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Film de formation

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Pour apprendre à bien casser un cul


Je ne sais plus quoi faire

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Désolé mais je ne comprends pas pourquoi 
la diffusion des film est aussi aléatoire.
En fonction des jours et des navigateurs.
Si je ne  trouve pas j'abandonnerais 
mon petit Ciné club...

Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg.... Suite

Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg.... Suite

Ciné Club: Le sexe au cinéma

Histoire du net. Auteur: Muslimcefranc. Un Nouveau Monde

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Quand on trouve son Maître et qu'on se trouve...
Diégo...  Bien dans sa tête.... Bien dans mon cul.

Diégo
Auteur: Muslimcefranc
Tout commence le jour de mes 17 ans...
Je me présente, Hakim, rebeu bogoss, cheveux bruns ras, 1m85, 75kg, imberbe, monté 20cm en bandant, circoncis, gay actif, musclé par plusieurs années de natation... La natation, ma pratique sportive... C'est à la piscine que mon histoire prend naissance.
Entraînement, même le jour de mon anniversaire, le coach faisait chier ; mais bon, cela me permettait d'évacuer le stress du lycée. Je ne me considère pas comme une racaille, mais je suis toujours habillé en survêt, casquette et basket : la panoplie type ; ceci faisait peur à pas mal de mes coéquipier de l'équipe de natation, et m'attirait leur respect.
Après l'entraînement, j'aime traîner...
je porte mon super maillot de bain HOM, à la mode, certes pas pratique pour mon activité, mais tellement sexy : mon côté exhibitionniste. Il ne restait à la piscine que le coach dans son bureau avec le surveillant, 2 céfrans et moi... Un des céfrans est parti... moi je continue quelques longueurs... J'ai encore 2 heures à traîner avant de rejoindre la famille pour mon anniversaire.
Avec le dernier céfran, on se croise plusieurs fois en faisant les longueurs ; pas mal le type, la trentaine, brun, bel gueule, mal rasé, un peu typé, sûrement des origines latines... Le coach sort et me dit :
- Hakim, on ferme... Sors de là et va te changer ; j'suis pressé ainsi qu'Anthony (le surveillant).
- Coach, si vous êtes pressé, allez-y ; laissez-moi les clés, je fermerai, je l'ai déjà fait.
- Si tu étais seul oui, mais là...
Il me montre le céfran.
- Ok, Ok...
Le céfran sort de la piscine, direction vestiaire ; je suis en train de le suivre et là, mon coach me dit:
- Hakim, tiens les clés... Je compte sur toi... OK !
- Pas de problème, coach.
Là il sort avec Anthony. J'attends qu'ils partent en voiture et je ferme la piscine... Le céfran est déjà parti dans les vestiaires ; je prends la même direction. J'entends l'eau couler dans les douches, mais pas les douches individuelles, mais celles collectives ; là je vois le type de dos : sérieux, super mec, bien foutu, je vois son dos musclé, ses épaules larges, ses biceps et triceps, où l'eau s'écoule...
Je me dis : toi je vais t'avoir ; surtout que son boule est comme je les aime : petit et musclé. Certes, il est plus âgé que moi, mais cela ne me fait pas peur ; j'en ai baisé des mecs de la trentaine, même des pères de famille... Celui-là ne fera pas exception. Je pose ma serviette, garde mon gel douche et me dirige vers la douche à côté de lui... Je fais l'indifférent et commence à me savonner...
Là le céfran me demande :
- Excuse-moi, jeune homme, j'ai oublié mon gel douche, tu peux me prêter le tien.
- Pas de souci, M'sieur (j'aime jouer les mecs polis).
- Merci... Oh je me présente, Diego, et toi ?
- Hakim, M'sieur...
Là, je vois Diego, défaire le cordon de son maillot et l'enlever naturellement... Sa teub circoncise tombe ; elle mesure au bas mot environ 15cm au repos, je n’y crois pas... Il attrape mon gel douche et se savonne.
Moi, j'ai l'air con avec mon maillot ; allez, je me lance et l'enlève moi aussi... Diego me regarde me foutre à poil et me sourit ; je le lui rends... On se savonne pendant plusieurs minutes ; je le regarde le faire, et je sens son regard sur moi par moment... Voulant absolument me le faire, je passe à la vitesse supérieure, et me secoue le zboub afin de le titiller. Ma teub est bien raide, et je sens le regard de Diego sur moi...
Pas sur ma bite mais sur mon visage ; je le regarde et il sourit. Il me dit :
- Hakim, tu fais quoi là...
- Je me branle, Monsieur... Elle ne vous plaît pas.
- Là n'est pas la question, mais je ne suis pas gay.
- Et alors moi aussi (menteur)... Pourquoi vous ne le faîtes pas... Y'a pas de mal à se faire du bien...
Il ne répond pas mais garde son sourire ; je baisse la tête et je vois qu'il bande... Le salaud, sa queue est plus grosse que la mienne, mais moins longue... Putain, sa bite est un monstre...
- Tu es pressé, Hakim, me demande-t-il.
- Non, M'sieur...
- Alors suis-moi...
On quitte les douches, direction les vestiaires... On arrive devant son casier, il l'ouvre sort son sac et prends une petite fiole ; il me la tend.
- Tu connais ?
- C'est quoi ?
- Du poppers.
- J'en ai entendu parler, mais je n'ai jamais essayé...
- Ouvre-le et sniffe...
- Pourquoi ?
- Tu verras, t'inquiète je vais en prendre moi aussi... Cela décuple tes sens... t'es un mec ou pas ?
- Oui j'suis un mec...
Putain, il me nargue là... Allez, je me lance. J'ouvre la fiole et renifle le produit, et là... Une bouffée de chaleur m’envahit ; un truc de fou. Diego sniffe à son tour et me repasse la bouteille...
- Vas-y, recommence et plus longtemps...
Je recommence plusieurs fois, et je me sens bien. Je suis sur un petit nuage, complètement popperisé. Diego s'approche de moi, et là surprise, m'attrape la tête et me roule une putain de pelle...
Je me laisse aller, il me bouffe la gueule. Ensuite, il me fait mettre à genoux et me présente sa teub à sucer. Normalement je suce rarement, mais là sous l'emprise du poppers, je prends sa bite et je lui taille une pipe d'enfer, je bouffe son zboub.
- Mouais Hakim, c'est bien, continue... tu me fais du bien...
Je le suce pendant au moins 15 minutes, mais une suce de garce... je suis un peu déconcerté, moi qui d'habitude mène la danse, là je me laisse diriger par Diego...
- Hakim, reprends un peu de poppers...
Je me surprends à lui obéir ; ce truc est ouf. Je me lève et re-sniffe le produit... J'aime ça... Diego m'embrasse de nouveau à pleine bouche, puis mon cou, les oreilles ; je kiffe grave. Il me retourne, et m'embrasse le dos. Il m’appuie sur la tête et je me courbe... Il veut quoi là... Putain, il me bouffe le cul et là, une sensation de bien-être m'envahie. J'aime ça, et il fait cela bien. Je me surprends même à gémir... J'essaye de me ressaisir mais c’est trop bon.
- Hakim, allonge-toi sur le banc, sur le ventre.
Je me surprends à le faire… Totalement soumis… Diego reprend son travail sur mon boule et moi, je sniffe son popper…
- Hakim, ton cul est un délice…
Il me titille la rondelle, me lèche le trou du cul ; c’est trop bon… Je gémis de plus en plus… Je ne reconnais pas. Moi l’actif je me laisse dominer par ce mec… Je ne comprends pas. Je ne fais pas le lien avec le poppers, c’est pourquoi je continue à sniffer… Si j’avais su!
Tout est allé très vite… Sous l’emprise du poppers, je suis sous l’entière emprise de Diego. Il change son comportement…
- Putain, t’es chaude comme de la braise, ma p’tite salope…
Je me surprends encore ; Diego parle de moi au féminin, et m’insulte et JE NE FAIS RIEN. Il me donne tes tapes sur mes fesses, tout en continuant à me bouffer le trou et tout en m’insultant.
- Salope, t’es vraiment une p’tite salope Hakim… ou plutôt, Hakima…
Soudain, il se lève, prend son sac et sort du gel et une capote. Il me regarde et me sourit. Pour quelqu’un d’hétéro, il a du matos de « rattaye ». Il se met la capote, du gel dessus. Je comprends qu’il veut me baiser.
Là je ne suis pas d’accord, mais je ne suis pas assez rapide… Encore sur un nuage à cause du poppers, Diego est plus rapide et me coince. Il me dit à l’oreille…
- Je t’ai menti ; je suis gay… Et j’aime surtout me faire des mecs actifs dans ton genre. T’inquiète pas, je vais bien te faire mouiller ma p’tite salope.
Il appuie son gland sur mon trou, bien dilaté par ses soins, et il entre tout doucement… Je n’ai pas mal, au contraire, j’aime ; plus il entre, plus j’aime. Il commence tout doucement à me limer, pas de brutalités, avec art… Il sait y faire. Je prends mon pied… Je gémis ; je me surprends à gémir, mais pas comme un mec mais comme une femme… Ce n’est pas vrai, je gémis comme une femme. La tonalité est aigüe.
- Et bien Hakima, tu prends ton pied… T’aime ma salope, dis-le moi.
- J’aimeeeeee, ouiiiiiii…
- T’aime ça ma garce… Je vais faire de toi ma p’tite pute à moi, hein ça te dit…
Je suis en plein délire :
- Oui, Diego, je suis ta pute.
Et là, la douceur fait place à la brutalité… Je reçois une putain de claque sur la tête, puis sur les fesses… Je ne comprends pas :
- Attends, ma pute… Tu m’as tutoyé… t’es ouf toi…
Il sort sa queue d’un coup, me retourne et me met sur le dos, jambes relevés ; il me rentre de nouveau dans mon cul bien dilaté et bien large, d’un coup sec mais je kiffe… Il me fout une claque sur le visage, puis une autre :
- Je t’interdis de me tutoyer… Une pute respecte son maître… C’est soit Monsieur, soit Maître… et le vouvoiement de rigueur… Ok, t’as compris…
- Oui.
- Oui qui ?
Et encore une claque ; j’ai les joues en feu… Il me claque à la face…
- Oui qui ?
- Oui, Maître…
Ça y est, je vois son sourire, devenir une sourire pervers : il m’a dressé, et il le sait… Il attrape la bouteille de poppers, l’ouvre et me fait sniffer… Je repars… Il me défonce pendant des minutes, dans plusieurs positions ; le pire c’est que j’aime ça et… JE NE BANDE PAS… Je jouis du cul ; il a raison je suis femelle… Il m’a fait découvrir un truc de malade…
La sodomie dure plus de 30 minutes ; à un moment donné, je bandouille, mais je ne me touche pas… Le poppers agit bien, je prends mon pied du cul… Il sort sa queue, et retire sa capote, et me dit :
- Tu me plais Hakima, je veux que tu sois à moi, et d’ailleurs tu es à moi…
Et tout en regardant, il me met sa queue sans capote. Je le laisse faire. Je suis à lui… Il me défonce encore plusieurs minutes…
Il a une putain d’endurance, ce mec…
Et soudain, je sens de nouveau le plaisir monter ; je jouis sans me toucher, plusieurs jets, un me touchant le visage, un truc de ouf… Soudain, un bruit d’appareil-photo. Mon Maître Diego a pris une photo de moi en train de jouir avec son téléphone portable…
- Ma pute, t’as aimé ; ça se voit… sans te branler… j’suis un as, hein ma pute.
- Oui Maître.
Il prend encore quelques clichés. Quelques minutes après, dans un grand râle, il m’inonde les intestins…
- Une femme, ça s’engrosse…
Je sens sa semence en moi, c’est grave
- Mais t’inquiète, ma pute, je fais le test très souvent, t’as rien à craindre, j’suis clean… Maintenant tu es à moi…
J’suis naze ; je le regarde, il me sourit de nouveau de façon pervers. Je reçois de nouveau une claque sur la gueule, encore un mollard…
- Hakima, retourne toi tout de suite et montre-moi ta chatte…
Je m’exécute sans broncher. Aidé par le mélange de sperme, de gel et la dilatation, il entre trois doigts… Je kiffe et je gémis… Le quatrième arrive, suivi du pouce, de la main… Mon Maître Diego me fiste… J’ai un peu mal.
- Hakima, sniffe encore du poppers, et détends toi…
Je suis les conseils de mon Maître, et là la douleur fait place au plaisir… Soudain, il s’arrête, me fait lever et me roule de nouveau une pelle… Il me fait mettre à genoux et me dit :
- Maintenant, nettoie-moi ma bite… Ensuite nous irons nous doucher…
Je prends son zboub en bouche et le lui lave avec ma bouche. Après nous repartons vers les douches… Pendant que l’on se lave, il m’informe des décisions qu’il a prises pour moi :
- Hakim, à partir de maintenant tu es à moi ; je suis ton mec et toi ma femelle. Je t’appelle tu viens le plus rapidement possible ; je peux comprendre les impératifs liés à ton âge : la famille, l’école et la natation. Mais pour le reste, c’est avec moi que tu vois.
Je l’écoute attentif, sans le couper.
- Nous sommes en public, je t’appelle Hakim et toi, tu donnes du Monsieur… Nous sommes en privé, pour toi c’est Hakima, et moi…
Il attend ma réponse.
- Maître, lui répondis-je.
- C’est bien, t’as compris… Allez, on s’habille, tu me donnes ton portable et je te raccompagne chez toi en voiture ; Djamila doit m’attendre… Tu vas voir, tu vas l’aimer…
De retour aux vestiaires, on s’habille. Je rouvre la porte d’accès et la referme à clé derrière nous. Maître Diego me montre une BMW 320d cabriolet noire sur le parking… Je me demande qui est cette fille : sa nana ?
Et là surprise, au volant, un mec super canon, stylé racaille, débardeur et bas de survêt, musclé sec, casquette sur la tête… Il sort de la voiture, et nous regarde. Il s’adresse à Maître Diego :
- Bonsoir, M’sieur.
- Salut Djamil, je te présente Hakim ; il est comme toi ; il est au courant des règles…
- Bien reçu Maître, répond-il.
- Hakima, tu roules une pelle à Djamila, tout de suite, afin de sceller votre rencontre.
Djamel s’approche de moi et me roule une pelle directe ; je me laisse faire. Il se retire, me sourit :
- Enchanté, me dit-il.
- Moi aussi, lui répondis-je.
Maître Diego monte dans la voiture, s’installe au volant, Djamel à côté de lui et moi derrière…
- Maintenant les filles, vous faîtes parties de mon Harem… Aussi salope l’une que l’autre… Avec vous deux, je ne vais pas m’ennuyer. Hakima, dis-moi où tu habites…
Pendant que je lui explique, Maître Diego démarre et prend la direction de mon quartier ; Djamel me regarde, me sourit et me fait un clin d’œil…
Ma nouvelle vie de lope à céfrans commence…
…...................................
Pendant le trajet, j’écoute Maître Diego parler à Hakim… Mon esprit s’éloigne et je me rappelle de ma vie d’avant mon maître…
Il y a 2 ans, j’ai 19 ans… Je vis à Cergy-Pontoise, chez mes vieux, avec mes sœurs et mon petit frère… Je glande la journée avec ma bande ; on deale un peu pour gagner de l’argent. J’ai rien foutu à l’école, pas de diplôme mais je m’en fous…
Mes vieux m’assurent le gîte et le couvert ; je les domine, donc ils me foutent la paix, je fais ce que je veux… Je suis hétéro même si avec mes potes, on baise parfois un dep qu’on s’est chopé. J’aime surtout les culs serrés des p’tits bourges. J’ai ma régulière, Virginie… Cette salope, elle aime ma bite, 22 cm en érection ; j’aime quand elle me taille une pipe ; j’aime lui bouffer sa chatte avant de la baiser pendant plus d’1 heure dans différentes positions…
Un soir, avec ma bande, composée de 6 personnes, Youssef, Abdel, Karim, Ydriss, Michaël et moi-même, on décide d’aller sur Paris ; on prend le RER et on descend à Châtelet. Youssef décide que nous allions chez les « ratailles » dans le quartier du Marais, histoire de rigoler et d’éventuellement nous vider les burnes ; personnellement, j’avais vu quelques heures avant Virginie.
J’avais pas forcément envie de baiser. Dans le quartier, les potes se fendent la gueule, se moquent des folles ; moi, je m’en fous. Je sens un regard sur moi : un mec, la trentaine, nous mate ; il est en terrasse d’un café, avec 3 types. Ces derniers parlent ensemble, mais ce type ne semble pas prêter attention à leur conversation. Il regarde Abdel en train d’essayer d’emballer une folle ; son regard fixe m’intrigue et il me semble qu’il sourit de façon perverse. Abdel se prend une gifle phénoménale et les autres éclatent de rire…
La folle continue de se défendre et Abdel réplique… Tout le monde regarde, même les 4 types en terrasse qui se lèvent et se dirigent vers nous.
- Oh les mecs, vous faites quoi là ? demande un des 4.
- Mêle-toi de tes affaires, « rataille » ! répond Youssef.
Je me mets en position défensive ; nous sommes minoritaires en nombre, surtout que le café où se trouvaient ces mecs, est en fait un bar « Cuir » ; des molosses en sortent, attirés par l’altercation…
- Les mecs, on se tire, maintenant ! dis-je.
- Djamel a raison, rendez-vous au RER ! rajoute Ydriss.
Là, on se met tous à courir, poursuivi par des types baraqués ; j’suis pas lâche mais là, même notre bande ne fait pas le poids. Je me retrouve seul, mes potes sont partis dans d’autres directions. Je me retrouve devant le bâtiment le « Sun City », sauna… Je me retourne et vois un des types me suivre… Un seul visible, mais peut-être d’autres derrière. Allez, je me lance et rentre dans le sauna, histoire de me faire oublier et de les semer…
Cette décision me ramène à la réalité…
