe mon invité, refusant ses demandes de fellation, surtout sans protection, on ne sait jamais.
Alors que mon « voyeur-sauveur-tripoteur » s’en donne à cœur joie, il est surpris puis pris de panique en entendant la porte d’entrée s’ouvrir, accompagnée d’un grave et fort :
- Chérie, je rentre plus tôt, où es-tu ?
C’est mon époux qui, dès qu’il le peut, finit son travail plus tôt.
- Ça sent le café ! Tu m’en sers une tasse, le temps que je me déchausse ?
Mon invité surprise est paniqué. En nous rhabillant, je lui demande de se calmer et lui dit que mon mari est un être très compréhensif. Il espère réellement que ça soit véridique surtout quand ce dernier fait irruption dans la salle à manger avec son mètre quatre-vingt, ses cent dix kilos et ce regard intimidant que possèdent les mâles dominants.
- Bonjour mon amour. Tu rentres tôt, aujourd’hui ?
- Et oui, mais quand j’ai plus rien à faire, je suis aussi bien ici
Et, se tournant vers l’inconnu qui essaye de se cacher derrière sa tasse à café.
- Tu ne me présentes pas ton invité ?
- Si, si, bien sûr, je te présente l’homme qui a sauvé mes courses, victimes d’un carton peu résistant. Monsieur… ?
À cet instant je réalise que j’ai branlé un homme dont je ne connaissais pas le nom.
- Nicolas, je m’appelle Nicolas, mais je ne suis en rien un sauveur, votre femme exagère.
Et là, sans réfléchir je sors une énormité :
- Oh si ! Vous êtes un sauveur, vous avez empêché la fugue de mes oranges ainsi que celle de mes seins.
Et là, un silence pesant se fait sentir mais mon mari, dont la perspicacité est impressionnante, a relâché la pression avec ces simples mots :
- Tu as encore remis ce cache-cœur qui laisse sortir tes seins à chaque fois qu’il se desserre ? Tu dois le faire exprès. En tout cas, j’espère que monsieur Nicolas en a bien profité ! Cela t’apprendra, tiens !
Suite à ses mots, il me rejoint dans la cuisine où j’étais partie lui réchauffer son café et me demande de lui raconter brièvement ce qui s’est passé, à l’abri des oreilles de Nicolas. Chose que je fais. Mon mari me prend dans ses bras comme pour me rassurer et me faire comprendre que cela n’est pas grave puis il me sourit et me répète ce qu’il m’avait déjà dit auparavant, mais ce jour cela prend tout son sens :
- Le jour où je t’ai épousée, de toi je n’ai pris que les sentiments en te donnant les miens en échange. Tout le reste, qui fait de toi que tu sois toi, t’appartient et sans limite. Tes envies, tes désirs, tes phantasmes, voire même tes pulsions te sont propres. Si tu me les fais partager alors tant mieux pour moi, sinon pourquoi devrais-je te les interdire et de quel droit ? Notre mariage n’est pas une prison pour ton corps et ramener notre histoire commune à une histoire de fesses serait réducteur. Pour être trivial, ton cul t’appartient et tu en fais ce que tu veux. Moi je ne veux et ne souhaite que l’exclusivité de ton amour, le reste je m’en fous, tant que cela se fait en respectant notre famille. Je fais la différence entre faire l’amour et une partie de baise. Mais là, j’avoue que je ne m’y attendais pas ! Veux-tu que je te laisse seule avec ce Nicolas ? Veux-tu que je reste, ou veux-tu arrêter ?
- Je ne sais pas, c’était si envoûtant et puis maintenant que tu es là, le pauvre, il va vouloir partir je crois…
- Je m’occupe de cela. Installez-vous dans le salon, j’arrive de suite.
Pascal, mon mari, sort de la maison sous un tonitruant :
- Je reviens !
Quant à moi, sans dire à Nicolas que Pascal savait tout, je nous installe dans le salon, lui demandant s’il est pressé.
- C’est-à-dire que je ne voudrais pas à avoir à subir la fureur de votre mari alors je crois que je vais partir maintenant… Désolé pour tout ça… Je…
- Non, monsieur Nicolas…
- Heu ! Juste Nicolas.
- OK ! Nicolas, si vous partez, il va se douter de quelque chose, c’est sûr.
Sur ces mots Pascal entre de nouveau dans la maison et s’assied avec nous.
- J’ai dû aller au distributeur d’à coté, je suis désolé. Bon, où en étions nous ? Ah oui, vous êtes Nicolas ! Moi c’est Pascal, le mari d’Ana… Alors, mis à part le sauvetage fruitier et l’observation de nibards accidentellement dénudés que faites-vous dans le coin ? Vous êtes nouveau au village ?
- Heu non, je suis juste de passage. Je suis venu voir un nouveau client pas très loin d’ici et je me suis arrêté pour acheter de quoi me faire un sandwich à défaut de trouver un restaurant qui serve encore à cette heure.
- Et vous avez d’autres clients à voir aujourd’hui ?
- Heu, non, j’ai le reste de ma journée.
- Eh bien nous avons de la chance d’avoir des boulots qui nous laissent le temps de respirer, n’est ce pas chérie ? Mais cela veut dire que vous avez le temps de finir ce que vous faisiez avant que j’arrive et je ne parle pas du café bien sûr !
Je deviens écarlate et le pauvre Nicolas est K.O. debout. Il balbutie :
- Je ne comprends pas Monsieur, ce que vous dites par là…
Pascal ouvre mon cache-cœur, sort mes seins et, tout en les caressant :
- Il ne faut jamais laisser une femme se refroidir et j’ai bien vu que la mienne était très chaude à mon arrivée. Regardez comme ses seins sont excités à l’idée de reprendre où vous en étiez. Et puisque vous avez le temps, alors…
- Cela me gène, monsieur.
Alors, à ce moment, je dis à Nicolas de s’approcher. Il hésite et, bien que je sois pelotée par mon mari, c’est ce dernier que Nicolas regarde avec une crainte visible dans le regard. Quant à moi, cette situation m’excite terriblement et, contrairement au début de cette histoire, je décide de ne plus être passive et de devenir le chef d’orchestre de la suite.
J’embrasse passionnément Pascal, lui caressant le sexe au travers de son pantalon, puis je me lève le torse nu, ne portant que mon redresse-seins. Je m’approche de Nicolas et je me penche vers lui pour que mes seins lui touchent le visage. Je lui caresse les lèvres avec les tétons puis, m’agenouillant devant lui, je déboutonne de nouveau son pantalon, sors son sexe qui est moins en forme que quelque minutes auparavant, et je commence à le masturber.
- Voila chéri, où nous en étions avant que tu n’arrives.
Sous mes caresses le sexe repris sa forme d’avant et même peut-être plus encore. Je demande au propriétaire de cette bite de s’avancer sur le fauteuil pour plus de confort, quand un sachet de préservatifs atterrit sur le sol près de moi. C’était le fameux retrait au distributeur de Pascal.
Je le prends, l’ouvre et en enfile un sur le sexe de Nicolas. Puis j’entreprends une fellation magistrale, je m’amuse à sucer cette bite, j’y prends même du plaisir. Entre deux succions, je regarde Pascal qui ne rate rien du spectacle et, pour l’exciter un peu plus, je relève ma jupe afin qu’il puisse avoir une vue imprenable sur mes bas et mes fesses et surtout sur ma main qui écarte mon string pour mieux me caresser. Nicolas s’est détendu, cela se sent et il me prend par la tête pour imposer son rythme.
Mais c’est hors de question, c’est moi qui tiens la baguette et je lui fais comprendre. Quand cette bite est suffisamment lustrée par ma langue, je me lève et je me déshabille au milieu de la pièce. J’embrasse à nouveau passionnément Pascal et retourne m’empaler sur la bite de Nicolas. Je suis tellement mouillée qu’elle entre sans difficulté. Je me fais baiser par un homme rencontré à peine une heure avant, et je le fais en regardant mon mari dans les yeux. Je sens l’orgasme monter mais je veux voir mon mari en train de me regarder jouir et je lutte pour garder les yeux ouverts au moment le plus fort. Mais en vain, c’est trop fort. J’ai souvent des orgasmes avec Pascal mais là c’est énorme.
Habituellement, après avoir joui, je me sens vidée de toute énergie mais là, non, j’en veux encore ! Alors, encore embrochée sur la bite de notre invité, je demande à Pascal de venir et dès qu’il est près de moi, je lui sors son sexe de sa cage de tissu et commence une fellation en rythme avec les va-et-vient de mon bassin.
Puis je demande à Pascal de se coucher par terre, bite en l’air ; cela fait, je quitte le sexe de Nicolas pour la bite si familière de mon époux. Je fais l’amour avec mon homme sous les yeux d’un autre et cette pensée décuple mes sensations.
Puis j’appelle Nicolas pour que je puisse le sucer de nouveau. Je me sens libre. À ce moment, je fais ce que je veux et la barrière dressée par mon éducation vole en éclats. Je suis enfin en phase avec ce que je suis et ce que mon mari avait depuis longtemps décelé en moi.
Je lâche la bite de Nicolas non sans avoir inondé de salive la capote qui la couvre et, en le regardant dans les yeux et sur un ton d’une autorité que je n’avais jamais eu, je lui dis :
- Encule-moi vite !
Étonné, puis envouté par cette demande, Nicolas se place derrière moi et m’encule avec une telle facilité que j’en suis presque déçue. Mais pas longtemps, car les mouvements de ces deux bites ont vite fait d’enflammer mon corps tout entier et l’orgasme qui suit est tellement intense que je n’arrive plus à contenir mes cris. Puis, juste au moment où je me relâche, dans un râle je sens venir Nicolas dans mon cul. Enfin, c’est le tour de Pascal. De les sentir jouir en moi, ça me redonne un orgasme qui, quoique moins fort que le précédent, finit de m’achever.
Je reste là, inerte, sur le sol alors que Pascal raccompagne Nicolas à la porte en lui disant :
- Je crois que pour toi aujourd’hui c’étais ton jour de chance ! Allez ciao ! Et encore merci pour elle…
Il revient vers moi et me dit :
- Lève-toi, prends une douche ou un bain, et repose-toi. J’irai chercher les enfants.
Je fais ce que Pascal me dit mais, au lieu de me reposer, j’accueille les enfants comme si de rien n’était. Je reprends le cours normal de ma vie, mais plus légère d’un poids.
Je suis plus libre dans ma tête que jamais, et j’ai pu découvrir ainsi l’énorme liberté que me laisse mon mari, liberté et que dorénavant je compte utiliser.
De temps en temps…

Ardem: Les Trois soeurs Darnum: Sabarra... Suite.

Ardem: Les Trois soeurs Darnum: Sabarra... Suite.

Cadeau d'amour

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Quand madame offre la voie arrière....
Sûr qu'elle aimera très vite...


Histoire du net. Auteur inconnu. Hiérarchie...

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Il paraît qu'une étude démontre que plus d'un 
tiers des relations sexe se nouent au bureau.
Mais de cette façon, je n'en suis pas sûr lol....

