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Nous ne plierons pas..... Jamais
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Brèves automnales..;
Tout se passe dans la tête pour accepter
ce que l'on est au plus profond de soi ....
(C'est une phrase de psy çà...! LOL)
Qui est la femme ?
Auteur : Antoine
Cela fait six mois que je ne suis pas rentré en France. J’ai souscrit un contrat expatrié à la fin de mes études et ai travaillé à l’étranger depuis lors. Du point de vue sentimental ces mois à l’étranger furent un peu durs et malgré quelques tentatives, mon activité sexuelle se soldait par une longue traversée à la force du poignet.
Je reste en France pour deux semaines avant de repartir pour un autre contrat.
Paul est un camarade de promotion avec lequel j’ai sympathisé durant mes études. Nous avions alors plaisir à parler ensemble de tout et de rien. Mais rien dans nos rapports ne m’avait préparé à ce qui allait se passer.
Je reprends contact quelques jours après mon retour ; nous convenons de nous retrouver dans une cafétéria où il a ses habitudes.
Il arrive vers huit heures, c’est un jeune homme sportif, passionné de course à pied. Légèrement dégarni, il a belle allure. J’ai toujours pensé – même si nous n’avons jamais évoqué ce sujet au cours des années – qu’il devait plaire aux femmes. Personnellement je n’ai jamais été attiré par le physique des hommes, et ce sont plutôt les rondeurs féminines qui me font me retourner dans la rue.
Durant le dîner nous échangeons sur nos expériences personnelles, il est toujours à la recherche d’un emploi. Déjà dix heures, je me sens bien avec lui, nous quittons la cafétéria et je le ramène à son appartement.
- Tu veux rentrer prendre un dernier verre ? propose Paul.
J’accepte volontiers. Il vit dans un grand studio, décoré avec goût. Je m’installe sur le canapé pendant qu’il sort une bouteille de saké et des verres. Après un verre de cet alcool je suis un peu saoul, je bois très peu et un seul verre suffit le plus souvent à me désinhiber et faire tomber toute mes réserves.
La conversation peu à peu change de sujet et roule bientôt sur l’homosexualité et sa place dans la société. À mon arrivée, je n’avais pas prêté attention à la décoration, les posters dans le studio ne représentent que des hommes, uniquement des hommes, de très belles photos d’hommes plus ou moins dénudés. Je lui explique que je n’ai rien contre cela et que chacun fait ses choix. Il devient de plus en plus précis et m’avoue qu’il est gay.
Première surprise, je n’ai rien contre cela mais je n’ai aucune expérience en la matière. Le saké aidant je lui avoue que même si les hommes ne m’attirent pas, j’ai souvent fantasmé sur des pénis que j’avais pu voir dans les douches des complexes sportifs. J’ai en particulier été fasciné, par un gars que je croisais ces derniers temps et qui a une bite qui me laisse rêveur ; elle lui arrive quasiment à mi-cuisse.
- Es-tu hostile à essayer ?
Je le regarde d’un air interrogatif. Il approche son visage du mien. Lentement, il approche ses lèvres des miennes, je suis tétanisé. Ses lèvres se promènent sur les miennes, c’est agréable. Il se penche à mon oreille :
- Tu m’as toujours plu, j’ai envie de toi.
Je ne réagis pas, il revient à mes lèvres, mais ce coup-ci c’est sa langue qui explore mes lèvres, c’est excitant, je sens mon sexe se durcir. J’entrouvre mes lèvres et sa langue me pénètre avec délicatesse. Nous passons plusieurs minutes à nous embrasser à pleine bouche. Ses mains commencent à se promener sur mon corps.
- Tu aimes ça… me glisse-t-il à l’oreille après que sa main a vérifié l’état de mon sexe.
Je profite de l’occasion pour me dégager et reprendre un peu contenance.
- J’avoue que c’est aussi agréable qu’avec une femme.
Il nous ressert un petit verre.
- Tu es tout excité, mais si tu veux nous pouvons en rester là et nous quitter comme deux amis.
Je suis incapable de répondre, l’alcool, l’excitation sexuelle, j’ai envie d’essayer avec lui.
- Paul, quand tu as des amants, comment dire, enfin dans un couple homo il y a un qui a le rôle de l’homme et l’autre celui de la femme… bredouillé-je.
Il me regarde en souriant.
- Je vais être honnête avec toi, je préfère le rôle de l’homme comme tu dis, mais toutes les options sont possibles.
Dans mon for intérieur je me sens rassuré, l’idée de sodomiser quelqu’un ne m’a jamais tenté, homme ou femme, soit dit en passant. En fait quand je fantasme sur une bite, mon premier désir est de la sucer.
Je m’enhardis et c’est moi qui l’embrasse à pleine bouche. Je sens ses mains sur mon corps qui vont de mon sexe à mes fesses. Tout en poursuivant ses caresses il prend ma main d’autorité, il a compris qu’il devait me dominer – oui je crois que c’est le bon mot – j’ai envie qu’il me guide ou m’impose son désir. Il dépose avec autorité ma main sur son sexe. À travers le tissu je sens une bite qui me semble énorme comparée à la mienne que j’ai souvent manipulée.
Maladroitement, je la caresse, elle se raidit encore plus.
- Tu ne veux pas la faire sortir, elle serait plus à l’aise…
C’est un ordre que j’entends, Je glisse ma main dans sa braguette. Pour la première fois je caresse un autre pénis que le mien. La peau est douce, j’extrais difficilement l’objet des vêtements. Tout en nous embrassant, je la caresse à nouveau, il a l’air d’apprécier.
- Suce-moi.
C’est fait, il me considère comme sa chose, j’ai peur, j’ai envie. Je me dégage de son étreinte. Aurais-je le courage d’aller au bout ? Je suis excité comme je ne l’ai jamais été. Il se lève et se déshabille. Il est nu devant moi, complètement épilé, cela donne des proportions gigantesques à son sexe qui est dressé devant moi. J’ai besoin de me sentir dominé, dans mes fantasmes je m’agenouille toujours devant mon amant imaginaire avant de lui faire une fellation. Je suis au pied du mur, j’ai l’occasion de réaliser mon fantasme. Nous sommes face à face, courage, c’est le moment de savoir. Je prends d’abord sa bouche, puis lentement à coup de petits baisers sur le torse et le ventre je descends vers l’objet du désir.
Je suis devant lui, son sexe est à portée de mes lèvres. Lentement je dépose de petits baisers le long de sa hampe et sur ses testicules. Il apprécie les prémisses, je reprends son sexe à pleine main, de petite gouttes se sont formées à l’extrémité, il est très excité, j’avance lentement ma langue et je cueille ce liquide, c’est salé mais pas désagréable. J’arrondis mes lèvres qui se positionnent sur son prépuce, ma langue continue l’exploration de son gland au fur et à mesure que je le fais pénétrer en le décalottant dans ma bouche, j’aime cette sensation et lui aussi. Il pose ses mains sur ma nuque comme pour m’encourager. Son gland a maintenant entièrement pénétré ma bouche, je l’explore sous toutes les coutures avec ma langue pendant que mes mains stimulent ses bourses et sa hampe. Il reprend le contrôle, ses deux mains se placent avec douceur sur ma nuque et il imprime lentement un mouvement de va-et-vient à son sexe dans ma bouche. Il me baise, je suis sa chose, j’aime. Il accélère le mouvement, sa verge se durcit. Il arrête.
- Je vais jouir dans ta bouche si on continue.
Comme si c’était moi le maître du jeu, alors que je suis totalement soumis à son désir, mon sexe et gonflé à bloc de désir dans mon pantalon j’ai l’impression que je vais jouir. Je dégage ma bouche, je le regarde, il est rayonnant de plaisir, je lui souris, et comme par défi je reprends son sexe dans ma bouche et c’est moi qui conduit le jeu. Rapidement, je le sens se durcir, se raidir, il va jouir, sa sève envahit ma bouche, je l’avale, ce n’est pas désagréable. Il me caresse la nuque avec délicatesse, je finis le job comme dans mes fantasmes les plus fous en prenant le temps de nettoyer à petits coups de langue son gland des traces de sperme.
Il est satisfait et s’assoit sur le canapé, j’en profite pour récupérer mes clés et partir comme un voleur. Un mélange de honte et de plaisir m’habite, j’ai du mal à retrouver mon chemin, et mon sexe est toujours en érection, que va-t-il comprendre ?
Après une nuit à me masturber en pensant à la soirée, je décide de reprendre contact, et l’appelle. Il accepte que l’on se revoie le soir même.
Ma journée se passe à me préparer. Après une bonne douche, je reprends le chemin de son appartement. Il m’attend, habillé d’un peignoir en soie sous lequel, je le devine, il est nu. Il me commande de me changer en indiquant la salle de bain ou un peignoir m’attend. J’hésite quelque instant. Puis je me prépare dans cette salle de bain.
- Tu es prêtes ?
Sans attendre ma réponse, il entre et récupère d’autorité mes vêtements qu’il range dans un placard.
- Comme cela tu ne partiras pas tant que je n’en aurai pas fini avec toi, m’annonce-t-il.
Ce rapport d’autorité qu’il installe me plaît, m’excite comme le laisse voir mon sexe qui soulève le petit peignoir. Il l’a repéré et me sourit.
- Hier tu ne m’as pas laissé le loisir de voir l’objet de mon désir.
En réponse, je laisse le tissu glisser.
- Pas trop déçu par ce que je te propose ?
En fait, je suis loin d’être un canon de beauté. Il s’approche, tourne autour de moi. Ses deux mains se positionnent sur mes fesses, je tressaute, une première exploration rapide du sillon qui les sépare me fait m’exciter un peu plus. Il se rend compte du pouvoir qu’il prend sur moi.
- Hier soir je n’ai pas été déçu par le premier orifice, dois-je me méfier du second ?
Le scénario est posé, je vais perdre mon pucelage ce soir.
Rien ne se passe, la soirée avance, on boit un peu, il me trouve trop velu, il faudrait m’épiler il va y réfléchir. J’ai le sentiment qu’il attend que je lui demande de me sodomiser. Il voit bien – je suis nu – que je suis excité. Je m’approche de lui et avec douceur j’attrape sa bouche, je lui susurre à l’oreille que j’ai envie de lui. Il n’attendait que ça, que j’avoue ma soumission à son désir.
- Commence par le début ma belle, ordonne-t-il en écartant le bas de son peignoir pour dévoiler son sexe.
Je suis impressionné malgré l’ambiance, le fait d’être avec quelqu’un de totalement soumis dont on sait que l’on pourra en jouir à volonté, son sexe est au repos. Je fais mine de m’installer à genoux devant lui pour le sucer, il me retient. Il s’allonge sur le canapé et me donne l’ordre de m’installer à califourchon sur lui, un « 69 » sauf que lui n’a pas l’intention de sucer ma bite en érection.
Rapidement mes coups de langues font leur effet, son membre reprend de la vigueur. Pendant que je m’applique, les mains et la langue de mon amant parcourent mon intimité qui lui est complètement offerte. Ses doigts se présentent un à un à l’entrée de mon anus, le caressent, font mine de forcer le passage, puis se retirent. Mon sexe gonfle sous ces caresses, je tente par des mouvements de m’empaler sur ses doigts mais ils se retirent à chaque fois. C’est lui le maître du jeu, je me soumets, je reprends mes caresses sur son sexe. Encore une fois il jouit dans ma bouche.
Comme pour me récompenser un premier doigt force le barrage de mon petit trou, j’ai un gémissement d’aise. Je n’ose bouger j’attends mieux, un liquide froid se met à couler le long de ma raie. Ces mains s’activent, un doigt, puis deux me pénètrent. J’avais déjà fait ce genre d’expérience lors de mes soirées solitaires, mais le plaisir en sentant les doigts de mon amant forcer mon anus est décuplé par rapport à tout que j’ai connu. Je me laisse aller à des râlements de plaisirs. Comme pour remercier mon amant du plaisir qu’il me donne je reprends dans la bouche son sexe. Il redevient ferme, mais d’un mouvement il m’ordonne de quitter la position.
Il s’assoit en face de moi, je suis terriblement excité mais encore une fois c’est lui qui mène le jeu. Je regarde avec envie son sexe qui se dresse fièrement en face de moi et dont j’ai envie. Il boit à petites lampées un verre d’alcool et aborde des sujets sans intérêts. Mes sentiments s’emmêlent, j’ai honte d’être là, soumis au plaisir d’un autre et d’un autre côté j’ai très envie de goûter au plaisir défendu. Dois-je me rebeller ? Ou encore m’abaisser en le suppliant ? Son sexe est face à moi, désirable, je m’assois sur lui et de la manière la plus humble, le regardant dans les yeux, je lui dis :
- Prends-moi.
Il sourit.
- Mieux que cela, tu dois faire mieux.
Je m’agenouille devant lui.
- S’il te plaît, veux-tu bien me sodomiser, j’ai très envie de toi, je ferai ce que tu veux ensuite.
Voilà, je suis totalement à sa merci. Il passe sa main dans mes cheveux et m’attire vers son sexe qui a perdu de sa vigueur. Je m’attelle à le remettre en service. Il m’arrête dès qu’il a retrouvé une fière allure, enfin le moment est arrivé. Il se lève et passe derrière moi, mon sexe est dur, il me fait mal tellement je suis excité. Il écarte mes cuisses puis remet du lubrifiant avec son doigt. Il positionne ma tête sur la chaise. Je suis ouvert, totalement offert, comme dans mes meilleurs fantasmes. Son gland est maintenant au contact de mon anneau, il presse l’entrée, je le sens pénétrer, c’est bon, il force le passage, j’ai mal. Une fois le gland et son prépuce en moi le reste n’est que plaisir, il s’enfonce jusqu’à la garde, ses couilles viennent au contact des miennes. C’est trop bon, son va-et-vient commence lentement, je râle de plaisir, il m’embrasse la nuque.
- Tu aimes ça.
Je me laisse porter par son rythme, ses mains me caressent, le plaisir m’envahit, je jouis dans un râle bruyant. Il se retire, il n’a pas joui en moi, il se rassoit et m’intime de la main de le finir avec la bouche. Je reprends dans ma bouche ce sexe qui m’a donné tant de plaisir dans mon anus quelques secondes auparavant et m’applique à le vider de sa sève.
Dans ma voiture les fesses me font mal, mais cette douleur me ramène au plaisir que je viens d’avoir. Nous devons nous revoir le lendemain – peut-être m’a-t-il dit – il m’appellera. Je suis impatient.
Ooo000ooo
- Bonjour, je viens de la part de Paul.
Face à moi une femme dans la quarantaine – bien – la patronne d’un centre de beauté. Elle m’installe dans une cabine et m’intime l’ordre de me déshabiller.
- Effectivement, Paul avait raison, beaucoup de travail. Heureusement pour vous, aujourd’hui est une journée creuse. Prenez une douche, je vous envoie quelqu’un.
Je suis à la lettre les ordres donnés par Paul que je dois retrouver en début de soirée.
Au sortir de la douche, je passe un peignoir, j’attends peu, une jeune asiatique magnifique entre.
- C’est pour une épilation complète, déshabillez-vous.
Pour la seconde fois je me retrouve nu comme un ver devant une jolie femme, mon sexe laisse transparaître le désir qu’elle m’inspire. Son regard se porte sur mon sexe en érection. Elle me rassure, elle est habituée et cela ne la dérange pas dans son travail. Après le torse et les jambes, elle s’attaque à mon pubis, sans gêne elle empoigne mon sexe pour éviter de le blesser, l’excitation est à son comble pour moi. Voyant mon état, elle m’abandonne quelques instants et revient avec une boîte de kleenex. Sans plus de cérémonie elle entreprend de me masturber, je jouis très rapidement.
- Ne vous en faite pas, je suis habituée, il n’y a pas de supplément, mais vu le travail demandé, je pensai que vous préfériez les hommes.
Je rougis et n’ose pas lui répondre alors qu’elle reprend son travail. Elle me retourne et entreprend l’épilation autour de l’anus.
Je suis resté plus d’une heure totalement entre les mains de cette femme qui avec précision m’a épilé sur tout le corps, je me sens complètement nu, délicieuse sensation.
Ooo000ooo
- J’ai une surprise pour toi ce soir.
Il m’embrasse, sa langue joue avec la mienne, je suis excité prêt à me faire baiser. Je vais me changer, mon peignoir m’attend. À peine suis-je prêt que quelqu’un frappe à la porte. Il m’ordonne d’aller ouvrir car cela doit être ma surprise. Un moment d’hésitation, mais je suis tellement excité que j’ai envie de découvrir la surprise. Derrière la porte un jeune homme de belle allure. Il se présente comme étant François, un ami de Paul. Je pense à un gêneur qui va me gâcher ma soirée. Il entre à ma suite, je sens son regard sur mes fesses.
- Comment trouves-tu ma surprise, ma chérie ?
Je regarde Paul, étonné. Autour d’un verre mon amant m’explique l’amitié qui le lie avec François. Les partouzes auxquelles ils ont participé, comment ils leur arrivent de se prêter leurs amants respectifs. Aujourd’hui c’est différent comme je suis vierge… enfin affranchi depuis peu – il voulait m’offrir la possibilité de me faire baiser par deux hommes.
Un peu d’alcool me permet de me relaxer. François ouvre le bal, il vient vers moi et m’attire à lui, sa langue pénètre ma bouche et ses mains explorent mon corps. Il relève le peignoir et explore mes fesses avec insistance. Il se colle à moi et je sens son sexe gonflé. Ma main se fait baladeuse. Paul m’avait pour lui tout seul mais si c’est ainsi pourquoi ne pas profiter de l’occasion. Je me mets sur les genoux sa braguette est déformée par son sexe qui ne demande qu’a sortir de son étui. J’ouvre lentement son pantalon, je masse son sexe à travers son caleçon.
Il est terriblement excité ! Ma langue parcourt sa verge à travers le tissu. Il éclate, baisse brutalement le vêtement, et pénètre ma bouche sans retenue. Je le repousse gentiment et reprends son sexe en main. Je regarde Antoine installé dans le fauteuil. Il se lève et vient vers nous. Il se place derrière moi et maintient ma tête comme il l’avait fait la première fois. François en profite pour pénétrer à nouveau ma bouche. Je me laisse faire. Il va-et-vient en moi, je sens sa verge durcir. Je bloque son mouvement pour qu’il jouisse dans ma bouche. Je m’applique sur son sexe. Paul qui est retourné sur le fauteuil me sourit de contentement.
Plus tard, la soirée reprend ses droits et je m’installe entre les deux qui discutent sans prêter attention à moi, je suis à leur disposition – pas l’inverse, j’ai bien compris. Paul enfin se décide, il me fait un signe pour que je vienne le sucer. À quatre pattes je commence à m’exécuter j’avale son sexe, c’est ce qu’il aime et ma langue s’active sur son gland. François profite de la position de mes fesses qui sont disponibles. Ses doigts parcourent mon anus, le lubrifient. Je relève mes fesses et écarte mes cuisses du mieux que je peux, j’ai envie qu’il me prenne. Il me pénètre avec délicatesse, c’est bon, son va-et-vient fait monter en moi le plaisir, je vais jouir, un amant dans ma bouche, l’autre dans mon anus, le plus fou de mes fantasmes. Merci Paul.
Une fois l’invité parti Paul m’invite à dormir avec lui. Je me réveille très tôt, je regarde mon amant dormir son sexe au repos. Nous avons baisé une partie de la soirée et j’ai encore envie de lui, de le sentir en moi. Je me colle à lui, mes mains parcourent son corps, son sexe réagit. Je le glisse dans ma bouche…
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Nouvelle vie de cocu
Auteur : Alter
Ma femme rencontra cet homme pour la première fois lors d’un vernissage d’une exposition auquel nous étions invités. Je le connaissais vaguement pour l’avoir déjà croisé dans le cadre de mon travail.
Retraité d’une profession libérale, il portait bien ses 66 ans, plutôt avenant, élancé malgré un ventre proéminent qui trahissait son goût pour plaisirs terrestres. Après les présentations, Il engagea rapidement la conversation mais je compris vite que c’est mon épouse qui l’intéressait particulièrement.
Il faut dire que ce soir là, les jolies femmes étaient peu nombreuses et que Sandrine attirait les regards. A 36 ans, elle est magnifique avec ses longs cheveux bruns encadrant un visage où brillent de magnifiques yeux bleus, de très jolies jambes, des fesses rebondies, une taille fine et une généreuse poitrine.
Elle était vêtue d’une jupe plutôt sage, d’un chemisier qui mettait en valeur sa belle poitrine et chaussée d’escarpins à talons hauts qui accentuaient le galbe de ses jambes gainées de bas en fin voile couleur chair.
Il avait vaguement participé à l’organisation de l’expo et il lui faisait les honneurs de la visite, charmeur et enjôleur. Il lui prenait le bras, frôlait son dos et ne perdait pas une occasion d’admirer les courbes de ses seins, de ses fesses ou la finesse de ses jambes.
Après le cocktail, il lui remit sa carte et lui fit promettre qu’elle l’appellerait. Dans notre voiture au retour, j’ai chambré mon épouse sur l’intérêt que lui portait son vieil admirateur galant :
- Tu t’es fait un nouvel ami ce soir. Si je n’étais pas jaloux, je pourrais me faire des idées…
- Tu ne crois pas si bien dire.
- Comment cela ?
- Ce type n’a pas froid aux yeux, il m’a complimenté sur mon physique, m’a posé des tas de questions embarrassantes
- De quel genre ?
- Si j’appréciais l’érotisme, si je portais des bas sous ma jupe puis il m’a directement proposé un rendez-vous en me précisant qu’il aimait les jeunes femmes mariées, amatrices de nouvelles expériences sexuelles… et dociles
Qu’as-tu répondu ?
- Que je n’étais pas dans cet état d’esprit mais que je réfléchissais à sa proposition
- Tu es sérieuse ?
- Ce n’est pas toi qui a le fantasme de me partager avec un vieux cochon ? Je crois que c’est le client parfait, répondit-elle, provocatrice. Après tout, il est plutôt charmant.
Nous n’avons pas reparlé de cette proposition indécente pendant plusieurs jours mais je sentis bien que l’homme avait troublé Sandrine. J’en eu la certitude lorsque son évocation lors de nos ébats un soir provoqua chez elle un appétit sexuel que je ne lui connaissais pas et qui me laissa pantois.
Dans les semaines qui suivirent, elle m’informa qu’il l’avait recontactée afin de lui proposer de boire un verre ou de visiter une expo mais elle avait décliné ses avances.
Un soir, alors que nos préparions pour assister à un concert, Sandrine m’avoua que l’homme lui avait laissé entendre qu’il serait présent et qu’il pouvait s’arranger pour s’isoler lors du repas qui suivrait la représentation si elle le désirait.
- Quel cochon, il te propose carrément une escapade et une petite baise entre la poire et le fromage ?
- Je sais, il est gonflé…
- Ca t’excite ?
- Un peu…
- Je vais être franc, si tu veux le faire, tu as ma bénédiction mais arrange-toi pour que je puisse vous suivre et vous regarder
- Tu es un dégueulasse doublé d’un voyeur…, tu m’offres à un vieillard dit-elle malicieusement un sourire énigmatique aux lèvres.
Le concert fut une réussite. Après la représentation, un dîner tardif était offert par les organisateurs dans un hôtel-restaurant située à l’extérieur de la ville. Lorsque je pris connaissance du plan de table, je me rendis vite compte que le vieux avait développé sa stratégie.
Ma femme était assise à ses côté et j’étais relégué à la table voisine.
Pendant tous le repas, peu attentif aux discussions des convives, j’observe le manège de l’homme auprès de mon épouse. Il faut dire qu’elle est ce soir particulièrement en beauté. Elle porte une robe noire courte et très décolletée entre les seins et dans le dos, des bas en fin voile noir et de magnifiques et vertigineux escarpins à talons aiguilles. Le type mâte sans cesse sa poitrine et ses cuisses dévoilées par sa robe jusqu’à la jarretière de ses bas.
Avant le dessert, il se lève et aida mon épouse à sortir de table. Elle l’accompagne en direction de l’escalier de marbre qui dessert les étages. En passant à ma hauteur, elle me lance un clin d’œil.
Ils montent les escaliers. Il la tient par la taille. Je contemple sa démarche chaloupée, perchée sur 12cm de talons. J’admire sa robe qui danse autour de ses hanche, ses merveilleuses jambes gainées de noir qui disparaissent de ma vue sur les dernières marches.