Maître Diego parle toujours avec Hakim ; nous sommes sur le périphérique ; je regarde mon Maître, il fait de même en continuant à parler. Il pose sa main sur ma cuisse : j’aime ce contact, j’aime mon Maître… Je lui souris et il me fait un clin d’œil…
Ce sentiment que j’éprouve pour lui, est la conclusion de ma décision d’entrer dans ce sauna…
J’entre et me dirige vers la caisse ; je paye ma place. On me donne une serviette, la clé de mon casier, une capote et un sachet de gel. J’ m’en fous, j’viens pas pour baiser mais pour me cacher et me faire oublier pendant quelques heures… Putain le monde aux vestiaires : il y a de tout, même quelques rebeus ; on me mate d’enfer.
J’arrive devant mon casier. Je commence à me dépoiler ; je sens des regards sur moi. C’est excitant. Je retire mon caleçon, ma queue est à la vue de tout le monde… Je me marre en voyant tous ces types baver dessus.
Soudain, je sens une présence à côté de moi… Je me retourne et là, je blêmis ; le mec de la terrasse de café est là. Je fais style de ne pas le connaître… Et lui ne semble pas me reconnaître. Je mets ma serviette autour de ma taille et file en direction des pièces du sauna.
Bon dieu, mais qu’est-ce que je fais là… Je tourne, on me matte, on bave d’envie en me voyant ; j’ai l’impression d’être une chose que ces mecs souhaitent avoir… Je rentre dans le Hammam, histoire d’être un peu tranquille ; dans le brouillard, je vois des mecs qui s’embrassent, qui se touchent ; d’autres se font sucer, voir se font mettre…
Putain ça fout la gaule, mais je veux pas baiser… J’suis pas là pour ça. Je sors de cette pièce de baise, et décide d’aller prendre une douche ; putain que cela fait du bien, je suis seul dans les douches.
- Alors tu t’éclates, racaille ? entendis-je derrière moi.
Je me retourne et là, je vois le mec de la terrasse de café, dans l’encadrement de la salle de douche.
- Pardon, comment tu m’as appelé, mec ? lui répondis-je.
- Racaille, pourquoi ce n’est pas ce que tu es ? Toutefois je ne connais pas ton prénom, donc…
- Je ne me considère pas comme une caillera, j’suis juste un rebelle, mec.
Il se met à rire…
- J’ m’appelle Diego et toi ?
- Djamel… Tu veux quoi ?
- Rien de particulier… J’ai l’impression que tu cherches à te cacher, non ?
Quoi lui répondre ? La vérité ou un bon et gros mensonge… J’en ai marre de ce lieu et j’veux rentrer, donc décision : la vérité.
- Oui je me cache… T’étais pas en train de me courser tout à l’heure…
- Pour la folle, non… Uniquement pour toi…
- Quoi ?
- Tu me plais ; et là c’était l’occasion de t’aborder…
- Diego, t’es ouf… J’suis pas PD.
- Et alors ?
- Tu veux que j’ t’baise ? C’est ça ?
- Viens avec moi. Tiens, ta serviette.
Je lui prends ma serviette qu’il me tend. Je la mets et le regarde…
- Viens avec moi…
- Pour aller où ? Moi je me casse d’ici si t’es pas là pour moi… Je rentre chez moi.
- Ok. Je te dépose. T’es d’accord ?
Ce mec est trop ; il veut ma bite, là j’en suis sûr… Allez Djamel, passe en mode actif. Je m’approche de lui ; je le toise… Il fait de même… Putain le regard ; il est impressionnant, mais je me démonte pas. J’appuie ma main sur son épaule, et le fais mettre à genoux… Il en veut le mec. Il tire sur ma serviette, et mon zboub apparaît ; je bandouille. Il approche sa bouche du gland et le gobe… Putain c’est bon ; sa bouche est chaude…
- OK, Diego. Je te suis…
Il se relève, je remets ma serviette et on prend la direction des vestiaires. On se rhabille et on sort.
- Ma voiture est par là ; On va chez moi.
On arrive devant sa caisse, une BMW 320D cabriolet noire ; on monte.
Sans le savoir, je vais en direction de mon destin…
…..............................................
Putain… il fait noir… Je ne distingue rien ; j’ai mal au crâne… J’ai l’impression d’avoir un bandeau sur les yeux. Je veux essayer de passer ma main sur mon visage, mais je ne peux pas. Mes mains sont attachées, de même que mes jambes ; d’ailleurs elles sont relevées… Où suis-je ? J’essaye de me souvenir… Putain de mal au crâne. C’est quoi dans ma bouche…
- Hummm, hummmm, fais le son qui sort de ma bouche…
J’essaye d’appeler au secours, mais le seul son que j’entends c’est ce « hummmm ».
Djamel, rassemble tes souvenirs, essaye de te rappeler… Oui ça y est : Diego… En sortant du sauna, nous avons pris sa voiture ; il voulait me ramener, mais une fois dans sa caisse, nous avons pris la direction de sa maison, près de Versailles ; une maison bourgeoise, avec du terrain tout autour. Nous nous sommes installés dans son salon ; il m’a offert un verre, et tout en savourant cette vodka, il m’a sucé… Puis le trou noir…
- Hummm, hummmm…
- Je vois que tu es réveillé ma belle.
Cette voix, c’est Diego ; « ma belle », qu’est-ce qui lui prend de me parler comme ça… Le bandeau m’est enlevé et là je distingue Diego ; je regarde autour de moi. Je suis allongé sur un sling, en jocktrap en cuir, mes bras et mes jambes attachés ; Diego est torse nu, avec comme seul vêtement un slip en cuir. Nous sommes dans une pièce spéciale.
- Hummm, refais je.
- Oui, ma belle ; tu ne peux pas parler. Je t’ai installé un bandeau spécial sur ta bouche ; il permet de garder la bouche ouverte ; tu vois le trou à l’intérieur permet à une bite de rentrer : conséquence la personne qui le porte n’a pas le choix, elle doit sucer…
Il est zarbi ce mec… Putain, il enlève son slip ; il bande… Sa bite est énorme. Il s’approche et me tourne la tête ; il entre sa bite dans le trou spécial ; je sens son gland sur ma langue. Il enfonce sa bite entièrement : putain il me fait faire une gorge profonde…
J’étouffe, des larmes coulent sur mes joues mais il continue… Il me viole la bouche. Cela dure plusieurs minutes ; il m’a humilié… Je ne suis pas un dép ; je ne suis pas un mec qu’on baise ; c’est moi qui baise…
- Ma p’tite beurette, je vais t’expliquer quelque chose… Pendant que tu dormais, je t’ai rasé ton pubis, tes couilles et ton cul ; je t’ai mis ce jock, car dorénavant ce sera les seuls sous-vêtements que tu porteras. Tu dois te dire, pourquoi je pense cela ? Car une fois que j’en aurai fini avec toi, tu seras à moi et tu feras tout ce que je voudrai ; ça c’est une certitude…
Diego s’approche de moi ; il me montre une petite fiole… Je crois reconnaître ce que c’est. J’ai déjà vu un des pédés que j’ai baisé en sniffer : c’est du poppers. Il met la bouteille ouverte face à mon nez et me bouche une de mes narines ; j’évite de respirer par le nez et le fais par la bouche.
- Djamel, je vais te donner un conseil : sniffe, sinon tu vas déguster…
Je ne comprends pas ce qu’il veut dire mais je ne cède pas…
- Ok Je vais te montrer…
Après ces paroles, Diego me remet sa bite en bouche, et recommence une gorge profonde ; je n’ai pas le choix que de respirer par le nez, et donc de respirer le produit, Diego ayant remis la bouteille face à moi… Putain la bouffé de chaleur, ma tête me tourne un peu… Diego me fait sniffer plusieurs fois… J’ai l’impression d’être sur un nuage… Ce produit est bizarre et me rend bizarre… J’arrive à supporter ses assauts dans ma bouche ; pire, cela commence à m’exciter…
- Oui Djamel, c’est bien ; tu vois, il suffit de peu de chose pour que tu comprennes…
Diego se retire et se dirige face à moi ; il a une vue sur mon corps, sur mon jock, sur mon cul… Il s’abaisse ; je sens sa langue sur mes fesses. Elle se dirige vers mon trou : putain il me bouffe le cul.
- Haaaaaaaaaaaaaaaaaa, m’entendis-je.
- « Ha », cela change de « hummmmmmmmmmm », tu aimes ça, répondit Diego.
Je sais si c’est le poppers, mais cette sensation est bonne. Diego me bouffe le trou ; il rentre et sort sa langue. C’est bon. Jamais je n’aurais cru aimer cela… Moi Djamel, l’hétéro, j’aime me faire bouffer le cul. Diego me fait cette feuille de rose pendant au moins 15 minutes ; mon trou est dilaté. Plusieurs fois, il m’a refait sniffer son produit. Je me suis totalement ouvert. Il me retire le bandeau.
- Alors mon p’tit beur, tu aimes ça…
- Putain, t’es grave mec ; tu as de la chance que je sois attaché.
- Tu aurais fait quoi : me casser la gueule. Djamel, tu aimes ça ; tu bandes…
Putain, c’est vrai ! Je bande comme un âne.
- Tu viens de te découvrir ; tu aimes te faire dominer. Et tu vas devenir ma chose…
- À l’aide, au secours, gueulais-je.
- Tu peux hurler… Cette pièce est en sous-sol ; dans ma propriété. Personne n’est là sauf nous deux.
- Arrête mec. Je suis hétéro, un actif ; j’ai une copine…
- Ah bon… Mais là, tu vas devenir homo et passif…
- Non, s’il te plaît, pourquoi tu fais ça Diego.
Soudain, je reçois un aller-retour sur mon visage.
- Dorénavant, quand tu t’adresses à moi c’est Maître, et tu me vouvoies.
- Va te faire foutre, sale con !
Deuxième aller-retour ; je serre les dents. Il me crache à la figure ; je fais de même. Troisième aller-retour. Mes joues sont en feux… Quatrième, suivi du cinquième.
- Alors… me demande-t-il.
Je serre les dents. Je ne dis rien. Sixième, Septième… Je cède…
- Maître, s’il vous plaît, arrêtez…
- C’est bien ma beurette… Ça rentre dans ta p’tite tête… Maintenant tu vas être docile ; tu vas bien sniffer le poppers. Je vais légèrement desserrer tes liens au niveau de tes mains et les mettre au niveau des coudes. Comme ça tu gèreras ta sniffe comme tu le sens.
Après avoir fait ce qu’il m’a dit, il se retourne vers mes fesses. Il positionne sa bite raide face à mon trou. Je serre les dents, me popperise à fond et pousse à max. Sa bite entre comme dans du beurre ; j’ai mal mais je ne dis rien.
- Ton cul est bon, ma belle ; je vais tellement bien te bourrer ta chatte que tu me demanderas de recommencer. Tu vas aimer ça être ma chienne…
Il m’a baisé pendant une heure… Oui, je vous l’assure, pendant une heure… Il m’a bourré ma chatte et oui j’ai aimé… Oui, je lui ai dit pendant notre baise que j’aimais ça. Pendant qu’il me baisait, il s’est penché, m’a regardé dans les yeux ; ce regard, le même qu’il avait sur la terrasse du café. Ce regard qui m’avait hypnotisé. Il m’a embrassé, et je me suis laissé aller. J’ai joui… Certes il m’a branlé plusieurs fois, mais j’ai joui sans me toucher… Un orgasme tellement puissant, que plusieurs jets de sperme ont atteint mon visage. Lui, il s’est vidé en moi, pour marquer son territoire m’a-t-il dit.
- T’inquiète ; j’suis sain. Je fais le test tous les mois et toi ?
- Je n’ai jamais baisé sans capote, Maître.
- C’est bien. Maintenant tu es à moi, Djamila. Ok ?
- Oui Maître.
Il me détache ; je suis debout, nu, face à lui ; il me regarde. Je baisse la tête, me mets à genoux et lui lèche les pieds… Je ne reviens pas de ce que je fais… Il ne me l’a même pas demandé d’ailleurs. Je le fais d’instinct. Je suis à lui.
- C’est bien Djamila. Deux règles s’imposent à toi dorénavant : La première, en public c’est Monsieur, et toi Djamel. En privé c’est Maître et toi Djamila. Le vouvoiement, toujours de rigueur… La deuxième, tu fais tout ce que je veux ; d’ailleurs tu t’installes ici avec moi. Une nouvelle vie s’ouvre à toi ; j’ai besoin d’un majordome. Ok ?
- Oui Maître.
- Parfait…
Il me montre ma chambre?; une superbe chambre… Rien ne manque : superbe lit, commodes, table de nuit, télé, HI-FI, cabinet de toilette privé… Dans l’armoire, quelques fringues à ma taille, il me semble… À croire qu’il m’attendait.
Nous dormons ensemble et je me blottis sur son torse, je suis bien. Le lendemain, nous arrivons dans ma cité. Je rentre chez mes parents et je prends mes affaires.
- Tu nous quittes fils, dit mon père.
- J’ai trouvé du boulot à plein temps.
- C‘est vrai ? demanda ma mère.
- Oui… une place de majordome sur Versailles.
- C’est bien mon fils, répondit mon père.
Je les embrasse et leur demande de dire au revoir à mon frère et à mes sœurs. Maître Diego m’attend à côté de sa voiture et il me regarde pendant que je me dirige vers lui.
- Ce ne sont pas tes potes là-bas, me demanda-t-il en montrant du doigt un groupe de jeunes.
Karim et Abdel…
- Oui Monsieur…
- Appelle-les.
- Pourquoi??
- Tu discutes mes ordres ?
- Non Monsieur. Oh les mecs!
Ils m’ont vu et se dirigent vers nous.
- Djamel, t’étais où, me demanda Karim.
- Je vous présente, Monsieur Diego, les gars, leur dis-je.
- T’es zarbi Djamel, bonjour Monsieur, répondit Abdel.
- Bonjour les jeunes, une question… Ça vous intéresse un boulot pas chiant et bien payé?.
- Bien sûr, dirent-ils de concert.
- Tenez, allez à cette adresse de ma part. Toi tu demanderas Pierre, et toi Philippe. Ok??
- Ok…
- À plus les garçons! Djamel, on y va.
Je monte dans la voiture, fais signe à mes potes, et nous partons en direction de mon nouveau foyer.
- Je peux vous poser une question Maître??
- Je la connais déjà, Djamila. Pierre et Philippe sont comme moi?; d’ailleurs, tu les as aperçus hier au bar. Bientôt, tes potes s’appelleront Karima et Abdale.
Je souris et Maître Diego le vit. Il me passa sa main sur ma tête et me secoua cette dernière de façon amicale.
- Tu es content à ce que je vois, me dit-il.
- Cela veut dire que je vais les revoir bientôt Maître.
- Exact… Et comme toi, ils vont aimer être des chiennes.
Je suis heureux…
Je sors de mes pensées et de mes souvenirs. Maître Diego a arrêté la voiture. Nous sommes dans un lotissement de maisons individuelles dans Versailles. La maison devant laquelle nous nous sommes garés est belle avec un jardin devant et derrière?; de la lumière sort par les fenêtres, indiquant des personnes à l’intérieur, sûrement les parents d’Hakim. Maître Diego se retourne et s’adresse à ce dernier.
- Je t’appelle bientôt, Hakima.
- Oui Maître! À bientôt Djamel.
- Salut mec, lui répondis-je.
Hakim se dirige vers l’entrée de la maison, se retourne et nous fait signe. Notre maître lui répond et il rentre. Nous repartons?; mon téléphone portable vibre, je regarde qui m’appelle : Virginie.
- C’est qui??
- Virginie, Maître, répondis-je.
- Tu ne réponds pas ?, demanda-t-il.
- Pour lui dire quoi??
- T’es pas sympa avec elle; tu devrais rompre.
- Si je ne réponds pas, elle comprendra d’elle-même.
Maître Diego s’arrête sur le bas-côté. Il me regarde. Je lui souris.
- Elle comprendra quoi, Djamila?? Cela fait deux ans que tu la mènes en bateau à ne pas répondre.
- Que je ne veux plus la voir, que c’est fini.
- Et pourquoi??
- Parce que je vous ai, vous, mon Maître??
- Et??
- Que je suis à vous?! Et non à elle?!
- Et??
Il me sourit?; il rapproche son visage du mien. Il m’enlève ma casquette.
- Et?? Insiste-t-il??
- Que je vous aime, mon Maître.
Maître Diego m’embrasse, il me roule une pelle comme si sa vie en dépendait. Oui, je l’aime?; je suis à lui. Il se retire et redémarre.
- Tu lui envoies au moins un SMS. Tu lui dis que c’est fini ok ?
- Oui Maître.
Et pendant que j’écris ce message, il me dit : « Ce soir, on est invité chez Pierre, mon pote?; il veut nous présenter sa dernière trouvaille. » Je rigole et mon Maître fait de même.
- Elle s’appelle Karima, c’est ça, Maître?
- Tu as deviné juste, ma belle?; Pierre souhaite que tu la prennes comme une chienne.
Je le regarde, étonné.
- C’est un cadeau que je te fais?; c’est grâce à toi que nous avons de nouvelles recrues. Et d’ailleurs, tes autres potes, Youssef, Ydriss et Michaël, ils sont dressés aussi.
Je rigole de plus belle?; mon fou rire entraîne Maître Diego. Nous rigolons pendant plusieurs minutes tous les deux. Ma bande de potes, tous devenus des lopes à céfrans, excellent.
- Et les autres aussi, je vais pouvoir me les faire, demandais-je.
- Ça peut s’arranger, Djamila?; Pourquoi, y’en a un que tu veux te faire en priorité ?
- Oui, Ydriss?; il a un cul d’enfer.
- Ok. Arrivé à la maison, j’appelle son maître.
- Merci Maître.
Nous arrivons chez nous, la voiture garée dans l’allée, nous rentrons dans la maison. Les domestiques ne sont pas là, je leur ai donné leur soirée.
Maître Diego est devant moi. Je m’arrête et lui dis :
- Maître, baisez moi maintenant, s’il vous plaît?!
Il se retourne, s’approche, me retourne, me baisse mon survêt et me la rentre direct. Rien que le fait de lui demander, le fait bander. Putain, c’est bon! Je sors ma bouteille de poppers de ma poche et je sniffe. Je suis aux anges. Je m’appuie contre le mur; il m’attrape la tête, la met en arrière et me roule une pelle d’enfer. Ces coups de butoir me font couiner ; il prend plaisir à sortir entièrement sa queue et à la rentrer d’un coup sec. Et à chaque fois, je pousse un couinement. Je jouis, sans bander et sans me toucher; j’inonde mon jockstrap. Je suis une vraie salope. Maître Diego vient à son tour, et m’inonde les intestins.
Mon téléphone vibre?; j’ai reçu un SMS de Virginie : « Sale con ».
Non Virginie maintenant c’est « Sale connasse ».
Je ris tout en montant les escaliers pour aller me laver; je me retourne et je vois mon Maître en bas. Il me regarde, me sourit; il a ma vie, il a mon cul, il a mon cœur, il a mon âme…

