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Channel: Chez Andre 112
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Elle les aime beaucoup

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Mademoiselle est servie
Et bien servie même..!


Histoire du net. Auteur inconnu.... La descente au.... paradis

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Un très beau texte que j'aurais  aimé écrire.
Quand un couple se découvre...
 
LE COCU CONTENT...
Le soir de notre cinquième anniversaire de rencontre, j’ai offert à ma femme Salima le bracelet qu’elle voulait tant, même si c’était une véritable petite folie. J’avais préparé un bon petit dîner en amoureux afin que la soirée se déroule parfaitement. Enfin presque tout, ma petite Salima arrivant avec une heure de retard, folle furieuse après son patron et ayant en plus complètement oubliénotre anniversaire. Dire que généralement, on pense que ce sont les hommes qui oublient les anniversaires !
Enfin la soirée ne se passe quand même pas trop mal, même si on est loin de ce que j’avais espéré. Salima s’en rend d’ailleurs tout à fait compte et se confond en excuses toutes les dix minutes.Au milieu du repas je lui dis d’arrêter et de profiter plutôt de la soirée. Elle me regarde droit dans les yeux, puis glisse sous la table et entreprend une fellation dont elle a le secret.
Évidemment nous n’avons pas mangé le dessert, la soirée se terminant au lit bien plus tôt que prévu. Durant les jours suivant, je sentais Salima plutôt distante et tracassée. Je lui demandais pourquoi tant de soucis, elle me répondit qu’oublier l’anniversaire de notre rencontre était vraiment impardonnable de sa part.Le samedi suivant, en rentrant de chez un ami, je trouve un mot de Salima : Prends une douche et habille toi nous sortons ce soir.
Vers 20 heures, fin prêt je me demande quelle surprise m’attend lorsque le téléphone sonne.Salima m’annonce qu’elle vient me chercher en voiture dans 5 minutes. Le temps de fermer la maison et voici la voiture devant le portail. Mon amour est au volant, maquillée, un long manteau ne dévoile que ses jambes gainées de soie. Elle est splendide. Elle m’embrasse tendrement et me souffleà l’oreille :
- Bon anniversaire mon amour, cette nuit est ta nuit….»
Je frémis et me sens très fier d’être son mari.
- Où allons-nous ? »
- Nous allons dîner dans un endroit que tu ne connais pas ! »
Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, je la regarde de plus en plus étonné. Nous rentrons, un serveur nous accueille et prend aussitôt nos manteaux et là j’ai eu le premier choc de lasoirée. Ma chérie, si discrète, porte un tailleur avec une minijupe. Visiblement la veste portée à même lapeau est plus déboutonnée qu’il ne conviendrait, offrant à tous un décolleté étourdissant quis’allonge presque jusqu’au milieu de ses seins. Je reste sans voix. J’entends Salima qui prend les choses en main et se dirige vers notre table.
Je la suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et les autres convives attablés.
Tout en dégustant notre repas, Salima m’explique sa petite mise en scène. Ce soir elle a voulu me faire plaisir et s’est donc acheté ce tailleur, des bas et un string. Je n’en reviens pas ! Et je dois dire que pendant qu’elle m’expliquait tout cela, je n’ai pu détacher mon regard de ses seins qui sebalançaient librement sous sa veste. Je n’étais d’ailleurs pas le seul qu’elle envoûtait. Le serveur ne se gênait pas pour la regarder avec insistance, et plus particulièrement son décolleté. Une pointe de jalousie montait en moi lorsque Salima me dit :
- Il ne faut pas, après tout n’es-tu pas fier d’avoir une femme qui attire les regards ? Laisse-moi faire et profite du spectacle. »
Sans me permettre d’esquisser la moindre parole, elle se lève et se dirige vers les toilettes. La plupart des hommes présents, moi compris, l’ont suivi du regard.Au bout de quelques minutes elle est revenue, rayonnante, les yeux brillants d’excitation ; elle avait quelque chose de différent. C’est seulement lorsqu’elle s’est assise que je suis aperçu que son décolleté baillait franchement. Elle avait déboutonné encore plus sa veste et devenait ainsi très provocante. Franchement, elle m’épatait et m’excitait à la fois. L’excitation remplaçait petit à petit jalousie. Elle me chuchota alors :
- Ce que tu ne sais pas, pas plus que les autres, c’est que je n’ai plus de string…
Mon érection grandit encore au point de me faire mal dans mon pantalon. Le serveur vint alors et nous demanda ce que nous voulions tout en louchant dans le décolleté de Salima. Elle fit mine de réfléchir tout en jouant avec le tissu de sa veste dévoilant discrètement un de ses beaux seins aux regards avide du serveur.
Une fois seuls elle me demande :
- Tu as aimé ? »
- Oui, mon amour »
- Moi aussi cela m’excite. »
C’est dans une tension incroyable que nous terminons le dîner. Il est encore tôt pour rentrer et Salima me propose de sortir danser un peu pour entretenir cette tension qui nous excite tant. Bien sûr j’accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée. Nous partons pour une sorte de piano bardont nous avions entendu parler.
Dans la voiture je caresse doucement ses cuisses et en remontantdélicatement je m’aperçois qu’effectivement elle ne porte rien sous sa jupe et que son sexe est complètement inondé.Nous arrivons rapidement à destination et découvrons l’endroit qu’un de nos amis nous avait chaudement recommandé. Lumière tamisée, ambiance feutrée quelques couples dansent au sond’un piano qui joue une douce mélodie.
Nous nous installons un peu en retrait et commandons deux cocktails. Les sens de plus en plus échauffés par l’excitation et l’alcool Salima me propose de danser. Doucement nous évoluons ainsi un long moment au milieu des autres danseurs. Je propose à Salima un autre cocktail et la laisse près de notre table.
Lorsque je reviens un homme d’une cinquantaine d’années l’invite à danser ; un bref regard dans ma direction pour demander mon accord et elle se dirige vers la piste au bras de son cavalier.
De ma place je peux les voir tourner doucement au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de ma femme. La jalousie, et l’excitation me reprennent. Un moment je capte le regard interrogateur de Salima. Mes yeux brillants, mon sourire sont autant de oui à sa question muette : Bien sûr si tu le veux, laisse-le continuer, il n’y a pas de mal à se laisser un peu caresser le dos.
Je continue donc à observer ce couple, composé de ma chérie, l’amour de ma vie, et de cet inconnu dont les mains se font plus insistantes, plus pressantes. Ils se rapprochent lentement de notre table j’aperçois alors leurs corps serrés l’un contre l’autre dansant doucement. Ils ne sont plusqu’à deux ou trois mètres lorsque l’homme face à moi, regarde dans ma direction. Lentement sans lâcher une seule seconde mes yeux il se penche et embrasse délicatement ma femme sur l’épaule et remonte lentement vers le cou, puis la joue s’arrêtant juste à la commissure des lèvres.
C’est à ce moment précis que la musique cesse. Je vois alors Salima remercier cet homme et venir me rejoindre.
- Tu es en colère ? » Me demande-t-elle inquiète.
- Non pourquoi le serais-je ? »
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ? »
- Si, je dois dire que j’ai aimé te voir danser avec lui, j’ai aimé le voir te caresser, t’embrasser.Et toi ? »
C’est à ce moment-là qu’intérieurement je me suis posé la question pour la première fois des avoir si cela me plairait qu’elle fasse l’amour avec un autre que moi. Prenant mon courage à deux mains je lui demande alors si elle aimerait danser à nouveau avec lui. Elle me regarde, interrogative mais ne répond pas. Quelques longues secondes s’égrènent, puis elle me dit
- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. »
Nous sommes restés de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser. Enfin je lui dis :
- Écoute mon amour, je sais que tu adores danser et je ne voudrais pas te priver. Vas-y si tu enas vraiment envie.
Elle me sourit, m’embrasse, puis se lève lentement et se dirige vers la piste de danse. Au bout de quelques minutes l’homme revient et se met à danser devant elle. Petit à petit ils s’écartent du centre de la piste pour se retrouver dans un coin assez sombre qui est proche de notre table. Le style de ma femme jusque-là assez sage dévie lentement vers une danse de plus en plus sensuelle voirelascive. Je regarde fasciné ma chérie adorée exécuter une espèce de parade amoureuse qui n’a pour but que d’exciter le mâle qui se trouve devant elle.L’homme se rapproche d’elle, lui chuchote quelque chose à l’oreille. Salima le regarde et luisourit. Ils se remettent alors à danser l’un contre l’autre, bougeant au rythme de la musique,rapprochant toujours un peu plus leurs corps jusqu’à se coller. Mon excitation grandit encore bien que mes sentiments soient plus axés sur la jalousie et la colère. Voir ma femme aussi calme, aussi décontractée dans les bras de cet homme me fait mal.Je la vois alors me regarder et articuler distinctement : « Pour toi, je t’aime ».Ma tension intérieure chute brutalement et je lui souris. Elle regarde alors son cavalier etl’embrasse sur la bouche. Pas un baiser du bout des lèvres, mais un baiser profond, sensuel. Les mains de son cavalier descendent doucement sur les fesses de Salima pour l’obliger à se plaquer encore davantage à lui.
Ils dansent ainsi quelques minutes se rendant caresses et baisers. À la fin dela série, l’homme la prend par la main et l’attire vers sa table où ils retrouvent un autre couple. Je les observe, toujours plus excité, elle rit, boit un peu, rit encore ; elle est belle, désirable…
Son cavalier pose sa main sur sa cuisse et commence à la caresser. Elle me regarde interrogative.Je lui fais à nouveau un grand sourire qui a pour effet de la détendre complètement. Elle s’appuie sur le dossier de la banquette et se laisse aller pour mieux apprécier. Lentement la main remonte vers le haut de sa cuisse dévoilant mon ange toujours un peu plus. L’autre couple décide alors d’aller danser.Sans doute se sentent-ils de trop.
L’homme est en train d’embrasser Salima lorsque sa main effleure sa toison brune. Il marque un temps d’arrêt, puis reprend son exploration. Même s’ils sont un peu abrités par la semi-obscurité et par la situation géographique de la table qui est assez éloignée de la piste de danse, le spectacle de ma chérie la jupe complètement remontée ne peut pas échapper à toute l’assistance.
Je regarde rapidement autour de moi, un peu affolé. Je ne repère personne d’autre que le couple de tout à l’heure semblant s’en être aperçu. L’homme continue de caresser ma femme tendrement. Puis lui a chuchoté quelque chose et s’est dirigé vers la sortie. Salima est venue me rejoindre, les yeux brillants.
- Je t'aime me dit-elle
- Moi aussi, mais pourquoi est il parti?
- Il m'attend dehors, seule
- Que comptes tu faire mon amour, demandais je inquiet?
À ce moment, mes sentiments étaient tellement confus que je ne savais même pas quelle réponse je souhaitais entendre. Elle me regarde dans les yeux et me répète pour la troisième fois de la soirée :
- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. »
Le problème c’est que je ne savais plus ce que je voulais ! Je suis resté un long moment sans rien dire, juste lui caressant les cheveux. Enfin je romps le silence :
- Où t’a-t-il proposé ? »
- Je lui ai dit chez nous. »
- Vas-y mon amour si tu le désires. »
- Rejoins-moi à 4 heures. Je serai alors toute à toi mon amour. »
Elle m’embrasse tendrement, se redresse devant moi, déboutonne totalement sa veste de tailleur,prend son sac, traverse toute la salle et sort. Je reste seul, rempli de sentiments contradictoires, il est à peine minuit.
Les quatre heures suivantes se traînent lamentablement. Je danse un peu, discute beaucoup avec le barman. Je suis dans un état d’excitation incroyable. Il est quatre heures pile lorsque je rentre chez moi. J’ai croisé une voiture à moins de deux cents mètres de ma porte d’entrée. À cette heure, il y a fort à parier…
Je monte directement dans notre chambre. Salima est là, étendue sur le lit conjugal. Je la regarde, elle est encore plus belle. Je m’approche et l’embrasse tendrement sur le front. Son odeur est brouillée par celle d’une eau de toilette pour homme. Je descends mes lèvres vers les siennes. Une autre odeur dont je devine l’origine, le sperme de son amant, chatouille mes narines. Une érection se déclenche immédiatement.
- Mon amour, je t’aime. »
- Moi aussi, je t’en supplie crois-moi ! »
Je lui souris. Je continue de descendre lentement vers ses seins tout en déposant de petits baisers.
- S’il te plait laisse-moi me laver. »
- Non ! Je te veux ainsi. »
Je descends jusque vers son sexe et là, je vois sa vulve luisante de sperme. Salima me regarde inquiète. Je suis fasciné par ce spectacle, par l’odeur de sexe qui imprègne la pièce, par la« dépravation » de mon ange qui s’est donnée sans retenue à un inconnu. Je me déshabille rapidement et viens me blottir contre elle. Je la rassure par des mots tendres et beaucoup de douceur. Enfin elle commence son récit :
« Il m’avait demandé de venir le rejoindre seule, mais que si je le faisais, je devais aussi lui montrer que j’irais jusqu’au bout. C’est pourquoi j’ai traversé toute la salle la veste déboutonnée. Une fois sortie j’ai rejoint l’homme qui m’attendait près de sa voiture. Puis rapidement je suis montée et je lui ai indiqué le chemin jusqu’à notre maison. Le trajet s’est déroulé dans une relative tension. Une fois arrivés à destination, l’homme m’a dit doucement:
- Tu es prête ?
Nous sommes montés directement dans la chambre à coucher, nous sommes embrassés longuement tout en nous déshabillant mutuellement. Il m’a longuement embrassée, léchée, avant devenir sur moi. Nous nous sommes regardés dans les yeux, puis tout doucement il est entré en moi. Ilest resté quelques secondes sans bouger, pour que je m’habitue à l’idée d’un autre sexe que le tien en moi. Puis il a commencé de lents et longs va-et-vient jusqu’à ce que je mette mes jambes sur ses reins comme un signal d’acceptation.
Nous avons fait l’amour sans nous arrêter pendant presque trois heures. Je devenais plus« chienne » à chaque minute. J’avais envie d’être possédée comme jamais auparavant. Je l’ai sucé longuement, me suis mise en levrette, lui ai demandé d’être plus violent, de martyriser mes seins, de me tirer les cheveux »
Pendant son récit, je me suis mis sur elle afin de la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant qu’elle meracontait sa nuit d’amour. L’excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle, mon sperme rejoignant celui de son amant. Je l’ai regardée alors pour lui dire combien je l’aimais… Elle m’a simplement répondu avec un grand sourire :
- Je t’aime aussi ».
Lentement je suis descendu jusque vers sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve dessouillures de son amant et du sperme que j’avais moi-même déposé.Au bout de quelques minutes, Salima s’est mise sur le ventre, découvrant son joli fessier avec comme seul commentaire :
- N’oublie rien mon amour. »
Tremblant, redoutant ce qui va suivre, je prends ses jolies fesses dans mes mains et les écartent doucement. Son anus dilaté recrache un liquide blanc. Bien qu’elle ne m’ait jamais autorisé la sodomie, je l’ai quand même nettoyée avec application. Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre serrés.
Au petit matin j’ai découvert une nouvelle Salima, plus coquine, plus sensuelle. Seuls quelques bleus en forme de doigts sur ses seins et une trace de morsure sur l’épaule, faits par son amant d’un soir, nous ont rappelés la folle nuit que nous venions de passer.
Quelques semaines plus tard, nous venions de faire un câlin lorsque dans l’intimité de notre lit Salima s’est mise à reparler doucement de cette soirée. Je fus à la fois surpris et excité à l’évocation de cette nuit pendant laquelle ma si délicieuse femme s’était donnée sans retenue à un inconnu.
Elle m’avoua alors tout le plaisir qu’elle avait eu, aussi bien physique que cérébral. Je l’ai caressée durant sa confession, réveillant son envie. Immédiatement mon sexe s’est durci, une envie irrépressible est montée en moi et en elle. Nous avons refait l’amour sauvagement, violemment tellement l’excitation était grande.
Une fois calmés, nous avons rediscuté plus calmement de cette soirée et de cette envie d’aventures.Salima m’avoua alors l’émoi ressenti dans son rôle de femme sexy, de femme facile et devant le comportement des hommes à son égard. Mais si elle voulait recommencer, ce n’était qu’à la condition de le faire en ma présence. Je lui dis alors que je voulais moi aussi la voir ainsi parce que j’aimais cela.
Ce fût une sorte de libération pour elle ; Salima se posait beaucoup de questions sur elle, sur moi,sur notre couple depuis ce soir-là. Je la rassurai alors définitivement en lui disant que je voulais la voir faire l’amour avec d’autres hommes.
Quelques jours plus tard, un vendredi soir, je dis à Salima :
- Nous sortons ce soir. »
- Où cela ? »
- Tout d’abord un restaurant, puis tu verras… »
Elle me regarde, une lueur coquine dans les yeux, et part vers la salle de bains pour se préparer. Une fois sous la douche, je prépare ses affaires achetées pour l’occasion en les disposant sur le lit :porte-jarretelles noir, bas, chemisier noir transparent, une veste noire et une jupe fendue sur ledevant. Elle sort de la salle de bain, parfumée et maquillée, portant juste une serviette. Dieu que mafemme est belle ainsi !
Je la croise et entre à mon tour dans la salle de bain sans un mot. Elle entrouvre la porte juste quelques minutes après et me demande doucement :
- Chéri, tu n’as rien oublié ? »
- Si tu fais allusion à des dessous, je te réponds que c’est une perte de temps pour une fille facile comme toi. »
Mes propos l’ont touchée, elle m’a regardé avec un air étrange, mêlé d’excitation et de colère. Je décide alors de pousser le jeu un peu plus loin pour tester sa réelle volonté.
- Et tu n’oublieras pas de te maquiller un peu plus, je te trouve un peu fade. »
Ce fût comme une gifle. Elle baissa les yeux, indécise. Mais rapidement je la rassure en lui disant :
- Je te veux très chaude ce soir, pour notre plaisir à tous les deux. Je t’aime. »
Elle me regarde alors et me dit qu’elle m’aime aussi. Nous finissons de nous préparer chacun denotre côté. Nous montons dans notre voiture direction le restaurant de notre fameux anniversaire. À peine assis, je l’embrasse amoureusement et la félicite pour sa beauté. Nous roulons quelques minutes sans un mot, chacun pensant aux évènements qui ne manqueront pas de se produire.
Une fois arrivés, nous dégustons un merveilleux repas largement arrosé, surtout pour Salima, sous l’œil intéressé du serveur qui nous a reconnus dès notre entrée.Juste avant le café je suggère à ma femme si sexy ce soir de remercier le serveur qui s’est si bien occupé de nous. Elle me regarde interrogative. Puis doucement écarte un peu les pans de sa veste. Ses seins sont parfaitement visibles au travers de son chemisier, ses tétons tendant le tissu. Le serveur se délecte de la vue, je suis sûr qu’il est lui-même très excité. Nous finissons notre café et quittons le restaurant.Tout en marchant en direction de notre voiture nous parlons du serveur.
- Tu as aimé t’exhiber devant lui ? »
- Oui beaucoup, je suis très excitée tu sais. »
- Moi aussi… Veux-tu continuer et aller plus loin ? »
- Oui mon amour. »
- Alors je te propose une chose : je veux te voir très très chaude, j’aimerai voir une Salima sans aucune gêne, aucune limite. »
- Mmmm, je le veux aussi. Merci de me comprendre si bien et de m’aimer autant. »
Nous montons en voiture et nous nous dirigeons vers le piano-bar pour continuer de suivre le déroulement de notre soirée d’anniversaire. Nous entrons et prenons place à une table isolée et loin de la piste de danse. Nous nous embrassons, nous nous disons des mots doux, des mots d’amour. Petit à petit, nous sentons tous les deux que le temps de passer aux choses sérieuses est venu.
- Tu viens danser ma chérie. »
- Oui »
Nous nous dirigeons vers la piste de danse. L’alcool, la musique, l’érotisme de la soirée emportent Salima dans un tourbillon sans fin, elle devient plus chatte, plus coquine. Un moment lesmouvements des autres danseurs nous éloignent l’un de l’autre. J’en profite pour me reculer franchement et observer ma douce épouse se trémousser au son de la musique.
Plusieurs hommes se rapprochent d’elle. Ils dansent avec elle. Mon cœur s’accélère. Puis d’un coup, je reconnais l’un d’eux. C’est son amant d’un soir ; un terrible doute s’insinue en moi, et sic’était voulu, calculé ? Mais non après tout ce n’est pas possible, c’est moi qui ai choisi le programme de la soirée.L’homme prend Salima dans ses bras et l’embrasse sur la joue. Un baiser appuyé, tendre. Ils parlent quelques secondes, puis ma femme me cherche des yeux. Nos regards se croisent enfin. Ses yeux dans mes yeux, elle prend entre ses mains la tête de son partenaire et l’embrasse sur la bouche longuement. Ils se remettent à danser tout en se souriant.Je commande deux nouveaux cocktails et regagne notre table tout en les surveillant. Après quelques minutes ils me rejoignent. Il s’appelle Jacques et semble extrêmement décontracté. Salima et moi le sommes beaucoup moins… Nous engageons la conversation sur des sujets tout à fait banals.La gêne commence à nous gagner tous les trois. Salima prend alors les devants en prenant la main de Jacques dans la sienne. C’est comme un signal ; il me regarde, je lui souris lui confirmant ainsi mon accord. Il se tourne vers Salima et l’embrasse tendrement sur la bouche.
J’imagine leurs langues se joindre, s’enrouler, se lover l’une contre l’autre. Je suis fou d’amour pour elle, dans unétat d’excitation indescriptible.
Jacques me regarde et me complimente :
- Votre épouse est véritablement superbe, vous formez un très beau couple.
- Merci, mais ce soir il ne faut pas la considérer comme mon épouse, mais seulement comme une femme libre. »
Salima me regarde, rayonnante. Dieu qu’elle est belle. Puis doucement elle retire sa vestedévoilant à Jacques sa poitrine qui se dessine très distinctement sous son chemisier très transparent.Il est sous le charme, moi aussi d’ailleurs.
- Libre de repartir danser avec moi ? Ou même plus ? Le voulez-vous Salima ?
Salima, après un bref moment d’hésitation, me regarde et répond :
- Oui, totalement !
Ils repartent danser, la tenue de Salima attirant tous les regards ; ceux des hommes qui serégalent ainsi que ceux des femmes beaucoup plus énervées.Après quelques danses Salima revient me rejoindre, seule. Elle est un peu honteuse de saconduite, la danse l’ayant quelque peu dégrisée. Je la rassure, l’embrasse et lui propose de décider lasuite de la soirée.
- Jacques va revenir dans quelques minutes, il discute avec un ami. Je crois qu’il veut nous le prsenter
- Que désires tu? »
-Tu veux toujours me voir avec un autre homme ?
- Oui mon amour. »
- Alors attendons-le. »
Quelques minutes plus tard Jacques revient avec son amis
Il est plutôt petit, un peu bedonnant,pas franchement beau, mais son sourire illumine son visage qui dégage une grande douceur. Je sens Salima réticente au premier abord, mais la voix douce de Jean-Louis, le nouvel arrivant, finit par a rassurer. Nous buvons alors un autre cocktail pour faire connaissance, l’ambiance se détend est Salima est assise entre les deux hommes.
Je l’observe, fier de l’avoir pour femme. Jacques lui chuchote quelques mots à l’oreille. Elle le egarde et l’embrasse longuement. Un pesant silence autour de la table s’est créé. Nous nous regardons avec Jean-Louis.
Puis dans un même mouvement, Salima cesse d’embrasser Jacques.
Elle tourne la tête et tend ses lèvres entre-ouvertes à Jean-Louis qui, après un rapide coup d’œil dans ma direction, embrasse mon ange à son tour.
La voir embrasser sans aucune gêne un autre homme me donne un choc. Elle réalise cela sans aucun déplaisir, bien au contraire. Je la vois à présent différemment, la jalousie montant en moi, ou plutôt l’énervement et une forme de haine s’emparant de moi. Salima qui me connaît bien le détecte immédiatement. Elle dit alors tout haut :
- Sachez messieurs que j’appartiens à mon mari et à personne d’autre. C’est lui que j’aime et que j’aimerai toujours, même si ce soir je me livrerai à vous qui me donnerez un plaisir qu’il ne peut pas égaler… C’est pour lui avant tout que je le fais. »
Même si cette dernière phrase n’est pas tout à fait vraie, elle m’ôte tout sentiment de colère et attise mon envie. Jacques propose alors d’aller tous les quatre dans un hôtel qu’il connaît pour continuer plus au calme cette soirée si bien commencée. Nous montons alors dans sa voiture, Salima et Jean-Louis à l’arrière, moi à l’avant. À peine démarré, j’entends des bruits suspects derrière moi. Je me retourne et les vois qui s’embrassent à pleines bouches. Salima prend alors la main de Jean-Louis et la guide entre ses cuisses largement écartées. Horrifié j’entends alors Jean-Louis dire tout haut à son copain :
- Elle est trempée ! »
Salima que j’imaginais plus prude, comme quoi on ne connaît jamais vraiment les gens, lui répond :
- Oui, je suis à vous ce soir ! »
Nous sommes arrivés sur le parking de l’hôtel, Jean-Louis avait encore ses doigts dans le sexe de ma femme. Il les retire enfin et lui donne à lécher. Puis nous sortons de la voiture.
Ma petite femme adorée est dans un état second, prête à tout, moi aussi d’ailleurs. Nous entrons et prenons une chambre sous le regard amusé et envieux du veilleur de nuit.
À peine arrivés dans la chambre, Jacques retire alors la veste de Salima, ouvre largement son chemisier et retire sa jupe. Il lui demande alors d’aller nous chercher du champagne dans le frigidaire. Elle traverse la pièce devant nous, presque nue, impudique, le sourire aux lèvres. Dieu qu’elle est belle, Dieu que je l’aime.
Elle nous ramène la bouteille docilement. Jean-Louis l’invite à boire encore et encore. Puis elle se dirige vers moi m’embrasse et en profite pour me déverser de sa bouche dans la mienne une petite rasade de champagne. Elle se relève va vers Jacques et fait de même, puis vers Jean-Louis. À chaque passage nous en profitons pour caresser ses seins, ses cuisses, pour la pénétrer de nos doigts avides.
Nous finissons bientôt la bouteille ainsi. Elle est, sous l’effet de l’alcool, de l’excitation et de l’envie de plus en plus chaude, de plus en plus impudique, de plus en plus indécente.Jacques me chuchote :
- Tu regardes seulement ou tu participes ? »
L’entendre parler comme cela de ma femme, et de ce que cela suppose, m’électrise littéralement. Je lui réponds de commencer sans moi pour l’instant.Il se déshabille rapidement, Jean-Louis aussi d’ailleurs, et prends Salima dans ses bras. Ils esquissent quelques pas de danse, je vois le sexe dressé de Jacques se perdre dans la toison de mon amour. Ils s’embrassent. Jean-Louis vient se coller au dos de Salima et lui mord doucement lesépaules, le cou. Je m’assois dans un fauteuil tout en sortant mon sexe pour le caresser.
Lentement Jacques lui retire son chemisier. Elle est à présent presque nue, seulement vêtue de son porte-jarretelles, de ses bas et de ses talons hauts. Jean-Louis lui appuie fermement sur les épaules, lui intimant ainsi de s’accroupir. Elle se retrouve ainsi accroupie entre ses deux inconnus leurs deux sexes à hauteur de son visage.
Elle est face à moi. Tout en attrapant ces deux queues elleme regarde dans les yeux avec un grand sourire, écarte largement les cuisses et articule distinctement sans un son : «Je t’aime». Salima, ma tendre chérie, prend alors ces deux queues dans sa bouche et commence à les sucer. Les deux hommes prennent chacun un sein et le malaxe, le tire, le caresse. Je suis au bord de l’explosion, mais je ne veux pas jouir maintenant.
Les deux hommes apprécient visiblement. Au bout de quelques minutes, ils se séparent, Salima ne suçant plus que Jacques qui doucement s’agenouille. Jean-Louis de sa voix douce lui dit :
- Regarde bien ton homme, pendant que je te pénètre. »
Il la prend alors par les hanches et doucement entre en elle. Mon tendre amour gémit rapidement sous les coups de boutoirs qui se font rapidement de plus en plus violents. Jacques sort sa queue et caresse le visage de Salima. Je suis devant un spectacle magnifique. Je n’ose plus me toucher de peur de jouir.
Jean-Louis dans un râle s’arque boute, la prend par la taille pour s’enfoncer au maximum et jouit en elle tout en mordant sa tendre épaule. Salima pousse elle aussi une plainte, signe de sa jouissance. Au bout de longues secondes Jean-Louis se retire, je me lève et vois alors la chatte béante de ma femme d’où s’écoule un filet de sperme. Jacques qui a vu mon regard me dit :
- Approche-toi et admire la chatte de ta femme qu’on a bien ouverte ! »
Sans une seconde d’hésitation je m’agenouille et sous le rire des deux compères je contemple la vulve souillée, la chatte dégoulinante de sperme de ma petite femme. Puis, Jacques fait monter Salima sur le lit et la couche sur le ventre. J’imagine sans mal la suite ! Moi qui n’ai toujours pas eu droit à ses reins, elle va se donner une deuxième fois.
Effectivement il se positionne au-dessus d’elle et très lentement, avec beaucoup de douceur, il fait pénétrer son sexe entre les fesses de ma femme. Je me rapproche et chuchote doucement à l’oreille de Salima que je l’aime…
Elle m’entend à peine.Jean-Louis se caresse, Jacques s’active longuement entre ses reins. D’abord lentement puis avec de plus en plus de fougue. Je vois sa longue queue entrer et sortir du cul de Salima. La chambre est saturée d’odeur de cyprine, de sperme, de sueur.
Mon cœur s’affole, mon sexe aussi, je jouis sur levisage et les cheveux de ma tendre chérie. Jacques et Salima jouissent quelques secondes plus tard.
Nous restons de longues minutes silencieux dans cette ambiance de sexe ; repus. Lentement nous émergeons de notre torpeur.Salima me chuchote que nous devrions rentrer à présent. J’acquiesce et prends congés de ses deux amants d’un soir. Salima me chuchote alors que le taxi arrive qu’elle sent le sperme couler le long de ses jambes. Je la regarde et l’embrasse tendrement.
Nous nous asseyons à l’arrière, Salima au milieu de la voiture serrée contre moi. Tout en l’embrassant je glisse ma main entre ses cuisses humides pour la forcer à les écarter. Si le chauffeur a la bonne idée de regarder, tant mieux pour lui !
Arrivés directement à la maison, nous avons fait l’amour avant même d’être arrivés dans notre chambre. J’ai dorloté ma petite Salima tout le reste du week-end et je compte bien le faire tout le reste de notre vie. Nos deux précédentes aventures ont considérablement changé notre vie de couple en la pimentant et nous faisant découvrir d’autres facettes de nos personnalités. Nous en avons reparlé et Salima m’a avoué très rapidement cette fois vouloir franchir encore un peu plus loin la limite de ceque son éducation lui avait interdit jusqu’à ces dernières semaines.

