↧
Elles ont bien soif....
↧
Petites B.D. Très petites même!
↧
↧
Cadeau de Noël pour madame
Pour Noël, Madame,
choisi son cadeau devant Monsieur.
choisi son cadeau devant Monsieur.
↧
Histoire du net. Auteur: BCBG. Alice
Quand un monde nouveau
s'ouvre à votre femme
Le relais routier.
Alice sort progressivement de sa torpeur. Cela fait maintenant deux heures que le Renault Espace que son mari conduit roule sur l’autoroute qui les mène vers Paris après avoir passé les vacances de Pâques dans leur maison de Bretagne. Une musique d’ambiance remplit l’habitacle et maintient l’humeur détendue qui règne depuis le départ.
Alice est une jeune femme de trente ans. Elle mesure un mètre soixante quinze. Proportionnée, ses formes sont restées élégantes en dépit de deux grossesses, sa poitrine est lourde mais encore ferme et peu souvent emprisonnée dans un soutien-gorge. Brune, ses deux grands yeux en amande sont d’un noir perçant. Son visage est rond et élégant et ses pommettes légèrement saillantes. Sa bouche, bien qu’un peu large, est sensuelle. Ses cheveux noirs et lisses sont coiffés courts, au carré. Bronzée et satinée, sa peau met en valeur l’ensemble de son physique.
Pour voyager, elle porte une jupe en lin fendue sur le devant et un chemisier en soie blanc, sans manche. Compte tenu de la douceur du temps, seuls les trois premiers boutons de sa jupe sont boutonnés et sont chemisier échancré laisse sa poitrine et les deux globes de chair brune à moitié découverts.
La tête appuyée sur la vitre, Alice ouvre légèrement les yeux et aperçoit son mari au volant du véhicule.
Jacques est cadre supérieur dans une grande société d’informatique de la région parisienne. Il porte bien ses trente huit ans et Alice connaît bien son pouvoir de séduction.
C’est dans le reflet du rétroviseur extérieur qu’elle peut vérifier que sa fille et son garçon, âgés respectivement de huit et neuf ans, dorment paisiblement.
Femme au foyer, Alice a une existence heureuse bien que forcément un peu monotone. Son mari est très occupé par son travail. Les vacances lui donnent l’occasion de changer d’air et de rompre un peu le rythme plat de sa vie.
- Mince, encore un accident !
Un panneau lumineux signale effectivement un accrochage à cinq kilomètres. La circulation ralentit progressivement.
- Il faudrait que tu te rabattes, dit Alice en remarquant que son mari est resté sur la file de gauche.
- Tant pis ! Grogna-t-il.
Jacques ne supporte pas de ne pas pouvoir doubler comme il le veut.
La voiture est maintenant immobilisée.
Un moment plus tard, Alice, toujours à moitié endormie, ouvre les yeux à demi et tourne la tête vers la droite. Un camion est arrêté à leur hauteur. Instinctivement, elle lève légèrement la tête et peut à présent voir le visage du chauffeur.
Ce dernier doit avoir une cinquantaine d’années. Son visage est bouffi et en partie mangé par une barbe de plusieurs jours. Une casquette est vissée sur son crâne. Il doit être massif car ses épaules nues et bronzées sont musclées et dépassent largement des deux bretelles de son maillot de corps bleu sans manche. Son bras gauche est appuyé sur le bord de la fenêtre dont la vitre est baissée.
- Quelle vie doivent avoir ces chauffeurs, se dit Alice.
Le regard de l’homme est orienté dans la direction de la Renault, sûrement pour admirer la voiture, vieille de deux mois et dernier modèle sorti. Elle remarque cependant que le visage du chauffeur est particulièrement rouge en dépit de la douceur du temps et du fait que sa vitre soit baissée. Alice se rend alors compte que l’individu a une vue plongeante dans l’habitacle.
En effet, pendant son sommeil, la jupe de la jeune femme s’est ouverte laissant apparaître ses cuisses bronzées et pleines de même que le triangle rouge vif du tissu de sa culotte. Quelques mèches de poils noirs s’échappent des côtés. Etant en hauteur, le chauffeur peut également admirer les deux seins ronds aux aréoles larges et brunes à peine cachés par les pans du chemisier.
Tout à fait réveillée, la jeune femme ouvre les yeux en grand avant de refermer rapidement les deux pans de sa jupe et de boutonner son chemisier après avoir adressé un regard agressif et plein de colère au chauffeur qui lui sourit.
Le regard de l’homme la dégoûte.
Cependant, Alice ressent une sensation de satisfaction car elle se sait encore belle et cela lui procure, malgré elle, une certaine satisfaction.
La Renault recommence à avancer au pas. Jacques, trop absorbé, n’a rien remarqué de la scène. La circulation se bloque de nouveau.
- Je n’en peux plus, je sors faire un tour !
Ces paroles à peine prononcées, Jacques est déjà à l’extérieur, une cigarette aux lèvres. Alice se penche vers l’auto radio pour changer de station. Cela fera passer le temps.
Elle aperçoit le portefeuille de son mari dans le dévidoir se trouvant sous le volant. Une carte de visite dépasse. Discrètement, elle saisit la carte et peut lire le nom et le prénom écrits en lettres anglaises. Le sang d’Alice ne fait qu’un tour et sa gorge se noue brusquement. Le nom et le prénom sont ceux d’une collègue de travail de Jacques. Alice s’était bien rendu compte à l’occasion d’un cocktail que cette dernière tournait autour de son mari mais sans s’en inquiéter outre mesure. Néanmoins, ce qui fait le plus de mal à la jeune femme est l’annotation ajoutée sur le document: «19h00 au Charleston. Jeudi ».
En effet, il y a deux jours, Jacques avait prétexté un dossier à boucler et avait téléphoné à Alice pour lui dire qu’il rentrerait très tard. Les dates coïncidaient.
Alice remit la carte en place et appuya la tête contre la vitre de sa portière, anéantie. Deux larmes coulent doucement sur ses joues. Décidée cependant à ne pas se laisser aller, elle les essuie du dos de la main. Il fallait qu’il paye pour son infidélité. Elle trouverait bien une occasion. Une seule.
Sans savoir pourquoi, comme auparavant, Alice regarde à l’extérieur. Un camion se trouve de nouveau à côté de la Renault. Il s’agit d’un gros cylindré, rouge et rutilant.
Elle lève les yeux. Le chauffeur est plus jeune que le premier. Il doit avoir une quarantaine d’années. Son visage, en lame de couteau, est animé par deux petits yeux enfoncés. Ses cheveux, châtains clairs et gominés, sont coiffés en arrière. Ses joues sont barrées par deux pattes grossièrement taillées. Ses lèvres sont minces et maintiennent par le mégot une cigarette. Alice remarque un tatouage sur l’avant-bras qui pend le long de la portière à la vitre baissée. Son regard, immobile, fixe le visage d’Alice qui, en colère mais sans se laisser impressionner, soutient le regard du chauffeur.
Une idée lui vient à l’esprit. Après tout, il l’a bien cherché.
Tout en esquissant un léger sourire au chauffeur, elle croise et décroise les jambes de manière à les dégager au maximum du tissu de sa jupe et les écarte légèrement. L’homme reste impassible. Alice déboutonne doucement son chemisier de façon à ce que le chauffeur puisse admirer ses seins. Le visage de l’individu rougit progressivement et devient écarlate lorsque la jeune femme passe le bout de la langue sur ses dents.
Voulant l’exciter encore plus, elle bombe légèrement le torse en faisant semblant de vouloir s’étirer et le gratifie d’un clin d’œil. Elle s’aperçoit alors que Jacques revient vers la voiture. Alice rabat rapidement et discrètement les pans de sa jupe et croise les bras pour cacher sa poitrine.
Ayant toujours un regard provocateur vers le chauffeur, la jeune femme remarque que ce dernier tient un micro de CB et semble parler.
- Hé bien ce n’est pas trop tôt ! Grogne Jacques en démarrant le moteur.
La circulation reprend et le Renault espace gagne rapidement de la vitesse. Jacques est d’une humeur massacrante et se montre même désagréable vis à vis de sa femme lorsque celle-ci tente de lui parler. Alice n’insiste pas mais sa déception la conforte dans la résolution prise précédemment.
Discrètement, elle écarte les pans de sa jupe et décroise les bras.
Jacques double tous les véhicules qui le retardent. Ses yeux sont rivés sur la route. Un nouveau ralentissement est annoncé. Alice remarque soudain toute une file de camions sur la file de droite.
Elle jette un coup d’œil vers son mari dont l’attention est absorbée par la conduite et la colère provoquée par ce nouvel encombrement. Il est obligé de ralentir. C’est le moment où jamais. Elle écarte les jambes et l’échancrure de son chemisier. Lorsque la Renault arrive à hauteur de chaque camion, Alice s’applique à tourner son visage vers la cabine pour fixer le chauffeur.
Les conducteurs ont quelques secondes pour admirer le spectacle. Quelques uns lui adressent un sourire, d’autres des gestes un peu plus osés. Un autre, un gros blond, manque même de s’étouffer à la vue du spectacle.
Alice se délecte, elle se venge. Le manège terminé, elle rectifie sa tenue et s’endort progressivement.
Des pensées occupent son esprit. Elle voit son mari en train de faire l’amour à cette collègue. Puis, sans pouvoir s’en empêcher, elle s’imagine sur un parking d’autoroute, se promenant entre les camions...
…............
Alice se réveille brusquement. Il fait pratiquement nuit et elle s’aperçoit que la Renault est sur une voie de décélération menant vers une aire de repos.
- On s’arrête ?
- Tu ne crois tout de même pas que je vais rouler une partie de la nuit sans rien dans le ventre !
Alice se retient d’envoyer son mari se faire cuire un œuf et reste silencieuse.
Dans la lueur des phares, elle distingue les masses sombres des poids lourds alignés les uns à côté des autres. Ils sont imposants et reflètent la puissance.
Jacques dépasse le parking réservé aux camions et se gare sur celui réservé aux voitures. Les enfants sont toujours endormis.
- Je n’en peux plus, je meurs de faim !
- Repose-toi mon chéri, surveille les enfants, je vais chercher des sandwiches et de l’eau à la station service.
- Bonne idée, c’est tellement agréable de se faire servir par une femme !
- Fais le fier mon vieux, si tu savais ! Se dit la jeune femme en ouvrant la portière.
Alice se dirige vers la station service. Les pans de sa jupe s’ouvrent à chaque pas découvrant ses jambes et ses cuisses et sa poitrine tremble à chaque pas.
En longeant la haie formée par les cabines des camions, elle aperçoit un groupe de chauffeurs en train de discuter. Il lui semble, sans en être sûre, qu’ils parlent une langue qu’elle ne parvient pas à définir, sûrement d’Europe centrale.
Arrivée à leur niveau, elle ralentit légèrement son allure et remarque immédiatement que les hommes se sont tuent. D’un regard discret, elle observe les individus. Ils sont quatre, vêtus de combinaison ou de jean et tee-shirt. Leur visage est buriné et marqué et porte une barbe de plusieurs jours. Ils sont de taille moyenne mais trapus et portent une moustache épaisse.
Leur regard est tourné vers la silhouette de cette jeune femme qui semble descendre directement du paradis. La surprise passée, ils la dévisagent sous toutes les coutures avec des yeux brillant autant d’admiration que de désire. Tout en les regardant, Alice esquisse un sourire mais a du mal a dissimulé l’émotion qui lui tenaille subitement les intestins. Elle se traite de véritable folle.
Les hommes restent impassibles mais elle remarque une légère lueur de désapprobation dans leur regard. Une femme ne doit pas se promener ainsi, seule et dans une telle tenue.
Alice les dépasse et pénètre dans la station service, distante d’une cinquantaine de mètres, où elle achète rapidement les victuailles avant de ressortir pour rejoindre la Renault.
Les chauffeurs sont toujours au même endroit.
Le cœur battant et la gorge nouée, elle s’approche d’eux et s’immobilise. Elle peut les observer de manière plus précise. Les hommes paraissent surpris de tant d’audace et restent immobile. Leurs yeux noirs et perçants passent en revue son corps et elle entend leur respiration accélérer. Cela dure un instant.
Sans pouvoir se contrôler, Alice leur adresse un sourire avant de s’éloigner.
Jacques attend à l’extérieur, une cigarette aux lèvres et surveille les enfants qui jouent autour du véhicule.
- Ce n’est pas trop tôt, qu’est-ce que tu as foutu ?
- Je ne suis pas toute seule ! Réplique Alice excédée par le ton de son mari.
Jacques prend un sandwich dans le sac et se met à l’écart pour l’avaler en jouant avec son fils et sa fille. Quel goujat se dit-elle, si seulement j’étais seule ce soir mon pauvre vieux, je ne me gênerai pas, je te le garantis !
Le repas rapidement englouti, Jacques s’installa derrière le volant.
- Affole-toi, on ne va pas dormir là !
Alice ne répond pas.
Le reste du voyage se déroule dans le silence le plus complet. Alice n’a pas envie de discuter. A la sortie de l’autoroute, il ne reste plus qu’une dizaine de kilomètres sur une route de campagne.
A la sortie d’un bourg, Alice voit une enseigne sur le côté droit annonçant un relais routier. Empruntant régulièrement ce tronçon pour aller faire ses courses, elle n’y a pourtant jamais porté trop d’attention.
Mais ce soir, c’est différent. Sa pensée est monopolisée par les monstres d’acier, les regards virils et le désir qu’elle a suscité parmi les chauffeurs. Et puis, il y a cette volonté de se venger qui la tenaille.
La Renault passe devant le relais. Trois poids lourds sont garés sur le parking. L’établissement est isolé et semble peu fréquenté. Tant mieux se dit Alice.
Une fois arrivée à leur maison, Alice est occupée par les enfants, qu’il faut coucher, et le rangement des bagages.
Jacques se contente de se doucher et de déguster une bière devant la télé.
Alice ne bronche pas.
Une fois couchée, des rêves l’envahissent aussitôt. Elle se voit entourée d’hommes. Ils sont d’âges variés. Ils sont vêtus de combinaisons, de jeans, de tee-shirts et de chemise à carreaux. Leur visage est sévère et viril, marqué par la fatigue. Des mains larges s’avancent vers elle pour la caresser, lui palper les seins, le ventre, les fesses. D’autres s’introduisent entres ses cuisses pour les masser. Des gémissements et des sifflements de respiration raisonnent de plus en plus fort. Elle entend également des voix et des commentaires inaudibles. Alice se réveille en nage, brusquement, le cœur battant.
Sa main droite est plaquée sur son sexe et sa chemise de nuit, retroussée jusqu’à la taille.
- Mon Dieu, ce n’est pas possible ! Je deviens complètement cinglée !
Pendant son rêve, un de ses doigts a pénétré dans sa vulve. Mortifiée, elle n’ose plus bouger. Elle se décide enfin à le retirer et se rend immédiatement compte que ce dernier est trempé de son liquide intime. Elle l’essuie avec un mouchoir qu’elle garde toujours sur sa table de chevet et tente de se rendormir.
Le lendemain matin, elle s’affaire à préparer le petit-déjeuner. Jacques est tout juste aimable.
- Vas retrouver ta traînée, je m’en fous ! Maugréa-t-elle en elle-même.
Les enfants et son mari partis, Jacques les dépose le matin à l’école, son esprit est occupé par tout le rangement à effectuer. Elle déjeune rapidement le midi, les enfants et son mari ne rentrant pas.
Vers dix-huit heures, le téléphone sonne. C’est la mère d’Alice qui lui propose de garder les enfants pour la nuit afin d’en profiter. Elle passera les prendre à l’école. Alice accepte.
Une demi-heure plus tard, alors qu’elle commence à préparer le dîner, Jacques l’appelle pour lui annoncer que les dossiers se sont accumulés et qu’il ne sera pas de retour avant vingt deux heures.
- Mais il n’y a pas de problèmes mon chéri, fais au mieux !
- Merci de ta compréhension mon amour, je t’aime très fort tu sais !
- Moi aussi, à ce soir !
Alice aurait pu cracher au visage de son mari si ce dernier s’était trouvé en face d’elle. Elle sait très bien en quoi consistent les dossiers de Jacques.
Alice s’assoit dans un fauteuil du salon, pensive. Elle décide de faire comme si de rien n’était. C’est elle maintenant qui allait exceller dans l’art du mensonge.
Elle met au frigo le repas maintenant devenu sans objet et se fait un sandwich qu’elle expédie rapidement. Il est vingt heures trente.
Elle monte au premier étage où se trouve la salle de bain et ouvre le robinet de la baignoire. Elle se dirige ensuite dans sa chambre, ouvre l’armoire, regarde sa garde-robe et saisit un cintre supportant une jupe plissée bleu marine en coton.
Elle sélectionne également un chemisier bleu ciel et ouvre la commode pour sortir un porte-jarretelles et un slip en soie bleu pâle de même qu’une paire de bas couleur chair.
Regagnant la salle de bain, elle se déshabille et se regarde dans la glace. Celle-ci renvoie l’image d’un corps aux formes pleines mais sensuelles. Le bain lui permet de se vider la tête et de se décontracter.
Alice se maquille légèrement. La vulgarité ne lui sera d’aucune utilité.
Revenue dans la chambre, elle s’habille en prenant soin de laisser les trois premiers boutons de son chemisier défaits. Elle remarque que le vêtement est suffisamment transparent pour laisser deviner les seins lourds et les aréoles foncées. Elle chausse une paire de chaussures noires, tout à fait ordinaires. Un serre-tête bleu marine en velours maintient ses cheveux de façon à ce que son visage soit mis en valeur.
Alice s’examine une dernière fois dans la glace de la salle de bain. Elle est belle, sans vulgarité mais le chemisier transparent échancré sème le doute dans le genre classique de sa tenue.
Elle revêt un imperméable, le temps étant doux.
C’est lorsqu’elle pose la main sur la poignée de la porte qu’un sentiment de peur mêlé d’excitation lui tord l’estomac.
Puis, elle éclate de rire. Après tout, il ne s’est encore rien passé. De toutes façons, il était allé beaucoup trop loin. Il est vingt et une heures.
Installé au volant de sa Mini, elle rejoint la route qui la mène droit au relais routier.
Dix minutes après, elle aperçoit l’enseigne lumineuse dans la nuit noire. Son cœur bat à tout rompre et une crampe lui déchire les intestins lorsqu’elle aperçoit trois semi-remorques sur le parking.
Elle se gare à côté d’un des camions et stoppe le moteur.
Un silence lourd règne. Elle perçoit de loin les aboiements étouffés d’un chien.
Le relais est une simple bâtisse. Alice descend de son véhicule et ferme la portière à clé. Elle vérifie que son imperméable est suffisamment ouvert.
Parvenant à maîtriser son émotion, elle se dirige lentement vers le relais.
Arrivée devant la porte du commerce, elle ferme les yeux et respire à fond avant d’appuyer sur la poignée et de pousser.
Elle découvre un bar en bois usé derrière lequel se tient un homme d’une cinquantaine d’années. Il est vêtu d’un pull en laine rouge dont les manches sont retroussées sur des bras nerveux et musclés. Son visage est anguleux, ses joues creuses. Ses cheveux gris sont clairsemés et coiffés en arrière. Ses deux petits yeux noirs et vifs sont fixés sur la nouvelle venue. Il est en train d’essuyer un verre.
Le reste de la salle, faiblement éclairée est composé de quelques tables recouvertes par des nappes à carreaux rouges et blancs. L’éclairage est tamisé.
Une forte odeur de cuisine et de tabac règne.
Une porte fermée, dans le fond de la salle, indique la cuisine.
Les yeux du barman, qui semble être le patron, déshabillent Alice. Ses mains restent figées sur le torchon à vaisselle.
La jeune femme se tient dans l’encadrement de la porte.
Trois autres hommes se tiennent devant le bar et discutent en riant.
C’est en voyant le visage décomposé du barman qu’ils se taisent subitement et se retournent doucement.
Alice peut maintenant les voir de face. Ils ont entre quarante et cinquante ans. Sûrement des habitués.
L’un est vêtu d’un pantalon de velours noir large et d’une chemise beige. C’est un homme d’un mètre quatre vingt environ. Il est brun. Ses cheveux sont bouclés et long. Sa chemise est ouverte et laisse apparaître une toison de poils noirs sur laquelle repose un collier en or. Il est massif sans être gros. Ses traits sont virils. Son visage est fin et ses pommettes saillantes.
L’autre est petit et pratiquement chauve. Ce qui lui reste de cheveux est roux et deux pattes épaisses descendent le long de ses joues. Il doit être le plus âgé, une cinquantaine d’années. Sa combinaison bleue moule un ventre proéminent.
Une barbe grise de plusieurs jours envahit ses joues couperosées et charnues. Ses yeux verts soutenus par des cernes sont grands ouverts. Ses épaules sont larges.
Ils sont pétrifiés. Ce n’est qu’au bout de quelques secondes qu’ils parviennent à se reprendre après avoir passé en revue des yeux les formes de la jeune femme. Cette dernière, paralysée par la gêne se décide à s’asseoir à une table au fond de la salle et faisant face au bar. Ils se retournent pour continuer à discuter à voix basse.
Le patron se dirige vers la jeune femme.
- Que désirez-vous, je ferme dans une demi-heure et la cuisine est fermée. Le ton est ferme.
- Je prendrai juste un café.
L’individu regarde la jeune femme d’un air méfiant tout en lorgnant furtivement dans son décolleté puis regagne sont comptoir.
Pendant que l’homme prépare la boisson, Alice en profite pour croiser les jambes en prenant soin de retrousser sa jupe jusqu’à mi-cuisse.
Le barman pose la tasse sur un plateau puis lève les yeux vers Alice. Son visage s’empourpre légèrement. Il a une vue directe sur les jambes et les cuisses d’Alice. Il peut également apercevoir le haut de ses bas ainsi qu’une attache de porte-jarretelles.
Il revient vers elle, pose le café sur la table et lui jette un regard dur avant de s’éloigner. Alice détourne les yeux, honteuse.
Tout en sirotant son café, elle décroise ses jambes pour les recroiser de nouveau. Elle s’applique également à se cambrer de temps à autre en simulant une envie de s’étirer, ce qui a pour conséquence de bomber sa poitrine prête à sortir de son chemisier.
