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Un Dimanche à découvrir sa part de féminité.


Spécialitè russe.....

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Ils sont spécialistes de ce genre de film....
Très réaliste.... Et presque bien joué..


Histoires du net. Auteur:Illumbolligus

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Certains maris sont complaisants....
Vraiment con... plaisant!
Mais ont-ils le choix quand ils épousent des ....

Dépaysement total
Auteur: illumbolligus
L’été dernier, nous sommes allées au Cap vert, archipel à l’ouest de l’Afrique. Nous avions décidé de faire ce voyage pour célébrer nos dix ans de mariage. Nous n’avions voyagé qu’une seule fois hors d’Europe et c’était pour notre voyage de noce, en Tunisie.
Ma femme Céline avait beaucoup insisté pour partir dans un pays d’Afrique, moi je préférais une ile. Le Cap Vert était le bon compromit et offrait des prix avantageux. Je fus séduit par son idée, je ne me doutais de rien...
Ma femme était très excitée à l'idée de partir. Voulant redonner un nouvel élan sexuel à notre couple, elle voulait que ce séjour soit dédié au sexe ce qui n'était pas pour me déplaire. Pour garder notre flux sexuel et nous mettre en condition pour cette semaine de sexe, elle décréta une abstinence de trois semaines avant le départ. Elle refusa même que je la taquine pendant le vol.
Lorsque nous sommes arrivés à l'aéroport de Sal, elle n'arrêtait pas de mater les hommes. J’en étais jaloux mais les trois semaines de ceinture me mettait dans un état étrange. La voir mater un peu trop ostensiblement les beaux métis locaux m’excitait malgré la jalousie. Etonnamment, l’excitation me donnait envie de la voir sexy et provocatrice avec eux. J’étais avide de sexe.
Pendant le transfert en bus, elle couvrit ma braguette avec sa veste et caressa mon membre durci par-dessus le pantalon. Autant dire que je suis arrivé à la réception de l’hôtel avec une érection inextinguible.
A peine, entrée dans la chambre, elle se jeta sur ma bite. Elle avait apparemment autant envie que moi. Après avoir extrait l’objet de sa convoitise de mon pantalon, elle me prodigua ce qu’elle me refuse bien souvent. Elle m’engouffra avec un réel plaisir dans les yeux. J’eu toutes les peines du monde à me retenir de ne pas éjaculer dans sa bouche.
Je la relevai, la déshabillai prestement et l’allongeai sur le lit. Je me précipitai entre ses cuisses qu’elle ne m’avait jamais impudiquement ouvertes de la sorte et dégustai une chatte déjà ruisselante d’un miel odorant et enivrant. A peine les lèvres posées, elle se cabrait, maintenant ma tête plaqué contre son bassin animé. Elle se frottait rageusement la chatte contre mon visage en râlant d’extase.
Cette première vague passée, elle me tira sur elle, attrapa ma queue pour se l’introduire. Je ne reconnaissais plus ma douce et tendre épouse. Elle était déchainée. Je poussai mon sexe en elle, mais malheureusement, les trois semaines d’abstinence eurent raison de moi. J’éjaculais en quelques secondes, la laissant dans un état d’excitation comme jamais je ne l’avais vu.
Elle était si à fleur de peau, qu’elle se masturba devant moi, chose qu’elle n’avait jamais fait non plus. J’allais de surprise en surprise. Elle plongeait rageusement ses doigts dans son vagin pendant que l’autre main tourmentait son clitoris ou écrasait sa poitrine.
Excité par cette scène inédite, je bandai de nouveau. Elle se positionna à quatre pattes sur le lit, attendant la délivrance de la pénétration. Toujours aussi en manque, mais ayant déjà éjaculé, je tenu un peu plus longtemps, en tout cas suffisamment pour calmer sa rage sexuelle, mais pas assez pour la rassasier vraiment.
- Ca c’est des vacances qui commencent sur les chapeaux de route ! dis-je.
- Oui, mon chéri, mais va falloir faire mieux que ça. Je suis à peine calmée. J’ai encore le feu dans le ventre. J’ai trop envie de sexe.
- Qu’est-ce qui t’arrive ? T’es jamais comme ça d’habitude.
- Oui, bien justement, je veux changer les habitudes. Je veux casser la routine. Je trouve que pour nos dix ans de mariage, c’est parfait.
- Je suis d’accord.
- T’es d’accord ? Alors c’est parfait. J’ai envie d’être belle et sexy pendant notre séjour. Alors je m’habille comme je veux et je ne veux pas de scène de jalousie. Si ça marche, je te ferais l’amour jusqu’à épuisement, sinon, à la moindre réflexion, ceinture jusqu’à la fin des vacances.
- Ok pour moi. Je prendrais sur moi.
Céline s'exhiba à la plage comme au bord de la piscine. Les nombreuses touristes brésiliennes avaient décomplexés ma femme qui bronzait maintenant seins nus et portait des strings achetés sur place. Souvent elle se passait de la crème en se pelotant les seins d'une manière très érotique et provocante.
La jalousie me tenaillait, mais ça m'excitait énormément et souvent je bandais comme un fou. Les hommes du club, les touristes comme les animateurs la mataient sans scrupule. C'est vrai qu'elle est bien faite et très mignonne.
Les trois premiers jours, nous faisions l’amour quatre ou cinq fois quotidiennement. Le soir nous allions à la boîte du camp, ma belle s'habillait de façon provocante: minijupe, talon haut, petit haut moulant et décolleté. Elle se déchaînait sur la piste de danse et allumait tous les mecs, surtout les animateurs qui étaient tous métis ou noirs. Elle se frottait à eux, caressant leurs culs musclés.
Parfois, certains n'hésitaient pas à la peloter, trop excités par cette petite blonde sexy. Ils ne pensaient qu'à une chose : la baiser. La salope faisait ça sous mes yeux, elle me provoquait comme pour me faire craquer.
Sachant que dans la nuit j’allais profiter de sa petite chatte excitée, je dois avouer que ça me faisait bander et fantasmer de la voir se faire gentiment tripoter. Les délices auxquels j’avais droit dans la chambre me faisaient relativiser et je prenais sur moi. Une fois dans la chambre, elle me sautait dessus et nous baisions comme des furieux.
Naturellement, elle avait sympathisée avec les gars du groupe d'animations et bavardait des heures avec eux. Ils la faisaient rire en lui versant souvent des cocktails à base de rhum.
Un après-midi, alors que j’étais allongé au bord de la piscine, elle me dit qu’elle devait aller dans la chambre prétextant qu'elle avait oublié sa crème solaire. Je n'étais pas dupe, elle ne sait pas mentir et j'avais vu clair dans son jeu. Je décidais donc de la suivre discrètement.
Un animateur l'attendait devant la porte de la chambre, l'air très excité. Après un baiser profond, ils pénétrèrent dans la chambre. Située au niveau zéro, je fis le tour du bâtiment pour me mettre derrière les buissons.
Heureusement, une partie du rideau était ouverte et me donnait une assez bonne vue sur la scène. Le mec lui roulait de grosse pelle en caressant ses beaux seins. Elle le poussa sur le lit et se déshabilla doucement pour faire monter le désir. Vêtue d’un maillot de bain deux pièces et d’un paréo, le striptease ne dura pas longtemps. Il l’admirait et caressait déjà une belle grosse queue.
Elle s’allongea sur lui, frottant sa peau nue sur le corps musclé du capverdien. Il commença par lui malaxer les fesses tout en lui roulant des pelles. Ses doigts entraient dans la raie culière, atteignant les lèvres glabres de la petite chatte. Ecartant, triturant les globes de chaire, il la faisait déjà gémir.
Ma femme glissa sa main sur le mat noir du jeune homme et le masturba. Rapidement, il réclama une fellation, elle s'exécuta avec un plaisir évident. Sa langue virevoltait sur le gland, ses lèvres le suça longuement, distillant consciencieusement son savoir faire.
Mais trop excité, il lui prit la tête et força sa bouche. Elle le prit profondément dans sa gorge. Elle n’avait pas menti, ces vacances seraient bien dédiées aux sexes, mais je n’imaginais pas que cela impliquait d’autres hommes. Je franchis la barrière de la petite terrasse et frappai rageusement à la fenêtre.
Elle releva la tête et parcourut les quelques mètres qui la séparait de la baie vitrée avec une expression de colère sur le visage. Elle tira sur l’ouvrant, me gifla et me frappa plusieurs fois à la poitrine.
- Tu avais promis de ne pas me faire de scène de jalousie. Tu ne tiens pas tes promesses.
- Mais je ne pensais pas que tu irais voir d’autres hommes. Répondis-je, penaud.
- Je t’ai pas demandé de penser, mais de me laisser vivre mes vacances comme je l’entends. Alors, soit tu regardes, soit tu vas à la piscine ou soit tu rentres en France et moi je reste ici. Alors tu fais quoi ?
- Mais, chérie, tu ne vas pas quand même…
- Assez discuté, le prochain mot qui sort de ta bouche, c’est pour me dire ce que tu fais. J’attends…
Hébété par sa réaction, je ne savais que faire. Je n’arrivai pas à réfléchir, obnubilé par le sexe de ce noir allongé, nu, sur mon lit.
- Bon, alors je crois que tu vas prendre ta valise et rentrer en France.
- Non, non, s’il te plait. Je vais à la piscine.
- C’est une sage décision mon amour. Tu ne le regretteras pas. Dit-elle avant de m’embrasser langoureusement.
- Je t’attends là-bas.
- Je préférerais que tu restes derrière les buissons à ma regarder, ça m’exciterais et puis ça me rassurerait de te savoir pas loin, mon amour. Murmura-t-elle à mon oreille.
Elle ne referma pas complètement la baie et ne tira pas le rideau. Encore sous le choc, je me réinstallais à mon poste d’observation. Elle avait reprit en bouche le sexe qui avait molli. Il ne mit pas longtemps à reprendre de la vigueur. Etrangement, je me mis aussi à bander devant le spectacle. Je passai ma main dans mon maillot et me tripotais.
J’observais la scène au travers des branchages de grosses plantes vertes. Les mains de l’animateur avaient déjà rejoint l’entrejambe de ma femme et un doigt glissait dans sa chatte. Elle échappa à l’emprise de l’homme et quitta le lit. Elle brancha son MP3 sur les petites enceintes que nous avions apportées et commença à se trémousser sensuellement.
Elle prenait des poses obscènes, dévoilant sa chatte et son petit anus. Tantôt elle était à genoux sur le petite fauteuil face au lit et écartait ses fesses, tantôt elle se plaçait juste devant lui et glissait deux doigts dans son minou. Je la trouvais merveilleusement impudique et vulgaire. Elle jetait parfois vers moi de petits coups d’œil discrets. Lui se branlait devant le spectacle improvisé qu’elle donnait. Elle s’approcha de lui et le reprit en bouche.
Assis de dos, je ne voyais rien mais entendais les gémissements de plaisir de son amant.
Elle le dirigea pour le mettre de profil par rapport à moi. Elle lui retira sa chemise et lui fit retirer son pantalon qui était déjà à ses pieds. Elle a fait ça pour que je la vois bien sucer son homme. Son sexe me parut encore plus gros ainsi positionné.
Elle s’agenouilla devant lui et lui lapa le gland. Elle parcourut de ses lèvres humides la grosse verge, goba l’une après l’autre les grosses balles noires. Elle remonta et l’emboucha. Elle aspirait et se creusait les joues, elle pompait en exagérant les bruits de succions. Elle essayait même de forcer en la rentrant le plus loin possible dans sa gorge, elle en avait des haut-le-cœur. Jamais, elle ne m’avait sucé comme çà. Elle se donnait comme jamais. Je voyais bien qu’elle faisait ça à cause de moi.
Elle a vraiment décidé de se faire la plus salope possible. Le pire, c’est que je ne débandais pas. Elle se mit à genoux sur le petit fauteuil, écartant les fesses. Il se posta derrière elle et lui glissa d’une seule poussée son énorme sexe dans la chatte. Elle criait de plaisir, elle eut un orgasme pratiquement tout de suite.
Il l’a pilonnait violemment et lui martyrisant les pointes des seins. Je voyais ses grosses couilles frapper son clito. Elle était comme une poupée désarticulée tellement il l’a bourrait fort. Il était endurant et elle eut encore deux ou trois orgasmes. Elle hurlait sa jouissance. Je n’en pouvais plus et me branlais comme un dingue.
Soudain, il ralentit la cadence, allant et venant avec une grande douceur. Il flatta d’une main le creux de ses reins, descendant quelquefois jusqu’à la fossette adorable qui marquait la naissance de la raie. Il se mit à caresser les jolies fesses rondes et fermes. Le souffle de Sophie s’accéléra imperceptiblement, preuve certaine que les caresses portaient ses fruits.
Avec des gestes précautionneux, il s’approcha insensiblement de la raie et tout naturellement, sa main s’insinua entre les fesses. Comme elle ne réagissait pas négativement à son approche, il effleura du doigt le petit trou serré aux bords plissés. Elle lui manifesta son plaisir par une ondulation de la croupe. Ayant investi cette deuxième plate-forme du plaisir féminin, il décida d’en profiter immédiatement. Les fesses de Sophie enserraient la main de l’homme en une étreinte chaude et moite. Il lâcha un filet de salive sur la rosette plissée et commença à masser doucement de son index les abords immédiats de l’anus, y faisant pénétrer progressivement son doigt. Elle se mit à gémir doucement puis de plus en plus fort. Il était en elle désormais jusqu’à la deuxième phalange. L’anneau musclé le serrait gentiment comme s’il ne voulait jamais le laisser partir. Il poussa alors son index jusqu’à ce qu’il ait complètement disparu dans la grotte brûlante. Il y demeura un bon moment sans bouger tandis que ma femme soupirait, ravie :
- C’est bon ton doigt là … Que c’est bon…
- Tu aimes ça… Hein… C’est bon le petit cul.
Elle se tortillait légèrement, ondulant comme un reptile. Il commença alors à retirer tranquillement son doigt, pratiquement sorti, le renfonça sans brusquerie, s’attachant à rendre la pénétration harmonieuse en suivant la courbe intérieure du rectum.
Il refit ce geste plusieurs fois et peu à peu, le sphincter se relâcha autour de son doigt. Sa patience trahissait une certaine expérience de la chose. Le sexe toujours en elle, il lui imprimait un mouvement lent et ample. Encouragé par les gémissements de plus en plus prononcés de sa maîtresse, il put alors l’enculer de l’index tout à loisir. Parfois, elle soulevait son cul à la rencontre de son doigt comme si elle avait voulu que celui-ci soit plus long et la fouille jusqu’au fond de ses entrailles.
Il glissait à présent sans aucune résistance dans l’étroit conduit qu’il lubrifiait par quelques jets de salive ou en recueillant la liqueur gluante secrétée par les muqueuses vaginales. Il l’a souleva de ses bras puissant et la posa sur le lit. Il poussa alors son pouce entre les chaires intimes. Elle râlait de plaisir, agitée par une sorte de spasme ressemblant à un orgasme passager.
Il n’insista pas d’avantage, retira son doigt tout gluant et le porta à sa bouche tandis qu’elle gardait son visage enfoui dans l’oreiller. Il l’aida ensuite à relever sa croupe, afin que ses fesses s’évasent naturellement. Son petit trou était juste à la portée de sa queue. Il positionna son gland animé de lourdes pulsations sur la pastille sombre.
Il cramponna ses hanches et commença à pousser, tandis qu’avec sa main droite, il s’évertuait à lui caresser le clitoris. Je voyais cet énorme pénis glisser dans le petit anus vierge de ma femme. Elle poussait un râlement rauque que je ne pouvais pas interpréter, était-ce de la jouissance ou de la douleur ?
Il était maintenant bien planté en elle, la chevillant jusqu’au fond de son cul. Il resta alors un certain moment sans bouger lui laissant ainsi le temps de s’accoutumer à cette intrusion. Il commença alors, doucement à se retirer en partie, puis s’enfonça de nouveau jusqu’à la base de sa queue.
Progressivement, ses mouvements s’amplifiaient tandis que Céline murmurait des mots sans suite et jouissait de plus en plus bruyamment. Il s’agrippait fermement à ses hanches entama un pilonnage violent du petit cul tout juste dépucelé de mon épouse.
Elle hurlait maintenant, de plaisir ou de douleur, je ne pourrais le dire, mais elle hurlait. Son corps fût parcouru de spasme, réaction témoignant d’un orgasme fulgurant. Il se retira du l’étroit conduit, la laissant pantelante quelques instant. Ma femme donna des coups de cul vers l’arrière, semblant réclamer la saillie anale. Il repointa et reprit le cadence. Répétant plusieurs fois la manœuvre, il s’amusait avec les fesses de ma femme. Puis il se mit à la limer sérieusement et je le vis de bloquer fortement. Il jouissait, déversant son foutre profondément.
Il se rhabilla prestement et quittait la chambre avant même que Céline ne redescende du septième ciel. Je pénétrai dans la pièce et regardai mon épouse de plus près. En levrette, les cheveux blond en bataille, couverte de sueur et haletante. Sa minette était recouverte du sperme qui ruisselait de son anus dilaté. Elle était belle et impudique.
N’y résistant pas et voulant gouter moi aussi à la douceur de ses fesses, je callai mon gland sur la rondelle ouverte. Elle murmura quelque chose que je me compris pas puis saisi mon pénis pour le mettre contre sa petite chatte. Je poussai et éjaculai pratiquement tout de suite dans son vagin distendu. Elle s’allongea et sombra dans un profond sommeil. Je ne tardai pas à la suivre.
A mon réveil, elle était déjà partie.
En panique, n’ayant pas la moindre idée de ce qu’elle avait en tête, je couru vers la plage, puis la piscine. Elle n’y était pas. Alors que je me rendais à l’un des nombreux bars pour me prendre un petit remontant, je la vu disparaître derrière les arbres de l’allée qui mène à notre chambre.
Elle était au bras d’un gentil animateur. Elle n’allait pas me faire ça, pas deux fois dans la même journée. Je retournai derrière les buissons. Je ne les vis pas entrer, car la fenêtre et le rideau étaient cette fois bien tirés.
Je ne pus que percevoir ses gémissements de plaisir sans savoir ce qu’ils faisaient réellement. Une fois le silence revenu, je fis le tour et entrai dans la chambre. Il n’était pas partie et fut surpris de mon arrivé.
Il se leva du lit comme un ressort. Elle le rassura, se mit à genoux devant lui et le reprit en bouche. Elle gardait le gland entre les lèvres et de sa main droite, elle le branlait énergiquement. Sa bouche gourmande parcourait la tige marron claire, le gland rose et ses testicules épilés.
Elle le suça longuement, me jetant régulièrement un coup d’œil. Il se crispa et éjacula en râlant dans la bouche de ma femme. Elle continua de le pomper et d’en extraire les dernières gouttes pendant quelques minutes, puis il se posa sur le lit et s’alluma une clope conique. Elle se mit à ses côtés et fuma avec lui.
Les volutes épaisses et l’odeur ne laissaient pas de doute sur la composition de cette cigarette. Ne sachant quoi faire, je m’installai dans le petit fauteuil en les regardants se passer le joint.
Je n’avais jamais vue Céline fumer. Je pense qu’elle n’avait sans doute jamais gouté à ce genre de chose. Le gars me fit signe en guise de proposition, j’acceptai, poussé par les événements de la journée. Je tirai quelques bouffées et retrouvai les sensations d’étourdissement connues lorsque j’étais étudiant.
Il commença à câliner ma femme. L’embrassant sur les seins, caressant son ventre, ses seins, ses cuisses en douceur. Elle réagissait déjà malgré la léthargie dans laquelle la drogue douce l’avait plongée.
Je fumai toujours lorsqu’il engouffra son visage entre ses cuisses. Soudain, on frappa à la porte. Le lécheur se leva pour ouvrir et laissa entrer deux grands gaillards, des ouvriers de l’hôtel club. L’un était noir, l’autre avait plutôt le type arabe.
Sans un mot, l’amant reprit sa besogne tandis que les deux nouveaux venus s’installèrent sur la table et se roulèrent des joints. Comme moi, ils admiraient le travail de leur collègue en fumant. L’air fut bientôt saturé de cannabis et de tabac. Céline gémissait, les jambes largement écartées.
Les gars s’approchèrent du lit pour caresser les petits seins ronds de ma femme. Les tétons roses dardaient déjà comme de petites épées. De chaque côté du lit, ils s’attelaient à la sucer, lui mordre, la malaxer. Elle se tordait de plaisir.
Son corps semblait s’animer de son propre chef. Ils sortirent leurs sexes et les frottèrent de la poitrine à la bouche. Elle sortait sa langue lorsque l’une d’elle passait à sa portée. Celui qui était entre ses cuisses cessa ses activités.
Elle se mit à quatre pattes et les gars se positionnèrent à genoux sur le lit, les un à côté des autres, les queues bien tendues. Ma femme se mit à les prendre en bouche à tour de rôle. Elle en suçait un pendant qu’elle branlait l’autre ou parfois en branlait deux en même temps.
Elle les prenait loin dans sa gorge, forçant d’elle-même, salivant, crachant sur les vits pour faciliter leur intromission. Elle se déchainait sur ses belles grosses bites bien lourdes, savourant les couilles, les glands, essayant d’en prendre deux entre les lèvres. Excité par la scène et par la drogue, je me branlais sans lâcher mon cône.
Sous l’emprise elle aussi du cannabis, ma femme s'arrêta et demanda :
- Je veux qu'on me prenne par derrière comme une chienne. Faite moi mal, je veux sentir vos bites aux plus profond de moi.
- Tes désirs sont des ordres ma belle, répondit un des hommes.
Le plus costaud des trois se calla derrière et fit pénétrer violemment sa grosse bite marron dans la petite chatte glabre. Elle poussa un cri, mélange de douleur, de surprise et de plaisir. Le va et vient commença rapidement, il lui prit les seins et les serra très fort entre ses grosses mains calleuses :
- Prends-ça salope, je vais te défoncer petite allumeuse. Dit-il avec un fort accent africain.
- Vas-y suce, suce moi bien petite pute. Renchérit celui qui lui remit sa queue dans la bouche.
Je me branlais et sentais que j'allais venir, mais je me retenais. Le noir qui la prenait par derrière accéléra la cadence et éjacula en elle en profondeur. Elle eut un orgasme bruyant au même moment. Il se retira en laissant échapper une grande quantité de foutre dans nos draps.
Il laissa la place que l’arabe combla sans attendre et la reprit en levrette. La chatte de ma femme était bien lubrifiée par le sperme de celui qui venait d'éjaculer. Il la pénétra sans problème et avec force.
Ma femme voulait l'emballer et se tordait pour embrasser son baiseur, il lui roulait de belles grosses pelles baveuses pendant qu'elle passait la main entre ses cuisses pour lui flatter les bourses.
L'Arabe lui défonçait la chatte en beauté, elle adorait ça et jouissait de nouveau. Je la trouvai magnifique, à genoux, le dos contorsionné, la bouche accrochée à son amant, la chatte pleine et ruisselante. Je faisais des efforts sur humain pour ne pas ensemencer le carrelage de la chambre.
L’un des capverdien s’était allongeait sur le dos devant le couple. L'arabe se retira et souleva ma femme comme une plume. Il l’installa sur l’homme couché qui tenait sa queue bien droite. Encore en pleine jouissance, elle se faisait de nouveau empaler.
Ne retrouvant pas tout de suite ses esprits, l’arabe et l’autre noir l’attrapèrent par les genoux et sous les bras et la firent monter et descendre sur le sexe bien dur. Après quelques mouvements, elle s’agita seule pour trouver son plaisir.
Ne résistant pas à l’appel de son anus mis à découvert pas la position, Ahmed le taquina d’un doigt enduit de salive qui entra facilement. Il cracha directement dessus et un deuxième doigt élargissait le passage déjà malmené plutôt dans l’après-midi.
- Vas-y encule-moi, cria ma femme, les yeux exorbités de plaisir et de rage sexuelle.
Il n'hésita pas, posa son gland enduit sur la rondelle impatiente et la sodomisa. Il lui perforait le cul avec force.
- Elle a le cul bien ouverte cette pute. Ca rentre comme dans du beurre. Prends ça ma salope.
- Oh, oui, défoncez moi, sales pervers. J’ai deux queues en moi, j’y crois pas, c’est trop bon, salaud. Baiser moi encore.
Les deux gars s’activaient comme des forcenés, les bassins s’agitaient avec beaucoup de force et de vitesse. Le sodomite expulsa le premier sa semence dans les entrailles de Céline en criant. Elle s’exprimait à l’unisson.
Le deuxième noir poussa Ahmed et prit sa place. Il la pilonna avec plus de force que son comparse. Ma douce épouse était prise entre deux feux. Elle allait d’orgasme en orgasme, un son rauque et continu s’échappait de ses cordes vocales.
L’enculeur décula et resta quelques instants à admirer son œuvre de dilatation. Il reposa sa queue mais pas sur la rondelle ouverte. Son gland forçait déjà le passage comme pour venir rejoindre son frère africain dans la même tanière. Ils ne vont oser, ils ne vont pas y arriver. Elle va refuser, avoir mal.
Mais non, rien de tout ça. Lubrifiée par sa mouille et par le sperme reçu, la verge noire se fraya un chemin le long de son double. Je voyais la chatte de ma femme s’étirer et se remplir de deux gros sexes chocolat. Non seulement elle continuait de jouir, mais jouissait de plus en plus. Ils s’activèrent en douceur mais augmentèrent régulièrement le rythme.
Ils la baisèrent ainsi, les deux biens au fond, dans une belle cadence mais moins rapide que la précédente pénétration. Je n’en revenais pas de capacité sexuelle de ma femme, ni bien sûr de son comportement. Je ne pouvais tenir plus longtemps et répandais ma semence sur le sol carrelé. Le gars surplombant la scène se retira pour éjaculer sur ses fesses. Les deuxième la coucha sur le dos et choisit ses seins pour finir. L’arabe qui se branlait à mes côtés, mégot à la bouche, écarta les jambes de Céline et ne la pénétra que pour se vider en elle.
Ils nous quittèrent rapidement. Je regardai ma femme endormit sur le lit. L’un et l’autre étaient souillés de sperme, de mouille, de salive, de sueur et de quelques traces moins glamour. Je m’allongeai à ces côtés et caressai se corps ruisselants. Mon pénis reprit immédiatement de la vigueur et je me branlai d’une main poisseuse de leurs semences. Il ne me fallut pas longtemps pour souiller d’avantage les seins de la femme de ma vie. Je m’endormi à mon tour dans les draps sales et humides.
Trop irritée et rassasiée par tant de baise, elle ne se donna qu’à moi jusqu’à la fin du séjour. Pendant quelques mois, nous utilisions cette expérience pour stimuler notre libido. Jusqu’au jour où, obsédé par les images d’elle en train de faire prendre par d’autres mecs, je lui ai demandé :
- Tu aimerais recommencer ce genre d’expérience, comme au Cap Vert ?
- Pourquoi pas ! Si tu en as envie, je suis partante.
- Super. Et comment on peut faire ? Comment tu vois les choses ?
- J’aimerai bien que tu m’emmène en vacances !
- Ah d’accord ! Des vacances sexy, je suppose. Mais ou ?
- Il parait que la Turquie, c’est très jolie. Et que les turcs sont très accueillants…