Les productions de votre serviteur

Histoire du net. Auteur: Julien. Les aventures de Martine...

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Une série de vieux textes cultes.
Julien a beaucoup écrit sur sa maman Martine

Martine Première.
Bonjour à tous, c'est encore moi, Julien, 20 ans et étudiant en fac de lettre. C'est avec une certaine excitation que j'ai décidé de vous raconter la suite des événements consécutifs à cette soirée un peu particulière que j'ai passé avec ma mère.
J'ai toujours eu la manie d'emporter mon ordinateur portable et ce, même en vacances. J'ai pu donc m'atteler à l'écriture de ce texte relatant les derniers exploits de ma mère, Martine. Je viens de réussir mes examens de passage en seconde année.
Ma copine, Laetitia, est partie pour le mois en Corée et je suis actuellement en vacances dans le sud de la France. En effet, mon père, Dominique qui est cadre supérieur, nous a proposé, à maman et à moi, de passer quelques jours dans une maison secondaire prés de la mer. Son travail lui prend beaucoup de son temps mais il a promis de nous rejoindre la semaine suivante.
Ma mère et moi, nous acharnons à redonner un semblant de civilisation à la petite maison de vacances. Cela fait pas mal de temps que nous n'y avons pas mis les pieds et le jardin est dans un état pitoyable. Mais rassurez-vous, nous savons profiter du soleil et de la plage.
D'autant plus que ma mère a vaincu sa timidité et n'hésite plus à porter des maillots de bains. Ma mère s'appelle Martine et est à l'origine une bourgeoise puritaine, fidèle à mon père et très axées sur les principes moraux. Mais suite à de multiples évènements, elle a changé.
Elle est devenue beaucoup plus cool et depuis notre nuit torride, elle se lâche davantage. Maman est une femme mature d'1m64, très bien conservée et qui va sur ses 47 ans (Elle paraît en avoir 35). Elle est brune, coiffée au carré et aux yeux noisettes.
Son visage n'a presque pas de rides et elle a une belle bouche aux lèvres charnues qu'elle aime colorer en rouge carmin. Elle a un très léger embonpoint au niveau des hanches et des cuisses car elle a eu deux enfants, moi, Julien et ma sœur cadette, Catherine (qui vit avec son copain).
Cela ne l'empêche pas d'avoir un postérieur et des jambes superbes. J'ajouterai également qu'elle possède de très gros seins et dont elle avait honte au départ. A la plage, les hommes de tout âge (même ceux qui sont avec leur femme ou copines) la matent tous sans exceptions avec des yeux concupiscents. Elle en a conscience et elle aime se sentir désirée.
Ses maillots mettent en exergue tous ses atouts de femme. Ses seins énormes ballottent et menacent à tout moment de jaillir de son haut de maillot bleu et sa démarche est sensuelle voire provocatrice. J'ai donc plaisir à parader au coté de cette femme sexy, semblant sortir tout droit d'un film x et qui plus est ma propre mère.
Elle m'invite à lui passer de la crème solaire sur son dos. Je prends mon pied à la toucher et les pensées les plus salaces m'assaillent. Il est dommage qu'elle n'aime pas se baigner et préfère bronzer sous les regards vicieux des mâles avoisinants. Ma relation avec ma mère est devenue déroutante car depuis la nuit dernière, j'ai tendance à la voir comme une amante plus qu'une mère.
Son corps me fait terriblement envie, certes, mais j'ai encore le blocage du tabou de l'inceste. ( Souvenez-vous, j'étais bien saoul à ce moment là et donc désinhibé) chaque fois qu'elle m 'embrasse, j'ai une érection du tonnerre et je deviens tout rouge de honte.
Maman rit de cela et elle semble bien moins affecté de notre partie de jambes en l'air que moi. Elle a changé et j'ai du mal à reconnaître la bourge austère et prude, la femme fidèle de mon père, qui m'a donné naissance et élevé pour être quelqu'un de bien.
Elle est presque devenue une nouvelle femme. Nous revenons de la plage et prenons un petit cocktail bien corsé sur la table de la pelouse. (Ces derniers temps, maman et moi picolons pas mal)
Il fait beau et ma mère et moi sommes en maillot de bain dans le jardin . Comme d'habitude, chauffé par l'alcool, nous nous mettons à parler de sexe. J'apprends de sa bouche que la nuit dernière a été une révélation pour elle et que désormais elle irait plus loin en ce qui concerne le cul.
Elle ne m'en veut pas et loin s'en faut d'avoir forcé les choses. Elle regrette amèrement ces années passées à se mentir à elle-même et à jouer à la sainte ni touche bourgeoise et fidèle. Je fais semblant d'être outré lorsqu'elle me parle du viol collectif dont elle a été victime l'année dernière dans la cité où habite mon ex-copine, lucy. (Souvenez-vous, j'étais présent)
L'acte, certes violent, avait provoqué un petit déclic et réveillé ses pulsions et fantasmes les plus inavoués. Ma mère ose même me révéler qu'elle cherchait inconsciemment à se faire violer ce jour là.
Choqué mais terriblement excité par de tels aveux, je sens en moi une vague de chaleur bien perverse monter en moi. Il est hors de question de lui révéler mes actes de voyeurisme mais j'éprouve un intense désir de l'aider dans sa volonté de dépravation.. Je me mets donc à la convaincre d'aller de l'avant et que je serais désormais et si elle le voulait bien, son complice et amant à l'occasion. Je serais son meilleur témoin en cas de problèmes d'éventuels bruits arrivant aux oreilles de mon père.
Nous tenions tous les deux, à garder la cohésion familiale et même si ma mère s'engage à tromper papa, je sais qu'elle l'aime. Les yeux de maman s'illuminent en entendant ma proposition. Une joie immense éclaire son visage et le fait que moi, son propre fils, partage et désire participer à son désir de dépravation lui réjouit le cœur. Elle avance sa tête et m'embrasse tendrement sur la bouche tout en me faisant du pied.
Dans un premier temps sa jambe nue me caresse les cuisses de façon très significative pendant que ses lèvres titillent les miennes. Je commence à bander très sérieusement d'autant plus que ses doigts de pied commence à me masser le sexe.
Elle sourit et m'embrasse de nouveau. Au contact de ses lèvres, je ne peux plus me retenir et je lui roule un langoureux patin. Elle me le rend telle une femelle en chaleur. Nos langues se mêlent et mes mains se plaquent contre ses deux gros seins laiteux que je pétris sans perdre une seconde.
Ils sont chauds et en les soupesant, je sens facilement ses tétons qui durcissent à travers le maillot. L'odeur de crème solaire qui émane de son corps me stimule. Maman baisse mon caleçon blanc et s'empare de mon sexe qu'elle commence à branler de plus en plus vite avec sa main experte. Je sens que je vais éjaculer surtout qu'elle l'a enfourné dans sa bouche gourmande.
Ma main se pose sur sa tête et accompagne ses va-et-vient. Mes efforts pour me retenir sont gigantesques et sous l'impulsion, je plaque cette superbe femme en maillot de bain sur l'herbe fraîchement coupée. Comme la nuit dernière, je lui arrache très violemment son slip de bain bleu que je jette le plus loin possible et la pénètre de toutes mes forces.
Elle écarte largement les cuisses et son sexe, dont les lèvres sont déjà bien humides, accueille mon mandrin ainsi que mes coups de boutoir particulièrement violent. Maman gémit de plaisir lorsqu'elle sent ma semence profane et chaude entrer en elle par grosse saccade. J'ai plaisir à me lâcher en elle de façon si brutale. Je réalise que mon attitude est plus bestiale avec ma mère qu'avec ma copine ou mes ex.
Avec mes copines, il y'avait le sentiment amoureux et le désir de faire de beaux préliminaires. Pour maman, c'est différent. J'ai vraiment envie de la baiser le plus sauvagement possible et je crois que c'est cela qu'elle attend de moi. Ainsi, je suis au-dessus d'elle, les mains posés sur ses gros nichons entrain de la baiser comme une chienne en manque dans le jardin familial.
Je n'ai même pas fait attention au voisinage et par chance, il n'y' a personne qui nous voit. Les couilles vidées, je me retire d'elle la laissant sur le dos, la chatte à l'air, reprendre ses esprits. Je regrette un peu de m'être lâcher aussi rapidement mais j'étais si excité.
Je rentre m'asseoir sur le petit canapé du salon pendant qu'elle se relève et récupère les restes de son slip de bain anéanti. Elle semble un peu frustrée que cela ne dure pas plus longtemps et, toujours la chatte à l'air, se verse un verre. Je sens qu'elle n'est pas satisfaite. Je lui propose d'aller faire un tour en ville, le temps que je reprenne des forces. Elle ne me répond pas et file prendre une douche.
Le soir, nous prenons un petit repas dans le jardin où nous avions baisé il y'a quelques heures. Elle est en t-shirt moulant et en short. Maman est un peu ailleurs et je suis persuadé qu'elle n'a pas été satisfaite, qu'elle n'a pas eu sa dose de sexe.
Inutile de tourner autour du pot, un seul gars ne peut plus la satisfaire désormais et elle sent dans son bas ventre une étrange sensation comme un effet de manque. Elle sent que ses seins et notamment au niveau de ses tétons, un besoin d'être touché ou pincé. Elle finit par se lever et me dit :
- Julien, si nous allions en ville ' Je ne suis pas venue en vacances pour rester cloîtrée dans la maison !
Je lui donne raison et elle file se changer dans sa chambre. Je suis loin de me douter de ce qui va se passer….Ma mère, comme à son habitude, prend son temps et au bout d'une bonne demi-heure, la voilà qui avance vers moi tout en arborant un immense sourire.
En la voyant, les bras m'en tombent. J'ai l'impression d'avoir en face de moi, la dernière des salopes. Elle s'est maquillée de façon outrancière avec son fidèle rouge à lèvres carmin. De plus, elle dégage une forte odeur de parfum féminin qui ne peut laisser indifférent la gent masculine.
Coté vêtements, elle n'a jamais fait aussi fort. Sa mini jupe en cuir noir lui couvre tout juste les fesses et elle est très moulante car elle épouse les formes de son cul. Ses jambes sont à l'air et elle porte de belles sandales noires à talon aiguille lui donnant quelques centimètres de plus.
En ce qui concerne sa poitrine, c'est à la limite de l'indécence. Elle a choisi de mettre pour seul haut, un soutient gorge balconnet noir en lycra. Ses seins déjà énormes, sont compressés et ressortent par le haut comme deux ballons comprimés fortement entre eux.
- Comment me trouves tu, mon chéri ‘
Me demande t'elle de façon ironique. Je bégaye un peu mais finis par me ressaisir
- Heu, ne crois-tu pas que cela est un peu exagéré. Pourquoi ne pas remettre tes vêtements d'hier ' Ils étaient superbes et moins provocants !
Elle sourit.
- Ecoute, Julien, prenons un dernier verre et sortons ! Je te dirais quelque chose en cours de route !
Ma mère semble déterminée à sortir vêtue de la sorte et il est inévitable que la fin de soirée risque d'être chaude. Nous avalons un dernier verre et direction la ville. Cela pris beaucoup de temps car maman avait du mal à marcher à cause de sa minijupe en cuir beaucoup trop courte.
Ses talons à aiguilles attirent immédiatement l'attention des hommes aux alentours et lorsque ceux ci matent l'étalage des atouts de ma mère (et en particulier le ballottement provoquant de ses énormes seins), ils n'hésitent pas à lâcher quelques quolibets bien salaces à son encontre. Plusieurs fois, elle s'est fait aborder malgré ma présence et plusieurs fois, j'ai eu peur qu'elle se fasse violer en pleine rue et aux yeux de tous.
Ma mère est restée délicieusement impavide devant cette menace. Nous nous arrêtons finalement en face d'un bar de nuit assez crasseux et décidons de boire quelques verres. Bien sûr, maman fait son petit effet en entrant dans le rad.
Les clients cessent de parler subitement et fixent son corps de façon insistante tout en buvant leur verre d'alcool. Il est encore tôt et nous trouvons de la place sur une petite table. Le temps passe et l'endroit commence à grouiller de monde
- Au fait, qu'est ce que tu voulais me dire tout à l'heure’
Elle me regarde et avance la tête pour me susurrer un petit quelque chose à l'oreille. Ce qu'elle me révèle me choque et cela à pour effet de la faire sourire. Me voilà pris d'une envie pressante d'aller aux toilettes.
Je m'excuse auprès de ma mère et elle m'annonce qu'elle va en profiter pour commander au comptoir. A mon retour des w.c, ma mère n'a toujours pas fini de commander.
Et pour cause, en regardant prés du comptoir, je la vois entrain de discuter et de trinquer avec trois gars qui la serrent de prés. Il y 'a deux jeunes et un gars moustachu qui paraît avoir la quarantaine.
Parmi les jeunes d'environ le même age que moi, il y'a un Arabe et un noir. Je m'assoie tout en regardant ma mère se faire draguer. A leur regard, il est évident que ce n'est pas les sujets de conversations de maman qui les intéressent.
La Musique est à fond et il faut parler plus fort : Il commence à faire soif. Les gars se sont rapprochés de plus prés acculant maman contre le comptoir. Le moustachu bien chaud commence à lui caresser les genoux tout en remontant vers ses cuisses nues.
Voyant cela, le jeune arabe commence à soupeser les gros nichons de ma mère puis à les malaxer lentement. Avec stupeur, je vois ma mère, adossée contre le comptoir, se laisser tripoter outrageusement dans le bar. L'Arabe a enfourné ses deux mains dans le soutient gorge noir et tente de la dépoitrailler afin de pouvoir sucer ses tétons.
Le moustachu a carrément enfourné ses doigts sous la mini jupe et confirme le petit secret que m'a révélé ma mère.
- Elle ne porte pas de culotte ! Et elle mouille, la salope ! "
A ces mots, elle semble sortir de sa torpeur et se dégage de l'étreinte du solide moustachu. Elle ôte délicatement les mains du jeune arabe puis semble leur parler. L'Arabe file dehors en courant et maman me fait signe d'avancer.
Elle me présente aux gars qui me dévisagent bizarrement et leur signale que je suis son fils. Nous réglons nos consommations et sortons tous les quatre de cet endroit enfumé.
A l'entrée, Selim, le jeune arabe, nous attend au volant d'une petite camionnette blanche. Ma mère me fait un clin d'œil :
- Plus besoin de rentrer à pied !
Nous grimpons tous dans le véhicule de Selim et nous dirigeons vers notre petite maison. Tout au long du trajet, les gars, très excités, pelotent le corps de maman sans se soucier de ma présence.
Joachim, le noir, s'active principalement sur ses seins tandis que le moustachu enfonce ses doigts dans la chatte humide de ma mère. Maman, tout en gémissant, se laisse faire et Joachim lui arrache son soutient gorge et libère enfin les deux grosses loches de ma mère.
Le moustachu n'en revient pas. Pourtant, à l'observer s'affairer sur le con de ma mère, il a du en voir des femmes. Il reste en extase devant cette poitrine énorme qui pend de façon provocante devant lui. Il réclame sa part de nichons tout en la traitant de " pute vache à lait ".
Mais Joachim n'est pas prés à laisser sa place et le moustachu se contente de se tourner vers moi en me félicitant d'avoir une mère comme cela. En arrivant, il est dur de faire sortir les trois protagonistes (dont ma mère) du camion car ils sont excités comme des fous.
Selim commence à s'énerver car il veut sa dose de sexe gratuit. J'ouvre la maison et tous le monde s'y engouffre sans demander son reste. Maman ôte ses sandales noires qu'elle met de coté avant que Joachim s'empare d'elle et la traîne de force, les seins à l'air, vers la chambre en la traitant de " putain et de salope en manque!
Il est suivit de près par Selim et le moustachu. Ma mère ne dit rien et semble prendre plaisir à se faire insulter et dominer par ces inconnus d'un soir. Ils forcent maman à s'agenouiller et défont leurs braguettes.
- Une petite gâterie pour commencer espèce de poufiasse " dit le moustachu.
Ma mère s'empare des queues turgescentes de toutes les couleurs et commence sa séance de fellation. Elle branle de ses mains expertes Joachim et Selim tout en pompant avidement le moustachu placé devant elle.
Je verse des remontants bien corsé et je reste à mater ma propre mère sucer ces trois vicieux dans la chambre conjugale. Je commence à avoir la trique et Selim le remarque.
- Qu'est ce que tu attends là comme un con ' Viens donc te faire sucer par cette pute bouffeuse de queue !
Outré, je me contente de répondre :
- C'est ma mère !
Le moustachu reprend
- Justement, profites-en ! Et en plus, c'est sans doute la plus belle salope que j'ai jamais baisée "
Maman ne dit rien car elle est bien trop concentrée sur son activité. Ils continuent à m'inciter à me faire sucer par ma propre mère et devant le spectacle, je ne peux plus me retenir. ..............

