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Histoire du net. Auteur: BCBG. Honneur à notre armée... Fin

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Ou les démons de l'armée reprennent Marine.
En fait c'est pas les démons qui la reprennent...
C'est autre chose LOL...

Marine et les mécaniciens - 02 / 02
Auteur : BCBG
Marine et les mécaniciens - Deuxième partie
Acte I : Marine est poursuivie par ses envies
Une fois arrivée chez elle, elle se précipite dans la salle de bain pour se doucher longuement en essayant, mais en vain, de vider sa mémoire de ce qu’elle vient de vivre. Son mari ne rentre que fort tard, comme bien souvent.
Le lendemain, après une nuit agitée pendant laquelle des images furtives ont occupé son sommeil, Marine passe une bonne partie de la matinée dans la salle de bain pour se préparer alors que son époux est parti depuis bien longtemps. Elle se maquille soigneusement et revêt une jupe bleu marine, large et longue. Ses cheveux sont soigneusement coiffés et attachés en queue de cheval.
Elle choisit également un chemisier de soie fine, bleu clair, une ceinture de cuir rouge et une paire de sandales noires, rehaussées. Elle se regarde dans la glace et vérifie que plus aucune trace des larmes qui ont perlé sur ses joues la veille au soir ne subsiste.
En milieu de matinée, elle est en train de lire, assise sur le canapé de son salon, lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit. Intriguée car n’attendant aucune visite, elle se lève prestement et se dirige vers la porte pour l’ouvrir mais sans regarder à travers le judas.
À la vue des deux visiteurs qui se tiennent sur le pas de la porte, la mère de famille a l’impression que son cœur est sur le point de traverser sa poitrine et qu’une barre lui tranche le bas-ventre à la vitesse de l’éclair. Une boule se forme au niveau de sa gorge. Les caporaux Karim et Robert se tiennent l’un à côté de l’autre, les bras ballants.
L’effet de surprise passé, Marine parvient à se reprendre et affiche un sourire de politesse.
- Bonjour, quelle surprise, j’espère qu’il n’y a pas de problème avec la voiture ? demande-t-elle en plaisantant.
Elle en profite pour dévisager rapidement les deux compères. Le Noir porte un jean tenu par une ceinture de cuir beige foncé et un tee-shirt rouge. Il est chaussé d’une paire de bottes de cuir noir. Sa tenue est soignée et dégage une certaine élégance. Marine détourne rapidement son regard avant que le caporal ne le remarque. Elle scrute alors le roux qui porte également un jean et une chemisette bleu ciel. Il est chaussé de baskets. La mère de famille remarque immédiatement le regard malicieux qui n’a pas tardé à se poser sur le corps de la femme.
- Heu, non m’dame, pas du tout, répond le Noir.
Marine remarque la gêne qui semble posséder les deux mécaniciens.
Elle les regarde de nouveau et s’inquiète de leur présence. La peur d’un problème éventuel avec son mari lui vient immédiatement à l’esprit.
- Bon, eh bien, entrez, ne restez pas là ! leur dit-elle sur un ton engageant.
Les deux jeunes hommes se regardent rapidement.
- Merci m’dame, dit le roux.
Ooo00ooo
Acte II : Marine franchit de nouveau une limite
C’est seulement lorsque la porte d’entrée est refermée que Marine se rend compte qu’une limite a été franchie et qu’elle vient de faire pénétrer chez elle deux personnages qui, même si elle ne veut pas le reconnaître, ont occupé une partie de ses pensées durant la nuit précédente. Les trois protagonistes restent dans l’entrée.
- Bien, que voulez-vous au fait ? demande Marine d’une voix douce mais assurée et en croisant les bras.
- Heu, eh bien, rien d’important, nous voulions juste vous conseiller de bien laisser préchauffer votre moteur avant de commencer à rouler.
Le roux a prononcé cette phrase en bégayant et en baissant la tête. La mère de famille comprend immédiatement que cette raison n’est qu’un prétexte et sent en même temps cette crampe déjà présente au creux de son estomac se développer. Sa bouche devient sèche.
Marine est en train de se décomposer en deux Marine qui s’affrontent : celle qui lui chuchote dans l’oreille qu’elle est sur le point de commettre une chose à laquelle elle doit résister à tout prix en dépit du désir qui lui ronge le ventre, et la Marine aux sens exacerbés et au besoin de plaisir qui frappe de nouveau à sa porte et lui glisse dans l’autre oreille qu’elle doit se laisser aller et reconnaître enfin qu’elle est attirée par ces deux militaires du rang qui ne peuvent pas lui exprimer de manière plus explicite leur envie d’elle.
- Mais il ne fallait pas faire tout ce chemin pour cela, c’est gentil à vous !
Les visages des caporaux se figent car Marine vient de s’adresser à eux d’une voix méconnaissable, tremblante et presque gémissante. Elle regarde les deux visiteurs l’un après l’autre d’un air craintif et s’appuie sur la commode qui se trouve juste derrière elle, les deux mains s’accrochant au rebord du meuble comme s’il s’agissait d’une bouée de secours.
La jeune femme, incapable de soutenir une seconde de plus les regards des deux caporaux, baisse les yeux. Sa respiration se fait sifflante et sa poitrine tend le tissu du chemisier à chaque inspiration. Un moment de silence s’installe, presque dérangeant et uniquement troublé par le tic tac régulier de la pendule ancienne posée sur la commode.
Lorsque Marine voit une des mains du caporal Karim se diriger lentement vers elle, son visage affiche une expression de surprise intense, comme si elle venait de reconnaître dans la rue une amie qu’elle n’avait plus vue depuis de nombreuses années. Ses yeux, grands ouverts, regardent le Noir avec une lueur d’effarement et sa bouche s’ouvre pour former un « Ô ».
Incapable de bouger, les mains encore un peu plus rivées aux poignées du meuble, elle regarde la main à la peau foncée approcher de l’un de ses seins pour s’y poser délicatement en épousant la forme du globe recouvert du tissu fin du chemisier.
Elle regarde le Noir avec un air implorant la pitié et une moue identique à celle que pourrait afficher un enfant auquel on annonce que le jouet qu’il convoite ne lui sera pas offert tout de suite. Les doigts fins et longs du mécanicien se referment lentement sur la masse chaude et vivante. Marine parvient à étouffer le cri qui était sur le point de sortir de sa gorge. La chaleur et la douceur de la main semblent transformer sa poitrine en volcan.
Le sein est soulevé, tout doucement, pour être soupesé et amoureusement massé. Le caporal regarde l’épouse d’officier presque timidement, l’air coupable. Cette dernière parvient à trouver la force de poser mollement une de ses mains sur l’avant-bras du mécanicien.
Ce dernier ne bouge pas.
- Non, s’il vous plaît, il ne faut pas, s’il vous plaît ! gémit la jeune femme d’une petite voix presque inaudible.
Mais la conviction est absente de la requête que vient d’exprimer Marine.
Ooo00ooo
Acte III : Une Marine se soumet à l’autre
La Marine qui lui susurrait de s’abandonner a depuis longtemps terrassé la Marine qui la suppliait de résister à cette flamme qui lui brûle les entrailles. Le plaisir procuré par la caresse de la main du mécanicien est tellement intense que Marine abandonne la partie et ses doigts lâchent leur prise alors que ses yeux clairs fixent celui qui lui inflige cette douce torture.
Le Noir et le roux se regardent. Ils semblent se comprendre. Le caporal Robert, respirant de plus en plus fort, s’approche un peu plus de Marine qui le regarde tendrement. Il pose ses mains sur les épaules de la femme et avance son visage pour poser ses lèvres sur la bouche de la jeune femme qui, par son immobilité, accepte le baiser. La langue du roux darde ensuite et s’introduit entre les lèvres finement recouvertes d’un rouge élégant.
Les deux muscles entrent en contact et se lient immédiatement. Le caporal Robert caresse d’une main le visage de Marine pendant le baiser qui se poursuit. Les muqueuses se séparent ensuite et le soldat se laisse tomber au sol en s’agenouillant. La jeune femme sent les deux mains du mécanicien se poser sur ses chevilles pour remonter ensuite très lentement sur la peau blanche et douce.
Marine ferme les yeux alors que le caporal Karim déboutonne délicatement le chemisier pour libérer les deux mamelles gonflées et avides de liberté. Les masses blanches sont chacune hérissées d’un bout de chair rouge foncé, dressé. Le Noir entreprend de masser les deux globes en même temps. Il les caresse, les soupèse, agace les deux extrémités, les soupèse de nouveau.
Marine pose ses deux mains sur les avant-bras du caporal Karim. Elle le regarde d’un air absent et sa bouche, légèrement ouverte, laisse échapper un petit gémissement continu. Le Noir, excité, approche son visage et colle ses deux lèvres sur celles de la mère de famille, qui laisse pénétrer la langue impatiente du caporal et darde la sienne à sa rencontre.
Le caporal Robert ne reste pas inactif et promène ses deux mains sur les cuisses pleines et blanches. Les doigts se referment régulièrement sur la chair accueillante, pour la pétrir. Les deux paumes chaudes continuent leur ascension et Marine manque de tomber à terre en émettant une sorte de borborygme lorsque les phalanges du roux frôlent le tissu de la culotte dont les bords laissent échapper quelques mèches folles.
Les picotements provoqués par la caresse sont tels qu’elle pose les plats de ses deux mains sur le crâne rasé qui se trouve au niveau de son puits intime. Un cri bref, sec et strident vient de sortir des cordes vocales de la femme. Le Noir, abandonnant la bouche de Marine, vient de gober un des mamelons alors que ses mains ont saisi les fesses rondes à la peau douce pour les caresser.
Marine laisse sortir une longue plainte de sa gorge. Le gémissement viole le silence qui régnait jusqu’à présent dans la maison. Le caporal Robert glisse une main entre les cuisses de Marine et enveloppe sa paume autour de la motte pour en épouser le plus fidèlement possible le contour. L’étau se referme sur le tissu de la culotte qui protège à peine les deux lèvres brûlantes.
Les doigts de Marine ont saisi les épaules de Robert pour trouver un appui solide. En effet, les jambes de l’épouse se mettent à trembler légèrement, signe annonciateur d’une montée brusque de son plaisir. La main du roux se met à caresser sur un rythme régulier le triangle intime.
Les deux hommes respirent bruyamment.
- Ohhh ! Doucement ! Doucement ! implore Marine d’une voix tremblante de petite fille.
L’intérieur de son ventre est rendu à l’état de fournaise. La supplication semble accroître l’état d’excitation des deux mâles car le Noir accentue les morsures délicates qu’il inflige au mamelon qu’il est en train de torturer, et les doigts nerveux de Robert saisissent les bords de la culotte pour la faire descendre jusqu’au niveau des genoux de Marine.
La forêt, faite de la pilosité noire et épaisse, se libère, se développe. Le roux admire pendant un instant le spectacle dont il n’a que trop brièvement profité la veille. Ensuite, il saisit à pleines mains les cuisses qui se sont instinctivement écartées, pour approcher sa tête et coller sa bouche sur le sexe recouvert du tapis dense, diffusant ainsi une onde électrique qui frappe de plein fouet le bas-ventre de Marine.
- Ahh !
Le cri perçant résonne dans l’habitation. C’est autant une exclamation de surprise que de peur et de jouissance intense. Les ongles de Marine s’enfoncent dans les épaules de Robert. Le visage de la jeune femme est en feu et une grimace la rend presque méconnaissable.
- Non, non, arrête !
L’épouse implore Robert d’une voix étranglée mais, paradoxalement, elle pose de nouveau les paumes de ses mains sur le crâne du roux pour le caresser et comme pour l’encourager.