J’ai laissé passer quelques instants et je les suis dans les escaliers. Un importun m’arrête pour me parler et j’ai le plus grand mal à m’en débarrasser. Lorsque je m’échappe, j’hésite sur le chemin à suivre et je me dirige finalement vers les chambres. Elles sont toutes inoccupées sauf une.
La porte n’est qu’entrebâillée et je jette un coup d’œil à l’intérieur.
Le spectacle me saisit, ma femme est debout au milieu de la pièce. Elle est nue à l’exception de ses bas noirs et de ses talons hauts. Le vieux lui fait face et la contemple. Il avance une main vers ses seins lourds et fermes et commence à les palper doucement puis de plus en plus fortement. Il lui pétrit les fesses, frôle son ventre de sa main qui glisse ensuite vers un pubis entièrement épilé.
- Ecarte les jambes, lui ordonne-t-il d’un ton brutal.
Sandrine obéit et se laisse faire Les doigts s’insinuent entre ses cuisses. Les yeux mi-clos, elle semble goûter ses caresses et se laisse explorer. L’homme fouille son entrecuisse par devant et par derrière. La main qui lui écarte les fesses glisse vers sa vulve lisse et la masse délicatement. L’autre main écarte ses lèvres intimes, joue avec son clitoris. Elles se rejoignent à l’entrée de son vagin. Elle gémit.
Un clapotis indécent me fait comprendre qu’elle mouille d’excitation de se faire ainsi tripoter. Il glisse un doigt dans son sexe, elle crie de surprise. Il la branle lentement avec d’amples mouvements de va et vient. Il entre un deuxième doigt dans son intimité.
- Tu mouille, espèce de petite salope. Viens par ici.
Il la pousse sur le lit, l’installe à quatre pattes, les cuisses écartées. Il baisse son pantalon, sort une verge à moitié bandée de son slip et monte à genoux sur le lit en face d’elle. Il présente sa queue devant les lèvres de ma femme.
- Suce-moi. Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Sandrine obéit, elle ouvre la bouche et engloutit son membre. Elle s’applique, mouille la queue de salive et la fait coulisser entre ses lèvres. Il s’enfonce dans sa gorge et la fait hoqueter. La bite luisante va et vient lentement. Elle la comprime pour lui donner le maximum de sensation, elle le pompe divinement.
Il saisit ses seins qui oscillent sous son buste et se met à les pétrir. La fellation dure. Le vieux jusque là concentré sur le plaisir que lui procure mon épouse lève les yeux et croise mon regard. Il sourit.
- Ton petit mari admire tes talents de suceuse de bite. Ne le déçois pas.
Sandrine le suce toujours, de la salive coule à la commissure de ses lèvres, la bite lui déforme la bouche. Elle poursuit sa tache consciencieusement.
- Arrête, petite pute. Maintenant je vais t’enfiler.
Il se place derrière elle et la positionne de manière méticuleuse en levrette en lui donnant des consignes précises :
-En appui sur tes avant-bras, les cuisses écartées au maximum, tes genoux à la hauteur de tes coudes, tes fesses rendues vers l’arrière.
Le résultat est saisissant. Ma chère épouse uniquement vêtue d’escarpins à talons aiguille et de bas noirs s’offre dans une position des plus indécentes. Son postérieur est offert, son entrecuisse largement ouvert est accessible, son sexe rose et humide semble palpiter entre ses lèvres intimes, ses seins lourds frôlent le couvre-lit.
Le type glisse un doigt dans son sexe et la branle.
- Tu ruisselles, tu es excité comme une chienne. Je vais te prendre devant ton petit mari.
Il me fait signe d’entrer. J’obéis.
- Regarde comme elle s’offre à moi. Ta femme est une petite salope docile et je vais la prendre comme une pute.
Il se place derrière elle, dirige son sexe vers sa vulve luisante d’excitation et la pénètre. Il s’enfonce lentement en elle. Elle feule lorsque la queue du vieux l’envahit. Son étroit fourreau est dilaté sous la poussée. Il l’enfile à fond.
-Nom d’un chien, elle est étroite la pute… une vraie pucelle. J’ai l’impression de l’ouvrir en deux.
Il commence ses mouvement de va et vient, il pistonne le vagin de ma femme avec lenteur et régularité. Elle gémit. Je connais cette sensation délicieuse de s’immiscer dans son orifice chaud et soyeux.
- Mmmmh… sa petite chatte me masse bien le gland et la bite. Tu aimes ça faire la pute, te faire fourrer comme une chienne ?
- Oui, Monsieur. Continuez…
- Tu ne connaissais pas ta femme sous ce jour. Réponds cocu !
- Non, je l’avoue…
- Ce n’est plus ta petite épouse, c’est ma femelle.
Il accélère la cadence, lui claque violemment les fesses. Elle crie.
Il saisit ses seins qui se balancent, il les malaxe. Il palpe ses fesses charnues, ses cuisses au travers du nylon de ses bas, son pubis lisse et doux.
Il est infatigable, il baise ma femme de plus en plus rapidement, elle gémit de plus en plus fort.
- Je te défonce, petite pute, tu ne t’attendais pas à ça… !
- Nonnnnnnn… !
Je crois qu’elle jouit. Je l’entends à ses cris.
Il la besogne maintenant depuis une quinzaine de minutes. Je ne l’ai jamais moi-même honorée si longuement. L’homme sue, Sandrine halète, son visage s’empourpre. Le gros bide du vieux claque sur le cul de Sandrine, sa verge luisante poursuit son infernal va et vient avec un bruit mouillé. Soudain, il se plaque contre elle et jouit en grognant. Il éjacule longuement dans son ventre
- Je te remplis petite pute. Prends ton mon foutre.
Il se retire lentement. Sa verge débande, il la présente à ma femme.
- Nettoie ma queue.
Elle prend en bouche son membre mou et gluant et le suce docilement. L’homme, satisfait, se rhabille et contemple Sandrine qui descend du lit, la main entre les cuisses pour tenter de retenir le sperme qui s’écoule. Son maquillage a coulé, ses seins sont rougis a force d’avoir été triturés, des traces blanchâtres souillent l’intérieur de ses cuisses et maculent la jarretière de ses bas.
- Je pense que cette petite pute a été bien enfilée. Laissons-là se refaire une beauté.
Il quitte la pièce, j’interroge Sandrine du regard.
- Ca va, laisse-moi. Je te rejoins et ne me regarde pas comme ça, j’ai assez honte.
Je passe par les toilettes où je me branle frénétiquement. La vision de ma femme soumise livrée à ce pervers m’a électrisé. J’éjacule dans le lavabo en repensant à Sandrine prise comme une chienne. Je regagne la salle à manger, le dîner tire à sa fin. Notre ami converse tranquillement avec des invités.
Lorsque Sandrine redescend, elle a retrouvé sa superbe et son style impeccable. On ne croirait pas qu’elle vient de se faire baiser comme une chienne pendant de longues minutes. Au moment de partir, l’homme s’adresse à nous :
- J’ai été enchanté de faire plus amplement connaissance avec Madame. Je pense que nous nous reverrons.
Sandrine rougit, reste muette. Nous rentrons. Ce soir là et les jours qui suivent elle me donna peu d’explications sur sa décision de céder et de s’offrir à ce vieux pervers.
- Il y a quelque chose en lui qui me répugne et m’excite intensément. Faire l’amour avec toi est une chose délicieuse. Avec lui c’est sale, bestial, humiliant mais ça m’excite et il me fait jouir comme une folle.
- Tu souhaite le revoir ?
- Je ne sais pas trop, uniquement si tu m’en donnes l’autorisation.
Je n’étais pas opposé à cette idée. Contre toute attente, deux jours plus tard, l’homme me rend une visite impromptue à mon bureau. Il sourit, sûr de lui et s’assied sur la chaise que je lui désigne.
- Vous devez me trouver gonflé de venir vous voir mais j’ai l’habitude d’être franc. Je veux vous faire une proposition.
- Habituellement, vous prenez ce qui vous intéresse sans me demander la permission.
- Ce n’est pas une demande de permission. Je vous informe des projets que j’ai pour votre femme.
- Quels sont-ils ?
- Je suis divorcé, j’ai 66 ans et j’aime le sexe mais j’aime le pratiquer avec des jeunes femmes mariées. J’aime dépraver et pervertir de jolies mères de famille. La votre est superbe, elle a un corps magnifique et elle est sexuellement très docile. Avez-vous vu comme je l’ai baisée, je l’ai traitée comme une pute et elle a aimé cela.
- Et alors ?
- J’aimerais entretenir une relation suivie avec elle. Attention, je vais être clair : pas d’histoire de sentiments. Je n’imagine aucune interférence avec votre couple, vous continuez à vivre votre vie. Mais régulièrement, une fois par semaine ou plus éventuellement, je la convoque, elle s’habille de manière féminine et sexy : jupes, robes talons hauts, bas et lingerie et elle me rejoint. Je la baise comme une chienne pendant une heure ou deux. Je vous l’ai dit, je suis direct. Elle se soumet, se prête à toutes mes fantaisies sexuelles. Je la prends comme il me plaît et autant de fois qu’il me plaît. Je me vide les couilles en elle.
- Je ne sais pas si elle va accepter de telles conditions
- Elle les a déjà acceptées. Elle n’attend que votre feu vert.
J’étais abasourdi. Le type avait réglé son petit stratagème dans mon dos avec Sandrine.
- Elle m’a dit que vous fantasmiez depuis longtemps sur ce genre de scénario. La voir se faire prendre par un autre. Mes conditions sont un peu particulières mais je crois que vous aimerez que je vous fasse cocu et que je traite votre chère et tendre comme une véritable petite salope. Je me trompe ?
Il n’avait pas tord, j’ai dû le reconnaître.
J’ai accepté la proposition et ma femme est depuis quatre mois l’objet sexuel de cet homme. Elle le voit une à deux fois par semaine en soirée ou parfois l’après-midi le week-end. Elle me raconte absolument tout.
Cette liaison a bouleversé notre vie sexuelle, Sandrine et moi sommes toujours profondément amoureux mais nos rares étreintes sont certes tendres mais sans passion. Elle ne prend plus beaucoup de plaisir avec moi et m’explique qu’elle ne peut jouir que dans une relation de soumission sexuelle avec un amant dominateur et pervers qui ne peut pas être l’homme qu’elle aime.
Elle se rend à son domicile vêtue de façon toujours plus sexy. Une grande partie de son dressing est d’ailleurs aujourd’hui occupée par les tenues qu’elle porte pour retrouver son vieil amant : de nombreuses robes ou jupes jamais très longues, des sous-vêtements ultra sexy achetés sur des sites spécialisés, des dizaines de paires de bas auto fixant ou pour porte-jarretelles, une douzaine de paires d’escarpins à talons de 10cm minimum.
Comme il me l’a annoncé, le vieux n’a pas beaucoup d’égards pour la mère de mes enfants. Il exige de la prendre la plupart du temps vêtue comme une pute de bas et talons hauts. Il l’a initiée à des expériences que nous n’avions jamais tentées en couple : des pratiques SM soft comme les liens, la fessée ou le martinet, il a initié ma femme à la sodomie alors qu’elle me l’avait toujours refusé et il l’encule depuis de manière régulière. Elle est toujours intégralement épilée et je n’ai jamais revu le moindre poil sur son corps.
Dès la première relation sexuelle à laquelle j’ai assisté, il s’est dispensé de préservatif et il apprécie d’éjaculer selon ses envies dans la bouche, le cul ou le ventre de ma femme.
A quatre reprises, il a invité des inconnus à se joindre à leurs ébats. Des types entre 55 et 70 ans, un seul homme, différent à chaque fois, des amis à lui ou de vagues connaissances. Il leur a « prêté » mon épouse qui s’est livrée docilement à toutes leurs envies.
Cette situation m’excite plus que je ne l’aurais imaginé. Il m’arrive de me masturber en écoutant Sandrine me raconter les dépravations que son vieil amant lui fait subir lorsqu’elle rentre encore souillée de sa semence. Je me branle également en l’attendant, en imaginant ma femme se faisant prendre sans ménagement par ce gros cochon.
Tout récemment, las de simplement imaginer, j’ai demandé à jouer les voyeurs et pouvoir assister au moins une fois à leurs ébats. L’homme m’a fait savoir que j’avais déjà assisté à une telle scène la première fois où il a possédé ma femme et qu’il ne souhaitait pas que cela se reproduise.
En revanche, il m’a proposé une alternative, un ami à lui pourrait nous rendre visite et soumettre sexuellement Sandrine sous mes yeux et me faire voir « ses progrès».
J’ai accepté et Sandrine a évidemment acquiescé puisque l’idée était celle de son amant. Nous avons accueilli l’homme dont nous n’avons jamais su le nom un soir à la maison à l’occasion d’un apéritif. Mon épouse avait reçu consigne de son amant de ne porter qu’un porte-jarretelle, des bas en voile gris et des talons aiguilles, de se maquiller soigneusement et de s’épiler, comme toujours, intégralement.
L’homme, un quinquagénaire au physique de lutteur de foire s’est présenté comme convenu. Fasciné par le physique et la tenue de Sandrine, il l’a tripotée sans arrêt pendant l’apéritif, il a ensuite exigé qu’elle le suce à genoux devant lui pendant qu’il sirotait son verre sur le canapé du salon tout en me faisant des commentaires salaces. Nous sommes ensuite montés à l’étage et il a pris ma femme en levrette sur notre lit conjugal.
Après l’avoir longuement besognée en la traitant de tous les noms, il a jouit dans sa bouche. J’ai vu ma femme prendre son pied avec cet infâme bonhomme, jouir bruyamment pendant qu’il l’enfilait sans ménagement. Après un retour au salon où le type s’est fait resservir à boire, a exigé de mon épouse une nouvelle fellation, nous sommes revenus dans notre chambre où il l’a sodomisée.
Le spectacle de ma femme à quatre pattes sur notre lit, uniquement vêtue de ses bas et de ses escarpins se faisant enculer par un parfait inconnu m’a électrisé et j’ai moi-même joui dans mon caleçon. L’homme a ensuite ôté sa capote et s’est branlé sur nos draps en les maculant de son foutre épais.
Il est ensuite parti non sans m’avoir complimenté sur la beauté et la docilité de mon épouse et en me traitant de petit cocu.
Le mot était finalement lâché, je suis un véritable cocu et je crois que j’apprécie cet état. J’aime voir et imaginer ma femme soumise sexuellement à d’autres, j’aime l’idée quelle prenne beaucoup de plaisir dans ce type de sexualité. Je la trouve plus belle et plus attirante que jamais.
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Entre leurs mains:Pouvoir et sensualité Blacks. En vrac
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Extrait de film: La faute à Voltaire 2000 . Ecoutez la bande son ou regardez le fauteuil et vous comprendrez le titre. En tous cas ils sont tous beaux
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Les productions de votre serviteur.
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Problèmes de lisibilité.
Bonjour à tous.
Pour les vidéo impossible à lire,
Désolé mais cela dépend de la mise à jour de vos navigateurs.
C'est ce que des spécialiste m'ont dit.
LOL.
Parce que moi j'y connais rien...
LOL.
Parce que moi j'y connais rien...
Mais alors rien du tout..!
Pour les textes flous c'est de ma fautes.
Mauvaise qualité des images....
Mauvaise qualité des images....
J'en suis désolé mais je n'ai pas mieux.
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Histoire du net; Auteursss: lessatyres. Confidences à six mains...
Voici la transcription d'un blog.
Vraie chronique de vie autour du candaulisme.
Je n'ai plus l'adresse de ce blog.
DESCENTE AUX ENFERS D'UN TRIO CANDAULISTE
Auteurs : lessatyres
Au clavier : soit Bob le maitre-amant, soit Sandy la salope, soit Patrick le cocu soumis
Préambule :
Pour commencer à raconter notre expérience réelle, faisons d abord les présentations
Sandy, superbe petit bout de femme au physique qui laisse pas de marbre quand son regard se pose sur vous.
Patrick homme prêteur candauliste dans l'âme qui ne jure que par le plaisir et le bonheur de Sandy .
Bob, dominateur qui ne vit que pour la jouissance de ses disciples.
Première rencontre
C'était un soir de février que Bob conclut un premier rendez-vous avec Sandy, déjà excitée à l'idée de mettre enfin un visage sur l homme avec qui elle entretenait une relation virtuelle sur msn depuis quelques semaines et qui laissait deviner déjà la complicité qui naissait au fil du temps.
Le café prévu devint, sous un temps pluvieux, une présentation dans la voiture de Bob. Sandy avait du mal à soutenir son regard, tant sa prestance et son charme la mettaient en transe. Bob lui demanda de montrer ses charmes, a peine voilés d une petite tenue d'écolière en recherche d'éducation et de leçon.
Elle se retrouva donc très vite la chatte offerte au regard et aux doigts de Bob, tandis qu'il avait sorti sa tige épaisse ; Sandy ne put s'empêcher de prendre en bouche cette queue qui s offrait a elle... Un quart d heure plus tôt, elle m'avait confié être partie boire un café, je ne me doutais pas que dès leur première rencontre je serais cocu!! Et Sandy suça Bob avec toute son ardeur..
En attendant patiemment le retour de Sandy, je me doutais ce qui se passait... J'étais en contact avancé par sms avec Bob depuis quelques jours, et je ne pouvais pas croire ce qu'affichait mon téléphone : ta femme m'a sucé la queue et elle suce bien ! Je crois qu'on va bien s entendre!
Sandy arriva au bout d une heure toute émoustillé et n'osa pas me raconter que le café s'était transforme en fellation... Après quelques minutes , elle ne put retenir et m'avoua qu'elle avait sucé Bob et qu'elle était tombée sous le charme de cet homme. Elle me raconta qu'elle ne pouvait soutenir son regard et qu'elle était déjà tombée sous sa domination...
Patrick
Concrétisation
Une semaine après cette première rencontre qui avait fortement troublée Sandy, ils conclurent un rendez vous chez nous. Sandy était toute excitée, autant par le stress du déroulement de cette rencontre que par le trouble que Bob avait semé en elle... Elle y pensait depuis une semaine! J'étais tout aussi excité que Sandy et lui demanda de filmer leurs ébats à l'aide d un caméscope, malgré qu'elle ne soit pas à l'aise devant une camera....
Bob arriva, Sandy lui proposa un café, mais elle se retrouva rapidement à genoux dans la cuisine, dans sa petite tenue d'écolière. Ils n'ont même pas bu le café tellement l'appel du sexe était fort pour tous les deux. Sandy avait sa bouche offerte à cette grosse queue épaisse qu'elle avait du mal a prendre en bouche.
Après des aller-retours dans la bouche de Sandy, Bob dirigea sa promise dans la chambre conjugale où la camera attendait pour immortaliser ce moment... Elle prit dabord la queue de Bob en bouche avant qu'il ne revêtisse une capote afin d'introduire en elle ce membre qui la faisait frissonner rien qu'en le regardant. Au bout d'une heure et maintes positions où Sandy eut plusieurs orgasmes de suite, Bob lui livra sa semence dans la bouche... C'était pour elle un premier verrou qui sautait, recueillir dans sa bouche du sperme autre que le mien, mais elle le prenait naturellement.
Ce fut la preuve par le plaisir, elle avait peut être trouvé l'amant avec lequel elle allait pouvoir lâcher prise, se livrait totalement et elle n'était pas au bout de ses surprises...
Patrick
Relation naturelle
Après s'être entretenus tous les trois de cette première rencontre, nous nous sommes mis a discuter via msn des fantasmes et envies de chacun... C'est ainsi que je ne pus m'empêcher de dire à Bob que je rêvais de trouver un amant régulier pour Sandy et d'une relation naturelle (sans capote) pour la sentir encore plus possédée par un autre homme que lui. Nous conclurent tous les trois un accord de confiance mutuel et Sandy et Bob décidèrent de passer rapidement un test hiv et mst.
Rendez-vous était pris dans le centre de dépistage de la ville voisine. Assis face a face dans la salle d attente bondée, pour pas attirer l attention, Bob ne pouvait s'empêcher de la provoquer, de la chauffer de regards ténébreux et de sms sulfureux : rejoins-moi dans les toilettes, j ai envi que tu me suces!
Ni une ni deux, elle s'exécuta,elle prit en bouche sa queue toute gonflée... Bob ne put s'empêcher de la prendre furtivement car il passait pas mal de monde juste derrière leur porte! Un moment super excitant aux dires de Sandy. Le test achevé,il ne restait qu'une semaine à attendre avant d avoir les résultats.
Sur le chemin du retour, Sandy n'avait qu'une envie et la dit à Bob :
- Allez viens chez nous, j ai envie que tu me baises!
Une heure plus tard, il était en train de la chevaucher fougueusement, faisant des aller-retours rapides et puissants, arrachant à Sandy des cris incroyables... Surs l'un de l'autre, ils n'avaient mis de capote... Elle prenait tout ce plaisir sous l œil de la camera posée pour Patrick le cocu, qui allait pouvoir se délecter de ce qui se passer pendant son absence...
Cette journée nous délivra, à Sandy et à moi, une vérité : elle devenait demandeuse de cette queue et de la jouissance qu'elle lui procurait et ca ne faisait que commencer...
Patrick
Le trio enfin réuni
Jusqu'à présent Patrick n'avait assisté aux rencontres entre Sandy et moi que par l'intermédiaire de son caméscope... Il fut tout excité quand je l'ai invité à nous rejoindre... Il put mesurer de visu l'attrait qu'exerçait sur sa femme ma colossale queue ! Patrick n'était pas mal pourvu pourtant, mais Sandy avait déjà une préférence pour son amant...
Cette réunion fut aussi l'occasion de voir les prémices de leur entente perverse : Sandy n'avait jamais été sodomisée et en répugnait l'idée... Quelques jours auparavant, j'avais suggéré à Patrick d'offrir à ma salope (je l'appelais déjà ainsi) un Rosebud pour la préparer. La réaction de Sandy fut épidermique : jamais elle ne se plierait à ce genre de jeu!
Pourtant, quand j'ai demandé à Patrick d'écarter les fesses de Sandy et introduit ma queue nue dans cet anus vierge, Sandy se laissa faire... Au grand étonnement de tous! Son abandon était total et Patrick n'en croyait pas ses yeux : sa femme se faisait enculer (une grande première!) devant lui (encore!) par une queue encore plus grosse que la sienne! Il avait rêvé d'une salope et Sandy le devenait mais avec un autre!
Le cul de Sandy fut défoncé, le plaisir jusqu'alors inconnu fut immense... Et Sandy, qui avait déjà lâché prise, en souriait... Quel choc pour le jeune cocu...
Prise en main
Notre rencontre allait marquer ce jour là mon nouveau statut qui a toujours cours aujourd'hui. Mon amant allait devenir mon maitre, je devenais sa soumise. Bob m'offrit un collier et une laisse, je devenais sa chienne.
Cet acte de soumission n était pas pour moi une évidence mais plutôt la découverte d une part de ma personnalité... N étant pas une soumise dans l'âme, me plier à la volonté de cet homme et être sans limites, mettait à rude épreuve ma fierté mais je me suis très vite aperçue que j adorais cela.
Sa domination sur moi était tellement évidente...
Après quelques sms à mon cocu Patrick, nous nous retrouvâmes dans la chambre conjugale face à la caméra qui tournait comme à chacune de nos rencontres à la maison. Bob me demanda d'adresser à Patrick mon cocu, chose difficile pour moi, mais nécessaire pour le faire participer.
Je suçais la queue de Bob avec délectation, prémices de ce qui allait suive... Bob me baisa fort et m'arracha, comme a son habitude, des cris de plaisir et de jouissance. Ce fut la deuxième fois qu'il me sodomisa, il me fit jouir du cul et j ai découvert des sensations encore plus intense que la première fois.
Sandy
Encore une première!
La dévotion que me vouait Sandy semblait sans limite, ou du moins les limites étaient repoussées les unes après les autres... Et je m'amusais à les repousser encore et encore... Lors de cette rencontre, Sandy s'était naturellement habillée très sexy, une longe robe moulante sans dessous et n'avait pas oublié de porter son collier! Elle désirait plus que tout me plaire...
Je la fis s'allonger sur le lit conjugal et, devant le caméscope en route, lui demanda de se préparer le cul avec un gode. Elle s'exécuta avec un malin plaisir, sachant qu'en obéissant elle aurait le droit de chevaucher cette queue tant désirée... La chevauchée bien méritée eu lieu et elle s'amusa à narguer Patrick par sms : devine qui est dans ma chatte... Et dans mon cul LOL...
Elle avait vite pris le pli et encaissait sans sourciller les sodomies puissantes.