Sa jupe est maintenant bien au-dessus de la couture de ses bas et les trois hommes peuvent voir le triangle de sa culotte.
Le patron discute à voix basse avec les deux clients. Ils se retournent vers Alice régulièrement et le plus âgé devient écarlate et semble de plus en plus excité. Il n’a rien d’attirant mais le fait de pouvoir le rendre dans cet état fait monter l’adrénaline d’Alice.
La jeune femme triomphe.
- Si cet imbécile de Jacques voyait cela ! Se dit-elle.
Au bout d’un instant, le patron revient.
- Je ne veux pas de scandale dans mon établissement. Je sais ce que vous voulez. Avec ces deux là, si vous insistez, vous l’aurez mérité. Il ne faudra pas vous plaindre !
L’homme se tient du côté droit de la table, près de la jeune femme. Il a prononcé ces paroles d’une voix sourde.Alice lève doucement la tête pour plonger son regard dans celui de son interlocuteur. Elle lui adresse un sourire en coin en essayant de faire preuve d’assurance en dépit de l’angoisse qui la taraude.
- Je me demande si vous êtes vraiment sûr de vouloir éviter un scandale si l’on considère la bosse qui peut faire sauter votre braguette d’un instant à l’autre, rétorque Alice d’une voix douce et mielleuse.
Tout en parlant, elle remonte sa main droite le long de la jambe gauche du patron et lui saisit l’intérieur de la cuisse.
A demain pour la suite
↧
Histoire du net. Auteur: BCBG. Alice... Fin
Quand un monde nouveau
s'ouvre à votre femme.
Et qu'elle veut l'explorer en profondeur!
Le relais routier.
Fin
Le barman manque de s’étouffer. Alice sent ses jambes trembler.
- Vous ne devriez pas madame, il vaudrait mieux que vous partiez. Ce n’est pas un endroit pour une femme comme vous. Sa voix est chevrotante. Il respire fortement.
- Je ne pense pas que ce soit ce que vous vouliez exactement. Je suis une bonne bourgeoise qui a envie de s’envoyer en l’air. Et je le fais avec qui bon me semble. Il ne vous faut pas plus de cinq minutes pour fermer les stores des fenêtres et la porte. Quant à vos clients, je suis persuadé qu’un petit digestif, dont j’ai le secret, les maintiendra éveillés pour le reste de leur trajet.
- Vous l’aurez voulu, répond l’individu, excédé.
Le patron s’approche des deux routiers pour leur parler puis se dirige vers la porte pour la fermer à clé avant de descendre les stores des deux fenêtres donnant sur le parking.
Il s’approche ensuite à quelques mètres de la table avec les deux individus.
Alice se lève lentement, fait le tour de la table et s’appuie des deux mains sur cette dernière tout en observant les trois compères. Pourtant, elle est à la limite de prendre son imperméable, son sac et de fuir.
Les trois individus se regardent sans oser esquisser le moindre geste.
La jeune femme s’approche et s’arrête à un mètre des mâles. Elle se tient droite, les mains sur les hanches et les jambes écartées.
- Vous n’avez vraiment pas envie de passer un bon moment ? Qu’est-ce que vous attendez pour les sortir ? Elles vont exploser, vous ne croyez pas ? Souffla-t-elle les yeux mi-clos et la bouche légèrement déformée par une moue insolente.
Les individus sont toujours immobiles.
Alice s’avança vers les deux routiers et plaque chaque main sur les parties intimes pour les refermer doucement. Elle ne sait pas où elle peut trouver le courage pour faire un tel geste.
Le petit chauve ouvre la bouche sans pouvoir prononcer un mot. Son visage est carmin et prêt à éclater. Alice sent une barre courte mais épaisse. Son autre main s’est refermée à travers le tissu de velours sur une tige longue, fine et dure comme du bois dont le propriétaire reste impassible, sans doute trop fier pour laisser apparaître ses sensations.
Les tempes de la jeune femme sont martelées par ses battements de cœur et sa gorge est nouée et sèche.
Ses doigts entame un massage doux et régulier des parties intimes. Le chauve émet un couinement sourd tandis que son collègue respire bruyamment en soufflant.
Alice ouvre soudain les yeux en grand et se mord les lèvres pour ne pas crier.
Le patron s’est glissé derrière la jeune femme et a refermé ses mains sur ses hanches tout en appuyant son bas-ventre sur les fesses. Alice penche la tête en arrière et l’individu en profite pour coller sa bouche dans le cou de sa partenaire avant de déposer une série de baisers et de mordiller la chair chaude et satinée de son épaule.
Alice émet un feulement aigu.
Les mains du patron quittent ses hanches pour descendre le long des cuisses et remonter, retroussant la jupe et pétrissant fermement les cuisses de la jeune femme.
Les deux autres sont anesthésiés par la caresse qui, à présent, concerne leurs couilles maintenant emprisonnées dans les paumes de mains d’Alice.
Les jambes du chauve commencent à trembler.
Le patron plaque une main entre les jambes de la jeune femme qui émet un cri en pliant légèrement les jambes. La paume caresse la motte brûlante.
Alice lâche ses deux prises en hurlant pour ses mains sur celle du patron.
Ce dernier vient en effet de faire pénétrer son majeur dans le puits trempé après avoir écarté un pan de la culotte. Elle est au bord de l’évanouissement.
La jeune femme a les yeux fermés et la bouche ouverte. Incapable de tenir sur ses jambes, c’est le bras libre du patron qui la soutient par la taille.
Le chauve s’approche et lui prend le visage entre les mains.
Elle ouvre les yeux à demi et découvre le visage rouge de l’homme qui lui fait face.
La jeune femme ouvre légèrement la bouche comme un appel. Le routier colle sa bouche à la sienne et une langue épaisse enveloppe celle d’Alice avant de tournoyer. L’individu souffle comme un bœuf. Il plaque une de ses mains sur un sein pour le masser délicatement.
- À moi, laisse moi la place !
Le deuxième routier tient à profiter également de cette beauté qui se livre à eux. Il pousse légèrement son collègue, se positionne face à Alice. Ensuite, il se met accroupi et son visage est à présent face à la motte enflée de la jeune femme.
Le slip baissé au niveau des genoux, Alice peut écarter les jambes ce qui permet au patron de fouiller les chairs intimes plus confortablement. Le routier saisit les cuisses à la peau satinée et approche sa bouche de la toison humide. Il enfonce le bout de la langue et parvient à entrer en contact avec le bouton d’amour caché et durci par l’excitation et qu’il se met à agacer avec application.
Le chauve s’est repositionné devant Alice. Cette dernière, tétanisé par le plaisir, en profite pour poser ses mains sur ses épaules. La bouche ouverte et les yeux fixes, un miaulement continu et étouffé sort de sa gorge séche. Le routier avance de nouveau ses lèvres pour recommencer à embrasser Alice et enserre les globes à présent libérés du chemisier. La jeune femme saisit la tête du routier, plaque sa bouche sur ses lèvres et enroule sa langue autour de la sienne.
Au bout d’un moment, Alice repousse ses trois partenaires. Ces derniers, surpris, regardent la jeune femme enlever son slip qu’elle dépose sur une chaise et se déplacer vers une petite table située au centre de la salle et exposée à la lumière du plafond. Elle s’assoie sur le bord de la table et s’allonge.
Les trois hommes se placent autour d’elle.
- J’en peux plus, t’es trop belle bon Dieu !
Le patron ouvre fébrilement sa braguette pour sortir un sexe court, courbe mais nerveux dont le gland en forme d’obus se découvre immédiatement de son enveloppe charnelle. Deux boules pendent dans leur sac de peau flétrie. Il se positionne entre les jambes de la femme infidèle.
Les deux autres se sont déplacé et sont de chaque côté de la table. Le chauve descend sa salopette et baisse son slip. Un membre court et épais se détend comme un ressort en dessous du ventre poilu. Ses couilles recouvertes de poils sont remontées.
L’autre routier regarde Alice.
- Sors là ! Lui demande-t-il d’une voix sourde.
La jeune femme soutient son regard et avance les mains vers la braguette de velours déformée. Ses doigts nerveux déboutonnent l’ouverture. Alice plonge une main à l’intérieur du vêtement pour entrer en contact avec une tige chaude et ferme contenue dans un caleçon.
Il saisit le poignet d’Alice.
Cette dernière parvient à sortir un bâton de chair brune et bouillante et une paire de couilles gonflées. Le sexe est droit comme une baguette. Alice prend la hampe avec deux doigts et tire légèrement sur le prépuce pour faire apparaître un gland rond et luisant. Elle procède de la même manière avec le chauve qui se trouve au bord de l’apoplexie.
Alice esquisse un sourire vengeur et a une pensée furtive pour son mari.
Sentant qu’il ne résistera pas très longtemps, elle gobe le sexe du routier. Un gémissement de bête remplit la salle.
- Oh, c’est pas vrai, suce, oui, suce bien !
Le routier, la mâchoire serrée et les poings serrés est au bord de l’effondrement. Sa voix sourde est déformée et ressemble à une plainte. L’épouse infidèle, creuse les joues et aspire la queue. Cette dernière a un goût salé.
Alice sent la bite se cambrer contre son palais et sort le sexe de sa bouche. Elle astique la hampe et tourne la tête lorsque les jets de sperme giclent en saccades pour atterrir sur sa poitrine tandis que l’homme pousse des cris de jouissance.
Enfin, le chauffeur, à bout de souffle et épuisé, s’écarte.
L’autre routier a saisit le poignet de la jeune femme afin d’appliquer un mouvement de masturbation. L’homme se raidit brusquement les mâchoires crispées et le souffle coupé. Le méat libère une longue traînée blanche qui s’étale sur le ventre d’Alice. Le chauffeur s’écroule ensuite sur une chaise, abruti.
Le patron plonge la main dans une des poches de son pantalon pour en extraire une pochette de préservatif, l’ouvre, saisit la capote et la fait glisser sur son sexe. Il saisit sa bite d’une main et l’enfonce progressivement dans la vulve, une grimace aux lèvres.
Il s’empare des hanches de sa partenaire qui se cambre en poussant un cri strident, la tête est en arrière et la bouche ouverte. Elle replie les jambes autour de la taille de l’homme qui commence, avec une régularité de métronome, à la posséder.
Le grincement de la table raisonne dans la salle ainsi que les gémissements d’Alice.
- Tu es belle !
- Doucement ! Répond Alice, que les coups de boutoir secouent vigoureusement.
La jeune femme fixe son partenaire et ses mains se referment sur ses poignées. Un sourire s’affiche sur son visage figé.
“Mon pauvre Jacques, si tu me voyais !” Se dit-elle.
Ses trois hommes ne sont pas des canons de la beauté mais elle les rend fous et c’est cela qui lui donne du plaisir.
Les mouvements de reins de l’homme deviennent de plus en plus désordonnés jusqu’à ce que ce dernier se crispe dans un dernier assaut, le visage déformé par une grimace de plaisir. Un grognement étouffé sort de sa gorge pendant qu’Alice pousse un cri strident. Elle sent le préservatif se gonfler du liquide bouillant.
Son partenaire reste collé à son ventre avant de se dégager lentement, essayant de reprendre son souffle.
Elle s’assoit sur la table et referme son chemisier avant de descendre pour récupérer son slip qu’elle glisse dans son sac à main resté à proximité. Puis, elle remet un peu d’ordre dans sa coiffure.
Les trois hommes la regardent sans dire un mot. Un silence lourd écrase le relais.
- Vous n’avez rien à craindre. Je suis venu ici pour une raison bien précise qui ne regarde que moi mais sachez que je vous remercie du fond du cœur.
- Vous n’allez pas nous chercher d’histoires madame, demande le chauve, presque affolé.
- Non.
Alice enfile son imperméable et se dirige vers la porte du restaurant. Avant de l’ouvrir, elle se retourne une dernière fois et leur sourit. Ils n’ont pas bougé. Elle ouvre la porte et se dirige vers sa voiture. La nuit est froide. Il est vingt deux heures dix.
Alice arrive chez elle et a juste le temps de se doucher. Elle entend le moteur de la Renault dans le jardin juste au moment où elle s’assoit dans le canapé du salon afin de faire semblant de regarder la télévision.
- Bonjour ma chérie lui dit son mari avant de se pencher pour l’embrasser sur le front. Je suis désolé mais - je ne pouvais pas faire autrement.
- Ce n’est pas grave mon amour. Répond Alice en lui caressant la joue du dos de la main. Je t’aime très fort tu sais.
.
↧
↧
Rediff d'un des fondamentaux de ce blog: l'almanach
↧
Insatiable
Ma femme est une grande gourmande..!
↧
Un vendredi de brèves
Certains trouvent leurs plaisirs
dans certains "arts" de la baise...
Pourquoi pas tant que c'est librement consentis
Sévices militaires
Mon histoire se déroule au mois de décembre dans une caserne près de Châteauroux. Je faisais mon service militaire depuis un mois. Chacun d’entre nous avait des travaux d’intérêt généraux à effectuer. J’avais la chance d’être tombé sur le ménage du bureau des instructeurs, qui était juste à coté de ma chambrée, par rapport à d’autres qui avaient les salles de bains ou encore les toilettes. Tous les deux jours je devais faire les poussières, nettoyer le sol et vider les poubelles dans le bureau de l’adjudant chef et du maréchal des logis qui nous commandaient.
Les deux personnages étaient antipathiques a souhait et très autoritaires. Le Maréchal des logis, que l’on devait appeler " chef "était un homme un peu gros avec une petite moustache et de tout petits yeux. Il avait tout le temps dans les mains une cravache avec laquelle il jouait et qui lui donnait une contenance.
Un soir je me trouvais dans le bureau pour faire le ménage, mon attention fut attirée par un placard ouvert. Curieux, je regarde dedans. Il y a des vêtements sales des rangers usagés, quelques canettes de bières....
Et en haut sur une petite étagère deux ou trois livres empilés. Précautionneusement je tends l’oreille pour être certain que personne ne vient, mais à cette heure les instructeurs sont entrain de diner. J’attrape les livres et à ma grande stupeur je découvre des BD sado maso.
La première représente une succession d’illustration de jeunes gens ligotés dans des positions incroyables. Chaque tableau porte un numéro de punition. Le second montre des femmes transformées en objet dans un château ou règnent des femmes tyranniques. Je repose rapidement les livres à leur place de peur que quelqu’un n’entre et ne me découvre entrain de fouiller le casier.
Une fois installé dans mon lit, je revis avec une certaine excitation les images des livres que j’avais feuilletés top rapidement. J’avais déjà depuis longtemps des fantasmes qui tournaient autour de la domination. Je m’imaginais prisonnier de femmes habillées en cuir, portant des cuissardes à tallons aiguille me trainant à leurs pieds. Jamais je n’avais eu l’occasion de vivre, même de façon légère ce genre de fantasme.
J’avais juste enfilé quelques fois les bottes de ma mère, ainsi que son imperméable pour me masturber. Il m’était arrivé de m’attacher les pieds et le corps dans mon lit en m’imaginant esclave d’une créature féline qui disposait de moi comme elle le souhaitait.
Je suis retourné deux fois avec gourmandise durant la semaine, dans le placard pour regarder avec émerveillement les images extravagantes de bondage et de domination que contenaient les livres. J’étais fasciné, j’avais de plus en plus de mal à les remettre à leur place rapidement.
Je découvris aussi que le placard appartenait au maréchal des logis chef car il y avait des enveloppes à son nom ainsi que des papiers administratifs. À partir de ce moment mon regard changea sur celui qui se faisait appeler "chef Girodon". Je me surpris à plusieurs reprises à m’imaginer à son service, à lui obéir dans des situations très concrètes où je devais lui servir à manger, à boire, lui cirer ses chaussures...
J’avais d’ailleurs parfois l’impression qu’il sentait quelque chose car plusieurs fois il me prit à parti pour me menacer de punition si je ne m’améliorais pas au tir ou à d’autres activées sportives. Chaque fois je me sentais rougir, de peur que tout le monde se rende compte de mes fantasmes.
Durant la première permission que j’eus début décembre j’imaginais un scénario improbable. Je me mis à écrire une lettre anonyme, que je glisserai dans son placard et qui disait cela :
….“Bonjour,
J’ai découvert par hasard les BD qui se trouvent dans votre casier. J’ai le fantasme de trouver une personne qui m’apprenne progressivement à obéir. Ma démarche est inattendue car je n’aurais jamais pensé aller vers un homme pour réaliser cela. Je souhaiterai une relation sans sexualité, uniquement un rapport de domination physique et surtout morale. Si ma démarche vous intéresse je vous propose de dire à la fin du cour du mercredi après midi : "Demain il fera beau, mais il faudra vous couvrir". Je resterai alors assis pendant que tout le monde sortira.
Respectueusement. "….
Dés mon retour à la caserne le dimanche soir je décidais de glisser le mot dans son placard, tout de suite pour ne pas tergiverser trop longtemps. À partir de ce moment là une excitation incroyable monta en moi, par ce que je savais que j’avais fait un premier pas qui pouvait me faire basculer du rêve à la réalité.
Le mardi après midi j’ai senti qu’il avait trouvé mon mot, car il nous a tous dévisagé de manière inhabituelle. Je me suis aussi rendu compte qu’il ne m’avait pas découvert, même si à chaque fois qu’il passait à coté de moi je frissonnais.
Pendant ces trois jours je me suis posé beaucoup de questions, car j’avais encore le choix de ne pas être découvert, mais j’étais terriblement excité de me lancer dans l’aventure.
Le cours du mercredi après midi arriva. J’étais très angoissé, comme si j’allais passer un examen. Pendant tout le cours j’avais du mal à retenir mon attention, je ne pensais qu’à ce qui allait se passer à la fin du cours. Puis à l’instant fatidique de fin de cours il y eut un silence qui me parut durer des heures et il dit
— Demain il fera beau mais couvrez vous ".
Ce n’était pas la phrase exacte, mais je savais qu’il avait dit ce que j’avais évoqué dans ma lettre. À cet instant précis j’ai senti une bouffée de chaleur intense m’envahir. J’ai eu l’impression que ma tête allait exploser. Les minutes qui ont suivit m’ont semblé des siècles.
J’ai regardé tout le monde sortir de la salle, comme si tout se passait au ralenti. Moi je me sentais comme pétrifié, incapable de bouger. Plus les secondes s’écoulaient plus je sentais que je m’engageais dans une aventure vertigineuse.
Je me suis rapidement retrouvé seul assis sur ma chaise d’écolier. Le chef qui était resté sur l’estrade est parti fermer la porte de la salle à clés. Il s’est retourné pour venir vers moi. J’ai réalisé à cet instant que j’avais basculé, il était trop tard pour faire marche arrière.
Il s’approche en souriant ironiquement, sa cravache à la main qu’il tapote machinalement dans sa main. Il s’assoit sur ma table et pose ses deux pieds sur mes cuisses pour les essuyer sur mon pantalon. Je suis pétrifié.
Avec un sourire narquois il me dit :
— Alors c’est toi la petite fiotte qui a fouillé dans mon casier ?
J’acquiesce machinalement. Il enchaine :
— Comme ça tu cherches un maître pour t’apprendre le respect....Et ben tu l’as trouvé ! Déjà pour ce que tu as fait je vais te punir et puis les tarlouses comme toi j’en fais mon affaire !
Sur ce il m’attrape par l’oreille pour m’entrainer vers le bureau qui se trouve au fond de la salle de classe. Il me tire tellement fort que j’ai l’impression que mon oreille va se décrocher.
Arrivé dans le bureau il m’oblige à m’assoir sur un tabouret, puis vas fermer à clés les deux portes de la pièce. Il attrape un sac qu’il prend dans son casier et me le jette dans les bras. D’un ton tranchant il me dit :
— Met toi à poil et enfile ce qu’il y a dans le sac !
Transi de peur je lui réponds :
— Mais si quelqu’un entre, je peux pas me déshabiller...
Je n’ai même pas le temps de fermer les yeux que je reçois une gifle comme je n’ai jamais reçu de ma vie. Un flashe blanc m’envahit et un bruit sourd me traverse.
— Tu fais ce que je dis maintenant... tu fermes ta gueule.... c’est moi qui décide ! Met toi à poil et vite !
Tremblant j’enlève mon treillis, puis mon pantalon et comme je tarde un peu à retirer mon slip je reçois plusieurs coup de cravache sur les fesses. Comme je me suis tourné pour dissimuler mon sexe, il me fait signe de me mettre face à lui
— Met tes mains dans ton dos !
Je me retrouve nu face à lui. Il se met à rire ironiquement....
— Mais c’est pas une bite que t’as c’est un clitoris ! T’es pas un mec avec un truc Pareil !
Avec le bout de sa cravache il joue à secouer mon sexe dans tous les sens
— Je vais faire de toi une vraie petite nana... De toute manière je préfère les nanas aux mecs. Allez ! Habille toi avec ce qui est dans le sac.
Je sors du sac une combinaison en caoutchouc brillante très épaisse.
— Enfile ça, c’est une combinaison de protection chimique qui est faite pour résister à tout. Vite, magne toi !!! J’ai pas que ça à foutre...
Je me glisse avec beaucoup de difficulté dans la combinaison trop petite pour moi. Les orifices des pieds se terminent par une sorte de chaussette en caoutchouc renforcé, et les mains par des gants très épais. Une capuche cintrée vient enserrer ma tête ne laissant que le centre de mon visage dégagé. Le tout est clos par une grande fermeture éclaire qui part de l’entre jambe jusqu’au menton.
— Enfile les bottes aussi !
Je sors du sac une paire de bottes noirs en plastic que j’enfile avec penne à cause de leur taille trop petite. En souriant ironiquement il me fait tourner sur moi même pour m’observer sous tous les angles.
— Ah !...Voilà.....Ça commence à ressembler à quelque chose. Viens ici ! Retourne toi, et met tes mains dans le dos.
Tellement la combinaison est serrée, c’est un effort de me déplacer et de mettre mes mains dans mon dos. Il sort un sac de sport du casier et en retire une corde bien roulée. Je me retrouve rapidement avec tout le haut du corps ligoté efficacement. Je me rends compte qu’il fait ça avec une grande dextérité et que je ne suis pas le premier à passer entre ses mains. Pour terminer il me fait fermer mes poings déjà solidement entravés dans mon dos pour les immobiliser à l’aide de plusieurs tours de bande adhésive. Je me retrouve avec les deux poings serres incapable de bouger les doigts.