Robert, la langue sortie, lisse sur un rythme régulier la fente gorgée du produit intime continuellement dégagé par le ventre de la femme. Le Noir abandonne le mamelon brillant et recule légèrement. Marine lance un regard vers lui et remarque la lueur de désir animal qui fait briller les yeux de Karim.
Le roux vient d’engager le majeur de sa main gauche entre les lèvres trempées pour les séparer délicatement.
Marine fixe le Noir dont les longs doigts tremblants déboutonnent les boutons de la braguette de son jean.
Le majeur de Robert se présente à l’entrée du puits et le pénètre délicatement.
Marine, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte se cambre sous l’effet produit par cette introduction. Sa mâchoire inférieure se met à trembler et ses mains abandonnent le crâne du caporal pour se refermer violemment sur le tablier de la commode. Le majeur est engagé à mi-course et commence à coulisser dans le fourreau tapissé d’un liquide abondant et mielleux.
Marine tente de retrouver sa respiration. Le Noir vient de dégager une queue longue, fine et droite. Le gland, libéré, est en forme d’olive et brun. Le sexe, sorti de la braguette béante, est tendu et domine deux couilles enflées enveloppées dans leur sac à la peau sèche.
Robert poursuit son mouvement jusqu’à ce que Marine lui fasse comprendre en posant ses deux mains sur ses épaules qu’elle désire qu’il s’écarte. Le roux retire sa phalange brillante, recule et se remet debout. Ses lèvres sont encore enduites du jus intime qu’il a précédemment goûté et son visage est en feu. Comme son camarade, il saisit les boutons de la braguette de son jean, nerveux.
Marine fait passer son regard de la tige du Noir aux doigts du roux qui ne tarde pas à extirper une masse courte, épaisse, blanche et à l’extrémité encore recouverte du prépuce. Les doigts tremblants de Robert saisissent le membre pour décalotter un gland triangulaire et presque plat. Une pilosité rousse et bouclée sort en partie de la braguette.
Les deux hommes sont pratiquement immobiles, le bassin aussi tendu que leur sexe. Ils regardent Marine, qui fixe les deux verges, ces deux membres qui se présentent à elle et semblent l’appeler à la rescousse. L’épouse du colonel s’approche des deux mécaniciens qui se tiennent côte à côte puis, les yeux presque fermés, avance ses deux mains pour saisir du bout des doigts les deux bites. Les tiges sont chaudes, palpitent et les deux hommes tressaillent légèrement en respirant fortement. Les doigts de Marine se referment sur les sexes et entament une caresse régulière.
Les caporaux Robert et Karim décollent leurs bras et gémissent en même temps, les yeux dans le vague et en affichant des mines d’agonisants. Le visage de Marine est écarlate et ses yeux passent de ses mains blanches qui continuent de prodiguer leurs caresses aux figures des deux militaires du rang qui ne finissent pas de se décomposer sous l’effet du plaisir que la mère de famille leur inflige.
Ses doigts aux ongles délicatement entretenus quittent de temps en temps les deux tiges pour se refermer sur les quatre glandes gonflées afin de les caresser et de les presser doucement. Elle affiche un petit sourire en coin et se délecte de ce moment qui la rend consciente du plaisir mutuel qui la lie à ces deux hommes avec lesquels elle n’a pourtant aucun point commun.
Marine sent bientôt les deux bites enfler encore un peu plus et les libère. Les deux compères affichent une mine qui fait comprendre à Marine qu’ils ont atteint le paroxysme de leur désir. Le Noir et le roux se regardent. Le caporal Karim enfonce une main dans une des poches de son jean et parvient à en retirer deux sachets contenant des protections. Marine regarde les deux mâles retirer les préservatifs des sachets et les dérouler de leurs doigts tremblants sur les bâtons durcis.
La jeune femme, après un regard adressé à chacun des deux hommes, se tourne vers la commode, écarte les jambes et se cambre. Ses deux avant-bras sont posés sur le meuble et son front repose sur ses deux mains jointes. Les caporaux Karim et Robert se regardent. C’est ce dernier qui prend l’initiative de se positionner derrière Marine. Il saisit le tissu de la jupe afin de la retrousser jusqu’à la taille de sa propriétaire.
Les deux mécaniciens nourrissent pendant un instant leur regard du spectacle qui s’offre à eux. La croupe de Marine, les deux globes de chair blanche, les cuisses pleines, la motte intime recouverte de cette pilosité abondante et dont le centre s’ouvre sur deux lamelles boursouflées et brillantes. Les deux petites lèvres sont bordées de mèches folles collées les unes aux autres.
Les cuisses écartées maintiennent la culotte enroulée autour des genoux de Marine. Cette dernière mord une de ses mains pour étouffer un cri qui aurait sûrement fait trembler les murs de la maison. Le caporal Karim vient de glisser une paume chaude entre les cuisses de la femme et ses doigts fébriles n’ont pas tardé à fouiller les chairs trempées.
L’inventaire se déroule méticuleusement pendant de longues minutes.
En titre de conclusion, le Noir enfonce avec douceur son majeur dans l’antre tapissé comme pour en sonder la profondeur. Marine émet un long grognement étouffé et se dandine en accentuant sa position cambrée.
Le doigt est retiré. Robert, fou d’excitation, pousse son camarade pour saisir d’une main une des hanches de Marine. De l’autre, il présente sa queue à l’entrée du sexe de la mère de famille et fléchit légèrement les jambes. La tige blanche pénètre progressivement dans le ventre de Marine dont les cuisses tremblent de manière perceptible.
Robert, une moue déformant son visage, empoigne les hanches de l’épouse de son chef et continue sa poussée. Les ongles de Marine griffent le bois précieux du tablier de la commode sous l’effet produit par la tige brûlante pénétrant son conduit intime. Une fois la queue entrée de toute sa longueur dans les entrailles de Marine, le caporal entame un mouvement de reins souple sur un rythme régulier afin de faire coulisser sa bite dans le fourreau offert.
Le mouvement stoppe de temps en temps et Robert reste planté un instant, le bassin collé aux deux masses chaudes et rebondies.
Le militaire mélange ses gémissements à ceux de Marine. Voulant marquer une pause, il passe ses bras sous le ventre de sa partenaire et s’allonge sur son dos pour se coller à elle. La femme sent le souffle brûlant du mâle sur sa nuque.
- T’es tellement belle, tellement belle ! lui glisse le caporal dans une oreille, d’une voix grave et étouffée.
Il reprend ensuite ses assauts en respirant bruyamment. L’accouplement se poursuit sur un rythme plus lent mais le caporal, incapable de maîtriser son désir montant, accélère bientôt ses coups de reins. Le corps de Marine est secoué et la commode, sous l’effet des attaques viriles, émet des grincements selon le rythme imposé par les étreintes.
Le militaire du rang se cabre une dernière fois en serrant ses mâchoires, le visage déformé par une grimace mais sans pouvoir filtrer un cri sec qui se poursuit par une longue plainte.
Marine croit sentir les jets de liquide chaud qui lui donnent l’impression d’envahir son ventre, mais qui remplissent la protection qui entoure le sexe de Robert. La chaleur se diffuse et procure un plaisir dont la jeune femme se délecte. Elle ne peut s’empêcher d’émettre une série de jappements en tapant de ses poings le meuble sur lequel elle s’appuie. Les deux protagonistes restent ensuite figés un instant avant que le caporal Robert se retire doucement, visiblement repu mais comme exténué.
Marine ne bouge pas. Le Noir s’approche alors et redresse la jeune femme, délicatement. Il la retourne. Marine a le visage défait. Elle regarde le caporal Karim avant d’entourer le cou du mécanicien de ses bras et d’appuyer son visage contre la poitrine du Noir. Ce dernier lui caresse doucement le crâne puis, passant un bras dans le dos de la femme et l’autre sous ses jambes, il la prend dans ses bras et la soulève. Il la porte dans le salon pour la déposer ensuite sur le tapis de valeur qui habille le parquet brillant. Il saisit la culotte pour la faire glisser et libérer une jambe de Marine.
Celle-ci, de manière presque automatique, replie ses jambes et les écarte le plus possible. La saignée séparant les cuisses apparaît au grand jour, libérée, ouverte et réclamant une étreinte. Karim lisse sa queue afin de lui faire adopter la raideur voulue. Il s’allonge ensuite sur l’épouse qui l’accueille et colle presque aussitôt sa bouche dans le cou charnu et brûlant pour l’embrasser.
Marine ferme les yeux, un sourire de plaisir aux lèvres, entoure la nuque du mécanicien de ses bras et emprisonne la taille de son partenaire à l’aide de ses cuisses. Le Noir fait lentement pénétrer la longue tige foncée dans le sexe trempé. L’épée palpitante envahit tout doucement l’antre secret de Marine.
Une fois logé au plus profond des entrailles de l’épouse infidèle, Karim entame un mouvement régulier pour faire coulisser le bâton de chair. Marine mord l’épaule de son amant pour ne pas hurler de plaisir et sent deux larmes de bonheur perler aux coins de ses yeux. Elle est en train de goûter à un plaisir que certaines convenances pourraient réprouver mais qui pourtant lui fait traverser un univers paradisiaque.
Le Noir continue de déposer une succession de baisers dans le cou à la peau douce et referme régulièrement ses dents dans la chair pour la mordiller amoureusement. Le bassin du caporal rebondit sur celui de marine et émet à chaque fois de légers claquements alors que le corps de la femme adultère encaisse les assauts.
Au delà de l’épaule sur laquelle elle a refermé ses mâchoires, elle peut contempler les deux fesses musclées de son partenaire se soulever régulièrement pour redescendre ensuite. L’étreinte semble durer une éternité et Marine souhaite qu’elle continue encore. Ses ongles sont enfoncés dans la chair du dos du caporal Karim qui, en guise de réponse, mordille un peu plus fort le cou de celle qu’il est en train de posséder.
Les claquements se font entendre sur un rythme plus soutenu. Marine comprend que le dernier assaut va bientôt se produire. Le Noir se redresse brusquement sur ses avant-bras et tend son bassin pour une ultime attaque. Une grimace tord son visage alors qu’une longue plainte sort de sa gorge. Marine saisit les hanches du caporal à pleines mains alors que des flots de lave envahissent le préservatif. La bouche ouverte et le regard fixé sur le visage du Noir qui la domine, elle cherche sa respiration, tétanisée par la jouissance qui lui vrille le ventre.
Karim s’allonge sur Marine, épuisé. Le couple reste dans cette position un moment avant que le caporal se redresse. Il se relève, encore marqué par cette étreinte et rajuste ses vêtements. Il soulève ensuite la femme pour l’aider à se remettre debout. Vacillante, Marine se serre contre le torse du Noir et appuie son visage contre sa poitrine. Il l’entoure de ses bras et la serre contre lui pour déposer ses lèvres sur le front brûlant et transpirant de sa partenaire.
Retrouvant ses esprits, Marine le repousse doucement et remet silencieusement de l’ordre dans sa tenue. Elle retourne ensuite dans l’entrée comme pour faire comprendre aux deux hommes qu’il est temps pour eux qu’ils partent. Ils sont sur le point d’ouvrir la porte.
- Attendez ! demande Marine d’une voie encore pleine d’émotion.
Les deux militaires du rang s’arrêtent et se tournent vers la jeune femme qui avance alors vers eux, un sourire reconnaissant mais presque triste aux lèvres. Elle caresse du bout des doigts d’une de ses mains les visages des deux soldats puis se dresse sur ses pieds pour déposer rapidement ses lèvres humides sur une des joues des mécaniciens.
Elle ouvre ensuite la porte d’entrée pour laisser les deux soldats partir.