A suivre

Histoire du net. Auteur inconnu.... La descente au.... paradis. Fin

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 Quand un mari vit à travers la vie de sa femme

LE COCU CONTENT...
Fin
Nous avons décidé, d’un commun accord de laisser les choses se faire d’elles-mêmes, sans les provoquer cette fois-ci. En fait nous n’avons pas attendu longtemps ! Quelques jours plus tard après nos discussions, un soir vers 21 heures le téléphone se met à sonner ; Salima étant la plus proche répond :
- Allo »
- … »
- Oh bonsoir Jacques, comment allez-vous ? »
Mes oreilles se dressent et je me rapproche.
- … »
- Bien merci »
Après quelques civilités d’usage, la tournure de la conversation prend une direction beaucoup moins classique et je vois ma Salima qui finalement s’assoit en face de moi et me regarde l’œil brillant.
- Oui nous en avons reparlé avec mon homme. Nous avons beaucoup aimé cette soirée. »
- … »
- Je ne pense pas qu’il soit opposé à ce que nous nous revoyons. »
J’acquiesce de la tête sans trop bien comprendre ce qui se trame. Jacques lui parle longuement, Salima lui répondant juste par oui ou par non. Au bout de quelques minutes elle conclut la conversation par ces mots :
- Moi aussi Jacques, je vous embrasse tendrement. Je suis toute à vous. »
Salima raccroche, et me regarde. Elle s’approche de moi, me sourit.
- C’était Jacques, il a trouvé notre numéro sur le net via notre adresse. Il désire vraiment nous revoir et s’est donc permis de nous appeler. »
- Nous revoir, ou te revoir ? »
- Me revoir en fait, enfin principalement moi. Il nous invite à dîner. »
- Qu’as-tu répondu ? »
- J’ai accepté, bien sûr. »
Là je dois dire que j’avais l’impression que la situation m’échappait totalement, sans aller d’ailleurs avec une certaine dose d’excitation. Puis Salima poursuivit :
- Chéri, tu connais la règle que je n’ai moi-même pas oublié ! Je reste ta femme avant tout ; ce ne sont que des expériences physiques… et cérébrales… et peut-être un peu de sentiment samoureux pour Jacques, mais sans plus. Mais si tu ne veux pas continuer dans ces conditions, je me plierai à ta volonté. »
- Que t’a t’il proposé exactement ? »
- De dîner prochainement, et d’y passer la soirée bien sûr. »
- Pour ?… »
- Nous deux, il a également précisé qu’il y aura des surprises. »
- Franchement Salima, tout cela commence à m’inquiéter un peu. Je ne voudrais pas mettre en péril notre amour.
- J’ai très envie d’y aller. Découvrir, avec toi, de nouveaux plaisirs met mes sens en émoi !.... Mais j’insiste, cela ne peut se faire qu’à deux. Je t’aime et je désire avant tout notrebonheur... Ecoute, Jacques doit nous envoyer quelques petits conseils et quelques éléments concernant la soirée. Si tul e veux, on attend de recevoir cette lettre et on décide après.
- OK
Nous n’en avons pas reparlé pendant deux jours, néanmoins chacun de nos regards était chargéd’envie, de désir et surtout de défi. Qui se dégonflera ?
Enfin nous reçûmes cette lettre tant désirée, enfin plutôt les lettres : une pour Salima, une pour moi, avec interdiction de lire celle de l’autre.
La mienne disait en substance :.... Votre charmante épouse est informée des grandes lignes de la soirée et, en acceptant de répondre positivement à mon invitation, accepte donc librement les événements qui en découleront. Elle pourra se retirer du jeu quand elle le voudra dès lors qu’elle prononcera les mots suivants « S’il vous plat arrêtons-nous là».
Quant à vous, vous serez libre de participer comme bon vous semble, mais sans pouvoir arrêter le jeu. Vous pouvez cependant demander à votre épouse qu’elle prononce la phrase d’interruption. Néanmoins par expérience, je vous conseille de la laisser choisir elle-même le moment.
Je vous remercie d’apporter un soin particulier à votre tenue…... »
Ainsi seule Salima avait le programme de la soirée. Ma lettre n’avait que pour seul but de me rassurer. Elle a donc toutes les cartes en mains, et peut donc seule décider.
Je regarde alors Salima qui lit avec beaucoup d’attention sa propre lettre. Son sourire d’envie se fige peu à peu en une espèce de grimace que je ne sais interpréter. Elle lève enfin les yeux et me fixe.
Nous restons quelques secondes les yeux dans les yeux sans rien dire. Puis elle me déclare fièrement qu’elle aimerait beaucoup aller à cette soirée à la seule condition que j’accepte.
La manière avec laquelle elle me demande mon autorisation, marquée à la fois par du respect, de l’amour, du défi m’excite. Dieu, comme je ne connais pas ma femme ! Je ne peux qu’accepterl’invitation en notre nom à tous les deux. Salima se rapproche de moi, m’embrasse tendrement. Nos langues se cherchent, se trouvent, se lient…
Une nuit torride s’annonce !
Nous sommes invités le vendredi soir suivant, nous n’avons que 2 jours.
Salima prend son jour decongé pour bien se préparer me dit-elle.Je rentre vers 18h30 et je trouve sur la table de l’entrée juste un petit mot d’elle :
“” Je passe te prendre vers 20h. Je t’aime à la folie””
20h juste : un coup de klaxon devant la porte. Je sors et rejoins mon ange dans la voiture. Un doux parfum monte vers mes narines. Elle est là près de moi, belle, maquillée, désirable, le sourire auxlèvres, dans son manteau qui me cache sa tenue. Ma main s’avance vers sa cuisse en éclaireur, elleme repousse gentiment.
- Puisque je ne peux en voir plus peut-être me diras-tu où nous allons ? »
- Chez Jacques, ce n’est qu’à quelques kilomètres. »
Nous arrivons au pied d’un bel immeuble. Je regarde ma petite femme adorée et lui dis simplement :
- Es-tu prête ? »
- Et toi l’es-tu ? »
- Oui
Nous descendons de la voiture et nous nous dirigeons vers l’entrée. Sans un mot nous prenons l’ascenseur. Arrivés au sixième étage, je vois ma tendre Salima sortir un objet noir de son sac à main puis me demander :
- Aide-moi à mettre mon masque s’il te plait. »
Une fois en place, celui-ci lui cache uniquement les yeux, le bas du visage disparaissant sous une fine voilette noire également. C’est incroyable, le masque cache ses traits si bien qu’elle n’est pas reconnaissable, pourtant à l’évidence il ne peut y avoir de doute sur son identité lorsqu’on la connaît bien. C’est très troublant. Elle sonne à la porte. Jacques nous ouvre rapidement.
- Bonsoir, vous êtes les bienvenus dans ma demeure. »
Je lui serre la main un peu angoissé. Salima reste là entre nous deux. Un moment de flottement puis j’interviens :
- Ma chérie, peut-être devrais-tu embrasser notre hôte. »
Il se rapproche d’elle et tendrement lui dépose un baiser ardent sur les lèvres. Puis il la débarrasse de son manteau. Enfin je peux voir son accoutrement ; robe noire dos nu descendant jusqu’au bas des reins et s’arrêtant au-dessous des genoux tout en étant largement fendue sur le devant,visiblement pas de soutien-gorge, escarpins noirs, probablement des bas. Très classe et follement aguichante.
Pourtant un petit quelque chose me tracasse, un je ne sais quoi qui me trotte dans la tête. Tout d’un coup j’aperçois une chaînette autour de la taille de Salima, ce qu’elle n’avait jamais voulu mettre pour moi. Elle se rapproche et me chuchote :
- Je l’ai mise à la demande de Jacques, pour lui prouver mon attachement à lui. Mais mon amour, c’est uniquement pour toi que je lui ai obéi, même si ce soir pour tous, cette chaînette aura une signification différente. »
Je reste sans voix ne réussissant qu’à lui sourire. Puis soudain je comprends le sens de ses paroles :ce soir aux yeux de tous, sauf aux miens, elle appartient à Jacques. Quelques minutes plus tard un couple arrive à son tour ; ils sont visiblement très à l’aise. Jacques et Salima les accueillent. Je reste en retrait, comprenant rapidement que mon rôle est d’être spectateur.
Un jeune homme nous sert du champagne. Rapidement l’ambiance se détend. Nous prenons place autour de la table. Salima nous offre un succulent dîner, agrémenté de délicieux vins. Nous passons une excellente soirée dans une ambiance feutrée. Après le café, au son des notes de musique les deux femmes se mettent à danser, bientôt rejointes par l’homme du couple, l’ambiance monte alors d’un cran ; la femme se fait embrasser par Jacques sous le regard de son mari.
Jacques se tourne vers Salima et lui demande d’aller l’embrasser. Sans hésiter, docilement, ma chère femme traverse le salon et embrasse profondément cet inconnu. Décidément je ne m’habitue pas ! D’autant plus que je constate que Salima met tout son cœur à l’ouvrage !
- Assez ! Tonne Jacques. Seulement l’échantillon est gratuit. Si cela t’intéresses tu sais ce qu’il te reste à faire. »
Je regarde ma tendre chérie interloqué par ce que je viens d’entendre, et complètement stupéfait par sa réaction. Sans un regard pour l’homme, les yeux baissés elle se recule soumise à Jacques qui me regarde en souriant. L’homme regarde Salima et demande à voir.
- Tu vas voir que je l’ai préparée pour toi ce soir. »
Jacques se positionne derrière mon ange et lentement écarte le bas de sa robe noire. Les bas apparaissent aux yeux de tous, puis ses cuisses blanches, puis enfin son pubis complètement rasé portant une petite lettre « J » en bas du ventre !
Impudique, obscène, ma femme est offerte comme une vulgaire pute. Salima commence d’elle-même à dénouer le haut de sa robe afin de libérer ses seins. Je sens une présence derrière moi. C’est la femme qui vient se coller à moi, qui m’embrasse dans le cou, me caresse lascivement. Mon excitation est à son comble. Je ne sais plus que penser.
J’aperçois l’homme donner des billets à Jacques puis emmener Salima dans une pièce voisine. Je ne peux plus réagir, je ne le veux plus, je veux moi aussi avoir du plaisir. Je me laisse aller totalement dans les bras de cette femme sensuelle. Je sens des mains me caresser, puis ouvrir ma braguette et libérer mon sexe. Elle m’embrasse avec beaucoup de sensualité lorsque je sens une autre bouche surmon sexe !
C’est le jeune serveur, qui agenouillé devant moi, commence une fellation. Je ne veux pas qu’elle cesse et malgré tous mes préjugés je le laisse donc faire. Au bout de quelques minutes, la femme me chuchote à l’oreille :
- Pour moi, prends-le dans ta bouche. »
Je la regarde tétanisé !
- Suce-le et baise-moi après. »
Le vocabulaire cru, l’ambiance, l’érotisme de la soirée m’ont fait accepter !
Je le relève, il veut m’embrasser, je détourne légèrement la tête, puis me glisse jusqu’à son sexe déjà en érection. Je le masturbe un peu, c’est étrange de sentir une autre queue que la mienne dans ma main. Lentement ma bouche s’approche, et accueille ce membre jusqu’au fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur, puis commence à le sucer comme j’ai vu faire ma tendre Salima.
La femme se couche prêt de nous elle se caresse la chatte longuement tout en me masturbant. Nous sommes là tous les trois concentrés sur nos émotions, nos sensations. La femme me tire sur le sexe tout en répétant un mot comme un leitmotiv. Je finis par comprendre « viens ». Je me couche sur elle, délaissant le jeune homme, et d’un coup la sodomise jusqu’à la garde. Elle gémit. Nous faisons l’amour sauvagement. Enfin je ne peux me retenir plus longtemps et me laisse aller au fond du rectum de la femme qui jouit elle aussi. Je reprends mes esprits pour entendre Salima gémir dans la pièce d’à côté.
Lentement je me lève et m’approche de la porte. Elle est en levrette sur le lit, l’homme l’enculant avec ardeur. Ces mots crus me semblent de rigueur tellement le spectacle est hallucinant : ma tendre Salima, nue, à quatre pattes, les seins tressautant à chaque pénétration, se faisant sodomiser contre de l’argent. Mon érection repart immédiatement. J’entends Jacques me dire :
- Si tu veux tu pourras la prendre aussi. »
Dans un état second je m’entends répondre :
- C’est combien ? »
- 100 euros pour toi. Je prends les chèques. »
- Ça marche. »
Je ressors rapidement et remplis à la hâte un chèque. En revenant dans la chambre, je vois l’homme qui dans un râle s’écroule sur Salima se vidant en elle. Il se relève à peine que je me jette sur Salima et la pénètre d’un coup. Elle sursaute. Son anus largement ouvert m’accueille sans problème. C’est la première fois que je la sodomise. Je la pistonne brutalement, comme pour me venger d’elle, de sa perversité, de sa débauche. En fait, plus je suis violent plus elle semble aimer. Malheureusement je ne peux tenir longtemps et je me déverse dans ses boyaux au bout de quelques petites minutes.
Jacques me regarde en souriant une coupe de champagne à la main. Il recommande à Salima d’aller faire un brin de toilette avant de nous rejoindre. Nous discutons de choses et d’autres, lorsque mon ange toujours masquée nous rejoint. Jacques lui demande alors :
- Veux-tu continuer ? »
- Nous devons rentrer, mon mari et moi. Mais que voulez-vous encore de moi ?
- Je n’ai rien eu de toi ce soir. Aussi je pense qu’avant de partir tu pourrais … »
Avant même la fin de la phrase, Salima s’agenouille et sors le sexe de Jacques afin de le sucer. La fellation dure, dure, mais nous regardons fascinés cette bouche enserrer ce sexe, cette langue lécher ce gland, cette main aux ongles rouge-carmin aller et venir le long de cette queue. Enfin dans unsursaut Jacques éjacule dans la bouche de ma femme. Elle le regarde dans les yeux tout en avalant le sperme, puis dépose un petit baiser sur cette queue qui redevient molle.
Il l’aide à se relever, elle lui sourit. Je suis fier de ma tendre Salima, fier de la voir si belle, si sexy, je suis fier de notre amour.Nous remercions notre hôte et repartons dans notre maison. Nous avons fait à nouveau l’amour,mais tendrement cette fois, amoureusement.
Les précédentes aventures n’ont fait qu’augmenter notre appétit et quelques jours plus tard, nous avons longuement parlé de cette dernière soirée et des sensations qu’elle nous a procuré.
- J’ai beaucoup aimé te voir appartenir à Jacques. Lui demander la permission de me servir de ton corps à ma guise a été un réel bonheur ! Mais je dois t’avouer quelque chose : j’ai fait l’amour avec la femme de la soirée… Je te prie de croire que ça n’a été que physique. »
- Je le sais, Jacques m’avait prévenue de cette éventualité. Je t’aime et je suis contente pour toi. »
- J’ai également eu des relations avec le jeune serveur. »
- Explique-moi s’il te plaît. »
Salima me regarde avec beaucoup de tendresse et de douceur. Comme si elle savait déjà ce que jevais lui avouer. Elle me caresse lentement les cheveux, me susurre des mots doux.
- J’ai pris son sexe dans ma bouche. »
- Tu as aimé ? »
- Non… Je crois que c’est vraiment l’atmosphère de la soirée… »
- Je t’aime »
- Moi aussi mon amour. »
Puis nous avons longtemps parlé de son plaisir à être offerte, du mien à la voir ainsi…
Suite à nos premières expériences très réussies, nous avons voulu continuer. Nous évoquions pourtant jamais ce sujet. Pourtant quelques sourires complices, quelques regards vers son sexe imberbe nous ont rappelé toute cette soirée de grands plaisirs
Un soir, à la faveur de l’intimité de notre lit conjugal, nous avons repris notre discussion. Salimame déclare alors son envie de recommencer une soirée avec Jacques et ses amis. Je ne sais que répondre. L’envie me taraude aussi mais je redoute de la perdre. Je la mets en garde
- Jacques ne se contentera pas de revivre la même chose. Probablement en voudra-t-il plus. »
- Je suis prête à le lui demander. »
- Toi oui, mais moi ? »
- Je reste avant tout à toi et seulement à toi. Certes j’éprouve des sentiments à « appartenir »à Jacques, mais c’est toi que j’aime. Et puis tu pourras peut être revoir cette jolie femme de ladernière fois… »
Cette diablesse me connaît trop bien ; il m’est alors difficile de résister à sa demande.
- Tu y as beaucoup pensé ? »
- Oui, je suis sûre de le vouloir, s’il te plait permet-le moi ! Il me faut ton plein accord. »
- OK, appelle donc Jacques. »
Le lendemain, dans la journée elle est parvenue à le joindre. Il s’est évidemment montrer très enthousiaste à l’idée de nous rencontrer à nouveau d’autant plus que Salima l’avait invité à prendre le café pour le samedi suivant.
Vers 14h30, Salima était partie faire quelques courses lorsque Jacques est enfin arrivé un magnifique bouquet de fleurs à la main. Je l’ai fait entrer et lui ai proposé un café agrémenté d’un cognac. C’est à ce moment que Salima est arrivée dans le salon. Jacques, toujours gentleman s’est levé.
Elle s’est approchée de lui. Très lentement tout en me regardant dans les yeux, elle s’est laissée embrasser fougueusement sur la bouche, longuement.Le message était clair ! Je l’avais à nouveau « perdue ».
Jacques s’est rassis et nous avons repris notre discussion. Salima nous a laissé quelques minutes.
- Je vous félicite encore d’avoir une épouse aussi épanouie, aussi libre dans sa tête et dans son corps. Vous avez beaucoup de chance ! »
- Oui en effet, je vous remercie pour elle, et pour moi. »
- Je ne veux en aucun cas être indélicat, aussi je vous rappelle qu’à tout moment Salima, peut faire cesser ce jeu libertin ; je me plierai à sa volonté. »
- Je vous remercie de votre discrétion et de votre délicatesse. »
Salima nous rejoint à cet instant. Elle a entendu la fin de notre conversation et nous sourit tendrement. Je m’aperçois qu’elle s’est changée : elle est à présent en robe, bas et talons hauts. Jacques lui demande de venir s’asseoir près de lui, ce qu’elle fait docilement. Nous continuons à deviser tout en buvant notre cognac.
Jacques tout en me parlant, demande à mon ange de venir s’asseoir sur ses genoux. La discussion continue et je vois la main de notre invité qui commence à caresser le bras nu de Salima. Elle me regarde, me sourit ; elle est heureuse dans les bras de cet homme. Jacques prend son verre, boit un peu, puis le porte aux lèvres de ma chérie qui boit à son tour. Je suis dans un état d’excitation incroyable et nous n’en sommes qu’au début !
Jacques lui déboutonne le haut de sa robe, puis sa main en écartant le bustier ainsi ouvert, libère un sein. Je regarde ce spectacle fasciné attendant la suite. Jacques me parle de notre maison, je ne l’écoute plus, mon attention se portant exclusivement vers cette main qui caresse, vers ces doigts qui font rouler ce téton, qui le tirent, le pincent. Mon érection est douloureuse dans mon pantalon. Je n’ai qu’une envie : me caresser. Salima apprécie visiblement la caresse et se détend complètement. Ce petit jeu dure quelques minutes puis Jacques dit tout en m’adressant un clin d’œil :
- Chérie, ressert-nous du cognac.
J’ai cru que j’allais jouir dans l’instant. Ce diable d’homme me volait ma femme, ma vie. Je devenais l’invité.
- Oui mon chéri, pardonne-moi. »
Répondit-elle tout en se levant pour nous remplir généreusement nos verres. Elle se penche, ses seins sont complètement sortis de sa robe. Son décolleté me dévoile son corps jusqu’à ses cuisses. Elle porte sa chaîne autour de la taille mais pas de culotte…
Après avoir rempli nos verres elle me regarde en souriant. Je l’aime à la folie ! Puis ma tendre chérie se blottit à nouveau dans les bras de notre invité qui aussitôt reprend sescaresses. La discussion a alors pris un tour plus sérieux lorsque Jacques nous a déclaré avec beaucoup de douceur et de tact :
- Vous formez tous les deux un couple magnifique et extrêmement sympathique. Mais je suppose que ma présence ici va un peu plus loin qu’un simple café, et aussi un peu plus loin qu’un simple moment très agréable passé en votre compagnie ; et je n’entends pas forcément par-là, un après-midi en lui-même. Aussi je me permets de vous demander ce que voulez exactement de moi etce pour notre plaisir à tous. »
Nous nous sommes longuement regardés avec Salima. Au bout de quelques secondes je me suis rappelé de ses paroles : « …Ton plein accord… »… J’ai alors pris la parole :
- Nous voulons tout simplement vivre d’autres soirées, vivre d’autres aventures. Salima aime vous « appartenir », et j’aime la voir ainsi offerte à d’autres. »
Jacques s’est alors tourné vers Salima. Elle lui a alors souri, puis l’a embrassé tendrement lui témoignant ainsi son accord.Celui-ci devant cette situation très érotique n’a pu cette fois éviter de se laisser entraîner par son envie. Jacques, généralement très maître de lui, presque flegmatique, semblait alors très excité,embrassant ma femme avec passion, tout en caressant son corps, pétrissant ses cuisses. Je ne pus résister plus longtemps, et baissais mon pantalon pour me masturber.
Jacques demande alors à Salima de venir me prendre dans sa bouche. Elle se lève et s’agenouille devant moi. Sa bouche sensuelle s’ouvre et gobe la totalité de mon sexe d’un seul coup. Jacques regarde la scène en souriant. Je vois une bosse imposante dans son pantalon. Salima me suce divinement, je suis au bord de l’explosion lorsque j’entends Jacques lui dire
- Ma chérie, suce bien ton mari parce que nous partons tous les deux dans 10 minutes, il faut donc qu’il garde un bon souvenir de toi ! »
A ces mots j’éjacule dans la bouche de ma femme qui ouvre des yeux immenses. Elle ne sait que dire, que faire, à part avaler !
Salima me regarde. Je lui souris et lui chuchote :
- Vas-y si tu le veux, ça m’excite tu sais. »
Elle se relève, m’embrasse longuement, me dit qu’elle m’aime à la folie. Je suis très fier d’elle. Jacques est déjà debout son manteau à la main. Pendant que Salima va chercher le sien il me dit :
- Ne vous inquiétez pas, je prendrai soin d’elle. Nous passerons la soirée avec vous. »
Puis je les raccompagne à la porte et après un dernier baiser, je laisse partir ma femme avec Jacques. Je restais seul dans notre maison vide. Toutes les pièces exhalaient le doux parfum de Salima me laissant encore plus seul et encore plus excité.
J’ai pu donc régler tous les problèmes d’intendances rapidement. Je suis resté un long moment dans notre chambre conjugale attendant avec impatiencele coup de téléphone. Puis après m’être préparé, j’ai attendu avec beaucoup d’impatience le coup detéléphone de Salima ou de Jacques.
C’est lui qui m’a appelé vers 19 heures 30. Sans aucun autre détail il me donnait rendez-vous vers 20 heures 30 chez lui.Dans un état d’excitation et d’énervement incroyables je suis arrivé un peu en avance.
Salima et Jacques m’attendaient. Je regarde mon ange. Elle porte une robe noire à large décolleté et surtout arbore un sourire radieux. Sa tenue était très provocante, et surtout pleine de promesses…
Après un apéritif très copieux, Jacques me remercie pour la merveilleuse après-midi passée avecSalima avec un sourire énigmatique.
- Je me suis permis de faire quelques magasins avec Salima. Elle s’habille d’un rien ! »
- Que dois-je comprendre ? »
- Que votre charmante femme a essayé quelques robes sous mon regard et sous le regard de quelques vendeurs. »
Le souvenir de Salima sans dessous au moment du café s’est ravivé dans ma mémoire…
- Et ? » Demandais-je un peu tendu.
- Visiblement elle aime être exhibée… »
Je regarde ma femme. Elle me rend mon regard avec un léger sourire.
- Décidément, vous avez beaucoup de chance, il suffit de demander et elle s’exécute. Jacques tout en me regardant ajoute Chérie, viens t’asseoir près de moi. »
Il pose alors sa main sur le canapé, le majeur pointé vers le plafond alors que Salima docilement,sans un regard pour moi, s’approche, soulève le bas de sa robe et s’assoit sur cette main, sur ce doigt.
Je ne reconnais plus ma femme, mais la voir soumise ainsi m’excite. Jacques continue de parler de choses et d’autres interrompu parfois par de petits soupirs de Salima. Au bout de quelques minutes Jacques me regarde et dit :
- Chérie, prépare toi nous allons sortir. »
Salima docilement se lève et attend près de lui. Nous sortons rapidement et prenons la voiture de Jacques. Salima prend place à côté de lui. À un feu rouge Jacques regarde Salima qui se rapproche de lui et l’embrasse longuement, presque amoureusement.
Nous arrivons enfin à notre destination : un parking désert faiblement éclairé. La voiture arrêtée, Jacques allume le plafonnier du côté de mon ange. Un silence pesant tombe dans la voiture ; noussavons tous ce qui va se passer. Quelques secondes ont suffi pour qu’un premier homme s’approche lentement. Jacques caresse la cuisse de Salima tout en chuchotant à son oreille. Je ne peux entendre ce qu’il dit mais je vois ma femme respirer profondément et soupirer, signes de son trouble.
Le voyeur est là près d’elle. Alors lentement, tout en continuant de lui parler, Jacques déboutonne complètement la robe de Salima afin d’exhiber son corps. L’homme a sorti son sexe et se caresse à quelques centimètres de ma femme, séparés seulement par la vitre.
Jacques demande à Salima de se caresser ce qu’elle fait sans aucune gêne. C’est un homme d’une bonne quarantaine, assez laid. Jacques demande à Salima d’ouvrir sa portière, permettant ainsi à l’homme de toucher mon cœur à moi qui se laisse faire. Sa main pétrit ses seins avec rudesse, maladroitement, puis descend jusqu’à la vulve de Salima.
Jacques donne un préservatif à Salima. Le message est clair…
Sous mes yeux éberlués je vois ma tendre femme mettre le préservatif dans sa bouche et enfiler la capote sur le sexe tendu de cet homme. J’ignorais totalement qu’elle étaitcapable de cela ! Elle entreprend alors une fellation sous le regard goguenard et les commentaires salaces de l’homme.
Rapidement celui-ci se tend et jouit avec un râle dans la bouche de Salima.
Nous repartons le laissant là à attendre d’éventuelles autres voitures. Jacques regarde Salima avec beaucoup de tendresse. Nous nous garons devant un club privé situé dans le centre de notre ville. La soirée n’est donc pas terminée. Je ne sais que penser, mais cette situation m’excite et j’ai envie de continuer.
L’ambiance est feutrée, des tables sont disposées tout autour d’une piste de danse. Il n’y a pas beaucoup de monde : quelques couples dansent, plusieurs hommes seuls disséminés dans la salle les observent. Nous nous installons à une table et nous dégustons une bouteille de champagne. Nos sens se réchauffent rapidement. Salima a les yeux qui brillent de bonheur…
Jacques lui demande d’aller au bar s’asseoir. Dans un sourire Salima se lève et s’installe au boutdu bar dans une demi-pénombre. Jacques me rappelle alors les règles que nous nous sommes fixés :Elle peut arrêter ce jeu à tout moment. Ses paroles me rassurent et je regarde Salima avec amour assise sur un tabouret haut, souriante,les jambes croisées, dévoilant ainsi largement une jambe à la vue de tous. Elle est belle, désirable, je suis fier d’elle, d’être son homme !
Au bout de quelques minutes un couple s’approche d’elle et lui offre une consommation. Elle accepte en riant. Elle boit encore.
Devant la réaction de Salima, l’homme rapidement s’enhardit : ilpose une main sur sa cuisse. Elle, lui sourit tout en le regardant. Il se rapproche d’elle et lui chuchote quelques mots à l’oreille. Il profite alors pour lui donner un baiser dans le cou .Ma tendre Salima renverse sa tête en arrière comme une invitation.
L’homme passe derrière elle, la prend par la taille et doucement tourne le tabouret afin de la placer en face de la femme. Tout doucement celle-ci se rapproche et pose sa main sur la cuisse nue de Salima. Cette dernière tourne la tête vers nous ; du coin de l’œil j’aperçois Jacques lui sourire, comme un ordre muet lui intimant de continuer.
Alors Salima regarde la femme et très doucement approche son visage, sa bouche. Pour mon plus grand plaisir je vois ces deux femmes s’embrasser tendrement, longuement. La situation m’excite énormément, quel homme n’a jamais rêvé de voir cela ?
Toujours avec beaucoup de douceur, la femme attire Salima vers une espèce d’alcôve située toutau fond du club. Jacques, le mari et moi les suivons sans un mot.Tout en s’embrassant, lentement la femme ouvre la robe de Salima et commence à caresser son corps. Jacques et moi ne bougeons plus admirant ce spectacle d’une rare tendresse, d’une rare délicatesse.
Les deux femmes se déshabillent mutuellement. Elles s’embrassent, se lèchent, se mordillent ; petit à petit les caresses se font plus précises, plus franches. Mon sexe me fait mal mais je n’ose rompre l’harmonie de cet instant en le libérant. Pas un mot d’échangé, seulement dessoupirs, des petits cris de bonheur et des respirations haletantes. Elles se retrouvent bientôt tête bêche. La femme est la première à poser sa bouche sur le sexe de sa partenaire, Salima semble hésiter une seconde puis tout doucement pose ses lèvres sur la vulve luisante d’excitation de cette femme totalement inconnue.
Avec toujours beaucoup de douceur elles se lèchent, se pénètrent avec leurs langues, s’aspirent, se goûtent, se délectent de leurs sécrétions.Le spectacle qui nous est offert est merveilleux. Dans un parfait synchronisme ces deux corps se tendent une dernière fois dans un orgasme simultané.
Le mari, Jacques et moi restons silencieux un long moment les laissant récupérer. Elles se cajolent tendrement puis Salima lève enfin son regard brillant vers nous, comme si elle venait juste de serappeler notre présence. Elle respire le bonheur. Dieu qu’elle est magnifique, que je l’aime !Elle rit doucement et dit :
- Nous devrions peut être nous occuper de nos hommes à présent. »
- Tu as raison, même si je crois sincèrement qu’ils ne se sont pas gênés pour nous regarder !
Salima, entièrement nue, se relève et se dirige vers nous. Mon cœur s’arrête presque. Je la désire tant.
Regardant Jacques, elle s’arrête devant lui et lui dit :
- Merci, mon chéri. Je vous appartiens »
Jacques lui prend la main, l’attire vers lui et l’embrasse affectueusement sur la bouche. Il lui dit seulement :
- À très bientôt, ma chérie. »
Elle se rhabille rapidement et tous les deux nous sortons du club. Nous rentrons en taxi pour récupérer ma voiture dans un silence total. Une fois seuls en voiture, elle me dit tendrement.
- Mon amour, certes j’aime bien Jacques, mais je t’aime plus que lui ; tout ceci n’est qu’un jeu que je fais pour toi. »
- Je t’aime aussi. »
Puis comme pour me rassurer définitivement je lui demande :
- Serais-tu prête à me faire plaisir ? »
- Oui mon amour, demande moi ce que tu veux… »
Je suis très fier d’elle, de notre couple. Sa réponse est tout ce que je voulais entendre, aussi ajoutais-je simplement :
- Continue à être la pute de Jacques. Reste toujours ainsi.

Help.... Please.

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A ma communauté de visiteurs chéris....

On me dit

cher André déception- c'est rare sur ton blog- mais les vod art et vod films ne s'affichent pas es ce normal pour le reste c'est super comme d'hab
merci

Je répond:
Effectivement je ne sais pas ce qui se passe.
Des fois elle s'affichent et d'autres non.
Peut être s'agit il de mettre à jour les navigateur.
Je passerais un message à tous mes lecteurs.
Peut être que l'un d'eux aura la solution.