Se rechauffer ensemble en ce mercredi d'automne.... Redif.

Jeux de couple....

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Quand le mari est est une poupée 
pour mon amant...

Les brèves d'un vendredi automnal...

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Certaines d'entre elles sont là uniquement,
pour servir, obéir, ou se dévouer 
à notre ou nos plaisirs


Envie pressante.
Ecrit par Designer
Je suis venu te chercher de bonne heure pour t’emmener visiter un couple d’ami. A peine partis, tu te rends compte que dans ta précipitation, tu as oublié un détail. Tu n’es pas passée aux toilettes avant de partir.
Au bout d’une demi-heure de route, l’envie d’uriner se fait pressante. Imperceptiblement, tes genoux se rapprochent. Vingt minutes plus tard, tu commences à gigoter sur ton siège. Ta vessie est pleine.
- Maître, s’il vous plaît"
- Qu’est-ce qu’il y a encore ? Tu dois aller pisser ? Tu n’as pas pris tes précautions avant de partir ?"
Tu réponds d’une toute petite voix
- Oui, Maître. Non, Maître"
A ce moment, nous passons devant un panneau qui annonce la prochaine station service à 10 km.
- Tu attendras bien jusque là"
Lorsque Je m’engage sur le parking de la station service, ta vessie est prête à éclater. Il s’agit visiblement d’un relais routier vu le nombre de camions qui encombrent le parking. A faible allure, Je fais le tour du parking avant de m’arrêter un peu à l’écart.
- Reste ici, je reviens dans un instant"
Je sors de la voiture. Ta vessie te fait souffrir le martyre. Lorsque je reviens et que je t’autorise à aller te soulager, tu t’en vas en courant. Tu ne fais même pas attention au fait que je ne t’accompagne pas.
Tu te précipites sur la porte des toilettes dames. Elle est fermée et tu manques de t’écraser le visage sur le panneau "Hors service". Que faire ? Ton état est proche de la panique. Tu prends ta décision. Tu fonces sur la porte marquée "Hommes".
Tu ouvres la porte. L’endroit est propre et bien éclairé.
Deux routiers sont occupés. Tu traverses l’espace. Tes talons claquent sur le carrelage. Tu te précipites dans la première cabine. Tu refermes la porte derrière toi. Tu entends un rire gras. Mais dans ton état, tu n’as pas entendu la phrase qui l’a déclenché. Tu rabats la planche. Tu relèves ta robe. Tu t’accroupis au-dessus de la planche sans que tes fesses ne la touche. Enfin, tu peux libérer ta vessie. Une onde de soulagement traverse tout ton corps.
Tu te relèves. Ta robe est encore sur le haut de tes cuisses lorsque la porte de la cabine s’ouvre à la volée.
- Alors, ma petite dame, on a envie de se faire un frisson en venant chez les hommes"
C’est l’un des deux routiers. Il est grand, mal rasé. Il sent la sueur de trop nombreuses heures à conduire son bahut. Sans attendre ta réponse, il pose ses mains sur tes épaules et d’une forte pression te fait tomber à genoux devant lui. Tu restes interdite.
- Alors, tu attends quoi, que je me déboutonne moi-même"
D’un geste hésitant, tu tends la main vers la tirette de son pantalon. Tu la descends doucement. Le bruit de la tirette dans les toilettes étonnamment silencieuse sonne comme un glas.
Tu ne peux avoir de relations sexuelles sans mon autorisation, mais cette fois, tu ne sais pas comment faire. Deux larmes coulent sur tes joues. Tu dégrafes le bouton de son jeans qui descend sur ses chevilles en découvrant ses jambes poilues. Tu dégages son sexe hors de son caleçon. Il a l’air d’être à l’image de son propriétaire, gros, poilu et puant la pisse. Tu ouvres la bouche et tremblante, tu serres le gland entre tes lèvres.
- Mors-moi et je t’arrache la tête, petite pute".
Maintenant son gland dans ta bouche, tu le masturbes d’une main, ton autre main sur ses couilles broussailleuses. Tu sens ses mains presser sur l’arrière de ta tête. Il t’oblige à enfourner toute la longueur de sa verge durcie. Un engin de belle taille.
Son gland frappe au fond de ta gorge. Il ne relâche pas ta tête et tu n’es pas loin de l’étouffement. Tu manques d’air quand enfin, il te permet de reculer un peu.
- Mais c’est que tu as une grande gueule pour me prendre jusqu’à la garde. Je savais bien que tu es une vraie vicieuse de suceuse"
Tu lèches son membre sur toute sa longueur, tu as un goût âcre en bouche.
- Bouffe mes couilles, salope"
Les larmes inondent ton visage, mais elles le laissent indifférent.
Délaissant sa verge, tu lui lèches les bourses rugueuses et poilues. Ta main a remplacé ta bouche. Tu le masturbes avec vigueur.
- Ohhh, elle est bonne cette grognasse. Oui, encore ma putain, ne t’arrête pas. Ta bouche à pipes, encore".
Reprenant sa verge en bouche, tu t’actives de plus belle. Il explose dans ta bouche à grands jets violents. Tu es remplie de son liquide chaud et salé. Tu te retires et tu recraches. Son sperme tache le devant de ta robe.
- Maintenant, nettoie crasseuse"
Tu reprends son sexe mollissant en bouche. D’une langue experte, tu le nettoies. Tu crois que s’en est fini quand d’un geste brusque, il t’attrape par les cheveux et te tire en avant. Il t’envoie valdinguer au milieu de la pièce. Tu t’étales durement sur le carrelage. Tu lèves le regard, au moins 7 autres routiers sont présents.
- Hé les mecs, c’est la meilleure polisseuse de chinois que j’ai jamais vue. Ce serait dommage de la laisser partir comme ça. Si elle est aussi bonne pour le reste…."
Tu entends une voix dire
- On va vérifier ça"
Des rires accompagnent ces paroles. Tes larmes et tes pleurs attisent leurs envies. Tu sens une main se glisser sous ton aisselle et te redresser. Une autre main agrippe le devant de ta robe. Les pressions cèdent dans un bruit de mitraillette.
- Soyez sympas, ne me faite pas de mal. Je vous en prie. Je serais gentille"
Maintenant, les routiers sont en cercle autour de toi. Il n’y a pas d’échappatoire. Tu sens des mains sur tes fesses. Des rires plus forts accompagnent la découverte qu’ils ont de ton corps.
- Non, regardez-moi ça. La paire de roberts, ça c’est des loches"
Les rires repartent de plus belles. Tu tentes de cacher tes seins de tes mains, mais déjà tes poignets sont saisis par des mains puissantes.
- Si son cul est aussi accueillant que sa bouche, ça va être la fête.".
Tu sens une violente poussée dans ton dos. Tu tombes à 4 pattes. Les mêmes mains puissantes écartent tes jambes. Un rire éclate dans la pièce.
- Mais, elle a le cul accueillant, cette pute"
Tu entends des bruits de tirettes. Un sexe dur se presse contre ton anus. Une forte poussée suivie d’un "Han" fait franchir à un gland énorme la porte de ton intimité. Malgré que tu sois prête, tu as l’impression qu’il vient de t’arracher les entrailles. Sans attendre, il entreprend un mouvement de va-et-vient.
Les autres ne sont pas en reste. Déjà, l’un d’entre eux s’agenouille devant toi et te présente sa bite.
- Allez, comme pour mon pote. Suce-moi, sale petite vicieuse"
Et sans attendre, il enfourne son sexe. Tes mains restent au sol pour compenser les coups de boutoir de l’autre animal dans ton cul. C’est de la bouche seule que tu opères. Par rapport au premier, sa verge est plus fine, mais pas plus propre pour autant. Tu t’actives du mieux que tu peux.
Tu pleures de plus belle.
D’autres mains se glissent sous tes seins. Elles pétrissent ta poitrine et pincent les tétons, les faisant rouler entre pouce et index.
- Non de dieu, de bordel de merde, cette putain est délicieuse. Son cul a juste le diamètre qu’il faut. Un vrai régal les mecs. Faudra pas vous en priver"
Le routier qui s’active dans ton cul est de plus en plus vigoureux. Il ne tarde pas à venir. Tu sens son foutre se répandre en toi. Il se retire d’un bond avec un bruit de succion.
Il ne tarde pas à être remplacé par un autre. Celui-là à un engin tellement long que tu as l’impression qu’il vient te heurter l’estomac à chaque fois qu’il s’enfonce en toi. Un liquide chaud se répand dans ta bouche. Le jet est tellement puissant qu’il vient se loger au fond de ta gorge. Tu manques d’en avaler une bonne partie. Tu recraches en toussant. Cette fois, du sperme mélangé de salive orne le carrelage. Une autre queue molle se présente à toi.
- Maintenant que je t’ai baisée, nettoie ça, pétasse"
Et sans plus attendre, il se glisse dans ta bouche.
Il ne reste pas longtemps. Un autre le remplace. Pour le moment, tu as l’impression que ton estomac va ressortir par ta bouche tellement l’animal derrière toi est violent. Il éjacule avec de longs râles. Presque en même temps, l’autre se libère dans ta bouche. A peine une cuillère à café, ce que tu n’as pas de peine à recracher.
Tu es tirée vers l’arrière par les cheveux. Le souvenir de ta robe t’est enlevé. Tu es repoussée en avant. Tu fantasmais sur les viols en bande, tu voici servie.
- Mais c’est vrai qu’elle a un beau cul cette pouffiasse"
Au même moment, tu sens plusieurs mains te pétrir les fesses. Plusieurs doigts se glissent dans ton sexe. Tu es jetée sur le dos. Un homme trapu au torse extrêmement poilu se glisse entre tes jambes. Il passe ses mains sous tes fesses, les soulève et te baise de plus belle avec un membre vigoureux au bout rouge et brûlant.
- Sa chatte semble aussi accueillante que son cul"
Deux autres hommes s’occupent de toi. Leurs queues sentent le rance et la crasse. Tu ouvres la bouche avec dégoût quand l’un d’eux te pince le nez. Tu sens son sexe se glisser en toi comme une infection. L’autre s’occupe de ta poitrine, il mordille et pince tes tétons avec force. Tu as l’impression d’avoir les seins en feu. Il ne montre aucune douceur. Tes cris restent bloqués au fond de ta gorge. Son compère s’active dans ta bouche. Il semble s’y complaire.
A un moment, tu sens que d’autres mains manipulent ton sexe. Le tout accompagné de rires gras. Le costaud entre tes cuisses jouit à son tour, ajoutant son foutre à celui qui te tapisse le cul. Lorsque le premier turc éjacule dans ta bouche, tu as peine à recracher son sperme acide. Il est immédiatement remplacé par son compère. Mais après quelques instants, il se retire. Sous toi, la tache de sperme mélangé de salive que tu as recraché s’étend.
- On va te faire nettoyer tout cela, Salope"
Une main se pose sur ton cou et tu te retrouves le nez à moins d’un centimètre du sol. Même si tu dois en mourir, il n’est pas question que tu lèches le sol. Soudain, la pression sur ton cou se relâche. Comme si un ordre silencieux avait été donné, tous semblent quitter précipitamment les lieux.
Une porte claque. Le silence se fait autour. Tu te redresses péniblement. Tu frottes les larmes qui n’ont cessé de couler sur ton visage et qui ont emporté ton maquillage. Tu te relèves en titubant.
Tu te diriges vers un évier. Tu n’oses te regarder dans le miroir. Tu te passes un peu d’eau sur le visage. Tu as la chatte et le cul en feu. Tu as l’impression que si tu t’assieds, le siège flambera. Tu sens le sperme de tes violenteurs couler sur tes jambes. Tu te laves comme tu peux. Ta robe semble avoir disparu. L’un des routiers l’a probablement emporté en souvenir.
Tu hésites à sortir nue, mais que faire ?
Rassemblant ce qui te reste de courage, tu ouvres la porte et tu fonces sur le sol du parking. Il fait sombre, froid et pluvieux. Les routiers sont repartis, il reste beaucoup moins de camions. Beaucoup emportent avec eux des souvenirs de ton cul et de ta bouche. Sur l’autoroute, les camions lancent de grands coups de klaxon en te voyant déambuler nue sur le parking. A la honte du viol, s’ajoute celle de l’exhibition. Au coin du bâtiment, tu vois la voiture. Je suis debout à ses côtes.
Entre mes mains, ta robe.
Lorsque tu arrives près de moi, je te lance un sourire "Oh Maître" dis-tu avant de tomber en larmes dans mes bras. Tu te fiches bien des klaxons des routiers sur l’autoroute. Je t’emmène dans le van. J’ouvre le haillon arrière et je t’étends sur une couverture.
Comme un fait exprès, l’arrière du van donne sur l’autoroute. Tous les conducteurs peuvent te voir sans problème. Il ne manquerait plus qu’ils fassent demi-tour ou bien qu’ils causent un accident. Les plus bruyants sont les routiers qui klaxonne à tout va, mais certains automobilistes ne sont pas en reste.
La trousse de secours du van est bien équipée. Je soigne avec du mercurochrome les petites blessures et griffures. J’écarte ensuite les lèvres de ton vagin avec un spéculum. Je le nettoie avec un coton hydrophile. Je termine en le caressant avec mon doigt. Tes lèvres sont rouges et irritées. Le moindre contact est douloureux.
Ton anus n’est pas dans un meilleur état. Tu cries plusieurs fois pendant que je le nettoie.
- Où étiez-vous Maître pendant que ces hommes me violentaient ?"
En réalité, j’étais là tout le temps, dans le fond de la pièce. Tu ne m’as pas vue, mais je t’ai surveillée depuis le début. Tu m’avais parlé de ton fantasme de viol en bande et je voulais que tu le réalises.
Tu n’attends pas ma réponse. Je te prends dans mes bras. Tu pleures à chaudes larmes.
- Je suis sale et indigne de représenter la moindre valeur à vos yeux, Maître. Jetez-moi dans le caniveau où est ma place"
Je te serre dans mes bras.
- Si les caniveaux étaient pleins de filles comme toi, les égoutiers seraient riches"
Tu ne sais pas si tu dois rire ou pleurer. Tu as réalisé ton fantasme, mais tu te rends compte que rien n’a plus de valeur que la chaleur humaine de laquelle je t’entoure. - - Je ne t’ai pas abandonnée. Tu voulais assouvir un fantasme, je te l’ai accordé tout en restant à tes côtés. Je ne suis pas intervenu pour que tu en mesures toutes les implications dans leur totalité.
Je te passe ta robe que tu refermes avec difficulté. Tu t’assieds péniblement dans le van. Tu as l’impression qu’il y a encore des litres de sperme s’écoulent de ta chatte. - - J’étais là tout le temps. Si ça dérapait, j’étais prêt à intervenir".
Je redémarre sans un mot de plus. Nous trouvons rapidement un hôtel. A peine entrée dans la chambre, tu arraches ta robe et tu fonces sous la douche. Je ne tarde pas à te rejoindre. Je te lave avec douceur au début, puis à te demande en te frottant de plus en plus fort. Comme si tu voulais enlever toute la crasse qui est sur toi. Avec le jet d’eau, je nettoie ton vagin et ton cul pendant de longues minutes.
Nous restons sous la douche pendant deux heures.