— Ça t’évitera que tu fasses joujoux avec tes doigts pour essayer de te libérer. J’aime bien le travail bien fait. Tu verras que je suis un perfectionniste. Bon...On va y aller avant que tes petits camarades ne reviennent, faudrait pas qu’ils te trouvent comme ça (rire ironique)
Je panique à l’idée de devoir aller quelque part accoutré comme je suis. Je prend sur moi pour oser lui dire timidement :
— Mais chef, je peux pas sortir comme ça ?
Je reçois une seconde claque qui manque de me faire tomber.
— D’abord tu ne m’appelles plus chef, mais maitre. Je ne veux plus avoir à te le dire. Tu termines toutes tes phrases par : Oui maitre, très bien maitre.....Mais tu as raison il manque quelque chose....
Il prend à coté du casier dans une paire de rangers recouvertes de terres, une chaussette usagée. Il me la frotte sur le nez. Une odeur de moisi de saleté m’envahit. Il continue à me passer la chaussette sur tout le visage comme si il me débarbouillait. Après une bonne minute, il la replie pour en faire une boule et me l’introduit dans la bouche avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit. Une nausée m’envahit, j’ai l’impression que je vais vomir, mais rien ne vient.
— Arrête de gesticuler. Plus tu bouges plus ça sera dur ! Ferme tes lèvres je veux plus voir la chaussette...Allez encore....
Il m’enfonce la chaussette de plus en plus profond jusqu’a ce qu’elle disparaisse complètement dans ma bouche. Il se saisi du rouleau de bande adhésive et commence par faire plusieurs tours verticalement pour que je ne puisse plus ouvrir la bouche. Puis il fait la même chose horizontalement pour couvrir ma bouche de plusieurs tours de bande adhésive.
Énergiquement avec ses deux mains il se met à frotter ma tête pour que le scotche s’applique bien partout. Je commence à sentir le gout de la chaussette qui se mélange à ma salive couler dans ma gorge. Je doit être écarlate, j’ai l’impression que je vais exploser tellement je me sens compressé de partout.
— C’est mieux comme ça. Ça t’évitera d’parler pour rien dire... Approche !...Encore ! .... Encore je te dis !
Je me retrouve à 5 cm de son visage, je sens son haleine chargée d’odeurs de bière, de clope et certainement du manque d’hygiène. D’un seul coup il me crache au visage. Il recommence une dizaine de fois pour en mettre un peu partout. Je sens la salive dégouliner sur mes joues. J’en ai tellement dans l’œil droit que je vois complètement floue.
— T’as une gueule à crachat.
Il s’approche à nouveau de mon visage pour embrasser le bout de mon nez. Au début doucement puis progressivement il se met à sucer mon nez frénétiquement. Je sens son excitation monter. Il me plaque contre le mur et colle son corps contre le mien. J’ai du mal à respirer, sa salive entre par mon nez, je suffoque.
Sentant que je m’étouffe il arrête. Il attrape dans le sac de la combinaison un masque a gaz qu’il me met sans ménagement. Il serre fortement les lanières. Puis il m’enfile un poncho Kaki qui nous sert en général d’imperméable. Il termine en fermant la capuche du poncho au dessus du masque à gaz. Je me rend compte que je suis ligoté et bâillonne, prêt à sortir sans que personne puisse se rendre compte de ce qui m’arrive. Je ressens d’un seul coup un frisson mélangé de plaisir et de crainte.
— Tu vas marcher sagement derrière moi, je t’emmène à mon logement de fonction dans la caserne. C’est de l’autre coté du camp juste derrière le garage des chars. C’est un local de gardiennage. On va prendre ma voiture, ça t’évitera d’être ridicule en traversant le camp.
Nous sortons du bâtiment sans rencontrer personne. Arrivé au parking il me fait entrer par l’arrière dans une camionnette. Il me force à m’agenouiller et commence à m’attacher les jambes solidement. Pour terminer il me couche à plat ventre, me retire le masque à gaz et dit :
— Je suis certain que tu vas être très sage. Fais attention dans les virages de pas te fracasser...... (Avec un rire sournois...)
Il referme la porte. La camionnette démarre.
Je suis en train de comprendre que J’entre dans un autre monde. C’est un peu ce que j’avais souhaité, sans me rendre compte que je ne pouvais ni maitriser ce qui m’arrivait, ni appuyer sur le bouton stop.
Au fond de moi je me disais qu’il devrait rapidement me ramener pour que ma disparition reste discrète, mais je sentais qu’il pouvait aussi faire ce qu’il voulait car il avait tous les pouvoirs pour justifier mon absence. C’est envahi par toute ces pensées que je me dirigeais, secoué à l’arrière du véhicule vers son logement.....
Pas de suite....
Charcutailles...
Maryse est une grande et belle femme de 45 ans. Elle pèse 85 kgs pour 1 mètre 75, et ses formes sont abondantes. Ses nichons de 120 tombent sur son ventre dodu, et son fessier tend son tablier. Son chignon roux, sous une coiffe blanche, lui donne une allure autoritaire.
Elle est charcutière, et exploite son magasin avec une ouvrière charcutière, qui est aussi sa gougnotte, Colette. Elle l'a choisie plus jeune qu'elle, mais aussi vigoureuse. Colette a 35 ans, et elle est devenue vicieuse comme sa patronne.
Elles se gougnottent tous les jours, elles y arrivent sans peine, aidées par les saucissons qu'elles fabriquent. En dehors de ces activités baisatoires, elles sont toutes deux dominatrices et aiment soumettre les couples.
Elles ont fait connaissance avec un couple de clients, Roselyne et Jean.
Après quelques rencontres, elles ont découvert le goût de ceux-ci pour la soumission. En effet, invités chez Maryse, ils aimaient porter les plats, insistaient pour faire la vaisselle. Un jour, Maryse a provoqué une dispute avec eux, les accusant à tort d'une parole blessante, et a menacé de ne plus les voir. Roselyne lui a répondu:
- Non, ce serait trop bête. Si tu m'en veux, donne-moi une paire de gifles, et pardonne-moi."
Maryse l'a alors giflée, et Jean s'est approché.
- Moi aussi, passe ta colère." Et il a tendu les joues.
Une fois la paire de claques donnée, Maryse les a embrassés, et a appelé Colette.
- Faites la paix avec Colette aussi. Colette, punis-les toi aussi."
Colette leur a mis à chacun une claque sur les fesses, et le cas a été réglé.
Revenant plus tard sur l'incident, Jean et Roselyne ont avoué leurs goûts pour la soumission. Maintenant, une fois par semaine, le soir, ils viennent dans l'arrière-boutique, après la fermeture, et servent aux plaisirs de leurs maîtresses.
L'arrière-boutique est une grande pièce qui sert surtout à préparer les produits, avec des étals en bois, des paillasses carrelées, etc... Des crochets pendent du plafond, dans un coin un bac, plus grand qu'une baignoire, sert à faire dégorger les tripes. Le tout n'est pas très propre, rempli de marchandises, de plats en préparation, de linge d'office sale.
Pendant que Maryse et Colette ajustent leurs tenues de travail: blouse et tablier par dessus, calot sur la tête, Jean et Roselyne attendent, nus, agenouillés. Jean est brun, petit et mince, il a l'entrecuisse rasée, ses couilles sont exposées aux regards. Roselyne est brune aussi, dodue et migonne, des cheveux courts et frisés, de jolis seins, la moune rasée.
La course à la pachole
Une fois prêtes, Maryse et Colette s'avancent vers leurs esclaves. Maryse tient dans ses mains des liens de toile. Elle attache, dans le dos, les poignets de Jean et de Roselyne. Elle leur entrave les chevilles, laissant juste de quoi faire des pas de 20 centimètres. Colette retrousse son tablier, déboutonne sa blouse et sort sa pachole, puis va s'asseoir à l'autre bout de la pièce.
- A mon signal, vous ferez la course à genoux pour venir me sucer. Le perdant sera fessé par Maryse."
Elle tape dans ses mains. Jean et Roselyne, sur les genoux, avancent vers elle, coude à coude. Roselyne se dépèche, mais Jean est plus rapide, et arrive le premier entre les cuisses de Colette. Maryse attrape alors Roselyne par le bras.
- "Salope! Toujours à vouloir courir sur mon amie pour la manger. Tu ne perd rien pour attendre!"
Pendant ce temps, Jean à pris place entre les cuisses de Colette, et la suce goulûment. Il y rentre la langue tout au fond, suce le bouton, tire sur les lèvres, et Colette mouille abondamment.
Maryse traine Roselyne près de son mari.
- Ah le joli couple: un suceur et une suceuse!"
Et elle abat sa main sur son cul, et la fesse à genoux, jusqu'à ce que Colette, qui a déjà joui une fois, arrête la sucette.
Sur l'étal de la charcutière
Après cette petite mise en train, Colette et Maryse passent aux choses serieuses. Sur un étal de bois, elles posent une vielle nappe tachée. Elles y couchent Roselyne sur le dos. Ses reins sont à l'extrémité de l'étal, les jambes pendent.
Colette attache un torchon autour de chaque cheville, et au torchon un lien de toile. Elle relève les jambes de Roselyne et lui soulève les reins, sous lesquels Maryse mets des nappes pliées, pour que leur épaisseur relève le cul de Roselyne.
Les jambes de la malheureuse sont largement écartées et attachées en l'air à des crochets. Ses deux trous sont au ras du bord de l'étal. Pour compléter son ligotage, elle a les mains attachées aux pieds du meuble.
Elle offre ainsi sa moule et son trou du cul rasés, ainsi que ses cuisses et ses fesses pour les cinglades. Jean monte sur sa femme, mettant ses jambes de chaque côté de son ventre, et se couche sur elle, le cul tourné dans la même direction que celui de Roselyne. Deux liens, un sur les reins et un sur le cou, le plaquent contre Roselyne, l'empéchant de bouger.
Maryse commence à introduire ses doigts dans ces trous offerts. Elle explore la tarte de Roselyne avec l'index, puis y met le majeur, puis un troisième. Elle les frotte dans son trou gluant, puis elle fait pareil avec le cul.
Son autre main explore le troufignon de Jean, qu'elle dilate pour y remuer avec deux doigts les bouts de merde à l'intérieur. Elle ressort ses doigts merdeux, et va les essuyer sur les visages des deux esclaves, qui sont presque l'un contre l'autre.
- Léchez vos merdes, allez!"
Avant qu'ils aient pû obéir, Colette à flanqué deux claques sur les culs offerts. Jean et Roselyne sucent alors bien vite les doigts de Maryse, et lappent leurs merdes et la mouille de Roselyne.
Une fois que ses doigts sont propres, Maryse ramasse un vieux torchon sale et le glisse entre les deux visages.
- "Comme ça, vous ne pourrez pas en profiter pour vous gameler, salopards."
Colette a retroussé son tablier et s'est attaché autour de la taille, bien dressé, un godemichet. Elle attrape dans ses mains les mollets pendus au plafond, et écarte encore les cuisses de la pauvre écartelée. Elle enfile la moule de Roselyne, qui est juste au bord de l'étal, ouverte et offerte. Elle donne de grands coups de reins qui bourrent la malheureuse; elle gémit un peu, puis râle des remerciements.
Maryse est allée près de Colette et lui caresse les miches pendant qu'elle travaille Roselyne. Elle lui presse doucement les fesses, et lui rentre délicatement un doigt dans le trou du cul, puis un autre dans la moule. Déjà excitée par la sucette de Jean tout à l'heure, Colette finit par jouir encore une fois des doigts de Maryse dans son con gluant.
Elle sort son godemichet, que Maryse lui essuie avec un torchon. Puis, avec le même, elle cure la tarte de Roselyne, tournant son doigt enveloppé du torchon à l'intérieur, et le ressort imbibé de mouille.
Enculage et fessée
Colette est revenue avec un gros saucisson, et un morceau de saindoux. Avec ce dernier, elle tartine abondamment la choline et les deux camemberts, puis graisse le saucisson qu'elle a dans la main. Il est plus gros qu'une bitte, de forme pas très régulière, assez court. Elle l'enfonce dans la pachole grasse, dilatant celle-ci au maximum, pendant que la pauvre Roselyne gémit:
- J'ai mal, c'est trop gros!"
- Il faut bien ça, pétasse", répond Maryse, qui lui mets une claque à l'intérieur des cuisses, là où la peau est tendre.
Le saucisson sort de la moune rasée, assez pour le tourner et le remuer avec la main. Maryse s'y emploie un petit moment, pendant que Colette revient avec deux autres saucissons, plus longs et plus minces, tartinés de saindoux.
Elle en donne un à Maryse et garde l'autre. Puis chacune encule un troufignon, Colette celui de Roselyne et Maryse celui de Jean. Elles rentrent les saucissons lentement pour faire durer le plaisir de l'enculade. Le spectacle est complet: deux culs posés l'un sur l'autre, les cuisses de Roselyne en l'air, les jambes de Jean pliées, les trois trous bouchés par les saucissons qui sortent d'eux.
Maryse prend le martinet, et commence à fesser les deux esclaves. elle frappe au hasard: il y a toujours une miche ou un jambon pour recevoir les lanières. La peau des esclaves rosit, puis devient rouge. Ils geignent et ils halètent, mais ces bruits ne font que renforcer la méchanceté de Maryse. Elle s'acharne maintenant sur les endroits pas assez rouges, pour égaliser les couleurs.
De temps en temps, elle s'arrête quelques secondes pour embrasser Colette, qui lui caresse les fesses, debout à côté d'elle, puis elle reprend la flagellation. Quand les deux esclaves commencent à crier, à supplier, à pleurer, elle ralentit la cadence, passe le martinet à Colette qui continue lentement.
Pendant ce temps, Maryse va mouiller deux torchons avec de l'eau très chaude, et les rapporte. Colette arrête les coups, et elles étalent les deux torchons sur les fesses rouges, ce qui provoque de nouveaux gémissements de douleur. Elles appliquent bien le tissu sur la peau, puis laissent les esclaves dans leur position inconfortable.
Farcissage conjugal
Colette et Maryse enlèvent les torchons qui recouvrent les fesses de leurs victimes, puis les saucissons qui leur bourrent la tarte et les troufignons. Elles détachent Jean, qui descend de Roselyne. Les jambes de celle-ci sont détachées du plafond et laissées pendantes sur le bord de l'étal, ce qui lui fait pousser un soupir de soulagement.
- Merci, maîtresse", dit-elle.
Maryse prend un pot de moutarde forte, une cuillère en bois et une pince à cornichons. Avec la pince, elle attrappe la saucisse de Jean, et, avec la cuillère, la lui enduit de moutarde. Jean bande encore assez fort, et la moutarde le réveille. Colette prend ensuite le pot, et barbouille de jaune la pachole rasée de Roselyne.
- Enfile ta grosse, allez!" dit Colette.
- Oui, à toi de jouir maintenant", reprend Maryse.
Jean doit alors rentrer son boudin barbouillé de moutarde forte dans la mounine de sa femme. L'assaisonnement les pique tous les deux, surtout Roselyne dont la tartoune est irritée par tout ce que lui a déjà mis Colette. Elle pleure doucement, n'osant rien faire de plus, pendant que Jean va et vient en elle, les mains accrochées à ses hanches, debout face à la table.
Le martinet à la main, Maryse se place derrière lui. Elle lève le bras, et les lanières s'abattent sur les jambons du pauvre esclave, qui donne un coup de rein dans la viande de sa femme. Maryse, tranquillement, cingle Jean, des épaules au mollets, en rythmant avec le martinet son travail de mari besogneux. Puis il gicle dans la pachole de sa femme, et ressort sa saucisse molle et pendante.
La choucroute
Pendant ce temps, Colette a mis à réchauffer dans le micro-ondes une grande boîte de choucroute, mais sans garniture. Elle a vidé la boîte dans un plat couvert d'un torchon, et posé le plat par terre, en attendant que Maryse ait fini de flageller les esclaves.
Ceux-ci enfilent une vieille blouse sale et mettent par dessus un grand tablier à bavette. Avec la ceinture, Maryse et Colette leur attachent les mains dans le dos. Puis, elles leur nouent autour du cou un torchon humide en guise de bavoir.
Maintenant, elles font allonger par terre les deux esclaves, tout près du plat. Avec les mains, Colette écarte la choucroute, pour y laisser un petit creux. Elle enjambe ensuite le plat, et s'accroupit au-dessus, après avoir retroussé sa blouse. Jean et Roselyne peuvent voir son gros cul, la raie culière profonde, qui arrive au trou marron, ce trou si joli dont ils sentent déjà l'odeur.
Cuisses écartées sur la choucroute, Colette se concentre, force un peu, et, en se retenant pour ne pas pisser, commence à chier. Un gros étron marron foncé sort de son trou, pointu d'abord, puis bien large. Il pendouille un peu quand il sort, et finit par tomber dans la choucroute, comme une belle saucisse de Francfort, naturellement puante et grasse.
-Que pensez-vous de la garniture? dit-elle en riant de façon lubrique."
Maryse répond:
- Mais, ma chérie, il n'en auront pas assez ces pauvres petits, je vais leur rajouter une saucisse moi aussi."
Elle prend la place de Colette au-dessus du plat, après s'être troussée aussi. De ses énormes fesses, jaillit bien vite une merde marron clair, un peu plus molle que celle de Colette, qui sent bien plus fort, aussi, et qui vient tomber dans le plat, à quelques centimètres de l'autre.
-Mais cette choucroute est bien sèche, nous allons l'arroser, sinon vous n'allez pas pouvoir la manger!"
Colette, assise par terre près de sa patronne, mélange le chou aigre et les deux étrons. Puis Maryse lache dessus un jet de pisse, qui embaume l'air et, quelques instants, fait oublier l'odeur de merde pour la remplacer par celle du pissou. La choucroute absorbe l'urine, il en reste quand même un peu au fond du plat, qui est maintenant prêt à servir.
Les deux servantes sont à plat ventres face à face de chaque côté du plat, elles savent ce qui les attends. Mettant le nez dans la choucroute pisseuse, elles mangent comme des truies le choux aigre et puant de merde.
Elles essaient d'éviter les étrons qui le garnissent, mais Maryse attrape Jean par une oreille et le tire le nez au-dessus de la merde:
- Mange ce bon boudin marron, en s'est pas fatiguées à le chier pour rien, quand même".
Jean attrape la merde gluante et la lèche, puis il la prend entre les lèvres et en détache un morceau, qu'il mache et avale avec le chou. Roselyne, plus salope ou plus craintive, n'attends pas qu'on l'y oblige, et elle lèche une merde molle et jaune, elle l'écrase avec son nez et enfouit son joli petit visage de servante vicieuse dans l'infâme plat de choucroute que ses maîtresses lui ont préparé.
↧
Elles ont bien soif....
↧
↧
Un peu d'humour américain (!) en ces dimanches de fin d'année
↧
Mon mari est un amour.
Certains maris partagent leurs
épouses avec d'autres hommes.
Certaines femmes partagent aussi
leurs maris....
↧
Histoire du net. Auteur Inconnu. Apprentissage.
L'apprentissage est ce qu'il y a de mieux
pour découvrir son métier, le monde du travail,
et....
Après le lycée.
Le Bac est passé. La prochaine rentrée se fera en fac. En attendant, mon père veut que je bosse. Il a usé de ses contacts et m’a trouvé un poste de réceptionniste dans un hôtel en Suisse. Je ne connais pas le travail mais je bénéficierai d’une formation sur place.
Durant le trajet en train, je m’isole régulièrement dans les toilettes pour me branler. J’aime toujours autant ça. La nuit venu, le compartiment que j’occupe est pratiquement vide. Discrètement, je sors deux revues de mon sac. Un magazine porno que je cache dans un magazine consacré aux voitures. Les photos et la situation m’excitent.
Je sors ma queue de mon jeans et je me branle doucement en regardant autour de moi pour ne pas me faire surprendre par le contrôleur. Je passe un doigt sur mon gland luisant, je récupère la mouille qui s’en échappe, je la porte à mes lèvres, c’est délicieux. J’alterne des passages rapides tout le long de ma bite, et des mouvements plus lents.
Je prends mon temps, je ne suis pas pressé de jouir. Je savoure le moment. C’est bon de prendre son temps. Je suis tout transpirant. Mon jeans me colle à la peau. Très excité, je m’enhardi, et je fais glisser mon pantalon jusque sur mes genoux. Je continue à me branler en me caressant les couilles.
Depuis quelques temps, je les rase. Elles sont lisses et douces. Mes doigts glissent vers mon anus. Il est tout humide de transpiration. Il palpite sous mes doigts. J’y enfonce le majeur. C’est bon, je me sens seul au monde, abandonné au plaisir de ma branlette. Je ferme les yeux.
En les ouvrants, je découvre devant moi, un grand gaillard, treillis militaire qui se tient devant moi. Il a sorti sa queue. Il me regarde en silence. Alors, sans qu’il ne m’ait rien demandé, j’engouffre sa queue. Je la tête avec délice. Je prends entièrement sa bite en bouche jusqu’à me coller le nez dans ses poils bruns. Je joue avec son gland. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa tige, puis je le reprends en bouche.
Lui ne dit rien. Seule sa respiration qui s’accélère me permet de deviner qu’il apprécie mes efforts. Je poursuis ma pipe bien décidé à le faire gicler. Je me branle en même temps. Je ne vais pas tarder à gicler, la pression monte. J’aspire sa queue à fonds, je veux qu’il vienne lui aussi. Ma bouche se fait plus rapide sur sa bite, je n’en peux plus, je jouis. Mon foutre se répand sur mon tee-shirt. Je veux continuer à la sucer, aller jusqu’au bout de ma mission. Il se recule, prend sa queue en main et après trois mouvements, gicle à son tour sur mon tee-shirt. Sans prendre le temps de se réajuster, il s’éloigne, la queue à l’air. Je me rhabille, et je m’endors.
Au matin, c’est le contrôleur qui me réveille à l’arrivée du train en gare. Il me sourit. Reprenant mes esprits, je réalise que mon tee-shirt porte les traces de mes activités nocturnes. Vite fait, j’enfile un pull, et je descends sur le quai. Au loin, j’aperçois le soldat, il me sourit puis disparaît dans la foule.