Quelqu'un d'entre vous a t il le même problème?..
Quelle solution?

Merci d'avance

C'est la mode du selfi... profitons en..!

Outdoor slut!

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Connaissez vous l'expression:
 "En voiture Simone"?


Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg....

Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg.... Suite


Attention au grand méchant loup...

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Faut pas se balader seul en forêts..!

Histoire du net. Auteur: Malice. Justin...

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C'est presque trop bavard, trop limite, 
trop tout quoi.... Mais c'est bien écrit.
Je précise que j'ai changé l'âge des personnages...

Cauchemar ou presque…
Chapitre I
Auteur : Malice

Ho mon dieu, c'est un cauchemar !!! Comment je vais pouvoir lui expliquer tout ça.
Comment je vais m'en sortir. Je suis trop conne. J'ai tout foutu en l'air. Et pourquoi Justin est
rentré plus tôt ? Pourquoi il n'est pas au lycée ? C'est un cauchemar !!! Et je ne vais pas aller
lui demander maintenant… Il est où d'ailleurs ? Dans sa chambre sûrement. Putain j'y crois
pas, il a fallut qu'il arrive et fourre son nez dans ma chambre sans crier gare comme
d'habitude. Et cet abruti d'Alain qui n'a rien trouvé de mieux que de se retirer et me juter
sur les fesses. Mais quel con ! Ca l'excite peut-être de voir son foutre sur mon cul mais Justin
en a bien profité. Putain ! Putain ! Putain…. Un vrai cauchemar…
Je passe rapidement une culotte, soutif, robe et écoute. Il est où ce satané gamin ?
Aucun bruit dans sa chambre… Peut-être en bas. Je descends les escaliers et manque de me
ficher en l'air tant mes jambes flageolent. Dans le salon rien, dans la cuisine… Ha le voilà.
Pourquoi il ne me dit rien ?
« Justin ? »
Putain mais répond au moins !!! L'ado dans toute sa splendeur, il doit se croire malin
là, à siroter son verre de coca sans même me regarder. Mon dieu, il va tout dire à son père,
depuis le temps qu'il cherche à nous pourrir la vie, il va tout raconter cet enfoiré. Non, il ne
faut pas que je parle comme ça, c'est mon fils. Mais merde à la fin ! Il cherche quoi ? Et moi ?
Je cherche quoi ? Un mari riche entrepreneur, une maison splendide et je me fais tronchée
par le mec qui s'occupe du jardin. Quel cauchemar !!!
- Justin ?
- Quoi ?
Quoi quoi ? Putain il va en profiter le salaud, il doit jubiler. C'est bien la dernière fois
que je me laisse aller avec un autre mec, je le jure mais répond moi !!! D'un autre côté il y a
bien des chances que ce soit la dernière fois que je le vois le paysagiste… Je ne vais quand
même pas me foutre à genou devant mon gamin non ?
- Justin… s'il te plait…
- Quoi ?
- Je ne sais pas moi… dit quelque chose…
- Quelque chose.
Ha Ha Ha… très drôle, petit con. Tu te régales hein ? Enfoiré ! Tu dois déjà te
faire le film de tout ce que tu vas pouvoir dire à ton père et comment tu vas lui annoncer. Ca
doit te faire jouir hein ? Te faire bander !
- Justin… je voudrais juste…enfin…
- Enfin quoi bordel ? Tu te fais sauter par le jardinier y a quoi à discuter ?
- S'il te plait… tu sais ton père…
- Quoi mon père ? Mon père il paye cette baraque, tes fringues, ta vie. Il passe ses
journées au boulot pendant que toi tu baises…
- Ho Justin… Je sais que ton père se donne beaucoup de mal mais son boulot
monopolise tout son temps et toute son énergie…
- Et alors ? Tu veux dire qu'il te baise pas assez ?
- Ho non, s'il te plat Justin, je ne veux pas avoir ce genre de discussion avec toi…
- Ben fallait y penser avant… Moi je m'en fous de cette discussion, je sais ce que j'ai
Eu.
- … Et… et qu'est- ce que tu comptes faire ?
- Quoi t'as peur que je dise à papa qu'il est cocu ? Vue comme tu reçois les ouvriers
il doit s'en douter…
- Comment ?!?
- Tu crois quoi ? Qu'on t'as pas vue avec tes robes à moitié transparente, à rouler
du cul dès qu'un mec passe dans le coin ?
- Tu exagères !!! C'est la première fois que je… enfin…
- Ouai… enfin… comme tu dis…
- Alain est le premier ! C'est la seconde fois qu'il venait et… et bien oui j'avoue que
ton père ne me touche plus depuis si longtemps que j'en ai eu marre de me
soulager toute seule ! C'est un crime ?
- Un crime ? J'en sais rien… faudra voir ce que papa en pense…
- Ho noooon… Justin… tu… tu vas tout foutre en l'air…
- Hola… tout foutre en l'air ? Voilà que tu dis des gros mots maintenant ?
- Te paye pas ma tête s'il te plaît !
- Tu te paye bien celle de papa !
- Non ! Ce n'est pas vrai ! J'aime ton père, je l'aime vraiment ! C'est juste que…
- Que ?
- Que j'étais comme en manque… je te promets que jamais ça se reproduira mais
s'il te plaît…
- Ce qui est fait est fait ! C'est pas toi qui dis ça tout le temps ? Ou des trucs genre :
il faut accepter les conséquences de nos actes…
- Ho non Justin, pour l'amour de Dieu… Si tu dis tout à ton père, surtout si tu lui dis
que tu nous a vu, il va demander le divorce… tu n'as que seize ans Justin… Tu
veux vraiment nous voir nous déchirer ?
- J'en sais rien… Tout ce que je sais c'est que tu trompes papa…
- S'il te plaît…
- Rien du tout… tu es une fieffée salope et c'est tout.
Il va tout lui dire. Il va tout lui dire ce salopard de gamin. Putain je vis un cauchemar…
Pourquoi a- t- il fallut que je laisse ce porc me foutre la main dessus. Je suis une conne, une
vraie conne ! Ha il a la part belle cet enfoiré, regardez le sortir de la cuisine comme un grand
prince… petit con. Petit con ! Petit con ! Petit con ! Je vais faire quoi maintenant moi…
Bon jusque là tout se passe à peu près bien. Pierre est rentré du travail, bon il m'a
tout juste fait un rapide smack alors que j'étais entrain de l'enlacer mais passons. Au moins
Justin n'a toujours rien dit. Par contre qu'il arrête de me fixer comme ça. Son père va finir
par se douter de quelque chose. Et ce petit sourire narquois… Au moins Pierre est tellement
perdu dans le récit de sa journée qu'il n'a pas remarqué son fils.
Voilà, le repas est fini, j'ai fini ma vaisselle et… tiens ? Qu'est- ce qu'il fout dans le
salon Justin ? Jamais il ne regarde la télé avec nous… Ho non, il ne va quand même pas…
Bon, le film est fini, peut- être que le film l'intéressait après tout…
- Papa, il faut que je te parle
- Oui ?
Ho non pas ça !!! S'il te plaît !!! Et puis arrête de sourire alors que tu me vois presque
à pleurer. Espèce d'enfoiré, s'il te plaît, tu ne vas pas faire ça. Tu es mon fils, souviens toi
quand t'étais petit comme tu aimais me faire des câlins. Je t'en prie Justin, je t'en supplie…
- Il s'est passé quelque chose aujourd'hui.
- Quoi donc ?
- Et bien, je ne sais pas trop comment te le dire…
Tu jubiles hein espèce de… espèce de… espèce d'enculé !!! Ne fais pas ça, je t'en
conjure !!! Regardes moi ! Regardes comme je t'implore du regard, comment tu peux être
indifférent à la détresse de ta propre mère ? Comment peux- tu être indifférent à la vie, aux
vies, que tu vas foutre en l'air ? Pour l'amour de Dieu, que cesse ce cauchemar !
- Vas y fiston, tu peux tout me dire, tu le sais…
- Tu es sûr?
- Oui, évidemment.
- Je… je vais vous laisser…
Pourquoi j'ai dit ça moi ? Mais je ne peux pas en supporter plus. Justin se régale de
me torturer et il sait y mettre les formes l'enfoiré ! Mon fils chéri, pour l'amour de Dieu, ne
gâche pas tout… ne gâche pas plus que ce que j'ai déjà fichu en l'air.
- Non maman, ça te concerne aussi.
- Ha.
- Bon et bien vas- y Justin.
- Et bien tu te souviens de ce contrôle de mathématiques… celui où je devais avoir
plus de la moyenne si je voulais continuer à avoir mon ordinateur dans le salon…
- Oui. Et ?
- Et bien il a été avancé à cet après midi. Mais au lieu de mettre deux heures à le
faire, je suis juste resté une demi- heure. Et je suis donc rentré plus tôt.
- Je vois… tu t'es encore planté c'est ça ?
Le saligaud, il a tout prévu !!! Il va faire passer la pilule de son échec en maths, en
racontant à son père ce qu'il a vu. Il est décidément intelligent mon fils, intelligent et
fourbe ! Il ne me reste plus qu'à faire mes valises maintenant. Qu'est- ce qui t'es arrivé
Justin ? Qu'est- ce qui est arrivé au gentil garçon que tu étais ? En tous cas je n'aurais plus à
supporter tes sauts d'humeur…
- Ce n'est pas vraiment ça. Je suis rentré plus tôt à la maison et Delphine m'a
appelé. Le prof a corrigé les copies au fur et à mesure et elle a vu que j'avais eu
18 sur 20. Je voulais vous faire la surprise mais je n'ai pas pu résister…
- C'est vrai ? Génial mon fils ! Tu vois quand tu veux ! Hein ? Je suis fier de toi ! Tu
ne le félicite pas Hélène ?
- Hein ? Heu oui bien sur… c'est très bien mon fils. J'espère que ce n'est qu'un
début.
- C'est vrai ! Ta mère a raison, il faut continuer, mais pour le moment les
félicitations s'imposent ! Ta mère est un peu dure mais c'est pour ton bien tu sais.
- Ho je sais papa… je le sais.
Fourbe ? Non… machiavélique. Peut- être a- t- il pris conscience de tout ce qu'il
pourrait perdre. Enfin, je m'en fiche, tout est bien qui finit bien comme qui dirait. Mais
pourquoi je ne me sens pas soulagée, pourquoi je trouve que sa main autour de ma taille,
quand je l'ai embrassé, était un peu trop appuyée, trop présente ?
Je n'y crois pas, me voilà au lit avec Pierre qui me fait la morale pour ne pas trop en
demander à Justin. Si tu savais ce dont ton fils est capable… Enfin, rien n'a changé, tu lis ton
journal économique alors que ta femme est quasi nue à côté de toi…

- Tu as pensé à préparer ton sac pour ce weekend Justin ?
- Hein ? Ha non… j'ai changé mes plans.
- Vraiment fiston ? Pourtant après une telle note j'aurai pensé que tu aurais profité
de t'amuser avec tes amis.
- Non, j'ai un autre contrôle la semaine prochaine et je veux être sûr de le réussir
papa.
- Et bien ! Quel changement ! Tu me vois très fier de toi mon fils ! Mais prends
quand même le temps de t'amuser un peu. Je ne veux pas que tu te transforme
en un rat de bouquin sans vie sociale.
- T'inquiètes pas papa. Pas de risque. Mais je la sens mal cette fête chez Guillaume.
Je préfère étudier et me reposer. En plus j'ai un match mercredi et le coach nous
a dit que ce serait pas évident.
- Je ne vais pas dire que je ne suis pas contente Justin mais tu te souviens que ton
père ne sera pas là ce weekend, il doit aller à Londres, tu ne vas pas t'ennuyer
avec ta pauvre mère ?
- Non, t'inquiètes. Je suis même sûr qu'on va bien s'amuser.
- Oui, enfin… tu sais que Marie et Betty viennent ici demain après midi… et je sais
que tu ne…
- Non non tout va bien… Je resterai surtout dans ma chambre et puis ça me
changera des gamines de l'école. De vraies femmes mûres avec des sujets de
conversation intéressant, ça devrait ne pas me faire de mal non ?
- Oui… oui… si tu le dis…
Il me fait quoi là ? Il joue à quoi ? Il a peut- être peur que je remette le couvert avec le
jardinier…
- Au fait Pierre, tu sais le paysagiste qui s'occupe du jardin…
- Oui… Alain je crois…
- Oui, c'est ça… Je n'aime pas trop le travail qu'il fait… Ca te dérange si on en
change ?
- Ho… Non, pas vraiment, c'est juste que ça fait presque deux ans qu'il s'occupe du
terrain. Mais bon, si ça ne te plait pas…
- Ne te fais pas de soucis, j'en chercherai un autre moi- même ou peut- être que je
m'occuperai moi- même du jardin. Ca n'a pas l'air si compliqué que ça après tout.
- Bon, enfin ne te mets pas martel en tête non plus chérie, tu n'es pas aussi robuste
qu'un jardinier…
- Je pourrai l'aider papa ! Le boulot de jardinier semble avoir des facettes
intéressantes…
- Des facettes intéressantes ? Mais qui a changé notre fils en un vrai garçon
modèle ? Esprit du bien sort de ce corps, je te l'ordonne !!!
- Ha hahahaha…. Non c'est juste que ça sera un bon moyen de me défouler et si ça
peut aider maman…
- Marché conclu dans ce cas. Si tu fais du bon boulot, ta mère et moi verrons
comment augmenter ton argent de poche…
Mais qu'est- ce qu'il se passe ici ? C'est quoi ce bordel ? Et moi qui pensais le
cauchemar fini ? Il me prépare quoi le chérubin à son papa ? J'aimerai pouvoir être
convaincu par ses élans de bon sentiments mais c'est trop soudain… enfin… Et pourquoi pas
après tout. Peut- être que je lui ai vraiment fait peur en lui parlant de divorce.
Une journée bien tranquille et bien remplie. Bonbonne a préparé le sac de Missié
pour son voyage à Londres. Qui me dit qu'il n'a pas une maîtresse à Londres d'ailleurs ?
Non… Je m'en rendrai compte et puis la dernière fois que j'ai tenté de lui faire dresser la
tente, au bout d'un quart d'heure avec ma bouche j'ai toujours eu droit à une sardine à la
place d'un mat de cocagne. Ou alors il se shoot au viagra mais je devrais quand même m'en
apercevoir… Tiens j'y ai pas pensé au viagra… faudra qu'on en parle. Bon il me reste une
petite heure, je vais m'occuper un peu du jardin avant que le fils prodigue ne revienne.
Oui oui c'est ça, bonjour maman… Rhoooooo Hélène arrête. C'est ton fils. S'il veut se
racheter une conduite tu dois l'épauler. Ce n'est pas ce que tu fais toi aussi ? M'aider à
jardiner. Pourquoi pas après tout.
Le revoilà… Ca fera pas de mal qu'il s'occupe des sacs d'engrais, j'en ai marre de les
trimbaler, c'est lourd cette connerie. Il n'est pas si mal fichu le gamin. Je n'ai pas si mal
travaillé tout compte fait. Il doit en faire craquer des minettes. En tous cas j'aimerai autant
plutôt que devoir ramasser les kleenex tout collés dans sa chambre.
Hein ??? C'est nouveau ça. C'est moi où il m'a touché les fesses ? Arrête Hélène, c'est
ton fils ! Et tu es en manque… Alain c'était sympa la première fois mais après… c'est comme
tous les mecs. De plus en plus rapide et de moins en moins attentionné. Bon… pense à autre
chose ma fille sinon tu ne vas pas t'en sortir.
Tiens il est encore là. Hier, il devait s'amuser avec son annonce mais pourquoi il veut
regarder la télé avec nous ce soir ? Bizarre… Tu me diras, là ou pas, ce n'est pas son père, sur
son fauteuil avec le nez dans son journal qui va l'empêcher de se concentrer sur la série. Et il
nous propose une tisane pendant la pub. Décidément, il va me falloir m'y faire à ce nouveau
fiston. Ca ne devrait pas être trop difficile ceci dit. J'aime autant ces attentions que les
grognements qui lui servaient de dialecte les derniers temps…
Heu… par contre il fait quoi là ? Pourquoi il vient s'asseoir à côté de moi sur le
canapé ? Ben voyons, t'as raison Pierre, ça fait plaisir à voir, la mère et son garçon comme
quand il était petit… Ce n'est pas que ce soit totalement faux mais pourquoi je me sens mal à
l'aise. Pourquoi ça me gêne d'avoir sa tête sur mes cuisses et sa main dans mon dos ?
Ben tiens ! Peut être parce que sa main elle commence à descendre sur mes fesses…
C'est une bonne raison pour que ça me gêne ça non ? Quoi que, on dirait qu'il s'assoupit.
C'est encore un gamin tout compte fait. Il n'a que seize ans après tout. Je me fais des films
pour un rien, je crois. C'est juste un gosse qui a voulu jouer au grand et qui a eu peur des
conséquences. Enfin sa main je la trouve un peu trop sur mes fesses mais bon, il dort, je suis
conne par moments…
QUOI ?!? On est samedi matin, il n'est pas neuf heures et mon fils est déjà sous la
douche ?!? Holà… le cauchemar deviendrait- il un rêve ? Si j'avais su ! Je me serai faite sautée
plus tôt ! Pfffffff je suis conne. En tous cas c'est vrai que ça fait du bien ce nouveau Justin.
Bon Pierre est déjà parti, et j'ai du ménage à faire si je ne veux pas que mes amies se
moquent de moi.
- Bonjour Justin, bien matinal…
- Bonjour maman… ça te gêne ?
- Non du tout, du tout. C'est juste que je n'y étais pas habituée.
- Ouch ! Touché !
- Mmmmmh ? Je t'ai préparé ton petit déjeuner.
- C'est gentil, merci.
- …
- Tu crois que je me paye ta tête ?
- Non, non excuses moi… je t'aime beaucoup mon chéri, il me faut juste un peu de
temps pour me faire à tout ça.
- Tout ça quoi ? Moi ou alors l'absence de jardinier ?
- Toi et… je vois. Je devrais te remercier pour n'avoir rien dit à ton père. Merci
Justin. Je te promets que rien de tout ça n'arrivera de nouveau.
- Mouai… si tu le dis. J'ai repensé à tout ça…
- Ha?
- Oui. A papa qui te touche plus comme tu dis et toi qui est toujours toute seule…
- Et alors ?
- Ben rien… Je vais juste faire ce que je peux pour y remédier.
- Y remédier ? Tu ne devrais pas penser à ce genre de chose. Tu es mon petit
garçon et ton nouveau comportement me convient tout à fait. Je suis fière de toi
tu sais, alors ne change plus rien et tout ira pour le mieux.
- Merci maman, t'inquiètes pas, je ferai rien que je regretterai.
- Bien… Je vais faire la lessive, tu as descendu tout ton linge sale ?
- Oui, dans la corbeille.
Et bien… quoi dire si ce n'est : loué soit le seigneur ! Il continue comme ça le fiston et
je vais retourner à l'église moi ! Aïe, tu deviens méchante là… Enfin, vu la dose de linge sale,
me reste plus qu'à m'y mettre.
Sympa tout compte fait le repas en tête à tête avec Justin. Quand il fait l'effort de
parler intelligiblement, il n'a pas que des raisonnements débiles. J'avoue que de le voir
arriver en boxer m'a un peu troublée, mais après tout, c'est vrai qu'il fait déjà chaud pour la
saison. Comme quoi, je ne suis pas une si mauvaise mère tout compte fait. Le résultat n'est
pas si mal.
M'aider à faire la vaisselle ? Oui pourquoi pas… Et il se souvient même où se trouve le
torchon! Merveilleux ! Par contre ça serait bien qu'il arrête de se frotter derrière moi pour
prendre les assiettes. Il a beau n'avoir que seize je sens bien que ce n'est pas un briquet qui
s'appuie contre mon postérieur. Non mais ça suffit comme ça maintenant ! Il a grossi le
briquet là ! Bon voilà, en me mettant un peu de côté. C'est quand même flatteur de ne pas
être si repoussante que ça à ses yeux. Mais bon.
- Ta robe est très jolie maman.
- Ha ? Elle n'est pas neuve pourtant mais merci, c'est gentil.
- C'est vraie que ça fait un moment que tu ne l'avais pas portée. Je m'excuse
d'ailleurs d'avoir critiqué les robes que tu mettais récemment. Elles sont aussi
très jolies, peut- être même plus que celle là.
- Oui mais comme tu me l'as fait judicieusement remarqué, elles n'étaient pas
toujours très décentes.
- J'ai dit ça ? Excuse- moi alors. Je suis con. Moi je les trouvais très bien sur toi, juste
que j'aimais pas comment les autres te mataient c'est tout.
- Et bien vu que je ne compte plus les porter, tu n'auras plus à te plaindre du
regard des "autres".
- Tu ne vas pas les remettre ?!? Tu devrais… elles te vont vraiment trop bien. Celle
là est pas mal mais je kiffe trop la rose avec les boutons devant.
- Tu kiffes une de mes robes ? T'es gentil mon poussin mais je crois que je vais
quand même reprendre mon ancienne garde- robe.
- C'est con. Moi je te fais un compliment, j'essaie d'être gentil et toi tu me refoules
comme un malpropre.
- Je ne te "refoule" pas mon chéri, c'est juste que je suis surprise de ton soudain
intérêt pour ma garde- robe.
- Pourquoi ? C'est si difficile que ça à comprendre que j'aime autant te voir la plus
belle ?
- Non… c'est juste que…
- Tu les mettais que pour allumer les ouvriers c'est ça ?
- Non ! Non… je… je les remettrai… c'est promis.
- Cool.
J'ai bien cru qu'il allait me faire un esclandre maintenant. Fiouuuuuu… D'un peu plus
et j'ai bien crû qu'il allait tout envoyer bouler. Pour peu que je fasse ça quand son père est
dans les parages et il est bien capable de tout balancer finalement. J'oublie un peu vite que
ce n'est qu'un gamin encore. Gérer la frustration ce n'est pas si évident. Et puis il fait des
efforts, je devrais me montrer plus conciliante. Mais…
- Bonjour chéri, je croyais que tu devais travailler toute la journée ?
- Oui, c'est ce qui était prévu mais on a tout bouclé ce matin.
- Et ton voyage à Londres ?
- Reporté… Les clients n'étaient pas tous là…
- Et bien tant mieux, on pourra passer un peu de temps ensemble comme ça.
- Oui… enfin… je suis désolée mon amour mais je vais quand même devoir
travailler à la maison, après le repas.
- Ho… je vois… enfin c'est déjà mieux que tu sois là plutôt qu'au bureau.
- Oui… Et Justin ?
- Il ne devrait pas tarder à descendre… Il finit ses devoirs…
- Bien…
- Je monte finir de ranger la chambre, installe toi mon chéri… je m'occupe de tout…
Et voilà… là sans être là… enfin, toujours mieux que rien. Bon je vais finir la chambre,
changer de tenue et finir de préparer le repas.
C'est vrai qu'elle me va bien cette robe, à me regarder comme ça devant le miroir on
ne dirait pas que j'ai bientôt trente cinq ans. Bon. Vite que je l'enfile avant que les autres
arrivent. Tiens ! J'ai bien cru voir une ombre dans le couloir. Si je fermais la porte de ma
chambre aussi…
- JUSTIN !
- Chut ! Tu vas rameuter tout le quartier !
- Mais qu'est- ce que tu fiches dans ma chambre ?!?
- Ben je voulais te demander un truc sur un bouquin et puis quand je t'ai vu
tourner et retourner devant la glace j'suis resté québlo.
- "Québlo"… je t'en ficherai moi des "québlo"…
- Hey y a pas de mal…
- Comment ça « y a pas de mal » ? Et si je te reluquais pendant que tu choisis tes
habits dans ta chambre ? Hein ? Tu ne serais pas gêné ?
- Ben si c'est toi non…
- Bon ben moi ça me gêne…
- Ouai mais si je fais pas comme ça…
- Si tu ne fais pas comme ça quoi ?
- Ben je pourrais jamais te voir comme tu es maintenant
- J'ai quoi de particulier maintenant ?
- Tu portes un string sous ta robe et t'as pas de soutif…
- JUSTIN !
- Ben qui c'est vrai non ?
- Ce n'est pas le problème… et retire tes mains de mes hanches s'il te plait. Ton
père est en bas, il est revenu plus haut, s'il te voyait dans notre chambre il
penserait quoi, hein ?
- Ben il penserait juste que je t'aide à choisir ta tenue, rien de méchant donc…
- Le pire c'est que c'est sûrement ce qu'il penserait mais… Mais arrête Justin !
Regarde dans quel état tu es ! Tu crois vraiment que ton père va croire que tu
m'aide à choisir une robe en voyant la bosse dans ton boxer ?
- Bah, j'suis sûr que ça le ferait rire de me voir tout excité pour toi… Ca ne te fais
pas plaisir de voir que tu me rend tout chose maman ?
- Tout chose ? Je ne suis pas certaine que j'appellerai ça comme ça moi.
- Et tu dirais comment maman ? Hein tu dirais comment…
- Arrête Justin… retire tes mains de ma taille et arrête de te frotter contre mes
fesses, c'est… c'est… c'est indécent !
- Indécent ? C'est comme ça que tu dis toi ? Tu me trouves indécent ?
- Oui ! Vraiment ! C'est indécent pour un garçon de frotter son… son truc contre les
fesses de sa mère !
- Mon truc ? C'est moi ou t'es toute bizarre toi aussi maman ?
- Quoi ? Qu'est- ce que tu veux dire ?!?
- Juste que t'as du mal à trouver tes mots et que tes tétons sont tout durs sous ta
robe…
- Ho non Justin, ne fais pas ça !!! Je t'en prie…
- Ne fais pas quoi ?
- Ca… te frotter contre moi, mettre tes mains sous ma jupe comme ça…
- Pourquoi tu n'aimes pas quand ton fiston te fait un câlin ?
- Ce n'est pas un câlin… tu es… tu es… et ne me regarde pas comme ça !
- Pourquoi ? Tu es si belle maman…
- Mon chéri, il te faut une petite copine, tu verras…
- Mais je ne te parle pas de sortir ou d'amour maman… Je t'aime comme une mère
tu sais, je te l'ai déjà dit… Là c'est juste que je te trouve terriblement sexy…
- Ho non mon chéri… arrête… Enlève tes mains de mon ventre…
- Tu les préfères là ?
- NON ! Pas sur mes seins !!!
- Si tu savais depuis combien de temps je rêve de pouvoir faire ça 'man… de
pouvoir mettre mes mains sur tes nichons… il sont si doux, si beaux…
- Hooooo Justin… je t'en prie… arrête…
- Mais je t'aime maman… je t'aime tellement… tu le sais que je t'aime hein ?
- Oui mn chéri… je sais que tu m'aimes… Mais s'il te plait… retourne dans ta
chambre… Retire tes mains de ma poitrine…
- Juste encore un peu 'man… J'ai rêvé tant de fois de pouvoir le faire… Et puis sentir
tes fesses contre ma queue… ho maman si tu savais…
- Nooooon… Arrête… je… Tu vas me faire tomber…
- Non maman… regarde nous dans le miroir… regarde comme mes mains sont bien
sur tes nichons… regarde comme on va bien tous les deux comme ça…
- Ho mon garçon… comment peux- tu ?
- Mais je t'aime maman, c'est parce que je t'aime…
- Voilà… merci Justin, enlève tes mains de sous ma robe maintenant…
- Pourquoi ? Pourquoi maman ? Pourquoi tu devrais cacher ce corps merveilleux à
ton fils chéri ? Pourquoi je ne pourrais pas te voir dans ce mignon petit string ?
- NON ! Fais pas ça ! Rebaisse ma robe ! Arrête !
- Chuuuuuut… Je capte pas pourquoi tu te mets dans un état pareil maman… Tu dis
que je dois te laisser et pourtant regarde toi… Tu es toute tremblante, tes tétons
sont tout dressé et… et oui… t'es toute humide là….
- HO nooooooooon… pas çaaaaa…
- Pas quoi maman ?
- Enlève ta main de là… pour l'amour de Dieu…
- Mais je ne te fais pas mal maman… j'ai juste ma main sur ton string… et il est tout
mouillé… pourquoi il est tout mouillé entre tes jambes ton string maman ?
- Justin… je t'en supplie… si ton père…
- Mon père est en bas et il doit être entrain de lire le journal, il s'en fout de ce qui
se passe ici.
- Hooooooo… mais… qu'est- ce que tu fais ?
- Je frotte ton clitoris maman… je te branle à travers ton string maman… Tu ne
savais pas que c'est comme ça qu'une femme se branle ?
- Nnnnnnng…
- Comment maman ? Je n'ai pas compris… Tu ne te branles jamais maman ? Jamais
tu n'as frotté ton petit bouton d'amour comme ça ?
- Siiiiiii… mais arrêtttteeeee… Je… je ferai ce que tu voudras mais arrête ça de
suite…
- Pourquoi je devrais arrêter maman… et puis j'ai tout ce que je veux là… Ma belle
petite maman toute pour moi et en plus je peux lui donner du plaisir…
- Ce n'est pas bieeeeeeen…
- Pas bien ? Mais c'est que du bonheur 'man… que du plaisir… Regarde comme elle
a grandit la tâche maman… même à travers le string j'ai les doigts tout mouillés…
- Hooooooo…. Mmmmmph…. C'est… c'est…
- Oui maman… laisse toi aller… laisse toi faire… comme ça…
- Ho non… nooooon…
- Regarde dans la glace comme mes doigts frotte bien ta chatte maman… regarde
comme je te branle…
- Non… non… noooooooon…
- Mais si maman… je te branle maman, et je sais que tu aimes ça… ça te manquait
maman… alors vas- y… prends ton pied…
- Hoooooooooooo….
- Oui voilà… comme ça… appuie toi contre le miroir… laisse moi faire… laisse moi te
faire jouir ma maman d'amour…
- Hooooo… arrête… arrête… hooooooo noooooooooon….
- Ca va là- haut ? Tu fabrique quoi Hélène ? C'était quoi ce bruit ?
- C'était rien Pierre… je… je me suis pris les pieds contre le lit et suis tombée…
- Tu t'es fait mal ?
- Non… non ça va… reste en bas… j'arrive…
- Ben tu vois maman… Je savais que tu aimerais…
- Fiche le camp de ma chambre !
- Ben fais celle qui est en colère 'man… j'ai bien senti que t'as joui tu sais, et puis si
tu n'avais pas aimé, pourquoi aurais tu menti à papa ? Hein ?
- Dégages de là !
Ho mon Dieu… c'est un cauchemar… Mon fils m'a presque violée, et je n'ai rien pu
dire, rien pu faire… Ho mon Dieu… mais qu'est- ce que je vais devenir ? Et si je dis quoi que ce soit à son père, il va tout raconter. Comment je peux me sortir de là ?
Regardez le parler avec son père, quel salaud, et son petit sourire. Un ange hein ? On
lui donnerait le bon dieu sans confession. Mais le petit ange il vient de tripoter sa mère, il
vient de… Et cet abruti de mari qui le félicite de si bien travailler pour l'école…

A suivre

Histoire du net. Auteur: Malice. Justin... Suite

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Ou Maman est dépassé par les mœurs de nos jeunes..
Qui ne l'ai pas???... Mais là!