Ce que Sandy ne savait pas, c'est qu'elle allait vivre sa première double pénétration, un gode profondément ancré dans sa chatte et ma queue lui remplissant le cul! La jouissance fut totale, tant pour Sandy que pour moi...
Et Patrick resta sur le cul quand il découvrit les images le soir même!
Bob
Soumission plus poussée
Cette rencontre sonna comme une nouvelle révélation pour Sandy ,elle allait être plus soumise plus docile aux envies de son amant. Pour cela Bob avait prévu plusieurs postures de soumission. C'est ainsi que Sandy dut se mettre à genoux, mains attachées dans le dos, yeux bandés, Rosebud dans l'anus; tout en disant que c'était désormais une salope avide de bites et dévouée a son maître amant Bob.
Il lui attacha poignets et chevilles ensemble pour être complètement offerte à ses coups de queue et à ses exigences. Après s'être fait sucé la queue et léché le cul, Bob lui installa un harnais autour du cou avec une boule dans la bouche! Il lui défonça coups après coups sa chatte et son cul, qui finit ouvert par ses monumentales coups de queue.
Après un répit bien mérité, il l’entraîna à l'extérieur de la maison pour une exhibition le cul en l'air, à quatre pattes dans l'herbe, collier et laisse de chienne. Ainsi offerte a sa queue, Bob se vida dans sa chatte toute ouverte... C'est ainsi que Sandy avait encore passé un cap dans la soumission envers son maitre-amant Bob...
Patrick
Première exhibe dans les bois
Cette énième rencontre entre Bob et Sandy fut une étape de plus dans la découverte de la face cachée de Sandy : s'exhiber en extérieur ailleurs que chez nous. Pour cela, Bob avait invité sa salope Sandy à le rejoindre au bord d un petit lac au bord duquel se trouve un bois et quelques promeneurs...
Sandy arriva vêtue d une petite robe courte noire, le rosebud entre les fesses et chatte a l'air. Après être montée dans la voiture de son amant,il vérifia qu'elle avait tenu ses engagements en venant nue sous sa robe et le rosebud dans l anus, ce qu'il put admirer en attendant d arriver sur le lieu du 'crime'
Après s être dirigé vers le bois, Bob demanda à Sandy de mettre son collier et sa laisse de chienne. Elle lui montra ses seins et sa chatte avant de se diriger vers l'énorme queue de Bob qui n'attendait que des coups de langue.
Par défi, Bob lui inscrivit au marqueur "pute des bois" sur le dos; elle ne rechigna pas et s'exécuta. Bob la sodomisa debout avant qu'il ne déverse sa semence a moitié sur son visage et ses lunettes .
Sandy se rhabilla du peu de vêtements qu'elle avait pour ensuite se diriger sur un banc visible des promeneurs. Elle prit naturellement des postures d'allumeuse qui mettaient dans tous ses états Bob et qui le rassurait sur le fait que oui Sandy était prête à tout pour lui...
Patrick
Moment complice à trois
Ce jour-là devait être une rencontre a deux et c est à trois que nous nous retrouvâmes a la maison : Bob mon maître, Patrick mon cocu et moi même. Mon maître demanda à mon cocu de se déshabiller et je lui mis son collier (celui que je lui avait offert pour faire de lui mon cocu soumis) et d aller dehors nous regarder par la fenêtre. J'étais excitée rien qu'à l idée de le savoir là à mater.
C'est mon amant que je voulais ce jour la, pas mon maître, et même si je lui obéissais, j'avais le désir de plus de caresses, plus de baisers, montrer à Patrick à quel point mon amant me faisait jouir. Bob commença par me prendre par derrière sans préliminaires mais en douceur, me lécha puis me repris... Je le suçais avec autant de plaisir que la dernière fois, mais très vite ce qui devait être un moment plus "soft" se transforma en défonce! Autant vous dire que je n'y voyais pas d inconvénients vu que j adore ça. Je me retrouvais à cheval sur lui à jouir de plaisir, il me baisa avec ardeur et finit par jouir dans ma chatte...
D'un signe de la main je fis venir Patrick toujours à nous mater derrière la fenêtre et je lui ai demandé de nettoyer le sperme de mon amant, de nettoyer sa queue aussi. Pendant que je suçais Bob, mon cocu Patrick se mit a me doigter et me lécher le cul afin que Bob me sodomise, et c'est ce jour-là que j ai connu ma première double pénétration, avec mes deux hommes... Ce n était qu'un début de débauche comparé a ce qui allait advenir par la suite .......
Sandy
Retour au lac
La dernière visite au lac avait été l'occasion pour Sandy d'être marquée "Pute des bois" et exhibée... Elle savait que si son amant lui avait donné rendez-vous dans cet endroit, il y avait un risque qu'il recommence! Mais elle est venue sans peur, toujours excitée.
Bob était allongé dans l'herbe, au bord de l'eau. Quand Sandy arriva à sa hauteur, il lui demanda de soulever sa jupette, de se tourner. Peu importait les gens autour, Sandy lui montra sa lingerie... Et tel un jeune couple, elle le chevaucha en pleine nature, introduisant sa queue tendue dans sa petite chatte humide... Des promeneurs passaient non loin mais semblaient ne pas les remarquer... Sandy faillit à avaler l'éjaculation abondante de Bob et se retrouva le visage et le corsage maculé. Mais elle s'en foutait, elle avait passé un moment exceptionnels avec son amant...
Bob
Premier trio avec mon maitre
Mon maître avait décidé d'amener un ami à lui pour me baiser.. Au début, je n étais pas des plus enchantée, c'était le premier trio sans Patrick qui d'habitude me rassurait par sa présence. Mais à l avenir, c'est sans lui que je devrais faire, uniquement accompagnée de mon maître, parfois Patrick serait là mais juste voyeur mais pas participant .
Je me suis rapidement retrouvée à genoux, vêtue de porte-jarretelles noir et de mon collier de chienne, sur le tapis de la chambre, devant le caméscope laissé par/pour Patrick, Bob m'ordonna de sucer leurs deux queues. Ils me défoncèrent à tour de rôle la chatte et la bouche, première double pénétration vaginale et ce fut "ouah" !!! Mémorable!
Ils me sodomisèrent chacun leur tour, nous avons même essayaient la double anale mais là pas possible!
Pas de temps mort un marathon de baise... Bob jouit en moi et je suçais son ami jusqu'à ce qu'il me jouisse sur le visage. Cette rencontre aurait du s'appeler "défonce a mort" et j'y avais pris goût...
Sandy
Surprise!!
Bob avait donné rendez vous à Sandy dans un petit chemin forestier pour pouvoir assouvir leurs envies de sexe et de baise ; un moment fort et rapide du fait du peu de temps devant eux.
Sandy arriva à son rendez-vous vêtu d'une jupe près du corps et d'un dos nu qui cachait pas grand chose.
Il lui avait aussi demandé de porter son rosebud dans le cul ainsi que les boules de geisha dans la chatte. Elle le suça profondément, pris sa queue énorme entière en bouche, avant qu'il ne retire les boules de geisha de sa chatte pour pouvoir la prendre contre la voiture. Sandy eut de multiples orgasmes courts et intenses, avant qu'elle ne le reprenne en bouche et qu'il se déverse dedans. Elle avala tout et n en perdit pas une goutte en bonne salope qu'elle était devenue.
Ils se dirigèrent ensuite vers un supermarché car Sandy devait y faire quelques emplettes... Entre temps, Bob me tenait au courant par sms.
J'avais décidé de les rejoindre afin de les mater dans le supermarché en bon voyeur. Arrivé sur le parking, je vis leurs voitures garées. Ils étaient déjà à déambuler ensemble dans les rayons comme un petit couple.
Je les cherchais du regard et tomba sur eux : elle concentrée à faire ses courses et lui à faire des photos et à regarder avec envie sa salope. Mon cœur s'est emballé en les voyant devant moi alors qu'eux ne m'avaient pas vus.. Quelle excitation cérébrale !!! Je les ai vu se diriger au bout de dix minutes vers la caisse, c'est à ce moment la que je les ai rejoins sans bruit. Au bout d'un moment, Sandy m'aperçut et me dit avec surprise "mais qu'est ce que tu fais la cocu!"
Petite surprise que l'on avait concocté en toute complicité avec son maître amant. J'avoue que ça me donna envie par la suite d avoir plus confiance en lui et ses intentions. Cette complicité se traduira par la suite par un de mes souhaits qu'exhaussa par la suite Sandy...
Patrick
Bukkake
Dans notre trio nous réalisons des souhaits, celui-ci était celui de Patrick : il avait envie de me voir sucer des queues et me faire éjaculer sur tout le corps.
Donc après une recherche d'hommes intéressés et après avoir convenu de la date, nous nous sommes tous retrouvés dans ce coin discret près d'une petite église. Nous étions 7 : 5 hommes plus Bob et Patrick ainsi que moi Sandy.
Je n'étais pas des plus à l'aise, c était une première pour moi et oui encore une !!
Nous nous sommes installés un peu à l'écart derrière l'église, Bob me mit un bandeau sur les yeux, me fit mettre a genoux et ordre de sucer et branler ces queues. Je devais avoir les deux mains et la bouche prise, pas de temps morts, le maître avait parlé et je devais obéir.J'ai donc commencé par sucer la queue de mon maître Bob, celle-la je la connaissais bien et l'aurais reconnu entre toutes, puis les autres hommes se sont approchaient afin que je m occupe d eux. J'ai sucé, branlé toutes ces queues jusqu'à les faire jouir sur mon visage.
Trois invités m'avaient abondamment joui sur le visage et le corps quand nous entendîmes un couple arriver nous coupant dans notre élan ; ils venaient pour visiter l'église! Nous nous sommes rhabillés le plus vite que l'on a pu et avons décidés de nous installer sur des bancs non loin delà afin d attendre que ces touristes s'éclipsent... Ce qu'ils ne firent pas, ils s'installèrent dans un recoin de la bâtisse hors de notre vue!
Nous discutions, quand Bob me dit d'un ton autoritaire "suce-moi". Je le fit de suite, Patrick nous cachait un peu mais je n étais pas à mon aise de savoir ce couple aux alentours qui pouvait débarquer à tout moment... Je le suçais longuement, quand il me dit :
- J'ai envie de te baiser, mets-toi debout".
Je me suis retrouvée prise entre Patrick et Bob, j'étais tellement excitée que lorsque qu'il me pénétra, je ne me posais même plus la question de savoir ou étaient les touristes, ils auraient pu s'approcher que je ne m'en serais même pas aperçu. Ce jour-là, j'ai lâché prise, déconnecté du lieu ou nous étions, je ne pensais qu'à une chose : sa queue qui rentrait en moi et me faisait jouir de plaisir, moment d une incroyable intensité qui n a pas duré assez longtemps...
C'est à ce moment-là que dans leur regard complice Bob et Patrick eurent la même idée : j'allais sucer ces deux pervers ainsi que le dernier invité qui était resté à quelques mètres du couple visiteur. Je les pris tour à tour en bouche Bob, Patrick et notre invité, appuyée à une alcôve alors que le couple n'était qu'à trois quatre mètres de l'autre côté. L'excitation que cela nous procurait était indescriptible!!!!
Après que Bob et Patrick m'aient couverte de leur semence et avoir nettoyé leurs queues, je vis que le couple s'était décidé à partir des lieux, sans oublier de nous jeter un regard amuse et complice ; ils avaient bien profité des sons de jouissance et des commentaires loquaces. Ce fut un grand moment de complicité, de perversité et de jeux, je venais de passer une nouvelle étape dans mon éducation de salope...
Sandy
Exhibition au ciné X
Je ne souviens plus comment nous en étions arrivés là... Toujours est-il que Sandy me suivait... Arrivés devant le cinéma porno de la ville, je me rappelle m'être garé de façon à ce que Sandy descende de voiture devant les voyeurs attablés au café d'en face. Dans sa petite mini, sans culotte et en bas, elle a du faire sensation!
L'intérieur ressemblait à un sex-shop miteux, nous ne nous sommes pas attardés sur les vitrines remplies de godes en tout genre... Direction la salle mixte, premier rang. La tension de Sandy est palpable, des hommes sont déjà dans la pièce, la queue à la main... Rapidement, je lui ordonne de sortir ma queue et de me branler. Sur l'écran un black est en train de défoncer une petite blonde... Terrorisée, Sandy se concentre sur ma queue, la suce...
Les hommes présents délaissent rapidement la vidéo pour s'approcher de nous : tous veulent la toucher, la peloter, certains l'insultent, la traite de pute... Elle me chevauche avec plaisir, se concentre sur son amant-maître, comme pour oublier cet endroit de débauche. Un complice a sorti sa queue épaisse, j'ordonne à Sandy de le sucer, mais pour la première fois (et dernière fois) elle s'y refuse. Elle craint certainement que cela dégénère!
Patrick était au courant de notre sortie, et avait prévu beaucoup de mecs, certains viennent me parler! Mais personne n'ose sortir sa queue lol. Je baise Sandy encore et encore, jusqu'à me finir sur elle. Autour de nous les mecs se branlent, l'insultent. Après quelques moments, nous sortons : j'ai sa jupe et son haut à la main, elle sort en bas et porte-jarretelles se refaire une beauté aux toilettes... Puis se rhabille devant les clients.
Bob
Première pluralité black
Ce nouveau chapitre met en avant l'évolution fulgurante de Sandy, se donner à plusieurs hommes sous les yeux de son amant Bob et moi son cocu. J'avais concocté en toute complicité avec Bob son premier plan pluralité et black de surcroît. Sandy pas plus adepte de blacks que cela ne dédaigna pas se donner à ses hommes.
Ce fut un vendredi après midi dans une grande ville à coté de chez nous par un temps chaud ; notre hôte nous avait promis 6 hommes blacks pour baiser a la chaîne la délurée Sandy. Arrivés dans cet appartement où un matelas attendait les acteurs de ce moment hard, notre hôte nous avertit qu'il y aurait 2 hommes en moins... Ce qui soulagea Sandy un peu il faut l avouer
Sandy fut présentée par son maître en laisse, collier de chienne, les yeux bandés à ces 4 hommes blacks. Tout ce que l on pouvait voir c est qu'elle faisait son effet!!! Les mains de tous ces hommes commençaient a caresser le corps de Sandy tout en visitant le moindre recoin. Elle commença par sucer son maître pour montrer a ces 4 blacks l appétit qu'elle avait, puis pris une puis deux queues blacks en bouche. Les autres lui préparaient ses deux orifices. Je filmais et photographiais ce moment unique.
Son maître voulait la voir toujours avec minimum une queue en bouche et une autre en elle, ce qu'elle fit sans se faire prier ; les queues allaient et venaient dans sa bouche, dans sa chatte dilatée et dans son cul tout ouvert. Elle était devenue a cet instant une vraie salope a blacks.
Après une petite pause bien méritée due a une chaleur suffocante, un des participants proposa que chacun appose sa signature sur le corps de Sandy à l'aide d un marqueur épais . Elle se retrouva marquée de tous les adjectifs crus possibles : salope, pute, chienne, trou à bite!! Elle en souriait et ce fut reparti pour un moment hard. Chacun lui prit le cul tant bien que mal car certains avaient du mal a rebander et au bout de deux heures Sandy n'en pouvait plus, surtout à cause de cette chaleur qui décontenançait tout le monde. Bob la fit asseoir le dos au bord du lit pour qu'elle se fasse baiser la bouche l'un après l'autre et les faire cracher leur semence... Ce qui n'arriva pas car les 4 blacks n'en pouvaient plus
Bob l'amena à la douche, je décidais, après une petite discussion avec les blacks, de les rejoindre dans la salle de bains. En entrant je vis le spectacle de Sandy se faisant prendre en levrette par Bob et, malgré son épuisement, elle jouissait à fond de cet épais membre qui rentrait en elle.
J'eus l'honneur de me faire prendre en bouche ensuite par Sandy pour lui déverser ma semence épaisse, que je retenais depuis deux heures. Sandy était vidée, épuisée, de ce moment hard de baise intense, et nous, si fiers de la prestation de notre déesse. Elle avait encore franchi un pas vers sa perversion et son lâcher prise, et on était pas encore au bout de nos surprises.....
Patrick
Oublis
Patrick a délibérément oublié deux étapes dans la descente aux enfers, ou alors n'était-il pas au courant? Nous verrons sa réaction...
Avant la pluralité black, nous nous sommes retrouvés avec Sandy, l'appel du sexe et du vice! Il fallait tout d'abord l’entraîner à se faire défoncer par 6 mecs! Aidé d'un gros gode, de ma queue et de mes doigts, je me suis attaché à préparer chaque orifice de Sandy : nous avons enchaîné sodomies, doubles vaginales, double pénétrations, toutes plus puissantes les unes que les autres... Patrick peut être fier de sa petite femme!
L'autre rencontre se déroula dans un lieu public, un parking où l'appel du sexe fut le plus fort : Sandy me suça avant de s'empaler sur ma queue... C'est un délice, la fusion est vraiment intense et les orgasmes qui la secouent intenses! Et comme à chaque fois elle se régala de mon sperme. Voila les deux petits épisodes manquants!
Bob
Dilatations
Je ne doute pas qu'une fois cette étape relatée, Sandy y ajoute quelques mots pour faire part de son ressenti. Depuis le début de notre aventure, elle semble avoir pris goût à l'obéissance et excelle dans les posture de soumise. A mes pieds, à genoux, les fesses écartées, toujours prête et disponible. Sa bouche, sa chatte et son cul sont un régal! Et à chaque séance, j'abuse de tous ses orifices! Patrick la retrouve le soir ouverte.
Cette fois-ci fut particulièrement intense... A genoux, Sandy s'évertua à me sucer sans les mains puis m'offrit son cul pour une sodomie puissante. Sans préparation, elle engloutit mon sexe, j'étais estomaqué! Par vice j'ajoutais 3 doigts dans son cul déjà rempli! Étonnante Sandy, toujours à repousser ses limites... Décidé à explorer cette voie, je me décida à fister ma chère salope : après une bonne défonce, elle absorba sans mal ma main dans la chatte...
En guise de félicitation, Sandy put savourer mon sperme sur son visage et alla même jusqu'à lécher les gouttes tombées sur les sol et à mes pieds (après un passage dans une eau à 16°C, mais c'est une autre histoire!)
Bob
La piscine
Ce jour-là il faisait chaud, le temps idéal pour essayer un fantasme qui me trottait dans la tête depuis longtemps. J'avais envie de baiser dans la piscine, je n'en avais jamais eu l'occasion, même avec Patrick. Depuis le début de notre histoire, nous réalisons les fantasmes de chacun, c'est comme ça que je me suis retrouvée avec Bob dans la piscine, camera en place pour filmer.
Avant d'y aller, mon maître m'a demandé de sucer son énorme queue dans le salon puis il me pénétra, j'étais très excitée... Suite à cet intermède, nous nous sommes dirigés vers la piscine où Bob me baisa, encore et encore, me fit jouir comme à chaque fois de ses coups de reins puissants, entrecoupé de moments de jeux des plus agréables.
De retour dans la maison, je le suçais, me suis préparé le cul avec mes doigts pour qu'il me sodomise jusqu'à jouir dans mon trou béant. Ce fut intense comme toujours.......
Cette incessante envie de lui et de sa queue me pousse dans le vice et j aime ça....
Obsession du plaisir, cette descente aux enfers incontrôlable, qui me pousse loin, toujours plus loin, jusqu'à faire n'importe quoi pour l obtenir......
Baisée dans un lieu désaffecté
Bob avait donné rendez vous sur leur lieu traditionnel le célèbre parking . Sandy arriva en petit haut, bretelles noires, petite jupette noire également, bas et porte jarretelles sans rien dessous bien évidemment. Bob avait prévu d'amener Sandy dans un nouveau lieu de débauche sans qu'elle ne soit au courant ; c est ainsi qu'elle embarqua dans sa voiture sans savoir ce qu'il lui réservait comme surprise. Ils arrivèrent au lieu propice a leurs ébats un bâtiment immense désaffecté livre aux squatteurs et autres taggeurs.
Il lui donna d'abord l'ordre d'enlever son haut pour laisser apparaître sa poitrine, puis sa jupe pour laisser apparaître sa chatte. Elle n'attendait qu'une chose, la queue énorme de son maître-amant! Sandy se promenait nue sur le petit sentier qui mène en ce lieu sous l'œil et l objectif dressé de Bob. Il lui fit prendre de belles postures de soumise pour mon plus grand plaisir : je n'attendait que ça, voir immortaliser la dévotion de Sandy la salope a son maître amant.
Après de superbes photos,il lui ordonna de prendre sa queue en bouche. Elle s'empressa de lui prodiguer une gorge profonde, ce qui, malgré le sexe énorme de son amant, ne faisait plus peur à Sandy. Ensuite Bob refit des photos à mon intention puis il la prit fougueusement dans sa chatte et son cul avant qu'il ne la récompense de sa semence sur son visage. Sandy avala tout sans en perdre une goutte.
Ils repartirent, Sandy toujours quasiment nue et Bob fier de la nouvelle étape qu'elle avait franchi dans l'exhibition de son corps et de sa soumission envers lui, ce qu'elle prouva peu après ......
Patrick
Un amant, un black, un baiseur, un cocu voyeur...
Voilà les acteurs de cette nouvelle étape dans l éducation de Sandy : Bob avait prévu une petite pluralité dans un hôtel. Sandy attendait dans la chambre, les yeux bandés, un rosebud dans le cul, avec son collier et sa laisse. J'avais écrit sur son torse pute soumise et dans son dos vide couilles... Je laissai donc Sandy dans la chambre pour faire rentrer les invités du jour. Il fallait qu'elle apprenne à attendre, à contenir son envie de baiser, mais l attente allait être de courte durée.
Nous entrâmes dans la chambre où Sandy attendait sagement à quatre pattes le cul tendu. Quelle délicieuse image que de voir Sandy ainsi offerte a ces mâles qui n attendaient qu'une chose la baiser et lui remplir chacun de ses orifices. Elle s'attela a pomper ces belles tiges tendues qu'elle goba les unes après les autres avant que Bob ne puisse se retenir de mettre sa grosse queue dans sa chatte qui miaulait d impatience.
Elle vint s'asseoir sur la queue de son amant pendant qu'un des invités lui préparait son anus avec un doigt puis deux doigts avant de s empaler dans son petit trou, une belle double pénétration qu'elle aimait prendre de plus en plus. Sandy râlait de plaisir, de ces va-et-vient dans sa chatte et son cul pendant qu'elle suçait le black qui était estomaqués de voir une si grosse salope devant ses yeux
Quand ils se retirèrent de ses orifices, le cul et la chatte de Sandy laissèrent apparaître deux trous béants complètement dilatés, quelle vision de perversité !!!!
Après une pause o combien méritée, elle s'employa à les faire cracher leur semence sur son visage et son corps ce qu'elle fit sans problèmes vu sa dextérité.
Avant de repartir Bob exigea de Sandy qu'elle pose nue dans le couloir de l hôtel afin de montrer sa soumission a son maître-amant ce qu'elle ne rechigna pas de faire ; Sandy avait franchi encore une étape, elle n était plus une salope mais une pute avide de queues et de jouissance, ce qu'elle nous empressa de démontrer encore par la suite....
Patrick
A suivre bientôt
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Sont drôlement bien équipés pour baiser en extérieurs ces mecs. Je ne parle pas uniquement des tailles de leurs queues..!
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Entre leurs mains:Pouvoir et sensualité Blacks. En vrac
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Entre leurs mains:Pouvoir et sensualité Blacks. En vrac
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Brèves Automnales...
La vie est pleine de surprises.... Pour tous...
Afrique
L'histoire remonte à quelques années. A l'époque, j'avais 35 ans et ma femme la trentaine. Nous avions déjà fait quelques petits jeux érotiques, notamment à plusieurs reprises. Sandra, lors de sorties en boite, avait accepté de danser avec d'autres hommes.
Et là, j'avais pu apprécier la regarder danser et se laisser peu à peu draguer. A chaque fois, quand je voyais les mains de son cavalier glisser sur son corps et leurs bouches se coller, j'éprouvais toujours la même excitation. Et à chaque fois j'encourageais Sandra à aller encore un peu plus loin! Je la sentais hésitante, amusée par ma demande mais toujours avec ce brin de malice qui me confirmait que celà lui plaisait et qu'un jour elle oserait vraiment.