De la part d'un de mes plus fidèle visiteur. Je vous livre son message "in extenso"

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J’ai lu avec attention votre dernier texte, en rubrique, et il m’a donné l’idée d’explorer plus avant le nom d’auteur et j’ai trouvé sur Revebebe le texte suivant : Délicieux apprentissage
par Alteregaux

Je suis un cocu… et j’en suis fier. Prononcer cette phrase m’aurait paru ridicule il y a quelques mois encore mais aujourd’hui elle me comble de plaisir.
Sandrine ma femme est une jolie femme de trente-six ans, je suis son aîné de six ans et nous sommes ensemble depuis sept ans. Nous avons tous deux eu des aventures avant de nous rencontrer et notre vie sexuelle est épanouie quoique très classique.
Physiquement, Sandrine représente pour moi l’idéal féminin, elle mesure un mètre soixante-sept pour cinquante-quatre kilos, elle a un visage d’ange et de longs cheveux bruns et lisses avec une frange sous laquelle brillent de magnifiques yeux bleus, de très jolies jambes bien galbées, des fesses rebondies, une taille fine et une généreuse poitrine. Elle affole généralement les hommes qu’elle croise et j’aime que ma femme soit appréciée par la gent masculine.
Est-ce le poids de la routine ? Est-ce la fréquentation assidue de sites Internet pour adultes ? Je ne saurais le dire mais une envie me rongeait intérieurement depuis des semaines. J’avais visionné des heures de vidéo sur l’échangisme, le candaulisme et les relations de domination/soumission, j’avais lu de nombreux témoignages… Je rêvais d’offrir ma femme à un inconnu, un homme d’âge mûr de préférence, qu’elle se soumette sexuellement à un vieux cochon qui l’utilise selon son bon plaisir. Fantasme de toqué ? J’ai réalisé que cette pratique était plus répandue que je ne l’imaginais. Des sites spécialisés traitaient abondamment de ce sujet et réunissaient des centaines de maris cocus volontaires, de cocufieurs et d’épouses consentantes.
Réalisant que mes premières approches avec Sandrine n’étaient pas de francs succès, j’ai profité d’une soirée où elle était d’humeur coquine pour lui faire faire un tour du Web libertin en insistant sur les sites qui m’avaient particulièrement marqués.
- Tu fantasmes là-dessus ? Me demanda-t-elle.
- Oui, depuis un moment, et toi qu’en penses-tu ?
- C’est assez excitant mais je ne suis pas sûre de pouvoir faire ce que font ces femmes. Faire l’amour avec un inconnu est un fantasme assez courant et j’avoue que j’y ai déjà songé mais me soumettre à de vieux pervers, c’est autre chose… Laisse-moi explorer ce nouveau monde et je prendrai ma décision.
Nous en sommes restés sur cette position mais j’ai poursuivi mon travail de négociation avec mon épouse. Par chance, après cette première visite elle a pris goût pour le Web coquin et m’a avoué que les expériences entrevues au fil de ses navigations sur Internet l’excitaient énormément. Nos soirées passées devant notre ordinateur ont apporté du piment dans nos jeux érotiques. Sandrine semblait de moins en moins réticente à l’idée de tenter une expérience.
La réalisation de ce fantasme se fit de manière impromptue à l’occasion d’un voyage à l’étranger. Notre progéniture placée chez les grands-parents, nous avions pris une semaine de vacances au Maroc en plein hiver pour nous dépayser en évitant les foules de touristes. Marrakech était lumineuse, agréable le jour, froide la nuit.
L’hôtel où nous séjournions en demi-pension à proximité de la médina était chaleureux et peu fréquenté. Quelques rares touristes y séjournaient et nous avons lié connaissance avec certains. Parmi eux, Robert, un homme d’affaires belge d’une soixantaine d’années nous prit d’affection. L’homme n’était pas grand et rondouillard mais il émanait de lui un certain charisme. Il était chauve, portait une petite moustache et un bide proéminent. Il connaissait beaucoup de monde dans cette ville et sa compagnie était agréable. Je compris rapidement que Sandrine n’était pas étrangère à cette marque d’intérêt et qu’elle lui plaisait beaucoup. Un soir, l’alcool aidant nous nous sommes laissé aller à quelques confidences. Nous avons avoué à ce quasi-inconnu nos interrogations au sujet de nos fantasmes sexuels. Il nous écouta avec intérêt et nous confia que dans sa longue vie de voyageur, il avait eu de nombreuses expériences libertines. Il nous proposa de nous accompagner dans notre quête et de nous initier aux joies du libertinage.
- Si tu veux voir ta jolie femme honorée par d’autres que toi, profite de ce séjour. Je te propose une expérience inédite. Confiez-moi votre fantasme je le réaliserai et vous ne le regretterez pas.
Il détailla Sandrine, maquillée avec soin, vêtue d’une courte robe, d’escarpins à talons hauts et me dit:
- Ta femme est exquise, confie-la moi, elle sera comblée et toi aussi.
Après avoir pris congé, nous avons longuement discuté de la proposition de Robert. Il nous sembla que si une telle expérience devait avoir lieu, c’était l’endroit idéal. De retour en France, nous pourrions choisir soit d’oublier, soit de nous délecter de cette aventure.
Je fis savoir à Robert que nous donnions suite à sa proposition. Il nous donna rendez-vous le soir même dans un restaurant en précisant que nous devions réserver la suite de notre soirée. Sandrine qui souhaitait être particulièrement à son avantage se surpassa.
Lorsque j’ai l’ai vue sortir de la salle de bain, j’ai réalisé que malgré des premiers pas hésitants, elle savait parfaitement jouer la carte du glamour. Elle avait revêtu une courte robe noire très décolletée qui mettait en valeur sa magnifique poitrine, ses jambes étaient gainées de bas en fin voile noir et elle avait chaussé de vertigineux escarpins noirs à talons aiguille de douze centimètres. Son maquillage était particulièrement soigné, ses longs cheveux bruns lâchés sur ses épaules.
Robert nous accueillit au restaurant, complimenta mon épouse pour sa tenue. Durant le repas il fixa les conditions de notre engagement commun :
- Pendant le reste de votre séjour à Marrakech, soit trois jours, tu me confies ta femme et tu m’abandonnes tes droits sur elle. De votre côté, Madame, j’attends de vous la plus stricte obéissance. Je vais vous proposer des sorties, des rencontres, certaines en compagnie de votre mari, d’autres sans lui. Quelle que soit notre destination, vous revêtirez toujours des tenues féminines et sexy comme ce soir : robes ou jupes, talons hauts, lingerie. Il vous faudra me promettre la plus grande docilité sur le plan sexuel car vous vous soumettrez à des rapports sexuels avec moi bien sûr mais aussi avec des inconnus. Parfois cela aura lieu devant votre mari, d’autres fois en son absence. Dans ce cas, Il sera contraint de fantasmer sur vos expériences que nous lui raconterons bien sûr ensuite. Ce contrat vous convient-il ?
Nous avons accepté ces conditions sans hésitation mais non sans une certaine appréhension. J’admettais de devenir un cocu consentant et Sandrine s’abandonnait à cet homme sans condition.
Robert nous emmena après le dîner dans une petite pension située dans la médina. À cette heure, les rues étaient désertes et seul le claquement des hauts talons de Sandrine sur le pavé troublait le silence. Quelques autochtones et de rares touristes nous croisèrent, tous matèrent ma femme dont la tenue sexy semblait un peu déplacée dans ce quartier. Robert sonna à une porte et un homme taciturne nous ouvrit, il nous donna une clé et nous désigna une chambre au bout d’un couloir sombre. Nous sommes entrés dans une chambre très modestement meublée d’un lit, d’une armoire, d’un fauteuil, d’une chaise et d’un bureau. La chaux sur les murs était défraîchie et les tapis usés jusqu’à la corde. Robert referma la porte et nous contempla d’un air satisfait :
- Nous allons mettre quelques règles en place. Vous employez le vouvoiement lorsque vous vous adressez à moi et m’appelez Monsieur. Lorsque nous sommes ensemble, vous obéissez à mes consignes. Vous n’êtes pas autorisés à vous adresser la parole sans mon consentement.
Contre toute attente, il se tourna d’abord vers moi et m’ordonna de me déshabiller entièrement. Nu comme un ver, j’étais un peu gêné de m’exhiber dans cette tenue sous les yeux de ma femme et d’un quasi inconnu, mon sexe recroquevillé pendouillait tristement entre mes jambes. Robert me fit asseoir sur une chaise et grâce à une cordelette qu’il sortit de la poche de sa veste, il m’attacha solidement les mains dans le dos au dossier puis il lia mes chevilles aux pieds de la chaise.
- Parfait, dit-il d’un air satisfait en s’adressant à Sandrine et en passant au tutoiement, ton petit mari est réduit à l’impuissance et il est aux premières loges pour profiter du spectacle…
- À toi ma chérie. Passons aux choses sérieuses, nous allons pouvoir faire enfin connaissance. Déshabille-toi !
- Heu, entièrement ?
- Evidemment, tu te mets à poil. Tu portes des bas, n’est-ce pas ? Ne garde que tes bas et tes escarpins.
Ma femme obéit docilement, pendant que l’homme assis sur le lit la regardait. Elle détacha la fermeture de sa robe qui glissa le long de son corps jusqu’au sol. Elle apparut en sous-vêtements noirs, un soutien-gorge en dentelle qui faisait pigeonner sa merveilleuse poitrine et d’un string minimaliste aussi léger que transparent. Ses jambes étaient magnifiquement gainées de bas en fin voile noir maintenus sur ses cuisses par une large jarretière en dentelle. Elle libéra sa lourde poitrine en dégrafant le soutien-gorge puis fit glisser son string le long de ses jambes avant de s’en débarrasser de la pointe de son escarpin. Elle faisait face à l’homme, nue et vulnérable, uniquement vêtue de ces accessoires qui la rendaient encore plus désirable.
- Magnifique, j’ai rarement vu un aussi joli spectacle. Ta femme est une vraie merveille, je ne sais pas si tu sais l’honorer comme il se doit mais ce soir elle va être prise comme elle le mérite.
Il s’approcha et se tint debout à côté de Sandrine qui gardait les yeux baissés en attendant la suite. Il passa une main dans son dos et descendit lentement jusqu’à ses fesses qu’il commença à caresser d’abord doucement puis de plus en plus fermement. De son autre main, il prit en main ses seins lourds et fermes, les soupesa, les malaxa, passant de l’un à l’autre en les pétrissant avidement.
- Quel âge as-tu ?
- Trente-six ans, Monsieur.
- Des grossesses ?
- Une seule.
- Quel est la taille de ta poitrine ?
- 95 C.
Sa main descendit le long de son ventre et s’attarda longuement sur son pubis entièrement lisse et épilé.
- Tu t’épiles toujours intégralement ?
- Oui, mon mari aime beaucoup.
Sandrine avait passé la matinée dans un institut et avait testé l’épilation traditionnelle qui laisse la peau douce et satinée. J’avais entrevu le résultat mais c’était Robert qui maintenant en profitait.
- Je te remercie Monsieur le mari, j’adore les minous lisses et doux. Ecarte les jambes.
Le vieux glissa progressivement sa main entre les cuisses de mon épouse, il insinua ses doigts boudinés entre ses lèvres intimes dépourvues de toute pilosité et la caressa doucement. Elle étouffa un soupir. Ses doigts s’enfoncèrent plus profondément et trouvèrent l’entrée de son vagin. Lentement mais inexorablement il introduisit un doigt dans son sexe et l’enfonça entièrement. Sandrine poussa un petit cri.
- Tu mouilles, salope. Tu aimes ?
- Oui, Monsieur… Je suis assez excitée.
Il fit coulisser son doigt dans son intimité pendant que de son autre main, il continuait à lui pétrir les fesses.
- Tu réagis bien. Nous allons poursuivre cette petite discussion mais d’abord, tu vas prendre une position plus adéquate.
Il dirigea Sandrine vers le lit et il la fit s’installer au bord du matelas, à quatre pattes, cambrée, en appui sur ses avant-bras, les cuisses largement écartées. Dans cette position, offerte, elle ne cachait rien de son intimité et ses seins ballottaient librement sous elle.
- Voilà, regarde ta femme dit l’homme en la désignant. La vois-tu ? Elle s’offre comme une pute.
La superbe jeune femme que je contemplais, nue à l’exception de ses bas et de hauts talons, sensuelle, exhibée et offerte de manière indécente devant ce vieux cochon ressemblait à une héroïne de Giovanna Casotto. Ma queue s’animait et se redressait.
- Elle est belle et désirable.
- Ce soir, elle n’est pas pour toi. Je vais la posséder et l’utiliser pour mon plaisir.
Il se tourna vers Sandrine :
- Tu t’es déjà fait prendre par un inconnu ?
- Non, Monsieur.
- C’est ta première expérience ?
- Oui, Monsieur.
- Tu as des amants ?
- Non, monsieur.
L’homme lui caressa la croupe et saisit ses seins qu’il recommença à peloter.
- Ton mari te baise souvent ?
- Cela dépend… deux fois par semaine environ.
- C’est tout ! Quel manque de virilité ! Une belle chienne comme toi, je la posséderais tous les jours. Il te fait jouir ?
- Pas à chaque fois.
- Il te prend comment ?
- Cela dépend… Souvent en levrette.
L’homme glissa un doigt dans son sillon fessier, ce qui provoqua chez Sandrine un long frisson. Il effleura l’abricot lisse de son sexe, particulièrement exposé dans cette position indécente. Il introduisit un, puis deux doigts dans son vagin et elle soupira.
- Il te sodomise ?
- Non, Monsieur.
- Pourquoi ?
- C’est douloureux, je n’aime pas trop.
- Tu apprécies que je doigte la chatte de ta femme ? Cela t’excite ? Demanda-t-il en fixant ma verge en érection.
- Oui… Monsieur.
L’homme sortit ses doigts gluants du vagin humide de mon épouse et enduisit son anus de ses sécrétions. Lorsqu’il estima qu’elle était suffisamment lubrifiée, il lui força le cul et enfila entièrement son majeur en elle. Sandrine poussa un petit cri.
- Tu vois, ce n’est pas si difficile, ce soir ou une autre fois je t’enculerai devant ton mari. J’aurai le plaisir de procéder à ton apprentissage de la sodomie.
