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Histoire du net. Auteur Doulcea. Etre propre...

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Doulcea que j'adore et vous conseille a beaucoup 
écrit sur ce thème. En voici une variation.
Je vous avez déjà proposé un récit de ce genre...
C'est peut être le même lol...


Abdou et la salle de bain.
Auteur: Doulcea
Elle rêve d’amour, de romantisme, et pourtant 19 ans, qu'elle est mariée au même homme. Le bonheur a duré quelques années. Il lui a fait 4 enfants. Le dernier a 10 ans, l'aîné en a 18. Elle aime ses enfants plus que tout, pourtant quelque chose lui manque…..
Son mari est devenu indifférent, il ne l'approche que le samedi soir, et tout est réglé comme une horloge. Un rituel immuable, qui la rend presque folle, il monte alors se coucher, il se déshabille totalement, lui qui dort les autres jours de la semaine en pyjama.
Il se serre contre elle, lui prend la main, la pose sur son sexe pour qu'elle le caresse. Il se fiche bien qu'elle soit disposée ou non à faire l'amour avec lui, elle est sa femme, et se doit de faire son devoir conjugal. Puis son autre main passe derrière la tête de son épouse, il lui fait comprendre sans dire le moindre mot qu'il veux se faire sucer.
Résignée, elle obtempère, lasse, d'avoir tant de fois, tenter de lui faire comprendre qu'elle aimerait beaucoup plus, des paroles, des gestes tendres, du plaisir....
Lui ne souhaite pas parler de ces choses là, de toute façon, il estime qu'à cinquante ans, le sexe ne se résume plus qu'à l'essentiel, et un rapport hebdomadaire lui suffit. Elle suce la verge de son époux, pas le moindre bruit, il lui fera savoir sans parler, s'il désire éjaculer dans sa bouche ou la prendre en missionnaire, pour se vider en elle.
Elle comprend quand elle sent la main qui force sa tête, ce soir, elle devra avaler son sperme, le liquide séminal de toute une semaine. De ses mains puissantes, il tient fermement les cheveux bruns de sa femme, il accélère le va et vient dans sa bouche et finit par éjaculer longuement son foutre chaud et épais. Juste un léger râle s'échappe de ses lèvres.
Puis satisfait, il se retire.
Le sperme s'écoule encore sur le menton de son épouse, une grimace de dégoût se lit sur le visage de son époux, il lui dit
- Essuie toi, voyons, tu vas tâcher les draps…… Bonne nuit !
Elle s'essuie sommairement avant de se lever, elle passe dans la salle de bain et se rince la bouche. Comment les années ont-elles pu transformer leur couple, de manière aussi pathétique….
Ils s'étaient aimés, la routine de la vie, les soucis, les enfants, le travail…
Est ce qu il en était pareil pour tous les couples mariés, depuis 20 ans ?
Elle se pose de plus en plus la question, elle a même pensé au divorce, mais par faiblesse, elle y a renoncé.
Le lundi qui suit, un homme doit venir installer une douche chez eux, elle ne veut plus d'une baignoire. Toute l'installation doit être refaite, une semaine de travaux. Comme, elle est en congés, elle pourra en surveiller l'avancement.
Patrick a quitté la maison de très bonne heure et les enfants sont passés les uns après les autres, dans la salle de bains, puis ils ont tous quitté la maison, pour se rendre à l'école.
Elle est seule, enfin.
Véronique décide de faire une toilette rapide à son tour. Elle ôte sa chemise de nuit, elle est nue devant le miroir, elle examine attentivement son corps, elle a eu 4 enfants mais elle est toujours désirable, juste quelques kilos en trop sur les hanches.
Sa peau est douce, ferme, seuls les seins tombent très légèrement, elle se caresse doucement, les tétons se dressent aussitôt, elle les passent dans la paume de ses mains puis entre ses doigts, les pincent doucement.
Il y a si longtemps qu elle n'a pas eu de plaisir avec son mari, elle a bien tenté de se caresser seule, mais elle n'a pas apprécié ce moment de solitude ou son corps ne réclame que caresses.
La sonnerie retentit, Véronique sursaute, elle enfile en vitesse, le peignoir de bain accroché au porte manteau et descend quatre à quatre l'escalier, pour accueillir l'ouvrier.
L'homme qui se tient devant elle, est très grand au moins 1m90, un sourire éclatant illumine son visage, c'est un homme de couleur. Elle salue et le prie d’entrer. L'homme à la peau noire est d’emblée très sympathique, jovial, bavard et souriant.
De son coté, Abdou ne peux s empêcher de trouver la femme à son goût, elle a l'air triste mais très gentille. Il se dit que la pauvre ne doit pas « rigoler » tous les jours. Presque immédiatement, il lui propose si elle le désire de l'appeler par son prénom, ce qui sera moins formel pour la semaine à venir…
Etonnée, elle accepte cependant mais se sent obligée de lui dire, d'en faire autant et de l'appeler Véronique. Ils discutent des travaux, elle se sent vite à l aise avec lui, au bout d un quart d’heure, elle lui propose même un café avant de démarrer, il s'empresse d'accepter et la suit dans la cuisine. Une tasse dans la main, ils s'assoient, et sirotent le doux breuvage.
Abdou aperçoit ses jambes entre les pans entrouvert du peignoir, de jolies jambes toutes lisses, il se dit qu'elle a l'air d’être toute nue, là-dessous. Véronique surprend le regard, elle rougit et referme brutalement les pans. Comment peut elle se pavaner ainsi devant un inconnu, elle avale le café d’un coup, pour mettre un terme à ce moment de « pseudo intimité » avec lui. Elle s'étouffe à moitié et se met à tousser lamentablement
- Tout va bien, Véro ? Je peux faire quelque chose, s'inquiète t-il
Gênée de se donner ainsi en spectacle, elle tente de reprendre son souffle alors qu Abdou visiblement ennuyé, tente de lui tapoter dans le dos. La petite séance a pour effet de desserrer le cordon qui ne ferme plus le peignoir, et Véronique qui tousse toujours ne le remarque pas tout de suite.
Abdou lui ne peux que constater qu'il avait raison, elle est bien nue en dessous. Elle est très belle, sa peau toute blanche contraste avec sa peau d'ébène, il sent qu'inconsciemment, il commence à bander.
Véronique enfin se calme, et prend conscience de l'indécence de sa tenue, le visage rougie par la quinte de toux, elle noud le vêtement hâtivement alors que lui se permet de dire
- N'ayez crainte, je ne vais pas vous toucher!!! Vous êtes une très belle femme!
Surprise de son audace, elle ignore la remarque. Il comprend son malaise et sans un autre mot, disparaît dans la salle de bains.
Elle reste seule dans la cuisine, encore secouée par le compliment, Patrick ne lui dit plus jamais qu'elle est belle, il la regarde à peine.
Dans ses réflexions, elle gagne sa chambre et décide de se vêtir, étrangement elle cherche avec soin, des habits qui la valoriseront. Elle opte pour une robe assez moulante avec un joli décolleté. Sa poitrine est mise en valeur avec le soutien gorge qui laisse entrevoir la naissance de ses seins.
Satisfaite du résultat, qui reflète dans le miroir une silhouette attirante. Elle hausse les épaules, se demandant ce qui lui prend de s'extasier comme une gamine, en se regardant dans la glace. Elle brosse longuement sa chevelure brune. Et, décide de mettre à jour son courrier.
Véronique, tente de se concentrer sur ce qu'elle fait, mais elle n'entend que le gai sifflement de l'homme, qui se trouve à quelques mètres d'elle. Elle pense à son regard envieux quand il la regardait effrontément, oui c'est bien ça, l'homme avait envie d'elle. Une femme ressent ça, même si depuis ces dernières années, elle a oublié ce délicieux sentiment d'être désirée. Véronique s'agite sur sa chaise, mais que lui arrive t-il ?
Comme un automate, elle se lève et sans réfléchir se rend dans la salle de bains. Les sifflements redoublent d'intensité, arrivée à la porte, elle regarde l'homme qui est de dos, il est torse nu, ses muscles saillants l’hypnotisent, il est si puissant, si magnifique.
Abdou qui a senti une présence se tourne, le silence est pesant, leurs regards se croisent. C'est Véronique, qui timidement effleure ce torse qui l'attire, la peau humide est noire de jais, elle sent les muscles de l'homme.
Interloqué, il la regarde, Abdou est un homme qui aime le sexe, il sent que la femme devant lui est en manque…. Il ne réfléchit pas davantage, il s'approche d'elle, son visage près du sien, ses grosses lèvres écrasent la jolie bouche de Véronique et leurs langues s'emmêlent, Véronique, sous le baiser profond défaille. Ses jolies mains courent sur la peau du black, alors que lui-même, ose passer sous la robe pour lui caresser les fesses.
Puis tout va très vite, il la veut cette femme, il se détache d'elle et sans un mot, passe la robe au dessus de sa tête, elle est à demi nue devant lui, c'est elle qui retire les agrafes du soutien gorge, les seins libérés éclatent indécents devant lui, il plonge la tête avec délice dans cette douce poitrine blanche, le contraste est magnifique, le noir et le blanc.
Comme en transe, elle s'agenouille devant lui, elle a envie de voir son sexe, elle libère avec empressement une queue d’ébène, le gland rose pâle. Elle est imposante déjà, comme une statuette en bronze. Affamée, elle se jette sur la verge, la lèche effrontément, il frémit sous la langue douce, humide et chaude.
Elle tente d'engloutir le pieu, il est si gros qu'elle peine à y arriver, il lui dit :
- Chut, nous avons tout notre temps…….. Montre moi ton lit !
Le tutoiement la sort de sa torpeur, elle réagit, mais que s'apprête t-elle à faire.
La grande main noire se place dans la sienne
- Je te suis ma beauté, lui dit il gentiment, j'ai tellement envie de toi ! ! !
Puis le sourire radieux a raison d'elle, haletante, elle le conduit sur le lit conjugal.
Il se dévêt lentement devant elle. Elle regarde se superbe corps athlétique, un corps si parfait. Le sexe raide d’un noir luisant, est majestueux. Véronique, absorbée par la nudité du black a gardé son string, il lui demande gentiment de s’allonger et entreprend d’ôter le minuscule vêtement. Il le renifle, il aime l’odeur intime d’une femme, de plus, la petite culotte est trempée. Il s’en imprègne les narines. Ils se dévisagent intensément.
Elle s’apprête à tromper son mari pour la première fois, son cœur bat la chamade, elle a tellement envie de cet homme, de sentir son corps sur le sien, elle veut être posséder par ce sexe, elle est prête, impatiente même.
Il lui écarte les jambes, sa chatte est épilée, ruisselante, il sent les effluves, dont il raffole, qui s’en dégagent. Ses lèvres épaisses s’approchent de son minou, elle a envie de hurler, lui fait durer le plaisir, doucement il lui demande:
- As-tu envie que je te suce ? demande t-il en la faisant languir
Il joue avec ses nerfs, elle en devient folle, si posée habituellement Véronique l’implore :
- Ouiiiii vite, lèche moi, viens ! Supplie t-elle, en s’ouvrant impudiquement
Alors sans la quitter des yeux, il lui écarte les petites lèvres trempées de cyprine, et la bouche délicatement va s’abreuver de son nectar.
Aussitôt Véronique gémit de plaisir, quel délice, elle s’écarte au maximum. La langue délicieuse sillonne chaque pli et repli, puis s’aventure sur le bourgeon saillant.
Dans la chambre matrimoniale, on entend plus que les soupirs de Véronique et les bruits de succion lubriques d’Abdou, qui lèche avec délice la chatte de cette jolie femme blanche, en manque de sexe.
Les plaintes s’intensifient quand sa langue masse le clitoris tout gonflé, elle frémit, tressaille, il s’attarde longuement. Véronique plaque ses mains dans la chevelure crépue de l’homme noir, elle sent la jouissance qui monte
- Ohh ouiiii continueee, c’est bon, je vais jouir, ahhhhhhh
L’épouse infidèle jouit sous la langue toute rose, elle s’écoule de plaisir dans cette bouche, traversée par un orgasme terrible qui la laisse toute retournée.
Abdou, qui bande comme un âne, lui soulève les jambes pour les poser sur ses larges épaules, son membre épais et rigide s’engouffre dans le vagin béant et humide de cette femme, qui n’attend que ça.
Le pieu disparaît au plus profond de l’intimité baveuse, elle est envahie par la queue qui la remplit totalement. Elle se pâme de délectation. Abdou voit les seins blancs, aux auréoles roses, secoués par ses assauts
- Mmmm t’es bonne, t’en avais drôlement envie, tu vas voir comme Abdou fait du bien aux femmes, comme toi
Il la lime furieusement, elle a les yeux mi clos, la bouche entrouverte, elle gémit encore
- Ouvre tes jolis yeux, regarde moi te baiser, ma bite te défonce, tu aimes ???
Véronique le regarde, de grosses gouttes lui coulent sur le visage, il halète, il retire les jambes de ses épaules et se précipite pour l’embrasser, ses lèvres épaisses baisent les siennes, elle avale sa langue, sa salive.
C’est si bon, elle aime ce sexe qui la remplit.
C’est sous leurs langues entremêlées, sa queue infatigable qui la pilonne, qu’elle jouit une nouvelle fois. Puis sans attendre, il retire son sexe et se positionne au dessus de sa tête, elle comprend son envie, elle ouvre la bouche pour recevoir une quantité de sperme impressionnante, qu’elle avale goulûment.
- Ouiiiiiii ohhh c’est bon, avale le sperme d'Abdou, Ah nettoie ma queue doucement…
Véronique du foutre plein la bouche et le menton, nettoie avidement la bite du noir, elle aime le goût fort et légèrement épicé, qu’il dégage.
Enfin il se couche à ses cotés, il la regarde la bouche encore souillée, elle s’apprête à s’essuyer pour éviter une remarque, mais Abdou n’est pas Patrick, doucement sa grosse bouche s’empare de ses lèvres et à nouveau ils s’embrassent, ils mélangent salive et sperme, c’est doux, chaud, enivrant. Puis il lape le foutre qui a coulé sur son visage, elle ferme les yeux, elle se sent merveilleusement bien.
Il est midi déjà, Patrick fort heureusement ne rentre pas déjeuner et les enfants sont à la cantine. Véro meurt de faim. Elle s’étire sur le lit puis se colle à Abdou.
- Je vais nous préparer quelque chose à manger ?
Elle se lève et se prépare à enfiler un peignoir
- Non, reste nue, dit -il
Véronique hésite, elle est assez prude, elle ne reste jamais sans vêtement dans la maison, même si elle est seule
- Tu es très belle, j’ai envie que tu restes comme ça, lui dit il en souriant.
Nue, elle rejoint la cuisine rapidement pour éviter son regard, c’est étrange pour elle de vaquer à la préparation du repas, dévêtue. Abdou la rejoint, il s’assoit devant l'assiette, elle rougit alors qu’il la mate, sans vergogne. En posant le pain sur la table, il lui caresse les fesses….
- Tu sais, j’adore ton cul, tu aimes qu’on s’en occupe ?
Véronique secoue la tête, elle ne garde pas un excellent souvenir des sodomies, que lui imposait Patrick. Elle acceptait par amour, mais n’en éprouvait pas de plaisir.
- Moi, j’aime enfoncer ma grosse verge, dans le cul de mes partenaires, tu verras, tu aimeras ça toi aussi.. !
Elle distingue le sexe entre les cuisses musclées, qui même au repos conserve une belle taille, elle frémit malgré elle, en imaginant ce superbe engin déflorer son petit trou. Au moins 8 ans, que Patrick ne l’a pas sodomisé. Elle se presse de servir les steaks pour ne plus y penser.
Abdou lui, ne pense qu’à ça, il avale de grandes bouchées, les yeux rivés sur sa nouvelle maîtresse. Elle est pas mal balancée cette nana, se dit il ! Pendant qu’elle cuisinait, il a vu son fessier bien large, il n’a plus qu’une idée en tête, enculer cette mère de famille, si sage en apparence. Il a été surpris de la bestialité de cette femme, elle est vraiment en manque de sexe la bourgeoise, elle va lui "manger dans la main".
Véronique est assez déroutée par la suite des événements, tout à l’heure elle était comme égarée, mais maintenant, elle se rend compte que la situation dérape, que fait elle à manger nue, avec ce type qui travaille pour elle. Elle prend le torchon à vaisselle, elle le tient négligemment devant elle, c’est assez puéril mais protégée ainsi, elle se sent un peu moins vulnérable. Abdou remarque ce petit changement d’attitude, il ne faut surtout pas qu’elle reprenne le pouvoir, se dit il !
- Enlève moi ça, en indiquant le torchon …. Viens près de moi !
Véronique envoûtée par le magnétisme du black se place devant lui. Les larges mains caressent son corps, des mains chaudes, si douces.
A nouveau, elle défaille
- Tourne toi, montre toi, sans honte
Elle exécute un quart de tour et ses fesses sont présentées à Abdou. Toujours assis, il effleure le cul.
- Place toi à plat ventre sur la table, obéis moi……
Elle se plie à la demande, elle se fraye une place entre les assiettes non desservies et s’offre indécente.
Abdou se félicite de si vite la dompter, cette petite femelle va devenir plus que docile, il en est certain. Il malaxe ses fesses
- Tu as un beau cul, tu sais
Elle se détend malgré la posture lascive, elle sent le souffle de l’homme, puis la langue qui lèche la raie de son cul
- Mmmmm j’aime trop ça…… Vas y écarte toi toute seule, que j’y mette la langue, j'ai envie de te bouffer le cul
Véronique surprise par la demande s’exécute pourtant, elle s’ouvre bien, il en profite et faufile sa langue humide. Parfois il cesse un instant pour enfoncer son doigt, elle a l’air d’apprécier.
Comme c’est bon, jamais Patrick ne lui a fait une telle chose, elle se décrispe complètement tant la caresse buccale, et même son doigt est agréable, elle en arrive presque à vouloir sentir quelque chose de plus gros, bien plus gros.
Il s’arrête au bout de quelques minutes. Elle est prête pour se faire enculer juge t-il et de plus, il bande royalement
- J’ai envie de ton cul, envie de t'enculer, mais je veux que tu me le demandes dit il, supplie Abdou !
Sa langue reprend place sur son anus, puis son doigt la pénètre à nouveau, elle mouille, elle coule, elle a envie de sa queue, elle ne résiste qu’un instant et l’implore
- Ouiii je le veux, baise moi encore, encule moi, baise mon cul
Elle ne voit pas le sourire radieux du black ravi, son phallus imposant se place à l’entrée de l’anus encore fermé, puis il force sur la petite rosette boursouflée, qui finit par engloutir le pieu rigide.
Véronique se sent alors déchirée, il est beaucoup trop gros, elle tente de se soustraire au noir, une assiette tombe sur le carrelage. Abdou lui, n’est pas homme à s’arrêter en si bon chemin, sa pine s’enfonce inexorablement sous les cris de sa maîtresse
- Encore quelques centimètres et tu auras la queue d'Abddou dans ton cul, Ahhhh voilà j’y suis, tu es chaude, serrée, Ah tu es bonne à baiser !
Il la sodomise plus aisément, les cris sont remplacés par des plaintes. Il glisse facilement dans son cul, elle est vraiment bonne à défoncer cette salope. Il la tient solidement par les hanches et regarde sa bite disparaître dans le trou agrandi, ses fesses toutes blanches dévastées par la queue d’un black et elle a l’air d’aimer ça aussi, la garce
- Tu aimes la grosse queue d'Abdou, Mmmm j’aime ton cul, on va bien s’amuser tous les deux pendant que ton mari bosse…. Ah je te baise, je tencule, salope
Véronique se fait défoncer royalement par son ouvrier, elle geint sous les coups de bite. Il accélère le rythme, une autre assiette tombe avec fracas
- Je vais arroser ton cul de chienne en chaleur
Elle n’en peut plus, elle aime tout ce qu’il lui fait, et même sa façon de lui parler, elle qui déteste pourtant la vulgarité.
Elle va au devant de son sexe, elle s’empale elle-même dessus, l’orgasme arrive, terrassée par sa jouissance elle crie de plaisir. Abdou se lâche lui aussi et envoie deux longs jets de foutre. Puis s’écroule sur elle, tous les deux restent là un moment sans bouger, le sexe finit par sortir de l’anus, le sperme s’écoule du trou agrandi. Ils se redressent, il l’embrasse et toujours ce magnifique sourire.
- Abdou doit bosser un peu, je te laisse ma beauté
Il part dans la salle de bains en sifflotant.
Véronique ramasse les assiettes brisées sur le sol. Sa vie a basculé en quelques heures, elle se sent si bien et si mal, en même temps. Un sentiment étrange. Le sperme coule sur ses jambes, elle écarte ses fesses et passe ses doigts sur son anus trempé et un peu douloureux, elle se rend compte qu’ils glissent sans la moindre résistance, dans le petit trou toujours ouvert. Elle s’essuie et pense à la langue d 'Abdou qui saurait si bien la nettoyer.
Le reste de l’après midi s’écoule lentement, elle remet de l’ordre dans la chambre, change les draps salis. Dans la salle de bains, elle entend Abdou qui siffle toujours….. Le noir cogite beaucoup, il va bien s’amuser toute la semaine, il se demande même s’il ne pourrait pas amener Rachid, son cousin, un mâle bien monté lui aussi. La blanche a le feu au cul, elle sera peut être d’accord, qui sait ! Enfin pense t-il en effectuant la soudure, allons y doucement, après tout il a encore 5 jours, à travailler ici. Et il compte bien en profiter un maximum Abdou.
ooo00ooo
Durant les 3 jours suivants, Abdou se partage entre son travail, dans la salle de bains et baiser sans aucune retenue la femme qui l’emploie et qui est plus que jamais, en demande. Le black quitte tous les jours, à 17h00 épuisé, les couilles vides.
Véronique, la femme si sage se révèle être une affamée de sexe, elle attend chaque matin la venue d’Abdou. Sur la demande de l’homme, elle est nue quand il arrive et reste ainsi toute la journée. Lui-même se déshabille sitôt arrivé.
La nudité ne pose plus de soucis à Véronique, elle aime désormais rester ainsi dans la plus simple appareil, et se tenir à la disposition de l’homme pour qu’il la fasse jouir encore, toujours. Elle ne se lasse pas de son ouvrier, elle aime son corps, son sexe, son sourire. Tout…..
Elle adore qu’il la baise dans toutes les positions, par tous les orifices, même son cul ne lui pose plus de soucis, sa grosse queue a fait son œuvre, désormais son anus est bien dilaté pour la recevoir profondément.
Hier il l’a enculé, alors qu’elle était penchée sur le canapé, l’immense miroir qui trône au milieu du salon douillet, reflétait leur image obscène, elle voyait le gros mandrin noir qui s’enfonçait dans son anus, ses larges mains noires lui caressaient les seins, c’était bon, excitant, il lui disait combien il aimait baiser le cul de sa salope de maîtresse blanche.
Elle adore son langage cru, jamais elle n’aurait imaginé une telle excitation, en entendant des mots si orduriers. Mais le simple fait, qui la baise en l’insultant de « bonne salope », de « grosse pute »…. Tout ça la mets dans un état d’excitation totale, et la vue de sa bite qui l’enculait, avait eu raison d’elle une fois encore, et elle avait joui intensément comme une bête sur le canapé ou toute la famille se réunit chaque soir.
Aujourd’hui, c’est logiquement le dernier jour d’Abdou. Patrick n’est pas satisfait, il ne comprend pas comment l’ouvrier a pris un tel retard, il lui faudra une journée supplémentaire pour achever le travail. C’est en râlant, que l’époux cocu quitte le domicile conjugal, laissant son épouse, impatiente de retrouver son amant.
Abdou sur le chemin, est dans ses pensées, il a décidé de bosser toute la matinée sans la moindre interruption, pour la bonne raison qu’il a parlé de cette femme, à son cousin.
Il lui a raconté le boulot, agrémenté de séance de baise avec une salope en demande, qui veut de la queue. Il lui a proposé de venir à midi, afin de la remplir comme elle le mérite, évidemment Véronique n’est pas au courant de la requête, de son amant.
Elle lui ouvre la porte, nue, il l’embrasse goulûment. Il sait qu’elle aime quand sa langue s’enroule à la sienne, leur baiser dure quelques minutes, mais au grand désespoir de Véronique, il la laisse sur sa faim et regagne la salle de bains, pour bosser.
Surprise de ce brusque changement, Véronique tente de s’occuper, la matinée s’écoule interminable, plusieurs fois, elle a failli aller se rhabiller, tant elle se sent délaissée par son amant.
Puis sachant qu’il a beaucoup de retard, elle se dit que peut être, il s’occupera d’elle, ce midi, elle a tellement envie de lui, de se faire baiser, encore....
A midi, il la rejoint enfin, satisfaite de le voir nu, elle est soulagée.
Quand la sonnerie retentit, elle sursaute, elle craint le retour d’un des enfants, heureusement, le verrou est mis par sécurité. Elle regarde Abdou, paniquée.
Etrangement, celui-ci lui sourit et dit doucement
- Ne t’inquiètes pas, Abdou t’a fait une surprise, je vais ouvrir !
- Mais tu n’y penses pas, tu ne peux pas ouvrir dans cet état !
C’est vrai, l’homme dans sa nudité totale a, en plus, une érection en pensant à ce qui se trame et à son cousin qui attend devant la porte. Il ignore la remarque et va ouvrir. Elle entend parler les deux hommes, les voix s’approchent, affolée, elle s’empare du tablier et tente bêtement de s’en recouvrir.
Elle voit que l’arrivant est black, lui aussi, tout aussi grand qu’Abdou, mais le crâne lisse, le nez aplati. Il émane de chez cet homme une force inouïe. Elle le regarde gênée, puis cherche une explication de la part de l’ouvrier. Pas le moindre bruit dans la cuisine, tous les 3 se toisent ! Puis enfin, la voix d’Abdou résonne dans le silence
- Je te présente mon cousin Rachid, je lui ai beaucoup parlé de toi…… Je pense qu’à nous deux, nous saurons te combler !
Véronique comprend enfin, elle est scandalisée de l’audace de son ouvrier, rouge de colère, elle s’apprête à lui dire son indignation quand l’autre commence à se dévêtir, en quelques secondes à peine, il est nu. La femme reste muette et stupéfaite, de se retrouver dans une telle situation.
Pourtant elle ne peut s’empêcher de constater, à quel point les deux hommes de couleur sont magnifiques, le fameux cousin bande légèrement, ce qui est plus que prometteur, vu la taille au repos.
Il la regarde d’ailleurs, le petit tablier ne cache guère ses seins qui débordent de chaque coté, ni les cuisses qui se profilent derrière le tissu. C’est Abdou encore, qui parle pour annoncer, qu’ils vont se rendre dans la chambre.
Il prend la main de Véronique, celle-ci résiste un peu
- Non s’il te plait, pas ça ! Je ne pourrais jamais !!!!!
- Viens, laisse nous faire, tu vas aimer…. Dit il
Il la tire à nouveau, elle finit par le suivre, derrière elle, Rachid ne perd rien des fesses nues exhibées, il tire le cordon du tablier et se régale du cul tout blanc. Son sexe durcit en pensant à sa b.te qui va enculer cette femme, son cousin lui a dit qu’elle était bonne à baiser et qu’elle aimait ça.
Tous les 3 sont dans la chambre, le tablier est retiré rapidement, Abdou lui demande de s’asseoir sur le bord du lit, elle s’exécute, devant elle, les 2 blacks ont la queue dressée, luisante et noire, ils se masturbent doucement. Rachid le nouvel arrivant annonce
- Allez ne nous fait pas attendre, lèche nos queues, prends en une, dans chaque main
Ils s’approchent tout près d’elle, elle sent leur odeur de mâle, timidement ses mains se posent sur leurs sexes, elle les branlent, fascinée par la taille
- Suce nous, s’impatiente Rachid
La jolie bouche engloutit le sexe d’Abdou avec avidité, mais l’autre exige qu’elle s’occupe aussi de lui, à regret, elle quitte la verge de son ouvrier et avale l’autre sexe, il est plus large encore, il est impatient, il veux s’enfoncer au fond de la gorge et il ne la ménage pas
- Suce, petite pute en rut, et continue à branler mon cousin, Ahhhhh t’as raison Abdou, elle pompe bien Mmmmmm, à son tour, suce le et branle moi
Véronique de la bave plein le menton, se libère de la bite et se jette une nouvelle fois sur la verge d’Abdou, tout en branlant l’autre.
Abdou est béat de voir sa maîtresse, s’occuper de leurs queues, il a envie de juter une première fois dans sa bouche pour faire voir à son cousin comme elle avale bien, alors n’y tenant plus, il éjacule un premier jet, puis un second, sa main sur la tête de son employeuse, elle avale le foutre, sans hésiter
- Mmmmm avale tout !!!! Fais voir à Rachid que tu aimes ça
Le cousin est terriblement excité, à peine Abdou a fini de juter, il n’attend pas plus et lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit conjugal. Elle obéit, la bouche encore souillée, sa chatte trempée reçoit la grosse bite de Rachid, il est sauvage, plus brutal qu’Abdou
- Mmmm c’est vrai que t’es une grosse salope, MMmmm t’es une bonne chaudasse toi
La verge épaisse s’enfonce en elle, puis un doigt pénètre son anus
- Ahhh t’es bonne, Mmmmm
Un autre doigt rejoint le premier, il les agite frénétiquement dans son anus, elle gémit de plaisir
- Ouiiii gémit salope, on veut t’entendre jouir, hein Abdou ! Viens te faire lécher la queue pendant que je la lime.
Abdou présente son sexe ramolli à Véronique qui se jette dessus, c’est tellement bon, elle tète la bite encore molle et qui regonfle doucement dans sa bouche chaude et humide. La pine qui la baise lui emplit le vagin totalement, l’orgasme arrive, elle le sent qui monte et enfin elle explose de bonheur, en hurlant
- Ouiiiii jouis, je vais te remplir de foutre Ahhhhhhhhh c’est bon ! ! ! hurle Rachid
Véronique ne peut reprendre ses esprits, car Abdou toujours dans sa bouche, bande à nouveau comme un âne et lui dit :
- Reste dans cette position, je vais enfoncer ma queue dans ta chatte remplie
Elle ne bouge pas, il change de place
- Vas y cousin, enfile ta queue dans mon foutre tout chaud, ça te plait ?
Abdou prend la place de Rachid et sa verge disparaît dans la chatte inondée du sperme de son cousin, c’est chaud, c’est bon, il voit sa b.te qui ressort pleine de sperme, il s’y enfonce à nouveau, sa verge glisse dans le foutre, ça le rend fou d’excitation, il recommence le petit manège, à chaque fois sa bite luisante de foutre, il n’y tient plus, se plonge en elle à nouveau et décharge lui aussi son sperme, qui se mélange à l’autre.
Il jouit intensément.
Les 2 hommes, les couilles vides discutent gaiement pendant que Véro file se faire une petite toilette. Il est 13h00
Quand elle revient les blacks sont tranquillement entrain de parler d’elle, Abdou explique combien elle aime se faire enculer maintenant, gênée, Véronique ne dit rien.
Elle regarde les 2 hommes allongés côte à côte sur son lit, ils sont beaux comme des dieux, elle pense que l’occasion ne se renouvellera plus jamais, Abdou a fini son travail demain, alors autant en profiter.
Rachid dit qu’il aimerait bien la sucer un peu avant de l’enculer
- Viens poser ton joli cul sur ma tête, et écarte bien tes fesses, chérie
Elle obéit. Pour le moment, il ne bande pas, elle peut savourer la langue, elle s’écarte bien, et la langue active se faufile partout alors que la grosse bouche d’Abdou dévore ses tétons et lui pétrit les seins, elle ne sait plus ou donner de la tête tellement leurs langues lui donnent du plaisir, au bout de quelques minutes, Rachid la repousse et lui intime de prendre place au dessus de sa queue. La bite gonflée se dresse fièrement, elle est dure déjà.
- Viens t’asseoir sur ma queue ! De dos, tu vas empaler ma bite dans ton cul
Elle hésite encore, le pieu est énorme, mais l’homme est excité
- Dépêche toi chérie, j’ai envie de ton cul, je t’ai bien lubrifié avec ma salive et le cousin t’a bien préparé ces derniers jours, grouille toi !
Elle se présente dos à lui, se place au dessus de sa queue, tremblante, elle sent poindre le gland sur son anus. Il force sur ses épaules pour qu’elle s’assied, elle est défoncée par le large diamètre
- Ahhhh ouiiiii viens encule toi
Il force sur les épaules et Véronique se retrouve totalement empalée sur ce sexe énorme qui l’encule, elle est assise sur la queue, elle halète...
Abdou regarde le spectacle, lui aussi bande à nouveau, il lui caresse le clito et sent la colonne de chair du cousin Rachid, il aime aussi à caresser le sexe du cousin.
- Allez bouge, salope, démène toi sur ma queue, ordonne Rachid
Véronique alors s’active sur le sexe, Abdou l’embrasse et continue de caresser son clito en feu, sans oublier au passage de frôler la pine du cousin, Véronique n’en peut plus, elle est écartelée par la bite disproportionnée qui l’encule, et le doigt accentue le massage du clito, elle va jouir à nouveau
- Ouiiii, baisez moi, je jouisssssssss Ahhhhhhhhhhhh
Telle une furie, elle s’empale sur la tige, Abdou veut son tour :
- Tire toi vite, tourne toi, je veux ton cul, on va te baiser à 2
Pas le temps de réfléchir, déjà on la bouge, Rachid sous elle, enfonce sa tige dans sa chatte, le cul en l’air bien ouvert attend Abdou, sans attendre, il la sodomise, les grosses queues la baisent maintenant, elle n’ose bouger tellement elle se sent investie par les sexes, elle les laisse faire, elle est comme une poupée entre leurs mains, elle crie de douleur et de plaisir, Rachid enfourne sa grosse langue dans sa bouche, il écarte encore ses fesses pour le passage du cousin qui encule la femelle, en manque de sexe.
Une femme qui se fait baiser comme une chienne en chaleur, et c’est Rachid le premier qui jouit en sentant de l’autre coté de la paroi vaginale, la bite du cousin se frotter à la sienne, puis Véronique a un nouvel orgasme quand Abdou se soulage dans son cul.
Tous les trois son épuisés quand ils se séparent. Véronique a l’anus en feu. Quelques minutes plus tard, le portable sur la table de chevet sonne, les faisant sursauter. Elle répond encore essoufflée, il s’agit de Patrick, qu'il sera là dans 2 minutes, désireux de voir l’ouvrier avant son départ.
Véronique bondit hors du lit, Rachid doit partir immédiatement. Puis il faut se rhabiller, remettre de l’ordre dans le lit.
Quand Patrick arrive dans la maison, sa femme le rejoint un sourire un peu crispé, elle lui présente le black, la transpiration lui coule sur le visage, le tee shirt trempé, Patrick est impressionné de le voir aussi assidu et lui dit de ralentir un peu. S’il pouvait imaginer que l’homme n’est pas encore remis de la petite séance qui se déroulait quelques minutes auparavant dans sa chambre à coucher.
Patrick rassuré, informe sa femme qu’il a envie de baiser, et autant en profiter, avant que les enfants ne rentrent de l’école.
Epouvantée, Véronique se demande comment elle va expliquer le lit défait, juste recouvert du couvre lit et surtout, sous la robe enfilée à la hâte, pas de sous vêtements et du sperme qui dégouline de ses 2 orifices.
Pas de suite...;