A suivre...

Histoire du net. Auteur: Julien. Les aventures de Martine... Suite

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 Ou la Martine se déchaîne....

Martine Première.
Fin
Je vide cul sec mon verre d'alcool et m'empresse de les rejoindre. Je baisse mon pantalon et voyant cela, ma mère se jette sur ma queue surexcitée par le fait que moi, Julien, son propre fils, me joigne à la partouze.
Experte, elle s'occupe de nous chacun son tour et veillant à ce qu'aucun d'entre nous n'éjacule trop vite. Mais trop excité, Selim lui éjacule en pleine face et ma mère avale, sans se faire prier, toute sa semence en ne laissant perdre aucune goutte.
Elle se concentre sur lui et astique son membre jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de sperme. Le moustachu arbore un sourire vicieux et me regarde tandis que Joachim termine de la foutre à poil en lui enlevant sa minijupe. Il me prend par le bras et me laisse tomber sur le lit puis il s'empare de maman, complètement nue, et la met sur moi.
- Vas-y, baise avec ta pute de mère !
Ma mère prend les devant et s'empale le plus possible sur mon gourdin raide comme un piquet.. Aussitôt je pose les mains sur son cul et commence à effectuer des va et viens à l'intérieur de ma mère. Elle ondule du bassin et j'ai encore la vision de ses loches gigantesques qui bougent à quelques centimètres de mon visage.
Les autres, le verre à la main, fixent la scène d'inceste avec des yeux de fauves en rut. Le moustachu, le plus pervers de tous, finit son verre d'un seul coup et pose à son tour ses mains sur le cul de ma mère. Là, il lui écarte largement les deux fesses et commence à exhiber son trou du cul.
- Une pute comme toi, à mon avis, n'a pas besoin d'être préparé pour se faire enculer ".
Il introduit son membre impressionnant dans le cul de maman puis commence à la bourrer de toute ses forces. Ma mère pousse un râle de jouissance. La voilà prise par les deux trous.
En chef d'orchestre, le moustachu ordonne à Joachim de grimper sur le lit et de se poster à genoux devant elle. Ma mère engouffre le sexe d'ébène aux gros testicules bien remplis dans sa bouche gourmande et insatiable puis commence à pomper sec. Elle halète de plaisir et respire très fort. La voilà prise par les trois trous et en plus son fils adoré participe !!
Son corps subit les coups de boutoirs du moustachu et moi je la baise par le vagin tout en mordillant et suçant ses tétons tandis que Joachim la saisit sauvagement par les cheveux et la force à bien pomper.
Pendant ce temps, je discerne Selim complètement excité et qui passe un nombre incalculable de coup de fil à l'aide de son portable. Le moustachu finit par se lâcher dans le cul de ma mère. Il éjacule en poussant un gémissement de fauve enfin satisfait de pouvoir se vider les couilles.
C'est par grosses saccades qu'il libère son foutre dans les entrailles de maman. A mon tour, je me décharge à l'intérieur de son vagin. Ma mère a abandonné la fellation qu'elle pratiquait sur Joachim et elle hurle de bonheur comme jamais. Une bouffée de chaleur électrique monte en elle : Elle atteint l'orgasme.
Elle se sent pleine de semence chaude et éprouve un sentiment de jouissance intense. Le moustachu et moi nous retirons et la laissons sur le lit, bien pleine, se remettre de ses émotions. Mais Joachim n'avait pas eu son compte et se mis au-dessus d'elle.
Il s'empare des gros nichons de maman qu'il frotte autour de sa grosse queue pour se branler. Ma mère pose ses mains sur les mains du noir et l'aide à presser ses grosses loches aux larges auréoles brunes. Au bout de quelques minutes de branlette espagnole, il ne se retient plus et explose. Le sperme jaillit et inonde l'opulente poitrine de maman ainsi qu'une bonne partie de son visage. Affamée, elle commence à lécher le foutre étalé sur ses seins puis récupère avec ses mains le sperme maculant son visage.
Elle lèche un à un ses doigts devant nous avec un air de chienne en chaleur. Selim a pris Joachim à part et échange quelques mots. Le moustachu se refroque, me félicite de nouveau d'avoir une mère aussi salope et me conseille d'en profiter sans me poser de question. Puis il s'en va, heureux d'avoir pu baiser cette femme facile qui n'est autre que ma mère. Je sens que la soirée se termine et je décide de raccompagner les deux compères.
Mais Selim vient vers moi et me demande mon numéro de portable que je lui donne.
- Ecoute, on va embarquer cette pute avec nous et on te la ramènera dans deux jours ! " .
Excité par une telle proposition, complètement saoul et sans réfléchir aux risques encourus, j'accepte mais à la seule condition qu'ils filment la scène au caméscope numérique. Selim me regarde avec des yeux de pervers et opine.
Ils se dirigent vers la chambre ou ma mère est allongée encore sous l'effet du plaisir procuré par cette partouze inespérée. Joachim la prend par les pieds et Selim par les bras puis ils l'emportent, complètement à poil, comme un vulgaire sac de patates vers la camionnette.
- Vous oubliez ses vêtements !! " Leur crie-je, bien naïf. Joachim éclate de rire
- Là où on l'emmène, elle n'en a pas besoin !
Ils poussent maman dans la camionnette et s'en vont avec leur butin.
Pendant deux jours, je me maudissais encore et encore d'avoir fait ce geste infâme et si ignoble. J'avais livré ma propre mère à des inconnus. Je me jurais de ne plus boire une goutte d'alcool de ma vie après ça.
Selim m'appelle enfin pour me donner des nouvelles.
- Ta mère ne parle pas beaucoup mais écoute ça !
A travers le portable, j'entends les rires de nombreuses personnes ainsi que des tintements de bouteilles. J'entends également des cris de jouissances de femme qui en disent long sur la principale activité de ma mère. Selim me confirme son retour demain soir et il me dit
- Demain, j'aurai une petite surprise pour toi, man et te biles pas, ici elle est traitée comme une reine……..des putes ! " .
J'attends donc avec impatience le retour de maman. Je passe une mauvaise nuit en imaginant les pires scénarios. D'un autre coté, il m'arrive de penser aux nombreux outrages sexuels qu'elle doit subir en ce moment même et je ne peux m'empêcher de bander à cette idée.
Le lendemain soir, pour mon plus grand soulagement, la camionnette revient comme convenu. Ma mère en sort nue, méconnaissable et son corps est souillé de partout. Elle est portée par deux gars et accompagnée de Selim.
Elle est déposée sur le canapé et remercie les deux jeunes qui repartent sans rien dire. Selim le regard vicelard me tend des cd.
- Tout est là, mec ! J'en ai filmé le plus possible !
Puis ils s'en vont comme si de rien n'était. J'aide ma mère à prendre sa douche car elle a un peu de mal à marcher (vous devez deviner pourquoi). Elle me sourit ironiquement et me susurre à l'oreille avant de se coucher
- Aah, Julien, mon fils…….Tu es un sacré pervers mais je ne le regrette pas !
Laissant ma mère récupérer des folies de son corps, je me précipite sur mon ordinateur portable et insère les cd. Il y'en a pour une bonne dizaine d'heures et ce salopard de Selim à pris son pied à bien filmer. En commençant à les visionner, j'ai su immédiatement que ces cd seraient sans doute les meilleurs film porno de ma collection.
Ma mère, toujours complètement à poil, avait été entraînée dans une espèce de hangar sombre et dégueulasse où elle était visiblement attendu par une bonne vingtaine d'hommes dont l'échelle d'âge variait de quinze à quarante cinq ans et de toutes nationalités.
Il y'avait un nombre impressionnant de pacs de bière qui attendait l'arrivée de ma mère pour être ouvert. Maman sembla un peu paniquer à la vue de tous ces mâles qui lorgnaient son corps et en particulier son cul et ses seins énormes.
Joachim la tenait par les bras et l'entraîna vers le fond où se trouve un vieux matelas poisseux et jaune. Mais il préféra d'abord l'offrir à ses compagnons qui ne se firent pas prier. Des dizaines de mains vicieuses palpèrent tout son corps. Sa chatte, son cul et ses gros nichons furent pelotés sans hésitation.
Ils se la passaient comme un pantin prenant leur pied à sentir leurs doigts caresser ce corps de femme qui pourrait facilement être celui une prostituée ou mieux encore, celui d'une hardeuse aux gros seins. Ils la traitaient de tous les noms " de pute, de chienne en chaleur, salope en manque, garage à bite !
Ma mère ne tarda pas à confirmer son coté pervers et salope. Elle poussa de petits gémissements de plaisir pour le plus grand bonheur de ses partenaires. Sentir toutes ses mains parcourir son corps la stimulait au plus haut point.
Comme une pro, elle se mit à genoux et commença à tailler des pipes magnifiques à ces hommes heureux de pouvoir baiser celle qu'ils appellent désormais : " La pute aux gros seins ! ".
Pendant une bonne demi heure, elle branla, suça et avala de temps à autre le sperme d'un gars trop excité pour se retenir. Ma mère fut ensuite traînée sans ménagement vers le matelas crasseux ou elle fut allongée. C'était parti. Pendant deux longs jours et deux longues nuits, ma mère subit les derniers outrages.
Les hommes se relayaient pour la baiser et il en arrivait d'autre et de plus en plus. Ils la firent boire de l'alcool régulièrement et en grande quantité afin de bien la désinhiber.
Là où cela fut plus dur pour elle, ce fut le moment où elle du se faire sodomiser par toute l'assemblée. Selim a pris un certain plaisir à filmer les queues entrer dans le cul de ma mère de même à faire des gros plans sur son anus dilaté, souillé et dégoulinant de sperme.
Il faisait aussi de gros plan sur le visage de maman qui tantôt gémissait de douleur et tantôt de plaisir. Pendant des heures, le cul de ma mère subit, sans répit, les assauts de mandrins de toutes tailles.
Les gars faisaient la queue et étaient de plus en plus nombreux à vouloir l'enculer. De nombreux coups de téléphones portables avaient été passé et sans cesse, il y'avait de nouveaux arrivants, toujours plus.
Rassurez-vous, chacun et sans exceptions, pu ramoner le cul de ma mère à sa guise et pourtant le défilé semblait ininterrompu. Certains poussèrent le vice jusqu'à l'introduction de bouteilles de bières vides dans son con et son anus déjà sérieusement malmené.
Elle fut prise par tous les trous et de toutes les façons possibles et inimaginables. D'innombrables branlettes espagnoles furent effectués entre ses gros seins laiteux et pour son plus grand plaisir. Ses nichons furent soupesés, palpés et malaxés par des dizaines de mains tandis que des bouches avides tétaient, léchaient et mordillaient ses tétons.
Le tout lui procurant un plaisir immense et sans précédent et qui se manifeste par ses gémissements d'extase. Il arrivait plusieurs fois qu'un groupe de gars l'entoure et se branle au-dessus d'elle inondant tout son corps de foutre chaud qu'elle s'empressait d'étaler avec délectation sur ses grosses loches.
Certain s'amusèrent, tout en la traitant de tous les noms, à verser de la bière sur son opulente poitrine et qui se mélangeait au sperme que ma mère s'empressait d'engloutir. Ce ne fut que lorsqu'elle fut pleine, satisfaite et ses trous dégoulinants de sperme que Selim annonça une pause et coupa la scène.
J'ai donc passé toute la nuit et une bonne partie de la matinée à mater le reste du film de la partouze " un peu forcée " de ma mère. Elle ressemblait par moments à une superbe hardeuse assoiffée de sexe. Je m'étais masturbé plusieurs fois en regardant le film. Voir cette femme, qui est en plus ma mère, se comporter comme la dernière de toutes les salopes me flanque une gaule inimaginable. Je décide de me repasser la scène de ses sodomies répétées et entreprends de me branler.
C'est alors que j'entends un bruit et me retourne. Ma mère, réveillée, se tient debout derrière moi, en peignoir, et fronce les sourcils.
- Tu es encore plus pervers que je le pensais, Julien !
Je ne dis rien car me voici pris sur le fait entrain de me masturber devant un passage particulièrement crade la mettant en scène. Ceci dit, elle me dit avec le regard de celui d'une maman tendre et aimante
- Mais je suis heureuse que tu la regardes et que cela te procure du plaisir !
Elle s'agenouille entre mes jambes et commence à me branler comme pour me récompenser. Je suis abasourdi par son geste mais heureux. Elle commence à me sucer et rapidement j'éjacule dans sa bouche décidément si insatiable.
Fatigué par ma nuit blanche, je dors toute la journée puis me réveille vers 17h00. Maman, pieds nus et toujours en peignoir, est dans la cuisine. Elle semble nerveuse et inquiète.
Toute souriante, elle me dit " bien dormi '" . Je lui réponds que oui. Son comportement m'intrigue car elle tourne en rond en buvant de temps à autre les restes d'une bouteille de whisky.
On a l'impression qu'elle attend quelque chose et avec une impatience qu'elle dissimule très mal. Soudain le téléphone portable sonne et elle s'en empare aussitôt tout excitée. Elle pose sa main gauche sur sa poitrine et pousse un petit gémissement de soulagement en disant " Merci ! ".
Elle passe son temps à éluder mes questions jusqu'à ce qu'une vingtaine de minutes plus tard, un bruit de camionnette attire notre attention et un coup de klaxon retentit. Le visage de maman s'illumine de bonheur et elle ôte son peignoir. A ma grande stupeur, elle est complètement à poil et la voilà maintenant qui se dirige vers la porte sans complexe.
- Maman….mais ne sors pas comme ça ! Met quelque chose !"
Lui crie- je naïvement. Elle se retourne et me dit en souriant :
- Ne t'inquiète pas, là où je vais, je n'en ai pas besoin !
Bien évidemment, je ne vis ma mère que deux jours plus tard et dans le même état que la dernière fois avec en plus, sur elle, une très forte odeur d'urine.
Mon père nous a rejoint comme convenu et ma mère, bien malgré elle, du se résoudre à redevenir la bourgeoise puritaine et bien comme il faut. Ma sœur nous a rejoint aussi avec son petit ami devenu ingénieur il y'a peu.
Nous passons le reste des vacances comme une famille normale, bourgeoise et bien comme il faut. Mon père m'a emprunté mon portable pour taper une lettre et maman et moi avons paniqué.
Heureusement, le dossier dans lequel j'ai écrit ce texte était bien planqué et les cd bien cachés. De temps en temps, une camionnette blanche passe devant la maison mais hélas ma mère ne peut les rejoindre.
De retour chez nous, dans le Nord, nous reprenons une activité on ne peut plus banale et je suis retourné vivre avec Laetitia. Ma mère se retrouve donc seule, toute la journé..et libre.
Il m'arrive encore de mater très souvent la vidéo et elle me fait toujours autant d'effet car j'ai le bonheur de savoir que cela n'est pas du fictif.
De même qu'il n'est pas exclu que ce pervers de Selim ait vendu le film de maman et qu'il soit diffusé quelque part sur un site de cul bien hardos.

Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg.... Suite

Saint Valentin Rediff's tofs

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N'oubliez pas la fête des amoureux mes chéri(e)s...
Gros câlins à tous... Et Bonne.... Notché!



























Vive les amoureux.....

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Mon mari est fou de moi....
Et accepte toutes mes envies...
Bonne fête les amoureux...

Cette année, c'est aussi 
le premier jour de Carême...
Alors tintin mon Chéri...
Juste le droit de regarder...




Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg.... Fin

Histoire du net. Auteur: Anonyme... Margot ou Martine ???

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Je ne sais pas si ce texte est de Julien
Le style est très ressemblant....
Mais là,  Martine devient Margot...
A  vous de voir....


MARGOT Ma mère.
Les vacances sont là et me tendent les bras. Je suis sorti pas mal mais hélas, toutes mes tentatives de me faire une gonzesse se sont soldées par des échecs. Pourtant on me dit beau gosse.
Je me suis très vite rabattu vers internet et les livres pornos que planque dans mon armoire, sous mes pulls . Je passe la plupart de mon temps dans le noir à fantasmer sur des femmes à grosses poitrines.
Je ne pense plus qu’à ça tous le temps au détriment de ma vie sociale. Au lieu de sortir de mon hlm, je reste enfermer dans ma chambre à me masturber devant des vidéos de plus en plus hard.
Un jour, surprise!
Je suis sorti pour m’acheter des clopes et en revenant, je retrouve mes revues pornos sur le lit. Grillé! C’était ma mère. Elle a du repasser mon linge et en le déposant dans mon armoire, a découvert le pot au rose. La honte me gagne. Je ne sais plus où me mettre ni quelle excuse bidon je vais pouvoir lui sortir.
J’habite dans un HLM avec ma mère qui est prof de Français a mi-temps dans un collège privé. Elle s’appelle Marguerite, un nom qu’elle n’aime pas trop alors tous le monde l’appelle Margot.
Elle donne aussi des cours de danse moderne le vendredi soir. Nous avons une maison situé à 80 bornes où mon père habite. Ils ne sont pas divorcés mais pour des raisons professionnelles, ils ont décidé d’acheter une maison en campagne et elle de rester en ville . Chacun voulant rester dans son travail. On vit donc comme un couple dans un appartement hlm vétuste.
Les gens sont entassés les uns sur les autres et sont malheureux. Il y règne une ambiance malsaine avec ces racailles misogynes. Ma mère a souffert d’une éducation sévère et depuis, elle adore se mettre en valeur. Elle fait ça aussi pour provoquer les machistes en affirmant sa féminité de femme libérée et insoumise..
Elle appartient a une association de quartier qui propose des cours aux jeunes filles et elle enseigne la danse. Je commence à avoir soif et je vais devoir aller à la cuisine et l’affronter. Je la vois et lui dit bonjour. Elle me répond comme si de rien n’était.
Je me sert un verre de coca.
- Comment tu fais pour repasser par un temps pareil ‘ On crève de chaud.
- Il faut bien le faire, mon chéri.
Elle me fait un clin d’œil. Elle me fera pas chier avec les revues je pense. J’ose la regarder. Elle est cool en ce qui concerne mes histoires de sexe.
- Tu veux un truc à boire ‘
- Oui merci mon chéri ! Sers moi un coca aussi.
Tout en versant, je la regarde. A cause de mon obsession sexuelle , je commence à la dévisager, non pas comme ma mère mais comme une femme.
C’es vrai qu’elle est pas mal fichue, ma mère.

Elle a 44 ans et a une super forme. La danse moderne, qu’elle enseigne, lui permet d’avoir un corps ferme et des fesses que lui envieraient de nombreuses femmes. Pour la taille 1m68 pour 62 kg.
Elle a des cheveux noirs qui lui arrivent jusqu’aux épaules. Elle en fait en général un chignon comme maintenant. Une petite mèche lui tombe devant le visage. Un visage typé , méditerranéen car elle est originaire de Marseille bien qu’elle n’en ait pas gardé l’accent.
Elle a les yeux en amande de couleur marron et sa peau est mat. Toujours bien maquillée, elle se met des faux cils et ses sourcils sont noirs et très fins ce qui lui donne un regard magnifique. Une petite ride au niveau de la bouche trahi son age.
Elle porte un chemisier jaune assez fin et on distingue un peu son soutient gorge rose en dessous ainsi que les relief des broderies. Décolleté discret car elle a quand même ouvert les trois boutons du haut a cause de la chaleur. Elle est en mini-jupe jean qui lui arrive au dessus des genoux et elle est pied nu sur le carrelage.
Elle pose le fer à repasser et s’asseoit en face de moi pour boire son coca à la table de la cuisine. En faisant cela, elle se penche et j’ai une brève vison de ses seins tombants. Aussitôt, je repense a mes vidéos.
C’est à ce moment que pour la première fois de ma vie, je me rend compte qu’elle a quand même une belle poitrine. Oui, deux beaux seins qui sont naturels et pas siliconés comme les femmes que je regarde dans les magazines.
Du naturel, du vrai, du gros et en plus devant moi. Malgré la gêne que j’éprouve, je sens mon sexe se raidir. La vue de cette paire de nichons bronzés a déclenché en moi une véritable excitation.
Jamais je n’avais considéré maman comme une femme. Elle n’a rien perçu de mon délire car pour elle, je suis encore son bébé. Comment pourrait -elle imaginer que j’ai un instant fantasmer sur sa poitrine’
Elle sent ma gêne mais elle doit penser que ça vient des magazines découvert. J’arrive à avoir un discours cohérent avec elle. Sur notre projet de retour à la maison de campagne cette été. On serait réuni avec mon père, en famille car je suis fils unique.
On finit nos verres et elle me dit qu’elle doit faire des courses. C’est vrai qu’il y a rien à bouffer ce soir ! Elle enfile ses tongues et prend son sac puis s’en va.
Je me rue sur mon ordi , j’en peux plus. Je regarde alors des vidéos mais cela ne m’excite plus. J’en veux des nouvelles. Je décide de télécharger des vidéos de femmes matures aux gros seins. Inconsciemment, je pensais à Margot en faisant ça. Je les trouvais pas belle du tout.
Puis je pense à ma mère faisant ses course, en se penchant dans les rayons fruits et légumes, offrant la vision de sa splendide poitrine à des passants inconnus. Je me caresse à cette idée.
Puis vient l’image des machos. La lutinant, la déshabillant du regard avec mépris. Elle , ingénue, le soutient gorge visible à travers le tissu, ses jambes musclées par la danse. C’est alors qu’un flot d’images plus trash me viennent à l’esprit.
Elle pourrait très bien se faire agresser par ces racailles.
Ce serait pas la première fois qu’une femme se fasse avoir dans le coin. L’année dernière, une ado et une jeune mère de famille ont été violée dans la cité. Déjà qu’ici, la réputation craint.
Alors avec ces deux viols, ça a pas arranger la notoriété du coin. A force de me palucher, je finis par juter. Puis, je réfléchis et me dit que je suis un beau taré de penser ça de la femme qui m’a mis au monde, que c’est pas normal de voir sa mère en femme de sexe.
Ma mère revient au bout de trois quart d’heure , le sac plein de victuailles.
Une semaine passe et je suis toujours dans mon monde porno. Je télécharge, je me branle, j’arrête pas. On arrive bientôt en Juillet et j’ai rien foutu d’autre. Margot a fait les premiers préparatifs de départ. Elle donne son dernier cours de danse de l’année ce soir.
Elle est en forme et toute souriante. Elle a mis ses cheveux en chignon. Elle est en short bleu. Un petit short très courts qui met en valeur ses jambes musclées et bronzées. Le sport a gardé ses fesses rebondies. Le haut, un petit débardeur blanc qui lui arrive au nombril, avec un décolleté avantageux qui met en valeur sa belle poitrine. On aperçois les bretelles de son soutient-gorge rose.
Elle a une allure sportive malgré ses trop gros seins. J’espère que son soutient gorge est costaud parce qu’avec la danse, ça doit bouger à fond. Je bande à cette idée. Elle mange en vitesse et enfile ses tongues dont elle est si friande. Elle me laisse seul avec ma pizza.
Elle, elle fait quelque chose d’utile. Moi, la soirée, je vais la passer encore a me palucher. Je commence à trouver ça pitoyable à la longue. Devant mon ordi, je vois pas le temps passer et j’entend mon portable qui sonne.
-Allô, Chérie ‘
-Oui, maman ‘
-Ma voiture a été vandalisée ! C’est une honte ! On m’a crevé un pneu !
- C’est dégueulasse ! Qui crois-tu être l’auteur de ce méfait ‘
- Je sais pas, je vais porter plainte ! Je vais appeler un taxi ! C’était pour te prévenir que j’allais être en retard et que tu ne t’inquiètes pas! Je suis devant l’école de danse.
- Tu veux que je vienne en scooter ‘
- Non, ce n’est pas la peine mon chéri, je serais là dans un quart d’heure.
- D’accord maman, bisous a tout à l’heure !
- Bisous mon chéri !
Je me remet à l’ordi. Je n’arrive plus à bander, cette histoire me préoccupe. Je décide, au bout de dix minutes, d’y aller ! On sait jamais. Je vais la prévenir. J’appelle son portable et je tombe directement sur sa messagerie. J’enfourche mon scooter et je fonce là bas. Arrivé devant l’école de danse, je vois un taxi. Je vais le voir.
- Oui, une dame m’a appelé mais elle est pas là. Elle a du se trouver un autre taxi! Vous lui direz que dans ces cas là, on prévient déjà que c’est mal famé ici !
Il claque violemment la porte et s’en va en grognant. Je décide alors d’inspecter la voiture. Les deux pneus avant sont dégonflés. Je dirai qu’ils sont crevés. Je retente de l’appeler mais rien. Toujours sa messagerie direct.
Je me met à tourner autour du véhicule et là je vois un objet qui confirme mes craintes : Un portable explosé. Il est en mille morceaux. Un peu plus loin, une tongue rose ... C’est celle de maman !!!!
Elle est devant une ruelle. Etroite et sombre. Je m’y engage alors. Je suis excité.
Pas de peur mais excité, animé d’une curiosité malsaine.
Au bout de quelques mètres, la seconde tongue. Je suis sur la bonne piste. J’entends des voix. C’est un peu plus loin et une femme qui gémit et se plaint. Une des voix d’homme crie et j’entend le bruit d’une claque.
Des rires qui résonnent. En avançant, je me prépare au pire. Je me cache derrière un pan de mur qui dépasse. Je m’installe le plus confortablement pour espionner.
Mes craintes se justifient. C’est maman. Elle s’est faites coincée par trois hommes cagoulés. Ce sont eux qui ont vandalisé le véhicule. L’un fouille dans son sac à main. Il sort le portefeuille et pique le fric et les cartes. Il le jette ensuite dans le tas de poubelles qui traîne par terre. Maman est maintenue par les bras par un homme placé derrière lui. Elle est en débardeur et short bleu. Instinctivement, je me dis :...... “quelle idée aussi de se promener dans cette tenue en pleine nuit dans ce quartier !”
J’avais mon portable à la main, il suffisait que j’appelle les flics. Il y a un commissariat pas loin en plus. Mais quelques chose m’en empêche. Malgré tout l’amour que je porte à ma mère, les pulsions l’emportent.
Elle est en danger et je ne fais rien, je ne veux rien faire. La situation est si originale que je ne veux pas l’interrompre. L’homme devant elle a un énorme couteau avec lequel il joue pour lui faire peur.
J’observe sa poitrine qui remplie le débardeur. Elle se soulève, se contracte, se soulève sous l’effet de la peur. Ma mère, si sûre d’elle d’habitude est en situation de victime. Elle est même en danger car le couteau pourrait plonger dans son corps et mettre fin à sa vie. Elle est à la merci de cet homme cagoulé. Il sent bien la peur de cette femme. Il jouit de sa domination.
Son copain derrière aussi. Il sent la peur affluer chez elle. Je suis dans un état second, submergé par la peur pour elle, mon désir de la protéger mais aussi le besoin de voir la suite.
Il met le coté non tranchant sur sa gorge et fait mine de l’égorger. Il se met ensuite a la picoter du bout de sa lame. Le bout des seins , puis tout au tour d’eux.
Margot est au bord de la crise de larmes. Elle sent ensuite le couteau descendre sur son plexus et piquer à plusieurs reprise son ventre. Il suffirait d’une pression pour que lame rentre comme dans du beurre. Il la torture psychologiquement.
Maman se met à geindre, larmoyante:
- Pitié ! Pitié ! Je vous en prie, j’ai un fils , j’ai un mari ... Pitié
En guise de réponse, l’homme la giffle une fois, deux fois, trois fois …
- Tu as une famille, eh bien tu ne leur fais pas honneur ! Tu mérites pas d’être une mère ! Elles doivent rester au foyer et pas s’exhiber comme une putain !
J’ai tout de suite compris qui pouvait se cacher dessous les cagoules. Il dégrafe le chignon de maman. Les cheveux tombent pas encore sec de la douche qu’elle a prise avant de partir de la salle de danse.
-Te voilà plus belle, maintenant !
Il écrase la pince et pose sa main sur sa poitrine.
- J’aime les gros seins. On va bien s’amuser !
Il se met à palper la poitrine généreuse puis incise le haut du col. Il range son couteau. Il la prend par le col et tire de chaque coté de l’incision. Le fin tissu de résiste pas et on entend un gros rippppp!
Margot ferme les yeux et pleure en tentant de faire le moins de bruit possible. Elle sent le tee-shirt lui être enlever. Ses seins sont justes contenus dans le soutient-gorge maintenant. Malgré leur brutalité dans leur geste, les trois agresseurs prennent leur temps.