Mon N+1
Mon patron m’a forcée à coucher avec lui pour la première fois il y a trois mois.
Je suis comptable dans une petite entreprise et j’ai commis des erreurs dans les bilans, qui pouvaient facilement passer pour la préparation d’un détournement de fonds, bien que cela n’ait pas été du tout dans mes intentions. Il m’a convaincue facilement qu’il pouvait non seulement me licencier pour faute lourde, mais aussi ruiner ma réputation et faire en sorte que je ne retrouve plus jamais de travail. Je sais aujourd’hui que je n’aurais pas du me laisser faire, que je me serais débrouillée pour retrouver n’importe quel emploi dans une autre ville, mais c’est trop tard maintenant.
Lorsqu’il m’a mis le « marché » en main c’était un matin dans son bureau. J’ai bêtement dit oui et je m’attendais à ce qu’il m’emmène dans un hôtel, qu’il fasse sa petite affaire et que tout soit terminé. Mais ce salaud a su prendre son temps et m’emmener lentement mais sûrement vers une déchéance totale, en même temps qu’il me maintenait à sa merci par le chantage.
Comme preuve immédiate de ma soi disant bonne volonté j’ai du retirer ma jupe et rester devant lui, le haut du corps habillé, en petite culotte. Lui était assis derrière son bureau, il m’a bien regardée pendant que je restais les bras ballants, ridicule au milieu de la pièce. Je me sentais plus nue que nue pendant qu’il me détaillait des pieds à la tête, s’attardant évidemment longuement sur mes cuisses et mon ventre, sur mon slip de dentelle blanche qui je le supposais laissait entrevoir par transparence la toison rousse de mon pubis moulée par le tissu fin.
J’ai du tourner lentement sur moi-même pour qu’il puisse également mater mes fesses, et lui ne bougeait toujours pas, se contentant de me donner ses ordres d’une voie posée, comme s’il présidait une réunion de travail et commentait les derniers chiffres de vente.
Il a fini par ouvrir un tiroir et prendre un appareil photo numérique, et m’a prise en photo une fois de face puis une fois de dos. Il a vidé l’appareil dans son ordinateur et a lancé l’imprimante laser. Il m’a tendu les deux photos en me disant que je devais les garder et que ça me rappellerait en permanence mon nouvel état de collaboratrice à sa complète disposition. Je devais conserver ces photos sur moi constamment, il vérifierait en me demandant de lui montrer de temps en temps.
Les photos me semblaient encore plus indécentes que si j’avais été nue et je suppose que c’était l’effet recherché. J’ai pris conscience dès cet instant que ces clichés constituaient le plus sûr moyen de pression sur moi, s’il s’amusait à les envoyer par mail à quelques-uns de mes collègues je n’aurais plus qu’à démissionner de moi-même et il n’aurait même pas la peine de me licencier.
Il m’a encore expliqué que je ferai des heures supplémentaires gratuites le soir même, après le départ de mes collègues. J’ai remis ma jupe et je suis repartie travailler dans mon bureau, en pensant que le seul point positif était que maintenant je pouvais faire des erreurs comptables à répétition, il ne pouvait plus rien m’arriver de pire.
Je regrettais déjà d’avoir accepté ce marché sordide, en y réfléchissant j’aurais préféré qu’il me licencie et démarrer une nouvelle vie.
De toutes façons je démarrais aussi une nouvelle vie avec ces deux photos à la main, mais je savais déjà qu’elle serait pire qu’un déménagement et une recherche d’emploi, même le plus misérable. J’ai mis les photos dans mon sac à main et j’ai essayé de me concentrer sur mon travail.
L’après midi s’est écoulé lentement, chaque minute durait des heures tandis que je fixais la pendule, attendant qu’il soit dix-huit heures et que mes collègues quittent tous le bureau. Je supposais qu’alors je passerais à la casserole et que je pourrais enfin rentrer chez moi. Tout le monde a fini par partir et le silence est retombé sur les locaux. Je me suis levée et j’ai quitté mon bureau pour rejoindre celui de mon patron, en supposant que je n’occuperais pas les heures supplémentaires auxquelles j’étais condamnée à faire de la comptabilité.
J’ai frappé à la porte, un grognement m’a commandé d’entrer et je me suis retrouvée face à lui, aussi bêtement que le matin. Pour me donner une contenance j’avais emmené un bloc et un stylo comme s’il allait me donner des instructions sur le traitement d’un dossier, et je me sentais encore plus bête. Il a encore tapé sur son clavier d’ordinateur pendant un temps qui me parut extrêmement long, et a enfin levé les yeux vers moi.
Son regard était vide, comme s’il attendait que je dépose un dossier sur son bureau et reparte. Il m’a fixée un moment avant de me dire froidement que décidemment j’étais encore plus bête que ne le laissaient supposer mes exploits comptables, et qu’il était bien évident que dorénavant lorsque je me présentais devant lui ma jupe devait rester dans mon bureau.
Le ton était donné, je savais qu’il utiliserait tous les moyens pour m’humilier un peu plus. Je suis retournée dans mon bureau et j’ai enlevé ma jupe, je l’ai rangée dans un tiroir de mon bureau par réflexe, je ne me voyais pas la laisser traîner au milieu de la pièce.
En regagnant son bureau j’ai été prise d’une peur bleue, de croiser un de mes collègues ayant oublié quelque chose ou bien une femme de ménage. J’ai marché très vite et je me suis sentie presque soulagée en refermant la porte de mon patron derrière moi. Mais mon soulagement a été de courte durée : il m’a intimé l’ordre de laisser la porte grande ouverte et bien entendu j’ai obéi.
Cette fois encore les choses ne se sont pas passées du tout comme je m’y attendais. J’ai du déboutonner mon chemisier et en écarter les pans. Il a pu constater que mon soutien gorge était assorti à ma petite culotte et moi j’étais de nouveau morte de honte.
A sa demande j’ai glissé mes doigts sous la dentelle et j’ai sortis mes seins des bonnets, puis j’ai commencé à les caresser doucement. Les tétons se sont érigés sous mes doigts, je n’avais jamais fait cela devant personne. Et tout en caressant les pointes de la main gauche il a fallu que passe la main dans ma culotte pour me masturber devant lui.
Mes doigts se sont faufilés dans les poils de ma toison, et du majeur j’ai effleuré le capuchon de mon bouton, je l’ai massé un moment avant de descendre entre mes grandes lèvres, de remonter et redescendre encore. J’avais fermé les yeux pour essayer d’oublier qu’il me regardait et je sentais mon clitoris durcir malgré moi, et mon minou s’humecter. La chaleur montait dans mon ventre, j’étais en train de prendre du plaisir à me caresser devant ce salaud.
Lui ne disait rien, mais à un moment j’ai entrouvert les yeux et il prenait d’autres photos de moi avec son appareil numérique. J’ai refermé les yeux, continué à me caresser. Bientôt j’ai senti la chaleur envahir mon ventre de manière complètement incontrôlable et mon orgasme a explosé, j’ai joui devant lui, les seins à l’air et la main dans ma culotte.
Je tremblais, je n’osais plus bouger. « C’est bien » m’a-t-il dit avec sa voix neutre, comme si ce que je venais de faire était complètement normal.
Ensuite il m’a fait retirer ma culotte et la poser sur le bureau. L’entrejambe était trempé et il a eu un petit sourire, tout content de mon humiliation. Il s’est levé et il est passé derrière moi. J’ai senti sa main se poser sur mes fesses et j’ai frissonné, j’avais froid tout à coup.
Sa grosse patte a caressé mes globes, et peu à peu s’est glissée entre eux, il massait ma raie, effleurant mon petit trou et descendant jusqu’à l’entrée de mon vagin pour y mouiller ses doigts. Rapidement j’ai eu l’entre fesses trempé. Alors il a accentué son massage sur mon anus avec ses doigts gluants, le bout de ses doigts appuyait de plus en plus, lubrifiant l’entrée de mon petit trou et s’y enfonçant peu à peu.
Il n’avait pas à forcer, je m’ouvrais toute seule tandis qu’il poursuivait son massage de plus en plus loin. Il m’a ordonné d’écarter un peu les pieds et de cambrer les fesses, et je me suis ouverte encore plus. Alors il est revenu devant moi et a saisi ma culotte sur le bureau. Il m’a imposé de le regarder droit dans les yeux tandis qu’il pressait le slip contre ma touffe puis de plus en plus bas, faisant pénétrer le tissu entre mes grandes lèvres puis à l’orée de mon vagin.
La culotte roulée en boule dans sa main chauffait mon sexe et recueillait ma mouille. Il m’a épongée un long moment comme ça et je sentais que je n’en finissais pas de couler. Involontairement j’ai laissé échapper gémissement de plaisir et j’ai eu droit à son sourire vicieux. Il a stoppé sa caresse d’un seul coup ; je n’en pouvais plus et me demandais ce qu’il allait encore inventer.
En tenant ma culotte entre deux doigts il l’a agitée doucement juste devant mon visage, je voyais la dentelle trempée et je sentais l’odeur de mon minou. Puis il est passé derrière moi et a recommencé à me caresser entre les fesses, avec la culotte cette fois. Il insistait sur mon anus et j’ai compris que ce salaud avait entrepris de faire pénétrer la culotte petit à petit dans mon cul, en poussant le tissu du bout des doigts.
Le frottement échauffait les parois de mon rectum et le bout de dentelle s’enfonçait inexorablement en moi. J’ai voulu le supplier d’arrêter mais je n’avais plus de voix et la chaleur montait à nouveau dans mon ventre. Il a dit
- Je laisse dépasser quelques centimètres pour la photo »
Il est retourné s’asseoir à son bureau. J’ai du me retourner dos à lui et prendre la pose, les jambes encore plus écartées et le buste penché en avant, et il m’a fait écarter mes fesses à deux mains pendant qu’il prenait les photos. Toujours dans cette position humiliante j’ai du me caresser encore devant lui, et l’orgasme m’a de nouveau balayée.
Je ne comprends pas comment cela s’est passé mais la jouissance a été fulgurante, je ne me souviens pas d’avoir jamais joui comme ça en me caressant. J’ai pu enfin me redresser, mes jambes tremblaient sous l’effet des deux orgasmes, j’avais les joues écarlates et les cheveux dans tous les sens, j’étais pitoyable avec mon chemisier ouvert et les seins sortis du soutien gorge.
Lui affichait un petit sourire de contentement, ravi que je me sois laissée aller devant lui. Il m’a dit que je pouvais me rhabiller. Ma honte a dépassé toutes les bornes lorsque j’ai retiré ma petite culotte de mes fesses, lentement car les frottements étaient plutôt désagréables.
Toujours avec son air satisfait il m’a dit que je ne pouvais pas rentrer chez moi les fesses à l’air, et j’ai du enfiler ma culotte souillée avant de reboutonner mon chemisier. Alors j’ai pu retourner dans mon bureau, la culotte collait à mes fesses, j’ai remis ma jupe et je suis rentrée chez moi.
Ce n’était que le début de mes déboires.
Les jours suivants, mon patron a resserré peu à peu son emprise sur moi. Je n’avais plus d’autre choix que de lui obéir en tout ce qu’il me demandait, et il me dictait une conduite de plus en plus abjecte.
Dès le deuxième jour j’ai du coller dans un album les photos qu’il avait prises, et écrire à la main les commentaires décrivant la situation, le tout bien sûr durant mes heures de travail et au risque de me faire surprendre par mes collègues.
Il me faisait recommencer plusieurs fois lorsqu’il ne trouvait pas les commentaires suffisamment salaces, et c’est comme ça que je me suis retrouvée à écrire que j’étais une petite connasse soumise qui adorait se branler devant tout le monde. Il me faisait dater et signer chacun des commentaires.
Le soir même j’ai eu son sexe dans la bouche pour la première fois, agenouillée complètement nue sur la moquette tandis que lui trônait dans son fauteuil et s’était contenté d’ouvrir sa braguette. Sa queue n’est pas très longue mais assez épaisse, elle me remplissait la bouche tandis qu’il me guidait, la main posée sur mes cheveux, attirant et repoussant ma tête au rythme qu’il désirait me voir prendre.
Il ressortait de temps en temps et passait son gland mouillé sur mes lèvres ou sur mes joues pour me pénétrer de nouveau la bouche. J’ai du lécher sa tige lentement de la base jusqu’au gland, et même caresser ses bourses de la langue avant de le reprendre en bouche. Il prenait son temps et j’avais mal aux mâchoires à force de le sucer, mais il a fini par venir en grosses giclées épaisses.
J’ai voulu retirer ma bouche mais il avait attrapé ma nuque et maintenait de force sa queue enfoncée en moi, et son sperme gras et amer a longuement éclaboussé mon palais. J’ai tout avalé, gorgée après gorgée jusqu’à la nausée, et j’ai cru que c’était terminé. Mais j’ai du rester agenouillée les mains derrière la nuque et son sexe ramolli dans la bouche durant un quart d’heure, pendant qu’il lisait un dossier qu’il tenait appuyé sur ma tête.
