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Histoire du net. Auteur Inconnu. C'est mignon tout plein!... Fin

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Toutes les expériences consenties sont bonnes à vivre.
Et de découvertes en découvertes la vie entre...
Par différents trous lol!

Chronique de découvertes
Fin
En sortant du ciné, mes deux potes me prirent par le bras et m'emmenèrent avec eux. En chemin, on discuta d'un tas de chose et au fur et à mesure qu'on marchait, une boule commença à se former dans ma gorge. On discuta notamment de Chad qui, d'après mes potes, étaient vraiment devenu un canon. J'avais maintenant peur de ne pas être à la hauteur... après tout, je suis loin d'être mignon. En fait, je séduis surtout les gens par mon charme qu'on ne découvre pas toujours tout de suite. Mais quand il opère, on devient vraiment accro. Comment un mec comme Chad pourrait-il s'intéresser à moi?
— On est arrivé, me dit soudain Benjamin.
Je sursautais car j'étais perdu dans mes pensées. Nous étions devant un portail, de l'autre côté du mur s'étendait un grand jardin avec deux superbes conifères plantés devant la maison qui se trouvait ainsi dissimulée en partie. Je n'avais pas vu Alexis sonner et je m'aperçus soudain que le portail s'ouvrait et un garçon se matérialisa sous mes yeux.
J'arrêtais aussitôt de respirer. Le garçon que je découvrais n'avait en effet plus rien à voir avec celui qui était dans ma mémoire. Chad me dépassait maintenant d'une quinzaine de centimètres, il portait des rastas ce qui lui allait merveilleusement bien, son visage était celui d'un ange, plus tout à fait celui d'un enfant mais pas encore celui d'un homme, ses épaules étaient larges et on devinait sous son tee-shirt un corps musclé.
Mais par-dessus tout, ce fut son regard qui me transperça... un regard bleu pâle, un regard dont je ne parvenais pas à me dégager... un regard presque hypnotique. Ouais, Chad était devenu un canon et bien qu'il fut plus jeune que moi d'un an, il m'impressionnait par son calme, sa douceur et sa beauté.
— Salut Marc, enchanté de faire ta connaissance.
— Hein? quoi? euh... ouais... moi aussi, parvins-je à bafouiller au bout de quelques secondes.
Je remarquais alors la main qu'il avait tendue vers moi et je la saisis pour répondre à son geste. Alexis et Benjamin riaient aux éclats de me voir dans cet état. Je me sentais sur un nuage et alors que je prenais sa main, une main douce, j'eus le coup de foudre pour ce gars si merveilleux. Je me mis à trembler comme une feuille, incapable de contrôler mes réactions. Chad m'enlaça et me dit, de l'inquiétude dans la voix:
— Ça va pas Marc? tu veux t'asseoir? T'es tout pâle et tu parles plus... Qu'est-ce qui t'arrive?
J'étais incapable de répondre à ses questions, j'étais sous le choc et rien n'aurait pu me préparer à cette rencontre si magique. Chad caressait tendrement mes épaules et mon dos et il me fit asseoir sur un banc dans son jardin. Chad ne m'avait pas lâché et il continua à me caresser et à me parler doucement jusqu'à ce que mes tremblements eurent cessé. Je poussais alors un long soupir ce qui fit rire tout le monde, moi y compris. Ça y était, j'avais repris mes esprits mais je ne parvenais pas à détacher mon regard de celui de Chad. Celui-ci souriait tendrement.
— J'ai cru me noyer dans ton regard Chad. Tu as vraiment des yeux stupéfiants, j'en ai jamais vu de si beaux...
— Ouais, je sais, c'est un de mes atouts les plus sûrs pour séduire quelqu'un.
Son sourire s'élargit.
— Je suis sûr qu'on va bien s'entendre tous les deux. Alex et Ben m'ont beaucoup parlé de toi, il paraît que tu as plein de qualités...
Je ne savais pas quoi répondre, je me sentais bête de le dévisager comme un chien qui regarde son maître avec un amour infini. Qu'est-ce qu'un mec aussi sublime pourrait me trouver? Je n'arrivais pas à croire ce qui m'arrivait: grâce à mes deux ex-amants, je venais de faire la plus belle rencontre de toute ma vie. Je me tournai vers eux et je les serrai très fort contre moi.
— Merci... merci du fond du coeur... c'est con, je sais mais je sais pas quoi vous dire d'autre. Je vis les plus beaux moments de toute ma vie.
— On t'avait pourtant prévenu mais t'avais pas l'air de nous croire...
— Même maintenant, j'arrive pas à croire ce qui m'arrive. Encore merci...
— Bon, ben, je crois qu'on va vous laisser faire connaissance tous les deux. À bientôt Chadou, salut Marco!
Et nous nous retrouvâmes seuls dans le jardin.
— Mes parents sont absents... Viens, je vais te faire visiter la maison puis on fera connaissance.
Il me prit par la main et m'entraîna à sa suite. Je me laissai faire sans protester et je découvris sa maison, pièce par pièce. On finit par le salon et il m'invita à m'asseoir dans le canapé. Il apporta des rafraîchissements puis on commença à discuter de nous. On parla longuement du collège et du lycée puis de ce qui nous passionnait et on constata que nous partagions deux centres d'intérêt: Star Wars et Tolkien. Puis Chad se lança dans une discussion passionnée sur le skate et me montra une cassette des champions qu'il admirait.
Le temps passa trop vite et bientôt, ses parents arrivèrent. Chad me les présenta et il me présenta comme son ami le plus proche: j'étais aux anges, je ne pouvais en croire mes oreilles. Je quittais la maison de Chad à contrecoeur, j'étais triste de quitter mon nouvel ami et je ne l'avais pas encore quitté qu'il me manquait déjà. On se serra la main, une longue et chaleureuse poignée de mains dans laquelle chacun mit tout son amour pour l'autre.
Je rentrai à la maison, perdu dans mes pensées, le visage de Chad flottant devant mes yeux. Devant mon air absent, ma mère s'inquiéta pour moi lorsqu'on passa à table, néanmoins je réussis à faire illusion. Le dîner me sembla durer une éternité mais il se termina enfin et je grimpais rapidement dans ma chambre.
Là, l'émotion me submergea et je pleurais à chaudes larmes, repensant à cette rencontre qui bouleversait ma vie. Mais ces larmes étaient des larmes de bonheur. La fatigue me gagna, je me déshabillai et le sommeil m'emporta, sans que je m'en rende compte.
Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur. J'ouvris les yeux, écoutant les bruits de la nuit. L'image de Chad était là, de nouveau sous mes yeux. Il me souriait et je répondis à son sourire. C'est alors que je me rendis compte que ma queue était en érection, une érection douloureuse comme si je bandais depuis des heures. Les yeux de Chad se fixèrent sur mon dard dilaté et son sourire s'accentua. Puis son regard replongea dans le mien. Mes bras se refermèrent sur son image et je me mis à caresser mon corps sensuellement.
Grâce à mon imagination, mes doigts devinrent les siens et ils jouèrent longuement avec mes mamelons, les faisant gonfler de désir. Puis mes mains caressèrent mes flancs puis mon ventre et glissèrent sur mon nombril. Sous mes propres caresses, je frissonnais de plaisir. Puis mes doigts se mirent à courir sur mes cuisses et en flattèrent longuement la face interne, si sensible.
Mon sexe oscillait au rythme des pulsations sanguines qui l'agitaient mais je retardais le plus possible la tendre rencontre de ma queue et de mes doigts. Finalement, le désir fut le plus fort et je commençai à agacer mes couilles soyeuses. Un long gémissement sourd s'échappa de mes lèvres, mes yeux se fermèrent pour mieux jouir encore de mes caresses.
Chad était toujours là, heureux de me regarder me masturber en pensant à lui. Un de mes mains remonta le long de la hampe dilatée de mon pénis tandis que l'autre flattait toujours mes boules. Ma tige était dure comme de l'acier mais, contrairement au contact du métal, elle était chaude et douce au toucher. Je la sentais palpiter sous mes doigts, battre sous la pression du désir, cette sensation me comblait de bonheur. À nouveau, j'imaginais que c'était Chad qui jouait avec mon corps et cela renforçait encore mon désir de me donner à lui.
Tout mon corps, tout mon esprit se tendait vers celui que je venais de rencontrer et dont j'étais désormais éperdument amoureux.
J'avais totalement perdu la notion du temps, je n'avais aucune idée du temps qui s'était écoulé depuis que je me caressais mais j'étais bien. Je sentais le souffle tiède de la nuit caresser mon corps comme une douce main, c'était vraiment très agréable.
Soudain, une vague de plaisir s'abattit sur moi et m'emporta avec elle. Je me mis à haleter, cherchant désespérément mon souffle mais l'orgasme me prit brutalement et je ne pus que crier mon plaisir, un plaisir puissant qui propulsa de longues giclées de sperme sur tout mon corps.
Ma main montait et descendait rythmiquement, comme possédée par quelque chose d'étranger. Mon corps s'était arqué sous la violence de la jouissance et je restais ainsi tendu de longues minutes. Mon sexe aussi restait rigide malgré l'éjaculation, c'était la première fois que cela m'arrivait.
"Ah Chad! non seulement tu me plais mais en plus tu m'apportes un plaisir que je n'ai jamais ressenti jusqu'alors. Il faut vraiment qu'on fasse connaissance... de manière plus approfondie. Je compte bien te voir et te tester dès demain matin." C'est sur ces pensées que mes yeux se fermèrent et je m'endormis, le ventre couvert de sperme, l'esprit apaisé, le coeur bondissant de bonheur...
 
Premiers plaisirs partagés
Cette nuit-là donc, je m'étais masturbé, seul dans ma chambre, en fantasmant sur ce garçon qui emplissait ma tête. J'aimais Chad plus que tout. La jouissance que j'obtins grâce à lui me terrassa et je m'endormis comme une masse.
Le lendemain, je m'habillai en vitesse et fonçai aussitôt chez Chad. Je sonnai, attendant impatiemment en me dandinant d'un pied sur l'autre et bientôt, la porte s'ouvrit sur le garçon magnifique dont j'étais tombé amoureux. Il était seulement vêtu d'une chemise et d'un jeans large comme ceux des skateurs, ses pieds étaient nus. Il me regarda en souriant.
— Salut Marc!
— T'es heureux de me voir?
— Bien sûr que oui, idiot... On dirait que je t'ai manqué...
— Bien sûr que oui, idiot... Je t'aime tellement fort...
— Toi aussi, tu m'as manqué, j'ai pas arrêté de penser à toi... Tu sais quoi? On a trop de chance, ma mère et mon père ne rentrent que demain vers midi, je suis seul à la maison...
— Écoute Chad, pour célébrer notre amour, je veux qu'on passe la nuit ensemble. Mais cette nuit, c'est moi et moi seul qui te donnerai du plaisir. Je veux te montrer à quel point je t'aime.
Je repoussai la porte du pied, j'enlaçai Chad et je l'embrassai à pleine bouche, une pelle vorace et sauvage, une pelle sans fin. Le temps s'était arrêté, plus rien ne bougeait sauf nos langues qui s'agitaient furieusement dans nos bouches. On entendait seulement le bruit de notre respiration haletante et celui fait par nos bouches.
Nos lèvres se séparèrent enfin mais nos langues poursuivirent leur danse à l'extérieur de nos bouches. Peu à peu, la passion diminua et la tendresse la remplaça. Et ce furent nos lèvres qui s'affrontèrent alors, se mordillant, se happant, s'agaçant, se pressant l'une contre l'autre avec force ou douceur...
Chad avait enroulé lascivement une de ses jambes autour des miennes et la frottait tendrement contre elles. Seules nos bouches et nos jambes existaient. Du moins, c'est ce que nous ressentions l'un et l'autre. Notre baiser se termina enfin, nous nous écartâmes un peu l'un de l'autre pour nous dévorer du regard. J'adorais contempler le visage lisse et bronzé de mon amant et lui se régalait du mien.
Puis je pris conscience de la bosse énorme qui se pressait contre ma cuisse et je sentis ma propre queue bandée comme jamais. Nous étions emplis de désir l'un pour l'autre et il n'y avait qu'un moyen de le soulager: faire l'amour.
J'entrepris de déboutonner la chemise de Chad, très sensuellement. À chaque bouton que je dégrafai, je déposais un bisou mouillé sur sa peau. Peu à peu, je descendis jusqu'au dernier bouton.
J'écartai alors la chemise pour découvrir une poitrine large et puissante, aux pectoraux bien dessinés, avec des tétons presque marrons. Incapable de résister à leur appel, je posai ma bouche sur l'un d'eux et commençai à l'exciter avec la pointe de ma langue.
Je faisais des cercles autour du mamelon qui gonflait peu à peu de désir avant de devenir dur comme un grain de café. Je fis subir le même traitement au second téton. Chad avait enroulé un de ses bras autour de ma tête et ses doigts peignaient mes cheveux. Il gémissait sourdement sans s'arrêter.
Je me redressai, je fis glisser la chemise sur ses épaules, caressant longuement son dos à la peau si douce. Chad frissonnait d'envie à chacune de mes câlineries mais il me laissait faire, s'abandonnant totalement entre mes bras caressants. Je voulais lui donner tous les plaisirs possibles pour lui prouver combien je l'aimais. La chemise pendait, uniquement retenue par le large jeans noir dans lequel elle était encore prisonnière. Je caressai la poitrine et le ventre de mon amour avec la légèreté d'un souffle d'air. Chad avait les yeux clos, il respirait amplement, jouissant au maximum de mes doux frôlements.
J'étais heureux de l'avoir rejoint, heureux de le combler, heureux de lui donner tout mon amour. Ses abdominaux attirèrent aussi ma bouche qui se promena longtemps sur eux et ma langue taquina son nombril pendant que mes mains caressaient ses flancs et sa poitrine.
Je déboutonnai enfin son jeans ample, laissant le pantalon glisser lentement sous l'effet de son poids. Des cuisses longues, musclées et soyeuses apparurent sous mes yeux. Libéré de sa prison de toile rugueuse, la queue de Chad, bien que toujours prisonnière de son caleçon poussa en avant sur le fin tissu. Mais nous avions le temps et je voulais goûter ses cuisses.
Ma bouche les explora donc de longues minutes, mes joues se frottant contre leur satin, mon nez respirant les odeurs intimes de mon amant. Pas un endroit de son corps qui ne soit parfait! J'étais fou de bonheur de serrer entre mes bras un mec aussi fabuleux. Je mesurai aussi la chance que j'avais d'avoir croisé sa route et que nous nous soyons plu instantanément. Est-ce que je rêvais? Oui sans doute et j'allais me réveiller d'un instant à l'autre, couvert de sueur, la bitte raide comme un piquet et que seule une violente masturbation parviendrait à calmer temporairement...
Mais non! Ce corps que j'explorais si méthodiquement était bien réel, rien n'était plus réel que ce corps si bien charpenté et qui avait gardé la douceur qu'il avait depuis la naissance. Ce corps vibrait d'un plaisir encore contenu et je continuais à faire monter la pression lentement, encore, et encore, et encore...
Enfin je descendis très tendrement son caleçon, dévoilant une belle verge frétillante et puissante, surmontée d'une fine mais abondante toison de poils. Je relevais cette belle queue pour mieux caresser deux testicules gros comme de petits abricots, des abricots bien appétissants. Je les pétris délicatement avant de les serrer plus fort entre mes doigts. Chad grognait de contentement, jouissant de mes caresses. Je me mis alors à sucer amoureusement sa verge, délicatement, par petites touches. Ma langue joua longuement avec son gland, notamment avec la fente bien ouverte puis se promena sur son manche, allant et venant de nombreuses fois avant de se perdre sur ses couilles bien remplies. Une voix lointaine retentit à mes oreilles:
— Oh oui Marc, j'adore ça. Je crois que j'approche de l'orgasme. J'ai envie d'éjaculer dans ta bouche...
— Ne t'en prive surtout pas mon amour...
J'enfonçai son dard au fond de ma gorge, sans parvenir à l'avaler entier et je le serrai contre moi, enlaçant ses fesses que je caressais délicatement. Il me caressait tendrement les cheveux. Soudain, il projeta son bassin en avant, en laissant monter un long cri. Un jet brûlant de sperme jaillit au fond de ma bouche, suivi de plusieurs autres. Je sentais parfaitement son membre se contracter pendant qu'il éjaculait sa semence dans ma bouche gourmande.
Je gardai son sexe en bouche jusqu'à ce qu'il ait repris sa taille normale. Je me levai et j'allai embrasser une nouvelle fois mon bien-aimé, nos langues se mêlant, un liquide fait de sa semence et nos salives passant d'une bouche à l'autre. Ce moment était véritablement exquis.
— Chad, j'ai envie de toi.
— Je t'offre mon cul, mon amour, je suis certain qu'il te fait très envie et que tu l'apprécieras beaucoup.
J'étais fier d'être avec un mec aussi beau. Je récupérai de la salive mêlée de sperme pour en enduire son trou. Pendant que je préparais son orifice pour la pénétration, Chad me déshabillait sensuellement. Son cul accepta sans problème un premier doigt. Celui-ci fut vite rejoint par un deuxième puis un troisième doigt et je les enfonçais le plus profondément possible, lissant son anus, tournant aussi mes doigts pour l'assouplir le plus possible, allant et venant de longues minutes. Quand je le sentis bien détendu, je repassai sur lui et je relevai ses jambes, les bloquant contre mes épaules. J'écartai largement les cuisses, me plaçant très près de ses fesses relevées. Je le regardai et je lus tout l'amour qu'il éprouvait pour moi dans son regard. Je souris largement à son intention.
— Ça va Chad? Tu te sens prêt?
— Viens vite mon amour, j'ai trop envie que tu me prennes, tu m'as bien chauffé...
J'écartai alors un peu ses fesses et je m'enfonçai sans aucun mal entre elles. Oui, je l'avais bien dilaté et la pénétration se faisait sans problème. Je le pénétrai doucement, tendrement, pour profiter le plus possible de cette merveilleuse sensation. J'aimais ça, j'adorais ça même. Et il semblait beaucoup apprécier la vigueur de mon bâton.
Je m'enfonçai ainsi jusqu'à ce que mon pubis entre en contact avec ses fesses. Et je ne bougeais plus, l'emplissant totalement de ma présence virile. Je me penchai vers lui et nos bouches se soudèrent une fois de plus, nos langues se rencontrèrent, nous apportant toujours autant de bonheur.
Au bout d'un moment, Chad trahit son impatience d'être baisé. Il écarta ses fesses de mon pubis pour me faire comprendre qu'il en voulait plus. Je compris aussitôt le message et, sans quitter sa bouche, je commençai à aller et venir entre ses reins. Chad roucoulait de plaisir alors que je le sodomisais.
Peu à peu, la volupté m'envahit ainsi que le désir de le prendre plus virilement. Je détachai à regret mes lèvres des siennes et enroulant mes bras autour de ses cuisses, je le pris plus sauvagement.
Je le possédai de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma bitte sortait complètement à chaque fois de son trou avant d'y replonger de nouveau. Parfois ma verge glissait à côté du trou et frottait alors sur ses couilles. Mais mon dard retrouvait vite sa cible et la perçait de nouveau. Ces frottements répétés me procuraient un plaisir fou. C'était l'extase!
Et Chad aussi appréciait mes assauts, à en juger par les longs râles qui s'échappaient de sa bouche. Hélas, tout a une fin... J'aurais aimé le baiser des heures mais la nature en avait décidé autrement. Un plaisir intense me suffoqua soudain et je hurlais de bonheur en propulsant ma sève dans son cul. Nos cris se mêlèrent, formant une mélodie rauque et primitive, pour nous, la mélodie de bonheur.
Chad se mit alors à éjaculer de nouveau, sans même s'être touché. Ce fut d'ailleurs à ce moment que je remarquai qu'il bandait très certainement depuis longtemps, probablement depuis que j'avais commencé à le pénétrer. Je ne voulais pas croire que tout était fini, je restai en lui, m'allongeant pour l'embrasser, jusqu'à ce que ma bitte sorte d'elle-même de son logement chaud et gluant. Tout en nous cajolant, nous pensions aux longues heures de plaisir que nous avions devant nous et nous nous endormîmes à même le sol, un sourire angélique sur nos lèvres.