Ils regardent les formes généreuses de cette plantureuse poitrine. Le soutient-gorge est rose, brodé en dentelle. Les motifs en reliefs accentuent les rondeurs de chaque sein. Le tissus qui supporte les motifs est transparent et on distingue le brun du bout des seins ainsi que la pointe du tétons.
Je suis en train de jouir à voir cette femme en soutient-gorge et en short bleu être à la merci de ces brutes. Car en ce moment, je ne pense plus qu’a mes pulsions.
L’homme au couteau recommence son petit jeu de lame. Il s’avance vers ma mère et picote son ventre autour du nombril. Elle essaie de calmer sa respiration car à chaque expiration, son ventre se gonfle et donc accentue le picotement.
Il lui faut respirer par les poumons.Ca le fait jouir de sentir cette femme à sa merci. Il aime jouer avec les nerfs de sa victime. Il remonte ensuite vers le plexus, lentement en l’effleurant du bout de la lame. Il la fixe avec un regard mauvais avec un air de lui faire croire qu’a tout moment, il pourrait lui plonger cette lame dans les entrailles.
Il veut lui montrer que sa vie est entre ses mains de fou. Toujours avec son couteau, il s’amuse à faire le tour de ses seins en faisant planer la menace de voir ses seins transpercer. Elle se sent ruisseler de sueur du fait de la peur. Elle sent la lame alors remonter vers son épaule et couper une bretelle, puis d’un coup sec, il tranche.
Le morceau de bretelle tombe et le sein droit qui n’est plus soutenu tombe aussi. Il fait de même avec l’autre. Il finit par lui ôter son soutient-gorge. Sa poitrine tombe comme une grosse grappe. La voilà seins nus. Je suis en train de me palucher comme un malade devant ça.
Là, caché derrière ce pan de mur. C’est la première fois que je vois ses seins nus. Les seins de ma mère sont lourds et bronzés uniformément à la peau. Remercions les séances d’uv. Au bout de chaque seins, elle a des auréoles très brunes d’environ 6 à 7cm de diamètre et au centre, de longs tétons d’au moins 3 cm.
Avec son couteau, il en dessine les contours devant ses deux camarades. Il le fait lentement en faisant mine de lui couper les lolos. Pour ça il utilise le coté non tranchant de la lame et imite les gentes d’un boucher. Elle sent le contact froid de la lame sur la peau de ses seins opulents.
Toujours cette menace présente qu’il s’enfonce dans la chair tendre de l’une de ses mamelles ou qu’il les lui tranche. Avec ses mains tout en tenant le couteau, il se met à caresser les deux protubérances de chair. Elle ne réagit pas et regarde ailleurs. Contrainte de se laisser toucher et palper ses deux atouts féminins. Je me demande si elle éprouve du plaisir à se faire palper la poitrine.
Tout en massant, il descend son autre main et baisse le short. Elle tente de se débattre en se tortillant le buste mais là, réaction de son agresseur. Une belle claque et il lui tord un téton lui arrachant un cri de douleur.
Son compagnon qui s’était contenté de regarder vient lui donner un coup de main en tirant sur le short. Elle lui met des coups de jambes mais elle reçoit un coup de poing dans le ventre suivit d’une claque.
Le souffle coupée, elle se plie en deux. Ils en profitent pour lui enlever définitivement son short. Elle se retrouve en string. Un string rose assorti à son soutient gorge. Ca ne m’étonne pas beaucoup qu’elle porte des strings. Elle tousse, crache, essai de respirer. Elle a envie de se mettre ses mains à l’endroit du coup mais elle est maintenue toujours depuis le début par le troisième homme en cagoule.
Avec une violence extrême, le compagnon de l’homme au couteau lui arrache son string et lui fait glisser le long des jambes musclée. La voilà nue maintenant. Ils prennent soins de lui ôter son alliance en or, une bague bon marché et un collier avec un petit crucifix lui aussi en or.
- On en tirera quelque chose de tout ça !
Celui qui la maintenait fini par la lâcher. Elle est recroquevillée se tenant le ventre et reprenant son souffle. Ils la regardent , gisante nue au sol, à leur merci d’un air méprisant.
Je pense qu’à ce moment, elle sait qu’il n’y a plus de doute sur ce qu’ils vont lui faire. Elle est sûrement résignée. L’homme au couteau la retourne tandis que son compagnon baisse son pantalon et soulève en parti sa cagoule.
Il se met sur elle et commence à l’embrasser de partout en ce concentrant sur ses seins. Il mord les long tétons. L’homme au couteau se frotte le sexe. Un voyeur sans doute. Je n’arrive pas à débander. J’aurai du appeler les flics et les prévenir que ma mère se faisait violer mais non, les pulsions sont trop fortes. J’ai l’impression d’assister à une vidéo en live.
Mais là, c’est la réalité et c’est ma pauvre maman qui subit. Pourtant, ma pauvre maman est aussi une femme aux formes excitantes et avec des gros seins qui se font peloter.
L’homme sur elle lui caresse les cuisses musclées tout en ayant la tête plongée dans la paire de seins opulentes. Il profite des formes généreuses de maman à 100 %. Après les seins, ils se met à lui bouffer la chatte. Une chatte touffue mais épilé sur les cotés.
Je vois tout, tout. Il a la tête entre ses jambes. Sa tête enfoncée dans le sexe de cette femme. Malgré sa condition, l’aspect mécanique prend le dessus et il y éprouve un certain plaisir malgré elle. Il finit alors par se mettre sur elle et introduire son gros sexe dans son vagin. Tout ça devant moi !
Ma mère sent le membre la souiller, la pénétrer, la violer. Elle qui était si amoureuse de son mari, elle qui était chaste en attendant de le revoir une fois par semaine. Voilà que cet homme la viole comme il veut. Il s’approprie son corps. Elle se sent alors comme une putain et elle pleure à nouveau tandis que l’homme lui lime la chatte.
Elle sent en elle les aller-retour brutaux . Il gémit tandis qu’elle pleure. Le poids de l’homme sur elle est douloureux et son dos nu sur le sol frotte contre des déchets. On peut entendre le choc des deux corps, de la peau contre la peau.
Au moment ou il sent qu’il va juter, il se retire et éjacule sur les seins et le visage de maman. Un jet monstrueux dont une partie tombe dans la bouche de ma mère. Elle est sur le point de vomir sur le coup. Elle a des nausées et recrache le sperme.
En voyant ça, l’homme furieux la saisit par les cheveux et lui met sa bite dans la bouche. Elle sent son copain donner des coups de poinçons dans son dos meurtri par le sol. Elle englobe le gros sexe. Ma mère, ma propre mère suçant un étranger comme dans les vidéos.
Même si ce n’est pas volontaire, je ne peux m’empêcher de jouir. L’homme n’avait pas encore finit de jouir et se met à juter dans sa bouche. Il y’en a tellement que ça ressort par la bouche.
- Avale, salope, avale !
Luttant contre sa révulsion, elle finit par avaler la semence. Il finit par se vider complètement en effectuant une éjac faciale. Je n’avais jamais vu quelqu’un avec autant de jus. Les cheveux noirs de maman sont collés de sperme. Elle sent le liquide blanc et chaud couler sur ses seins. Elle reste assise, subissant. Le troisième a son tour se jette sur elle la bite en avant. Il la bourre comme un lapin excité l’écrasant de tout son poids .
Ma mère se laisse faire, ne réagissant pas et surtout, priant que tout ça prenne fin vite. Elle est détachée de son corps malmenés. Elle semble un morceau de viande inerte. Ses seins bougeant comme deux grosses masses de chair a cause des coups de reins.
L’homme reste à la violer pendant une dizaine de minutes qui lui semble une éternité. Margot est inerte, immobile ne réagissant pas. Les bras écartés sont mous, les jambes écartées aussi. La chair de ses cuisses si musclée bouge mollement car elle ne réagit plus.
Pareil pour son ventre détendu et ses seins qui semble comme je le disais, deux masses de chair. Ils ont réussit leur coup. La transformer en pantin de chair inerte soumise. La voilà qui s’abandonne, détachée elle qui a tant de caractère. Une vois que l’homme lui est fait son affaire, il se relève la laissant allongée sur le bitume sale. Elle reste au sol , toujours immobile en espérant que cela va cesser enfin. Allez ! Que l’homme au couteau en finisse. Qu’il vienne se vider en elle maintenant. Que ce calvaire cesse.
Mais l’homme au couteau n’est pas satisfait. C’est pas ça qui semble le faire bander. Baiser un corps inerte ne le fait pas jouir. Ces sûr il a aimé la voir se faire prendre sans réaction mais ce qu’il aime , c’est la domination et il l’a montré tout au long du viol. Il fouille dans la poubelle et en sort une bouteille de vin vide.
- Tenez là et écartez lui les pattes.
Margot comprend et hurle. On lui met dans la bouche un bout de chiffon sale trouvé à même le sol prés des poubelles. L’homme au couteau a emmené du shaterton. Il avait tout prévu depuis le début. Il consolide le bâillon.
Les deux hommes la maintiennent cuisses écartées devant lui. L’homme au couteau a pris soin d’enlever les résidus d’étiquettes métalliques autour du goulot. Il prend son temps et le fait devant le regard terrorisé de ma mère qui pousse des hurlement étouffé par le bâillon. La bouteille est bien lisse maintenant.
Il lui introduit la bouteille dans le vagin. La douleur est atroce et on a l’impression que les yeux de ma mère vont sortir de leurs orbites. Il parvient à l’enfoncer à la moitié. La chatte est dilatée a son maximum. Dommage, car il aurait aimé l’enfoncer carrément dans les entrailles.
Il cherche à nouveau et trouve alors une autre bouteille plus petite. Il refait la même opération et introduit la bouteille dans l’anus. L’opération douloureuse dure au moins un quart d’heure.
N’ayant jamais été sodomisée, il a du y aller doucement tout en lui lubrifiant l’anus avec de la salive. La souffrance pour ma mère est terrible. La petite bouteille est à son tour enfoncée dans son anus.
- Tenez la bien, maintenant ! dit l’homme au couteau
Ils la recroquevillent et lui lie les mains et les pieds avec le shaterton. Ses mains sont solidement scotchés avec les pieds. Elle est attachée en grappe. Ils la relâchent et la laissent sur le sol en la regardant.
L’homme sort un petit appareil photo et prend des clichés. Puis il sort sa bite et se branle. Il doit avoir l’habitude vu le coup de main qu’il a. Il se met à juter sur elle. Sur les seins, la face et sur ses jambes. Il en met partout en gémissant. Elle est toute collée de partout. Il finit ses clichés et dit :
- Pour ma collection et pour éviter que tu ailles parler aux flics. Ce serait dommage que tes élèves te voient comme ça, ou ton mari. Et les filles du cours de danse. Et oui, on sait plein de choses sur toi.
Ma mère est au sol, elle ne bouge pas. Il sort son couteau ,la menace.
- Maintenant écoute, salope, tu as vu ce qu’on est capable de faire ! Maintenant tu vas arrêter de te pavaner devant les cités pour provoquer. Si tu as envie de faire la pute, va en ville mais pas ici. Si on te revoit une seule fois à faire ta connasse alors ce sera pire la prochaine fois. On te retrouvera cette fois dans un terrain vague, les tripes à l’air et tes gros seins découpés, tu piges’
Les paroles sont horribles, ce gars est un véritable psychopathe. Ils soulèvent alors maman et la jette dans les poubelles. L’homme au couteau prend encore quelques clichés de ma mère dans les détritus.
Avec le choc, un sac à été percé et tout son contenu nauséabond s’est déversé sur elle. Ils s’en vont en ricanant fortement. Ils laissent ma mère comme ça, attachée, nue avec les orifices défoncées par les bouteilles encore fichés dedans.
Après avoir jouit à ce spectacle dégradant, j’attend une bonne demi-heure histoire de faire croire au fils qui a cherché sa mère partout. Qu’elle honte j’ai en osant faire semblant de l’aider. Mais jamais je n’oserai lui avouer m’être masturbé en la voyant se faire agresser et violer.
Jamais je n’oserais lui dire à quel point j’avais aimé ça. Je finis par arriver prés des poubelles et vois de prés maman attachée dans les ordures et l’urine. Cela va faire plus de trente minutes qu’elle est restée dans cette posture. Trente minutes attachée dans cette posture humiliante avec les bouteilles dans le vagin et l’anus. Ils sont allés jusqu’au bout dans la dégradation de la femme.
Je la détache et la réconforte comme je peux mais elle est traumatisée. Je l’aide à lui retirer des deux bouteilles. D’abord celle dans son cul défoncé. Puis sa chatte violée.
La douleur est atroce quand je retire les corps étranger et elle ne peut plus marcher. Ses deux trous écartés au maximum. Il va pourtant falloir retourner à la cité en scooter.
Je l’aide a se remettre debout. Je lui passe mon tee-shirt pour cacher sa nudité et ses seins opulents. Il est hélas pas assez long pour cacher sa chatte. Nous parvenons à rentrer en passant inaperçu heureusement. Du moins j’espère que personne ne nous a vu.
Déjà que ça radotte pas mal sur maman alors si on dit qu’on l’a vue a moitié nue en compagnie de son fils, imaginez. Depuis, on a pas trop reparlé de ça et on fait mine d’oublier mais pourtant, malgré l’horreur de l’acte, en y repensant je me masturbe et culpabilise après.
Ma mère ne va pas porter plainte par honte de devoir déballer ça à la famille.
Elle garde tout pour elle. Sa façon a elle de se venger de cet acte terrible, c’est d’être aller s’acheter immédiatement une minijupe et un nouveau débardeur blanc cassé afin de montrer ses charmes pour faire chier les machos de la cité.