Sur ce, une nouvelle occasion professionnelle et voici que je me retrouve en Afrique pour un an. Pour mon travail, je me trouvais pas mal occupé mais Sandra n'avait pas grand chose à faire, seule dans la villa avec le boy qui lui faisait tout. Sa principale occupation c’était peu être de prendre la voiture et d'aller faire les courses avec le boy.Ou alors le week-end lorsque nous allions à la plage. Elle faisait bien aussi un peu de bronzing autour de la petite piscine que nous avions.
C'est à cette occasion qu'elle me dit avoir senti que le boy l'observait. Je lui ai dit que c’était tout à fait normal qu'il regarde une jolie fille en petite tenue. Ça la faisait rire, je rajoutais qu'elle devrait peu être en profiter pour l'exciter un peu. Toujours en riant, elle me dit que j’étais fou!
Toujours est il qu'au bout de 2 ou 3 mois, le boy l'avait surprise plusieurs fois en tenue d’Ève! Et elle me disait cela sur un ton amusé voir même coquin!
Les choses auraient pu durer indéfiniment comme cela si un imprévu ne s’était pas passé. Un jour ou je suis revenu tôt pour récupérer des affaires pour mon travail. Sandra qui se trouvait en ce moment allongée sur une chaise en maillot m'a suivi dans l'appartement.
Pendant que je fouillais le bureau, elle me dit aller prendre une douche, c'est nue qu'elle est revenue dans la pièce pour choisir une nouvelle tenue. Rien d'inhabituel pour le moment, mais c'est lorsqu'elle s'est retrouvée assise sur le lit, toujours nue et ses vêtements a coté, que la porte s'est ouverte sur le boy! Je pense qu'il s'est trouvé aussi surpris qu'elle, mais au lieu de refermer la porte , il restait là à la regarder et attendre je ne sais quoi!
Je ne sais pas ce qui m'a pris à cet instant mais au lieu de lui dire de sortir, je lui ai dit:
- Alors elle te plaît ta patronne?
Sentant qu'il allait faire demi tour, j'ai insisté:
- Reste là! regarde la! elle te plaît? .... Tu as envie de toucher?... Tu peux! Va y touche!
Pendant que je disais ça, je voyais le regard de Sandra aller de l'ébahissement, à la crainte puis à une sorte d'excitation. J'ai fait un petit signe interrogatif et j'ai cru y lire une acceptation.
- Allez, avance, tu peux toucher!
Le boy s'est alors rapproché de ma femme , puis hésitant a tendu une main en avant.
- Touches!
Sa main s'est posée sur un sein de ma Sandra. Puis a commencé à le caresser.
- Tu aimes? elle est douce hein? N’hésites pas, tu peux aller plus loin!
Sa main a alors glissé vers son ventre. Puis s'est rapprochée de sa chatte parfaitement lisse. J'ai alors vu Sandra lui ouvrir les cuisses et se pencher en arrière. Là, j’étais sûr qu'elle était d'accord!
Et j'ai eu envie qu' elle aille jusqu'au bout, qu'un autre homme enfin glisse son sexe en elle. Par chance, je savais que quelques capotes devaient traîner dans la salle de bain. Je me suis empressé d'aller les prendre. Puis j'en ai tendu une au boy en lui disant:
- Tiens! Tu peux la prendre si tu veux!
Bon j'ai pas mal abrégé les paroles, je les ai aussi remisent dans un français un peu plus commun. Mais pour la première fois je voyais un autre homme glisser son sexe entre les cuisses de ma femme. Je peux vous dire que c'est follement excitant. Sandra , des les premiers va-et-vient a commencé à pousser des gémissements. Et j'ai vu cet homme, à l'approche hésitante , prendre enfin ma femme en main, ses coups de reins était de plus en plus sec, viril. Je voyais le corps de la belle vibrer, que dis je sursauter à chaque coup de buttoir. Et des petits cris sortir de sa bouche.
Je suis pas mal monté ( j'ai un bon 18cm) mais la ma femme découvrait une queue d'une autre dimension, un bon 22! et je voyais bien la différence. Sans parler de tout le temps qu'il a mis à la pilonner! j'avais l'impression qu'il ne s’arrêterait jamais. Enfin quelques coups plus vigoureux me firent comprendre que le final arrivait. j'imaginais la capote se remplir , se remplir.... Et la, il s'allongea sur Sandra. J'imaginais le repos du guerrier et discrètement, je sortis de la chambre pour me rendre follement troublé à mon travail.
Quand je rentais, vers les 19h, je trouvais Sandra assise dans le salon. Un grand regard illumina son visage quand elle me vit, j’entendais le boy travailler dans la cuisine.
Son premier mot, merci!
Le boy rentrant pour mettre la table, nous n'avons pas échangé un mot de plus sur le sujet. Ce n'est que plus tard, une fois seul que nous avons pu échanger nos sensations. Et heureusement Sandra m'avoua avoir adoré. je n'en demandais pas plus! Et d'une petite voix hésitante, elle me demanda si j’étais d'accord pour qu'elle le refasse, je ne pouvais dire que oui! Mais elle ajouta :
- Quand tu n'es pas là aussi?
- ... ( un peu hésitant quand même) Ben oui, bien sur si tu en as envie!
Ce fut le début. Les jours passaient, moi j'allais travailler et pendant ce temps là Sandra occupait ses moments libre avec le boy. Elle me racontait le soir et réussissait à me transmettre le plaisir qu'elle avait eu.
Cela a duré presque 6 mois. jusqu’à notre retour. Un fois en France, elle a commencé à me donner un peu plus d'informations. C'est comme cela que j'ai appris qu'elle avait elle même emmené le boy pour un contrôle médical et un test sida. Il n'avait rien, donc fini les capotes.
J'ai aussi appris qu'il lui avait proposé de visiter l'endroit ou il habitait. Et aussi l'endroit ou il sortait avec ses copains. Elle m'avoua aussi que , à la demande du boy, elle s’était déshabillée devant eux et s’était laissée toucher, un peu gênée, elle a reconnu même les avoir sucé.
Sandra n’était donc pas aussi sage et prude que je le pensais. De savoir qu'elle avait pris de l'initiative( même si ce n’était pas elle directement mais plutôt le boy qui l'avait téléguidé) m'excitait encore plus. Mais ce séjour en Afrique eu d'autres conséquences. Bien que depuis elle s'est élargie, vu le nombre d'hommes qu'elle a connu, il lui reste toujours une petite expérience pour les blacks.
Ciné-clubs
Ça faisait cinq vendredis de suite que Sonia allait dans ce cinéma, proche des grands boulevards. Elle s’y rendait avec Christine, une camarade de classe. D’après le conseil de discipline, Christine était la fille la plus délurée du lycée, établissement qui regorgeait pourtant de polissonnes en tous genres.
Le baccalauréat se refusant obstinément à cette charmante enfant, elle avait redoublé deux fois la terminale. Bref, elle dépassait maintenant les vingt ans, ce qui lui conférait un certain ascendant sur Sonia qui n’en comptait que dix-huit.
Cette histoire date d’avant le DVD, à l’époque du franc français, où de petites salles montraient encore des films pornographiques. Les deux jeunes filles raffolaient du X. À défaut de pop-corn, depuis cinq semaines, elles dévoraient la toile du cinéma spécialisé. En s’y rendant, elles disaient à leurs mamans – avec des poses d’intellectuelles - qu’elles assisteraient à une « projection d’ébats ».
Toujours est-il que l’habitude qu’avait prise Christine de se faire payer l’entrée par Sonia commençait à taper sérieusement sur les nerfs de cette dernière. D’autant que c’était évidemment Christine qui avait eu l’idée de ce type de sortie !
Alors, ce vendredi-là, quand elles arrivèrent à la caisse, Sonia laissa éclater sa colère :
- Dis donc, Christine…
- Quoi ?
- Aujourd’hui, je n’ai pas envie de payer encore toute seule les deux billets. Je ne roule pas sur l’or, tu sais.
Christine eut l’air surprise, puis contrariée.
- Je ne règle pas toujours ma place ? demanda-t-elle, ingénument.
- Non, dit Sonia, d’une voix courroucée. Tu as acheté ta place le premier vendredi et depuis, plus une seule fois. Je ne suis pas grippe-sou, mais il faut que je m’en tire avec cinquante francs d’argent de poche par semaine et en plus, je dois…
- C’est moi qui banque tout le temps pour le métro, non ? objecta Christine.
Il y avait des moments où Sonia lui aurait volontiers arraché les yeux avec les ongles.
- Tu te fous de moi ? Ou quoi ? Un billet de cinéma, ça coûte dix fois plus qu’un ticket de métro !
- OK, OK, dit Christine, calme-toi. Si tu le prends sur ce ton-là…
L’air fâché, elle fouilla les poches de son jean.
- Je n’ai que dix francs sur moi, c’est assez ?
- Tu sais très bien que non. Et il faut aussi que tu me rembourses ce que tu me dois…
- Bon, eh bien, tant pis ! Il ne nous reste plus qu’à rentrer chez moi, dit Christine, le nez pincé. J’essaierai de demander des sous à maman, si c’est ce que tu veux !
OoooOoooo
Christine pénétra dans l’immeuble avec le pas chaloupé des stars du X. Elle était mince et mesurait un mètre soixante-quinze pieds nus. Cet après-midi-là, elle portait des souliers à talons, une mini-jupe taille basse et, en guise de haut, un simple bandeau en stretch noué dans le dos. Si elle n’avait ni tatouage au-dessus des fesses ni piercing dans le nombril, c’est parce que la mode n’en était pas encore venue. Dans l’ascenseur, Sonia lui dit :
- Ça fait cinquante et un francs que tu me dois.
Sans répondre, Christine ouvrit la porte de l’appartement. Aussitôt entrée, elle s’affaissa dans l’un des fauteuils du salon. Pensive, elle se mit à ronger l’ongle de son pouce droit.
- On va attendre un peu, dit-elle.
Sonia prit une chaise et observa son amie.
- Ah, non ! s’écria-t-elle soudain, scandalisée.
- Qu’est-ce qu’il y a encore ? répondit Christine, exaspérée, tout en resserrant fébrilement les cuisses.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qu’il y a ? Tu le sais parfaitement, ce qu’il y a ! Et tu sais que ça me gêne !
- Quoi ? Quoi ? Je n’ai pas de culotte, et alors ? C’est moi que ça regarde, non ?
- C’est toi que ça regarde ? C’est moi qui regarde ça, oui ! Et ça me gêne !
- Et d’aller voir des films de cul, ça gêne aussi mademoiselle, peut-être ?
- Bien sûr que non, parce que c’est joué. Ça ne me gêne pas non plus de voir des films de guerre, ou d’horreur. Mais je n’aime pas voir quand c’est pour de vrai. Et ton histoire de « sans culotte attitude », c’est bon pour le cinéma, pas pour de vrai.
À ce moment, une voix masculine retentit dans l’appartement.
- C’est ton frère ? questionna Sonia.
- Comment veux-tu que je sache qui c’est ? Je viens juste de rentrer !
Peu soucieuse de se laisser distraire, Sonia se recentra sur l’objet de sa visite :
- Bon, et mes sous ? Je m’excuse d’insister…
- Putain ! Je ne te connaissais pas aussi fouille-merde ! Tu veux que je te dise ? Tu me fais chier ! Si tu y tiens tant que ça, à tes cinquante et un francs, tu n’as qu’à aller les demander à maman toi-même ! Maintenant, lâche-moi les baskets, veux-tu ?
- Ce n’est pas à ta maman que j’ai prêté des sous, répondit Sonia. Mais s’il faut que ce soit moi qui les lui réclame, d’accord. Elle est dans sa chambre ?
- Je viens de te le dire : comment tu veux que je sache si maman est dans sa putain de chambre ? Je viens de rentrer. De r-e-n-t-r-é ! s’exclama-t-elle, avec une faute d’orthographe.
Sonia se leva donc pour aller explorer toute seule le reste de l’appartement.
OoooOoooo
Parvenue près d’une chambre, au fond du couloir, Sonia entendit la maman. Elle était avec quelqu’un. La même voix masculine que tout à l’heure disait quelque chose que Sonia eut d’abord du mal à comprendre. En fait, la voix disait :
- Oui, c’est ça… fais-moi ton strip-tease ! Enlève ton soutif d’abord. Comme ça, oui ! Montre-moi bien tes nibards, tes gros nénés de grosse salope ! Ouais, c’est ça…
Sonia qui sortait d’une heure et demie d’un dialogue identique en demeura stupéfaite. Elle imaginait mal la maman de sa copine dans une scène hard ! Incrédule, elle poussa un peu la porte, qui était déjà entrebâillée. L’homme poursuivait ses obscénités :
- Très bien ! Maintenant, ta jupe ! Baisse-la lentement ! Montre-moi ton cul ! Tu as encore un beau cul, hein ! Salope ! Et il est pour qui, ce joli cul ?
- Il est pour toi ! Rien que pour toi ! C’est pour lui que tu es venu… n’est-ce pas, mon chou ?
Sonia était partagée entre honte et curiosité. Elle voulut en avoir le cœur net. Elle poussa davantage la porte, jusqu’à ce qu’elle puisse voir le couple. Ou plutôt, l’image du couple que renvoyait le miroir de l’armoire à glace.
C’était bien Jacqueline, la maman de Christine, qui se trouvait dans la pièce. Elle n’avait plus sur elle que sa culotte, un porte-jarretelles et une paire de bas. Un jeune homme, ou un homme (Sonia hésitait) était assis et la regardait. Ni petit ni grand, il était roux. C’est une caractéristique physique qui gomme toutes les autres. Il était habillé cool : tennis, jean et polo.
- Remue-toi ! poursuivit-il. Fais valser tes nichons ! Oui, parfait ! Continue, comme ça !
Sonia détourna les yeux, le temps de respirer, de reprendre ses esprits. Elle connaissait très bien la maman de Christine. Jadis, celle-ci l’emmenait parfois promener au jardin d’enfants, avec sa propre fille. À présent, c’était une dame d’environ quarante-cinq ans. Elle était divorcée depuis deux ans, et il n’était jamais venu à l’idée de Sonia qu’elle pût avoir des relations sexuelles, surtout de cette sorte ! Elle la voyait « grande personne, exemplaire, irréprochable » !
Bien qu’elle en eût la preuve vivante, il était difficile pour Sonia d’admettre que cette dame pouvait s’exhiber aussi malproprement. Cette dame qui l’avait prise sur ses genoux, lui avait offert des sucres d’orge et témoignait toujours la plus exquise gentillesse. Pour l’heure, le dos tourné vers l’homme, le tronc penché en avant, elle montrait ses fesses tout en faisant balancer sa lourde poitrine.
- La culotte qui rentre dans la raie, tu ne peux pas deviner comme ça m’excite. Tu me fais bander, Jacqueline…
Sonia vit que l’homme se déshabillait. Il était agréablement musclé, ma foi ! Avec un derrière tout en nerfs. Son sexe jaillissait d’une forêt de poils roux. C’était un sexe plus modeste que ceux que Sonia voyait d’habitude sur les écrans, mais plus expressif, lui sembla-t-il.
OoooOoooo
En tout cas, le pire était à venir. L’homme empoigna les hanches de la maman de Christine et se frotta le sexe entre les fesses. On aurait dit que la dame avait le diable dans le bas du dos. Elle ondulait de la croupe comme une possédée. Elle s’agitait tellement que l’homme dit crûment :
- Calme-toi un peu, Jacqueline ! Je suis venu te voir pour une vidange, d’accord… mais enfin, je ne voudrais pas gicler tout de suite, sans profiter un peu…
- Oui, mais tu es arrivé trop tard, dit la dame. Christine risque de rentrer. Il ne faudrait pas qu’elle nous surprenne en train de baiser ! Tu vois d’ici la galère !
Sourd à ses arguments, l’homme continua à se caresser doucement dans la raie. Attentif à ses sensations, il contemplait le plafond ! À la fin, semblant émerger d’une profonde réflexion, il dit toutefois :
- Bon d’accord ! Si Chris risque de rentrer… Allez : ôte vite ta culotte, et à quatre pattes sur le lit ! Allons, allons, pressons : pour Chris !
hLa dame s’exécuta.
- Tu me prends par le petit trou ?
- Ah, non ! Tu es chiante : il faut trop de temps ! Et en plus de ça, tu as laissé le gel lubrifiant dans la salle de bain. La prochaine fois, si tu veux… Écarte les genoux et cambre-toi ! Allez, fais bien ta salope ! On est pressé !
À ce moment, Sonia se crut dans le plus minable des navets pornographiques. Jacqueline disait :
- Ouais, je la sens ta grosse bite ! Vas-y ! Je suis ta salope ! Ta salope qui t’excite ! Hein, mon chou ? Allez… Continue ! Continue ! Tu vas me faire jouir !
Estomaquée, Sonia ne savait que penser. Question sexe, elle n’avait pas véritablement d’expérience. Avec Christine, elle commençait à se dévergonder un peu, mais pas trop. Elle se faisait des toiles X en sa compagnie et puis après, elle lui reprochait d’y être allée sans culotte. C’était puéril ! Enfantin ! En tout cas, elle était navrée. Le spectacle de la maman lui révélait que la chair pouvait être triste, hélas !
Le jeune homme fut pris de tremblements et jouit, en donnant de grandes claques sur le fessier de la dame. Sonia se dit que le bruit de ces gifles devait s’entendre du salon. Il lui vint que la conversation du couple manquait aussi de discrétion. Le type se retira aussitôt. Jacqueline fit demi-tour. Elle s’assit au bord du lit, l’air attendrie. D’une main, elle saisit le sexe gluant qui pendait, qu’elle fit mine de vouloir masturber… Son partenaire en fut agacé.
- Tu es fâché, mon chou ? dit-elle.
- …
- Dis, tu reviendras quand, pour le petit trou ?
Elle affecta une posture coquine et lâcha :
- Tu reviendras quand, pour « m’enculer » ? dit-elle, en poussant sur ses lèvres pour dire le dernier mot, comme si prononcer un gros mot nécessitait qu’on pousse.
- …
- Tu sais, je suis au courant que tu encules ma fille. Elle ne met plus de culotte. C’est toi qui l’exiges. Je ne suis pas aveugle. Je n’ignore rien de ce qui se passe. Tu lui as bourré le mou avec cette connerie de « sans culotte attitude », soit ! Elle est majeure ! C’est son affaire ! Mais il n’y a pas que le trou du cul de Christine dans la vie… Alors, mon chou, dis : tu reviendras quand, pour enculer ta belle-maman ?
OoooOoooo
Sonia s’éclipsa. Bouleversée, elle entra précipitamment dans la salle de bain où elle faillit vomir dans la cuvette des waters. Elle tira la chasse, but un verre d’eau et regagna le salon.
- Alors, tu as vu maman ? demanda Christine.
- Non…
- Non ? Mais qu’est-ce que tu as foutu pendant tout ce temps-là ?
- J’étais aux toilettes. Il y a un truc qui m’a barbouillée. J’avais une sorte de diarrhée, expliqua-t-elle en se frottant le ventre.
Le rouquin fit irruption dans la pièce. Il était en jean, torse nu. Décoiffé, on voyait qu’il sortait du lit, ou quelque chose comme ça.
- Tiens, tu es là ? fit Christine, faussement étonnée.
L’homme l’embrassa à pleine bouche.
- Je te présente Bruno, dit-elle à l’adresse de Sonia. C’est mon ami. Que faisais-tu ? reprit-elle, en direction de l’homme.
- Je dormais dans ta chambre. Mon colocataire est infernal ! Je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit ! Alors, je suis venu me reposer ici.
- Qu’est-ce qu’il fait, votre coloc ? interrogea Sonia.
- Très franchement, il vaut mieux que je ne commence pas à raconter, ça m’énerve ! dit-il en allumant une cigarette qu’il prit dans le paquet de Christine.
Il tira quelques bouffées.
- Ce serait mieux si j’habitais ici, non ? Tu crois que ta mère voudrait ? interrogea-t-il.
- Elle est là, maman ?
- Ouais, elle doit être dans sa chambre.
Puis, il regarda Sonia :
- J’adore votre bustier, dit-il. Il est formidable. Le tissu, c’est ce qu’on appelle le madras, non ?
- Oui, tout à fait. C’est maman qui me l’a rapporté de la Martinique.
- Elle voyage beaucoup, votre maman ? Quel âge a-t-elle ?
- Elle est jeune. Elle n’a que trente-neuf ans, pourquoi ?
- Je peux vous demander votre nom ?
- Ma copine s’appelle Sonia, interrompit Christine, sèchement.
- Et vous deux, les filles : qu’avez-vous fait, cet après-midi ?
- Nous sommes allées au cinéma, voir un film de Bergman. Ça se passait en Suède : mortel !
- Tu me sors en boîte ce soir ? demanda Christine.
- Ah non ! Pas en boîte ! Je suis crevé, je t’assure…
Le crépuscule était venu. Sonia décida de partir. Elle avait dix-huit stations de métro pour rentrer chez elle, autant que son âge. Quand elle passa devant Bruno, celui-ci lui glissa un billet :
- Écoute minette, téléphone-moi ce soir à ce numéro. J’ai un bon plan…
Christine raccompagna Sonia à la porte de l’appartement. Au moment des adieux, elle se ravisa :
- Quelle conne je fais ! dit-elle. Et ton argent ! Je ne l’ai pas demandé à maman.
- Oh, ce n’est pas la peine, sais-tu… C’est toujours toi qui paies le métro. C’est bon comme ça. Laisse tomber !
- Mais tu disais que tu n’avais pas beaucoup d’argent de poche et que…
- Laisse béton, que je te dis !
OoooOoooo
Dehors, Sonia se dirigea à grandes enjambées vers la station de métro la plus proche.
Ne souhaite pas publier son adresse
Je croyais que ma femme n’aimait pas baiser.
Austère, grise, revêche, pas drôle quoi, elle est triste ta femme, une emmerdeuse. Voilà ce que me disent mes amis. Ou plutôt ce qu’ils me disaient, parce que depuis notre petite soirée, elle a changé ma femme !
J’aime la vie, les virées entre copains, les boites et les femmes, j’aurais du rester célibataire mais voilà, je suis tombé amoureux quand j’ai rencontré Cécile et nous nous sommes mariés, elle est devenue une mère de famille sérieuse, une femme au foyer s’occupant des gosses, de la maison.
Moi, je papillonne, je vais de femmes en femmes, bref, je la trompe abondamment, je m’amuse et je la laisse à la maison où je la crois heureuse. Elle est jolie, quand elle veut, d’ailleurs je l’ai d’abord draguée pour son physique. Mais le temps, l’habitude, les soucis de la vie modifient la vision des choses. Nous faisons l’amour, de temps en temps, quand elle en a envie, pas souvent en fait.
Sauf que… Une simple étincelle suffit à mettre le feu là où tout semblait éteint !
L’étincelle c’est l’anniversaire de sa sœur, Corinne, 20 ans. Elle est très belle Corinne, elle ressemble à sa sœur avec dix ans de moins, elle est très coquine, très féminine, malicieuse, joyeuse, gaie, sacrement dégourdie aussi et pas du tout bégueule, un peu dévergondée. L’inverse de Cécile ?
Je suis l’organisateur de la fête, tous mes amis et ceux de Corinne sont là, bien sûr, plus des parents. Le soir arrive, après le dîné normalement arrosé, nous dansons, je m’occupe des invités, des couples flirtent discrètement
Cécile est en beauté, même sexy, elle porte une minirobe et c’est rare, ses longs cheveux tombent sur ses épaules dénudées, elle a les seins nus sous le tissu de sa robe, elle est maquillée et elle ne semble pas s’ennuyer. Elle aime beaucoup sa sœur.
Je ne saurai jamais pourquoi j’ai dit à l’un des amis de Corinne que je ne connaissais pas, que Cécile était le meilleur coup de toutes les femmes présentes en me faisant passer pour l’un de ses nombreux amants, j’ai ajouté que son mari n’était pas là et que son pied était de se faire sauter par tout un régiment, une insatiable, précisais-je ! Elle semble inaccessible et un peu froide, ce n’est qu’une façade qui tombe aussi vite que sa petite culotte quand l’ambiance est propice ! Il faut s’en occuper, c’est tout !
Le type m’a cru sur parole, sans chercher plus loin, objectif Cécile !
Un petit conciliabule a réuni autour de lui trois ou quatre de ses copains et le voilà parti à l’assaut de la citadelle ! Je me marrais d’avance, le bide qu’il allait se prendre le naïf !
Je le laisse à ses espérances et je parts à la conquête d’une charmante petite femme que j’ai repérée, elle est mal accompagnée d’un mari pénible, un vague parent, mais elle est très bandante avec sa minijupe au ras des fesses et sa petite culotte qu’elle montre involontairement à tout le monde.