Je sors de la gare, sur le parking, une voiture de l’hôtel m’attend. Au volant, un black. Il se présente, Djallil. Le trajet jusqu’à l’hôtel se fait en silence. Sur place, le chef de réception m’attend, je le suis dans son bureau. Il me dit s’appeler Fabien. Il m’explique brièvement quel sera ma tâche et comment va se dérouler la formation. On sort de son bureau pour rejoindre la chambre que l’hôtel à mit à ma disposition. Je dépose mes affaires et je suis Fabien jusqu’à la lingerie. Au milieu des machines et des étagères de linges, Simone, la lingère nous attend pour l’essayage de mon uniforme.
- Allez mon minou, en slip ! »
Je suis pétrifié, ils vont découvrir que je ne porte pas de sous-vêtement sous mon jeans.
- Sois pas timide !
Fabien :
- On n’a pas toute la journée, dépêchez-vous jeune homme
Alors, devant eux, je vire mon pull et mon tee-shirt ensemble, cachant ainsi les tâches de foutre résultant de mon aventure ferroviaire. Je vire mes pompes et mes chaussettes. Je me tiens maintenant devant eux, torse nu et en jeans.
- Tu dois essayer ce pantalon, tu ne comptes quand même pas l’enfiler sur ton jeans. Je devine que de son côté, Fabien s’impatiente. Vaincu, j’ôte mon jeans. Me voilà entièrement nu, les deux mains sur mon sexe, cherchant à cacher l’essentiel.
Simone éclate de rire :
- En voilà un qui veut me faire faire des économies de lessives. »
Le rouge me monte aux joues, je ne sais plus où me mettre.
- Bon… pour les essayages, j’aimerai autant que tu portes un petit bout de tissu pour cacher ton petit robinet. Je vais chercher ça, je dois bien avoir un vieux slip oublié par un client…
Et elle s’éloigne.
Je reste seul avec Fabien que me regarde de bas en haut. Pour un premier jour de travail, ça commence bien. Heureusement, la lingère revient rapidement, un slip blanc à la main. Mon calvaire touche à sa fin. Elle jette le slip dans ma direction. Je tends le bras pour l’attraper, mais il vient de poser sur une corde à linge. Je dois me bagarrer pour l’atteindre et le récupérer. La lingère éclate de rire :
- C’est un garçon !
Fabien manque de s’étouffer dans un fou rire contenu. Voulant à tout prix récupérer ce foutu slip, je n’ai pas attention que les deux bras en l’air, je leur exhibe mon sexe.
Pendant la séance d’essayage, j’ai les deux yeux rivés sur le sol.
Fabien me raccompagne à ma chambre.
- Vous avez votre après-midi et votre soirée de libre. Profitez-en pour faire quelques courses… des slips par exemple. Je vous attends, demain matin à 8 h. »
- Bien, Monsieur.
Suivant ses conseils, dans l’après-midi, je quitte l’hôtel et me rends en centre-ville. Je dois absolument m’acheter des slips. Dans le magasin, j’en choisis cinq, tous blancs.
De retour à l’hôtel, je descends directement au réfectoire du personnel.
Sur place, je retrouve Djallil. Il n’est pas très bavard, moi non plus, on dîne en silence. Le repas fini, je rejoins ma chambre. Je me déshabille, et je m’endors ainsi, nu sur le lit.
Le lendemain matin, j’enfile un slip neuf, mon uniforme et je descends à la réception. Fabien m’attend. Il m’indique le bureau que je vais occuper pendant toute la saison. Ma formation commence aujourd’hui. Cette première journée fût longue.
Au moment de rejoindre ma chambre pour me changer et aller diner, ma collègue réceptionniste m’informe qu’il y a un paquet dans mon casier. Surpris, je prends le paquet et je monte dans ma chambre. Enfin seul, j’ouvre le paquet, et je découvre un string blanc.
Qui a bien pu laisser ça pour moi ?
Peu importe, je l’essaie. C’est la première fois que j’en porte. Face au miroir, j’admire le résultat. Déjà ma queue prend du volume. Le tissu se tend resserrant un plus la ficelle sur ma raie. Je suis super excité. J’essaie de me calmer, j’enfile mon jeans et un tee-shirt pour descendre diner.
Ce matin, pour mon troisième jour à l’hôtel, j’enfile mon uniforme sur le string qu’un mystérieux inconnu m’a offert. Cette sensation d’être nu, sans l’être vraiment sous mon pantalon me plait beaucoup.
Habillé ainsi, je donne l’impression d’être un garçon sage à l’extérieur et une petite salope en dedans. Cette idée m’excite. Je descends à la réception. Je retrouve Fabien. Son sourire me paraît suspect. Est-ce lui qui m’a fait ce cadeau ?
Djallil, qui est chargé de l’entretien et de la maintenance vient s’enquérir des travaux qu’il doit réaliser aujourd’hui. Lui aussi, je le trouve particulièrement souriant.
D’ailleurs, l’ensemble du personnel me sourit. Je trouve cela suspect. Sont-ils au courant de ce qui s’est passé lors des essayages ? Ont-ils deviné que je porte un string aujourd’hui ? J’essaie de travailler mais j’ai des difficultés à ma concentrer. Dès que je me lève, j’ai l’impression que tous les regards fixent mon cul.
Le soir, je monte rapidement dans ma chambre. Mais avant de descendre manger, je m’octroie une petite branlette. Allongé sur mon lit, toujours habillé de ma chemise blanche déboutonnée et de ma cravate, le pantalon noir juste ouvert et baissé sur mes cuisses, je dégage ma tige bandée du string. Je me branle ainsi en uniforme. De ma main libre, j’écarte la ficelle de ma raie, mes doigts se perdent en direction de mon anus. J’ai envie de jouir vide. J’accélère les mouvements sur ma queue. Je bande tellement que j’en ai presque mal. Et dans un râle, des flots de sperme viennent s’écraser sur mon ventre.
Calmé, je file sous la douche. Avant d’aller diner, je lave mon string dans le lavabo et le laisse à sécher sur le porte-serviette.
Au réfectoire, Djallil me demande s’il peut venir se doucher dans ma chambre avant de quitter l’hôtel. Il a une soirée de prévue et n’a pas le temps de repasser chez lui. J’accepte. On monte ensemble.
Il file direct dans la salle de bain. J’entends l’eau couler. Puis Djallil m’appelle. Je n’ose pas entrer dans la salle de bain même si je crève d’envie de le voir nu. A travers la porte, je lui demande ce qu’il veut.
- Apporte-moi une serviette. »
Une serviette à la main, j’ouvre timidement la porte. L’eau ne coule plus.
- Vas-y, rentre. »
Je cède à l’invitation. Il se tient devant moi, entièrement nu. Des gouttes d’eau ruissellent sur son corps. Je découvre sa peau d’ébène, ses muscles saillants. Il ne cache rien de son intimité. Son sexe au repos ne fait pas mentir la réputation des blacks. Ses poils noirs courts et crépus entourent une tige impressionnante au gland circoncis. Ses couilles forment un petit sac compact. Je ne peux détacher mon regard de son corps.
- Quand tu auras fini de me mater, tu me passeras la serviette.
Je lui tends la serviette en bredouillant. Je reste là, comme pétrifié, admirant le spectacle pendant qu’il s’essuie. Enfin sec, il passe dans la chambre, je le suis. Il s’assoie sur le lit, la serviette autour de la taille. Il n’a pas l’air pressé de s’habiller.
- Tu ne t’habilles pas ? »
- J’ai laissé mes fringues dans la salle de bain.
Je retourne dans la salle de bain. Je ramasse ses fringues sur le sol. Au milieu, je découvre un caleçon bleu à carreaux. Je ne peux m’empêcher de la renifler, l’odeur est virile et musquée. Ca sent bon le mâle.
Quand je retourne dans la chambre, Djallil est étendu sur le lit, la serviette est sur le sol. Il se caresse doucement. Sa queue a pris du volume.
- Viens me sucer. »
L’invitation tant attendue. Je ne fais pas prier. Je le rejoins sur le lit. Je passe ma langue sur son gland. Je resserre mes lèvres sur sa tige. Et je pompe avec gourmandise. Les deux mains sur la tête, Djallil, très viril me regarde m’activer sur sa queue. Je suce comme si ma vie en dépendait.
- T’aimes ça ?»
Pour seule réponse, je m’applique encore un peu plus à le sucer. Jamais je n’avais encore sucé une queue si volumineuse. J’écarte les mâchoires au maximum, mais je ne parviens pas à l’engouffrer toute entière.
- Tournes-toi. »
J’obéis avec regret, je veux encore me délecter de sa bite. Il fait glisser mon jeans, faisant apparaître mon cul. Il resserre ma ceinture sur mes cuisses. Elles sont collées l’une à l’autre.
De ses mains puissantes, il écarte mes fesses. Je sens maintenant sa langue sur ma rondelle. Il passe sa tige entre mes lobes bien serrés. Il se branle entre mes fesses.
- Patience, j’enfile un préso. »
Je n’y tiens plus, je veux le sentir au plus profond de moi. Je ne peux même pas me branler, mon sexe est toujours prisonnier de mon jeans qu’il a juste descendu pour libérer mon cul.
Son gland s’immisce entre mes fesses, il vient frapper mon anus. Il force le passage. Je le sens progresser doucement en moi. Djallil marque une pause ;
- Tu la veux toute entière ?
Je soupire un « oui ».
Doucement, il reprend sa progression. Sa queue prend possession de mes entrailles.
- C’est fait, je suis à fonds. T’inquiètes, je vais te baiser doucement, pour que tu t’habitues. Je ne veux pas t’abîmer, je veux pouvoir te baiser pendant toute la saison.
Alors, lentement, les va-et-vient dans mon cul ont commencé. Je me sens écartelé. Je ne peux m’empêcher de couiner. Je suis comme une chienne en chaleur.
Et toujours impossible pour moi de libérer un peu de tension en me branlant. Seule sa queue dans mon cul me procure du plaisir. Il m’a baisé ainsi pendant trente minutes en marquant des pauses, retenant ainsi son foutre renfermé dans ses couilles.
J’avais le cul en feu, je le suppliais de jouir. Puis, les mouvements dans mon cul se sont fait plus rapides. Il s’est mis à grogner, et j’ai senti tout son poids s’étendre sur moi. Il est resté quelques instant ainsi, sur moi, puis, doucement s’est retiré, me laissant comme une impression de vide. Il s’est étendu sur le lit pour reprendre son souffle. Moi, je ne pouvais plus bouger, je sentais que mes jambes ne me porteraient pas. Ma cuisse gauche était humide et poisseuse. J’avais joui ainsi, sans me toucher. Les coups répétés de sa queue contre ma prostate m’avaient fait gicler.
Epuisé, je l’ai rejoint sur le lit.
- Bon, je dois y aller, je suis déjà en retard. On remettra ça plus tard. Et continues de porter le string blanc qui t’a été offert, ça m’excite. »
- C’est toi qui me l’a offert ? »
- Non. »
- Mais qui est-ce alors ? »
- Chut ! C’est un secret, mais tu finiras bien par le savoir. »
Me laissant sans réponse, il quitte la chambre. Je me demande bien qui a pu me laisser ce string. Je sens que la saison dans cet hôtel me réserve des surprises agréables.
…......
Au matin du quatrième jour, je poursuis ma formation à la réception de l’hôtel. Ma collègue, Corinne s’occupe bien de moi. Elle est sympa mais très bavarde. Djallil arrive vers 9h00 pour récupérer le planning des réparations à faire. Il me décroche un sourire. Je rougis, un peu mal-à-l’aise mais excité.
Ma queue se raidit dans mon string.
Il quitte la réception pour rejoindre son atelier et Corinne commence à me parler de lui. Elle m’explique qu’il rend de nombreux services dans l’hôtel. Elle me dit qu’il n’est jamais contre délaisser la plomberie et l’électricité pour s’occuper d’une cliente ou d’un client. Elle me dit qu’elle-même a déjà eu recours à ses services. Face à ma surprise évidente, elle se marre.
- C’est un baiseur. Il a une grosse queue, et il sait s’en servir. Il te fera peut-être l’honneur de te saillir un jour. »
Je ne sais pas quoi répondre. Elle poursuit :
- Je suis sûre qu’il aime aussi les p’tits culs comme le tien. Et tu ne serais pas contre, n’est-ce pas ?
Je ne réponds rien, je la laisse parler.
- Un jour, lors d’un contrôle de chambre, je suis montée sur un escabeau pour vérifier la fixation des rideaux. Je portais des bas et un mini-string sous ma jupe. J’ai senti son regard sur mon cul. Puis ses mains sont remontées le long de mes jambes. Accrochée à l’escabeau, je l’ai laissé faire. Il a fait glisser mon string. Ses doigts sont venus me caresser. Puis il a passé sa langue sur mon sexe. J’étais comme hypnotisée.
J’étais toute humide. Il est passé dans mon dos et il m’a prise. C’est un super souvenir.
- Alors, il baise les filles et les mecs ?
- Oui, il aime le sexe, le reste il s’en fout. »
Le reste de la matinée fût tranquille. Ponctué par les départs des clients et quelques passages de Djallil.
Dans l’après-midi, Corinne me demanda de descendre une feuille de maintenance à l’atelier. Sur place, je retrouve Djallil, occupé à des travaux de peinture.
- C’est bien que tu sois passé, j’ai un truc pour toi. »
Il me tend un sac en plastique. A l’intérieur, je découvre un slip un peu spécial.
- Qu’est-ce que c’est ? »
- C’est un jock-strap. Essaye-le, tu vas tout de suite comprendre son intérêt. »
Alors, au milieu de l’atelier, j’ai ôté mon pantalon et mon string. J’ai enfilé le cadeau de Djallil.
- Tu vois, ta petite queue est bien soutenue. Ton cul est bien rond et toujours disponible. Comme ça, dès que j’en ai envie, tu as juste à baisser légèrement ton pantalon pour enfiler ma bite dans ton cul.
Avec ce nouvel accessoire, je me sentais de plus en plus salope. N’y tenant plus, je m’avance vers lui, je descends la fermeture éclair de son bleu de travail jusqu’à l’élastique de son caleçon. Je veux goûter à sa queue raide mais il m’interrompt.
- Allez, rhabille-toi. Je n’ai pas le temps de m’occuper de toi pour l’instant. Maintenant, tu sais que je peux te baiser à tout moment si j’ai envie. »
Un peu déçu mais très excité, j’ai quitté l’atelier. Le reste de l’après-midi m’a semblé interminable. Je suis impatient de rejoindre ma chambre pour me branler.
Ma journée terminée, je monte dans ma chambre. En ouvrant la porte, j’entends l’eau couler dans la salle de bain. La porte est entrouverte. Sous la douche, Djallil se savonne. Je profite du spectacle.
- Attends- moi dans la chambre, ne te change pas, j’arrive, j’ai une surprise pour toi.
Sans poser de question, je vais m’asseoir sur le lit. Il me rejoint, une serviette autour de la taille. Je veux lui arracher, je veux sa queue.
Il regarde sa montre.
- Patience, ma surprise arrive. »
On frappe à la porte.
-« Va ouvrir. »
J’hésite mais j’obéis. Derrière la porte, trois blacks me sourient. Ils entrent sans rien dire. Je ne sais pas quoi penser. Ils ont entre 20 et 25 ans. L’un deux porte un jeans large qui lui descend sur les fesses laissant largement apparaître son boxer. Un autre est en jogging blanc. Je peux deviner qu’il porte un slip à rayures. Le troisième, jeans noir et chemise rouge.
Au milieu de ces quatre mecs, je ne sais pas quoi faire.
- Montre-leur que tu aimes la bite, viens me sucer. »
Je suis à la fois honteux et excité. Je rejoins Djallil sur le lit. Se saisissant de ma cravate, il me tire vers lui. Sa queue raide cogne mon menton. Il passe sa bite sur mon visage, m’empêchant de la gober. Je dois me bagarrer pour enfin l’avaler.
Pendant que je m’applique à sucer Djallil, des mains parcourent mon corps. Je sens mon pantalon glisser, faisant apparaître mon cul ouvert et disponible à leurs assauts. Bien vite, je n’ai plus que ma cravate et le jock-strap pour seul vêtement.
A genoux sur le lit, le black en jogging me présente sa queue. Djallil me guide vers la bite de son pote. D’une main sur ma tête, il m’impose son rythme. Pendant que je suce le joggeur, une langue rappeuse fouille mon cul.
Des mains m’écartent les fesses, les malaxent. Le black en jeans noir et chemise rouge se rapproche. Djallil me pousse la tête vers sa braguette. Je bouffe sa queue à travers le tissu. Il fait tomber sa chemise, ouvre un à un les boutons de son jeans faisant apparaître un caleçon en soie noir. Il sort sa bite par l’ouverture du caleçon.
Pas besoin de consignes supplémentaires, je l’avale direct.
Le joggeur me présente à nouveau sa queue. J’alterne les bites dans ma bouche. Djallil se branle en profitant du spectacle. Les mains du quatrième se posent sur ma taille me forçant à me cambrer un peu plus. Je sens sa queue qui glisse le long de ma raie et qui trouve rapidement le chemin de ma rondelle. Il s’enfonce en moi en douceur. Je couine comme une chienne en chaleur.
Un coup d’œil dans le miroir me confirme que j’ai vraiment l’air d’une salope, agenouillé sur le lit, en jock et cravate, une queue dans la gueule et une dans le cul.
C’est une sensation étrange mais j’aime me voir ainsi. Je sens la queue du quatrième abandonner mon cul.
Dans le miroir, j’aperçois Djallil de positionner et présenter sa bite à l’entrée de mes fesses. Je le sens glisser doucement en moi. Il m’encule ainsi plusieurs minutes. Puis se retire et me force à me retourner. C’est maintenant au tour du joggeur de prendre possession de mes entrailles. Il joue avec mon cul, il alterne les passages rapides et les coups de buttoirs lents et profonds. Djallil de rapproche de lui et lui fait comprendre qu’il veut reprendre sa place dans mon cul. Mon baiseur se retire.
Djallil me couche sur le dos, se saisit de mes jambes et enfonce son pieu direct. Baisé ainsi, je peux voir sur son visage tout le plaisir que lui procure mon cul. Les bites de ses potes viennent me cogner les joues. Je suce. Je jette de nouveau un coup d’œil dans le miroir. J’adore le spectacle que j’y vois. C’est comme un film porno dont je serai l’acteur principal.
Djallil se retire d’un coup.
- Encore. » Je veux qu’il me baise encore.
- Attends, j’ai une idée. »
Il me fait descendre du lit, me positionne debout face au miroir, les mains de chaque côté, et s’enfonce en moi.
- Profites du spectacle. »
Derrière moi, les mecs se bousculent. Le joggeur reprend possession de mon cul, puis le quatrième et vient enfin le tour du mec à la chemise rouge. Il a gardé son caleçon en soie. Le tissu me caresse les fesses pendant que sa bite me pilonne. Il m’encule quelques minutes face au miroir puis m’entraine de nouveau sur le lit sur lequel il s’allonge et me force à s’asseoir sur son pieu.
Il me soulève de ses bras puissants Je gueule mon plaisir. Djallil et ses deux autres potes se tiennent debout sur le lit et me présente leur bite. Je les suce chacun leur tour. Bientôt, dans un jet puissant, je reçois la semence épaisse du joggeur sur le visage.
Le quatrième gicle dans mes cheveux, sur mon front et sur mon nez. Djallil se met face à moi. Il accélère les mouvements de sa main sur sa queue et se vide les couilles sur mes lèvres, sur mon menton et dans mon cou.
Dans le miroir, je vois la bite du mec au caleçon en soie disparaître dans mon cul. Je vois également mon visage de salope, rougi par le plaisir et recouvert du foutre de mes baiseurs.
Mon dernier amant me soulève de plus en vite. Sa queue apparaît puis disparait dans mon cul, quand dans un soupir, il jouit. D’un coup, ses bras se relâchent et je viens m’empaler entièrement sur sa bite. Ce dernier coup de buttoir contre ma prostate me fait jouir à mon tour.
Mon foutre s’échappe des mailles épaisses de mon jock.
Mes baiseurs m’abandonnent sur le lit. Chacun leur tour, ils profitent de la douche puis quittent la chambre. Je m’endors ainsi, la queue engluée dans le jock et le visage recouvert de foutre.
Plusieurs jours se sont écoulés depuis que j’ai subi, pour mon plus grand plaisir, les assauts de Djallil et de ses potes. Je progresse dans mon travail à la réception, mais dès que j’ai l’occasion, j’en profite pour m’échapper et retrouver Djallil à l’atelier ou dans une chambre en réfection. Malheureusement, il est très occupé. Plus d’une semaine que je n’ai pas goûté à sa queue.
Je ne tiens plus, j’ai envie de sa bite.
Il est 16h00, c’est le calme plat à la réception, je monte dans les étages, espérant le trouver.
En effet, arrivé au deuxième étage, je l’aperçois au bout du couloir, grimpé sur un escabeau, occupé à changer les filtres de la climatisation.
Il a dû arrêter le système et il fait très chaud. Il travaille torse nu, le haut de son bleu de travail noué sur ses hanches. La transpiration fait briller ses muscles. Je m’approche de lui, j’ai envie de passer ma langue sur son torse, de lui lécher les tétons, de descendre jusqu’à son nombril en l’embrassant pour enfin libérer son pieu et me régaler. Je me poste devant lui.
- Désolé, Damien, j’ai pas le temps. »
- Mais . »
- Mais quoi ? Vas-y, dis-le. »
- J’ai envie de te sucer, j’ai envie que tu me baises. »
- Ici, dans le couloir ??? »
J’hésite.
- Si tu veux. »
Il descend de l’escabeau. De son bras, il m’attire vers lui, il m’enserre, je suis collé contre son torse, sa main descend sur mes fesses.
- Je savais que te faire patienter ainsi réveillerait la petite salope qui est en toi. »
Il a raison, je me sens lui appartenir entièrement, il peut me prendre ici, je me laisse faire, j’en ai envie, même au risque d’être vu au milieu de ce couloir.
- Tu en as envie, n’est-ce pas ? »
Sa main glisse entre mon pantalon et mes fesses.