Cauchemar ou presque…
Chapitre II

Chapitre II
Au moins avec Pierre à la maison, je n'ai pas à supporter les assauts de Justin. Même
s'il est trop aveugle pour voir le manège de son fils, le soir quand on regarde la télé, mon
cher fiston ne peut rien tenter de trop oser alors qu'il est à deux mètres de nous. Mais nous
sommes lundi et Justin va rentrer au moins une heure avant son père… Il faut que je trouve
un moyen de le repousser. Peut- être lui parler.
- Bonjour 'man !
Mais quel petit con ! Il a bien faillit me faire avoir une crise cardiaque ! Il a dû se
dépêcher de rentrer, il a un quart d'heure d'avance par rapport à d'habitude.
- Bonjour Justin. Bonne journée ?
- Pas trop mal… et toi ?
- Un lundi comme tant d'autres…
- Je vois…
- Justin ?
- Ouai ?
- Il… il faudrait qu'on parle tu ne crois pas ?
- Ouai, bien sur… de quoi ?
- Tu ne vois pas ?
- Ben… ho tu veux qu'on parle de samedi matin ?
- Oui.
- Et tu veux dire quoi ?
- Tu trouves que ce que tu as fait est normal ?
- Mmmmh… Normal je sais pas… mais en tous cas utile…
- Utile ?!?
- Ben ouai… Je crois que ça t'as fait du bien non ?
- Comment ça du bien ? Tu as abusé de la situation, tu as abusé de moi et tu viens
me dire que ça m'a fait du bien ?!?
- Ben je suis peut- être un peu reloud par moment mais j'ai bien capté que t'as jouis
non ? Alors oui, j'crois que j't'ai fait du bien…
- Comment oses- tu ?
- Quoi ? Tu vas me dire que je t'ai pas faite jouir ?
- Ce n'est pas le problème !
- Si c'est le problème ! Le problème c'est que mon père te touches plus et que t'es
en manque de sexe mais que t'es trop coincée pour le reconnaître alors j'ai dû un
peu brusquer les choses !
- Mais je suis ta mère !
- Et alors ? Je sais que t'es ma mère, mais quand je t'ai vue l'autre jour, à quatre
patte entrain de te faire bourrer le minou par le jardinier… ben j'ai compris que
t'es aussi une femme, et une femme ça a des besoins !
- Mes besoin ne concernent que moi, et sûrement pas mon fils !
- Et pourquoi ça ? Moi je dis que ça me concerne quand je te retrouve au pieu avec
un employé !
- Arrêtes avec cette histoire ! J'ai fais une connerie, je le sais et tu peux me croire,
je m'en veux suffisamment. Mais j'ai bien compris la leçon et je ne suis pas prête
de recommencer. Alors t'es gentil fiston mais ma vie sexuelle ne te regarde pas.
- Ben je regrette mais elle me concerne que tu le veuilles ou non. Je suis ton fils et
je dois veiller sur toi, quelque soit le problème.
- Je suis ta mère Justin, quand tu auras une copine tu pourras veiller sur elle et
t'occuper de tous ses besoins mais dans cette maison c'est moi qui dois veiller sur
toi et non l'inverse. Je suis l'adulte et toi l'enfant, tâche de t'en souvenir !
- Tu es peut- être l'adulte mais prend pas tes grands airs ! Avant tu pouvais peut-
être passer pour une sainte mais moi je sais que tu n'es pas parfaite ! Et
contrairement à ce que tu penses je ne regrette absolument pas de t'avoir
surprise avec le jardinier, ça m'a ouvert les yeux.
- Ca t'a surtout donné un bon prétexte pour faire ce que tu veux !
- Et quand bien même ? Pourquoi ce que je veux devrais être une mauvaise chose
si ça peut t'aider aussi ?
- M'aider ? Tu crois que c'est en me tripotant pendant que ton père est dans la
maison que tu vas m'aider ?
- En te tripotant ? Attends, c'est moi qui ai trempé ma culotte tellement j'avais
besoin de jouir un bon coup ? C'est moi qui ai menti à papa alors qu'il te
demandait ce qui se passait ? C'est moi qui laisse la porte de ma chambre ouverte
pendant que je me pavane à poil devant mon miroir ? Non maman… tu voulais ce
que je t'ai donné, tu es juste trop coincée pour le reconnaître !
- JE NE SUIS PAS COINCEE ! ET TU N'AS PAS A ME PARLER COMME CA !
- Ho et puis commence pas à hurler, tu me saoules. Tu pourras toujours dire ce que
tu veux mais les faits sont là… Je t'ai branlée et tu as joui comme une chienne en
chaleur. Tu préfères te dire que c'était tout ma faute et après tout je m'en cogne,
mais alors je m'en cogne grave ! Si ça peut t'aider à t'endormir le soir, vas- y, fout
moi tout sur le dos. Mais souviens toi juste d'un truc, ce n'est pas moi qui me suis
retrouvé le cul couvert du foutre du jardinier et ce n'est pas moi qui ai fini par
terre après avoir couiné comme une cochonne !
- Tu es un porc !
- Si tu veux, je m'en fous. Tu vois on pourrait parler de tout ça calmement, tu
pourrais essayer d'écouter ce que je te dis, mais non, tu refuses de voir
l'évidence, alors continue, vas- y, mais on verra si la prochaine fois tu appelleras
papa.
- Ne compte pas sur une prochaine fois…
- Ha ouai ? C'est ce qu'on verra…
S'il s'approche de moi je lui brise ses couilles ridicules à ce petit con. S'il me touche
juste une fois je lui envoie mon genou contre ses bijoux et lui fait chanter Manon à trois
voies.

Je m'attendais au pire les deux jours suivants, mais heureusement rien ne s'est passé.
Une sorte d'évitement mutuel qui nous est allé très bien. En fait c'est faux. Justin s'est
montré particulièrement courtois et nous avons deux ou trois conversations assez
intéressantes. Il n'a eu aucun geste déplacé, ni même regard incongrue.
- Tu es debout bien tôt pour un mercredi matin.
- Bonjour à toi aussi 'man.
- Oui excuses moi mon chéri, bonjour. Tu veux quoi ?
- T'inquiètes, poses toi je vais me faire mon p'tit dèj… Et, tu as en partie raison, je
voulais te voir avant que t'ailles voir tes copines.
- Ha ? Et pourquoi cela ?
- Juste pour te prévenir qu'elles ne sont pas les oies blanches que tu crois…
- Plait- il ?
- Ben… si tu comptes leur faire un compte rendu sur tes petites histoires
extraconjugales je te conseillerai d'y réfléchir à deux fois…
- Qu'est- ce que tu racontes ?
- Hé ho, c'est bon, j'suis pas complètement tebê non plus. Je sais que vous parlez
de tout toutes les trois. Alors vu que jusque là mes potes ils bavent que sur Betty
et Marie ça m'arrangerai qu'on t'associe pas trop à elles.
- Comment ? Et qu'est- ce qu'on raconte sur elles ?
- Fais pas celle qui capte pas 'man… tout le monde sais que ceux deux chaudasses
qui se tapent un nouveau pèlerin tous les deux mois.
- QUOI ?
- Arrêtes s'te plait… Tout le quartier est au courant et les potes, ils arrêtent pas de
casser Jean- Marc et Isa à causes de leurs mères. C'est déjà reloud pour eux,
j'aime autant pas faire partie du lot…
- Je… je ne savais pas que…
- Ben maintenant tu le sais… En plus tout le monde raconte qu'elles kiffent les
jeunots… Parait même que Betty lorgne son fils sous la douche. Moi tout c'que
j'dis c'est fais gaffe à ce que tu leur raconte c'est tout… après c'est à toi d'voir.
- Et bien… merci… mais je ne crois pas que ces rumeurs soient fondées tu sais…
C'est vrai qu'elles m'ont dit avoir eu une aventure un jour mais ce ne sont pas les
"prédatrices" que vous vous imaginez.
- Perso j'en sais trop rien et je m'en cogne grave. Enfin… tant qu'on bave pas sur
toi le reste…
- Je vois… mais tu sais à votre âge souvent on fantasme sur la vie sexuelle des
femmes et notamment celles qui vous entourent. Betty et Marie sont assez
extraverties et je suppose que ça suffit pour titiller la libido débordantes de tes
amis.
- T'inquiètes pour notre libido… Marie c'est une putain de cochonne et sa fille, elle
vaut guère mieux…
- Justin ! Ce n'est pas très charitable de parler comme ça…
- Charitable ? Mort de rire… Crois ce que tu veux… Evite juste qu'on se foute de
moi quand je retournerai au lycée jeudi, c'est tout.
- Si ça peut te rassurer je ne comptais pas faire étalage de ce qui s'est passé la
semaine dernière, même à mes amies. Mais je reste persuadée qu'il y a là-
dessous plus de frustrations d'ados rompus d'hormones qu'un iota de vérité.
- Ha ouai ? Ben on verra tiens…
- On verra quoi ?
- Rien… je voulais juste te prévenir… pour le reste… tu verras.
- Bon…
Pourquoi il me dit ça maintenant ? C'est vrai que je pensais pouvoir me soulager un
peu auprès de mes amies de ce qui m'est arrivé. Je suis persuadée que Justin se fourre le
doigt dans l'oeil mais à bien y réfléchir, autant garder pour moi certaines choses. Par contre
pour ce qui est de Marie et de sa fille, mon pauvre chéri, il est tellement submergé par sa
testostérone qu'il croit vraiment que les filles faciles sont toutes autour de lui. Marie ! Avec
son côté stricte et sa façon de surprotéger sa fille, s'il y en a bien deux qui ne sont pas des
« marie couche toi là » c'est bien elles… enfin… quand il aura sa première petite amie, ça lui
passera.
Vendredi soir, Justin a encore eu une bonne note au lycée. Pierre est tellement fier
de son nouveau fils qu'il lui a donné la permission de sortir avec ses copains. Ce qui me
tourmente ce n'est pas que Justin passe une partie de la nuit dehors, c'est que son père part
à Londres demain et que nous serons que tous les deux pendant tout le weekend. J'espère
que tout se passera bien. De toute façon, s'il m'approche je l'explose…
Justin est rentré à une heure cette nuit. Je me suis fait un sang d'ancre mais ça a l'air
d'amuser Pierre. Il me dit que même s'il n'a que seize ans, ses copains et lui restent sur la
petite place à cinquante mètres de l'entrée de notre terrain. Ils ne risquent rien et c'est de
leur âge. De leur âge ? Rester jusqu'à une heure du matin à glandé dehors ? Enfin… il est
rentré et c'est levé à neuf heures. Même pas demi- heure plus tard il était déjà dehors. Au
moins je n'aurai pas à subir ses insistantes attentions.
Il est rentré à seize heures, je l'ai entendu alors que je lançais une nouvelle machine
dans la buanderie. Depuis il s'est enfermé dans sa chambre. Je ne vais pas empiéter sur son
intimité et si toute la journée pouvait se dérouler ainsi ce serait une bonne chose. Je trouvais
que tout se passait à merveille quand le téléphone sonne.
- Hélène ?
- Oui Marie ? Contente de t'entendre, tu vas bien ?
- Oui, très bien, merci… je… Je te téléphonai pour m'assurer que tout va bien…
- Tout va bien ? Pourquoi je n'irai pas bien ?
- Heu… non, pas toi… Marie… je voulais m'assurer que tout allait bien avec ma fille
et ce n'est pas que je ne fais pas confiance à ton fils mais… Je voulais être certaine
que ça ne te dérange pas qu'elle passe le reste du weekend avec vous deux. Il m'a
assuré que ça ne te dérangerai absolument pas et j'avoue que ça nous arrange
bien, ce weekend chez les parents de Philippe ne va pas être des plus amusants,
surtout avec cette histoire de partage du patrimoine dont je t'ai parlé mercredi…
Enfin, je tenais juste à te remercier et être sûre que ça ne te dérangeait vraiment
pas de garder un oeil sur elle.
- Je… Non… Bien sur que ça ne me dérange pas… mais… Enfin, non, ne te tracasse
pas, je les ai entendu rentrer et je vais m'assurer que tout se passe bien. Ta fille
est charmante de toute façon, c'est une gentille fille, il n'y aura aucun souci.
- Ok, et bien merci encore, ça nous enlève une belle épine du pied. Je te revaudrai
ça. Je passerai prendre ses affaires lundi matin, autant qu'elle ne s'embarrasse
pas de son sac au lycée et comme ça je te raconterai mon weekend…
- Pas de problème Marie…
- Allez je t'embrasse, Philippe a fini de préparer la voiture il faut qu'on décolle de
suite, bye bye ma belle.
- Bye bye…
QUOI ? Qu'est- ce qu'il a derrière la tête ce gamin encore ?!? Je m'en vais te lui passer
un savon à ce gamin ! Mais qu'est- ce qu'il croit ? Qu'il peut faire ce qu'il veut sans m'en
parler avant ? Il croit qu'il a quel âge ce petit con ?
HEIN ? J'ouvre la porte et qu'est- ce que je vois ? La petite marie à quatre patte sur le
lit de mon fils, complètement à poil, entrain de lui faire une fellation à en rendre jaloux les
réalisateur de film X.
- JUSTIN !
- MAMAN !
- Mmmmh ?
- Mais qu'est- ce qui se passe ici ?
- Tu pourrais pas taper à la porte avant d'entrer non ?!? Et pour ce qui se passe ça
me semble assez évident non ?
- Ne te fous pas de moi Justin ! Si Marie ne m'avait pas appelée je n'aurais jamais
su qu'Isabelle était ici !
- C'est bon 'man, on te l'aurait dit un peu plus tard… mais on avait mieux à faire
avant… tu vois pas ?
- Mais… Mais… Et est- ce que tu pourrais t'arrêter de… de… enfin t'arrêter pendant
que je parle à mon fils ?!?
- De sucer 'man… Isa me suce… c'est pas difficile à dire non ?
- Tais- toi petit insolent ! Et veux tu bien te couvrir !
- Ben quoi ? C'est pas la première fois que tu la vois ma bite non ?
- JUSTIN ! Pour l'amour de Dieu !
- Mais Hélène on ne faisait rien de…
- Toi tu as tout intérêt à ne pas t'en mêler, attends que je parle à ta mère de tout
ça !
- HEY ! Tu causes pas comme ça à ma copine ! Elle a rien fait de mal ! Et si ça te
gêne ce qu'on fait t'as qu'à ressortir et fermer la porte !
- Justin ! Vous croyez que vous avez quel âge ?!? Et puis rhabille- toi Isabelle !
- Pourquoi ? Elle te plait pas, moi je la trouve plutôt bien foutue et en plus elle suce
comme une reine ! Et pour l'âge qu'on a… c'est toi qui a dit que ça irait mieux le
jour où j'aurais une copine et que je pourrai me la taper… tu devrais être
contente !
- Mais je rêve là !!! Vous n'avez que seize ans ! On ne fait pas ces cochonneries à
seize ans !
- Pourquoi Hélène ? C'est pas réserver aux vieux vous savez…
- ISABELLE ! Mais comment oses- tu me parler ainsi ? Toi qui es si gentille, si
mignonne…
- Ben elle est mignonne 'man… en plus elle m'a dit qu'elle avalera tout pour pas
salir…
- HO MON DIEU ! Mais… mais… vous êtes des pervers !!! Quand Marie et ton père
apprendront ça…
- J'suis sûr que papa sera fier de son fils !
- Et vous savez maman… Elle a déjà rencontrer mon ex copain et…
- QUOI ? Mais je suis donc la seule ici à n'être pas une obsédée sexuelle ?
- Ben franchement, pour ce que j'ai vu la semaine dernière…
- JUSTIN !
- Quoi ? Moi je trouve pas ça pire que ce que j'ai vu…
- Ce n'est pas pareil ! Et puis cache moi ce… en…
- Ce sexe en érection ?
- Ce n'est pas vraiiiii….
- Ha non… pas ça… tu vas pas te mettre à chialer devant notre invitée, ça le fait pas
ça maman…
- Bon… écoutez moi les enfants… vous vous rhabillez, vous descendez me retrouver
dans le salon, on va parler de tout ça calmement et… Et on verra par la suite…
Je n'y crois pas ! Ce saligaud a ramené cette… cette… trainée dans ma maison pour se
faire faire une gâterie et il trouve ça tout à fait normal. Et cette façon de m'exhiber son
membre tout dur comme si c'était un trophée, comme s'il pouvait être fier d'exposer sa
queue ridicule ! Et cette gamine qui reste assise à me regarder sans même chercher couvrir
son intimité… Elle n'a même pas encore fini sa croissance et elle ose me fixer dans les yeux,
nue comme un ver… Mais qu'est- ce que j'ai pu faire au bon dieu !!!
Non mais regardez les, les deux en maillots de bain, mais ils se croient où ?!? Bon
Hélène, calme- toi, ils veulent juste te pousser à bout. Contrôle toi, tu es encore maîtresse
chez toi.
- Et vous comptez allez où dans cette tenue ?
- Holà, du calme maman, d'abord c'est toi qui nous a dit de te rejoindre en bas…
- Oui il y a plus d'un quart d'heure…
- Ouai, je sais, d'ailleurs, tu permets ? Je vais nous servir un coca, Isa a la bouche un
peu pâteuse…
- Qu…. Bon… C'est bon ? Le numéro est fini ? J'espère que vous en avez profité
parce qu'Isabelle dormira dans la chambre d'ami ce soir, et je laisserai la porte de
communication avec la notre ouverte, donc pas la peine de penser à une
escapade, je vous préviens !
- Ouai, ouai, 'man… Tu sais t'es drôlement à cran et puis genre coinçosse en ce
moment…
- Je t'en prie…
- C'est vrai m'dame, je vous trouve vachement plus sur les nerfs que quand je vous
vois d'habitude…
- Quand je te vois d'habitude, tu as la bouche vide !
- Faut pas en faire tout un plat vous savez, maman m'a déjà fait tout le sermon sur
le sexe et les précautions à prendre vous savez…
- J'ai bien l'impression que tu n'as pas tout écouté jeune fille…
- Ho ben si, et puis si peux vous donner un conseil, vous devriez peut- être penser à
prendre un peu de bon temps, sans rire je vous trouve genre à cran…
- Je ne crois pas que ma vie sexuelle te regarde Isabelle et si j'avais besoin des
conseilles d'une gamine de quinze ans je te le ferai savoir.
- Seize…
- Comment ?
- Je ferai seize ans dans deux mois…
- EN PLUS ! Et tu crois vraiment pouvoir me faire avaler que ta mère t'as laissé
venir passer le weekend chez moi pour que tu te vautre dans le lit de mon fils
comme ça ?
- Ben jusque là c'est plutôt elle qui a avalé 'man…
- JUSTIN !
- Et puis je vois pas ce qui vous gène là- dedans Hélène… je dirai même que maman
elle était plutôt contente de savoir que je sors avec Justin, elle aimait pas mon ex,
un peu trop l'genre caillera si vous voyez ce que je veux dire…
- Bon, écoute, ce n'est pas la peine de perdre notre temps, nous verrons bien tout
ça quand j'en parlerai à ta mère. Dire qu'elle t'a envoyé ici pour éviter que tu
t'ennuies à la réunion de famille de ton père, elle sera contente de voir à quel
point tu t'es amusée…
- M'ennuyer ? Vous plaisantez ? Elle voulait surtout avoir la chambre pour elle et
mon père oui… Chez la tante dédette on est obligé de partager la chambre et ma
mère ça la fait trop kiffer de se taper mon père dans son lit de gamin… Et moi
franchement ça me soûle grave de l'entendre miauler toute la nuit…
- Ca suffit ! Et je peux savoir ce que vous allez faire en maillot ?
- Nettoyer la piscine 'man… Vu le soleil qu'il fait ça m'a semblé une bonne idée, et
puis si ça peut éviter au jardinier de rappliquer…
- JU…. Oui, bon… tu… Tu as raison, mais je vais vous aider, Dieu seul sait ce que
vous êtes encore capable de faire si je vous laisse tous les deux…
- Ho rien de grave 'man… J'suis sûr que l'eau est trop froide pour que je lui fasse
quoi que ce soit…
- ….
Dire que j'ai l'impression que le ciel me tombe dessus est un doux euphémisme. Mais
qu'est- ce qu'ils ont dans le crâne ces deux là ? Deux vrais petits lapins prêts à forniquer dans
le moindre petit coin tranquille ! Et puis c'est qu'elle a le feu aux fesses la gamine. Non mais
regardez moi ça ! Toute à se trémousser et à se pavaner devant mon fils pendant qu'il
nettoie le filtre. Elle pourrait tout aussi bien lui faire une danse du ventre tant qu'elle y est.
Et Justin qui marche en roulant des mécaniques. Pitoyable ! C'est vrai qu'il est plutôt
bien bâti mais s'il se voyait entrain de gonfler ses pectoraux comme un pigeon en rut…
Ridicule je vous dis ! Bon c'est vrai qu'ils vont assez bien ensemble, les voir retirer la bâche
en tirant chacun de son côté pour faire tomber l'autre dans l'eau… ça me rappelle la
première fois qu'on a fait ça avec Pierre. Ca fait du bien d'entendre des rires, je l'avoue, mais
que des rires pas des râles bon sang de bois !

S'ils croient pouvoir m'acheter en me demandant de venir tester l'eau avec eux. Ils se
mettent le doigt dans l'oeil. Si je les rejoints c'est pour les surveiller et être certaine qu'ils ne
fassent pas de cochonneries dans l'eau. Bon, ok, la partie de ballon était toute à fait
innocente, j'ai bien senti la main de mon fils glisser une ou deux fois mais ça peut arriver, il
ne faut pas que je me mette martel en tête. Si je commence à voir le vice partout, je ne vais
jamais m'en sortir.
Mais elle me fait quoi la gamine ?!? Non, moi je ne compte pas faire du mono. Mais
c'est quoi cette génération ? D'un autre côté ce n'est pas ce qu'elle a comme poitrine qui va
pouvoir vraiment émoustiller Justin, vu les revues qu'il cache sous son lit, il doit rêver d'autre
chose. Mais la voir lui masser le dos comme ça pour soit disant lui passer de l'ambre solaire,
elle me prend vraiment pour une andouille cette gourgandine.
Bon je préfère autant fermer les yeux, ils n'oseront rien devant moi de toute façon.
Enfin… rien dans le jardin… Mais… mais… Elle ne va quand même pas lui faire le devant aussi
non ?
- Isabelle ! Je crois qu'il peut se passer la crème sur son ventre tout seul…
- Non laissez Hélène, ça me fait plaisir, je peux vous en mettre aussi si vous
voulez…
- Non… enfin oui tiens… Justin pourra se "finir" tout seul…
- Très drôle 'Man…
- …
- Hey, détendez vous, je vais jamais pouvoir vous passer de la crème comme il faut
si vous restez tendue comme ça…
- Désolée, je n'ai pas l'habitude d'avoir une gamine sur les fesses pour me masser
le dos.
- Ben vous devriez en profiter alors, moi je préfère quand c'est ma mère qui me
masse, mon père il est trop brusque.
- Hein ? Heu… bien… bien… mais ne te crois pas obligée d'en faire trop non plus
Isabelle…
- Vous inquiétez pas, j'adore faire des massages moi, je trouve ça trop sensuel.
- Sensuel ? Ce n'est pas le terme que j'aurai choisi… Mais ! Qu'est- ce que tu fais ?
- Je dégrafe votre haut m'dame… Vous voulez quand même pas avoir des marques
au milieu du dos non ?
- Je me fiche des marques…
- Rhoooo et puis arrêtez de bouger, savourez juste, vous êtes grave tendue vous
savez, c'est comme si y avait des noeuds partout sous votre peau.
- Il faut dire que je suis tellement aidée pour être détendue ces derniers temps…
- Pourquoi il vous emm… ennuie vot' mari ?
- Non, je ne pensais pas à lui…
- Justin ? Mort de rire, m'étonne pas, c'est un vrai démon quand on le connais un
peu… Il en loupe pas une…
- Hey c'est bon, je vous entends…
- Désolée Ju… mais c'est vrai que t'es pas un ange non plus…
- Ca tu l'as dit Isabelle, pas un ange du tout, et pour être franche je ne suis pas
certaine qu'on puisse te confier une auréole non plus…
- Bah de toute façon c'est pas mon auréole qui intéresse vot' fils mais plutôt mes
aréoles… hihi…
- …..… Heu, ce n'est pas la peine de m'enlever ma culotte pour me passer de la
crème sur le dos tu sais…
- Ouai je sais, vous bilez pas, j'l'aurais bien fait mais je sais que vous allez être trop
gênée…
- Gênée ?!? Il y a une différence entre être gênée et trouver certaines choses
immorales.
- Immorales ? Wow… vous trouvez ça immorale d'être à woualp devant une autre
fille vous ? Ben c'est mes copines du cours de GRS qui seraient contente
d'entendre ça…
- Je ne pense pas que tu caresses le dos de tes copines de gym, Isabelle…
- Non, pas à toutes…
- … ? En tous cas, j'aime autant garder ma culotte !
- Dommage, vous avez un super c… de très belles fesses m'dame…
- Merci… mais c'est bon maintenant, je crois que j'ai suffisamment de crème
comme ça…
- Non non c'est bon, j'vous l'ai dit, j'adore faire des massages, regardez… ça vous
fait pas du bien quand on vous masse les pieds comme ça ?
- Si… si… c'est très agréable mais…
- Ben alors, vous voyez, j'suis pas si méchante après tout.
- Je n'ai jamais pensé que t'étais méchante, juste un peu trop effrontée peut- être
et surtout un peu trop portée sur…
- Sur ?
- Le sexe…
- Hey me prenez pas pour une nympho ou une salope, Hélène, Justin c'est le
premier copain que je suce vous savez, allez pas me faire une sale répute comme
les mecs du bahut…
- Ho ? Tu avais l'air plus expérimentée que ça…
- C'est un autre problème ça, mais vous pouvez me croire, j'ai jamais fait autre
chose avec mes copains que les laisser me tripoter. Mort de rire, ça leur suffit
bien assez pour tout gicler dans leur slip, vous savez…
- Oui, j'me doute… enfin non… Je n'en sais rien et je ne veux pas savoir… Mais
qu'est- ce que c'est que cette façon de parler de ça tout le temps ?
- Ben je pensez que je pouvais être cash avec vous Hélène, vous faite genre plus
ouverte chez ma mère ou alors c'est juste un style ?
- Non… mais… Il y a une différence entre discuter avec des amies adultes et avec
une gamine de ton âge.
- Ben c'est con, parce que si j'en parlais pas avec maman je saurai comment les
trucs à faire ou pas moi ?
- Je… Je ne sais pas… j'ai tout appris en temps et en heure, de moi- même, et pour
ce que j'en sais jamais personne ne s'en est plaint…
- Hihi… Ouai j'imagine mais vous avez l'air tellement stresse quand on parle de ça
avec vous que j'me dis que c'est un bon échange…
- Un bon échange ?
- Ben ouai, j'vous fait en parler pour vous décoincer un coup et en même temps,
j'apprends d'autres trucs que ma mère elle m'a pas dit…
- Que ta mère ne t'a pas dit…
- Vous savez que vous répétez tout c'que je dis…
- Je… désolée…
- Pas grave…
- Bon écoute je veux bien parfaire ton éducation sexuelle si tu y tiens mais par
contre ce n'est pas la peine de poursuivre ton massage plus haut…
- Z'inquiétez pas, ma mère je lui fais même le maillot…
- Je ne suis pas ta mère…
- Ouai, ça s'voit, mais z'êtes cool dans vot' genre.
- Je suppose que c'est un compliment…
- Net ! Vous vous avez l'air de dire ce que vous pensez, bon des fois vous faites
style genre mais après vous dîtes vraiment ce que vous pensez…
- Comment ça je fais style- genre ?!? Et je t'ai dit que je ne compte pas faire du
bronzage intégrale, donc mes fesses n'ont aucunement besoin d'ambre solaire !
- Je sais, c'est dommage d'ailleurs les marques de bronzage c'est grave moche,
mais c'est que j'aime bien vos fesses, elles sont super douces et fermes aussi,
celles de ma mère son grosses et molles…
- Oui bon… c'est gentil mais…
- Ouai ... ouai… vous bilez pas, je reste hors du maillot…
- Merci… et je te le répète je ne fais pas style genre ou je ne sais quoi d'autre…
- Vous allez quand même pas me faire croire que ça vous choque de voir une nana
tailler une pipe à un mec quand même…
- Non, mais quand la fille n'a pas seize ans et que le "mec" est mon fils j'avoue que
je bloque un peu, et puis je n'ai pas l'habitude de voir ce genre de chose non plus.
- Vous aimez pas les films de boule ?
- Les quoi ?
- Les films de boule, de cul quoi… les films X
- Ho… heu… non, je n'aime pas ça…
- Vrai ? Mort de rire, vous en avez déjà vu un au moins ?
- Non et je n'y tiens pas… je suppose que c'est un loisir auquel tu t'adonne
fréquemment.
- Ben non pas trop, la plupart ils sont grave nuls, mais j'en ai vu un ou deux de
plutôt bien fait, faudrait que vous demandiez à ma maman, j'suis sûre qu'elle sera
contente de vous en passer.
- Je te remercie mais ça ira…
- Et vous faites quoi pour vous stimuler ?
- Me stimuler ?
- Ben oui quand vous vous frottez là, vous savez…
- ISA…
- Chuttttt ! Vous allez réveiller Justin…
- Si tu pouvais éviter de me toucher à nouveau…
- Ouai c'est bon… c'était juste que je savais pas comment vous dire la ch… enfin
c't'endroit quoi…
- Intimité ? Clitoris à la limite, sexe ça peut être tout aussi bien…
- Ouai, ouai… scusez- moi…
- Et non je ne me….
- Rhoooooo et arrêtez, il dort Juju, vous allez pas me dire que jamais vous vous
branlez non, je vous ai même entendue discuter vibro avec ma mère et l'autre
Betty là…
- Heu… ce n'est pas bien d'écouter aux portes…
- Ce n'est pas bien de mentir…
- ….
- Allez faites pas la gueule, vous êtes trop mimi Hélène… Et puis c'est pas honteux
de se faire zizir toute seule, les mecs ils sont grave nuls pour ça…
- Tu avais plutôt l'air contente tout à l'heure quand tu…
- Que je suçais vot' fils ?
- Oui…..
- Ouai ça pouvait aller…
- Je croyais que ce n'était pas bien de mentir.
- Quoi ?
- Tu me présentais ton arrière train que je suis arrivée, souviens- toi, et en tant que
femme je sais reconnaître une autre femme qui éprouve du plaisir…
- Mort de rire, ouai, ouai… j'mouillais c'est vrai… putain vous avez l'oeil quand
même pour une femme style « j'y touche pas »…
- Heu… c'était pour le moins évident…
- Ouai un peu comme vous maintenant quoi…
- COMMENT ?
- Ben vous avez comme une petite tâche humide à l'entrejambe de votre culotte
là…
- Isabelle ! Non ! Mais qu'est- ce que tu crois que tu fais ?
- Ben je mets de votre mouille sur mon doigt pour vous montrer que je dis pas des
conneries.
- Je pouvais très bien le faire moi- même… je vais finir par croire que tu aimes me
toucher à cet endroit…
- Bah non…
- Quand même…
- Pas qu'à cet endroit…
- Isab… Bon c'est fini maintenant, tu vas sur ta serviette et tu me fiches la paix.
- J'suis désolée Hélène… Scusez- moi, s'il vous plait… J'voulais pas vous foutre la
tehon, j'vous jure. J'voulais juste pas être une garce et vous dire la vérité c'est
tout.
- Oui ben ta vérité, même si je doute que ce soit vraiment le cas, ne me convient
pas…
- C'est con vous savez Hélène, j'suis bien d'accord avec Justin, vous êtes grave bien
gaulée et pas conne à parler avec, mais c'est trop trop con que vous soyez aussi
coincée niveau sexe. J'vous propose pas un plan ou quoi que ce soit, juste ça me
semblait plus réglo de vous dire la vérité
- Je… c'est gentil Isabelle mais… Je… j'aime les hommes…
- Mort de rire, moi aussi ! Mais c'est pas parce que j'aime le coca que je crache sur
le fanta…
- Et bien moi je n'aime que le coca, et surtout pas les petites bouteilles de fanta pas
encore arrivées à maturation !
- Holà, pas la peine de me traiter non plus… C'est bon… Ca va… C'est vrai qu'vous
êtes genre difficile à calculer vous, faut pas vous la jouer compliquée comme ça
vous savez… Je vous masse, vous mouillez, je vous le dit, c'est tout, point barre…
Faut pas se mettre dans tout vos états c'est pas la peine…
- Je… je m'excuse Isabelle… je.. je ne m'attendais pas à ça et, j'avoue que ça m'a
gênée, alors je…
- …
- Bon ok, je te présente mes excuses, je me suis fait de drôles idées sur toi, je te
pensais un ange et quand je t'ai vue avec Justin que je t'ai pris pour une traînée.
En fait tu sembles être plutôt mature pour ton âge et surtout sur le plan sexuel. Si
tu veux tout savoir je ne suis pas certaine d'approuver ton style de vie mais après
tout c'est vrai que si ta mère approuve, je n'ai pas le droit de critiquer.
- Vrai ?
- Oui.
- Cool. J'm'excuse aussi. C'est vrai que vous êtes plutôt kiffante et j'suis peut- être
allée un peu vite en besogne…
- C'est bon, c'est de l'histoire ancienne.
Bon, C'est vrai qu'elle est assez gentille la petite Isabelle, et c'est vrai qu'elle est
plutôt en avance pour son âge. Je ne suis pas certaine que ce soit le genre de précocité qui
soit primée au collège mais après tout, si tout le monde est consentant…