Quelques brèves entre garçons

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De découvertes en découvertes

La lettre
Mon frère a 17 ans et, depuis la séparation de nos parents, il vit avec notre père. Moi, je suis resté avec ma mère. J’ai reçu une lettre de lui hier :
Luc,
Il m’est arrivé une chose troublante et presque irréelle. Je dis « presque » parce que j’ai la preuve qu’elle a bien été réelle. Je dormais d'un profond sommeil dans mon lit, , lorsque quelque chose s’est posé sur mon visage, me réveillant brutalement. J'ai juste eu le temps de discerner une forte odeur de chloroforme avant de perdre connaissance. Lorsque j'ai repris conscience, j'étais complètement nu et ligoté à plat ventre sur mon lit. Mes chevilles et mes poignets étaient solidement attachés avec des cordes aux quatre poteaux du lit. J'avais donc les jambes largement écartées et les bras en croix. J'ai tenté de me dégager de ces liens, mais j'ai vite compris que mes efforts étaient vains. La personne qui m’avait attaché était vraiment très habile avec les nœuds.
Je sentais qu'un morceau de tissu me remplissait complètement la bouche qui était scellée avec du ruban adhésif large. Impossible donc de crier au secours. J’ai essayé mais seuls quelques sourds mugissements de détresse sont arrivés à mes oreilles. Je sentais une présence derrière moi mais, dans ma position inconfortable, je ne pouvais pas voir mon agresseur. Il ne se passait rien mais je savais qu’on me regardait. Le temps me semblait si long. C’était intenable. Puis, tout à coup, mes sens s’affinant, j'ai perçu un son… un bruit métallique…le cliquetis d'une boucle de ceinture que l'on détache… J’ai encore essayé de crier mais en vain. J’ai réfléchi et je me suis dit qu’il était préférable de garder mon énergie. Un autre bruit très léger est arrivé à es oreilles, celui d’un froissement de vêtements. Quelqu’un se déshabillait ! J'étais terrorisé à l'idée de ce qui allait m'arriver. Dans ces moments-là, on pense au pire. J’étais, là, couché et nu, réduit à l'impuissance… J’étais dans l’impossibilité d'appeler papa à l'aide ou de me défendre contre cet intrus. Mon cœur battait si fort que ses battements en remplissaient ma tête prête à exploser. Je flippais. J’ai flippé encore un peu plus lorsque une main s'est posée sur moi, m'arrachant un cri largement étouffé par ce bâillon qui me muselait. La main se posa d’abord et ne bougea pas. Petit à petit, elle prit des libertés mais ne fut jamais vraiment brutale. Mon angoisse ne grandissait plus. J’étais anxieux mais pas au bord de l’évanouissement. La main a remonté le long de mes jambes vers mes fesses.
J’essayais de m’ôter de la tête que ce sale violeur allait me prendre de force, qu’il allait prendre ma virginité. Le contact des doigts fut plus pressant. J’avais maintenant la certitude qu’il s’agissait bien d’un homme. Comment aurais-je pu en douter ? Toute cette force…
- Calme-toi ! Respire profondément…
Enfin sa voix ! Une voix ! Une voix dans laquelle je me suis mis à chercher des repères. La connaissais-je cette voix ?
- Je ne te veux aucun mal ! Bien au contraire !
Comme si ça pouvait me rassurer. Le con. Sa voix était posée, calme.
- Ca fait un moment que j’en rêve ! Toi, là… Toi et moi… Toi à moi… Toi pour moi… Ton plaisir et le mien…
Je me suis dis que c’était un malade d’obsédé.
- Ton corps est si parfait, si doux… Il m’obsède. Je le veux à moi. Je veux te prendre à tout prix. Tu m’intimide depuis le début…
Mais le début de quoi ? Il me connaissait donc.
- Je suis désolé d'avoir dû m’y prendre de cette façon. Autrement, je ne savais pas si tu aurais voulu. Je ne sais pas si… si tu es comme moi… Je veux dire : gay !
Un pédé !? Moi qui avais d’abord craint d’être entre les mains d’un vieux maniaque à tendance pédophile, je me rendais compte que j’étais la victime d’un amoureux transi. La voix était jeune et douce. Je me persuadais que mon prédateur n’était pas dangereux…au sens propre du terme…Ce qu’il faisait était, pour lui, la seule manière d'arriver à ses fins.
- J’aimerais entendre ta voix mais si je t’enlève le bâillon, je crains que tu ne hurle… et là ce serait embêtant !
Embêtant ? C’est d’être bâillonné qu’il l’était.
J’ai tenté de lui faire comprendre que je voulais dialoguer et qu’il fallait qu’il m’enlève le bâillon. En vain. Il a recommencé à me toucher. Ses mains douces et chaudes s’attardèrent un peu plus sur mes reins puis sur mes fesses bien rondes. J’ai frissonné.
Il a remonté ses mains sous mes aisselles, les caressant tendrement, glissant le bout des doigts sur mes tétons pour les effleurer et les titiller. Ces divins chatouillements qui me donnaient la chair de poule.
- Tu aimes, n’est-ce pas ?
Je n’ai rien répondu.
- Moi, je sais que tu aimes. Je t’ai déjà observé lorsque tu te branlais. Tes doigts s’amusent en même temps sur ta queue et tes tétons.
Sa respiration s’est posée sur mon cou. Ses doigts agiles ont caressé mon visage, ma bouche, mes joues et mes cheveux. Délaissant le haut de mon corps, ses mains ont glissé sur mes jambes, les massant doucement. Malgré la crainte et le dégoût que j'avais pour cet individu, je ne pouvais totalement le haïr car il me procurait un réel plaisir. La situation avait fini par m’exciter et être à sa merci devenait pour moi comme un jeu. S’il était capable de m’amener à y participer, je me devais d’essayer de le mériter. Ce n’est que bien plus tard que j’ai analysé tout ça et que j’ai compris que c’était là mes premiers pas vers la soumission et le don de soi.
Je sentais une douce chaleur qui montait dans mon bas-ventre. Avais-je déjà joui ? Je me posais humblement la question. Les ondulations de mon corps assailli de désirs lui firent comprendre que j’étais sur la bonne voie. Il pouvait sûrement passer à la vitesse supérieure. J’ai senti ses doigts caresser ma raie. Il a glissé un doigt dans ma fente et a commencé à masturber mon anus serré. C’était si bon que je gémissais profondément, sous mon bâillon. Me sentant proche de la jouissance, il a diminué la cadence de ses caresses. C’était certainement trop tôt pour lui… Pour moi, le supplice devait continuer. Il voulait me maintenir longtemps sur la brèche.
- Je vais… ôter ton bâillon ! Si tu essaies de crier, ta punition sera très dure ! Compris ?
J’ai agité la tête. Lorsqu’il me l’a enlevé, je me suis mis à respirer très vite.
Il a repris ses caresses au niveau de mon oignon offert. Plusieurs doigts s’y introduirent et ma jouissance revint au galop. J’agitais la tête dans tous les sens. Je murmurais des « Oui. Encore. Vas-y. » qui devaient l’encourager à me violer.
Finalement pris d'un élan de compassion ou n’en pouvant plus lui-même, il se planta en moi.
- J’ai mis une capote. Ne t’inquiète pas !
Sa queue était grosse. Large surtout. Ce qui me fit d’abord un peu mal mais me donna ensuite un immense plaisir. Ma respiration s'interrompit, mes muscles se tendirent et dans un cabrement je l’accueillit au fond de moi.
J’étais tellement bien. Je me sentais presque reconnaissant vis-à-vis de cet homme qui me violait si voluptueusement. Il m’encula un long moment. Pas très loin de vingt minutes me semble-t-il. Je fus pris d’un orgasme inimaginable. Mes reins allaient à la rencontre de son bassin. Il m’embrochait avec art et détermination. Je me sentais devenir une œuvre d’art, une création.
J’aurais pu crier ma jouissance mais je l’ai plus ou moins contenue. Mon esprit qui s’agitait autant que mon corps me dit que si l’homme se faisait prendre, jamais plus je ne connaîtrais pareil bonheur. Je rêvais déjà à « une autre fois ». J’ai senti qu’on coupait les liens qui me tenaient aux piliers du lit. J’ai été retourné sur le dos et enculé dans un face à face aveugle. J’aurais voulu qu’il m’arrache ce bandeau… C’était aussi le dernier paravent de mes fantasmes inavoués. Une seconde fois, subissant ses virils assauts, j’ai senti gicler ma liqueur brûlante sur mon ventre. Je me suis vidé en jets puissants, râlant comme un animal blessé.
Avant même d’avoir pu reprendre mes esprits, il a posé sa bouche sur la mienne pour m’offrir un doux baisers sensuels. Son haleine au goût de violette m’a transporté dans une autre monde, celui de l’enfance… Ce bon m’emmena dix ans plus tôt dans un lieu que je ne pouvais encore retrouver… Ce baiser me laissa pantois. Ma tête était remplie des battements sourds de mon cœur et j’ai mis un long moment à me ressaisir. J’ai enfin eu le courage d’arracher mon bandeau… J’étais seul sur mon lit. Les cordes, le bandeau et le bâillon étaient les seules traces de « son » passage… les reliques d’un moment gravé à jamais dans mon cœur meurtri… Un goût de violette… une voix douce et déterminée…
Mon frère, je t’en prie, aide-moi… aide-moi à savoir…
Je crève de lui.


