Toutes les expériences consenties sont bonnes à vivre.
Et de découvertes en découvertes la vie entre...
Par différents trous lol!
Chronique de découvertes
Fin
En sortant du ciné, mes deux potes me prirent par le bras et m'emmenèrent avec eux. En chemin, on discuta d'un tas de chose et au fur et à mesure qu'on marchait, une boule commença à se former dans ma gorge. On discuta notamment de Chad qui, d'après mes potes, étaient vraiment devenu un canon. J'avais maintenant peur de ne pas être à la hauteur... après tout, je suis loin d'être mignon. En fait, je séduis surtout les gens par mon charme qu'on ne découvre pas toujours tout de suite. Mais quand il opère, on devient vraiment accro. Comment un mec comme Chad pourrait-il s'intéresser à moi?
— On est arrivé, me dit soudain Benjamin.
Je sursautais car j'étais perdu dans mes pensées. Nous étions devant un portail, de l'autre côté du mur s'étendait un grand jardin avec deux superbes conifères plantés devant la maison qui se trouvait ainsi dissimulée en partie. Je n'avais pas vu Alexis sonner et je m'aperçus soudain que le portail s'ouvrait et un garçon se matérialisa sous mes yeux.
J'arrêtais aussitôt de respirer. Le garçon que je découvrais n'avait en effet plus rien à voir avec celui qui était dans ma mémoire. Chad me dépassait maintenant d'une quinzaine de centimètres, il portait des rastas ce qui lui allait merveilleusement bien, son visage était celui d'un ange, plus tout à fait celui d'un enfant mais pas encore celui d'un homme, ses épaules étaient larges et on devinait sous son tee-shirt un corps musclé.
Mais par-dessus tout, ce fut son regard qui me transperça... un regard bleu pâle, un regard dont je ne parvenais pas à me dégager... un regard presque hypnotique. Ouais, Chad était devenu un canon et bien qu'il fut plus jeune que moi d'un an, il m'impressionnait par son calme, sa douceur et sa beauté.
— Salut Marc, enchanté de faire ta connaissance.
— Hein? quoi? euh... ouais... moi aussi, parvins-je à bafouiller au bout de quelques secondes.
Je remarquais alors la main qu'il avait tendue vers moi et je la saisis pour répondre à son geste. Alexis et Benjamin riaient aux éclats de me voir dans cet état. Je me sentais sur un nuage et alors que je prenais sa main, une main douce, j'eus le coup de foudre pour ce gars si merveilleux. Je me mis à trembler comme une feuille, incapable de contrôler mes réactions. Chad m'enlaça et me dit, de l'inquiétude dans la voix:
— Ça va pas Marc? tu veux t'asseoir? T'es tout pâle et tu parles plus... Qu'est-ce qui t'arrive?
J'étais incapable de répondre à ses questions, j'étais sous le choc et rien n'aurait pu me préparer à cette rencontre si magique. Chad caressait tendrement mes épaules et mon dos et il me fit asseoir sur un banc dans son jardin. Chad ne m'avait pas lâché et il continua à me caresser et à me parler doucement jusqu'à ce que mes tremblements eurent cessé. Je poussais alors un long soupir ce qui fit rire tout le monde, moi y compris. Ça y était, j'avais repris mes esprits mais je ne parvenais pas à détacher mon regard de celui de Chad. Celui-ci souriait tendrement.
— J'ai cru me noyer dans ton regard Chad. Tu as vraiment des yeux stupéfiants, j'en ai jamais vu de si beaux...
— Ouais, je sais, c'est un de mes atouts les plus sûrs pour séduire quelqu'un.
Son sourire s'élargit.
— Je suis sûr qu'on va bien s'entendre tous les deux. Alex et Ben m'ont beaucoup parlé de toi, il paraît que tu as plein de qualités...
Je ne savais pas quoi répondre, je me sentais bête de le dévisager comme un chien qui regarde son maître avec un amour infini. Qu'est-ce qu'un mec aussi sublime pourrait me trouver? Je n'arrivais pas à croire ce qui m'arrivait: grâce à mes deux ex-amants, je venais de faire la plus belle rencontre de toute ma vie. Je me tournai vers eux et je les serrai très fort contre moi.