Restaurant
Mon mari a voulu profiter de l’absence de notre fille pour m’emmener au restaurant. Mais dans ces cas là je dois toujours être nue sous mes vêtements, aucun sous-vêtement n’est admis.
Nous nous sommes installés au fond du restaurant dans un coin tranquille à coté d’une table occupée par deux couples de 50 ans environ, et nous avons commencé à discuter entre nous. Je voyais que nos voisins lorgnaient mon décolleté qui, je dois bien l’avouer, était assez profond et laissait voir une bonne partie de ma poitrine, ma jupe était déboutonnée jusqu’à la limite de mon ventre.
Mon mari a remarqué leurs regards et s’est mis à me parler plus fort, pour que nos voisins ne perdent rien de notre conversation. Il m’a demandé si j’avais aimé notre dernière soirée sexe ou son ami m’avait baisée avec lui après qu’ils m’aient exhibée dans Colmar.
La conversation de nos voisins n’existait quasiment plus au fur et à mesure que la notre avançait. Les 2 hommes mais aussi leurs femmes écoutaient du mieux qu’ils pouvaient. Cela m’a beaucoup excitée, et je répondais de plus en plus précisément à mon Maître en n’évitant aucun détail.
Je lui ai raconté que j’avais beaucoup aimé le soir ou il m’a exhibée dans une rue, adossée à un mur. Il avait retroussé ma jupe au dessus de mon ventre et fouillait de ses doigts habilles mon sexe trempé d’excitation. Un groupe de touristes se dirigeait vers nous. J’ai voulue me rajuster mais il a glissé encore plus profondément sa main en moi et m’a ordonné de les regarder dans les yeux et de le laisser faire.
Les promeneurs nous ont bien sur regardés et ils ont ralenti le pas, surpris par le spectacle. Certains m’ont traitée de salope et de pute, d’autres n’ont rien dis. Un couple m’a regardé et je crois avoir décelée de l’envie dans leur regard. J’ai aussi du lui expliquer ce que j’avais ressenti pendant que j’étais exhibée. Je lui ai dis que j’étais honteuse, troublée et excitée à la fois d’être vue pendant que sa main explorait mon ventre sans ménagement au point de me faire gémir dans un mélange de plaisir et de douleurs devant ces inconnus. Je lui ai dis que j’avais quand même aimé cela et que j’étais prête à recommencer si lui le voulait.
Nos voisins n’avaient pas perdus une miette de mes confidences et me regardaient d’un air réprobateur mais aussi lubrique. Comme c’étaient un buffet nos voisins et nous même devions nous lever pour nous servir. Mon mari m’a demandé de reculer ma chaise de la table pour qu’ils puissent mieux voir mon ventre à leur passage.
Il m’a aussi ordonné de bien me pencher lorsque j’irai au buffet pour que tous les clients aient une vue plongeante sur mes seins. Ils avaient forcément entendu mon mari me le demander, car nous entendions leurs remarques et leur conversation ne tournait plus que sur nous et ma tenue.
Lorsqu’ils se sont levés pour aller se servir ils n’ont pas oublié de jeter un regard appuyé sur mes cuisses offertes et mon décolleté audacieux. Nous avons attendus qu’ils s’asseyent pour nous servir à notre tour.
Je me suis levée en me tournant vers eux pour leurs offrir la vue de ma jupe ouverte sur ma fente imberbe et un aperçu de mes seins, libres de toute entrave dans leur chemisier au décolleté généreux.
Pendant mon passage au buffet j’ai veillé à bien me pencher pour offrir un joli spectacle aux autres clients, pour obéir à mon Maître mais aussi pour moi : Sentir les regards des autres sur mon corps, allumer le désir en eux et les troubler me plaît énormément.
Lorsque nous sommes revenus nous assoir la table nos voisins attendait visiblement que je me rasseye. Je n’ai pas eue le cœur de les décevoir et leurs ai encore offert la vue de ma jupe remontant bien au-delà des limites de la décence sous le regard satisfait de mon Maitre.
Nous avons continué à discuter et mon mari m’a demandé si j’étais excitée. Je lui ai répondue par l’affirmative en disant :
- Je suis très excitée que vous m’exhibiez ainsi, mes seins sont tout durs et les mamelons sont dressés. »
- Ouvre ton chemisier que je voie »
J’ai alors du ouvrir les pans de mon vêtement sous les regards de mon Maître mais aussi des voisins qui n’en perdaient pas une miette. J’écartais les pans du chemisier pour offrir la vue de mes seins
- Ecarte plus »
Je m’exécute, les pans de mon chemisier sont maintenant totalement écartés, toute la salle peut me voir offrir ma poitrine aux regards de mon mari.
- Tu mouilles ? »
- Oui. »
- Mets tes doigts dans ta chatte et montre moi. »
Je rabat les pans de mon vêtement et glisse mes doigts dans mon sexe trempé, je remonte ma main à regret et la tends à mon Maître qui constate qu’ils sont tout mouillés.
- Tu mouilles comme une vrai salope qui veut se faire baiser, tu veux te faire baiser ? »
- Oui, j’en ai envie »
- Tu vas appeler Yves, mon pote et lui demander s’il veut bien te baiser, tu lui diras ou nous sommes, comment tu es habillée et dans quel état tu es ! »
Après un court un instant d’hésitation je prends le téléphone portable qu’il me tend, à peine l’ai-je à l’oreille qu’Yves décroche : « Oui »
- C’est Domi, l’esclave de Jean, je voudrais savoir si vous voulez bien me baiser, je suis au restaurant avec mon Maître, juste habillée d’une jupe fendue et d’un chemisier très échancré, je suis très excitée, mes seins sont tout dur avec les mamelons qui pointent et je mouille beaucoup. »
- Ma salope y a urgence alors, c’est tout à fait dans mes cordes, viens à la caserne, je t’attends ! »
- Alors, qu’est ce qu’il a dit »
- Il m’attends à la caserne »
Les voisins n’avaient rien perdu de la conversation et en restaient bouche bée. Maître m’expliqua alors que son copain était pompier et qu’il devait sans doute être de garde mais que cela tombait bien, un pompier pour m’éteindre le cul, quoi de mieux ?

Ce soir on sort.
C’est mon maitre qui m’a appelée pour me prévenir. Je connais les consignes et me dépêche de me préparer pour cette soirée dont je ne connais pas le programme mais les règles, au demeurant très simples : je dois être habillée très sexy, aucun sous-vêtements, bien sur pas de pantalon et obéir à tous ses ordres sans discuter.
Après une douche je me suis parfumée et j’ai mis un corset qui laisse mes seins nus et les fait encore plus ressortir, des bas à coutures, une jupe boutonnée sur l’avant dont je n’ai fermé que les quatre premiers boutons pour qu’on aperçoive les jarretelles à chacun de mes pas et un chemisier légèrement transparent dont j’ai laissé plus de boutons ouverts que ne l’autorise la décence qui donne une vue sans équivoque sur ma poitrine, à chaque mouvement j’offre jusqu’à mes aréoles à tous ceux qui me voient.
Mon maître arrive et semble satisfait de ma tenue, j’enfile un manteau et nous partons. Je ne sais pas ou nous allons et n’ai pas le droit de le lui demander, une délicieuse angoisse commence à s’installer en moi.
Pendant le trajet je dois ouvrir complètement le chemisier et la jupe, en écarter les pans afin que je sois totalement nue à la vue de mon Maître et de tous. Je voie les regards des autres automobilistes que se posent sur moi à tous les feux rouges, ceux qui en profitent le plus sont les cyclistes et les motards puisqu’ils voient mon sexe offert, peu à peu je me trouble de cette exhibition…
Nous arrivons dans un restaurant j’ai reboutonné mes habits. Nous dînons tranquillement, mon maître ne m’a toujours rien dit de ses intentions pour cette soirée, il me fait juste ouvrir un bouton de plus de mon chemisier au moment ou le serveur apporte les plats, ce qui finit d’offrir une vue sans équivoque sur mes seins sans même que je bouge : on voit toute ma poitrine, le premier bouton à être fermé est entre mes seins et mon nombril, le chemisier est assez étroit et baille généreusement.
Le serveur (qui avait entendu l’ordre de mon Maître) profite de tous ses passages pour profiter du spectacle, tout comme les tables voisines où ma tenue fait sensation. Je termine le repas ainsi et nous partons, offrant en me levant une vue très complète de ma poitrine mais aussi de ma vulve découverte par les mouvements que je suis obligée de faire pour me lever et mettre mon manteau que mon Maître m’aide à enfiler pour mieux m’exhiber.
Dans la voiture je dois bien sûr (et comme d’habitude) avoir la poitrine et le sexe nus et plusieurs automobilistes profitent encore du spectacle. Nous arrivons devant un hôtel et mon mari se gare sur le parking.
- On sort.
Je me rajuste et descend de la voiture, il prend une valise dans le coffre et nous entons dans l’hôtel. Il prend une chambre pour la nuit. Nous montons nous installer. Je dois enlever ma jupe et mon chemisier et mettre mon collier de soumise (large de trois centimètres avec deux anneaux pour attacher les mains) qu’il a pris soin de mettre dans la valise qu’il a emmenée.
Il commande une bouteille d’eau au service d’étage et je sais alors qu’il va m’exhiber. Il sort une badine de la valise me fait allonger sur le dos à même le sol et me donne deux coups sur chaque seins, je crie à chacun. La badine a laissé des marques rouges sur mes seins et mes tétons sont turgescents. On frappe à la porte
- Service d’étage !..
- Tu vas ouvrir la porte et faire entrer puis tu viendras te mettre à genoux au milieu de la chambre, mains dans le dos, jambes écartées au maximum, bouche ouverte et seins tendus !
Je suis effrayée par ce qu’il me demande mais je m’exécute docilement. Lorsque j’ouvre la porte, les seins marqués par les coups, encore plus nue d’être habillée d’un corset et des bas, je découvre un garçon d’étage d’une trentaine d’années qui ouvre de grands yeux en me voyant. Il en lâche presque son plateau.
Je m’efface devant lui pour le laisser entrer mais il est tellement surprit par ma tenue qu’il ne bouge pas et je suis obligée de lui demander d’entrer pour poser son plateau sur la table.
Je me tourne pour le précéder et lui offre le spectacle de mes fesses entre le corset et les bas. Arrivée au milieu de la pièce je me tourne et lui offre à nouveau la vue de mes seins marqués des coups de cravache et de mon sexe glabre, je m’agenouille, écarte les jambes au maximum, j’ouvre la bouche en même temps que je mets mes mains dans le dos en me cambrant le plus possible pour offrir ma poitrine.
Il est stupéfait et n’a pas encore vu mon maitre, ses yeux sont rivés à moi et passent de ma vulve lisse et ouverte à mes seins striés des coups reçus. Mon maitre s’avance légèrement et lui dit de poser son plateau, il est surpris et n’ose plus trop me regarder. Pendant qu’il s’exécute mon maître me pince le téton droit très fort et je gémis malgré moi. Le serveur nous regarde et ne sais pas trop quoi faire, mon mari lui dit alors :
- Si vous voulez je vous propose un pourboire un peu spécial, vous pouvez lui donner cinq coups de cravache ou bon vous semble dans la position ou elle est sauf sur le visage !
Je suis effrayée par cette proposition mais je n’ose rien dire. Mon maître contrôle toujours ses coups mais là c’est un inconnu sans expérience et j’ai peur d’avoir très mal. Le garçon ne dit rien mais prend la cravache avec un sourire. La situation doit l’exciter si j’en juge la grosseur qui apparait sous son pantalon et le regard qui se trouble.
Il tourne autour de moi, passe dans mon dos, je ne le voie plus, cette situation est très stressante pour moi, je suis comme une biche cernée par les chasseurs. Il revient par ma gauche. Le premier coup tombe sur mon sein gauche, il est soudain et assez fort mais je parviens à ne pas gémir.
Il continue de tourner autour de moi, cherchant une nouvelle cible. Le suivant est pour le droit, celui que mon maitre venait de torturer et est encore plus fort. Je gémis de douleur, mes larmes commencent à couler mais en même temps ma vulve s’inonde et s’ouvre, m’offrant de plus en plus.
Je vois le visage de mon bourreau se transformer, il apprécie visiblement de pouvoir me cravacher, m’arracher des cris de douleur et je sais à ce moment que les derniers coups seront terribles.
L’homme tourne maintenant autour de moi en cherchant ou il va me frapper. Dans cette position j’offre peu de solutions, ma croupe étant collée à mes jambes. Il revient devant moi et m’assène un violent coup juste au dessus des bas sur la jambe droite. Cette fois je lâche un cri de douleur qui lui amène un sourire sadique. Je n’ai pas le temps de me reprendre que le deuxième tombe sur mon ventre juste au dessus de mon pubis, encore plus fort que le précédent. Je crie à nouveau et les larmes coulent sur mon visage. Des marques commencent déjà à se voire, tellement les coups étaient appuyés.
- Reprends ta position !
C’est mon maitre qui a vu que je ne suis plus exactement comme il le désir et je m’exécute sans un mot. L’homme est maintenant devant moi et j’attends le dernier coup avec effroi.
- Attention, il ne vous reste plus qu’un seul coup, réfléchissez bien avant de le donner ! »
Il arrive sans prévenir, encore plus fort et plus terrible que les précédents. Il a choisi l’endroit le plus sensible : ma vulve ouverte reçoit la cravache et je manque m’évanouir de douleur. J’en ai le souffle coupé et je crois que je n’ai même pas pu crier.
Les deux hommes me regardent souffrir un long moment, je n’arrive pas à récupérer, des larmes coulent le long de mon visage et inondent mes seins martyrisés laissant des traces de maquillage sur mon visage défait. J’ai du mal à garder la position de soumission.
- Alors, votre pourboire vous a-t-il satisfait ?
- Beaucoup, c’est très inhabituel mais aussi très agréable.
- Oui, je ne pense pas que vous ayez déjà vu beaucoup d’esclave docile comme elle
- Non, effectivement, et encore moins que j’ai eu le plaisir de corrigée ! En plus elle est très soumise et jolie, le corset lui va à ravir !
Mon maître donne le signal de la fin au garçon d’étage en lui disant merci
Il me regarde encore et dit en partant :
- N’hésitez pas si vous avez besoin de quoi que ce soit, ce sera avec plaisir !
Après son départ mon maitre m’ordonne de me relever, il passe ses mains sur mes seins et pénètre ma vulve ouverte avec trois doigts, je gémis, mais cette fois de plaisir. Il appuie sur mes épaules et je me laisse tomber à ses genoux, j’ouvre sa braguette et je sors son membre déjà dressé. Je commence une fellation comme il les aime, lente et très profonde.
Quand je sens qu’il se tend de plus en plus je le regarde et je comprends qu’il veut jouir de ma bouche, j’accélère alors le mouvement et je l’englouti à m’en étouffer, le nez collé à son ventre.
Je suis récompensée de mes efforts par une longue giclée que j’essaye de ne pas laisser échapper. Je reçois l’ordre de me préparer à me coucher, la soirée semble finie et je reste sur ma faim, mais c’est aussi ce que mon maître veut !

Un W.E pour apprendre à leur tenir compagnie.....

Un W.E pour apprendre à leur tenir compagnie.....


Une ex...

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Voici un ex avec une spécialité....
Une vraie pro..!


Histoire du net; Auteur: Mix. Fusion...

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Ça! C'est pas des amis!
C'est des frères..!