Chaud! Chaud! Chaud! Quelques redif en ce Mercredi Automnal...

Elle le sent bien on dirait...

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La demoiselle déguste.
Avec peine ou plaisir?
A vous de choisir...!



Avant le Week-end, un Vendredi de brèves......

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Les voyages forment les bonnes salopes;
En Europe, ...

Cul à honorer dans les chiottes de l’aéroport (Madrid)
L’avion allait atterrir sur le tarmac brûlant de Madrid et sonnait l’heure d’un retour inévitable à la vie parisienne. Je terminais deux semaines de pures vacances à Ibiza, paradis des PD en tout genre, de la Tata Yoyo au macho viril et bien gaulé. En ce qui me concerne, je fais plutôt partie de la deuxième catégorie. D’origine latino, je cultive mon corps de sorte qu’il reste attirant et plutôt musclé. Je dois avouer que j’ai bien apprécié me faire mater par tous ces petits PD sur les plages vomissant le sexe et le désir. Certains (plusieurs même) ont eu la chance de me toucher, m’effleurer, d’autres gagnèrent le jackpot en tirant mon cul. Car même si je suis foutu comme un lutteur grec, une barbe soigneusement entretenue, et un look de vrai manos, je n’en reste pas moins une vraie passive au derrière moulé dans un lingot d’or… Prétentieux ? Non, juste conscient de mes atouts !
J’étais avachi dans un des sièges de la salle d’embarquement, un brin de dégoût et de mélancolie dans la poitrine. J’étais revenu dans le rationnel et le raisonnable, je n’avais rien fait depuis 24 heures déjà : ni alcool, ni drogue, même pas de sexe. Il fallait me sevrer avant le retour en France. Mais franchement, c’était chaud !
En stand by dans l’aéroport madrilène, une envie que je ne voulais pas maîtriser m’envahit le cerveau. Mon regard balayait la salle pour admirer des petits Espagnols « caliente », je scrutais depuis une bonne demi heure un keum d’une vingtaine d’année, pectoraux et biceps gonflés sous un t-shirt plus que moulant. Il comprit qu’il fallait soutenir mon regard ténébreux, que je lui lançais des flammes de désir.
Discrètement, je glissais ma main entre mes jambes et me caressai doucement le paquet à travers mon vieux jean délavé. Pour calmer mes ardeurs, j’allai pisser un coup dans les chiottes de la salle d’embarquement. Étrangement désertes. J’en profitai pour me rafraîchir le visage et admirer mon bronzage sous mon débardeur blanc plutôt sexy.
Comme je l’espérais secrètement, mon bel andalou ne tarda pas à me rejoindre. Appuyé contre le mur, il me sourit, je lui rendis alors que je finissais de me laver les mains. Je vis dans le miroir qu’à son tour, il se tâtait le paquet, laissant paraître une bosse bien appétissante. Direct, je m’avançai vers lui et remplaçai sa pogne par la mienne.
Le salaud bandait dur et la largeur de son chibre me surprit. Il me poussa à l’intérieur des toilettes et commença à m’embrasser goulûment. Sa peau sentait le sable, un goût de sel le rendait irrésistible. Il ôta son t-shirt pour exhiber son torse d’éphèbe imberbe et bodybuildé. Il vira le mien et pinça mes tétons, il sentait que ça m’excite grave !
Manuel me retourna contre la paroi de la cabine des chiottes, se mit à genoux et descendit mon fut. Son visage se retrouva entouré de mes deux belles fesses rebondies par un jock-strap qui semblait augmenter son désir. Il se mit à me happer le cul avec sa langue chaude, je gémissais de plaisir sous les coups de langue experts de mon amant. Il me dévorait littéralement la rondelle, relaxait ma chatte, me pénétrait avec sa langue. Je me cambrais comme une salope pour lui offrir pleinement mon postérieur. Après avoir bien lubrifié, il me soumit une bite épaisse qui débordait déjà de son slip. Je la décontractais à mon tour, dégageais de mes lèvres ses bourses gonflées et pleines.
La porte des toilettes était restée ouverte. Alors que Manuel me limait à fond, que mon visage crispé exultait tout le vice et la salopitude qui me caractérisaient, un manos entra à son tour, nous dévisagea, à peine surpris d’une telle scène.
Manuel et moi étions en telle extase sexuelle que nous ne craignions même pas que de se faire griller, on assumait totalement. Le mec s’installa dans la cabine voisine, sans fermer la porte lui non plus. Je remarquai qu’il n’était pas très âgé lui non plus, j’étais entouré de jeunes minets bien croquants et chauds comme je les aime.
Notre voisin était certainement arabe ou métis, bien buriné en tout cas. Nos râles redoublaient d’intensité et Manuel finit par lâcher sa purée sur le bas de mon dos. Je savais que l’autre mec nous matait discrètement et devait être en train de se branler en solo. Une fois Manuel parti, il me fit signe de le rejoindre. Manuel avait été un bon queutard, mais je restais insatiable. Mon illustre inconnu était à poil, pantalon sur les chevilles. Une bite de 20 centimètres au moins et bien brune, raide et large comme une barre de fer, pointait son gland circoncis et baveux.
Le mec enfouit son braquenard au fond de ma gorge, et débuta une longue session de limage intensif. Mes lèvres chauffaient. Ses couilles bien noires venaient s’éclater sur ma gueule. Il me frappa à plusieurs reprises avec sa teub pleine de salive, il bandait doublement. Il m’appuya contre la céramique du chiotte, enfila une capote XL et s’engouffra directement au fond de mes entrailles dégageant un soupir de jouissance alors que je mordais les lèvres pour ne pas trop hurler. Manuel avait bien dilaté mon cul, lui allait l’exploser.
Ses assauts étaient bien plus puissants que ceux de son prédécesseur, le mec se voulait dominateur, il voulait mater sa pute, comme il le répéta vicieusement dans un mélange d’espagnol, de français et d’algérien. Il s’appuyait lourdement sur moi, tentait de racler au fond de moi, de grandir sa pine pour qu’elle m’enfante, tirait vers lui mes hanches. Mon cul était devenu la prolongation de sa queue. Je mouillais comme une vraie femme, plus il me niquait, plus j’en voulais encore ! On se déchaînait dans les wc de l’aéroport, sans vergogne, sans peur, juste avec une soif de chair qui nous maîtrisait et nous envoûtait pleinement.
Mon beau mâle retira la capote et me remit à genoux, quelques coups de poignet suffirent pour qu’il éjecte de longs et chauds jets de sperme odorant qui atterrirent dans ma bouche. Son yop dégoulinait sur mon visage, recouvrait mes lèvres, je ne voulais pas en perdre une goutte mais l’étalon avait les couilles tellement pleines que je ne pus tout retenir.
Une fois la queue propre, il se rhabilla et courus vers la porte d’embarquement. Je restais là, penaud, à poil dans les toilettes de l’aéroport, la bouche et la gueule emplies de crème de rebeu. Désormais, j’avais besoin de me branler. De toute façon, j’avais raté mon avion pour Paris. Je prendrais peut-être le suivant. Mais, au préalable, je me taperai beaucoup d’autres keums dans ce lieu insolite, je venais d’assouvir un de mes fantasmes : baiser dans des chiottes publiques. Et je comptais bien remettre ça très vite!
Enrique (Madrid)

Les voyages forment les bonnes salopes;
En Europe... En Afrique...

Retour tumultueux
Salut, je vais vous raconter l'histoire qui m'est arrivée lors de mon dernier voyage en Égypte. Je revenais de six mois de boulot avec deux potes G.O. mais nous ne prenions pas le même vol. Thomas et J.F. décollèrent à 12 h ; ils arrivèrent cinq heures plus tard sans soucis.
Moi, je devais attendre jusque 14 h pour embarquer sur mon vol. Coincé en zone de transit, je fis le tour des magasins de détaxes pour passer le temps. Le tour fut rapide et je vins me caler au bar en attendant le départ.
A 14H00, le vol fut annoncé, mais avec un retard d'une heure. L'heure passa et le vol fut encore retardé de quatre heures pour raisons techniques. Enfin, à 19 h, le vol fut affiché au départ. L'embarquement dans les bus se fit rapidement, car nous étions tous pressés de quitter cet aéroport. Tout le monde trouva sa place dans l'avion, nous étions prêts à partir, mais les minutes s'écoulèrent sans que rien ne bouge.
Après plusieurs questions au personnel navigant et une heure d'attente, le commandant de bord, nous informa que l'avion ne pouvait pas décoller pour raison de problèmes électriques. Il nous demanda de descendre de l'appareil le temps de l'intervention et attendre dans les bus.
Deux heures plus tard, les bus fermèrent les portes et repartirent vers le terminal de transit.
L'avion était hors service, il fallait attendre que la compagnie affrète un nouvel appareil ! Le temps que l'avion arrive, il fallait encore attendre sept heures, ce qui repoussait le décollage à 04H00 du matin.
La compagnie nous dirigea vers un hôtel pour patienter. Je ne sais pas si vous avez déjà vu 150 personnes, qui ne se connaissent pas, arriver dans un hôtel en pleine nuit.
Le service d'accueil était débordé ! La compagnie ne voulant pas payer de chambre individuelle, nous demanda de nous regrouper par groupe (3 ou 4 personnes) pour partager les chambres jusqu'au lendemain midi. C'était la cohue, je me mis dans un fauteuil et attendit que l'accueil se vide. Puis un gars vint me voir pour savoir si je voulais bien me grouper avec lui et chercher une personne de plus.
Le gars, Joachim, revenait de vacances dans un club, proche de celui ou j'avais bossé avec Thomas et J.F.
Il y avait un tel bordel que le réceptionniste nous accorda une chambre pour deux. Nous prîmes nos bagages et direction la chambre, car nous étions vannés ! Sur place, la surprise fut de voir un seul lit double dans une grande chambre avec salon et salle de bain.
Joachim me demanda si cela me posait problème. Il était 5 h du matin, nous repartions à 12 h, nous étions là juste pour dormir. Je lui répondis que c'était OK pour moi.
On posa nos bagages, Joachim alla à la salle de bain prendre une douche. Je m'allongeai sur le canapé en attendant de prendre ma douche. Joachim avait laissé son passeport sur la table, je le feuilletais pour voir ces derniers voyages. Toutes les pages étaient maculées de tampons divers et variés.
Juste avant que je ne le repose, Joachim me surprit avec son passeport en main. Il sortait de la salle de bain avec une serviette autour de la taille. Il me dit que cela ne le gênait pas, il en aurait fait de même ! Il m'expliqua qu'il était steward pour une compagnie d'aviation low-cost, il voyageait régulièrement.
Je posai son passeport sur la table et lui sortit le mien, il était tout aussi rempli, mais moi je ne suis pas steward, je bosse dans le secteur du tourisme et du loisir. Puis je me dirigeai vers la douche.
À mon retour, Joachim était déjà au lit et dormait. Je mis un caleçon et me glissa dans les draps. Le sommeil me submergea rapidement.
Je fus réveillé vers 10 h par Joachim, il dormait encore, mais il s'était rapproché de moi, contre moi. Il dormait à poil, allongé sur le côté, ça bite en érection (petite gaule du matin) me frottait la cuisse et son bras gauche m'enlaçait.
Moi aussi je bandais et pour ne pas que la situation porte à confusion, je le repoussai. Il bascula sur le dos et continua à dormir. Sa bite était très jolie, elle était bronzée, rasée, droite et circoncise. Joachim fait du bronzage intégral.
Sa bite dressée était un appel irrésistible. Je décidai de le branler doucement, en espérant qu'il ne me surprenne pas. Après quelques va-et-vient, je le pris en bouche, je le suçai le plus délicatement possible pour ne pas le réveiller, ma pipe était si intense sur son gland et son méat qu'il explosa rapidement dans ma bouche, j'avalai ces quatre jets de sperme au goût sucré. Une fois, bien nettoyée, je reposai sa bite molle sur ces abdominaux.
Je fis semblant de dormir puis attendit qu'il se réveille. Il se leva une demi-heure plus tard, alla au toilette et revint au salon. Il était assis dans un fauteuil, en caleçon. Je fis mine de me réveiller et m'assit sur le bord du lit. Ma bite était toujours au garde à vous.
Il me demanda si j'avais bien dormi et me félicita pour le joli chapiteau présent dans mon caleçon.
Je me dirigeai aux toilettes pour pisser, mais je ne pus, car j'étais trop excité. Je revins au salon avec la bite au garde à vous. Joachim matait la TV, il zappait sur toutes les chaînes à la recherche d'un programme potable.
Je me posai dans le deuxième canapé et matais aussi la TV lorsque Joachim vit que je bandais toujours. Il était étonné que je bande encore après avoir pissé. Il me dit que j'étais endurant, car lui s'était levé avec la bite en berne et qu'il n'avait pas réussi à bander et sortir la moindre goutte de sperme.
Il m'expliqua que le sperme est bourré de protéine et que tous les matins lorsqu'il se lève avec la gaule, il se branle et boit ensuite sa semence pour le petit déjeuner.
Je lui propose d'aller me branler et lui offrir mon sperme dans un verre s’il le souhaite. Il accepte, mais lorsque je passe devant lui pour retourner à la salle de bain, il m'attrape par la cuisse et m'annonce qu'il préfère boire à la source.
Je suis debout face à lui, il reste assis. Sa bouche est à la hauteur de mon caleçon. Joachim le fait descendre jusque mes chevilles. Je commence quelques va-et-vient, mais Joachim m'arrête et me dit qu'il s'occupe de tout.
Sa main droite attrape ma hampe pendant que sa main gauche s'occupe de mes couilles. Ma bite circoncise est tendue au maximum, quelques gouttes de présume perlent sur le bout du gland. Il approche sa langue et récupère le liquide puis sa bouche glisse sur mon gland et absorbe toute la longueur en gorge profonde. Il reste plusieurs secondes avec la bitte au fond de la gorge.
Sa main gauche malaxe mes couilles et les maintient en tension vers le bas. Il me branle avec ces lèvres. Il me fait sucer son index droit pour le lubrifier. Sa main droite passe entre mes jambes, son index vient jouer avec l'entrée de mon anus. La première phalange glisse dans mon anus, il pousse un peu, la deuxième puis la troisième entre dans mon anus.
Il me branle le cul avec son index, ma prostate est électrisée, sa main gauche étire toujours mes couilles vers le bas et sa bouche me suce la base du gland pendant que sa langue joue sur mon frein et mon méat.
Je suis au bord de l'explosion, je gémis, je me contracte. Il avale la totalité de ma bite, son index entre à fond dans mon anus et j'envoie de longues giclées de sperme sur ses amygdales. Il avale tout ! Les jets sont puissants et nombreux, car je ne me suis pas branlé et je n'ai pas eu de rapport depuis une semaine.
Il retire son index de mon anus, sa main gauche relèche mes couilles, mais il garde ma bitte en bouche et la branle avec ses lèvres pour me vider et me nettoyer jusqu'à la dernière goutte.
Je ne bande plus et Joachim a eu sa dose de sperme du matin. Mais toute cette effervescence l'a excité, il bande. Je lui propose de le branler, mais il voudrait m'enculer puis éjaculer sur mon corps pour venir boire son propre sperme.
Je m'allonge sur le lit, Joachim retire son caleçon, il se branle de la main gauche pendant que son index et son majeur préparent le terrain.
Il crache sur mon anus pour lubrifier ainsi que sur sa main pour lubrifier sa bite. Il bande au maximum (comme ce matin), son gland est au bord de mon anus, je me relâche et il entre son gland.
La douleur est sensible, mais pas infernale, il prend son temps et progresse lentement dans mon anus. Au bout de 5 minutes, son gland frotte ma prostate et ces couilles tapent sur mes fesses, il est entré intégralement.
Il commence ces va-et-vient en variant la vitesse et l'intensité, je bande à nouveau. Ma bite grossit, je me branle.
Une personne frappe à la porte. Joachim et moi stoppons immédiatement tout mouvement. Nous répondons en cœur : OUI ? Le réceptionniste nous indique que notre avion est prêt et que nous avons 15 minutes pour nous préparer. Je réponds OK. Le réceptionniste est reparti.
Joachim reprend ces va-et-vient, je reprends ma masturbation. Je suis au bord de l'explosion et Joachim aussi. Il se retire et envoie plusieurs jets liquides sur mon torse. J'explose en même temps plusieurs jets de sperme. Mon torse est constellé de sperme. Joachim approche et suce toute cette galaxie ! Son petit déjeuner aura été copieux ce matin !
Juste le temps de prendre une douche et rassembler nos affaires, nous arrivons à la réception. Le car est là, nous partons vers l'aéroport. L'avion est lui aussi apte au départ. Nous nous installons côte à côte avec Joachim pour enfin discuter et faire connaissance.
Arrivés à Paris, nous échangeons nos numéros. Sa copine arrive, moi je prends mon taxi et nous reprenons notre vie quotidienne !

Les voyages forment les bonnes salopes;
En Europe... En Afrique... Ou à Marseille!


Les caves Marceillaises
Je suis arrivé à Marseille il y a deux jours. Mon patron m'a proposé un poste de commercial dans les Bouches-du-Rhône: j'ai réfléchi 2 secondes aux avantages de cette promotion et direct, j'ai signé!
Fini le froid parisien, à moi la chaleur du sud, la Méditerranée et surtout les beaux mâles que je suppose chauds comme de la braise. Pour une salope comme moi, c'est la priorité!
Il ne fait pas très chaud sur la Cannebière ce soir mais j'avais envie de découvrir les lieux et qui sait, faire des rencontres. Après tout, je ne suis pas venu à Marseille pour rester enfermé dans une chambre d'hôtel! J'erre donc du côté du port, on m'a dit qu'une drôle de faune traîne dans l'obscurité des ruelles.
Assis sur un trottoir perdu dans mes songes, j'entends qu'on me siffle à quelques mètres. Je me retourne et aperçois un keum de taille moyenne en survet, une cagoule cachant sa tête. Il me fait signe de le rejoindre. A son niveau, il propose de me vendre du shit, le meilleur de la Cannebière parait-il. Je lui réponds que je ne suis pas du tout intéressé...
- T'es sûr que t'es pas intéressé par mon matos mec?, m'interroge-t-il d'un air vicelard en se foutant la main au paquet."
Mes yeux se dirigent instinctivement sur le nylon de son jogging. Avec un peu trop d'insistance peut-être... Direct, il m'ordonne de le suivre. Je ne réfléchis pas, je lui obéis. Il me devance, ne se retourne pas, il sait que je le suis déjà soumis.
On marche un bon quart d'heure dans la pénombre. J'arrive à lui décrocher son prénom: Malik. Un rebeu bien gaulé qui sait ce qu'il veut, directif et doux à la fois. En tout cas, c’est ce que je croyais. Il m'entraîne dans un dédalle de ruelles plus sombres les unes que les autres. C'est clair: il a bien capté que j'étais nouveau ici, il cherche à me paumer. Pourtant je ne bronche pas.
Inconscient, je le suis commençant  d’être affamé. J'espère qu'il m'offrira une belle bite à biberonner. Arrivé au pied d'un immeuble, il se tourne vers moi, me chope par le bras:
- Vas y mec! Descend, magne-toi!"
Il me pousse brutalement dans un escalier. On arrive dans une cave miteuse où une vieille ampoule crache une lumière blafarde. Sans rien m'annoncer, il prend son portable, compose un numéro:
- Wesh Souhail! Vas-y ramène-toi, j'ai pécho de quoi nous vider les couilles, on est dans la cave." Et raccroche.
Je commence à comprendre ce qui va m'arriver. A cet instant, je commence à appréhender. Je distingue enfin le visage de mon "ravisseur": une tête de bad boy comme je les kiffe.
Mais Malik ne semble pas apprécier que je le dévisage. Il me fout violemment à genoux et colle ma face sur sa teub encore enfouie dans le survet. Je réalise à ce moment qu'il n'a pas débandé, bien au contraire.
Une putain de matraque m'attend, raide et lourde. Je vais me défoncer la mâchoire et certainement pas que la mâchoire... Ni une ni deux, il sort son engin et me le balance sous le nez.