— Merci... merci du fond du coeur... c'est con, je sais mais je sais pas quoi vous dire d'autre. Je vis les plus beaux moments de toute ma vie.
— On t'avait pourtant prévenu mais t'avais pas l'air de nous croire...
— Même maintenant, j'arrive pas à croire ce qui m'arrive. Encore merci...
— Bon, ben, je crois qu'on va vous laisser faire connaissance tous les deux. À bientôt Chadou, salut Marco!
Et nous nous retrouvâmes seuls dans le jardin.
— Mes parents sont absents... Viens, je vais te faire visiter la maison puis on fera connaissance.
Il me prit par la main et m'entraîna à sa suite. Je me laissai faire sans protester et je découvris sa maison, pièce par pièce. On finit par le salon et il m'invita à m'asseoir dans le canapé. Il apporta des rafraîchissements puis on commença à discuter de nous. On parla longuement du collège et du lycée puis de ce qui nous passionnait et on constata que nous partagions deux centres d'intérêt: Star Wars et Tolkien. Puis Chad se lança dans une discussion passionnée sur le skate et me montra une cassette des champions qu'il admirait.
Le temps passa trop vite et bientôt, ses parents arrivèrent. Chad me les présenta et il me présenta comme son ami le plus proche: j'étais aux anges, je ne pouvais en croire mes oreilles. Je quittais la maison de Chad à contrecoeur, j'étais triste de quitter mon nouvel ami et je ne l'avais pas encore quitté qu'il me manquait déjà. On se serra la main, une longue et chaleureuse poignée de mains dans laquelle chacun mit tout son amour pour l'autre.
Je rentrai à la maison, perdu dans mes pensées, le visage de Chad flottant devant mes yeux. Devant mon air absent, ma mère s'inquiéta pour moi lorsqu'on passa à table, néanmoins je réussis à faire illusion. Le dîner me sembla durer une éternité mais il se termina enfin et je grimpais rapidement dans ma chambre.
Là, l'émotion me submergea et je pleurais à chaudes larmes, repensant à cette rencontre qui bouleversait ma vie. Mais ces larmes étaient des larmes de bonheur. La fatigue me gagna, je me déshabillai et le sommeil m'emporta, sans que je m'en rende compte.
Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur. J'ouvris les yeux, écoutant les bruits de la nuit. L'image de Chad était là, de nouveau sous mes yeux. Il me souriait et je répondis à son sourire. C'est alors que je me rendis compte que ma queue était en érection, une érection douloureuse comme si je bandais depuis des heures. Les yeux de Chad se fixèrent sur mon dard dilaté et son sourire s'accentua. Puis son regard replongea dans le mien. Mes bras se refermèrent sur son image et je me mis à caresser mon corps sensuellement.
Grâce à mon imagination, mes doigts devinrent les siens et ils jouèrent longuement avec mes mamelons, les faisant gonfler de désir. Puis mes mains caressèrent mes flancs puis mon ventre et glissèrent sur mon nombril. Sous mes propres caresses, je frissonnais de plaisir. Puis mes doigts se mirent à courir sur mes cuisses et en flattèrent longuement la face interne, si sensible.
Mon sexe oscillait au rythme des pulsations sanguines qui l'agitaient mais je retardais le plus possible la tendre rencontre de ma queue et de mes doigts. Finalement, le désir fut le plus fort et je commençai à agacer mes couilles soyeuses. Un long gémissement sourd s'échappa de mes lèvres, mes yeux se fermèrent pour mieux jouir encore de mes caresses.
Chad était toujours là, heureux de me regarder me masturber en pensant à lui. Un de mes mains remonta le long de la hampe dilatée de mon pénis tandis que l'autre flattait toujours mes boules. Ma tige était dure comme de l'acier mais, contrairement au contact du métal, elle était chaude et douce au toucher. Je la sentais palpiter sous mes doigts, battre sous la pression du désir, cette sensation me comblait de bonheur. À nouveau, j'imaginais que c'était Chad qui jouait avec mon corps et cela renforçait encore mon désir de me donner à lui.