On peut toujours compter sur ses potes quand ça va mal !
Auteur: Mix
Vers l'âge de 19 ans, alors que j'étais en première année de fac, je sortais avec une jolie brune qui s'appelait Arianne et avait pour qualité principale de cumuler un corps parfait et un grand sens de l'humour. C'était en outre une déesse au pieu qui n'avait peur de rien à part que je m'écroule de fatigue après les "traitements" qu'elle me faisait endurer.
Mes potes étaient tous jaloux de moi, d'autant plus que je ne me privais pas pour leur détailler toutes nos histoires de cul. Fellation, sodomie, éjac faciale, Arianne n'avait peur de rien et moi non plus. Malheureusement toutes ces qualités fort appréciables s'accompagnaient d'un caractère de feu qui m'en faisait (aussi) voir de toutes les couleurs. Nos engueulades aussi faisaient aussi partie du menu de mes conversations entre potes.
On est resté ensemble assez longtemps tant et si bien que bien souvent, les autres nous considéraient comme une seule personne et c'est un peu à cause de ça que, quand mon pote Lucas a décidé d'organiser un week end chez lui il nous a invité tout les deux.
Il a aussi invité Yann et Antoine, nos deux inséparables acolytes et leurs copines respectives. Le week end prenait déjà l'air d'une sortie entre couples avant même d'avoir commencé.
A peine deux heures avant le départ, Arianne et moi étions en train de nous prendre le choux ce qui arrivait inévitablement quand elle avait ses règles et qu'elle devait endurer l'abstinence forcée. Sur un coup de tête elle m'a annoncé qu'elle ne viendrait pas et je me suis retrouvé comme un con à rouler tout seul vers ce qui devenait de plus en plus à mes yeux un piège plus qu'un week end de détente.
Arrivé là bas je me suis retrouvé en face de trois jolis petits couples, souriant jusqu'aux oreilles, les filles savaient déjà (par Arianne) que je viendrais seul et l'avait répété à qui voulait bien l'entendre. Salutations, politesses, invention de fausses excuses plus tard, j'étais assis sur un lit trop grand, dans une chambre trop grande. On était vendredi soir, j'ai éteint mon portable et me suis endormi sans même y jeter un coup d'oeil.
Le lendemain, je ne l'ai pas non plus allumé, après un petit déjeuner assez copieux, je me suis dit qu'il était temps de (tenter de) s'amuser et comme je n'avais jamais visité Bordeaux, nous sommes tous les 7 allés y faire un tour. La maison se trouvait à une demie heure de route de la ville. On a fait un peu de shopping, on s'est baladé et le soir venu, alors que nous étions en train de dîner en terrasse, nous avons décidé de rester en ville pour sortir en boîte.
La règle c'est que celui qui conduit c'est celui qui ne boit pas. Apparemment, avec mes amis, c'est plutôt : celui qui est seul, c'est celui qui ne boit pas et conduit. J'ai passé la soirée au jus de fruit et quand il fut temps de rentré, j'ai ramené tout ce beau monde dans sa chambre. En rentrant dans la mienne, j'ai vu mon portable sur la table de chevet, je l'ai allumé, il était inondé de messages d'Arianne qui m'annonçait notre rupture.
J'étais pas très bien alors je suis allé toquer à la première porte, celle de Lucas. Quand je suis entré, celui ci était en train de limer l'anus de sa copine, à quatre pattes sur le sol mais le haut du corps posé sur le lit, elle mordait un coussin en gémissant de plaisir et manifestement aussi de douleur vu la taille de l'engin de Lucas que j'avais déjà vu des tas de fois dans les vestiaires de la natation.
En entrant, je suis tombé nez à nez avec cette scène, je suis immédiatement ressorti. Sa copine ne m'avait pas vu car il y avait un meuble entre elle et moi. Lucas a du sentir que quelque chose se passait puisqu'à travers la porte il m'a demandé si quelque chose n'allait pas.
Moi je lui ai répondu que ça pouvait attendre demain mais il m'a demandé d'entrer. Quand je suis entré il était en train de se retirer de l'anus de sa partenaire qui écartait ses fesses avec ses mains en même temps qu'elle soufflait profondément. Lucas m'a regardé, il s'est dirigé vers moi, nu, alors qu'il enlevait la capote de sa queue encore complètement raide. Il m'a dit :
- C'est Arianne, t'inquiètes je suis au courant...
Il s'est retourné vers sa copine, que je ne voyais plus du tout car elle se cachait au fond du lit et lui a dit qu'il revenait dans pas longtemps.
Sans même se rhabiller, il est sorti dans le couloir et s'est dirigé vers la salle de bain, je l'ai suivit tout en continuant à discuter avec lui, lui expliquant les détails de l'histoire. Dans la salle de bain il s'est lavé les mains et la queue, se les ai séché. Il avait à peu près débandé mais son gros machin restait impressionnant alors qu'il ballotait entre une grosse paire de couilles pendantes. Je lui ai alors demandé :
- Dis moi, t'arrives à lui mettre tout dans le cul à Lucie?
Il m'a répondu machinalement, en séchant le gland :
- Oh tu sais, elle crie un peu pendant que j'enfonce la première moitié mais après elle doit pas trop souffrir, sinon elle en redemanderait pas! Hier soir aussi on l'a fait que par derrière.
- Combien de fois ?
- Deux fois, après chaque sodo je lui fait un cuni, sans mentir, elle joui a chaque fois au bout de 2 minutes. En plus elle se touche le clito pendant que je la prend, je sais pas combien d'orgasmes elle a mais elle y trouve son compte.
- Ouais j'ai cru comprendre !
- Viens on va voir ce que font les autres !
Il était un peu saoul, il ne s'est même pas mis une serviette autour de la taille, moi j'étais en boxer et on est descendu à l'étage d'en dessous. Antoine n'était pas dans sa chambre, sa copine ronflait seule dans le lit.
Quand nous sommes entrés dans la chambre de Yann, il était sur la chaise du bureau, face à nous, sa meuf nue, assise sur le sol était entre ses jambes et lui pompait le dard en lui doigtant l'anus. On voyait son bras remuer doucement pendant qu'elle utilisait l'autre main pour le branler. Il a sourit en nous voyant mais n'a rien dit.
Elle s'est retournée et nous a vu tous les deux, dont Lucas, 1m9O tout en muscles fins, blond, nu, laissant pendre une queue de 15 cm au repos, le gland découvert et encore rouge d'avoir enculer une bonne partie de la nuit. Yann a agrippé les cheveux de la fille impudique et s'est levé, son manche tendu, branlé de l'autre main et lui a éjaculé sur le visage.
Ca ne m'a pas choqué plus que ça, je le connaissais déjà par coeur, de fonds en combles. Brun aux yeux bleus, il avait la peau très blanche et les poils très noirs, fins et soyeux. Il en avait sur le ventre, un filet du nombril au pubis et aussi sur ses beaux pectoraux.
Raides et ordonnés, ils donnaient l'impression d'avoir été coiffés. Toujours avec une barbe de trois jours et les cheveux tondus presque aussi courts, c'est un des type les plus virils que je connaisse. Son regard bleu, ses avants bras velus, ses cuisses très musclées et sa grosse queue faisait de lui le type même de l'homme alors que nous avions encore tous l'air de grands garçons.
Sa bite était comme comme lui, très forte, pas forcément très longue (peut être 16, 17cm) mais très épaisse avec de grosses veines bleues courant sous la peau des couilles jusqu'au gland. Il avait d'ailleurs de très très grosses boules qui sortaient réellement de la moyenne et qui étaient groupées directement sous son manche.
La peau de ses bourses était presque noire, celle de sa bite était aussi très foncée ce qui pouvait donner une idée du taux de testostérone que pouvait bien renfermer son sang et son gland était écarlate et gigantesque, presque menaçant et certainement impossible à avaler pour un être humain normalement constitué.
Lucas, un peu saoul, m'a glissé :
- Tu vois, lui il doit avoir plus de problèmes que moi à la rentrer dans son cul. Tu vois, c'est pas la longueur qui compte !
Sans penser à ce que je disais, j'ai rétorqué du tac au tac :
- Je me demande déjà comment elle fait pour prendre juste son gland dans sa bouche ...
Yann a chuchoté à sa partenaire d'aller se mettre dans le lit et il est sorti de la chambre avec nous, sans se rhabiller non plus, comme si on était toujours dans le vestiaire de notre club de natation.
On est allé dans la salle de bain pour que Yann puisse se débarbouiller et Lucas lui a alors demandé si sa copine était avaleuse de sabre dans le civil. Il nous a répondu qu'elle se contentait du gland et n'allait jamais plus loin.
Yann nous a alors demandé pourquoi on était venu, je lui ai expliqué la situation en descendant au salon ou nous avons trouvé Antoine en train de se branler devant son ordinateur portable. Quand il nous a vu, deux à poil et un en boxer, il a dit :
- Pas la peine de me raconter ce que vous venez de faire, je ne veux pas l'entendre, je suis en chien, Amélie avait encore " mal à la tête".
Lucas s''est approché de lui et lui a pris l'ordinateur en disant :
- Montre moi ce que t'es en train de regarder !
C'était une histoire d'asiatiques et de blacks bien membrés pas très originale qui servait de compensation à Antoine. Il nous a expliqué que ça n'allait pas pour le mieux avec sa meuf et que ça faisait maintenant près de deux semaines qu'ils n'avaient pas baisé. Pour ma part, ça faisait déjà plus d'une semaine et je commençais à ressentir le manque.
J'ai alors parlé de ma situation et du fait que " je vendrais père et mère rien que pour une pipe". Lucas a alors lancé :
- Je savais qu'on avait mal fait de pas le laisser boire!
Il est allé chercher une bouteille de wiskey et un verre. Il a posé le verre devant moi, y a mis quelque glaçons, l'a rempli de sky et m'a dit :
- Il te plait le porno là? Je lui répondu que ça allait.
- Matte ton porno, moi je m'occupe de toi. Je vais te remonter le moral, je te dois bien ça.
Il s'est mis entre mes jambes, a baissé mon boxer et a commencé à me sucer.
On avait jamais reparlé de la fois où, lors d'une branlette collective dans les vestiaires du club de natation, je l'avais sucé. Pas parce qu'on en avait honte, au contraire, ça ne nous a pas empêché de nous branler à nouveau tous ensemble des tas de fois par la suite, mais par pudeur certainement. J'ai pensé que c'était à cet épisode qu'il pensait quand il a ajouté "je te dois bien ça" et j'avais raison puisqu'il allait le confirmer quelques minutes plus tard.
Je buvais mon verre de Wiskey en mattant un bon porno pendant qu'il me suçait, tous mes problèmes s'envolais. D'un côté de moi Yann se branlait et de l'autre Antoine en faisait de même. Je les regardait et leur ai dit :
- J'espère que je vous ai pas gâché vôtre soirée, se retrouver là à se pogner alors que vous étiez en train de baiser des filles trop bonnes...
Lucas a sorti ma queue de sa bouche et m'a dit :
- Tu sais cette fille je l'ai niquée tellement de fois...et puis toi je te dois une pipe !
Yann m'a alors demandé :
- Il fait ça bien ? On dit que les mecs sucent mieux que les nanas...
- Ouais, il fait ça trop bien, lui ai je répondu en posant la main sur la tête de Lucas.
- N'empêche se faire sucer par un gars tu dois quand même être un peu pédé ...
Ca c'était du Yann tout craché, pour coller à son apparence de mec fort, viril, poilu et macho il sortait ce genre de réflexions. Lucas a alors détourné son attention de ma queue et a commencé à lécher celle de Yann qui s'est mis a gémir de sa voix rauque ...
- Putain c'est vrai que tu fais ça bien, vas y mets en plus dans ta bouche.... Ahh putain c'est bon...
Lucas a arrêté tout net ce qu'il faisait et est revenu vers moi. Yann a lancé :
- Reviens Lucas, désolé, aller reviens...
- Non, c'était juste pour que tu la fermes, je suis pas vôtre pute non plus, j'essaye juste de remonter le moral de Jerem.
J'ai ajouté :
- J'ai bien vu que t'as kiffé qu'elle te mette un doigt dans le cul quand elle te suçait !
Antoine lui a alors demandé si ça faisait pas un peu "pédé" de se faire doigter comme une fille, Yann a défendu que c'était trop bon, qu'il y connaissait rien.
C'est à ce moment là que Lucas s'est relevé en disant :
- Je suis désolé, j'en peux plus là ! Putain, t'es toujours trop long à gicler toi !
Yann l'a regardé et a dit :
- Bon, tu vas voir, moi je te le fais gicler en deux secondes...mais je vous jure, si yen a un qui en reparle un jour, je le tue !
Il s'est mis entre mes jambes et m'a pompé le gland en me branlant très vivement. Il a en suite glissé un de ses gros doigts dans mon cul, puis deux. Je n'avais vraiment pas l'habitude d'être doigté, ça me faisait mal puis, petit à petit ça m'a fait du bien.
Antoine s'est posté derrière Yann et a commencé à le doigter, il s'est mis a gémir comme une pucelle, il a agrippé la main d'Antoine pour le faire aller plus profond. Un, puis deux, puis trois doigts, ma bite dans sa bouche il prenait son pied en se branlant en même temps.
Lucas a écarté sa main de son gros manche et l'a branlé. Yann ne l'a pas remarqué, mais j'ai vu Antoine approcher sa bite du trou de son trou. Il avait un beau membre qui devait mesurer dans les 17 centimètres, profilé et racé, avec une hampe droite recouverte d'une peau tendue, blanche laiteuse sur deux tiers et du revers rosé de son prépuce sur le dernier tiers.
Un filet de liquide transparent coulait déjà de son gland rose, il l'étala sur le l'anus de Yann qui, occupé à m'aspirer la queue, ne prêtait pas attention à ce qui allait lui arriver. Antoine a alors enfoncé une partie de son gland, puis le gland en entier, Yann gémissait de plus en plus et quand Antoine a réussi à lui enfoncer la moitié de sa queue, il s'est retourné, a essayé de se débattre, mais, dans la position où il était Antoine pouvait le maintenir fermement à la taille. Lucas lui tenais la queue, moi je lui ai tenu la tête pour qu'il ne se déconcentre pas de mon dard et Antoine a commencé à le ramoner sérieusement.
Il prenait de plus en plus de plaisir, sa queue était dressée en dessous de lui, il poussait de petits soupirs en chuchotant des insanités du genre "putain c'est trop bon". Moi j'attendais avec impatience le moment où Antoine allait gicler ses deux semaines d'abstinence.
Pour m'être déjà branlé des tas de fois avec lui je savais que c'était de loin celui qui giclait le plus d'entre nous, sa queue était déjà en train de lubrifier l'intérieur de Yann, des gouttes coulaient de son anus et parcouraient les boules d'Antoine avant de tomber sur le sol. Je savais qu'il était capable d'en remplir des verres entiers avant même de commencer à jouir pour de bon.
C'était un petit gars d'1m75 qui ne payait pas de mine à première vue. Derrière sa mèche de cheveux on lui donnait le bon Dieu sans confession mais déjà son t shirt enlevé on voyait sa musculature sèche de nageur, un tatouage sur le bras gauche qui se détachait sur sa peau blanche, des abdos en acier, une belle queue assorties de boules pendantes et un beau petit cul.
Plus que nous tous, peut être même plus que nous tous réunis, il avait un appétit sexuel gigantesque. Capable de se branler pendant des heures, de bander coup sur coup 5 ou 6 fois, il en avait essoufflé plus d'une. Nous étions les seuls à savoir qu'il trompait sa copine parfois plus de trois fois par semaine et c'était presque toujours lui qui proposait la branlette quand nous étions tous les quatre réunis.
Devant nous il avait déjà rempli un demi verre de sperme en une fois, constamment en chaleur, il imposait son rythme à Yann qui beuglait tout ce qu'il pouvait. Antoine était de ce type de mec qui, quand il avait besoin d'une satisfaction sexuelle, pouvait la chercher aussi bien chez un homme que chez une femme, nous le savions. Pour nous c'était surtout quelqu'un de très discret qui était un peu notre héros et que nous avions beaucoup de plaisir à interroger sur ses histoires de cul. Il s'était déjà probablement branlé une ou deux fois avant qu'on l'interrompe...
Au bout d'un quart d'heure de ce traitement il commença a émettre des sons rauques qu'on aurait jamais pensé entendre de lui, presque des grognements, frappant de façon virulente les fesses de Yann il lui ordonna de serrer les fesses, Yann lui a répondu :
- T'es fou, je veux pas que tu me remplisse comme ton verre sale pédé...
Antoine lui a répondu du tac au tac :
- Serre le cul, je sais que tu préfères ma queue aux doigts de ta copine, alors c'est pas la peine de te la péter.
Il l'a alors agrippé par les cheveux en lui disant :
- Pas vrai ?
Tout en l'enculant de plus en plus fort. On entendait son pubis claquer contre le cul de Yann qui avançait un peu à chaque fois
- Dis le ! Allez dis le !
Il continuais à le fesser, lui faisant de grosses marques rouges, Yann se laissait faire mais ne disait rien et se contentait de gémir. Et puis tout d'un coup il a chuchoté :
- Oh putain ça vient...
...Et a posé sa main sur les fesses d'Antoine pour l'encourager à le défoncer encore plus. On voyait ses fesses musclées se contracter sur la bite d'Antoine qui rugissait encore plus.
Je me branlais devant cette scène en compagnie de Lucas, assis à côté de moi, qui tripotait son énorme machin. Yann avait toujours la queue tendue malgré que personne ne la touchait et d'un seul coup son gros cylindre commença à tressaillir et à cracher des flots de sperme sur le tapis et le canapé. Antoine lui remplissait le cul en même temps, des flots de semence s'en écoulait et ruisselait sur leurs boules.
Antoine s'est retiré, à gifler Yann avec sa queue redevenue flasque avant de lui rouler une énorme pelle. Il s'est assis à côté de nous et a recommencé à se branler.
Au bout de trente secondes sa queue était redevenue raide et recommençait à suinter de liquide séminal. Il a alors commencé à me toucher, la queue, puis les boules, puis l'anus, et à me doigter.
J'avais envie qu'il m'encule, juste pour voir si il était capable de baiser encore une fois. Je l'ai regardé et lui ai dit :
- Je te préviens, moi je suis pas aussi facile à faire jouir que Yann...
Ce dernier tentait de reprendre ses esprits sur le tapis en face de nous, Lucas lui caressait le cul, il en avait envie mais n'osait pas. Transformé, Yann a levé la tête vers Lucas et lui a dit :
- Je crois que je suis prêt pour ta bite !
Et quelle bitte... de loin la plus longue et la plus impressionnante de la bande. Au bas mot 21 cm de chaire recouvert d'une peau tendue à l'extrême, tellement tendue qu'elle miroitait. Un bon gland au bout d'une hampe interminable qui s'achevait par une grosse paire de couilles de cheval pendantes qui allaient bientôt claquer contre celle de Yann.
Je me suis mis à quatre pattes sur Yann, en 69, il m'a sucé la bite pendant qu'Antoine rentrait la sienne en moi. La bouche pleine, ma queue étouffait ses cris de douleur alors que Lucas lui mettait son gros machin sans ménagement. On s'est fait enculer comme ça tous les deux, ma bite dans sa bouche et une partie de son énorme gland dans la mienne.
Antoine était une bête, il me pilonnait comme si c'était la première fois qu'il baisait ce soir là, il m'a défoncé pendant au moins un quart d'heure jusqu'à ce que ses coups de butoir et les caresses bucales de Yann sur ma queue commencent à faire leur effet. Je sentais son machin entrer et sortir de moi, ma prostate gonfler, Yann suçait admirablement bien et me tripotait les boules en même temps. J'allais jouir quand Antoine est sorti de moi, m'a éjaculé une énorme dose de sperme sur le dos et a re rentrer sa queue immédiatement en moi. Toujours raide, il était infatigable, sa queue ne faiblissait pas, il continuait à me niker en me tapant sur les fesses comme si j'était la dernière des salopes avec lesquelles il trompait sa copine.
Alors que je suçait Yann, Lucas, dont la bite faisait des aller retours dans ses fesses juste en face de mes yeux depuis un moment, a sorti son gros manche sur trou dégoulinant de Yann, et se branla devant mon visage. Antoine, visiblement excité par cette scène en fit de même et presque simultanément ils lâchèrent leurs doses. Antoine sur Yann et Lucas sur moi.
Epuisés, ils s'écroulèrent par terre, le gros sexe de Lucas redevenu flasque, pendait entre ses jambes et le gland traînait par terre. Couverts de sperme, Yann et moi ne voulions pas en rester là.
J'ai toujours été très lent à jouir et je comptais bien fatiguer Antoine, mon but atteint, je voulais quand même gicler une fois avant d'aller dormir et l'énorme bite de Yann était la seule chose qui pouvait m'y faire parvenir.
Nous n'avions jamais parlé de l'épisode où, au lycée, il m'avait enfoncé son mandrin dans le cul (voir seconde histoire), beaucoup trop macho pour admettre qu'il avait désiré un autre mec et moi beaucoup trop fier pour admettre que je m'étais laissé enculer par lui.
Ce soir là j'en avais plus rien à foutre et je voulais qu'il me fasse jouir. Il s'est posté derrière moi et m'a enfoncé sans ménagement son mandrin. 16 cm ne font largement pas le même effet quand ils sont aussi épais qu'une canette de coca. Il m'a défoncé comme ça, sans que je puisse dire quoi que ce soit, il s'entait le sperme et la transpiration et j'adorais ça.
Il avait les nerfs de s'être fait enculer toute la soirée et passait sur moi sa frustration de mâle d'avoir joui comme une fille sous les coups de boutoir d'un gamins accro au sexe. Moi je morphlais à fond, mais j'aimais ça, il savait déjà comment me prendre.
Lucas et Antoine regardait la scène en se tripotant. Antoine avait à nouveau la queue raide comme un piquet et se branlait rapidement en tripotant l'anus à Lucas.
Lucas s'est alors couché à côté de moi et a commencé à me branler en même temps. Mes boules remontaient et ma queue durcissait tellement que j'en avais mal, j'ai alors lâché une semaine de frustration sur la gueule à Lucas qui m'a léché le gland avec avidité.
Un peu frustré, Yann s'est mis à regarder Antoine et en clin clin d'oeil lui a sauté dessus, le maintenant à quatre patte fermement avec ses gros muscles et malgré les coups, il l'a enculé d'un seul coup. Lucas m'a sucé une dernière fois pendant que je regardais cette scène et nous sommes allé nous choucher.
Yann et Antoine ont continué leur combat de coq toute la nuit, s'enculant tour à tour plus de dix fois d'affilée pour trouver qui était le plus viril des deux.
Le lendemain matin, nous avons trouvé Antoine et Yann nus sur le canapés, enlacés comme deux collégiens amoureux.