Bordel pour mâles à Amsterdam
Habitant non loin de la Hollande , j’ai de temps en temps l’occasion de me rendre dans ce pays si libéré sexuellement. Un jour, de passage à Amsterdam, dans le quartier chaud, je me suis rendu dans une « boîte homo » conseillée par le guide Spartacus. J’étais très excité car ce genre de « plan », j’en rêvais depuis très longtemps. Etant tout de même d’un naturel timide, j’avais bu un verre ou deux avant de m’y rendre. A l’entrée, il y avait un type musclé qui me prévint qu'on n'y entrait qu'en slip et qu'on devait laisser ses vêtements dans le vestiaire. Il ajouta qu’on pouvait acheter des accessoires à la boutique juste à côté.
Ma bite était raide et je suis entré sans trop hésiter. J’avais hâte de me retrouver à poil dans un endroit rempli de mecs à poil aussi. Je me suis retrouvé dans un vestiaire où j’ai commencé à me foutre à poil. Une musique rythmée – entre disco et dance - destinée à faire monter l’excitation remplissait l’espace restreint. Partout, il y avait des miroirs où on pouvait se regarder et surtout regarder les autres sur toutes leurs faces. Il y avait une dizaine de mecs bien foutus qui se désapaient, certains en se caressant les uns les autres. Très excitant!
Dans cet endroit, il n’y avait que des beaux mecs : tous différents et tous craquants. Certains étaient en train d'enlever leur T-shirt moulant, d'autres étaient déjà torse nu et arboraient de magnifiques pectos. Moi qui raffole de poilus virils et de mâles tatoués, j’étais aux anges. Je n’avais pas assez de mes deux yeux pour mater les jeans aux bosses bien bombées. Certains mecs avaient leur braguette largement ouverte, laissant entrevoir une poche de jocks bien remplie. Les sous-vêtements étaient pour la plupart en coton blanc. Rien à voir avec les slips et strings fantaisistes de nos backrooms. Un univers de mâles s’ouvrait devant moi…
J’ai donc fermé mon casier pour entrer dans la cage aux fauves.
A l’entrée, il y avait un bar où une dizaine de mâles bavardaient tandis que leurs mains commençaient à s'activer. J’ai joué un peu les voyeurs. Plus loin, j’ai découvert une salle de muscu où plusieurs beaux spécimens faisaient connaissance. Un mec en abordait un autre en lui proposant de l'aider et ça se terminait toujours de la même façon. J’étais au paradis ! Mes yeux se régalaient de torses nus, de culs bombés dans des slips en coton blanc, de bosses proéminentes et de cuisses poilues. Les sous-vêtements étaient tous très excitants : slips à poche, maillots taille basse, bien échancrés sur les côtés, boxers moulant de magnifiques bosses. Des mains effleuraient, touchaient sans la moindre gêne des corps à moitié ou totalement dénudés... Au fond d’un long couloir, il y avait une salle éclairée de bleu avec un grand matelas au centre. Trois mecs y baisaient en gémissant. Autour des voyeurs se caressaient. La plupart du temps, ils se branlaient et les queues étaient déjà très tendues… Mais certains « spectateurs » attendaient que des mains viennent les aider à bien bander. Décidé à faire un tour du propriétaire pour découvrir toutes les facettes du vice, j’ai continué ma quête… Dans une salle minuscule, deux mecs dansaient en jocks sur de la techno assourdissante. Des éclairs aveuglants illuminaient l’endroit et mettaient en valeur les bosses bien fermes et les fesses rebondies... Parfois les deux mecs se frottaient l’un contre l’autre, face à face ou l’un frottant ses fesses contre la bosse de l’autre. Les doigts s'immisçaient sous les élastiques à la découverte de secrets très mal cachés… J’étais excité à un point pas possible. J’évitais de me toucher car j’aurais pu cracher d’un coup. ; Au premier, dans une salle-vidéo, j’ai trouvé pleins de mecs affalés sur des fauteuils et des canapés. Sur un écran géant, ils pouvaient regarder un film terriblement bandant… J’ai reconnu directement la « patte » des studios Cazzo. Là, dans cette pièce, c'était carrément la jack off party. Les bites sortaient des sous-vêtements pour une séance de branlette collective… Je me suis appuyé contre un mur car tous les sièges étaient occupés. Mes yeux voyageaient de l’écran à la salle. Certains mecs se branlaient tout seuls, agitant frénétiquement leur tige bien tendue et prête à gicler, d'autres caressaient leur voisin en se servant des deux mains et même de leur bouche...
De local en local, je traversais ce bordel à pédés où chacun pouvait vivre ses fantasmes… Au second, de petites salles thématiques s’ouvraient de part et d’autre d’un long couloir sombre. Dans une pièce, trois beaux poilus aux tétons percés sniffaient des jocks en caressant leur grosse bite... En face, devant des cuvettes sans cloison, un rang de mecs, slips baissés sous les couilles, pissaient les litres de bière bus au bar du rez-de-chaussée. Dans une baignoire, un barbu se faisait arroser par deux jets de pisse blanche. Pas d’odeur ! Juste une atmosphère décalée… A droite, deux types se roulaient un patin d’enfer en se tenant mutuellement la tige et se la caressant. Le fantasme uro devait être un des favoris de l’endroit car plusieurs pièces lui étaient réservées. Dans la dernière, plusieurs mecs pissant à travers leur sous-vêtement se frottaient contre leur voisin et malaxaient leur queue dans la pisse qui ruisselait. Je n’avais jamais été particulièrement branché par les jeux uros. Je peux même dire que ça me dégoûtait un peu… mais là, dans cette ambiance torride, j’étais prêt à y participer sans problème.
Ayant fait un tour complet, je me suis mis en quête d’aventures. Au premier, dans la darkroom bleutée, j’ai tout de suite remarqué un grand mec bien baraqué aux allures de bûcheron scandinave. Son torse était poilu et il me semblait bien pourvu côté bite à en juger par l’engin au repos... Il matait un couple de blacks en position 69. Beau tableau à vrai dire ! Mon bûcheron ne se touchait pas, il lorgnait sans broncher. A un certain moment, il s’est tourné vers moi, m’a souri en regardant la bosse que faisait ma queue. Il devait être un habitué des lieux. Il s’est avancé, a franchi les quelques mètres qui nous séparaient et est venu se frotter contre moi. Il parlait l’anglais et m’a demandé de le sucer. Inutile de vous dire que je ne me suis pas fait prier. Je me suis retrouvé directement à genoux et j’ai gobé son chibre tout mou. Pas longtemps. J’ai rarement vu un engin gonflé si vite ! Ce mec était éjaculateur précoce car mon pompage n’a pas duré cinq minutes. Ma bouche a eu à peine le temps de s’habituer à sa longueur que jaillissaient de longs jets crémeux, de son énorme gland congestionné. Je n’étais pas là pour tomber amoureux… mais pour m’envoyer en l’air avec un maximum de mecs bien foutus.
Ma soirée fut mémorable car j’ai joui trois fois et j’ai dû « toucher » une bonne cinquantaine de queues. Le clou de mon passage dans ce bordel fut la séance avec Robert, un Français de 23 ans qui venait là-bas pour la première fois (comme moi !). son fantasme c’était d’ être trait comme une bête, à quatre pattes, au milieu d’une foule de voyeur. Il s’était donc installé à poil et à quatre pattes sur un podium. Un mec lui avait mis un bâillon sur la bouche pour l’empêcher de hurler car on lui avait attaché les couilles avec une cordelette tirée au maximum vers l’arrière. Les mecs se relayaient pour le « traire » comme une vache. On entendait ses cris de jouissance étouffés sous le bâillon. Cela a duré plus d’une heure. Pas de sodomie, juste une longue branlette bien vicieuse sous poppers et travail des tétons. Lorsqu’il a brutalement lâché son sperme dans un râle bestial, Robert m’a regardé d’un air heureux et je lui ai largué mon jus à la figure.
Ce genre d’endroit est courant en Hollande et, croyez-moi, j’y retourne aussi souvent que possible !


Plombier bon oeil
Le printemps venait juste de commencer et les premiers beaux jours s’installaient enfin. Alors que les jours précédents la pluie, le froid nous obligeaient encore aux pulls et à l’imperméable, cette journée était particulièrement appréciable. Une douce température, un soleil éblouissant réchauffaient les uns et les autres.
L’herbe verdoyante se paraît de primevères et de tulipes multicolores, les oiseaux chantaient à cœur joie et les cerisiers en fleurs blanches complétaient idylliquement ce tableau.
C’est en ouvrant les volets, ce samedi matin que je m’étais décidé à m’habiller en conséquence, soit avec un short de toile et un t-shirt léger. J’admirai mon image renvoyée par la glace de la penderie :
Un beau garçon de 18 ½ ans, bien découpé, la peau saine et des cheveux bruns courts. Je mesurais 1m81, ma poitrine musclée se détachait sous le tissu, les hanches fermes et bien prises, un entrejambe bombé sous le short et des cuisses musclées et fermes grâce aux sports que je pratiquais régulièrement, le vélo, la gymnastique et depuis peu la lutte gréco-romaine, car ce sport viril et le contact avec les garçons en petite tenue qui me mettait à chaque fois en érection, tout cela faisait de moi un adolescent mince et attirant.
En me tournant, je caressais mes fesses fermes et charnues et je me suis mis à bander rapidement. Jamais encore, je n’avais osé faire le pas avec un garçon, si ce n’étaient des concours de branlette sous les douches des vestiaires. Je me masturbais souvent le soir dans mon lit en imaginant des plaisirs plus concrets. À plusieurs reprises, le matin mon pyjama était mouillé et j’en gardais de vagues souvenirs de rêves érotiques avec des garçons.
Ce jour-là, donc je suis descendu pour prendre mon petit-déjeuner et j’ai embrassé mon père qui buvait son café à la cuisine. Sa peau rasée de frais et agréablement parfumée à l’after-shave était douce au toucher.
- Sylvain, dit-il, tu dois tailler la haie du jardin aujourd’hui.
- Oh ! Papa, il fait si beau aujourd’hui, je voulais aller faire un tour à vélo !
- Tu oublies, mon fils que tu es puni à cause de tes mauvaises notes à l’école et que cela avait été convenu entre nous. D’autre part, tu sais que nous ne sommes pas là ce week-end ta mère et moi et qu’un ouvrier doit venir pour réparer la salle de bain.
- Oui, bon c’est juste, mais après j’irai en vélo.
- Tant que tu veux, mais après la haie !
J’étais coincé et je n’avais qu’à obéir. Et puis il fallait reconnaître qu’il avait raison et que je n’avais rien fait ces derniers temps à l’école. En plus, j’étais assez content de rester à la maison, seul, car mes parents allaient à un mariage de je ne sais quel ami et que ça m’ennuyait plutôt.
Ils sont partis après que ma mère m’ait indiqué que le frigo était plein…
J’ai donc sorti le taille-haie électrique et j’ai commencé à la rabattre. Il faut dire que j’aimais bien le faire et que j’étais assez spécialiste pour bien la réussir, droite et symétrique.
Au bout d’un moment, comme il faisait vraiment chaud, j’ai enlevé mon t-shirt et je me suis essuyé le front puis la poitrine brillante de sueur. Cela dégoulinait jusque dans mon short. Je me suis gratté les couilles à plusieurs reprises et je sentais déjà des picotements au creux des reins et entre les cuisses.
Après avoir été chercher une boisson fraîche au frigo, j’ai continué mon travail.
Vraiment, qu’est-ce que je faisais là, alors que j’aurais pu être à la piscine, à plat ventre à mirer les garçons en slip ? Des fois même je bandais tellement que je ne pouvais plus me relever ! Mais, au fond, je pouvais me mettre en slip, j’étais seul à la maison et je serais plus à l’aise ! Ni une, ni deux, j’ai enlevé mon short et je n’ai gardé que mon slip blanc kangourou ! J’en mouillais déjà d’excitation ! Parfois les copains se moquaient de moi avec mes slips, mais c’est ceux que j’aimais le mieux et c’était quand même des Calvin Klein !
Tailler la haie dans cet appareil était très érotique et je pensais que je ne tarderais pas à me branler !
Soudain, la sonnette de la porte d’entrée a retentit, j’allai ouvrir et un ouvrier de 25 ans en bleu de travail se tenait là. Il tenait une sacoche de cuir sur son épaule gauche. Il était grand, bien fait et souriant :
- Salut, je suis le plombier, je viens pour votre salle de bain.
Son regard s’attarda sur mon corps dénudé et surtout sur mon slip blanc encore un peu gonflé de désir…
- Entrez, je vais vous montrer.
J’ai refermé la porte et je lui ai indiqué le chemin pour monter à l’étage. Le suivant dans les escaliers, j’ai admiré ses fesses rondes sous le tissu tendu de sa combinaison.
Nous sommes arrivés à la salle de bain et il a vu tout de suite la fuite à la douche. Il devait aussi remplacer le mélangeur pour la baignoire et un siphon.
Il se tourna vers moi :
- Dis-donc, je te dérange, tu es habillé plutôt léger ?
- Non, je taillais la haie et comme il fait chaud et que je suis seul à la maison…
- Vraiment ? Alors c’est à toi que je vais demander de couper l’eau, tu sais où c’est ?
Nous sommes descendus à la cave et je lui ai montré les installations. Il a coupé l’arrivée d’eau et nous sommes remontés à la salle de bain. Je ne sais pas si c’était la situation d’être seul avec lui dans la maison, ou qu’il avait regardé mon slip, mais je me sentais vraiment en train de bander complètement et je ne savais pas où me mettre. Je n’osais pas aller remettre mon short. Il a commencé à dévisser le mélangeur de la douche pour le remplacer par un autre et je restais à côté pour le regarder faire. Comme il avait presque fini de l’enlever, il posa sa clé anglaise et me demanda :
- Tu veux pas me passer un tournevis, là dans ma sacoche ?
Il tendit la main dans cette direction et me frôla mon sexe tendu dans mon slip !
- Dis donc, tu es bien foutu, c’est moi qui te mets dans cet état ?
- Non, c’est la chaleur, je pense.
Je lui tendis l’outil en tremblant et je devais être rouge comme une pivoine ! Il le prit en me remerciant avec un petit sourire narquois. Tout en travaillant, il continua à discuter :
- Quel âge as-tu ? Tu es rudement bien fait !
- 17 ans M’sieur, presque 18...c’est parce que je fais beaucoup de sport.
- Et c’est bien réussi, car on te donnerait facilement plus.
- Merci M’sieur.
- Il faut m’appeler Alain et me dire tu !
- Si tu veux.
Comme il s’était relevé, j’ai remarqué que sa combinaison était tendue sur le devant et j’en rougis encore plus. Il avait fini de poser le nouveau mélangeur et il alla vers la douche, en passant, il m’a mis une petite claque amicale sur les fesses en rigolant :
- Vraiment très beau. Tu as une bonne-amie ? Elle doit se régaler ?
- Non, les filles ça ne m’intéresse pas beaucoup !
- Les garçons alors ?
- Heu ! oui, enfin… j’ai jamais essayé…
Il n’a rien répondu mais s’est touché la bosse devant ! Après avoir fini ses travaux, il m’a demandé :
- Tu veux bien aller remettre l’eau, on va essayer ? Merci
Je suis vite descendu à la cave en me demandant bien ce qui allait arriver, encore que je m’en doutais et j’en avais peur et du désir à la fois. Quand je suis revenu, il avait enlevé sa combinaison et il était aussi seulement en slip, enfin c’était un boxer. Il bandait à mort.
- Pour ne pas mouiller ma combi ! Petit malin, va !
Il régla le mélangeur, puis me dit :
- Ça va, tu veux essayer la douche pour voir si c’est la bonne chaleur ?
- OK ! J’y vais.
Je suis entré dans la douche, toujours avec mon slip et j’ai pris une douche, l’eau était bonne. Le slip mouillé collait sur mon corps et dessinait encore plus mon sexe tendu et mes couilles. Je suis sorti de la douche et Alain avait pris un linge et il commença à m’essuyer. À me caresser plutôt ! Après la poitrine et le dos, il m’enleva mon slip :
- Il faut l’enlever pour t’essuyer et libérer toutes ces merveilles.
Une goutte perlait sur mon gland et Alain la lécha soudain, puis sur sa lancée, il commença à me sucer. J’ai eu envie de me retirer, mais cette nouvelle sensation était tellement bonne que je me laissais faire. Il avait aussi enlevé son slip et sa queue qui m’impressionnait par sa grandeur se dressait comme un mât devant lui ! Il passa de ma queue à mes couilles en s’attardant longuement dessous, puis sur le périnée. J’avais mis une jambe sur le bord de la baignoire et j’en étais encore plus excité. Il commença alors à me lécher le trou du cul et j’en pleurais de plaisir avec des râles et des cris. J’ai voulu me masturber, car je voulais jouir, mais il m’en a empêché :
- Retiens-toi petit d’homme, c’est encore meilleur après.
La pointe de sa langue forçait ma rosette encore vierge et j’en mouillais de plaisir ! Il me semblait que cet organe dur voulait entrer en moi et comme je ne me contrôlais plus, je soupirai en lui disant :
- Prends-moi !
- Très volontiers, mon chéri. Penche-toi sur la baignoire.
J’appuyai mes deux mains sur les rebords de la baignoire en reculant mes fesses. Alors Alain me mit un doigt dans le cul et le fit aller et venir doucement, puis quand il sentit que mon trou était suffisamment souple, il le retira et je sentis sa queue pousser l’entrée désirée et me dépuceler ainsi. Grâce à ses préparatifs, il ne me fit pas mal et entra en moi doucement.
- AAAAAh ! C’est bon.
Il commença alors des mouvements de plus en plus rapides et forts et je sentais sa queue qui me faisait tant de bien. Jamais encore, je n’avais connu tant de plaisir avec mon corps et mes branlettes solitaires s’en trouvaient totalement insipides ! Soudain, un jet de liquide chaud m’inonda l’intérieur et au même moment la main d’Alain, qui depuis un moment m’astiquait la queue par-devant, me fit jouir comme un fou ! Le jet de sperme alla contre l’autre bord de la baignoire et je crus bien défaillir. Nous sommes restés un moment sans bouger, l’un dans l’autre et il se retira. Nous nous sommes embrassés longuement, puis il me proposa de le pénétrer aussi, car je bandais encore. Il s’appuya à son tour contre la baignoire et sans effort, je poussai ma queue contre son trou et j’entrai tout de suite en lui. Ainsi donc, pour la première fois j’ai possédé un homme et c’était rudement bon. J’ai pu l’enculer assez longuement avant de jouir, car il fallait bien que je reprenne des forces ! Ce fut une explosion dans tout mon corps quand j’ai joui encore une fois et j’en suis resté complètement épuisé ! Nous nous sommes douchés ensemble et il m’a savonné amoureusement et moi aussi je l’ai caressé et savonné. Comme il avait une érection, j’ai voulu goûter sa belle bite et je l’ai sucé sous la douche ! C’était vraiment super et au moment où il a largué son foutre dans ma bouche, j’ai été surpris et j’ai tout avalé !
Après s’être rhabillé, il est parti à d’autres occupations après un dernier baiser sur la bouche. Depuis, nous nous sommes revus et j’ai décidé d’apprendre le métier de plombier, car c’est un beau métier !

Les productions de votre serviteur

Ma femme aime les femmes...

Transports en Commun...

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Nous sommes toujours en VIgipirate Rouge... Faut pas oublier les mecs lol!

Devant mon petit mari....


Histoire du net. Auteur inconnu. La loi du plus fort...

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Histoire tirée d'un site aujourd'hui disparu, 
spécialisé dans les histoire de domination extrêmes
physiques ou mentales. 
Souvent des traductions d'histoires en anglais. 

Carcéral: L'arrivée


Viol en prison
Chapitre 1
Les lumières s'éteignirent. C'était le moment que Jim avait redouté. C'était sa première nuit et dans la prison parmi les autres prisonniers et il a compris qu'il allait être violé. Tout lui indiquait que cela allait se produire.
Quand l'autre homme dans la cellule l'a regardé, Jim pouvait voir que cela allait se produire. Jim avait 22 ans, 1m80 ", 75 kg, et aucune musculature. L'autre homme était bâti comme un athlète, mesurait au moins un 1m85, et pesait au moins 100 kg, d'environ 30 an. Son nom était Lou. Lou était un des chefs du clan des Frères Aryens de la prison. Jim était blond, yeux bleus, mignon et savait qu'il était un morceau de choix pour un male privé de sexe comme son compagnon. Lou allait pouvoir se régaler.
Jim s'assis sur sa couchette. Lou a marché vers lui et dit, "lèves-toi."
Jim a tenu bon. Lou l'a regardé droit dans les yeux.
"Je vais te baiser. Cela peut être facile ou cela peut être difficile pour toi. Tu peux le rendre facile, ce sera meilleur pour toi. Meilleur pour moi aussi. Mais je le rendrai difficile si je le dois."
Jim a tenu le regard fixe de Lou, mais n'a dit rien.
Lou a enroulé sa main autour du biceps de Jim. Jim s'est senti faible et sans défense.
"Tu me donnes ce que je veux, et tu ne sera pas blessé. Je te briserai progressivement. Ne te déchirerai pas ou ne t'endommagera pas."
Jim à continué à fixer le regarde Lou gardé par Jim, mais n'a pu rien répliquer.
"Tu feras bien d'obéir. Je puis te menacer dehors aussi mon garçon. Tu feras ce que je te demanderai de faite.
Lou libéra le bras de Jim et recula. "Enlèves tes vêtements, " a-t-il a commandé.
Jim ne pouvait pas répondre ou ni bouger. Sa tête ne fonctionnait plus.
Lou a giflé Jim à travers le visage, d'abord avec une main, puis avec l'autre. Les claques l'assommaient et Jim s'est presque évanoui. Les deux hommes se sont fait face. La tête de Jim tournoyait.
Lou a encore pris Jim par le biceps et l'a serré durement. " Enlèves tes vêtements, " a-t-il dit tranquillement, avec assurance.
En n'obéissant mécaniquement, Jim déboutonna sa chemise. Lou a souri et s'est reposé sur le lit et a observé. Jim a retiré la chemise et l'a laissée tomber sur le plancher. Il s'est mis à genoux et a desserré ses chaussures, les a retirées, et les chaussettes aussi. Puis il s'est redressé et a ouvert son pantalon. Il l'a laissé tomber sur le plancher et Jim a fait un pas en avant et a donné un coup de pied dans la pile de vêtements pour les envoyer dans un des coins de la cellule.
Lou a pris Jim par le bras et l'a tenu, le menant prés de l'évier. Lou a bloqué un long tube en plastique dans l'évier. Il a frotté de la Vaseline sur l'autre extrémité. Ensuite il a fait couler l'eau dans le tube et l'a laisser couler à l'autre extrémité.
"Tu nettoiera ta chatte quand je veux baiser. Je te montrerai ce que tu dois faire. Présente moi ton cul." La dernière phrase était un ordre clair. Mais Jim n'a pas répondu.
Lou a mis le tube dans l'évier, appuyé sur l'épaule de Jim avec une main, tout en tenant la hanche de Jim avec l'autre, ainsi Jim a été plié en avant. "Continues à se laisser aller, plie ton dos," commanda Lou et Jim a été plié en deux.
Lou a lavé l'anus de Jim par avec de l'eau froide, du savon et sa main. Il a serré son doigt contre l'anus de Jim.
"Tu est bien serré, garçon. Tu vas devoir apprendre comment t'élargir la chatte. Tu vas prendre ma grosse bite dans ton cul et si tu n'es pas assez ouverte, je te déchirerais.
Puis Lou a donné une série d'instructions, pour que Jim se place sur ses coudes et ses genoux avec son derrière bien pointé en l'air. Lou s'est graissé un doigt et l'a graduellement fait pénétrer dans l'anus de Jim, commandant Jim de le desserrer, l'enfonçant, et le ressortant pendant un moment.
Ensuite Lou a entré complètement son doigt dans la chatte de Jim, et puis, d'abord lentement, a commencé à déplacer le doigt en faisant un mouvement de va-et-vient et un mouvement circulaire. Graduellement, Jim s'est ouvert un peu plus chaque fois.
Jim était complètement démoralisé. Son esprit sautait d'une idée à l'autre, tout s'embrouillait dans sa tête. Il lui était incompréhensible qu'il obéissait aux ordres de Lou et l'aide à se préparer pour être violé et sodomisé.
Lou a mis le tube en plastique dans l'anus de Jim. Le jet d'eau froide s'est écoulé goutte à goutte dans son ventre. Jim a supporté la sensation désagréable du tube dans son anus, la froideur de l'eau.
Au bout d'un moment, Lou a retire le tube de l'anus de Jim. "Restes comme cela pendant environ une minute, puis vas te soulager. Fais-le au moins trois fois, et assures-toi que l'eau de la dernière évacuation est claire. Continues à la faire jusqu'à ce que l'eau soit claire."
Lou s'est éloigné. Jim a attendu une minute, puis s'est soulagé dans les WC. L'eau était loin d'être claire. Jim continué à obéir Lou. Ensuite la quatrième fois, l'eau était claire.
Lou était allongé sur la couchette inférieure, nue, ainsi Jim ne pouvait pas voir son corps. Lou lui a demandé de se dépêcher.
Jim est entré dans la couchette et s'est allongé près de Lou. Ils se regardaient face à face, mais il y avait trop peu de lumière pour y voir beaucoup.
Lou dit, "Tu as été un bon garçon jusqu'ici. Maintenant voici ta récompense." Lou a sorti un joint. Il l'a allumé et a pris une inspiration. Alors il l'a donnée à Jim. Jim a pris une inspiration profonde. Le shit était doux et fort. "Soit vite stone mon garçon. Ce soir tu vas perdre tout. Plus tu seras chargé et plus ce sera facile." Ils ont ensuite chacun pris plusieurs inspiration du joint. Jim planait très haut.
Sous les des ordres et les poussées, Lou força Jim à se mettre en position. Au final, Jim avait enfoncé son front dans le matelas, deux oreillers sous ses hanches, son cul bien pointé en l'air juste à l'extrémité de la couchette, ses genoux largement écartés.
Debout à l'extérieur, Lou a utilisé ses doigts pour ouvrir l'anus de Jim. Il a employé beaucoup de graisse, de manière progressive mais puissante, et beaucoup d'ordres et de directives. L'anus de Jim à commencer à s'ouvrir pour soulager la pression. Lou a réussit à enfoncer trois doigts dedans et les a lentement fait bouger.
La main de Lou s'est retirée. Alors Lou a placé le bout de son membre dur contre le trou de Jim. Lou a poussé la tête de son membre dans Jim.
Jim gémi lorsque son anus a été pénétré. " Rend le bien à font," ordonna Lou. Lou s'est tenu immobile avec la tête de son membre juste à l'intérieur. Par réflexe, l'anus de Jim a tenté d'abord de se serrer. Puis, forcé, il a cédé sous les poussées et il s'est lentement détendu.
Alors Lou a commencé à bouger son membre un petit peu en et un petit peu en dedans. Il a baisé Jim lentement et juste à l'entrée. Il n'a pas mis plus de force dans ses poussées que cela n'était nécessaire pour surmonter la résistance du sphincter de Jim. Graduellement sa rosette s'est desserrée jusqu'à ce que Lou puisse le limer dans les deux sens sans avoir besoin de tenir ses hanches, simplement en restant juste debout sur ses pieds.
Alors Lou a commencé à s'enfoncer plus à fond. Il s'est branlé dedans, s'est alors presque complètement retiré, puis s'est enfoncé encore. Il a tenu les hanches de Jim et a masturbé sa queue, plus profond et de plus en plus profond.
Le membre de Lou est devenu énorme et dur dans l'anus de Jim. Il y avait la douleur physique que Jim pourrait soutenir et l'atteinte à sa virilité qu'il ne pouvait pas accepter. Le sexe de Lou a lentement ouvert l'anus de Jim et a brisé à jamais l'image de sa virilité.
Maintenant Lou était complètement en lui. Il a poussé ses couilles contre les fesses de Jim tandis que son membre frottait l'intérieur des entrailles de Jim. Lou s'est penché plus en avant et a enroulé ses bras autour du corps de Jim. Le ventre et la poitrine de Lou se sont plaqués contre le dos de Jim.
Lou a commencé à le baiser, poussant le membre dur à fond et de plus en plus vite. "Je suis en train de te baiser sale lopette," a-t-il chuchoté dans l'oreille de Jim. " Je vais t'enculer à volonté chaque fois que j'en aurais envie. Tu seras aussi ma suceuse. Tu me pomperas. Tu es ma lope et je t'utiliserai de la manière qui me plaira."
L'anus de Jim était maintenant complètement ouvert, totalement violenté et violé. Les bras de Lou enserreraient de Jim, tandis qu'il le baisait et baisait, abaissant Jim un peu plus à chaque fois.
Lou était sur le lit maintenant, à moitié plié entre les genoux de Jim, à moitié allongé sur Jim. Lou a passé sa main sous Jim et l'a enroulée autour de ses boules et du clitoris de Jim. Lou a serré la boule durement et a ordonné "tends ton cul plus vers le haut."
De désespoir, Jim a obéi. La baise était encore plus profonde et plus douloureuse.
Lou ri lorsqu'il a éjaculé sa décharge de sperme profondément dans les entrailles de sa lope. Il a détendu et s'est retiré en s'allongeant sur le plancher. "Tu as bien été baisé, " dit-t-il heureusement. Il a lavé son membre et est entré dans sa couchette. Cela lui a pris seulement une minute avant de s'endormir.
Jim ne pourrait pas bouger. Il resta étendu pendant des heures avec Lou à sa gauche. En conclusion, il s'est roulé en chien de fusil. Ses yeux ne se sont pas fermés de la nuit, mais ont regardé dans l'obscurité.