Je n'attends pas, je sais ce que lui veut. Je n'ai pas intérêt à la ramener, je vais m'en prendre plein la gueule de toute façon.
La bite de Malik est épaisse, veineuse comme je les aime. Circoncis bien sûr, un gland ruisselant de mouille qui se colle à mes lèvres et qu'il balade sur mon visage. Il semble grave excité mon beau taureau.
A la grosseur de ses couilles, j'imagine qu'il n'a pas juté depuis plusieurs jours. Je suis un expert pour deviner ce genre de truc. Mais dans l'immédiat je n'ai pas trop le temps de penser.
Tenant d'une main sa teub il me l'enfonce comme un piquet au fond de ma gorge sans se soucier si je peux la prendre. Il voit que j'étouffe, ça l'excite davantage, je sens son gland gonfler à chaque va et vient entre mes lèvres qui chauffent. Je n'aperçois même pas son pote Souhail qui est entré dans la cave et qui présente déjà son gourdin devant mes yeux. Là je débloque: une bite de 23 cm bien brune, tellement
énorme qu'elle a du mal à bander!
- Alors petite pute, on est nouveau sur Marseille? On va te montrer qui sont les boss de la cité. Y a un rite pour les nouveaux ici: faut qu'ils se fassent dresser par Souhail et Malik, c'est la règle. Hmmm t'as une bonne bouche de tepu, toi. Ca se voit que t'as l'habitude de nettoyer des queues de rebeus. Vas-y salope, prend nos deux bites dans ta gueule."
Je m'exécute encore une fois, j'introduis les deux glands dans ma bouche, les deux arabes appuient fortement sur ma tête pour que je les pompe au max. Je sens ma mâchoire craquer. Malik laisse son pote se faire biberonner et passe derrière moi, me fout à 4 pattes et vire mon froc:
- Oh la pute!! Elle avait tout prévu! Matte ça Souhail, il a foutu un jock strap. C'est carton plein ce soir. Matte-moi ce cul bombé de lopette, c'est un appel au viol ça, tu crois pas?
Souhail contracte ses muscles de mâle et gifle mon visage avec sa teub.
- T'as envie de te faire niker toi, petite pute, hein ?! Tu vas voir ce qu'ils vont te foutre les deux bledars!! Vas-y, suce-moi salope!"
Malik, pendant ce temps, crache sur ma rondelle et m'enfile à sec direct, sans capote sans rien. Je ne peux pas m'empêcher de hurler tellement il me fait mal mais Souhail m'assomme d'une claque.
- Ta gueule salope!! C'est qui tes maîtres??
- C'est vous mes maîtres, je réponds tant bien que mal."
Malik me bourrine comme un malade en appuyant de tout son poids pour bien  cambrer mon cul. Il sort de mon boule et rerentre direct sans préliminaire. A chaque assaut, je manque de m'évanouir.
La douleur commence à laisser place à un drôle de sentiment, j'ai même l'impression de mouiller comme une chienne. Je sens mon trou s'ouvrir béant. Souhail, lui, nettoie à fond ses 23 cm entre mes lèvres et chatouille mes amygdales. Puis, fait signe à son pote de lui laisser la place.
Il me relève alors que je suis à moitié inconscient. Je peine pour rester sur mes jambes, il me jette sur un vieux canapé dégueulasse qui pue le sperme rance et m'embroche direct.
J'étouffe un cri la gueule enfoncée dans le dossier du sofa. Malik a bien préparé mon cul, il a ouvert la porte du garage... Il refout sa teub dans ma bouche pour la nettoyer. Je pompe comme un malade, je suis pris en sandwich, mes deux rebeus s'excitent sur mes trous, leurs souffles s'accélèrent.
Souhail a un marteau-piqueur à la place de la bite. Ses couilles viennent frapper sur mes fesses alors même qu'il tire la ficelle du jock strap vers lui et la relâche faisant claquer un bruit sec. Au bout de quelques minutes les deux manos se coordonnent et explosent de plaisir.
Malik me crache toute sa purée dans le gosier, c'est chaud, infini, j'avale sa crème au fur et à mesure, il ne veut surtout pas que j'en perde une goutte. Au même moment, Souhail jouit en moi. Je sens des jets chauds de sperme gicler dans mon intestin. Les deux arabes me fécondent comme si j'étais leur meuf!
Mon corps se remplit de crème épaisse, je kiffe sa mère! Souhail se retire d'un coup, essuie sa teub sur ma rosette qui fuit déjà tellement elle est ouverte. Il finit de frotter son chibre sur mon visage.
- C'est bien salope! T'es un bon trou à bites! Tu as fait du bon boulot. Vas-y tu peux te casser maintenant."
Les deux keums se resapent et me laissent là comme un pantin désarticulé, gisant et gavé de sperme de rebeus marseillais...

Quelques belles photo pour le W.E.

Quelques belles photo pour le W.E.

Les jeunes n'ont vraiment aucune gêne..!

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Ces pt'its jeunes se découvrent 
et découvrent leur brunette...
Sacrédiou! Elle est bonne!

Histoire du net. Auteur inconnue. Découverte....

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Faut un début à tout...
 Mais, être salope c'est aussi dans les gênes. Non!?

Les débuts d'une soumise
Cela remonte à plus de 20 ans, jusque là notre sexualité était tout à fait classique. Celui qui n’étais pas encore mon mari mais déjà mon amant avait 3 amis. Nous sommes allés diner dans un restaurant, j’étais vêtue d’une jupe portefeuille assez sage et d’un chemisier avec juste 2 boutons ouverts.
La soirée était agréable, nous avions tous un peu bu et étions très joyeux. La conversation a tout d’un coup dévié sur le sexe, parce qu’une femme d’une trentaine d’années était passé devant notre table et qu’elle semblait ne pas porter de soutien gorge, ce qui a émoustillé mes compagnons.
L’un d’eux m’a alors mise au défi d’en faire autant, je lui ai répondu que ce n’était pas un problème, que je pouvais même enlever ma culotte, cela ne me faisait pas peur ! Je ne voulais pas passer pour une fille coincée, et plus je parlais et plus j’étais acculée dans mes affirmations.
Au bout d’un quart d’heure de discussion j’ai abdiqué : Je me suis levée et suis allée aux toilettes, j’ai ôté mon soutien gorge et ma culotte en dentelle et suis retournée m’assoir à table avec mes sous vêtement dans la main.
Ils m’observaient tous les quatre et le plus effronté d’entre eux a voulu voir mes dessous pour être sur que je les avais bien enlevés. Je les lui ai tendus dans le creux de ma main mais il s’en est saisi rapidement et les a exhibés comme un trophée !
Il refusait de me les rendre et mon copain ne faisait rien pour m’aider. Il a même dit à l’autre de les poser en évidence sur la table ce qu’il s’est empressé de faire tout en m’empêchant de les récupérer ! Plusieurs personnes sont passées devant notre table et les ont vus, le serveur aussi et il n’arrêtait plu de me regarder.
J’étais très troublée mais je jouais la fière devant mes amis et essayait de ne rien laisser paraitre. Mais je sentais mes lèvres se mouiller et s’écarter. Mes copains ne me quittaient plus des yeux et continuaient à me provoquer. Nous partîmes du restaurant et il fut décidé d’aller chez l’un d’eux dont les parents étaient absents.
Arrivés chez lui, les autres continuèrent en me disant qu’on voyait bien que je ne portai pas de sous-vêtements parce que mes seins bougeaient beaucoup, vexée je leur rétorquais qu’ils étaient fermes et n’en avaient pas besoin !
Ils disaient aussi que ma jupe rentrait dans mes fesses et qu’on savait donc que je n’avais pas de culotte, etc.. Je voulais récupérer mes vêtements mais ils ne voulaient pas me les rendre.
C’est alors que mon copain m’a dit
- Si tu nous fais un strip-tease on te les rendra !
J’ai d’abord refusé en les traitants de fous mais je me suis résignée à le faire pour récupérer mes habits et faire plaisir à mon amant qui me regardai avec un drôle d’air. Ils ont mis de la musique et je me suis levée pour commencer mon effeuillage.
J’ai dansé quelques instants devant eux, ils m’ont servi un whiskey que j’ai bu d’une traite tout en dansant pour me donner du courage et j’ai commencé à déboutonner mon chemisier, bouton après bouton.
Au deuxième bouton on commença à entrevoir mes seins, l’atmosphère a brutalement changée, plus personne ne riait et ils ne me quittaient plus des yeux. Je devenais moi aussi de plus en plus excitée et je perdais complètement pieds.
Tous mes principes et toute ma pudeur se sont envolés d’un coup, j’avais devant moi 4 hommes qui étaient suspendus au moindre de mes gestes et je trouvais cela fascinant, mon ventre et mon sexe étaient en feu et je me suis laissée aller.
J’avais maintenant ouvert mon corsage jusqu’au nombril et toutes mes ondulations découvraient ma poitrine à leurs yeux gourmands, je jouais à me caresser les seins pour les faire encore plus darder sous le tissu.
Je continuais à ouvrir les boutons très lentement jusqu’au dernier puis je leurs tournais le dos et fis glisser mon chemisier sur mes épaules et descendre sur mes reins avant de le laisser tomber par terre. Je me suis alors tournée vers eux, les mains sur les seins, tout en continuant à danser. J’ai d’abord écarté les doigts pour montrer mes tétons dressés puis j’ai enlevé mes mains l’une après l’autre pour offrir ma poitrine à leurs regards.
Ils étaient suspendus au moindre de mes gestes, j’ai caressé mes seins et mes mamelons qui étaient maintenant complètement érigés, puis je me suis attaquée à ma jupe. Cela fut rapide puisqu’elle n’était fermée que par un nœud. Je l’ai ouvert en retenant le vêtement, l’ai fait glisser sur mes hanches puis remonter puis laisser à nouveau glisser jusqu’à ce qu’ils aperçoivent mon buisson puis je leur ai offert ma croupe petit à petit tout en ondulant du bassin à un mètre de leurs yeux.
Quand ma jupe tomba au sol je me tournais lentement devant eux pour qu’ils puisent admirer mon minou. Ils étaient scotchés devant moi, les yeux rivés sur mon sexe et mes seins et je voyais leur pantalon bien tendu par une solide érection que j’avais provoqué !
J’ai voulu reprendre mes habits mais mon copain m’a dit :
- Pas tout de suite, tu es mieux à poil et je veux qu’on puisse encore te mater, tu te rhabilleras quand je te le dirais !
Nous sommes encore restés une heure chez son copain, moi totalement nue devant ces quatre garçons qui m’observaient sous toutes les coutures. J’essayai de ne pas trop bouger, de garder les jambes serrées pour ne pas trop m’exhiber mais mon amant a voulu que je vienne m’assoir en face d’eux sur l’accoudoir d’un fauteuil à coté de lui, face à ses amis.
Je me suis exécutée, une jambe de part et d’autre de l’accoudoir, sexe encore béant offert à leurs regards. Ils me voyaient dans toute mon intimité encore mieux que pendant mon strip-tease parce que dans cette position je ne pouvais pas serrer les jambes que mon copain me faisait encore écarter plus en me chahutant et je rougissais à chaque regard sur mon sexe ou mes seins parce que j’avais pris conscience de mes actes mais je n’osais pas contredire mon copain et leur montrer ma gène.
J’attendis donc qu’il me dise de me rhabiller, ils en profitèrent encore tous pour m’observer parce que je dus le faire devant eux et sans remettre mes sous-vêtement parce que mon ami a dit que j’étais mieux sans puis nous sommes partis, mon copain et moi en voiture.
Mais il ne m’a pas ramené directement chez mes parents, il s’est arrêté dans une ruelle et m’a prise sur la banquette arrière en me traitant de cochonne ..(pour mon plus grand plaisir)
A partir de ce jour mon copain me demandait souvent de ne pas mettre de soutien-gorge, puis après quelques temps ou je m’y étais habituée il me demanda de ne plus mettre de culotte et je le fis parce que cela me plaisais mais surtout pour lui faire plaisir : J’avais vu pendant mon strip-tease qu’il était fier de moi et je trouvais excitant de lui obéir…..
Après notre mariage il a exigé que je ne porte plus aucun sous-vêtement en sa présence et je lui ai encore obéi. Il a commencé à choisir mes vêtements, jupes courtes ou fendues, vestes échancrées, chemisiers très légers, etc…
J’étais de plus en plus sexy pour son plus grand plaisir.
Quelques mois plus tard il m’a emmenée dans une boutique de lingerie, c’était au printemps et je ne portais qu’une robe, assez sagement boutonnée sur le devant. J’étais un peu étonnée puisqu’il ne voulait pas que je mette de sous-vêtement. Une femme d’une soixantaine d’années tenait la boutique.
Elle nous a demandé si elle pouvait nous aider et il lui a répondu qu’il voulait m’offrir un porte-jarretelle et des bas. Elle nous a montré différents modèles, Dominique en choisi un noir en dentelles et des bas à couture et me dit de les essayer. J’entrais dans une cabine et tirais le rideau, j’enfilais le tout sous ma robe déboutonnée et rouvris pour me montrer. Dominique me dit qu’il ne voyait rien ainsi et m’ordonna d’enlever la robe. Je voulus tirer le rideau mais sa main bloqua la mienne :
- Je veux te voir ».
Heureusement la patronne servait une autre cliente. Je m’exécutais donc et retirais mon vêtement. J’étais nue en bas et porte-jarretelle dans une boutique du centre ville avec une femme de 60 ans et une autre cliente à deux pas de moi !
- Je préférerait quelque chose de plus sexy. Madame s’il vous plait ? Auriez-vous des guêpières ? ».
- Oui bien sur, attendez je vous en apporte ».
Je me dépêchais de remettre ma robe avant que la patronne ne vienne et me voie, sous le regard amusé de mon mari. Elle revint avec une très jolie guêpière noire tout en dentelle.
- Essayez-la, si vous n’arrivez pas bien à la fermer je viendrais vous aider. »
- Merci, je vous appellerais s’il elle n’y arrive pas »
J’en restais bouche bée. Je n’avais encore jamais mis de guêpière et en voyant toutes les agrafes à fermer dans le dos, je me doutais que je n’y arriverais pas seule. Le regard de Dominique me fit aussi comprendre qu’il ne m’aiderait pas…
Je rougis et commençais à dégrafer ma robe, le rideau de la cabine d’essayage à moitié ouvert. Je l’accrochais au porte-manteau puis enlevais le porte-jarretelle. J’enfilais la guêpière et commençais à l’agrafer mais je ne pus en fermer que quelques une.
- Madame s’il vous plait, nous aurions besoin de votre aide »
Je baissais la tête, résignée et soumise à mon mari, la vendeuse arriva, elle ne dit rien, passa dans mon dos pour fermer toutes les agrafes puis elle attacha les bas aux jarretelles mais elle laissait trainer ses mains plus que de raison sur mes fesses.
- Voilà, qu’en pensez-vous ? »
- C’est joli mais je n’aime pas que ses seins soit enfermés, j’aime qu’elle les ait libres. »
- Si vous voulez j’ai un article qui pourrait vous intéresser. »
- Oui, montrez-le-moi. »
La patronne parti chercher l’article et je restais en guêpière dans la cabine en essayant tant bien que mal de me soustraire à la vue de l’autre cliente. Elle revint et me dit :
- Je vais vous aider à vous changer ».
Avant que je puisse dire quoi que ce soit elle avait déjà commencé à enlever les attaches des bas et en profitait pour laisser ses mains sur mes cuisses puis elle m’a fait me tourner vers l’intérieur de la cabine pour dégrafer la guêpière. J’offrais ainsi une vue imprenable sur mes fesses.
Quelques secondes plus tard je me retrouvais totalement nue devant elle et mon mari. Elle tendit alors un corset à mon mari.
- Il laisse les seins complètement libre et resserre bien la taille, vous verrez c’est très joli, je vais vous montrer comment bien le fermer.... Tournez-vous.... Vous voyez monsieur, il faut le mettre juste sous la poitrine pour qu’il soit bien en place et après il faut le lacer en commençant par le bas
A ce moment d’autres personnes entrèrent dans la boutique et elle nous demanda de l’excuser quelques instants. Dominique prit sa place dans mon dos et continua le laçage, au fur et à mesure qu’il fermait le corset je me sentais emprisonnée. La patronne revint.
- Je vais terminer si vous le permettez, il ne faut pas trop serrer au début, vous pourrez serrer plus fort quand elle sera habituée. Voila c’est terminé, tournez vous que nous puissions vous admirer. »
Je m’exécutais sans un mot, les yeux baissés.
- Mets tes mains dans le dos que je te voie mieux »
A cet instant je levais la tête pour m’apercevoir que la première cliente et le couple qui venait d’arriver s’étaient rapprochés et ne perdaient pas une miette du spectacle que j’offrais bien malgré moi. Je reculais dans le fond de la cabine.
- Sors de là, je ne peux pas bien voir !
- Mais les gens vont me voir
- C’est ce que je veux, d’ailleurs je ne pense pas que cela les gêne
Après une hésitation je m’avançais, rouge de honte, tête baissée et restais au seuil de la cabine.
- Ne fait pas la timide, sorts complètement qu’on puisse bien voir comme tu es jolie ainsi !
Je fis deux pas supplémentaires, j’étais maintenant complètement sortie de l’abri de la cabine et tout le monde pouvait me voir nue, avec le corset qui étranglait ma taille.
- Il lui va très bien et fait bien ressortir ses seins et ses fesses, tournez vous pour que votre mari puisse bien voir l’effet »
Je m’exécutais encore et offrais à tous une vue de ma croupe soulignée par le corset. La patronne mis sa main sur mes fesses pour me faire tourner puis elle prit mon sein droit dans la paume de sa main comme pour le soupeser et dit :
- Vous voyez, ils sont remontés au maximum, offerts comme sur un plateau »
Et c’était vrai, le corset faisait remonter mes seins comme jamais un soutien-gorge ne l’avait fait mais j’étais très troublée par les attouchements de cette femme qui aurait pu être ma grand-mère.
Le couple sorti de la boutique mais la femme seule s’approchât encore plus.
- Ca lui va vraiment bien, elle est très excitante comme ça, pourrai-t-elle se tourner encore que je puisse bien la voir ?
- Bien sur, montre-nous comme tu es belle, marche un peu pour voir l’effet
J’obéis à mon mari et me mis à aller et venir dans la boutique, m’exposant aux regards des deux femmes et de celui qui devenait mon Maitre. La boutique étant petite je frôlais ces dames à chaque passage et cela me troublais énormément, mes seins sont devenus tout durs et pointés, de même je sentais ma vulve se mouiller et s’ouvrir.
- Bon, change toi mais laisse le rideau entièrement ouvert que je puisse te surveiller pendant que je paie. »
Je me suis exécutée sous le regard de la cliente mais je n’arrivais pas à défaire les lacets du corset.
- Mon chéri peux-tu m’aider ?
- Non mais je crois que madame se fera un plaisir
- Bien sur
La cliente entra dans la cabine et dégrafa le corset, elle en profita pour caresser mes seins et enfouir deux doigts dans ma vulve pour me masturber. Je n’osais rien dire. La situation tellement exceptionnelle et son habileté m’ont amenée à la jouissance en quelques instants à peine. Elle a alors éclatée de rire en disant que je démarrais vite puis m’a laissée et a quitté la boutique, je me suis rhabillée penaude et j’ai rejoins mon maitre qui avait fini de payer et nous sommes sortis sans un mot.
…..............
Notre première expérience de photos sexys avec un inconnu a été avec un photographe amateur trouvé grâce à un journal de petites annonces gratuit.
Nous avons eu beaucoup de réponses, il faut dire que peu d’annonces proposent qu’une femme pose nue et gratuitement pour un photographe.
Mon mari a donc rencontré plusieurs d’entre eux et en a choisi un qui était, pour lui, le plus sympa et mignon à la fois. Il a voulu que je le rencontre seule une première fois pour discuter avec lui.
Pour l’occasion j’ai du m’habiller très sexy : guêpière qui laissait mes seins nus, pas de culotte, veste très échancrée à même la peau qui s’entrouvrait au moindre de mes gestes, jupe portefeuille qui, elle aussi, ne cachait rien de mon petit minou surtout quand j’étais assise et laissait voir facilement, juste en marchant, la lisère et l’attache de mes bas !
Le rendez-vous était dans un café à 17h. Tout l’après-midi Dominique n’a cessé de me caresser et de m’exciter. Il m’a aussi donné toute une série de consignes que je devrais respecter à la lettre. J’étais dans un drôle d’état en partant seule ! Après un court voyage en voiture je me suis garée sur un parking proche du café.
C’était le mois de février et il faisait assez froid, je sentais l’air glacial s’engouffrer sous ma jupe et mordre mon sexe offert à cette attaque. Mes seins n’étaient pas plus à la fête puisque j’avais bien sur interdiction de fermer mon manteau et les tétons étaient comme des petites framboises.
Le photographe était déjà installé quand je suis arrivée et il a pu bien me mater quand j’ai enlevé mon manteau et que je me suis penchée pour m’asseoir. D’ailleurs il n’était pas le seul à profiter de ma tenue, d’autres clients n’arrêtaient pas de me regarder. J’étais un peu gênée et craintive mais aussi très excitée de mon audace (C’était la première fois que je sortais dans une telle tenue sans mon mari).
Le courant est tout de suite passé entre nous. Après quelques banalités et une discussion tout à fait ordinaire il m’a demandé quel genre de photos j’étais prête à faire et je lui ai dis (comme mon mari le voulait) que j’étais prête à faire toutes les photos qu’il voudrait à condition que mon mari soit d’accord et présent.
Il m’a aussi dit que ma tenue était très aguichante, qu’il avait aperçu mes seins, mes bas ainsi que l’attache de mes jarretelles et cela m’a fait rougir, je sentais mon sexe s’ouvrir et devenir de plus en plus mouillé.
Avant de nous quitter il m’a dit qu’il avait hâte de me voir nue, offerte à son objectif et à ses yeux, et qu’il serait très exigeant sur les poses. J’ai acquiescé et baissé la tête, il me restait à faire le plus dur : la dernière consigne de mon mari était qu’avant de partir et dans le café, je lui dévoile mes seins en précisant que c’était un ordre. Je lui ai dit :
- Avant de partir, mon mari veut que je vous montre mes seins.
Il était stupéfait mais ses yeux se sont mis à briller d’un drôle d’éclat, il ne me quittait plu du regard et s’est penché vers moi. J’ai alors ouvert l’unique bouton encore fermé de ma veste, timidement écarté les pans du tissu jusqu’à ce que mes tétons dressés soit découverts et j’ai attendu qu’il dise quelque chose comme mon mari le désirait.
Au bout d’un instant qui m’a semblé interminable il m’a dit que j’avais de jolis seins, que je devais être bien excitée vu la manière dont les tétons étaient érigés et qu’il adorait que je sois si obéissante. Je n’ai rien dit et me suis empressée de refermer ma veste car, malgré mes précautions d’autres clients profitaient du spectacle et ne me quittaient plus des yeux.
J’ai très vite pris congé, je suis partie sous les regards lubriques de tous les clients (non sans leur avoir encore offert le spectacle de mes seins et de mon ventre en me rhabillant) les joues rouges de honte et de plaisir mélangés, les lèvres de mon sexe ruisselantes et ouvertes !
En rentant à la maison j’ai du raconter dans les moindres détails ma sortie à Dominique, vêtue uniquement de ma guêpière et de mes bas, ses doigts plantés dans mon vagin. Nous étions tous les deux très excités et le reste de la soirée a été une explosion de toutes les tensions retenues depuis plusieurs jours…..
C’est la semaine suivante que ma première expérience de pose a eu lieu. J’avais déjà servie de modèle pour mon mari mais jamais encore je ne m’étais livrée si totalement à un étranger. Savoir que j’allais être totalement soumise à ses envies, prendre toutes les poses qu’il voudrait (et je ne doutais pas qu’elles lui permettraient de voir jusque dans les moindres détails toute mon anatomie) me troublait au plus haut point. Dominique était à peu près dans le même état que moi et toute la semaine s’est passée dans une ambiance chargée d’érotisme. Chaque geste était trouble, tout était prétexte à caresse et frottement. Notre sensibilité était exacerbée par l’attente et le désir.
Pour accentuer encore plus mon excitation mon mari a décidé que je n’aurais plus le droit à aucun sous-vêtement, juste des bas avec un porte-jarretelles ou une guêpière laissant mes seins nus. Se savoir ainsi prête au plaisir à tout moment m’a effectivement mis encore plus les nerfs à fleur de peau.
J’étais devenue une vraie pile électrique, hypersensible. A la moindre caresse j’étais à la limite de l’orgasme. Dominique a aussi exigé que je travaille et que je reste dans cette tenue pour toutes mes activités. J’essayai de mettre des jupes assez longues pour cacher mes bas et l’attache des jarretelles mais mes mouvements laissaient souvent voir ce que j’essayais de dissimuler.
J’ai aperçue à plusieurs reprises le regard de mes collègues de travail s’attarder sur moi lorsque je m’asseyais ou que je me levais. Ils ne manquaient pas aussi de m’épier lorsque je me baissais et leur offrait malgré mes précautions une vue des plus intéressante sur ma poitrine, car bien sur je ne devais pas non plus porter de haut fermé jusqu’au cou.
Dominique voulait que chacun de mes gestes me rappelle que j’allais être offerte nue devant l’objectif d’un inconnu et je dois dire que j’y pensais tout le temps. Tous les gestes de la vie quotidienne prenaient un autre sens, je faisais attention à tous mes gestes et j’étais constamment à l’affut, consciente que tout le monde pouvait s’apercevoir de mon absence de sous-vêtements.
Je fus même obligée de passer plusieurs fois par jour aux toilettes pour essuyer ma liqueur d’amour qui coulait de mon ventre ouvert sur mes cuisses jusqu’à mes bas. J’avais peur de tacher mes jupes et que quelqu’un s’en aperçoive !
Tous les jours nous faisions l’amour plusieurs fois. Deux jours avant la séance Dominique ne voulut plus que nous ayons de relation sexuelle, juste des caresses pour moi sans avoir le droit de jouir ; cela me mettait dans un état indescriptible, j’aurais été prête à n’importe quelle extravagance pour me soulager de toute la tension accumulée. Je devais par contre lui offrir ma bouche matin et soir pour le soulager ce qui ne faisait qu’accentuer le manque pour moi.
A demain pour la suite...