- Oui, j’en ai envie Djallil. »
Ses doigts caressent mes fesses laissées nues par le jock-strap. Ils glissent le long de ma raie. Son majeur cogne ma rondelle. Je me laisse faire. D’un coup, son doigt prend possession de mon cul.
J’étouffe un petit cri de plaisir. Mes yeux sont pleins d’envie.
Djallil me sourit. Il enfonce son doigt encore un peu plus. Je gémis. Ma queue manque de place enserrée dans le jock. Djallil joue avec son doigt, il le fait coulisser en moi.
- T’es bien chaud ?
- Oui.
Il retire son doigt et libère sa main de mon pantalon.
Derrière nous, j’entends des pas. C’est Fabien.
- Damien, je vous cherchais, j’ai des photocopies à vous faire faire. Djallil, mettez un tee-shirt, je ne peux tolérer que vous vous exhibiez ainsi dans les couloirs de l’hôtel. Ici, nous sommes dans un établissement respectable, je vous demanderai d’avoir une tenue correcte. Vous passerez dans mon bureau à 18h45. »
- Bien, Monsieur Fabien. »
Il s’éloigne, nous laissant à nouveau seuls.
- Tu bandes encore ? »
- Oui. »
Il vient plaquer sa main contre ma braguette. Ma queue est dans sa main.
- Ta bite a déjà goûté à un cul ? »
- Non, pas encore. »
- Retrouves moi à l’atelier à 18h30. Maintenant, laisses-moi, j’ai du travail. »
- Mais . »
- Je sais, tu as envie de ma queue, tu l’auras plus tard. »
Frustré, je retourne à la réception.
18h30, je suis à l’atelier, Djallil m’attends.
- On monte dans le bureau de Fabien. »
- Mais… »
- Ne discutes pas, Fais moi confiance, et fais ce que je te dis. Pour l’instant, son bureau est vide. Je vais l’attendre tranquillement pendant que tu seras dissimulé dans ses toilettes privées. Je te ferai signe le moment venu. »
On monte dans le bureau, je me cache dans les toilettes, laissant la porte légèrement entrouverte. Djallil s’assoie devant le bureau. Fabien ne tarde pas à arriver.
- Tu es déjà là. »
- Oui, Monsieur. »
- Djallil, je ne peux pas t’autoriser à travailler torse nu. »
- Le spectacle ne vous a pas plu ? »
De ma cachette, j’assiste à leur entretien. Face à cette dernière question, Fabien à l’air gêné.
- Si, mais la question n’est pas là. Déjà que je ferme les yeux sur tes activités annexes au sein même de l’hôtel.
- Mais on sait tous les deux pourquoi vous fermez les yeux, Monsieur Fabien…
De là où je suis, je peux voir mon chef rougir. Djallil se lève. Il fait face à fabien, il se rapproche de lui. Fabien se recule, il touche le bureau, il ne peut pas reculer plus.
Djallil pose ses mains sur les épaules de Fabien et le force à s’agenouiller. Il l’attrape par les cheveux et vient coller sa tête contre son entrejambe.
- Elle vous a manqué, Monsieur Fabien ? »
- Djallil…. »
- Chut, un gentil garçon ne parle pas la bouche pleine, Monsieur. Taisez-vous et sucez. »
Toujours caché, je vois mal mais je devine que mon chef s’active sur la bite du technicien. Djallil pivote un peu, entrainant Fabien avec lui. Je vois maintenant distinctement la queue de Djallil coulisser entre les lèvres de Fabien. Ce spectacle est des plus excitants, je ne peux m’empêcher de sortir ma bite et de me branler. Jamais je n’aurai supposé que Fabien aimait la bite autant que moi.
Maintenant, Djallil force Fabien à se relever. Il le retourne et le plaque contre le bureau.
- Bougez pas, Monsieur. »
Fabien attend sagement. Djallil passe de l’autre côté du bureau, coince la cravate de Fabien dans le tiroir et le referme. Le chef est prisonnier. Djallil passe sa queue sur le visage de Fabien, puis lui enfourne de nouveau. Les bruits de succion reprennent. Je suis obligé de ralentir les mouvements de ma main sur ma bite, je suis prêt à gicler.
Djallil repasse derrière Fabien. Il le défroque et passe sa chemise et sa veste sur sa tête. Je découvre que Fabien aussi est adepte du jock-strap. Il a un cul bien rond. Djallil caresse les fesses de Fabien, celui-ci gémit. Le technicien s’accroupit et bouffe le cul rond. Le chef n’en peut plus de gémir.
- Vas-y, baise-moi ! »
- Vous la voulez, Monsieur ? »
- Oui, je la veux, je veux que tu me baises. »
Les supplications de Fabien m’électrisent. Djallil couvre sa queue d’un capote et la fait coulisser dans la raie de son passif. Il me fait signe. Je m’approche en silence. Fabien n’a pas détecté ma présence. Sous mes yeux, Djallil enfonce son pieu dans le cul lisse et bien ouvert de mon chef. Il entre doucement. Fabien pousse des petits cris de plaisir. Djallil décule d’un coup. Fabien grogne et soupire. Le technicien renfonce sa queue et commence à pilonner le cul bien chaud. Je sens le plaisir envahir tout le corps de Fabien.
Djallil me tend un préso. Je suis surpris, mais je le déroule sur ma queue. Il se retire et m’incite à le remplacer. Je vais baiser mon chef. Son cul est bien ouvert, il réclame ma queue. Je m’enfonce doucement. C’est la première fois que ma queue s’immisce dans un cul. Je la rentre à fonds. C’est bon. J’y vais doucement. Je matte ma bite entrer et sortir de ce cul si appétissant. J’accélère, puis je ralentis, je veux que ce moment dure. Le travail de ma bite dans son cul fait gémir Fabien.
Djallil repasse devant le bureau et lui présente de nouveau sa queue. Fabien a un geste de recul. Il vient de comprendre la situation même s’il ne sait pas qui lui pilonne les fesses. Djallil l’immobilise et lui enfonce son dard dans la gueule. Soumis, Fabien suce. De mon côté, je m’applique à bien le défoncer, pour son plaisir et pour le mien.
Bientôt, je sens la sève monter, mon visage se crispe, j’essaie de me retenir mais Djallil me fait signe que je peux lâcher la purée. Un dernier va-et-vient dans le cul de Fabien, et je gicle en gueulant comme jamais. Je reste dans son cul quelques instants, puis je me retire doucement, la capote emplie de ma semence. Je suis exténué.
De son côté, l’ultime plaisir se dessine sur le visage de Djallil, sa respiration devient plus rapide.
- Allez, Monsieur Fabien, avalez, c’est tout pour vous.
Je me réajuste et je quitte le bureau en silence, je ne veux pas que mon chef puisse deviner qui est son deuxième baiseur. Je rejoins ma chambre rapidement. J’espérais que Djallil passerait me voir mais il n’est pas venu ce soir là. Je ne l’ai revu que le lendemain. Évidemment, j’ai également revu Fabien. Cependant, je trouvais mon chef beaucoup moins impressionnant et beaucoup plus appétissant.
↧
Rediff d'un des fondamentaux de ce blog: l'almanach
↧
↧
Pour vous aiguiser l'appétit....
Quelques scènes envoutantes pour
vous préparez à votre semaine de Noël..
↧
Un Vendredi de brèves
Chroniques et expériences
de soumises volontaires
Envie pressante.Je suis venu te chercher de bonne heure pour t’emmener visiter un couple d’ami. A peine partis, tu te rends compte que dans ta précipitation, tu as oublié un détail. Tu n’es pas passée aux toilettes avant de partir.
Au bout d’une demi-heure de route, l’envie d’uriner se fait pressante. Imperceptiblement, tes genoux se rapprochent. Vingt minutes plus tard, tu commences à gigoter sur ton siège. Ta vessie est pleine.
- Maître, s’il vous plaît"
- Qu’est-ce qu’il y a encore ? Tu dois aller pisser ? Tu n’as pas pris tes précautions avant de partir ?"
Tu réponds d’une toute petite voix
- Oui, Maître. Non, Maître"
A ce moment, nous passons devant un panneau qui annonce la prochaine station service à 10 km.
- Tu attendras bien jusque là"
Lorsque Je m’engage sur le parking de la station service, ta vessie est prête à éclater. Il s’agit visiblement d’un relais routier vu le nombre de camions qui encombrent le parking. A faible allure, Je fais le tour du parking avant de m’arrêter un peu à l’écart.
- Reste ici, je reviens dans un instant"
Je sors de la voiture. Ta vessie te fait souffrir le martyre. Lorsque je reviens et que je t’autorise à aller te soulager, tu t’en vas en courant. Tu ne fais même pas attention au fait que je ne t’accompagne pas.
Tu te précipites sur la porte des toilettes dames. Elle est fermée et tu manques de t’écraser le visage sur le panneau "Hors service". Que faire ? Ton état est proche de la panique. Tu prends ta décision. Tu fonces sur la porte marquée "Hommes".
Tu ouvres la porte. L’endroit est propre et bien éclairé.
Deux routiers sont occupés. Tu traverses l’espace. Tes talons claquent sur le carrelage. Tu te précipites dans la première cabine. Tu refermes la porte derrière toi. Tu entends un rire gras. Mais dans ton état, tu n’as pas entendu la phrase qui l’a déclenché. Tu rabats la planche. Tu relèves ta robe. Tu t’accroupis au-dessus de la planche sans que tes fesses ne la touche. Enfin, tu peux libérer ta vessie. Une onde de soulagement traverse tout ton corps.
Tu te relèves. Ta robe est encore sur le haut de tes cuisses lorsque la porte de la cabine s’ouvre à la volée.
- Alors, ma petite dame, on a envie de se faire un frisson en venant chez les hommes"
C’est l’un des deux routiers. Il est grand, mal rasé. Il sent la sueur de trop nombreuses heures à conduire son bahut. Sans attendre ta réponse, il pose ses mains sur tes épaules et d’une forte pression te fait tomber à genoux devant lui. Tu restes interdite.
- Alors, tu attends quoi, que je me déboutonne moi-même"
D’un geste hésitant, tu tends la main vers la tirette de son pantalon. Tu la descends doucement. Le bruit de la tirette dans les toilettes étonnamment silencieuse sonne comme un glas.
Tu ne peux avoir de relations sexuelles sans mon autorisation, mais cette fois, tu ne sais pas comment faire. Deux larmes coulent sur tes joues. Tu dégrafes le bouton de son jeans qui descend sur ses chevilles en découvrant ses jambes poilues. Tu dégages son sexe hors de son caleçon. Il a l’air d’être à l’image de son propriétaire, gros, poilu et puant la pisse. Tu ouvres la bouche et tremblante, tu serres le gland entre tes lèvres.
- Mors-moi et je t’arrache la tête, petite pute".
Maintenant son gland dans ta bouche, tu le masturbes d’une main, ton autre main sur ses couilles broussailleuses. Tu sens ses mains presser sur l’arrière de ta tête. Il t’oblige à enfourner toute la longueur de sa verge durcie. Un engin de belle taille.
Son gland frappe au fond de ta gorge. Il ne relâche pas ta tête et tu n’es pas loin de l’étouffement. Tu manques d’air quand enfin, il te permet de reculer un peu.
- Mais c’est que tu as une grande gueule pour me prendre jusqu’à la garde. Je savais bien que tu es une vraie vicieuse de suceuse"
Tu lèches son membre sur toute sa longueur, tu as un goût âcre en bouche.
- Bouffe mes couilles, salope"
Les larmes inondent ton visage, mais elles le laissent indifférent.
Délaissant sa verge, tu lui lèches les bourses rugueuses et poilues. Ta main a remplacé ta bouche. Tu le masturbes avec vigueur.
- Ohhh, elle est bonne cette grognasse. Oui, encore ma putain, ne t’arrête pas. Ta bouche à pipes, encore".
Reprenant sa verge en bouche, tu t’actives de plus belle. Il explose dans ta bouche à grands jets violents. Tu es remplie de son liquide chaud et salé. Tu te retires et tu recraches. Son sperme tache le devant de ta robe.
- Maintenant, nettoie crasseuse"
Tu reprends son sexe mollissant en bouche. D’une langue experte, tu le nettoies. Tu crois que s’en est fini quand d’un geste brusque, il t’attrape par les cheveux et te tire en avant. Il t’envoie valdinguer au milieu de la pièce. Tu t’étales durement sur le carrelage. Tu lèves le regard, au moins 7 autres routiers sont présents.
- Hé les mecs, c’est la meilleure polisseuse de chinois que j’ai jamais vue. Ce serait dommage de la laisser partir comme ça. Si elle est aussi bonne pour le reste…."
Tu entends une voix dire
- On va vérifier ça"
Des rires accompagnent ces paroles. Tes larmes et tes pleurs attisent leurs envies. Tu sens une main se glisser sous ton aisselle et te redresser. Une autre main agrippe le devant de ta robe. Les pressions cèdent dans un bruit de mitraillette.
- Soyez sympas, ne me faite pas de mal. Je vous en prie. Je serais gentille"
Maintenant, les routiers sont en cercle autour de toi. Il n’y a pas d’échappatoire. Tu sens des mains sur tes fesses. Des rires plus forts accompagnent la découverte qu’ils ont de ton corps.
- Non, regardez-moi ça. La paire de roberts, ça c’est des loches"
Les rires repartent de plus belles. Tu tentes de cacher tes seins de tes mains, mais déjà tes poignets sont saisis par des mains puissantes.
- Si son cul est aussi accueillant que sa bouche, ça va être la fête.".
Tu sens une violente poussée dans ton dos. Tu tombes à 4 pattes. Les mêmes mains puissantes écartent tes jambes. Un rire éclate dans la pièce.
- Mais, elle a le cul accueillant, cette pute"
Tu entends des bruits de tirettes. Un sexe dur se presse contre ton anus. Une forte poussée suivie d’un "Han" fait franchir à un gland énorme la porte de ton intimité. Malgré que tu sois prête, tu as l’impression qu’il vient de t’arracher les entrailles. Sans attendre, il entreprend un mouvement de va-et-vient.
Les autres ne sont pas en reste. Déjà, l’un d’entre eux s’agenouille devant toi et te présente sa bite.
- Allez, comme pour mon pote. Suce-moi, sale petite vicieuse"
Et sans attendre, il enfourne son sexe. Tes mains restent au sol pour compenser les coups de boutoir de l’autre animal dans ton cul. C’est de la bouche seule que tu opères. Par rapport au premier, sa verge est plus fine, mais pas plus propre pour autant. Tu t’actives du mieux que tu peux.
Tu pleures de plus belle.
D’autres mains se glissent sous tes seins. Elles pétrissent ta poitrine et pincent les tétons, les faisant rouler entre pouce et index.
- Non de dieu, de bordel de merde, cette putain est délicieuse. Son cul a juste le diamètre qu’il faut. Un vrai régal les mecs. Faudra pas vous en priver"
Le routier qui s’active dans ton cul est de plus en plus vigoureux. Il ne tarde pas à venir. Tu sens son foutre se répandre en toi. Il se retire d’un bond avec un bruit de succion.
Il ne tarde pas à être remplacé par un autre. Celui-là à un engin tellement long que tu as l’impression qu’il vient te heurter l’estomac à chaque fois qu’il s’enfonce en toi. Un liquide chaud se répand dans ta bouche. Le jet est tellement puissant qu’il vient se loger au fond de ta gorge. Tu manques d’en avaler une bonne partie. Tu recraches en toussant. Cette fois, du sperme mélangé de salive orne le carrelage. Une autre queue molle se présente à toi.
- Maintenant que je t’ai baisée, nettoie ça, pétasse"
Et sans plus attendre, il se glisse dans ta bouche.
Il ne reste pas longtemps. Un autre le remplace. Pour le moment, tu as l’impression que ton estomac va ressortir par ta bouche tellement l’animal derrière toi est violent. Il éjacule avec de longs râles. Presque en même temps, l’autre se libère dans ta bouche. A peine une cuillère à café, ce que tu n’as pas de peine à recracher.
Tu es tirée vers l’arrière par les cheveux. Le souvenir de ta robe t’est enlevé. Tu es repoussée en avant. Tu fantasmais sur les viols en bande, tu voici servie.
- Mais c’est vrai qu’elle a un beau cul cette pouffiasse"
Au même moment, tu sens plusieurs mains te pétrir les fesses. Plusieurs doigts se glissent dans ton sexe. Tu es jetée sur le dos. Un homme trapu au torse extrêmement poilu se glisse entre tes jambes. Il passe ses mains sous tes fesses, les soulève et te baise de plus belle avec un membre vigoureux au bout rouge et brûlant.
- Sa chatte semble aussi accueillante que son cul"
Deux autres hommes s’occupent de toi. Leurs queues sentent le rance et la crasse. Tu ouvres la bouche avec dégoût quand l’un d’eux te pince le nez. Tu sens son sexe se glisser en toi comme une infection. L’autre s’occupe de ta poitrine, il mordille et pince tes tétons avec force. Tu as l’impression d’avoir les seins en feu. Il ne montre aucune douceur. Tes cris restent bloqués au fond de ta gorge. Son compère s’active dans ta bouche. Il semble s’y complaire.
A un moment, tu sens que d’autres mains manipulent ton sexe. Le tout accompagné de rires gras. Le costaud entre tes cuisses jouit à son tour, ajoutant son foutre à celui qui te tapisse le cul. Lorsque le premier turc éjacule dans ta bouche, tu as peine à recracher son sperme acide. Il est immédiatement remplacé par son compère. Mais après quelques instants, il se retire. Sous toi, la tache de sperme mélangé de salive que tu as recraché s’étend.
- On va te faire nettoyer tout cela, Salope"
Une main se pose sur ton cou et tu te retrouves le nez à moins d’un centimètre du sol. Même si tu dois en mourir, il n’est pas question que tu lèches le sol. Soudain, la pression sur ton cou se relâche. Comme si un ordre silencieux avait été donné, tous semblent quitter précipitamment les lieux.
Une porte claque. Le silence se fait autour. Tu te redresses péniblement. Tu frottes les larmes qui n’ont cessé de couler sur ton visage et qui ont emporté ton maquillage. Tu te relèves en titubant.
Tu te diriges vers un évier. Tu n’oses te regarder dans le miroir. Tu te passes un peu d’eau sur le visage. Tu as la chatte et le cul en feu. Tu as l’impression que si tu t’assieds, le siège flambera. Tu sens le sperme de tes violenteurs couler sur tes jambes. Tu te laves comme tu peux. Ta robe semble avoir disparu. L’un des routiers l’a probablement emporté en souvenir.
Tu hésites à sortir nue, mais que faire ?
Rassemblant ce qui te reste de courage, tu ouvres la porte et tu fonces sur le sol du parking. Il fait sombre, froid et pluvieux. Les routiers sont repartis, il reste beaucoup moins de camions. Beaucoup emportent avec eux des souvenirs de ton cul et de ta bouche. Sur l’autoroute, les camions lancent de grands coups de klaxon en te voyant déambuler nue sur le parking. A la honte du viol, s’ajoute celle de l’exhibition. Au coin du bâtiment, tu vois la voiture. Je suis debout à ses côtes.
Entre mes mains, ta robe.
Lorsque tu arrives près de moi, je te lance un sourire "Oh Maître" dis-tu avant de tomber en larmes dans mes bras. Tu te fiches bien des klaxons des routiers sur l’autoroute. Je t’emmène dans le van. J’ouvre le haillon arrière et je t’étends sur une couverture.
Comme un fait exprès, l’arrière du van donne sur l’autoroute. Tous les conducteurs peuvent te voir sans problème. Il ne manquerait plus qu’ils fassent demi-tour ou bien qu’ils causent un accident. Les plus bruyants sont les routiers qui klaxonne à tout va, mais certains automobilistes ne sont pas en reste.
La trousse de secours du van est bien équipée. Je soigne avec du mercurochrome les petites blessures et griffures. J’écarte ensuite les lèvres de ton vagin avec un spéculum. Je le nettoie avec un coton hydrophile. Je termine en le caressant avec mon doigt. Tes lèvres sont rouges et irritées. Le moindre contact est douloureux.
Ton anus n’est pas dans un meilleur état. Tu cries plusieurs fois pendant que je le nettoie.
- Où étiez-vous Maître pendant que ces hommes me violentaient ?"
En réalité, j’étais là tout le temps, dans le fond de la pièce. Tu ne m’as pas vue, mais je t’ai surveillée depuis le début. Tu m’avais parlé de ton fantasme de viol en bande et je voulais que tu le réalises.
Tu n’attends pas ma réponse. Je te prends dans mes bras. Tu pleures à chaudes larmes.
- Je suis sale et indigne de représenter la moindre valeur à vos yeux, Maître. Jetez-moi dans le caniveau où est ma place"
Je te serre dans mes bras.
- Si les caniveaux étaient pleins de filles comme toi, les égoutiers seraient riches"
Tu ne sais pas si tu dois rire ou pleurer. Tu as réalisé ton fantasme, mais tu te rends compte que rien n’a plus de valeur que la chaleur humaine de laquelle je t’entoure. - - Je ne t’ai pas abandonnée. Tu voulais assouvir un fantasme, je te l’ai accordé tout en restant à tes côtés. Je ne suis pas intervenu pour que tu en mesures toutes les implications dans leur totalité.
Je te passe ta robe que tu refermes avec difficulté. Tu t’assieds péniblement dans le van. Tu as l’impression qu’il y a encore des litres de sperme s’écoulent de ta chatte. - - J’étais là tout le temps. Si ça dérapait, j’étais prêt à intervenir".
Je redémarre sans un mot de plus. Nous trouvons rapidement un hôtel. A peine entrée dans la chambre, tu arraches ta robe et tu fonces sous la douche. Je ne tarde pas à te rejoindre. Je te lave avec douceur au début, puis à te demande en te frottant de plus en plus fort. Comme si tu voulais enlever toute la crasse qui est sur toi. Avec le jet d’eau, je nettoie ton vagin et ton cul pendant de longues minutes.
Nous restons sous la douche pendant deux heures.
Restaurant
Mon mari a voulu profiter de l’absence de notre fille pour m’emmener au restaurant. Mais dans ces cas là je dois toujours être nue sous mes vêtements, aucun sous-vêtement n’est admis.