Chapitre 2
Lors du deuxième jour que passa Jim dans la prison, il se sentit absent et comateux. Il avait été violé la nuit d'avant et pouvait à peine marcher. Lou, l'autre homme de la cellule, qui l'avait violé, avait pris la précaution de le baiser lentement et avec précaution, aussi les dommages infligés à l'anus de Jim n'étaient pas très sévères. Mais mentalement, il se sentait complètement confus et désespéré.
Jim avait tué un homme pendant un vol à main armé et devait faire face à au moins 15 ans dans la prison. Sa famille avait cessé de lui écrire et il n'y avait aucun soutient extérieur vers lequel il pouvait se tourner. Il a su qu'aucun gardien ou personnel de la prison ne ferait quoi que ce soit pour l'aider. En trois mois depuis sa condamnation, Jim avait entendu que le gang de Lou, Les Frères Ariens, "tenait" la prison et était tolérée par les officiers parce qu'elle maintenait une sorte d'ordre silencieux.
Le seul choix qui lui restait était soit le suicide, soit la soumission à Lou. Jim se sentait si faible et abattu qu'il ne pouvait pas envisager le suicide.
Dans la matinée, Lou se remporta comme Jim n'était pas dans la même cellule que lui. Puis, plus tard, durant la journée tendit que Jim était en train de regarder la télé dans la salle de télévision, Lou entra suivi de cinq ou six autres hommes. Et ils entrèrent à leur tour et Lou se dressa en face de Jim.
"Debout, pédale," ordonna Lou. Jim regarda l'homme qui l'avait violé et se mit sur ses pieds remplis de terreur.
"Qu'est-ce qui t'est arrivé cette nuit ?" demanda Lou.
Jim regarda autour de lui, rencontra les visages du groupe l'entourer et sentit qu'il allait s'évanouir. Lou lui gifle le visage.
"Répons, lopette," ordonna Lou. " Que t'est-il arrivé la nuit dernière ?"
"Vous m'avez violé" murmura Jim.
"Je t'ai enculé, n'est-ce pas ?"
"Oui"
"Dis à ses hommes que j'ai baisé ton cul."
Jim les regarda et ses yeux devinrent troubles. " Il a baisé mon cul," dit Jim.
Lou et ses copains sont partis. Jim s'est lentement assis. Il y avait au moins une douzaine d'hommes dans la salle de télévision qui avait entendu le confession. Dans le code de la prison ce qui s'était passé signifiait que Jim était stigmatisé pour toujours comme lope. Un homme latino dans le troisième siège à coté de Jim a frotté un pouce entre deux doigts dans un geste obscène vers lui.
L'après-midi, Lou est venu voir Jim quand ils étaient seuls et dit lui "suis moi." Jim obéi et Lou l'a mener en bas des escaliers et dans un couloir en impasse. Il est entré dans une salle. Il n'y avait pas beaucoup de lumière dans la chambre, mais Jim pourrait voir clairement.
Un corps masculin mince était plié au-dessus d'une table. Son cul était présenté à un autre homme qui était en train de le baiser. Il y avait trois hommes alignés quand Jim arriva. Un autre homme se tenait à la porte dirigeant l'opération. Tandis que Jim observait, l'homme a fini de baiser et s'est éloigné. Le suivant a pris sa place. Un jeune type s'est mis à genoux devant le premier homme dans la file, suçant le membre pour obtenir une érection.
Lou a dit, "si tu ne m'obis pas tu viendras faire un petit séjour ici. Tu as intérêt à faire ce que je veux."
Ensuite la nuit arriva. Jim s'est assis sur le bord de sa couchette. Lou écoutait la radio et lisait dans la couchette supérieure. Les lumières une fois éteinte. Lou dit, "déshabille-toi, nettoie ta chatte et soit prête."
Mécaniquement, Jim obéi. L'ordre de Lou une fois exécuté, il s'allongea sur la couchette et a présenté ses fesses comme la nuit d'avant. Comme la nuit d'avant, Jim a lentement ouvert les fesses de Jim et pénétré son anus avec un doigt et graisse. Le doigt de Lou a sondé bien profondément l'intérieur de la rosette de Jim. À un moment, Jim a grimacé quand le doigt de Lou a frotté contre quelque chose de douloureux.
Lou a retiré son doigt et s'est lavé les mains. Il a dit Jim: "ton cul est bonne forme, juste une petite écorchure. Je t'aurais complètement entraîné assez vite. Je ne vais pas te baiser ce soir. Il faut laisser le temps que cela guérisse, car je prends grand soin de ma propriété. Je vais te donner ta première leçon de fellation."
Lou a ordonné à Jim de sortir du lit et l'a déshabillé. Jim a jeté plusieurs coups d'oeil à Lou, sur son grand corps, aux muscles durs apparents. La puissance de l'homme était physique.
Lou s'allongea en travers de la couchette de Jim, ses jambes écartées, ses fesses sur le bord du matelas. "Agenouille toi entre mes jambes, " a-t-il commandé. Lou se trouvait avec sa tête en arrière et ne pouvait pas voir Jim, mais Jim a obéi à l'ordre. "Approche-toi de ma bite." Jim s'est glissé en avant jusqu'à ce qu'il ait été juste quelques pouces du bassin de Lou.
Si près, le sexe mou de Lou et ses boules ont empli sa vue, à partir des poils pubiens jusqu'à l'anus. Les testicules pendaient un peu et formait deux beaux arrondis avec les balles au fond. La peau du scrotum se courbait en arrière et devant, le sexe, sa peau blanche sur l'axe était plus brun sur la partie qui recouvrait le gland. Le prépuce recouvrait le gland et se refermait dans une sorte de moue. " Lèches-la, " a commandé Lou, "lèches-le très doucement."
Jim s'est penché en avant et a mis sa langue sur le membre de Lou. Il a glissé sa langue doucement le long de l'axe, puis s'est retiré. "Encore," dit Lou. Jim a répété l'action. "Partout, tout le long, les boules, rends les très humides, doucement. Fais-le."
Jim s'est penché et exécuté l'ordre comme demandé. Il a léché la queue de haut en bas, sur le dessus, puis les côtés. Le membre s'est allongé et s'est levé en érection. Jim l'a léché par dessous. Jim a continué de lécher les testicules, puis vers le bas des boules. Il s'est accroupi pour s'abaisser plus et a penché sa tête de nouveau pour lécher sous les boules. D'un œil Jim a examiné l'entre fesse foncée où se trouvait l'anus de Lou. De l'autre il pourrait voir la partie inférieure du ventre de Lou et son membre. "Reste là, " dit Lou. Pendant longtemps, Jim a maintenu la position, s'accroupissant et se trouvant pratiquement sur le plancher, sa tête tordue vers le haut, léchant sous les boules de Lou.
Puis, Lou a glissé en arrière et s'est redressé. Avec ses muscles qui lui faisaient mal, Jim s'est redressé, jusqu'à ce qu'il ait été sur ses genoux. Lou s'est assis sur le bord du lit, ses jambes bien écartes et Jim dans l'intervalle. Lou s'est penché en avant, a pris Jim par l'épaule et l'a tiré en avant. "A quatre pattes, chien," Lou a dirigé. Jim pour qu'il se mette en position.
Le membre de Lou était au niveau de son visage-, se dressant directement en avant. Le gland était à environ 5 cm juste en face du nez de Jim.
Lou a serré sa main étroitement sur le dessus de la tête de Jim. "Regardes mes yeux," a ordonné Lou. La main de Lou a empêché Jim de déplacer sa tête et il a levé ses yeux. Les yeux de Lou ont rencontrés les siens. "Tu dois garder tes yeux sur les miens jusqu'à ce que je te le dise. Ne regarde pas ailleurs. Je vais mettre ta tête en place. Ouvres ta bouche aussi grand que tu le pourra."
Jim a gardé ses yeux dans ceux de Lou pendant qu'il écartait ses mâchoires. Lou a incliné légèrement la nuque de Jim et l'a alors tiré en avant. Jim pouvait sentir le sexe de Lou dans sa bouche, mais il ne pourrait rien voir du visage de Lou.
La tête du sexe de Lou a pressé contre les lèvres de Jim. L'horreur et la révulsion passée, Jim a clignoté des yeux. Lou ri. "Ouais, tu es un suceur de bite maintenant."
Sous la direction de Lou, Jim a gardé ses mâchoires bien ouvertes, mais a réuni ses lèvres et les a serrées autour du membre de Lou. La langue de Jim était pressée contre le gland de Lou. Lou a commencé à faire un mouvement de bascule à Jim, le basculant dans les deux sens, obligeant Jim à le pomper et à frotter sa langue sous le membre. Lou a ordonné à Jim de continuer.
Pendant plusieurs minutes, Jim a sucé le sexe de Lou. Lou a caressé Jim sur le dessus de la tête, frottant ses cheveux. "Tu va être une bonne suceuse," dit Lou. Alors Lou a pris la tête de Jim et l'a déplacée plus rapidement. "Suce plus à fond, " a grogné Lou. Jim a sucé plus fort et a serré sa langue étroitement tout autour du membre. La tête du membre de Lou est devenue plus grande et plus dure dans la bouche de Jim. Lou a félicité Jim comme un chien, tapotant sa tête et, disant "bon garçon"; et il a pris l'épaule de Jim d'une manière amicale avec son autre main. Lou a basculé Jim dans les deux sens et Jim a sucé le membre de Lou. Jim pourrait dire à sentir le gland palpiter que Lou l'appréciait.
Puis Lou s'est glissé dans la couchette et s'est allongé sur le dos. Jim a obéi aux instructions de Lou et s'est mis à ramper entre les jambes de Lou et puis à lécher et sucer le sexe et les couilles de Lou. Jim s'est accroupi au-dessus du pubis de Lou, montant et descendant ses lèvres sur le membre de Lou, se remontant, et descendant encore.
Lou s'est fait sucer par Jim dans diverses positions. Parfois Lou faisait le travail de Jim et baisait Jim dans sa bouche. Lou faisait attention à maintenir des positions simples et à éviter d'enfoncer son sexe dans la gorge de Jim. Lou a eu du plaisir à prendre possession de sa bouche et au bout d'une heure, Jim apprenait rapidement comment fournir le service approprié.
Lou a terminé avec Jim sur les genoux, sur le plancher, coincé dans le coin là où la couchette rencontrait le mur. Lou a coincé Jim dans ce recoin et Jim avait à peine l'espace nécessaire pour pomper la queue piquant du nez en avant et en arrière. Lou s'est penché dedans, une main sur la couchette, l'autre sur le mur, donnant ses ordres. "Suces le, bouche à bites. Je veux sentir ta gorge autour de la tête quand tu descends. Je veux te voir baver sur mon sexe. Suces plus à fond."
Lou a maintenu la tête de Jim des deux mains et a commencé à baiser le fond de la gorge de Jim. "Toi. Prends-le. Il. Bouffes le." Lou disait chaque mot séparément accompagné d'une poussée au fond de sa gorge. Le membre de Lou a injecté son sperme dans la bouche de Jim. C'était écoeurant, mais Jim savait qu'il devait l'avaler. En pleurant, ses larmes coulant en bas de son visage, Jim est parvenu à avaler les globules épais. L'odeur animale de Lou dans ses narines et le goût de la bite de Lou dans sa bouche, le tout combiné avec le goût et l'odeur du sperme.
Lou s'est lavé vers le haut et est allé au lit. Il s'est endormi presque immédiatement.
Jim s'est lavé le visage peu un plus tard. Sa bouche gardait ce goût écoeurant et acide qu'il ne pouvait pas enlever. Jim a rampé dans sa couchette qui sentait le sexe et du Lou. Tandis qu'il s'étendait dans la couchette, tout ce à quoi il pouvait penser était un préservatif usagé flottant dans un égout. Jim était si épuisé qu'il était tomba bientôt dans un sommeil lourd.

Chapitre 3
La nuit suivante, la troisième de Jim dans la cellule, Lou ne lui a rien dit. Lou s'est endormi quand les lumières se sont éteintes. Jim a dormi profondément et le jour suivant sa position était claire. Dans la mesure où n'importe qui dans la prison était au courant, Jim était la lopette de Lou et rien de plus. Jim n'avait rien à offrir. Personne ne le tracasserait. Il n'y avait aucun travail pour lui. Personne mais Lou s'occuperait de lui.
Avant de se mettre au lit pour la quatrième nuit, Jim avait tant de désir de contact et de communication qu'il était prêt à se donner le sexuellement à Lou. Et Lou était prêt à le prendre. Lou a indiqué Jim d'avoir son anus prêt et Jim s'est conformé à cet ordre.
Lou reposait nu sur le bord de la couchette de Jim. Jim s'est mis à genoux entre les pieds de Lou. "Rends la humide, " a dit Lou. Jim compris ce qui était exigé et a commencé à lécher partout le pubis de Lou. Au bout d'un moment, Lou a soulevé ses pieds et les a mis sur les épaules de Jim. "Plus bas," a dit Lou. Jim courbé sous les pieds de Lou et a léché la partie sous les testicules de Lou.
Lou s'est glissé un peu en avant. Jim fixait l'anus de Lou. "Lèche mon cul," a commandé Lou.
Si quelqu'un avait dit à Jim quelques jours avant qu'il lécherait le cul d'un autre homme, Jim aurait repoussé cette idée et lui aurait dit que c'était impossible. Maintenant Jim constatait que c'était possible. En fait, cela était en train de se produire. Jim se voyait en train de lécher l'anus de Lou. Sa langue pointait dans les plis entre les jambes de Lou et remontait entre ses fesses. Jim était reconnaissant que Lou ait été propre. Bien que c'était une chose répugnante à faire, cela n'était pas physiquement nauséabond. "Plus humide, soit doux," a indiqué Lou. Jim a léché l'anus de Lou avec sa langue humide et molle.
Jim a entendu craquer une allumette et puis, quelques secondes plus tard, Lou a expiré. C'était de l'herbe. Lou a écarté la tête de Jim et a mis le joint dans sa bouche. "Prends une bouffée, papier cul." Jim était si heureux de prendre une profonde bouffée! La drogue l'a fait planer tandis qu'il glissait sa langue à travers la fente de Lou et dans ses profondeurs. Lou a trouvé ce service satisfaisant, parce qu'il a donné à Jim une autre longue bouffée sur le joint.
Ensuite Lou a donné à Jim de longues, et lentes succions. Quelque chose s'était produite tandis que Jim léchait l'anus de Lou. Jim avait perdu son dernier espoir de conserver sa dignité et sa virilité. Maintenant, Jim n'obéissait pas simplement aux ordres de Lou en lui permettant d'employer sa bouche. Jim s'abandonnait aux désirs de Lou. La bouche de Jim avait le goût du membre de Lou et était entièrement remplie par le membre de Lou, et il pouvait ressentir le commencement du plaisir de Lou.
Ils sont entrés dans le lit. Lou étendus, le dos tourné vers le mur. Jim grimpa sur la couchette de Lou, s'agenouilla et se mis tête bêche avec Lou. Cette position permettait à Lou un accès facile au derrière et aux couilles de Jim. Lou a lubrifié l'anus de Jim et a commencé à travailler l'anus de Jim avec ses doigts. Lou a pris les boules de Jim dans son autre main. Les boules de Jim, il les serras et dit "occupe toi de ma bite. Avale tout." Une compression sur ses couilles et Jim a rampé en avant pour ouvrir ses mâchoires largement et s'abaisser sur le membre raide de Lou. Jim a avalé la majeure partie de la longueur du membre avec le gland pénétrant sa gorge. Lou a mis plus de doigts dans l'anus de Jim et les a étirés. Comme dans un réflexe, Jim a arqué ses fesses et sa tête a remontée. "Je vais te pénétrer bien à fond ce soir, Jim, " lui a dit Lou.
Alors Lou a écarté les doigts dans l'anus de Jim et a serré encore plus les boules de Jim avec l'autre main. "Descends plus bas," commanda Lou. Jim a rampé sur la couchette tandis Lou gardait les couilles de Jim dans sa poigne serrée et qu'il continuait encore à ouvrir l'anus de Jim. Le robinet de Lou profondément enfoncé dans la gorge de Jim a semblé se tendre encore plus tandis que Lou blessait l'anus et les boules de Jim.
Au bout d'un moment, Lou a libéré Jim et s'est levé. Lou a poussé Jim sur la banquette et a écarté les jambes de Jim. Lou s'est étendu sur le Jim, le membre dur de Lou serré contre la fente et l'anus de Jim. "Mets ton clitoris vers le haut, " a commandé Lou dans l'oreille du Jim. Jim a obéit.
Lou s'est levé sur ses genoux. Lou a mis la tête de son membre dans l'anus de Jim et a commencé à le branler dedans. Lou était concentré, procédant lentement mais sans hésitation. Les gémissements de Jim n'ont eu aucun effet. Lou basculait dans les deux sens, glissant son membre dans et hors de l'anus de Jim. Lou commandait la profondeur de chaque course, augmentant la pénétration seulement graduellement et alternant les pénétrations peu profondes avec celles qui s'enfonçaient toujours un peu plus. En peu de temps Lou a eu son pubis collé contre le cul de Jim et Jim s'est détendu pour l'accepter.
Maintenant son membre bien enterré dans l'anus de Jim, Lou a poussé Jim vers le bas du lit. Lou a déplacé les bras de Jim au-dessus de la tête de Jim et s'est soulevé vers le haut, avec ses mains sur les biceps de Jim. Le pubis de Lou se reposait sur le clitoris de Jim et Jim était immobilisé sous les mains de Lou. Même si Jim avait la volonté à résister, la résistance était futile.
Lou a commencé à baiser Jim de tout son poids. Le poids de Lou et les poussées musclées de son bassin ont forcé son membre à entrer à fond dans Jim et l'anus de Jim a été forcé de s'ouvrir. Le ventre et le pubis de Lou claquaient contre le dos et le cul de Jim dans un rythme qui s'accélérait.
Lou a laissé échappé sa fureur et sa haine. Il a foré son membre dans les profondeurs du corps de Jim. Lou a grogné et mugis dans l'oreille de Jim. Il a jeté son corps contre Jim, martelant la lope soumise.
Quand Lou s'est senti approcher de l'orgasme, il était un comme animal sauvage célébrant une mise à mort. Il a pris le lobe inférieur de l'oreille de Jim entre ses dents et l'a mâché et l'a mordu au sang. Lou suça et avala le sang de Jim. Dans une vague de plaisir, le membre de Lou a éclaté et il a ri à haute voix de sa victoire.