Faire la cuisine pour moi, quelle charmante proposition. C'est dans ce genre de cas
que je suis contente qu'un bar sépare la cuisine de la pièce commune. Au moins je peux
avoir un oeil sur eux. Non pas que j'ai peur qu'ils s'ébrouent entre les clayettes du frigo mais
plutôt qu'il ne me mette le feu à la maison. Ceci dit elle a l'air de savoir ce qu'elle fait la
gamine. Elle donne même des ordres à Justin. Elle pourrait peut- être avoir une bonne
influence sur lui, qui sait. Suivant ce qu'elle a dit elle n'est pas une marie- couche- toi- là, mais ce n'est sûrement pas une nénette qui se laisse marcher sur les pieds non plus.
- Un souci Isabelle ? Tu cherches quelque chose dans le bar ?
- Non… non tout va bien m'dame… je… je cherche juste des… mmmh c'est bon…
j'ai… j'ai trouvé…
- Ha… Justin arrête de la coller comme ça, laisse la respirer un peu…
- T'inquiètes 'man… elle aime bien quand je la colle comme ça…
- Nnnnnnng… oui… vous… vous inquiétez pas Hélènnnne…
- Mais… Mais qu'est- ce que vous fabriquez ?
- Rien ! Rien… je… je vous prépare un… un cocktaillllll…
- Non 'man, te lève pas… tout va bien… Je lui montre juste où sont les choses…
- Tu es sûr ? Je… Vous… je ne veux pas jouer les chaperonne trop suspicieuse mais
je voudrais vraiment que tu la laisses finir maintenant Justin…
- Mais…
- Maintenant !
- C'est bon j'arrive…
- Mmmmmh….. Hoooooo…
- Tu es certaine que ça va Isabelle, tu n'as pas l'air bien du tout et…
- Oui… oui c'est bon… enfin…
- JUSTIN ! Tu crois que ceux sont des façons ?!? Regarde dans quel état tu es !!
- Ho ça va 'man… Si tu te souviens bien elle m'a déjà vu entrain de bander…
- N'abuses pas de ma patience mon fils ! Et viens t'asseoir sur le fauteuil… tu es
dégoutant !
- Dégoutant ? Tu me trouves dégoutant Isa ?
- Non Ju… Ho non…
- Tu devrais avoir honte devant ta mère…
- C'est pas ma faute si papa n'est pas là et si t'es en manque.
- Et tu crois quoi ? Que tu pourrais te balader comme ça, en boxer avec ton petit
truc tout dur, devant lui ?
- Ben si ça pouvait lui donner des idées, j'suis sûr que tu serais pas contre…
- Ce n'est pas tes oignons !
- Ben vu comme tu piques une crise moi j'trouve que si quand même…
- …
- Le prenez pas comme ça m'dame… On veut pas vous gêner ou quoi mais…
- C'est bon Isabelle… Le chapitre est clos. Et puis remet ton maillot comme il faut
s'il te plait. Je veux bien que tu sois très mâture pour ton âge, tu n'as pas à
exhiber ton intimité comme ça.
- Désolée Hélène…
- Le soit pas Isa. Ce n'est pas ta faute si ma mère est prude.
- Je ne suis pas prude, et quand bien même, ça me parait être un peu mieux que
cette débauche d'hormones… Et puis laisse là aller à son fauteuil et enlève tes
sales pattes de sa culotte, elle n'a déjà pas de soutien- gorge tu ne veux quand
même pas qu'elle soit toute nue non plus ?
- Ha ben ça c'est une idée… ça te dérange d'être à poil ma puce ?
- Tu sais très bien que non Juju…
- JUSTIN ! Remets lui de suite sa culotte. Non mais Isabelle ?!? Tu te laisses faire ?!?
- Ben vous avez dit que j'étais même pas encore formée Hélène, ça peut faire quoi
que je sois nue ou pas ?
- Tu es une jeune fille et les jeunes filles ne doivent pas se promener toutes nues !
- Ben faudrait prévenir mes parents alors, parce que ça n'a pas l'air de les gêner de
me voir à poil.
- Hein ?!?
- Ben ouai, 'man, ils donnent dans le style nudiste chez elle, on devrait peut- être
essayer nous aussi…
- QUOI ? Non mais tu rêves !
- Ben quoi ? Peut- être que si papa se souvenait à quoi tu ressemble à poil, ça
pourrait lui redonner des idées tu crois pas ?
- Non mais tu veux bien laisser la vie sexuel de ton père et moi tranquille ? Ca ne te
regarde pas, un point c'est tout. Et je suis désolée mais je ne tiens pas à vous voir
tout nu tout le temps… C'est… C'est… Ce n'est pas bien !
- Et pourquoi ?
- Dîtes qu'on est pas bien dans ma famille aussi…
- Je n'ai pas dit ça ! Si ça vous va d'être tout nu tout le temps ça vous regarde, chez
moi on reste habillé !
- Chez toi ? C'est pas chez papa ici ?
- C'est chez ton père et chez moi ! Non mais qu'est- ce que tu crois ? Le mot
mariage ça te rappelle quelque chose ?
- Ouai, ouai, mais il n'y a pas papa ici ce soir et moi je crois qu'il serait partant pour
tenter le nudisme.
- Je te dis que non !
- Ha ouai ? Et ben et là ? Tu vas faire quoi ? L'appeler à Londres pour lui dire que
ton fils s'initie au nudisme et que tu es choquée de le voir tout nu ?
- JUSTIN ! Rhabille- toi immédiatement !
- Donne- moi une seule bonne raison de m'habiller et je le ferai mais pour le
moment je reste à woualp !
- La seule et unique raison est que je ne veux pas de ça chez moi !
- Papa il y a d'autres choses qu'il voudrait pas chez lui, et ça t'a pas empêchée de
faire ce que tu voulais…
- Ce n'est pas la même chose !!! Et puis je ne crois pas que ce soit le lieu ou le
moment de discuter de ça !
- Ben moi j'crois que si justement. Tu crois que je t'ai jamais vue à poil devant ta
glace ou en soutif- culotte ?
- C'est dans ma chambre !
- Ouai mais la porte de ta chambre elle est toujours ouverte.
- Et bien je la fermerai maintenant !
- Ben non, pas la peine, t'as qu'à juste faire comme nous. Pourquoi on devrait faire
comme toi et nous cacher. En plus je veux pas dire mais tu m'as vu un paquet de
fois à poil, alors…
- Tu étais un bébé !
- Y a deux ans j'étais pas un bébé…
- Tu était encore un enfant…
- Tu as dit qu'on était des enfants tout à l'heure…
- Un enfant ça n'a pas sa… son sexe tout droit devant sa mère et ça ne tripote pas
sa copine comme ça non plus !
- Moi tout ce que je crois c'est que tu aimerais qu'on te fasse pareil et que t'es
jalouse…
- JALOUSE ? Jalouse de quoi ? De gamins comme vous ?
- Ben en tous cas vous criez fort pour quelqu'un qui n'en a rien à faire de gamins
comme nous.
- Toi, Isabelle, commence par aller à ton fauteuil… Et puis tu as raison, je ne veux
plus parler de ça et vous allez immédiatement vous rhabiller sinon…
- Sinon quoi maman ? Hein ? Sinon quoi ? Tu vas nous donner une fessée ? Je te
dégoute trop pour que tu porte la main sur moi.
- Tu ne me dégoute pas !
- Ben pourquoi tu oses pas me regarder alors ?
- Parce que ton… ton truc se balance devant toi !
- Et ce n'est pas normal ?
- NON !!!!
- Moi je trouve normal de bander quand je caresse le cul d'une fille comme Isa
non ?
- PAS DEVANT TA MERE !!!
- Et pourquoi pas ? Elle s'est gênée ma mère elle ?
- JUSTIN ! Ce n'était pas la même chose !
- Et pourquoi ce n'est pas la même chose ? Quoi que t'as raison…
- Ha quand même… Justin ? Qu'est- ce que tu fais ?
- Rien 'man…
- JUSTIN ! ISABELLE ! MAIS…
- Calme toi maman… Nnnnnnnnngh… maintenant que j'ai ma bite dans sa chatte
voilà, c'est la même chose… hoooooooo….
- ISABELLE DESCENDS DE MON FILS !
- Maman ! Reste sur le canapé !
- QUOI ?
- Tu crois qu'il faut qu'on demande à papa si c'est la même chose ou pas ?
- ISABELLE ! Descend de mon fils de suite !
- Je fais que ça m'dame…
- Espèce de petite…
- Doucement 'man ! Elle n'y est pour rien elle… et puis elle a raison, elle fait que
descendre… bon monter aussi mais ça…
- Bandes d'obsédés, de pervers… c'est ça Justin ? C'est ça que t'as trouvé pour me
punir ? Te faire une fille devant ta mère ? T'as rien trouvé de mieux pour te
venger de ce que t'as vu !
- Je ne me venge pas maman… crois moi… je veux juste t'ouvrir les yeux et l'esprit…
- Nnnnnnnnngh…. Mmmmmmh… hoooo ouiiiiiiiiii….
- ISABELLE ! Je t'en prie ! Epargne nous tes…
- Elle a raison Isa… si je me souviens bien il faut que tu dise « oui, c'est bon, je la
sens bien gros dégueulasse, oui, plus fort… »
- JUSTIN ! Pour l'amour de Dieu !
- Dieu n'est pour rien là dedans maman…
- Mais comment pouvez- vous…
- Comment on peut baiser devant toi maman ? Ben comme ça… Et puis crois moi ça
me fait trop kiffer, je sens que je vais exploser…
- NON JUSTIN ! Vous êtes inconscients, des porcs inconscients !
- Siiii vous avez peeeeuuuuur de devveeeniiiir grand- mère… vouuuuus bilez
paaaas… j'prends la piluuuuuuuuule…
- Mmmmh ho oui bébé… ho t'es trop bonne !
- Je… je m'en vais… vous êtes des… des porcs !!!
- Non des gamins t'as dit 'man… oufffff…. Mmmmmh Et… et tu restes là… Il faut
que ce soit la même chose non ? Alors tu restes !
- Justin !
- Ouiiiiiiiiii… ho ouiiiiiiiiiiiiii… encoooooooooore…
- Mmmmmh oui bébé… là… là… je…. Ho putaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin…
- HO MON DIEU ! VOUS ETES ECOEURANTS ! IGNOBLES !
- Mmmmmmmh… hhooooo Justiiiiiin… c'était.. c'était trop bon… T'es un bon coup
tu sais…
- Tu vois 'man… Elle a l'air d'avoir autant aimé que toi l'autre jour… Enfin moi je lui
ai pas repeint le cul à coup de jute mais la soirée n'est pas finie…
- Elle l'est pour moi… Vous voulez baiser comme des lapins tout au long de la
soirée… et bien allez y, moi je vais dans ma chambre… ça ne m'intéresse pas.
- Maman reviens ici ! Maman !

C'est loin  d'être fini...

Histoire du net. Auteur: Malice. Justin... Suite

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Des fois on a l'impression que le cauchemar ne finira jamais.
Et quand des nanas causent  tous les secrets sortent...