Nous nous sommes installés au fond du restaurant dans un coin tranquille à coté d’une table occupée par deux couples de 50 ans environ, et nous avons commencé à discuter entre nous. Je voyais que nos voisins lorgnaient mon décolleté qui, je dois bien l’avouer, était assez profond et laissait voir une bonne partie de ma poitrine, ma jupe était déboutonnée jusqu’à la limite de mon ventre.
Mon mari a remarqué leurs regards et s’est mis à me parler plus fort, pour que nos voisins ne perdent rien de notre conversation. Il m’a demandé si j’avais aimé notre dernière soirée sexe ou son ami m’avait baisée avec lui après qu’ils m’aient exhibée dans Colmar.
La conversation de nos voisins n’existait quasiment plus au fur et à mesure que la notre avançait. Les 2 hommes mais aussi leurs femmes écoutaient du mieux qu’ils pouvaient. Cela m’a beaucoup excitée, et je répondais de plus en plus précisément à mon Maître en n’évitant aucun détail.
Je lui ai raconté que j’avais beaucoup aimé le soir ou il m’a exhibée dans une rue, adossée à un mur. Il avait retroussé ma jupe au dessus de mon ventre et fouillait de ses doigts habilles mon sexe trempé d’excitation. Un groupe de touristes se dirigeait vers nous. J’ai voulue me rajuster mais il a glissé encore plus profondément sa main en moi et m’a ordonné de les regarder dans les yeux et de le laisser faire.
Les promeneurs nous ont bien sur regardés et ils ont ralenti le pas, surpris par le spectacle. Certains m’ont traitée de salope et de pute, d’autres n’ont rien dis. Un couple m’a regardé et je crois avoir décelée de l’envie dans leur regard. J’ai aussi du lui expliquer ce que j’avais ressenti pendant que j’étais exhibée. Je lui ai dis que j’étais honteuse, troublée et excitée à la fois d’être vue pendant que sa main explorait mon ventre sans ménagement au point de me faire gémir dans un mélange de plaisir et de douleurs devant ces inconnus. Je lui ai dis que j’avais quand même aimé cela et que j’étais prête à recommencer si lui le voulait.
Nos voisins n’avaient pas perdus une miette de mes confidences et me regardaient d’un air réprobateur mais aussi lubrique. Comme c’étaient un buffet nos voisins et nous même devions nous lever pour nous servir. Mon mari m’a demandé de reculer ma chaise de la table pour qu’ils puissent mieux voir mon ventre à leur passage.
Il m’a aussi ordonné de bien me pencher lorsque j’irai au buffet pour que tous les clients aient une vue plongeante sur mes seins. Ils avaient forcément entendu mon mari me le demander, car nous entendions leurs remarques et leur conversation ne tournait plus que sur nous et ma tenue.
Lorsqu’ils se sont levés pour aller se servir ils n’ont pas oublié de jeter un regard appuyé sur mes cuisses offertes et mon décolleté audacieux. Nous avons attendus qu’ils s’asseyent pour nous servir à notre tour.
Je me suis levée en me tournant vers eux pour leurs offrir la vue de ma jupe ouverte sur ma fente imberbe et un aperçu de mes seins, libres de toute entrave dans leur chemisier au décolleté généreux.
Pendant mon passage au buffet j’ai veillé à bien me pencher pour offrir un joli spectacle aux autres clients, pour obéir à mon Maître mais aussi pour moi : Sentir les regards des autres sur mon corps, allumer le désir en eux et les troubler me plaît énormément.
Lorsque nous sommes revenus nous assoir la table nos voisins attendait visiblement que je me rasseye. Je n’ai pas eue le cœur de les décevoir et leurs ai encore offert la vue de ma jupe remontant bien au-delà des limites de la décence sous le regard satisfait de mon Maitre.
Nous avons continué à discuter et mon mari m’a demandé si j’étais excitée. Je lui ai répondue par l’affirmative en disant :
- Je suis très excitée que vous m’exhibiez ainsi, mes seins sont tout durs et les mamelons sont dressés. »
- Ouvre ton chemisier que je voie »
J’ai alors du ouvrir les pans de mon vêtement sous les regards de mon Maître mais aussi des voisins qui n’en perdaient pas une miette. J’écartais les pans du chemisier pour offrir la vue de mes seins
- Ecarte plus »
Je m’exécute, les pans de mon chemisier sont maintenant totalement écartés, toute la salle peut me voir offrir ma poitrine aux regards de mon mari.
- Tu mouilles ? »
- Oui. »
- Mets tes doigts dans ta chatte et montre moi. »
Je rabat les pans de mon vêtement et glisse mes doigts dans mon sexe trempé, je remonte ma main à regret et la tends à mon Maître qui constate qu’ils sont tout mouillés.
- Tu mouilles comme une vrai salope qui veut se faire baiser, tu veux te faire baiser ? »
- Oui, j’en ai envie »
- Tu vas appeler Yves, mon pote et lui demander s’il veut bien te baiser, tu lui diras ou nous sommes, comment tu es habillée et dans quel état tu es ! »
Après un court un instant d’hésitation je prends le téléphone portable qu’il me tend, à peine l’ai-je à l’oreille qu’Yves décroche : « Oui »
- C’est Domi, l’esclave de Jean, je voudrais savoir si vous voulez bien me baiser, je suis au restaurant avec mon Maître, juste habillée d’une jupe fendue et d’un chemisier très échancré, je suis très excitée, mes seins sont tout dur avec les mamelons qui pointent et je mouille beaucoup. »
- Ma salope y a urgence alors, c’est tout à fait dans mes cordes, viens à la caserne, je t’attends ! »
- Alors, qu’est ce qu’il a dit »
- Il m’attends à la caserne »
Les voisins n’avaient rien perdu de la conversation et en restaient bouche bée. Maître m’expliqua alors que son copain était pompier et qu’il devait sans doute être de garde mais que cela tombait bien, un pompier pour m’éteindre le cul, quoi de mieux ?
Ce soir on sort.
C’est mon maitre qui m’a appelée pour me prévenir. Je connais les consignes et me dépêche de me préparer pour cette soirée dont je ne connais pas le programme mais les règles, au demeurant très simples : je dois être habillée très sexy, aucun sous-vêtements, bien sur pas de pantalon et obéir à tous ses ordres sans discuter.
Après une douche je me suis parfumée et j’ai mis un corset qui laisse mes seins nus et les fait encore plus ressortir, des bas à coutures, une jupe boutonnée sur l’avant dont je n’ai fermé que les quatre premiers boutons pour qu’on aperçoive les jarretelles à chacun de mes pas et un chemisier légèrement transparent dont j’ai laissé plus de boutons ouverts que ne l’autorise la décence qui donne une vue sans équivoque sur ma poitrine, à chaque mouvement j’offre jusqu’à mes aréoles à tous ceux qui me voient.
Mon maître arrive et semble satisfait de ma tenue, j’enfile un manteau et nous partons. Je ne sais pas ou nous allons et n’ai pas le droit de le lui demander, une délicieuse angoisse commence à s’installer en moi.
Pendant le trajet je dois ouvrir complètement le chemisier et la jupe, en écarter les pans afin que je sois totalement nue à la vue de mon Maître et de tous. Je voie les regards des autres automobilistes que se posent sur moi à tous les feux rouges, ceux qui en profitent le plus sont les cyclistes et les motards puisqu’ils voient mon sexe offert, peu à peu je me trouble de cette exhibition…
Nous arrivons dans un restaurant j’ai reboutonné mes habits. Nous dînons tranquillement, mon maître ne m’a toujours rien dit de ses intentions pour cette soirée, il me fait juste ouvrir un bouton de plus de mon chemisier au moment ou le serveur apporte les plats, ce qui finit d’offrir une vue sans équivoque sur mes seins sans même que je bouge : on voit toute ma poitrine, le premier bouton à être fermé est entre mes seins et mon nombril, le chemisier est assez étroit et baille généreusement.
Le serveur (qui avait entendu l’ordre de mon Maître) profite de tous ses passages pour profiter du spectacle, tout comme les tables voisines où ma tenue fait sensation. Je termine le repas ainsi et nous partons, offrant en me levant une vue très complète de ma poitrine mais aussi de ma vulve découverte par les mouvements que je suis obligée de faire pour me lever et mettre mon manteau que mon Maître m’aide à enfiler pour mieux m’exhiber.
Dans la voiture je dois bien sûr (et comme d’habitude) avoir la poitrine et le sexe nus et plusieurs automobilistes profitent encore du spectacle. Nous arrivons devant un hôtel et mon mari se gare sur le parking.
- On sort.
Je me rajuste et descend de la voiture, il prend une valise dans le coffre et nous entons dans l’hôtel. Il prend une chambre pour la nuit. Nous montons nous installer. Je dois enlever ma jupe et mon chemisier et mettre mon collier de soumise (large de trois centimètres avec deux anneaux pour attacher les mains) qu’il a pris soin de mettre dans la valise qu’il a emmenée.
Il commande une bouteille d’eau au service d’étage et je sais alors qu’il va m’exhiber. Il sort une badine de la valise me fait allonger sur le dos à même le sol et me donne deux coups sur chaque seins, je crie à chacun. La badine a laissé des marques rouges sur mes seins et mes tétons sont turgescents. On frappe à la porte
- Service d’étage !..
- Tu vas ouvrir la porte et faire entrer puis tu viendras te mettre à genoux au milieu de la chambre, mains dans le dos, jambes écartées au maximum, bouche ouverte et seins tendus !
Je suis effrayée par ce qu’il me demande mais je m’exécute docilement. Lorsque j’ouvre la porte, les seins marqués par les coups, encore plus nue d’être habillée d’un corset et des bas, je découvre un garçon d’étage d’une trentaine d’années qui ouvre de grands yeux en me voyant. Il en lâche presque son plateau.
Je m’efface devant lui pour le laisser entrer mais il est tellement surprit par ma tenue qu’il ne bouge pas et je suis obligée de lui demander d’entrer pour poser son plateau sur la table.
Je me tourne pour le précéder et lui offre le spectacle de mes fesses entre le corset et les bas. Arrivée au milieu de la pièce je me tourne et lui offre à nouveau la vue de mes seins marqués des coups de cravache et de mon sexe glabre, je m’agenouille, écarte les jambes au maximum, j’ouvre la bouche en même temps que je mets mes mains dans le dos en me cambrant le plus possible pour offrir ma poitrine.
Il est stupéfait et n’a pas encore vu mon maitre, ses yeux sont rivés à moi et passent de ma vulve lisse et ouverte à mes seins striés des coups reçus. Mon maitre s’avance légèrement et lui dit de poser son plateau, il est surpris et n’ose plus trop me regarder. Pendant qu’il s’exécute mon maître me pince le téton droit très fort et je gémis malgré moi. Le serveur nous regarde et ne sais pas trop quoi faire, mon mari lui dit alors :
- Si vous voulez je vous propose un pourboire un peu spécial, vous pouvez lui donner cinq coups de cravache ou bon vous semble dans la position ou elle est sauf sur le visage !
Je suis effrayée par cette proposition mais je n’ose rien dire. Mon maître contrôle toujours ses coups mais là c’est un inconnu sans expérience et j’ai peur d’avoir très mal. Le garçon ne dit rien mais prend la cravache avec un sourire. La situation doit l’exciter si j’en juge la grosseur qui apparait sous son pantalon et le regard qui se trouble.
Il tourne autour de moi, passe dans mon dos, je ne le voie plus, cette situation est très stressante pour moi, je suis comme une biche cernée par les chasseurs. Il revient par ma gauche. Le premier coup tombe sur mon sein gauche, il est soudain et assez fort mais je parviens à ne pas gémir.
Il continue de tourner autour de moi, cherchant une nouvelle cible. Le suivant est pour le droit, celui que mon maitre venait de torturer et est encore plus fort. Je gémis de douleur, mes larmes commencent à couler mais en même temps ma vulve s’inonde et s’ouvre, m’offrant de plus en plus.
Je vois le visage de mon bourreau se transformer, il apprécie visiblement de pouvoir me cravacher, m’arracher des cris de douleur et je sais à ce moment que les derniers coups seront terribles.
L’homme tourne maintenant autour de moi en cherchant ou il va me frapper. Dans cette position j’offre peu de solutions, ma croupe étant collée à mes jambes. Il revient devant moi et m’assène un violent coup juste au dessus des bas sur la jambe droite. Cette fois je lâche un cri de douleur qui lui amène un sourire sadique. Je n’ai pas le temps de me reprendre que le deuxième tombe sur mon ventre juste au dessus de mon pubis, encore plus fort que le précédent. Je crie à nouveau et les larmes coulent sur mon visage. Des marques commencent déjà à se voire, tellement les coups étaient appuyés.
- Reprends ta position !
C’est mon maitre qui a vu que je ne suis plus exactement comme il le désir et je m’exécute sans un mot. L’homme est maintenant devant moi et j’attends le dernier coup avec effroi.
- Attention, il ne vous reste plus qu’un seul coup, réfléchissez bien avant de le donner ! »
Il arrive sans prévenir, encore plus fort et plus terrible que les précédents. Il a choisi l’endroit le plus sensible : ma vulve ouverte reçoit la cravache et je manque m’évanouir de douleur. J’en ai le souffle coupé et je crois que je n’ai même pas pu crier.
Les deux hommes me regardent souffrir un long moment, je n’arrive pas à récupérer, des larmes coulent le long de mon visage et inondent mes seins martyrisés laissant des traces de maquillage sur mon visage défait. J’ai du mal à garder la position de soumission.
- Alors, votre pourboire vous a-t-il satisfait ?
- Beaucoup, c’est très inhabituel mais aussi très agréable.
- Oui, je ne pense pas que vous ayez déjà vu beaucoup d’esclave docile comme elle
- Non, effectivement, et encore moins que j’ai eu le plaisir de corrigée ! En plus elle est très soumise et jolie, le corset lui va à ravir !
Mon maître donne le signal de la fin au garçon d’étage en lui disant merci
Il me regarde encore et dit en partant :
- N’hésitez pas si vous avez besoin de quoi que ce soit, ce sera avec plaisir !
Après son départ mon maitre m’ordonne de me relever, il passe ses mains sur mes seins et pénètre ma vulve ouverte avec trois doigts, je gémis, mais cette fois de plaisir. Il appuie sur mes épaules et je me laisse tomber à ses genoux, j’ouvre sa braguette et je sors son membre déjà dressé. Je commence une fellation comme il les aime, lente et très profonde.
Quand je sens qu’il se tend de plus en plus je le regarde et je comprends qu’il veut jouir de ma bouche, j’accélère alors le mouvement et je l’englouti à m’en étouffer, le nez collé à son ventre.
Je suis récompensée de mes efforts par une longue giclée que j’essaye de ne pas laisser échapper. Je reçois l’ordre de me préparer à me coucher, la soirée semble finie et je reste sur ma faim, mais c’est aussi ce que mon maître veut !
↧
Elles ont bien soif....
↧
Un peu d'humour américain (!) en ces dimanches de fin d'année
↧
↧
Mon cadeau de Noël
C'est la semaine de Noël.
Alors je vous fait un beau cadeau.
Certains d'entre vous en sont fous..!
Moi aussi....
↧
Histoire du net. Auteur Gerald. C'est Noël.
En cette avant-veille de Noël
Un joli conte pour adulte
Sandrine était une jeune fille de 19 ans, timide et réservée, quand elle se maria avec Christian. Il avait été son premier homme. Lui avait 26 ans à cette époque.
Sandrine et Christian divergeaient sur le plan physique, lui n’était pas à proprement parler un bel homme. De taille moyenne, un visage malgré tout assez harmonieux mais pas spécialement bien bâti. Il était du genre « brave mec sans histoire », foot, télé, copains.
Elle était une belle jeune fille. Une chevelure blonde et bouclée lui tombait sur les épaules et mettait en valeur des yeux couleur noisette. Son regard était profond mais malheureusement trop souvent triste. Une taille fine, un petit corps menu contrastaient avec une poitrine généreuse. On la remarquait toutefois peu car elle était toujours habillée très simplement, le plus souvent en robes bon marché et elle ne se maquillait jamais. Donc pas de jeans serrés, pas de jupes courtes, pas de chemisiers cintrés et flatteurs, les cheveux attachés, on la croisait sans presque la remarquer.
Elle avait 18 ans lorsqu’elle avait rencontré Christian. Ils habitaient à Lens, dans la même cité HLM mais ne se connaissaient que de vue. Avant de rencontrer celui qui allait devenir son mari, Sandrine sortait peu de chez elle, sa mère étant une femme autoritaire qui dirigeait son petit monde, c’est-à-dire son mari et sa fille – car Sandrine n’avait ni frère ni sœur. Elle rentrait directement du lycée à la maison et son principal divertissement était de se promener et discuter avec sa copine Virginie qui était dans la même classe qu’elle. Virginie était sa seule vraie amie. Beaucoup plus extravertie qu’elle. Elles étaient confidentes l’une de l’autre. À vrai dire, Virginie n’était pas une belle fille, petite et plutôt boulotte, mais elle était rigolote et vive d’esprit.
Sandrine se sentait oppressée et son plus grand désir était de partir vite de cette maison et d’échapper à sa mère qui, sans être un monstre, était très pesante. Intérieurement Sandrine l’appelait Madame Reproches.
Christian, lui, travaillait comme cuisinier dans une pizzeria du centre-ville. Sandrine l’avait rencontré lors de l’une des sorties autorisées. C’était un soir d’été et elle était avec un petit groupe d’amis, dont Virginie, bien sûr. Elle se souviendrait toujours de cette première rencontre. Chacun avait commandé une pizza individuelle. Lorsque la serveuse remit la sienne à Sandrine, elle éclata de rire en mettant ses mains contre ses joues. Sa pizza était en forme de cœur ! Le lien avait été noué, Christian avait remarqué qu’elle était seule… Il se présenta à leur table avec une bouteille de rosé et leur demanda s’ils n’avaient pas mal pris son initiative. Ils dirent que non et l’ambiance n’en fut que meilleure. Après son service, Christian les accompagna pour aller finir la soirée dans un karaoké.
À partir de ce moment-là, Christian se joignit à leur bande pour leurs sorties. Habituellement, Virginie était présente mais ce soir-là elle n’était pas venue et Christian la raccompagna, seul pour une fois.
Arrivé à cent mètres de l’immeuble, il arrêta la voiture.
- Sandrine, j’ai quelque chose à te dire.
- Quoi ?
Il se pencha vers elle et l’embrassa timidement. Elle accepta son baiser. Il recommença goulûment en approchant la main de son sein mais elle la retira instantanément.
Elle était déjà sortie avec quelques garçons mais ça s’était arrêté à de simples flirts, quelques baisers sur la bouche, pas d’attouchements. Quand ils voulaient aller plus loin, elle refusait systématiquement et on la laissait tomber.
Christian n’était pas vraiment son type d’homme mais il était gentil et prévenant, il savait lui parler et la mettre en confiance. Il savait l’écouter aussi, et s’intéressait à sa vie, ses désirs et ses émotions. Elle avait trouvé en lui un copain de confiance avec lequel elle se sentait bien. Elle n’était pas amoureuse pour autant mais elle avait envie de sortir de son renfermement, de se libérer. Ils prirent l’habitude de se voir souvent et Christian, fier de sortir avec cette belle fille, eut l’intelligence de savoir attendre et de modérer ses ardeurs. Il préférait y aller petit à petit.
Leur première relation eut lieu un samedi après-midi chez lui. Il l’avait invitée à écouter des disques et ce jour-là il devint plus entreprenant. Il l’avait allongée sur le canapé en l’embrassant, puis avait juste déboutonné sa robe et dégrafé son soutien-gorge. Elle le laissa faire voulant se prouver à elle-même qu’elle ne serait pas toute sa vie une fille coincée… Petit à petit, voyant que le chemin était libre, il s’enhardit, lui enleva sa culotte et la pénétra doucement. Les choses allèrent très vite. Moins d’une minute après il avait déjà joui. Il s’en excusa :
- Tu sais, j’avais tellement envie de toi que je n’ai pas pu me retenir.
- C’est rien mais j’ai un peu mal… C’était bien quand même.
La fois d’après, il décida de prendre son temps, maintenant que le premier cap était franchi. C’était un dimanche après-midi chez lui. Il l’amena dans sa chambre et se déshabilla complètement. C’était la première fois qu’elle le voyait nu. Il n’était pas très musclé, juste un peu de poils au milieu de la poitrine. Il ne bandait pas vraiment encore, son sexe était gonflé mais tombant. Il lui demanda de se déshabiller. Elle accepta et commença par ôter ses chaussures puis elle tira vers le bas la fermeture éclair de sa robe, elle la fit tomber doucement à ses pieds et la posa tranquillement sur la commode. Elle était maintenant en petite culotte et soutien-gorge.
Elle ne bougeait pas, intimidée. Il lui demanda de se mettre complètement nue. Alors elle défit son soutien-gorge qui laissa apparaître une poitrine superbe. Des seins écartés, en forme de poires, aux larges aréoles brunes. Sa taille fine mettait en valeur cette poitrine opulente. Ensuite, elle fit glisser sa culotte et la posa sur la commode. Ses hanches étaient minces, ses fesses fermes et rebondies, un petit minou peu poilu châtain clair. Sa peau était mate et bien qu’elle ne l’exposât jamais au soleil, elle avait des reflets ambrés.
Elle était complètement nue maintenant, les deux mains croisées devant son sexe. Elle se tenait droite, le regard posé vers le bas, elle n’osait pas le regarder dans les yeux. Christian était fier de sortir avec une fille aussi belle. Bien que n’étant pas un Don Juan, il avait déjà couché avec quelques femmes mais aucune de celles-ci n’arrivait à la cheville de Sandrine.
- Viens vers moi, allonge-toi.
- Tu ne peux pas fermer les volets ?
- Si, bien sûr.
La lumière de la chambre était maintenant tamisée. Il se coucha près d’elle et prit ses seins à pleines mains. Même couchée sur le dos, ils restaient droits et durs, chacun penchant légèrement vers l’extérieur de son corps. Il les caressa puis en téta les bouts, sa bouche n’arrivant pas à recouvrir totalement ses aréoles foncées. Sandrine se laissait faire un peu tendue. Il y avait peu d’excitation en elle, juste le sentiment de découvrir et la peur de décevoir.
- Tu n’as jamais couché avec un homme avant moi ? Je suis le premier ?