De temps en temps il caressait distraitement ma joue ou mes seins, me jetait un regard narquois et moi j’étais pétrifiée de honte en imaginant ce qu’il voyait, un peu de sperme qui coulait sur mon menton et mes joues déformées par sa queue. Là encore j’ai eu droit à des photos que j’ai collées dans l’album le lendemain, en expliquant dans les commentaires à quel point j’étais une suceuse docile qui aimait s’en prendre plein sa bouche à foutre.
La première pipe avait du lui plaire parce que bientôt il en exigea une chaque midi en rentrant de déjeuner. Auparavant je devais lui préparer un café qu’il buvait pendant que je le suçais docilement. Parfois il se retirait de ma bouche avant de jouir et jutait dans la soucoupe, et je devais la lécher jusqu’à ce qu’elle soit complètement nettoyée, en tirant bien la langue.
Evidemment il a pris des photos de ça aussi, comme des moments où il me faisait ouvrir la bouche le plus possible et tirer de nouveau la langue pour vérifier que j’avais bien avalé ma ration complète de sperme ou bien des fois où il préférait jouir sur mon visage. J’avais du sperme partout sur le front et les yeux, ça coulait sur mes joues, mes lèvres et mon menton, et je devais le ramasser du bout des doigts, puis les sucer jusqu’à ce que mon visage soit propre.
Il a également pris rapidement un malin plaisir à me faire prendre les poses les plus dégradantes au cours d’interminables séances photos, accroupie jambes écartées sur son bureau, puis la même pose ou j’ouvrais moi-même les lèvres de mon minou, à quatre pattes cambrée en exposant mes fesses et mon petit trou, ou bien encore allongée sur le dos cuisses largement ouvertes en train de me masturber. Sur chaque photo on voyait très nettement mon visage et je n’aurais pas pu prétendre que ce n’était pas moi.
Une autre de ses distractions favorites consistait à m’imposer de me masturber à n’importe quel moment de la journée. Il m’appelait au téléphone, et si c’était avant l’heure de fermeture il ne m’obligeait pas à enlever ma jupe avant de venir dans son bureau. Mais dès la porte fermée je devais retirer jupe et chemisier.
Le plus souvent il me faisait baisser ma culotte à mi cuisses et sortir mes seins du soutien gorge car il avait parfaitement compris que c’était encore plus dégradant que d’être totalement nue. Il me disait juste « branlez vous » et j’obéissais, mes doigts trouvaient le chemin de ma fente et je m’apercevais presque à chaque fois que j’étais déjà humide de désir.
Comme ce manège se reproduisait plusieurs fois par jour je ne pensais plus qu’à ça, en me demandant en permanence à quel moment il allait m’appeler. Et malgré moi je mouillais à cette idée. Le traitement qu’il m’imposait en me forçant à jouir de manière aussi répétée faisait que j’étais en fait excitée en permanence et je sentais une chaleur constante irradier mon minou jamais en repos.
J’étais dégoûtée de ce qu’il avait fait de moi, mais au bout de quelques jours il m’avait rendue contre mon gré complètement dépendante et en rentrant à la maison le soir je ne pouvais pas m’empêcher de me frotter encore, de la main ou de n’importe quoi, le savon dans la baignoire, le dos de ma brosse à cheveux et même l’oreiller de mon lit serré entre mes cuisses en donnant de grands coups de bassin comme si je voulais le faire entrer en moi, jusqu’à l’orgasme.
J’ai vite pris l’habitude de jouir ainsi au moins six à huit fois par jour. Dans les commentaires des photos il m’avait fait écrire que j’étais une cochonne très salope qui ne pensait qu’à se branler et il avait raison, à mon grand désespoir.
Il lui arrivait également de m’envoyer me masturber dans les toilettes ou dans la réserve à matériel de bureau. Dans ces cas là je devais me mettre intégralement nue et me prendre moi-même en photo en train de me caresser. Je lui ramenais ensuite l’appareil photo et il glissait sa main dans ma culotte pour vérifier que j’étais bien trempée de mouille. J’avais une telle peur qu’il ne divulgue les photos que je n’ai jamais désobéi et que je me caressais réellement jusqu’à l’orgasme.
J’étais surprise qu’il ne m’ait pas encore prise autrement que dans la bouche, vu le plaisir qu’il avait à me faire exhiber toute mon intimité devant lui. Vu l’état dans lequel me mettaient les séances et que par ailleurs je passais une partie de mes soirées au travail et n’avais pas d’homme dans ma vie j’en venais presque à le regretter. Je ne savais plus où j’en étais entre l’abjection et le désir, tout se mélangeait dans ma tête et j’étais prise constamment d’une envie démente de jouir enfin d’un sexe dans le mien. Bien sûr il me dégoûtait mais j’étais assez lucide pour être certaine que s’il me prenait je gémirais jusqu’à l’orgasme sans pouvoir me retenir.
Mais monsieur n’était pas pressé et j’ai compris très vite qu’il avait encore des réserves d’humiliations supplémentaires en stock et que je n’avais pas fini de payer mes erreurs.
Et en effet ça n’a pas traîné. Un matin il m’a demandé de lui apporter plusieurs courriers destinés à la banque, qu’il devait signer. Une fois les courriers signés je m’apprêtais à sortir quand il m’a dit de rester.
Je m’attendais à une nouvelle séance photo humiliante, ou bien à ce qu’il m’ordonne de me caresser devant lui mais c’était encore pire que ça. Il m’a expliqué que pendant la pause de midi je devrai rester au bureau, j’y serai seule.
Un coursier se présenterait pour prendre les courriers qu’il venait de signer. Je devais me débrouiller comme je voulais mais il faudrait que je fasse une fellation au coursier et qu’il jouisse sur mes seins. Ensuite je devais attendre le retour de mon patron dans son bureau, la poitrine à l’air, et lui montrer que j’avais été « une bonne suceuse obéissante ».
Il m’expliqua encore que le coursier n’était au courant de rien mais que si je n’obéissais pas il mettrait quelques-unes des photos de moi sur internet, et qu’il communiquerait l’adresse du site à trois personnes de son choix qui me connaissaient. Ce matin là j’eus beau le supplier rien n’y fit. Je lui dis que ça n’était pas dans le contrat, que je n’étais pas une pute, que je préférais même qu’il me vire plutôt que de faire ça. Il me regarda tranquillement et me demanda si j’étais vraiment sûre que je préférais qu’il me vire et mette les photos sur internet.
J’ai baissé la tête et bredouillé que non je ne préférais pas ça, et que je ferais ce qu’il m’avait demandé. Il m’a renvoyé dans mon bureau avec un grand sourire vainqueur en me disant « amusez vous bien ».
Bizarrement une fois rentrée dans mon bureau je n’ai plus pensé à ça. J’étais effondrée et je n’avais aucune idée de la manière dont j’allais m’y prendre mais j’ai du faire un blocage mental car j’ai réussi à travailler. Mes collègues sont partis déjeuner et je me suis retrouvée seule. Je suis allée me chercher un thé à la machine à boissons de la petite salle de détente au bout du couloir et lorsque je suis revenue à ma place le coursier était là, devant mon bureau.
Je me suis sentie devenir rouge comme une pivoine mais j’ai tout de même réussi à entrer dans la pièce. Le coursier était un type à lunettes pas très grand et plutôt gras, mal rasé, il tenait son casque de scooter à la main. Son jean n’était pas très net, son t-shirt noir détendu et le blouson de cuir par-dessus râpé.
Je le connaissais de vue, car la société de courses à laquelle nous faisions appel pour les plis importants nous l’avait déjà envoyé. Il n’était pas super aimable et ne sentait pas toujours le frais. En bref il n’avait rien pour me plaire et même tout pour me déplaire, et sans être bêcheuse je n’aurais jamais eu l’idée de me frotter à un type pareil.
Je suis restée comme une idiote quelques secondes, j’ai fini par lui tendre les courriers qu’il a enfournés dans la sacoche qu’il portait à l’épaule, et il m’a fait signer le bon de course. C’était maintenant ou jamais si je voulais éviter la déchéance totale avec photos de moi sur le net et commentaires assortis. J’ai défait un bouton de plus de mon chemisier en disant que décidemment il faisait très chaud aujourd’hui.
Il a eu l’air surpris et il y a avait de quoi car je suis toujours restée très réservée avec les coursiers, et ainsi déboutonnée je lui offrais une vue panoramique sur la moitié de mes seins et la dentelle de mon soutien gorge.
J’étais de plus en plus rouge et il a du penser qu’effectivement j’avais vraiment très chaud. Du coup et ne sachant plus comment m’en sortir j’ai carrément fait un pas en avant et j’ai posé la main sur son entrejambe et commencé à le masser à travers son jean en essayant d’y mettre toute la charge érotique possible.
Mais en même temps je me demandais comment j’allais faire s’il me repoussait, et dans ce cas quelle réputation il allait me faire. En réalité il a juste eu l’air complètement interloqué mais j’ai senti sa queue grossir et bander sous ma main. Alors je me suis accroupie à ses pieds, j’ai déboutonné son jean que j’ai baissé en même temps que son caleçon, et sa queue a jailli devant mes yeux.
J’ai tout de suite été agressée par son odeur forte, j’ai recouverte sa bite de ma main et j’ai commencé à le caresser et bientôt il a atteint le maximum de son érection. En fermant les yeux je l’ai enfourné entre mes lèvres tandis que de la main gauche je défaisais encore trois boutons de mon chemisier et que je baissais les bonnets de mon soutien gorge sous mes seins après avoir fais descendre les bretelles sur mes épaules. Je l’ai sucé mécaniquement, je l’aspirais et le faisait coulisser sur ma langue, et je sentais son gland venir cogner régulièrement contre mon palais.
Il s’est mis à gémir et je me suis dit qu’au moins ce ne serait pas long. Je l’ai senti se raidir encore plus et j’ai sorti sa queue de ma bouche, l’ai dirigée vers ma poitrine tout en le branlant des deux mains. Il a joui en gémissant encore plus fort et m’a recouvert les seins de sperme. Je ne sais pas depuis combien de temps il n’avait pas juté mais j’ai eu l’impression qu’il déversait des litres sur mes seins, j’en avais la poitrine couverte. Dès que les dernières gouttes sont sorties je me suis relevée et je lui ai dit :
- Partez maintenant, par pitié ne dites rien à personne
J’ai quitté le bureau en courant, mes seins couverts de sperme ballottaient dans ma course mais je n’ai pas ralenti et j’ai filé directement dans le bureau de mon patron, dont j’ai refermé la porte derrière moi. J’ai repris mon calme peu à peu et mon patron est arrivé peu de temps après. Le sperme continuait à couler de mes seins jusque sur mon ventre, c’était abject.
Il m’a attrapée par les épaules et a longuement regardé ma poitrine en souriant, et ce salaud m’a demandé si ça m’avait plu. J’avais le menton qui tremblait, je n’ai rien répondu. Il m’a alors annoncé qu’il allait faire une petite vérification, que je devais me rappeler que mon bureau abritait le coffre fort de la société et qu’il était donc équipé d’une caméra de surveillance, et que grâce à une petite dérivation il avait enregistré tout ce qui se passait dans mon bureau durant la pause déjeuner.
Il a ouvert un fichier vidéo et fait défiler le début en accéléré. Sur l’écran qu’il avait tourné pour que je puisse le voir je vis défiler mes mouvements à toute vitesse, jusqu’à l’arrivée du coursier. A ce moment il rétablit la vitesse normale et je dus visionner et revivre par la même occasion toute la scène.
Une fois qu’il se fut bien rincé l’oeil il m’a dit :
- Je garde cela pour mes archives ou pour le cas où vous ne seriez pas sage, vous n’y voyez pas d’inconvénient ?
Je savais que je n’avais pas le choix, j’étais toujours dépoitraillée devant lui et j’ai juste secoué doucement la tête en regardant par terre. Il a pris quelques photos de moi dans cet état, puis m’a ordonné de me caresser la poitrine en étalant bien le sperme du coursier. Je devais le regarder dans les yeux en même temps, et encore des photos.
Au bout d’un moment le sperme avait séché sur mes seins et sur mes doigts, j’en sentais l’odeur chatouiller désagréablement mes narines.
Pour que sa victoire soit totale il a passé sa main sous ma jupe et a massé ma fente à travers mon petit slip. Sans surprise il a constaté que j’étais mouillée, de toute façon je l’étais quasiment en permanence maintenant. Il a ri, a continué un peu à me caresser, m’amenant aux limites de l’orgasme avant de me lâcher d’un coup.
- Ca ne vous fait pas de mal de vous retenir un peu... La petite chienne en chaleur va patienter encore un moment avant d’avoir sa récompense.
Puis il m’a ordonné de me rhabiller et de retourner travailler, évidemment j’avais interdiction de me laver, même les mains.
Je savais qu’il était inutile de protester, pas la peine de lui expliquer que mes collègues sentiraient forcément l’odeur de foutre que je dégageais, j’allais devoir les éviter tout l’après-midi et si ça se trouve il allait me rappeler dans un quart d’heure pour que je lui offre une séance de masturbation ou n’importe quelle autre cochonnerie qui lui passerait par la tête.