Il commença à se dévêtir et ôta son pantalon et son slip, ne conservant que sa chemise ouverte sur son gros bide et ses chaussettes. Il fit descendre Sandrine du lit et lui ordonna de se placer à genoux devant lui. Elle obéit et se retrouva face au vieux. Il avait un physique disgracieux, presque comique. Son torse massif était soutenu par de petites jambes maigres mais la partie de son anatomie la plus spectaculaire se situait à hauteur de ses yeux : un sexe en semi érection d’une taille impressionnante, épais et violacé surmontant des bourses énormes et pendantes
- Vas-y, suce ma belle.
Sandrine commença par lécher le gros gland luisant puis prit le membre en bouche, le fit coulisser entre ses lèvres maquillées. La verge, déjà grosse au départ, enflait et durcissait déformant outrageusement la bouche de ma chère et tendre. Le vieux lui saisit la nuque et imprima lui-même le rythme de la fellation. À demi étouffée, ma femme s’interrompait régulièrement pour lécher la colonne de chair, ce qui lui permettait de reprendre son souffle. L’homme lui laissait peu de répit et l’obligeait à le sucer en cadence en s’enfonçant toujours plus profondément dans sa gorge.
- Ton mari peut-être fier, tu es une bonne suceuse de bite. Lèche-moi les couilles maintenant.
Sandrine n’est pas une grande amatrice de cet exercice qui la dégoûte un peu mais elle s’exécuta. Soulevant la verge avec sa main, elle lui lécha longuement les testicules d’une langue chaude et humide pendant que l’homme soupirait d’aise. Je réalisai qu’elle ne m’avait jamais prodigué une caresse buccale aussi torride auparavant, ce soir avec un inconnu elle agissait comme une vraie salope. Je bandais de plus en plus fort. Le vieux exigea qu’elle le suce encore un moment puis il se dégagea.
- Elle est belle ma queue ? Tu l’apprécies ?
- Oui, elle est grosse.
- Plus grosse que celle de ton mari j’imagine ?
- Oui plus grosse, je n’en ai encore jamais eu d’homme avec un sexe comme le vôtre.
- Alors, passons aux choses sérieuses.
Le vieux la releva et la plaça à nouveau sur le lit dans la position précédente, à quatre pattes, offerte en levrette. Il caressa sa vulve et constata que son excitation avait encore augmenté.
- Tu es trempée, salope. Je vais te prendre comme une chienne. Tu es toujours partante, pas de regret pour ton petit cocu de mari ?
- Non, Monsieur, c’est lui qui le demande. Je veux que vous me preniez.
- Avec grand plaisir ma belle. Regarde le mari, ta jolie épouse est prête pour la saillie. Je vais te montrer comment tu dois prendre ta femme et comment la faire jouir, retiens bien la leçon.
Le vieux s’approcha par derrière et dirigea son engin vers le sexe luisant de ma femme. Son gland glissa dans les replis de sa vulve et commença à la pénétrer lentement. Il dilata de son énorme pieu son étroit fourreau. Il s’enfonça progressivement en elle, comme s’il voulait apprécier chaque centimètre conquis dans l’intimité de sa partenaire. Elle gémit sourdement, le visage crispé. Lorsqu’il fut entièrement entré en elle, son gros bide s’écrasa contre ses jolies fesses, il commença de lents et amples vas et viens en la maintenant par les hanches.
- La vache, elle est étroite la salope ! Elle n’a pas dû connaître beaucoup de grosses bites. Son petit vagin me serre bien la queue, c’est délicieux.
Sandrine poussait un petit cri à chaque coup de rein de son partenaire. De ma place, je pouvais voir son gros chibre aller et venir dans le sexe de ma femme, ressortant presque entièrement à chaque mouvement. Epais, turgescent, luisant de cyprine, il replongeait l’instant d’après encore plus profondément en elle. Mon excitation était à son comble, je bandais à m’en faire mal. Mes mains étaient solidement attachées, je ne pouvais absolument pas me soulager. J’étais condamné à regarder ma chère et tendre se faire défoncer par ce vieux cochon sans même pouvoir y prendre du plaisir.
Il la pilonnait en cadence, énergiquement, virilement. Sandrine encaissait ses coups de boutoir et semblait apprécier la manière dont Robert la possédait. Elle haletait, le visage empourpré, les yeux mi-clos et gémissait sourdement lorsqu’il accélérait ou changeait de rythme.
Le vieux abandonna ses hanches pour saisir ses seins qui se balançaient au rythme de la pénétration et se mit à les pétrir tout en continuant à la baiser. De temps à autre, ses mains quittaient sa poitrine pour caresser son pubis, ses cuisses au travers du nylon de ses bas ou ses fesses. Il lui asséna à plusieurs reprises des claques sonores sur le postérieur. Il tourna la tête dans ma direction :
-— Tu vois comment il faut s’y prendre ? Ta femme est délicieuse mais il faut savoir la baiser. Cela te plaît de la voir fourrée par un autre ? Réponds-moi !
- Oui, Monsieur, j’aime que vous baisiez ma femme.
- Elle va être comblée, fais-moi confiance.
Je sentis Sandrine monter vers le plaisir, des gouttes de sueur perlaient sur son front. Robert quant à lui transpirait à grosses gouttes qui ruisselaient sur le dos et le postérieur de sa partenaire. Quelques instants plus tard Sandrine fut submergée par un orgasme dévastateur, elle se cabra et jouit bruyamment pendant que Robert accélérait encore la cadence.
- Elle fait monter mon jus. Elle va me vider les couilles cette chienne.
Il se plaqua contre elle et jouit à son tour en grognant. Il éjacula longuement dans le ventre de ma femme. Il resta en elle encore quelques instants, profitant au maximum de la femelle qu’il venait de saillir. Il se retira enfin avec un ignoble bruit de succion.
- Reste en position, salope, je m’occupe de ton mari
L’homme s’approcha de moi et dénoua une de mes mains. Je saisis ma queue et je me mis à me masturber frénétiquement devant le spectacle qui s’offrait à moi. La verge du vieux avait laissé le sexe de mon épouse béant, dilaté et rougi par la rudesse de la pénétration.
Entre ses lèvres flétries un sperme gras refluait lentement et souillait son entrecuisse. Je n’ai pas tardé à venir et j’ai piteusement éjaculé sur mes cuisses pendant que l’homme frottait sa verge gluante sur les seins de Sandrine.
Quelques minutes plus tard, nous étions debout et Robert, seul à être rhabillé nous faisait face assis sur une chaise. J’étais maculé de ma propre semence et Sandrine avait renoncé à retenir celle de son baiseur qui s’écoulait entre ses cuisses et imprégnait la jarretière de ses bas.
- Madame a apprécié ? Tu as eu un orgasme ?
Sandrine, un peu honteuse hocha timidement la tête :
- Oui, Monsieur, j’ai joui.
- Le mari a joui aussi, dit-il en se moquant de moi. Visiblement, tu n’es pas toujours à la hauteur pour honorer ta femme. Ce soir, je lui ai montré ce qu’est une vraie partie de baise. Durant le reste de votre séjour, tu n’es plus autorisé à toucher ta femme. Elle sera prise par d’autres. Tu veux que je continue à m’occuper d’elle ?
- Oui, Monsieur, si elle est d’accord, je veux bien…
Il se leva, passa derrière Sandrine et se plaqua à elle. Il lui caressa les seins et le ventre :
- Et toi, salope, tu veux continuer à découvrir le sexe ?
- Oui, Monsieur
- Parfait, rendez-vous demain à onze heures à votre hôtel pour de nouvelles expériences.
Nous nous sommes rhabillés et avons suivi Robert à l’extérieur. C’est en silence que nous sommes retournés à notre hôtel. Une fois dans notre chambre, Sandrine se déshabilla, le string qu’elle avait enfilé à la hâte était trempé de foutre, ses seins et ses fesses étaient marqués à force d’avoir été palpés, son sexe exhalait une odeur de musc qui envahissait la pièce. Terriblement excité, je me suis précipité sur elle et j’ai tenté de l’enlacer.
- Non, chéri. Je t’aime mais je suis extrêmement excitée de l’expérience que nous vivons en ce moment. Tu ne me toucheras plus de tout le séjour. Je serai plus sexy que dans tes rêves, je te ferai bander comme jamais mais ce sera Robert qui disposera de moi. J’ai un peu honte de la manière dont je me suis livrée à lui, j’ai accepté qu’il me traite comme une chienne et me baise ainsi devant toi en t’humiliant. Mais j’ai joui comme jamais, alors ne gâchons pas cette expérience et vivons-la jusqu’au bout. Je vais me débarrasser de sa semence et nous nous coucherons pour dormir gentiment.
J’ai accepté mon sort et j’ai joué le jeu. Ma tendre épouse avait accepté mon fantasme, je n’allais pas m’en plaindre.
Le lendemain de cette soirée mémorable, nous nous sommes levés tard, le soleil brillait et le mercure affichait une température de 25°C.
Robert appela vers dix heures et s’enquit poliment de notre forme. Il me demanda de lui passer ma superbe épouse. Ils échangèrent quelques mots et je compris qu’il lui transmettait des consignes vestimentaires. Elle revêtit une très, très courte robe d’été à fines bretelles en tissu fluide, et de magnifiques sandales à bride et à talons très hauts. Elle m’embrassa langoureusement et nous sommes descendus à la réception où nous attendait notre mentor. Il portait un costume de couleur crème impeccable et un panama. Il nous entraîna à l’extérieur et nous fit entrer dans un taxi qui nous attendait devant l’hôtel. Assise entre nous, Sandrine semblait un peu tendue de revoir l’homme à qui elle s’était donnée la veille avec si peu de retenue. Quant à moi, j’étais à la fois gêné et excité de revoir l’homme qui m’avait fait cocu de manière aussi magistrale.
Robert semblait à l’aise et devisait gaîment. Sur le siège arrière de ce tacot, la promiscuité était forte et la robe de Sandrine était si courte qu’elle ne pouvait cacher son string qu’en croisant les jambes. Il posa sa main sur ses cuisses bronzées et me défia du regard en me faisant comprendre qu’elle était toujours sa propriété, temporaire mais exclusive.
Lorsque le taxi s’immobilisa, nous avons découvert un quartier traditionnel loin de la ville touristique. Robert nous entraîna dans les ruelles. Sandrine faisait sensation chez les autochtones dans sa robe minimaliste, perchée sur ses hauts talons. Elle se fit siffler plusieurs fois et s’attira quelques regards hostiles. Nous sommes entrés dans un petit bâtiment d’aspect ancien qui se révéla être un hammam faisant également office de salon de massage. Robert parlementa un long moment avec l’homme qui semblait diriger l’établissement. Il s’agissait d’un individu corpulent d’une cinquantaine d’années qui nous lançait des regards intrigués. Il finit par sourire en détaillant ma femme avec insistance puis nous invita à le suivre. Nous avons marché dans un dédale de couloirs carrelés et décorés dans le style mauresque. Il nous fit entrer dans une salle occupée par des tables de massage et des étagères garnies de produits exotiques. Il disparut aussitôt.
- Bienvenue dans l’établissement le plus secret de la ville, dit Robert en se tournant vers nous. Son propriétaire que vous venez de voir est un maître dans l’art du massage sensuel. Il est expert et connaît toutes les techniques pour procurer bien-être et plénitude aux femmes qui viennent le consulter. Il n’a pas son pareil pour faire monter l’excitation sexuelle chez ses clientes et les amener, avec ses seules mains, au bord des abîmes du plaisir. Dans cette civilisation très chaste, on fait appel à lui pour procurer de la volupté sans passer à l’acte sexuel proprement dit.
Son savoir-faire va également nous être utile pour amener Madame à la prochaine étape de son éducation : il va la préparer pour que je puisse facilement la sodomiser.
- Ici et maintenant ? Ai-je demandé stupéfait.
- Bien sûr, cet endroit est discret. Lorsque ta femme sera passée entre les mains de notre ami, elle sera physiquement et psychologiquement prête et je pourrai l’enculer devant toi, comme promis. Elle va subir sa première expérience anale et tu regarderas pour ton apprentissage.
Le patron entra dans la pièce, il avait revêtu une blouse blanche. À ses côtés, un homme maigre un peu plus jeune, portait des serviettes.
- Es-tu prête pour l’expérience ? Demanda Robert à ma femme
- Oui… Monsieur. Je suis juste un peu nerveuse
- C’est normal, détends-toi. Déshabille-toi entièrement, ne garde que tes chaussures.
Sandrine ne mit pas longtemps à se débarrasser de sa robe, de son soutien-gorge et de son string. Elle apparut devant nous, cambrée sur ses hauts talons, sa généreuse poitrine fièrement dressée et ses jambes légèrement écartées laissant apparaître son sexe glabre. Le masseur et son assistant ne perdaient rien du spectacle. Ils guidèrent mon épouse vers une table de massage sur laquelle ils l’étendirent à plat ventre. Pendant que l’assistant préparait les huiles, le masseur se tourna vers moi :
- Ta femme est superbe, je vais la masser avec grand soin et lui procurer du plaisir. Je vais également la préparer pour être pénétrée par derrière. Elle a déjà été prise par là ?
- Non, jamais.
- Je vais l’assouplir et la lubrifier pour que ton ami puisse la pénétrer sans trop de douleur. Ensuite ta femme pourra jouir de sa première expérience.
Ces paroles m’électrisèrent et je sentis ma verge se réveiller dans mon pantalon. Robert m’entraîna alors dans des vestiaires contigus où nous avons retiré tous nos vêtements et enroulé autour de notre taille des serviettes de coton blanc. À notre retour dans la pièce, la séance avait commencé, nous nous sommes assis dans des fauteuils confortables pour regarder le spectacle. L’homme enduisait le corps de Sandrine d’huile d’argan et la massait lentement. Ses mains larges et épaisses parcouraient son corps avec une légèreté surprenante. Son dos, ses cuisses, ses jambes, aucune partie de son corps ne fut oubliée mais c’est surtout sur ses fesses qu’il concentra son attention. Il pétrit et malaxa longuement ses globes charnus, Sandrine semblait aux anges et appréciait visiblement ce traitement. Il lui écarta doucement les jambes et ses mains se rapprochèrent lentement et progressivement de sa vulve exposée entre ses cuisses. Il l’effleura plusieurs fois, ce qui provoqua chez elle des frémissements de plus en plus intenses. Il finit par poser ses doigts sur son sexe et commença à le masser lentement. Sandrine soupira et écarta davantage les jambes pour marquer son consentement. L’homme appuya davantage ses caresses et, tout en écartant ses lèvres intimes, il introduisit ses doigts dans les replis de sa chatte. Il insinua un doigt en elle et lui arracha un petit cri. Lentement, le majeur fiché dans son vagin, il commença à masser du pouce son petit œillet sans jamais chercher à en forcer l’entrée. Je sentais Robert s’agiter à mes côtés, sa verge se réveillait et le tissu de la serviette commençait à se soulever.