Elle est toute timide, réfugiée dans un coin du jardin, à l’écart. Son mari, visiblement fatigué par un peu trop de vin, s’est assis dans un fauteuil, l’air hagard et tente de récupérer. Sa femme, un peu partie aussi, pleurniche en se lamentant de l’intempérance de son époux. Je la console en la prenant dans mes bras, en lui disant que cela arrivait, etc. J’en profite pour la peloter et lui mettre la main au cul en la retroussant par " inadvertance ".
Un peu plus tard, le mari somnole toujours dans son fauteuil pendant que je m’active dans le délicieux con de sa femme que je viens de culbuter allongée sur un " bain de soleil ". Très surprise de sa propre infidélité d’ailleurs la dame, elle me répète sans cesse :
- Mais qu’est-ce que vous me faites ! Oh ! Lala, qu’est-ce que vous me faites ! " Alors qu’elle a les jambes nouées autour de mes hanches, que je la ramone à fond depuis deux minutes et qu’elle ajoute en haletant :
- Vas-y baise-moi, enfile-moi, défonce-moi, mets-moi tout dedans… " dans un souffle.
Juste coté de son mari qui nous regarde, vaguement intrigué mais trop abruti par l’alcool pour réagir. Je gicle en elle quand elle se pâme en hurlant emportée par son orgasme. J’abandonne l’infidèle, le con plein de mon foutre, quand elle tente d’expliquer ses cris à son cocu de mari un peu dégrisé qui balbutie :
- Tu t’es fait sauter ! Mais tu t’es fait sauter devant moi, salope, je t’ai vu… ".
Après ce petit intermède salutaire, Je me dirige vers la piste de danse où tout le monde semble s’amuser. Il y a de quoi, cinq filles lèvent la jambe dans une sorte de French-cancan en relevant haut les robes sur un air de rock. Les petites culottes en gros plans, ça me fait toujours de l’effet, j’ai vraiment envie de me taper ma belle-sœur. Je ne vois pas ma femme.
Quelqu’un me dit qu’elle est partie dans le jardin.
Ils y sont, et le bellâtre batifole avec elle sans se gêner dans un coin peu éloigné de l’endroit où je venais de me farcir l’épouse du poivrot.
Très surpris, je me camoufle pour m’approcher d’eux, il n’y a pas de doute, je la vois les seins à l’air, troussée jusqu’à la taille, sa petite culotte à demi baissée sur les cuisses et lui qui la pelote partout. Elle ne dit rien et se laisse faire, il en profite, le salaud, une main lui malaxe la poitrine et l’autre s’occupe de sa chatte, je le vois qui lui introduit un doigt dedans.
Mais il va la baiser le fumier me dis-je !
Je décide de m’approcher hésitant entre trois attitudes : je passe par-là par hasard en expliquant au gus que si je lui ai dit ça tout à l’heure, c’était pour plaisanter. Je me fâche, mais le mec est plus fort que moi. Je me tais et j’attends pour voir jusqu’où elle va aller. Je choisis la troisième solution.
Ce n’était pas la bonne. Ce n’est plus un homme qui la manipule mais quatre. Il a recruté le salaud ! Elle a des mains sur tout le corps ! Je ne la reconnais plus, elle à l’air de prendre un plaisir extrême, totalement impudique et elle est belle, incroyablement excitante. Ils lui ont ôté son slip, elle a la robe remontée à la taille, la vulve bien apparente, de ma cachette, je vois sa fente et ses lèvres encombrées de doigts, les seins à l’air. Ils la triturent dans tous les sens ! J’imagine les doigts lui fouillant le vagin et l’anus enfin tout ce qu’un homme fait à une femme qui s’offre avant de la sauter multiplié par quatre !
Je l’insulte mentalement : la salope ! Putain d’hypocrite de salope ! Elle veut se faire mettre, ma parole ! Une voix intérieure me souffle que je l’ai bien cherché, qu’il ne faut pas jouer avec le feu, que je ne me gêne pas moi-même mais malgré tout je pense qu’il a du se passer quelque chose, elle n’a pas pu se métamorphoser en si peu de temps.
Celui que j’appelle le Bellâtre la fait se pencher en avant sur un type assis sur un banc, je la vois qui gobe la verge tendue pendant que l’autre, placé derrière, la pénètre d’un coup de rein, je l’entends gémir sous l’intrusion. Je ne sais pas si elle se fait sodomiser ou prendre en levrette mais en tout cas elle a deux queues dans le corps et me voilà bel et bien cocu !
Ils sont trop occuper pour remarquer que je suis très près d’eux, doucement je m’approche encore, juste à coté des deux autres types qui regardent, le sexe à l’air et en l’air et qui attendent leur tour, tout simplement. Ils me font un signe voulant dire que ça vaut le coup de patienter un peu.
Le bellâtre besogne méthodiquement le con de Cécile en la tenant par les hanches pendant qu’elle suce consciencieusement la bite du mec assis. Cela me fait un drôle d’effet de la voir se faire enfiler, je suis furieux, oui, jaloux et en même temps curieusement excité par les queues qui l’envahissent.
Je vois sa bouche déformée qui monte et qui descend le long de la hampe du gars qu’elle suce, je vois la bite aller et venir dans son vagin que je connais si bien. Je sais qu’elle est prête à jouir, elle gémit et tressaille, elle a un spasme et je vois ses jambes s’affaisser, elle jouit quant celui qu’elle a en bouche lui envoi la sauce, ça déborde et ça lui coule sur le menton, je vais éjaculer dans mon pantalon si je ne sorts pas ma bite, l’autre aussi lui décharge tout son foutre dans le con et moi je me masturbe en regardant ma femme se faire baiser.
Les deux hommes se retirent d’elle et les deux autres arrivent en même temps, je les vois qui se concertent. L’un s’allonge sur le banc, docile, Cécile se place sur lui, il l’enfile directement, l’autre arrive derrière, lui enduit l’anus de sperme qui lui dégouline sur les cuisses, pointe son bout sur la rosette, appuie, s’enfonce un peu et l’encule à fond d’un coup. Elle en a deux dans le ventre !
Et ils la bourrent dur les salauds, je vois nettement les deux pines entrer et sortir de ses deux orifices. Elle devient folle ma petite femme, elle, se faire tringler de la sorte ! Je n’en crois pas mes yeux, ce n’est pas possible, ce n’est pas elle ! Excité comme jamais de la regarder se faire pistonner le con et le cul, je n’en peux plus, je lui place ma verge devant le nez, elle ouvre les yeux, me reconnaît et avale mon sexe en soupirant d’aise.
Mes yeux vont de sa bouche aux deux autres qui la labourent sauvagement, je les vois qui vont se vider en elle et je la vois qui jouit encore et encore, je gicle dans sa bouche pendant que les deux autres déchargent et se répandent en elle à leur tour.
Corinne, venue nous rejoindre nous observe mi amusée, mi émoustillée, puis je reconnais le type qui se trouve à coté d’elle, c’est le poivrot, celui que j’ai cocufié tout à l’heure.
Lui, dégrisé, me cherchait, pas content. Il a tout de suite compris comment se venger, à peine les deux qui venaient de fourrer Cécile sortaient leur engin et sans qu’elle puisse faire le moindre geste, il s’est installé devant elle, il l’a soulevée, lui a passé la bite sur le bord de la fente et vlan !
Il se la baise sans hésitations. Cécile est ballottée comme une poupée, proprement défoncée. Les yeux fermés, elle s’abandonne totalement à cette queue qui la bourre vigoureusement. Corinne et la femme du type, celle dont je m’étais occupée, suivis par ceux qui venaient de profiter de ma femme, encouragent bruyamment le violeur, il y a bientôt un attroupement autour d’eux. Je vois le sexe de ce salaud qui rentre et sort à toute vitesse du vagin de Cécile, elle râle dans des orgasmes à répétitions. Il éjacule enfin au fond d’elle dans un grognement de satisfaction.
Je regarde Cécile, jambes écartée, pleine de foutre dans tous les trous qui reprend son souffle, cinq mecs d’un coup ! Ça fait beaucoup ! Je lui prends le bras, je la force à se lever et nous partons, la fête est finie.
Elle et le cocu se sont vengés en me cocufiant eux-mêmes !
Je serais plus discret et je fermerai ma gueule la prochaine fois ! Je saurai plus tard que Cécile m’avait entendu raconter mes conneries et qu’ensuite elle m’a vue dans le jardin avec la femme du mec qui l’a baisée en dernier.
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Extrait de film: The king is alive. 2000. Torride..!
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Les productions de votre serviteur.
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Histoire du net; Auteursss: lessatyres. Confidences à six mains... Fin
De plus en plus loin. de plus en plus bas.
De plus en plus difficile de s'en passer...
DESCENTE AUX ENFERS D'UN TRIO CANDAULISTE
Fin.
Auteurs : lessatyres
Au clavier : soit Bob le maitre-amant, soit Sandy la salope, soit Patrick le cocu soumis
Baisée dans les toilettes d une aire d autoroute
Pour cette nouvelle étape,tous les trois nous nous étions fixes rendez vous sur une aire d autoroute fréquentée, entre midi et deux,afin de poursuivre dans notre voie qu est la perversité
Sandy arriva la première sur le lieu de rendez vous habillée d une jupe longue et d un petit haut qui laissait entrevoir sa poitrine et comme a son habitude sans aucuns artifices dessous suivi par moi Patrick et quelques minutes plus tard de Bob.
Le parking était bondé de routiers et autres vacanciers de passage;il l'entraina vers les toilettes tout en me disant de rester devant la porte et de faire le guet;ce que je fis sans rechigner.
Les routiers étrangers étaient occupés à laver leur vaisselle ou a faire leur toilette alors qu'a un mètre d eux Sandy se faisait baiser allégrement par son amant ;j en avais le boxer tout gonfle de les savoir la avec tout ce monde autour.
Peu de bruits sortaient des toilettes entrecoupes des actionnements de cuvette pour essayer de couvrir les gémissements de Sandy .au bout de dix minutes,Bob sortit des toilettes tout en me disant :
- Vas y cocu je lui ai rempli la chatte va nettoyer"!!!
J étais interloqué par la vision de la chatte de Sandy remplie du jus de son amant ,elle m'ordonna de lui lécher la chatte enspermée et j avoue ce fut un plaisir très excitant!!!
Puis ensuite, elle me permit de la prendre a mon tour en levrette et je pus ainsi exploser en elle,c était bon tout simplement. Un moment de partage et de complicité, ou nous découvrîmes que lorsque nous étions réunis tous les trois nous poussions la perversité encore un peu plus chaque fois......
Patrick
Scotchée par son amant maître
Bob avait donne rendez vous a sa catin au bord du lac ou ils s étaient vus déjà plusieurs fois.Sandy vêtue d une petite robe courte sans culotte avec des talons.
Bob la fit mettre a genoux devant lui pour lui montrer sa soumission puis il lui ordonna de se mettre debout pour relever sa robe penchée vers lui,poitrine appuyée sur un banc.
Il sortit un rouleau de scotch américain et lui attacha les mains dans le dos avant d'introduire son gros sexe dans l'anus de Sandy qui n'avait pas besoin de lubrifiant tellement elle était excitée;il la prit ainsi de longues minutes ce qui eut pour effet de dilater a fond son anus qui n attendait que ça .
Bob,après s'être retiré sans jouir la fit promener au bord du lac, poignets lies a la vue de promeneurs qui auraient pu être interloqués a la vue de cette femme soumise a son maître amant.
Puis il lui ordonna qu'elle le suce a fond en gorge profonde jusqu’à a ce qu il lâche sa semence sur son visage de douce perverse.Ce fut un rendez-vous cours mais qui régalait toujours autant Sandy par son coté imprévisible qui l'excitait au plus haut point et les surprises s'enchainèrent......
patrick
Quand on cherche, on trouve !!!
Ce jour là, ayant passé la moitié de la journée a taquiner Bob sur msn,il me prit au mot, surprise !!!! J étais occupée dans les écuries quand je le vis arriver à la maison.
J'allais en prendre pour mon grade ça c'était certain !
Je le regardais arriver vers moi d un pas décidé et je me disais qu il allait me faire passer l'envie de le provoquer. Je me retrouvais a genoux dans un box :
- Suce ma queue ! " me dit Bob ce que je fit sans me faire prier, " enlève ton pantalon et a quatre pattes dans le box !
Je n'en menais pas large mais m exécutais, partagée entre excitation et crainte de ne pas savoir ce que j allais subir comme représailles. Finalement nous rentrâmes dans la maison, moi toujours les fesses a l'air lol
Je suçais cette grosse queue que j adore dans notre salon, et avant même d avoir franchie le seuil de la chambre, il me colla au meuble et me pris par derrière, un pur délice, pas besoin de préparation, je mouillais comme une folle rien que de penser a ce qui allait suivre.... Bob me baisa la chatte et le cul comme lui seul sait le faire, m arrachant encore et encore des cris de jouissance.
Je reçus un sms de mon cocu, me disant : "attendez moi j arrive !! ", mon maître l'ayant prévenu qu'il venait à la maison.
Bob et moi avons décidé de nous installer sur le canapé,afin que Patrick puisse voir Bob me baiser des qu'il franchirait la porte. A peine rentré, Patrick s était déjà déshabillé !! Moment complice comme nous les aimons tous les trois, Patrick et moi sucions Bob, ensemble !!
Bob me baisa encore et encore devant les yeux ébahis de mon cocu et jouit en moi afin que Patrick puisse nettoyer le jus de mon maître qui s écoulait de ma chatte totalement ouverte des coups de butoir de mon amant maître.
Bob commanda a Patrick de se branler devant nous et de se vider pour soulager son excitation et çà ne mit pas beaucoup de temps. C est ainsi que ce moment a trois, totalement imprévu mais si intense se finit !!!!
Sandy
Découverte des plaisirs saphiques
C'est à mon maître Bob que je dois cette expérience. Je ne suis pas bi et pas très a l'aise avec les femmes en général. Ne voulant pas me décider, il prit les devants en donnant rendez-vous à un couple que j'appellerais X et Y dont Melle Y était bi. Je n'ai pas été forcée mais je naviguais entre crainte et désir d'essayer.
Ce jour-là, même la météo n était pas au beau fixe mais tant pis, me voila partie vers notre lac préféré, celui ou nous allons régulièrement. Bob vint me rejoindre afin d'être sur que je ne ferais pas demi-tour en courant si l'envie m en prenait
Nous nous retrouvâmes tous ensemble dans un coin reculé, Bob me demanda de relever ma jupe pendant que nous marchions, afin de montrer au couple quelle salope je suis. Nous avions convenu qu'il s occuperait de moi, histoire que je soit plus détendue lol. Mon maître me demanda de sucer son énorme queue.
Là j étais en terrain connu
Je m'y attelais promptement, pas besoin de me le dire deux fois !!! J'adore la sentir gonflée dans ma bouche lors de mes va et vient humm un pur plaisir prémisse de jouissances interminables.... Melle Y vint me rejoindre, nous sucions Bob ensemble quand Mr X, s'approcha de nous afin que l'on s'occupe de lui en même temps. Mon maître demanda a Melle Y de me caresser et me doigter, ce qu'elle fit.
J'avais du mal a être a l aise mais me laissait faire, ce fut agréable sans plus. Bob me baisa contre un arbre, toujours aussi jouissif, puis ce fut le tour de Mr X de me baiser...... Mon maître baisait Melle Y quand soudain deux promeneuses nous ont interpellés agressivement, ce qui sonna la fin de cette rencontre!!!
Ce fut mémorable mais pas du tout comme nous l aurions souhaité
Bizarrement, cela ne m a pas dissuadé de réessayer, c'est ça aussi notre descente aux enfers, se dépasser, avancer et pousser plus loin, encore et encore........
Sandy
Retour de vacances
Cela faisait trois semaines que Sandy n'avait pas goûté au sexe de son amant, autant dire qu'elle était manque! A tel point que, malgré le maigre palliatif que je suis en bon cocu (je ne la fais pas jouir autant que lui, mais j essaie de contenir l incendie qui brule en elle), j'ai joué le gode de service en la laissant s'empaler sur moi pour juste prendre un ou deux orgasmes pour relâcher la pression...
C'est donc au bout de ces longues de vacances, que Sandy put ré-goûter a la queue de Bob, autant vous dire l état d excitation de ma cocufieuse! Ce fut a la maison que les retrouvailles se passèrent ; elle était vêtue d un petit haut d été qui s'attache derrière le cou qui cachait sa poitrine et ses tétons déjà tout durs et d une mini jupe en jean. A peine arrivé, Bob ne put s empêcher de remonter cette mini jupe qui laissait apparaître sa chatte qui mouillait déjà rien que par sa présence.
Sans attendre, ils se dirigèrent vers le lit conjugal ou il l'a fit mettre debout face à la camera, jupe retroussée pendant qu'il entrait sa grosse queue dans sa chatte humide; elle s'adressait à moi face à la camera, sous les ordres de Bob, elle me fit entendre que ma queue ne la comblait plus, qu'elle était une bonne salope et une bonne pute et qu'elle pouvait plus se passer de se faire défoncer par son amant; autant vous dire que ça me fit bander a un point !!! Voir mon petit bout de femme enfin se livrer un peu plus verbalement un pur plaisir.
Puis il la baisa dans toutes les positions, ouverte à ses doigts, sa main ,elle était dilatée de partout, une excitation phénoménale qui montrait a Bob à quel point elle le désirait et à quel point il lui avait manqué... Ces trois semaines d'abstinence pour Sandy furent une révélation, un changement s'opérait dans ses sentiments vis a vis de Bob; sa queue lui manquait mais l'homme et l'amant aussi!! et ça c était nouveau et se révéla une nouvelle étape importante dans ce qui était maintenant une vie a trois....
Patrick
Soumise offerte
Je conduis Sandy dans un lieu ou elle a été soumise et exhibée... Elle le sait et a pris l'initiative de mettre son collier de chienne et sous son manteau une tenue terriblement sexy. Docile et attentive, elle obéit à mon premier ordre : se mettre à genoux et me sucer. Je vois à son regard qu'elle ne craint pas la présence de voyeurs et qu'elle désire plus que tout me faire plaisir...
En parlant de voyeur, un arrive au loin... Ce n'est pas vraiment un inconnu, mais un complice Patrick était au courant, mais pas Sandy... Je sens à son soupir qu'elle ne s'attendait pas à ça, mais ne rechigne pas. Sandy obéit et suce cette grosse verge déjà tendue. Elle écarte les fesses pour moi avant de s'empaler sur lui... Son pieu est puissant, ses coups de reins aussi : il a pour consigne de la défoncer et respecte sa parole. Il enchaînait sans ménagement dans son cul et Sandy tient le choc! Elle aura raison de son endurance et accueillera une énorme éjaculation sur ses lunettes...
Sciemment je n'avais pas amené de lingettes et Sandy n'est pas encore assez prévoyante : elle s'essuiera avec sa robe et me la donnera. La voici donc totalement nue sur le chemin!!! Nous reprenons notre route, elle en laisse, vraiment bandante! Une vision qu'adorerait Patrick!
La voir ainsi est aussi l'occasion de découvrir le cadeau qu'elle m'a fait : tatouer mon prénom sur son aine!!! Quelle belle marque de soumission et d'appartenance! J'en suis flatté, touché et ému!!! Je pense aussi à Patrick : à chaque fois qu'il voudra la pénétrer ou la lécher... Le pauvre! Lol
La défonce pratiquée par mon ami a laissé des séquelles : Sandy a du mal à soutenir ma pénétration puissante... Je la sens désolée mais la rassure : elle pourra me faire jouir avec sa bouche. Après avoir laissé un petit message vidéo pour notre cocu, elle s'applique avec tout le talent que je lui connais... L'effusion est puissante, le plaisir formidable...
Bob
Cocu fait des siennes
A mon tour de vous narrer la rencontre que j'ai faite avec un couple rencontre via ce site et qui témoigne de notre descente....
Un dimanche matin ordinaire à surfer sur le chat du forum puis un couple me contacte voulant faire une rencontre. De fil en aiguille, le rendez vous est pris pour l'après-midi au bord du même lac où ma cocufieuse et son amant se voient souvent.
Avec bien entendu l'accord de ma cocufieuse Sandy, je me rends au lieu que je leur ai propose!! Ils sont la, elle petite mini jupe, pas trop mal foutue on va dire lui plutôt réservé mais je vais comprendre plus tard le pourquoi.
On fait le tour du lac pour trouver un endroit plus calme ; Mme s assoit sur une table de pique nique et la je commence a soulever sa mini jupe pour constater qu'elle est sans culotte et la chatte déjà humide... Je lui dis :
- Toi tu sais ce que tu veux ma bonne bite dans ta chatte!!!"
Elle me répond
- Oui je la veux au fond de ma chatte
- Ton mari il fait quoi?"
Et la du tac o tac elle me répond
- C'est qu'une bonne lopette encagée. Il va aller faire un tour pendant qu'on va baiser!!!"
La je constate tout en baissant son pantalon qu'il est encagé d une belle cage Birdlocked!!!! Quelle bonne lopette!!!
Nous voila parti Mme et moi, main dans la main, comme deux tourtereaux pendant que la lopette repart gentiment à leur voiture.
Après m avoir sucé sur un banc tant bien que mal ,nous voila partis en sous bois pour que je la prenne en bonne salope... Elle me tend son cul et la ce fut plus ou moins pschitt!!! Je la pris tant bien que mal pensant à fond à ma cocufieuse avant d'enlever ma capote et me vider sur son cul.
Ce fut une expérience sympa et au moins je me rendais compte de quelque chose : il n'y avait qu'une qui me faisait bander a mort c était ma douce, ma bien aimée, ma cocufieuse Sandy. Je suis complétement addict a son corps!!!
Mais pour que la perversion soit la plus complète possible il fallait que ma cocufieuse et Bob rencontre eux aussi ce couple...
Patrick
Le couple candauliste
Suite à la rencontre faite par le cocu, Sandy et moi avons également pris rendez-vous avec eux... Les deux salopes étaient en mini-jupe et le cocu (pas Patrick, l'autre) suivait doucement... Je découvrais à cette occasion que Sandy arborait un nouveau tatouage, que je lui avais suggéré. Elle n'a de cesse de me surprendre!!!
Comme Patrick l'a raconté précédemment, son homme est en cage birdlocked. Ce que Patrick ne savait pas à l'époque c'est que Sandy en avait commandé une et qu'elle devait arriver quelques jours plus tard... J'étais bien entendu dans la confidence! Nous l'avons fait exhiber sa cage et nous sommes mis en route pour trouver un endroit calme...
Je fis mettre la salope à genou les mains dans le dos pour qu'elle voit Sandy me sucer... Sandy s'appliquait comme jamais, fière de montrer qu'elle savait y faire! L'autre salope était assez impressionnée et quand son tour fut venu elle eut beaucoup de mal à effectuer une fellation satisfaisante. Je la fis donc préparer le cul de Sandy, les deux salopes à 4 pattes devant moi.
Le cul de Sandy était serré et doux comme à l'habitude, je fis écarter les fesses à l'autre salope tandis que je défonçais le cul de Sandy... Elle tremblait de peur de se faire défoncer à son tour! Mais je me retira pour jouir sur le visage de Sandy et je fis lecher mon sperme à l'autre salope...
Cette rencontre fut plaisante, l'autre cocu n'avait pas perdu une miette du spectacle...
Bob
Rencontre rapide
Cet après midi là, l'envie de sexe fut la plus forte. Malgré le manque de temps, mon maître Bob me donna rendez-vous dans un chemin forestier pour une rapide rencontre. Vêtue de ma mini jupe en jean, d'un dos nu et mon rosebud dans le cul....
Arrivée la bas, je commençai par sucer la queue de mon maitre avec toujours le même plaisir, je n avais qu'une envie : qu'il me baise
Ce qu'il fit, j'ai joui avec la même intensité qu'à chaque fois.
Je l'ai resucé pour le faire jouir et c est dans ma main qu'il le fit.
Bob fit quelques photos et vidéos pour mon cocu Patrick, il adore ça
Petit interlude mais toujours aussi intense.....
Sandy
Soumission bucolique
Cette rencontre eut lieu un samedi après midi avec un petit vent de début d automne qui vous revigore quand vous vous baladez en tenue d Adam
Après s'être rejoints sur le lieu de rendez vous que nous avait fixes Bob,nous embarquâmes dans sa voiture utilitaire en direction d un coin champêtre.