Cauchemar ou presque…
Chapitre III

Chapitre III
Mais qu'est- ce qui nous arrive. Qu'est- ce que je vais devenir. Quand est- ce que ce
cauchemar va prendre fin ? Ce n'est pas possible. Mon fils, mon propre fils qui baise cette
fille devant sa mère. Ho Seigneur… Mais pourquoi. Elle n'a même pas seize ans, et elle
n'était même pas vierge. Dans quel monde vit- on ? Ce ne peut- être qu'un cauchemar et je
vais me réveiller.
Pourtant non. Je suis sur mon lit et j'ai pleuré pendant plus d'une heure. Je suis la
mère, la maîtresse de la maison et ces deux gamins m'ont fait monter dans ma chambre
comme une gosse. Ils sont tous les deux en bas, sûrement entrain de baiser comme des
animaux et moi, tout ce que je peux faire c'est de rester dans ma chambre et pleurer.
Je n'y crois pas, j'ai retourné le problème dans tous les sens et rien. La seule
conclusion qui s'impose c'est que si je fais le moindre geste contre mon fils, il va répéter à
son père ce qu'il a vu. D'ici quelques temps, il ne pourra plus me faire chanter. Son père lui
demandera pourquoi il n'a pas tout dit de suite et il sera coincé. Mais pour le moment, une
semaine ça fait encore frais… Et il en profite le petit con, il en profite bien. Mais rira bien qui
rira le dernier Justin !!... Ridicule. Tu es ridicule ma fille, trois heures que tu es dans ta
chambre et tu arrêtes à peine de pleurer. PI- TOY- YA- BLE !
Ils sont montés dans sa chambre. Je parie qu'ils vont remettre ça les enfoirés. Il faut
vraiment que je parle avec Marie, je ne peux pas croire qu'elle accepte le style de vie que
m'a décrit sa fille. Pas Marie. Nudiste, obsédée, et pourquoi pas l'inceste… Non, la gamine
sait qu'elle est en position de force et elle en profite. Petite catin, ils se sont bien trouvé tous
les deux !
- Oui ?
- Je peux entrer ?
- J'ai le choix ?
- Oui.
- ….. Oui… entre Isabelle… Au point où j'en suis…
- J'suis désolée que vous le preniez comme ça Hélène…
- Et tu veux que je le prenne comment ? Tu as baisé mon fils devant mes yeux… je
dois faire quoi ? Applaudir pour donner la cadence ? Crier hourra ?
- J'ai pas dit ça mais… J'aime pas comme il vous a traité mais… il est tellement…
- En colère ?
- Oui, mais pas seulement… En fait même pas, pas pour ce que vous pensez.
- Ha bon ? Parce que m'obliger à vous regarder vous monter dessus n'est dû à sa
colère, et bien…
- En fait vous prenez tout de travers…
- …
- Rhooo et puis fallait pas pleurer comme ça… vous avez les yeux tout rouges…
- C'est bon, je n'ai que faire de ta soi- disant compassion.
- Hey, j'y suis pour rien moi, vous en prenez pas à moi…
- Pour rien ? Et c'est qui, qui sautait sur le sexe de mon fils, hein ? C'est qui, qui lui
a dit qu'il était un bon coup ? Te payes pas ma tête ma fille, j'en ai déjà assez
supporté comme ça ce soir.
- Rhalala… vous ne devriez vraiment pas le prendre comme ça Hélène… Ce serait
une mauvaise idée.
- Ha bon ? Et tu suggère quoi ? J'aurais peut- être dû rester en bas pour vous
admirer dans vos ébats orgiaques ?
- On a rien fait après que vous soyez partie…
- Vraiment ? Désolée si j'ai cassé l'ambiance…
- Vous avez l'air de dire ça pour rire mais c'est le cas.
- Pour rire ? Tu ne manque pas de toupet ! Et pourquoi tu n'es pas au lit avec mon
fils pour le second round, non pardon le troisième ou peut- être même quatrième,
il te baisait bien non derrière le bar tout à l'heure ?
- Oui il me baisait comme vous dites, mais non, le quatrième round n'est pas pour
ce soir.
- Tiens donc ?
- Votre fils il m'aime bien, peut- être même plus qu'il s'y attendait, mais c'est pas
pour ça qu'il sort avec moi. Moi ça faisait un bail que je le kiffais mais lui, le cul
avec moi c'est pas vraiment ça son trip.
- Ben de mon point de vue, il n'avait pas l'air d'y aller à contre coeur tout à
l'heure…
- Non, tant que vous matez, pas de souci, mais si vous n'êtes pas là… ça le saoule.
- Pardon ?
- Ben ouai, faudrait vous réveiller un peu. La seule chose qui le fasse kiffer c'est de
me sauter devant vous. Je dis pas qu'il m'aime pas, hein ? Attention ! Me faites
pas dire ce que j'ai pas dit. Mais quand on est que tous les deux, il est tout mimi,
tout câlin. Par contre quand vous êtes dans le coin, il veut tout le temps me
sauter.
- Tu plaisante j'espère…
- Pourquoi je vous dirai des crosses ? Je vous l'ai dit, moi je suis grave accro à
Justin, et tout ce qui m'intéresse c'est de le garder. Un mec gentil, pas con et en
plus plutôt bien monté pour son âge, c'est pas tout les jours qu'on en déniche un
dans le coin. Et puis en plus il n'a presque aucun préjugé. D'ailleurs je capte pas
comment, avec la collection de complexes que vous vous traînez, vous avez pu
faire un mec aussi large d'esprit. J'connais monsieur mais il m'a pas l'air du genre
porté sur la chose, alors je capte pas.
- Je n'ai pas de complexe petite fille…
- Ouai des tabous, c'est pareil…
- Ce que tu appelles tabou j'appelle ça la morale…
- Ouai ben, il m'a pas dit exactement ce qui s'était passé mais je crois que la morale
vous vous en servez quand ça vous arrange bien…
- Petite garce !
- Peut- être mais moi au moins je sais ce que je veux et ce que je vaux !
- Ho je sais… tu vas me dire que toi tu as l'esprit libre et que moi je suis une
salope…
- Putain j'y crois pas, vous n'entravez rien vous, hein ? Rien à rien… Vous captez pas
que votre fils comme la plupart des mecs ou encore moi, on vous trouve
carrément bonne ? Vous captez pas que la plupart des mecs ils bavent devant
vous parce que non seulement vous êtes super bien gaulée mais qu'en plus tout
le monde pense que vous êtes une femme fidèle…
- Je… Je ne comprends pas ce que tu veux dire…
- Ce que je veux dire c'est que personne se paye votre tête ou vous trouve vieille
ou je sais pas encore quoi. On vous trouve juste trop bien. Ma mère elle a un telle
répute que des fois j'ose même pas dire que j'suis sa fille. J'l'adore ma reum, vous
trompez pas, mais c'est vrai qu'elle a plus de surnoms chez les mecs que j'en
connais pour une bite.
- Je… je suis désolée pour elle, et pour toi aussi…
- Ben elle l'a cherché aussi, mais vous devriez pas être désolée. C'est vrai que des
fois ça me fout la tehon, surtout quand on pense que je suis comme ma mère.
Mais elle, au moins, elle assume ses envies. Et puis, vous savez, avant de
connaître Betty, personne ne disait rien sur elle. Mes parents faisaient ce qu'ils
voulaient mais toujours discrétos et personne savait rien. Et puis quand ils ont
voulu essayer avec Betty et son mari… ben après tout le monde savait. Et le pire
c'est que ma reum elle croit toujours que c'est son mari qu'à tout cafter. J'suis
sûre qu'elle vaut pas mieux que son porc de mec. Pareil au même ces deux là, et
depuis ben ma mère a une sale répute.
- Tu veux dire que tes parents et Betty et son mari ont… heu…
- Ont partouzé ouai… Vous saviez pas ? Vous êtes bien la seule… C'est aussi pour ça
que les potes ils vous kiffent, jamais on vous a vu baver des saloperie sur
quelqu'un d'autre. Et même Justin, jamais il parle mal de quelqu'un, sauf quand il
est en face, et comme personne ne veut se fritter à lui… Je savais même pas que
vous aviez mis des cornes à votre mari. C'est parce que vous en avez parlé tout à
l'heure que j'ai capté.
- Si tu peux le garder pour toi….
- Vous en faites pas, j'suis déjà pas capable de faire calculer que je couche pas,
alors une rumeur qui vient de moi… et puis je vous kiffe trop…
- Tu ne vas pas me dire que tu étais encore vierge non ?
- J'ai jamais dit que je l'étais… Mais j'ai jamais couché avec un mec du bahut et
même pas d'ailleurs… et puis scusez mais ça vous regarde pas trop…
- Tiens donc, ça te gêne qu'on parle de ta vie sexuelle alors que toi, tu as le droit de
parler de celle des autres…
- Hey ! Je vous ai parlé que de celle de ma mère parce que vous êtes amies et que
je veux pas que vous vous imaginiez des trucs… Et puis j'suis désolée mais la votre
je l'ai un peu prise en pleine gueule et sans demander quoi que ce soit d'ailleurs.
Quand Justin il m'a dit de venir chez vous, je savais même pas que vous étiez là,
sinon jamais je l'aurais sucé en sachant que vous pouviez entrer.
- Tu ne t'ai pas gênée pour continuer quand même…
- Ben quand on y est, on y est… et puis c'était un peu une première pour moi…
- Tu avoueras que c'est un peu vaseux comme explication non ?
- Ben croyez ce que vous voulez, tout ce que je sais c'est que moi j'ai rien capté à la
base de votre histoire avec Justin. J'ai tout calculé au fur et à mesure.
- Et tu vas me dire que c'est normal qu'une gamine sage et gentille culbute un
garçon devant sa mère ou vienne la voir nue dans sa chambre…
- Ouai je sais… c'était pas cool… mais j'ai trop peur de le perdre Justin et puis je
vous l'ai dit que question pudeur c'est pas trop le genre de la famille.
- Et tu te trimballes à poil n'importe où tu vas ?
- Non, c'est aussi une première pour moi… Sans rire… Mais… Comment dire…
- Oui ?
- Ouai… c'est pas simple à dire comme truc…
- Quoi ?
- Ben… disons que j'vous kiffe pas mal aussi alors ça me fait tout bizarre d'être à
woualp à côté de vous.
- Je suppose que c'est un compliment mais je crois t'avoir prévenue que je n'aimais
que les garçons.
- Ben disons que ça j'ai un peu de mal à le croire, c'est comme quand Justin il me
dit que jamais il a pensé à vous, au niveau cul je veux dire, que ça le dégoûte juste
d'en parler. Quand je vois ce qu'il m'a mis quand on l'a fait devant vous et comme
il s'est endormir un quart d'heure après… Moi j'dis qu'il faudrait voir à pas me
prendre pour une buse.
- Ecoute, je ne sais pas ce que tu t'imagines mais…
- Ouai ben écoutez, vous, si vous voulez continuer à jouer à l'autruche, moi, perso,
c'est comme vous voulez. Mais t'à l'heure, quand je vous massais les cuisses et
qu'on parlait cul j'ai bien vu comme vous vous êtes mise à mouiller et là, vous
m'excuserez, mais vu la chaleur qu'il fait, c'est pas le froid qui fait durcir vos
tétons.
- Mais tu es vraiment une petite…
- Salope ? Cochonne ? Quoi ? Alors quand on dit ce qu'on éprouve et ce qu'on voit
on devient obligatoirement une salope c'est ça ?
- Non, mais tu m'excuseras je te trouve bien portée sur le sexe pour une gamine de
ton âge.
- Une gamine de mon âge hein ? Si je vous fait rien du tout, pourquoi vous arrêtez
pas de regarder mon minou hein ?
- Je… je ne regarde pas ton "minou"… je…
- Mais putain pourquoi c'est si dur à dire… Que vous le criez pas sur tous les toits je
peux le comprendre, que Justin il soit pas aussi con que cet enfoiré de Jean- Marc
qui bave sur sa mère en permanence, je capte aussi. Mais là, vous savez que je
sais presque tout de vos histoires, pourquoi vous vous entêtez à nier l'évidence ?
- Nier l'évidence ?
- Ouai, parfaitement, c'est comme quand Justin il vous a balancé que vous laissez
toujours votre chambre ouverte… Logique de nier mais faut pas rougir en même
temps, ça le fait moins déjà…
- Je… je… ce n'est pas vrai… j'ai l'habitude de laisser la porte ouverte pour entendre
le téléphone sonner ou la sonnerie de l'entrée au cas où…
- Ouai ouai… et puis on sait jamais si quelqu'un entre par effraction au milieu de la
journée… Bien sur… et le père Noël il pourrait aussi se manger le chenet, faudrait
voir à pas causer un accident…
- Crois ce que tu veux mais en tous cas je peux t'assurer que tu te trompes du tout
au tout…
- Ben vous savez quoi ? J'avais une prof de gym qui arrêtait pas de me mâter et qui
m'a bien fait comprendre qu'elle me kiffait grave. Moi elle me refilait plutôt la
gerbe si vous voyez ce que je veux dire. Ben quand elle arrivait dans le vestiaire je
me dépêchais de m'habiller et je restais pas en nuisette à lui faire la conversation.
- Espèce de petite…
- Petite quoi ? Vous voyez, vous prenez la mouche…
- Tu te moque de moi !
- Hey j'ai pas dit ça pour que vous vous cachiez maintenant… J'voulais juste vous
faire capter que je suis trop contente de voir que je vous fait kiffer comme moi je
vous kiffe…
- Je ne te "kiffe" pas, comme tu dis et retire ta main de ma cuisse tout de suite…
- Nan… mais mettez vous plutôt sur le ventre… j'vais vous massez, vous en avez
trop besoin…
- Arrêtes ça tout de suite… Si Justin pense avoir prise sur moi c'est loin d'être ton
cas !
- Ben allez- y… gueulez… Justin va venir et après ? Vous voulez vraiment le voir me
prendre sur votre lit, là, maintenant ?
- Non… Mais pour l'amour de Dieu ne rentre pas dans son jeu… c'est… c'est mal…
- Mal ? J'vous propose juste un massage… y a quoi de mal ?
- Tu sais très bien que… ce ne sera pas qu'un massage…
- Si vous voulez que ce soit qu'un massage j'vous promets de vous faire qu'un
massage…
- Et je devrais te faire confiance…
- J'vous ai menti depuis que j'suis là ?
- Non… c'est vrai… mais…
- Cool vous avez même de l'huile de massage… génial… Allez mettez vous sur le
ventre… Vous allez trop aimer ça…
- Bon, mais juste un massage…
- Comme vous voudrez…
- Mmmmh… Je dois avouer que tu t'y connais en massage…
- La pratique Hélène… Ca fait un bail que je masse ma mère et même mon père…
- Tu masses ton père aussi ?
- Ouai… J'adore donner des massages, j'vous l'ai dit, et puis c'est cool devant la
télé, au moins on fait un truc en famille plutôt que juste rester à se vider le crâne
devant des conneries.
- Si tu le dis… mais qu'est- ce que tu fais ?
- Ben je fais glisser les bretelles de votre nuisette, plus pratique pour masser les
épaules…
- Mouai… Et…
- Oui ?
- Ton père est nu aussi quand tu le masses ?
- Ben ouai… il va pas se rhabiller juste pour ça non ? Ca serait con…
- Oui, j'entends bien, mais ça ne te gêne pas ? Mmmmmh…. Tu es vraiment très
douée…
- Merci… Ben non ça me gêne pas, pourquoi ça devrait ?
- Je ne sais pas… c'est un homme, un homme adulte, et toi tu es une fille…
- Et alors ? Un homme c'est comme un garçon vous savez. Y a juste plus de poils.
- Oui, enfin, il n'y a pas que ça comme différence…
- Ha ouai ? Et c'est quoi les autres différences ?
- Et bien… comment dire… Ouch. Doucement sur les reins… J'ai souvent mal aux
lombaires.
- Désolée… Attendais je vais faire plus doucement comme ça…
- Mmmmh oui… mieux… Je te remercie, c'est vrai que ça fait un bien fou… Mais tu
es vraiment obligée de faire descendre ma nuisette comme ça ?
- Hey c'est bon, vous voulez quand même pas que je vous passe par- dessus la
nuisette non ? En plus je foutrais plein d'huile et sur le satin ça part mal.
- Si tu le dis…
- Ouai et donc ? C'est quoi pour vous les différences entre un adulte et un mec de
mon âge ? J'suis bien curieuse de savoir moi maintenant…
- Et bien… disons que… Les adultes ont des envies un peu plus… précise sur
certaines choses et puis… enfin leur sexe est plus gros aussi…
- Ouai mais bon, une bite c'est une bite non ? J'veux dire c'est toujours fait pareil, y
a pas un truc en plus ou en moins passé un certain âge, si ?
- Non, c'est effectivement pareil mais quand même, la taille n'est pas la même et
ça peut choquer une jeune fille de voir un sexe d'homme en… érection.
- Bah, que ce soit une bite de seize ans ou de quarante ans, perso j'vois pas le
blème. Je capte pas là… vous voulez dire que c'est moche une bite d'homme ? Ou
alors que c'est sale ?
- Non… bien sur que non mais… je pensais que pour une jeune fille, un sexe
d'homme pouvait être impressionnant… Mmmmmh… tu es vraiment une très
bonne masseuse tu sais, surtout quand tu remontes tout le long de la colonne
vertébrale comme ça…
- Hihi… j'étais sûr que vous alliez kiffer grave… j'suis une championne… Et ouai, là
vous avez raison… la première fois que j'ai vu la bite de mon père grossir ça m'a
trop fait bizarre, j'avais déjà vu la queue de mecs de mon âge, même des fois en
érection, ça les fait bander de pisser devant une fille… Mais quand j'ai vu le
monstre que ça devenait chez mon père, c'était trop mortel !
- Trop mortel ?!? Le moins qu'on puisse dire c'est que tu n'es pas une fille
impressionnable.
- Ben j'ai trouvé ça trop beau, mais c'est un peu spé, on dirait que ça vous dégoûte
les bites… moi j'trouve ça trop mimi
- Mimi ? J'avoue n'avoir jamais pensé qualifier un sexe d'homme de mimi…
- Ben moi ça m'fait trop kiffer… surtout quand elle est tout p'tite et qu'elle grossit
peu à peu… on dirait un p'tit animal qui s'réveille, comme un chiot…
- Tu es ahurissante… vraiment, je comprends que mon fils te trouve à son goût,
même si tu prétends que c'est pour moi qu'il fait tout ça…
- Moi j'prétends rien… Tout ce que je sais c'est que les seules fois qu'il m'a touchée
c'est quand vous étiez dans le coin…
- Mouai… Mais qu'est- ce que…
- Ben quoi ? je vous ai massé le dos, puis les jambes, les cuisses, et je finis toujours
par les fesses… j'sais pas vous mais moi c'est ce qui me relaxe le plus…
- Heu… Nnnnnnngh… Oui… ce n'est pas désagréable c'est vrai mais…
- Faut juste vous détendre, sinon l'effet il est pas le même vous savez… Surtout
quand on remonte comme ça de la base des fesses jusqu'au creux des reins…
- Oui… je dois avouer que c'est très agréable… c'est ta mère qui t'a montré tout
ça ?
- Ouai… elle se débrouille bien aussi… mon père il dit que je suis meilleure mais je
sais pas si c'est pas pour faire bisquer ma mère.
- Je ne pourrai pas te dire, Marie ne m'a jamais massée.
- Je sais et ça me fait trop délirer… dire que vous vous connaissez depuis plus de
cinq ans, et jamais vous vous êtes fait une soirée massage et soin du corps…
- Nous avons passé des soirées ensemble mais je n'ai jamais éprouvé l'envie de me
retrouver nue avec ta maman, et elle non plus d'ailleurs…
- Ouai je sais, et c'est pour ça que vous êtes particulière… j'ai vu la plupart des
amies de maman à poil mais vous jamais… et pourtant ma mère ne s'est jamais
sentie gênée avec vous… c'est comme si elle avait trop peur de vous perdre
comme amie si elle dépassait les bornes…
- Reconnaitrais- tu qu'il y a des bornes qu'il ne faut pas dépasser dans une relation
normale ?
- Ben ouai, Vos Bornes… Vos Limites… Ma mère elle dit toujours, on apprécie les
amis pour leur qualité, on les aime pour leurs défauts… ben ça vous va trop bien
ça…
- Parce que tu crois que c'est un défaut que de ne pas vouloir afficher son intimité
partout ?
- Ben déjà j'ai jamais dit partout, et puis, non, c'est pas un défaut… tant que c'est
pas quelque chose que vous refoulez…
- Refouler ?
- Ouaip… Si c'est pas votre truc du tout, je capte tout à fait, mais si vous en avez
envie et que vous le faites pas parce que je sais pas trop qui vous a dit qu'il fallait
pas, là ça devient carrément con.
- Et bien je dois être conne alors…
- Peut- être mais c'est pas grave, si c'est juste pour ça que vous l'êtes, vous pouvez
changer…
- Il faudrait que j'en ai envie…
- Y a des chances… allez retournez vous ?
- Pardon ?
- Ben oui… j'ai fait pile, il faut faire face…
- Non non non… Je vais pas me retourner alors que je suis complètement nue
maintenant, grâce à toi d'ailleurs…
- Pourquoi ?
- Parce que…
- Vous avez peur que je vois votre… comment vous dites déjà… ha oui… votre
"intimité" ?
- Par exemple…
- Ben je voudrais pas dire mais depuis que je me suis attaquée à vos fesses, j'ai à
peu près tout vu de ce qui pouvait l'être… alors…
- Tu…
- Vous avez dit que je pouvais faire un massage… c'était le deal…
- Oui… bon d'accord mais…
- Allez zou… trop tard pou faire votre timide maintenant…
- Tu es vraiment une petite effrontée…
- J'avoue que c'est pas faux… Mais vous voyez, vous disiez qu'il fallait que vous en
ayez envie…
- Oui…
- Vous vous êtes déjà faite massée par une autre nana ?
- Non, jamais…
- Et vous aimez pas ?
- Si… j'avoue, même cette façon que tu as de masser mes bras, je trouve ça très
agréable…
- Ben voilà… Pourtant c'était pas gagné.
- Effectivement…
- Et vous voudriez que je recommence une autre fois ?
- Heu… je ne sais pas…
- Ben pourquoi si vous aimez ?
- C'est un peu plus compliqué que ça…
- Pourquoi ? Je ne vois rien de compliqué là- dedans… Vous m'avez pas forcé et puis
ça ne concerne que vous et moi, même pas votre fils ou ma mère… Je vous donne
un massage parce que j'aime ça et que vous aussi, fin de l'histoire…
- Oui, vu comme ça…
- Ben y a pas d'autres façons de le voir… Le reste c'est juste des prétextes ou des
cànneries parce qu'on a honte, et avoir honte de ce qu'on aime c'est vraiment
très con…
- Ca dépend des cas… j'aime le chocolat mais j'ai parfois honte d'en manger…
- Mort de rire ! Vu comme vous êtes gaulées, que ma mère elle est honte de se
laisser aller à manger du chocolat, je peux le comprendre, elle devrait perdre du
poids. Mais en fait c'est pas avoir honte d'aimer le chocolat, c'est avoir honte de
faire une incartade dans un régime. Y a une différence…
- Mouai… Mais quand même, si on aime voler on peut avoir honte tu ne crois pas…
- Ben pas vraiment… Il faut avoir honte de blesser ou léser quelqu'un… Mais si un
accro du vol se monte une chambre forte chez lui pour s'amuser à se voler, je vois
pas le mal…
- C'est un tiré par les cheveux…
- Bah non… vous confondez vos envie avec ce que les autres pourrait en penser…
c'est con. Tant que vos envies ne font mal à personne, je vois pas le blème… Vous
criez pas dans la rue que vous aimez les fraises, ben pourquoi il faudrait crier que
vous aimez vous faire masser pas une autre nana ?
- Mouai… un peu biscornu mais ça peut se tenir…
- Ben ouai… tant que vous me fouettez pas pour que je vous masse je vois pas
pourquoi c'est honteux…
- Hihi… oui… je suppose que oui… Mmmmmh… J'avoue, et ça t'as intérêt à le
garder pour toi, que tu sais parfaitement masser la poitrine d'une femme…
- Ben vous savez ma mère elle a des seins un peu plus gros que les vôtres, sans
critiquer hein ?
- Non non, ne t'inquiètes pas, je n'ai pas de complexes sur ma poitrine, elle est
suffisamment grosses comme ça pour ma taille…
- Claire… un bonnet C non ?
- Oui…
- Ben ils sont trop mignons… Et puis sensibles on dirait…
- Oui… très… d'ailleurs… si tu pouvais éviter de…
- Chut… Ca fait partie du massage… Même chez les mecs ça enlève certains stress
quand on passe la paume comme ça, doucement, sur les tétons.
- Mmmmmh…. Mais tu… enfin… tu masses tes parents devant aussi ?
- Ben oui… J'vais pas juste faire la moitié… ça serait un peu con non ?
- Je… je ne sais pas… Je trouve un peu "étrange" de masser le devant d'un homme
pour une petite fille…
- Hey c'est pas un homme, j'veux dire pas n'importe qui, c'est mon père… Il m'a
jamais forcé et pour tout dire c'est moi la première fois qui ai demandé à masser
mon père, à chaque fois c'était ma mère et je voulais le faire.
- Ta mère massait ton père devant toi ?
- Ben oui… Pourquoi ?
- Et bien un massage c'est assez… sensuel. Et je trouve ça un peu déplacé pour des
parents d'avoir des rapports… un peu intimes en présence de leurs enfants.
- Vous vous embrassez jamais avec votre mari devant Justin ?
- Si mais…
- Il vous mets jamais la main sur l'épaule ou autour de la taille ?
- Oui mais…
- Il vous mets jamais la main sur les fesses quand il vous embrasse ou juste pour
rire…
- Si, je sais mais…
- Et ça vous arrive aussi quand vous êtes en maillot autour de votre piscine ?
- Oui…
- Ou alors le soir quand vous êtes en nuisette et lui en pyjama ?
- Oui… oui… tu as raison mais…
- Ben ouai… c'est pareil...
- Pas vraiment quand même, les caresses sont plus appuyées, sont plus…
- Intimes ?
- Oui…
- Comme ce que je vous fait ?
- Non ! Heu…. Excuse- moi… je… oui tu as peut- être raison…
- Vous pensez que la moral populaire a ses raisons d'être et qu'elle est juste et
normale hein ?
- Oui… plus ou moins…
- Et bien j'ai une très mauvaise nouvelle pour vous…
- Ha?
- Ouai… vous êtes totale immorale m'dame…
- Tu trouves ?!?
- Ben avoir une gamine de douze à poil entrain de vous masser le ventre je trouve
pas ça très moral perso…
- Je… tu as raison… c'est pour ça que…
- Et le pire, c'est que vous aimez ça, parce que je suis douée comme masseuse…
- Oui, je sais… démonstration faite c'est ça ? CQFD… et bien non, primo ce qui s'est
passé ce soir est tout à fait anormal, du début jusqu'à la fin, et puis tu as usé d'un
stratagème pour arriver à tes fins…
- Hihihi… vous plaidez les circonstances atténuantes ?
- On peut dire ça…
- Donc vous plaidez coupable…
- Petite peste !
- Hihihihihi…. Là moi aussi je plaide coupable… Peste et fière de l'être !
- Hahahaha… Tu ressembles vraiment à ta mère…
- C'est ce qu'on dit… D'ailleurs je fais gaffe à ce que je mange… sinon je prends du
cul et ça c'est moins drôle…
- Tu es très jolies comme tu es.
- Merci, c'est très gentil…
- Je ne dis pas ça juste pour être gentille, je trouve que tu as un très joli corps pour
ton âge et que tes petites rondeurs te donnent du charme.
- Wow… vous allez me faire rougir…
- Mmmmh et cette façon de remonter le long de mes côtes est tout à fait
délicieuse, je suis très chatouilleuse et pourtant tu arrives à me détendre au lieu
de me contracter…
- Hihihi… mon père aussi est super chatouilleux alors j'ai appris à doser la pression
de mes mains.
- Mais…
- Oui ?
- Tu masses ton père comme tu me masses moi ?
- Ben exception faites de vos nichons, ouai, j'sais pas si vous savez mais les mecs, ils
ont aussi un ventre et un nombril…
- Oui… oui je sais merci mais… je veux dire… tu es nue sur lui pendant que tu le
masses…
- Ben j'vais pas m'habiller non plus, surtout si on m'a massé avant…
- Mais… ça veut dire que tu es assises sur son… sexe ?
- Ben oui, des fois, enfin ça dépend de son état… de fois juste sur son pubis et son
sexe pend entre ses jambes.
- Ho… ton père n'est pas toujours en érection alors…
- Ben non… C'est plus un perdreau d'l'année mon papa… il peut pas toujours être
en forme.
- Heu… oui… je suppose… mais… ça ne te gêne pas d'être assise sur son sexe quand
il est en érection ?
- Ben non. Y a des fois c'est pas super pratique j'avoue, par exemple quand je
remonte comme ça sur la poitrine, ben si sa bite elle est toute dure, elle appuie
sur mon clito et c'est pas simple de rester concentrée ou même en appuie, mais
bon, la plupart du temps ça nous fait rire…
- Wow… et… ta mère ça ne la gêne pas ?
- Ben non… enfin y a quand même des fois où elle me demande de faire attention…
- Ha quand même…
- Ben ouai… Quand je me mets comme ça pour venir masser les plis de l'aine ben il
faut pas que je mette un coup de genou dans les coucouniettes, il parait qu'ils
aiment pas, hihi…
- Heu… nnnnnnngh oui… je me doute… mais… ça fait vraiment partie du massage
ça aussi ?
- Ben ouai ? Vous aimez pas ? Moi ça me détend trop les muscles des cuisses et des
fesses…
- Heu…. Je ne suis pas certaine de pouvoir dire que ça me détend…
- Ben vous crispez pas… J'vous ai dit que j'avais déjà tout vu de votre minou… le
seul truc c'est que…
- Que ?
- Ben vous apprécieriez mieux si vous aviez pas toute cette jungle là… mais bon…
c'est aussi chacun son truc…
- Heu… oui… merci… Ta mère rase les bords de son… sa toison pubienne ?
- Nan… pas les bords, ma mère elle s'épile complet le minou, il est tout lisse et tout
doux…
- Ha… je… je vois…
- Bah non… enfin si… C'est un peu comme le mien mais sans ces longs poils qui
courent sur le dessus et sur les côtés.
- Oui… je… je vois tout à fait…
- Et pourquoi tu ne t'épiles pas toi aussi ?
- Ca va vous paraître con mais j'aime bien jouer avec mes poils… C'est comme les
vôtres, ça fait un peu bordel comme ça mais je trouve ça trop marrant d'enfoncer
mes doigts dedans… C'est comme un duvet tout bouclé, j'sais pas, j'aime bien…
- Heu… oui… contente que tu apprécie… Mais… Enfin…
- Quoi ?
- Et bien…
- Oui… le massage du pubis et un des points les plus important surtout à la fin
comme ça… c'est le centre des énergies et ça permet d'avoir la forme…
- Nnnnnnnnngh… oui… peut- être… Et… tu masses aussi ton père là je présume…
- Ben ouai…
- Même quand il est…
- Quand il bande ? Ouai… bon c'est moins pratique parce que sa bite elle est un
peu au milieu, alors je la tiens d'une main pendant que je le masse de l'autre.
- Et tu… non rien…
- Ben si… dites… vous allez pas commencer à faire des manières maintenant… ce
serait con…
- Oui tu as raison… Tu aimes t'occuper du sexe de ton père ?
- M'occuper ? Le tenir vous voulez dire ?
- Oui, le tenir, être assise dessus, l'avoir devant ton nez aussi je suppose…
- Ben c'est clair que quand je le masse comme ça oui, j'ai sa bite devant le nez… et
oui j'aime bien, J'vous l'ai dit, j'trouve ça trop mimi une bite, celle de mon père
elle est pas énorme en plus, assez large mais pas monstrueuse quoi… j'la trouve
vraiment jolie…
- Parce que tu en as vu beaucoup des bi… sexes ?
- Ben sur les plages nudistes quand on y allait ouai quand même, et puis dans les
films de cul…
- Ha oui… j'avais oublié…
- Et puis il y a eu quand mes parents partouzaient, ils savaient pas mais je regardais
des fois, juste pour voir à quoi pouvait ressembler un tel ou un tel sans ses
vêtements, c'était trop drôle…
- Tes parents t'ont protégé de leurs soirée… libertines ?
- Ouai… ils avaient trop peur qu'un mec veuille me sauter dessus…
- Je le comprends… nnnnnnnnghhhh… mais… qu'est- ce que tu…
- Ben c'est pour finir… je masse le périnée, vous aimez pas ?
- Je… mmmmmmmphhhh… c'est…
- Me dites pas que vous aimez pas… vous ruisselez, j'en ai partout sur les mains…
- Hoooooo… tu ne devrais pas dire des choses comme ça….Noooooon…
- Pourquoi ? C'est vrai et il y a pas de mal à ça… Je vous ai vu regarder ma chatte et
comment je laissait une trace sur votre ventre ou sur votre pubis… D'ailleurs ça
me rend toute chose de voir mon jus et le votre coller les poils de votre minou.
- Isabelle ! Non ! Tu…. Tu… tu dépasses les limiiiiiiites…
- Et tu veux que j'arrête ?
- Ouiiiiii….
- Tu veux vraiment que j'enlève mes doigts de ta chatte ou tu veux que je te la
lèche et que je suce ton petit bouton ?
- Ne diiiiiis pas des choses comme ça Isabelle… tu… tu es une enfant…
mmmmmmmh…
- Je suis une enfant qui mouille pour toi, je suis une enfant qui a deux doigts dans
ta chatte et qui sent que tu vas jouir dès que ma langue va titiller ton clito…
- Hooooo noooooooooon…. Pas çaaaaaaaaa… tu avais dis juste un massaggeeee…
- J'ai dit juste un massage si c'est ce que tu veux…. Mmmmmh… tu as vraiment très
bon goût Hélène… j'suis contente d'être la première à te bouffer le minou…
- Hoooooo… co… comment oses- tu…
- Tu veux vraiment que j'arrête ?
- Oui… ho ouiiiii…. A… arrêtes…
- Tu veux que j'arrête de te baiser avec mes doigts ou tu veux que je te donne mon
minou à lécher ?
- Hooooo… noooon… c'est… oui… ouiiiiiiii là… oui vieeeeeent… tu es une
gaaaaaaaaarce… une fieffé salooooooooooope… mmmmmmmmmmmh
- Oui… comme ça… oui… tu vois… c'est pas mal… c'est pas si sorcier d'accepter ce
qui est… wow…. Nnnnnnnnngh… ce qui est bon… ho putain !!!! ouiiiiiii… Ho oui
suce moi le clito… ho putain ouiiiiiiii….
- Mmmmmmmh… ho doucement… Doucement… je…
- Mmmmmmmmphhhhhhh… ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii….
- …………..
Comment… comment ai- je pu… Comment est- ce que je peux… Comment je me
retrouve à lécher et sucer ce sexe et en retirer autant de plaisir ? Comment je
peux avoir envie d'une gamine à ce point ? Comment est- ce possible de ressentir autant de
plaisir de ces mains qui frottent et maltraite mon sexe, le pourfend, le pénètre, le
lamine ? Comment puis- je être si affamée de cette jeunette? Quelle est cette force qui me
pousse à l'attirer vers ma bouche dès que sa fente quitte mes lèvres ?
Et me voilà, recourbée sur mon oreiller, les mains enserrées autour de sa taille, à
m'activer sur ce sexe et d'en retirer une ivresse si délicieuse. Elle enfonce ses
doigts dans mon vagin, suce sans retenue mon clitoris qui me fait mal tant il est agacé,
excité, titillé, trituré. Cette enfant est un monstre, un monstre de désir, d'envies, de
sensualité. Ses fesses rondes m'envoutent, m'hypnotise. Je ne peux plus me contrôler et ne
contrôle plus rien, juste comptent ses doigts qui m'envahissent toujours plus loin, toujours
plus fort. Elle écarte mes cuisses et me lape comme un petit animal dont la vie dépend de sa
pitance.
Mon visage est couvert de son nectar et j'en veux plus, toujours plus, ses quelques
poils qui se rebiffent contre ma langue, attisent ma faim, ma fureur. Je la veux, je la veux
toute pour moi, en moi. Elle me fait mal tant elle me burine, elle n'a aucune retenue, aucune
peur, elle s'abandonne dans ce désir fébrile de me faire jouir et chacun de ses assauts
m'amène plus près du précipice. Je n'ai pas le droit de me laisser aller entre les mains de
cette enfant et jamais aucun attouchement n'a embrasé mon corps aussi profondément,
aussi violemment. Je bute contre sa fente, je cogne. Sa vulve est rougie de mes attaques,
elle est écartelée, enflammée et ma langue court partout, sans plus de but, je ne la maîtrise
plus, je ne contrôle plus rien. Je lèche chaque parcelle de son intimité et me délecte des
parfums de son clitoris, de son vagin, de son anus même.
Ho mon dieu, j'insinue ma langue partout en elle. Je n'ose la pénétrer de mes doigts
de femme, alors que déjà les contractions sublimes de mon orgasme s'emparent de tout
mon ventre. Elle ne veut pas lâcher prise, elle s'obstine, s'acharne, je jouis déjà et elle
poursuit ses assauts. Il n'y a plus que sa bouche qui reste plaquée contre la rivière qu'est
devenue ma fente. Ses mains crispées retiennent mes cuisses qui veulent l'emprisonner. Et
je cris, je la supplie, je pleure. Je n'en peux plus. Tout mon corps se soulève à chacun de ses
coups de langue. Mon clitoris me brûle. Mon ventre se révolte, il ne peut en supporter
d'avantage. Et dans un dernier élan abandonné, je transperce de ma langue dardée la corolle
sombre de son anus. Elle se redresse comme une flèche sur mon ventre. Petit brin chétif sur
l'obscénité de mon corps de femme, elle exulte son plaisir, éructe sa jouissance.
Elle est une adolescente qui a emporté dans sa tourmente l'adulte soumise. Elle se délecte
de sa victoire, de mon anéantissement. Elle m'a terrassée, m'a vaincue. Je ne suis plus
qu'une plainte lancinante. Mon corps me fuit, se mutine, je ne peux arrêter ces vagues
incessante qui en foudroie chaque parcelle tétanisée. Alors qu'elle s'effondre à bout de
souffle, je perds déjà conscience. J'ai lutté autant que j'ai pu mais rien n'est plus fort que ce
plaisir immoral qu'elle ma offert. Elle m'a amené au renoncement de ma vérité, de mes
principes et en m'enfonçant dans les limbes, une seule chose subsiste, j'ai aimé ça.

A suivre ....

Dégustitude amoureuse

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On sent qu'elle aime ça la petite..!

Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg.... Suite

Avis à la popultaion!!!!!

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A priori, d'après ce que l'on me dit. 
mais peu de personnes ont répondu à mon help
Il semble qu'une version de Mozilla n'a pas le bon plugin 
pour lire certaines video ?!!!!
Il convient de passer par chrome ou explorer....
A vous de voir si c'est juste. Chez moi cela fonctionne.
Ou alors un génie es informatique de cul
nous trouve le bon plugin
J'aime bien ce mot PLUG IN... lol



Baldazzini et Pez: Chiara Rosenberg.... Suite

Melting peaux-te

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Jeux de peaux...
Jeux d'hommes en noir et blanc



Histoire du net. Auteur: Malice. Justin... Suite

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Toutes de salopes! J'vous le dis moi....
A part ma mère... LOL