Elle approuva d’un petit signe de tête.
- Très bien ma chérie, alors je vais t’apprendre. Il faut que tu me fasses bander, c’est la première chose. Tu vas prendre mon sexe dans ta main et tu vas me branler.
Sandrine s’exécuta. Pendant ce temps, il l’embrassait goulûment en pétrissant ses fesses, puis il caressa son sexe et y pénétra un doigt pour voir si elle mouillait. Elle ne mouillait presque pas. Christian n’était pas vraiment bien monté mais ça, elle ne pouvait pas le savoir, n’ayant aucune référence en la matière. Il bandait dur maintenant mais la main de Sandrine recouvrait la presque totalité de son sexe, juste le gland apparaissait.
Il modifia sa position de manière à le présenter au niveau de sa bouche.
- Ouvre la bouche et suce-moi s’il te plaît.
- Non, je ne veux pas faire ça, c’est dégoûtant.
- Tu sais, dans l’amour ça se fait toujours, il faut que tu apprennes. Vas-y, prends-le doucement.
Elle hésita encore puis, devant son insistance, finit par ouvrir la bouche. Il lui fourra son sexe à l’intérieur. Elle engoba le gland mais sans bouger.
- C’est bien ma chérie, maintenant écarte un peu les dents et prends-le plus profondément. Tu fais des va-et-vient.
Joignant les gestes à la parole, il lui prit doucement la nuque et marqua la cadence.
- Prends-le encore plus profond ma chérie, fais-le pénétrer complètement dans ta bouche.
Son sexe n’était pas long, mais il l’enfonçait dans sa gorge et elle toussa en le retirant. Il lui prit la tête et le réintroduisit calmement. Elle avait pris le bon rythme et faisait maintenant des va-et-vient qui semblaient le satisfaire. Il se mit dans une position plus confortable et l’observa pendant qu’il lui pétrissait les fesses. Il se disait intérieurement qu’il avait de la chance d’être tombé sur elle.
La fellation dura longtemps. Elle s’arrêtait de temps en temps pour reprendre son souffle.
- Tu sais que tu fais ça très bien ? Tu es déjà une bonne suceuse.
Elle ne répondit pas. Il se retira de sa bouche puis se mit sur elle en lui écartant les jambes. Sandrine ne disait toujours rien, elle savait qu’il était parfaitement normal qu’un homme couche avec sa petite amie et elle se laissait faire. Toutefois son excitation à elle était quasiment nulle, sans doute bloquée par l’émotion. Christian la pénétrera en lui posant les deux jambes sur ses épaules puis, une fois introduit, il entama les va-et-vient. Il éjacula presque de suite, sans doute trop excité pour pouvoir se retenir, c’est du moins ce qu’elle pensa. En fait, Christian était un éjaculateur précoce et pendant toute la durée de leur relation, il ne fut jamais capable de se retenir plus de deux minutes. Après avoir joui, il resta un long moment affalé sur elle. Elle avait les yeux grands ouverts et regardait le plafond…
À partir de là, tout alla très vite. Christian considéra que Sandrine était « sa » femme et elle se laissa aller dans cette situation qui, sans être idyllique, n’en était pas moins confortable. Un homme gentil et amoureux qui la gâtait. De plus, ses parents ne voyaient pas cette relation d’un mauvais œil, conscients du fait que leur fille était adulte et qu’elle était tombée sur un homme somme toute « bien ».
Christian eut l’opportunité de prendre en gérance une pizzeria à Maubeuge. Il l’annonça à Sandrine en lui proposant de le suivre et, pour que les choses soient claires, de l’épouser. Elle accepta.
La soirée de noces fut sympathique mais Sandrine n’affichait pas le bonheur qu’aurait dû vivre une jeune mariée. Elle n’avait jamais été vraiment amoureuse de son nouvel époux, sa principale motivation étant de fuir la tyrannie de sa mère.
Virginie était présente bien sûr. Elle était jalouse de sa copine qui se mariait alors qu’elle, elle n’avait jamais trouvé un homme qui lui propose autre chose qu’une relation rapide.
C’est à partir du moment où ils s’installèrent à Maubeuge que leur relation commença à se détériorer. Christian peinait à rentabiliser sa nouvelle affaire. Il travaillait dur pourtant, mais ils arrivaient tout juste à joindre les deux bouts. Sandrine de son côté regrettait d’avoir été obligée d’arrêter ses études seulement deux mois avant de pouvoir passer son bac, qu’elle aurait eu facilement d’ailleurs car elle était une bonne élève.
Ils décidèrent qu’elle devrait travailler et elle trouva un poste d’auxiliaire de vie auprès de personnes âgées, c’est-à-dire qu’elle leur faisait le ménage, préparait les repas et leur tenait compagnie.
Christian étant très jaloux, il s’obstinait à exiger de sa femme qu’elle s’habille de manière très prude et ne se maquille pas.
Les années passèrent sans qu’ils aient d’enfants car, après avoir passé des examens, il s’avéra qu’il était stérile. Son affaire n’étant pas suffisamment rentable, il se fit embaucher comme cuisinier. Il passait beaucoup de temps avec ses copains à discuter foot, jouer aux cartes et boire des bières.
Elle avait 35 ans maintenant et elle se posait de plus en plus de questions. Sa vie était sans intérêt. Si au moins elle avait eu un enfant, mais rien… Elle voyait le temps passer sans aucun espoir d’amélioration… Jusqu’au jour où elle décida que ça ne pouvait plus durer et elle annonça à son mari qu’elle voulait divorcer.
Il le prit très mal, bien sûr, mais elle ne lui laissa pas le choix.
Deux mois après elle s’installa dans un studio à Lille pour se rapprocher de sa famille et surtout s’éloigner de Christian. Elle trouva facilement un nouvel emploi d’auxiliaire de vie. Ce travail lui permettait de vivre modestement, son salaire suffisant tout juste à payer son loyer et lui assurer le minimum vital.
Elle renoua des contacts avec Virginie qui habitait à Lille, elle aussi. Sandrine avait besoin de parler, de se confier. Elles allèrent dîner un soir dans un petit restaurant du centre-ville.
- Alors, tu es sûre que c’est vraiment fini avec Christian ? Tu ne vas pas retourner avec lui ?
- Sûre et certaine, le seul regret que j’ai, c’est d’avoir gâché toutes ces années. Aujourd’hui, j’ai envie de vivre et de rattraper le temps perdu.
- Il faut que tu te trouves un autre mec, tu ne vas pas rester seule.
- Pour l’instant, je ne pense pas trop à ça. Ça viendra quand ça viendra.
- Comment, ça viendra quand ça viendra ! Tu crois que ça se fera tout seul ? Il faut que tu te trouves un mec.
- Je veux bien mais comment ? Je ne connais personne ici.
- Tu me connais, moi. Tu veux que je t’en présente un ? J’ai des copains qui sont libres et tu es une jolie femme. Samedi prochain, on fait une sortie, si tu veux je t’emmène.
- Oui, si tu veux, pourquoi pas ?
- Mais je ne veux pas te voir habillée en vieille fille, comme tu te balades d’habitude. Tu vas me faire le plaisir de casser ta tirelire et de t’habiller comme il faut. Samedi, on ira faire les magasins et je vais réviser ton look.
Virginie lui choisit un beau jean moulant qui mettait merveilleusement ses fesses en valeur. Elle lui fit prendre des petits hauts dont un en satin pourpre avec un décolleté plongeant à vous faire damner un saint, un string et un soutien-gorge à balconnets.
- Je suis gênée, je ne me suis jamais habillée comme ça.
- Eh bien, tu vas changer ! Tu veux finir mémère ?
- Bien sûr que non…
Le soir avant de sortir, elle se maquilla, fond de teint, noir aux yeux, rouge à lèvres. Sandrine était métamorphosée.
Quand elles arrivèrent à cette soirée salsa, il y avait déjà beaucoup de monde, l’ambiance était bonne, la sangria et le punch coulaient à flots. Ça faisait très longtemps qu’elle ne s’était plus retrouvée dans une ambiance de fête.
Virginie fit les présentations. La soirée se passa agréablement mais Sandrine restait silencieuse, elle regardait surtout et écoutait les autres, un peu éméchée, la sangria faisant son effet. Lucien, qui se faisait appeler Lulu, ne la lâchait pas d’une semelle, la faisant danser et lui proposant des verres. Il était plutôt bel homme, assez élégant dans son costume gris, grand et costaud, crâne rasé. En fin de soirée, il lui proposa de la raccompagner.
Sandrine alla demander à Virginie ce qu’elle en pensait.
- Bien sûr, vas-y, mais je te préviens, je le connais, Lulu, il doit avoir des idées derrière la tête, tu t’en doutes un peu non ? Il te plaît ?
- Oui, il est bien, mais je le connais à peine…
- Écoute ma biche, tu m’as dit que tu voulais changer, non ? Tu veux quoi ? Vivre toute ta vie comme ça ? Sinon retourne avec ton Christian si c’est ce que tu veux.
- Non.
- Il faut que tu te réveilles et arrête de faire la sainte-nitouche, sinon moi je te laisse tomber et tu te démerdes.
- OK, j’ai compris.
- Et ne joue pas à la petite vierge effarouchée ! Je vais te donner un bon conseil, fais ton expérience, si Lulu te branche, ne fais pas la difficile, il est bel homme et c’est un brave mec, je le connais bien. Tu vas refuser de vivre ta vie ?
- Non…
- Tu promets ?
- Oui, je te le promets.
Virginie s’éloigna de Sandrine qui prenait un dernier verre avec d’autres amis pour se donner du courage et s’approcha de Lulu.
- Je crois que tu peux y aller, elle est bonne.
- Tu crois ? Tu lui as parlé ?
- Oui vas-y. Je t’avais dit que je te présenterais une jolie pouliche, non ? Tu es mon pote et je rends toujours service à mes potes.
Virginie avait toujours été jalouse de sa copine qui était bien plus belle qu’elle. Elle savait que Lulu était un coureur de jupons et elle avait décidé de la lui offrir sur un plateau.
Arrivé pas très loin de chez elle, Lulu gara sa voiture dans un coin sombre. Ce scénario lui remettait en mémoire son premier flirt avec Christian. Elle se doutait de ce qui allait se passer… Sans préambule, il la prit par l’épaule et l’embrassa. Elle eut un mouvement de recul puis, se souvenant des consignes de sa copine, se laissa faire. Lulu lui fourra de suite la main sous son chemisier et attrapa son sein droit. Elle ne disait rien. Il lui défit son soutien-gorge.
- Arrête, on est dans la rue, des gens peuvent nous voir.
- Tu as raison, on va aller ailleurs.
Il redémarra la voiture, s’engagea dans un petit chemin sombre et se gara. Pendant ce temps, Sandrine avait reboutonné son chemisier. Quand il se pencha à nouveau vers elle, il lui dit :
- Mais qu’est-ce que tu fais ?
- Je ne sais pas… Ça me gênait.
Il sourit et la déshabilla à nouveau.
- Enlève ton jean.
- Non, ça me gêne…
- Allez, soit mignonne, enlève ton jean. Virginie m’avait prévenu que tu étais timide mais elle m’a dit que tu voulais changer. C’est vrai que tu veux changer ?
- Oui, j’ai envie de me libérer.
- Alors, fais comme je te dis, enlève ton jean.
Elle obtempéra et le retira. Elle se retrouvait complètement nue.
Lulu, lui, était resté habillé. Il défit simplement son pantalon qu’il baissa sur ses genoux.
- Maintenant, tu vas me sucer ma chérie.
Elle avait l’habitude, Christian étant un adepte de la fellation. Sans discuter, mais un peu apeurée, elle prit le sexe dans sa bouche. Il était bien plus gros que celui de son ex-mari et elle eut de la difficulté à l’enfourner. Puis elle prit le rythme que Lulu lui imposait en lui tenant la tête. Quand il décida que c’était le moment, il mit le siège en position couchette, lui écarta les jambes et la pénétra profondément. En fait, il ne lui fit pas l’amour, il la baisa. Quand il eut éjaculé en elle, il resta un long moment sans se retirer puis se remit à sa place en allumant une cigarette.
- Tu en veux une ?
- Non, je ne fume pas.
- Tu as raison, c’est pas bon pour la santé.
Sans attendre qu’elle se soit rhabillée, il redémarra la voiture. Elle remit ses vêtements en roulant. Arrivé devant sa porte, il lui dit :
- Tu es vraiment une fille super, on se revoit quand tu veux.
- Tu veux qu’on se revoie le week-end prochain ?
- OK, je te téléphone.
Elle monta les escaliers un peu triste, ouvrit la porte de son studio, se coucha tout habillée et s’endormit de suite.
En rentrant, Lulu téléphona à Virginie.
- Je viens de rentrer.
- Alors ?
- Je me la suis faite.
- Je te l’avais dit, non ? Tu me dois un verre (dit-elle en riant). Tu l’as trouvée comment ?
- Bonne ! Un corps de rêve et pas farouche, un bon coup.
- Tu comptes faire quoi avec elle ?
- Je vais la garder, tu penses… Mais je vais essayer de la passer à des copains.
- Vas-y, je t’aiderai, elle m’a toujours fait chier cette salope. Elle est trop naïve, on va s’occuper d’elle.
- On sait ce qu’est la jalousie entre femmes…
Le lendemain matin, elle téléphona à Sandrine.
- Alors ma chérie, tu as passé une bonne soirée, hier ?
- Oui, c’était sympa.
- Et Lulu, tu l’as trouvé comment ?
- Il est gentil.
- Vous avez fait quelque chose ensemble ?
- Ben oui… Quand il m’a raccompagnée, il m’a embrassée.
- Juste embrassée ?
- Oui…
- Ne me raconte pas de bêtises, je le connais mon Lulu, c’est pas le genre de mec à embrasser une fille sans essayer d’aller plus loin. Dis-moi la vérité. Il a voulu aller plus loin et tu as refusé, c’est ça ?
- Non… En fait, c’est pas ça… On a couché ensemble.
- Tu vois, je savais que tu mentais, c’est pas joli de mentir, mais ça va, tu as écouté mes conseils. C’était bien ?
- Bof, oui, mais je ne sais pas si je lui ai vraiment plu, j’étais un peu effrayée et j’ai pas beaucoup participé, j’ai pas pris beaucoup de plaisir mais je pense que c’est normal. Après tout, il n’est que mon deuxième homme. Lui, je ne sais pas s’il a vraiment pris son plaisir mais en tout cas, il a joui.
- C’est la première fois, la prochaine fois ce sera mieux.
- Tu crois qu’il voudra me revoir ?
- Ça dépend de toi. Tu as envie que ça continue ?
- Je ne sais pas, je crois que oui.
- Bon, je passe te voir cet après-midi et je t’explique.
Quand Virginie sonna à sa porte, il était 15 h. Elles s’installèrent sur le clic-clac qui lui servait de lit.
- Tu veux du thé ou du café ?
- Du café, j’ai besoin de tonus. Alors raconte-moi tout, je veux tout savoir en détail, ma chérie.
- Eh bien, quand on est rentrés, il s’est garé pas très loin d’ici, dans le chemin à côté de la boulangerie, après il a défait son pantalon et m’a demandé de lui faire une fellation.
- Je vais t’éduquer. Pour t’enlever tes complexes, on va employer un langage plus cru entre nous. Tu ne vas pas dire fellation, tu vas dire sucer. Ça te va ?
- Si tu préfères… Il m’a demandé de le sucer…
- Tu l’as fait ?
- Oui, mais il a un gros sexe par rapport à Christian, ça a été difficile, j’ai pas l’habitude d’un sexe aussi gros.
- Tu ne dis pas un sexe, tu dis une bite, OK ? Alors reprends-moi tout ça ! On va y arriver, mais il y a du travail, il faut partir de loin.
Elle éclata de rire.
- Oui… Il m’a demandé de le sucer mais il a une grosse bite et ça a été difficile.
- Ensuite ?
- On a fait l’amour.
- Tu ne vas pas dire, on a fait l’amour, tu vas dire il m’a baisée. Il faut que tu y mettes du tien. Regarde la situation : tu as vécu seize ans avec un mec complètement con qui n’a même pas été foutu de te faire un gosse. Maintenant, tu vis seule à Lille. Tu as un boulot de merde et tu ne connais personne ici à part moi. Bon, aujourd’hui tu veux changer de vie, te distraire, rencontrer un mec bien et avoir un enfant avant que ça ne soit trop tard. Alors, fais comme je te dis et tout ira mieux. Je sais que ce n’est pas dans ta nature mais si je force un peu la dose, c’est exprès.
- J’ai de la chance de t’avoir comme amie.
- Je vais te présenter des copines et des copains. Tu pourras sortir et t’amuser. Mais il faut que tu te mettes bien une chose dans la tête. Les mecs n’aiment pas les filles coincées et si tu n’essaies rien tu n’auras rien. Tu es d’accord avec moi ? Alors, si c’est pas Lulu, ça sera un autre. Si je te présente un copain et que je te dis que tu peux y aller, tu y vas sans discuter ! Promets-le.
- Oui, je te le promets.
- Alors maintenant, tu vas téléphoner à Lulu et tu vas lui dire ce que je vais te dire.
- OK, je te fais confiance.
- À la bonne heure ! C’est ce que je voulais entendre. On mettra le haut-parleur pour que je puisse entendre. Maintenant excuse-moi mais il faut que j’aille aux toilettes.
Une fois éloignée, Virginie sortit son portable et chuchota.
- Lulu ?
- Oui, Virginie ?
- Je suis chez Sandrine, elle va t’appeler dans un moment. Alors écoute-moi bien, on va s’amuser. Tu lui parles direct, tu ne prends pas de gants, tu lui parles hard, je l’ai bien préparée, maintenant à toi de jouer.
- Tu es trop, toi. Je savais que tu étais un peu perverse dans ton genre mais t’es pas très sympa avec ta copine de la donner comme ça, en pâture.
- Pourquoi, tu es amoureux d’elle ?
- Non, pas du tout.
- Alors, tout va bien. Sandrine, elle a toujours été timide et naïve, elle n’a connu que son mari, à part toi maintenant, bien sûr. Je veux la transformer en salope. Je veux que tous les mecs de la bande lui passent dessus et même après, on l’amènera dans un club échangiste. Il faut que ce soit hard. Reste là, elle t’appelle dans deux minutes. Je compte sur toi, sois hard.
Virginie tira la chasse pour faire « comme si » et revint.
- Alors vas-y, appelle-le. Tu lui dis que tu veux prendre de ses nouvelles et tu lui dis que c’était bien hier soir.
- Allo, Lulu ? C’est Sandrine.
- Oui ma poule.
- Je voulais savoir si tu vas bien et si tu as bien dormi et je voulais te dire qu’hier j’ai passé une excellente soirée.
- Tu as aimé ?
- Oui, c’était bien.
- On va recommencer alors.
- Si tu veux…
- Ohhh… Tu aimes la bite toi, dit-il en souriant.
Virginie lui faisait des signes et chuchotait pour lui dire ce qu’elle devait répondre.
- Euh… Oui… Surtout la tienne.
- C’est bien ma poule, Alors comme ça tu as envie que je te baise ?
- Oui.
- Mais je n’ai pas trop le temps maintenant, juste le temps de tirer un coup et de me vider les couilles.
- C’est comme tu veux…
- Ne bouge pas, j’arrive !
Elle regarda Virginie, elle était rouge de honte.
Virginie la regarda en souriant.
- Bon, maintenant j’y vais. Alors, écoute-moi bien. Quand tu vas lui ouvrir la porte tu seras complètement nue, avec juste une serviette de bain que tu tiendras devant toi.
- Quoi ? Je ne pourrais jamais faire ça.
- Tu as promis de faire comme je te dirais !
- Oui je sais… J’ai promis…
- Ne me déçois pas......
A demain pour la suite
↧
Histoire du net. Auteur Gerald. C'est Noël... Fin
En cette veille de Noël
Un joli conte pour adulte
ou tout fini bien..!
Sandrine
fin
Une demi-heure plus tard, Lulu sonna à sa porte, Sandrine lui ouvrit. Il écarta la serviette qu’elle tenait timidement devant elle. Elle avait toujours une taille fine. Sa poitrine n’avait plus la fermeté de ses 19 ans mais restait magnifique. Elle tombait légèrement, ce qui accentuait la forme en poires de ses seins. Ils étaient écartés les bouts vers l’extérieur. Ses hanches un peu plus larges et son cul toujours bombé.
- Bonjour ma poulette, tu es très mignonne. Alors comme ça tu as envie de baiser ?
- Oui.
Ce faisant, il défit sa braguette, abaissa son pantalon, la prit par les épaules et la mit à genoux. Il lui présenta son sexe droit comme un I.
- Allez, pompe, ma chérie, dit-il en lui tapotant la joue.
Sans plus de commentaires, elle mit le gros sexe dans sa bouche, une main sur ses fesses, l’autre le branlant pendant qu’elle le suçait consciencieusement.
- Lèche les couilles.
Elle s’exécuta. Puis, il la prit par la main et l’amena sur le clic-clac qu’elle avait mis en position-lit selon les directives de Virginie. Il la fit mettre en levrette et la pénétra profondément.
- On t’a déjà enculée ?
- Oui. Mon mari.
Il se retira, alla au frigo et prit la plaquette de beurre, il en coupa un morceau, revint vers elle et lui pasticha les bords de l’anus et le trou. Ensuite, tranquillement, il positionna son sexe devant le petit trou et la pénétra doucement. Elle ne put réprimer des petits cris de douleur au fur et à mesure que le sexe s’enfonçait en elle.
- Tu sais que tu es bonne, toi ?
Elle ne répondit pas.
- Tu es bonne ou tu n’es pas bonne ?
- Oui je suis bonne…
- Une bonne petite salope comme je les aime.
Ils passèrent une bonne partie de l’après-midi comme ça. Lulu était endurant, il alternait les positions, un coup en se faisant sucer et lécher, un coup en lui embrassant le minou, un coup en la baisant, un coup en l’enculant. Cette fois elle y prenait, elle aussi, un réel plaisir et une fois que sa gêne fut passée, elle en redemandait. Jusqu’au moment où il la fit mettre à nouveau à genoux, lui demanda d’ouvrir grand la bouche et se branla au bord de ses lèvres.