Histoire du net. Auteur inconnue. Découverte.... Fin

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Faut un début à tout....
 Mais, être salope c'est aussi dans les gênes. Non!?
Et toute expérience nouvelle est stressante....


Les débuts d'une soumise
Fin
Le jour venu est enfin arrivé. Mon mari avait tout prévu dans les moindres détails et j’ai suivi son scénario à la lettre. C’était un samedi et nous ne travaillions ni l’un ni l’autre. Le matin nous nous sommes levés tard et avons déjeuné vers 11 heures. Tout l’après midi fut consacré à ma préparation. Coiffeur, esthéticienne pour m’épiler parfaitement le ventre puis bain avec des huiles essentielles pour parfumer tout mon corps.
J’ai passé une crème auto-bronzante sur tout le corps pour avoir un joli hâle puis du fond de teint pour bien prendre la lumière. J’ai du me maquiller le visage et les aréoles des seins ainsi que les petites lèvres de mon ventre pour bien les faire ressortir et me rendre encore plus impudique. L’effet était saisissant ! Tout mon corps était une invitation à l’amour ! Je n’avais jamais été aussi nue qu’à ce moment.
Je me suis ensuite parée plus qu’habillée avec les vêtements que Dominique avait choisi pour moi. J’ai fait glisser des bas de soie sur mes jambes jusque très haut sur mes cuisses, un porte-jarretelles de dentelle noire est venu les retenir. Une jupe porte feuille à couvert mes reins et une veste très échancrée à caché un peu ma poitrine. Chaque geste que je faisais laissait voir un peu de mes seins, la jupe s’ouvrait très haut au moindre mouvement, chaque pas dévoilait mes cuisses aux regards. Lorsque j’étais assise elle laissait voir le haut de mes bas, les jarretelles, la peau blanche et douce tout en haut de mes cuisses et l‘ombre de ma fente d’amour.
Les vêtements soulignaient plus qu’ils ne cachaient mon corps, tout était fait pour le mettre en valeur et l’offrir aux regards. Un pendentif représentant une femme nue plongeait entre mes seins et soulignait mon décolleté très audacieux.
Enfin le moment tant attendu est arrivé. Nous avions rendez-vous dans un petit restaurant pour un souper léger. La nuit qui était tombée me rassurait et me cachait un peu, il n’y avait pas grand monde dans les rues et je suis passée inaperçue jusqu’au restaurant.
Nous arrivâmes les premiers et tous les regards se sont tournés vers moi quand je passais dans la salle. Le serveur me regardait avec beaucoup d’insistance surtout pendant que Dominique me débarrassait de mon manteau : ma veste s’écartait et laissait voir presque toute ma poitrine quand à ma jupe elle dissimulait à peine mes lèvres qui commençaient déjà à s’écarter de plaisir et de trouble. Heureusement nous avions une table un peu à l’écart.
Jean, le photographe, arriva à peine après que nous nous soyons installés. Son regard ne me quittait pas et se perdait souvent dans l’échancrure de ma veste. J’étais assise entre eux, mon mari à ma gauche, Jean à ma droite, les deux hommes se faisant face. Pendant le repas mon mari passait sa main sur mes cuisses et jusqu’à mon ventre. A chaque caresse je frémissais. Jean s’en est rendu compte et l’a imité.
A un moment tous deux avaient la main sur mes cuisses, là ou la soie des bas est remplacée par la douceur de la peau. Quand le serveur est arrivé ils ont pris un malin plaisir à remonter encore plus haut jusqu’à se rejoindre sur ma vulve. L’un d’eux a alors effleuré mon petit bouton et j’ai sursauté. Le serveur a remarqué leurs mains sous la table et m’a regardé avec un sourire moqueur sur les lèvres.
- Tout va bien madame, vous n’avez pas trop chaud ?
J’étais rouge de honte mais aussi d’excitation C’est mon mari qui lui a répondu :
- Non, elle est juste un peu tendue mais nous allons y remédier après le repas, je sais comment la calmer ».
Nous avons alors commandé les cafés et le serveur est reparti.
Dominique a expliqué à Jean qu’il m’avait fait mettre du fond de teint sur tout le corps pour mieux capter la lumière. « Très bien » a répondu Jean. Mon mari lui a aussi dit qu’il avait voulu que je maquille mes seins et m’a dit « Montre. » J’étais gênée mais j’ai ouvert les deux boutons de ma veste. Timidement j’ai écarté les pans du tissus jusqu’à ce qu’ils puisent voir mes aréoles maquillées.
C’est à ce moment que le serveur est arrivé avec les cafés. J’ai refermé mon corsage mais Jean a dit qu’il n’avait pas bien vu.
- Jean n’a pas eu le temps de voir l’effet du maquillage sur tes seins, alors rouvre ta veste qu’il ait le temps de bien voir !
L’ordre était tombé, sec. J’ai baissé les yeux et me suis exécutée sous le regard pénétrant du serveur qui prenait tout son temps pour poser les tasses. Ils étaient tous les trois en train de regarder mes seins.
- Lève la tête et redresse toi qu’on voie bien tes seins. »
J’ai du affronter le regard narquois du serveur. Au bout d’un moment qui m’a semblé interminable Dominique a dit :
- Alors, ça lui va bien n’est-ce pas ?
- Très joli a répondu Jean.
- Bon, tu peux refermer un bouton de ta veste mais pas plus, qu’on puisse quand même bien te voir
Je sentais mon visage devenir tout chaud et rougir pendant que je m’empressai de fermer mon vêtement, le serveur est parti, le spectacle étant terminé. J’étais profondément troublée par cette scène, des sentiments contraires m’envahissaient, je m’en voulais de m’être ainsi exhibée, j’étais heureuse d’avoir fait plaisir à mon mari, fière d’avoir montré à ces deux inconnus à quel point j’étais docile et obéissait à mon maitre, excitée qu’ils aient vus ma poitrine dans ce restaurant, et fière de ne pas avoir déçu Dominique en obéissant sans hésitation à ses ordres.
Tout se bousculait dans ma tête et la soirée ne faisait que commencer. Nous sommes partis du restaurant non sans que je sois encore exhibée devant le serveur et un couple de clients qui venaient d’arriver, car mon mari a tout fait pour cela en m’aidant à mettre mon manteau.
Nous avons regagné notre voiture accompagnés du photographe et sommes partis pour notre domicile, les deux hommes ayant convenu de ne prendre qu’un seul véhicule. J’étais assise aux cotés de mon mari, Jean à l’arrière. J’ai du ôter mon manteau avant de m’asseoir.
- Ouvre ta veste
Dominique aime que j’aie la poitrine nue en voiture et avait décidé de ne rien m’épargner ce soir là. Jean s’est penché vers moi et ses deux mains se sont posées sur mes seins, jouant avec mes mamelons durant tout le trajet.
C’est dans cette tenue que je suis monté jusqu’à notre appartement, veste ouverte sur ma poitrine, jupe ne cachant presque rien de ma vulve, accompagnée par mon mari et un inconnu. Heureusement l’escalier était désert.
Arrivés à la maison je leurs ai préparé un digestif pendant que le photographe installait son matériel. Les premières photos étaient assez « sages » : j’avais la veste entrouverte et ma jupe laissait voir mes bas et les jarretelles, je me suis mise petit à petit dans l’ambiance et je jouais avec la caresse de l’objectif, m’enhardissant doucement en étant de plus en plus suggestive.
- Enlève ta veste
Ca y était, on entrait dans le vif du sujet, soumise aux désirs d’un homme devant son mari. Je voyais à la bosse qui déformait le pantalon des deux hommes qu’eux aussi étaient dans l’ambiance et qu’ils appréciaient le spectacle.
- Cambre-toi bien.... Caresse tes seins... Fais pointer plus
Les ordres tombaient un à un.
- Enlève ta jupe
Nue devant cet homme et Dominique, j’attendais haletante la suite. J’ai du me changer et il m’a fait aller sur le palier de notre immeuble, comme si j’accueillais des invités puis j’ai du descendre dans la cage d’escalier. J’avais une peur terrible que des voisins nous découvrent mais heureusement il n’en a rien été. J’ai du enjamber la rampe de l’escalier ce qui offrait mon sexe à son objectif et à ses yeux. Après quelques clichés nous avons regagné l’appartement.
- Mets toi totalement nue et allonge toi sur le canapé.... Caresse tes seins.... Ton ventre en même temps... Ouvre plus tes jambes... Ecarte tes lèvres qu’on voie bien comme tu mouilles.... Mets un doigt à l’intérieur.... Caresse tes seins en même temps... Fais toi jouir que je te prenne à ce moment ! .
Je crois que Jean n’aurait pas eu besoin de me le dire, j’étais au bord de la jouissance et j’avais du mal à résister. C’est avec soulagement que je me suis laissé aller et j’ai eu un orgasme terrible. J’ai tout oublié pendant plusieurs secondes.
Quand je suis redescendue de mon nuage mes deux hommes semblaient ravis et ont décidé de faire une pose mais pas question pour moi de me rhabiller, je devais rester nue, offerte à leur vue.
Nous reprîmes la séance, moi toujours nue mais sur le lit conjugal. Après une dizaine de pellicules la séance prit fin alors que j’étais à nouveau haletante au bord de l’orgasme.
Je m’étais exhibée comme jamais avant, obéissant aux ordres d’un inconnu en présence de mon mari. Je n’avais rien caché de moi, il avait pu contempler mon anatomie dans ses moindres détails, voir au plus profond de mon sexe, figer sur sa pellicule mon plaisir et mon impudeur.
J’avais été l’espace d’une soirée un objet sexuel, une esclave soumise et obéissante attentive à satisfaire tous les désirs de mes maîtres et j’en avais tiré un plaisir que je n’aurais jamais soupçonné avant cela. C’est à ce moment là que je me suis promis, que j’accepterai tous les jeux que Dominique voudrait bien me proposer.
- Tu sais elle suce très bien !
- Ah ?
- Montre à notre invité comme ta bouche est profonde et accueillante
J’étais surprise parce que c’était totalement imprévu mais j’étais prête à tout ce soir là et de plus Jean était assez mignon. Je me suis approché de lui à genoux. Après avoir fait glisser son pantalon j’ai libéré son sexe qui tendait son slip.
Après l’avoir totalement déshabillé ma langue a doucement longé sa hampe dressée, j’ai taquiné ses bourses pleines de mes ongles puis j’ai plongé jusqu’à ce que mon visage soit contre son ventre. J’ai commencé des allées et venues en aspirant bien sa verge pour lui procurer un maximum de sensations.
- Elle est très douée hein ?
- Oui, elle va me faire jouir si elle continue comme cela
- Arrête, ce serait dommage, tu ne pourrais pas profiter de cette queue.
- Prends là, je te l’offre pour ce soir, tu verras sa chatte est tout aussi accueillante que sa bouche »
Jean ne se fit pas prier, d’autant que Dominique me releva et, passant derrière moi en empaumant mes seins, me poussa vers lui tout en m’obligeant à me cambrer, lui offrant mon ventre.
Jean prit mon sexe à pleines mains, jouant avec mes lèvres pendant que mon maître glissait une jambe entre les miennes pour m’ouvrir d’avantage. Je me retrouvais les bras tirés en arrière offrants mes seins et les jambes écartées, livrant mon sexe déjà béant. Je tressaillais sous ses caresses et il n’eu aucun mal à glisser un puis plusieurs doigts en moi tant mon sexe était mouillé et ouvert.
Ses doigt allaient et venaient en moi, m’arrachant des gémissements de plaisir, et plus il me travaillait plus je m’ouvrais. Après quelques minutes de ce traitement il dit :
- J’ai mis toute ma main et elle a l’air d’aimer cela, quelle bonne salope !
Effectivement je sentais mon sexe dilaté par cette pénétration mais j’étais tellement excitée que je ne ressentais aucune douleur, juste une impression d’être écartelé et remplie comme rarement je l’avais été.
Ils m’ont alors allongée sur le lit, mon mari m’a écarté les jambes pour que Jean puisse me prendre d’un seul coup jusqu’au fond de mon ventre offert dans une pose totalement impudique. Puis il a commencé à aller et venir de plus en plus fort en moi, je sentais sa verge cogner au fond de mon ventre et, à chaque coup je gémissais de plaisir et de douleur mêlée.
Dominique a lâché mes jambes, qu’il n’avait d’ailleurs plus aucune raison de tenir puisque je n’avais aucune envie de me soustraire aux assauts, pour venir me caresser les seins et m’embrasser à pleine bouche. Je lisais dans ses yeux tout le plaisir que je lui donnais en me m’offrant ainsi pour lui et tout l’amour qu’il me portait à cet instant. Nous n’avions jamais été aussi proche qu’à ce moment et pourtant c’est un autre que lui qui me faisait jouir sous ses doigts et sa verge.
Notre photographe a encore accéléré et j’ai senti ses jets tout au fond de mon ventre pendant que mon maître pinçait violement mes tétons pour me faire jouir une nouvelle fois presque en même temps.
- Maintenant à moi, donne moi ta bouche et montre lui comme tu avales mon sperme
Je me suis exécutée sans me faire prier, je voulais encore montrer à quel point j’aime mon mari et tout ce que je suis prête à faire pour lui. Je me suis empalée à m’en étouffer jusqu’à ce que mon maître jouisse en moi, je regardai notre complice dans les yeux, totalement impudique. J’ai ouvert la bouche pour lui montrer l’offrande de Dominique et j’ai tout avalé.
J’accepte toutes les règles à l’avance sans même les connaître, sûre que mon maître saura m’emmener au paroxysme du plaisir. Nous avons revu ce photographe à plusieurs reprises.