A demain pour la suite....

Histoire du net. Auteur inconnu. Hiérarchie... Fin

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Suite de cette chronique 
d'une collaboratrice dévouée 
et un peu bêta quand même

Mon N+1
Fin
Cela faisait maintenant plus de deux semaines que mon enfer avait commencé. Chaque jour mon patron en exigeait un peu plus, chaque jour il me faisait descendre un peu plus profond dans l’abjection. Il me forçait à me masturber tellement souvent que j’en étais épuisée, et excitée en permanence. Je continuais à le sucer chaque jour et il y prenait toujours autant de plaisir, variant le final pour m’humilier toujours un peu plus.
Une fois par exemple j’ai du ramasser le sperme sur mon visage et en enduire mon anus, ensuite faire pénétrer un puis deux et finalement trois doigts le plus loin possible dans mon rectum. Il m’a forcée à faire aller et venir mes doigts à l’intérieur. Ce manège a duré de longues minutes et je sentais mon petit trou s’élargir peu à peu, mes doigts coulissaient de plus en plus facilement et allaient de plus en plus loin. Ensuite j’ai du sucer mes doigts pour les nettoyer pendant qu’il prenait des photos.
Il m’a également photographiée à genoux, de dos, cambrée et les cuisses ouvertes le plus possible, pendant que j’écartais mes fesses largement à deux mains pour montrer mon anus béant. Le lendemain quand j’ai collé cette photo dans l’album j’ai pu constater à quel point j’étais ouverte, le cul défoncé par le va et vient de mes doigts. Je n’aurais jamais imaginé être aussi extensible, moi qui n’avait essayé la sodomie que deux fois, sans en retirer vraiment de plaisir.
En rentrant chez moi le soir je n’avais plus le courage de rien faire, je prenais un bain et j’allais me coucher, mais mon sommeil était troublé presque chaque nuit par des cauchemars érotiques qui me réveillaient en sursaut, haletante et bien évidemment trempée de mouille. Je me caressais alors frénétiquement et cela me faisait retomber dans le sommeil jusqu’au matin.
Un soir après le départ des autres employés (il m’avait interdit de quitter le travail sans sa permission) je l’ai vu arriver dans mon bureau. Jusqu’à maintenant il m’avait toujours fait venir jusqu’à lui et cela m’a surprise.
Il m’a fait mettre complètement nue et m’a expliqué que puisque j’étais aussi nulle en compta j’allais compenser en faisant un peu de ménage. Sur ce nous sommes sortis de mon bureau et avons emprunté le couloir qui traverse tous les locaux.
Je marchais devant lui et ça me faisait vraiment un drôle d’effet de traverser la boîte toute nue avec mon patron qui matait mes fesses. Nous sommes arrivés au bout du couloir, devant la porte des toilettes des hommes, et il m’a fait entrer. Il a ouvert la porte d’une cabine et m’a fait agenouiller devant la cuvette.
A la fin de la journée c’était vraiment sale, il y avait de la pisse sur la cuvette et autour, et des traces brunes le long des parois intérieures. Le sol était collant d’urine séchée sous mes genoux, ça puait et j’en avais le cœur soulevé, le visage vingt centimètre au dessus de la lunette. J’ai levé les yeux vers lui d’un air suppliant mais tout ce à quoi j’ai eu droit c’est son sourire ironique.
- Vous allez pouvoir commencer à nettoyer, m’a-t-il dit, mais avant il faut que je vous donne votre matériel ».
Et il a sorti de sa poche une éponge minuscule qu’il avait du recouper lui-même. En effet elle mesurait au maximum trois centimètres de long sur deux de large !
- Allez, montrez moi comment vous allez rendre cet endroit aussi propre que vous auriez souhaité le trouver en entrant » a-t-il ricané en me tendant le bout d’éponge.
Je l’ai attrapé mais j’étais obligée de le tenir du bout des doigts tellement il était petit. Comme je ne réagissais pas il m’a donné une grande claque sur les fesses et j’ai du obtempérer. Je fus obligée de me pencher pour nettoyer la cuvette et les odeurs puantes m’enveloppèrent immédiatement.
L’éponge était de taille si réduite que je nettoyais quasiment avec mes doigts et pour couronner le tout je l’ai fait tomber plusieurs fois dans la cuvette et j’ai du la récupérer en plongeant la main dans le mélange d’eau et de pisse. J’ai l’impression d’être restée des heures à genoux devant ce chiotte dans les odeurs immondes, à nettoyer toutes les traces qui tapissaient la faïence.
Quand j’ai eu fini je pensais que je ne me débarrasserais jamais de cette odeur, j’avais les doigts rouges d’avoir frotté, et maculés de saleté bien sûr. Alors il m’a fait appuyer les avant bras sur la lunette, ce qui m’a fait tendre les fesses en arrière. J’ai du écarter les genoux et j’ai senti sa main se faufiler entre mes cuisses et remonter vers mon minou qu’elle a commencé à caresser doucement.
Après l’épreuve du nettoyage j’étais au bord des larmes, de honte, d’impuissance et de fatigue de cette position inconfortable, et j’étais presque reconnaissante de la caresse qu’il me prodiguait.
Comme d’habitude j’ai commencé à mouiller tandis qu’il triturait mon bouton et frottait entre mes grandes lèvres. Sa paume écrasée sur ma fente m’ouvrait de plus en plus et je sentais le plaisir monter en moi. Il s’est arrêté juste avant que je jouisse, me laissant sur ma faim.
Mais je l’ai entendu déboucler sa ceinture et tout à coup j’ai senti son ventre contre mes fesses et tout de suite sa queue chercher mon entrée, et pénétrer d’un seul mouvement mon minou. Il s’est mis à aller et venir lentement en moi, je me suis mise à gémir sans pouvoir m’arrêter et de plus en plus fort.
J’étais toujours penchée en avant, la tête presque dans la cuvette, et mes gémissements résonnaient bizarrement. En continuant à me besogner il a attrapé mes seins, a entrepris de les caresser. Il a saisi les pointes entre ses doigts et les a pincées et tordues doucement, sans me faire mal. Je n’en pouvais plus et j’ai joui dans un grand cri.
Il a accéléré ses mouvements pendant mon orgasme et il s’est vidé longuement dans mon ventre. Il s’est aussitôt relevé et reboutonné, tandis que je restais écroulée sur la cuvette, le vagin débordant de sperme et assommée par la jouissance.
J’ai fini par tourner la tête vers lui et j’ai vu qu’il tenait ma petite culotte à la main. Il avait du la prendre avant de sortir de mon bureau et comme il avait toujours été derrière moi je ne m’en étais pas aperçue. Profitant de ma position il passa de nouveau la main entre mes jambes et se mit à essuyer son sperme qui coulait de mon ventre. Il épongea le jus épais puis remonta entre mes fesses et comme la première fois il commença à introduire le slip dans mon rectum, en le poussant de deux doigts jusqu’à ce qu’il disparaisse presque entièrement à l’intérieur.
Mais cette fois il renouvela l’opération à plusieurs reprises, faisant entrer et sortir très lentement le bout de tissu de mon cul. Le frottement me faisait frissonner et je ne résistais pas, cela se serait avéré tout aussi inutile que d’habitude.
Pendant qu’il se livrait à sa manœuvre humiliante il m’expliqua qu’il ne fallait pas que je pense que le fait qu’il me baise constituait un adoucissement de ma punition. Je devais bien comprendre que je restais une idiote nulle en comptabilité et tout juste bonne à sucer toutes les bites qui se présentaient.
Et je dus répéter après lui que j’étais une cochonne soumise qui se branlait dix fois par jour et qui bouffait du sperme tant qu’elle pouvait. Je bafouillais en récitant ma leçon et il me fit recommencer plusieurs fois à m’humilier moi-même ainsi. Enfin il retira une dernière fois le petit bout de satin souillé de mon derrière et je pus me relever.
Comme la fois précédente j’ai enfilé ma culotte devant lui, elle était dans un état encore pire après avoir épongé son foutre et frotté maintes fois les parois de mon cul. Il se lava les mains au petit lavabo des toilettes et m’autorisa enfin à rentrer chez moi en me lançant :
- La prochaine fois je vous collerai votre culotte de salope dans la bouche après m’en être servi pour vous nettoyer ».
J’étais mortifiée et je suis sortie des toilettes le regard à ras de terre, je savais qu’il le ferait et qu’il me prévenait pour que j’ai tout le temps d’y penser, cela faisait bien évidemment partie de son plaisir pervers.
Depuis ce jour mon patron me prend régulièrement, mais il faut bien dire que ça ne change plus grand-chose, après ce qu’il m’a déjà fait subir. C’est juste une étape supplémentaire de mon chemin de soumission, sur lequel j’avance pas à pas sans jamais trouver la force de me rebeller.
Au point où j’en suis il pourrait tout aussi bien divulguer les photos en sa possession dès demain et à qui il veut ; je ne sais pas si j’aurais le courage de lui désobéir. Il m’a entraînée dans une spirale d’attente et de jouissance et je ne sais plus dire non. D’ailleurs il n’a pas tardé à me reprendre le peu de mou qu’il avait encore laissé à la corde passée à mon cou.
Jusque là il n’accaparait que mes semaines et le week-end je pouvais reprendre une existence normale. Enfin, normale si l’on peut dire, étant entendu que je passais mes deux jours de repos à tenter d’imaginer ce qu’il me ferait subir dès le lundi matin… et à m’en exciter à l’avance, bien malgré moi.
Cette tranquillité s’est interrompue un vendredi après-midi, lorsqu’il m’a convoquée pour fixer de nouvelles règles au jeu dont il était désormais le maître. Partant du principe que j’étais payée tous le mois et donc les week-ends également, et que j’avais commis de très lourdes fautes professionnelles, je devais également rembourser le samedi et le dimanche. CQFD…
Je compris rapidement qu’il avait mis au point un système qui ne me laisserait plus en repos un seul jour. Tout d’abord il me colla des punitions chaque fin de semaine. Des punitions toutes plus stupides et infantilisantes les unes que les autres d’ailleurs. En général il s’agissait de lignes à recopier, et je me souviens encore du premier week-end que j’ai passé à recopier mille fois « je suis une branleuse obéissante qui avale docilement tout le foutre qu’on lui décharge dans la bouche ».
Et je devais dater et signer à la fin de chaque ligne ! Je devais rendre ma punition le lundi matin et lui vérifiait ligne par ligne. Il m’avait d’ailleurs prévenue que si je ne m’appliquais pas suffisamment, si j’oubliais un mot ou faisais une faute, ou bien encore si le compte n’y était pas il doublerait la punition, et ce pour le mardi matin naturellement. J’étais assurée d’y passer la nuit et je faisais donc très attention. Mes propres vérifications me prenaient des heures, mais m’ont évité le doublement de la punition plusieurs fois…
D’autres fois c’étaient des perles à enfiler, des boîtes entières de perles de verre minuscules, que je devais assembler en colliers interminables, en respectant un séquencement des couleurs variant constamment. J’y passais mes samedis et mes dimanches, c’était encore pire que les lignes et j’en pleurais d’énervement, en particulier lorsque je m’apercevais que je m’étais trompée et que j’avais enfilé quelques centaines de perles depuis !
Son imagination ne semblait avoir aucune borne. Un week-end il m’a fait couper en deux chaque grain de riz d’un sac de cinq kilos. J’en ai eu des ampoules à cause du frottement du manche du couteau, et depuis je ne peux plus avaler une cuiller de riz.
Mais bien évidemment ma libido était également sollicitée. Le même vendredi il me donna l’adresse compliquée d’un site internet. Après avoir allumé ma web-cam je devais me connecter à chaque fois qu’il m’envoyait un sms sur mon portable.
Le sms précisait de quels accessoires j’aurais besoin, et il est arrivé plusieurs fois que je ressorte pour aller me procurer les « jouets » qu’il exigeait. A l’heure convenue la web-cam se mettait en route et je savais qu’à l’autre bout on me regardait, mais je ne savais pas si c’était lui ou bien d’autres gens que je ne connaissais pas.
Des collègues à moi, complices du patron également, qui sait ?
Des messages s’affichaient sur l’écran, qui me dictaient ce que je devais faire. Généralement il s’agissait de nouvelles séances de masturbation.
Face à cet écran je crois m’être caressée dans toutes les positions possibles, et avec toutes les choses imaginables. Je vous épargne le traditionnel concombre, mais aussi des godemichés que j’avais été obligée de me procurer sur internet, et même un plug anal que j’ai du garder enfoncé entre mes fesses plusieurs fois tandis que dos à l’écran et les fesses bien tendues j’agitais mes doigts dans ma fente, frottant mon bouton jusqu’à l’orgasme.
Un samedi après midi je me suis pénétrée avec une banane épluchée, je l’ai fait aller à venir en moi jusqu’à la jouissance, puis je l’ai sucée longuement à genoux devant l’écran, pour enfin la manger.
Le lendemain je dus enduire les pointes de mes seins d’huile pimentée pour pizza et les froisser longuement pour que l’huile pénètre. Et je mouillais sous la brûlure, évidemment. Je dus déposer une goutte de la même huile entre les lèvres de mon minou, avant de me frotter encore et encore de deux doigts. Je ne savais plus si je me caressais pour effacer la brûlure ou pour faire grandir encore le plaisir qu’elle faisait naître en moi, mais j’ai joui violemment comme à chaque fois, le ventre tendu en avant vers mon ou mes spectateurs invisibles.
Le week-end suivant je me suis administrée moi-même une fessée cuisante à l’aide d’un martinet dont j’ai ensuite enfoncé le manche dans mes fesses, branlant mon rectum tout en caressant ma fente de l’autre main. Orgasme encore, et j’ai senti mes fesses chauffer jusqu’au soir.
Le lundi matin j’arrivais au bureau les yeux cernés et lui me demandait ironiquement devant mes collègues si j’avais fait la fête tout le week-end. Je me suis habituée à tout cela comme au reste, et même si je n’y croyais pas moi-même la jouissance était toujours aussi forte et je sais qu’en mon for intérieur j’attendais le sms qui allait me jeter en pâture face à l’écran.
J’étais en manque permanent et ces séances d’exhibitionnisme ne suffisaient pas à m’apaiser, je voulais un membre dur et gonflé de sève dans ma main, dans ma bouche, dans mon ventre. Que je ne m’inquiète pas, mon patron pensait à moi et toute la semaine il prenait ma bouche ou mon ventre selon son bon plaisir.
Un jour il m’a annoncé qu’il m’invitait au restaurant le soir même. J’étais libre de m’habiller comme je voulais, il considérerait ma tenue comme une marque de bonne volonté ou bien comme une tentative de me soustraire à mes devoirs de cochonne docile et dans ce dernier cas il en tirerait les conséquences et m’appliquerait les jours suivants le traitement que je méritais.
Je suis donc arrivée au rendez-vous vêtue d’une jupe noire évasée plutôt courte et d’un petit chemisier gris en soie. L’ensemble était assez classe sans ostentation, mais très sexy. Il faisait chaud et je ne portais ni bas ni collant. Pour ma lingerie j’avais choisi un ensemble slip et soutien gorge noir, dont le voile laissait apparaître par transparence tout ce que d’ordinaire on a plutôt tendance à dissimuler, mes jolis tétons roses foncés, mes fesses et la toison rousse de mon pubis taillée de frais, étroite mais pas au format ticket de métro tout de même. Bref, j’aurais été de mon point de vue parfaite pour un rendez vous amoureux, mais hélas on était bien loin de cela.
Lorsque je suis arrivée pour dîner il était déjà là, assis à une table au fond du restaurant et face à la salle. Je me suis assise et il m’a complimentée pour ma tenue, espérant « que ce que l’on ne voyait pas valait bien ce que l’on voyait ».
Je n’ai rien dit, en fait j’étais intimidée, c’était la première fois que je dînais en tête à tête avec cet homme et même si cela peut paraître étrange j’étais presque plus à l’aise nue dans son bureau. Il ne m’a pas laissé le choix des plats et a passé commande pour moi.
Je commençais à me détendre un peu quand j’ai réalisé qu’il me commandait le menu enfant tandis qu’il sélectionnait pour lui-même les plats les plus fins de la carte. Le serveur, un grand brun dégingandé, se marrait en douce et j’étais rouge de honte.
Il est parti avec la commande et j’étais certaine qu’il allait bien se marrer avec ses collègues en racontant l’histoire du type qui sort une femme et lui impose un jambon blanc - purée, arrosé généreusement d’un sirop de fraise.
Dès que le serveur fut parti la soirée débuta vraiment. Pour commencer je dus ouvrir mon chemisier jusqu’à la taille et en écarter les pans. Comme j’étais dos à la salle personne ne pouvait s’en apercevoir mais je savais que le serveur n’allait rien manquer de mon soutien gorge transparent au moment où il apporterait les entrées (salade de tomates pour moi, et il avait demandé de remplacer la vinaigrette par du ketchup, c’était écoeurant au possible, foie gras frais poêlé et ses figues caramélisées pour lui).
Ca ne manqua pas, le serveur déposa les assiettes et resta figé, encore incliné à demi vers la table sur laquelle il venait de poser les assiettes, en contemplation devant ma poitrine. Il demeura ainsi un moment, jusqu’à ce que mon patron lui demande avec un clin d’oeil s’il y a avait un problème.
L’autre prit un air entendu et répondit que bien sûr que non il n’y avait pas le moindre problème, il nous souhaitait une bonne dégustation et une excellente soirée. Mon patron se comporta comme si tout cela était complément naturel.
- Eh bien mangez maintenant, j’espère que vous aimez les tomates », me dit-il avec son habituel sourire équivoque.
Après l’entrée, il me commanda de retirer mon soutien gorge. Et j’obéis, bien évidemment. Je fis tomber les bretelles par-dessous la chemise et retirai le soutien gorge par les manches, assez amples heureusement. D’abord la gauche, puis la droite, et je me retrouvai bientôt les seins à l’air, attablée dans un restaurant huppé à attendre le retour du serveur qui cette fois allait pouvoir vraiment se rincer l’oeil.
Lorsqu’il revint desservir il marqua un temps d’arrêt, regarda mon patron qui lui souriait toujours, et débarrassa les assiettes. Il prit bien évidemment son temps, ne lâcha pas ma poitrine du regard et moi je sentais mes pointes se dresser.
En saisissant mon assiette il se débrouilla pour effleurer lentement mon sein gauche du dos de la main. Devant ma passivité et la complicité évidente de mon patron il s’enhardit, reposa l’assiette et discrètement pour ne pas être remarqué du reste de la salle il posa carrément la main et entrepris de me caresser les seins, s’attardant sur les bouts tendus et sensibles.
Je me retins de gémir mais je sentis que je commençais à mouiller. Il prolongea la caresse, ses doigts couvrant et pressant alternativement mes deux globes, sa paume frottant les pointes érigées. J’avais le souffle court, mon excitation grandissait au fur et à mesure que la caresse se faisait plus précise.
Mon slip devait être à tordre et malgré moi mon bassin entamait un mouvement doux et régulier et la chaleur bien connue envahissait mes fesses et gagnait ma fente pressée sous le tissu de ma culotte. Est-ce par peur d’être repéré ? Toujours est-il qu’il me lâcha avec une mine pleine de regret et finit par emporter les assiettes.
La même scène se renouvela à chacun de ses passages. A chaque fois mon excitation gonflait jusqu’à ce qu’il s’interrompe et reparte. Pour le dessert il m’apporta une coupe de glace à la fraise. Mais au lieu de la poser devant moi il l’approcha de mes seins et les effleura longuement avec la boule glacée.
Le froid brûlait mes tétons tendus à l’extrême en même temps que la chaleur investissait de nouveau mon ventre. Le manège me rendait folle, j’étais prête à jouir ainsi, par le seul frottement contre le siège, mais il s’arrêta et déposa la coupe devant moi.
Alors mon patron lui demanda s’il existait un endroit discret où je pourrais « prendre l’air ». Tout heureux le serveur lui indiqua le couloir desservant les toilettes, et précisa que la porte au fond débouchait sur une petite cour intérieure.
Dès le repas terminé mon patron m’entraîna dans ce couloir et nous passâmes la porte indiquée par le serveur. Il faisait nuit. La cour était vraiment petite, quelques mètres carrés, et les conteneurs d’ordures du restaurant y étaient stockés. Il faisait encore chaud et l’odeur des poubelles était suffocante.
Aussitôt mon patron m’ordonna de me déshabiller et de ne conserver que mes chaussures. Une fois que je fus nue il posa mes vêtements en tas sur le conteneur le plus proche. Le serveur ne tarda pas à nous rejoindre et demanda immédiatement à mon patron combien il fallait payer. Celui-ci lui répondit que j’étais gratuite ce soir mais qu’il ne pourrait jouir que de ma bouche.
Sur ces mots il me poussa en avant et je dus m’accroupir au milieu de la petite cour. Le serveur écarta mes genoux avec le pied tout en déboutonnant sa braguette. Il sortit avec difficulté sa queue déjà raide et me la fourra dans la bouche sans prononcer une seule parole. Il avait agrippé mes cheveux et avançait le ventre pour me pénétrer le plus loin possible et son sexe m’étouffait. A peine quelques secondes plus tard il éjacula directement dans ma gorge et me repoussa.
Je basculai en arrière et me retrouvai assise sur le pavé les jambes ouvertes et la bouche pleine de sperme. Il se reboutonna rapidement et repartit, nous laissant seuls. En me redressant je constatai que mon patron avait lui aussi sorti sa queue et je compris ce qui m’attendait. Il pénétra mes lèvres et je le suçai jusqu’à ce qu’il éjacule un jus abondant que j’avalai également.
Il me rendit mes vêtements qui puaient abominablement, je me rhabillai et nous quittâmes le restaurant. Sur le trottoir je pris mon courage à deux mains et je lui murmurait en baissant les yeux :
- S’il vous plait, je ne veux pas être une putain ».
J’avais prononcé ces mots d’une voix à peine audible mais il avait parfaitement entendu. Il me fixa un moment puis sans un mot tourna le dos et partit vers sa voiture. Je rentrai alors chez moi et je passai la nuit à me demander si je ne venais pas de faire la plus grosse bêtise de ma vie.
Pas de suite....
Mais je pense que c'est la fin.

Chaud! Chaud! Chaud! Quelques redif en ce Mercredi Automnal...

Mari en formation;

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Cette formatrice est très célèbre aux U.S.A.
Beaucoup de femme lui amènent leurs maris...



Avant le Week-end, un Vendredi de brèves......

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L'âge a souvent de nombreux atouts
L’expérience,l'endurance, ...