A suivre ....

Histoire du net. Auteur inconnu. La loi du plus fort... Suite

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 Carcéral la formation

Viol en prison
Suite
Chapitre 4
Jim resta éveillée toute la nuit par la douleur. Lou, l'homme dormant dans la couchette au-dessus de lui, l'avait violé à plusieurs reprises au cours des dernières quatre nuits. Maintenant, tout en le baisant violemment, Lou avait mâché le lobe inférieur de l'oreille de Jim jusqu'à ce qu'il ait été en sang. Après, Jim a enveloppé son oreille endommagée dans une chemise et elle a semblé finalement cesser de saigner. La douleur était intense.
La situation de Jim était désespérée. Lou allait baiser Jim et lui faire sucer son membre presque chaque jour. Lou était assez méchant pour endommager l'oreille de Jim. Et Jim ne pourrait rien faire à ce sujet. Il y avait eu une démonstration publique du fait que Jim était la lope de Lou. Lou avait torturé Jim, mais Lou, un homme puissant dans la confrérie des Aryens, était également la protection de Jim contre les viols en groupe qui l'aurait transformé en putain.
Si Jim allait à l'infirmerie le jour suivant et expliquait ce qui s'était produit, il y aurait une enquête. Chacun saurait que Jim avait balancé. Ou alors il serait laissé dans la cellule avec la fureur de Lou ou il serait transféré dans une nouvelle cellule, où il serait violé encore une fois, et probablement pire. Il n'avait personne à l'extérieur pour s'inquiéter de lui et personne à l'intérieur ne s'inquiétait non plus.
Si Jim acceptait simplement la cruauté de Lou, alors Lou saurait qu'il pourrait faire n'importe quoi à Jim et que cela n'aurait aucune conséquence. Il n'y aurait aucune limite.
Il n'y avait aucune solution et Jim le savait.
Quand le matin est venu, Lou a agi comme si Jim n'était même pas dans la cellule. L'oreille de Jim était enflammée et Jim a décidé qu'il devait aller à l'infirmerie. Il a dit l'officier que son oreille "avait été coincée dans une porte," une expression utilisée par les condamnés pour éviter d'identifier un assaillant.
Il a regardé l'oreille de Jim, lui a donné l'aspirine 2 et lui a dit d'attendre.
Trois heures plus tard, une femme, sans doute une infirmière, l'a fait se coucher sur une table. Elle lui a donné encore 2 aspirines et dit qu'elle allait la "nettoyer la blessure." Elle pris un scalpel pour couper son oreille. Il n'y avait aucun anesthésique. La douleur était atroce, mais Jim, amer et furieux, ne fit aucun mouvement et n'émis aucun son tandis qu'elle le coupait. Elle a suturé la blessure et a mis un onguent antibiotique là-dessus. Puis un bandage. C'était fait.
Jim n'a eu personne à qui parler à. Il a mangé son déjeuner en silence. En regardant autour de lui, il a noté que plusieurs hommes avaient perdus leur lobe d'oreille. Ils étaient de différents âges et différents aspects, sauf que tous semblaient être associés à la confrérie des Aryens. Certains étaient vieux et durs et semblaient avoir un haut rang. D'autres étaient jeunes et semblés abattus, ressemblant à des lopes.
Quand Lou est rentré dans la cellule dans la soirée, Jim a noté pour la première fois qu'il manquait également un lobe d'oreille. Lou ne lui a pas parlé et a fait comme s'il n'existait pas.
Il n'y eu pas de sexe cette nuit et la nuit suivante. Personne n'a parlé à Jim et il n'a eu rien à faire d'autre que de regarder la télévision dans la salle commune. Il est tombé en dépression. Il n'y avait rien comme avenir pour lui pendant des années sauf la cruauté de Lou.
Après trois jours, la douleur dans l'oreille de Jim s'est calmée. Il a dormi pendant le jour. Cette nuit, Lou lui a indiqué d'être prête.
C'était la quatrième fois que Jim avait nettoyé son anus. Le tube est entré facilement et Jim était bientôt prêt. Après trois jours d'isolement, il a été presque soulagé d'avoir quelque chose à faire.
Lou s'est reposé sur le bord de la couchette de Jim. Lou a pointé le plancher et Jim s'est mis à genoux entre les jambes de Lou. Jim n'avait plus besoin d'instructions maintenant et il a abaissé son visage dans les poils pubiens de Lou et a commencé à lécher, en douceur et en salivant beaucoup. Jim a lavé la bite et les boules de Lou. Lou a mis ses pieds sur les épaules de Jim et Jim a massé le fond de l'entre fesse de Lou avec sa langue.
Lou a soulevé ses jambes plus haut, a mis sa main sur le dos la nuque de Jim et l'a tirée en avant. Jim n'a pas résisté.
Jim s'est abandonné. Il savait ce que Lou voulait et il l'a fait. Il a mis sa langue contre l'anus de Lou. Jim a essuyé la rosette de Lou avec sa langue. De haut en bas et de droite à gauche. Jim a pressé ses joues contre le cul de Lou et a mangé le trou à merde de Lou.
Lou a allumé le joint et a pris une longue bouffée. Lou a repoussé la nuque de Jim et a mis le joint dans la bouche de Jim. Jim pris une profonde bouffée. La drogue a fait immédiatement son effet. Jim a enterré son visage dans le cul de Lou. Jim a collé ses lèvres sur la rosette saillante et l'a embrassée à plusieurs reprises. Jim a ouvert le cercle avec ses lèvres et a inséré sa langue, juste un peu. Lou a forcé Jim à prendre une autre bouffée du joint. Jim n'était plus conscient de ce qu'il faisait. Jim a enlacé Lou autour de la taille, ses mains glissant sur le corps musclé et dur de Lou. Jim s'est abaissé encore plus en direction du cul de Lou, se positionnant à genoux plus bas et cambrant son dos pour mettre son visage plus près encore de l'anus de Lou. Jim a embrassé l'anus de Lou à plusieurs reprises et a enfoncé sa langue plus profondément et de plus en plus profond. Jim a goûté la merde. Cela n'avait plus d'importance. Jim a sucé l'anus de Lou. Le temps était suspendu.
Alors Lou a levé ses pieds des épaules de Jim et s'est levé. Jim s'est penché en arrière sur ses talons. Lou a fait un pas entre les genoux de Jim. Le membre dur de Lou pointait vers le haut. Lou a mis ses doigts sur son membre et l'a abaissés jusqu'à ce qu'il ait été à niveau.
Jim a regardé la tête du membre de Lou. Son prépuce s'était rétracté. Le gland était gonflé et pourpre. La fente urinaire à l'extrémité était à moitié -ouverte. C'était le pouvoir du male. C'était le pouvoir de Lou sur Jim.
Jim avait sucé la bite de Lou deux fois déjà avant et les ordres précédents de Lou ont retenti dans la tête de Jim. Jim a fermé ses yeux et a étiré largement ses mâchoires ouvertes autant qu'il le pouvait. Sans bouger ses mâchoires, Jim a formé avec ses lèvres un cercle serré. Jim a mis le bout de sa langue sur le bord de sa lèvre inférieure. De la salive s'est égouttée hors de la bouche de Jim.
Lou a mis sa main libre sur la tête de Jim. En réponse, Jim a enroulé ses bras autour des cuisses de Lou. Jim a enroulé ses mains autour des fesses de Lou. Les fesses étaient humides de la salive de Jim. Jim a caressé les fesses de Lou.
Lou a poussé son membre sur la bouche de Jim. "Suce," commanda Lou. Jim suça. "Suces plus fort, " commanda Lou. Jim suça aussi fort qu'il le pouvait. Lou a écartés ses doigts sur la nuque de Jim et l'as tenue fermement. Le membre de Lou a été poussé profondément dans la bouche de Jim. Il a glissé sur la langue de Jim et a forcé ouverture de la gorge de Jim. Avec de lents, mais implacables allers-retours, Lou a baisé la bouche de Jim.
Lou a fait un pas en avant. Le tibia de Lou a frotté contre le zizi de Jim. Les deux hommes se sont arrêtés soudainement. Le zizi de Jim était dur et son gland était plaqué le ventre de Jim.
Lou s'est reculé et a regardé vers le bas. "Tu aimes ça, pédale," dit Lou. Jim regardé vers le bas aussi. Il n'avait pas réalisé qu'il était dur. Alors il a regardé le visage de Lou. Lou souriait. Les mains de Jim caressaient le gland de Lou. Sa bouche était encore ouverte pour sucer le membre. Lou a ri doucement et ses lèvres se sont ouvertes en montrant ses dents. Lou était heureux. Alors Lou a mis de nouveau son membre dans la bouche de Jim et l'a baisé encore plus. Jim suçait. Jim a aimé le robinet de son Lou pendant qu'il baisait sa bouche et poussait dans sa gorge. Jim a observé les poils pubiens de Lou qui venaient heurter son visage, puis se retiraient, montrant la peau brillante de la tige de Lou, scintillante de la salive de Jim, les veines gonflées et complètement étirée.
Alors Lou s'est reculé. "Mets don cul là dedans," dit Jim à Lou, en pointant la couchette. Jim a rampé sur des mains et sur genoux vers la couchette et a glissé dedans allongé sur son ventre, écartant ses cuisses et soulevant son cul. Il pouvait entendre Lou faire quelque chose.
"Sur ton dos," ordonna Lou. Jim ne pouvait pas comprendre, mais il a roulé sur le coté. Il a regardé vers le fond de la couchette de Lou.
Lou a pris la cheville de Jim et l'a soulevée. Il y avait deux courroies courtes en toile attachées au fond de la couchette de Lou et Lou a attaché la cheville de Jim dans l'une d'elle. Jim a observé. Il n'avait pas vu les courroies avant.
Lou est entré dans la couchette et a attaché l'autre cheville de Jim. Lou a mis une main sur chacune des hanches de Jim et l'a abaissé vers le fond de la couchette. Jim était sur son dos, les jambes très écartées, ses genoux contre sa poitrine, son cul tourné vers le haut.
Lou a pivoté et ainsi il se mettait à genoux au-dessus du visage de Jim. Jim a abaissé le robinet de Lou et a commencé à en téter le gland. Le membre de Lou était comme une barre en acier, mais la tête était molle et sensible.
Lou pris un autre joint. Il l'a allumé et l'a partagé avec Jim pendant qu'il travaillait ses doigts graisseux dans l'anus de Jim. Lou avait déjà baisé Jim deux fois avant et Jim pouvait se détendre. Tous ces joints et l'abandon émotif de Jim rendaient cela plus facile.
Lou a pivoté encore et s'est mis à genoux entre les jambes de Jim. La tête du membre de Lou a poussé contre l'anus de Jim. Lou souriait à Jim. L'autre main de Lou a caressé le visage de Jim. Tandis que Lou le caressait, l'esprit de Jim s'est apaisé. Lui aussi souriait.
Le membre de Lou s'est présenté devant l'ouverture de Jim. Le membre a semblé glisser dedans sans résistance. Il n'y avait aucun inconfort. Les cuisses de Lou étaient serrées contre le derrière de Jim.
Lou a pris le clitoris de Jim dans ses doigts. Le clitoris de Jim était complètement mou. Jim ne s'est pas inquiété. Il était rempli du membre de Lou. C'était le membre de Lou qui importait.
Lou s'est penché en avant et sa poitrine toucha la poitrine de Jim. Les deux hommes ont enroulé leurs bras l'un autour de l'autre. Ils tenaient la position sans bouger.
"Est-ce que tu as déjà sucé des bites avant," demanda Lou.
"Non," indiqua Jim.
"Tu es une téteuse de bite née," lui dit Lou. "Tu suce divinement. Et ton clito était dur."
"Je n'ai jamais su," a dit Jim.
Lou a embrassé Jim légèrement sur les lèvres. Jim a répondu au baiser et a embrassé en avalant la langue de Lou. Il avait gagné l'affection de Lou. Lou voulait une suceuse de bitte et une lèche cul. Jim était ce que Lou voulait. Encore une fois, Lou a embrassé la bouche d'une suceuse de bitte et d'une lèche. Les mains de Jim ont exploré le dos musclé et grand de Lou, le caressant des épaules au bout. Le basin de Lou a commencé à se déplacer. Lou baisait Jim.
Le coeur de Jim était heureux et apaisé. Son coeur était ouvert pour Lou. La tête de Lou était à côté de la tête de Jim maintenant et Jim a embrassé et léché le cou de Lou. Le corps de Jim était ouvert pour Lou. Le corps de Jim était complètement ouvert. Tous ses muscles ont semblé se détendre. Il s'est enroulé autour de Lou pendant que Lou le baisait. C'était plus profond que le sexe. Jim n'avait jamais autant sexuellement excité comme il l'avait été en suçant le membre de Lou. Jim était heureux, simplement et complètement heureux.
Lou a baisé Jim un long moment. Il a commencé lentement. Pendant que Jim s'ouvrait de plus en plus, Lou est devenu plus puissant. Lou a pleinement profité de la reddition de Jim.
L'anus de Jim était humide et mou. Il était devenu humide, avalant, suçant avec des bruits tandis que le membre de Lou se poussait à l'intérieur puis se retiré.
Lou s'est alors vraiment mis à le baiser. Il y avait un bruit de claquement quand le corps de Lou claquait contre celui de Jim. Lou bougeait avec ses cuisses et son torse. Jim présentait son corps aux violentes poussées de Lou. Les boules de Jim étaient martelées à chaque course. Lou riait et écrasait son pubis sur les boules de Jim. Lou voulait que Jim martèle et lançait son énergie contre ses boules. Sa douleur était le cadeau que faisait Jim à Lou. De la sueur s'égouttait de la tête de Lou et Jim a léché la sueur. Jim suait aussi. Ses mains en sueur glissaient partout sur le corps en sueur de Lou.
Lou se lança de soute sa force dans le corps de Jim et le corps de Lou est devenu rigide quand il a crié et a joui. Jim a sentit les jets de sperme de Lou dans ses entrailles. Un autre claquement et un cri sévère différent. Et encore. Et encore. Jim était en extase tellement la jouissance de Lou était puissante.
Les mouvements de baise se sont ralentis et sont devenus moins violents. Lou a soulevé sa tête et a encore mis ses lèvres sur les lèvres de Jim. Les deux hommes se sont embrassés. Et encore. Et encore.
Lou a caressé le visage de Jim et a desserré les courroies autour des chevilles de Jim. Les jambes de Jim sont tombées sur le lit, grandes ouvertes pour Lou. Lou s'est étendu sur Jim.
Cela a pris à Lou seulement quelques moments pour redescendre de son orgasme. Sa respiration est devenue lente et régulière. Quand Lou expirait dehors, Jim a inspirait. Quand Lou inspirait, Jim respirait.
Bientôt Lou s'est endormi. Jim n'a pas dormi, mais est resté sous Lou, prenant plaisir au poids de Lou. Jim se sentait bien sous le poids de Lou. Il sentait qu'il pourrait soutenir le poids de Lou toute la nuit. Jim a donné son corps à Lou pour qu'il se repose dessus. C'était bon.

Chapitre 5
C'était nuit dans la prison. Jim restait éveillé, supportant le poids du corps ensommeillé de Lou. Tous les deux étaient dans la couchette de Jim où Lou avait baisé Jim et ensuite s'était endormis sur place.
Jim avait été une semaine au sein de cette prison. Il avait 22 ans et venait juste d'entrer dans la prison. Lou en avait 30 était un détenu endurci. Lou avait employé des menaces et la violence pour contraindre et soumettre Jim sexuellement. Lou avait maintenant baisé trois fois Jim dans son cul. Jim avait à plusieurs reprises sucé le membre de Lou et même léché le cul de Lou. Avec une peine de quinze ans et sans pouvoir parler à quiconque, Jim était complètement démoralisé. Il ne pouvait pas résister aux demandes de Lou et il devait faire tout ce que Lou voulait.
Cette nuit, alors que Lou baisait la bouche de Jim, Jim a découvert que son propre sexe était dur. La découverte était étonnante parce que, quand elle s'est produite, toute l'attention de Jim était concentrée sur le robinet de Lou. Jim s'est immédiatement rendu compte que son sexe était dur et que les sensations intenses dans sa bouche et sa gorge étaient reliées et qu'il était sexuellement excité.
Jim a découvert que son sexe était dur quand la jambe de Lou frottait contre lui. Lou avait également réalisé l'excitation sexuelle dans laquelle était Jim. L'attitude de Lou a changé. Au lieu du masque de la cruauté précédemment porté, Lou est devenu plus gentil. Au lieu de baiser l'anus de Jim par derrière, Lou a utilisé les courroies pour tenir les jambes de Jim. Lou a alors baisé Jim face à face. Il y avait des baisers et des caresses. Un bref échange de tendresse. La baise était brutale et il était clair que Lou emploierait Jim sans se soucier des désirs de Jim, mais les échanges tendres étaient possibles, et c'était la première fois que Jim a senti qu'il était plus qu'une chose.
Jim pensait que Lou préférait un garçon pédé, probablement parce qu'un garçon pédé était aurait du désir pour le membre de Lou et aurait donné à Lou plus de plaisir. Après des années en prison, Lou avait utilisé des garçons pédé et a probablement avait eu des garçons avant Jim. Peut-être que Lou était homosexuel lui-même en ce moment. Pas assez homosexuel pour prendre des bites en lui, mais assez homosexuel pour avoir un attachement tendre avec un garçon pédé.
Bien, pensa Jim, la question est comment vais-je agir comme garçon pédé. Jim savait que tant qu'il serait enculé et qu'il sucerait des bites, il ne serait pas différent de la pédale la plus lope. Ces scènes allaient se produire 2 ou 3 fois par semaine. Jim était déjà utilisé en fait. Ce n'était pas le fait d'être physiquement baisé et de sucer qui faisait de vous un pédé. Un pédé aimait cela. Un pédé faisait l'amour à un autre homme.
Cette nuit, Jim avait fait l'amour au membre de Lou. Après avoir découvert l'érection de Jim, Lou a recommencé à baiser la bouche de Jim. Et Jim a enroulé ses lèvres autour du membre de Lou et l'a sucé avec amour. Tandis qu'il continuait, Jim a donné à son propre sexe quelques caresses. Le sexe dur de Jim a tressaillit et est devenu encore plus dur.
Jim a perdu son érection quand Lou a commencé à le baiser. La connexion se faisait quand le membre de Lou était dans la bouche de Jim, mais pas quand le membre de Lou était enfoncé dans l'anus de Jim. Cela prouvait aussi que Jim était homosexuel, du moins lorsqu'il suçait.
Jim n'avait jamais réalisé qu'il était homosexuel. Il a grandi dans un quartier difficile, et bien qu'il n'ait pas été vraiment un dur, il s'était montré ainsi. Il avait appris très tôt que n'importe quel intérêt sexuel pour un autre type était très mal vu. Jim a repoussé cette idée. Il avait baisé des filles de temps en temps et les avaient aimées, mais n'avait jamais eu d'amie. Il n'avait pas eu beaucoup de copains non plus. Les hommes entre eux fumaient des joins et regardaient la télévision. Mais il y avait le type qu'il avait attaqué avec Nelson. Nelson avait planifié et dirigé tout cela et armé le bras qui l'avait conduit en prison.
Maintenant il n'y avait aucun avenir pour lui et il était devenu la lope de Lou. Bien, Lou avait quelques bons cotés. Il avait toujours des joints, et la drogue était sûrement une des raisons qui avait fait de Jim une pédale. Lou utilisait Jim assez rudement, mais il faisait en même temps attention à lui. La deuxième fois que Lou avait violé Jim, il avait inspecté l'anus de Jim pour s'assurer qu'il n'avait pas été blessé et Lou s'est même limité au sexe oral après avoir découvert une meurtrissure dans l'anus de Jim. Lou a toujours employé beaucoup de lubrifiant et avait ouvert l'anus de Jim lentement. En fait, Lou a semblé vraiment expérimenté pour ouvrir l'anus d'un type.
Jim s'est lentement détendu. Le ronflement de Lou était apaisant et Jim était fatigué. Bientôt Jim s'endormi...
Jim s'est réveillé en sursaut. Sa tête était tournée et tirée. C'était Lou. Lou avait une main sur la tête de Jim pour l'abaisser.
Jim s'est rapidement soumis à cet ordre muet. Subissant la force de la main de Lou, Jim a pivoté de sorte que sa tête puisse être poussée vers le ventre de Lou. Lou voulait que son membre soit sucé. Jim rempli sa bouche de salive et a léché ses lèvres pour les rendre humides. Son visage s'est heurté au membre de Lou. Le membre de Lou était dur et pointait vers le haut, vers le visage de Jim. Jim a commencé à lécher le membre. Jim a réalisé qu'il était à peine éveillé et qu'il soumettait déjà aux demandes de Lou.
Les deux hommes ont ajusté leurs positions et ainsi le membre de Lou a glissé directement dans la bouche de Jim et sa gorge et Lou a demandé à Jim de se mettre à genoux. Lou était appuyé sur son dos et Jim lui faisait face, se mettant à genoux près de lui. Jim allait de haut en bas, avalant la majeure partie du membre de Lou, s'enfonçant jusqu'aux poils pubiens.
Tandis que Jim suçait, Lou donnait des instructions. "Plus lentement," a-t-il ordonné. "Plus profond.""Enroules ta langue autour de ma queue." Puis: "plus rapidement." Lou appréciait le fait de commander Jim.
Lou a trouvé avec sa main le clito de Jim. Le clito de Jim était dur. Lou a ri. "Ouais, une suceuse de bites," a dit Lou. D'une certaine façon cette sentence résonnait dans la tête de Jim. Cela ressemblait à sa nouvelle nature.
Lou continué à donner des ordres. En même temps, Lou a commencé à frotter et stimuler avec sa main le clito de Jim.
Jim se sentait extrêmement perturbé. Pendant les premiers jours en prison et lors de la première semaine en cellule avec Lou, le clito de Jim était resté ratatiné et tranquille. La détresse, le viol, la crainte et le désespoir en étaient responsables. Maintenant, cette nuit, soudainement le clitoris de Jim manifestait une érection intense. La main de Lou réveillait des vagues du plaisir.
Et Lou savait ce qu'il faisait. Lou donnait réellement du plaisir à Jim. Lou traitait déjà Jim comme une lopette. Et cela était bon aussi. C'était sûrement meilleur que de se faire tabasser.
Et il y avait le membre de Lou. Avec sa raideur dans sa bouche, entrant et se retirant de sa gorge, Jim a réalisé qu'il avait du plaisir à sucer le membre de Lou. Jim pouvait le sentir en. Jim a essayé d'enrouler sa langue autour du membre afin de s'empaler lui-même sur toute la. La tête spongieuse et l'axe raide sont entrés profondément dans la gorge de Jim. Le menton de Jim venait donner des coups sur le ventre de Lou. Le nez de Jim touchait le scrotum de Lou juste sous le membre. Jim se sentait s'ouvrir pour mieux se refermer autour de ce membre. Jim a continué à sucer et le membre de Jim a giclé à plusieurs reprises avec des jets de sperme tandis que Lou, tenant étroitement le clitoris de Jim avec une main, tapotait Jim sur la tête avec l'autre, en lui disant, "c'est un bon garçon, une bonne suceuse de bites."
Le plaisir et la délivrance ont emporté Jim au loin. Jim ne pouvait pas dire depuis combien de temps il était ressentait cela. Quand il est revenu à lui, il était couché près de Lou, toujours sur le ventre, sa tête à côté de la hanche de Lou. Il pouvait sentir le goût et l'odeur du sperme et la substance collante était étalée partout sur son visage. Jim avait un vague souvenir de l'éjaculation de Lou tandis que Lou s'était retiré de sa bouche et avait dirigé son membre avec sa main vers sa bouche grande ouverte et son visage.
Lou a pris Jim par l'épaule et a tiré Jim vers lui. Jim a suivi volontairement. Bientôt Lou se trouvait sur Jim, alors que le sperme de Jim cum humide et collant était étalé sur sa. Lou a embrassé doucement Jim sur les lèvres. Jim a embrassé le cul de Lou.
"Dis-moi que tu m'aimes, " Lou a doucement commandé Lou.
"Je t'aime, " répondit Jim. Tandis qu'il disait ces mots, il savait que cela était vrai. Les deux hommes se sont embrassés plusieurs fois encore.
"Quand nous sommes seuls," a indiqué Lou, " tu m'appellera 'maître'."
Jim a compris et a répondu, " oui, maître."
Il y eu encore d'autres baisers. Alors Lou s'est levé et est allé se laver à l'évier. Jim était paisiblement étendu dans la couchette. Il s'est senti heureux.
Lou se tenait près des couchettes. "Garçon," appela Lou.
Jim a compris et a répondu, "oui, maître."
"Demain matin, après que j'ai déféqué, tu vas lécher mon anus pour le rendre propre. Ta langue sera mon papier de toilette."
Jim fut tellement choquée qu'il est resté silencieux tandis que Lou grimpait dans la couchette supérieure. L'estomac de Jim était retourné. Lou pensait ce qu'il disait. Jim a pensé qu'il allait vomir sur place. Le sentiment de terreur était aussi fort que le jour après le premier viol quand Jim a voulu se tuer. Jim ne voulait certainement pas lécher l'anus merdeux de Lou. Il n'avait pas imaginé qu'il pourrait en arriver là. Mais Lou l'exigeait, et l'exigeait en tant que "maître."
Et Lou était capable de n'importe quoi. Lou avait mâché le lobe de l'oreille de Jim alors qu'il était en train de le baiser au milieu du sexe, mutilant de manière permanente l'oreille qui était encore enflée. Le lobe déchiré avait été découpé. Lou pourrait s'en tirer quoiqu'il à Jim, probablement y compris l'assassiner ou le torturer. Cela n'en arriverait pas là, parce que Jim savait qu'il obéirait et ferait ce que Lou voulait. La question e poserait le matin suivant, car Jim craignait qu'il vomisse sur Lou.
Et, Jim réalisa, cet outrage le plus répugnant venait juste après avoir fait l'amour de manière si intime. Jim avait cru recevoir l'affection de Lou. Comment Lou pouvait-il montrer de l'affection, puis oublier cela tout aussi vite et annoncer que Jim allait manger sa merde? Est-ce que Lou agissait ainsi juste par cruauté et qu'il risquait immédiatement après d'être bien plus méchant?
Jim resta éveillée presque toute la nuit, comme cela lui arrivait tellement souvent maintenant, redoutant le matin.