Le masseur et son assistant aidèrent ensuite Sandrine à se retourner. Elle paraissait indolente et se laissait faire langoureusement. Ils l’installèrent sur le dos et firent jouer un mécanisme sous la table pour lui relever la tête. Ils déployèrent deux barres métalliques ressemblant à des étriers gynécologiques. L’assistant lui ouvrit les jambes en grand et plaça ses talons aiguilles dans les repose-pied. Sandrine lui faisait face, les pieds en l’air, les cuisses ouvertes à l’extrême, le bassin légèrement basculé en avant. Dans cette position son intimité dépourvue de toute pilosité était exposée de manière très impudique du pubis à l’anus. Le masseur se plaça derrière elle et se mit lui pétrir les seins. Il les massa longuement en les faisant rouler sous ses paumes. Sandrine qui apprécie énormément cette caresse commença à gémir doucement. Ses gémissements s’amplifièrent lorsque l’assistant, entre ses cuisses, commença à introduire un doigt dans son sexe. Il le fit lentement coulisser dans sa grotte trempée il en glissa ensuite un deuxième, puis un troisième.
J’étais tétanisé de voir ma femme se laisser tripoter ainsi par ces deux inconnus, Robert avait sorti sa verge et se masturbait lentement. Le maître masseur remplaça son acolyte entre les cuisses de ma femme et reprit son massage de l’anus. Progressivement il entra un doigt tout en lui caressant le clitoris. Il dilata doucement son rectum et, lorsqu’il introduisit un deuxième doigt dans son cul, Sandrine qui haletait de plaisir poussa un petit cri perçant. Il se retira et recommença l’exercice plusieurs fois jusqu’à ce que les doigts coulissent parfaitement dans son petit trou. Il réussit enfin à glisser un troisième doigt sans que ma femme, qui était au bord de la jouissance, ne manifeste de signe de douleur.
- Elle est prête, dit le masseur en se tournant vers nous, comment voulez-vous que je la positionne ?
- À quatre pattes, sur le sol devant le fauteuil du mari, répondit Robert.
Les deux hommes firent descendre Sandrine de la table et l’amenèrent devant moi. Ils la placèrent en levrette sur un fin matelas de coton qu’ils installèrent sur le sol carrelé. L’assistant pesa sur ses épaules jusqu’à ce que sa joue touche le sol, releva son postérieur et lui écarta les cuisses au maximum. Elle se laissait guider docilement.
Le masseur versa quelques gouttes d’huile sur son anus dilaté et tendit la fiole à Robert pour qu’il s’en enduise la verge. Le vieux, entièrement nu, se plaça derrière Sandrine, son impressionnante queue à la main :
- Regarde bien, je vais enculer ta jolie petite femme. Tu es autorisé à te branler pendant que je la sodomise.
Il joignit le geste à la parole et plaça son gland contre son œillet brun et lui força l’anus. Sandrine poussa un long gémissement. L’énorme verge se fraya un chemin avec une facilité étonnante dans son étroit orifice assoupli et lubrifié par la séance de massage. Il poursuivit sa pénétration arrachant à sa partenaire une grimace de douleur et s’introduisit entièrement dans son cul. Il commença précautionneusement des mouvements de vas et viens en la tenant par les hanches. Mon épouse commença se détendre et à accompagner de son bassin les mouvements de Robert.
- J’encule ta femme, petit cocu. Tu vois comme je lui défonce le cul à cette salope ? Tu aimes la voir ainsi ?
- Oui Monsieur, ai-je réussi à articuler tout en me masturbant, j’espère qu’elle vous procure du plaisir.
- Tu peux le dire et c’est un plaisir partagé. Qu’en penses-tu, salope ?
- Oui… Mon… Monsieur. C’est… nouveau… c’est très spécial… mais c’est bon… balbutia Sandrine pendant que l’homme accélérait le rythme.
Il sodomisa ma femme très longuement, ils étaient tous deux en sueur, Sandrine gémissait et haletait sans discontinuer et Robert l’enculait vigoureusement en soufflant bruyamment. Je n’ai pas pu me retenir aussi longtemps que lui et j’ai rapidement éjaculé dans les replis de ma serviette. Les deux masseurs contemplaient le spectacle, fascinés, tout en se caressant. Le maître masseur s’approcha de moi :
- Je vois beaucoup de femmes dans mon métier, la tienne est magnifique. J’ai beaucoup apprécié de la masser. Ce vieil homme est un sacré cochon, je le connais, regarde comme il la prend bien par le cul, elle subit sa première sodomie grâce à un partenaire expérimenté. Lorsqu’il l’aura bien baisée, par tous les orifices et qu’il lui aura fait découvrir le sexe, il te la rendra, elle sera devenue une parfaite amante.
Robert avait de plus en plus de mal à se retenir, il plaqua son gros bide contre le joli postérieur de ma femme et jouit. Il répandit sa semence au fond de ses entrailles pendant qu’elle reprenait son souffle, les yeux brillants de larmes de douleur et de plaisir mêlés. Il retira lentement sa bite de son cul, son anus dilaté à l’extrême se refermait doucement laissant échapper un flot de sperme luisant.
Il avisa le masseur attentif au spectacle la blouse déformée par une belle érection :
- Je crois que tu as bien mérité une petite récompense pour ton savoir-faire pour avoir si bien préparé Madame pour sa première sodomie. Elle va se faire un plaisir de te sucer.
L’homme ne se fit pas prier, il s’approcha de Sandrine qui s’était relevée. Il l’obligea à s’agenouiller devant lui et ouvrit sa blouse sous laquelle il était nu et présenta à ma femme une queue noueuse émergeant d’un buisson de poils noirs et crépus. Elle la prit en bouche sans broncher et commença à le sucer. Robert s’assit à mes côtés :
- J’ai enculé ta femme, je lui ai forcé l’anus, je l’ai défoncée et je me suis vidé les couilles en elle. Tu es maintenant un vrai cocu, j’ai mis ma bite là où tu n’as jamais mis la tienne.
- Oui Monsieur, c’était agréable de la sodomiser ?
- Tu ne peux pas imaginer, elle est étroite mais, une fois son cul bien lubrifié, c’est un délice de plonger dedans. Ma bite était merveilleusement massée par sa rondelle et, à chaque aller et retour, tu la sens vibrer au travers de ton membre, tes couilles tapent en cadence sur son sexe, tu la possèdes pleinement, tu la fouilles au plus profond de son intimité, tu es le maître de son plaisir et de sa douleur. Elle n’est plus ta femme, petit cocu, mais ma femelle dans laquelle je déverse mon sperme après l’avoir copieusement utilisée.
Ses paroles me fascinaient. Je regardais Sandrine qui suçait consciencieusement le masseur en faisant coulisser sa verge dure entre ses lèvres. L’homme qui lui malaxait les seins était probablement déjà très excité et il jouit très rapidement. Il la maintint par la nuque pour se répandre dans sa bouche et l’obliger à avaler son jus. Je savais qu’elle détestait cela mais elle déglutit néanmoins une partie de son foutre en laissant le surplus couler à la commissure de ses lèvres et maculer son menton.
Nous avons ensuite pris congé après nous être rapidement rhabillés. Le masseur convia mon épouse à revenir lui rendre visite avant notre départ. Il m’assura qu’elle était une merveilleuse suceuse et qu’il aimerait pouvoir la prendre à son tour devant moi.
Dans le taxi du retour, sur la banquette arrière, Robert se moqua gentiment de Sandrine qui gardait des traces de sperme sur le menton et dont l’intérieur des cuisses était poisseux de foutre. Elle sourit, radieuse, et se blottit contre moi en murmurant à mon oreille :
- Merci mon amour…
Nous sommes rentrés à l’hôtel et Robert nous donna rendez-vous pour le soir même à vingt heures. Je ne pensais pas que nous serions à nouveau convoqués pour le jour même mais nous avons acquiescé respectueusement. Le reste de la journée se déroula comme dans un rêve, Sandrine était langoureuse et très câline mais m’interdisait toujours de la toucher.
À dix-huit heures, Robert téléphona pour passer à ma femme ses consignes vestimentaires. Elle s’habilla d’une robe grise au joli décolletée, très sexy mais moins provocante que celle du premier soir, de bas en voile noir maintenus par un porte-jarretelles et chaussa ses merveilleux escarpins à très hauts talons aiguilles.
À l’heure du rendez-vous, nous nous sommes retrouvés au bar de l’hôtel. Robert contempla mon épouse, assise dans un canapé profond détaillant ses jambes gainées de nylon noir découvertes par sa courte robe, sa poitrine avantageuse et son joli visage mis en valeur par un maquillage soigné.
- Une jolie bourgeoise qui cache une belle petite cochonne, conclut-il son examen en souriant. Une tenue parfaite pour la poursuite de notre expérience. J’ai baisé ta femme par tous les orifices mais il est important qu’elle connaisse d’autres hommes. Ce soir madame va se faire prendre par d’autres.
J’aimerais que plusieurs hommes se succèdent en elle, qu’ils jouissent de son corps et qu’elle se soumette docilement à eux. Est-ce que vous me suivez ?
- Oui Monsieur, ai-je répondu. Je vous remercie d’avoir donné du plaisir à mon épouse et m’avoir montré comment bien l’honorer. Je ne vois pas d’inconvénient à poursuivre mon apprentissage et le sien si elle est d’accord.
- Je suis toujours partante Monsieur, dit Sandrine. Je vous fais confiance et je suis prête à m’offrir aux partenaires que vous choisirez pour moi.
- Parfait les amoureux, je n’en attendais pas moins de vous, alors accompagnez-moi.
Nous nous sommes à nouveau retrouvés à l’arrière d’un taxi qui nous amena dans la partie moderne de la ville. À la demande de Robert, le chauffeur nous déposa dans une rue très animée. Nous avons déambulé quelques minutes dans la foule jusqu’à ce que notre Pygmalion nous entraîne dans une rue transversale beaucoup moins fréquentée. Nous nous sommes dirigés vers un établissement discret dont l’entrée était gardée par un portier. Il nous salua et nous invita à pénétrer dans le bâtiment. L’intérieur semblait dater de l’époque coloniale et possédait un charme vieillot. Un bar peu fréquenté occupait le rez-de-chaussée mais Robert l’ignora et nous conduisit à l’étage. Plusieurs salles s’ouvraient sur un patio central dans lesquelles des hommes de tous âges buvaient et jouaient aux cartes, aux dés ou aux dominos. Il nous fit entrer dans l’une d’elles où quatre types semblaient nous attendre en disputant une partie. Ils étaient tous âgés de cinquante à soixante ans et Robert nous les présenta, il y avait deux notables de la ville et deux hommes d’affaires étrangers. Nous nous sommes installés parmi eux et ils nous offrirent des rafraîchissements. Robert prit la parole :
- Mes amis, je vous présente de jeunes amis venus de France qui découvrent notre ville mais qui souhaitent également profiter de ce séjour pour faire progresser leur couple vers de nouvelles expériences. Monsieur souhaite que son épouse soit initiée par d’autres aux plaisirs de l’amour et j’ai eu moi-même le privilège de faire découvrir à cette très jolie jeune personne un certains nombre de pratiques érotiques. J’ai pensé les convier à votre partie de cartes hebdomadaire pour que chacun d’entre-vous puisse montrer son savoir faire à Madame et l’honorer de sa virilité.
Un murmure d’approbation monta et des sourires illuminèrent les visages des convives. Alors qu’ils n’osaient pas trop observer Sandrine à notre entrée dans les lieux, je les sentais soudain affranchis de toute gêne par le discours de Robert et ils se mirent à étudier ma femme de manière plus appuyée.
- Sandrine, c’est son nom, m’a assuré qu’elle se soumettra volontiers à vos désirs et vous aurez le loisir de la prendre de la manière dont il vous plaira. Son époux qui apprécie que l’on s’occupe de sa chère et tendre ne verra aucun inconvénient à ce que vous usiez et abusiez de sa jolie femme. J’oserais même dire qu’il aime qu’elle soit pleinement et virilement enfilée…
Les hommes éclatèrent de rire. Je reçus des bourrades et les types m’assurèrent que Sandrine aurait droit à toute leur attention.
- Maintenant, nous pouvons peut-être débuter une partie pendant que l’un d’entre vous ouvre le bal et conduit Madame dans la pièce du fond ?
Un colosse barbu d’une cinquantaine d’année se leva. Il donna galamment le bras à Sandrine et la conduisit dans une pièce dont l’entrée était masquée par une tenture. Ma femme me lança un clin d’œil et suivit son partenaire. Tous les regards accompagnèrent le couple qui s’éloignait. Ma femme avançait lentement, la démarche chaloupée sur ses talons vertigineux, sa courte robe dansant autour de ses hanches dévoilant ses superbes jambes gainées de noir. Ils disparurent derrière la tenture et les hommes se mirent au jeu. Je n’en connaissais pas les règles et j’étais trop énervé pour rester en place. Je me servis un verre sur la desserte bien garnie placée contre un mur et j’ai siroté une anisette. Au bout de quelques minutes, Robert qui observait mon manège me fit signe de m’approcher et me souffla discrètement :
- La pièce derrière la tenture est une antichambre, elle ouvre sur un autre salon. Si tu es discret, tu peux te faufiler dans l’antichambre et observer ce qui se passe dans le salon du fond…
Je ne me le fis pas répéter. J’ai rejoint tranquillement le fond de la pièce et je me suis glissé sous la tenture. Je suis entré dans un vestibule vide, une autre ouverture s’ouvrait devant moi, masquée par des voilages. En m’approchant, je perçus des bruits caractéristiques dont la nature m’apparut pleinement lorsque je me suis approché pour glisser un œil dans le salon.