Hubert
Je m’appelle Océane et j’ai vingt-quatre ans. J’ai épousé Sébastien il y a maintenant trois ans et je dois avouer que ce qui m’a charmé le plus chez lui dans un premier temps… c’est sa famille.
Je suis issue d’un milieu plutôt modeste et lorsque j’ai été présentée à ses parents j’ai tout de suite été troublée par le regard assuré, à la fois chaleureux et intimidant de son père et par l’élégance racée de son épouse. Ils occupaient chacun d’importantes fonctions juridiques descendant de longue lignée de ce que l’on appelait autrefois la noblesse de robe.
Si sa mère Marie-Françoise devait avoir environ l’âge de la mienne, peut-être quarante-cinq ans, bien que la comparaison soit difficile, il semblait par contre que son père qui s’appelait Hubert, était bien plus âgé que le mien et devait avoir facilement la soixantaine.
Outre son beau visage qui m’avait troublée dès notre première entrevue, malgré ou à cause de ses rides qui dessinaient de plaisants reliefs aux coins de sa bouche et de ses yeux, ou sur son front. J’avais été séduite par ses tempes grisonnantes qui accentuaient l’éclat d’un visage tanné au regard vif et pénétrant.
J’étais également sous le charme de ce bel homme athlétique à la superbe carrure qui devait visiblement entretenir sa forme et ses formes par la pratique régulière d’activités physiques. Le contraste était troublant avec son fils qui m’avait charmé sur d’autres plans, mais qui était plutôt mince et dont la beauté du visage avait des traits presque féminins.
À vrai dire il avait tous les attributs de ce que l’on appelle un « vieux beau », mais j’avoue que cette appellation qui m’évoque généralement la course effrénée et perdue d’un Don Juan sur le déclin avait, porté par lui, l’agrément délicieux de celui qui a pu attirer et séduire un nombre sans doute impressionnant de femmes… sans savoir combien d’entre elles avaient alors dû succomber…
Dans ce regard qui se posait sur moi avec insistance et audace je ne vis pas, comme habituellement chez les hommes trop sûrs d’eux, la marque du machisme et de la vanité.
Pour la première fois je me sentis conquise par l’attention d’un seul homme et malgré l’évidence pour moi, que j’étais probablement dans ses yeux une proie à la suite de bien d’autres.
En vérité je ne savais rien alors de son passé de séducteur, mais je m’empressais d’une façon détournée d’interroger Sébastien pour qu’il m’évoque les «expériences sentimentales» de son père.
Il m’avoua alors qu’autrefois son père avait été un véritable coureur de jupons et que cela avait perduré bien après son mariage. Il se sentait lui-même assez honteux de cette situation, même s’il avait appris plus tard qu’une des raisons de ce comportement se trouvait dans le fait que sa femme était très peu portée sur le sexe.
Il avait souffert durant toute son enfance de cette situation, étant souvent le témoin malgré lui de façon plus où moins directe des infidélités de son père.
Ainsi, il savait que ce dernier ne perdait pas une occasion de forniquer avec les domestiques qui défilaient à la maison à une cadence plutôt insolite.
Plusieurs fois, il avait surpris dans la maison la voix un peu honteuse de ces jeunes femmes sous forme de chuchotements, mais aussi de rires et de soupirs dont il ne connaissait pas dans un premier temps la signification réelle.
Ce n’est qu’à un âge plus avancé, lorsque mon futur époux était tout juste étudiant, qu’il prit la fâcheuse habitude d’occuper son temps, au lieu de développer sa propre sexualité, de traquer et de récolter les moindres indices des forfaits de son paternel, jusqu’au point de les consigner dans un cahier.
Il y avait répertorié à chaque fois, une description de la proie, son âge (le plus souvent une jeune femme d’une vingtaine d’années, mais il eut aussi des partenaires bien plus âgées…), le lieu du forfait et la description des indices qui lui parvenaient chaque fois qu’ils ne laissaient aucun doute sur la nature de l’activité accomplie. Cela pouvait aller de témoignages sonores qui parvenaient jusqu’à ses oreilles, de traces laissées sous la forme d’objets déplacés, défaits ou abandonnés et qui témoignaient d’autres abandons…
Si le père était un collectionneur de maîtresses particulièrement assidu, le fils n’en était pas moins assidu à en répertorier les prouesses.
- Et puis un jour je t’ai rencontré ! Et j’ai abandonné tout intérêt pour ce qui est des culbutes à répétition de mon père !
Il me dit cela avec air d’évidence qui me déstabilisa. Je me rendis compte ainsi que sans le savoir, un lien s’était établi entre son père et moi sous la forme d’une rupture qui semblait salutaire.
J’aurais dû m’en féliciter, mais curieusement je ressentis comme une pointe de regret, comme s’il me manquait la suite d’une histoire dont j’espérais bien obtenir des éclaircissements.
- Et qu’est-ce que tu as fait du cahier ?
Il me répondit posément qu’il l’avait gardé dans un coin et je me rendis compte que je retenais un soupir de soulagement.
C’est quelques jours plus tard que je profitais d’une de ses absences pour mettre la main sur l’objet convoité. C’était un petit journal de format écolier, mais plutôt épais. Au hasard, j’en entrepris la lecture.
Samedi 18 mai :
Cela fait trois jours que nous avons engagé une nouvelle bonne qui s’appelle Noëmie et qui est plutôt jolie, avec son beau visage aux traits fins et sa silhouette aux rondeurs de jeune demoiselle. Ce qui ne gâte rien c’est que le costume que nous mettons à sa disposition lui va à ravir. Elle fait l’effet, avec son corsage blanc qui laisse deviner une poitrine généreuse, sa jupe mi-courte serrée à la taille et ses cheveux corbeaux tirés en arrière, d’une charmante soubrette telle qu’on pouvait en rencontrer dans les années 1900.
Comme cela m’arrive malheureusement souvent, j’étais moi-même tombé sous le charme de cette ravissante employée. Mais évidemment je n’étais pas le seul et j’étais quant à moi, bien trop timide pour dévoiler ne serait-ce que l’ombre de mes sentiments.
Mon père très rapidement, après une posture un peu froide et intimidante qu’il adoptait toujours à l’égard des gens de maison fraîchement arrivés, témoigna d’une conduite beaucoup plus chaleureuse vis-à-vis de la jolie Noëmie.
Je me rendis compte qu’il ne perdait pas une occasion de la rejoindre dans une quelconque pièce dès que ma mère était absente. Et je pus entendre à travers la cloison des bribes de conversations qui, bien sûr, confirmaient ses intentions…
- Monsieur, s’il vous plaît, je vous en prie… Si Madame venait ?..
- Que peux-tu craindre ? Est-ce que je te fais peur ? Est-ce que je ne te plais pas ?
- Ce n’est pas cela monsieur… vous me plaisez beaucoup et vous le savez… mais j’ai un petit ami et vous êtes marié.
- Ils ne sauront rien de tout cela… et nous aurons juste passé du bon temps ensemble…
- Oh ! Je vous en prie !…
Et puis ce ne furent que de longs soupirs. Et des petits cris tout juste étouffés qui faisaient désormais plus penser à des encouragements qu’à des rebuffades.
Un jour par hasard en entrant dans la cuisine, je découvris mon père le cul à l’air et le pantalon à ses pieds en train de pilonner Noëmie dont la jupe était retroussée jusqu’à la taille et dont l’opulente poitrine s’écrasait contre la table. Tout cela s’opérait dans un silence religieux qui avait été à l’origine de ma surprise, mais le sourire radieux qui habillait les lèvres de la jeune femme, ainsi que le fait que ses yeux semblent s’évader comme en extase vers un ciel invisible apparemment radieux, ne laissaient aucun doute sur la profondeur de la jouissance à laquelle la « soubrette » se livrait corps et âme.
…...........
Je feuilletai à nouveau de nombreuses pages, avant d’arriver à cette nouvelle aventure.
…......................
Vendredi 22 septembre :
Mes parents avaient invité voici quelques jours un couple d’avocats de leurs connaissances qui avaient à peu près le même âge qu’eux. Ils avaient une apparence aussi très classe et sans doute encore plus guindée et pour ne pas dire coincée que celle de mes parents.
L’épouse était presque une caricature de la femme à lunettes un peu stricte avec son petit chignon, si ce n’était cette opulente poitrine qu’il lui fallait dissimuler tant bien que mal sous un chemisier fermé très haut et paré d’un fin collier de perles.
C’est aujourd’hui même que je me suis rendu compte qu’il ne fallait pas toujours se fier aux apparences.
Cette fois-ci les bruits suspects venaient carrément de la chambre conjugale et je pouvais profiter d’une petite verrière qui surplombait un coin de la pièce pour vérifier l’intérêt et l’originalité du spectacle. Tout d’abord l’avocate se complaisait à offrir à mon père les délices d’une somptueuse cravate de notaire entre ses seins superbes aux larges aréoles brunes et aux tétines dressées.
Sans ses lunettes et le chignon défait elle était presque méconnaissable et la crudité de ses propos m’auraient fait douter qu’il s’agissait bien de la même personne, sans quelques détails qui confirmèrent ma première impression.
- Oh oui, branle-toi sur mes nichons, ils sont tout à toi… J’ai vu comme ça t’excitait l’autre soir de les reluquer à travers mes vêtements pendant tout le repas… T’étais pas gêné mon petit salopard de me désaper rien qu’avec ton regard et de me fixer dans les yeux comme si tu voulais me dire que c’était fait. Comme une évidence que je serais dans ton pieu aujourd’hui pour me faire sauter comme une petite catin… et ça ne te gênait pas de me baiser du regard à côté de ta femme et de ton fils et alors que mon mari, ton ami François, était assis à côté de moi !… T’as gagné mon cochon !
C’était complètement surréaliste d’entendre cette femme qui était une vraie bourgeoise, jurer comme une poissonnière, tout en gardant ce timbre de voix un brin snob, que j’avais entendu durant tout le repas.
Mais je n’étais pas au bout de mes surprises ! Quelques instants après, je la voyais à quatre pattes se faire posséder par mon père et ce qu’elle se mit à vociférer me renseigna sur un détail technique…
- Comme c’est bon ! Vas-y… Bourre-moi bien à fond !… J’aime te sentir dans mon cul !
Cette nouvelle scène me fascinait littéralement. Voir ainsi cette femme mariée et respectable se faire enculer avec une telle exaltation avec ses grosses tétines qui ballottaient sous elle et voir mon père derrière elle, arc-bouté, lui agrippant les hanches pour lui baiser le fondement avec une superbe énergie !…
…................
Je n’ai pas lu tous les détails d’un récit qui devait se prolonger encore et laissait à penser que les ébats adultères de ces deux amants avaient duré un certain temps…
En feuilletant encore ce gros cahier qui devait bien faire deux cents pages et qui était presque entièrement rempli d’une écriture serrée, je réalisai l’ampleur des prouesses sexuelles accomplies par ce monsieur d’un abord si respectable et cérémonieux. Sans compter que bien des aventures avaient dû échapper aux investigations de mon cher mari, parce que le forfait ne s’était pas accompli dans le cadre strict de la maison.
D’ordinaire une telle attitude aurait provoqué ma défiance ou mon dégoût, mais c’est là que je me mis à réaliser que j’étais déjà sous le charme moi aussi, comme tant d’autres femmes avant moi.
Rien ne pouvait me raisonner et la lecture de ce cahier n’avait fait qu’attiser ma curiosité et mon désir à l’égard de cet homme dont j’étais la bru, la belle-fille. L’émoi physique que je ressentais et cette volonté violente de me retrouver pour la première fois en tête-à-tête avec cet impressionnant personnage qui me vouvoyait dans un rapport quasi filial ne pouvait me tromper. Mes intentions n’étaient ni innocentes, ni honnêtes, mais je crus pendant plusieurs mois devoir y renoncer.
Notre rapport continuait en présence d’autres membres de la famille à être celui que l’on doit attendre d’une relation entre un beau-père et sa belle-fille.
* * *
Un jour où Sébastien m’avait demandé de vérifier des comptes et alors qu’il devait s’absenter une bonne partie de l’après-midi je m’étais endormie sur son bureau sous l’effet de la fatigue. Ce n’est qu’après un moment dont je n’étais pas en mesure de percevoir la durée, que j’ai senti sa main sur mon épaule. Je lui ai pris tendrement pour lui signifier que je sortais doucement de mon sommeil, mais c’est alors que j’ai réalisé que ce n’était pas sa main ! Elle était plus large et rugueuse et surtout je perçus du bout des doigts le relief formé par de petites rides.
J’étais encore dans un demi-sommeil sur le point de sursauter et en même temps la chaleur douce et déterminée de ce contact me rassura aussi rapidement qu’elle m’avait angoissé. J’étais sur le point de me relever ainsi tiraillée entre deux sentiments, quand j’entendis sa voix grave et apaisante…
- N’ouvrez pas les yeux ! C’est moi Hubert, vous n’avez rien à craindre…
Et ces simples mots me firent deviner qu’au contraire j’avais tout à craindre… mais je me rendis compte que je ne faisais aucun mouvement de recul et que j’obéissais servilement à sa demande, et qu’en gardant les yeux fermés je m’abandonnais langoureusement au contact de sa main.
Ce n’était plus un simple attouchement, c’était une caresse qui flattait mon épaule. Je me redressai lentement pour poser mes coudes contre l’écritoire et je me rendis compte instantanément que je lui offrais ainsi une plus grande liberté de gestes.
Je n’avais pas peur, j’étais dans un total sentiment d’abandon. Je me sentais heureuse, comme si ce moment je l’avais attendu sans oser l’avouer et peut-être depuis cet instant où je l’avais rencontré pour la première fois…