Se rechauffer ensemble en ce mercredi d'automne.... Redif.

Un drôle de film déjà culte.... D'un réalisateur rmythique

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Quand la belle Stacy se laisse envoûter 
pour tourner ce genres de scènes.

Les brèves d'un vendredi automnal...

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Quand elles sont librement consenties, 
ne refusons pas les découvertes que nous offre la vie...
(C'est beau comme du Baudelaire! lol)

Beau Christophe
J'ai 19 ans, je m'appelle Christophe. Je suis un étudiant sérieux, pas trop mal physiquement, gay mais puceau. Obsédé par le sexe, je me masturbe au moins 4 fois par jours. Je passais une semaine des vacances scolaires chez ma soeur aînée et Jérôme, son mari. C’est un homme de 35 ans, très bandant, travailleur en construction, aussi maniaque du sexe que moi, selon les dires de ma soeur.
Samedi dernier, j'avais rendez-vous avec des copains pour faire une partie de foot au stade municipal. Je me suis levé tôt pour me préparer. D'abord la douche, que je prends dans la salle de bain. Alors que je m'essuyais, le beau-frère, qui devait ressentir un pipi pressant, s'est faufilé dans la pièce, dont j'avais laissé la porte entrouverte. Il pensait sans doute passer inaperçu, ce qui aurait été le cas si je n'avais tiré le rideau à ce moment là... Surpris, Jérôme m'a adressé un sourire gêné. Mais le plus gêné des deux n'était pas celui qu'on pense, j'étais nu devant lui. Sportif certes mais pas spécialement athlétique, avec mon sexe rétréci par l'eau fraîche.
- Excuse-moi, je suis confus... Ne sachant comment réagir mais pas mécontent apparemment, mon beau-frère a décidé d'en plaisanter:
- Je n'ai plus qu'à me déshabiller, comme ça on sera à égalité!
Joignant le geste à la parole, il enleva son t-shirt et je crus tomber à la renverse quand je le vis retirer son jeans, me faisant découvrir presque intégralement son corps. Puis, s'approchant un peu de moi, il me dit:
- Comment trouves-tu mon corps?
Sans me laisser le temps de répondre, il dit:
- Je sais par expérience que les femmes et certaines catégories hommes aiment bien tout ce qui est musclé. Il parlait avec naturel, comme s'il était normal que nous soyons tous deux à poil dans la salle de bain, avec ma soeur qui dormait dans la chambre à côté!
Moi, je fixais son bas-ventre: on voyait très bien la forme de sa queue sous son slip. Il n'était pas en érection et il paraissait énorme. Jérôme a sans doute réalisé qu'il me troublait:
- Ça grossit vite ton machin, dis donc...
L'atmosphère s'érotisait nettement. Il regardait avec un air de reproche mon sexe qui prenait de la vigueur. Vexé, je me suis tourné pour achever de m'essuyer. Je frissonnais, rouge de confusion, envahi de pulsions bizarres. Dans un sursaut de hardiesse, comme un coup de poker, je me suis retourné à nouveau: je bandais dur, vraiment dur.
- Christophe, je suis terriblement désolé. Tout ça est de ma faute, je n'aurais pas dû... J'en aurais bien envie aussi, mais tu comprends que c'est impossible, n'est-ce pas? Allez, viens: je vais te faire passer ça...
D'un geste précis, il m'a saisi mon pénis qu'il a caressé méthodiquement, de plus en plus vite. J'étais mal à l'aise mais je me suis laissé faire, j'en avais besoin certainement. Il a concentré sa pression sur le gland, j'éprouvais une troublante sensation qui a fini par s'exprimer par de violentes giclées dans le lavabo. Jérôme m'a embrassé sur le front comme un enfant, et s'est enfui vers sa chambre, enfilant rapidement son jeans. En passant devant la chambre à coucher, j'ai entendu les bruits caractéristiques d'un couple en pleine action. C'était injuste! J'entendais des respirations saccadées, des claquements humides et des plaintes aiguës qui m'inspiraient une jalousie diabolique. Excité par ce que j'entendais, je me rendis à ma chambre pour me branler en pensant à lui.
Ça ne s'est pas arrangé le soir! Mon beau- frère et ma soeur recevaient des amis. On aurait dit que Jérôme le faisait exprès, qu'il cherchait à m'exciter en vain, moi le jeune qui ne jouait pas dans la cour des grands... Ce que j'aurais voulu, c'était arracher la chemise de mon beau-frère et lui mordre les tétons, les faires durcir de plaisir jusqu'à la souffrance; lui baisser le jeans et passer à l'acte. Qu'il soit le mari de ma soeur ne me gênait pas, j'en avais envie moi aussi et depuis longtemps mais encore plus depuis cet après-midi. Je me sentais dangereusement entraîné vers je ne sais quel abîme. En attendant, je me défoulais dans le foot!
Le lendemain, j'avais fait un match et j'allais rejoindre les vestiaires, quand j'ai aperçu mon beau-frère sur le bord de la pelouse. On a papoté tant et si bien qu'arrivés aux vestiaires, il n'y avait plus personne. J'étais en tenue sportive: baskets, short et maillot. Il fallait que je me change.
- Ça ne t'ennuie pas si je te regarde? me demande-t-il.
- Si, beaucoup!
J'avais déjà le short aux chevilles. De toute façon, j'allais garder mon caleçon et enfiler mon jean.
- Christophe, montre-moi ta bite...
Sans blague, il pouvait toujours compter là-dessus! Mais en même temps, vaniteux tel un pou, j'étais pris d'une érection rapide. Après une valse-hésitation, j'ai fini par sortir au-dessus de l'élastique du caleçon mon sexe tel que je ne l'avais jamais vu: énorme, veiné et décalotté sous la pression sanguine. Jérôme était torse nu et ne portait seulement qu'un short très court qui rendait hommage à ce qui se trouvait dessous. Il savait que ça me mettait dans tous mes états.
- Déshabille-toi, je veux te voir à poil...
Résigné, sous le charme d'une étrange perversité, envoûté à coup sûr, je me suis livré à un curieux strip-tease. J'ai ôté le short, puis j'ai retiré les baskets, le maillot, le caleçon et enfin les chaussettes. J'avais les tétons gonflés comme ceux d'une femme. Je bandais à faire mal, avec les testicules ramassées à la base de la queue.
- Sait-tu que tu me donnes une folle envie de baiser?
À quoi jouait-il? Je le connaissais si bien... Allait-il se dérober comme hier après-midi? Cherchait-il à humilier un puceau pris au piège? Jérôme a sorti une capote en me disant:
- Allonge-toi sur le banc, les jambes bien écartées de chaque côté.
Il fallait assumer maintenant! Finis les délires, les fantasmes... la réalité s'imposait dans toute sa crudité.
J'ai levé les jambes et je me suis mis en position. Pendant ce temps, je le voyais enlever son short. Il s'approchait de moi lentement, en caressant doucement sa queue qui durcissait sous mes yeux.
- Sois franc mon beau Christophe, ça fait longtemps que tu rêves de ce moment non?
À genoux derrière moi, le dos tendu comme pour faire des pompes, le sexe bien raide. Il a frotté son gland à l'entrée de mon anus. Puis il a poussé profond, au maximum de ses forces et, sans réfléchir à rien, il m'a limé comme un dingue. Comme j'étais placé, je voyais sa queue qui pilonnait mon cul. Je sentais ses couilles qui me battaient les fesses.
Je gémissais, soumis et enflammé. C'était un grand moment!
- C'est bon Jérôme, n'arrête pas, vas-y, vas-y!
Je voulais jouir. Il me défonçait de plus en plus fort, poussant son sexe au fond de mon anus. Je jouissais tellement que ma queue gicla sur mon torse. Jérôme se retira vivement de mon cul, enleva la capote, s'avança vers moi et en vrai mâle macho, il me poigna par les cheveux et commença à me pénétrer dans la bouche, comme s’il pénétrait un anus, de bon coups virils et à fond dans la gorge, me claquant ses grosses couilles sur le menton.
Son jeu de va-et-vient dura plus de 10 minutes, avant de se mettre à hurler et me remplir la gorge de plus de 4 jets épais de son sperme qu'il m'a obligé d'avaler. Je dus reconnaître que le goût de son sperme était délicieux. Alors qu'il remettait son short, il me dit:
- C'est pas croyable, pour un puceau, tu es doué. Tu suces mieux que ta soeur. Si ça te dit, on remettra ça. Tu es là pour la semaine, autant en profiter. Et je ne détesterais pas enculer encore ton beau petit cul. Il me fit un clin d'oeil et me laissa seul au vestiaire.
J'étais très heureux de cette première expérience. Alors que je m'étais glissé sous la douche, je me branlais en pensant à ce qui m'attendait cette semaine. Et tant pis pour ma soeur.

Les jumeaux.
Bonjour, je m'appelle Bastien, j'ai 19 ans, je suis plutôt grand et assez beau.
Je passais ma journée de samedi chez Julien et Damien, deux amis qui étaient dans ma classe, et qui étaient des frères jumeaux. Ils étaient bruns, de taille moyenne, avaient les yeux bleu foncé. Tous deux étaient vraiment superbes et j'avoue avoir souvent fait des rêves cochons à propos d'eux.
Bref, Damien était parti pour le week-end chez un ami et les parents étaient en voyage, ce qui fait que j'étais seul avec Julien. Nous regardions la télé, allongés tête-bêche sur un canapé. Nous avons passé une bonne partie de l'après-midi ainsi. Vers 18h, il me proposa de rester dormir chez lui, et je m'empressai d'accepter son invitation.
Nous regardions encore et toujours la télé, et, après le deuxième film, Julien s'est mis à zapper et est tombé sur le porno de canal +. Nous décidâmes de le regarder et nous redressant, nous avons commencé à reluquer la télé. Il y avait un homme dont la queue était aussi grosse que celle d'un cheval, et qui se faisait sucer par une jeune indienne. "Vas-y cochonne, applique-toi," lui lançait l'homme. Puis, la prenant en levrette, il plongea d'un coup sa queue dans le vagin de l'indienne. Après s'être secoué un peu, il s'attaqua à son anus.
— J'ai besoin d'aller au toilette, dit Julien.
— Tu veux aller te branler!
— Pas du tout.
— Mets-toi en caleçon, pour voir.
Il enleva son pantalon et se montra en caleçon. Il ne pouvait plus le nier, il bandait comme un fou.
— Bon d'accord, je voulais me branler, mais j'aimerais quand même voir tes dessous.
Je m'enlevai mon jean, et lui montrai mon caleçon.
— Hum. Je crois qu'on est dans la même situation, non?
— Oui, répondis-je gêné.
Nous continuions à regarder le film. Le mec était en train de se partouzer trois filles et allait jouir. Julien se touchait discrètement:
— Tu sais Julien, tu peux te mettre à poil, on est presque comme des frères, lui lançai-je.
— T'as raison. Mais j'aimerais alors que tu te foutes à poil toi aussi, sinon je serai trop gêné.
Nous enlevâmes nos caleçons. Je ne bandais plus, mais quand je découvris la queue de Julien, la mienne se remit en service. La bite de Julien était moyenne en taille, plutôt épaisse, mais ses couilles étaient très jolies. La mienne était aussi large mais plus longue, et mes couilles plus grosses. Aucun de nous deux n'avions de poils (à part sur le pubis).
Nous commençâmes à nous branler devant le film porno. Toutefois, je ne pouvais m'empêcher de mater Julien, ce qu'il remarqua:
— Tu aimes ma queue?
— Non, rassure-toi, je ne regardais pas.
— Dommage. Moi, j'aime beaucoup la tienne.
Il se remit à se branler. Alors, je me mis à lui toucher le sexe. Il me coucha sur le dos et s'allongea sur moi.
— Je t'aime, lui dis-je
— Moi aussi.
Il m'embrassa et plongea sa langue dans ma gorge. Je fis la même chose. Alors, écartant ses jambes, je cherchai à l'enculer.
— Pas tout de suite.
Se dirigeant vers mon entrecuisse, il s'avança vers mes couilles.
— Laisse. Je préfère te faire jouir.
Je le mis debout et lui enlaçant les fesses, me mis à diriger son dard vers ma bouche ouverte. Je fis entrer quelques centimètres de son pénis dans ma bouche. Il gémit. Je lui souris pour lui dire que tout allait bien, et, tirant la peau de son prépuce, je me mis à dévorer son gland rose. Sa bite me pénétrait de plus en plus, et je pris des libertés en lui enfonçant mes doigts dans le cul, ce qui le ravissait.
— Je vois que vous vous amusez bien!
C'était Damien. Julien a tout de suite débandé et est devenu rouge pivoine:
— C'est la première fois qu'on fait ça, tu sais.
— Tu verras quand je dirai ça aux parents.
— Oh non!
Pendant qu'ils parlaient, je regardais l'entrecuisse de Damien, qui grossissait à vue d'oeil. Le traitant de cochon, je me jetai sur lui et baissant son pantalon et son caleçon, je dévoilai son érection, exactement la même que celle de son frère. Je me mis à la sucer de même:
— C'est trop bon, je vais exploser, me dit-il au bout de quelques minutes.
Amenant Julien à ma bouche, je me mis alors à lécher leurs deux glands. Tous deux poussaient d'énormes râles de plaisir.
— C'est vraiment trop, j'en peux plus!
— Putain, Bastien, je vais jouir, vas-y, suce-moi, oui, c'est bon!
Je savais qu'ils n'allaient pas tarder à cracher la purée et les rapprochant, je tâchais de prendre le plus possible de leur queue et leur mis deux doigts dans le cul à chacun.
— Arrête, laisse-nous sortir où tu vas tout te prendre dans la bouche!
— Putain, putain, Bastien, laisse-nous sortir, on va pas tarder à jouir.
— Oh oui, oui, Bastien.
— Sors, je vais éj..."
Sur ce, je reçois une énorme giclée de liquide chaud dans la bouche, suivie immédiatement d'une seconde. Les jumeaux se retirèrent.
— Désolé.
— Pourquoi?
— T'as tout pris dans la bouche.
— Vous êtes fous, c'était trop bon, j'ai pris mon pied, les mecs.
— Fallait nous le dire.
— T'essaieras avec deux queues dans ta bouche.
Et de rire.
Nous nous sommes mis à discuter un peu, après cela. Nous allâmes nous coucher, et, nous décidâmes de dormir à trois dans le lit double des parents des jumeaux.
— Vous avez déjà fait un truc pareil, vous, demandai-je.
— J'ai jamais couché avec une fille, et encore moins avec un mec!
— Moi non plus, dit Julien.
— Bon, on est tous dans la même situation.
Toutefois, je commençais à m'impatienter. En effet, mon engin n'avait pas encore été utilisé. Je me tournai vers Julien: il était beaucoup plus fin que son frère, alors que Damien était très "primitif". Je le caressai. Il se tourna et se mit à me sucer. Je tressaillis, la sensation était tout simplement indescriptible. Toutefois, je l'interrompis:
— Je préfèrerais t'enculer, chéri.
Il esquissa un grand sourire, m'embrassa tendrement, et se retourna, me montrant son derrière: "Vas-y." J'avais le trac. Julien m'interrompit en fouinant dans le tiroir de la table de nuit de son père. Il en ressortit une boite de préservatifs, et m'en déroula un autour du sexe, filant ensuite la boite à son frère.
Plaçant alors ma pine dure devant son orifice, je sens Damien qui m'enlace: "Vous m'oubliez ?" Je l'entendis déchirer l'emballage d'une capote, et quelques secondes après, je sentis son érection avancer entre mes fesses. Je mis un grand coup de rein et m'enfonçai dans Julien. 5 ou 6 centimètres étaient entrés. Je jubilais.
Julien s'était courbé mais il me signalait maintenant que tout allait bien et que je pouvais continuer. Alors, Damien s'enfonça bestialement dans mon trou du cul, me coupant le souffle, et me faisant donner un énorme coup de rein qui précipita ma queue tout entière dans l'anus d'Julien.
Je gémis sous le choc, et Julien fit la même chose. Mais le plaisir était en train de m'envahir et je me mis à littéralement ramoner le fion de mon ami, tandis que Damien s'occupait du mien.
Avançant une main, je me mis à branler Julien. Il se mit à me caresser les couilles. Le plaisir était immense. Au bout d'une dizaine de minutes, je sentis le sperme monter dans mon pénis.
Je savais que mon éjaculation allait être phénoménale. Je jouis: poussant des râles forts et graves de plaisir, je pressai Julien d'un énorme coup de rein et crachai ma semence dans le réservoir de la capote. Je sentais mon gland macérer dans ce préservatif plein de sperme. Je restai quelques minutes dans le fion de mon ami tandis que son frère n'allait pas tarder à cracher la purée.
Je l'aidai en lui secouant les burnes et il éjacula immédiatement. Me retirant de Julien, j'enlevai le préservatif, et le nouai, avant de constater que mon éjaculation avait été phénoménale, vu l'ampleur des dégâts dans le latex.
— Enculez-vous, demandai-je.
— On est frères, je te rappelle!
— Et alors? Vous n'en mourrez pas.
Je réussis finalement à les convaincre. Julien plaça Damien à quatre pattes et fermant les yeux, il se plaça derrière son jumeau, chaussa une capote, et d'un trait l'encula. Les deux garçons étaient beaux à voir. Ils étaient en train de se caresser et tous deux prenaient un pied incroyable, même Damien qui pourtant devait souffrir tant Julien le secouait vite.
Comme ils m'excitaient, je me plaçai devant Damien qui prit ma bite molle dans sa bouche de très bon coeur. Lorsqu'elle fut bien dure, je fis signe à Damien et Julien d'échanger leurs positions. Damien encula donc Julien, et je vins derrière Damien. Je n'avais jamais vu ma queue aussi grosse, j'en profitai pour enfiler un préservatif et me plaçant à l'arrière de Damien, le tenant par la croupe, je me mis à le sodomiser comme un chien.
— T'aimes quand je t'encule comme un sagouin, espèce de chien!
— Continue, mon amour, encule-moi plus fort encore!
— Oh oui, voilà, ça fait mal, hein?
— Oui, oui mon salaud!
— Julien, viens plutôt m'enculer!
— Oui, j'arrive. Tiens Bastien, je veux jouir dans TON cul.
— Oh. Oh je t'aime Julien. Damien, tu vas voir ce que tu vas prendre dans ton fion!
Et je crachai la purée, me retirai immédiatement et laissai terminer Julien dans le cul de son frère.
— Damien, je vais jouir. Oh, oh, putain, ce que c'est bon! Oh oui, oui.
— Oui mon frère, oui, prends-moi comme ça, en levrette, oui.
— Ça y est!
Une gerbe de la semence de Julien jaillit du fion de Damien, qui tombèrent tous deux morts de fatigue. Nous dormîmes ainsi, dans notre foutre, simplement.
….....................................
Cela faisait trois mois que je couchais avec Julien et Damien, deux jumeaux de mon âge, que j'aimais plus que tout. Trois mois déjà, et je ne leur avais pas encore dit que je les aimais autrement que pendant un orgasme. Et pourtant, c'était bien le cas, mais je ne trouvais jamais le moment adéquat pour leur annoncer. Finalement, je me décidai à le faire ce soir.
Leurs parents venaient de partir en week-end avec leur petite soeur. J'avais deux jours pour me déclarer, et je commençais à avoir le trac (je ne savais pas trop si eux aussi m'aimaient). L'après-midi n'avait pas été très agitée: pas mal de gamelles roulées, quelques pipes, rien de plus, mais l'heure du dîner arriva relativement vite. Julien et Damien s'assirent de part et d'autre de moi, comme à l'accoutumée. Mais m'enhardissant, je les pris par la main et leur dis:
— Écoutez, il faut que je vous dise quelque chose, mais ça risque d'être dur.
— Bien sûr, nous t'écoutons, vas-y.
— Bien. On se connaît depuis 3 mois, et j'adore faire l'amour avec vous.
— Mais...
— Non non, je pense juste qu'il n'y a pas que ça. Je crois que je vous aime, voilà.
Les jumeaux fondirent en larmes. J'étais soulagé, mais quand même dans l'expectative, et Julien prit la parole:
— Tu peux pas savoir à quel point ça nous fait plaisir et ça nous soulage!
— Alors ça veut dire que vous m'aimez aussi?
— Mais bien sûr qu'on t'aime! Je ferais tout pour toi.
— Moi aussi, renchéris Damien.
Il y eut un petit temps de silence: une idée se formait dans ma tête, ils s'en rendaient bien compte:
— Écoutez, pour célébrer notre amour, je veux qu'on passe une nuit inoubliable. Mais cette nuit, c'est moi et moi seul qui vous donnerez du plaisir. Je veux vous montrer à quel point je vous aime.
J'avais toujours leurs mains dans mes mains et je les fis se lever et venir devant moi. Je pris Damien par la taille, et en l'enlaçant, je lui répétai que je l'aimais. J'aimais cela. Puis je me levai et pris Julien dans mes bras, l'embrassai à pleine bouche. Je me rassis et déboutonnai le 501 noir et large de Julien, puis descendis très tendrement son boxer et dévoilai sa belle verge jeune et frétillante, surmontée d'une fine toison de poils blonds. Je pris cette belle queue en bouche et la fis enfler jusqu'à ce qu'elle soit raide. Je me mis alors à la sucer amoureusement, délicatement, par petites touches:
— Chéri, j'adore ça. Je crois que j'approche de l'orgasme. Je peux éjaculer dans ta belle bouche?
— Bien sûr.
Je le pris au fond de ma gorge, et le serrai contre moi, lui enlaçant les fesses. Il me caressa tendrement les cheveux en éjaculant sa semence dans ma bouche. Me levant, j'allai embrasser mon bien-aimé, nos langues se mêlant, et un liquide fait de sa semence et nos salives passaient d'une bouche à l'autre. Ce moment était exquis.
Puis je me dirigeai vers Damien et l'allongeai sur la moquette. Je me mis à caresser son corps sublime, à baiser ses lèvres exquises. J'étais aux anges, je l'aimais tant. Je ne cessai de lui répéter que je l'aimais. Julien, lui, me caressait les fesses et le dos pendant qu'allongé sur Damien, je le caressais gentiment. Nous continuâmes à nous caresser pendant quelque 15 minutes, et Julien prit la parole:
— Bastien, j'ai encore envie de toi.
— Je t'offre mon cul, bébé, je sais que tu l'aimes beaucoup.
— Oh oui!
Damien m'écarta un peu les fesses et Julien s'enfonça sans aucun mal. Il me pénétrait doucement, tendrement, comme pour profiter le plus possible de moi. J'aimais ça, j'adorais ça même, et une idée me traversa l'esprit:
— Damien, Julien, s'il vous plaît, je vous veux dans moi en même temps.
— Mais tu vas avoir mal, mon amour.
— Je sais pas, mais je vous aime tous les deux en même temps, et j'ai pas envie de donner de l'amour à l'un puis à l'autre.
— Tu es adorable Bastien, mais je sais pas...
Je pris moi-même le sexe de Damien en main et le dirigeai vers mon trou déjà occupé par Julien. Damien me pénétra alors, tout doucement. C'était l'extase. Ces deux pénis identiques entraient doucement et de façon synchronisée dans mon anus, si bien que la chose imposante que représentaient leurs deux engins ne me faisait pas mal du tout, mais me procurait un plaisir fou.
C'était aussi l'extase lorsque les jumeaux se mirent à faire de lents va-et-vient en moi. Je ne cessais de leur répéter que je les aimais, et eux aussi. Finalement, nous râlâmes tous trois en même temps, et je sentis leur semence se répandre dans mes intestins. Je me mis alors à cracher sans même m'être touché.
Je ne voulais pas croire que tout était fini, et je leur demandai de rester en moi encore un peu, mais ils débandèrent trop vite. C'était malheureusement fini. Je les pris à nouveau dans les bras et les embrassai encore une fois, langoureusement.