Celui-ci était meublé à l’orientale et un divan courait contre un mur à ma droite. Sur celui-ci, ma femme était positionnée en levrette face au mur, elle était nue à l’exception de son porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins. Le gros barbu tout habillé derrière elle, le sexe émergeant de sa braguette, était en train de la prendre énergiquement en la maintenant par les hanches. Ma femme, les yeux mi-clos, gémissait doucement en encaissant les coups de boutoir de l’homme qui limait vigoureusement son vagin. Ses cuisses étaient largement écartées, ses fesses relevées, sa lourde poitrine était ballottée en tous sens.
- Alors petite salope, tu aimes la leçon que je te donne ? Tu la sens bien ma bite, petite chienne ?
- Hum… oui Monsieur. Plus fort, s’il vous plaît….
L’homme accéléra encore le rythme, son ventre claquait sur le postérieur de ma femme et sa queue coulissait dans son sexe avec un bruit mouillé qui en disait long sur son excitation. Il la fessa tout en la baisant, les grandes claques qu’il lui assenait sur les fesses résonnaient dans la pièce immense. Je me délectais du spectacle de ma jeune épouse prise sans ménagement par ce rustre. Il la besogna de cette manière un long moment en la faisant geindre de plaisir avant de se répandre dans son ventre avec un cri rauque.
- Prends tout mon foutre, chérie, un petit souvenir pour ton mari…
Je me suis discrètement retiré. Quelques instants plus tard, l’homme regagnait la table de jeu, il passa près de moi et me dit :
- Ta petite femme est chaude comme la braise, je l’ai fourrée comme une pute et elle m’a vidé les couilles. Félicitation, petit cocu…
L’homme le plus âgé de la table se leva à son retour et alla rejoindre Sandrine. Je lui ai laissé quelques minutes et je suis retourné dans l’antichambre pour reprendre mon poste d’observation.
L’homme était assis sur le canapé, le pantalon baissé sur les chevilles. Sandrine toujours dans la même tenue était agenouillée entre ses jambes et lui prodiguait une fellation. Elle s’activait sur un sexe mou qui peinait à durcir. Ma femme ne ménageait pas ses efforts, s’aidant de ses mains, alternant pompage et léchage, suçant également ses couilles ridées. Au bout de quelques minutes, il la fit monter sur le divan, à quatre pattes à ses côtés de manière à pouvoir lui peloter les seins et les fesses tout en se faisant sucer. Il glissa même un doigt dans son entrecuisse trempé du sperme du type précédent. Sa verge prit un peu de volume et de vigueur.
- Tu es une bonne suceuse, petite, je vais jouir dans ta bouche, je veux que tu avales tout.
Il se crispa soudain et remplit la bouche de mon épouse avec sa semence. Je la vis déglutir sous le regard satisfait du vieillard. Il se releva, se rhabilla et glissa sa main entre les cuisses de Sandrine :
- Je regrette de ne pas être suffisamment vigoureux pour te pénétrer ma belle mais tu m’as pleinement satisfait. Bravo…
- Merci Monsieur, répondit Sandrine avec déférence.
L’homme sortit et m’apostropha dans l’antichambre :
- Elle a sucé ma vieille queue avec un grand talent et a tout avalé mon jus, c’est rare et j’ai apprécié. Elle est docile et possède un corps de rêve, je te félicite…
Il croisa le troisième en sortant. Celui-ci me fit un clin d’œil avant d’entrer dans le salon :
- À mon tour de m’occuper de ta femme. J’espère qu’elle a encore de la ressource…
J’avais besoin d’une nouvelle anisette, je suis retourné dans la salle de jeu où Robert me lança un regard complice et je suis aussitôt reparti le verre à la main pour jouer les voyeurs.
L’homme, un grand maigre, était debout au milieu de la pièce et se faisait sucer par ma femme à genoux devant lui. Il lui maintenait la tête entre ses mains et lui baisait littéralement la bouche. Après ce petit exercice il la releva et la poussa sur une table à l’autre bout du salon où il l’allongea sur le dos. Il écarta ses cuisses en grand pour dévoiler son minou lisse et gluant. Sans se soucier de ce dernier détail, il dirigea sa queue longue et noueuse vers son orifice vaginal et la pénétra d’un coup. Ma femme cria de surprise. Il commença à aller et venir en elle en faisant coulisser sa longue verge dans sa grotte trempée. Ses mouvements amples et profonds semblaient combler mon épouse, il plaça ses jambes sur ses épaules et continua de la baiser en lui palpant les seins. Je la sentis monter et lorsque que l’homme accéléra le rythme, elle jouit en gémissant tout en crispant ses doigts sur le rebord de la table. L’homme la laissa reprendre son souffle, se retira et l’obligea à se remettre à genoux devant lui :
- Termine-moi avec ta jolie bouche, salope.
Elle prit son membre visqueux entre ses lèvres et dès que son gland pénétra dans sa bouche, il jouit avec un râle. Sandrine reçut plusieurs giclées de sperme et avala tout. Elle aspira son sexe jusqu’à ce qu’il donne sa dernière goutte. L’homme soupira de plaisir et se reculotta. En sortant, il me croisa dans l’encadrement de la porte :
- J’ai fait jouir ta femme, tu peux me remercier. Sa chatte est chaude et accueillante mais c’est dans sa bouche que je me suis vidé les couilles, c’est une merveille…
Je suis resté immobile à contempler mon épouse. Elle avait posé la pointe de son escarpin sur une chaise et elle refixait son bas à son porte-jarretelles. Ses yeux brillaient, elle me vit et elle me fit un nouveau clin d’œil.
Le quatrième homme me bouscula dans le vestibule en entrant dans le salon mais ne sembla pas faire cas de ma présence. Il était petit et chauve. Il s’approcha de Sandrine et commença à la peloter avidement, lui pétrissant les fesses et les seins. Elle se laissa faire stoïquement. Il la poussa ensuite sur le divan et lui ordonna de se positionner en levrette. Ma femme obéit et reprit la position, penchée en avant, les cuisses écartée, offrant à l’homme son postérieur cambré. Il glissa un doigt dans son entrecuisse :
- Je ne suis pas le premier malheureusement, tu es poisseuse, salope. Je vais te prendre le cul.
Joignant le geste à la parole, il entreprit de lui lubrifier l’anus avec ses sécrétions intimes, il parvint facilement à glisser un doigt dans son cul et le fit tourner pour l’élargir. Sandrine grimaça mais cette intromission ne semblait pas lui déplaire. Il engagea avec un second doigt et poursuivit ses mouvements circulaires. Lorsqu’il jugea qu’elle était prête, il sortit son sexe déjà raide et le frotta contre ses fesses pour s’exciter davantage puis le présenta contre son petit trou et en força l’entrée. Sandrine gémit lorsqu’il s’introduisit en elle.
- Tu es étroite, tu t’es déjà fait enculer ?
- Une… une seu… le fois, Monsieur, articula-t-elle
- Ton mari ?
- Non Monsieur, c’est Monsieur Robert….
- Tu aimes cela ?
- Oui…Monsieur
Elle sembla effectivement s’habituer très vite à cette pénétration et je la vis se détendre rapidement. Ma femme se fit sodomiser par cet homme pendant plusieurs minutes. De temps à autre, il lui palpait les seins et les fesses, sans cesser de la pilonner. Elle gémissait parfois lorsqu’il changeait de rythme. Il finit par jouir en elle avec un long râle. Il éjacula pendant un temps qui me parut interminable avant de se retirer. Sa verge souillée débanda rapidement.
- Bonne petite salope, ton cul est délicieux… Interdiction de t’essuyer…
Il quitta la pièce et me croisa dans l’antichambre :
- J’ai adoré enculer ta jolie femme, maintenant elle peut se rhabiller.
Sandrine obéit à la consigne et remit ses vêtements sans chercher à nettoyer la semence qui s’écoulait à l’intérieur de ses cuisses. Nous avons regagné la salle principale. Robert nous attendait en compagnie des hommes qui venaient de posséder mon épouse :
- Je crois que Madame a pu parfaire son apprentissage et bénéficier de l’expérience de tous ces vigoureux amants. On me dit que tu as joui et que ces messieurs ont trouvé en toi une partenaire docile et sensuelle. Je te félicite. J’espère que Monsieur le mari voyeur a profité du spectacle de son épouse livrée à des mains expertes.
- Oui, Messieurs, dit ma femme, je vous remercie de cette leçon, j’espère avoir été à la hauteur et vous exprime ma gratitude pour m’avoir si bien honorée.
- Messieurs, ai-je ajouté, permettez-moi également de vous remercier d’avoir si bien satisfait mon épouse. Elle reste à votre disposition pendant notre séjour si vous souhaitez parfaire son éducation.
- De rien, vous êtes merveilleux, dit Robert. Je vais rester encore un peu mais je vous ai commandé un taxi. Bonne nuit, les tourtereaux.
Nous sommes rentrés à notre hôtel. Dans le taxi Sandrine se blottit contre moi et m’embrassa dans le cou. Elle sentait la sueur et le sperme, j’étais aux anges.
Le lendemain Robert nous invita à déjeuner au bord de la piscine de notre hôtel. Il nous annonça que ce soir Sandrine vivrait sa dernière expérience mais que je n’y participerais pas :
- J’ai loué une chambre dans un autre hôtel. Tu y accompagneras ta femme et tu me la confieras pour la nuit. Je te la ramènerai demain matin, ce qui vous laissera le temps de vous préparer pour prendre votre avion. Voici la tenue que tu porteras ce soir ma chérie…
Il lui offrit une boîte qu’elle ouvrit fébrilement. Elle découvrit une superbe guêpière noire agrémentée de dentelle bordeaux et une paire de bas à coutures de grande marque.
- Je crois que la taille est bonne. Tu te présenteras au rendez-vous uniquement vêtue de cette tenue, et d’escarpins. Tu enfileras quelque chose par-dessus pour faire le trajet jusqu’à mon hôtel afin de pas affoler toute la ville, conclut-il en s’esclaffant.
La journée passa avec une lenteur exaspérante. J’étais surexcité et très inquiet, qu’allait-il se passer ? Qu’allait-il exiger de Sandrine. Lorsque je lui confiai mes craintes, elle sourit :
- Mon chéri, que veux-tu qu’il me fasse que l’on ne m’ait déjà fait ? J’ai vécu plus d’expériences sexuelles en deux jours que durant le reste de ma vie. Sois sans crainte, je lui fais confiance… et je t’aime.
Elle passa une partie de la soirée à se préparer et lorsque, vers vingt et une heures, elle se présenta à moi vêtue de la tenue offerte par Robert, je faillis défaillir. La guêpière soulignait merveilleusement ses courbes, les bas gainaient superbement ses jolies jambes dont le galbe était accentué par des escarpins à brides à talons aiguille de douze centimètres. La parure ne comprenait ni string, ni culotte.
C’est donc sur son sexe nu dont l’épilation avait été soigneusement entretenue qu’elle enfila un léger imper pour effectuer à pied le trajet jusqu’au nouvel hôtel de Robert. Le trajet se fit rapidement et personne ne remarqua l’accoutrement de Sandrine. Il nous accueillit chaleureusement dans une suite raffinée. À ma grande surprise, un second homme se trouvait là. Approximativement du même âge que Robert, il me fut présenté comme un ami. Lorsque Sandrine retira son imper et apparut dans sa tenue ultra sexy, les yeux des deux hommes ne la quittèrent plus. Je fus invité à partir et c’est tout juste si on laissa ma femme m’embrasser sur le pas de la porte.
Je suis rentré à l’hôtel et j’ai passé une des nuits les plus affreuses de mon existence. J’imaginais tous les scénarios basés sur ce que nous avions vécus ces derniers jours. J’imaginais ma femme subissant les assauts répétés des deux vieux, soumise à leurs désirs pervers. J’ai même tenté de me masturber en visualisant les scènes mais je ne réussis pas à bander. Je finis par m’endormir vers deux heures du matin. Je dormis d’un sommeil lourd et sans rêve. À mon réveil, Sandrine en peignoir prenait son petit déjeuner sur la terrasse de notre chambre. Je m’approchai d’elle et l’embrassai. Elle me rendit un baiser langoureux. Elle avait les yeux cernés mais elle semblait radieuse.
- Alors ?
- Tu t’es inquiété pour moi j’imagine ?
- La soirée a été longue.
- Pour moi aussi, elle rit. Tu veux tout savoir ?
- Tout, oui.
- Il me faudra du temps pour rassembler tous mes souvenirs mais j’ai vécu une nouvelle expérience fantastique. Nous avons bu du champagne, ensuite je les ai sucés à tour de rôle puis ensemble. J’ai léché leurs couilles et d’autres parties de leur intimité. Je n’avais plus de limites, c’était comme dans un rêve. Ils m’ont prise chacun leur tour dans différentes positions, ils m’ont sodomisée.
Ensuite ils m’ont baisée ensemble, l’un dans mon vagin et l’autre dans ma bouche. Après, ils m’ont fait subir une double pénétration, pendant que je m’empalais sur Robert, son ami m’a prise par le cul. J’ai joui comme une damnée. Ils ont éjaculé dans tous mes orifices, j’ai avalé leur semence. Ils étaient insatiables. Nous avons fait une pause pour manger un petit souper puis ils ont recommencé à me prendre. Finalement, vers une heure du matin l’ami est parti après m’avoir enculée une dernière fois. J’ai pris une douche et Robert m’a invitée à partager son lit. Jusqu’alors, ils m’avaient baisée comme une pute, habillée en pute. J’étais là pour les satisfaire, j’obéissais docilement et j’exécutais toutes les cochonneries qu’ils exigeaient de moi. L’ami a été le plus pervers, très excité par le fait qu’il dépravait une femme mariée. Je lui ai donné tout ce qu’il voulait, absolument tout. Tu comprends chéri ? Des choses que je ne referai peut-être plus jamais, ta femme s’est offerte sans retenue. Paradoxalement, c’est lui qui m’a donné le plus de plaisir. Au lit, entièrement nue, Robert m’a baisée une nouvelle fois, de manière plus douce et plus sensuelle et m’a fait beaucoup jouir. Ce matin au réveil, il a voulu que je le suce et il a joui une dernière fois dans ma bouche. Et me voilà, rien que pour toi… J’ai passé de merveilleuses vacances.
Nous avons pris l’avion en fin de matinée, Robert était à l’aéroport pour nous souhaiter bon voyage.
- Pardonne-moi si j’ai copieusement abusé de ta jolie femme cette nuit. Elle a été enfilée comme jamais. Quatre heures de baise inoubliable. Suis mes conseils, offre-lui toujours ce qu’elle désire !