Au bout de cinq minutes de voiture, nous voila arrivés en pleine pampa et en moins de trente secondes je me retrouve torse nu, collier de soumis,autour de mon cou; je savais que j allais vivre un moment hot et que j allais en prendre pour mon grade de cocu
Me voila donc nu comme un ver à genoux à l arrière de la voiture à regarder Sandy s’affairer sur la bite gonflée à bloc de Bob. Puis ils vinrent se positionner à coté de moi, Bob allongé sur le dos pendant que Sandy venait s’emboîter sur la queue de son maître amant. Il lui arracha son premier orgasme.
Bob m'ordonna ensuite de lécher la chatte déjà toute ouverte de ma cocufieuse puis me fit diriger vers sa queue énorme qui m'obligea à sucer et à gober le plus possible; autant vous dire qu'il me força pas vu l'envie terrible que j'avais de le sucer depuis quelques jours!!!
Après avoir regardé pendant quelques minutes sucer son amant maître;Sandy me rejoignit pour sucer ensemble son vrai mec; mélange de fellations et de smacks divins entre nous deux.
Puis Bob nous ordonna de nous mettre en 69,je commençais à bouffer la chatte de ma femme Sandy quand la queue de Bob arriva dans sa chatte. Il faisait des aller retour entre la chatte de Sandy et ma bouche. Divine vision de voir ce pieu nu s'enfoncer dans la chatte de ma promise a quelques centimètres de mes yeux!!
J'en ai été tellement excité que ma bite était dans un état de demie molle. Autant vous dire qu'ils se sont engouffrés pour bien me chambrer!!
Ensuite Bob prit Sandy par le cul face à moi en m'ordonnant de ne pas toucher ma cocufieuse et sans me branler ? Ce qui fut très dur et je me fis prendre par la patrouille et du coup je fus puni de coups de vigne sur les fesses!!!
Mais ce n était qu'un court épisode de ma punition; Bob m'enferma dans la voiture; une de ces voitures ou le coté chauffeur et l'arrière est séparée d une grille.
J'étais dingue, un vrai lion en cage mais j'essayais de contenir ma fureur mais qui se lisait dans mes yeux, Bob s'en délectait de l'effet que çà me procurait. Ils se dirigèrent sur le capot de la voiture pour qu'elle offre son anus à son maître amant et il la défonça sans retenue pendant qu'elle me faisait le signe du cocu et qu'elle m allumait aussi du regard!!! Soumission pervers mais o combien divine!!
Enfin ils me libérèrent de ma prison pour avoir une petite récompense, pouvoir prendre ma Sandy un peu. Ce fut divin mais je voyais très bien qu'elle ne jouissait pas avec moi mais le fit pour son maître et par amour pour son cocu.
Et en guise de final, Sandy branla et suça son amant maître jusqu’à a ce que son sperme s écoule sur son petit visage de salope; jus que Bob m'ordonna de lécher jusqu’à la dernière goutte.
Ce fut une après midi mémorable de perversité, de complicité, de lâcher prise, qui s'effacera pas de sitôt de ma mémoire.....
Patrick
Cocu transporteur
Cela faisait quelques jours que je n'avais pas vu ma chère salope Sandy et notre cocu Patrick se désespérait un peu... Soumis mais toujours à la recherche de mieux il nous proposa de profiter de son camion aménagé en lupanar. Installé sur le matelas à l'arrière, je retrouvais ma salope Sandy tandis que cocu occupait la place du conducteur... Il démarra mais nous n'avions pas perdu de temps : déjà embrochée, Sandy profitait de ma queue malgré les coups de volant de son coquin de mari. Elle jouissait à répétition... Cocu arrêta la camionnette dans un endroit calme et ouvrir la porte pour profiter au mieux du spectacle. Je fis subir à Sandy des sévices qu'elle commençait à apprécier : fist, double pénétration avec un gode... Le cocu nous mitraillait, nous avertissait du passage de cyclistes ou promeneurs mais nous n'en avions que faire : trop de plaisir ensemble!
Bob
Gang Bang
Mon maître avait décidé qu'il voulait me faire baiser par 12 mecs, c'est comme ça que Patrick mon cocu se mit en quête de tous ces hommes, la tache ne fut pas facile mais avec un peu de persévérance , il les trouva !!
C'est dans une chambre d hôtel que mes deux hommes avaient donnés rendez vous a la troupe..... Consignes données ne pas être en retard !! lol
une première pour moi, je faisait pas la maligne autant de mecs c est impressionnant, flippant et excitant a la fois lol
mais je devais me prouver que je pouvais le faire ainsi qu a mon maitre et a Patrick quelle salope j étais
afin de me mettre a l aise, Bob me baisa en premier, seul tous les deux, il me mit en transe comme d habitude, je jouissais plusieurs fois déjà.
Patrick nous appela pour voir si j étais prête, Bob lui dis "ok,fait les monter !"
Bandeau sur les yeux, en position d attente, c était parti pour 2 heures de défonce intensive !!!
Ce qu ils firent, chacun leurs tours, pendant qu un me baiser par derrière, je suçais des queues a la chaine....
ils crachèrent leurs foutres les uns après les autres jusqu'aux derniers ....que je finis avec ma bouche
Défi relevé !!!
j étais plutôt fière de moi j avais tenue jusqu'au bout
le dernier participant parti, nous nous sommes retrouver tous les trois dans la chambre, moment complice.
je ne pus m empêcher de profiter encore un peu de ce moment avec mon maitre et Patrick, Bob me fit jouir comme jamais encore une fois, lui seul en est capable, pendant que mon cocu nous regardait.....
Ce fut fusionnel .......
Sandy
Cocu majordome
Après le gang bang avec 12 mecs, nous avions besoin de nous retrouver tous les trois en comité restreint. C'est pour cela que l'on organisa un petit repas chez nous un midi, avec moi Patrick dans le rôle de cuistot majordome
Bob nous avait prévenu d'une petite surprise, que nous réservait il encore!!!! Il arriva chez nous orne d une petite moustache naissante a la gloire du sélectionneur du 15 de France, autant vous dire qu'on rigola quelques minutes
Sandy se retrouva dans les bras de son amant maitre pendant que je servais l'apéro,j'étais à leur service leur donner leurs verres respectifs pendant que Sandy prodiguait déjà une belle pipe dont elle a le secret. En deux trois mouvements ,ils se retrouvèrent sur le canapé, la queue épaisse de Bob qui entrait et venait dans la chatte béante et offerte de ma femme Sandy pendant que je m'afférais a préparer le repas vêtu d un tanga de Sandy et de mon collier de cocu soumis.
Autant vous dire que ce fut difficile de me concentrer sur la cuisine quand je regardais du coin de l'œil Sandy s'empaler entièrement sur la queue de son vrai mec et avoir orgasme sur orgasme, ce qui faut bien le dire la change énormément par rapport a moi.
Ce qui pouvait paraitre un moment de soumission, et peut être limite humiliant, n était qu'un vrai moment de complicité jonglant entre orgasmes, perversité, domination, soumission mais toujours ponctues de regards complices et de rires qui témoignaient que l on formait un vrai trio diabolique!!
Après avoir baise un bon moment, l'avoir pris dans la chatte et le cul, Bob dans un gros râlement déversa sa semence abondante dans le vagin de Sandy, ce qu'elle adore par dessous tout! Sentir ce jus s écouler le long de sa fente ouverte par les assauts de Bob, hum...
Sandy m ordonna de venir nettoyer le jus coulant de sa chatte, ce que je fis sans rechigner pendant qu'elle sirotait un rose et embrassait a pleine bouche son amant.
La chatte nettoyée a fond par ma langue, il était temps de passer a table et la c'était sur, j'étais un meilleur nettoyeur qu'un fin cuistot mais j étais motive pour me rattraper..........
Patrick
Lit sur roues
L'initiative de Patrick de conduire alors que nous baisions à l'arrière de son fourgon utilitaire nous a donné une idée : Sandy aménagerais une petite chambre à l'arrière de son utilitaire! Cocu installa un matelas et ma salope y mis les draps...
Rendez-vous était pris sur un parking : l'image de Sandy ouvrant la porte faisait très pute à routier! Heureuse de retrouver son maître et son amant elle ne tarda pas à prendre en main ma queue... Branlette de haute volée, gorge profonde, léchage de couilles, elle excellait!
Je mourrais d'envie de la défoncer, comme à chaque fois, et elle aussi. Je la fis patienter en lui demandant de se dilater devant moi, devant ma queue tendue... Elle obéit sans sourciller, enfonçant 3 puis 4 doigts puis 5 dans sa chatte... Sa récompense fut de pouvoir s'empaler sur ma queue...
Comme a notre habitude, ce fut intense, quasi bestial. A la demande de ma salope, je jouis au fond de sa chatte frémissante...
Suite au prochain épis
Bonjour a tous
Nos rencontres s etant espacées avec mon amant.... la vie privee et professionnelle ayant pris le pas sur notre histoire, je n avait pas la tete a ça ... mais je vais essayer de reprendre la ou l on s est arrete
nous nous sommes revus quelques fois dans mon utilitaire ou a la maison, le plaisir est toujours aussi intense a chaque fois, en tous cas pour moi mon évolution de salope avance doucement ....
Patrick mon cocu de mari n étant pas souvent présent faute de temps, profite de chaque rencontre avec toujours autant de plaisir (vidéos et photos rien que pour lui)
mon amant me manque, un mois déjà .....
Sandy
Soumise a un couple
Bob avait décidé de retenter l expérience avec un couple dont la femme était bi afin de faire apprécier les plaisirs saphiques a Sandy, les rencontres précédentes n ayant pas été un succès, nous avons convenus Bob Sandy et moi le cocu que nous recevrions le couple chez nous afin de créer une atmosphère plus agréable qu en extérieur.
donc ce jour la, Sandy devait être soumise a ce couple et aux envies de cette femme bi dominante...
Avant que le couple n arrive, Bob avait ordonne a Sandy de ce mettre nu avec uniquement son collier, ses porte-jarretelle et ses bas pour seuls vêtements.
Après un bref échange d amabilités, nous nous dirigeâmes vers la chambre ; Bob fit mettre Sandy en position de soumise, a genoux par terre pour recevoir les caresses de cette femme et de son homme.
La femme fit étendre Sandy sur le lit pour lui prodiguer des caresses, puis commença a la doigter tandis que Sandy suçait son homme qui était d ailleurs monte bien épais.
Bob s approcha de Sandy et elle se mis a suçait a tour de rôle son amant et cet invite tandis que la femme s affairait sur sa chatte qui commençait a bien s ouvrir sous l effet d un doigtage intensif...
Voyant que la femme n arrivait pas a faire jouir Sandy, Bob pris le relais et doigta plus sérieusement sa chatte jusqu a lui faire avoir un orgasme très puissant et maculer d une flaque la couette de lit...
ils changèrent de partenaire et tout ce qu on peut dire c est que ce ne fut pas une réussite !! moi le cocu, j avoue que je m en sortis assez bien, la femme me prodigua une pipe et je pus ainsi répandre sur sa grosse poitrine ma semence qui pesait dans mes bourses depuis quelques jours.
Le couple et moi même sortirent de la chambre et pendant que je leur faisait la conversation, Sandy et Bob remettaient le couvert
Des cris de jouissance s échappaient de la chambre et je ne pouvais m empêcher de jeter un coup d œil par moments, voir Sandy se faire pilonner par son amant était très excitant pour moi, ma cocufieuse prenais son pied comme a chaque fois sous ses assauts puissants.
au bout d un bon moment, Bob m appela afin de me faire constater qu il venait de lui remplir la chatte une fois de plus, quelle délicieuse vision de la voir encore une fois ensemencée par son maître amant.
Après avoir pris congés auprès du couple, force était de constater entre nous, que Sandy était définitivement pas bi mais on avaient franchi une fois de plus une marche vers la route de la perversion....
Patrick
Bonjour a tous
j écris pour vous rassurer le trio infernal continu Une pose du récit mais nous nous voyons toujours, les plaisirs intenses sont au rendez vous a chaque rencontre h
Moins de scénarios insolites, faute de temps, juste nous ....
bises candaulistes
Sandy
Si quelqu’un peut trouver l'adresse de ce blog
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Madame utilise ses jouets pour s'occuper de son mari.... Qui a l'air d'apprécier.
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Entre leurs mains:Pouvoir et sensualité Blacks. En vrac
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Entre leurs mains:Pouvoir et sensualité Blacks. En vrac
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Brèves Automnales...
Tranches de vies racontées sur un des meilleurs
site du genre: Citebeur.com
Farouk le Caïd (Villeurbanne)
Salut les keums ! Vas-y je me présente : je m’appelle Farouk, mais dans ma cité de Villeurbanne tout le monde me surnomme le Caïd parce qu’y a rien à dire, c’est moi le boss de la téci !
T’as vu, j’ai 19 piges, 1 mètre 70 et que du muscle. Je passe mes journées à me taper les barres d’acier pour muscler mes pec de rebeu à la sauce espagnole : ma mère est madrilène, mon vieux est un pur algérien, un mélange de ouf !
T’as vu mec, j’ai le sang chaud des méditerranéens qui, dès qu’ils lancent un regard, font tomber toutes les minettes et les petites lopes dans ton genre qui sont en train de lire mon histoire.
Le week-end dernier, j’ai fait une virée dans le 94 à Créteil, manière de délirer avec mon couz et visiter la famille. Youness, mon cousin, a 25 ans. C’est un bon laskard vicieux qui kiffe les jeux un peu hardos, si tu vois ce que je veux dire.
Chaque fois qu’on se retrouve, on se tape des verres de vodka devant un film de boules hétéro en parlant des petits culs qu’on a serré. Et y a pas à dire, au final, il se tape plus de mecs que de nanas. Je dois avouer qu’on a les mêmes kiffs même si on ne veut pas l’avouer. Souvent, on serre ensemble un petit cefran avec une bouche et un boule de tepu manière d’évacuer toute l’excitation qu’on renferme en nous.
Quand je suis arrivé dans l’appart familial, on a repris nos habitudes : bonjour la famille et hop, on s’enferme dans sa chambre qui devient vite un aquarium tant on enfile les tarpés, une bonne zik de rap américain dans les oreilles.
Pourtant ce soir là, Youness était bizarre, différent. Je sentais qu’il portait sur moi le regard qu’il a généralement quand il vise une de ses proies. Ça m’a foutu un peu mal à l’aise :
- Hey cousin, qu’est-ce tu fais ? Pourquoi tu me mates comme ça ? Vas-y suis pas une pute, arrête de reluquer mon cul…
Bon, c’est vrai que j’ai un cul super gaulé, franchement j’en suis fier, en plus il ressort grave dans ce jean. Je dois avouer : me faire mater par mon couz, ça me met mal à l’aise parce que je suis un pur actif moi, et en même temps je dois dire que j’ai apprécié, je sais pas pourquoi.
Alors j’ai pas insisté, je l’ai laissé faire même quand, à deux reprises, il s’est levé et s’est frotté contre mon cul, soi-disant sans faire exprès… Tu parles ! Je le sentais bien bander ce bâtard avec sa matraque de blédard.
Dans la soirée on a retrouvé deux potes keblas à Youness. Des mecs super grands et franchement cool. On a bien déliré tous les 4. On est parti se faire une virée dans Paname avec la BMW d’un des potes. En rentrant, j’étais mort, bourré comme jamais. Youness a eu la main lourde, il m’a fait picoler à fond pour fêter nos retrouvailles.
Quand on est arrivé dans la cité, à 3 ou 4 heures du mat, je ronquais dans la caisse. J’ai rien calculé sérieux ! Subitement, je me suis senti sortir violemment de la BM par les mains puissantes des deux keblas. Laisse tomber ! Les mecs font le double de ma taille, leurs pognes sont aussi grandes que mon visage.
Putain j’imagine même pas le reste… J’ai eu rien le temps de dire que les deux manos m’alignaient la gueule contre le capot de leur caisse et l’un deux arracha mon froc.
- Vas-y tu fais quoi là man ??, m’écriai-je.
Mais ça servait à rien, je commençais à piger ce qu’ils attendaient. Autour de moi, les murs sombres d’un garage immensément vide que seuls les phares de la bagnole éclairaient. Un des keums tira mon cul en arrière, putain, j’y crois pas, ils vont me niker les bâtards !
Moi Farouk, le pur actif de service, je vais me faire larver par deux blacks. Contre un pilier, je vois Youness qui les regarde faire, satisfait. Le chien ! Il se tâte le paquet en plus, il profite du spectacle, je vais me faire violer et le cousin bronche pas…
J’ai envie de gueuler pour l’insulter mais je hurle de douleur. Un des keums vient de m’enfoncer direct sa teub. Putain, il m’arrache le cul ce con ! Il s’enfonce en moi comme un taré à sec, sa bite est énorme, j’ai l’impression qu’il ramone jusque mes intestins.
Ca me fait tellement mal au début que j’en ai les larmes au yeux. Putain, ça craint, un caïd qui se fait mettre aussi profond ! Le kebla est endurant, il a pas envie de lâcher l’affaire, il me ramone à donf pendant que son pote se malaxe la bite devant mes yeux. J’entends ses gémissements rauques chaque fois que ces couilles viennent claquer mon cul. Il a des burnes en acier, trop pleines le keum.
Au bout de quelques minutes, je dois avouer que je commence à apprécier. La douleur laisse place à un plaisir inconnu, comme si le keum m’avait libéré d’une virginité. C’est la honte de penser ça mais c’est bien réel… Il insiste, frappe mon cul avec sa main, me traite en chienne, commence à m’insulter. Je crois même qu’à la fin c’est moi qui en redemandait, en fait je kiffais bien ce rôle de soumis à mes deux étalons.
Youness, lui, avait sorti sa tige, je l’avais jamais vu aussi raide et excitée. A croire qu’il kiffe voir son petit cousin se faire matraquer le boule par ses potes laskards. Le keum n’avait pas encore joui qu’il laissait la place à son poto, aussi bien membré que lui : 24 cm direct dans ma chatte béante !
Je hurlais comme un taré, aveuglé par les feux de la BMW. J’étais totalement à poil. Mon corps de Musclor ruisselait grave, je gémissais, j’hurlais, les keums me déchiraient l’anus à chaque assaut avec leur bambou circoncis. Mais franchement, c’était bon ! Hard et bon !
Le deuxième manos me retourna sur le capot de la caisse, en fermant entre ses pognes mes chevilles et en écartant un max mes jambes, manière de m’enfiler direct en matant mon visage.
Je pouvais admirer son corps ébène sec et dessiné en train de s’enfoncer en moi. J’aurais jamais cru que Farouk le puissant se ferait limé par deux keblas de la sorte. J’avais le cul en feu.
Le mec a lâché mes jambes qui restaient pendantes pour prendre fermement entre ses mains mes fesses rondes comme des pommes. De coups secs ils les tiraient jusqu’à la base de sa queue, je la sentais me labourer et se raidir pour l’assaut suprême.
Il se mit à accélérer encore plus la cadence, contracter ses muscles et, tout en hurlant de plaiz déchargea une dose hallucinante de crème chaude dans mes intestins. Je débloquais là !!
Il était vraiment en train de me féconder le bâtard ! Il resta plusieurs minutes raide à continuer de me saillir, comme pour enfoncer son foutre au plus profond de mon cul. Je sentais que j’allais m’évanouir. Son pote se vida aussi en moi, j’étais rempli de jus de blackos, leur sperme dégoulinait entre mes jambes, ils essuyèrent leur teub sur ma gueule…
J’avais été leur pute, ils m’avaient larvé comme j’ai l’habitude de le faire dans le cul des petites lopes que je nike. Ce soir là, c’était moi la tepu. Pour couronner le tout, Youness, mon cousin, a déchargé son foutre entre mes lèvres. En me chuchotant :
- Vas-y cousin, avale, c’est le yop de la famille que tu bois là. Nettoie bien ma queue, sinon mes potes vont te montrer comment obéir !
Et, soumis à mon cousin et à ses deux potes, j’ai léché tout le foutre qui collait à ma peau. Youness et les keublas avaient gagné la partie : j’étais dressé. J’étais devenu, à mon tour, une boîte à jus…
Farouk le Caïd (Créteil)
Baise au Hammam avec un bledard ! (Tunisie)
Fait trop froid dans ce pays! On se gèle la bite! Vas-y, je m'arrache pour la Tunisie, j'ai trop besoin de renouer avec la chaleur des hammams de Tunis et les corps moites des beaux Arabes mateurs.
En demi heure, j'ai bouclé mon sac de voyages et prend le premier vol Toulouse-Tunis. J'arrive au Maghreb en fin de journée, une dizaine de chauffeurs de taxi me prennent en charge sollicitant leurs services. Je m'arrête sur l'avenue Bourguiba illuminée, et m'assois à la terrasse d'un bar fréquenté par toutes les tantes de Tunis.
Il y a des jeunes mecs qui roulent du cul sous l'oeil abasourdi et envieux des locaux. Après un verre ou deux, je prends une chambre dans un petit hôtel miteux. Trop nase pour baiser ce soir, je vais me coucher tôt pour être en forme demain. Demain, c'est jour de chasse!
A cinq heures du mat, je me fais réveiller par le minaret voisin. Quelques heures plus tard, je rentre dans un hammam de la médina. A mon arrivée, tous les regards se tournent vers moi. Certains se prolongent alors que je me dessape dans le vestiaire.
Autour de moi des Tunisiens de tous les âges, tous les gabarits.
A l'intérieur je passe d'une salle à l'autre, de la sudation au refroidissement. Le hammam est aux couleurs locales. Une ambiance torride règne sous couvert de la religion. Les mecs se massent entre eux, comme pour exciter leurs voisins, personne ne peut franchir la limite en public.
Je passe deux heures à larver comme un bienheureux, massage sur massage. Je sens tous ces mecs envieux d'en voir plus du petit cefran au beau boule, il faudrait que je tombe la serviette! Cette atmosphère m'électrise. Je commence à m'exciter dans mon coin sans oser me toucher. Ma serviette ne cachera bientôt plus l'énorme bosse de mon entrejambes.
Un rebeu entre dans la salle. Un prince, un émir, la beauté même mêlée au machisme. Le mec doit avoir entre 25 et 30 ans, cheveux mi longs, un visage de manos tunisien trop bogosse et un corps mat de rêves, des pecs gonflés et des abdos d'acier! Un véritable Apollon quoi!
C'est net, je bande comme un taureau et le keum s'en rend vite compte. Il s'approche de mon banc, se plante devant moi avec un regard de tueur. A cet instant je constate qu'un beau morceau se dessine sous sa serviette. Ce manos me paraît être un bon queutard. Pour l'amadouer, je fais mon air de soumise avec dans les yeux une grosse envie de passive. Il me fait mouiller ce mec!
Il me lance quelques mots en arabe et tournent mes épaules pour me masser. Ses larges mains me massent, me palpent, il découvre mon corps, s'en approprie, je kiffe! Eloigné du regard des autres, il se colle à moi et je sens qu'il bande comme un étalon. Sa bite m'a l'air grave épaisse.
Au bout de quelques minutes, il m'indique des cabines de douche individuelles et à l'abri des regards inquisiteurs. Je le vois s'enfiler dans une, attendant que je l'y rejoigne. Je ne me fais pas désirer, je fonce direct vers mon bel Arabe. Il ferme la porte à clé, la douche est exiguë: je ne peux pas m'échapper. Je vais déguster, je le sens!
Direct il vire sa serviette et me fout à genou devant une teub qui m'illumine. Raide devant mes yeux, un bambou de 19x6 surmonté d'un beau gland proportionné attend que je le tête. Il prend ma tête dans une main et m'enfonce son pilori jusqu'au fond de ma gorge. Le mec se frotte le gland avec ma luette, j'étouffe.
Si je me retire, le manos me file une claque pour bien me faire comprendre que c'est lui le chef, que je suis dans ses griffes et que je ne vais pas en sortir tout de suite... Très directif, il me lime la gueule en râlant discrètement et en m'insultant en arabe. Il me retourne soudain pour cracher sur ma raie. Sa salive s'écoule entre mes fesses, il travaille mon cul avec son index, doux et conquérant à la fois.
Il prend mes fesses entre ses deux mains, les écarte pour mater ma rosette et chatouille son zob en étalant ma mouille pour bien lubrifier. Puis sans prévenir il s'enfonce direct et commence un va et vient interminable. J'ai mal au début, il me défonce le salaud!! Puis la douleur se transforme vite en pur plaisir de soumission, il sait s'y prendre, c'est un baiseur né mon beau Tunisien!