Tout mon corps, tout mon esprit se tendait vers celui que je venais de rencontrer et dont j'étais désormais éperdument amoureux.
J'avais totalement perdu la notion du temps, je n'avais aucune idée du temps qui s'était écoulé depuis que je me caressais mais j'étais bien. Je sentais le souffle tiède de la nuit caresser mon corps comme une douce main, c'était vraiment très agréable.
Soudain, une vague de plaisir s'abattit sur moi et m'emporta avec elle. Je me mis à haleter, cherchant désespérément mon souffle mais l'orgasme me prit brutalement et je ne pus que crier mon plaisir, un plaisir puissant qui propulsa de longues giclées de sperme sur tout mon corps.
Ma main montait et descendait rythmiquement, comme possédée par quelque chose d'étranger. Mon corps s'était arqué sous la violence de la jouissance et je restais ainsi tendu de longues minutes. Mon sexe aussi restait rigide malgré l'éjaculation, c'était la première fois que cela m'arrivait.
"Ah Chad! non seulement tu me plais mais en plus tu m'apportes un plaisir que je n'ai jamais ressenti jusqu'alors. Il faut vraiment qu'on fasse connaissance... de manière plus approfondie. Je compte bien te voir et te tester dès demain matin." C'est sur ces pensées que mes yeux se fermèrent et je m'endormis, le ventre couvert de sperme, l'esprit apaisé, le coeur bondissant de bonheur...
Premiers plaisirs partagés
Cette nuit-là donc, je m'étais masturbé, seul dans ma chambre, en fantasmant sur ce garçon qui emplissait ma tête. J'aimais Chad plus que tout. La jouissance que j'obtins grâce à lui me terrassa et je m'endormis comme une masse.
Le lendemain, je m'habillai en vitesse et fonçai aussitôt chez Chad. Je sonnai, attendant impatiemment en me dandinant d'un pied sur l'autre et bientôt, la porte s'ouvrit sur le garçon magnifique dont j'étais tombé amoureux. Il était seulement vêtu d'une chemise et d'un jeans large comme ceux des skateurs, ses pieds étaient nus. Il me regarda en souriant.
— Salut Marc!
— T'es heureux de me voir?
— Bien sûr que oui, idiot... On dirait que je t'ai manqué...
— Bien sûr que oui, idiot... Je t'aime tellement fort...
— Toi aussi, tu m'as manqué, j'ai pas arrêté de penser à toi... Tu sais quoi? On a trop de chance, ma mère et mon père ne rentrent que demain vers midi, je suis seul à la maison...
— Écoute Chad, pour célébrer notre amour, je veux qu'on passe la nuit ensemble. Mais cette nuit, c'est moi et moi seul qui te donnerai du plaisir. Je veux te montrer à quel point je t'aime.
Je repoussai la porte du pied, j'enlaçai Chad et je l'embrassai à pleine bouche, une pelle vorace et sauvage, une pelle sans fin. Le temps s'était arrêté, plus rien ne bougeait sauf nos langues qui s'agitaient furieusement dans nos bouches. On entendait seulement le bruit de notre respiration haletante et celui fait par nos bouches.
Nos lèvres se séparèrent enfin mais nos langues poursuivirent leur danse à l'extérieur de nos bouches. Peu à peu, la passion diminua et la tendresse la remplaça. Et ce furent nos lèvres qui s'affrontèrent alors, se mordillant, se happant, s'agaçant, se pressant l'une contre l'autre avec force ou douceur...
Chad avait enroulé lascivement une de ses jambes autour des miennes et la frottait tendrement contre elles. Seules nos bouches et nos jambes existaient. Du moins, c'est ce que nous ressentions l'un et l'autre. Notre baiser se termina enfin, nous nous écartâmes un peu l'un de l'autre pour nous dévorer du regard. J'adorais contempler le visage lisse et bronzé de mon amant et lui se régalait du mien.
Puis je pris conscience de la bosse énorme qui se pressait contre ma cuisse et je sentis ma propre queue bandée comme jamais. Nous étions emplis de désir l'un pour l'autre et il n'y avait qu'un moyen de le soulager: faire l'amour.