Cauchemar ou presque…
Chapitre IV

Chapitre IV
Va- t- en la lumière, va- t- en la réalité, va- t- en la vérité. Je ne veux pas vous voir.
Laissez- moi encore un peu me reposer dans le néant de mon sommeil. Je les entends
descendre les escaliers, je les entends discuter, rire, plaisanter. Deux enfants, ce ne sont que
deux enfants. J'entends l'entrechoquement des bols, le bruit sec des céréales. J'entends la
télé, les dessins animés. Ils sont deux enfants, un dimanche de juin, qui s'éveillent comme
tant d'autre partout ailleurs. Et il me faut me lever, moi la mère ignoble, moi la femme
coupable. Il me faut me lever et leur faire face, les regarder dans les yeux et reprendre mon
rôle. Quel rôle ? Quel rôle mon fils va- t- il vouloir m'attribuer ? Quel rôle cette gamine, cette
tentatrice va vouloir me donner ?
Qu'elle est douce la pluie de la douche, qu'elle est apaisante. L'eau roule sur ma peau
et m'en rappelle les contours, l'entièreté. Cette enfant m'a dispersée. Elle m'a faite voler en
un millier d'éclat et il me faut recoller chaque morceau pour pouvoir, à nouveau, leur faire
face. Je croyais que cette guerre absurde avec mon fils pourrait me dépasser, avoir raison de
moi. Mais ce n'est rien, comparé à ce que cette fillette m'a appris. Alain, le jardinier, avait
comblé rapidement un manque banal. Il avait été une rustine sur une libido dégonflée, à
bout de souffle. Je croyais que mon fils allait tout détruire mais non. Il a posé son doigt sur la
rustine et en avait gratté les contours. Du bout des ongles, du bout de ses attaques il avait
décollé une rustine, puis deux, puis trois… j'avais jusque là collé tellement de prétextes sur
mes manques refoulés que je ne savais plus ce qui était de mon être et ce qui était les
compromis.
Et maintenant ? Maintenant qu'il a tout poncé et mis à vif, maintenant qu'elle a
dissout les arrangements entre ma vie et mes pulsions inhibées, qu'est- ce que je devais
faire ? Comment redevenir moi ? Quel moi ? Je croyais que de perdre ma routine de vie était
un cauchemar mais j'étais loin du compte. Le cauchemar c'est ne plus savoir où est la raison,
où est le sens, où est le modèle que l'on veut reproduire pour qu'à la fin on puisse être fière
de soi. Je veux bien reprendre mon train-train, je veux bien que tout redevienne comme
avant. Mais c'était quoi ? Tromperie ? Duperie ? Ignorance ?
Bon… Il faut que je sorte de cette douche. Il me faut m'habiller et descendre. Il me
faut m'attaquer à une chose après l'autre, sinon jamais je ne m'en sortirai. Cette robe, oui,
pas trop courte, pas trop longue… Les sous- vêtements… voilà… Ils sont peut- être à poil en
bas mais il est hors de question que je me laisse dicter ma conduite par de préado à peine
pubère. Oui ! Je sais ! Je n'arrive pas à extirper de mon esprit la vision de ce sexe de fillette
en gros plan. Mais si je me laisse déstabiliser, jamais ce cauchemar prendra fin. Je peux
survivre à une dépression mais mon fils a besoin que je résiste. Si le seul repère que je puisse
lui offrir et celui de la colère et de la rancoeur et bien qu'il en soit ainsi, mais je résisterai, je
le dois.
Tiens il a un teeshirt et un boxer. Et elle porte un short et une saharienne. Est- ce une
lueur d'espoir ou une façon plus sournoise de me désarçonner le moment venu ? Bonjours
les enfants, oui, voilà, un bisou de bonne journée, comme dans toute bonne famille. Tiens
elle me tutoie, tu me diras, en général quand on couche avec quelqu'un on peut se sentir
assez intime pour tutoyer… Mais elle est toute gentille, toute douce. Une vraie petite fille
modèle. Et mon cher fiston, il n'est pas mignon ? Il s'est levé et m'apporte mon bol de café.
De quoi est- ce que je me plains ?
Le programme de la journée ? C'est vraiment important, là, de suite ? Bronzage,
piscine, lecture de cours ? Parfait, moi ce sera invisibilité, non existence et évitement… Oui,
voilà, ménage, linge et repassage… pareil. Tiens, mon fils a sa main sur la cuisse de la
gamine. Il perd le rythme, il devrait se méfier. Comment ? Il ne sait pas ce qui s'est passé
cette nuit, il s'est réveillé et nous a entendu discuter mais était trop fatigué pour nous
rejoindre… et il est très content de voir qu'Isabelle ne tarit plus d'éloge sur moi et elle
l'aurait même poussé à ne plus me pousser à bout. Mais pourquoi donc mon chéri ? Vas- y
torture moi, maltraite moi, fais moi pleurer, tu fais ça si bien…
Non, il veut se faire pardonner, il est allé trop loin. Oui et bien nous verrons ça plus
tard, pour le moment je voudrais déprimer un peu tranquille et finir mon auto- analyse.
Quand j'aurais décidé quel châtiment de l'enfer me convient le mieux je le ferai savoir. Je
suis déjà un mauvaise épouse, une mère lamentable, alors pour ce qui est du versant copine,
confidente, il va falloir patienter un petit peu. C'est pas que mais faudrait voir à ne pas tout
bousculer non plus, s'il n'y a plus de surprise, ça n'est plus marrant.
En fait la journée s'est passée le plus simplement du monde. Les jeunes ont joué à
des jeux d'ado, ils ont fait leurs devoirs, ils ont mangé, courut, nagé. J'ai réussi à mettre
un peu d'ordre dans la maison et même dans mon esprit. Quand pierre est arrivé le soir, j'ai
vaguement prétendu qu'Isabelle dormait dans le salon. Non pas que ça lui importe vraiment
mais il semblait intrigué que je puisse laisser une fille dans la chambre de son fils. Moi si
conservatrice, vieux jeu… s'il savait le pauvre homme, s'il savait… Ta femme a tourné
lesbienne pédophile, non ce n'est pas un nouveau club de gym c'est juste la dernière
tendance amorale à la mode dans le quartier…
Quand Marie est venue chercher le sac de sa fille, le lundi matin, elle devait se
dépêcher, un truc méga urgent pour son mari. Je ne sais pas si elle se doute de quelque
chose mais de toute façon Jeudi après midi elle vient et je ne la lâcherai pas tant qu'elle ne
m'aura pas expliqué le pourquoi du comment. Et jusque là, tout s'est passé assez
simplement à la maison. Justin a bien laissé traîner sa main par ci par là, et, ho quel hasard,
mes fesses ou ma poitrine était dans le coin. Mais bon, un regard rapide et tout a repris son
cours.
Marie, toujours égale à elle- même. Oui ils sont effectivement nudistes, oui, ils ont fait
des expériences d'échangismes, oui ils apprécient l'art du massage. C'est incroyable que j'ai
pu apprendre tout ça de sa fille, jamais elle ne l'a dit à personne. Ouaiiiiiii chanceuse que je
suis, elle a choisi une personne pour jeter son dévolu et j'ai tiré le ticket gagnant… C'est tout
moi ça, je me plains alors qu'en fait, je devrais me montrer fière et heureuse d'avoir su si
bien faire parler sa mouflette… Ouai ben la mouflette, elle empeste toujours mon esprit avec
le parfum de son minou et ça commence à sérieusement me pourrir mes journées.
En fait la seule nuance à apporter au discours d'Isabelle c'est qu'elle n'aurait que très
rarement massé son père et qu'il n'a jamais eu, en pareil moment, une érection digne de ce
nom. Peut- être une demie- molle et encore… Ben soit la gamine elle a une sacré imagination
soit la papa il profite pas du massage que lorsque maman est à côté. Par contre quand vient
le moment malheureux de comprendre pourquoi tant de mystères, tout se complique. Elle
ne voulait pas me choquer, elle ne voulait perdre mon amitié… Et pour ce qui est des vraies
raisons ? Hein ? Ben il semblerait qu'en fait ce soit les bonnes raisons, les véritables. Elles
sont justes plus profondes.
Je décroche un peu en écoutant Marie se démener pour me donner des raisons plus
ou moins vraisemblables, plus exactement entre le thé et les larmes, et je poursuis
méthodiquement son raisonnement pour arriver à la conclusion qui s'impose. Marie fait
partie de ce genre de femme qui couche avec les gens qu'elle trouve abordable et sans
conséquence, et, devient timide et complètement inhibée avec les personnes auxquelles elle
tient. Je me retrouve donc à me demander si ma meilleure amie est entrain de m'avouer
qu'elle voudrait être ma soeur ou qu'elle est amoureuse de moi, voire les deux.
Je passe donc par un rapide détour histoire de lui dire ce que sa fille pense de Betty,
propos corroborés à contre coeur et illico. Et, décidant qu'il devient urgent de prendre le
taureau par les cornes ou par les coucouniettes, chacun son truc, je lui propose de troquer
son thé par une bière, vu que dans l'intervalle j'en descends une quasiment cul- sec. Marie
me regarde avec cet air mi- effaré mi- apeuré des enfants quand on leur dit qu'il faut qu'on
parle. En gros elle ne sait plus ce qui est du lard et ce qui est du cochon et encore moins là
où je veux en venir. J'avoue ne pas vraiment savoir moi- même. Dans l'absolu, il vaut mieux
poser des questions dont on est sûre de pouvoir digérer la réponse, mais il arrive quand
même un moment ou un chat doit être appelé un chat, et comprendre qu'il a des griffes et
que c'est une teigne.
- Tu as peur de moi ?
- Pardon ?
- Est- ce que tu as peur de moi Marie ?
- Pourquoi tu dis ça ?
- Disons que ça fait bientôt six ans qu'on se connaît et qu'il a fallut que ta fille sorte
avec mon garçon pour que j'apprenne que tu es nudiste, que tu a une vie sexuelle
relativement épanouie et diversifiée et que tu as organisé des parties de massage
intégrale chez toi avec un certain nombre de nos amies ou connaissances…
- Heu…
- Ma question est peut- être trop vague ou mal posée… Tu as peur que je répète ce
genre de chose à tout le monde ou que je sois trop coincée pour conserver une
amie aux meurs dissolues ?
- Ce n'est pas ça, Hélène…
- Ce n'est pas quoi ? Suis- je à ce point bornée ou limitée que je ne peux
comprendre que tes choix de vie puissent- être différents de miens ?
- Tu es en colère et je peux le comprendre… mais…
- En colère ? Tu penses que je suis en colère ? Non… Ho non. Peinée, déçue,
ennuyée, désappointée, triste à la limite, mais en colère, je ne vois pas de rainson
de l'être.
- Ecoute, tu es quelqu'un que j'apprécie énormément, tu es quelqu'un dont je suis
fière de pouvoir dire que tu es mon amie. C'est juste que… Et bien oui, j'avoue,
j'ai toujours eu peur que tu ne me juges et que tu penses que je suis une….
- Traînée ? Salope ?
- Mouai… Je suppose que tu peux appeler ça comme ça oui.
- Ce que j'ai du mal à saisir c'est si tu penses ça de moi pourquoi restes tu mon
amie ? Si je te trouvais bornée, si je te trouvais étroite d'esprit et si éloignée de
mes idées, de mes principes, je ne serai jamais restée ton amie…
- Tu as sûrement raison, mais je n'ai jamais pensé de toi que tu étais bornée,
Hélène, ou éloignée de mes principes comme tu dis… Je te connais suffisamment
pour savoir que tu l'indulgence et la gentillesse même. Mais je connais aussi ta
rigueur morale et ta ligne de conduite et j'avais peur que tu ne puisses
t'accommoder de mes folies, que tes principes ne puissent se faire à l'idée d'une
femme volage.
- Si je te suis bien. Je suis assez bien pour être ton amie mais pas assez ouverte
pour être ta confidente, c'est ça ?
- Non ! En fait… tu es trop bien pour être ma confidente…
- Trop bien ? Comme si j'étais ta mère ?
- Ma soeur ou quelqu'un aux yeux de qui je voulais être une femme presque
parfaite…
- Parce que bien sur tu penses que je suis une femme parfaite…
- Non, enfin… disons que tu es, de toutes les femmes que je connais, celle qui se
rapproche le plus de la perfection…
- Ha…
- …
- Au fait tu sais quoi ? Il y a quinze jours mon fils m'a surprise dans ma chambre
entrain de me faire sauter en levrette par le paysagiste.
- Pardon ?!?
- Il y a quinze jours mon fils m'a surprise dans ma chambre entrain de me faire
sauter en levrette par le paysagiste.
- Tu plaisantes ?
- J'en ai l'air ?
- J'y crois pas…
- Et pourtant.
- Justin t'as vue à quatre pattes avec…
- Oui bon ben ça va… les détails je commence à les connaître et même un peu trop,
figure- toi, mais oui, c'est ça…
- Ha ben ça…
- Comme tu dis…
- Et Pierre ? Il n'est pas au courant je suppose…
- Non t'es folle ? Il me tuerait…
- Je me doutais bien qu'un jour tu finirais par laisser un autre homme te toucher.
Même une femme ne peut pas passer autant de temps sans avoir une relation
sexuelle et continuer d'être une amante.
- C'est pas un peu redondant ce que tu dis ?
- Non, en fait, Pierre devrait te remercier de l'avoir trompé, si tu étais restée plus
longtemps sans sexe, la seule façon de pouvoir conserver un semblant d'équilibre
aurait été de t'en détacher complètement. Comme ce gens qui se convainquent
que les chocolat n'est pas bon parce qu'ils ne veulent plus en manger, ou que la
clope pue pour s'aider à arrêter.
- Ho je vois… tu avais peur que je renonce complètement au sexe et que je me
transforme en une pudibonde acariâtre pour me convaincre que c'est normal que
je n'ai plus de relation sexuelle.
- Exactement… Mais très franchement j'avoue que t'as fait fort. Te faire choper par
ton fils… Et il l'a pris comment ton chérubin ?
- Mal.
- A quel point ?
- Au point de me prendre pour un véritable objet sexuel et de me faire chanter.
- Heu… j'ai peur de mal te comprendre… Il a essayé de te… de te toucher ?
- Oui, exactement…
- Ho mon Dieu ! Ma pauvre, quel petit salaud ! Et tu t'en sors comment ?
- Mal.
- Il… il a réussi à te mettre la main dessus ?
- Une fois oui… et pour être toute à fait franche, s'il a amené ta fille ici c'était pour
m'obliger à les regarder se peloter.
- Tu plaisantes ?
- Non, toujours pas…
- C'est comme ça que tu as appris que nous étions nudistes… ?
- Oui.
- Ho Hélène, je suis si désolée pour toi… Mais pourquoi ne pas m'en avoir parlé
avant ?
- Parce que ce n'est pas ta fille qui m'a expliqué votre style de vie, mais mon fils…
- Hein ?!?
- Et oui, il semblerait que ce soit un fait plus ou moins connu des gamins de la
bande de nos enfants.
- Ho les petites ordures… Mais… Si je dois maintenant parler franchement… Je
m'en doutais.
- Et ça ne te dérange pas ?
- Que veux- tu que j'y fasse ? La connerie des parents et les hormones de leurs
rejetons, je ne peux pas lutter. Alors on les laisse dire. Si, après tout, ça peut
donner une idée plus ouverte de la sexualité à certains…
- A certains mais pas à moi, décidément…
- Ho Hélène, non, ce n'est pas ça du tout… tu étais plutôt une des dernières
personnes à pouvoir me considérer comme une femme avant de voir en moi une
salope.
- Et pourquoi devrais- je penser que tu es une salope ?
- Heu… Ce n'est pas si facile que ça à avouer, tu sais ? Encore moins quand je
devine ce que tu traverses.
- Ha bien y réfléchir, tu n'as jamais vraiment trompé ton mari, vu qu'il a toujours
été présent et consentant…
- Oui, c'est tout à fait ça. D'ailleurs Bernard est assez jaloux quand il ne s'agit pas
d'une partie que nous avons organisée.
- Vraiment ? Et tu n'as jamais couché avec quelqu'un d'autre sans qu'il ne le sache
ou sans que ce soit dans le cadre de votre libertinage ?
- Non, jamais en dehors du cadre de notre couple.
- Tu es donc une femme fidèle… Tu vois ? Comment aurai- je pu mal te juger ?
- Es- tu certaine que tu aurais eu ce raisonnement si tu n'avais pas été prise en
défaut par ton fils ?
- Tu crois vraiment que je t'aurais laissée tomber juste parce que vous êtes
sexuellement plus actifs que nous ?
- Je ne sais pas… ne le prends pas mal Hélène mais j'avoue ne pas savoir.
- Tu m'excuseras si je trouve ça un peu dur à avaler… Quand je pense à tout ce que
j'ai pu te dire sur mes inhibitions et mes fantasmes…
- Je sais… et si tu savais comme j'ai pu souffrir de ne pas pouvoir te dire que je
partage la plupart d'entre eux…
- Je veux te croire Marie mais n'arrive à comprendre, tu pouvais le faire, même
sans tout dire, mais au moins m'amener à ne pas te penser autre que ce que tu
es…
- Tu oublies une chose, Hélène, c'est la présence de Betty. Maintenant que tu m'as
dit ce que tu sais ou pense d'elle je me sens plus libre de te parler. Mais avec elle
comme troisième personne, je ne voulais pas empirer une situation que je savais
déjà dégradée.
- Pourquoi une telle rancoeur entre vous ?
- Quand on est arrivé par ici, Bernard et moi avons continué, pour nos soirées
particulières, de rencontrer des gens de la région dont on venait. Et puis un jour
Betty, il y a trois ou quatre ans, est tombé sur une annonce que nous avions passé
dans une revue échangiste, il y avait plus de deux ans auparavant. Elle et son mari
n'ont eu de cesse qu'ont les initie à l'échangisme. Mais comme certains couples
qui veulent goûter l'échangisme pour soigner une sexualité en déliquescence, la
soirée à mal tourné. Vincent, le mari de Betty, ne voulait que coucher avec moi,
et en fait, la présence de sa femme ou de mon mari, n'avait aucun intérêt pour
lui. Disons qu'il avait trouvé le moyen de tromper sa femme avec sa bénédiction
plutôt que de se cacher comme il en avait l'habitude. Bien évidemment Bernard
n'a pas apprécié et Betty m'a rapidement fait comprendre qu'elle était jalouse.
- Je vois…
- La soirée a été un désastre et nous n'avons jamais réitéré l'expérience. Mais
Betty, persuadée qu'à la limite, si ce n'est qu'avec moi, elle pouvait laisser son
mari la tromper, n'a pas arrêté de me demander de recommencer, même si
Bernard n'était pas là ou au courant, et même si elle n'était pas là… En gros elle a
confondu l'échangisme et la tromperie. Elle m'a prise pour une salope, et je ne
voulais vraiment pas que toi, ma dernière vraie amie, fasse la même chose.
- Je vois, je comprends un peu mieux. Mais pourquoi avoir continué à fréquenter
Betty ?
- Parce qu'il m'aurait fallut t'expliquer pourquoi je ne voulais plus la voir, en plus, je
ne savais pas ce qu'elle aurait été prête à te raconter pour conserver ton amitié
et te priver de la mienne.
- En un sens je dois te remercier de ne pas m'avoir demandé à choisir. J'aurais juste
aimé savoir ce qui se tramait pour pouvoir faire mon propre jugement. Si Justin
ne m'avait rien dit, je n'ose imaginer ce que m'aurait demandé Betty ou la
réputation qu'elle m'aurait faite à mon tour une fois que j'aurai refusé.
- Pourquoi dis- tu ça ?
- Vincent m'a toujours reluqué d'une façon plus qu'équivoque.
- Il n'est pas le seul…
- Tu veux parler de qui ?
- Heu… mon mari…
- Ha… Ton mari est tout à fait charmant, mais je ne suis pas certaine que l'art du
libertinage aurait un effet bénéfique sur mon foyer actuellement…
- Hihi… je suppose que non…
- Mais tu aimerais ?
- Quoi ?
- Que je couche avec Bernard pendant que tu te tapes Pierre ? C'est comme ça que
ça se passe non ?
- Oui… enfin non… pas que…
- Pas que ?
- Heu… oui… Les deux hommes peuvent prendre soin d'une femme après l'autre
aussi…
- Ha… oui… j'imagine, mais bon, je ne suis pas sûre que j'aimerai te savoir mise à
l'écart pendant que ton mari et le mien s'affairent sur moi…
- Hihi… C'est un peu les règles du jeu, mais tout est négociable. En fait la base de
tout est la confiance et, pour ce faire, il vaut mieux tout mettre à plat avant. Rien
de pire que, pris dans le feu de l'action, brusquer les inhibitions de quelqu'un…
- Brusquer les inhibitions ?
- Oui… certains aiment certaines choses et d'autres pas…
- Je ne saisis pas, si tu viens à une soirée échangiste tu sais quand même de quoi il
retourne, non ? J'ai beau être un peu coincée je sais qu'il ne s'agit pas d'une
partie de Monopoly géante.
- Oui mais tu sais quand il y a deux hommes et deux femmes, beaucoup de
possibilités s'offrent…
- Oui, assurément, deux hommes pour une femme, deux femmes pour un
homme…
- Oui, entre autres…
- Entre autres ?
- Ho ça va Hélène, pas la peine de jouer au chat et à la souris, je parle aussi de
rapport entre personnes du même sexe…
- Ho… Ca…
- Oui… ça…
- Et Bernard et toi ? Vous…
- Oui nous sommes tous deux bisexuels… Ce qui d'ailleurs n'est pas si fréquent chez
les hommes. C'est pour ça qu'il est préférable de discuter des préférences et des
tabous avant… Tout comme certaines tendances comme le sadomasochisme ou
l'utilisation d'objets... Enfin tout ce qui touche le sexe quoi…
- Oui… j'imagine… Et Bernard et toi vous êtes… sadomaso ?
- Non, du tout, j'avoue aimer parfois un peu de brusquerie ou quelques mots un
peu salaces mais je n'apprécie pas la douleur comme moteur du plaisir.
- Je vois…
- Choquée ?
- Non… Enfin oui… Mais pas par vos tendances, plutôt par le fait que je dois
maintenant essayer de vous imaginer faire ça alors que je t'ai toujours imaginée à
cent lieues de ce genre de choses.
- Je suis désolée…
- Mieux vaut tard que jamais à ce qu'il parait… Pour être tout à fait franche, je
m'étais dit que si tu ne te montrais pas franche avec moi je t'enverrai bouler.
Mais puisque que tu sembles vouloir tout me dire, je suis heureuse de t'avoir
encore comme amie.
- Je t'adore ma belle…
- Et ta fille ?
- Isabelle ?
- Une autre ?
- Non, désolée… hihi… et donc quoi ma fille ?
- Elle pense quoi de tout ça ? Comment vous faites avec elle ?
- Mais elle n'a jamais pris part à une de nos soirées !!!!
- Je me doute Marie, mais si nous avions ce genre de soirées à la maison, il nous
serait difficile de garder Justin loin du salon…
- Ho… ça… Et bien pour tout confesser, Isa est une enfant assez… mature pour son
âge, surtout sur le plan de sa sexualité. Je ne sais pas ce qu'elle t'a raconté mais
elle est très ouverte d'esprit et comprend que ses parents peuvent avoir envie
d'avoir des jeux d'adultes sans la présence de leurs enfants…
- Mais les enfants sont des enfants, Marie, je sais que Justin nous dirait
comprendre nos raisons, ça n'empêcherai que je l'imagine très bien en haut des
escaliers à nous espionner pendant qu'il secouerait sa petite nouille…
- Oui… Isabelle nous a espionnés une fois, enfin je l'ai surprise une fois.
- Et comment as- tu fait ?
- Et bien nous avons eu une longue conversation ensuite…
- Oui, ça j'imagine bien, mais pendant ?
- Comment ça pendant ? Ho… et bien je lui ai fais signe de déguerpir ce qu'elle a
fait au bout d'un moment…
- Au bout d'un moment ?
- Oui… Hoooo j'ai… j'ai l'impression à nouveau d'être une fieffée salope, une
femme ignoble…
- Mais je ne te juge pas Marie, je suis juste un peu curieuse… c'est un monde
complètement étranger pour moi.
- Je sais… … Oui bon et bien, imagine- toi que ce n'est pas si simple de tout arrêter
et aller voir ma fille alors que j'étais à quatre pattes avec le sexe d'un homme en
moi et celui de son père dans ma bouche…
- Et ton mari ?
- Il ne l'a pas vue, cette fois là…
- Tu n'as pas eu peur de la traumatiser ?
- Oui… Tu ne peux pas savoir à quel point j'étais effrayée. Elle allait faire ses onze
ans, une semaine plus tard. Mais tout s'est, en fait, bien passé. Nous avons
longuement parlé, plusieurs fois même, et j'ai pu, peu à peu, lui faire comprendre
certaines choses sur la sexualité.
- Elle semble effectivement assez callée sur le sujet mais aussi très intéressée.
- Oui je sais… J'avoue ne pas trop savoir quoi faire. Elle me promet de ne pas être
une fille facile mais son intérêt est si vif que je suis assez anxieuse quant à sa
capacité de se protéger.
- Oui, tout comme moi avec Justin, même s'il est un garçon.
- C'est un gentil garçon tu sais. Je me doute qu'il t'en fait voir de toutes les
couleurs mais je suis certaine qu'il va rapidement se reprendre…
- J'ai parfois l'impression que la seule chose qui puisse le faire se reprendre serait
de le laisser abuser de moi…
- Tu es sérieuse ?!?
- Oui et non… Je sais que c'est quelque chose que je ne peux pas faire mais c'est ce
qu'il demande, et ne peux l'ignorer.
- C'est un jeune homme maintenant, Hélène, et c'est un peu normal, surtout avec
une mère aussi sexy que toi, qu'il soit chamboulé par tout ça et qu'il projette sa
libido naissante sur toi.
- Je sais tout ça, crois moi j'en sais quelque chose… Mais j'avoue que je serai prête
à beaucoup pour que cesse cette tension entre nous…
- Ca passera… Il vous faut un peu de temps.
- C'est vrai. Et puis maintenant qu'il sort avec ta fille, j'espère que tout se règlera
tout seul.
- Veux- tu dire qu'ils ont des rapports sexuels tous les deux ?
- Je ne veux pas jouer les cafteuses mais oui, Marie, ils ont déjà couché ensemble.
- Je vois. Je m'en doutais mais n'en étais pas sûre. Je suis contente que ce soit lui
qu'elle ait choisi, c'est un gentil garçon et il semble tenir à elle. Mais…
- Oui ?
- Tu le sais comment qu'ils couchent ensembles ?
- Disons qu'ils ne se sont pas cachés.
- Et bien, ton fils te pense bien plus ouverte que je ne le faisais.
- Disons qu'il pense que rien ne peut choquer une femme qu'il a surpris entrain de
tromper son mari… Et puis il semble intéressé par votre façon de vivre.
- L'échangisme ?!?
- Non, le nudisme…
- Ho ça… nous ne sommes pas vraiment des nudistes tu sais… Nous avons bien
passé une semaine dans un camp nudiste deux années de suite mais ça ne nous a
pas convaincu…
- Pourtant ta fille affirme que vous passez votre temps nus.
- Non, elle enjolive ou noircit le tableau… Nous ne sommes pas très pudiques c'est
vrai, mais la plupart du temps je porte une nuisette ou un long teeshirt à la
maison et elle fait de même…
- Et Bernard ?
- Bernard est souvent en peignoir ou teeshirt lui aussi. Nous ne nous exhibons pas
devant notre fille si c'est ce que tu penses.
- Je ne pense rien Marie, si je le croyais je ne te poserais pas la question.
- C'est vrai…
- Et les massages ?
- Et bien je lui ai appris certaines choses, tu sais quand on va à la plage ou quand on
bronze dans le jardin, elle me passe souvent de la crème contre le soleil. Elle a
toujours aimé le faire alors je lui ai montré comment progresser.
- Mais elle ne te masse que quand vous bronzez ?
- Non, des fois après un bon bain ou quand il fait chaud… mais tout au plus une ou
deux fois par semaine, et encore, pendant la période estivale. Ca a l'air de te
choquer.
- Me choquer, non. En fait je serais même plutôt jalouse, si j'avais eu une fille
j'aurais adoré qu'elle soit aussi proche de moi et veuille me masser… Par contre je
ne sais pas comment je réagirai si ma fille massait son père…
- La première fois j'étais un peu gênée et suspicieuse, je l'avoue, mais tout s'est
passé le plus simplement du monde et je ne pouvais pas dire à ma fille que
masser son père était malsain alors que masser sa mère ne l'était pas.
- C'est pourtant un peu vrai non ?
- Oui, mais quoi lui dire alors qu'elle sait que j'ai aussi couché avec des femmes ?
- Vous en avez parlé ?
- Oui et… elle l'a vu…
- Ho je vois… Et elle en pense quoi ?
- Je pense qu'elle a hérité de mes orientations sexuelles. Pour répondre à ta
prochaine question je ne sais pas si je l'ai influencée ou non. En fait je sais que je
l'ai influencée mais je ne suis pas certaine que ce soit au point de lui faire trouver
la bisexualité comme une alternative intéressante.
- Elle semble surtout attirée par les hommes ceci dit, je ne pense pas qu'elle te
ramène une petite amie à la maison.
- J'ai cru comprendre oui… hihi…
- Mais pour revenir à ton mari, elle m'a dit l'avoir massé alors qu'il était en
érection…
- Ho ça… oui… En fait une fois elle m'a demandé comment me masser devant, au
lieu de s'arrêter à derrière. Je n'ai pas vu pourquoi refuser et lui ai montré
comment faire un massage sans pour autant mettre une connotation sexuelle
dans son acte. Mais rapidement elle a voulu faire de même à Bernard, et même
s'il est son père il n'en reste pas moins un homme. Mais à notre grand
étonnement et satisfaction elle n'a pas parue plus effarouchée que ça. Elle
décalait le sexe de son père pour pouvoir finir son massage et se moquait même
de lui, ce qui nous a bien fait rire.
- J'avoue que ça me rassure d'entendre de ta bouche aussi que tout s'est passé le
plus naturellement du monde.
- Oui, je me doute que ce genre de chose peut paraître très suspect, mais, je sais
que je n'ai pas besoin de te dire de garder ça pour toi, je veux juste que tu saches
que tu es la seule à le savoir.
- Pourquoi n'en avoir pas parlé avec d'autres amis ou même la famille… Je veux
dire s'il n'y a rien de malsain, se cacher pourrait porter à confusion…
- Tu sais qu'un massage est toujours assez particulier, et une fois, chez la soeur de
Bernard, Isa m'a massée en me passant de la crème contre le soleil. J'ai bien vu le
regard suspicieux de sa tante et comme elle fixait mon entrejambe et ma
poitrine. C'est vrai que le massage m'avait un peu émoustillée, comme la chaleur
de la journée et le contact de la crème, mais la soeur de Bernard semblait croire
qu'il y avait beaucoup plus, alors j'ai préféré garder tout ça pour moi. Et puis,
dans l'absolu, ça ne concerne personne en dehors de notre maison. Tu as dû
vraiment impressionner Isa pour qu'elle t'en parle autant tu sais.
- Je ne sais pas… C'est vraiment une fille charmante et très intelligente, et je suis
aussi très contente qu'elle et Justin soient ensembles.
- Peut- être lui apprendra- t- elle à faire des massages…
- Hihihi... oui pourquoi pas… Je pourrais ainsi mon fils me toucher si c'est pour un
massage…
- Je te souhaite qu'il se montre aussi doué que ma fille, j'en arrive parfois à être
jalouse de son savoir faire…
- Tu veux dire avec ton mari ?
- Ho ça tu sais… il ne faut pas grand- chose à un homme pour être stimulé.
- Ho ça je sais, enfin pour ce qui est de Justin. Pour Pierre ce n'est
malheureusement pas à l'ordre du jour…
- Je suis désolée pour vous deux…
- Si je savais qu'il ne rentrerai pas dans une fureur sans nom je lui proposerai bien
d'en parler avec ton mari et pourquoi pas tenter quelque chose mais j'ai bien
peur qu'il ne soit pas du tout intéressé par ce genre de choses…
- Parce que tu le serais ?
- Pourquoi pas… après ce qui s'est passé, je crois que je peux envisager de
nouvelles expériences…
- Tu parles de ton fils qui t'a surprise avec le jardinier ?
- Oui… oui de ça…
Quelle drôle de femme quand j'y pense. Je dois reconnaître que sa soudaine franchise a renforcé mon amitié pour elle- même si je suis maintenant persuadée qu'elle ne dirait pas non si je lui proposais d'explorer plus avant notre relation. Je ne suis pas, non plus, convaincue par ses explications sur l'implication d'Isabelle dans le mode de vie de leur petite famille. Mais après tout, comme la gamine l'a elle- même dit, si personne n'a été violenté…
Le vendredi soir déjà et Pierre ne semble même pas remarquer que j'ai acheté une nouvelle nuisette plus suggestives que celles que j'ai l'habitude de porter. Je ne sais pas ce que je chercher. C'est vrai, tant qu'à porter une nuisette à la maison, en présence de mon mari et de mon fils, pourquoi porter des sous- vêtements dessous, et pourquoi même la nuisette. Peut- être qu'il finirait par se réveiller si je me trimballais complètement nue chez nous. En tous cas il l'a bien remarqué Justin, ça, ça ne lui ai pas passé au- dessus de la tête, je dirai plutôt sous la ceinture.
Il a tenu à regarder la télé avec nous et s'est allongé à côté de moi pour venir poser sa tête sur mes cuisses. Quel obsédé ce gamin ! Il est là à frotter son visage contre le satin d'abord, puis sur ma cuisse qu'il a dénudé peu à peu, ensuite. Mais il va arrêter oui ? Comment peut- il oser glisser sa main sous mes cuisses alors que son père est à côté de nous sur son fauteuil. Et voilà, Pierre s'est endormi et son fils en profite pour pousser sa main sous mes fesses. Je vais finir par le gifler s'il continue ! Bon autant aller dans ma chambre. Quoi non ? Comment ça non ? Moi qui le pensait être revenu à la raison, mais quel démon le pique. Il ne compte quand même pas me tripoter sur le canapé avec son père à un mètre de nous.
Ho non ! Me voilà à nouveau sous son emprise. Si je fais un esclandre Pierre serait
bien capable de dire que je n'avais qu'à pas mettre une nuisette aussi courte. J'ai un fils
obsédé et un mari crétin, voilà ce que j'ai ! Et ce petit con qui essaie de glisser sa main sous
la nuisette, ben il peut toujours rêver ! Ha non pas ça ! C'est vrai qu'elles sont fines ses mains
de gamins… Je la sens chercher le moyen de s'insinuer contre mon entrejambe. A le voir fixer
l'écran de la télé comme ça, on ne pourrait jamais se douter qu'il a son majeur et son index
glissés à la naissance de mes fesses. Ho mon Dieu, il est dans un de ces états, on a presque
l'impression qu'il s'est oublier dans son boxer tellement il est détrempé de sa pré- semence.
Si pierre le voit dans cet état il va… Aïeeeeeee… Quel con ce gamin, il m'a fait mal ! Et
oui j'ai des poils moi là en bas, et ça fait mal quand on tire dessus !!! Ho non j'ai réveillé
Pierre. Oui… tout va bien… je… je me suis juste assoupie et ai eu une crampe… Ho mon Dieu,
le boxer de Justin, il ne s'en rend même pas compte ce crétin de gamin ! Si Pierre voit ça, ça
va être le drame… Ho nooooon… Me voilà avec ma main sur l'érection de mon fils pour que
son père ne voit rien, je rentre dans son manège et il jubile. Ho non, sors le nez de ton
journal Pierre ! Regarde ton fils ! Il se frotte contre ma main ! Et moi qui ne trouve rien de
mieux que de relâcher la pression sur le canapé. Il se régale l'enfoiré. Une seconde et son
index s'est logé contre ma fente. Hooooo… Je suis une femme ignoble. Il doit penser qu'il a
gagné à me sentir si trempée entre les jambes. Et il se frotte de plus belle le petit con…
Hooooo Pierre pour l'amour de Dieu, regarde le, regarde nous, fais quelque chose !!!
Mais ce n'est pas vraiiiiiiii… Il vient d'éjaculer, il vient de jouir dans ma main. Quel
porc, quel pervers ! Et il enfonce son doigt plus loin encore, mais arrête, arrête !!! J'ai la
main couverte du foutre de mon fils qui s'imbibe au travers de son caleçon. Il embrasse mes
cuisses, comme s'il voulait me remercier. Me remercier !!! Tu es infâme mon fils, tu es un
monstre ! Demain Isa et Marie viennent à la maison, voudras- tu aussi que je te branle
devant elles ?

Il y en a encore...

Histoire du net. Auteur: Malice. Justin... Suite

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Ou les jeunes font carrément  déraper les vieilles...
Cauchemar ou presque…
Chapitre V