Il fit glisser sa main délicatement jusqu’à frôler de ses doigts la base de mon cou. Il dut percevoir au toucher le frémissement qui parcourait mon corps sous l’effet de ce contact pour la première fois direct et espéré…
Ses doigts se mirent à jouer comme sur les cordes d’un instrument singulier à la recherche de quelque trésor que je devinais pouvoir lui offrir par le spectacle, dévoilé à ses yeux, de mon décolleté. En effet de l’endroit où il était placé derrière moi il s’offrait à sa vue d’une façon impudique.
J’avais toujours les yeux fermés, mais je sentais, je ressentais son regard dénuder mon buste. C’était comme si sans esquisser le moindre geste, sous le seul effet d’un désir masculin violent, il avait jeté à bas mon corsage et mes sous-vêtements pour savourer le spectacle de ma poitrine menue, mais plus ferme que jamais.
Je sentais en effet mes seins réagir au contact maintenant de ses deux mains qui, en caresses circulaires, ne flattaient, pour l’instant, que la partie la plus haute de mon buste. Et puis il y eut le souffle chaud le long de mon oreille sur laquelle bientôt il posa délicatement ses lèvres pour m’offrir un subtil baiser qui à son tour me fit frémir et éveilla mon excitation.
Je me sentais plus que jamais femme et je n’avais plus qu’un désir… lui offrir ce qu’il voulait de moi !
C’est alors que sa bouche glissa de mon oreille jusqu’à ma nuque et que je perçus le contact humide de sa langue contre mon cou. Ses mains avaient abandonné l’attouchement direct de ma peau, pour caresser, comme pour en révéler progressivement le relief, à travers l’étoffe, le galbe de mes seins.
J’étais soudain fière de ma poitrine que je trouvais souvent trop discrète et qui me semblait pour la première fois réagir de façon éloquente à une si tendre sollicitation. Je choisis ce moment pour me redresser davantage et plaquer mon dos contre le dossier de la chaise de telle façon qu’il puisse découvrir désormais le haut de mon torse et la fine dentelle sombre et transparente de mon bustier qui laissait deviner le contour de mes aréoles sombres et gonflées qui contrastaient avec la blancheur de carnation de mes seins.
C’est alors qu’il se pencha plus en avant et fit basculer ma tête en arrière, me plaçant ainsi dans une posture de total abandon. Sa bouche ne tarda pas à se poser sur la mienne. Sa jolie bouche que je rêvais d’embrasser prodiguait sur mes lèvres de savoureuses caresses alors que ses mains flattaient les moindre recoins de mon visage puis se mirent à effleurer mon cou, puis mes épaules.
Je me retrouvais dans une position totalement impudique comme si je faisais l’offrande de ma chair à cet homme qui restait un mystère pour moi. Je réalisais tout juste qu’il s’agissait du père de mon mari !
Mais ce que je découvrais surtout c’est que cette présence masculine si forte était en train de réaliser mes désirs les plus déraisonnables.
Je ne m’étais tout d’abord pas rendue compte, tant je me délectais d’avoir à me rendre corps et âme à sa seule volonté, que sa main gauche s’était glissée sous mon vêtement et qu’il était en train de palper mon sein avec sa paume de main un peu rugueuse. Dès que je le ressentis, ce contact un peu âpre et ô combien audacieux, me fit frémir ! Mon petit téton tenait presque entièrement dans sa main qui le massait maintenant avec énergie.
Il faisait rouler mon bout de sein sous ses doigts à l’instant même où sa langue s’introduisait dans ma bouche. Comme c’était bon de sentir un bout de sa chaleur me pénétrer maintenant. Sa langue léchant la mienne, ses lèvres se mettant à me sucer.
Puis ce fut au tour de mes lèvres d’être tétées par les siennes. Il me frottait la poitrine avec vigueur et éloigna son visage un instant…
- Est-ce que vous aimez ?
Bien sûr que j’aimais, mais je ne savais plus même ce que je disais et si c’était moi qui avait l’effronterie de lui répondre :
- Continuez, je vous en prie, continuez encore, j’ai tellement envie de vous faire plaisir… S’il vous plaît pincez-moi ! Pincez-moi les seins !
Je n’eus pas longtemps à attendre la réalisation de ma volonté. Il se mit à maltraiter mes bouts de seins avec application. Cette fois-ci les deux mains étaient plongées outrageusement dans mon corsage… Il poussa un peu plus loin son investigation en me massant d’une main le haut du ventre tout en ne cessant pas de me peloter avec rage. Il eut du mal à forer de son gros doigt mon petit nombril, mais cette intrusion nouvelle eu le don de m’exciter au plus haut point.
Je ne sais pas depuis combien de temps, mais je ressentis alors entre mes jambes, de par l’humidité et la chaleur que je discernais, combien j’étais envahie par le désir. Le désir, qu’il vienne au plus profond en moi…
C’est ce moment qu’il choisit pour faire pivoter le dossier de ma chaise, de telle sorte que je sentis immédiatement le contact de son bassin contre mon dos.
D’une main habile et expérimentée il dégrafa mon bustier et en fit glisser les bretelles de telle sorte qu’en un instant je me trouvais torse nu ! Je ressentis une pointe de honte devant le spectacle qui devait s’offrir à lui et notamment celui de mes seins dont la pointe érigée trahissait mon émoi.
Et puis je pus goûter contre le bas de mes reins, car il s’était accroupi, le doux contact de la proéminence calleuse de sa virilité qui se frottait déjà tout près de ma raie fessière. Il prit aussitôt ma main pour la guider vers son sexe. Et l’accompagna d’un mouvement explicite pour que je le caresse.
Je fus surprise de sentir le long de mes doigts le contact de sa peau fripée et je réalisais qu’il avait déjà ouvert sa braguette pour libérer son membre. Ce dernier paraissait à la fois plus épais et plus long que celui de mon mari. Il m’apparut aussi dans ce frémissement de chair, cette palpitation chaude et visqueuse, comme un animal fidèle, compagnon des jouissances à venir…
Je le sentis derrière moi se relever et prendre appui sur ses longues jambes bien fermes. J’étais à la fois effrayée et terriblement excitée par tout ce qui m’arrivait.
Je ressentis un frisson inattendu lorsque le bout de sa verge décalottée vint se blottir au creux de ma nuque. C’était un contact qui me parut divin, mêlé de fraîcheur et de chaleur, d’âpreté et d’une humidité gluante à son extrémité qui trahissait, avec le fait qu’il bande d’une façon insolente, le désir qu’il avait pour moi.
En fait j’étais comme folle et je ne pus m’empêcher de tourner la tête pour le regarder, pour m’assurer qu’il était bien là, blotti contre ma joue, tressaillant contre mon visage. Je ressentais à plein nez le violent fumet de son sexe, mélange d’urine, de transpiration et de sperme séché.
Tout cela était délicieusement immoral et obscène. Mais quand je pris son membre entre mes lèvres, je ne pus m’empêcher de penser à Sébastien, qui à cause de ses complexes ne parvenait jamais à bander dans ma bouche !
Comme c’était bon de sentir ce membre dur frotter l’intérieur de mes joues, mon palais, ma langue qui savourait goulûment cette sublime gourmandise !
Je le suçais religieusement, en position de prière telle que l’aurait fait une bonne-sœur, devant l’objet de son adoration. Cet objet, je voulais l’engloutir et le flatter pendant de longues minutes. Mais ses mains puissantes qui caressaient maintenant mon petit cul bien ferme dont j’étais assez fière, me laissaient espérer d’autres pénétrations !
Il entreprit de caresser et de masser mon corps à moitié nu et qui semblait si frêle soudain entre ses mains épaisses. Pendant tout ce temps où je n’étais plus qu’un objet de plaisir sculpté à mains nues par cet artiste sensuel et si talentueux, je n’abandonnai pas mes caresses buccales pour la jouissance exclusive de mon beau créateur…
Mes mains n’étaient pas non plus inactives et j’adorais caresser ses bourses toutes fripées et masser ses boules si sensibles. Comme dans une plainte il me demandait de continuer…
Au bout d’un moment il a glissé ses mains sous mes aisselles pour me relever doucement, de face à ce que je sois également debout face à lui. Il me dépassait de plus d’une tête, mais il approcha à nouveau son visage pour m’embrasser ou plus exactement pour m’envelopper les lèvres de sa grande bouche terriblement sensuelle.
Il fit glisser ma culotte le long de mes cuisses, releva ma jupe et ses mains puissantes alors enlacèrent ma taille qui devait lui paraître bien fluette, pour me soulever du sol sans effort… Mes fesses nues bientôt se trouvèrent au contact du rebord métallique et froid du bureau de mon mari et un violent frisson parcourut tout mon corps de mes orteils à la pointe des seins.
Tout cela était comme une danse, un rituel qu’il avait sans doute tant de fois répété avec d’autres que moi, mais à cet instant j’étais seule à être sienne !
Et ce qui était singulier à notre relation et ce qui je dois l’avouer désormais participait à la puissance de mon excitation, c’était la dimension honteuse, crapuleuse de cet adultère. J’étais sur le point de me faire baiser par le père de mon mari ! Et le trophée qu’ainsi je lui offrais avait à n’en pas douter pour lui aussi une saveur particulière…
Quand il écarta mes jambes doucement pour que j’offre à sa vue le spectacle de ma chatte entièrement rasée et humide du désir que j’avais d’être pénétrée, je me laissai faire… De même lorsqu’il approcha son sexe imposant pour le frotter tout doucement au mien.
Il était en train de me masturber de son gland massif et je ne pus longtemps soutenir son beau regard qui avait dû se mirer dans celui de nombreuses maîtresses conquises.
Ma tête bascula lorsqu’il me pénétra brusquement et ma jouissance était déjà telle que j’en avais la chair de poule.
Curieusement lorsqu’il me retourna pour me prendre en levrette, je me mis à penser à la jument de leur propriété que j’avais vue se faire saillir la semaine dernière par leur plus bel étalon. Je ne maîtrisais plus rien et par sa seule force il faisait coulisser violemment son bassin entre mes cuisses qui contrastaient sans doute par leur légèreté avec celles vigoureuses de ce bel athlète en pleine maturité.
Mon sexe était comblé, envahi, possédé au sens le plus fort par son membre énorme. Mais ce n’était rien face à ce qui m’attendait.
Il se retira brusquement de moi et présenta sa verge à l’entrée de mon anus. Pour la première fois je voulus protester en essayant d’un geste malhabile de la main de détourner l’engin de cette nouvelle cible et c’est alors qu’il me chuchota à l’oreille ces mots qui finirent par me soumettre à sa seule volonté.
- Tu es ma plus belle conquête et la plus exquise par le lien familial qui me lie à toi, mais pour que notre étreinte soit accomplie et totalement consommée il faut que tu me livres aussi ton charmant trou du cul !
- Je ne l’ai jamais fait à personne !
- Raison de plus pour m’offrir ainsi ce qu’il te reste de virginité !
Cette réponse évidente me laissa totalement désarmée à tel point qu’au bout d’un instant c’est moi qui pris la décision soudaine de m’emparer de sa bite pour la positionner résolument tout contre ma rondelle. Il n’eut pas à esquisser le moindre geste et c’est moi qui en me redressant et en plaquant mon dos contre son torse, c’est moi seule qui vins empaler ma croupe contre son sexe triomphant.
J’étais devenue une cavalière consciencieuse et lubrique qui chevauchait gaillardement mon nouvel étalon qui semblait étonné de mon attitude soudain si délurée malgré la douleur puissante qui envahissait le tréfonds de mon postérieur !
J’ai dû à un moment perdre connaissance…
Lorsque je me suis réveillée encore nue et à l’abandon, affalée contre le cuir du sous-main du bureau de Sébastien, son père était quant à lui déjà tout habillé et se penchant vers moi il me dit :
- Il va falloir apprendre à ne rien laisser paraître… et continuer à nous vouvoyer comme par le passé…
Il m’offrit son sourire le plus séduisant et un tendre baiser qui caressa tout juste mes lèvres. Je ne m’étais jamais sentie aussi femme !
Quand une heure plus tard mon mari qui me semblait ce jour-là plus jeune encore que d’habitude et aussi à sa manière tellement beau vint me rejoindre pour m’adresser à son tour un tendre baiser, je fus surprise de ne sentir aucune gêne.
C’était un peu comme ci chacun de ces hommes, représentant les charmes de leur génération respective, devaient naturellement à leur tour combler mes désirs de femmes dont je n’avais pas saisi jusqu’ici l’étendue. En quelque sorte j’étais prête à assumer ce rôle de maîtresse voluptueuse du père comme du fils… mais les évènements en décidèrent autrement.
Hubert prit à nouveau ses distances et de façon durable et bientôt je me sentais désespérée.
Au bout d’un certain temps face à son indifférence je me mis à penser que d’évidence une autre relation devait combler ses envies et en même temps je ne trouvais aucun indice qui puisse étayer mes soupçons…
C’est alors que face à un tel mystère j’entrepris de chercher des indices dans le gros cahier qui je l’espérais, était resté à sa place !
Le cahier était bien là et je me mis à le feuilleter sans découvrir la trace de la moindre relation durable, mais au contraire une palette de « proies » d’une diversité que je n’avais pas imaginée…
C’est en feuilletant les ultimes pages que je tombais sur cette dernière aventure :
…..................
Vendredi 2 novembre :
Pendant mon absence, il a possédé Océane sur mon bureau et j’ai appris qu’elle avait pris beaucoup de plaisir, notamment quand il est entré dans son cul
........................!