Chapitre 6
Quelque chose a frappé Jim sur la tête, le cognant dans son sommeil. C'était Lou, qui lui ordonnait "lèves-toi, au boulot." Jim, chancelant encore, n'a pas compris les mots mais a réagi automatiquement à l'ordre de Lou et glissé hors du lit pour s'agenouiller aux pieds de Lou. "Tournes-toi, " commanda Lou, en tordant les épaules de Jim. Jim s'est mis dans la position que voulait Lou et puis, aux ordres de Lou, et puis se coucha et mis ses bras en l'air.
Pendant que Jim reprenait ses esprits, il a réalisé qu'il se trouvait sur le sol en béton à côté des couchettes avec sa nuque contre la toilette en métal. Jim avait obéi à l'ordre de Lou et ses bras ont été étirés jusqu' au mur de chaque côté de la cuvette. Lou se reposait sur la cuvette et il attachait les poignets de Jim. Jim s'est rendu compte qu'il y avait une corde derrière la cuvette et que Lou l'attachait à la cuvette.
Et alors Jim a réalisé la chose terrible qui allait lui arriver. La nuit dernière Lou avait annoncé que Jim allait devoir lécher son l'anus merdeux et que la langue de Jim serait son papier de toilette. Maintenant cela allait se produire, avant même que Jim ait été complètement éveillé.
Lou tenu se leva de la cuvette. Jim regardait le derrière de Lou entre ses jambes. Lou était nu et il a semblé grand et irrésistible. Ses muscles étaient larges et épais. Jim était sans défense.
Lou se tourna et se mis à genoux sur la poitrine de Jim. Lou a giflé Jim sur un côté du visage. Le coup était brutal et fit balancer la tête de Jim de l'autre coté. Puis un autre coup, et encore, à répétition. Les bras de Jim étaient attachés autour de la cuvette et le poids de Lou sur la poitrine de Jim l'empêchait de faire le moindre geste. Jim était sans défense.
Lou giflait la tête de Jim dans les deux sens. Parfois il tirait la tête de Jim vers le haut d'une dizaine de centimètre puis la relâchait, la faisant ainsi rebondir contre la cuvette ou le sol. Lou pouvait voir si Jim prévoyait d'où la prochaine claque ou coup viendrait et alors Lou a frappé encore d'une autre manière. Bientôt Jim a cessé complètement de résister et Lou l'a giflé et cogné à volonté. Lou a giflé Jim jusqu'à l'évanouissement.
L'ouie fut le sens qui revint en premier à Jim. Le bruit d'un étron frappant l'eau de la cuvette. Jim a senti que les pieds de Lou étaient à coté de lui et que Lou se reposait sur la cuvette. Jim a senti l'odeur de la merde. Lou grogna et soupira et un autre étron est tombé dans la cuvette. Un très gros. Puis un petit plouf.
Lou attendait. Lou était soumis. Alors une douleur féroce a traversé les testicules de Jim, douleur causée par la main de Lou autour de ses boules et qui serrait de plus en plus fort. A travers des larmes de douleur, Jim pouvait voir le cul de Lou devant son visage.
"Bouffe-le," commanda Lou, et l'odeur de la merde était intense, juste au nez de Jim. Son cœur battant dans sa poitrine, la confusion et la douleur dans ses testicules avait brisé la volonté de Jim. Jim a réalisé qu'il léchait l'anus de Lou. La langue de Jim était serrée contre l'anus et la raie culière de Lou. Le goût de la merde n'était pas aussi mauvais que l'odeur, mais il était amer, gluant, graveleux. Lèchement encore. Lèchement encore. Maintenant léchant sans arrêt.
Lou a libéré les boules de Jim. Jim se recoucha lentement sur le plancher. Lou s'est assis, maintenant le contact entre son cul et visage de Jim. "N'arrêtes pas," commanda Lou. Jim a continué de lécher. Jim était doux et passif excepté avec sa langue et sa bouche. L'esprit de Jim s'éclaircit. Il a vu l'anus de Lou et sa propre langue sondant le trou. Jim salivais, léchais et avalais.
Au bout d'un moment, Lou se leva. Lou délia les poignets de Jim. Alors Lou a pris la chemise de Jim que Jim avait enlevé la nuit d'avant. C'était la seule chemise Jim avait. Lou a essuyé son anus avec la chemise et l'a puis regardé. "Bon travail," dit Lou. "Tu devras recommencer cela demain aussi." Lou a enveloppé quelque chose dans la chemise et l'a jetée sur la poitrine de Jim.
Jim était étendu sur le plancher sur son dos tandis que Lou s'est habillé et s'est dirigé dehors pour le petit déjeuner. Jim a su qu'il ne mangerait pas le petit déjeuner. Il resta étendu sans bouger jusque à ce que Lou revienne, dès que Lou est parti, Jim s'agenouilla et vomit dans les toilettes.
C'était une demi-heure plus tard que Jim a remis sa chemise dessus. Il avait une tache humide, sa salive qui avait essuyée l'anus de Lou, mais à part cela elle était propre. À l'intérieur de la chemise il y avait un petit paquet. Le paquet était un joint à l'intérieur d'une grande boite d'allumettes d'un hôtel. C'était un cadeau de Lou.

A suivre...

Le sport est la base de la bai... euh pardon de la vie...

Le renouveau Printanier... Faut aérer tout cela... Lol..

Le renouveau Printanier... Faut aérer tout cela... Lol..

Histoire du net. Auteur inconnu. La loi du plus fort... Fin

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 Carcéral: L'acceptation

Viol en prison
Fin
Chapitre 7
Jim a regardé son plateau de déjeuner dans la salle de restaurant. Il n'avait pas faim. Il était drogué. Il était en train de tirer sur un joint que son compagnon de cellule, Lou, lui avait donné, prenant une bouffée par minute environ. C'était de la bonne drogue. Jim en avait besoin. Il avait été utilisé comme toilette.
Pendant la première semaine de son séjour en prison, Jim n'avait pas parlé à personne excepté à Lou et à quelques fonctionnaires. Dans la salle de restaurant ou dans la salle de jour, il avait surpris des conversations entre d'autres détenus. Une fois que, il y avait un groupe de latinos parlant la plupart du temps en espagnol, mais avec des expressions occasionnelles en anglais. Un des latinos a indiqué avec mépris, "je l'emploierai comme toilette." La phrase singulière, presque la seule chose Jim a pu comprendre, le déconcerta. Est ce que l'homme voulait parler de pisser et chier dans la bouche d'un type? Cela était trop dégoûtant rien que d'y penser.
Maintenant Lou employait Jim comme toilette. Lou avait violé Jim et forcé Jim à sucer sa bite. Les deux hommes ont été étonnés quand le clitoris de Jim est devenu dur tandis qu'il suçait. Alors Lou est devenu affectueux. Il y avait des baisers et des caresses pendant le sexe. Après, Lou a soudainement annoncé que Jim devait lui lécher l'anus pour le nettoyer après que Lou ait déféqué, que la langue de Jim était son papier de toilette. Que le matin, Lou a attaché Jim à la toilette, l'a battu, lui a serré les couilles jusqu'à ce que, stupéfié et brisé, Jim ait fait ce qu'il voulait.
Même après la douleur et l'humiliation du viol et la découverte d'un intérêt sexuel à sucer la bite, cette expérience de la toilette était dévastatrice. Il a semblé à Jim qu'il n'était plus un être d'humain et que personne ne le traiterait plus jamais comme un être humain. Qu'il ait toujours pensé et a agi comme un être humain était comme une plaisanterie. Le genre de plaisanterie à la laquelle un homme mort pourrait sourire.
Lou a indiqué à Jim, "sois prêt demain tôt." Cela signifiait que Jim allait lécher la merde de l'anus de Lou chaque matin. Comme si c'était une friandise. Probablement les jets de pisse et les étrons entiers allaient suivre très bientôt.
Et ensuite? Est-ce que Lou l'attacherait comme un paquet et le découperait avec un couteau? Tout était possible.
Une peine de quinze ans, un compagnon de cellule violent et pervers, et une destruction complète de tout ce qui ressemblait à la vie humaine. Il n'y avait absolument rien à faire.
Et il n'y avait plus absolument rien à perdre.
Quelque chose changeait en Jim. C'était un sentiment qui montait lentement, mais une fois qu'il est apparu, il a semblé se développer tout entier.
Jim ne s'est pas inquiété.
Il ne s'est pas inquiété d'être violé dans son anus. Il ne s'est pas inquiété d'être un suceur de bites. Il ne s'est pas inquiété de lécher l'anus puant de Lou. Il ne s'est pas inquiété d ce que Lou lui ferait bientôt mastiquer et avaler des bouchées entière de merde et de pisse. Il ne s'est pas inquiété du temps qui lui resterait à vivre ou de la manière dont il allait mourir.
Une énorme pierre pesait dans le coeur de Jim. D'un côté c'était pire que ce qu'il avait déjà subi, ou allait encore subir dans présent et le futur. C'était comme être submergé par les eaux d'un égout. De l'autre côté c'était comme le désert, le sable nu et le soleil chaud, rien plus. Le désert était l'endroit du refuge. Le refuge final de la mort serait comme le désert, seulement plus stérile. Ce qui attendait Jim était d'être sauvé dans le désert.
Dans la salle de restaurant, les hommes étaient regroupés selon la race et leur place dans la hiérarchie des détenus. Jim n'avait aucun statut et il a trouvé un endroit à une petite table sur le bord du groupe des hommes blancs à côté des bidons d'ordures, coincé contre une colonne de bâtiment. Il y avait trois autres hommes qui mangeaient également à cette table; et ils ont dû se serrer entre eux en raison de la petitesse de cette table. Les trois autres hommes semblaient également être des lopes et avoir été récemment passé à tabac.
L'esprit de Jim s'est sauvé dans le désert, mais le corps de Jim, tous ce qui avait été violenté, reposait à cette table. Jim a levé les yeux de son plateau pour regarder les autres hommes. Ils étaient des détenus quelconque. Jim ne les avait pas vraiment regardés avant.
Deux d'entre eux regardaient leurs plateaux. Le troisième a regardé Jim et leurs regards se sont croisés. Jim a incliné à nouveau la tête par le passé et l'autre type a aussi à nouveau incliné la tête. Il était de l'âge de Jim, avec des cheveux roux très court avec une partie du cuir chevelu rasé. Ils ont cassé leur contact visuel et Jim a regardé les autres hommes, qui fixaient leurs plateaux, immobile. L'un deux était rondelet et avait eu les cheveux noirs et l'autre avait les yeux noir, un visage carré et les cheveux bruns.
C'était la première fois que Jim regardait vraiment les hommes qui partageaient sa table. Il a vu dans les visages des types avec les cheveux noirs et les cheveux bruns la douleur qu'il avait endurée. Jim ne souffrait plus soudainement maintenant. Jim ne s'est pas inquiété. L'homme avec les cheveux roux semblait ne pas s'inquiéter non plus. Il avait l'air bien. C'était une bonne sensation.
La routine de Lou était d'être enculé une nuit sur deux. La routine s'est installée, et Jim a obtenu de se coucher tôt. Il était fatigué et est tombé endormi immédiatement.
Jim s'est réveillé pendant que les pieds de Lou frappaient le plancher. Lou prenait habituellement une tasse de café et ensuite il chiait. Le jour d'avant, Lou avait indiqué, "sois prêt demain tôt." En quelques secondes, Jim a glissé hors de la couchette et se mettait à genoux près de la toilette.
Lou avait un petit réchaud sur l'étagère et, au bout de quelques minutes, Lou avait fini de préparer son café. Lou lisait habituellement assis sur la cuvette. Lou s'est assis nu sur la cuvette en lisant et buvant son café.
Jim se mis à genoux près de la cuvette, ses yeux dirigés vers le plancher. "Garçon," a dit Lou soudainement. Jim a soulevé ses yeux et ils ont rencontré ceux de Lou. "Oui, maître," Jim a répondu également.
L'autre nuit, Lou avait instruit Jim d'employer le mot "maître," et l'utilisation qu'en faisait de Jim maintenant obéissait à cette instruction. Mais Jim n'avait jamais encore regardé Lou droit dans les yeux et le regard doux de Jim était presque provocant. Lou a tenu le regard fixe, un léger sourire se formant sur ses lèvres. Le regard fixe de Lou était froid et distant.
"Tu est prêt, garçon?" a demandé Lou.
"Oui, maître," a répondu Jim.
Ils se sont regardés pendant beaucoup de longues secondes. Puis, les bruits d'un étron émergeant et tombant dans la cuvette. "Approche toi, " a commandé. Lou
Jim a répondu, " oui, maître " pendant qu'il se retournait sur le plancher comme le jour avant, entre les pieds de Lou, le dessus de sa tête collé aux toilettes.
Jim a entendu une autre chute d'étron. Alors Lou s'est levé, a fait un pas en avant et s'est accroupi au-dessus du visage de Jim.
L'odeur a retourné l'estomac de Jim. Juste une fois, et ensuite le mur de l'indifférence se mis en place. Cette merde sentait comme de la merde. Rien de plus. Jim ne s'est pas inquiété. Son estomac est redevenu tranquille.
Jim pouvait voir tout l'anus de Lou. La majeure partie des résidus de merde était au centre et dans les plis juste dehors du centre. Il y avait quelques taches entre les fesses, collées aux poils.
Jim a fait venir de la salive dans sa bouche et en a mis sur sa langue. Il a mis le plat de sa langue contre le centre de l'anus et a étalé sa salive tout autour du centre. Il a utilisé sa langue à plusieurs reprises pour frotter la salive sur l'anus de Lou, en travaillant graduellement du centre vers la périphérie. La merde avait le même goût légèrement amer que le jour d'avant et la même texture gluante et graveleuse. Jim ne s'inquiétait plus de rien.
Jim a commencé à nettoyer l'anus, à l'aide de sa langue pour sucer la salive juste déposée. Il a commencé de l'extérieur en faisant des cercles autour puis directement dans l'anus. Il a observé l'anus pendant qu'il suçait et aspirait de la merde mêlée à sa salive, et quand il voyait qu'il avait oublié un petit coin, il y retournait et nettoyait ce secteur.
Lou grognait, de plaisir évident. L'anus de Lou se détendait, et comme Jim avait nettoyé vers le centre, l'anus de Lou s'ouvrait, révélant encore plus de lui-même, avec une chair plus rouge. Jim a plongé sa langue dans cet endroit qui s'élargissait. Jim savait pour avoir mangé l'anus de Lou quand il le suçait que Lou adorait sentir la langue de Jim dans à l'intérieur de son anus.
Lou s'est redressé et s'est tourné. Encore une fois les yeux de Jim et de Lou se sont croisés. Lou a semblé pensif. "Tu apprends vite," dit Lou.
"Oui, maître," a répondu Jim.
"Laves-toi le visage et manges le petit déjeuner," est venu comme un ordre.
"Oui, maître," et ils ont cassé leur contact visuel pendant que Jim se levait.
Lou a quitté la cellule le premier. Quand il est parti, il a laissé tomber un joint sur la couchette de Jim, où Jim était assis pour mettre ses chaussures.
Jim a pris une bouffée pendant qu'il quittait la cellule. Il l'a juste fait pour mieux apprécier son déjeuner et était content d'avoir fumé. Il avait faim.

Chapitre 8
Cette nuit, Jim commença à se préparer tôt. Lou voulait baiser Jim toutes les nuits, et c'était une nouvelle nuit de sexe. Pendant que Jim s'asseyait sur la toilette après s'être donné un lavement par un tube dans son anus, ses yeux se sont levés et ont rencontré ceux de Lou. Lou souriait. Toute la journée, Jim avait pensé aux longues périodes où ses yeux et ceux de Lou s'étaient rencontrés. Jim a baissé les yeux. Alors Jim a jeté un coup d'oeil vers Lou et a vu que le sourire de Lou s'était élargi. Jim a baissé la tête à nouveau.
Jim a compris que Lou appréciait qu'il commence à se préparer tôt pour être baisé. C'était le même regard d'approbation que Lou a donné Jim le matin où Jim a léché l'anus de Lou pour le rendre propre après que Lou ait déféqué devant lui.
Mais c'était plus que de l'approbation des actes physiques. Les actes avaient été accompagnés d'échanges de regards, avec Jim cherchant le regarde de Lou pour être possédé par le regard fixe de Lou. Lou avait accepté celui aussi.
Et tout semblé venir de ce sentiment arrivé hier, le sentiment que la mort viendrait de toute façon, que la vie en prison était un enfer, que l'on n'y pouvait rien, que personne ne s'inquièterai de son sort, et que pour lui , Jim, personne ne s'inquièterait non plus.
Jim a pensé Lou pouvait avoir le même sentiment. Lou était méprisant et Jim savait qu'il était un objet de mépris de la part de Lou. Maintenant, il pensait, que, peut-être Lou est méprisant envers tout, Jim, la prison, et éventuellement envers lui-même aussi.
Lou agissait comme s'il en avait rien à faire des sentiments de Jim. Cela lui était indifférent si Jim, une lopette et une toilette, le regardait dans les yeux. Lou se moquait bien d'embrasser ou non les lèvres de sa lope et de sa toilette.
Durant toute la journée, Jim a apprécié l'indifférence et le mépris dont il était l'objet. Le soir, il a regardé de temps en temps Lou. Il a semblé à Jim qu'il pouvait voir l'indifférence et le mépris sur le visage de Lou.
Chacun était dans sa couchette quand les lumières se sont éteintes. Lou est descendu de la couchette supérieure et s'est tenu près de la tête de Jim. Lou mettait en avant son bassin et l'encadrait avec ses pouces et ses index formant un cercle.
Se tournant dans la couchette, Jim s'est mis sur ses genoux et s'est cassé en deux pour faire face directement à la bite de Lou. Lou portait un caleçon. Jim a commencé à l'abaisser et à l'enlever et Lou l'a poussé dans un coin d'un coup de pied.
La bite de Lou était seulement légèrement réveillée. Plié en deux et en se balançant des hanches, Jim s'est accroché aux cuisses de Lou et a commencé à caresser la tête et la tige du membre de Lou avec ses lèvres et sa langue. Bientôt Jim tenait la partie supérieure du membre dans ses lèvres, sa langue enroulée autour de la tête, et le massant avec des bruits de succion, alors que le membre raidissait à chaque battement de coeur de Lou. Lou a commencé à se balancer dans les deux sens, frottant la tête de son membre contre la langue tendue de Jim.
Lou a poussé la tête de Jim vers le bas et Jim a commencé à lécher et à sucer les boules de Lou, qui pendaient lourdes et remplies.
Lou s'est retourné et courbé en avant. Le cul de Lou était devant le visage de Jim. Jim a posé ses mains sur les hanches de Lou et a positionné son visage. Se tirant en avant, Jim a plaqué son visage contre le cul de Lou. Jim a léché l'anus de Lou. L'anus s'est détendu et Jim l'a ouvert avec sa langue. Jim a glissé sa langue dans et hors de l'ouverture de l'anus de Lou. Lou péta, remplissant le nez de Jim de l'odeur de merde. Le rythme de la langue de Jim dans l'anus de Lou était régulier.
Le flash d'une allumette et puis de l'odeur piquante du joint. Au bout d'une minute, Lou à passé le joint et Jim a interrompu son service pour prendre une aspiration profonde.
Après cela, le temps a passé en semblant se fragmenter. Lou s'est reposé sur le visage de Jim de Jim a mangé l'anus de Lou. Lou. Jim a sucé Lou. Lou à forcé Jim à se mettre à genoux dans le coin et s'est plaqué contre lui, baisant sa gorge, et giclant son foutre profondément dans la gorge de Jim. Ils se sont étendus dans le lit, s'embrassant et se caressant. Lou a dormi. Lou s'est réveillé et s'est assis sur la langue de Jim. Jim a sucé le membre de Lou. Lou masturbé Jim tandis que Jim le suçait et Jim a joui avec le membre de Lou dans sa gorge.
Lou a fait coucher Jim sur le ventre et puis s'est étendu sur lui tête bêche, mettant encore le cul de Lou sur le visage de Jim. Lou l'a immobilisé ainsi, la tête de Jim a été emprisonnée entre le cul de Lou et le mur. Lou a donné à Jim un oreiller pour coincer sa tête contre le mur. Jim a poussé sa langue encore plus profondément dans l'anus de Lou.
Ils se sont étendus côte à côte ensemble, leurs mains se caressant l'un l'autre. Lou a commencé et a semblé entourer Jim de tendresse. Ils se sont donnés de baisés. Ils se sont embrassés. Leurs membres étaient tous les deux raides. Jim a noté que son propre membre était considérablement plus grand que celui de Lou.
Il y eu un autre joint. Lou a exigé d'être sucé plus fort. Jim a travaillé plus dur que jamais, suant et se donnant au maximum, et il a sucé Lou à fond. Lou a gémi pendant qu'il venait profondément dans la gorge de Jim, ses mains tenant et frottant la tête de Jim.
Jim ne pouvait pas dormir. Lou a dormi, mais s'est de temps en temps réveillé pour embrasser Jim et lui donner des baisers. Jim a caressé Lou tandis que Lou dormait, touchant ses muscles durs.
C'était matin. Lou est sorti de la couchette et est allé faire son café. Jim était étendu tranquillement. Quand Lou s'est assis sur la toilette, Jim a roulé hors du lit et s'est mis en position entre les pieds de Lou. Quelques minutes plus tard, l'anus merdeux faisait face à Jim. Jim l'a léché pour le rendre propre.
Le cadeau d'un autre joint. Petit déjeuner.
Jim avait été bien dressé.