J'entrepris de déboutonner la chemise de Chad, très sensuellement. À chaque bouton que je dégrafai, je déposais un bisou mouillé sur sa peau. Peu à peu, je descendis jusqu'au dernier bouton.
J'écartai alors la chemise pour découvrir une poitrine large et puissante, aux pectoraux bien dessinés, avec des tétons presque marrons. Incapable de résister à leur appel, je posai ma bouche sur l'un d'eux et commençai à l'exciter avec la pointe de ma langue.
Je faisais des cercles autour du mamelon qui gonflait peu à peu de désir avant de devenir dur comme un grain de café. Je fis subir le même traitement au second téton. Chad avait enroulé un de ses bras autour de ma tête et ses doigts peignaient mes cheveux. Il gémissait sourdement sans s'arrêter.
Je me redressai, je fis glisser la chemise sur ses épaules, caressant longuement son dos à la peau si douce. Chad frissonnait d'envie à chacune de mes câlineries mais il me laissait faire, s'abandonnant totalement entre mes bras caressants. Je voulais lui donner tous les plaisirs possibles pour lui prouver combien je l'aimais. La chemise pendait, uniquement retenue par le large jeans noir dans lequel elle était encore prisonnière. Je caressai la poitrine et le ventre de mon amour avec la légèreté d'un souffle d'air. Chad avait les yeux clos, il respirait amplement, jouissant au maximum de mes doux frôlements.
J'étais heureux de l'avoir rejoint, heureux de le combler, heureux de lui donner tout mon amour. Ses abdominaux attirèrent aussi ma bouche qui se promena longtemps sur eux et ma langue taquina son nombril pendant que mes mains caressaient ses flancs et sa poitrine.
Je déboutonnai enfin son jeans ample, laissant le pantalon glisser lentement sous l'effet de son poids. Des cuisses longues, musclées et soyeuses apparurent sous mes yeux. Libéré de sa prison de toile rugueuse, la queue de Chad, bien que toujours prisonnière de son caleçon poussa en avant sur le fin tissu. Mais nous avions le temps et je voulais goûter ses cuisses.
Ma bouche les explora donc de longues minutes, mes joues se frottant contre leur satin, mon nez respirant les odeurs intimes de mon amant. Pas un endroit de son corps qui ne soit parfait! J'étais fou de bonheur de serrer entre mes bras un mec aussi fabuleux. Je mesurai aussi la chance que j'avais d'avoir croisé sa route et que nous nous soyons plu instantanément. Est-ce que je rêvais? Oui sans doute et j'allais me réveiller d'un instant à l'autre, couvert de sueur, la bitte raide comme un piquet et que seule une violente masturbation parviendrait à calmer temporairement...
Mais non! Ce corps que j'explorais si méthodiquement était bien réel, rien n'était plus réel que ce corps si bien charpenté et qui avait gardé la douceur qu'il avait depuis la naissance. Ce corps vibrait d'un plaisir encore contenu et je continuais à faire monter la pression lentement, encore, et encore, et encore...
Enfin je descendis très tendrement son caleçon, dévoilant une belle verge frétillante et puissante, surmontée d'une fine mais abondante toison de poils. Je relevais cette belle queue pour mieux caresser deux testicules gros comme de petits abricots, des abricots bien appétissants. Je les pétris délicatement avant de les serrer plus fort entre mes doigts. Chad grognait de contentement, jouissant de mes caresses. Je me mis alors à sucer amoureusement sa verge, délicatement, par petites touches. Ma langue joua longuement avec son gland, notamment avec la fente bien ouverte puis se promena sur son manche, allant et venant de nombreuses fois avant de se perdre sur ses couilles bien remplies. Une voix lointaine retentit à mes oreilles:
— Oh oui Marc, j'adore ça. Je crois que j'approche de l'orgasme. J'ai envie d'éjaculer dans ta bouche...
— Ne t'en prive surtout pas mon amour...
J'enfonçai son dard au fond de ma gorge, sans parvenir à l'avaler entier et je le serrai contre moi, enlaçant ses fesses que je caressais délicatement. Il me caressait tendrement les cheveux. Soudain, il projeta son bassin en avant, en laissant monter un long cri. Un jet brûlant de sperme jaillit au fond de ma bouche, suivi de plusieurs autres. Je sentais parfaitement son membre se contracter pendant qu'il éjaculait sa semence dans ma bouche gourmande.