Nous sommes rentrés depuis quelques mois en France. Ce séjour nous hante et alimente régulièrement nos jeux sexuels. Nous avons voulu recommencer… mais ceci est une autre histoire…

Merci cher visiteur  pour cette histoire....
Et a partir de demain, moi  aussi je me raconterais...

Vie de chien. Le toutou à son pépére...

Mes Rom Tof's: M.A.K. My life!.... Ou presque. Conte de Noël.

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Vous aviez été nombreux à me demander 
pourquoi je n'avais pas écrit la suite.
Voilà l'histoire complète en images.
M.A.K. My Life.... Ou presque











A suivre...



Mes Rom Tof's: M.A.K. My life!.... Ou presque. Conte de Noël... Suite...

Mes Rom Tof's: M.A.K. My life!.... Ou presque. Conte de Noël... Suite..

Film inconnu. Droit de visite en prison... Si vous connaissez?..!

Histoire du net. Auteur Doulcea. Travail au noir§

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Doulcea est une auteure que j'adore.
Elle sait si bien décrire les rapports..... humains...
Je crois que j'ai déjà publié cette histoire...?


Abdou et la salle de bain.
Auteur: Doulcea
Elle rêve d’amour, de romantisme, et pourtant 19 ans, qu'elle est mariée au même homme. Le bonheur a duré quelques années. Il lui a fait 4 enfants. Le dernier a 10 ans, l'aîné en a 18. Elle aime ses enfants plus que tout, pourtant quelque chose lui manque…..
Son mari est devenu indifférent, il ne l'approche que le samedi soir, et tout est réglé comme une horloge. Un rituel immuable, qui la rend presque folle, il monte alors se coucher, il se déshabille totalement, lui qui dort les autres jours de la semaine en pyjama.
Il se serre contre elle, lui prend la main, la pose sur son sexe pour qu'elle le caresse. Il se fiche bien qu'elle soit disposée ou non à faire l'amour avec lui, elle est sa femme, et se doit de faire son devoir conjugal. Puis son autre main passe derrière la tête de son épouse, il lui fait comprendre sans dire le moindre mot qu'il veux se faire sucer.
Résignée, elle obtempère, lasse, d'avoir tant de fois, tenter de lui faire comprendre qu'elle aimerait beaucoup plus, des paroles, des gestes tendres, du plaisir....
Lui ne souhaite pas parler de ces choses là, de toute façon, il estime qu'à cinquante ans, le sexe ne se résume plus qu'à l'essentiel, et un rapport hebdomadaire lui suffit. Elle suce la verge de son époux, pas le moindre bruit, il lui fera savoir sans parler, s'il désire éjaculer dans sa bouche ou la prendre en missionnaire, pour se vider en elle.
Elle comprend quand elle sent la main qui force sa tête, ce soir, elle devra avaler son sperme, le liquide séminal de toute une semaine. De ses mains puissantes, il tient fermement les cheveux bruns de sa femme, il accélère le va et vient dans sa bouche et finit par éjaculer longuement son foutre chaud et épais. Juste un léger râle s'échappe de ses lèvres.
Puis satisfait, il se retire.
Le sperme s'écoule encore sur le menton de son épouse, une grimace de dégoût se lit sur le visage de son époux, il lui dit
- Essuie toi, voyons, tu vas tâcher les draps…… Bonne nuit !
Elle s'essuie sommairement avant de se lever, elle passe dans la salle de bain et se rince la bouche. Comment les années ont-elles pu transformer leur couple, de manière aussi pathétique….
Ils s'étaient aimés, la routine de la vie, les soucis, les enfants, le travail…
Est ce qu il en était pareil pour tous les couples mariés, depuis 20 ans ?
Elle se pose de plus en plus la question, elle a même pensé au divorce, mais par faiblesse, elle y a renoncé.
Le lundi qui suit, un homme doit venir installer une douche chez eux, elle ne veut plus d'une baignoire. Toute l'installation doit être refaite, une semaine de travaux. Comme, elle est en congés, elle pourra en surveiller l'avancement.
Patrick a quitté la maison de très bonne heure et les enfants sont passés les uns après les autres, dans la salle de bains, puis ils ont tous quitté la maison, pour se rendre à l'école.
Elle est seule, enfin.
Véronique décide de faire une toilette rapide à son tour. Elle ôte sa chemise de nuit, elle est nue devant le miroir, elle examine attentivement son corps, elle a eu 4 enfants mais elle est toujours désirable, juste quelques kilos en trop sur les hanches.
Sa peau est douce, ferme, seuls les seins tombent très légèrement, elle se caresse doucement, les tétons se dressent aussitôt, elle les passent dans la paume de ses mains puis entre ses doigts, les pincent doucement.
Il y a si longtemps qu elle n'a pas eu de plaisir avec son mari, elle a bien tenté de se caresser seule, mais elle n'a pas apprécié ce moment de solitude ou son corps ne réclame que caresses.
La sonnerie retentit, Véronique sursaute, elle enfile en vitesse, le peignoir de bain accroché au porte manteau et descend quatre à quatre l'escalier, pour accueillir l'ouvrier.
L'homme qui se tient devant elle, est très grand au moins 1m90, un sourire éclatant illumine son visage, c'est un homme de couleur. Elle salue et le prie d’entrer. L'homme à la peau noire est d’emblée très sympathique, jovial, bavard et souriant.
De son coté, Abdou ne peux s empêcher de trouver la femme à son goût, elle a l'air triste mais très gentille. Il se dit que la pauvre ne doit pas « rigoler » tous les jours. Presque immédiatement, il lui propose si elle le désire de l'appeler par son prénom, ce qui sera moins formel pour la semaine à venir…
Etonnée, elle accepte cependant mais se sent obligée de lui dire, d'en faire autant et de l'appeler Véronique. Ils discutent des travaux, elle se sent vite à l aise avec lui, au bout d un quart d’heure, elle lui propose même un café avant de démarrer, il s'empresse d'accepter et la suit dans la cuisine. Une tasse dans la main, ils s'assoient, et sirotent le doux breuvage.
Abdou aperçoit ses jambes entre les pans entrouvert du peignoir, de jolies jambes toutes lisses, il se dit qu'elle a l'air d’être toute nue, là-dessous. Véronique surprend le regard, elle rougit et referme brutalement les pans. Comment peut elle se pavaner ainsi devant un inconnu, elle avale le café d’un coup, pour mettre un terme à ce moment de « pseudo intimité » avec lui. Elle s'étouffe à moitié et se met à tousser lamentablement
- Tout va bien, Véro ? Je peux faire quelque chose, s'inquiète t-il
Gênée de se donner ainsi en spectacle, elle tente de reprendre son souffle alors qu Abdou visiblement ennuyé, tente de lui tapoter dans le dos. La petite séance a pour effet de desserrer le cordon qui ne ferme plus le peignoir, et Véronique qui tousse toujours ne le remarque pas tout de suite.
Abdou lui ne peux que constater qu'il avait raison, elle est bien nue en dessous. Elle est très belle, sa peau toute blanche contraste avec sa peau d'ébène, il sent qu'inconsciemment, il commence à bander.
Véronique enfin se calme, et prend conscience de l'indécence de sa tenue, le visage rougie par la quinte de toux, elle noud le vêtement hâtivement alors que lui se permet de dire
- N'ayez crainte, je ne vais pas vous toucher!!! Vous êtes une très belle femme!
Surprise de son audace, elle ignore la remarque. Il comprend son malaise et sans un autre mot, disparaît dans la salle de bains.
Elle reste seule dans la cuisine, encore secouée par le compliment, Patrick ne lui dit plus jamais qu'elle est belle, il la regarde à peine.
Dans ses réflexions, elle gagne sa chambre et décide de se vêtir, étrangement elle cherche avec soin, des habits qui la valoriseront. Elle opte pour une robe assez moulante avec un joli décolleté. Sa poitrine est mise en valeur avec le soutien gorge qui laisse entrevoir la naissance de ses seins.
Satisfaite du résultat, qui reflète dans le miroir une silhouette attirante. Elle hausse les épaules, se demandant ce qui lui prend de s'extasier comme une gamine, en se regardant dans la glace. Elle brosse longuement sa chevelure brune. Et, décide de mettre à jour son courrier.
Véronique, tente de se concentrer sur ce qu'elle fait, mais elle n'entend que le gai sifflement de l'homme, qui se trouve à quelques mètres d'elle. Elle pense à son regard envieux quand il la regardait effrontément, oui c'est bien ça, l'homme avait envie d'elle. Une femme ressent ça, même si depuis ces dernières années, elle a oublié ce délicieux sentiment d'être désirée. Véronique s'agite sur sa chaise, mais que lui arrive t-il ?
Comme un automate, elle se lève et sans réfléchir se rend dans la salle de bains. Les sifflements redoublent d'intensité, arrivée à la porte, elle regarde l'homme qui est de dos, il est torse nu, ses muscles saillants l’hypnotisent, il est si puissant, si magnifique.
Abdou qui a senti une présence se tourne, le silence est pesant, leurs regards se croisent. C'est Véronique, qui timidement effleure ce torse qui l'attire, la peau humide est noire de jais, elle sent les muscles de l'homme.
Interloqué, il la regarde, Abdou est un homme qui aime le sexe, il sent que la femme devant lui est en manque…. Il ne réfléchit pas davantage, il s'approche d'elle, son visage près du sien, ses grosses lèvres écrasent la jolie bouche de Véronique et leurs langues s'emmêlent, Véronique, sous le baiser profond défaille. Ses jolies mains courent sur la peau du black, alors que lui-même, ose passer sous la robe pour lui caresser les fesses.
Puis tout va très vite, il la veut cette femme, il se détache d'elle et sans un mot, passe la robe au dessus de sa tête, elle est à demi nue devant lui, c'est elle qui retire les agrafes du soutien gorge, les seins libérés éclatent indécents devant lui, il plonge la tête avec délice dans cette douce poitrine blanche, le contraste est magnifique, le noir et le blanc.
Comme en transe, elle s'agenouille devant lui, elle a envie de voir son sexe, elle libère avec empressement une queue d’ébène, le gland rose pâle. Elle est imposante déjà, comme une statuette en bronze. Affamée, elle se jette sur la verge, la lèche effrontément, il frémit sous la langue douce, humide et chaude.
Elle tente d'engloutir le pieu, il est si gros qu'elle peine à y arriver, il lui dit :
- Chut, nous avons tout notre temps…….. Montre moi ton lit !
Le tutoiement la sort de sa torpeur, elle réagit, mais que s'apprête t-elle à faire.
La grande main noire se place dans la sienne
- Je te suis ma beauté, lui dit il gentiment, j'ai tellement envie de toi ! ! !
Puis le sourire radieux a raison d'elle, haletante, elle le conduit sur le lit conjugal.
Il se dévêt lentement devant elle. Elle regarde se superbe corps athlétique, un corps si parfait. Le sexe raide d’un noir luisant, est majestueux. Véronique, absorbée par la nudité du black a gardé son string, il lui demande gentiment de s’allonger et entreprend d’ôter le minuscule vêtement. Il le renifle, il aime l’odeur intime d’une femme, de plus, la petite culotte est trempée. Il s’en imprègne les narines. Ils se dévisagent intensément.
Elle s’apprête à tromper son mari pour la première fois, son cœur bat la chamade, elle a tellement envie de cet homme, de sentir son corps sur le sien, elle veut être posséder par ce sexe, elle est prête, impatiente même.
Il lui écarte les jambes, sa chatte est épilée, ruisselante, il sent les effluves, dont il raffole, qui s’en dégagent. Ses lèvres épaisses s’approchent de son minou, elle a envie de hurler, lui fait durer le plaisir, doucement il lui demande:
- As-tu envie que je te suce ? demande t-il en la faisant languir
Il joue avec ses nerfs, elle en devient folle, si posée habituellement Véronique l’implore :
- Ouiiiii vite, lèche moi, viens ! Supplie t-elle, en s’ouvrant impudiquement
Alors sans la quitter des yeux, il lui écarte les petites lèvres trempées de cyprine, et la bouche délicatement va s’abreuver de son nectar.
Aussitôt Véronique gémit de plaisir, quel délice, elle s’écarte au maximum. La langue délicieuse sillonne chaque pli et repli, puis s’aventure sur le bourgeon saillant.
Dans la chambre matrimoniale, on entend plus que les soupirs de Véronique et les bruits de succion lubriques d’Abdou, qui lèche avec délice la chatte de cette jolie femme blanche, en manque de sexe.
Les plaintes s’intensifient quand sa langue masse le clitoris tout gonflé, elle frémit, tressaille, il s’attarde longuement. Véronique plaque ses mains dans la chevelure crépue de l’homme noir, elle sent la jouissance qui monte
- Ohh ouiiii continueee, c’est bon, je vais jouir, ahhhhhhh
L’épouse infidèle jouit sous la langue toute rose, elle s’écoule de plaisir dans cette bouche, traversée par un orgasme terrible qui la laisse toute retournée.
Abdou, qui bande comme un âne, lui soulève les jambes pour les poser sur ses larges épaules, son membre épais et rigide s’engouffre dans le vagin béant et humide de cette femme, qui n’attend que ça.
Le pieu disparaît au plus profond de l’intimité baveuse, elle est envahie par la queue qui la remplit totalement. Elle se pâme de délectation. Abdou voit les seins blancs, aux auréoles roses, secoués par ses assauts
- Mmmm t’es bonne, t’en avais drôlement envie, tu vas voir comme Abdou fait du bien aux femmes, comme toi
Il la lime furieusement, elle a les yeux mi clos, la bouche entrouverte, elle gémit encore
- Ouvre tes jolis yeux, regarde moi te baiser, ma bite te défonce, tu aimes ???
Véronique le regarde, de grosses gouttes lui coulent sur le visage, il halète, il retire les jambes de ses épaules et se précipite pour l’embrasser, ses lèvres épaisses baisent les siennes, elle avale sa langue, sa salive.
C’est si bon, elle aime ce sexe qui la remplit.
C’est sous leurs langues entremêlées, sa queue infatigable qui la pilonne, qu’elle jouit une nouvelle fois. Puis sans attendre, il retire son sexe et se positionne au dessus de sa tête, elle comprend son envie, elle ouvre la bouche pour recevoir une quantité de sperme impressionnante, qu’elle avale goulûment.
- Ouiiiiiii ohhh c’est bon, avale le sperme d'Abdou, Ah nettoie ma queue doucement…
Véronique du foutre plein la bouche et le menton, nettoie avidement la bite du noir, elle aime le goût fort et légèrement épicé, qu’il dégage.
Enfin il se couche à ses cotés, il la regarde la bouche encore souillée, elle s’apprête à s’essuyer pour éviter une remarque, mais Abdou n’est pas Patrick, doucement sa grosse bouche s’empare de ses lèvres et à nouveau ils s’embrassent, ils mélangent salive et sperme, c’est doux, chaud, enivrant. Puis il lape le foutre qui a coulé sur son visage, elle ferme les yeux, elle se sent merveilleusement bien.
Il est midi déjà, Patrick fort heureusement ne rentre pas déjeuner et les enfants sont à la cantine. Véro meurt de faim. Elle s’étire sur le lit puis se colle à Abdou.
- Je vais nous préparer quelque chose à manger ?
Elle se lève et se prépare à enfiler un peignoir
- Non, reste nue, dit -il
Véronique hésite, elle est assez prude, elle ne reste jamais sans vêtement dans la maison, même si elle est seule
- Tu es très belle, j’ai envie que tu restes comme ça, lui dit il en souriant.
Nue, elle rejoint la cuisine rapidement pour éviter son regard, c’est étrange pour elle de vaquer à la préparation du repas, dévêtue. Abdou la rejoint, il s’assoit devant l'assiette, elle rougit alors qu’il la mate, sans vergogne. En posant le pain sur la table, il lui caresse les fesses….
- Tu sais, j’adore ton cul, tu aimes qu’on s’en occupe ?
Véronique secoue la tête, elle ne garde pas un excellent souvenir des sodomies, que lui imposait Patrick. Elle acceptait par amour, mais n’en éprouvait pas de plaisir.
- Moi, j’aime enfoncer ma grosse verge, dans le cul de mes partenaires, tu verras, tu aimeras ça toi aussi.. !
Elle distingue le sexe entre les cuisses musclées, qui même au repos conserve une belle taille, elle frémit malgré elle, en imaginant ce superbe engin déflorer son petit trou. Au moins 8 ans, que Patrick ne l’a pas sodomisé. Elle se presse de servir les steaks pour ne plus y penser.
Abdou lui, ne pense qu’à ça, il avale de grandes bouchées, les yeux rivés sur sa nouvelle maîtresse. Elle est pas mal balancée cette nana, se dit il ! Pendant qu’elle cuisinait, il a vu son fessier bien large, il n’a plus qu’une idée en tête, enculer cette mère de famille, si sage en apparence. Il a été surpris de la bestialité de cette femme, elle est vraiment en manque de sexe la bourgeoise, elle va lui "manger dans la main".
Véronique est assez déroutée par la suite des événements, tout à l’heure elle était comme égarée, mais maintenant, elle se rend compte que la situation dérape, que fait elle à manger nue, avec ce type qui travaille pour elle. Elle prend le torchon à vaisselle, elle le tient négligemment devant elle, c’est assez puéril mais protégée ainsi, elle se sent un peu moins vulnérable. Abdou remarque ce petit changement d’attitude, il ne faut surtout pas qu’elle reprenne le pouvoir, se dit il !
- Enlève moi ça, en indiquant le torchon …. Viens près de moi !
Véronique envoûtée par le magnétisme du black se place devant lui. Les larges mains caressent son corps, des mains chaudes, si douces.
A nouveau, elle défaille
- Tourne toi, montre toi, sans honte
Elle exécute un quart de tour et ses fesses sont présentées à Abdou. Toujours assis, il effleure le cul.
- Place toi à plat ventre sur la table, obéis moi……
Elle se plie à la demande, elle se fraye une place entre les assiettes non desservies et s’offre indécente.
Abdou se félicite de si vite la dompter, cette petite femelle va devenir plus que docile, il en est certain. Il malaxe ses fesses
- Tu as un beau cul, tu sais
Elle se détend malgré la posture lascive, elle sent le souffle de l’homme, puis la langue qui lèche la raie de son cul