Chapitre 10
C'était l'après-midi d'un jour où Jim espérait en finir avec cet esclavage sexuel envers Lou. Jim se reposait dans la salle de jour environ une heure après le déjeuner. Lou est entré dans la salle de jour et se dirigea vers Jim. Jim n'avait pas vu Lou dans la salle de jour depuis le deuxième jour, quand Lou y avait humilié Jim.
Cette fois, trois hommes avaient accompagné Lou. Maintenant, Lou était seul. Leurs regards se sont réunis. "Viens, " dit Lou à Jim. Il a tourné les talons et est reparti.
Jim a rougit et l'a suivi.
Lou a mené Jim dans un nouveau secteur pour Jim. Ils ont croisé un garde dans le c. Une fois, des semaines avant, un garde avait empêché Jim d'aller dans cette direction. Maintenant, Lou y menait Jim.
Le passage a mené dans une cours ouverte sur le ciel. Un mur en pierre muni de barbelés à son sommet encerclait la cours, mais à ce qui semblait être à une grande distance. La majeure partie du secteur était recouverte d'un asphalte noir et était séparée par ses tubes en acier en différentes régions. Les hommes jouaient au ballon dans une région. Des hommes soulevaient des poids dans la plus grande région. Le ciel était obscurci avec des nuages lourds, mais la lumière était aveuglante pour les yeux de Jim.
Lou a mené Jim dans un bâtiment au bord du terrain découvert. Il y avait là un équipement, un petit tracteur et des outils de mécanique. À côté la pièce principale il y avait un couloir avec une série de salles. Une pièce, ouverte à l'extrémité du couloir, était une grande salle avec plusieurs hommes à l'intérieur. Lou a tourné vers l'autre extrémité du couloir et a mené Jim dans une petite salle qui terminait le couloir.
La salle comportait un lit de camp bas, une chaise, et un oreiller sur le plancher. Elle était si petite qu'un homme s'asseyant sur le lit de camp, contre le mur extérieur, pouvait atteindre la porte sans se lever.
"Déshabilles-toi, " commanda Lou. Jim a enlevé ses vêtements et les a mis dans un coin. "Mets-toi à genoux là dessus," ordonna Lou, pointant l'oreiller. Jim s'est mis à genoux sur l'oreiller. "Fais ce que tu sais si bien faire," instruit Lou. "Ces types sont mes amis et je te battrai comme jamais s'ils se plaignent."
Jim a soulevé sa tête et ses yeux ont rencontré ceux de Lou. Ils se sont regardés pendant de longues secondes. "Oui, maître, " a répondu clairement Jim et alors il a baissé ses yeux.
Lou est parti de la salle. Des minutes se sont écoulées. Jim a attendu, protégé par son indifférence. La porte s'est ouverte. Lou a dit "... seulement entraîné sur moi, mais le potentiel est là."
Il y avait un autre homme avec Lou. L'homme n'était pas grand, mais très gros, avec une énorme panse enflée divisée par une ceinture. L'homme s'est tenu devant Jim et Jim a compris que l'homme désirait se faire sucer. Pendant que Jim se mettait en position, se mettant à genoux aux pieds de l'homme, Jim pouvait voir que l'homme avait des cheveux gris et blancs, une barbe et semblait vieux.
L'homme a défait son pantalon et ils sont tombés en formant un large cercle à ses pieds. L'homme déboutonna et a ouvert sa chemise. Il avait un ventre mou et saillant. Il avait quelque chose de grand et de serré derrière son boxeur. "Prends la et avale," commanda l'homme.
Jim s'est courbé en avant et a approché le gros homme sous son ventre. Jim a accroché ses doigts autour du sous vêtement de l'homme et l'a tiré vers ses chevilles. Les ouvertures pour les jambes dans le sous vêtement adapté passèrent facilement autour des chaussures de l'homme, et il a fait un pas hors du sous vêtement, Jim se releva pour faire face au membre de l'homme.
Le membre de l'homme a semblé énorme. Il était entièrement mou, mais était long et très épais. "Suce," a dit l'homme.
Jim a détendu les muscles de sa bouche et l'a ouverte légèrement, en retroussant ses lèvres. Il a fait venir dans sa bouche autant de salive qu'il pouvait et a fait sortir sa langue hors de sa lèvre inférieure. Jim a commencé à faire courir ses lèvres et sa langue sur le du membre. D'abord, l'avant, puis les côtés. Le membre était si grand cela a pris un bon moment. Jim ne s'est pas dépêché. Le membre répondait, bien que lentement. Il était déjà bien plus grand que le membre de Lou et au moins aussi grand que celui de Jim en pleine érection, et il était toujours juste en début d'érection.
Jim a mis des doigts au membre et l'a soulevé. Il a tenu le membre avec une main, s'est soutenu avec l'autre main et s'est mis à genoux sous le membre le léchant par dessous. Il a commencé à lécher le creux sous le scrotum et a continué vers l'avant. Le point le plus sensible juste sous la tête a bien répondu au massage puissant, comme celui de Lou à la fin d'une longue nuit de sexe. Le membre était maintenant pratiquement droit, point en l'air, mais pas vraiment dur. Néanmoins, il semblait énorme.
Jim s'est positionné devant le gland et le dirigea vers sa bouche. Jim a étiré ses mâchoires aussi larges qu'il le pouvait, plus largement que jamais avant, et a dessiné un cercle avec ses lèvres. Il a mis ce cercle autour du gland, a refermé ses lèvres autour du membre, et a commencé à sucer. Il a mis sa langue sous le membre pour le faire glisser pendant qu'il ouvrait ses lèvres et suçait le membre dans sa bouche.
La tête du membre entra convenablement. Elle était très grande, mais cela entrait bien. Le membre a continué à entrer dans la bouche étirée de Jim. Il a poussé vers le fond de sa gorge, pressant contre la langue de Jim et le dos de la bouche de Jim. L'homme a mis sa main sur la nuque de Jim et l'a tenue serrée. Jim ne pouvait pas respirer. Il a essayé de sucer, pour plaire à l'homme, mais ne pouvait pas vraiment sucer avec sa bouche ainsi remplie par le sexe énorme. Jim pouvait voir que la majeure partie du membre était en dehors de sa bouche. Il devait respirer. Il a tiré sa tête en arrière. L'homme le maintenait très serré, avec un bras puissant. Jim devait respirer. Il s'est retiré avec toute sa force et l'homme l'a libéré. Jim s'est assis sur ses fesses, haletant.
Le gros, vieil homme dit à Lou, "bien, c'est un début. Nous allons voir ce que cela donne."
Jim a aidé le gros, vieil homme remettre son sous vêtement et son pantalon. Un instant leurs regards se sont croisés et le regard fixe de Jim a rencontré la même indifférence qu'en lui-même. Jim a regardé au loin.
Lou et le gros, vieil homme sont partis. Puis, Lou est revenu avec un autre homme et le laissa avec lui. Le nouvel homme s'est déshabillé et s'est étendu sur la couchette. C'était également un homme âgé, bien que pas aussi vieux que le gros vieil homme. Cet homme avait un corps solide et puissant. "Quel est ton nom," demanda l'homme. Lui et Jim se ont regardé l'un l'autre. "Jim.""Bouffe moi, Jim," a dit l'homme.
Jim commença à s'activer. L'homme était étendu tranquillement, sauf que son membre s'est levé rapidement au contact des lèvres de Jim et a répondu avec un plaisir évident aux courses et aux caresses que Lou appréciait habituellement. Jim profita de la vague de plaisir de l'homme et alors l'homme a pris la tête de Jim et l'a déplacée rapidement en haut et en bas. Jim a adopté le rythme de l'homme et s'est appliqué à maintenir une forte pression en pompant le membre. L'homme a éjaculé. Il y eu un bref repos.
Jim ne pouvait pas distinguer la séquence d'événements qui ont suivi. Il y avait beaucoup d'hommes, beaucoup de différents membres, les membres et les fellations semblaient se succéder sans fin. Cela avait commencé dans la petite salle. Plus tard, Jim s'est rappelé que le lit de camp avait été tourné et qu'il se mettait à genoux là-dessus près d'un homme de l'âge de Lou environ, très dur, avec des tatouages, et Jim faisait lui face, suçant le grand membre de l'homme, dur et incurvé. Jim empalait sa gorge sur le grand, dur, du membre incurvé, descendant et se relevant et descendant encore. L'homme le maintenait vers le bas durant chaque aller-retour, lui imposant son désir de rester empalé jusqu'à la limite de sa respiration, puis libérait Jim quand soulevait sa tête.
"Relaxe toi et prends-le, " a commandé l'homme d'une voix amicale. "Garde là bien au fond." Jim s'est détendu. Il est devenu indifférent. Jim appréciait le confort de l'indifférence. Cela se passait bien. Il respirait autour du membre. Le membre était enfoncé profond dans sa gorge, mais sa gorge était détendue et un jet d'air passait sans heurt dans ses poumons. Il respirait avec le gros membre de l'homme dans sa gorge.
L'homme a déplacé la tête de Jim de haut et en bas et Jim a respiré tandis que sa gorge donnait du plaisir au membre. L'homme a éjaculé dans la gorge de Jim tandis qu'il caressait la tête de Jim et gémissait. Après, ils s'étendirent ensemble et l'homme a embrassé Jim sur les lèvres. Alors l'homme est parti.
Lou est revenu avec trois autres hommes et ils ont pris Jim dans une autre salle plus grande. Jim s'est mis à genoux dans un coin et a sucé les membres des amis de Lou. Différents hommes les ont suivis. Les membres étaient différents aussi. Jim fit tout ce qu'il pu pour plaire aux hommes.
La salle était éclairée par des fenêtres et parfois Jim pouvait voir que d'autres hommes dans la chambre étaient en train de baiser. Il vis Ben agenouillé nu entre les jambes d'un homme sur un divan et en train de sucer le membre de l'homme. Les cheveux roux de Ben brillaient au soleil. La peau claire de Ben pelait d'un coup de soleil au visage, au cou et aux bras. Ben semblait heureux.
Lou et un autre homme ont pris Jim dans une autre petite salle. Tous les trois ont partagés un joint. Jim s'est mis à genoux sur le plancher derrière les deux hommes, qui se sont tenus avec les bras autour des épaules de chacun. Les deux hommes se sont embrassés et caressés tandis que Jim mangeait l'anus de Lou et de celui de l'autre homme. Lou et l'autre homme quittèrent la salle.
Jim a attendu. Il s'est assis sur ses fesses sur le plancher. Il est resté seul. Puis il a senti qu'il devait pisser. Il s'est levé de manière instable, mais a marché vers la porte. Il était nu.
Jim s'est avancé. Il a passé la première petite salle. Le lit de camp était contre le mur arrière. Le gros, vieil homme s'est assis sur le bord du lit de camp. Il avait des vêtements dessus. Lou, également habillé, se reposait sur le plancher à côté des pieds du vieil homme, faisant face au vieil homme. La tête de Lou reposait sur la chemise au niveau de la hanche du vieil homme mou, courbée de côté. Les bras de Lou enlaçaient le ventre rebondi du vieil homme. Le vieil homme avait une main sur le côté et le dessus de la tête de Lou et les yeux de Lou étaient fermés.
Les yeux de Jim ont rencontré ceux du vieil homme. Ils se sont regardés. Le vieil homme a souri. Le vieil homme a mis la main sur la porte et l'a repoussée et fermé.
Jim a trouvé la salle de bains et a pissé. Il a bu une un peu d'eau et est revenu au couloir.
La porte de la première petite salle était encore fermée. Jim s'est accroupi près d'elle. Il a attendu.
La porte s'est ouverte. Lou était là, à la porte avec le vieil homme. Jim s'est mis à genoux devant Lou. Jim s'est abaissé au niveau du plancher. Lou avait des chaussures de sécurité de cuir noir. Jim s'est tenu sur les orteils des chaussures de Lou pendant qu'il abaissait son corps entier jusqu'à se coucher sur le plancher. "Maître," Jim a pleuré. Il a soulevé sa tête pour regarder Lou en face. Les flots des larmes coulaient en bas des joues de Jim. "Maître, je t'aime," avoua Jim.
"Je vous ai dit qu'il serait blessé," dit Lou au vieil homme.
Lou s'est lentement accroupi. Pendant que Lou s'accroupissait, son bras, puis ses doigts ont touchés tendrement la nuque de Jim. Lou a caressé ses doigts contre le cou, mettant plus de force dans ce geste pendant qu'il s'accroupissait plus bas. Jim a abaissé sa tête et Lou a caressé et caressé le visage de Jim tandis Jim s'étendent à plat avec le côté de sa tête se reposant sur le plancher.
"Tu a sucé de nombreuses bites, mon garçon," dit Lou.
Jim était ainsi placé de telle sorte, qu'il pouvait, sans soulever sa tête, ouvrir sa bouche et lécher la chaussure de Lou, laissant une strie humide et noire sur la surface poussiéreuse.
FIN

Quelques fois notre vie d'encagé est très difficile à supporter.... Lol


Les productions de votre serviteur

Bonjour à vous tous.

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Petit message à ceux qui m'on demandé des informations.

Pour écrire un commentaire, c'est simple il  suffit de cliquer sur commentaire en fin d'article. C’est mieux si vous me laisser votre adresse au lieu de: Anonyme.

Je dois vous dire qu'un commentaire fait toujours plaisir, même si c'est une engueulade.... Si! Si!.. Au moins je sais que ce que je vous propose vous intéresse et ne vous laisse pas indifférents.

Pour les amis qui veulent m'écrire directement c'est tout aussi simple.
andre112rp95@gmail.com.

Ceux qui me connaissent depuis longtemps savent:
       - que je suis d'une timidité maladive et des fois je  n'ose pas répondre.
       - que ma santé m'oblige à des absences croyez le bien involontaires
Pour le reste vous ne saurez rien de plus.... Non.. Non.. 

Voilà qui est écrit....

Merci de votre fidélité car vous êtes près de 550 à me visiter tous les jours....
Et comme en dit chez moi: Tant qu'on à la santé, on peut essayer de niquer... Lol

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Z'ont pas honte de traiter cette pouf de cette manière.... Faut y faire pire LOL...!!!

Histoire du net. Auteur inconnu. Vélocipèdes....

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 Il n'y a rien de plus beau que 
de découvrir la France à vélo...
Pas que la France  d'ailleurs...