Se rechauffer ensemble en ce mercredi d'automne.... Redif.

Connaissez vous Anna?

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Je vous présente Anna.
Accrochez vos ceintures les mecs....
Non. Décrochez la plutôt!!!

Les brèves d'un vendredi automnal...

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La vie n'est qu'un longue successions 
d'expériences lol....

Cinéma Hot
Rendez-vous avec ta chienne devant le cinéma, elle est juste à l’heure devant ce ciné porno sordide fréquenté par des vieux à la recherche de sensations faites pour leur donner quelques émotions qu’ils ne connaissent plus depuis des années.
Je lui avais demandé de tenir un journal à la main, de porter un mini jupe et des bas auto portants noirs.
Elle était étonnée de ne pas me voir et plus encore d’être abordée par un homme âgé d’une soixantaine d’années qui lui demanda si elle était bien Madame XXX. Surprise, elle ne pouvait qu’acquiescer. Il lui demanda de le suivre à l’intérieur de la salle, il avait les billets à la main, achetés au préalable.
Une faible lumière éclairait l’endroit ou quelques silhouettes éparses pouvaient être vaguement distinguées, elle me cherchait du regard, en vain.
Elle demanda à la personne qui la précédait si je me trouvais dans la salle mais il ne répondit pas et lui indiqua une place située à l’arrière du ciné dans une rangée où il n’y avait personne.
Elle pris place au milieu de la rangée et s’assit, inquiète.
Les lumières s’éteignirent peu à peu, la tension la gagnait. Le film débutât mais elle n’y prêta qu’une faible attention, l’angoisse la gagnait.
Soudain, elle se fit encadrer par deux personnes qu’elle pouvait à peine distinguer dans la pénombre, ce n’était ni toi ni moi, seule certitude pour elle. En effet, il s’agissait d’habitués des lieux, deux vieux pervers avertis du deal et qui avaient répondus présents à l’offre que je leur avais faite.
Sans hésitation celui assis à sa gauche qui s’appelait Henri se pencha vers elle et lui dit :
- C’est toi la salope de la soirée ? »
- Je ne sais pas j’attendais quelqu’un »
- Oui et bien le ou les quelqu’un c’est nous salope ».
Pendant ce temps son voisin de droite, Paul, avait déjà glissé sa main sur le Dim-up de ta pute et commençait à remonter le long de son entrejambes sans ménagement. Elle eu le réflexe de serrer les cuisses mais ne put résister à l’insistance de ce visiteur pressé de gagner le haut des jambes tremblantes de ta cochonne.
Henri, à son tour tentait de capturer la bouche de ta femme qui tentait encore de s’extraire à cette emprise qu’elle ne souhaitait pas. Il la saisit par les cheveux et de force écrasa ses lèvres sur les siennes, fourra sa langue humide dans la bouche de ta grognasse qui ne put qu’émettre quelques gloussements étouffés.
La main du vieux s’immisça sous le chemisier et pris immédiatement la direction du soutien gorge rempli à souhait. Il palpa avec délectation les petits seins de tPaul avait continué son exploration et avait glissé ses doigts sous le fin tissu du string qu’elle portait en accord avec son soutien gorge qui lui avait déjà cédé sous les assauts de son voisin de gauche.
Les doigts de Paul parcouraient sans ménagement la raie du sexe de ton épouse qui malgré sa répulsion commençait malgré elle à mouiller.
- Tu aimes ça hein grosse cochonne, je vais te faire gueuler de plaisir .
Les nichons triturés d’un côté et le sexe fouillé par trois doigts elle commençait à s’abandonner et refusait de lutter contre ses salauds qui se déchaînaient de plus belle. Henri lui saisi la tête et la fit se plier sur son pantalon. Sa braguette ouverte en vitesse il sortit une grosse queue flasque et obligea ta grognasse à le sucer.
Elle eu un mouvement de recul, mais la pression sur sa nuque la poussa sur l’engin qu’elle pris en bouche et se mit à lécher comme une truie. Pendant ce temps Paul lui administrait une véritable correction en lui ramonant avec vigueur son vagin détrempé.
Elle pompait de plus belle Henri qui reprenait la vigueur de son jeune temps. Puis elle se mit à gémir sous la grosse masturbation de son autre voisin.
A son tour, celui-ci avait dégagé sa queue de sa braguette et se mit à pénétrer le sexe de ta femme qu’il avait ouvert à souhait. Il ne possédait plus le rythme et la vigueur mais il se faisait plaisir de baiser un gros cul de trou à bittes. Elle commençait à sentir les effets qui étaient si faible au départ.
Henri avait sorti ses gros nichons hors du chemisier et pelotait avec fermeté les bouts tendus qu’il serrait entre son pouce et son index et les étirait avec ferveur, elle gémissait.
Paul demanda à son tour d’être sucé, il était épuisé par l’effort qu’il venait de faire, elle se retourna et présenta ses fesses à Henri, pris la queue de l’autre en bouche et se mit à le pomper fougueusement.
Henri n’hésita pas et il glissa deux doigts mouillés dans l’anus de ta grosse pute qui ne s’attendait pas à ça et sursauta en attirant le regard d’un gars assis trois rangs plus loin.
Le vieux lui fouillait la rondelle et la préparait à recevoir de la bitte.
Une main se posa sur l’épaule d’Henri qui surpris se retourna et vit dans l’obscurité un jeune maghrébin qui se tenait derrière lui en lui faisant signe de laisser la place. Henri obtempéra.
L’arabe sorti un mandrin énorme de son pantalon de jogging, saisi ta pétasse par les hanches et s’introduit en douceur dans l’anus dilaté. Elle fût étonnée de la grosseur de la queue qu’elle venait pourtant de sucer et qui, en bouche, ne lui paraissait pas aussi énorme, elle se retourna et s’aperçu que le partenaire arrière avait changé, avec plaisir pour elle d’ailleurs.
Il pénétra lentement, glissant centimètre par centimètre sa pine démesurée dans la rondelle qui se faisait plus étroite et devenait irrémédiablement douloureuse. Puis d’un coup, il ressortit sa longue verge et tirant vigoureusement les hanches de la chienne il l’enfonça jusqu’aux couilles, elle voulu crier mais son cri fut étouffé par la bitte qu’elle avait en bouche et qu’elle continuait à pomper au rythme que lui faisait endurer le jeune mâle qui la bourrait tant et plus.
Il lui claqua les fesses tant à gauche qu’à droite, il la tringlait comme une bête, elle avait lâché la queue du vieux devant elle, elle n’avait plus de souffle pour respirer tant elle était secouée par la vigueur de son assaillant.
Les deux vieux s’étaient mis à se branler devant le visage de ta belle pute et l’un et l’autre éjaculèrent de quelques malheureuses gouttes visqueuses qui vinrent couler sur le visage de la salope qui passa la langue sur ses lèvres pour récolter le petit jus qui lui dégoulinait sur la bouche.
L’autre derrière, tellement excité par le spectacle défonça carrément le cul de la cochonne, tous les spectateurs présents ne pouvaient ne pas entendre le bruit que faisaient les sièges désossés et les cris de ta femme, il y eu bien vite huit curieux qui s’approchèrent de la piste de baise. Certains encourageaient l’arabe, d’autres risquaient une main sur le dos et sur les seins de ta femme entièrement possédée.
Son amant se retira, la fit pivoter et s’engouffra dans sa bouche. Dans un râle profond il lâcha la dose sous les regards médusés des autres. Elle avala tout et nettoya de sa langue les traces de sperme qui dégoulinaient le long de la hampe du gars.
Deux ou trois spectateurs se branlaient et vidèrent leurs couilles sur les seins de cette ordure qui avait été servie par des illustres inconnus. Elle avait aimé.

DIEGO
Je m’appelle Diego, j’ai 35 ans et je suis célibataire. Je ne suis pas très grand mais mon charme latin me permet d’être assez sollicité par la gente féminine. Je vie seul mais en ce moment je fréquente une jeune femme très belle depuis quelques mois nommée Nadia. Ma réputation de séducteur n’est plus à faire et on dit de moi que je suis un très bon amant.
Une nuit, je me trouvais assis au comptoir du bar où Nadia est employée, et derrière moi, à une table, se tenait deux hommes face à face qui se prenaient par la main. Ils se souriaient et s’embrassaient furtivement et je ne pus m’empêcher de tirer l’oreille pour espionner leur conversation.
L’un des deux racontait à l’autre qu’il se connectait souvent sur un site de dialogue et que cela lui permettait de faire des rencontres réelles pour des soirées très chaudes.
Nadia terminait son service et nous sommes rentrés chez moi. Nous avons fait l’amour, puis Nadia c’est endormie. Deux heures plus tard je n’arrivais toujours pas à dormir, alors je me suis levé pour fumer une cigarette dans mon salon. Comme il n’y avait rien d’intéressant à la télé, je me suis dirigé vers mon ordinateur et tout en vérifiant mes emails je me suis connecté sur le net. Au bout de 10 minutes je tapais le nom du site que l’homme du bar avait indiqué à son amant.
Ma curiosité Était telle que je me suis prêté au jeu. J’ai suivis les indications d’inscription du site en donnant bien entendu de faux renseignements. Je me retrouvais connecté avec des centaines de personnes inconnues, des femmes et des hommes, aux pseudos allant des plus délirants aux plus tordus que j’ai connus dans ma vie.
Puis tout à coup, je venais de recevoir un message, puis un second. Je clique sur cette fameuse case et je vois le premier apparaitre. Loulou 23 me demandait s’y j’allais bien. A coté de son pseudo j’ai vu que c’était une femme de 31 ans qui était du département de la creuse, et sa phrase de présentation disait qu’elle voulait faire des rencontres cool.
Je refusais de lui répondre et je cliquais à nouveau sur la case message pour lire le second. Il m’était adressé par un certain michel42. « Salut, si tu veux passer un bon moment chaud je peux recevoir. »
Je me rallumais une autre cigarette quand un second message de Michel 42 s’affichait. « Je veux sentir tout ton membre dans mes entrailles, et avaler ta sève bien chaude».
Plusieurs insultes me passaient par la tête mais je me suis rendus compte que mon pénis commençait à grossir dans mon boxer. Puis une idée me vint à l’esprit, je lui répondis tout en jouant le jeu, durant plus de vingt minutes il me racontait ce qu’il adorait faire et que l’on lui fasse.
Mon sexe était très dur et mes testicules étaient tous gonflés. Je quittais mon ordinateur et je retrouvai Nadia dans la chambre. Je lui retirais le drap qui recouvrait son superbe corps, et je vis sa vulve épilée, doucement je lui écartais les jambes et je me mis à lui sucer le sexe.
Très vite elle se mit à mouiller et ma langue s’introduit dans son vagin, un peu de mon sperme si trouvait encore et je bus le jus qui coulait abondement. Nadia se cambrait de plaisir et d’un coup je l’a retourna. Je lui léchais l’anus tout en lui introduisant mes doigts. Nadia hurlait de plaisir et me suppliait de la sodomiser et deux secondes plus tard ma pine frappait à la porte de son cul Étroit.
Mes vas et viens lui firent prononcer des mots que je ne connaissais pas. Prêt à exploser je me retirais de son fion tout ouvert, elle gobât ma queue entière et je me vidais les couilles dans sa gorge de plus de cinq jets de spermes qu’elle avalât avec délectation.
Puis nous sommes effondrés de fatigues et je me suis endormi dans les bras de Nadia. Le lendemain matin, Nadia tout sourire, m’embrassa sensuellement.
- Tu m’as fais jouir comme personne ne m’a fait jouir auparavant.
Et elle parti à son travail. Sa phrase raisonnait dans ma tête, mon excitation m’était venue de ce dialogue avec ce Michel 42. Le fait de repenser à cette conversation je senti ma bite se raidir et je ne pus m’empêcher de me masturber. Tout en me masturbant je me suis dirigé vers mon ordinateur et je me suis connecté sur un site homosexuel et j’ai pus visionner des vidéos montrant deux hommes se pénétrer.
La vision de ce film m’écœurait et me procurait un désir fou à la fois. Juste après avoir jouis, je refrappais le nom du site de dialogue en gardant le même pseudo que la veille. Je me dirigeais sur les hommes de mon département en cherchant ceux qui comportaient le mot gay sur leurs pseudos.
Très vite, on me répondit, mais un certain Kevin avait retenu mon attention, il était de la même ville que moi. Nous discutâmes durant près de deux heures et il me vantait ses prouesses sexuelles. Je n’en pouvais plus, je voulais le prendre à mon tour, lui présenter mon sexe sous ses yeux pour qu’il me le bouffe.
Tout d’un coup, mon cœur se mit à battre plus fort, il me demandait mon numéro de téléphone pour me contacter et ainsi définir un rendez vous. Pris de peur, je me déconnectais et au moment où je glissais une cigarette dans ma bouche mon portable se mit à sonner. Automatiquement je décrochais.
- Allo ?
- Oui allo c’est moi. C’est Kévin ! Ca va ?
Inconsciemment, je lui avais donné mon numéro, certainement pris par le feu de l’action.
- Euh, oui euh et bien je vais bien ?
- On peut se voir dans une heure ? Me demanda t il.
- Ok, où ?
- Je te récupère et on va dans un coin ;
- D’accord, devant le supermarché.
- A tout à l heure, j’ai ce qu’il faut !
Je pris une douche, très longue et presque bouillante, puis j’enfilais un boxer blanc et un jeans. Mon téléphone se remit à sonner, c’était le numéro de Kévin.
- Je serai au supermarché dans 1 minute !
Je me mis à ma fenêtre, le supermarché était en bas de chez moi et de là, je pouvais voir à quoi il ressemblait.
Un monospace gris s’engageât dans le parking, à son bord, un homme d’une trentaine d’années aux cheveux clair. Le monospace se garât et son conducteur en ressortit. Il était de taille moyenne et assez mince. Il retira un téléphone et appuyât sur les touches, aussitôt´mon portable sonna, c’était lui.
Puis tout se passa vite, la présentation physique, le son des voix, tout s’enchainait rapidement.
Cela faisait près de 15 minutes que nous avions quittés la ville, quand le monospace quittât la route pour un chemin de terre, puis le véhicule stoppa. Mon cœur battait la chamade, et je n’osais pas le regarder dans les yeux.
Tout à coup, il se jeta sur moi et se mit à m’embrasser sur les lèvres, sa langue essaya de s’introduire dans ma bouche à plusieurs reprises et sa main compressait mon sexe qui était raide comme une trique. De façon habile il me déboutonna le pantalon, glissa sa main dans mon boxer et en ressorti ma pine. Il me branlât lentement et se penchât sur mon membre.
Sa langue me caressa le gland et elle en fit plusieurs fois le tour, puis il l’englouti goulument. Ses allers et retour me rendaient fou. Il m’aspirait les testicules tout en mastiquant le manche, il se tortillait de plaisir et il avait sorti son pénis de son fourreau.
Je voyais sa bite bien raide, elle était belle et lisse, je ne puis contenir se besoin que j’avais de la toucher, de la saisir dans ma main et je me suis mis à le branler. Je ronronnais de plaisir, ces doigts faisaient de petits cercles autour de mon anus puis s’y introduisaient doucement, j’écartais mes jambes et ils s’engouffraient plus profondément à l’intérieur.
Ma bite se gorgeât de plaisir et mon sperme jaillit comme un jazzer dans sa bouche, il ne tressaillit même pas et but mon jus tout en entier. Il se redressa et m’invita à passer à l’arrière du monospace. Plus à l’aise, il me retira mon pantalon que j’avais sur les chevilles et retira le sien, son sexe était toujours dressé, il me prit la main et la déposa sur sa barre de 21 cm.
Je me remis à le branler, sa main passa derrière ma nuque et avec une légère pression il me dirigeât mon visage sur son sexe. Je restais ainsi durant presque 1 minute la bouche à 2 cm de son pénis, ma langue sorti doucement et lui lécha le gland, puis petit à petit ma bouche suivie et je l’engouffrais
à mon tour. Je le pompais, le branlais, le léchais comme si j’avais toujours sucé des hommes. C’était bon, j’aimais ça. Kévin me mis les mains sur la tête pour m’empêcher de reculer et son foutre envahi ma bouche. J’avais la bouche pleine de sperme chaud, en une seule rasade tout avait disparu, le gout était iodé mais doux, une drôle de sensation dans la gorge, comme une chatouille me mettait mal à l’aise je continuais d’aspirer sa bite et de lécher le sperme qu’il avait sur le gland, j’aimais ça, j’en voulais encore.
Puis Kévin m’embrassa et cette fois je permis à sa langue de rentrer dans ma bouche. Il m’enroula dans ces bras et me caressa ma queue de nouveau, ses doigts humides pénétraient de nouveau mon intimité. Je lui rendis la pareille et nous sommes restés là à nous doigter et à nous embrasser quelques instants.
Il me retourna et se plaça entre mes jambes, j’étais paralysé. Son sexe glissait le long de ma raie et stoppa à l’entré de mon cul. Je senti un liquide froid couler sur son gland et mon anus puis la pression fut plus forte.
L’introduction fut douloureuse au départ et son membre me paraissait énorme dans mes entrailles. Ce va et vient douloureux se transforma en un plaisir profond.
Les coups de reins étaient alternés, violent par moment, rapide à d’autre. Je fondais de plaisir et je repensais à Nadia la veille. Je soupirais, je ronflais, j’hurlais de plaisir et je jouis de nouveau sur le siège de l’auto. Kévin ne fut pas long derrière et me remplis le cul de sperme bouillant. Chaque jet de foutre me rendait fou de plaisir.
Il se retira mais j’en voulais encore. Je remis son énorme sexe en bouche et je le suçais jusqu’à la dernière goutte du divin élixir. Finalement, me voyant assoiffé, il m’emmena chez un type dans une superbe villa.
A l’intérieur, si trouvaient 4 hommes et à peine présenté, Kévin me fit agenouiller et le premier des trois me présentât sa bite et je me hâtais de l’aspirer activement jusqu’à ce qu’il vienne dans ma bouche. Son sperme était acide, mais j’aimais son goût.
Je me fis sodomiser par les trois, et j’avalais toute cette semence. Que ce fût bon. Puis, il me ramena au supermarché, et depuis ce jour, je suce le plus de bite que je peux dans la journée comme un vrai aspirateur à sperme.
Et Nadia me direz vous ?
Elle porte mon enfant, je l’aime et je suis son dieu du sexe.