L'âge a souvent de nombreux atouts
L’expérience, l'endurance, le savoir-faire;
et surtout ils sont convaincants... 

Master class
Je viens de couper le moteur de ma voiture. J’attends quelques minutes pour ne pas arriver la première... Ce soir, j’ai rendez-vous dans un des meilleurs restaurants de Montpellier. Je n’y suis jamais allée et de toutes manières, les étudiants ne vont pas dans ces endroits là...
Je suis étudiante en pharmacie, je viens de réussir le concours d’entrée ! En septembre, j’aurai droit au bizutage... L’homme que je vais rejoindre m’a invitée à la suite d’une conférence qu’il a donnée à la fac en fin d’année... Son exposé étant particulièrement brillant, je suis allée le voir, le courant est assez vite passé et il m’a glissé sa carte dans la main pour que je prenne rendez-vous à son bureau... Après quelques jours d’hésitation, je me suis décidé à appeler pour pouvoir continuer à lui poser toutes mes questions... Il aurait pu être mon père mais cet homme à l’apparence classique avait un aura inimaginable... A la suite de notre entretien, il m’a invité à diner et me voilà ce soir devant le restaurant... J’ai essayé de m’habiller du mieux possible par rapport à ma modeste garde-robe... Les temps sont durs lorsque l’on est étudiante... Je porte la robe que j’ai mise au gala pharma l’année dernière ; j’ai un peu honte car elle est un peu transparente et elle se porte sans soutien-gorge...
J’ai passé l’après-midi entre le coiffeur et l’esthéticienne... Je n’ai plus un poils...Dieu qu’il faut souffrir pour essayer d’être belle.
Je pénètre enfin dans le restaurant, une hôtesse vient vers moi...
- J’ai rendez-vous avec le Professeur Boyer » dis-je timidement.
Elle me fit signe de la suivre en m’indiquant qu’il était arrivé...
La soirée était très agréable, je buvais ses paroles... C’était vraiment un grand orateur, capable de tenir une conversation pendant des heures... Je remarquais tout de même que la vision de mes seins sous ma robes captait régulièrement son attention et ce pour mon plus grand plaisir... A la fin du repas, nous nous connaissions mieux, je savais à regret qu’il était marié avec deux enfants ... Lui devait savoir pas mal de choses sur moi car le vin aidant je me m’étais mise à parler sans m’arrêter... Il compatissait sur mes difficultés à joindre les deux bouts et me félicitait d’arriver à m’en sortir aussi bien... L’heure de rentrer arriva et devant mon état de gaieté avancée, il décida qu’il me ramenait chez moi... Arrivés devant chez moi, il coupa le moteur.
- Te voilà arrivée à bon port ! Je te remercie pour cette soirée belle Emilie... »
Tout en rougissant, je murmurais :
- Merci à vous... dommage que vous soyez marié ! »
Son regard se mit d’un coup à briller et il posa sa main sur ma cuisse. En même temps qu’il faisait remonter sa main le long de ma cuisse, il me toisa du regard :
- Tu ne vas pas regretter tes paroles chère Emilie, mais tu es une petite effrontée qui n’a pas froid aux yeux... »
Sa main venait d’atteindre ma culotte et commençait à glisser ses doigts à l’intérieur.
- Mais tu es trempée petite cochonne ! Tu mouilles d’envie que ton professeur s’occupe de toi, n’est-ce pas ?
- Oui professeur, vous me plaisez beaucoup...
- Je ne veux pas d’histoires d’un soir, si tu veux aller plus loin, tu devras te montrer obéissante et devenir ma chose... Je suis un dominant dans mes histoires extraconjugales ! Je te veux à moi, où, quand et comment je voudrai ! Tu seras ma pute soumise car je te donnerai 2000 euros cash tous les mois pour tes services... Regarde dans la boite à gant, ouvre l’enveloppe ! »
Il y avait 2000 euros... Sans beaucoup réfléchir, je me disais que c’était la solution à pas mal de problèmes et tout ça pour baiser avec un homme qui m’attirait terriblement...
- Je suis à vous professeur... »
Souriant, il répondit :
- Bien, sage décision... Mais fais moi le plaisir de m’appeler Maître, c’est plus respectueux de mon statut et de ta condition... Maintenant, enlève ta culotte pour la mettre dans ta bouche... Hmmmm...Très bien Emilie...Mets ta ceinture, on va faire un tour ! »
Après quelques kilomètres, il rentra sur un parking et gara la voiture à coté d’un banc...
- Tu vois ce banc... Assieds toi dessus et montre moi ta belle petite chatte. Je te regarde, ne me déçoit pas ! »
Avalant une gorgée de salive parfumée à mon odeur corporelle, je m’exécutais... Il avait l’air satisfait de m’exhiber comme ça...
- Tu te comportes très bien, nous pouvons y aller... Remets ta culotte. »
Étonnée et presque déçue :
- Déjà ?
- Non ma belle, je parlais du club qui se trouve sur cette place. Tu ne vas pas beaucoup dormir cette nuit... »
Nous nous sommes présenté devant l’entrée où une femme habillée de cuir nous attendait. Elle connaissait mon nouveau Maître... Nous descendîmes alors beaucoup d’escaliers pour nous emmener dans des pièces voutés... Il m’emmena dans une pièce qu’il nomma donjon où se tenaient plusieurs hommes et femmes assis comme pour assister à un spectacle...
Il me présenta et me plaça devant un objet datant du Moyen Age dans lequel il bloqua ma tête et mes mains afin de m’immobiliser... Moi qui avait une confiance aveugle en cet homme, un frisson d’angoisse me parcourut lorsqu’en essayant de me dégager, je vis que j’étais prisonnière... Tous se mirent à rire devant mon angoisse. Et dire que j’avais affirmé à la dame de la réception que j’étais parfaitement consentante lorsqu’elle me posa la question avant de me laisser entrer ; elle avait même demandé à voir ma carte d’identité et m’avait fait signer un papier sur lequel j’attestais que je n’étais pas sous quelque contrainte que se soit...
- Patrick ? La caméra tourne ?
- Oui ça tourne ! »
Une caméra... Comment pouvait-il oser ? Je n’en croyais pas mes oreilles du haut de mes 19 ans... Il m’avait bien eu ce vieux pervers de professeur...
- La caméra ma belle, c’est juste histoire que tu comprennes que tu ne peux reprendre ta liberté sans mon accord sinon c’est ta réputation qui pourrait en pâtir... Et puis pour le fric que je vais te laisser...ah ah ah !!! Regarde un peu ce que je vais t’enfoncer dans ton petit cul »
Mes gémissements était à peine perceptibles devant les cris d’encouragements que recevait mon Maître.
- Passe moi le vibromasseur Jean, que je lui donne de plaisir... Et toi, Patrick, filme bien son visage, je vais la faire jouir et lui laisser le vibro collé à son clito jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus ! »
J’étais comme violée mais j’avais été consentante et son vibro commençait à faire ressortir toute l’excitation que j’avais gardé en moi toute la soirée... Le vibro glissait contre ma chatte trempée, je commençais à bouger et remuer mon corps sous le coup de l’excitation mais dès que je bougeais un peu trop, la corde qui tenait l’hameçon géant se tendait et le faisait remonter dans mon cul comme un pêcheur qui ferre sa proie...
Je me mis à jouir comme cela ne m’était jamais arrivé... Chaque vibration faisait raidir mon corps et entrainait l’hameçon dans des mouvements perpétuels...Mon Maître s’arrêta au bout de quelques minutes et reçut les applaudissements de la salle...
Il détacha la corde de l’hameçon et me le retira délicatement. Il s’approcha de moi, baissa son pantalon et prit la parole :
- Je suis ravi de constater tout le plaisir que tu a pris ma belle Emilie. Ta première séance qui en amène bien d’autres, crois moi, est un succès ! Tu va maintenant remercier Patrick comme il se doit pour le film qu’il a fait de toi, film qui restera confidentiel si tu respectes tes engagements... Patrick, viens te faire sucer mon ami ! Et avale tout comme une grande ! »
Patrick se présenta devant moi et en moins d’une minute éjacula dans ma bouche... Mon Maître en fit de même avant de me détacher et de me rhabiller. Nous sortirent en silence et une fois dehors il me questionna :
- As tu pris autant de plaisir que moi ? »
A présent remise de mes émotions :
- J’ai un peu honte de l’avouer mais je crois que oui... Vous avez révélé en moi quelque chose Maître ! »
Calmement, il me répondit :
- Et ce n’est que le début... »




Ardem: Les Trois soeurs Darnum: Sabarra... Suite.

Ardem: Les Trois soeurs Darnum: Sabarra... Fin

Ciné club: Mythique!

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Pour ce genre de scène, difficile de faire mieux.
Je suis pas sûr que cela serait autorisé aujourd'hui.


Histoire du net. Auteur Inconnu. C'est mignon tout plein!...

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 A certains âges le sang bouillonne grave

Chronique de découvertes
Je venais de fêter mes 19 ans et j'avais pris conscience de mon homosexualité depuis déjà plusieurs années. Les garçons trottaient sans cesse dans ma tête: je me masturbais délicieusement en fantasmant sur le corps de mes camarades de classe ou de sport, je multipliais les contacts étroits avec mes partenaires de lutte, les enlaçant, me pressant contre eux et frottant même parfois mon pubis contre le leur, ce qui provoquait souvent des réponses identiques pour mon plus grand plaisir. Néanmoins, rien n'allait jamais plus loin, cela semblant suffire à mes partenaires de jeux.
J'avais découvert les joies de la masturbation depuis déjà deux ans et j'avais profité de tout ce temps pour parfaire quotidiennement - souvent plusieurs fois par jour - cette agréable pratique qui me laissait haletant et couvert de sperme.
J'aimais aussi m'exhiber devant mes potes de lycée et je le faisais sans complexe, notamment dans les vestiaires du gymnase au lycée et sous les douches après les séances de lutte.
Nous étions la plupart du temps entre adolescents et chacun épiait du regard le corps de l'autre, pour voler quelques images de corps nus et luisants de sueur. Mes partenaires se régalaient car j'étais toujours le premier à poil et le dernier habillé.
Je me promenais nu au milieu de mes potes, discutant avec l'un d'entre eux, sachant que tous les autres m'observaient et se gavaient de mon corps exposé à leur vue. Sentir leurs regards posés sur moi m'excitait beaucoup et j'avais du mal à empêcher ma bite de gonfler et de se redresser glorieusement.
Lorsque je me rhabillais, je bandais souvent à moitié et je surprenais plus d'un garçon en train de se caresser discrètement la queue - d'ailleurs pas toujours si discrètement que ça. Mais, là encore, personne ne semblait vouloir aller plus loin.
Je rentrais alors rapidement à la maison, jetais mes affaires aux quatre coins de la chambre et je plongeais sur mon lit, à chaque fois la trique déjà raide et bien rouge. Là, une main se refermait autour de mes couilles, les pressant doucement et les flattant, pendant que l'autre montait et descendait le long de ma hampe gorgée de sang.
Je fermais les yeux et j'imaginais que je restais seul avec un de mes potes dans les vestiaires ou sous les douches et que nous nous masturbions, que nous nous sucions avec volupté. Parfois même, je nous voyais nous prenant l'un après l'autre dans les vapeurs d'eau chaude, jouissant longuement et violemment sous l'eau qui ruisselait sur nos corps. Un orgasme terrible survenait généralement à ce moment-là et je devais enfouir mon visage dans mon oreiller pour ne pas me faire choper par mes parents.
Cet après-midi-là, j'étais seul à la maison, mes parents étant sortis et ne revenant pas avant une heure avancée de la nuit. Dès leur départ, je m'étais foutu à poil et je vaquais à mes occupations dans cette tenue. À chaque fois que je passais devant une glace, j'admirais mon corps, détaillais mon sexe, soupesais mes couilles pendantes, je jouais avec mon pénis ou doigtais mon anus.
J'avais vite découvert que je pouvais stimuler cette partie de mon corps et que mes jouissances n'en étaient que meilleures. Au début, je n'introduisais qu'un doigt largement humecté de salive et je le faisais pénétrer le plus loin possible entre mes fesses. Puis, peu à peu, j'y avais glissé un deuxième puis un troisième doigt, assouplissant et élargissant ainsi progressivement mon orifice. Lorsque je réussis à enfoncer trois doigts sans difficulté, je me mis à m'astiquer l'anus avec des carottes qui devinrent donc mes premières amantes...
J'en retirais un grand plaisir et de longues salves de sperme jaillissaient de ma propre carotte, me faisant gémir longuement et profondément. Mais mes fantasmes et mes carottes commençaient à ne plus me rassasier et mon corps appelait désormais un autre corps...
Donc cet après-midi-là, j'étais seul et à poil dans le pavillon de mes parents. Il faisait très beau et j'avais ouvert les portes-fenêtres du salon dans lequel je passais le plus clair de mon temps. Confortablement installé dans le canapé en cuir, je jouais négligemment avec mon membre qui commençait doucement à s'éveiller.
Soudain, des éclats de rire retentirent dans la rue. Je me levais et jetais un coup d'oeil dehors. Deux mecs se promenaient et, pour mon plus grand bonheur, ils s'arrêtèrent devant la maison pour consulter les horaires de car. Le car s'arrêtait en effet juste devant la maison.
L'un des deux garçons était un vrai canon, le second était plus ordinaire mais cela m'importait peu. Mon corps brûlait d'être caressé par d'autres mains et peu m'importait le garçon qui bénéficierait de cette primeur. Ils regardaient tous les deux les horaires et, de ce fait, ils ne pouvaient pas me voir.
Moi, je m'étais presque mis sur la terrasse pour les observer et en se tournant, ils n'auraient eu aucune difficulté à me voir à poil. Mais ils semblaient plongés dans leur recherche. Celle-ci devait être amusante car ils gloussaient de temps en temps. Mais je compris vite la raison de leur ricanements.
Je remarquais que l'un d'eux tenait son pote par l'épaule et son corps était perpendiculaire à celui de son ami. Mais si tous deux regardaient les horaires, la main de l'un d'eux ne restait pas inactive: elle caressait langoureusement le devant du short de son camarade dont je remarquais alors le sourire béat.
Ma verge réagit instantanément à cette scène et un afflux de sang la fit gonfler comme jamais. Deux mecs de mon âge s'excitaient sous mes yeux, qui devaient être exorbités. Puis la main se retira et le garçon se plaça derrière son pote, les deux continuant à regarder les horaires.
Celui qui était derrière poussa son pubis en avant et frotta son dard contre le cul de son ami. Ce dernier glissa alors une main entre leurs deux corps et caressa longuement la bite ainsi offerte. Ce garçon à l'arrière devait apprécier cet frôlement car il appuya son dos sur un poteau électrique et s'offrit ainsi aux caresses viriles.
Je l'entendais distinctement soupirer et ma main montait et descendait, comme folle, le long de ma tige en feu. Je voyais nettement une magnifique bosse sur le devant des deux shorts et j'enregistrais toutes ces images pour pouvoir alimenter mes prochaines séances de branlette.
J'étais excité comme jamais car c'était la première fois que j'assistais à un tel spectacle. Cet échange ne devait pas être le premier, ni pour l'un, ni pour l'autre, car on comprenait rapidement en les regardant qu'une grande complicité les unissait et je me mis à jalouser cet connivence.
Tout à ma branlette et aux fantasmes que je commençais à élaborer, j'avais fermé les yeux et ce fut des rires qui me firent les ouvrir. Profitant de ces quelques secondes de distraction, ils s'étaient tournés vers moi et me regardaient tout en continuant à se caresser mutuellement. La surprise me fit lâcher ma colonne, offrant à leurs regards excités une lance prête à déverser des flots de crème.
— Jolie queue, ça me donne vachement faim, pas toi? dit le premier en regardant son pote.
— Ah ouais alors, j'ai l'impression qu'on a collé une sacré gaule à notre petit camarade. Je me demande quel goût elle peut avoir...
Les premiers moments de stupeur passés et ne voulant pas laisser échapper cette chance inespérée, je retrouvais ma voix.
— Ahhhhhh! Elle vous fait envie, n'est-ce pas? Si vous pouviez la toucher, vous verriez comme elle est dure... Faut dire que vous m'avez bien chauffé tous les deux, j'ai jamais eu une trique aussi longue et aussi raide...
En disant ça, je regardais mon mât de cocagne, fièrement dressé vers les deux garçons, les narguant et captant leurs regards. J'admirais mon engin, si beau, si lisse, si tendu et que je n'osais plus toucher, de peur de le cacher à mes deux petits pervers mais aussi de peur de déclencher un orgasme qui serait ravageur. Les deux jeunes mâles continuaient à se peloter vigoureusement, le souffle déjà court. Il était temps de prendre des initiatives.
— Si ça vous dit... venez faire un tour à l'intérieur, je suis sûr que, vous aussi, vous avez des bites superbes à me faire découvrir... Puis je crois avoir compris que les mecs ne vous laissent pas indifférents... Allez, venez vous éclater avec moi, ok?
Les deux gars se regardèrent quelques secondes, un large sourire fendit leur visage et ils traversèrent la rue. Je bondis vers l'escalier que je dévalais à toute allure, ma queue dansant dans tous les sens au rythme de mes pas. J'ouvris la porte et je sortis timidement dans le jardin, regardant autour de moi avant de me montrer trop.
— Tu peux venir, y a personne dans la rue, me dirent-ils en jetant un coup d'oeil à gauche et à droite. Dépêche-toi, on a trop envie de te toucher...
Je m'élançai dans le jardin, la pine toujours pointée vers l'avant. J'ouvris un battant du portail et ils se glissèrent dans le jardin. Aussitôt, ils m'entourèrent et leurs mains se mirent à courir sur mon corps. Quels petits vicieux!
Mais il faut dire que j'étais moi aussi un sacré vicieux, exhibant ma solide érection sans vergogne. Une bouche happa la mienne et une langue se glissa aussi sec dans ma bouche qui s'ouvrit pour recevoir un baiser passionné. Mes mains ne restaient pas inactives et pelotaient deux verges vigoureuses qui ne demandaient qu'à s'échapper de leur prison de tissu. Je glissai mes deux mains sous leurs deux shorts, ce qui fut facile car leurs jambes étaient largement écartées. Ils ne portaient aucun sous-vêtement et je pus ainsi caresser sans difficulté leurs deux solides lances qui me semblaient aussi épanouies que la mienne. Mais je commençais à flipper et à avoir peur de me faire choper à poil et la main dans le sac - c'était vraiment le cas de le dire.
Je repoussais mes deux amants et courus vers la maison, aussitôt pris en chasse par mes deux excités.
— Hummmmmm! Quel joli cul! Je sens qu'on ne va pas s'ennuyer tous les trois. Ça sent la bonne partie de baise bien chaude... apprécia le premier.
— J'ai trop envie de lui défoncer la rondelle et de lui cracher dans le trou, ajouta l'autre.
Ils me rejoignirent dans l'entrée et je repoussais la porte du pied alors qu'ils m'enlaçaient de nouveau étroitement. Je réussis encore à me dégager et ils me poursuivirent jusque dans le salon en riant.
Je plongeais sur le canapé, aussitôt rejoint par deux corps qui se pressèrent langoureusement contre le mien. Leurs bouches s'écrasèrent contre la mienne et leurs deux langues luttèrent pour prendre possession de ma cavité buccale. On finit par sortir nos trois langues qui joutèrent les unes avec les autres, s'agaçant, s'entremêlant et faisant naître en nous de profonds soupirs.
Il est temps que je vous présente un peu mes deux nouveaux amis qui allaient devenir, sans aucun doute, mes partenaires attitrés. Benjamin avait 18 ans et demi, il était blond comme les blés, pas franchement mignon mais avec un regard qui vous donnait envie de vous faire prendre sur place.
Son corps était un peu plus musclé que le mien, sa poitrine plus large, ses cuisses solides et légèrement poilues. J'appris par la suite qu'il pratiquait la gymnastique depuis une année et que celle-ci commençait à sculpter son corps, dessinant peu à peu ses muscles.
Alexis était un superbe adolescent de 19 ans et il aurait fait instantanément bander un mort. Il était aussi brun que Benjamin était blond, ses yeux verts attiraient irrésistiblement les regards. Lui aussi pratiquait la gym, depuis plus longtemps que Ben, et son corps était magnifique. Je sentais sous mes mains une peau satinée, sans un poil - rare pour un brun - et je sentais ses muscles rouler sous mes paumes. J'adorais caresser sans fin ce corps si lisse et en même temps si ferme, ce corps à la fois doux et puissant.
Tout en les embrassant, je me mis à les dévêtir pour mieux les toucher. Comme il faisait chaud, ils ne portaient pas grand chose et shorts et t-shirts volèrent rapidement à nos pieds. Je pus alors découvrir leurs sexes que j'avais jusqu'à présent devinés. Celui de Ben était de même longueur que le mien mais un peu plus large, non circoncis, contrairement au mien et je me délectais à l'avance de jouer avec son prépuce.
Celui d'Alex était très gros à la base, devenant moins large au niveau du gland. En fait, il me faisait penser à un cône à l'envers, un cône que j'avais très envie de déguster sans plus tarder pour en éprouver la vigueur. Comme moi, il était circoncis et sa flèche était un peu plus courte que la mienne.
Mais tout cela n'avait que peu d'importance, même si j'étais à un âge où l'on aime comparer la taille et la forme des sexes, ce que j'avais fait des dizaines de fois dans les vestiaires du lycée ou sous les douches. Une seule chose me tardait désormais: passer aux choses sérieuses et mettre enfin en pratique tous les fantasmes que j'avais créés depuis la découverte des plaisirs qu'on pouvait tirer d'un sexe masculin.
Tout en nous embrassant, nous nous étions peu à peu redressés et j'étais maintenant assis, les jambes écartées, mes amants chevauchant mes jambes. Nos sexes ne se touchaient pas et j'avais très envie de presser le mien contre les leurs. J'avançai donc mon corps vers celui d'Alexis, je plaquai ma bite contre la sienne et je me frottai sensuellement contre sa virilité.
Je sentais son organe pulser contre le mien et de longs gémissement s'échappaient de nos bouches. Ben plaqua son aiguillon contre ma hanche et se mit à se masturber ainsi. Nos corps se pressaient fortement les uns contre les autres, nos verges gonflées de sève vibraient sous les caresses pendant que nos bouches s'affrontaient de nouveau.
Je captais de temps en temps le souffle de Ben dans mon cou, un souffle brûlant de désir et ses dents mordillaient très souvent le lobes de mes oreilles ce qui m'arrachait des cris de plaisir. La langue d'Alexis était très expérimentée et me tirait, elle aussi, des gémissements sans fin. J'étais ivre de bonheur entre les mains de ces deux mâles qui s'ingéniaient à jouer avec chaque fibre de mon corps et la tête me tournait. Je me rendis compte alors de l'expérience qu'ils avaient et j'appris par la suite qu'ils sortaient ensemble depuis plus d'un an. J'étais excité comme jamais auparavant et je ne pus me contenir plus longtemps.
Sous les assauts de leurs deux corps, je laissais échapper de longs sanglots rauques et un jaillissement sans précédent me terrassa. Un premier jet moyen fut suivi de trois longs jets drus d'une épaisse semence. Une quatrième contraction expulsa un nouveau chargement puis un cinquième et un sixième. Le flot de sperme ne semblait pas vouloir se tarir.
Mais bien sûr, cela cessa, me laissant vidé et haletant entre les bras de mes deux petits amis. Ils me caressaient la poitrine tout en essuyant la jute qui maculait nos corps. Ils la sentaient avant de se faire lécher mutuellement leurs doigts, dégustant mon sirop comme un nectar. Ils me firent rapidement partager leur dégustation et je découvris alors le goût de ma liqueur.
Et oui, ça peut vous paraître surprenant, je me branlais, je me doigtais mais je n'avais encore jamais osé goûter à mon sperme. J'en connaissais l'odeur, je le humais après chaque jouissance, ma main s'était approchée plusieurs fois de ma bouche mais au dernier moment, elle avait reculé, n'osant pas franchir l'ultime étape. Je découvris donc une nouvelle saveur, un peu âpre, mais au goût pas si désagréable que ça. De fait, je regrettais bientôt qu'il n'y ait plus rien à avaler.
— Ne t'inquiète pas, Marc, nos couilles sont encore bien pleines et je t'assure que tu vas bientôt pouvoir te régaler de nouveau... déclara Alex, dans un souffle. Tu es prêt Ben? ajouta-t-il en posant sa main sur la barre de son pote.
Benjamin opina de la tête et saisit le manche de son partenaire. Leurs deux mains se mirent à astiquer leurs deux membres avec force pendant que les miennes caressaient leur poitrine et titillaient leurs mamelons.
Ils échangeaient de temps en temps un regard, comme pour se consulter puis, sans qu'ils se soient parlé, deux grands cris jaillirent simultanément de leur gorge et leurs queues se mirent à cracher ensemble. Sous la puissance de leur éjaculation, le sperme giclaient haut avant de retomber sur mon corps luisant de transpiration. Leurs spermes se mélangèrent en ruisselant sur moi et j'arrêtais de les peloter pour récolter leur sève avec mes doigts qui filèrent aussitôt dans ma bouche.
Je me délectais de mon butin puis je poursuivis mon ramassage pour leur offrir ensuite mes doigts qu'ils s'empressèrent de lécher. Une dernière lampée et Alex me roula un patin qui m'affola de nouveau. Dans sa bouche, je reconnus le goût de la dèche qu'il venait d'avaler et ce baiser n'en était que meilleur...
— C'était vraiment trop fort, les gars, j'ai jamais éprouvé autant de plaisir en jouissant...
— Attends un peu, mon amour, tu n'as encore rien vu, répondit Alexis. Quand on partira, tu en connaîtras aussi long que nous sur le sujet. Nous avons encore plein de choses merveilleuses à te faire découvrir...