Histoire du net. Auteur: Julien. Les aventures de Martine... Suite

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 Vous connaissez le proverbe...
Toutes des putes.... Sauf ma mère...

Martine Deuxème
Bonjour à tous et merci à ceux qui m'encouragent à narrer les aventures pornographiques de ma mère Martine. Pour les remercier, je vais tenter de retranscrire au mieux les faits qui se sont produits deux mois après les fameuses vacances d'été que j'ai passé avec elle.
Pour infos, sachez que ma mère ignore que j'écris sur elle et ses dépravations. Je n'ose pas lui dire car j'ai peur qu'elle le prenne mal. Mais trêve de palabres, voici l'histoire :
J'ai décidé avec l'accord de mes parents, de poursuivre mes études dans une autre faculté loin de ma ville natale. Aussi, me suis- je dégoté un petit studio non loin du centre de ma nouvelle ville d'adoption dans un quartier sans histoires.
Il est vrai que je ne connais personne mais j'ai vraiment envie de partir loin de chez nous. Cela me permettra d'oublier ma rupture avec Laetitia qui a décidé de vivre en Corée d'où ses grands-parents sont originaires.
Ma mère a décidé de venir m'aider à m'installer et j'en suis bien content. Je crois qu'elle a besoin de sortir de la résidence car depuis les vacances, elle passe son temps à faire du lèche vitrine ou à rester chez nous à siroter des cocktails.
Mon père est de moins en moins souvent à la maison et passe son temps à bosser sans s'occuper de d'elle. Cela va donc la changer un peu de passer deux ou trois jours dans le studio. Je compte bien sûr, l'emmener faire un tour en ville comme à nos habitudes.
Une fois installé, je nous sers un petit apéritif et entamons une discussion. Nos conversations tournent beaucoup sur le sexe d'autant plus que nous sirotons quelques cocktails au rhum bien forts.
Ma mère est bien chaude, détendue et elle me demande si j'aimerais la voir habiller sexy ce soir. Chauffé par l'alcool, Je lui réponds que oui. Ma mère reprend :
- Aah, que je suis contente d'être avec toi ce soir ! Comme tu me fais vraiment plaisir en m'invitant à passer quelques jours avec toi, j'ai décidé à mon tour de te faire plaisir ! ".
Je la regarde un peu surpris mais heureux qu'elle me demande cela . Ma mère me dit toute souriante :
- Hum, Il faudra faire un peu de shopping pour me trouver des vêtements sexy ! Il faut se presser car les boutiques vont bientôt fermer !
En effet, il est 18h30 et il faut faire vite car je tenais à sortir et à ce que ma mère soit habillée de manière bien provocante ce soir. Nous arpentons les rues et tombons sur un magasin spécialisé dans la lingerie de charmes.
Je l'attends dehors car cela ferait douteux de voir un fils choisir des tenues osées avec sa mère. Je lui fais confiance pour trouver ce qu'il faut. Les articles sont assez chers mais cela en vaut la peine et ma mère a les moyens.
Je l'attends pendant une bonne quinzaine de minutes et elle ressort visiblement satisfaite avec deux grandes poches beiges. Nous rentrons en vitesse au studio et mangeons un morceau. Nous buvons un petit Martini et la voilà qui s'enferme dans la salle de bain à double tour. J'entends la douche couler et j'attends avec impatience de voir ses achats.
Au bout de vingt longues minutes, elle en sort toute radieuse et vêtue au-delà de toutes mes espérances. Mais pour ceux qui ne connaissent pas encore ma mère, une petite description s'impose.
Sachez que c'est une très belle femme bourgeoise d'1m64, très bien conservée pour ses 47 ans. (Elle paraît avoir 10 ans de moins). Elle est brune et aime se coiffer au carré. Ses yeux sont de couleurs noisettes et elle aime maquiller ses paupières de préférence en vert.
Ses lèvres sont pulpeuses et sont mises en valeur par un fabuleux rouge à lèvres carmin.(Elle aime pincer les lèvres pour bien attirer le regard. Elle a mis de petites boucles d'oreilles blanches et un collier doré très fin qui pend sur son opulente poitrine.
Pour les amateurs de grosse poitrine, ils doivent savoir que ma mère a vraiment de très gros seins et elle a conscience que c'est un atout majeur voire essentiel pour séduire et bien provoquer.
Elle a mis un t-shirt blanc très moulant aux fines bretelles et avec un large décolleté qui dépasse largement le raisonnable. Pour couronner le tout, cette fois ci, elle ne porte pas de soutient-gorge car elle me dit souvent qu'elle se sent mieux lorsque ses gros seins flottent librement sous ses chemisiers ou t-shirt.
Cela est gênant pour elle de porter des lourds soutient-gorge à armatures qui en plus lui comprime les nichons. Le problème, vu que sa poitrine est énorme, est que l'on voit facilement qu'elle ne porte pas de soustif et on distingue effectivement ses tétons pointer à travers le tissu (on peut même deviner les larges auréoles sombres autour).
Elle porte également une mini jupe en cuir noir extrêmement courte qui moule bien les formes de son cul et lui arrive au ras des cuisses. Certes, maman a un peu d'embonpoint au niveau des hanches à cause de ses grossesses mais elle a de très belles jambes. Elles sont bien lisses, bien épilées et elle porte des sandales en cuir.
Elle s'est vernie les ongles avec un blanc crème éclatant. Son corps dégage un fort parfum de femme et je dois avouer que j'ai une légère érection en la voyant. Elle a beau être ma mère, c'est aussi une superbe femme sensuelle, aux formes plantureuses, facilement comparable à une hardeuse professionnelle.
Je suis toujours scié de la voir habillée comme une femme facile alors que devant mon père et ma sœur, elle porte des tailleurs-jupes classes. Elle n'a pas du tout le même comportement qu'ici. J'aime le fait qu'elle se déprave en ma présence et se laisse aller à sa véritable personnalité : celle d'une femme provocante, sans tabou et avide de sexe.
De toute façon, elle sait bien que j'aie de drôles de fantasmes et surtout en ce qui la concerne particulièrement. La voir se dépraver me flanque chaque fois une gaule pas possible car je l'ai connu austère et puritaine, bien loin de la femme qu'elle est devenue aujourd'hui. Maman me dit avec un sourire éclatant :
- Alors, mon Julien chéri, toujours partant pour aller boire un verre en ville’
Nous sortons donc faire la tournée des bars comme à notre habitude. Ce qui est bien, c'est que personne ne risque de nous reconnaître car nous sommes loin.
Inutile de vous décrire les regards des hommes sur maman. Elle roule bien des fesses en marchant et ses gros seins, libres sous son t-shirt, ballottent d'une manière indécente et provocatrice.
Ma mère et moi buvons un peu trop dans les bars où nous nous arrêtons et rapidement toutes nos inhibitions sont levés. Nous pénétrons enfin dans un bar bien glauque et enfumé. L'odeur du tabac et de la sueur sont mélangés et il est bondé de monde. Il y'a essentiellement que des hommes imbibés d'alcool et tous ont les yeux rivés sur le corps plantureux de ma mère.
Elle le remarque bien et semble en être plus que satisfaite car elle aime séduire et se faire désirer. Elle est invitée à une table et, complètement ivre et ingénue, maman se joint aux clients.
Je reste en retrait pour bien mater la scène. Ils sont trois gars d'environ une quarantaine d'années et costauds. Ils payent un verre à ma mère qui commence à vraiment se laisser aller. Elle rigole bêtement à leur blagues stupides et ne voit pas (ou elle feint d'ignorer ) les yeux lorgner sur ses gros seins que l'on remarque aisément sous son t-shirt moulant.
Lorsque je vois l'un des gars sortir des billets et lui chuchoter quelque chose à l'oreille, je comprends tout de suite : Ils prennent maman pour une prostituée. Elle devient toute rouge et me regarde. Je me dirige vers les trois hommes. Ma mère me regarde un peu surprise et me dit :
- Julien, ils…ils me prennent pour une prostituée! ". J
e regarde les trois hommes qui commencent à s'énerver. J'essaye de calmer le jeu en leur disant que ma mère avait un peu trop bu et qu'elle ne pratique pas ce genre d'activité. L'un d'eux me dit :
- On pourrait croire que ta mère est une pute, t'as vu comme elle est fringuée’
Je vide cul sec mon verre et l'alcool me monte à la tête :
- Ecoute, maman, tu devrais un peu te détendre !
Je commande un verre pour elle. L'un des hommes indique au barman que c'est lui qui offre. Ma mère le vide rapidement et les gars se risquent à la peloter. L'un d'eux pose une main sur sa cuisse nue et la caresse tandis que celui de droite lui palpe directement ses énormes nichons en passant sa main en dessous le t-shirt blanc.
Chaude, maman se laisse faire et commence à gémir lorsqu'elle sent des doigts s'insinuer dans sa chatte car une chose que j'ai oublié de préciser : elle ne porte pas de culotte. Les deux gars la soulève discrètement et l'entraîne vers les toilettes d'où émane une forte odeur d'urine.
Je les suis ainsi que le troisième hommes. A peine arrivés dans les chiottes malodorantes et sales, ma mère est mise à genoux. Les trois sortent leurs bites et instinctivement, ma mère commence à les sucer.
Pour ceux qui ont lu les précédentes histoires, vous devez savoir qu'elle est devenue une experte en fellation. Les grosses queues rentrent dans sa bouche qui semblent être adapté à ce genre d'activité.
Elle pipe celui du milieu et branle les deux autres de ses mains diablement expertes. Elle semble assoiffée et continue à bien pomper sec. Celui du milieu éjacule le premier et maman s'empresse de tout avaler sans en laisser une miette. Sa langue lèche le gland de l'homme qui grogne de plaisir.
- Enlève ton t-shirt, salope ! Je veux voir tes grosses loches !
Ma mère s'exécute sans broncher et enlève enfin son t-shirt blanc. Ses énormes seins apparaissent donc devant les yeux stupéfaits des trois hommes encore plus excités. L'un d'eux s'empare de ses nichons et les malaxent à pleines mains tout en gémissant de bonheur. Ma mère, très sensible des seins, commence à gémir de plaisir.
L'autre veut sa part et tous deux s'emparent d'un gros sein chacun et s'amusent à les palper, les soupeser et pincer ses tétons dressés. Puis ils commencent à les embrasser et à les téter.
Ma mère plaque leur tête contre ses deux énormes nichons et les incite à continuer. On a l'impression d'une mère allaitant ses deux grands enfants. Au bout de quelques minutes, tour à tour, ils forcent maman à leur faire une branlette espagnole.
Ainsi, à tour de rôle, ils insinuent leur gros sexe entre les énormes loches de ma mère et commencent à faire des va et vient. Maman, experte en branlette espagnole, s'empare de ses gros nichons et les pressent autour de la queue du gars.
Ne pouvant se retenir, ils éjaculent tous les deux rapidement et le sperme coule abondamment sur les seins de ma mère et son ventre. Elle tente d'en avaler un peu et s'en badigeonne le corps, heureuse de cette semence libérée grâce à elle.
Les gars, vidés, sortent des billets et les donnent à maman :
- Bordel, tu dis que t'es pas une pute et pourtant j'ai rarement été sucé aussi bien!
Ma mère est étonnée et flattée d'être payé pour avoir procuré du plaisir à des hommes. Ils sortent des chiottes, repus. Moi, j'ai réussi à me retenir de me branler en voyant ma propre mère piper ces gars et se faire grassement payer.
La soirée n'est pas terminée et loin s'en faut. Ma mère fait un brin de toilette et remet en vitesse son t-shirt moulant qui lui colle un peu à cause du sperme sur ses gros seins. Je la regarde : une idée absurde me passe par la tête et, l'alcool aidant, je lui demande :
- Dis donc maman, et si tu faisais le trottoir cette nuit’ On pourrait voir combien de personnes payeraient pour tes charmes ".
Ma mère me regarde et se lèche les lèvres encore imbibées de sperme.
- Hum, c'est bientôt la fermeture des bars ! Je vais sortir et attendre que l'on m'aborde dans la rue !
Décidée, maman se dirige vers la sortie en roulant du cul sans gêne et en se cambrant pour que l'on voie bien ses gros seins ballotter en dessous le t-shirt moulant. Tous les hommes la regardent en proférant de multiples quolibets bien salaces à son sujet.
Ma mère commence à attendre comme une professionnelle prés d'un lampadaire. Au bout de cinq minutes à peine, une voiture s'arrête et ma mère lui indique les conditions. Elle veut se faire baiser sous une porte cochère que nous avions aperçue.
Je me mets dans un coin masqué dans la pénombre afin de surveiller maman et de mater bien sûr. L'homme sort du véhicule garé prés de la porte cochère et commence à peloter le corps ma mère. Il s'excite rapidement et finit par la baiser contre le mur.
Cela est très rapide et il finit rapidement de la besogner. Maman récupère les billets et se poste de nouveau près du lampadaire. Un autre client se présente et il exige une pipe cette fois. Ma mère le satisfait et l'homme repart après avoir payé la somme convenue.
Deux voitures s'arrêtent pour profiter des charmes de ma mère. L'une d'elle porte un landau à l'arrière indiquant que son occupant cocufie honteusement sa femme. Ma mère ne se pose pas ce genre de questions mais commence à se lasser de ces passes aussi rapides. Le bar ferme et des clients ivres l'abordent sans complexe.
Elle se fait donc baiser par une bonne dizaine de clients avinés qui lui offrent même des restes de bouteilles qu'elle s'empresse de finir. Elle se contente juste d'écarter les cuisses, à moitié saoule et excité tandis que les autres se vident les couilles misérablement.
La scène est pathétique dans la mesure où elle ne prend même plus de plaisir à se faire prendre et en arrive à se vendre pour des fonds de bouteilles. Je commence à m'ennuyer ferme et j'envisage de rentrer au studio lorsqu'une bande d'une dizaine de jeunes l'aborde.
Ils ont entre 18 et 25 ans maximums et semble bien ivres eux aussi. Ma mère est un peu effrayée mais elle sent qu'ils veulent la baiser. Ils s'emparent d'elle et l'entraînent vers un véhicule stationné près d'une poubelle dégueulasse.
Il doit appartenir à l'un d'entre eux. Ils ordonnent à maman de virer son t-shirt moulant pour qu'ils puissent voir ses gros nichons. Elle le fait et de nouveau, elle se retrouve les seins à l'air pour le plus grand bonheur de tous.
Rapidement, ils la déshabillent complètement et pelote tout son corps nu en se la passant comme un vulgaire pantin. Ils s'affairent principalement sur ses énormes loches laiteuses aux larges auréoles brunes.
On palpe son cul, caresse ses jambes, des doigts s'insinuent dans sa bouche, son vagin et même dans son trou du cul. On la traite de " putain en chaleur, de salope à gros seins, de dépravée… " et bien d'autres insultes très crues et humiliantes.
Ce petit jeu dure un bon moment et ma mère est malmenée de la sorte jusqu'à ce qu'elle soit plaquée de nouveau sur le capot de la voiture. Là, on lui écarte bien les cuisses et les jeunes commencent à faire la queue pour la baiser.
Le corps de ma mère subit donc les assauts des jeunes queues fougueuses et désireuses de cracher leur semence. Elle sent les sexes turgescents ramoner l'intérieur de son vagin qui est une véritable fontaine maintenant. Le sperme chaud inonde sa caverne et cela lui procure une jouissance infinie.
Ma mère commence à gémir et moi, dans mon coin sombre, je sors ma queue et commence à me branler. L'un d'entre eux finit par la retourner et sans crier gare, sans même la préparer, l'encule sauvagement.
Heureusement pour elle, c'est loin d'être sa première sodomie et elle est heureuse d'être possédée de la sorte. Ma mère commence à vraiment gémir de bonheur. Voyant cela, les autres décident à leur tour de l'enculer.
L'un des jeunes gars me voit entrain de me pignoler lamentablement. Il vient vers moi en ricanant et m'invite à venir enculer ma propre mère. Je refuse mais ils ne me laissent pas le choix. Cela m'apprendra à jouer les voyeurs incestueux, lâche et pervers. Je me retrouve devant le trou du cul dégoulinant de sperme de maman, rouge comme une tomate. Je suis honteux et réalise à quel point je suis un pervers.
Ma mère attend, nue, ivre sur le capot de cette voiture et le cul en feu et à l'air. Devant les incitations des jeunes, je me lance et mon sexe, en érection comme jamais, ramone le cul de cette bourgeoise en manque. Je l'encule sauvagement moi aussi et elle réagit en poussant des hurlements de jouissances. Je finis par éjaculer par grosses saccades et très rapidement.
Ma mère est bien pleine et ses deux orifices dégoulinent de foutre. Les jeunes se marrent et emmènent ma mère près du lampadaire où elle attend. La différence, c'est qu'elle fait le tapin complètement nue maintenant.
Elle se tient droite à coté de ce fameux lampadaire, ses grosses loches bien en vue des clients potentiels. A la voir, on peut voir le plaisir qu'elle éprouve à faire le tapin à poil. Inutile de vous dire que les voitures s'arrêtent nombreuses et ma mère doit pomper et écarter les cuisses à de nombreuses reprises afin de bien satisfaire ses clients........
Il doit être environ quatre heures du matin lorsque les jeunes décident de remettre ça. Cette fois, elle leur taille quelques pipes et effectue quelques branlettes espagnoles entre ses gros nibards. Mais elle n'échappe pas à une nouvelle séance de sodomie ni à bain de sperme offert gracieusement par ces jeunes si infatigables.
Au final, Ma mère se retrouve recouverte de sperme qui se mélange à sa sueur car elle a pas mal travaillé ce soir. Les jeunes payent maman et nous laissent en partant dans le véhicule sur lequel ils ont baisé.
Nous décidons de rentrer au studio. En arrivant, ma mère, complètement souillée, se déshabille devant moi et prend une douche. Elle en sort au bout de 5 mn, nue et me regarde bizarrement.
- Tu devrais te laver toi aussi, petit cochon !
Elle se frotte les cheveux et ses gros seins ballottent à nouveaux provoquant en moi une nouvelle érection du feu de dieu. Je file à la douche me laver de toutes ces honteuses dépravations.
Maman, toujours nue, s'allonge
Mes parents sont de retour de vacance.
Ils reviennent de chez mes grands-parents paternels et semblent avoir passé un agréable séjour comme un couple normal. Ma mère m'a téléphoné et bien sûr, m'a demandé si elle pouvait faire un saut dans mon studio.
On peut sentir à sa voix, son impatience à venir me rendre visite.
Mon père, quant à lui, ne se préoccupe pas de savoir pourquoi elle y reste deux jours beaucoup trop absorbé par son travail. Elle prétexte du lèche vitrine, des visites de musées, d'expos en tous genres et le besoin affectif de retrouver son fils chéri .
De toute façon, je suis avec elle et il me fait entièrement confiance. Comment pourrait-il imaginer que son fils soit le complice des dépravations de sa propre mère.
Comment pourrait-il oser s'imaginer que moi, son propre fils, ait osé inciter sa mère à faire la pute sur le trottoir. Pour ma part, je ne vois pas les choses de ce point de vue dans la mesure où maman était entièrement consentante.
Mais trêve de justifications, de morales ou d'excuses bidons, voici la suite des exploits pornographiques de ma mère, Martine est sur le lit et compte ses billets d'un air satisfait. Il y'en a facilement pour 1200 € et en même pas une nuit.
Heureuse, elle finit par s'endormir, toujours à poil, sur le lit en s'allongeant sur cet argent facile. Moi, je suis pas très fier et j'ai des scrupules car je n'ai jamais cautionné la prostitution

A suivre...

Histoire du net. Auteur: Julien. Les aventures de Martine... Suite

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Martine chez les Putes....