Les pompes sont des signes bien particuliers d'un mode de vie...

Les pompes sont des signes bien particuliers d'un mode de vie...


Partage en cadeau

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C'est Décembre, le mois des cadeaux.
Il en fait cadeau à son pote qui filme.
On voit mal mais on devine très bien. 



Histoire du net. Auteur Inconnu. Sur de son droit...

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Vous connaissez le proverbe:
la vengeance est un plat qui se... etc...etc
Et bien là: C'est chaud! Chaud! Chaud!

Épouse volage
Cadre commercial dans une entreprise, j'étais amené à me déplacer dans la région sur mes journées de travail. Parfois, un rendez-vous impromptu m'obligeait à changer mon planning et notamment à rentrer plus tard que prévu. J'en informais alors mon épouse, afin qu'elle ne m'attende pas en vain.
Là, c'était la tuile : je devais absolument être à dix-huit heures à une centaine de kilomètres de mon domicile et je ne serai pas rentré avant 21h30. Comme d'habitude je pris le portable, sagement garé sur le bas-côté de la route et je composai mon numéro de domicile.
Après une bonne dizaine de sonneries, mon épouse décrocha :
- Allo ? "
- Allo, c'est moi, je ne vais pas... "
J'entendis alors une voix masculine, lointaine, mais parfaitement audible dire : " J'adore ta chatte... " puis rien pendant deux secondes.
- Allo, chérie ?"
D'un ton dégagé, elle me dit
- Excuse-moi, chéri, mais j'ai fait tomber le téléphone "
Le radio-réveil était allumé et on entendait une émission de radio, la même que celle que j'écoutais sur mon autoradio !
- Tu n'es pas seule ? "
- Si, si, c'est la radio. "
Elle me prenait pour un con, visiblement, car l'émission de radio ne parlait ni d'érotisme, ni d'animaux. J'étais assommé, mais je décidai de temporiser pour réfléchir.
- Ecoute, j'ai un rendez-vous à six heures et demi et je ne serai pas rentré avant neuf heures, voire dix heures. "
- D'accord, gros bisous et à ce soir. "
- Bisous. "
Je raccrochai.
J'étais à la fois abattu et excité. Abattu d'imaginer qu'un autre que moi pouvait admirer les charmes les plus intimes de mon épouse. C'est une belle brune pas très grande, avec des seins magnifiques et assez opulents. Elle n'est pas grosse mais a des formes généreuses très excitantes !
Excité d'imaginer prendre des positions pour un autre que moi : une érection commença à poindre.
Je pris alors rapidement une décision : un coup de téléphone pour repousser d'une semaine mon rendez-vous suivant et retour au domicile à toute vapeur pour casser la figure de l'intrus.
Mais durant les 50 km qui me séparaient de mon domicile, je me calmai et imaginai un tout autre plan, qui me permettait de garder mon épouse durablement, de profiter du côté excitant de la situation et de prendre ma revanche.
A peine 40 minutes plus tard, j'empruntai le chemin qui menait à ma maison, en rase campagne. Sur le côté, à mi-chemin dans le petit bois, un 4x4 Rover garé. Cela faisait plusieurs semaines qu'en partant le matin, je le voyais régulièrement garé là : je l'avais pris pour le véhicule d'un garde-chasse ou d'un exploitant forestier, mais c'était visiblement un exploitant d'un autre type.
Ce salaud attendait mon passage avant d'aller lutiner mon épouse. Je me garai juste à côté du 4x4, notai le numéro d'immatriculation. Un petit coup de fil à mon pote de la préfecture et j'eus son nom et son adresse. J'appris même qu'il était secrétaire de mairie d'un village voisin d'une vingtaine de kilomètres
Je quittai mon véhicule et continuai à pied jusque dans la ferme que j'avais retapée. Au lieu d'entrer par la porte principale, j'entrai par la porte du jardin.
A pas feutrés je m'avançai jusqu'à la porte de la chambre que j'ouvris brusquement : je trouvai mon épouse et son amant nus côte à côte, visiblement épuisés après une partie de jambe en l'air intense.
Ils sursautèrent : leur réaction fut ensuite fort différente. Mon épouse se glissa dans les draps et se mit à sangloter. Le gars, honnêtement ni plus beau garçon que moi, ni mieux membré, devint tout blanc puis se mit à transpirer, visiblement conscient de ma fureur. Il fit mine de se lever en disant:
- Je suis ...euh ... désolé... je vais vous laisser discuter... Anne, je te rappellerai"
Je me mis à hurler :
- Toi, tu ne bouges pas ou j'appelle tout de suite la mairie d'E. et je leur explique comment tu envisages tes fonctions de secrétaire de Mairie. "
Je décidai alors de demander des explications à mon épouse :
- Maintenant, à toi de m'expliquer, Anne ! "
Elle sortit doucement de ses draps, visiblement émue, honteuse, les yeux mouillés. En sanglotant, elle commença à se justifier :
- Ecoute ... tu sais, tu es un bon amant, doux, attentionné... mais j'ai besoin d'un homme qui est un peu plus brutal, direct... qui me dit des choses crues... qui me fait me sentir... un peu chienne, tu comprends ? "
- Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé ?
- Tu sais bien que tu n'oses jamais parler de ces choses-là. Même pour une levrette, c'est moi qui prends l'initiative !
- Tu veux divorcer ?
- Non, je t'aime, mais je recherchais du sexe différemment.
Je compris qu'effectivement, je ne devais pas être l'amant idéal, pour elle : mais j'allai changer çà !
- Bon, écoutez, tous les deux, on va sortir de cette situation embarrassante pour tout le monde à ma façon, sinon, ça va faire très mal pour tout le monde. Vous allez faire ce que je vous dis et on en restera là. Je reviens tout de suite."
Dans le meuble du séjour, je pris l'appareil photo un tube vaseline et des gants de latex dans la salle de bain. Tout cela trouva sa place dans mon veston. De retour dans la chambre, je retrouvai les deux amants inquiets.
- Tu veux des choses crues, Anne ! Tu vas en avoir. Mets-toi à quatre pattes et écarte tes cuisses salope ! "
- Mais qu'est-ce... ?
- Ne discute pas ! "
Elle s'exécuta, offrant sa croupe à nos regards. Elle était bandante et nous bandions tous les deux.
- Toi, Ducon, tu lui lèches l'intérieur des cuisses, mais pas sa chatte : je veux voir sa mouille perler le long des poils de sa chatte. "
Il s'exécuta. Je pris l'appareil photo et pris un cliché. A la lueur du flash, les deux s'interrompirent et se retournèrent.
- Qu'est-ce que tu vas en faire ", me demanda Anne.
- Je les placarderai à E. s'il revient te voir.
- Mais , c'est...
- C'est moi qui décide vous vous souvenez ! "
Il reprirent la position.. Je bandais très dur, surtout quand je constatai qu'elle commençait à ressentir du plaisir, ne pouvant s'empêcher d'onduler. Elle voulut même se toucher, ce que je lui interdis. Sa chatte était trempée de mouille. Quelques perles de cyprine commençaient à perler le long de ses poils.
J'avais déjà fait une bonne dizaine de photos, toutes plus bandantes les unes que les autres, sous différents angles.
- Maintenant, retourne-toi et écarte ", dis-je à Anne.... Toi, abruti, pousse-toi. "
- Oui, chéri, prends-moi toute ! ", me dit Anne.
- Pas question, ma salope ! "
Je sortis mon gant de latex de la poche, l'enfilai et lui enfonçai le majeur et l'index dans le vagin. Elle était pleine de mouille et très dilatée. J'étalai tout ce lubrifiant naturel entre ses seins aux tétons durcis. Je recommençai plusieurs fois jusqu'à ce que l'espace entre les seins soit parfaitement lubrifié.
- Dis-moi, enfoiré, elle a déjà avalé quand elle t'a pompé ? Moi, elle n'a jamais voulu !
- Non
- Et bien tu vas te branler entre ses seins et quand tu sentiras que ça vient, tu déchargeras dans sa bouche. "
Excité comme il était, une dizaine de va et vient entre les seins resserrés par mon épouse autour de verge et il la plongea dans la bouche de celle-ci puis déchargea. Je vis mon épouse déglutir au bord du vomissement. Quatre clichés immortalisèrent la situation.
- Je peux aller boire, s'il te plaît ? ", me demanda Anne.
- Pas question, sale chienne ! ", lui répondis-je. Maintenant, tu vas le nettoyer et le refaire bander.
Elle le nettoya mais Monsieur commençait à être fatigué et il eut du mal à bander.
- Lèche-lui les couilles, tu fais çà très bien ", dis-je à Anne.
L'effet attendu ne se fit pas attendre : il repartit avec une belle érection.
- Dis-moi, femelle, il t'a sodomisée ?
- Non tu sais que l'idée me fait horreur !
- Eh bien cela va être ton baptême.
- Oh non !!!
- C'est comme çà ! Mets-toi en position.
De nouveau en levrette, son visage traduisait une vive inquiétude. Je sortis mon tube de vaseline et un gant : le reste du tube passa sur sa fleur et dans son anus. Après avoir franchi une résistance due à la crispation d'Anne, R. réussit à la pénétrer et éjacula bientôt.
De cette matinée mouvementée, il resta une série de photos que j'ai caché quelque part. Il fallut une semaine à Anne pour accepter que je la baise, mais nos rapports sont devenus très excitants. Quant à R. je n'avais pas fini de régler mes comptes avec lui. J'ai repris contact avec lui, qui n'a jamais revu Anne, et j'ai imaginé une humiliation que je vous raconterai prochainement !
….....................
Une semaine après je me rendis à la mairie d' E. . C'est une petite ville de 10000 habitants de l'Ouest du département, dont R. est le secrétaire de Mairie. Je demandais à l'hôtesse d'accueil la possibilité de rencontrer R. au sujet d'une affaire personnelle.
Elle prit son téléphone, transmis le message et me dit que R. voulait bien me recevoir. Après deux longs couloirs, j'aperçus R. qui m'attendait dans l'entrebâillement de la porte. Il paraissait très gêné de me voir et me fit entrer rapidement dans son bureau qu'il referma.
Il me fit m'asseoir face à lui, dans un siège de cuir plus bas que le sien, classique tactique qui visait à dominer implicitement son interlocuteur, artifice dont je disposais d'ailleurs dans mon bureau à l'entreprise.
- Que voulez-vous ? me dit-il visiblement énervé, je croyais que l'on avait réglé nos affaires.
- Mon petit coco, je ne pense pas que nous soyons quittes, tu t'es tapé mon épouse, j'aimerais faire de même !
- Vous n'y pensez pas. Mon épouse est très prude. Sa famille est très pratiquante et je ne vois pas comment...
- Ecoute, je crois qu'il aurait fallu que tu y penses avant de prospecter dans le service à domicile, non ?
- Et si je refuse ?
- Alors ton épouse et cette ville auront le droit d'admirer comment tu t'y prends avec les femmes des autres.
- Tu es vraiment un salaud.
- Tiens, tu me tutoies maintenant ! N'échange pas les rôles, parce que pour un salaud je pense avoir plutôt réagi calmement, tu ne crois pas ? Je te laisse quinze jours. Voilà mon numéro de portable et tu m'arranges le coup. Je te conseille d'appeler.
Je me levai sans en dire plus et sortis de la pièce, saluai en sortant l'hôtesse d'accueil et quittai la mairie.
Au bout de quinze jours, pas de coup de fil. Je pris mon téléphone portable et appelai son domicile. Une voix de femme, distinguée me répondit :
- Allô ?
- Bonjour madame, je suis bien chez Monsieur G. ?
- Oui, mais il est absent !
- Ah vraiment, ça tombe mal. Pouvez-vous prendre un message ?
- Oui mais je peux vous donner son numéro à la Mairie.
- Je suis désolé, mais je ne peux pas noter, je suis en voiture.
- Bien, je note alors. Je vous écoute.
- Pouvez-vous dire à votre mari que Monsieur M. a téléphoné et que le contrat de ramonage s'achève aujourd'hui et que s'il ne rappelle pas d'ici ce soir, je serai obligé de dénoncer ce contrat.
- Oui, ça a l'air urgent. Je vais l'appeler !?
- Merci Madame. "
Je raccrochai.
Deux minutes après la sonnerie de mon portable retentit. C'était G.
- Ca ne va pas d'appeler chez moi !
- Tu te rappelles des quinze jours ?
- Oui, mais Anne-Sophie ne veut rien savoir.
- Ca c'est ton problème, fais ce que tu veux ; menace-la de divorce, débrouille-toi mais demain tu me rappelles pour un rendez-vous. "
Le lendemain dans l'après-midi, il me rappela.
- Ca a été très dur. J'ai dû la convaincre toute la matinée. Elle accepte, contrainte et forcée, comme elle dit, pour sauver notre couple. C'est Ok pour samedi après-midi. Les enfants seront à un anniversaire. Arrive vers 14 h.
- Je prévois un appareil et tu prendras les photos, et le mieux possible, si tu ne veux pas un autre rendez-vous.
- Tu n'y comptes pas, j'espère. Je n'arriverai jamais à lui faire accepter qu'il existe des traces de ce qu'elle considère être une honte pour elle.
- Ne lui dis rien, ce sera la surprise.
- Enfoiré, va !
- Tiens tu te lâches !! "
Il raccrocha.
Samedi 14 heures, j'empruntai le chemin qui menait au domicile de la maison de G. C'était une belle maison à étage, construite en L avec un petit porche supporté par deux colonnes. Le gazon, magnifique, était visiblement entretenu avec un soin qui trahissait l'emploi d'une entreprise d'horticulture.
Je sonnai à la porte. G. m'ouvrit : il était blanc comme un linge.
- Ecoute je ne sais pas si ça va marcher, elle est allée s'enfermer dans notre chambre.
- Tu as tout intérêt à la convaincre sinon j'en profite pour lui raconter tout. "
Nous montâmes les escaliers et il frappa à la porte de la chambre.
- Chérie, ouvre-nous, M. est là ! "
- Je ne pourrais jamais, dit-elle en gémissant.
- Si chérie, çà m'excite déjà. Fais-le pour moi.
- Si tu m'aimes ne me demande pas çà !
- Si tu ne le fais pas, je pars dès aujourd'hui et tu trouveras un moyen d'expliquer à ta famille que tu n'arrivais plus à m'exciter : ce sera plus facile, sans doute !.
Je compris que dans ce qu'il disait il y avait un fond de vrai.
La porte s'ouvrit et une femme brune de 35 ans ouvrit, très soignée, vêtue d'une jupe droite bleu marine et d'un chemisier blanc. Elle ne me regarda que très furtivement et baissa les yeux en me disant :