Retour de tennis,
Assise à côté de moi dans la voiture, Sabine portait une robe noire, un porte-jarretelles, des bas - coutures et ses bottines à talons hauts. Nous commencions à ressentir la fatigue du voyage.
La nuit était bien avancée et cela faisait déjà plusieurs heures que nous roulions lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos. Sabine est descendue de voiture pour satisfaire un besoin pressant. Je ne pus m’empêcher de regarder son déhanchement alors qu’elle s’éloigna rapidement, un désir m’envahit soudain.
Je vis alors deux hommes la suivre et entrer après elle dans la station. Ils se permirent quelques gestes équivoques qui en disaient long sur leur excitation. Je décidais alors de descendre moi aussi de voiture et d’aller à la station vérifier que la situation ne dégénérait pas. La station était quasi déserte à cette heure-là. J’entrais alors aux toilettes des hommes quand j’entendis alors, venant des toilettes des femmes, une voix masculine s’exclamer :
- Viens voir Karim, la petite dame a un joli derrière, elle est sacrément bandante cette bourge»
- Retrousse-lui la robe pour voir ses dessous et profites-en pour la caresser »
- Tu aimes quand on te caresse ? Viens voir, elle a des dessous de pute »
- Arrêtez, je suis mariée et mon mari est dans la voiture »
- On n’a rien contre les femmes mariées, si tu es gentille avec nous, tu pourras aller retrouver rapidement ton petit mari »
Ma femme ne répondit rien.
- Laisse toi faire, on va te faire du bien ; Karim à toi l’honneur de caresser Madame, pendant ce temps elle va me tailler une pipe avec ses lèvres bien rouges
J’entendis le bruit d’une boucle de ceinturon…
- Allez, fais pas de manière, tu as une bouche de suceuse, alors au travail ma belle - Dis donc Momo, c’est vrai qu’elle est bien foutue cette salope. En plus de porter des bas, elle porte un string, plutôt une ficelle dans le cul, son mari ne doit pas s’ennuyer avec une pouliche comme elle. Elle a une chatte bien poilue comme je les aime. Regarde, quand je la touche là sous sa petite culotte, elle frissonne, elle ferme les yeux et elle écarte même les cuisses, c’est un sacré numéro cette femelle J’entendis alors le souffle de Sabine monter de la cabine.
- Tu ne me croiras pas, mais la dame est toute mouillée, à croire qu’elle n’a pas baisé depuis des mois »
- Alors qu’est-ce que tu attends pour la baiser, je passerai après toi ? »
- Non, arrêtez », entendis-je de nouveau, « mon mari va arriver »
- Et alors, je suis sûr que ton cocu de mari ça le fera bander de savoir que sa p’tite femme est en train de se faire mettre »
Effectivement, je commençais à être très excité par cette situation.
- Ne fais pas ta bourgeoise, je sais que tu en as envie, ta chatte est trempée, tu as envie d’un mâle, et tu as de la chance tu vas en avoir deux pour le prix d’un! »
J’entendis alors des râles monter de la cabine. Je compris qu’un des deux hommes était en train de la posséder contre la cloison.
- Elle est foutrement bonne, cette salope, elle n’arrête pas de mouiller, c’est une salope de premier choix, hein, pas vrai que tu es une bonne salope avec tes bottines »
- Oui, je suis une salope »
- Et ton mari il te fait pas jouir comme moi on dirait ? »
- Non, il dit que je suis coincée »
- Coincée, ça non. Plutôt une bonne pute. Tu en veux encore, dis-le »
- Oui, j’en veux encore »
- Dis Karim, presse-toi, tu n’es pas seul, j’ai envie d’essayer madame »
- Ca y est j’ai joui, à ton tour Momo, de profiter de Madame, c’est un sacré bon coup »
- Oh oui, baisez-moi encore, c’est trop bon »
- Tu entends Karim, elle en veut encore de la bibite, elle aime les gros calibres, avec moi elle va être servie, je veux que tout le monde t’entende dire « j’aime les gros calibres, je suis une pute à gros calibres », dis-le »
- Oui, j’aime les gros calibres, je suis votre pute, finissez ce que vous avez commencé »
- La p’tite dame aime se faire mettre pendant que son gentil mari l’attend dans la voiture, Karim, mets-lui ton silencieux dans la bouche, car je vais la faire crier, je vais passer par derrière, son cul est un appel au viol et ce n’est pas sa ficelle qui va m’arrêter »
- Non, pas par là, vous êtes trop gros et personne ne m’a jamais fait ça »
- T’inquiètes, j’ai l’habitude de prendre les pouliches dans ton genre par là, et tu peux me croire, elles ne le regrettent pas ».
Effectivement, elle gémissait de plus en plus fort, je ne la reconnaissais pas, elle si souvent si prude et réservée quand il s’agissait de sexe, elle était totalement décoincée. Elle se livrait comme une chienne, à quatre pattes, un mâle devant, un autre derrière.
- C’est une sacrée chienne cette salope, elle commence à bouger du cul, tu vas voir Karim, je vais lui élargir le trou du cul à cette bourge, après moi, tout le monde pourra rentrer par là »
J‘entendis Sabine jouir une nouvelle fois sans aucune retenue comme la dernière des catins.
- Finis ta sucette maintenant, fais ta gourmande avec ta langue, je suis sûr qu’au travail tu es le genre de pétasse à passer sous le bureau pour tailler le crayon de ton directeur, n’est-ce pas »
- Oui, je l’ai déjà fait et les hommes aiment ça »
- Ton mari est au courant ? »
- Non, non, il voudrait que je lui fasse la même chose… »
- Mais tu préfères le faire à des inconnus, tu es vraiment une salope »
- Oui, je suis une salope qui va aller retrouver son cocu de mari »
- N’oublie pas de rajuster ta ficelle car sinon ta robe va être toute tâchée, et n’oublie pas aussi de remercier ton mari »
- Si tu veux nous laisser ton numéro de téléphone, on viendra te visiter quand tu veux et si ton mari veut regarder, on lui laissera le fauteuil et on prendra sa place dans le lit, il aimera la leçon et il verra que sa femme est une pute qui aime se faire violer par des mecs bien montés … »

Pt'i soumis
J'ai 23 ans et depuis l'age de 21 ans je suis bi, enfin je pensais être bi...
Ma copine n'était pas au courant de ma bi-sexualité, quand elle l'a découvert en regardant mes mails cela a changer totalement notre relation. Ma copine Aline, a continué a chercher et a trouver des photos de moi soumis à un homme plus âgés que moi.
Elle m'assura qu'elle montrerait ces photos à mes amis de classes et ma famille si je ne devenais pas son petit soumis. Par crainte de la réaction de ma famille et de mes amis j'ai accepté. Elle m'oblige aussi a raconter mes exploits de soumis.
Aline me dit que je devais a tout moment être a ces ordres, je ne pensais pas que ça allais finir de cette façon.
Durant une semaine le soir quand je rentrais je devais me balader en string dans la maison et l'attendre couché sur le canapé, Aline me sodomisait avec toute sortes d'objets! Je ne lui faisais plus l'amour elle me sodomisait tout les soirs.
La semaine suivante ma copine est venu avec un god ceinture et des menottes. Les soirs elle m'attachait avec les menottes et je devenais une véritable lope!!!
Un soir lorsque je suis rentré Aline était déjà là avec une boite pour moi, elle me dit d'aller me changer. J'ouvre cette boite et je voie un string transparent, le soutien gorge qui va avec, de quoi le rembourrer, une petite jupe et un chemisier.
Aline me rappelle les photos et me montre un mail avec des photos plus que compromettante prés a être envoyées a toute ma famille et mon école.
J’exécute directement ces ordres, Aline me fit enlever mon string et me rasa le sexe et l'anus. Je pensais qu'elle voulait me prendre en femme.
Elle m'attacha comme chaque soir les mains dans le dos mais cette fois ci elle me banda les yeux. On sorti de l'appart et on alla dans le garage.
Arrivé dans le garage, j'entendis de voix, j espérer que se ne soit pas les voisins, les voix paressaient jeunes, mais comment aller t il réagir en trouvant un homme dominé par sa femme comme ça Aline dit bonjour aux personnes que l'on croisa, je l'ai entendit rire. Aline me poussa contre une voiture et me leva la jupe, elle appela les jeunes et écarta mon string pour me mettre un petit god directement dans les fesses. Pris de honte je ne pouvais rien dire, mais une terrible érection me pris. Aline la remarqua, et on pris la voiture, je commençais a paniquer.
Quand on s’arrêta, elle m'enleva mon bandage sur les yeux, nous étions sur une aire d'autoroute pleine de camion et très peu éclairer. Aline m'emmena dans les toilettes me de fait attendre dans une cabine.
Je ne savais pas quoi faire, dans cette tenue je ne pouvais pas appeler a l'aide. trop honte de la situation.
Aline revient 5 min après accompagnée. je vis 2 hommes assez grand et plus baraqué que moi, j'avais compris ce qui allé se passer...
Aline me donna comme ordre d’être au service de ces messieurs. Les toilettes étant petit l'un des deux proposa que l'on aille dans sa remorque.
Le plus grand des deux m'arracha le string, je n'avais même pas remarqué, mais j'avais le sexe tendu. En voyant ça Aline et les 2 hommes ont commencé a m'insulter de chiennes, de putes et lope.
Arrivé dans le camion, les 2 hommes me donne leur bite a sucer, je fais de mon mieux, je suce, j'aspire le gland, je prends mon rôle de lope au sérieux. les sexes que je suçais était grosse et longue, Aline poussait derrière ma tète pour que je les prenne le plus loin possible en bouche. Un des hommes arriva derrière moi de la position a genoux je passe a quatre pattes Aline donne a l'homme un tube de lubrifiant. Directement je sens qqch de froid sur ma rondelle et ça commence a forcé l'entrée de ma rondelle, je sent le tube se vider en moi...
Puis un gland commence a forcé l'entré de mon anus, je ne peux pas résister. Il pénètre mon anus et commence a me limer. Celui de devant me baise carrément la bouche. Je commence a gémir de plus en plus fort, de douleur ce passe a plaisir.
Plaisir d’être humilier devant la copine qui ne loupe rien, elle filme même Et remarque mon érection et soudainement je jouis sur le sol, sans pour autant que l'on me touche le sexe. Les deux hommes en rigolent, ça résonne dans cette remorque j'ai peur que l'on ne découvre.
Aline ramasse mon sperme avec ces doigts et les essuie sur le sexe que je suce.
Mon anus me fait mal, mes fesses sont pilonné durant 20 bonnes minutes avant que je revoie ce sexe qui m'éjacula en plein visage. L'autre homme ne tarda pas a jouir, il fit pareil sur mon visage... Me voici humilier, plein de sperme, l'anus dilaté qui me fait mal et toujours au sol dans cette remorque.
Les deux routiers sortent de la cabine avec Aline, je les entend parler mais je ne comprend pas ce qu'ils disent. Aline revient dans la cabine m’enlève le reste de mes vêtements et les 2 hommes me font descendre du camion, je me retrouve nu sur cette aire d'autoroute. Aline de banda les yeux a nouveaux et me fit avancer.
Je me retrouve dans l'herbe. J'entends des pas qui se rapprochent. Au bout de quelques minutes Aline m'enleva mon bandeau, je me retrouve au milieux de cinq hommes qui se masturbent. Chacun son tour, ils m'éjaculent au visage. J'ai le visage plein de sperme et Aline filme bien tout ces détails.
Les hommes autour de moi ont tous encore le sexe a l'air. Aline leur dit me passer la douche, je me retrouve plein d'urine. Je me fais traiter de tous les noms et ils partent tous en me laissant comme ça..
Aline m'a promis que ce n'était qu'un début et que j'allais payer de l'avoir trompé durant autant de temps....
Je ne pensais pas que j'allais prendre du plaisir a ce point...

Un samedi en leur compagnie...

Un Dimanche habituel pour certains d'entre nous...

Souffrance!!!

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J'ai mal pour lui...
On se demande si c'est vraiment du pipeau...



Histoire du net. Auteur: Alphonse. Transport...

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Parait qu'ils ont des problèmes pour amortir le T.G.V
Zont ka le transformer en baisodrôme...