- Mmmmm j’aime trop ça…… Vas y écarte toi toute seule, que j’y mette la langue, j'ai envie de te bouffer le cul
Véronique surprise par la demande s’exécute pourtant, elle s’ouvre bien, il en profite et faufile sa langue humide. Parfois il cesse un instant pour enfoncer son doigt, elle a l’air d’apprécier.
Comme c’est bon, jamais Patrick ne lui a fait une telle chose, elle se décrispe complètement tant la caresse buccale, et même son doigt est agréable, elle en arrive presque à vouloir sentir quelque chose de plus gros, bien plus gros.
Il s’arrête au bout de quelques minutes. Elle est prête pour se faire enculer juge t-il et de plus, il bande royalement
- J’ai envie de ton cul, envie de t'enculer, mais je veux que tu me le demandes dit il, supplie Abdou !
Sa langue reprend place sur son anus, puis son doigt la pénètre à nouveau, elle mouille, elle coule, elle a envie de sa queue, elle ne résiste qu’un instant et l’implore
- Ouiii je le veux, baise moi encore, encule moi, baise mon cul
Elle ne voit pas le sourire radieux du black ravi, son phallus imposant se place à l’entrée de l’anus encore fermé, puis il force sur la petite rosette boursouflée, qui finit par engloutir le pieu rigide.
Véronique se sent alors déchirée, il est beaucoup trop gros, elle tente de se soustraire au noir, une assiette tombe sur le carrelage. Abdou lui, n’est pas homme à s’arrêter en si bon chemin, sa pine s’enfonce inexorablement sous les cris de sa maîtresse
- Encore quelques centimètres et tu auras la queue d'Abddou dans ton cul, Ahhhh voilà j’y suis, tu es chaude, serrée, Ah tu es bonne à baiser !
Il la sodomise plus aisément, les cris sont remplacés par des plaintes. Il glisse facilement dans son cul, elle est vraiment bonne à défoncer cette salope. Il la tient solidement par les hanches et regarde sa bite disparaître dans le trou agrandi, ses fesses toutes blanches dévastées par la queue d’un black et elle a l’air d’aimer ça aussi, la garce
- Tu aimes la grosse queue d'Abdou, Mmmm j’aime ton cul, on va bien s’amuser tous les deux pendant que ton mari bosse…. Ah je te baise, je tencule, salope
Véronique se fait défoncer royalement par son ouvrier, elle geint sous les coups de bite. Il accélère le rythme, une autre assiette tombe avec fracas
- Je vais arroser ton cul de chienne en chaleur
Elle n’en peut plus, elle aime tout ce qu’il lui fait, et même sa façon de lui parler, elle qui déteste pourtant la vulgarité.
Elle va au devant de son sexe, elle s’empale elle-même dessus, l’orgasme arrive, terrassée par sa jouissance elle crie de plaisir. Abdou se lâche lui aussi et envoie deux longs jets de foutre. Puis s’écroule sur elle, tous les deux restent là un moment sans bouger, le sexe finit par sortir de l’anus, le sperme s’écoule du trou agrandi. Ils se redressent, il l’embrasse et toujours ce magnifique sourire.
- Abdou doit bosser un peu, je te laisse ma beauté
Il part dans la salle de bains en sifflotant.
Véronique ramasse les assiettes brisées sur le sol. Sa vie a basculé en quelques heures, elle se sent si bien et si mal, en même temps. Un sentiment étrange. Le sperme coule sur ses jambes, elle écarte ses fesses et passe ses doigts sur son anus trempé et un peu douloureux, elle se rend compte qu’ils glissent sans la moindre résistance, dans le petit trou toujours ouvert. Elle s’essuie et pense à la langue d 'Abdou qui saurait si bien la nettoyer.
Le reste de l’après midi s’écoule lentement, elle remet de l’ordre dans la chambre, change les draps salis. Dans la salle de bains, elle entend Abdou qui siffle toujours….. Le noir cogite beaucoup, il va bien s’amuser toute la semaine, il se demande même s’il ne pourrait pas amener Rachid, son cousin, un mâle bien monté lui aussi. La blanche a le feu au cul, elle sera peut être d’accord, qui sait ! Enfin pense t-il en effectuant la soudure, allons y doucement, après tout il a encore 5 jours, à travailler ici. Et il compte bien en profiter un maximum Abdou.
ooo00ooo
Durant les 3 jours suivants, Abdou se partage entre son travail, dans la salle de bains et baiser sans aucune retenue la femme qui l’emploie et qui est plus que jamais, en demande. Le black quitte tous les jours, à 17h00 épuisé, les couilles vides.
Véronique, la femme si sage se révèle être une affamée de sexe, elle attend chaque matin la venue d’Abdou. Sur la demande de l’homme, elle est nue quand il arrive et reste ainsi toute la journée. Lui-même se déshabille sitôt arrivé.
La nudité ne pose plus de soucis à Véronique, elle aime désormais rester ainsi dans la plus simple appareil, et se tenir à la disposition de l’homme pour qu’il la fasse jouir encore, toujours. Elle ne se lasse pas de son ouvrier, elle aime son corps, son sexe, son sourire. Tout…..
Elle adore qu’il la baise dans toutes les positions, par tous les orifices, même son cul ne lui pose plus de soucis, sa grosse queue a fait son œuvre, désormais son anus est bien dilaté pour la recevoir profondément.
Hier il l’a enculé, alors qu’elle était penchée sur le canapé, l’immense miroir qui trône au milieu du salon douillet, reflétait leur image obscène, elle voyait le gros mandrin noir qui s’enfonçait dans son anus, ses larges mains noires lui caressaient les seins, c’était bon, excitant, il lui disait combien il aimait baiser le cul de sa salope de maîtresse blanche.
Elle adore son langage cru, jamais elle n’aurait imaginé une telle excitation, en entendant des mots si orduriers. Mais le simple fait, qui la baise en l’insultant de « bonne salope », de « grosse pute »…. Tout ça la mets dans un état d’excitation totale, et la vue de sa bite qui l’enculait, avait eu raison d’elle une fois encore, et elle avait joui intensément comme une bête sur le canapé ou toute la famille se réunit chaque soir.
Aujourd’hui, c’est logiquement le dernier jour d’Abdou. Patrick n’est pas satisfait, il ne comprend pas comment l’ouvrier a pris un tel retard, il lui faudra une journée supplémentaire pour achever le travail. C’est en râlant, que l’époux cocu quitte le domicile conjugal, laissant son épouse, impatiente de retrouver son amant.
Abdou sur le chemin, est dans ses pensées, il a décidé de bosser toute la matinée sans la moindre interruption, pour la bonne raison qu’il a parlé de cette femme, à son cousin.
Il lui a raconté le boulot, agrémenté de séance de baise avec une salope en demande, qui veut de la queue. Il lui a proposé de venir à midi, afin de la remplir comme elle le mérite, évidemment Véronique n’est pas au courant de la requête, de son amant.
Elle lui ouvre la porte, nue, il l’embrasse goulûment. Il sait qu’elle aime quand sa langue s’enroule à la sienne, leur baiser dure quelques minutes, mais au grand désespoir de Véronique, il la laisse sur sa faim et regagne la salle de bains, pour bosser.
Surprise de ce brusque changement, Véronique tente de s’occuper, la matinée s’écoule interminable, plusieurs fois, elle a failli aller se rhabiller, tant elle se sent délaissée par son amant.
Puis sachant qu’il a beaucoup de retard, elle se dit que peut être, il s’occupera d’elle, ce midi, elle a tellement envie de lui, de se faire baiser, encore....
A midi, il la rejoint enfin, satisfaite de le voir nu, elle est soulagée.
Quand la sonnerie retentit, elle sursaute, elle craint le retour d’un des enfants, heureusement, le verrou est mis par sécurité. Elle regarde Abdou, paniquée.
Etrangement, celui-ci lui sourit et dit doucement
- Ne t’inquiètes pas, Abdou t’a fait une surprise, je vais ouvrir !
- Mais tu n’y penses pas, tu ne peux pas ouvrir dans cet état !
C’est vrai, l’homme dans sa nudité totale a, en plus, une érection en pensant à ce qui se trame et à son cousin qui attend devant la porte. Il ignore la remarque et va ouvrir. Elle entend parler les deux hommes, les voix s’approchent, affolée, elle s’empare du tablier et tente bêtement de s’en recouvrir.
Elle voit que l’arrivant est black, lui aussi, tout aussi grand qu’Abdou, mais le crâne lisse, le nez aplati. Il émane de chez cet homme une force inouïe. Elle le regarde gênée, puis cherche une explication de la part de l’ouvrier. Pas le moindre bruit dans la cuisine, tous les 3 se toisent ! Puis enfin, la voix d’Abdou résonne dans le silence
- Je te présente mon cousin Rachid, je lui ai beaucoup parlé de toi…… Je pense qu’à nous deux, nous saurons te combler !
Véronique comprend enfin, elle est scandalisée de l’audace de son ouvrier, rouge de colère, elle s’apprête à lui dire son indignation quand l’autre commence à se dévêtir, en quelques secondes à peine, il est nu. La femme reste muette et stupéfaite, de se retrouver dans une telle situation.
Pourtant elle ne peut s’empêcher de constater, à quel point les deux hommes de couleur sont magnifiques, le fameux cousin bande légèrement, ce qui est plus que prometteur, vu la taille au repos.
Il la regarde d’ailleurs, le petit tablier ne cache guère ses seins qui débordent de chaque coté, ni les cuisses qui se profilent derrière le tissu. C’est Abdou encore, qui parle pour annoncer, qu’ils vont se rendre dans la chambre.
Il prend la main de Véronique, celle-ci résiste un peu
- Non s’il te plait, pas ça ! Je ne pourrais jamais !!!!!
- Viens, laisse nous faire, tu vas aimer…. Dit il
Il la tire à nouveau, elle finit par le suivre, derrière elle, Rachid ne perd rien des fesses nues exhibées, il tire le cordon du tablier et se régale du cul tout blanc. Son sexe durcit en pensant à sa b.te qui va enculer cette femme, son cousin lui a dit qu’elle était bonne à baiser et qu’elle aimait ça.
Tous les 3 sont dans la chambre, le tablier est retiré rapidement, Abdou lui demande de s’asseoir sur le bord du lit, elle s’exécute, devant elle, les 2 blacks ont la queue dressée, luisante et noire, ils se masturbent doucement. Rachid le nouvel arrivant annonce
- Allez ne nous fait pas attendre, lèche nos queues, prends en une, dans chaque main
Ils s’approchent tout près d’elle, elle sent leur odeur de mâle, timidement ses mains se posent sur leurs sexes, elle les branlent, fascinée par la taille
- Suce nous, s’impatiente Rachid
La jolie bouche engloutit le sexe d’Abdou avec avidité, mais l’autre exige qu’elle s’occupe aussi de lui, à regret, elle quitte la verge de son ouvrier et avale l’autre sexe, il est plus large encore, il est impatient, il veux s’enfoncer au fond de la gorge et il ne la ménage pas
- Suce, petite pute en rut, et continue à branler mon cousin, Ahhhhh t’as raison Abdou, elle pompe bien Mmmmmm, à son tour, suce le et branle moi
Véronique de la bave plein le menton, se libère de la bite et se jette une nouvelle fois sur la verge d’Abdou, tout en branlant l’autre.
Abdou est béat de voir sa maîtresse, s’occuper de leurs queues, il a envie de juter une première fois dans sa bouche pour faire voir à son cousin comme elle avale bien, alors n’y tenant plus, il éjacule un premier jet, puis un second, sa main sur la tête de son employeuse, elle avale le foutre, sans hésiter
- Mmmmm avale tout !!!! Fais voir à Rachid que tu aimes ça
Le cousin est terriblement excité, à peine Abdou a fini de juter, il n’attend pas plus et lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit conjugal. Elle obéit, la bouche encore souillée, sa chatte trempée reçoit la grosse bite de Rachid, il est sauvage, plus brutal qu’Abdou
- Mmmm c’est vrai que t’es une grosse salope, MMmmm t’es une bonne chaudasse toi
La verge épaisse s’enfonce en elle, puis un doigt pénètre son anus
- Ahhh t’es bonne, Mmmmm
Un autre doigt rejoint le premier, il les agite frénétiquement dans son anus, elle gémit de plaisir
- Ouiiii gémit salope, on veut t’entendre jouir, hein Abdou ! Viens te faire lécher la queue pendant que je la lime.
Abdou présente son sexe ramolli à Véronique qui se jette dessus, c’est tellement bon, elle tète la bite encore molle et qui regonfle doucement dans sa bouche chaude et humide. La pine qui la baise lui emplit le vagin totalement, l’orgasme arrive, elle le sent qui monte et enfin elle explose de bonheur, en hurlant
- Ouiiiii jouis, je vais te remplir de foutre Ahhhhhhhhh c’est bon ! ! ! hurle Rachid
Véronique ne peut reprendre ses esprits, car Abdou toujours dans sa bouche, bande à nouveau comme un âne et lui dit :
- Reste dans cette position, je vais enfoncer ma queue dans ta chatte remplie
Elle ne bouge pas, il change de place
- Vas y cousin, enfile ta queue dans mon foutre tout chaud, ça te plait ?
Abdou prend la place de Rachid et sa verge disparaît dans la chatte inondée du sperme de son cousin, c’est chaud, c’est bon, il voit sa b.te qui ressort pleine de sperme, il s’y enfonce à nouveau, sa verge glisse dans le foutre, ça le rend fou d’excitation, il recommence le petit manège, à chaque fois sa bite luisante de foutre, il n’y tient plus, se plonge en elle à nouveau et décharge lui aussi son sperme, qui se mélange à l’autre.
Il jouit intensément.
Les 2 hommes, les couilles vides discutent gaiement pendant que Véro file se faire une petite toilette. Il est 13h00
Quand elle revient les blacks sont tranquillement entrain de parler d’elle, Abdou explique combien elle aime se faire enculer maintenant, gênée, Véronique ne dit rien.
Elle regarde les 2 hommes allongés côte à côte sur son lit, ils sont beaux comme des dieux, elle pense que l’occasion ne se renouvellera plus jamais, Abdou a fini son travail demain, alors autant en profiter.
Rachid dit qu’il aimerait bien la sucer un peu avant de l’enculer
- Viens poser ton joli cul sur ma tête, et écarte bien tes fesses, chérie
Elle obéit. Pour le moment, il ne bande pas, elle peut savourer la langue, elle s’écarte bien, et la langue active se faufile partout alors que la grosse bouche d’Abdou dévore ses tétons et lui pétrit les seins, elle ne sait plus ou donner de la tête tellement leurs langues lui donnent du plaisir, au bout de quelques minutes, Rachid la repousse et lui intime de prendre place au dessus de sa queue. La bite gonflée se dresse fièrement, elle est dure déjà.
- Viens t’asseoir sur ma queue ! De dos, tu vas empaler ma bite dans ton cul
Elle hésite encore, le pieu est énorme, mais l’homme est excité
- Dépêche toi chérie, j’ai envie de ton cul, je t’ai bien lubrifié avec ma salive et le cousin t’a bien préparé ces derniers jours, grouille toi !
Elle se présente dos à lui, se place au dessus de sa queue, tremblante, elle sent poindre le gland sur son anus. Il force sur ses épaules pour qu’elle s’assied, elle est défoncée par le large diamètre
- Ahhhh ouiiiii viens encule toi
Il force sur les épaules et Véronique se retrouve totalement empalée sur ce sexe énorme qui l’encule, elle est assise sur la queue, elle halète...
Abdou regarde le spectacle, lui aussi bande à nouveau, il lui caresse le clito et sent la colonne de chair du cousin Rachid, il aime aussi à caresser le sexe du cousin.
- Allez bouge, salope, démène toi sur ma queue, ordonne Rachid
Véronique alors s’active sur le sexe, Abdou l’embrasse et continue de caresser son clito en feu, sans oublier au passage de frôler la pine du cousin, Véronique n’en peut plus, elle est écartelée par la bite disproportionnée qui l’encule, et le doigt accentue le massage du clito, elle va jouir à nouveau
- Ouiiii, baisez moi, je jouisssssssss Ahhhhhhhhhhhh
Telle une furie, elle s’empale sur la tige, Abdou veut son tour :
- Tire toi vite, tourne toi, je veux ton cul, on va te baiser à 2
Pas le temps de réfléchir, déjà on la bouge, Rachid sous elle, enfonce sa tige dans sa chatte, le cul en l’air bien ouvert attend Abdou, sans attendre, il la sodomise, les grosses queues la baisent maintenant, elle n’ose bouger tellement elle se sent investie par les sexes, elle les laisse faire, elle est comme une poupée entre leurs mains, elle crie de douleur et de plaisir, Rachid enfourne sa grosse langue dans sa bouche, il écarte encore ses fesses pour le passage du cousin qui encule la femelle, en manque de sexe.
Une femme qui se fait baiser comme une chienne en chaleur, et c’est Rachid le premier qui jouit en sentant de l’autre coté de la paroi vaginale, la bite du cousin se frotter à la sienne, puis Véronique a un nouvel orgasme quand Abdou se soulage dans son cul.
Tous les trois son épuisés quand ils se séparent. Véronique a l’anus en feu. Quelques minutes plus tard, le portable sur la table de chevet sonne, les faisant sursauter. Elle répond encore essoufflée, il s’agit de Patrick, qu'il sera là dans 2 minutes, désireux de voir l’ouvrier avant son départ.
Véronique bondit hors du lit, Rachid doit partir immédiatement. Puis il faut se rhabiller, remettre de l’ordre dans le lit.
Quand Patrick arrive dans la maison, sa femme le rejoint un sourire un peu crispé, elle lui présente le black, la transpiration lui coule sur le visage, le tee shirt trempé, Patrick est impressionné de le voir aussi assidu et lui dit de ralentir un peu. S’il pouvait imaginer que l’homme n’est pas encore remis de la petite séance qui se déroulait quelques minutes auparavant dans sa chambre à coucher.
Patrick rassuré, informe sa femme qu’il a envie de baiser, et autant en profiter, avant que les enfants ne rentrent de l’école.
Epouvantée, Véronique se demande comment elle va expliquer le lit défait, juste recouvert du couvre lit et surtout, sous la robe enfilée à la hâte, pas de sous vêtements et du sperme qui dégouline de ses 2 orifices.

Pas de suite...;

Mes Rom Tof's: M.A.K. My life!.... Ou presque. Conte de Noël... Suite..

Mon mari aime être pris en main. Même si cela ne se voit pas...

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