- Sachez, Monsieur, que je ne suis pas coutumière du fait et c'est contrainte par mon mari que je vais le faire, alors allez très vite.
Je ne répondis rien et entrai. G. nous suivit. Au milieu de la pièce, elle me dit :
- Allons-y "
G. sorti un appareil-photo de sa poche .
- Tu n'y penses pas ? dit-elle "
- En voyant ces photos chérie, je me souviendrai de combien tu étais excitante. Pourquoi serais-je tenté de recommencer alors ? Ce qu'elle ne savait pas c'est que les photos me seraient destinées.
- Au point où j'en suis... Allez-y Monsieur "
- Enlève ton chemisier "
Elle s'exécuta dévoilant un soutien-gorge classique, blanc lui aussi. Elle n'avait pas visiblement de seins énormes mais ils semblaient bien dessinés, 85 c, je pense.
G. commença à prendre une photo.
" Le soutien-gorge ! "
D'un geste lent, résigné, sans nous regarder, elle passa les mains dans son dos et ôta l'agrafe de son soutien-gorge. Elle déposa celui-ci sur le lit et laissa tomber les bras le long de son corps dans une attitude peu provocante.
Elle avait de très beaux seins, faiblement écartés, avec une très légère forme de poire. Ses aréoles, de couleur rosâtre, étaient peu larges, environ de deux centimètres. Ses mamelons, assez grumeleux étaient par contre assez larges. Une photo de R. immortalisa la scène
- Tu as de très jolis seins, lui dis-je " Elle resta muette.
Je m'approchai d'elle. Elle eut un petit mouvement de recul. Je la pris à la taille, elle frissonna légèrement. Mes mains remontèrent jusqu'à sa poitrine. Je soupesai ses globes et bientôt je me mis à la palper, passant mes pouces sur ses mamelons.
Peu à peu, elle se détendit et je vis ces derniers se durcir et devenir plus saillants. Sa respiration s'accéléra quelque peu. Toujours debout, je me mis à lui lécher du bout de la langue ses mamelons durcis puis à les aspirer. Elle ne put s'empêcher d'émettre un petit soupir d'aise.
- Tu aimes ça ? ", lui demandais-je.
Pas de réponse mais je sentis qu'elle n'était plus aussi crispée qu'au départ de la situation. C'est alors que je lui demandai de retirer sa culotte et de me la donner. Je vous raconterai plus tard ce qui se passa ensuite..
Elle passa ses mains sous la jupe et j'entendis le crissement du tissu le long de sa peau. Sa culotte apparut, tomba à ses pieds. Elle se baissa en avant pour me la donner. G. était devenu livide mais aussi visiblement excité par la situation à en juger par le renflement légèrement apparent de son pantalon au niveau de son entrejambe. A chaque étape, docilement, il prenait un cliché.
Sa petite culotte blanche, comme son soutien-gorge, était légèrement humide à l'endroit qui devait recouvrir son intimité.
- On dirait que tu as commencé à mouiller.
- Vous connaissez des femmes qui ne réagissent pas à des caresses ? " dit-elle sur un ton qui ne se voulait pas vraiment être celui du questionnement et un tantinet agressif. " C'est pour garder mon mari que je fais çà. Si j'y trouve du plaisir, c'est un moindre mal, non ? "
Sa jupe bleu marine qui ne dévoilait que le bas de ses cuisses m'excitait. Je posai mes mains sur ces cuisses. Elle tressaillit légèrement et son visage s'empourpra. Je remontai mes mains sur le côté extérieur de chaque cuisse, vers ses hanches. Sa peau, rasée était très douce. Elle maintenait ses cuisses serrées, m'empêchant toute visite de son entrecuisse.
De ses hanches je passai mes mains derrière elle, palpant ses deux fesses, fermes. Je les descendis le long de son sillon jusqu'à la naissance de ses cuisses. A ce moment, pour la première fois depuis le début de son effeuillage, elle m'indiqua qu'elle appréciait mes caresses. En effet, elle écarta légèrement ses deux jambes, ménageant un espace qui allait me permettre d'explorer son intimité.
- Soulève ta jupe, je serai plus à l'aise pour te découvrir. "
- Je suis à tes ordres. Et toi G., regarde, un autre que toi va arriver à me donner le plaisir que tu n'arrives plus à me donner. " Pour la première fois, elle me tutoyait et semblait réellement provocante.
Cela fit réagir G. qui ne s'attendait pas du tout à çà.
- Ca me suffit ainsi qu'à toi je pense, me dit G. Tu as de belles photos et j'ai apprécié la situation.
- Et moi, tu me demandes si ça me suffit ? lui dit Anne-Sophie.
- De toute façon je crois que l'on avait convenu de quelque chose, lui répondis-je. Continue à prendre des photos et tais-toi. Ton épouse a l'air d'avoir envie que je m'occupe d'elle, si je ne m'abuse !
- Oui, enfin quelqu'un qui sait me préparer. Je veux qu'il aille jusqu'au bout. Pour une fois je n'aurai pas besoin de simuler... "
Je ne sais pas si ce qu'elle disait était vrai. Peut-être cherchait-elle un moyen de le punir, elle aussi, pour l'avoir mise dans cette situation. De toutes façons, elle souhaitait manifestement devenir plus active, plutôt que de subir.
Elle souleva donc sa jupe jusqu'au-dessus de sa taille, dévoilant sa toison pubienne brune assez fournie sur son mont de Vénus, moins au niveau de ses lèvres.
- Ma chatte est en feu, elle attend tes doigts et ta langue ...
- Allonge-toi au bord du lit et écarte bien, lui intimai-je "
Elle se plaça au bord du lit, s'assit, puis allongea son buste avant d'écarter doucement ses cuisses jusqu'à arriver à montrer sa vulve qui avait commencé à s'entrouvrir. Je m'approchai du lit, me mis à genoux ce qui me permit de trouver sa vulve à hauteur de ma figure.
- Oui, vas-y ! me dit-elle "
Je commençai par lui lécher systématiquement les cuisses en remontant vers son entrejambe, tout en prenant soin de m'arrêter avant la vulve, me concentrant néanmoins sur le petit creux à la jonction des cuisses et de son bas-ventre.
Elle commença à gémir et à soulever ses fesses, orientant volontairement sa vulve en direction de ma langue. Je prenais néanmoins un malin plaisir à éviter de lui donner le plaisir qu'elle attendait. Passant néanmoins mes doigts dans ma bouche afin de les mouiller, j'effleurai ses grandes lèvres maintenant béantes.
Elle se mit alors à s'exclamer : " Oui, vas-y, fouille-moi ! ". Mouillant mes doigts autant que nécessaire, je me mis à caresser l'intérieur de ses grandes lèvres du majeur et de l'index, les tirant légèrement vers l'extérieur, évitant son clitoris et ses petites lèvres suintantes. Je vis petit à petit son clitoris devenir plus dur, turgescent. J'appliquai alors ma langue sur le bout de celui-ci et le lapai pendant une dizaine de secondes. Elle explosa d'un " Oui ! " haletant et s'allongea de tout son long, pantelante, reprenant son souffle. G., excité, avait sorti son pénis et se masturbait, regardant son épouse prendre son plaisir.
- Comment-veux-tu que je te prenne ? demandai-je à Anne-Sophie.
- Tu vas me prendre comme mon mari n'a jamais osé me demander, répondit-elle "
Elle se retourna et se mit à quatre pattes au bord du lit, jambes légèrement écartées, offrant à ma vue sa vulve détrempée, offerte au sexe qu'elle attendait.
Je baissais pantalon et slip. Autant dire que j'avais une érection assez phénoménale : mon sexe était dressé presque à la verticale, tellement gonflé que mon prépuce semblait l'emprisonner au-dessous du gland ; c'en était douloureux.
J'entrai en elle sans aucune difficulté : elle était très dilatée et lubrifiée. La douleur que je ressentais, cette lubrification, cette dilatation du vagin et le fait qu'en la pénétrant j'avais l'impression que je me vengeais de son mari firent que je lui assenai des coups de boutoir, faisant à chaque fois balancer ses seins.
Le peu de frottement que son vagin exerçait sur mon pénis fit que cela dura quelques minutes durant lesquelles Anne-Sophie émit des " ahhh ! " de plus en plus sonores jusqu'à hurler. Je sentis alors les contractions de son vagin, ce qui provoqua mon éjaculation. Elle plia ses bras, affaissant son buste sur le lit et se mit à respirer longuement, comme moi d'ailleurs.
G., quant à lui avait également éjaculé, mais dans ses mains ! Je me retirai d'elle et me revêtit.
- Mon mari ne m'a jamais donné autant de plaisir que toi ! me dit-elle "
Je vis dans ses yeux que cette fois-ci, en tout cas, c'était sincère.
Se tournant vers lui, elle lui déclara :
- Voilà, tu es content, maintenant, tu m'as donnée comme un objet ! Mais dorénavant tu me garderas comme un objet, un objet qui t'appartient mais que tu n'auras plus le droit d'utiliser. Si tu veux du plaisir, tu n'auras qu'à penser à celui que ton ami m'a donné. "
Je sortis de la chambre, descendis l'escalier, sortit de la maison et savourai cette vengeance.
Je n'entendis plus parler de G. ni de son épouse. Je suis parfois curieux de savoir ce qu'il est advenu de cet événement. Mais une parole est une parole, en ce qui me concerne et je n'ai jamais cherché à l'importuner après ce juste retour des choses..
Fin

Rediff d'un des fondamentaux de ce blog: l'almanach

Même âgés, ils sont top.

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Un peu de chair fraîche pour 
ce vieux mandrin bien affuté..!

Un vendredi de brèves....

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Fantasmes ou réalité qu'importe!
Pourvu que l'on passe un bon moment


J'ai mordu l'oreiller sous la tente des bédouins.
Dans les années 70, j'avais 19ans, grand, brun, beau gosse au top de sa jeunesse. La queue des hommes m'attirait déja, mais je n'était jamais passé à l'acte. Et me voila, sac au dos faisant du stop à la sortie des villages algériens, direction: le sahara.
Un soir, au bord d'une piste, des bédouins s'approchent pour me proposer de passer la nuit sous leur tente. C'est 10jours que je passerai sous la tente...et...sous les bédouins.
La première nuit, après le repas, je suis allé me coucher dans une petite tente ou étaient stockées diverses marchandises et denrées. Bien que les nuits soient fraîches dans le désert, j'avais chaud et me mis nu sur mon sac de couchage et ne tardai pas à m'endormir en rêvant au sexe puissant de ces rudes hommes du désert.
Je suis réveillé dans la nuit par une présence, dans la pénombre, je distingue un homme debout qui me regarde en allumant une petite bougie. Je vois un homme d'une quarantaine d'années oter ses vêtements. Je regarde, médusé et plein de désirs féminins, cet homme en slip qui s'allonge à mes côtés, il est mince, la peau foncée,très viril, un corps de dieu saharien.
Tout en me caressant, il me demande si j'aime le zob, timide, je lui réponds que je ne sais pas. Je sens son odeur de mâle m'envahir délicieusement et je décide de m'abandonner à lui. Timidement, pendant qu'il me caresse, j'approche ma bouche de son slip sale que je lèche avec délice. M'entendant faire "hmm.." de plaisir, il sort de son slip un sexe impressionnant et dirige son gland humide vers ma bouche.
Sans me faire prier j'avale ce sucre d'orge en gloussant de plaisir. Le parfum et le goût de ce sexe pas très propre me fait chavirer la tête. Je me sens une petite femelle en léchant aussi ses couilles odorantes et poilues.
- Tu aimes le zob, hein? Tu aimes cela?"
Il sorti son bel outil de ma bouche.
- Allonge-toi sur le ventre!"
J'obéissais. J'étais en position de soumission, et j'y prenait un grand plaisir..Il écarta mes fesses, cracha dans sa main et me lubrifia la rondelle tout en enfoçant un doigt dans mon intimité.
Ce fut la révélation, j'étais heureux et j'allais me faire sodomiser pour la première fois, j'allais connaître le plaisir de se sentir femelle.Sans prévenir, il enfonça complètement d'un violent coup de rein son beau sexe circoncis dans les replis délicats de ma fleur, la douleur était atroce, il me tarauda tel un bouc.
Petit à petit, la douleur fit place à un sentiment étrange de bonheur, puis de plaisir intense, il sentait que je commençai à aimer cela.
- Tu es devenu une femme, maintenant, ton petit trou est à moi, tu es ma pute, mon trou à sperme."
Je répondis oui sans trop réfléchir, car l'idée d'être féminisé par cet homme si viril me plaisait. Il me lima longtemps, et plus il sentait que j'aimais cela plus il s'excitait. La douleur me brûlait les entrailles, et je criai de souffrance et du bonheur d'être soumis par un de ces bédouins dont je désirai secrètement être la pute, le trou à plaisirs.
Il se vida entièrement en moi avec des râles de jouissance, je me sentai enculé, fécondé, inondé, la sensation de son sperme en moi acheva ma transformation de petit européen en salope soumise à la queue saharienne.
Il me laissa, allongé sur des tapis, le cul en l'air, endolori et bien graissé. Je restai ainsi des heures, ouvert, offert...
Il revint avec de la nourriture, du parfum et une outre pleine d'eau.
Il me dit ce qu'il attendait de moi, je ne devais pas sortir de la tente, seulement pour mes besoins naturels, je devais rester nu jour et nuit dans la tente, attendant, parfumé comme un cocotte le bon plaisir de mon homme et de ses amis.
Je servis de femme à tous les hommes du camp. A n'importe quelle heure du jour et de la nuit, mon anus et ma bouche étaient sollicités par leurs sexes dont j'étais devenu accroc.
Les mâles se succédaient dans la tente et dans mon trou qui s'était bien ouvert, d'ailleurs il ne se refermait plus. Pendant 10 jours et 10 nuits mon anus ou ma bouche furent occupés en permanence, et je me nourrissait presque exclusivement de liqueur de zobs. J'ai dû aussi lécher avec gourmandise des anus sales, poilus, pleins d'odeurs fortes et envoutantes. Les hommes ne se lavaient plus le derrière ni les parties génitales, ils savaient que je ferai leur toilette intime avec ma langue et ma salive, et que je me délectai de cela.
Je suis parti une nuit, discrètement, pour de nouvelles aventures vers le sud saharien. Je pensais en chemin à tous ces zobs que j'allai savourer. J'étais devenu une petite pute du désert et des centaines de mâles en rut se soulagèrent en moi pour mon plus grand plaisir.