Écrasé contre la mosaïque de la douche, dans les vapeurs du hammam, je sens son souffle de mâle qui me saillit. Il se décharge de tout son poids, me
baise comme un fou. Il sort sa teub et re-rentre d'un coup sec, il joue avec mon cul. J'agonise presque de plaisir quand j’entends qu’il va jouir. Il me remet à 4 pattes et se branle de plus en plus vite en visant ma bouche.
Mon beau rebeu lâche enfin sa crème épaisse dans mon gosier, il me décharge plusieurs jets de sperme chaud sur les lèvres... Saveurs sucrées, j'adore!!
Quand je sors de la cabine, tout le monde me scrute, me regarde avec une folle envie de me prendre en charge, à leur tour. Je file en vitesse, je dois reprendre des forces, je reviendrai. Mon mystérieux baiseur m'a comblé pour la journée!
Dorian (Toulouse)
Niquer sur le Ring ! (Toulouse)
Voici une de mes dernières aventures que je voulais faire partager aux lecteurs de citéwesh.
Hier soir, j'étais invité pour une soirée chez des potes bcbg. Le genre de soirée où tu te fais grave chier, entouré d'hétéros coincés qui parlent meufs et match de foot. J'en ai profité pour picoler, la soirée serait plus kiffante si je me défoncais un peu la gueule.
Vers 22h, je me casse. Depuis une heure, je sens ma bite gonfler sans cesse, et surtout mon bon cul moulé dans le jean mouiller d'envie. Pourtant, aucun des mecs présents ce soir n'était bandant, bien au contraire...
Je quitte l'appart de mon pote bien décidé à aller me faire baiser dans le quartier de Bagatelle. Moi, le cefran de 27 ans, cheveux blond courts et yeux bleus, à la peau très blanche, a plus qu'envie de se taper un rebeu bien mât de peau, bien mâle surtout qui saura me dresser.
J'arrive à une cité dans laquelle je m'engouffre pour la première fois. J'ai pas l'habitude de faire ça en général mais ce soir je suis chaud comme la braise et j'ai envie de me surpasser... le cul! A la sortie du métro, j'essaie de marcher droit tortillant mon cul comme un pute. Putain! Qu'est-ce qu'il m'arrive? Je me comporte comme une meuf!
Direct, je m'enfile dans un couloir obscur d'un immeuble pour rejoindre les garages de la cité. Très vite, je tombe sur 2 keums en train de fumer un joint. Je m'approche, pour leur demander de me dépanner quelques soufflettes. Les badboys en puissance. D'abord Mehdi, 25 ans, pas très grand, une super gueule de boxeur, visage carré et sourire ravageur. Le deuxième c'est Ahmed, la trentaine, aussi bien gaulé que son pote et sensiblement plus grand. Les deux ont le crâne rasé et cachent leur corps dans un survet. Mode vestimentaire du quartier.
Tout en fumant Mehdi se met la main au paquet, mes yeux se fixent sur la belle bosse de nylon. Il a l'air d'avoir un super morceau entre les jambes le jeune homme! Ahmed jette le mégot et son compère me pousse puissamment dans le garage. Au bout d'un couloir une salle de boxe improvisée avec un ring sur lequel ils me balancent. Ahmed me jette à 4 pattes au milieu du terrain de boxe, entre les jambes de son pote. Le petit boxeur colle son entrejambe sur ma gueule.
- Vas y renifle bien , lèche ma teub salope! T'as envie d'être notre salope ce soir à mon pote et moi?" me lâche Mehdi en écrasant ses doigts de rebeu sur ma mâchoire.
Je lui réponds que j'ai grave envie de me soumettre à eux, l'acool aidant je me lâche et m'offre intégralement à ces deux beaux mâles. Mehdi se délecte de me frotter son barreau sur le nez pour que j'intègre bien son odeur. Il bande de plus en plus, je sens bien que je vais me faire démonter la bouche. Ahmed me choppe les hanches et m'oblige à me cambrer. Il se frotte à mon cul, ça m'excite davantage. Il s'échauffe, lui aussi encore coincé dans son survet.
Je me mets à tortiller comme une chienne. Je sors une fiole de poppers et la sniffe. J'en passe à mes maîtres de baise. La tête me tourne à donf, je me jette sur la teub de Medhi, lui descend le survet et commence à têter son gland circoncis qui pointe sous mon nez. Il a une belle bite de 20 cm, épaisse et raide comme un pieu. Elle est tout simplement magnifique, une oeuvre d'art! Elle frétille sous mes narines, caresses mes lèvres. Il prend ma tête entre ses mains et m'enfonce sa teub direct au fond de la gorge. Je manque d'étouffer, il s'en fout il me butine la gueule. Il râle tout en me limant à fond. Ses couilles claquent sur ma bouche, j'essaie de tout avaler, j'ai peur de vomir mais ça m'excite encore plus! Pendant ce temps, Ahmed m'a baissé le froc sur les chevilles. Il balaie sa bite entre mes fesses pour la faire durcir. Il a l'air d'en avoir une très longue, moins épaisse mais très longue. Puis il rejoint son frère et me
présente son zob. Je me retrouve à 4 pattes dans cette cave du quartier toulousain, en train de nettoyer deux magnifiques bites de purs arabes qui vont m'en faire baver.
- Tête nous bien salope, lubrifie nos queues car elles vont te mettre à dure épreuve, on va te dresser petite pute!"
En bon chef qu'il est, Medhi est le seul à parler. Il me fout la bite de son pote entre les lèvres et passe derrière, relève mon cul de ses mains fermes et se met à cracher entre ma raie en écartant bien mes fesses pour laisser voir ma rosette serrée. Il enfonce sa salive dans mon cul pour le lubrifier un max. Son index me fouille puis 2 doigts, enfin 3. C'est un vrai pro ce mec! Je commence à couiner de plaisir. Il déroule une capote sur son manche, s'approche de mon trou, enfonce tranquillement son gland et toute sa queue. Il prend son temps comme pour me faire partager le bonheur de ses 20 cm. D'un coup, il m'agrippe et me pilonne à fond, comme une bête. Je hurle, j'en perds la bite d'Ahmed qui force ma bouche avec sa matraque pour étouffer mes cris. Je me retrouve pris en sandwich entre les deux battes dex boxeurs rebeus.
- C'est bien ma pute! Ouvre toi bien, on va te ramoner Ahmed et moi!
Mehdi me laboure le cul. Puis il se relève sur le ring pour improviser un sling entre les cordes et le banc. Ils me plantent là sur le dos, jambes à l'air et Ahmed s'engouffre en moi d'un coup. J'ai déjà le trou bien dilaté, il en profite et s'enfonce d'un coup sec. Les deux manos s'échangent la place. Je suis presque évanoui, je mouille comme une pute, je me fais posséder et je kiffe ça...
Pendant que l'un me bourrine le cul, l'autre éclate sa queue mate sur ma face en attendant son tour. Au bout de 20 minutes de sling, ils arrachent tous les deux leur capote et s'approchent de mon visage la queue en branle. Ils baladent leurs lourdes couilles sous ma langue en m'obligeant de bien les nettoyer. Medhi jouit le premier, toujours en chef, forcant de ses doigts l'ouverture de ma bouche pour que je n'en perde pas une goutte. Son sperme est crémeux, les jets sont chauds. Je n'arrrive pas à avaler tout le jus qu'il a dans la queue, il finit de
cracher sur mon visage. Ahmed lâche sa purée 30 secondes après. Je suis couvert de sperme de beur, bien odorant qui colle à ma peau. Les boxeurs ont peint ma gueule de leur crème. J'avale tout ce que je peux:
-Nettoie bien nos queues salope! T'es un vrai trou à bites, toi...
Une fois rhabillé, couvert de sperme, je suis parti après leur avoir filé mon numéro. Ils m'ont bien gavé les rebeus de Bagatelle, la soirée était bien remplie. Je vais revenir très vite. Mes mâitres, Mehdi et Ahmed veulent faire une deuxième séance de dressage sur le ring, hard cette fois... Ca promet!
Dorian, Toulouse.
Le rebeu lopeur m’a cartonné le boule !
Le soir du réveillon du 31 décembre, je suis seul et j’ai envie de me faire un bon plan sexe avec un beur ou un noir donc je décide d’aller faire un tour au sex-club ethnik de Paris pour me faire défoncer comme une lope toute la nuit.
Arrivé sur place je suis surpris car il y a beaucoup de monde (Je pensais que j’étais le seul a ne pas réveillonné !), il y a beaucoup de rebeux et de black de quoi passer un bon moment…
Direction le bar pour me chauffer un peu je bois coup sur coup plusieurs rhum orange pour me défoncé la tête pour bien faire ma salope âpres. Car quand je suis bourré j’ose tout sans aucun tabou !
Je me suis pas présenté, je suis Alain j’ai 28 ans je suis un céfran passif blond aux yeux bleu très bien foutu avec un bon zob de 21 cm qui me sert peu car je suis complètement passif. Je passe devant les cabines du sex club pour repéré un bo beur ou un bel africain à pomper pour commencer. Comme j’ai bien bu je décide de me mettre à genoux dans une cabine complètement à poil prêt à être utiliser pour servir de vide burnes.
Dès qu’un bomec passe devant la cabine j’ouvre la bouche et je sors ma langue pour lui montrer que je suis avide de foutre et qu’il a juste à entrer pour que je lui purge sa pine. Un bel Africain (Américain) se présente devant ma bouche, il ferme la cabine et ouvre sa braguette pour me sortir un bon gros zob noir avec un gland tout rose. Je lui aspire sa pine bien raide et je me mets à le pompé comme une tepu. Il me tient la tête en me forçant à la mettre bien au fond de ma gueule, je lui fais comprendre que s’il veut se servir de mon trou il peut mais apparemment il veut juste se vider en bouche. Tellement excité il ne tarde pas à me lâcher sa semence bien chaude dans la bouche un vrai régal ! Il sort de la cabine alors que je n’avais même pas fini de déguster son jus j’en avais plein la face. Au moment ou il ouvre la cabine un bel arabes en survêt qui attendais devant ma cabine en se tripotant le zeub rentre et me sors une belle pine circoncise et très épaisse et me l’engouffre dans la bouche.
J’ai à peine le temps de respirer que je me retrouve avec une autre pine dans la bouche ! Si ce n’est pas de l’abattage ça !
Lui ne se fait pas pomper longtemps et il me demande direct de me mettre en levrette pour me défoncer l’anus… J’obéis bien sur car il à l’air dominateur et il commence à me dilater le trou avec du gel et le gode que j’avais emmené, humm … Il n’hésite pas à me limé le cul en m’enfonçant le gode à fond dans ma chatte de lope. Quel pied !
Il enfile une capote, me fais bien écarter les fesses et m’enfourche son gros zob dans la chatte comme un vrai bourrin. J’ai eu très mal au départ mais le rebeu à continué à me cartonné le boul en me donnant la fessée comme un vrai beur lopeur de fiotte comme oim!
Il me lime le cul avec force et vivacité, il va de plus en plus vite et de plus en plus Loing, parfois il se retire, regarde mon trou encore ouvert et me la remet dans le cul en bon pineur dominateur. Autant vous dire que je mouille de la chatte et que plus il tape le fond de mon cul plus j’en veux et plus j’en redemande. Je prends un pied terrible !
Ca fais déjà trente minutes qu’il me ramone le cul et il est encore aussi vivace qu’au début, Je pense à ce moment là qu’il va vraiment me mettre KO et que je serais complètement rassasier avec lui.
Il commence à me mollarder dessus en m’insultant en arabe, ce qui m’excite encore plus ! Il me tourne pour me faire changer de position et la il est en face de moi car il m’a mis sur le dos, mes jambes autour de son coup. Il me regarde avec son air vicieux puis me charge à nouveau le cul avec sa batte !
Trop fort j’étais devenu sa femelle, son trou, sa pute, sa propriété ! Il me tape le cul encore et encore, me fais mettre en levrette, me démonte, et à ce moment là il est il commence à faiblir et il baisse la cadence. Je pense qu’il va jouir et bien non ! Il me demande de nouveau de me tourner et m’encule de nouveau, franchement là je commençais à avoir le cul en feu et il sort sa queue, enlève la capote et se met à cracher son jus sur mon torse.
J’ai jamais vu un rebeu avec un jet de foutre pareille, j’en recevais dans la bouche tellement son jet était puissant ! Il s’est rhabille et s’est casser de la cabine. Moi j’ai fermé la porte et je suis resté seul un moment pour m’en remettre car je n’avais jamais été tiré comme ça. J’étais content d’être tombé sur un arabe bourrin et en plus bien dominateur…
Je suis rentré direct chez moi car j’en pouvais plus, on ne pouvait rêver mieux comme réveillon du 31 décembre !!!
Alain Paris.
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Histoire du net. Auteur: BCBG. Honneur à notre armée...
Il existe un esprit de corps extrêmement fort à l'armée...
Si si.... Demandez à Marine
Marine et les mécaniciens - 01 / 02
Auteur : BCBG
Marine - Première partie
Acte I : Marine
Lorsque la Ford Mondéo grise et étincelante franchit l’entrée de la caserne, le soldat se met au garde à vous, salue avec rigueur et regarde passer le véhicule. Assise à l’arrière à côté de son mari, Marine ne peut empêcher une bouffée de fierté de l’envahir. Paul, son époux, rend rapidement le salut au soldat alors que le conducteur s’applique lors du passage de la chicane de sécurité faite de barils de couleurs rouge et blanche.
Oui, Marine est fière d’être mariée à un colonel commandant un des plus prestigieux régiments que comprend l’armée de terre. Paul est âgé de quarante-trois ans et promis à un avenir plus que prometteur. Brillant, charismatique et ambitieux, il se consacre entièrement à son métier. Marine, sa femme, vient de fêter ses quarante ans. Ils se sont rencontrés lors d’un bal alors que Paul était encore élève officier. Marine avait littéralement fondu en le voyant la première fois. Son visage aux traits si réguliers et en même temps virils et son corps d’athlète…
Paul la remarqua rapidement tant la beauté naturelle de Marine était frappante. Aujourd’hui encore, même après ses trois grossesses, elle est toujours aussi attirante et remarque souvent le regard des hommes se poser sur elle. De taille assez grande, un mètre soixante-dix, élancée, son corps est parfaitement proportionné et met en valeur des formes pouvant être qualifiées de rondes.
Ses cuisses et ses fesses sont pleines et musclées et ses longues jambes se terminent par des chevilles à la finesse élégante. Sa poitrine est puissante et ses deux seins possèdent le dessin de poires gonflées.
Son visage, un peu ridé, parfaitement rond et aux pommettes légèrement saillantes, est animé par un sourire naturel et des yeux de biche pétillants, d’un vert profond. Son nez, petit, fin et un peu en trompette, surplombe une bouche peut-être un peu trop large et aux lèvres épaisses et pulpeuses.
Marine possède une peau blanche, douce et dont la clarté tranche avec le noir accentué de ses cheveux soyeux et brillants qui tombent sur ses épaules ou qu’elle maintient par une queue de cheval.
Le mariage les unissant eut lieu un an après leur rencontre. Paul s’est tout de suite investi dans sa carrière et Marine fut presque automatiquement cantonnée à son rôle de mère de famille et d’épouse au foyer. Elle le savait. Ils ont trois enfants : Mathieu, âgé de vingt ans, Claire et Philippine ayant respectivement deux et quatre années de moins. Ils sont tous les trois pensionnaires.
Oui, Marine est fière de son mari, mais également d’elle-même. Car si Paul s’est passionné pour sa vocation, Marine a bien souvent connu de longs moments de solitude pendant que son époux s’absentait pour ses nombreuses réunions ou ses missions à l’étranger.
Sa vie est faite de routine. Elle a pour ainsi dire élevé ses enfants toute seule mais Paul n’a jamais semblé s’en rendre compte. Il est très respectueux vis-à-vis de sa femme, n’élevant pas la voix ou ne prononçant jamais une parole déplacée.
Amoureuse ? Oui, l’amour que porte Marine à son mari ne s’est jamais éteint. Pourtant, elle reste bien souvent sur sa faim au moment où il lui fait l’amour. Elle a toujours conservé pour elle ces déceptions. Bien des occasions d’avoir une aventure avec d’autres hommes se sont présentées à elle, mais elle n’a jamais cédé à ces frissons passagers, ni à ces bouffées de chaleur sèches et soudaines s’emparant parfois d’elle lorsqu’il lui arrivait de pouvoir regarder un homme en toute discrétion.
Le véhicule traverse la caserne et Marine, pensive, regarde les bâtiments alignés. En ce mois de juillet à la température agréable, les allées et les parkings sont presque déserts hormis les véhicules impeccablement rangés.
- Il faut que je passe à l’atelier automobile pour voir le responsable, dit Paul en s’adressant au conducteur.
- Bien, mon colonel, répond le soldat en prenant la direction de la zone technique.
La zone en question se situe à l’extrémité de la caserne. Devant le bâtiment, le conducteur ralentit pour s’arrêter devant l’entrée. Paul descend du véhicule.
- Attends-moi, je n’en ai pas pour longtemps, lance-t-il à Marine avant de s’éloigner.
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Acte II : Les émois de Marine
Marine tourne discrètement la tête pour regarder son mari se diriger vers l’entrée du garage. C’est un bâtiment de pierre peint en blanc. Un panneau bleu clair sur lequel est inscrit ATELIER AUTO est accroché au-dessus de l’entrée laissée béante par le rideau métallique remonté. Quelques véhicules sont garés de part et d’autre de cette dernière. Marine, d’un œil distrait, regarde l’activité qui se déroule dans le local. Elle peut apercevoir deux camions sur des chandelles. Deux monstres de métal, privés de leurs roues énormes.
Elle parvient également à distinguer, sur des ateliers, les outils que l’on peut trouver dans ce type d’endroit : pompes à graisse, caisses métalliques, appareils de mesure, etc.. Deux mécaniciens, en combinaison verte aux manches retroussées, s’affairent autour d’une Ford Mondéo grise. En dépit de la distance, Marine peut les discerner. L’un est noir, assez grand et fin. L’autre, un roux foncé, est beaucoup plus petit et trapu. Leurs cheveux sont coupés très courts, presque rasés.
Un homme vient à la rencontre de Paul. Marine le regarde avancer. Beaucoup plus âgé que les deux autres, il semble approcher la cinquantaine. Ses cheveux, assez épais et grisonnants, sont coiffés en arrière. Une moustache, soigneusement taillée, coiffe sa lèvre supérieure. Il est de taille moyenne, ses épaules sont larges et puissantes. Il est également vêtu d’une combinaison dont les manches sont retroussées sur des avant-bras musclés et poilus. Intriguée, Marine enveloppe de son regard cet univers et ces hommes qui sont bien loin du monde qu’elle côtoie.
Elle en est impressionnée, voire effrayée. Sans qu’elle puisse s’expliquer pourquoi, elle examine l’homme qui se tient de manière respectueuse face à son mari. Son visage ovale est assez ridé et dégage une force purement masculine. Elle ne peut détacher ses yeux de cette silhouette qui capte toute son attention. Sans pouvoir maîtriser son émotion, la mère de famille sent son cœur battre un peu plus vite alors qu’un semblant de crampe se vrille au milieu de ses entrailles.
Au bout d’un moment, l’homme tourne les talons et les pensées de Marine sont interrompues par son mari qui se dirige vers la voiture. Une fois dans l’habitacle et la portière fermée, il demande au conducteur de prendre la direction de la maison que sa famille et lui-même habitent.
Marine et son mari n’échangent aucune parole pendant le trajet. L’image de cet homme qu’elle n’avait jamais vu auparavant reste un moment gravée dans son esprit. Une fois chez elle, Marine, pensive, effectue quelques rangements avant de préparer le repas du soir, qui démarre en silence.
- J’allais oublier de te demander si tu pouvais t’occuper de ma voiture demain, tu sais cette légère fuite d’huile dont je t’ai déjà parlé, dit enfin Marine.
- Je n’ai pas le temps, tu le sais bien. Je suis à Paris toute la journée pour une réunion. Je ne rentrerai que vers 20 heures… Bon, je vais prévenir le chef de l’atelier, l’adjudant Berthier, celui avec qui je parlais tout à l’heure. Ils sont trois à l’atelier, et loin d’être débordés. Il pourra détecter la fuite et la stopper momentanément. Va le voir à 17 heures. Mais il faudra emmener ensuite la voiture au garage habituel, en ville.
Marine sent brusquement son cœur se pincer et une contraction, légère mais rapide, prendre possession de son estomac.
- Bon, d’accord, admet la mère de famille.
Encore surprise de l’effet produit par les dernières paroles de son mari. Elle pense à l’homme qu’elle a regardé quelques heures plus tôt et qui resurgit dans son esprit.
L’épouse se couche avant son mari et s’endort rapidement. Couchée sur le dos, c’est le contact d’une main brûlante se glissant sous sa chemise de nuit qui la réveille plus tard. La paume caresse les cuisses rondes à la peau douce et chaude et remonte pour se mouler à la fourche renfermant le puits intime de Marine. Les doigts nerveux obligent la femme à ouvrir ses cuisses pour ensuite commencer à fouiller la toison abondante, épaisse et aussi noire que sa chevelure. Ses chairs intimes font l’objet d’un inventaire aussi méthodique que délicat.
Lorsqu’une phalange s’introduit progressivement dans son conduit pour entamer un mouvement de va-et-vient régulier, Marine étouffe une plainte sous le délicieux effet qu’elle provoque. Elle tend son bassin qui commence à effectuer des mouvements indiquant le degré d’incandescence dans lequel se trouve maintenant son ventre.
L’inspection dure de longues minutes avant que Paul s’allonge sur sa femme qui écarte ses jambes du mieux qu’elle peut. Elle crispe les mâchoires en fermant les yeux lorsque le gland impatient se présente à la porte de son anatomie la plus intime.
Sa gorge se serre et elle entend la respiration saccadée de son mari au-dessus d’elle. Soufflant de plus en plus fort sous l’effet de l’excitation, celui-ci se dresse au-dessus de Marine qui attend la première attaque. Paul, appuyé sur ses avant-bras, pénètre le ventre de Marine.
Les coups de reins sont d’abord délicats et réguliers puis deviennent plus fermes et le corps de la mère de famille est secoué sur le même rythme que les assauts du mâle. Elle tourne la tête, les yeux clos, tout en attendant patiemment la dernière charge qui lui apportera la paix pour le reste de la nuit.
Mais, comme par le fait d’un drôle de hasard, l’officier supérieur a décidé de faire durer son plaisir et ralentit brusquement ses pénétrations pour faire lentement coulisser son sexe dans le fourreau qui le reçoit.
D’une main, il parvient à faire sortir une des lourdes mamelles de la chemise de nuit afin de la caresser et de la masser tendrement. Paul colle son ventre à celui de sa femme et pose ses lèvres dans le cou si tendre et si doux pour y déposer une série de baisers ou de coups de langue avant de faire progresser ses caresses buccales vers l’extrémité agacée et durcie du sein, qui fait toujours l’objet de caresses appliquées.
Marine ne peut s’empêcher de pousser une plainte sourde et continue alors qu’un rictus s’affiche sur son visage. Ses doigts s’enfoncent dans la chair des hanches de son mari au moment où elle sent son ventre s’humidifier de plus en plus. Elle perçoit le bruit humide que provoquent les pénétrations successives de la queue durcie.
Et voici que l’image floue du visage de cet homme qu’elle a longuement observé dans le garage ce même jour, discutant avec son mari, surgit dans son esprit. Il la regarde comme s’il se trouvait à la place de son époux. Affolée, elle tente de la faire partir mais en vain. Cet homme revient automatiquement comme si sa présence était effective, dans cette chambre.
Les assauts qu’elle encaisse deviennent plus rapides et le bassin puissant se bloque enfin contre celui de l’épouse en même temps qu’un grognement étouffé sort de la gorge de l’officier. Marine sent les jets bouillants se déverser dans son ventre et pousse un cri bref et aigu tout en entourant de ses cuisses les hanches de son mari comme pour les emprisonner. Paul souffle bruyamment et reste allongé sur son épouse quelques secondes avant de basculer sur le côté. Elle se lève ensuite pour se rendre dans la salle de bain et se doucher longuement.