Martine Deuxème
Fin
J'ai honte car je pense à toutes ces pauvres femmes exploitées ou qui vendent leur corps pour survivre. J'ai atteint un haut degré de perversité en incitant ma propre mère à se prostituer. Je me console en me disant une chose : C'est qu'après tout, elle était largement d'accord:
Martine, ma mère, m'a rejoint dans mon studio presque immédiatement après son retour de vacance du mois d'Août. Mon père a repris le travail sur Nantes et pense que c'est le besoin de retrouver son fils qui la motive à venir me rejoindre aussi rapidement.
Je me suis remis à potasser mes bouquins, révisé mes textes et mes cours de latin. Cette année va être dure et c'est sciemment que j'ai décidé de migrer de mon ancienne fac.
Ma mère sonne et je la reçois avec plaisir. Elle est souriante, fraîche et heureuse de ses vacances passées avec mon père. Elle est habillée en une robe estivale orangée fine au large décolleté mettant bien en valeur sa grosse poitrine. Elle a également des sandales à lanières. Je la trouve un peu plus inspirée en ce qui concerne ses vêtements car en règle générale, elle met des tailleurs jupe.
Nous parlons de ses vacances mais savons pertinemment ce qui l'emmène ici. Il faut attendre le premier verre d'apéro pour que nous rentrions dans le vif du sujet. Nous en venons à ce qui s'est passé la dernière fois et de sa prostitution volontaire. Je précise " volontaire " car je le répète : Je ne cautionne pas ce genre d'activité et surtout sur ce que cela implique pour celles qui sont obligées de vendre leur corps.
Ceci dit, cette histoire n'est pas un procès des méfaits de la prostitution. Non, ce qui nous intéresse (surtout le lecteur puisque j'ai malheureusement vécu cette histoire), ce sont les dérives pornographiques de ma mère.
Nous reparlons donc de la soirée d'il y'a 15 jours. Elle m'avoue s'être un peu ennuyée en faisant la tapin sauf dans le bar et lorsqu'elle s'est faites baiser par les jeunes. Elle a également aimé tapiner complètement à poil (véridique mais sous l'effet de l'alcool) et souhaite vraiment le refaire. Je la regarde un peu surpris:
- Maman, tu… tu n'es pas sérieuse’ Tu veux recommencer à faire le trottoir’
Elle me répond l'air bien décidé :
- Oui, et ce sera ce soir, cette nuit ! J'ai envie de me prostituer comme la dernière fois !
J'ai du mal à y croire mais au fond pourquoi pas.
- Tu m'as l'air troublé, mon Julien, tu as honte de moi’
Je m'empresse de lui répondre que non :
- Non, maman, bien au contraire ! Mais j'ai un peu peur pour toi, tu pourrais tomber sur un psychopathe ou te faire embarquer par les flics. Imagine que cela se passe. Pense à Papa et à Cathy !
Ma mère réfléchit un peu et semble maintenant s'apercevoir des enjeux et des conséquences que pourraient entraîner son attitude : son mariage, ses enfants. Ma mère tient à la cohésion familiale et ne voudrait en aucun cas la briser.
- Ecoute, mon chéri, pour éviter ça, on va retourner au bar de la dernière fois et je ferais la pute dans les chiottes ! comme ça, pas de risque !
Ma mère m'embrasse tout en rajoutant :
- T'inquiètes pas, ta chère petite maman n'est pas folle !
Elle finit son verre puis se lève:
- Bon, sers moi une petite vodka orange pendant que je me change!
J'entends la porte de la salle de bain se refermer. Je me demande quelles fringues elle va se mettre cette fois. Un quart heure plus tard, elle en ressort et j'ai vraiment l'impression que se tient devant moi une véritable prostituée.
La différence c'est que la pute en question n'est autre que la femme qui m'a mis au monde, m'a allaité et élevé : ma propre mère. Mais ne vous inquiétez pas, je vais vous la décrire le mieux possible.
D'abord, je dois vous avouer que j'adore la voir se métamorphoser de la sorte ; c'est à dire de la voir passer de mère de famille honorable à femme facile et effectivement, à la voir il n'y' a pas de doute : une vraie salope (dans le sens noble du terme) pour mon plus grand bonheur et celui des lecteurs sans doute.
Maman s'avance vers moi et je peux la contempler à loisir. Ma mère est une femme bourgeoise très classe de 47 ans qui paraît en faire dix de moins (on lui donnerai entre 35-40 ans). Elle mesure 1m64 et a un très léger embonpoint au niveau des hanches (suite à ses deux grossesses).
Ce qui frappe de prime abord, ce sont ses seins : Ma mère (et ce n'est plus un secret maintenant) à vraiment une poitrine énorme facilement comparable à celle d'une actrice de porno professionnelle . Je l'ai souvent vu les seins à l'air ces derniers temps en particulier cet été à la plage et croyez-moi, il y'a de quoi faire.
Au départ, avant qu'elle ne se découvre une passion débordante pour le sexe, elle en avait honte et elle cachait ses seins. Aujourd'hui, c'est une femme libérée et heureuse d'exhiber ses atouts et surtout son opulente poitrine.
Elle a troqué son tee-shirt moulant de l'autre fois pour un body noir très provoquant. Ses énormes nichons sont compressés et débordent largement par le haut un peu comme deux ballons .
J'ai du mal à comprendre comment elle parvient à respirer mais ce qui est sûr c'est que, lorsqu'elle marche, ses énormes seins se soulèvent un peu et l'on peut voir une partie de ses larges auréoles brunes ressortir à la vue de tous.
Elle a remis la minijupe en cuir noir de l'autre fois. Elle est vraiment très courte, peut être trop et lui arrive à ras les cuisses. De plus, sa minijupe est si moulante que l'on peut facilement voir les formes de son cul si souvent sollicité.
Ses jambes sont nues car maman n'aime pas les bas. Ceci dit, elle met un point d'honneur à bien les épiler et à entretenir leur magnifique galbe. Maman est une femme soignée qui aime plaire et est vraiment maniaque en ce qui concerne le soin de son corps plantureux.
Normalement, elle est brune aux yeux noisettes mais elle s'est teint récemment les cheveux en noir de jais cette fois et s'est maquillée vraiment outrageusement.(pour plus de détail car je n'envoie pas de photo, Elle ressemble de visage un peu à l'animatrice Evelyne.T ) Elle a mis un rouge à lèvre très vif qui marque ses lèvres et montre bien l'utilisation qu'elle peut faire de sa bouche goulue aux lèvres pulpeuses ( d'ailleurs, les lecteurs connaissent sa dextérité dans l'art de pratiquer des fellations).
Bien évidemment, elle ne porte aucun soutifs car elle se sent mieux de la sorte et c'est plus pratique pour sa nouvelle activité. Elle porte des mules noires à talon et comme la dernière fois, a utilisé un vernis couleur crème pour ses ongles de pieds.
Maman est vraiment superbe et je suis fier d'avoir une mère aussi sexy pour son âge. Elle a avec elle un petit sac en cuir noir qui complète sa panoplie de femme de la nuit. La voilà donc prête à arpenter les rues chaudes une fois de plus.
Il m'arrive parfois de penser à mon père qui se fait cocufier sans arrêt depuis presque un an est demi et à ma sœur qui pense que ma mère est une femme honorable et une pieuse mère de famille. Ils sont loin de se douter de la véritable nature de maman.
Ceci dit et c'est ce qui me rassure, je sais que ma mère aime mon père mais qu'elle aime énormément le sexe. De toute façon, cela la regarde, c'est son cul après tout. Elle est grande et je trouve dommage qu'elle doive cacher son corps superbe et surtout que d'autres hommes n'en profitent pas.
Nous sortons du studio et nous orientons vers le centre dans le bar où elle a fait le tapin la dernière fois. Dans les rues (car nous sommes à pieds), les regards fusent sur son corps voluptueux et provoquant car non seulement maman a vraiment l'air d'une pute qui suinte le sexe mais en plus elle en rajoute plein pot. Sa démarche est terriblement explicite.
Elle roule du cul et claque ses talons au sol tout en bombant bien le torse afin de montrer la taille de ses gros melons qui ballottent outrageusement à chaque pas. Je croise les regards des hommes qui la matent sans vergogne tout en proférant des quolibets bien salaces.
Nous arrivons dans la petite rue dans laquelle se trouve le bar et sans l'ombre d'une hésitation, elle entre. Certains clients reconnaissent ma mère et certains la sifflent.
- Alors, t'es de retour, ma salope ! " hurle un homme dans le bar.
La majorité des clients, c'est à dire à 90%, est masculine. Les autres femmes semblent pratiquer la même activité que ma mère sauf que elles, elles n'ont souvent pas le choix contrairement à maman qui vend son corps pour son plaisir.
Elle se dirige vers le comptoir où sont entassés des clients avinés qui reluquent ses gros nichons provocants pendant qu'elle commande. D'autres hommes se lèvent et convergent vers le comptoir afin de pouvoir parler à maman.
Enfin parler… où plutôt espérer bénéficier de ses charmes. Maman commence à leur parler et vide son verre de whisky presque cul sec. Revigorée, chauffée, elle en commande un autre et les clients se bousculent pour le lui offrir.
Les verres se succèdent devant le regard satisfait du patron heureux que cette pute à gros seins lui ramène un maximum de monde. Au fil des verres, la conversation tourne crue, les mains se font baladeuses et commencent à peloter ses cuisses tendres.
Maman se laisse faire et les gars s'enhardissent. Cette fois ils palpent carrément ses gros nichons qui débordent du body et comme ma mère est très sensible des seins, elle commence à sentir ses tétons se durcir et elle gémit de plaisir. L'un d'entre eux risque sa main en dessous de sa minijupe moulante et s'aperçoit que maman ne porte pas de culotte.
Il insinue lentement son doigt dans sa chatte tout en palpant une de ses fesses à travers la mini jupe. Trois paires de mains s'acharnent à soupeser, malaxer et palper ses grosses loches encore emprisonnées dans le body noir.
Un autre se penche et lui embrasse le nombril de son ventre nu. Un grand moustachu lui roule un patin baveux de chien en rut. Ma mère commence à s'exciter à force sentir toutes ses mains tripoter son corps de femelle en chaleur et elle sent sa chatte s'humidifier.
Elle se laisse carrément enlever son body en plein dans le bar. Ses gros seins laiteux tombent lourdement. La taille de la poitrine de maman impressionne et excite les mâles.
Les mains s'empressent de soupeser, toucher, de triturer ses loches aux larges auréoles brunes qui m'ont jadis allaité. Ces symboles maternels sont devenus des jouets de luxure pour le plus grand bonheur de maman et de ses partenaires. Son body lui est finalement entièrement retiré et se perd parmi les clients.
On lui enfourne une bouteille de bière dans la bouche histoire de bien la faire boire pour la chauffer davantage. Il y'a cinq homme qui s'affairent sur le corps de ma mère. On peut voir deux ivrognes lui téter les seins comme des bébés.
Je dois vous dire qu'elle aime se faire téter ou mordiller délicatement ses tétons tout dur. Elle empoigne ses seins par en dessous et les offre à ces deux hommes avides de retrouver les joies de leur plus tendre enfance. Un peu pris de court par l'attitude consentante de maman, le patron commence à calmer tous le monde.
- Ecoutez, j'ai pas envie d'avoir de problème avec les flics, merde !
Mais personne ne l'écoute. Il me regarde et me demande :
- Dis à ta mère d'aller au premier pour se faire baiser, il y'a une piaule pour ça !
Mais maman a entendu et repousse difficilement les clients avinés et en particulier ceux collés à ses gros seins. Elle parvient, cependant, à s'extirper de la foule de ses admirateurs. On commence à lui tendre des billets pour pouvoir la baiser chacun son tour. Ma mère monte et est suivie par quatre hommes (Malheureusement, je n'ai pas osé pas aller la mater en train de sucer ces alcoolos et donc ne peut vous décrire la scène).
Au bout d'un petit quart heure, les clients descendent visiblement satisfait de la prestation de maman qui redescend pieds nus et toujours ses énormes seins à l'air en réclamant de l'alcool. Elle va directement au bar et ne porte que sa courte minijupe noire comme seul vêtement.
Un gars d'une cinquantaine d'année se met derrière elle et passe ses deux mains en dessous ses bras afin de malaxer ses nichons qu'il pelote avec délice. On tend un verre à ma mère, puis un autre et un autre. Le patron décide alors de fermer à clef la porte du bar.
De toute façon, il ne pourra plus empêcher ses clients de baiser ma mère complètement saoule dans son propre bar. Des mains agrippent maman et la plaque sur une table. Sa minijupe est violemment arrachée et on lui écarte bien les cuisses. Son sexe est exhibé et tous le monde a les yeux rivés sur cette chatte brune si bien entretenue.
Ma mère, telle une marionnette se laisse manipuler. Les commentaires fusent.
- Regardez moi cette chatte ! elle est superbe et au moins, elle est bien rasée et entretenue !
Son sexe est inondé de liquide vaginal surtout lorsqu'elle sent des doigts écarter ses lèvres pour le montrer à tous le monde.
- Je me demande combien de queue ont du fourrer cette chatte en feu !
L'un des gars dans la salle s'écrie
- Montre nous son trou du cul ! je suis sûr que cette salope a du se faire enculer des centaines de fois !
Le barman décide de se joindre au groupe. Il l'a retourne et écarte délicatement les fesses de maman pour bien montrer son trou du cul.
- Regardez moi ça, les mecs, un vrai garage à bite cette bourgeoise !
Soudain le barman écarte les yeux. Il a remarqué l'alliance de ma mère.
- Ooh, mais t'es encore pire qu'une pute, toi ! tu fais cocu ton mari et tu retires même pas ton alliance, en plus !
Un grand brun au teint mat prend la parole.............
- Bon, ce sera chacun son tour maintenant mais il faudra bien payer cette salope!
Le patron récolte donc les billets et me les donne. Les clients font la queue pour pouvoir se vider les couilles. Quant à moi, je suis là, comme un pourceau en train de bander à l'idée de voir ma mère faire la pute et se faire baiser à la chaîne en plein milieu de ce bar immonde, enfumé et à la chaleur écrasante. Le barman dit:
- Attendez, on va la baiser dans les chiottes cette salope ! elle mérite que ça !
Les clients amènent ma mère dans les toilettes malodorantes et la mettent à quatre pattes. L'état des lieux est vraiment repoussant. L'odeur d'urine est omniprésente et l'état du sol carrelé témoigne d'un fort manque d'hygiène.
Les urinoirs sont infects et certaines chiottes bouchées. Des détritus divers jonchent le sol poisseux : mégots de cigarettes, papier toilette, cendre humide et même des préservatifs utilisés. Ma mère est donc à poil, à quatre patte et est entourée par six hommes parmi lesquels se trouve le patron. Ils sortent leur queues en érections qui pointent vers la bouche de maman.
Affamée, elle se jette sur ces bites qu'elle enfourne dans sa bouche. Elle se met à genoux et branle vigoureusement deux de ses clients tout en suçant avidement le patron. Les mouvements de va et vient de ses bras font ballotter ses gros seins. Avec sa langue experte, elle lèche le gland du barman tout en le toisant d'un regard de chienne.
N'en pouvant plus, il éjacule malgré lui sur le visage maquillé de maman. Le sperme est chaud et gicle par grosse saccade. Il coule le long du visage de ma mère et sur une bonne partie de ses énormes seins. Elle se pourlèche les babines et plaque ses deux mains sur ses loches qu'elle macule de foutre.
Ensuite elle se pince les tétons qui pointent dur et commence à se masser les Seins toujours la queue du barman en bouche qui grogne de plaisir.
- Fais moi une branlette espagnole ! " demande l'un des gars qu'elle branlait.
Ma mère se cambre au mieux et englobe le gros sexe entre ses énormes loches luisantes de sperme. Elle presse donc ses deux melons et effectue des va et vient de plus rapides pour bien branler son client. Il finit par jouir sur les seins de maman heureuse de cette semence chaude qui lui coule avec délice sur le corps.
Ma mère décide alors de s'occuper des autres et se met à les sucer. Les queues rentrent dans sa bouche à la chaîne et elle n'en finit pas de pomper. Ceci dit, elle s'applique à la tâche en tentant d'avaler le plus de foutre possible.
Le sperme coule à flot et maman se ramasse giclées sur giclées en pleine figure. Son visage, son cou, ses nichons et une partie de son ventre dégouline de sperme chaud.
Son maquillage se défait et se mélange au foutre maculant son visage. Ses gros nichons en sueur sont inondés de semence féconde. Inutile de vous dire que les hommes sont excités au plus haut point et là, on la relève.
- Maintenant, on va voir si t'es vierge du cul, mais ça m'étonnerait ! " dit le moustachu en ricanant.
Ils incitent ma mère à sortir des chiottes : Elle est dans un piteux états et ce n'est pas fini. Maman est remise a quatre patte mais au centre du bar cette fois. Elle cambre son cul comme si elle connaissait la suite. Le grand moustachu sort sa grosse queue et encule ma mère sans la moindre préparation.
De toute façon, ce n'est pas la première et sans doute pas la dernière. Il ramone le cul de ma mère en poussant des grognements bestial sous le regard envieux et concupiscent des autres clients. De toute façon, ceux-ci comptent bien enculer cette salope à gros seins qui n'est autre que ma mère.
En professionnelle expérimentée, elle ondule du cul pour bien accompagner le mouvement de va et vient. Le moustachu a les mains sur les hanches de ma mère et accélère le mouvement à grand coup de boutoir. Il rentre sa grosse queue dans l'anus de maman qui se retient d'hurler de plaisir.
Au bout d'un certain temps, la tension est trop forte et il se lâche dans le cul de ma mère en grognant de. Ma mère accompagne l'homme en hurlant elle aussi de bonheur. En se retirant, on peut bien voir le trou du cul de ma mère dégouliner de foutre chaud. En voyant cela, les autres décident de faire la queue pour la sodomiser.
Ma mère n'attend que cela de toute façon car les lecteurs savent déjà qu'elle adore se faire prendre par le cul. Rassurez vous sur ce point, tous, et tous sans exception , ont pu enculer ma mère. La séance a durée une bonne heure.
J'ai pu voir ma mère se faire prendre par tous les trous et de toutes les façon possibles et inimaginables. Elle a même droit à un superbe bain de sperme digne des meilleurs films pornographiques.
Moi, je me suis masturbé comme le dernier des pervers bon à enfermer. Le corps de ma mère est entièrement recouverte d'un amalgame de sueur, d'alcool et de sperme mélangés. Ses gros seins sont maculés de foutre ; Son cul et sa chatte sont en feu et dégoulinent encore de sperme.
Malgré cet état d'intense dépravation, ma mère semble heureuse comme jamais d'avoir été traitée comme la dernière des putains. Mais comme dirait le vieil adage : "à force de jouer avec des allumettes, ont finit par se brûler ! ".
La conclusion de cette histoire est un peu moins réjouissante que d'habitude.
Il doit être trois heures du matin et nous sortons tous du bar. Ma mère est toujours à poil dans la rue, toute en sueur, ivre et recouverte de sperme de la tête au pied.
A ma grande stupeur, elle continue à faire la pute et malgré l'état de dépravation de maman, des passants acceptent de la baiser gratos. Ainsi, je peux la voir se faire prendre à plusieurs reprises dans la rue sur des capots de voitures , contre des vitrines et même contre une poubelle.
Je ne pensais pas que ma mère était si avide de sexe et si endurante. Le comble de la perversion, c'est lorsque deux grands blacks l'entraînent de force dans une cabine téléphonique éclairée et décident de se la faire à deux.
Elle est donc obligée de sucer l'un tandis que l'autre la prend par derrière, à l'extérieur de la cabine à la vue de tous. La scène dure une bonne dizaine de minutes. On peut voir a moment donné ma mère debout dans la cabine et plaquée contre la vitre en train de se faire baiser par derrière par le black qu'elle suçait. Ses énorme seins sont aplatis sur la vitre et ses tétons écrasés par le volume de ses nichons. Les deux noirs lâchent quelques billets sur son corps, satisfait de s'être tapé cette bourgeoise blanche et s'en vont bien repus .
Moi, Je commence à piquer du nez et je vois maman qui s 'éloigne avec trois autres hommes qui n'avaient pas eu leur dose de sexe ce soir. Sans doute qu'ils vont la baiser sauvagement dans une ruelle sordide. Incapable de les suivre à cause de ma trop grande consommation d'alcool, je m'assoie en luttant contre le sommeil.
Au bout de dix minutes, je parviens à récupérer et je repense à ma mère. Elle en met du temps, que lui est-il arrivée ' J'attends cinq minutes et toujours rien. C'est alors que je repense aux faits d'actualités : Et si elle était tombé sur un malade mental, une bande de psychopathes qui l'aurait enlevé, séquestré dans un coin sordide.
Les idées les plus atroces et perverses traversent mon esprit et je décuite rapidement. Je me maudis de l'avoir laissée toute seule et dans cet état avec des inconnus.
Ma perversion se retourne contre moi et c'est une fois de plus ma mère qui risque d'en faire les frais. Je me met à courir dans tous les sens, les larmes aux yeux tout en imaginant le pire. Mais après une vingtaine de minute de recherches , Je dois me rendre a l'évidence : ma mère a bel et bien disparu……………………

C'est vraiment pas le moment de se ballader en forêts... Fais un froid de canard!

Transports en Commun...

Transports en Commun...

Madame a un amant particulièrement fougueux..!

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Et un mari particulièrement enchaîné. 
Bref le paradis pour elle!


 
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