Au garage
A l'époque de cette histoire, je devais être âgé d'une vingtaine d'années. J'étais jeune ouvrier dans un garage-station-service effectuant, ici ou là, quelques petites réparations ou contrôles automobile.
Un soir, alors qu'approchait l'heure de la fermeture, mon patron, propriétaire du garage, m'informait qu'un client nous avait laissé sa voiture pour un contrôle complet et qu'il la reprendrait le lendemain matin.
En deux mots, il me demandait tout simplement de commencer ma journée du lendemain, un peu plus tôt.
Je ne sais pas ce que vous préférez, mais moi le matin, j'aime les draps de mon lit, aussi je lui proposais de vérifier la dite voiture le soir même et de fermer le garage.
Il accepta bien volontiers ma proposition, ferma la station-service et me laissa les clefs pour tout boucler après mon travail. Sur ce, il me laissa à ma tâche.
J'aimais me retrouver seul en ce lieu, toutes ces voitures et moi seul, maître à bord de ma petite usine...
Le véhicule à vérifier était une berline, voiture spacieuse et puissante avec juste un zeste d'allure sportive, bref, une petite bombe... J'imaginais déjà son propriétaire sûrement très jeune, dévorant les kilomètres au volant de ce bolide, qu'une brève pré-visite m'avait démontré bien entretenu.
Le travail serait donc simple, et rapide.
J'en étais à plus d'une demi-heure de main d'œuvre quand des coups furent frappés à la porte du garage. Absorbé par mon travail, et l'heure de fermeture passée depuis longtemps, je décidais d'ignorer la chose, seulement quelques secondes plus tard, d'autres coups plus insistant, renouvelèrent l'appel.
- La maison est fermée", criais-je en direction de la porte tandis que j'étais allongé sur un banc roulant glissé sous la voiture.
- Ma voiture est chez vous, ouvrez, s'il vous plaît."
Et alors, me dis-je, il ne peut pas repasser demain ?
Ma réflexion s'arrête là car, dans une petite entreprise comme la nôtre, le client est roi c'est bien connu. Aussi, bien que maugréant, je me glissais de dessous la voiture, m'essuyais rapidement les mains et allais ouvrir à mon gêneur...
Et là, big, le flash, fini le gêneur, si je vous dis "Apollon", vous comprenez ma vision...
Un gars, à peine plus âgé que moi, mais plus grand et plus fort aussi, blond aux superbes yeux bleus et cheveux courts, le corps musclé, habillé d'un survêtement qui démontre, au sac de sport qui l'accompagne, une pratique sportive régulière.
- Bonsoir, me dit l'inconnu, je suis Alain, je vous ai laissé ma voiture pour une révision, je devais la reprendre demain matin mais j'ai vu la lumière. Je me suis arrêté pour voir si elle ne serait pas prête et si je ne pourrai la récupérer ce soir, ce qui me ferai gagner du temps pour mon départ demain matin."
- Ah, répondais-je, cela va être difficile, je viens juste de débuter les contrôles et j'en ai encore pour une bonne heure..."
Le type prend un air des plus dépités et m'explique qu'il sort d'un entraînement de musculation, qu'il vient de se faire déposer au garage et qu'il n'a aucun moyen pour rentrer chez lui.
Je l'ai déjà dit, le client est roi... Aussi, je lui propose d'entrer et d'attendre la fin de mon contrôle. Aussitôt, le visage d'Alain s'illumine, il empoigne son sac de sport et pénètre dans le garage. Nous discutons trois minutes de choses sans intérêt et je me remets à ma besogne.
Alain me paraît plutôt sympa, le travail avance vite et il ne rechigne pas à m'aider sur un point ou sur un autre en m'avançant tel ou tel outil.
Nous sympathisons très vite, les blagues commencent même à fuser et c'est très simplement qu'Alain m'invite à prendre un verre chez lui, une fois le travail terminé, chose que je m'empresse d'accepter.
Je termine donc ma série de contrôle, range mes outils et me prépare à me changer afin de retrouver une tenue correcte. Pour ce faire, nous disposons au fond du garage d'une pièce qui nous sert de vestiaire et de local de douche.
Croyez-moi, après huit heures à travailler dans les graisses et les huiles, la douche de fin de service n'est pas un luxe. Aussi, quand le garage est rangé et qu'Alain a pu admirer mon travail, je lui dis que j'en ai juste pour quelques minutes avant d'être à lui...
Je me dirige donc, toujours en discutant, vers le vestiaire local de douche où Alain me suit. Je commence à me déshabiller et pudiquement Alain me tourne le dos, tandis que je passe sous la douche.
Je suis évidemment plein de savon, quand la sonnerie du téléphone retentit. A cette heure tardive, cela ne peut être que mon patron qui, comme à chaque fois que je suis seul, s'informe de mon travail.
Au moment où je saisis une serviette, Alain passe la tête à la porte et ne peut manquer de me voir nu, l'espace d'une seconde. Il a un petit sourire, et me demande :
- Tu ne réponds pas ?
- Si, si, j'y vais..."
Je noue une serviette autour de ma taille et vais répondre au téléphone dans un local, tout à côté du vestiaire. Alain me suit toujours. Au téléphone, c'est bien mon patron, le propriétaire du garage : je lui énumère mon travail de la soirée, quand soudain, je sens le corps d'Alain s'appuyer au mien. Je sens son bas-ventre plaqué contre mon dos, j'ai un léger tressaillement mais je ne veux pas alerter mon patron et continue comme si rien ne m'arrivait.
Évidemment, Alain prend cela comme un encouragement, son corps se fait plus lourd, sa main droite s'est posée sur mon épaule, la gauche sur le haut de ma poitrine...
Ses caresses m'ont certes surpris, mais ne me gênent pas bien au contraire, je m'en amuse même en répétant la dernière phrase de mon patron : " Bien, Monsieur, compris, je vous décris tout ce que je fais pour la facture. Comptez sur moi... "
Alain lui, ne reste pas inactif. Sa bouche s'est posée sur mon cou et sa main gauche a glissé le long de mes abdominaux.
Même si je suis moins grand et moins large que lui, je n'ai pas à rougir de ma personne. Mon mètre soixante douze pour soixante dix kilos sont une bonne présentation de ma petite personne, en tous cas, Alain à l'air de la trouver à son goût.
En sortant de la douche, je m'étais rincé rapidement et maintenant Alain lèche une à une les gouttes d'eau sur mes épaules. Sa main gauche se fait, elle, plus insistante et se fraie un chemin entre mon corps et la serviette nouée à ma ceinture.
Je termine ma discussion avec mon patron, il me souhaite une bonne soirée et raccroche. Au moment où moi aussi je repose le combiné téléphonique, ma serviette, mon dernier rempart, tombe me laissant ainsi dans le plus simple appareil...
Aussitôt, Alain pèse sur mon épaule, m'invitant à poser les deux mains sur le bureau.
Sa main gauche à atteint mon pubis. Il joue avec mes poils qu'il enroule autour de ses doigts, tandis que sa main droite elle, est descendue sur mes fesses qu'elle caresse doucement...
Cette même main droite se retrouve soudainement emprisonnant ma verge qui n'est pas restée insensible à ses caresses. Il la sous-pèse, descend jusqu'à mes testicules qu'il sous-pèse aussi.
Son corps non plus n'est pas resté sans réaction : la barre dure de son bas-ventre qui m'écrase le dos m'est le témoin de son émotion.
Sa langue, elle, a continué à lécher mon dos, ses dents mordillent maintenant mes épaules, tandis que sa main à commencé sur ma verge un mouvement de va et vient des plus doux, mais dont je ne saurai sûrement pas me satisfaire. D'un mouvement rapide, je me retourne, je lui prends la tête dans les mains, il a un violent mouvement de recul vite passé.
En baissant les yeux, la vue de ma verge tendue à son maximum le rassure. Je tiens fermement son visage dans mes mains et approche ses lèvres des miennes. Sa bouche s'ouvre sans attendre et un long très long moment se passe avant que nos deux langues ne se séparent. Je replonge très vite ma langue dans cette bouche, m'abreuve de sa salive mais ne veux pas non plus en rester là.
A mon tour, j'explore son corps : j'ouvre sa veste de survêtement et la laisse tomber. Je vais très vite pour glisser les mains sous son tee-shirt, caresser ses abdominaux et lui ôter ce vêtement.
Je m'arrête trois minutes, pour admirer ce corps bien bâti : un V parfait, pas un point de graisse. Il me sourit et avance une main vers ma verge. Je lui prends cette main, lui en glisse le pouce sous sa ceinture de pantalon, je lui prends l'autre main, lui glisse l'autre pouce sous la même ceinture et, sans un mot, d'un geste lui ordonne un strip-tease.
Le sourire qu'il affiche montre qu'il n'est pas mécontent de la tournure que prennent les événements. Il baisse les yeux vers son pantalon et je peux remarquer à la bosse qui déforme son entre-jambes que le spectacle qui m'attend ne sera pas commun.
Ses mains quittent sa ceinture pour venir en coquille enserrer sa virilité. Je n'en ai encore qu'une vague idée, mais je sais que très bientôt j'userai de cet objet dont dame nature l'a visiblement bien fourni.
Comme s'il comprenait mon attente, il se décide lui aussi à jouer, il s'adosse au bureau et laisse ses mains glisser le long de ses jambes, tel un ballet bien orchestré, d'un seul geste il se défait de ses lacets et d'un pied chassant l'autre, retire ses chaussures de sport. Ses chaussettes elles aussi, finissent sur le parquet.
Il me regarde, un large sourire narquois aux lèvres et fait lentement glisser son pantalon le long de ses cuisses musclées, découvrant un boxer blanc presque transparent, mais au devant doublé d'une poche bleu marine. Oui, on ne peut appeler que poche cette avancée bien remplie. Il retire complètement son pantalon et se retourne pour le déposer sur le bureau.
Il tourne la tête pour me parler, mais mon doigt s'est posé sur ses lèvres :
- Silence.
Alors il commence à faire glisser le dernier vêtement. Quand son boxer est à mi-cuisses, je fais un pas et prends la position qu'il détenait il y a cinq minutes encore. Je me colle à son dos et mes mains enserrent sa poitrine. Sa tête bascule en arrière et ses courts cheveux blonds viennent caresser le creux de mon épaule.
Mes mains glissent sur son torse et à mon tour je découvre son pubis, je ne m'y éternise pas, trop pressé de découvrir l'objet...
Et quel objet ! Ce que j'ai maintenant en main mesure près de vingt cinq centimètres, si ce n'est plus. Longue mais fine, sa verge palpite maintenant au creux de ma main. Je le caresse et sa bouche vient à la rencontre de la mienne : difficile ici, de décrire la douceur de cet instant.
Ses mains ont glissé jusqu'à son pantalon et, tandis qu'il se penche un peu plus en avant, il sort de sa poche un préservatif muni de sa dose de lubrifiant. Toujours sans un mot,je m'habille de la chose et lui caresse les reins doucement, trop doucement sans doute, car ses deux mains se sont posées sur ses globes de chair tendre et les écartent doucement.
Quelle beauté que cette rosette brune qui me semble m'attendre. Je dépose la goutte de gel à l'entrée de cette voie royale et glisse tendrement un doigt chargé d'étudier le terrain.
Mon doigt est vite remplacé par mon muscle d'amour qui n'a rien contre l'idée de se reconvertir en foreuse de chantier et qui, doucement, entre dans ce fourreau chaud et si hospitalier. Alain se raidit et soupire, je me méprends, me retire doucement, mais son cri et sans appel :
- Non, viens vite..."
Le mot est lancé, alors oui, je viens, je glisse et travaille ardemment ce corps qui se donne et qui maintenant soupire de plus en plus d'aise... Mon sexe entier est avalé par son orifice qui ne semble pas vouloir me libérer, mais quelques minutes de cette épreuve de force ont raison de moi...
Alors qu'une nouvelle fois, avec un énorme "Han" de bûcheron, je m'enfonce dans les entrailles de mon ami, un éclair me brouille la vue, le même éclair me brûle la nuque, le cou et glisse le long de ma colonne vertébrale et s'échappe dans un hurlement et un dernier sursaut sur le corps d'Alain qui, au même instant, dans le même hurlement, éjecte une laitance crémeuse loin devant lui...
Nous nous regardons, rions franchement, et nous embrassons à nouveau. Nous savons que cette nuit sera très longue, qu'il nous reste beaucoup de terrain à découvrir.
Nous nous échappions très vite de ce lieu. bien sûr il resterait à jamais l'endroit de notre découverte, l'endroit où, sans un mot, nos corps s'étaient dénudés et aimés.
Mais avouons-le aujourd'hui, les odeurs de graisse, de cambouis, ne sont pas ce dont on peut rêver pour approfondir encore plus notre connaissance de l'autre.
Ce soir-là, après nous être rhabillés, nous avons, comme prévu, pris la direction de l'appartement d'Alain, un petit deux pièces de célibataire, coquet, bien rangé, très agréable enfin, pour ce que je peux en décrire, car Alain ne m'a pas vraiment laissé de temps pour la visite.
A peine la porte d'entrée refermée, nous nous sommes à nouveau retrouvés enlacés, nos bouches ne faisant qu'une...
Et, comme je l'avais fait dans un lieu qui était mien, Alain, maître chez lui, ne me laissa en rien la direction des opérations.
Nos langues toujours emmêlées, mon ami de soirée s'attaqua à ma ceinture, mais là, finie la découverte, fini les vêtements que l'on effeuille, il savait et connaissait ce qu'il allait trouver, et ne voulait pas perdre de temps.
Le tapis du salon fut notre nid.
Sans pouvoir vous décrire comment il s'y prit, j'étais nu, allongé, lui debout me disant:
- Tu aimes les strips ? alors regarde..."
Et j'ai vu... Oui, il était expert, de cela aucun doute. Il était encore en boxer que je criais grâce...
Alors, en sous-vêtement, il s'agenouilla entre mes jambes. Son sourire toujours aussi merveilleux, il entreprit une caresse sur ma verge, celle-là même dont je l'avais privé quelques heures plus tôt...
Ses mains douces m'enserrèrent. Il me manipula doucement et quand mon gland fut sorti de son enveloppe de peau, c'est avec sa langue qu'il travailla ma lance.
Quelle douceur, quelle chaleur que cette bouche qui me léchait, m'aspirait, me titillait... Le temps s'arrêta, mes mains, mes doigts se perdaient dans la douceur de la soie de ses cheveux.
Après un long moment de ce délice, il s'arrêta, me regarda, et crânement, il fit enfin sauter son tee-shirt, ce corps souple et musclé, ce corps que j'avais déjà goutté avait retrouvé toute sa splendeur, le boxer prêt à craquer, lui aussi, fut vite arraché. Cette verge longue et fine pointait à nouveau à son maximum.
Assis sur mon torse, j'avais à quelques centimètres des lèvres, ce sucre d'orge dont la grosse veine battait au rythme de son cœur. Comment aurai-je pu résister à son invite ? Quand sa hampe franchit le seuil de mes lèvres, je sus que j'allais l'aimer. Longue, fine lisse, elle avait tout pour régaler les langues les plus exigeantes. Je le suçais, l'aspirais et lui, il soufflait, s'étirait les yeux clos...
De mon côté, mes suçions se faisaient toujours plus fortes, j'aimais son odeur, j'aimais ce sexe, je voulais sa semence.
Alain glissa de quelques centimètres, et, sans se défaire de ma bouche, s'allongea à mon côté tête bêche et entama lui aussi la caresse que je lui prodiguais et qui n'est pas prêt de s'effacer de ma mémoire. Celle-ci fut plus rapide car, de ma lance érigée, Alain glissa vers l'étage inférieur et engloutit une à une mes deux perles de mâle qui, gonflées au maximum, attendaient de se libérer de leur élixir d'amour.
Là non plus cependant il ne s'attarda point, sa langue poursuivit son chemin, descendit encore, et vint titiller l'entrée de mes reins... Je compris à cet instant, que ma bouche ne serait pas longtemps seule à connaître ses vingt cinq centimètres de douceur.
Sans concertation aucune, Alain se retira de ma bouche, il s'habilla d'un préservatif venu de je sais où et me regarda fier de sa longueur. Le membre ainsi habillé était réellement impressionnant, je lui dis simplement :
- Doucement".
Son sourire en guise de réponse me rassura. Le coussin de velours qu'il glissa sous mes reins me rassura, le gel dont il m'enduisit me rassura, le baiser tendre qu'il me donna me rassura, l'amour, le vrai, la tendresse étaient au rendez-vous...
Malgré cela, quand il se présenta à l'entrée de mes reins, je tressaillis sûrement très fort car sa main douce vint caresser mon ventre puis mes cuisses. Il enduisit son préservatif d'une nouvelle couche de gel et vint repositionner la pointe de sa lance où elle était censée allumer ses feux d'amour...
Il mit toute sa tendresse dans son entrée, quand je sentis enfin sa chaleur en moi, il me demanda :
- Je ne te fais pas mal ?"
Pour toute réponse, je le regardais et lui souriais...
Oh, non ! Alain tu ne me faisais pas mal, tu pouvais venir, venir au plus profond...
A toi qui lit ces lignes, je te souhaite un jour de connaître une ivresse de vingt-cinq centimètres qui te pénètre, qui prend son temps pour aller et à mi-chemin se retirer pour mieux revenir.
Je ne sais plus combien de temps il à fallut à Alain pour s'enfoncer entièrement en moi. Combien de temps il m'a fallu attendre pour sentir la base de sa verge et son ventre enfin rencontrer les globes qu'il envahissait.
Quand enfin, il fut entré de toute sa longueur, il ressortit presque entièrement et, là, la tempête se déchaîna, de plus en plus vite, Alain me clouait au sol, son regard allant de sa verge qui s'enfonçait, à mon visage qu'il surveillait à l'affût de la moindre douleur.
Mais non, il aurait pu buter en moi dix fois plus fort, je n'aurai pas crié... Il était long, doux et bon...
Après un très long moment de ce réel bonheur, je n'étais plus qu'un pantin entre ses bras, lui au contraire, plus il me besognait, plus il semblait redoubler de fougue. A tel point, qu'à un moment, sa cadence se ralentit, il s'arrêta presque et le sportif qu'il était n'avait pas fini de me surprendre.
Sans quitter mon corps de son pieu, ses mains passèrent sous mon dos, et tous ses muscles travaillèrent ensemble pour nous lever.
Mes bras autour de son cou, sa longueur toujours figée en moi, il me porta dans sa chambre, m'installa sur son lit et repartit à sa charge héroïque.
Je ne peux vous dire le temps qu'il mit à honorer mes entrailles, ce dont je me souviens, toutefois, c'est l'état de mon être quand je sentis sa semence se déverser au fond de son préservatif.
Il s'affala sur moi, me lécha, m'embrassa, me caressa le corps.
Moi, je n'en pouvais plus, je ne pouvais que lui caresser la tête, ce qu'il comprenait comme la plus grande des reconnaissances.
L'instant d'après, il vint se lover contre moi, il m'enserra le torse, et me dit :
- Dors, demain, je veux t'aimer..."
Avec une telle promesse, d'autres que moi se seraient sans doute enfuis. Après ce que je venais de connaître, je n'osais croire à plus... Pourtant, je sombrais très vite dans un univers d'étoile et de rêve...
Que croyez-vous qu'il arriva ?
Rêve ou pas, je sentais à nouveau la douceur chaude de la bouche d'Alain sur ma turgescence d'amour. Il m'aspirait et me léchait tant et si bien que j'avais l'impression d'être attaché, à sa merci...
Attaché, non je ne l'étais pas, mais en croix oui...
Je m'éveillais doucement et Alain était bien là, entre mes jambes écartées au maximum, afin de lui laisser le champ libre. Mes bras tendus de chaque côté du lit avait dans leurs poings les replis du drap.
Quand il vit mes yeux s'ouvrir, il lâcha mon sexe, et vint m'embrasser tendrement.
- Bonjour petit homme, bien dormi ? "
Ainsi j'avais dormi ? Il me semblait le sentir encore au fond de moi. Était-il réellement insatiable ? Sûrement, car à cheval sur mon torse, il recula doucement jusqu'à ma hampe qu'il s'était appliqué à rendre ferme et s'empala littéralement sur elle.
Un seul élan, un seul mouvement et nous étions à nouveau lié l'un à l'autre...
Mes mains enserrèrent ses hanches et les yeux dans les yeux il commença à monter et descendre le long de ma colonne. Ses mains à lui entourant sa lance dressée, il se masturba tout en me menant au réel bonheur.
De plus en plus vite, il haletait, sa main droite le caressant, sa main gauche voyageant de ses bourses à ses seins qu'il pinçait doucement. Quand il commença à ralentir, je sus qu'il allait éclater. Moi aussi je m'abandonnais.
Ensemble nous lâchâmes notre sève, moi en lui, le plus profondément possible, lui sur moi, mais avec quelle ressource. Longuement il se vida, des jets d'une force que je n'avais jusqu'alors jamais connue vinrent cingler mon corps et mon visage.
Vous l'avez compris, cette nuit là fut de celles que l'on connaît rarement le temps d'une vie, quand, en nous séparant, nous nous embrassâmes une dernière fois, nous nous promîmes de nous revoir dès son retour de voyage.
Quand j'arrivais au garage ce matin-là, mon patron remarqua tout de suite mon oeil fatigué et me dit :
- Tu aurais vraiment dû aller te coucher hier soir. Mais au fait, je viens de recevoir un appel du propriétaire de la voiture qui tenait à me dire bravo pour mon personnel... Je te félicite pour lui, apparemment il était heureux..."
Heureux ? Seulement heureux ?...
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