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Acte III : Marie éprouve un certain bien-être
La journée du lendemain se déroule normalement. Marine s’occupe de la maison, pensive, la tête ailleurs. Vers 16 h 30, elle se prépare pour rejoindre la caserne. Le temps est splendide et elle est vêtue d’une longue jupe en lin, fendue sur le devant, de couleur beige foncé ainsi que d’un chemisier blanc à manches courtes. Une large ceinture de cuir de couleur noire lui entoure la taille. Elle est chaussée d’une paire de sandales blanches à fines lanières. Sa chevelure est maintenue en arrière par une queue de cheval et un soupçon de maquillage fait ressortir ses yeux verts.
Le trajet pour rejoindre la caserne s’effectue sans problème mais Marine, sans pouvoir l’empêcher, sent sa gorge devenir sèche et son cœur battre un peu plus fort. Elle passe le poste de sécurité et prend la direction de l’atelier. Le rideau métallique du bâtiment est complètement remonté. Marine se gare juste à côté de l’entrée, stoppe le moteur et descend du véhicule.
Elle reste un moment devant l’entrée du garage, impressionnée. Un silence total semble régner à l’intérieur de l’atelier. Marine se décide enfin à franchir l’entrée. Les véhicules en cours de réparation semblent avoir été abandonnés, certains ont la trappe du moteur ouverte. Il règne une odeur faite d’un mélange de gas-oil et de graisse. Des panneaux de prévention des accidents sont accrochés sur les murs. La jeune femme observe un moment ce lieu qui semble exercer sur elle non pas une admiration mais une curiosité et une fascination intenses.
Soudainement, elle semble avoir entendu un bruit métallique sur sa gauche, où une Citroën grise est garée toutes portières ouvertes. Elle se dirige vers la voiture et les talons de ses sandales résonnent dans l’atelier. Arrivée à environ un mètre du véhicule, elle voit quelque chose surgir du dessous.
Surprise, elle se raidit. Le mécanicien au teint roux qu’elle avait aperçu la veille, allongé sur un dos à l’aise, apparaît brusquement, une clé à molette à la main. Tout aussi surpris, il ouvre des yeux bleus grands comme des soucoupes et reste allongé, immobile. Marine ne sait que faire et se retient d’éclater de rire tant la frayeur du soldat est visible.
- Bonjour, je cherche l’adjudant Berthier, le chef de l’atelier. Où puis-je le trouver, s’il vous plaît ? demande Marine en affichant un sourire aimable.
La femme prononce ces paroles après s’être accroupie afin de se mettre au niveau du mécanicien. Le visage du jeune rouquin, triangulaire, à la peau parsemée de tâches de rousseur, reste de glace mais vire peu à peu au rouge intense alors que ses deux yeux bleu clair sont écarquillés.
Au bout d’un moment, Marine se demande si son interlocuteur a bien entendu la question et commence à s’inquiéter de l’état du jeune mécanicien. Mais son instinct de femme lui fait rapidement prendre conscience de la raison pour laquelle le visage du soldat est sur le point d’exploser : il est à peine à une cinquantaine de centimètres des jambes que Marine a malencontreusement écartées en s’accroupissant. Il profite, sans l’avoir voulu, d’une vue directe sur la fourche ouverte, sur l’intérieur intime des cuisses blanches, pleines et à la peau lisse mais également sur les lèvres, gonflées et recouvertes du fin tissu du slip de satin blanc dont les côtés laissent échapper le reste de la folle pilosité épaisse et foncée que le sous-vêtement ne peux retenir. Il peut également observer la masse ronde des deux fesses en partie dénudées.
Marine déglutit avec peine et sent ses joues s’empourprer sous l’effet de la gêne. Elle reste immobile, les traits de son visage exprimant un sentiment d’étonnement et de frayeur, le souffle coupé par la situation qui l’a transformée si soudainement et involontairement en une femme exhibant la plus intime partie de son corps, directement, sans retenue.
Le mécanicien, émerveillé comme pourrait l’être un collectionneur devant une pièce unique, semble être incapable de décoller ses yeux du spectacle dont aucun mâle ne pourrait s’empêcher de se régaler. Il lève ensuite son regard en direction de celui de la femme dont le visage est également écarlate, et les deux protagonistes se scrutent un court moment.
Parvenant à se reprendre et partagée entre un sentiment de colère et de peur, le cœur cognant dans sa poitrine, Marine referme ses jambes et se redresse vivement pour ensuite reculer de quelques mètres. Elle remet mécaniquement en place une mèche imaginaire. Le jeune mécanicien, presque affolé, s’assoit prestement sur son dos à l’aise.
- L’adjudant arrive, m’dame. Il sort de son bureau, dit le soldat en bredouillant et en regardant derrière son interlocutrice.
Marine se retourne et se retrouve face à l’homme en question. Elle affiche un sourire de manière automatique, encore marquée par la situation qui l’a rendue si rapidement mal à l’aise et ne peut s’empêcher de se sentir impressionnée alors qu’une légère et sourde crampe se fait sentir au creux de son ventre.
- Bonjour Madame, je vous présente mes excuses, je sors de la douche. La période est calme et j’en ai profité pour faire un peu de sport. Votre mari m’a prévenu. Nous allons voir cette fuite. Robert, laisse la Citroën pour l’instant et va regarder la fuite en question, ajoute-t-il en s’adressant au mécanicien. Madame, il faudrait lui donner la clé de votre voiture s’il vous plaît.
L’homme a prononcé ces paroles calmement, d’une voix douce et grave. Marine le dévisage rapidement. C’est bien celui qu’elle a regardé la veille lorsqu’elle attendait son mari dans la voiture. Il a l’air sympathique et naturel. Berthier est vêtu d’une combinaison de travail impeccable et repassée.
L’homme présente un aspect physique soigné. La fermeture éclair est légèrement descendue et laisse apparaître un début de poitrine recouverte d’une pilosité assez épaisse, couleur poivre et sel. Il regarde Marine, ses yeux sont noirs et pétillants. Décontenancée par la situation et éprouvant presque aussitôt une difficulté pour déglutir, Marine ne peut soutenir le regard qui semble la percer.
- Bonjour monsieur, je vous remercie. J’espère que je ne vous dérange pas, dit-elle en bégayant légèrement, une sensation de chaleur aux joues.
- Mais non, il n’y a aucun souci ! Venez attendre dans mon bureau, ce sera plus confortable que de patienter dans l’atelier.
- Merci, c’est gentil !
Intérieurement amusée par l’expression confuse affichée par le jeune mécanicien, elle tend la clé de sa voiture au dénommé Robert, qui n’ose pas la regarder en face, et elle suit le chef d’atelier qui se dirige vers la porte vitrée d’un bureau situé au fond du garage.
Après quelques pas, elle a le réflexe de se retourner et son cœur se pince brutalement lorsqu’elle s’aperçoit que le jeune mécanicien n’a pas bougé d’un centimètre. Elle se doute immédiatement de la raison justifiant l’immobilisme de ce dernier et, une sensation de chaleur aux joues, ne peut s’empêcher de répondre au regard du jeune engagé.
La scène dure un court instant et Marine a l’impression qu’une pelote de laine vient de se loger au fond de sa gorge car son instinct lui fait comprendre que le regard du soldat est celui d’un homme qui a eu tout le loisir de faire l’inventaire visuel du corps d’une femme. Elle se retourne, partagée entre la colère et la satisfaction de faire l’objet de ce regard et rejoint rapidement le sous-officier qui, pour laisser pénétrer en premier Marine, ouvre la porte du bureau.
Celui-ci est constitué de deux tables de travail, d’une armoire de rangement, de trois armoires vestiaires et de deux chaises pour les visiteurs. Une porte, dans le fond de la pièce, est fermée. Au-dessus, un panneau indique qu’elle donne sur un local de douches.
Deux grands panneaux à étiquettes sont fixés au mur ainsi qu’un calendrier sûrement fourni par une société de transport routier. Le jeune mécanicien à la peau noire, qu’elle avait également repéré la veille, est assis à une des tables et semble remplir un cahier. Il lève son visage. C’est bien le jeune soldat aux traits fins observé le jour précédent. Sa peau, très foncée, semble fine et douce. La mère de famille le regarde un court instant avant de baisser rapidement la tête.
- Je vous en prie, prenez place, nous allons rapidement savoir d’où provient cette fuite. J’ai de très bons mécaniciens, et sérieux ! N’est-ce pas, Karim ? interroge le sous-officier en riant.
- Merci, mon adjudant, c’est sympa de votre part ! répond le soldat noir d’une voix douce et grave et en riant lui aussi.
Marine prend place sur une des chaises disponibles en face d’un bureau et sourit en appréciant la jovialité qui règne entre les deux hommes. Berthier s’installe derrière son bureau.
- Tiens Karim, va dans le magasin, tu trouveras une liste pour faire le point des ingrédients à acheter, vérifie-là s’il te plaît.
- Bien mon adjudant, répond le mécanicien en se levant pour sortir ensuite du local.
Un court mais néanmoins lourd silence s’installe.
- Vous êtes bien installé apparemment, dit Marine.
- Oui, ça va ! Et nous formons une bonne équipe, mes deux caporaux et moi-même. Ils ont vingt ans mais sont déjà bien compétents.
- Vous êtes affecté ici depuis longtemps ?
- Depuis deux ans, et je compte rester encore un peu.
- Ah, d’accord !
Inconsciemment, Marine se sent en confiance en compagnie de cet homme. Ils discutent pendant un moment de manière détendue. Il lui parle de sa carrière, des satisfactions et des difficultés de son métier. La femme l’écoute et le regarde. Ses yeux observent l’homme qui lui fait face avec une lueur qui exprime quelque chose qu’il ne peut pas décrypter.
Berthier répond au regard de Marine en lui souriant. L’épouse du colonel sent ses joues s’empourprer et baisse brusquement son regard alors que sa bouche devient sèche et qu’une crampe semble envahir insidieusement le creux de son ventre.
- Voulez-vous un café, il est encore chaud ? propose le sous-officier.
- Heu, oui, pourquoi pas, merci ! répond Marine en croisant les bras pour se donner une contenance.
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Acte IV : Marine cède à son désir
L’homme se lève et se dirige vers une table située dans un coin de la pièce. Une cafetière électrique se trouve sur le meuble et le mécanicien s’en empare. Marine, la respiration sifflante et le cœur battant à tout rompre, le regarde. Berthier se fige brusquement, se sentant observé. Il tourne doucement la tête vers elle, intrigué. Les deux protagonistes se contemplent d’un regard fixe que rien ne semble pouvoir dévier.
Au bout d’un instant, mue par une envie irrésistible, elle se lève sans quitter l’adjudant des yeux et se dirige vers lui d’une démarche souple et calme. Le sous-officier ne bouge pas, presque inquiet. La mère de famille s’arrête à quelques centimètres de celui qui, maintenant, lui fait face. Leurs respirations sont tellement proches qu’elles peuvent se mélanger et ne faire qu’une.
Les yeux dans le vague et alors que ses entrailles semblent être possédées par une bête invisible qui lui grignote les intestins, elle pose délicatement ses mains tremblantes sur la poitrine puissante. Elle sourit et se dresse ensuite rapidement sur le bout de ses pieds pour tendre ses lèvres entrouvertes vers une des joues du mécanicien. Au contact des muqueuses humides sur sa peau, l’homme sursaute, surpris puis se fige les yeux grands ouverts.
- Hé, mais, Madame, qu’est-ce qui vous prend ? dit-il d’une voix sourde et peu assurée sous l’effet de l’émotion.
Marine reste muette et immobile, continuant de plonger son regard dans celui de son vis-à-vis. Elle approche de nouveau son visage de celui de l’adjudant pour cette fois passer rapidement la pointe de sa langue sur la joue à la peau rugueuse. L’homme recule une fois de plus.
- Mais Seigneur, qu’est-ce qui vous prend ? gronde le mécanicien d’une voix légèrement cassée et tremblante et alors que son visage s’empourpre progressivement.
- Ce qui me prend ? C’est tout simplement l’envie de faire plus ample connaissance avec vous, c’est tout. Depuis hier, lorsque je suis venue avec mon mari. Je vous ai vu et regardé. Je n’y peux rien, dit Marine d’une voix sifflante en posant les paumes de ses mains sur les joues de Berthier.
Les yeux du sous-officier deviennent plus étincelants. Il jette nerveusement un regard vers la porte vitrée et l’unique fenêtre du bureau et fixe ensuite la femme. Le visage prêt à exploser, il se dirige vers la porte qu’il ferme à clé. Il marche ensuite vers celle du local des douches qu’il ouvre et se tourne ensuite vers Marine qui comprend le message.
Elle ne peut refouler le désir qui la taraude en dépit des alertes et voyants rouges qui tentent de l’avertir de la situation dans laquelle elle est en train de se fourvoyer. Les jambes flageolantes, elle passe devant l’homme qui s’écarte pour la laisser passer et pénètre dans un petit vestiaire meublé de quelques armoires métalliques et d’un banc en bois. Une porte, dans le fond, donne accès au local des douches. La pièce, éclairée par un vasistas, enveloppe les deux protagonistes d’une certaine intimité.
Marine se positionne dos au mur le plus proche alors que l’adjudant pousse légèrement la porte pour la fermer avant de faire face à la mère de famille qui le regarde, les bras le long du corps. Le regard de Berthier devient encore un peu plus sévère et Marine manque de s’effondrer lorsqu’elle sent la paume de la main droite du mécanicien se poser sur son ventre comme une plaque bouillante.
- Oh ! crie rapidement Marine alors que l’adjudant plaque son autre main sur sa bouche tout en commençant de masser délicatement l’abdomen de sa partenaire.
- Vous êtes très belle, Madame, dit l’adjudant d’une voix sourde. Je suis désolé, cela n’a pas beaucoup de sens ! ajoute-t-il, confus.
- Mais non, ce n’est rien ! répond Marine qui ferme les yeux sous l’effet du compliment.
Les deux mains de la femme ont saisi le poignet dont l’extrémité produit ce plaisir si torride. Une fois sa bouche libérée de l’emprise, Marine commence à gémir de façon continue et presque inaudible et saisit les épaules du mécanicien pour se rapprocher de lui et éviter de tomber.
Les yeux mi-clos, elle parcourt le visage de l’adjudant d’une série de baisers tendres et désordonnés qui émettent de légers bruits mouillés. La bouche féminine s’approche de celle du mâle et les souffles des respirations se mélangent. Les quatre muqueuses se rencontrent rapidement pour un baiser furtif, comme une première approche craintive.
Un baiser succède à un autre et Marine, prise d’un désir intense, entoure tendrement de ses bras la nuque puissante alors que son ventre se colle à celui de Berthier qui l’accueille en lui communiquant cette sensation intense de bien-être.
L’homme pose ses puissantes mains sur les hanches de Marine et serre doucement la mère de famille contre lui. Les deux langues dardent pour prendre contact, s’évaluer, s’estimer et enfin s’enrouler l’une à l’autre. Les respirations, puissantes et haletantes, provoquent les seuls bruits qui habitent à présent la pièce. Les deux êtres, le visage écarlate, sont soudés l’un à l’autre. Les deux bouches se séparent enfin. Le visage de Berthier exprime à présent un désir masculin, presque animal. Il colle sa bouche à la peau blanche et brûlante du cou de Marine, qui tressaille immédiatement tout en enfonçant ses ongles dans le tissu épais de la combinaison de travail.
Les mains de la femme sont ensuite refermées sur le crâne du mécanicien. Un gémissement presque inaudible mais aigu sort de la gorge de Marine. Les mains de l’adjudant ne restent pas inactives et Marine sent les pans de sa jupe remonter lentement jusqu’au niveau de sa taille. Les doigts tremblants du sous-officier saisissent délicatement la culotte au tissu fin qui recouvre les deux globes ronds et ses phalanges entament une caresse régulière de leur proie.
Marine referme légèrement ses dents sur sa lèvre inférieure et grimace pour ne pas crier lorsque les côtés de son slip sont écartés et que les paumes chaudes entrent en contact direct avec cette partie de son corps. La bouche puissante de Berthier attaque maintenant la nuque de Marine qui tremble un peu plus sous l’effet de la chaleur du souffle masculin.
L’épouse n’est pas en mesure de résister au bonheur intense qui s’empare d’elle et profite du délice que cette rencontre lui offre. L’homme caresse à présent du plat des mains les cuisses à la peau veloutée et l’effet que procurent ces deux mains brûlantes oblige Marine à refermer ses doigts sur les épaules de son partenaire pour ne pas vaciller pendant qu’une décharge électrique lui entaille le bas-ventre.
Elle parvient à refouler un cri mais se colle un peu plus au ventre de l’homme. Ils restent un moment immobiles. Sans qu’elle en comprenne la raison, Marine sent les mains de Berthier se poser sur ses hanches afin de la repousser délicatement contre le mur. Elle le regarde, hébétée.
- Oups !
Le cri strident de Marine résonne dans le local alors que la main droite de Berthier vient de se loger sur le sexe féminin pour en épouser aussitôt la forme et le posséder fermement. L’homme entame une caresse qui transforme le sexe de Marine en un chaudron incandescent. Par la force de son avant-bras, Berthier parvient à soutenir la mère de famille qui a de plus en plus de mal à tenir debout.
- Regardez-moi, Madame, s’il vous plaît ! demande le mécanicien.
Marine ouvre les yeux pour les plonger dans ceux de celui qui est sur le point de la rendre complètement folle. Elle lui sourit tendrement. La main cesse les caresses pour ensuite se loger dans le slip et entrer en contact avec le mont de Vénus à la pilosité dense.
- Doucement, oh doucement, gémit Marine en pliant les genoux.
- Mais ce n’est pas possible, vous me faites perdre l’esprit ! souffle l’adjudant.
L’épouse est proche de l’évanouissement lorsque les doigts de Berthier s’enfoncent délicatement entre les lèvres gorgées du miel produit par le plaisir pour essayer mais sans succès de saisir les chairs agacées. Les phalanges se livrent alors à des caresses délicieuses et l’une d’elles se présente à l’entrée de l’orifice donnant accès à l’intimité la plus secrète de Marine. Cette dernière a posé son front sur l’épaule de son partenaire et tressaille en sentant l’extrémité du doigt se porter sur son bouton prêt à exploser.
- Oh, doucement s’il vous plaît, doucement ! Oh mon Dieu ! gémit l’épouse d’une voix suppliante.
Le doigt effleure l’excroissance le plus tendrement possible pendant un instant avant de se diriger de nouveau vers l’entrée du ventre de la mère de famille pour y pénétrer de manière continue mais douce avant de s’immobiliser totalement.
- Hé !
Marine ne peut retenir un cri et relève la tête pour regarder Berthier avec une lueur faite d’un mélange de surprise et d’effroi. Sous l’effet du plaisir, elle ne tarde pas à refermer les yeux pour gémir faiblement et porter son bassin au-devant de la caresse.
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Acte V : Marine franchit le point de non retour
Le doigt reste immergé pendant un long moment dans le fourreau dont les parois dégagent de manière continue le liquide sirupeux et Marine, tout en serrant le plus possible ses bras autour de la nuque du mécanicien, a ainsi tout loisir de goûter plusieurs fois de suite au plaisir tant souhaité.
Ensuite, Berthier extirpe doucement son majeur de sa prison dorée et se libère de l’étreinte passionnée en saisissant les hanches de sa partenaire. L’adjudant baisse ensuite la fermeture éclair de sa combinaison jusqu’au bas de sa taille, dégageant ainsi ses épaules, son torse et son ventre.
Marine, de manière instinctive, baisse la tête et voit la déformation que subit le slip de Berthier. Le sous-officier saisit les bords du sous-vêtement qu’il baisse suffisamment pour libérer son sexe. Ce dernier, fin et long, s’érige et le gland, décalotté, rouge comme une cerise et en forme d’obus, se dresse et se gonfle un peu plus pour présenter son regard borgne.
Les deux glandes, recouvertes de leur enveloppe de protection tapissée d’une pilosité noire et drue, sont déjà positionnée de part et d’autres de la base de la verge. Marine contemple cet objet qui se présente à elle comme une offrande. Du bout de ses doigts tremblants, elle effleure d’une caresse timide le gland brillant. Berthier grogne et ne peut réprimer un mouvement de son bassin. L’épouse dirige alors sa caresse vers les deux testicules qu’elle saisit dans le creux de sa main droite pour les soupeser et les serrer doucement.
- Hé, vous, mais… Oh !
La phrase du mécanicien se termine par une plainte sourde. Les cuisses de Berthier se mettent à trembloter sous l’effet des attouchements. Marine plie les genoux et s’accroupit ; son visage se trouve ainsi à quelques centimètre de la tête d’ogive terminant le bâton de chair.
La paume de sa main gauche s’emparant de nouveau des deux glandes, l’épouse saisit la queue à sa base avec les doigts de son autre main et, arrondissant les lèvres de sa bouche, engloutit en fermant les yeux le tube dur comme de l’acier. Les cuisses de l’adjudant tremblent encore un peu plus alors qu’un long soupir sort de sa gorge et que ses deux mains se posent sur le crâne de Marine pour le caresser. La caresse buccale est délicate et pleine de tendresse.
Au bout d’un long moment et alors que la queue se dresse un peu plus dans la bouche qui épouse parfaitement l’arrondi du sexe, Marine dégage le cylindre vivant, se relève, libère une de ses jambes de l’entrave provoquée par son slip pour prendre Berthier par le bras et le diriger vers le banc.
- Assieds-toi, souffle-t-elle d’une petite voix presque étouffée.
Berthier comprend ce que Marine lui demande et s’exécute. Ensuite, l’épouse de colonel se met en face à son partenaire, les jambes écartées, et se rapproche pour poser ses mains sur les épaules du mécanicien qui la regarde tout en saisissant les hanches pleines de Marine qui descend tout doucement. Lorsque le gland pénètre dans le conduit ouvert et brûlant, elle penche la tête en arrière, la bouche ouverte et les yeux fermés.
Une fois le sexe complètement emprisonné, elle se relève pour le faire coulisser, plusieurs fois de suite, pendant un long moment. Elle est maintenant collée à l’adjudant, les bras enroulés autour de sa nuque. L’épouse infidèle vit un moment de bonheur qui la fait voyager dans un autre univers et semble même complètement la déconnecter de la réalité.
Berthier, le visage carmin, affiche une grimace qui pourrait faire croire qu’il est atteint d’un violent malaise cardiaque. Ses doigts sont enfoncés dans la chair des hanches de Marine. Ne pouvant plus maîtriser le plaisir qui le submerge, il maintient le bassin de Marine de manière à laisser son sexe dans le fourreau soyeux et laisse s’échapper les flots du liquide épais et brûlant. L’homme gémit, le visage enfoui dans l’épaule de sa maîtresse. Marine étouffe une longue plainte, le visage également enfoui dans l’épaule de son amant.
Épuisés, les deux partenaires reprennent peu à peu leurs esprits et se regardent un instant comme s’ils se demandaient ce qui vient de se passer. Marine et Berthier rajustent leur tenue rapidement et sortent du local discrètement. Machinalement, la femme reprend sa place initiale, le regard un peu hagard, alors que le sous-officier sort du bureau un moment.
- C’est bon, ils ont terminé, vous pouvez récupérer votre véhicule, annonce l’adjudant en revenant.
- Merci bien et… heu, au revoir et… à bientôt ! lance Marine en se levant.
Les deux protagonistes se regardent un court instant et Marine quitte le bureau. Sa voiture est parquée juste en face de la sortie du garage. Les deux jeunes engagés se tiennent à côté, discutant. La femme atteint son véhicule. Les deux mécaniciens cessent leur discussion et la regardent approcher. Elle se plante devant eux.
- Je suppose que le problème est réglé ? demande-t-elle avec un sourire qui tente d’être aimable mais d’une voix presque cassée.
- Oui, m’dame, c’est bon, vous pouvez partir.
C’est le roux qui vient de prononcer ces quelques mots en bégayant légèrement. Le noir, impassible, regarde Marine qui l’observe de côté. Cette dernière sent instinctivement le regard appuyé parcourir rapidement son corps. Elle détourne son regard pour fixer le roux dont le visage devient presque aussitôt flamboyant. La scène dure un moment et Marine ne peut s’empêcher de faire passer son regard du noir au roux plusieurs fois de suite.
Elle interprète sans difficulté la signification des regards masculins. Les deux militaires du rang ne bougent pas. Parvenant à reprendre ses sens, elle dirige une dernière fois son regard vers les deux hommes pour les fixer. Ils tressaillent et regardent Marine les yeux grands ouverts puis baissent leur visage, gênés.
- Merci beaucoup ! leur dit-elle en bredouillant et en s’en voulant de ne pas parvenir à se contrôler.
Et elle tourne les talons pour monter dans sa voiture et démarrer rapidement.
C'est pas fini.....
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