Transport... en commun
Auteur Alphonse
Cela faisait environ une heure que le train roulait dans la campagne. Des champs, des pâturages et des petites collines défilaient par la fenêtre du compartiment. Le contrôleur venait de poinçonner nos billets. Le compartiment prévu pour six personnes en accueillait quatre.
Elle et moi, ainsi que deux blacks approchant la trentaine ou l'ayant juste passée, assis côté à côte prêt de la porte. Ils étaient grands, élancés, et leur t-shirt moulant et leur bermuda cachaient deux corps qui semblaient très bien faits.
Je les observai un instant et remarquai qu'ils se rinçaient l'œil sur un magazine pour adulte, bien que l'un d'entre eux cherchait à en dissimuler le titre avec sa grande main d'ébène. Elle ne semblait pas les avoir remarqués, plongée dans un livre, les jambes croisées car elle portait une robe blanche ornée de fleurs qui lui donnait des airs de « belle des champs. »
Je continuai à épier les deux lascars et l'un d'eux s'aperçut de mon inquisition. Gêné, je détournai le regard et lançai une banalité à ma copine à laquelle elle répondit promptement et se replongea aussitôt dans sa lecture. Ce coup-ci, je remarquai que c'était eux qui nous regardaient ! Enfin j'eus plutôt l'impression qu'ils la reluquaient ! Sous mes yeux !
Je les affublai de nombreux adjectifs désagréables en pensée, et décidai de me lever pour aller faire un tour dans le couloir. Quand je passai à leur niveau, un des deux dit à l'autre quelque chose en créole ou bien en africain que je ne compris évidemment pas.
Mais ils avaient l'air content ! Ils étaient contents que je quitte le compartiment, pour mieux la zieuter ! « Les enfoirés » me dis-je. En même temps que je proférai cette insulte, je fus surpris de constater que mon sexe tressautait légèrement dans mon pantalon. J'étais excité par l'idée qu'ils puissent la mater en mon absence et, étrangement, cela atténua la jalousie qui m'avait poussé à sortie du compartiment.
Je me baladai dans ce couloir étroit et désert, fis quelques allers-retours avant de me diriger aux toilettes. Pendant que je pissais mon esprit commença à s'emballer, je les imaginai s'être rapprochés d'elle afin de pouvoir mieux la lorgner. Je voyais même par projection mentale, un des noirs qui mettait la main dans la poche de son bermuda pour se tripoter le sexe. Je me surprenais à imaginer leur vit. J'étais sûr qu'ils étaient énormes !
Un sentiment de jalousie malsaine commença à m'envahir. Je rangeai ma verge dans mon falzar remarquant que ces pensées l'avaient faite croitre. Je ne pouvais pas sortir comme ça. Si quelqu'un se trouvait dans le couloir, il remarquerait ma bosse. Je la serrai entre mes cuisses pour refréner mon érection naissante, mais je continuais à me représenter mentalement des scènes qui me dégoutaient, enrageaient, et aussi m'excitaient. Tant pis pour la bosse, je voulais vérifier ce qui se passait dans le compartiment.
Je traversai le couloir à grandes enjambées jusqu'à la porte de notre compartiment qu'il me semblait avoir laissée entrouverte… Elle était fermée ! Un instant mon cœur s'arrêta de battre dans ma poitrine. « Les enculés ! », marmonnais-je, prêt à tirer violemment sur la porte coulissante. Je me ravisai et décidai de regarder par un des côtés de la porte qui possédait une vitre, mais les rideaux bordeaux avaient été tirés des deux côtés.
Cependant celui à ma gauche avait un coin relevé, découvrant un rectangle de vitre d'environ cinq centimètres sur trois. Je me baissai pour y coller mon œil gauche.
L'un des blacks était assis face à elle et semblait fixer son entrejambe. Elle avait les jambes décroisées. « La salope ! Elle sait qu'il la mate et elle aime ça. ». Je réfléchissais à quel sous vêtement elle portait. Et je ne voyais que des strings. Des rouges, des blancs, des bleus, des transparents.
L'autre black s'était rapproché d'elle et semblait lire par-dessus son épaule. « Tu parles ! Il doit reluquer ses petits nichons. » J'étais en colère après elle et en même temps très excité.
A cet instant je bandais même comme un âne.
Je regardai à droite et à gauche pour m'assurer que le couloir était toujours désert et retournai à mon espionnage. J'étais maintenant convaincu que le black en face d'elle scrutait sa culotte et que l'autre rivait ses yeux sur ses petits seins nus sous sa robe. Comment pourrait-il lire par-dessus son épaule ?
Et comment s'était-il rapproché aussi prêt d'elle sans y être invité ? Autant d'interrogations qui ne faisaient que grandir un sentiment de jalousie extrême et une excitation intense dans les plus infimes parties de mon être. Et surtout un besoin de savoir ce qui aurait pu se passer. Ils n'allaient tout de même pas la violer. A moins qu'elle se laisse faire. J'imaginai des choses pas très catholiques. Elle savait que j'allais revenir d'un instant à l'autre ?
Elle n'oserait pas quand même ?
Celui qui prétendait lire par-dessus son épaule s'approcha d'elle, son biceps effleurant le bras dénudé de ma copine et le salaud appuyait carrément son épaule musclé contre la sienne sans quitter sa place. Ses yeux étaient rivés dans son décolleté. Et elle continuait à faire comme s'il ne se passait rien ! Je décidai de mettre un terme à cette scène qui me rendait fou de rage et là, alors que j'avais toujours l'œil collé à la vitre, son regard croisa le mien une fraction de seconde.
Elle se leva brusquement, tira sur sa robe et se dirigea vers la porte. J'arrêtai immédiatement de les épier et rampais pitoyablement avant d'essayer de me relever pour faire semblant d'arpenter le couloir comme si de rien n'était. Mais avant d'être complètement debout la porte s'ouvrit et elle sortit, un sourire que je ne lui connaissais pas aux coins des lèvres.
Je me sentis ridicule et décontenancé. Mon cerveau cherchait quelque chose d'intéressant à dire, voire de drôle, mais je n'avais pas envie de rigoler. Je voulais crier, hurler, lui dire que c'était une salope, la mettre plus bas que terre, la rouer de coups.
Mes pensées fusaient si vite que je ne m'aperçus pas qu'elle s'était approchée de moi. Je le remarquai quand sa main se positionna entre mes jambes et pressa délicatement mes couilles. Comme toujours ce geste m'attendrit. Ces chiennes ont le don d'annihiler la colère masculine avec une bonne gâterie ou une partie de jambes osée. C'est peut-être pour cela que les hommes sont souvent en colère...
Elle plongea son regard bleu dans le mien tout en malaxant mes bijoux de famille et je crois que je devais sourire comme un niais. Elle approcha sa bouche de mon oreille. Je sentais son souffle chaud qui s'engouffrait dans mes tympans et elle me susurra :
- Avant de dire quoi que ce soit, laisse-moi aller jusqu'au bout de ce que je veux te dire, même si certaines parties de mon discours t'agacent, et le mot risque d'être faible, laisse moi aller jusqu'au bout. Sache que je respecterai ta décision finale. Alors qu'en dis-tu ? »
J'imaginais le pire mais vu qu'elle respecterait ma décision finale, je n'avais rien à perdre.
- Je t'écoute. » fut ce qui sortit de ma bouche.
- J'ai envie de me taper les deux blacks et je crois qu'ils en ont aussi envie. T'as vu comme ils me regardent. Je sais que je n'ai jamais fait des trucs comme ça, mais là je me sens prête, j'ai envie d'être leur pute pour un moment. Tu peux regarder. Même peut-être participer. Ça dépendra de mon humeur… »
Elle s'arrêta net, certainement à cause du masque de rage qu'arborait mon visage. Je voulais la baffer, la trainer par les cheveux jusqu'à une porte de sortie et la foutre hors du train. J'espérais qu'un autre train passerait par là et désintègrerait son corps de salope, éclaboussant de ses tripes et de son sang de chienne la vitre de l'infortuné conducteur de train. D'une voix calme, elle me tira de mes rêveries assassines.
- Tu dois écouter jusqu'au bout, et de toute façon si tu ne veux pas, comme je te l'ai dit il ne se passera rien. »
J'acquiesçai et elle poursuivit son discours tout en continuant à me tripoter les bourses. En fait, elle n'avait jamais arrêté et je remarquai que j'avais la verge qui tendait mon pantalon.
- Pour le moment je comprends que tu ne vas pas me donner le feu vert, mais j'ai quelque chose à te proposer. Si tu me laisses réaliser ce fantasme qui vient de naître dans mon esprit je te laisserai réaliser une fois le tien avec autant de femmes que tu le souhaites et pendant ce temps je serai ta chienne ou leur chienne toute dévouée. Je te laisse… »
Avant qu'elle n'ait pu finir sa phrase je lui donnai mon approbation car sur l'instant elle avait transformé ma jalousie et ma colère en une lubricité sans borne. Mon sexe me faisait mal tellement il était devenu raide et dur.
Et puis la proposition était intéressante. Il me tardait que ce soit mon tour ! Elle lâcha mon entrejambe, déposa un baiser furtif sur mes lèvres, me sourit et dit à haute voix d'un ton sévère :
- Mate nous comme tout à l'heure. Ce coup-ci ton voyeurisme sera satisfait. »
Elle avait du quitter le compartiment pas plus de trois ou quatre minutes. Je retournai à mon petit bout de vitre et repris mon poste de voyeur. Elle reprit son bouquin et s'assit en écartant amplement les jambes afin que celui face à elle puisse bien regarder cette fois ci.
L'autre, comprenant ce qui allait leur arriver, ne se contenta plus d'appuyer son épaule contre la sienne, il glissa sa grande main directement sur sa cuisse qu'il caressa à l'intérieur quelques secondes avant de remonter sous sa robe.
Ma copine dit quelque chose à celui qui s'était enhardi et se tourna vers l'autre en lui demandant autre chose. Evidemment je ne voyais que ses lèvres remuer sans entendre le moindre son et cela ajoutait de la tension érotique au spectacle qu'elle m'offrait. Je plongeai ma main dans mon pantalon palpant mon sexe en complète érection.
Le black qui lui faisait face ouvrit la braguette de son bermuda d'où jaillit un sexe flaccide très sombre de circonférence hallucinante. J'imaginais comment elle devait être en érection. Ce que je n'allais pas tarder à voir car il se leva et fourra son gourdin dans la bouche de ma femme tout en poussant sa tête avec ses grandes paluches pour qu'elle le pompe jusqu'au pubis tant que cela était encore possible.
Au bout de cinq ou six allers-retour il retira sa queue, laissa tomber son bermuda sur les chevilles, et commença à se branler en approchant ses couilles de ma copine qui les goba, l'une après l'autre et les deux à la fois. Sa bite était vraiment énorme, très épaisse, digne des gros godes noirs que l'on peut trouver en sex-shops.
L'autre devait enfoncer ses longs doigts dans son con ou lui caresser le clitoris car elle se tortillait sous sa main. Elle léchait les couilles de l'autre et remontait le long de son sexe hors norme en y baladant une langue experte couverte de salive. Elle s'attardait sur son frein et le lui titillait en alternant pressions douces et fortes de la pointe de la langue.
Il l'empoigna par les cheveux et lui dit un truc que j'imaginais salace et la força à engloutir ce chibre large qui lui distendait les joues. Elle avait la bouche grande ouverte comme si elle faisait une fellation à une canette de coca. Le black baisait sa bouche avec de petits coups de reins et l'obligeait à avaler presque la totalité de sa queue. De la voir faire des gorges profondes à ce chibre noir me filait une trique de tous les diables.
Celui qui baladait ses mains vers la chatte de ma copine avait exhibé son sein droit en tirant sur le soutif avec les dents. Il l'aspirait à pleine bouche, mordillait le téton, le sucer, le lécher tout en continuant ses caresses sous la robe. J'imaginais deux doigts qui s'immisçaient dans la fente déjà humide.
L'autre s'amusait maintenant à la gifler avec sa gigantesque pine noire qui aurait pu être un tentacule de créature des fonds marins. Elle embrassait ce gros sexe que le noir baladait sur son visage. Elle sortit la langue qu'elle fit tourner lentement sur ses lèvres avant de la faire remonter des couilles au gland circoncis, en plusieurs allers-retour, en gardant toujours un regard coquin pour le black qui se tordait de plaisir sous la bouche mouillée de cette trainée improvisée.
Puis, elle s'arrêta net, poussa celui qui lui tétait la poitrine et faisait je ne sais quoi sous sa robe, et cessa tout aussi brusquement de sucer l'autre. Puis elle se mit debout, tira une nouvelle fois sur sa robe et leur dit quelque chose. Le noir au gros sexe qui ballotait maintenant entre ses jambes tel un serpent accroché par la queue à une branche, recula et retira son T- shirt dévoilant un corps imberbe aux muscles bien dessinés.
Il devait mesurer dans les 1m90, possédait des épaules larges, des biceps développés par des heures passées à soulever de la fonte ou à effectuer un travail manuel éreintant, de robustes avant-bras qui se terminaient par de grandes mains aux doigts longs et effilés, des pectoraux puissants, des abdominaux sculptés comme ceux des athlètes de haut niveau, un cou imposant, une belle mâchoire carrée, des pommettes hautes, un front large, un petit nez épaté sans trop l'être, des cheveux coupés court comme son pubis, des cuisses et jambes recouvertes d'un fin duvet de poil plantées sur de grands pieds capable de soutenir ce tas de muscles.
Et ce gourdin ! Il avait commencé à débander mais son membre n'en restait pas moins éléphantesque. Il aurait fait pâlir le grand Rocco de jalousie.
Le second était en train de faire glisser son boxer découvrant une belle queue, déjà très longue en semi érection. Il était beaucoup moins impressionnant physiquement : Plus petit, moins costaud, mais avait un corps plus élancé, un visage plus fin, plus féminin, monté sur un cou délicat qu'une magnifique paire d'yeux coquins illuminaient.
Ma copine s'était assise sur la banquette face aux blacks qui se mettaient à poil pour elle, a ses ordres apparemment car elle continuait à leur dire des choses. Elle avait retroussé sa robe jusqu'aux hanches et se caresser les lèvres à travers son petit string qu'elle finit par écarter pour enfoncer deux doigts dans sa petite moule.
Elle leur dit quelque chose.
Le moins costaud se mit à s'astiquer le manche, sa main droite montait et descendait le long de son pénis gorgé de sang d'une longueur aussi impressionnante que la largeur de la bite de l'autre.
Le noir au tentacule marin s'approcha de ma femme, posa les deux genoux à terre prêt de la banquette, attrapa ses cuisses pour amener son entrejambe à son visage. Il tira sur son string qui se déchira, le jeta à terre, et plongea la tête entre les cuisses de ma belle.
L'autre continuait à se branler énergiquement, son pénis droit comme un i géant dépassait son nombril de toute la longueur du gland. Mon regard retourna sur ma femme qui appuyait sur la tête du black qui lui bouffait la chatte. Elle ondulait des fesses, s'arcboutait et écrasait la tête du costaud de service contre son intimité certainement recouverte de cyprine. Elle fit signe au branleur de s'approcher.
Je bandais comme jamais. Ma main entière tripotait ma queue, je caressais le gland avec la paume de la main, ce qui m'agaçait et en même me procurer des sensations exquises, mes doigts caressaient mes couilles, s'amusaient à décalotter et calotter. « Bite longue » s'était approché de ma douce qui jouait avec la bouche autour de la couronne de son gland. « Bite épaisse » avait toujours la tête entre ses jambes et lui léchait ou aspirait la vulve.
Elle enfourna le sexe au fond de sa gorge et commença à effectuer un va-et-vient rapide qui semblait ravir « bite longue. » Le second promenait maintenait sa langue vers le clitoris et redescendait vers l'entrée du vagin en s'y introduisant de temps en temps.
Elle se tourna vers moi et regarda dans ma direction, tirant sur les cheveux de « bite épaisse » pour qu'il lui lèche plus avidement le minou. En même temps l'autre tenait ma femme par les cheveux et lui baisait la bouche. Elle me fit signe de venir avec l'index. Je crois qu'il ne me fallut pas plus de cinq secondes pour me retrouver dans le compartiment le pantalon sur les chevilles, ma queue dressée dans les mains.
- Ca te plaît ? Dis-le que ça te plaît de me voir entre les mains de ces deux étalons. Tu as vu leurs grosses bites noires. Tu aimes me voir les sucer. Tu veux que je suce les deux en même temps ? »
Je l'avais déjà entendu me parler de manière crue pendant nos ébats amoureux mais devant des inconnus (et qui participaient qui plus est) cela me troublait. J'étais mal à l'aise et excité comme rarement je l'avais été.
Je n'avais donné aucune réponse mais elle avait fait se relever l'homme à la bite d'éléphant et prenait les deux phallus en bouche, engloutissant les deux glands en même temps. Puis, elle ressortait la plus longue et en tapotait la plus épaisse, ce qui n'avait nullement l'air de gêner les deux blacks, certainement complices de baise à plusieurs reprises.
Elle tenait chaque verge dans une main et s'amusait à frotter les glands, l'un contre l'autre, avant de les reprendre en bouche, les ressortir pour les lécher, jouer avec la langue sur la longueur, la circonférence, les couilles.
- Alors tu ne parles pas ? Branle-toi plus vite. Maintenant j'ai envie qu'ils fourrent ma chatte. T'as envie de me voir baiser par ces deux queues ? Dis-le. »
Sans m'en rendre compte, ni vraiment le souhaiter, du moins à voix haute, je m'entendis dire un « Oui je le veux. » qui me surprit et me fit sourire. Elle s'était relevée et avait fait s'asseoir la plus épaisse queue à sa place et s'apprêter à s'y empaler, tournant le dos à son partenaire improvisé de baise hardcore. Je voyais ce sexe disproportionné qui avait du mal à rentrer dans le vagin de ma tendre moitié.
Elle ondulait du bassin autour du gland, essayant de forcer l'entrée, se relevait, recommençait, jusqu'à ce que je vis le gland entrer en entier. Elle resta un instant immobile, appréciant la lente dilatation de son trou. Le black exposait ses seins qu'il malaxait.
Cet énorme sexe noir contrastait avec la peau très claire de ma femme et cela me rendait à la fois, fou de jalousie et de désir. Elle demanda à l'autre de lui sucer les orteils, ce qu'il fit en ce mettant à quatre pattes comme s'il était un chien soumis.
Elle se balançait de droite à gauche et, d'un seul coup, elle descendit jusqu'aux couilles de « bite épaisse » en poussant un râle de douleur ou de plaisir. Le plaisir d'être remplie par un engin aussi gros ?
- Tu veux voir mon trou. Il doit être bien dilaté après avoir été pilonné de la sorte. »
Elle se releva un instant, s'assit sur le black en se balançant en arrière pour me montrer son vagin grand ouvert qui dégoulinait d'excitation. J'avais envie de lui bouffer la moule. Mais déjà elle se retournait et demander à « bite épaisse » de la prendre en levrette.
« Bite longue » se mit de l'autre côté pour se faire pomper pendant que l'énorme bite black défonçait l'entrée du vagin de ma femme qui haletait à chaque assaut, sa chatte déversant sa lubricité sur ce phallus noir qui la baiser comme elle l'adore l'être : A quatre patte, le cul en l'air.
Il jouait avec ses fesses, les écartant et les resserrant, examinant son petit trou avec le majeur, pressant délicatement l'entrée de son anus mais continuait ses allers retours violents qui faisaient tressaillir le corps entier de ma copine. L'autre se faisait branler et pomper en même temps.
Ma femme utilisait ses deux mains pour astiquer ce long manche et il restait encore presque la place pour en utiliser une troisième. Il grognait de plaisir sous la bouche experte et gourmande de ma chérie qui l'astiquait et le sucer comme une folle pendant que l'autre labourait sa chatte à grands coups de rein bien placés.
Elle se retira et s'allongea à même le sol les jambes repliées et relevées et demanda à « bite longue » de la pénétrer. « Baise-moi avec ton bâton ! Je suis ta chienne pour un instant. » Il ne se fit pas prier plus longtemps, mit un genou a terre et glissa sa queue dans la fente de ma femme. Elle y entra sans problème tant le terrain avait était préparé, déblayé conviendrait mieux, par «bite épaisse».
Sa longue quéquette noire entrait et sortait de ma copine tel un piston à plein régime. Il lui limait le con comme un malade, poussant de petits râles secs chaque fois que son sexe quittait son petit temple humide. Il la pilonna, la niqua, la déchira, la baisa comme un fou pendant prêt de cinq minutes au cours desquelles ma femme hurlait des « Vas-y » , des « Plus vite », des « Plus fort » accompagnés du même verbe à l'impératif que tout le monde devrait deviner.
Il transpirait, son long corps chocolat ruisselait de sueur tellement il avait dépensé de l'énergie à la baiser. « Bite épaisse » caressait sa poitrine, tordait les mamelons avec le pouce et l'index pendant que son pote la défonçait. J'étais sur le point d'éjaculer et décidai de ralentir le rythme de ma branlette afin de profiter de la suite des événements avec la même excitation. « Bite longue » fit une grimace, sortit son phallus et déversa trois jets chauds de sperme sur les fesses de ma femme.
- Regarde-moi ça ! Il se permet de me souiller de son foutre et il ne m'a même pas fait jouir ! Nettoie-moi ça et fais-moi jouir avec la langue pendant que je suce ton pote et mon copain. »
Il enleva le sperme avec un mouchoir qu'il venait de prendre dans son bermuda, et en fit une boule qu'il jeta à terre. Je m'approchai afin de glisser par derrière mon sexe dans la bouche de ma femme comme elle me l'avait si gentiment proposé. « Bite épaisse », loin d'être sourd, s'était lui aussi positionné au dessus de sa tête afin que ma femme puisse prendre son tentacule en bouche.
Elle prit d'abord ma bite qu'elle suça avec douceur et lenteur comme je le lui demande souvent. Sa main gauche caressait mes couilles et sa main droite palpait le sexe énorme du black qui grandissait encore. Elle sortit mon sexe de sa bouche et demanda au black d'y mettre le sien.
J'étais à 30 cm de cette verge qui était couverte de veines épaisses et gonflées. Le gland noir était vraiment impressionnant et devait faire pas loin de la largeur de trois de mes doigts, brillant de bave, on aurait dit qu'il avait été huilé. Comment arrivait-elle à avaler une telle bite ?
Elle me prit la queue et la mit dans la bouche en même temps que celle du black. Nos deux queues se touchaient, la mienne de taille modeste contre cette grosse poutre noire. Cela me gênait un petit peu, mais je ne voulais pas gâcher ce moment qui semblait ravir ma femme qui haletait de plus en plus et ondulait des hanches, les pressant contre le visage du cunnilincteur.
Il broutait le minou de ma femme avec beaucoup d'ardeur tout en triturant son anus. J'espérais que ma femme ne sorte pas nos bites pour les frotter l'une contre l'autre comme elle l'avait fait tout à l'heure. Elle était en train d'étouffer avec nos sexes au fond de la gorge mais continuait à les avaler goulument tandis que l'autre était en train de la faire monter au septième ciel avec sa langue qui fusait sur l'intégralité de sa chatte, exerçant des pressions plus appuyées là où ça avait l'air de faire le plus de bien.
Elle arrêta cette douce fellation et commença à gémir en lui ordonnant de bien la lécher. Elle branlait nos queues lorsqu'elle explosa de plaisir, roulant des fesses et proférant une sorte de plainte longue et sourde.
“Bite longue” se releva, il avait de nouveau le sexe qui cognait contre le ventre. Il retourna ma femme et la fit se mettre à quatre pattes, prit sa bite dans les mains, et cracha dessus à plusieurs reprises. Il se baissa un instant pour coller sa langue contre le petit trou de ma femme qu'il pourléchait avec beaucoup de tendresse.
La pointe de sa langue s'arrêta un moment sur l'ourlet anal pour finir par se forcer un passage à l'intérieur. Ma copine avait repris sa double pipe et je n'allais pas tarder à jouir à mon tour. Je me retirai et me glissai sous elle afin qu'elle puisse venir s'enfiler sur ma queue toute raide.
Elle comprit tout de suite et quelques secondes plus tard mon gland passer son minou dégoulinant pour aller finir sa course, bien au chaud, quelque part dans son ventre. L'autre continuait sa feuille de rose et ma femme continuait à bouffer cette grosse bite noire que je voyais en contre plongée. « Bite longue » cessa de lui bouffer le cul, pris sa bite dans la main gauche, la plaça entre les fesses de ma femme pour la sodomiser.
Son gland pénétra le trou du cul de ma belle qui gémit à son passage. Quelques secondes plus tard, il l'enculait en profondeur. Je sentais sa verge qui exerçait une pression sur la mienne à travers la paroi vaginale. Le gigantesque sexe de l'autre black tressautait sous les attaques buccales de ma femme. Il n'allait pas tarder à décharger.
Il se retira et se masturba sur le visage de ma femme, grognant comme un sanglier, jusqu'à ce que son corps soit pris de violentes secousses accompagnées de jets de foutre chaud qui devaient consteller ses lèvres, son menton, ses yeux et ses joues.
Je ne pouvais effectuer que de petits va-et-vient dans sa douce chatte car la sodomie était si énergique qu'elle restreignait mon espace de manœuvre. « Bite épaisse » alla s'asseoir et endossa le rôle de voyeur. Il nous matait la prendre par le cul et le minou.
Sa respiration s'était accélérée et elle suppliait le black de l'enculer plus en profondeur. Il ne se fit pas prier et enfonça sa queue un peu plus loin entre ses fesses. Puis elle me demanda de me retirer afin qu'elle puisse goûter la moiteur de son vagin. Je présentai ma pine à ses lèvres recouvertes du foutre maintenant sec de « bite épaisse. » qui se caressait le nœud en regardant le spectacle que nous lui offrions.
L'autre lui martelait le le petit trou en donnant de temps à autres, une vive claque sur les fesses, ponctuait d'un « T'aimes que je te prenne le cul petite salope. ». Elle prit mon sexe dans la main droite, répéta qu'elle voulait être enculée plus fortement, et l'introduisit au fond de la gorge pour commençait une très agréable fellation lente qui dura environ deux minutes avant qu'elle ne sortît ma pine de son palais afin de demander à « bite épaisse » qu'il lui « prenne le cul ». Pendant ce temps l'autre l'avait sodomisée comme un marteau piqueur fracassant du bitume et, il laissa la place à son pote, qui déjà essayait de faire entrer son gland énorme entre ses fesses. « Bite longue » avait prit mon ancienne place et fourrait son phallus au fond de son ventre. Elle avait repris la fellation et je sentais que j'étais sur le point d'éjaculer.
- Ouvre grand la bouche et sort ta petite langue de chienne. », lui dis-je en quittant cet antre moite.
Le gland démesuré venait de forcer l'entrée du cul de ma copine qui cria de surprise et de douleur. Il s'arrêta le tant que le sphincter épouse la forme et surtout la circonférence de son gros sexe. L'autre en dessous la baisait avec sauvagerie faisant rentrer sa longue queue noire jusqu'aux couilles avec une célérité impressionnante.
Comment pouvait-il allait aussi loin dans ses entrailles ?
Puis ma femme hurla si fort que je craignis que quelqu'un ne débarquât dans le compartiment afin de vérifier si tout allait bien. L'autre était rentré dans son cul, écartant l'anus comme il ne l'avait jamais été.
- Tu m'as fait mal mon salaud. Mais ça me fait mouiller aussi. Sors de là et recommence à me défoncer le petit trou. »
Il sortit, c'est alors que je vis le sphincter dilaté de ma femme qui restait béant, comme si on y avait glissé une main. Cette vue à la fois très crade et excitante me fit exploser sur sa langue et au fond de ses amygdales. Plusieurs jets de sperme terminèrent certainement au fond de son estomac. Sa bouche était colmatée d'un jus blanc épais qui faisait luire ses lèvres.
L'autre entra d'un seul coup au fond de son minuscule orifice, ce qui la fit jouir une nouvelle fois dans un cri aigu suivi d'un long râle de contentement. Celui qui fatiguait son bassin avec sa longue verge, sortit de sa chatte et alla coincer son pénis au fond de la gorge de ma femme.
Il la prit par les cheveux et baisa sa bouche comme il avait fourré son minou il y a à peine deux minutes. « Bite épaisse » s'acharnait sur son cul, écartant à chaque fois un peu plus cet orifice que les blacks avaient baisé sans ménagement.
Déjà je commençais à sentir des vagues d'une nouvelle phase d'excitation se déversaient sur moi. Je pris ma verge en main et me mis à me branler jusqu'à ce qu'elle fut de nouveau dure. Je retournai sous ma femme pour remettre ma queue au fond de sa chatte pendant que la bite monstrueuse lui perforait les intestins.
J'eus du mal à m'introduire car le sexe de l'autre réduisait l'espace vaginal poussant à travers la fine paroi qui sépare les deux trous. Tous les orifices de ma femme étaient comblés par des phallus. Je ne pouvais pas imaginer qu'elle pouvait être autant salope. Elle se trémoussait sous les attaques de nos sexes qui lui labouraient la chatte et le cul et émettait des gargouillis érotiques, la bouche remplie par la longue bite noire.
On la baisa par tous les trous pendant plusieurs minutes avec une énergie que je ne me connaissais pas. Je crois qu'elle a joui une nouvelle fois pendant qu'on la prenait tous les trois comme des bêtes. Ensemble nous nous retirâmes presque au même moment et pendant qu'un black en ma compagnie inondions le visage de foutre de ma femme, l'autre décharger son sperme dans le sillon de ses fesses.
Après cet excellent moment de communion charnelle, chacun se rhabilla et reprit sa place sans dire un mot. Les deux black descendirent avant nous et nous quittèrent avec un simple hochement de tête. Ma copine n'avait pas dit un seul mot et, à leur départ, elle s'approcha de moi et déposa un baiser sur mon cou en me disant : « La prochaine fois c'est toi qui jouera. ». Le reste du trajet se fit dans un silence solennel mais mon esprit imaginait déjà la « prochaine fois » qu'il me tardait de vivre.