Je gardai son sexe en bouche jusqu'à ce qu'il ait repris sa taille normale. Je me levai et j'allai embrasser une nouvelle fois mon bien-aimé, nos langues se mêlant, un liquide fait de sa semence et nos salives passant d'une bouche à l'autre. Ce moment était véritablement exquis.
— Chad, j'ai envie de toi.
— Je t'offre mon cul, mon amour, je suis certain qu'il te fait très envie et que tu l'apprécieras beaucoup.
J'étais fier d'être avec un mec aussi beau. Je récupérai de la salive mêlée de sperme pour en enduire son trou. Pendant que je préparais son orifice pour la pénétration, Chad me déshabillait sensuellement. Son cul accepta sans problème un premier doigt. Celui-ci fut vite rejoint par un deuxième puis un troisième doigt et je les enfonçais le plus profondément possible, lissant son anus, tournant aussi mes doigts pour l'assouplir le plus possible, allant et venant de longues minutes. Quand je le sentis bien détendu, je repassai sur lui et je relevai ses jambes, les bloquant contre mes épaules. J'écartai largement les cuisses, me plaçant très près de ses fesses relevées. Je le regardai et je lus tout l'amour qu'il éprouvait pour moi dans son regard. Je souris largement à son intention.
— Ça va Chad? Tu te sens prêt?
— Viens vite mon amour, j'ai trop envie que tu me prennes, tu m'as bien chauffé...
J'écartai alors un peu ses fesses et je m'enfonçai sans aucun mal entre elles. Oui, je l'avais bien dilaté et la pénétration se faisait sans problème. Je le pénétrai doucement, tendrement, pour profiter le plus possible de cette merveilleuse sensation. J'aimais ça, j'adorais ça même. Et il semblait beaucoup apprécier la vigueur de mon bâton.
Je m'enfonçai ainsi jusqu'à ce que mon pubis entre en contact avec ses fesses. Et je ne bougeais plus, l'emplissant totalement de ma présence virile. Je me penchai vers lui et nos bouches se soudèrent une fois de plus, nos langues se rencontrèrent, nous apportant toujours autant de bonheur.
Au bout d'un moment, Chad trahit son impatience d'être baisé. Il écarta ses fesses de mon pubis pour me faire comprendre qu'il en voulait plus. Je compris aussitôt le message et, sans quitter sa bouche, je commençai à aller et venir entre ses reins. Chad roucoulait de plaisir alors que je le sodomisais.
Peu à peu, la volupté m'envahit ainsi que le désir de le prendre plus virilement. Je détachai à regret mes lèvres des siennes et enroulant mes bras autour de ses cuisses, je le pris plus sauvagement.
Je le possédai de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma bitte sortait complètement à chaque fois de son trou avant d'y replonger de nouveau. Parfois ma verge glissait à côté du trou et frottait alors sur ses couilles. Mais mon dard retrouvait vite sa cible et la perçait de nouveau. Ces frottements répétés me procuraient un plaisir fou. C'était l'extase!
Et Chad aussi appréciait mes assauts, à en juger par les longs râles qui s'échappaient de sa bouche. Hélas, tout a une fin... J'aurais aimé le baiser des heures mais la nature en avait décidé autrement. Un plaisir intense me suffoqua soudain et je hurlais de bonheur en propulsant ma sève dans son cul. Nos cris se mêlèrent, formant une mélodie rauque et primitive, pour nous, la mélodie de bonheur.
Chad se mit alors à éjaculer de nouveau, sans même s'être touché. Ce fut d'ailleurs à ce moment que je remarquai qu'il bandait très certainement depuis longtemps, probablement depuis que j'avais commencé à le pénétrer. Je ne voulais pas croire que tout était fini, je restai en lui, m'allongeant pour l'embrasser, jusqu'à ce que ma bitte sorte d'elle-même de son logement chaud et gluant. Tout en nous cajolant, nous pensions aux longues heures de plaisir que nous avions devant nous et nous nous endormîmes à même le sol, un sourire angélique sur nos lèvres.