Celibattantes
Ghislaine et Agnès l’avaient décidé un soir où elles broyaient du noir : faute de mecs pour les emmener en vacances, elles partiraient ensemble. Et à vélo. Oui, tant qu’à faire, autant joindre l’utile à l’agréable : voir du pays tout en travaillant à leur fond de santé et à la perte de poids. Surtout Ghislaine, qui se désespérait d’avoir atteint la taille 44 alors qu’Agnès se logeait toujours facilement dans le 38. Le vélo, elles connaissaient. Elles circulaient tous les jours dans Paris pour aller au boulot sur leur bécane hollandaise avec panier à l’avant pour le sac à main.
Mais là, pour aller au Pays Basque en trois ou quatre semaines, elles loueraient de vraies routières pas trop lourdes pour grimper les côtes. Avec sacoches. Elles partiraient d’Orléans afin d’éviter la sortie de Paris et emprunter tout de suite les petites routes de campagne. Ah oui, ce serait chouette et les mecs pourraient aller se faire voir. À l’approche de la quarantaine, elles en avaient déjà fait le tour. Toujours pareil : le bla-bla, le dîner aux chandelles, le plumard plus ou moins réussi et le réveil le lendemain avec un lit vide.
Ras-le-bol de cette vie. Vive le vélo.
Toutes deux sont ce qu’on appelle des « célibattantes », ces cadres dynamiques aussi fortes et dures que les hommes dans leur boulot. Ghislaine est une grande blonde aux cheveux longs, qu’elle attache le plus souvent en queue de cheval, et aux formes pleines avec un air un peu nonchalant. Elle trompe bien son monde car elle a une volonté de fer. Agnès, cheveux châtains mi-longs et yeux noisette, petit format bien proportionné, est au contraire très vive, pétulante, toujours « en prise », comme on dit à vélo. Elles travaillent facilement 50 heures par semaine et leur réussite sociale fait l’admiration de leurs familles. Côté vie privée, en revanche, c’est le désert. Les hommes les séduisent, parce qu’elles sont séduisantes, puis les fuient, parce qu’ils les trouvent dérangeantes.
Oui, leur vie sentimentale, à ce moment-là, était plate comme la Beauce, là même où elles entamaient leur long périple. Au moins, grâce à l’absence de difficultés sur la route, elles avaient réalisé de bonnes moyennes. Trois jours après leur descente du train en gare des Aubrais, elles avaient planté leur tente près de Poitiers, dans un camping de transit, plein à craquer, si bien qu’elles ne trouvèrent qu’un petit emplacement tout près d’une autre « canadienne » occupée par deux jeunes, îlot isolé parmi des grandes tentes et des caravanes, des familles, des couples… Pas vraiment de quoi nouer des relations et les deux filles décidèrent de se coucher tôt pour repartir le matin de bonne heure, à la fraîche.
Ghislaine avait déjà franchi son premier cycle de sommeil quand, dans la tente d’à côté, des voix la réveillèrent.
« Et voilà, encore des emmerdeurs qui n’ont pas compris qu’une toile de tente n’est pas un mur insonorisé », se dit-elle.
En prêtant l’oreille, elle s’aperçut toutefois que la conversation était d’un genre particulier. Un gars parlait à une fille, oui, mais surtout, ils s’embrassaient. Les bruits mouillés ne laissaient pas place au doute. Ghislaine se souvint avoir vu une fille un peu comme elle, grande bringue un peu dodue, et un type chevelu, maigre et assez musclé, tous deux proches de la trentaine avec une moto. Ghislaine entendait toujours des bruits mouillés mais aussi des soupirs venant manifestement d’une gorge féminine.
« Oh là là, se dit-elle, je crois qu’ils sont en pleins préliminaires et qu’ils ne vont pas tarder à baiser ».
De fait, un « viens, j’en peux plus » vint conclure la phase buccale et Ghislaine entendit distinctement le « han » de l’homme et le « mmmouiii » de la femme, signaux qui manifestaient le commencement d’un coït en bonne et due forme. Puis le « flac flac » des peaux qui se rencontraient à cadence rapide et soutenue. À côté, dans son duvet, Agnès remua.
- Tu es réveillée ? Tu entends ? murmura Ghislaine à son amie.
- Tu parles, je ne suis pas sourde, font chier ces deux-là.
À côté, l’affaire se développait. « Prends-moi par-derrière », ordonna la jeune femme dans la tente. Et le « flac flac » reprit de plus belle, agrémenté de ce « ouiiii » féminin qui est la marque la plus classique du plaisir sexuel. « Lèche-moi et encule-moi maintenant ».
Ghislaine sursauta. Là, c’était trop. Elle allait sortir et engueuler ses voisins, les menacer de tapage nocturne, déraciner les sardines, virer le double toit, manifester quoi !
- Laisse, murmura Agnès, ils n’en ont pas pour longtemps.
Ghislaine s’aperçut que son amie avait repoussé le duvet, placé sa main entre ses jambes et entrepris de se masturber. Visiblement, les ébats voisins l’inspiraient. D’autant qu’ils n’allaient pas en mollissant, bien au contraire. « Ouiii, encore, à fond, je la veux toute », criait la fille. L’homme haletait, se donnait totalement et plus il s’activait, plus Agnès agitait son doigt sur sa fente, comme si elle participait. D’abord scandalisée, puis interdite, Ghislaine commençait à se laisser gagner par l’atmosphère torride de la tente voisine et s’aperçut qu’elle mouillait. Quand le couple atteignit enfin l’orgasme et exprima bruyamment son plaisir, Agnès gémit aussi, presque simultanément. Ghislaine, décalée, ressentit simplement une onde de chaleur dans son bas-ventre. Trop tard…
À côté, au bruit d’une fermeture éclair qu’on ouvre, les deux filles comprirent que le couple allait prendre la douche d’après l’amour.
- Ils ne se font vraiment pas chier, ces deux-là, lâcha Ghislaine, dépitée.
- Ben quoi, ils ont baisé, c’est de leur âge non ? Allez dors, demain on a de la route, lâcha Agnès avant de sombrer, apaisée, dans le sommeil.
Ghislaine fut beaucoup plus longue à se rendormir…
Le lendemain matin, elle fut un moment tentée de chanter « Hello, le soleil brille » devant la toile des voisins visiblement plongés dans le sommeil, mais finalement se ravisa. Encore trop jeune pour jouer les rombières frustrées. Mais cette nuit les avait remuées. Elles avaient cruellement ressenti l’absence du mâle. Et pour ne rien arranger, le frottement de la selle contre leur périnée pendant des heures commençait sérieusement à leur donner une envie de pénis. C’est un phénomène que peu de cyclistes femmes osent avouer, mais il existe. Tout en roulant sur les longues lignes droites, elles se remémoraient le clapotis des deux sexes joints dans la tente des voisins, les halètements de l’homme, les miaulements de la fille. Et ce « lèche-moi et encule-moi » qui les avaient transpercées.
- Je sais pas toi, mais moi, je baiserais bien, lâcha Agnès tout en pédalant. Les motards m’ont mis le feu au derrière.
- Moi aussi, répondit Ghislaine.
Oui, mais ce n’est pas arc-boutées sur leur guidon, sur les routes départementales du Poitou-Charentes, qu’elles trouveraient deux gigolos bien membrés pour satisfaire un appétit glouton. Et au fil des kilomètres, leur esprit se déplaça sur des questions moins glamour comme trouver à boire, à manger et à se reposer un peu. Elles commençaient à avoir mal aux jambes à force de tirer leur bécane lourdement chargée et malgré leur cuissard rembourré, leurs petites fesses avaient aussi besoin de soulager la pression.
Le hasard les conduisit vers un hôtel de campagne entre Angoulême et Bordeaux.
- Voilà qui nous changera du camping, j’en ai un peu marre du matelas gonflable, lâcha Agnès.
À dire vrai, l’hôtel en question n’avait rien d’un trois étoiles, ni même deux, tout juste une. Mais les deux filles, minées par un vent de face, en avaient vraiment ras le bol de pédaler et le premier hôtel, dans un village perdu de la campagne charentaise, fut le bon. Le patron, un paysan reconverti sans doute, les accueillit avec un air rigolard en les voyant en maillot, cuissard et casque :
- Vous faites erreur, le Tour, il est dans les Alpes en ce moment, dit le patron.
- Té, voilà Jeannie Longo et son équipière, ricana un client.
- Et c’est qui, l’équipière ? riposta Ghislaine, qui se sentait visée.
Quelques grasses plaisanteries fusèrent dans le bar qui servait d’antichambre à l’hôtel. Une entrée réussie, vraiment. Mais la piaule était correcte et surtout, il y avait une douche. À peine celle-ci prise, les deux filles s’endormirent dans leurs lits jumeaux et se réveillèrent pour le dîner. Le temps de se passer un peu de « trompe-couillon » sur les yeux et les lèvres, d’enfiler quelques vêtements propres (satisfaction de Ghislaine en découvrant qu’elle entrait déjà plus facilement dans son bermuda), et elles étaient en bas.
Surprise dans la grande salle où elles allaient prendre leur repas : tout le village semblait s’y être réuni. Il est vrai qu’on était samedi. Les deux cyclistes furent aussitôt l’objet de l’intérêt de la gent masculine et buveuse. Celle-ci, en les écoutant, se montra assez épatée du périple déjà accompli et à venir. Mais aussi intéressée par le débardeur bien rempli de Ghislaine, aux lourdes mamelles généreusement découvertes, et par le minishort d’Agnès qui moulait son petit cul bien ferme et rebondi. Deux gars les invitèrent à l’apéro puis les suivirent à leur table pour le dîner qu’ils leur offrirent. C’étaient deux ouvriers agricoles du secteur. Leurs manières étaient un peu rustres, leurs mains impressionnantes, leur vocabulaire plutôt limité mais ils respiraient la virilité. Deux mecs encore jeunes, habitués aux travaux de force, qui annoncèrent leur qualité de célibataires.
Le plus grand et le plus séduisant s’appelait Damien, le genre play-boy rural. L’autre, Kevin, était plus râblé mais son regard doux plut à Ghislaine. Le dîner s’éternisa, les deux filles avaient un peu picolé et riaient pour un rien. Tant et si bien qu’à la fermeture, les deux gars étaient toujours là, bien décidés à prolonger les relations. Alors qu’ils étaient allés payer le dîner des filles, histoire de leur complaire, Ghislaine, un peu grise, interrogea Agnès :
- Qu’est-ce que tu fais, toi ? Tu montes avec eux ou pas ?
- Ben tiens, évidemment, pour une fois qu’on a une occasion, on ne va pas la laisser passer. Ces deux mecs, ils ne sont peut-être pas glamour mais quelque chose me dit qu’ils assurent.
- Mais ce sont deux bouseux !
- Et alors ? Tu ne vas pas faire ta mijaurée ! Cela te changera de tes bobos du Quartier Latin qui débandent après dix allers-retours. Tu fais ce que tu veux mais moi, ce soir, il me faut une bite et je me fous qu’elle soit agricole. Tu prends lequel ? Moi, je prendrais bien Damien, il a…
Les deux filles n’eurent pas le temps de prolonger leur conversation, leurs chevaliers servants étaient déjà là. Agnès en prit un par la main et l’entraîna sans façon vers l’escalier. Ghislaine suivit sans mot dire, le bras de l’autre homme autour de sa taille, ce qui l’aida un peu à monter l’escalier. Le patron lança du bar :
- Et soyez sages, hein ?
À peine entrés dans la chambre, Damien et Agnès s’embrassèrent à bouche-que-veux-tu et basculèrent sur l’un des deux lits jumeaux. Ghislaine eut à peine le temps de réagir que Kevin l’enlaçait par-derrière en empaumant ses seins et en l’embrassant dans le cou. Elle fondit aussitôt. Le cou, c’était son point faible. Et ses seins étaient ultra-sensibles. Elle se laissa entraîner vers l’autre lit. Elle s’attendait à une entrée en matière un peu sauvage mais bien au contraire, le rustaud avait la main caressante. Et il embrassait bien. Ghislaine s’abandonna, se laissant tranquillement conquérir et explorer, indifférente au remue-ménage sur le lit d’à côté. C’était la première fois qu’elle allait faire l’amour dans la même chambre qu’un autre couple et cette perspective l’étonna sur elle-même.
Agnès, adepte occasionnelle de l’échangisme, avait déjà l’expérience. Mais pas elle. Lorsque Ghislaine émergea pour retirer son débardeur et déboutonner son bermuda, son amie était déjà nue, à genoux sur le lit face à son amant, lui aussi à genoux, la verge imposante offerte aux succions de la jeune femme. Cette vision fit aussitôt comprendre à Ghislaine qu’elle allait vivre un moment rare. D’autant que Kevin, nu à son tour et « terriblement poilu », se dit-elle, offrait son membre épais à sa bouche. Ghislaine ne se déroba pas et engloutit le gland violacé et dodu avec volupté, tout en finissant d’expulser son pantalon et son slip. La chambre s’emplit de bruits de succion et Ghislaine repensa aux ébats des deux motards au camping. Elle aperçut Agnès qui fourrageait dans son sac pour trouver ses inséparables préservatifs, lui en glissant un dans la main au passage :
- Tiens, je pense que ça va te servir, madame la décoincée, lui glissa-t-elle.
Mais pour l’instant, Ghislaine avait surtout envie de sucer en attrapant le regard de son amant, visiblement aux anges. Bon, elle n’avait pas trop perdu la main. Lorsqu’elle s’interrompit, Agnès avait pris de l’avance. Cuisses repliées, chevilles croisées autour des reins de son amant, elle recevait les premiers assauts, longs, profonds, presque paresseux de l’homme musculeux qui la possédait sans hâte, se tortillant comme un serpent comme si ses fesses formaient un huit multiplié. Ghislaine observa brièvement son amie avec curiosité. Elle la découvrait. Ainsi, c’était ça, une femme en train de faire l’amour. Ce corps frémissant, ce rictus sur le visage, cette voix de gorge illustrant le plaisir sexuel… À la fois indécent et excitant. Elle ne verrait plus jamais Agnès de la même façon. Elle avait toujours pensé que l’acte sexuel relevait exclusivement de l’intimité. Mais celui-ci, elle s’en rendait compte maintenant en regardant son amie riposter des hanches aux reptations de son baiseur, pouvait prendre une autre dimension, moins solennelle et plus ludique.
Kevin coucha Ghislaine en travers du lit et plongea son mufle dans la vulve déjà trempée de sa partenaire, laquelle ronronna de satisfaction. C’était exactement ce dont elle avait envie en ce moment présent. Allons, ces « bouseux » connaissaient mieux les femmes qu’elle le croyait. Sur le lit d’à côté, le rythme s’était nettement accéléré et aux grincements du lit répondaient les gémissements de plaisir de plus en plus marqués d’Agnès. Ghislaine eut alors envie d’être pénétrée à son tour. Elle se redressa et enroula le préservatif qu’elle n’avait pas lâché sur la verge congestionnée de son amant, accompagnant le mouvement manuel de sa bouche. Puis, cuisses ouvertes au bord du lit, elle ordonna :
- Viens, j’ai envie maintenant.
L’homme ne se fit pas prier et s’enfonça comme dans du beurre dans la vulve de la blonde qui se cambra et rua à sa rencontre. Puis elle se calma, craignant de faire jouir trop vite son partenaire. Celui-là, elle allait le faire durer, pas comme les autres, les Parisiens trop pressés. À quatre pattes en travers du lit, Agnès se faisait posséder par-derrière, en levrette. Ghislaine l’imita et les deux amies se retrouvèrent dans la même position, face à face, presque museau contre museau, leurs deux amants s’activant les mains crispées sur leurs hanches. Agnès lui tira comiquement la langue avant de lui lâcher, entre deux soupirs :
- C’est bon, hein ? On a tiré deux bons numéros !
Ghislaine ne lui répondit que par un sourire, trop préoccupée par ce qui se passait en ce moment dans son bas-ventre surchauffé. Elle laissait l’homme dicter sa loi puisqu’il savait si bien s’y prendre. Devant elle, il y avait du changement. Agnès chevauchait maintenant Damien en couinant. Pas discrète, la copine. Et justement, on tambourina sur le mur dans la chambre d’à côté. Deux couples qui baisent dans la même pièce, forcément, ça fait du bruit. D’autant que ça les stimule. Si bien que cinq minutes plus tard, on frappa à la porte. Kevin se détacha de sa partenaire, s’enroula d’une serviette de toilette et alla ouvrir alors que Ghislaine s’était glissée sous les draps et que l’autre couple avait juste interrompu ses ébats, sans chercher à se cacher :
- De quoi, qu’est-ce qu’il y a ? tonna Kevin.
De l’autre côté de la porte, un maigrelet en marcel tenta une petite négociation, mais devant l’apparence massive et poilue de Kevin, battit prudemment en retraite, visiblement choqué par le spectacle du couple nu qu’il avait entraperçu.
C’est alors que, sans même s’être concertés, les deux hommes changèrent de lit et Ghislaine vit le long corps de Damien se glisser entre ses cuisses, cependant que Kevin possédait déjà Agnès qui gloussa de contentement. La grande blonde fut tentée de protester contre cette modification imprévue du scénario. Mais le beau corps de Damien lui fit instinctivement écarter les cuisses. Peut-être aussi l’alcool ingurgité un peu plus tôt effaçait-il ses inhibitions. Toujours est-il que son sexe parla pour elle. Après tout, elle était là pour baiser. La manière autoritaire avec laquelle son nouveau partenaire glissa ses bras sous ses jambes pour mieux s’enfoncer en elle, la pliant comme un portefeuille, leva ses ultimes réticences et emporta son adhésion.
L’homme la pénétra profondément, plus profondément que Kevin, au sexe plus trapu et, pour la première fois de l’après-midi, Ghislaine cria de plaisir. On n’était pas allé si loin en elle depuis très, très longtemps. À chaque coup de boutoir de son amant, elle répondait par une exclamation. Agnès, les bras tendus sous le dos, face à Kevin à genoux, évoluait comme en suspension, les hanches en folie. Le voisin en marcel n’était pas près de dormir. Après cinq minutes de ce labourage intime, Ghislaine sentit monter un orgasme inédit, ravageur, griffa les flancs de son amant qui arracha sa capote et fit gicler son sperme sur ses seins lourds et luisants de sueur. Haletante et comblée, la blonde se tourna vers son amie. Possédée maintenant en missionnaire, en proie elle aussi à l’extase, le visage grimaçant, presque méconnaissable, elle avait pris ses pieds avec les mains pour mieux s’ouvrir et recevoir les ultimes ruades de Kevin. C’est bien ce qui s’appelle prendre son pied, pensa Ghislaine. Le lit tangua sur ses bases, le couple cria à l’unisson… et ce fut fini.
Après la douche, la cigarette et les commentaires, les deux hommes les quittèrent avec promesse de retrouvailles le lendemain. On projeta une baignade à la rivière proche, « un petit coin tranquille où on n’a pas besoin de mettre un maillot », glissa Damien.
La perspective était alléchante :
- J’adore faire l’amour dans la nature, avoua Agnès.
Mais le lendemain matin, après une nuit plus longue que prévu, les deux filles convinrent qu’il était temps de repartir pour respecter le tableau de marche. Et sans dire au revoir à leurs amants de la veille, elles enfilèrent leur cuissard, coiffèrent leur casque et repartirent. Sur la selle, leur vulve leur faisait un peu mal :

- On est vraiment rouillées, constata Agnès, dépitée.
Mais le bien-être d’une bonne partie de jambes en l’air avec « deux bons coups », dixit Ghislaine, l’emporta sur la douleur. Longtemps, Damien et Kevin alimentèrent les conversations des deux filles, lancées vers de nouvelles aventures sur les routes (de plus en plus chaudes) du Sud-Ouest.
Après une journée sur les routes charentaises, Ghislaine et Agnès abordaient maintenant un secteur plus accidenté, celui des coteaux de Gironde. Elles avançaient beaucoup moins vite et ne pensaient qu’à se doucher, manger, boire frais et dormir une fois arrivées au camping. Tout alla beaucoup mieux lorsqu’elles basculèrent vers la plaine landaise. L’odeur des pins les enivrait. La lourde chaleur faisait renaître des envies masculines mais le désert des pinèdes leur ôtait tout espoir.
- Et si on s’écartait vers les plages en descendant le long de la côte ? proposa Ghislaine.
L’idée était alléchante. Qui dit plage dit possibilités de rencontres le soir. Mais il fallait d’abord contourner toute l’agglomération bordelaise et le bassin d’Arcachon avant de piquer à l’ouest. Et dans l’immédiat, une contrainte majeure se présentait : l’arrivée d’un gros orage venant justement par l’ouest.
- Jusqu’à présent, on y a échappé mais là, on y a droit, constata Agnès.
Dès les premières gouttes, elles sortirent leur poncho de leurs sacoches et affrontèrent vaillamment l’averse, laquelle se transforma vite en trombes d’eau. À moitié aveuglée, Agnès se laissa emporter vers le bas-côté, buta dans un trou et se retrouva couchée dans le fossé humide. Elle se releva en pestant. Rien de grave pour elle, juste une écorchure sur le tibia, mais la roue avant en avait pris un coup. Le pneu à plat et au moins deux rayons de cassés, à première vue, avec une roue voilée. Cela n’a l’air de rien, mais quand la roue se voile, on n’avance plus. Et pas un village à moins de vingt kilomètres dans cet univers sinistre de pins détrempés. Elles en étaient toutes deux à constater les dégâts et envisager le changement de chambre à air sous la flotte, perspective peu réjouissante, lorsqu’un gros 4x4 s’arrêta à leur hauteur. Un catcheur en sortit. Oui, un de ces types comme on en voit dans des émissions américaines, encore jeune, longs cheveux réunis par un catogan, boucle d’oreille, barbe de sapeur, tatouages des bras au cou, effrayant par sa masse. Il se dégagea de son véhicule en tee-shirt, sans la moindre préoccupation pour l’orage.
- Eh bé les filles, qu’est-ce qui vous arrive ? tonna-t-il avec un accent du Sud-Ouest prononcé.
Agnès, dégoulinante de pluie, montra sa roue avant.
- Allez, montez, je vous emmène d’abord au sec et on verra pour le vélo.
Avec une facilité dérisoire, il souleva les deux bécanes qu’il logea dans le vaste coffre. Les deux filles n’avaient même pas eu le temps d’en placer une, mais de se retrouver à l’abri leur convenait parfaitement. Et pour le reste, on verrait bien.
L’homme dit s’appeler Armand. Il exerçait la profession de sylviculteur et vivait dans un chalet typiquement landais au milieu des bois.
- Restez donc ici pour la nuit et demain, je vous emmène chez un vélociste qui va vous réparer votre roue en moins de deux.
Ghislaine et Agnès approuvèrent, sans avoir vraiment le choix. Elles se retrouvèrent dans une chambre tout en bois qui n’avait pas été balayée depuis des lustres. Un lit pour deux, ça irait. Mais le problème était ailleurs :
- Ce type, je ne le sens pas, murmura Ghislaine, on dirait un ogre, on a intérêt à faire gaffe. Il est vraiment costaud, il peut nous étrangler toutes les deux en même temps, s’il le veut.
- Mais ça va pas ? Tu te fais des idées, lui retourna Agnès, il a été vachement sympa en nous accueillant. Et quoi, tu me voyais rouler encore vingt ou trente bornes sous la pluie avec la roue à plat ? Encore heureux qu’il soit arrivé à ce moment-là.
Armand leur montra la douche, qui aurait mérité un bon coup de Cif. Les deux filles y allèrent avec précaution, chaussées de leurs tongs. Elles proposèrent à leur hôte de l’aider à faire la cuisine, à la fois par délicatesse et par précaution. Allez savoir ce qu’il allait nous proposer, ce type…
Devant les fourneaux, l’atmosphère se détendit un peu. Ghislaine prépara la salade et Armand proposa un confit de canard avec des patates sautées et des cèpes :
- Vous avez besoin de prendre des forces, vous êtes toutes pâlichonnes, plaida-t-il.
Oui, bon, pas vraiment le plat rêvé pour pédaler, et Ghislaine se demanda si elle n’allait pas perdre d’un coup en tour de taille le profit de plusieurs jours de sueur sur son vélo. Mais la bonne odeur de graisse chaude leva leurs faibles réticences. Armand servit le pastis avant de passer à table. Ses doses étaient impressionnantes et les deux filles eurent toutes les peines du monde à refuser de suivre le rythme. À la fin du repas, où les deux filles s’étaient régalées, l’hôte avait vidé à lui seul une bouteille de rouge et il enlaçait Ghislaine qui n’arrivait pas à s’en dépêtrer, toute menue malgré sa grande taille entre ses bras tentaculaires.
- Toi, tu me plais, j’aime les blondes aux gros nichons, lui dit-il sans ménagement.
L’affaire se corsait. Visiblement, l’homme des bois avait l’intention de mettre Ghislaine dans son lit dès le soir même. Il promenait sans vergogne ses grosses mains sur les seins de son invitée qui n’en pouvait mais. Agnès, mi-inquiète, mi-amusée, observait le manège. Profitant de la visite aux WC de leur hôte (on entendait son jet puissant à dix mètres), Ghislaine prit Agnès à part :
- Je ne reste pas ici avec ce blaireau, on se taille.
- Mais tu es dingue ? Tu as vu le temps ? Et puis, à moins qu’il ne tombe raide, il sera sur nous en cinq minutes avec son 4x4. N’oublie pas qu’on a besoin de lui demain pour réparer mon vélo. Restons ici cette nuit. Promis, je veille sur toi.
La pauvre Agnès et ses 55 kg ne purent pas faire grand-chose quand Armand prit Ghislaine dans ses bras, comme si c’était une enfant, et la conduisit dans son lit sans autre forme de procès. Jamais un homme ne l’avait baladée ainsi à la force des biceps. Elle se sentit comme l’héroïne d’un film de King-Kong dans les bras de la bête. L’impression n’était pas si désagréable. En tout cas, troublante. Cette forte odeur de mâle, ces muscles puissants, le côté animal du personnage amoindrissaient la résistance de Ghislaine, devenue toute molle. L’homme la déposa délicatement sur le lit et se mit nu. Ghislaine découvrit avec effarement un corps couturé de cicatrices et parsemé de tatouages. Entre ses jambes, un formidable pénis, totalement décalotté, se dressait vers le plafond. Ghislaine mit sa main devant sa bouche :
- Oh mon Dieu ! Agnès, au secours !
Dans l’encadrement de la porte, son amie éclata de rire :
- Eh ben, dis donc, tu ne vas pas t’embêter. De quoi te plains-tu, toi qui râles toujours contre les émasculés du Quartier latin ? Là au moins, tu es servie.
Et elle ferma la porte derrière elle.
La salope ! pensa Ghislaine. Elle me laisse seule avec ce faune en rut. Mais déjà, le colosse nu s’asseyait sur le lit auprès d’elle et caressait ses jambes, son ventre, sa poitrine, avec une certaine délicatesse qui la surprit. Elle ne résista pas quand l’homme lui prit la main pour la poser sur son dard. Il était brûlant. La jeune femme considéra qu’il était prudent d’amorcer un mouvement vertical. Si je ne le branle pas, il me bouffe, se dit-elle. Autant jouer le jeu, avec un peu de chance, il va éjaculer et me ficher la paix.
Mais le répit fut de courte durée.
- Fous-toi à poil ! ordonna le colosse à Ghislaine.
Elle s’exécuta, non sans fébrilité.
- Maintenant, suce-moi !
La plantureuse blonde engloutit le gland non sans difficulté, tant il était volumineux. Mais elle en aima aussitôt la saveur sauvage et la fermeté. Ses joues se gonflèrent et se creusèrent avec régularité. Le colosse s’abandonna, à moitié hors du lit. Ghislaine laissa sa langue se promener sur les lourdes parties génitales de son hôte, autant en découverte d’un phénomène rare que pour assouvir un désir. Le pénis avait pris maintenant un volume conséquent :
« Quelle bite, je n’ai jamais vu ça ! » pensa-t-elle.
Elle réalisa alors que cet engin avait toutes les chances de visiter son intimité dans les plus brefs délais. « Il va me couper en deux », pensa-t-elle. Mais l’homme l’attrapa par les hanches, s’allongea et la plaça droit sur son museau en lui écartant les cuisses. Ghislaine sentit une langue large et chaude prendre possession de sa vulve sans possibilité d’y échapper, fermement tenue qu’elle était par les mains puissantes du faune. Très vite, une onde de chaleur envahit son bas-ventre. Elle n’avait jamais pu résister à ça. D’autant que le colosse n’était pas malhabile et plutôt délicat. Il jouait de sa langue de gros chien avec son clitoris et ses lèvres, alternant léchages et succions. Ghislaine ferma les yeux et se surprit à onduler. Elle mouillait. L’homme relâcha sa prise.
Avec une facilité dérisoire, Armand souleva Ghislaine et la coucha puis se positionna pour la pénétrer. Moment critique. La langue, c’était une chose, le pénis en était une autre. Allait-elle se raidir, se bloquer, garder ses jambes hermétiquement fermées, hurler au viol ? C’est alors qu’Agnès apparut, un préservatif à la main.
- Détends-toi ma chérie, tu vas voir, ça va bien se passer. Armand est un gentil monsieur qui sait faire du bien aux dames, n’est-ce pas Armand ? Tiens, mets ça, c’est quand même plus sympa, dit-elle en lui tendant le latex.
L’homme grogna une phrase incompréhensible mais s’exécuta et Ghislaine, amadouée par la présence de son amie, se relâcha. Bras tendus de chaque côté de sa partenaire, le colosse s’insinuait entre les cuisses grassouillettes qui s’écartèrent d’abord imperceptiblement puis plus franchement. Quand le gland trouva l’orifice, Ghislaine laissa échapper un cri, plus d’appréhension que de douleur, car elle avait été magnifiquement préparée, elle était bien obligée de le reconnaître. Le chibre, maintenant profondément enfoncé dans son vagin mieux lubrifié, faisait bien son travail de chibre et les hanches généreuses de la blonde amorcèrent un roulement instinctif. Agrippées aux bras de l’homme, Ghislaine commença à se détendre, cherchant le regard d’Agnès qui l’assistait comme une garde-malade.
- Reconnais que c’est bon, coquine, lui glissa-t-elle à l’oreille.

A suivre...

Le renouveau Printanier... Faut aérer tout cela... Lol..

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