- Je vais jouir et tu vas tout avaler, OK ?
Elle acquiesça d’un signe de tête.
Il éjacula sur son visage. Une grosse quantité de sperme coulait sur son nez et sa joue.
- Prends le sperme avec tes doigts, tu le mets dans ta bouche et tu l’avales.
C’est ce qu’elle fit.
La semaine passa tranquillement, Sandrine se remémorait sans cesse cet après-midi hard. Elle était partagée entre deux sentiments, la honte et la satisfaction d’avoir pris du plaisir. Deux fois, elle avait eu un orgasme.
Le téléphone sonna le vendredi soir, c’était Virginie.
- Ça va ma chérie ? Lulu m’a tout raconté, il m’a dit que vous avez pris un pied d’enfer.
- Oui, j’étais très excitée.
- Mais je n’ai pas une bonne nouvelle. Lulu, il est marié.
- Quoi ? Tu aurais pu me le dire avant.
- Écoute, je ne savais pas, je croyais qu’il était séparé de sa femme mais j’ai appris qu’elle était juste partie pour une semaine dans sa famille. Il vient de me l’avouer.
- C’est vraiment un pourri de m’avoir fait croire qu’il était libre.
- Écoute, c’est pas grave, je t’avais prévenue qu’avant de trouver un mec bien il faudrait que tu en rencontres. Ça a été une aventure et puis tu as pris ton pied toi aussi, alors de quoi tu te plains ?
- Oui, mais moi je veux un homme libre.
- Tu le trouveras, fais tes expériences et arrête de culpabiliser.
- Oui… Je vais faire des efforts…
- Voilà, là tu parles bien. Alors dis-moi ce que tu devras faire !
- Te faire confiance quand tu me présenteras un garçon, essayer de le séduire et s’il veut de moi, sortir avec lui.
- Je vais te présenter Laurent.
- C’est qui ?
- Un bon copain à moi. Lui, il est célibataire, je te le garantis.
- Il est comment ?
- Je te préviens, il n’est pas spécialement beau. Il a 40 ans, pas très grand et un peu fort mais c’est un mec super gentil. Il recherche une femme sérieusement.
Virginie détailla les qualités de Laurent, lui disant qu’il était attentionné, qu’il était drôle. Elle lui raconta les vacances qu’ils avaient passées ensemble avec un groupe d’amis, lui disant qu’il était le pitre de la bande. Bref, elle lui fit un argumentaire complet.
- Viens chez moi ce soir vers 20 h, je vais lui téléphoner pour l’inviter à prendre un verre.
- Ça va.
Quand elle se présenta chez elle, Sandrine était habillée très simplement, pantalon noir assez large et petit pull léger.
- Tu ne comprends rien à ce que je te dis. Vas te maquiller dans la salle de bain, je t’apporte un haut un peu mieux.
Elle revint avec un chemisier blanc, un peu transparent.
- Mets-moi ça et déboutonne le jusqu’au milieu de ta poitrine, je veux qu’on voie ton soutien-gorge. Tes seins, c’est ton meilleur argument. Ça me fait assez maronner d’ailleurs.
Quand Laurent arriva vers 21 h et que les présentations furent faites, il fut estomaqué de voir cette belle femme et comme Virginie lui avait dit qu’elle serait à lui, il en bandait déjà.
Ils restèrent ainsi à discuter de choses et d’autres, surtout de musique. À un moment, elle prit Sandrine à part.
- Alors il te plaît ?
- Pour être honnête, pas vraiment… Il est un peu gros, il me rappelle Christian.
- C’est pas grave, il faut que tu fasses tes expériences.
- Je veux bien essayer, après tout on verra bien.
Ils se réinstallèrent tous les trois au salon et Laurent dit :
- Je crois que je vais rentrer. Tu sais, Sandrine, ce groupe dont on a parlé tout à l’heure, j’ai son nouveau CD à la maison, tu veux venir l’écouter ?
- Euh… Oui… Si tu veux… D’accord.
Quand ils arrivèrent chez lui il mit le CD.
- Mets-toi à l’aise. Je te sers un scotch ?
- Oui merci.
Il s’assit très près d’elle.
- Tu sais que tu es jolie, dit-il en posant la main sur son sein.
Elle ne répondit que d’un petit merci timide. Voyant qu’elle ne refusait pas ses avances, il s’enhardit et enfonça la main sous son chemisier. Elle ne disait toujours rien, se souvenant des consignes de sa copine. Il posa ses lèvres sur les siennes et fourra sa langue profondément dans sa bouche en la faisant tourner à un rythme rapide. Elle était un peu dégoûtée mais ne disait toujours rien. Il déboutonna son chemisier et dégrafa son soutien-gorge. Il fut surpris par la douceur et la fermeté des deux globes.
- Je n’ai jamais rencontré une fille comme toi…
Ensuite, il la fit se positionner à quatre pattes pour la prendre en levrette. Mais cette fois, contrairement à la fois précédente avec Lulu, elle ne ressentit aucun plaisir, mais elle se dit qu’il valait mieux assouvir les désirs de cet homme en se promettant que ce serait la première et la dernière fois.
Ça dura trop longtemps pour elle… Il lui dit :
- Retourne-toi, je vais te prendre de l’autre côté.
- Non, je préfère que tu jouisses maintenant.
Alors, pour l’exciter, pour qu’il éjacule, pour que ça en finisse, elle lui dit les mots qui, elle le savait, allaient l’amener à la jouissance.
- Prends-moi comme une chienne, vide-toi les couilles, tire-moi comme une salope, prends ton plaisir sans te préoccuper du mien. Je suis ta pute, alors profites-en.
En effet, ça ne dura pas, dès qu’il entendit ces paroles, il fit encore deux ou trois va-et-vient puis éjacula dans un petit cri suivi d’un long soupir.
- Eh bien… Toi tu es unique. Je me fiche de ce que pourra penser Virginie, mais moi je t’ai et je te garde. Entre nous ça va être du sérieux, une femme comme toi je me marie de suite avec elle !
Elle ne répondit pas de suite, elle le laissa s’apaiser, puis chuchota :
- Il faut que je rentre, je suis fatiguée.
- Pourquoi, c’était pas bien ?
- Oui, super, mais j’ai envie de rentrer chez moi.
- Tu ne veux pas dormir ici, l’un contre l’autre, j’ai envie de te faire des câlins même sans sexe.
- Non, sois gentil, raccompagne-moi maintenant.
- Bon…
Lorsqu’elle arriva chez elle, Sandrine se jeta sur son lit et se mit à pleurer, d’abord en hoquetant, puis elle se calma doucement, la tête contre l’oreiller. Puis elle alla prendre une longue douche chaude, se sentant souillée, et enfin elle s’endormit profondément pour un sommeil réparateur.
Le lendemain matin, elle entendit la sonnette. Elle n’attendait personne… Elle enfila son peignoir et alla ouvrir. C’était Virginie qui était là, avec un paquet de croissants qu’elle portait devant elle.
- Tu n’as plus qu’à préparer le café.
- Tu as pensé aux croissants, c’est gentil. Entre.
- Alors, le rapport au capitaine, dit-elle en riant.
- Je ne le sens pas du tout, ton Laurent. Il ne me plaît pas, c’est tout. J’aime pas son contact de peau et puis, je ne le trouve pas intéressant, ce qu’il me raconte me barbe.
- C’est rien ma chérie, des fois ça va, des fois ça va pas. Tu n’as rien à te reprocher, tu as essayé, c’est tout. Moi, j’ai voulu te présenter un mec que je trouve sympa mais s’il ne te plaît pas, on n’en parle plus. Personne ne te force.
- Encore heureux… !
- Tu as couché avec lui ?
- Oui.
- Mais tu m’as dit qu’il ne te plaisait pas.
- Je ne voulais pas te décevoir et puis je me suis dit que, peut-être, j’aurais le déclic, mais rien.
- Tu sais quoi ? Tu me fais plaisir car tu as voulu essayer tout de même, ça prouve que tu changes de mentalité. Avant tu n’aurais jamais fait ça, tu l’aurais zappé de suite. Tu es en train d’en devenir une bonne.
- Une bonne quoi ?
- Une bonne copine… Tu as du chemin à rattraper. Regarde, tu as 35 ans et tu as couché avec combien de mecs jusqu’à présent ? C’est facile, Christian Lulu et Laurent, ça fais trois. Tu as connu trois hommes à 35 ans, tu trouves que ça fait beaucoup ?
- Non, bien sûr.
- Alors ne fais pas ta petite rebelle, tu as connu un mec avec lequel tu n’as rien ressenti, c’est pas la fin du monde. Il y en aura d’autres.
- En tout cas, tu es gentille de t’occuper de moi, sans toi, je serais seule.
- C’est rien ma chérie, tu sais que tu peux compter sur moi. Même si on s’est perdues de vue de longues années, ça fait un moment qu’on se connaît et j’ai décidé de te prendre en main. Pour Laurent ne t’inquiète pas, je lui parlerai.
- Merci, je ne me sens pas le courage de l’appeler. J’ai trop de problèmes en ce moment.
- Quels problèmes ?
- C’est ma voiture, je ne sais pas ce qu’elle a, depuis la semaine dernière, le moteur se met à brouter et elle n’avance presque plus. Je sais qu’elle est vieille mais j’en ai besoin pour aller travailler sinon j’en ai pour une heure et demie avec le bus
- C’est simple, amène-la chez le garagiste.
- Non, c’est pas si simple justement. Tu connais ma situation, on est le 20 du mois et déjà j’ai plus un rond, tous ces vêtements que j’ai achetés, ces sorties, ça coûte cher. Là, en ce moment, je ne peux plus faire de dépenses. Remarque pour les habits, j’en avais besoin et pour le reste, je ne te fais aucun reproche.
- J’ai peut-être une solution.
- Ah oui ? Laquelle ?
- Tu connais Robert, quand on était sortis avec la bande, il était là : un brun frisé.
- Oui, je me souviens de lui.
- Eh bien Robert, il est mécanicien. C’est un ami et entre amis on se rend des services. Je peux lui demander de voir ta voiture et je suis sûre qu’il te fera ça pour pas cher et qu’il te fera crédit. Peut-être même qu’il te fera ça à l’œil, s’il est sympa.
- Tu crois ?
- Ça ne coûte rien de demander, non ?
Le soir même, Virginie téléphona à Robert.
- Salut Robert, c’est Virginie.
- Ça va, toi ?
- Oui, ça va, je voulais te dire un truc, tu te souviens de Sandrine ?
- Si je m’en souviens ? Bien sûr que je m’en souviens. Une belle fille comme ça, on ne l’oublie pas. Si Lulu ne l’avait pas draguée, j’aurais essayé.
- Tu veux te la faire ?
- Tu demandes à un affamé s’il veut manger ? Bien sûr que je voudrais, mais le tout est de savoir si elle, elle voudrait.
- C’est là que je peux te rendre service. Sandrine, elle est en panne de voiture et elle n’a pas un rond. Tu vois ce que je veux dire ?
- Je ne suis pas complètement con. Tu crois qu’on peut négocier ça ?
- Si je lui en parle, peut-être… Je lui parle ?
- Bien sûr, essaye, on n’a rien à perdre, une poupée comme ça, ça se refuse pas.
- Laisse-moi faire. Bisous.
Ensuite, elle appela Sandrine.
- J’ai téléphoné à Robert, il est d’accord pour réparer ta voiture.
- Ah bon ?
- Gratos.
- Vraiment ? Tu as raison, il est super sympa, c’est bien d’avoir des amis dans la vie.
- Attends, il est sympa, oui si on veut, c’est un coquin notre Robert.
- Tu veux dire quoi ?
- Il veut se faire payer en nature…
- Comment ça, en nature ?
- Ne te fais pas plus bête que ce que tu es, tu as parfaitement compris.
- Non, là, désolée, je suis peut-être dans la merde mais je ne suis pas une pute.
- C’est pas être une pute. Une pute, elle se fait payer, tu es d’accord avec moi ? Là c’est totalement différent. Il te rend service s’il répare ta voiture, d’accord ? Donc, il te rend service et toi de ton côté, tu le remercies à ta manière. Un service en vaut un autre, non ? C’est juste donnant-donnant. Et puis comme ça, à la fin de la semaine, tu auras une bagnole toute neuve, enfin presque, dit-elle en souriant. Ça te paraît être un marché de dupe ?
- Non, mais quand même…
- Réfléchis… Une femme qui épouse un homme pour son fric, c’est courant, non ? Et pourtant personne n’y trouve rien à redire. Une femme qui couche avec son mec même si elle n’en a pas envie, c’est rare ? Une femme qui couche avec son patron par intérêt, c’est rare ? Tu vois, c’est une affaire d’interprétation. Depuis la nuit des temps les femmes ont toujours su être séductrices quand ça les arrange.
- Bof… Après tout, tu as raison. C’est juste un moment à passer et j’ai besoin de la voiture et puis peut-être que ça sera agréable…
- Alors je fais quoi ? Je lui dis que tu es d’accord ?
- Oui, tu peux lui dire…
Le lundi matin, elle se rendit au garage de Robert.
- Voilà, je t’amène la voiture, Virginie t’a parlé, je crois…
- Oui, attends, je vais regarder ce que c’est.
Un moment après.
- C’est le joint de culasse, il faut tomber le moteur, il faut un après-midi.
Il la regarda longuement, ses cheveux tombaient sur ses épaules avec de jolies boucles. Même si elle n’était pas maquillée ni habillée de façon séduisante, elle dégageait toujours quelque chose de magnétique. Robert se rappela de ce que lui avait dit Virginie, il sentit son sexe grossir.
- Bon OK, mais quand j’entame une réparation, je demande toujours un acompte. Il lui prit la main en souriant et la guida au fond du garage derrière une voiture.
Il défit son pantalon et sortit son sexe.
- Il me faut un acompte.
- Ici ?
- Personne ne nous voit, ne perdons pas de temps, j’ai du travail.
Elle se mit à genoux et commença à le sucer lentement les yeux fermés. Il lui tenait la tête et, au fur et à mesure que son excitation montait, accélérait la cadence.
- Tu vas voir, ça va aller vite.
Maintenant, il avait pris la tête de Sandrine avec les deux mains et la faisait sucer de plus en plus vite.
- C’est vrai que tu es bonne… Une bonne salope… Je vais jouir… Tu prends tout dans la bouche et tu avales, lui dit-il d’un air autoritaire.
Quand il finit par jouir, il stoppa d’un coup en la retenant pour qu’elle ne se retire pas.
- Merci pour ce petit acompte, mademoiselle, laissez-moi votre voiture et revenez la prendre samedi après-midi, le travail sera bien fait
Tout le restant de la semaine, Robert passa chez Sandrine pour aller chercher son « acompte ».
Il passait la nuit avec elle. Robert était un adepte de la sodomie. En arrivant, il se faisait bien sucer puis l’enculait et comme il était très viril, il se réveillait une ou deux fois dans la nuit pour l’enculer à nouveau puis se rendormait. Il savait que cette situation ne durerait pas et il voulait en profiter au maximum.
Le samedi comme promis la voiture était prête, Robert était un gars malgré tout correct. Il lui remit les clés de la voiture en lui disant :
- Voilà, mademoiselle, elle est réparée, tout va bien. Si vous avez encore besoin de mes services n’hésitez pas.
Sandrine monta dans sa voiture et partit sans dire merci, ni quoi que ce soit.
- Allo… Oui, c’est Virginie. Tu as récupéré ta bagnole ?
- Oui mais j’en ai mare de tes plans. J’ai l’impression de devenir une pute.
- Voilà comme tu es, je te rends service et tu me remercies comme ça. Bon, tu as raison, c’est moi qui suis bête d’avoir voulu t’aider. Tu as ta bagnole, je t’ai fait découvrir des choses, je t’ai décoincée et toi tu me fais des reproches !
Ce faisant elle raccrocha. Sandrine resta perplexe son téléphone à la main. Elle se posait beaucoup de questions et se demandait si elle avait raison. Elle allait se retrouver à nouveau seule. Avant, avec Christian, les choses étaient beaucoup plus simples, ils travaillaient tous les deux et arrivaient à avoir une petite vie tranquille, ils avaient même envisagé d’acheter une maison. Elle commençait à regretter son ancienne vie. Puis cette idée s’estompa. Jamais elle ne pourrait retourner vivre avec un homme qu’elle n’avait jamais aimé, qui buvait et qui ne s’intéressait plus à elle. Et puis, cette vie de routine sans intérêt, décidément non.
Elle décrocha le téléphone et composa le numéro de Virginie.
- Je voulais m’excuser de t’avoir parlé comme je t’ai parlé.
- Écoute, je ne t’oblige à rien, tes choix c’est toi qui les fais. Si tu n’as plus envie qu’on se voie, on ne se voit plus. Moi je n’ai pas envie de m’emmerder avec une copine qui ne sait pas où elle a mal.
- Oui, je sais, je te demande pardon.
- Bon ça va… Mercredi soir on va se faire une pizza avec mon mec et un pote à lui, Frédéric. Tu veux venir avec nous ?
- Tu sais bien que je ne peux pas en ce moment.
- Je sais, tu me l’as déjà dit, j’ai déjà pensé à ça, j’ai parlé de toi à Frédéric et il a dit qu’il serait ravi de t’inviter.
- Alors comme ça, c’est d’accord, c’est très sympa de sa part.
- J’espère qu’il te plaira.
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Je lui ai parlé de toi et je lui ai dit que j’avais une copine à lui présenter.
- Pourquoi, il est seul ? Il n’est pas marié au moins ?
- Non, sinon je ne te le présenterais pas.
- Tu lui as parlé de moi ?
- Oui.
- Et qu’est-ce que tu lui as dit sur moi ?
- Tout.
- Quoi, tout ?
- Que tu es une fille bien qui recherche une relation stable mais que tu n’as pas de chance et que, jusqu’à présent, tu es tombée sur des mecs pas bien. Je lui ai parlé de Lulu, de Laurent et de Robert.
- Tu lui as raconté tout ça ? Tu es folle. Tu lui as tout dit ?
- Oui tout, moi je joue franc-jeu. De toute manière, il m’a dit qu’il s’en fiche
Le mercredi soir, Sandrine était jolie avec son jean moulant. Elle avait mis un petit pull rose un peu serré qui mettait en valeur sa poitrine. Elle était à peine maquillée et avait coiffé ses cheveux en queue de cheval. Elle avait un air sage et sexy à la fois.
Frédéric était un très bel homme, la quarantaine, divorcé, il avait deux enfants qui vivaient avec leur mère. Il dirigeait une agence immobilière. Il était grand et avait de beaux yeux bleus. Dès qu’elle le vit, le cœur de Sandrine se mit à battre fort. Avec les autres hommes qu’elle avait connus, c’était le jour et la nuit.
Ils passèrent une soirée très agréable. Frédéric avait de la conversation et de l’humour. Durant tout le repas, il paraissait être fasciné par Sandrine, il l’interrogeait sur ce qu’avait été sa vie, ce qu’elle aimait, ce à quoi elle aspirait. En fin de repas, Virginie demanda à Sandrine de sortir un moment avec elle. Elle voulait fumer une cigarette et détestait être seule.
- Alors, il te plaît ?
- Franchement oui, il a l’air vraiment gentil. Il a de la classe et puis il est beau…
- Attends, reste ici, je vais lui parler.
Virginie retourna dans le restaurant et entraîna Frédéric dans un coin, ils parlèrent longuement. Ensuite elle ressortit.
- Qu’est-ce que tu lui as dit ?
- Je lui ai demandé s’il voulait sortir avec toi.
- Et qu’est-ce qu’il t’a dit ?
- Il te trouve mignonne et gentille. Je lui ai dit qu’avec toi, il n’y avait aucun problème, que tu étais d’accord pour que vous sortiez ensemble et je lui ai dit (elle sourit) qu’il pourrait coucher avec toi, direct, ce soir.
- Tu es vraiment dégueulasse de lui avoir dit ça, tu me fais passer pour qui ?
- Pour ce que tu es, ma chérie, une fille facile, c’est ce que tu es non ? Alors je fais ta promotion. Moi je vous mets en relation, après à toi de jouer. Et puis on sait jamais, si tu sais y faire tu le retiendras peut-être.
- Tu me dégoûtes, tu es perverse.
- Oui, je sais ma poule, mais la seule chose que je veux entendre de toi c’est que tu me dises oui ou non !
Une larme coula sur la joue de Sandrine.
- Tu as gagné, vas lui dire que j’irai faire un tour avec lui en voiture. Au fond, il est comme les autres mais au moins j’aurai eu un homme qui me plaît vraiment, ça ne m’est jamais arrivé.
Frédéric régla l’addition et dit à Sandrine :
- Tu ne veux pas qu’on aille se promener ? Il fait beau et ce serait bien de prendre un peu l’air avant de rentrer.
Il l’accompagna jusqu’à la voiture et lui ouvrit la portière. Ils roulèrent un long moment et il se gara dans un endroit tranquille. Il se pencha vers elle et l’embrassa… D’elle-même elle ôta son pull puis défit son soutien-gorge. Il lui caressa les seins doucement. Elle lui dit :
- Je sais ce que tu veux, Virginie m’a prévenue. Alors vas-y, je suis d’accord, toi au moins tu es beau et comme ça, j’aurai rêvé un moment.
- Attends… Ce n’est pas ça que je veux de toi…
- Tu veux quoi ?
Il s’approcha d’elle et déposa un petit baiser sur le bout de ses lèvres, puis caressant sa nuque, il l’embrassa tendrement.
- Ce que je veux, c’est ton cœur. Dès que je t’ai vue, j’ai ressenti quelque chose de fort en moi. Je regrette d’avoir écouté ta soi-disant copine et d’avoir voulu m’amuser avec toi. Tu n’es pas une femme avec laquelle je veux jouer. Je ne te juge pas, tu as passé des moments difficiles. Mais moi, ce que je veux vraiment, c’est t’offrir le meilleur. Rhabille-toi s’il te plaît et reprenons tout à zéro. On oublie Virginie et tout ce qu’elle m’a dit. J’ai la chance de t’avoir rencontrée et je ne veux pas tout gâcher. Je ne veux pas te posséder, je veux te mériter.
Une larme coula sur la joue de Sandrine, mais cette fois, c’était une larme de bonheur.
↧