Chad entre dans ma vie
Après cette découverte de l'amour entre mecs grâce à Alexis et Benjamin, rien ne fut plus comme avant. Je pensais et repensais sans cesse aux caresses que nous avions échangées, à la découverte du plaisir qu'on pouvait donner et recevoir et ces souvenirs rythmaient désormais mes séances de masturbation... leur donnant une saveur nouvelle. J'avais hâte de retrouver mes deux amants qui m'avaient promis de me contacter bientôt... Une quinzaine s'était écoulée sans qu'ils ne donnent signe de vie et je commençais à me demander si je les reverrais un jour. Mais ma patience fut bientôt récompensée.
Alexis et Benjamin refirent surface alors que je ne m'y attendais pas. J'étais au cinéma, attendant dans la file que les portes s'ouvrent pour aller m'installer dans la salle. Soudain, deux mains se plaquèrent sur mes yeux et deux bras m'attirèrent contre une poitrine accueillante. Une douce odeur flotta jusqu'à mes narines, une odeur que je reconnaissais et dont je rêvais chaque nuit.
— Salut Alexis! m'écriai-je, faisant se retourner deux ou trois personnes.
— Héhéhé! Salut mon chéri, murmura-t-il à mon oreille. T'es vachement doué toi...
— Tu sens tellement bon... j'adore ton odeur, répondis-je discrètement.
Il me libéra de son étreinte, à mon grand regret. Je me retournai et découvris le visage hilare de mes deux mecs préférés. Je regrettais que nous soyons dans la foule car j'aurais aimé les serrer dans mes bras et les embrasser. Mais nous pourrions peut-être jouer avec nos queues dans la salle. Cette pensée me fit frissonner de désir et mon sexe commença à remplir mon caleçon et à pousser contre mon jeans. Je m'écartais un peu de mes potes pour leur dévoiler l'état dans lequel ils me mettaient. Le sourire d'Alexis et de Benji s'élargit puis Ben se pencha vers moi et me glissa à l'oreille:
— Putain, t'es déjà chaud on dirait... Mais calme-toi, on n'est pas venu pour s'envoyer en l'air avec toi.
Mon sourire s'effaça aussitôt de mon visage et je ne pus masquer ma déception. Comment? Ils m'avaient juste chauffé puis ils me laissaient tomber? Mon sexe fondit aussi vite que la colère m'envahissait. Mes poings se serrèrent et j'eus soudain envie de les frapper tous les deux. À ce moment, Alex se pencha vers moi.
— Calme-toi bébé, on est venu te faire une proposition qui va te plaire.
Je le regardais, l'air étonné.
— Voilà! Tu sais, Ben et moi, nous sommes amants et nous tenons énormément l'un à l'autre. Pas question de faire éclater notre couple en te faisant participer à nos sessions. L'autre jour, quand on a fait l'amour avec toi, c'était pour te tester et nous avons beaucoup apprécié tes qualités. Je pense que tu es parfait pour ce qui va suivre...
— Euh... j'te comprends pas Alex... sois plus clair... vous m'avez trompé, j'ai envie de vous... c'était trop beau pour être vrai... je me voyais bien devenir votre amant moi aussi... vous me plaisez... je pense sans arrêt à vous, je me masturbe en pensant à vos corps et aux caresses que nous avons échangées... j'y comprends plus rien...
Je ravalais un sanglot... pas question de chialer au milieu de tout ce monde. Je n'avais plus qu'une envie... fuir... courir jusqu'à en perdre le souffle, m'écrouler sur le sol et pleurer tout mon saoul... Je commençais à me dégager quand la main d'Alex se glissa fermement dans la mienne et me tira en arrière.
— Écoute-moi avant de faire une bêtise... on va te faire le plus beau cadeau dont tu puisses rêver. On va te présenter à notre ami Chad.
— Mais je m'en fous de ce mec, c'est vous que j'aime, c'est avec vous que je veux faire l'amour...
— Fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas. D'ailleurs, je crois que tu le connais. Il était dans le même collège que toi, il est en BTS actuellement...
— Comment il s'appelle?
— Chad! Enfin, c'est ainsi que tout le monde l'appelle, j'ai tellement pris l'habitude de l'appeler ainsi que je sais même plus son vrai prénom. De toute façon, il ne répond qu'à ce prénom.
Chad... Chad... j'avais beau chercher dans ma mémoire, aucun visage ne me venait à l'esprit.
— Il fait du skate, il est vachement bon pour un mec qui vient d'avoir 18 ans! Au fait, c'est marrant, vous êtes nés le même jour, à un an d'intervalle, ajouta Ben.
Chad, un mec qui faisait du skate... ah oui... bien sûr... maintenant je me souvenais de lui. Un mec assez mignon que j'avais parfois croisé dans les couloirs du collège.
— Ouais, vous êtes bien sympas mais il n'est sûrement pas gay et puis, c'est vous qui m'excitez. Pis rien ne dit que ça marchera entre nous...
— T'inquiètes pas pour tout ça. Fais-nous confiance, vous êtes faits l'un pour l'autre. Je suis sûr que tu vas craquer en le voyant.
— Ouais, je sais, il n'est pas mal comme gars mais bon... il me branche pas vraiment...
— Depuis combien de temps tu ne l'as pas vu?
— Depuis que j'ai quitté le collège. Je me souviens d'un mec de taille moyenne, le visage fin, des cheveux châtains et de beaux yeux bleus, pas très athlétique. Pourquoi?
— Bah alors, tu risques d'être surpris en le voyant. Il a beaucoup changé, il a maintenant un corps superbe à force de faire du skate. Pis, au lit, il est géant... me rétorqua Alex, avec un large sourire.
— Comment tu peux savoir ça, toi?
— On s'est occupé de sa formation, répondit-il en me faisant un clin d'oeil.
— Bon, ok, j'accepte de le rencontrer... à condition qu'on puisse s'amuser un peu pendant le film.
— Ça marche, give me five!
On se tapa dans les mains, de larges sourires fendant nos bouilles réjouies. Les portes de la salle s'ouvrirent peu de temps après et on s'installa au fond du cinéma, Alex s'installant à ma droite et Benjamin à ma gauche. Par chance, personne ne vint dans notre rangée et avant même que les lumières ne s'éteignent, j'avais largement écarté les cuisses et deux mains très douces s'empressèrent de me caresser l'entrejambe. Quand les lumières s'éteignirent, ma queue était dure comme du roc et les doigts de Ben s'activèrent aussitôt sur ma braguette pour libérer mon pal. De mon côté, j'avais aussi langoureusement caressé leurs bosses et je fis de même, retrouvant les deux vigueurs qui m'avaient dépucelé deux semaines plus tôt. Je ne vais pas m'étendre sur la triple fellation qui s'ensuivit qui, bien que formidable, ne constitue pas l'intérêt principal de cette histoire.

A demain pour la suite....
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