Se rechauffer ensemble en ce mercredi d'automne.... Redif.

Grand format!

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Ce jeune homme a des capacités étonnantes

Les brèves d'un vendredi automnal...

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On adore leurs vies, leurs expériences....
Et bien sûr et surtout leurs teubs...


JACUZZI
Auteur:  Kévin (Tours)
Je me détendais dans le jacuzzi du Colonial Sauna quand je l’ai vu entrer. Il était grand, un corps sec et imberbe, cheveux rasés et visage carré. Sa peau rappelait la chaleur du sable, son regard ténébreux croisa le mien et je pus remarquer qu’il y avait beaucoup de masculinité et de désir dominateur dans ses yeux. D’un clin d’œil il m’apprivoisa, d’un clin d’œil je fondis et eus envie de ce bel algérois qui m’invitait à le suivre.
Mohamed avait 27 ans, mon âge. Je me retrouvais penaud devant ce bel arabe, je sentais une envie grandissante monter en moi et pourtant je ne pouvais pas bouger du jacuzzi, comme paralysé par une peur de petit garçon. Il dut faire le tour de la salle plusieurs fois pour bien me prouver que j’étais la proie qu’il convoitait. Sous la serviette nouée, je distinguais une bosse prépondérante, je me mordis les lèvres les imaginant se coller à une belle bite circoncise.
Finalement je me décidai à le suivre. Il précéda la marche dans les labyrinthes du sauna, très sûr de lui. Les autres mecs avides de se taper mon bel Algérien me lançaient un regard rempli de jalousie. Il me laissa pénétrer dans une cabine, sans me dire un mot, avec beaucoup de courtoisie. Ses yeux bruns pétillaient, je remarquai même un léger sourire réconfortant. Une fois la porte fermée, il se colla à moi attendant que je lui lèche le corps. Direct, il prit mes fesses entre ses deux mains d’ouvrier.
Mohamed s’assit sur la banquette et me tendit ses pieds. D’un fort accent algérien, il m’ordonna de les lui lécher. Je m’exécutai, remontant ma langue de ses orteils à ses jambes poilues. Il semblait apprécier ce spectacle, préliminaires d’un rapport de domination. Il voulait être certain que j’acceptais de me soumettre à ses moindres désirs, que je m’offre à lui.
- C’est bien ma chérie ! Lèche moi bien les pieds, tu dois faire ça pour que ton homme se relaxe.
Il finit par dénouer sa serviette et je découvris son sexe raide : une belle bite pas très longue mais puissamment épaisse. Je me demandais comment son gros gland circoncis arriverait à entrer dans mon petit trou. Je commençai à le téter, Mohamed se releva et prit les choses en main. Il me mit à genoux, ouvrit ma bouche avec ses doigts et fit des allers retours secs avec sa bite.
Il kiffait entrer et sortir en brutalisant ma gorge. En tenant la base de sa queue, il me baffa le visage avec son chibre. Je me sentais devenir femme et j’adorais ça. Je commençais à mouiller, il s’en douta, me releva, me retourna, se frotta violemment à mon cul encore protégé par le maillot de bain que je portais. Pressé, il arracha le tissu pour bien sentir mon cul, chopa mes hanches et cracha plusieurs fois sur sa queue, puis sur mon trou. Il fit une première tentative pour me pénétrer, ça coinçait.
- Ma chérie, on va agrandir tout ça ma belle ! T’inquiète pas, je vais te donner du plaisir, si tu as mal tu le dis.
J’étais rassuré. Ce mec s’occupait de tout et paraissait attentif à mon propre plaisir. Sauf que je n’imaginais pas que sa délicate attention s’arrêterait net une fois en moi… Il déroula une capote sur sa teub et l’enduit de gel.
A partir de là, commençait le pilonnage intensif de mon cul par le séduisant blédard. D’un coup sec il entra en moi explosant ses lourdes couilles sur mes fesses. J’étais à 4 pattes écrasé contre le dossier de la banquette, il entrait et ressortait, ne faisait que ça. J’avais beau lui dire que j’avais mal, lui demander de rajouter du gel, il ne m’entendait plus. Il tirait mes fesses jusqu’à la base de sa pine, et re-rentrait directement avec son pieu en fer. Digne d’un véritable Arabe endurant, il me baisa pendant au moins une demi heure, sans interruption, examinant régulièrement mon cul :
- Ouvre bien tes fesses chérie, il est à moi ce beau cul, rien qu’à moi, je vais te montrer ma belle comment je vais bien l’ouvrir !
Et jugeant que mon trou n’était pas assez béant, il redoublait d’effort dans ses assauts. Il me prit dans toutes les positions, contre le mur de la cabine, essayant toujours de fouiller au plus profond de moi et de me pénétrer de coups secs sans diriger sa queue. Sa bite entrait toute seule désormais, mon trou ne résistait plus, mon corps abdiquait. Je lui appartenais, j’étais tout à lui, c’était son souhait.
- Tu es ma femme, c’est bien, tu es bien ouvert maintenant ma chienne !, n’arrêtait-il pas de répéter.
Je hurlais, je râlais, et lui remplissait sa chose. J’étais devenu son jouet, il s’éclatait à me bourrer le cul jusqu’à ce que je plie totalement sous la puissance de sa bite d’Algérien dominateur.
Une fois qu’il estima que j’étais à sa totale merci et que mon cul était bien dressé, il retira sa capote et se branla quelques secondes pour cracher son yop.
A 4 pattes, le cul à l’air, je sentis plusieurs jets chauds couler sur ma raie et recouvrir mes fesses. J’imagine qu’il n’avait pas dû cracher depuis des semaines vu la quantité de sperme qu’il lâcha. Il étala son foutre entre mes fesses, essuya sa bite sur ma peau. J’étais inerte.
Il vint se caler tendrement contre moi en me susurrant des « ma petite femme, je t’aime » dans l’oreille. Il m’embrassa goulûment mais ne me laissa pas le temps de me branler. Lui avait pris son pied, c’était normal. Moi j’étais là pour subir et me laisser remplir par mon bel étalon.
Ce jour de notre première rencontre fut comme notre nuit de noces où, d’une certaine manière, il acquit ma virginité, même si je n’étais plus vierge depuis longtemps. Il aimait penser le contraire ! Depuis, Mohamed et moi sommes en couple. Il accomplit son rôle tous les soirs, je subis au quotidien ses assauts comme une femme docile fécondée par une pure beauté mâle arrivée tout droit d’Alger.



Mouloud dans la cave
Wesh oim c'est Mouloud, rebeu 20 ans, bien foutu, bonne lopsa. Moi c'que je kiffe c'est les rebeus et le blacks, les scarlas en costla et en skets. Je vis a la campagne là ou y’a pas de téci. Mais l'autre jour y’a un pote qui habite dans une tour au 13eme qui m'a invité a dormir chez lui. Je prends mon scoot et je file chez lui.
En arrivant sa mère me dit qu'il est parti chercher quelque chose a la cave. J'pose mes sacs et décide de le rejoindre. En arrivant au 3eme sous-sol j'entends quelques cris étouffés qui m'attirent. J'arrive devant la salle ou il semble se passer de bonne choses...
Les cris commencent a me faire bander. Je passe ma main dans mon survet et me touche. D'un coup une voie grave derriere moi dit:"Alors tu kiff". J'me retourne et ce que je vois me fais encore plus bander. Ya deux lascars un black de 18 ans rasé avec un survet et des skets logué. L'autre c'est mon pote. L'bo gars me demande qui je suis. Mon pote lui répond que je suis un ami...
Brahim le bogoss se met a taper la discut avec mon pote qui n'a pas l'air content.
Moi j'reste là sur place avec les cris en bruit de fond. A la fin Hizmir mon pote semble céder. Il m'regarde et me sors: "désolé". J'pige pas.
Alors Brahim m'explique:
- Il me doit une lope depuis quelque mois, ta pas de potes mec tu va te faire defoncer".
Il ouvre la porte et me pousse dans la cave. La y’a deux gars un rebeu avec une grosse teub de 22/23cm et un jeune céfran qui le suce. Comme nous sommes entrés ils se sont retournés. D'un geste le céfran comprend et se casse.
Là Brahim ferme la porte et fait:
- Alors mon pote attends".
Moi j'pige toujours pas alors mon pote sort:
- T’as plus le choix suce sinon ca va cogner".
Brahim enlève ses vêtement et se met en calson. Et à voir ses muscles j’me dis qu’il vaut mieux pas s’prendre une droite. Alors je m'approche du rebeu et son chibre. D'un coup y m'attrape par la nuque et me fais avaler sa teub. Son gland coince dans ma gorge. Mais c’est pas grave je continue à l'pépom.
Au bout d'un moment Brahim lance :
- Bon fini la rigol passons au chose sérieuses".
Le rebeus pige, sors sa teub de ma bouche et me fais me deshabiller. Il se place derriere moi pendant que Brahim arrive devant moi. Je n'avais pas remarqué mais il a une teub d'enfer, au moins 15 cm et au repos! Il enlève son calson et mes craintes sont confirmées:
- Elle est belle hein et attend ta encore rien vu, tu remercieras ton pote en partant."
Et là il se marre. Je tourne discretos ma teuté et me rend compte qu'il s'est cassé, il n'a surement pas voulu assister à ma séance. Brahim me prend par les cheveux et me fout sa teub toute molle dans la bouche.
Je commence a lui lécher son gland circonci et son zob se met alors à gonfler. Putain j'ai cru que ça s'arrêterais jamais. Un vrai Baobab le truc au bas mot 26 cm, et même au maximum en m'étouffant il n’a pas réussi à me la mettre entier dans la bouche. Pendant ce temps L'autre gars étais parti cherché des capotes:
- Brahim y’a plus de lubri et vu comment son uc est serré ça rentrera jamais. J'vais voir si y en a pas chez oim et j'en profiterais pour sépi".
- Pisse sur sa rondelle sa va faire un super lubri".
- C'est l'pote a Hizmir quand meme!".
- Pas grav".
Le rebeu rerentre immédiatement se redispose derriere mon uc.
Quelques secondes plus tard un jet de pisse tiede m'arrive sur la rondelle puis je sens son gland et d'un coup y m'enfile. J'essaie de hurler mais le zob de Brahim m'en empèche j’peu rien faire.
Je sens la pisse du rebeu coulé sur moi c'est degeu. Puis se met en place le mouvement de ma bouche qui pompe Brahim et les vas et viens du rebeu dans mon uc.
- Viens on échange finis toi sur sa gueule de bonne lope".
Je sens alors la pine du rebeu sortir de mon uc et celle de Brahim sortir de ma bouche. Ils mettent chacun une Kpot et échange leur place .
Sucer le rebeu après avoir sucer Brahim est un jeu de gosse, mais sentir son bâton sur ma rondelle me fait moin rire. Le rebeu m'enfourne sa teub et Brahim fait pareil, d'un coup sec.
Je crie mais rien a faire, deux coups de bassin et ça y est Brahim est en moi. Il me remplit a donf et je kiff kom jamais! Il fait des va et viens pendant que le reb se finit sur ma teuté.
Un peu après la pine de Brahim devient toute dure puis explose en 5 rasades consécutives sur mon cul. Sans même me toucher je fais de même sur le sol.
Les deux keumés se retirent de oim et se rabillent. Moi je ne peux pas gébou j'ai trop mal aux seuffes. Brahim sur le point de sortir me lance:
- Prend une douche chez Izmir tu pues la sépi! Et si un jour tu veux te faire prendre fait le savoir"
Et y s'casse.
Apres je me suis rabillé et je suis aller chez mon pote, j'lui en voulais pas, et il m'a niké à son tour!


Vince à la cave
Salut à tous, moi c’est Vince, J’ai tout juste 18 ans depuis deux semaines. Je suis plutôt sportif et très bien dessiné. Je suis bi mais j’ai une plus grande attirance pour les mecs. Je fais 1m89 Pour 78 kg, Je suis musclé et j’ai une grosse pine de 19 cm par 6 de large, J’ai le look Cailleras et j’adore les baises hard entre vrais keums de cité. Je kiffe les vrais nikeurs genres rebeus, céfrans et keblas.
Avec mon meilleur pote Ali, un pur bogosse  aux corps parfait et à la teub XXL (24 cm), nous sommes allez à l’entraînement de foot. Dans les vestiaires après le foot je peux mater sa grosse bite de rebeu et après la douche, on décide d’allé faire un tour dans la cité.
Sur le chemin on rencontre Hamid qui passe en scooter, C’est lui  que j’appel « le pilonneur » car un jour je l’ai vu tirer Alexis un petit français passif accro au gros zboub et qui adore se shooter avec des  skets de skarla. Ce jour là dans la cave de la cité le passif c’est bien fais niker par son gros  Gourdin du Bled.
Hamid ce beau lascar viens avec nous se poser dans la cave où l’on se rejoint souvent pour une bonne partie de branlette entres racailles de téci.
Arrivé dans la cave on sort la bouteille de whisky et Ali se met à se toucher les couilles devant moi.
J’avais déjà pompé goulument mon pote Hamid un soir ou l’on s’était défoncer la tête et il m’avait déchargé  sur la face et cette fois ci j’étais bien décidé à a me faire engrosser au jus comme une pute par mes deux potes.
Je me décide et je demande à Hamid de le sucer devant Ali qui savait que je pompais ses potes dans les caves.
La il me sort 21 centimètres de teub que je me prends direct en fond de gorge devant Ali qui commence à  tripoter son gros calibre.  Je me déshabille pour me mettre à quatre pattes devant les deux meilleurs baiseurs de la cité. J’écarte bien les fesses pour montrer à Ali que j’attends qu’il me pilonne le trou du cul.
Pendant qu’Ali crache de la salive sur mon trou en me rentre des doigts pour bien m’ouvrir à son gros morceau de rebeu et qu’il me fourre sans retenu, Hamid lui se met torse nu pour bien me montrer son beau corps de beur musclé. Pendant que je lui tête  son gros calibre Ali me choppe les fesses et commence à me tirer comme une pute.
Il me rentre direct ses 24 cm sans prendre de gant comme on dit et pendant ce temps là Hamid me force et me  demande de sniffer ses skets. Je me retrouve à me faire déchirer le boul. le nez dans les skets d’Hamid. Quel kiffe entre couz !
Attiré par le bruit  Jean un kebla de 22 ans  ouvre la porte de la cave et me vois en train de me faire tourner par  deux rebeux, Il d demande directement à Ali si il y à moyen qu’il me Pete le cul aussi. J’avais déjà sucé Jean ce bel africain un soir dans mon hall d’immeuble mais je n’avais pas voulu qu’il me baise car il avait une trop grosse teub. Il faut dire qu’avec un 28 cm de long et 8 de large il devait avoir du mal à trouver un trou qui pouvait accepter un si gros manche de black.
Je me retrouve avec deux pieux de mâles en rut qui me lime la gueule au point de me faire régurgiter le foutre du mec que j’avais sucer deux heures avant.
Ali lui me tronche depuis 40 minutes avec la même endurance, Qu’el étalon cet Ali !
Il en profite bien de mon cul, un coup il la sort puis il rentre son gros pieu au fond de mon cul pendant que je me fais piner la tronche par ses deux potes de baise. Ali laisse la place à Hamid qui à son tour me culbute comme une vrai chienne soumise à ces trois lascars.
Ali lui se positionne devant ma bouche pour décharger sa semence pendant que je suçais le gros zob noir de Jean. Il envoi sa jute sur ma face de salope et au même moment Jean retire ses 28 cm de ma gorge pour se mettre derrière moi  pour me niker avec Hamid. Hamid lui propose de me tirer à deux.
Ce n’était pas possible j’avais déjà du mal avec une seule queue que je me voyais mal me faire démonter avec deux queues, surtout celle de Jean ! Ali qui était encore la me bâillonne la bouche en me tenant les bras pour que ses potes me prennent à deux.  Hamid se retire de mon trou en feu pour laisser la place à Jean qui n’a pas eu trop de mal à rentrer. Il faut dire que ca faisait 1 heures que je me faisais limer…
J’avais envie d’hurler mais le bâillon m’empêchait de le faire. Hamid demande à Jean de lui faire de la place et commence à enfoncer son chibre dans mon cul. Je souffrais de douleur et il en profitait pour donner de grands à-coups. Leur va et viens à bien durer 30 minutes et j’étais comme vider, j’avais mal mais je ne pouvais même plus me débattre.
Ils ont profité de mon cul toute la soirée en me limant tour à tour, ils ont tous au moins décharger deux fois sur ma gueule de soumis. Dès qu’il se vidait je me mettais à ouvrir grand la bouche pour récolter leur pur jus de rebeu. A la tomber de la nuit on est rentré fatigués de se bon plan cul  et moi je suis rentré avec un trou bien large et douloureux.

Avec mon mari nous mettons en commun nos moyens...

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