Chapitre V
Justin a passé la première partie de la journée dans sa chambre à faire ses devoirs.
J'avoue que s'il y a un bon côté à cette histoire c'est bien qu'il soit redevenu un élève
attentif et travailleur. Mais j'ai bien vu la lueur dans ses yeux quand Pierre m'a dit qu'un ami
commun à Bernard et lui avait téléphoné. Ils vont se faire une soirée foot devant la télé, la
belle idée. Pendant qu'ils vont siroter des bières et invectiver le petit écran, moi je vais
devoir supporter son fils. Au moins Marie sera là. Isabelle aussi, mais je ne suis pas certaine
que cela m'aide. Mais la lueur dans les yeux de mon fils n'est rien comparé à la flamme qui a
explosé quand son père nous a appris que Marie et Isa n'avaient qu'à dormir ici, dans le
canapé lit par exemple, lui passerait la nuit chez Bernard.
Et dire qu'au lieu de convier son fils à cette soirée, il lui donne le prétexte qu'Isa est
sa petite amie pour éviter de devoir suivre son père. Peut- être qu'il veut avoir une soirée
intime juste avec Bernard… Zut ! Il m'a vue sourire et me demande pourquoi…
Pierre reste quand même une petite demi- heure quand Marie et sa famille arrivent.
Nous échangeons sur divers sujet mais je ne peux m'empêcher d'épier la gamine qui reste
collée à son père. Les deux hommes nous laissent et Justin propose à Isa de finir l'après midi
dans la piscine. Bien sur qu'elle accepte mais je suis impatiente de voir comment elle va se
tenir en la présence de sa mère. Je propose à Marie de se joindre à eux mais nous restons
dans notre coin. Je n'ai pas l'habitude de voir Marie en petite tenue et son bikini lui va à
merveille. Elle est une très belle femme, ses rondeurs lui donnent cet aspect charnel qui
eut me manquer.
Alors qu'Isabelle n'a pas hésité une seconde pour ne garder que la culotte de son
maillot, j'observe mon amie. L'absence de marque de bronzage est une preuve suffisante de
ses habitudes de bronzage et je lui propose de se mettre aussi à l'aise que sa fille si elle le
désire. Pourquoi est- elle si surprise ? Je donne à ce point une image de femme coincée, de
grenouille de bénitier ? Ha, mon fils… est- ce que son fils ne va pas en profiter pour se rincer
l'oeil ? He bien justement !!! Qu'il s'excite sur quelqu'un d'autre que moi, ça me fera des
vacances. Et puis si je peux me moquer de son état en présence de sa copine, ça sera
toujours ça de pris.
Et il ne lui faut pas longtemps pour lorgner sur la poitrine lourde de la mère de sa
copine. C'est que ses seins sont magnifiques. Bien sur ils subissent la loi sadique de la gravité
mais ils restent extraordinairement sensuels, entre l'aspect maternel des mamelles
nourricières et la concupiscence d'une poitrine qui répond rapidement au petit air frais de la
fin d'après midi, même si cet air frais ne m'est pas vraiment évident.
Et la voilà la gourgandine à passer et repasser la crème sur le dos de mon fils. La
pauvre Marie, elle ne sait pas trop comment réagir quand sa progéniture ne prend aucune
précaution pour masser, ensuite, le devant de mon fils. J'ai presque l'impression qu'elle va
lui ôter son maillot de bain mais non, elle sait respecter certaines limites. Tout de même !
Mais moi aussi je suis une garce et je m'en excuse juste après avoir fait remarqué à Marie
qu'elles ne semblent, ni elle ni sa fille, avoir de trace de bronzage en bas non plus… Marie
sent que je suis un peu nerveuse. Elle tente de me rassurer, ma gentille amie, mais je
redoute le reste de la soirée. Vont- ils me refaire le coup du bar tout à l'heure ? Vont- ils
trouver pire ? Au moins Marie sait tout ce qu'il y a à savoir et Justin ne pourra pas me
pousser à faire ce que je ne veux pas.
Mais elle ne compte pas s'arrête en si bon chemin la gamine. Bien sur que sa mère
accepte son massage, comment pourrait- elle refuser ? Et mes soupçons se renforcent quand
je vois comment mon amie réagit aux caresses de sa fille. Elle lutte la maman, elle combat,
se tend, mais je ressens intensément le plaisir qui l'embrase. La douceur des caresses se
mêle sûrement à l'impression d'exhibition et entre ses cuisses épaisses je vois poindre le film
luisant de son excitation non- dite. Et Isabelle sait exactement ce qu'elle veut. Comment
peut- elle être si impudique cette fillette à se secouer comme ça, à aller et venir sur le pubis
de sa mère alors qu'elle pétri les seins gonflés de sa propre mère ? Le pauvre Justin, il est
dans son coin, excité comme un jeune bouc, il n'ose même pas se caresser mais ne sait pas
comment camoufler cette tension dans son bas- ventre.
Et moi ? Hein ? Je peux parler. Mais quand la gamine s'attaque à mon dos, je la sens
la tension se nouer. Tu es une garce, une petite peste, je les sens tes mains frôler mon
maillot, je les sens tes doigts se faufiler brièvement sous le tissu élastique. Mon haut de
maillot ça fait longtemps que tu l'as dégrafé mais c'est le bas que tu convoites. Si nous étions
seules je me repaîtrais à nouveau de tes charmes de petite succube. Démone, tu sais
comment me rappeler nos ébats sans pour autant te montrer trop impudique.
Mais oui j'accepte de me retourner, tu croyais avoir le dessus, hein ? Mais non, je me
fiche que mon fils me scrute, me mate. Tu les aimes mes nichons, je le sais, ça doit te coûter
de ne pas les embrasser. Regarde- les ! Oui mes tétons bandent pour toi petite salope ! Je
suis excitée et j'en profite parce qu'avec ta mère à mes côté tu n'as plus la maîtrise de la
situation. Tu peux frotter ton minou sur mon pubis, tu ne m'arracheras rien de
plus que ce sourire entendu et ce feu qui illumine mon regard.
Marie, ne vois- tu rien ? Comment peux- tu jouer les mères de famille au regard
complaisant quand mon fils caresse sans vergogne la cuisse de ta fille ne s'arrêtant que
lorsque ses doigts ont bien pris l'empreinte de son conin ? Peut- être voudrais- tu qu'il te
fasse de même ? Je suis amère, amère et en colère. Comment Pierre a- t- il pu penser que je
préfèrerai passer la soirée avec son obsédé de fils et cette gamine aux fesses en feu ?
Oui Marie il est en forme mon fils, je le vois bien qu'il ne se cache même plus devant
toi alors qu'une bosse déforme son boxer. A s'exhiber ainsi j'aurais autant aimé qu'il
conserve son caleçon de bain, mais non, autant la gamine roule son petit popotin sous notre
nez, autant mon fils se délecte de nous faire partager son excitation. Enfin le repas, au moins
dans la cuisine je n'ai plus à supporter les attouchements fébriles de ces gosses
dévergondés. JUSTIN ! Retourne à ta place, petit saligaud. Oui je saurai porter quatre
assiettes et un saladier, et non tes mains sur mes hanches ne m'aideront pas. Et sur mes
fesses encore moins ! Marie m'a entendu le reprendre, pourquoi n'as- tu pas l'air soucieux
mais plutôt curieux ? Serait- ce un jeu ? Y aurait- il un plan pour la soirée qui m'aurait
échappé ? Hoooo, fils indigne, oui je le sens ton sexe frotter contre mes fesses alors que je
dois me pencher pour prendre les verres sous le bar. Mais laisse- moi !
Comment ose- t- il ce moufflet, passer la fin du repas avec une main sur ma cuisse et
une sur celle de sa copine. Tiens ta main, reprend- la. Non tu ne me tripoteras pas devant
mon amie. Que tout ceci cesse ! Oui, rentrons, ça ira mieux. Et oui je reste sur le fauteuil. Je
vous le laisse le canapé les enfants, vous ne croyez tout de même pas que je vais me vautrer
avec vous, non ? Mais où vont- ils s'arrêter ?
- Justin, s'il te plait, un peu de tenue…
- Quoi maman ? J'ai rien fait de mal.
- Et bien retire tes mains du ventre d'Isabelle, ça t'évitera de faire des bêtises, vous
n'êtes pas seuls quand même…
- Désolée Hélène… Au fait maman vous avez parlé, Hélène et toi à propos du
nudisme, elle semblait curieuse de savoir comment on faisait à la maison.
- …
- Oui ma puce, mais Hélène a raison, si ça continue vous allez finir par devenir
vraiment indécents.
- Je suis désolé Marie, je ne pensais pas que nous pouvions vous choquer.
- Justin !
- Non ce n'est rien Hélène, autant profiter de ce moment pour dissiper certains
malentendus… Tu sais Justin, Bernard et moi, avons peut- être une vie sexuelle
assez active, ce n'est pas pour autant que nous sommes exhibitionnistes ou
voyeurs… surtout quand cela concerne notre fille ou un jeune garçon comme toi.
- Ouai… je sais… mais ça doit pas vous choquer de voir d'autres personnes se
toucher non ?
- Non, ça ne me choque pas, je trouve juste ça déplacé quand il ne s'agit pas d'une
soirée prévue pour ça…
- Et bien si nous on voulait que ce soit une soirée prévue pour ça ?
- Dans ce cas là il faudrait demander l'avis de mon mari et de ton père, Bernard et
moi sommes échangistes mais je ne l'ai jamais trompé.
- Ben vous avez pourtant baisé avec d'autres mecs non ?
- Oui mais il était toujours présent.
- Justin ça suffit maintenant !
- Non laisse Hélène, peut- être que si ton fils arrive à comprendre certaines
nuances, lui et ses copains pourront saisir la différence entre le libertinage et la
perversion.
- J'ai jamais dit que vous étiez des pervers !
- Je sais, mais ce que tu sembles penser n'en est pas loin, tu penses que parce que
nous sommes échangistes je peux te laisser peloter ma fille sans rien dire ou
même apprécier. Et bien je suis désolée mais non, nous ne pratiquons le
libertinage qu'avec d'autres adultes consentant, jamais avec des enfants.
- Ben je comptais pas vous demander de participer mais si vous vous proposez…
- Tu dépasses les limites Justin ! Fais des excuses immédiatement à Marie. Je peux
accepter que tu sois curieux et que tu poses des questions mais tu n'as pas à être
sarcastique ou injurieux.
- Désolée 'man… Pardon Marie, c'est vrai que j'y suis allé un peu fort
- Ce n'est pas grave, je me doute que toutes ces hormones ça ne doit pas être si
simple à gérer.
- Ouai et passer la soirée avec trois superbes femmes ça aide pas à rester de
marbre…
- Trois superbes femmes c'est gentil… Tu penses donc que ta mère est une superbe
femme ?
- Ben ouai, plutôt, vous trouvez pas ?
- Ho si. Ta maman est une très belle femme, très sexy, je comprends que tu
nourrisses pour elles certains désirs…
- Heu… J'ai pas trop capté, vous voulez dire quoi ?
- Que pour un jeune homme comme toi, il est normal, en vivant auprès d'une
femme aussi belle que ta maman, de parfois penser à avoir d'autres rapports que
ceux entre un fils et sa mère.
- Heu… peut- être… je sais pas
- Ne rougis pas, je suis certaine que ma fille aussi, ça peut lui arriver de penser à
son père pendant qu'elle se masturbe par exemple…
- Non ! Enfin… c'est peut- être arrivé mais… enfin là j'suis pas entrain de caresser les
cuisses de ma mère…
- Oui mais tu le faisais pendant le repas non ?
- Je la caressais pas ! J'avais juste ma main sur elle, c'est ma mère après tout !
- Oui, oui bien sur… Mais d'un autre côté tu ne peux pas nier que de tripoter ma
fille devant ta mère n'est pas quelque chose d'anodin…
- Je le fais devant vous aussi, vous pensez que je veux coucher avec vous ?
- Je n'ai pas dit que tu voulais coucher avec ta mère, mais après tout si c'est ce que
tu désires, je trouve intéressant que tu en parles.
- Mais non !
- Pourquoi es- tu allé dans la cuisine avec elle tout à l'heure alors ?
- Pour l'aider !
- Je ne suis pas certaine que ça l'ait beaucoup aidé tes mains sur ses fesses pour
porter les assiettes.
- Ouai ben de toute façon ça ne vous regarde pas…
- Tu tripotes ma fille je te signale, donc ce que tu fais avec elle me concerne, et ce
que tu fais devant moi me concerne aussi…
- Ca vous concerne ou ça vous excite ?
- Voir des amoureux est toujours émoustillant mais c'est ma fille, Justin, c'est un
peu particulier non ?
- Ben je sais pas… vous aviez l'air de bien aimer aussi quand elle vous a massé tout
à l'heure…
- Oui… toi non ?
- Moi j'ai bandé terrible ! Vous aussi ?
- Non, ce n'est pas vraiment la même chose pour une femme tu sais… Si ta
question est : est- ce que le massage de ma fille m'a émoustillée, je te dirai que
oui, un petit peu, comme quand un pantalon trop serré frotte contre ton sexe ou
quand tu te réveilles avec une érection. C'est, disons, une sorte de réponse
physiologique indépendante de notre volonté.
- Si j'ai bien compris, c'est purement physiologique quand votre fille a les tétons
qui pointent alors que je lui caresse les cuisses ?
- Non, tous les deux vous êtes amoureux, c'est autre chose…
- Ha ok, et le fait que vous ayez aussi les tétons qui pointent en nous regardant
c'est physiologique ?
- Non plus, c'est l'incongruité de la scène et le fait de parler de sexe qui
m'émoustille un peu.
- Donc ça vous excite de voir votre fille se faire tripoter…
- Ca excite ma libido de voir un couple de jeunes gens se toucher, mais ma raison,
mon instinct de mère sait que je ne dois pas, ce qui fait que je reste à vous
regarder sur mon fauteuil au lieu de vous proposer autre chose, comme si vous
étiez des adultes.
- Ouai je comprends, et toi maman ça t'excite aussi, même si comme t'es ma mère
tu vas pas faire quoi que ce soit ?
- Heu… peut- être un peu…
- Je vois, et pourquoi c'est indécent de le faire alors ? Je veux dire si ça vous donne
du plaisir et que de toute façon vous n'allez rien faire de mal, pourquoi c'est
indécent ou immoral ou je ne sais quoi ?
- Parce que certaines choses ne se font que dans l'intimité, je suppose que tu ne
voudrais pas que ton père et ta mère se touchent devant toi non ?
- Ben si ça leur va bien je m'en fous… Et puis ça m'apprendra des trucs…
- Tu ne trouve pas ça un petit pervers ?
- Pervers ? Non, je sais que ça ne se fait pas mais je capte pas pourquoi ça ne se fait
pas… Si vous préférez je sais qu'il ne faut pas abuser des enfants, je sais qu'il ne
faut jamais forcer quelqu'un. Mais là, si je pose ma main sur les seins d'Isa je ne la
force en rien et je ne crois pas qu'on puisse vous choquer…
- Non mais ça peut nous déranger tu ne crois pas ? Nous n'avons peut- être pas
envie que tu continues…
- Ben si ça vous excite, ça ne vous dérange pas…
- Ca ce n'est pas tout à fait juste, voir un bel homme nu m'excite mais je ne tiens
pas à voir n'importe qui dans la rue nu même si ça pouvait m'exciter.
- Ouai mais nous ne sommes pas dans la rue, on est entre nous, et pour tout dire
vous m'excitez aussi vous savez, et vu que je ne peux sûrement pas vous forcer à
quoi que ce soit, je ne vois pas en quoi c'est si mal…
- Tout simplement parce que c'est ma fille et que mon éducation ainsi que mes
croyance ne s'accordent pas avec le fait que tu n'arrêtes pas de pétrir ses petits
seins.
- Ca j'ai bien compris, normalement on ne doit pas être excité par ses propres
enfants. Mais si l'enfant s'en fiche, au contraire même, et ça vous excite quand
même, ce n'est pas plus simple de l'avouer et d'en profiter plutôt que de se
cacher derrière des faux prétextes ?
- Ce ne sont pas de faux prétextes Justin. Dans l'absolu tu as raison, mieux vaut la
franchise et la reconnaissance de nos désirs plutôt que le refoulement et la
frustration mais certaines règles existent pour qu'on ne fasse pas tout et
n'importe quoi, ce qui ne manquerait pas de blesser quelqu'un…
- Ouai, ouai… mais vous parlez toujours dans le cas général et répondez pas sur
notre cas précis… J'suis sûr qu'en fait ça vous excite trop de voir votre fille
mouiller comme ça mais que vous osez pas le dire parce que ma mère est là.
- Justin ! Tu vas trop loin ! Marie et moi avons parlé de nombreuses choses et elle
sait qu'elle n'a pas à être gênée devant moi mais nous avons tous nos réserves et
notre pudeur contrairement à toi, il semblerait.
- Ben moi j'y crois pas qu'elle t'aie tout dit, moi je suis sûr qu'elle adorerait prendre
ma place ou nous regarder faire mais qu'elle ose pas parce que toi t'es trop
coincée.
- Je ne suis pas coincée et très franchement si tu crois qu'en exhibant ton macaroni
ridicule tu peux exciter des femmes adultes, il te faudrait peut- être revoir tes
ambitions à la baisse.
- En tout cas mon macaroni il plait bien à Isa et il était pas si ridicule que ça quand
tu l'as vue me sucer, t'était toute rouge et tu voulais que je le cache !
- Ho?
- Heu… oui Marie, j'avais évité cette anecdote, pas la peine de rentrer dans les
détails…
- Détails ? Mort de rire, tu parles d'un détail, tu gueulais comme un putois et t'étais
rouge prête à exploser. Moi j'suis sûre que vous êtes toutes les deux trop gênée
et que nous dire qu'on est indécent c'est pour vous éviter à vous justifier de votre
excitation.
- Tu es ignoble mon fils, ignoble et malhonnête… Tu parles de faire des choses de
votre plein grès mais on ne l'entend pas Isa, tu crois vraiment que ça ne la gêne
pas d'être ainsi triturée devant sa mère ?
- Heu…
- C'est bon Isa… te prends pas la tête… Ma mère elle a toujours pas capté que c'est
pas la première fois que ta mère elle te voit excitée et mouiller.
- Et arrêtes de parler si mal ! Tu me fais honte.
- Ca je le sais que t'as honte maman, mais moi je sais que ce n'est pas à cause de
moi, c'est juste que tu crèves de jalousie et que t'es trop excitée pour oser le
reconnaître.
- Excitée par quoi ? Et que je sache ça ne fait pas si longtemps que ça que vous
sortez ensemble, et Isa a avoué que tu étais le premier, tu crois vraiment que
Marie a vu un tel spectacle auparavant ? Et tu crois vraiment qu'il y en a
beaucoup des jeunes porcs comme toi ?
- Ben je sais pas moi, hein Marie ? C'est la première fois que vous voyez votre fille
entrain de gémir et de prendre son pied ?
- Je te prenais pour un gentil garçon, sensé et sensible, je crois que je me suis
lourdement trompée.
- Pourquoi ça ? Dites, il faudrait vous mettre d'accord toutes les deux, il faut dire la
vérité ou mentir ? Il faut être naturel ou refouler nos pulsions ? Vous n'arrêtez
pas de dire des trucs mais quand on applique ce que vous dites on est des
méchants…
- Tu n'appliques rien du tout, tu détournes nos propos, tu n'entends que ce qui
t'arrange
- Ben moi je crois plutôt que j'entends tout et aussi ce qui vous dérange maman…
- Justin pourquoi te montres- tu si agressif avec ta mère ?
- Parce qu'elle capte pas que vous avez déjà fais des trucs avec votre fille et que
vous voudriez bien qu'on aille plus loin. Elle aussi elle pense la même chose, j'en
suis sûr, je parie que si on y regarde de plus près elle a trempé sa culotte mais elle
a tellement de préjugés qu'elle le reconnaîtra jamais. Vous voulez que je vous
dises, Isa et moi on est sûrs que vous rêvez toutes les deux de faire des trucs
ensembles mais vous êtes tellement coincées par vos règle à la con que vous
'avez jamais osé vous le dire.
- JUSTIN !
- …
- Vous voulez qu'on joue au jeu de la vérité ? OK… Oui j'ai déjà pensé à ma mère
quand je me paluche et oui, faire miauler Isa devant ma mère c'est un kiffe
d'enfer. Et vous ?
- Heu…
- Et bien qui Marie ? Vous n'avez jamais eu envie de bouffer le minou de ma
mère ?
- JUSTIN !
- Ben laisse- la répondre…
- Oui, je l'avoue, ça te va ? Mais ta mère sait déjà que j'aime autant les femmes
que les hommes. Et ce n'est pas parce que j'ai déjà fantasmé sur ta mère que ça
veut dire que je vais lui sauter dessus.
- Ok, et toi maman ? Dis moi que t'a jamais pensé à téter les nichons de ta copine…
- Justin ! Tu…
- Tu ne réponds pas…
- Je n'ai pas à le faire, mais qu'est- ce que tu crois… que tu
- Je crois juste que t'as trop honte de tes désirs pour les avouer sainement et de
toute façon vu comme tu réagis je crois que la réponse est évidente…
- Non !
- Ce n'est pas grave Hélène… Comme je l'ai dit…
- Ouai, ouai… comme vous l'avez dit c'est parce que vous en crevez d'envie que
vous allez sauter le pas et vous donner du bon temps toutes les deux et que vous
allez rester comme deux gourdes à vous regarder dans le blanc des yeux.
- Et tu voudrais quoi Justin, que ta mère et moi on se désape et qu'on vous offre un
show à se rouler par terre pour satisfaire ta petite libido de gamin shooté aux
hormones ?
- Très franchement, allez dans sa chambre si vous préférez. Oui ça me ferait trop
kiffer de vous voir vous gouiner mais tant que vous prenez votre pied, et surtout
toi maman, le reste je m'en carre grave.
- Je…
- Justin c'est…
- Ho hé arrêtez, vous voulez faire croire à qui que vous en mourrez pas d'envie, ça
fait deux minutes que j'astique le clito d'Isa et aucune de vous deux n'a encore dit
quoi que ce soit. Si ça vous dérangeais autant on serait plus sur le canapé depuis
un moment… hein mon bébé…
- Mmmmmmmmh
- Isa s'il te plait…
- Désolée maman mais… nnnnnngh… il fait ça trop bien… presque aussi bien que
toiiiiiiiiii……
- Pardon ?!?
- Ayez ? Tu commence à capter 'man ?
- Marie… tu… Tu as déjà eu des rapports sexuels avec ta fille ?!?
- Oui Hélène… je suis désolée de n'en avoir pas parlé mais… enfin comprends moi…
c'est un crime aux yeux de la loi, mais je te promets que jamais elle n'a été forcée,
c'est elle qui m'a léchée et doigtée la première. Mon seul tort et de n'avoir pas dit
non de suite…
- Et je suppose que Bernard aussi il s'est occupé de ta fille…
- C'est arrivé, oui, une ou deux fois… Mais… tu voulais que je fasse quoi quand elle
est montée sur son sexe et s'est empalée toute seule dessus ?
- Tu n'avais qu'à…
- Qu'à quoi maman ? T'as fait quoi toi hier hein ? Quand papa étais sur le fauteuil
et que j'avais mes doigts dans ta chatte ?
- Je n'ai jamais voulu ce qui est arrivé ! Tu m'as forcée ! Tu as profité de…
- J'ai profité de quoi quand papa s'est réveillé et que tu as posé ta main sur ma
queue pour pas qu'il voit que je bande ? C'est moi qui te l'ai ordonné ? Je t'ai
faites chantée ? Non, tu l'as fait toute seule et tu n'as pas enlever ta main quand
t'as sentie que je me frotté dedans…
- Tais- toi ! Comment oses- tu devant…
- Devant qui maman ? Vous partagez les mêmes envies mais vous avez toujours été
trop connes pour vous l'avouer…
- Justin ! Mmmmmmmmph… s'te plait….
- Oui, désolée bébé, Scusez moi, j'ai pas le droit de dire que vous êtes conne, mais
avouez que vous y mettez pas du votre non plus !
- Tu ne comprends rien ! Tu…
- Je comprends rien ? Ben vas- y… montre nous comme tu n'es pas excitée, je ferme
les yeux si tu veux pas que je vois, mais je suis prêt à parier tout ce que tu veux
que tu mouilles comme une cochonne. C'est simple, si tu prouves que tu mouilles
pas, non seulement je laisse Isa tranquille ce soir mais ce jusqu'à ma majorité,
plus de filles, plus de sortie, que l'école et le sport. Je te le jure, montre- nous que
tu ne mouilles pas et je deviens le plus parfait des fils !
- Tu es un monstre !
- J'ai raison !
- Et alors ?!?
- Et alors ? Ben vas- y, me prends pas la tête et laisse toi aller. Perso entre le
jardinier et Marie, il y a pas photo, même papa il pourrait rien dire s'il savait que
tu avais couché avec Marie, ptet même que ça pourrait le réveiller s'il vous voyez
toutes les deux…
- Justin tu exagères… j'exagères rien du tout, vous rêvez de pouvoir vous caresser
pour jouir en même temps que votre fille et vous n'osez même pas rêver que ma
mère vous le fasse.
- Quand bien même ce n'est pas une raison pour être si agressif avec ta mère.
- Ok, ben écoutez vous faites ce que vous voulez… mais moi j'ai pas l'intention de
gâcher ma soirée parce que ma mère est trop prude pour enfin se laisser aller…
- Justin, veux- tu te rhabiller !
- Isa… qu'est- ce que tu fais ?
- Non 'man… Y en a marre des détours, si c'est à nous de vous montrer le chemin,
ben y a pas de blème…
- Maman… Puisqu'elle le sait maintenant, j'ai trop envie… si tu veux je te lèche
pendant qu'il me baise…
- JUSTIN !
- ISABELLE !
Peine perdu… Mon Salop de fils est déjà derrière sa garce de copine et sa langue
farfouille tout son arrière train. Marie est dans sous ses états, la pauvre, en fin de compte
elle devrait être la plus ouverte à ce genre d'expérience mais elle a cet air hébété, sa bouche
ouverte, comme si tout son monde venait de voler en éclat. Et moi ? Moi je suis assise,
penchée en avant, me demandant si je dois quitter la pièce, me jeter sur mon fils pour lui
apprendre ce qu'une faible femme peut faire ou… Et puis zut ! Non… Et puis merde ! Ils
veulent du spectacle, ils veulent se rouler dans la fange, ok… mais qu'ils ne comptent pas sur
moi pour rester dans mon coin. J'en ai marre ! Marre ! Marre !
Elle ne comprend rien mon amie, plus rien du tout. Et oui Marie, c'est bien moi qui
m'approche de toi et prend ta main. Laissons à leurs ébats de gamin, tu as des choses à
m'apprendre. Nous n'arriverons pas à leur faire entendre raison. Alors viens mon amie,
montons à l'étage et dans ma chambre tu m'expliqueras tout ce que jusque là tu m'as caché.
Ne dis rien… regardes moi, oui je suis toujours ton amie, mais… mais ce petit con qui
me sert de fils a raison. Tu en as envie et j'en ai envie. Alors pendant qu'ils sont occupés en
bas montre- moi. Oui voilà, retire ton chemisier. Laisse- moi caresser cette poitrine qui m'a
toujours impressionnée, attirée. Qu'elle est douce, qu'elle est ferme aussi. Laisse mon le
dégrafé ce soutien- gorge qui te comprime. Ho mon Dieu, qu'elle est belle, que tu es belle.
Qu'ils sont lourds et pourtant si sensibles. Déjà tes tétons se rebiffent contre me doigts et ta
respiration se fait plus rauque.
Oui, chuuuuut… Laisse- moi faire, j'ai tant à découvrir. Je suis si… excitée. Ta fille m'a
initiée aux plaisirs féminins mais toi, toi tu es une femme. Mes doigts ne se lassent pas de
courir sur ta peau, de suivre les contours de tes aréoles. Elles sont si larges, si
attendrissantes quand, comme ça, elles se fripent d'excitation. Mmmmmh…. Et leur goût,
sucré et salé à la fois. Mais tu transpires, tu transpires d'impatience, de désir. Ho oui laisse-
moi les sucer encore, laisse- moi lécher toute ta poitrine. M'amuser avec chacun de tes seins,
de tes nichons. Mmmmh… quel régale, comment je peux autant m'enflammer alors que je
tète les nichons de ma meilleure amie. Ta respiration, tes halètements me rendent folle. Et
ton goût, ton parfum, un vrai aphrodisiaque.
Comment ai- je pu me retenir jusque là, ma langue ne se rassasie pas de tes seins. J'en
veux encore, j'en veux plus. Ho ouiiiii… ton ventre, ton ventre rond, ton ventre lourd. Ce
bourrelet qui ceint ta taille d'un tendre coussin. Cette chaleur, quelle extraordinaire chaleur.
Je sens la vie, je sens l'envie. Je te sens te contracter quand ma langue joue avec ton
nombril, je te sens frémir quand je l'avale et le suce. Et comme tu frissonnes dès que mes
lèvres effleurent la lisière de ta culotte. Je te croyais effrontée et impudique, je te découvre
chatouilleuse et troublée à chaque nouvelle parcelle de peau que j'atteins.
Non laisse le encore, ce dernière rempart qui te préserve. Laisse- moi te guider sur le
lit, laisse- moi découvrir ces cuisses comme j'ai pu me repaître de ton ventre. Ces masses
rondes et laiteuses m'enserrent, m'emprisonnent. Je me perds en elles, me prélasse. Jusqu'à
tes pieds je te dévore, je te mange. Quelle étrange sensation que de retourner ton regard
alors que je suce chacun de tes orteils. Ton sourire, ma chaleur… Ho Mon Dieu. Laisse- moi
t'embrasser, longuement et fougueusement, tendrement et timidement. Nous langues
emmêlées, nos corps pressés. Non ne retiens pas mon visage, je n'en ai pas fini avec toi.
Non, je ne briserai notre baiser que pour t'en donner un autre, sur d'autres lèvres.
Où est- donc cette assurance, Marie, maintenant que tu caches ton visage alors que je
te débarrasse de ta culotte. Elle est où cette expérience si supérieur maintenant que tu
resserre tes cuisses pour me cacher cette intimité presque imberbe. Laisse- moi les retrouver
du bout de ma langue dardée, laisse- moi te questionner sur cette bouche qui suinte ton
désir. Hooooo mon amie, quel est donc ce feu qui me consume, cette fièvre moi qui n'est
jamais osé poser un oeil sur une autre femme. C'est qui cette chienne à quatre pattes entre
tes cuisses qui te lape, te lèche, étend sa bave sur ton pubis et ton entre- jambe ? Qui est
cette femme qui emplit la chambre des bruits mouillés de sa langue fouillant ta fente ?
Que m'as- tu fait Marie ? Comment m'as- tu transformée en cette furie qui frotte son
visage sur toute cette part de toi que je n'ai jamais pu croiser du regard ? Tes sécrétions
couvre tout mon visage, voile ma raison. Je te mange, je te bois, je m'enivre à ta source.
Chacune de tes réaction me guide, me dis où je dois allez, ce que je dois faire. Ton corps
m'explique ce que tu aimes, ce que tu veux. J'en oublie la connaissance de mon corps de
femme pour tout apprendre du tien.
Nous ne sommes plus que gémissements, soupires, râles. Au bout de ma langue tu te
contracte et te laisse aller. Je m'enfonce dans ton antre, revient sur ton clitoris. Je te baise
de ce sexe sorti de ma bouche et te caresse ensuite. Tu montes plus haut, tu montes plus
fort. De tes cuisses à ton pubis, partout j'enfouis mon visage, mon nez, ma langue. Partout je
me frotte et m'insinue jusqu'à me délecter du parfum acre du sillon serré de tes fesses. Que
j'aime ces gémissements quand, enfin j'appuie sur ce point qui te fait réagir. Que c'est bon
d'oublier mes tabous futiles, maintenant qu'il n'existe plus que ton plaisir et le mien. Je
m'acharne sur toi, je m'entête. Je veux te faire exploser, je veux te faire jouir. Je veux te
montrer que je suis capable de m'abandonner et t'emmener là où j'ai toujours eu peur
d'aller.
Je suis une femme, une mère, une amie, et je te fais crier, hurler ton plaisir. Tu m'as
emmenée dans cette parenthèse étrange de ma vie si ordonnée pour que je prenne le temps
de te donner un plaisir que je n'ai jamais reçu. Je t'entends me dire combien tu m'aimes. Je
t'entends me remercier, t'excuser. Et à contre coeur je quitte les parfums de ton intimité
pour t'embrasser de nouveau et partager cette union que j'imaginais contre nature. Tes
mains se pressent pour, à mon tour, me déshabiller. Nos langues ne se quittent plus pendant
que un à un mes vêtements glissent, s'envolent. J'ai l'impression d'être une enfant contre ce
corps si chaud, si fort comparé au mien. Nos bouches collées, nos seins unis, nos ventre qui
se cherchent, nos intimités détrempées, nos jambes emmêlées. Nous ne formons plus
qu'une, une fusion de nos corps, de nos désirs. Nous sommes une liane folle qui s'enroule
autour de sa soeur. Tu t'agrippe, je me contracte, tu t'agites, je me fonds, tu te frottes, je
coulisse.
Tes mains me pressent contre ton corps, j'ai envie d'être en toi, que nos corps
fusionne. Que ton baiser est sucré, sauvage. Tu me pétris, me malaxes. Tes jambes me
retiennent, tes lèvres m'emprisonnent. Tes yeux cherchent mon regard et, enfin, j'ose ce
contact immoral. Tu me fais l'amour, nos corps s'agitent, nos corps s'imbriquent. Un même
mouvement nous anime et nous fait rouler l'une contre l'autre, l'une dans l'autre.
Je suis en feu, qu'es- tu entrain de me faire mon amie ? Je brûle, aucune autre façon
de le dire, entre mes jambes est né un brasier qui enflamme maintenant tout mon corps. De
mon ventre, de nouvelles sensations irradient et me soulève. Toi sur moi, moi sur toi, nous
roulons sans fin comme dans un près magique aux fleurs de jouissance. Tes mains me
guident, me contrôlent. Je n'ai plus de raison, plus de volonté. Tu as fait de moi un jouet. Je
croyais initier quelque chose de nouveau mais me voilà élève et toi ma maîtresse.
Ce que ta fille m'avait fait entrevoir tu me le fait maintenant pleinement éprouver. Si
elle avait pour elle le parfum de la jeunesse, de l'interdit, de la découverte. Tu as, toi, la
fureur et la force du plaisir fougueux qui m'emmène plus haut, toujours plus haut. Mon
amie, mon amante, mon amour, tous ces mots je te les livre entre mes soupires et mes
gémissements. Ta main s'immisce entre nos corps et s'enfonce à la source de ce feu étrange.
Entre tes doigts tu recueilles mon clitoris et je plante mes mains dans ton dos. Tu me
pénètre sans pudeur, sans gêne, et je mords ton épaule. A ton tour tu t'acharnes, tu
combats mes dernières résistances instinctives et je crie ce plaisir incroyable qui s'empare de
mon être.
Tu ralentis pour me laisser savourer chacune de ces nouvelles sensations mais tes
caresses expertes m'emportent vers cette explosion que je désire plus que tout. Couverte de
tes mains, de ta bouche, de ta peau, je n'ai plus de force, plus aucune résistance et je me
laisse enlever vers ce paradis dissolu qu'une autre femme, toi mon amie, m'offre sans
réserve. Ma tête roule en tous sens et dans un dernier moment lucide j'aperçois mon fils,
mon enfant nos contempler. J'aperçois le doux regard de ta fille, ce même regard fiévreux
qui m'avait hypnotisé.
Regarde- moi Justin ! Regarde- Moi mon fils ! Regarde ta mère consumée par le plaisir
inavouable qu'une autre femme me donne. Entends comme je grogne, entends que je
pleure. Tu m'as, peu à peu, amenée à me livrer sans plus de retenue. Alors regarde la, ta
mère, qui s'arque- boute pour plus encore s'empaler sur ces doigts qui me baise ! Regarde- la,
cette femme qui t'a portée dans son ventre et maintenant s'agite sous les caresses de son
amie. Regarde- moi ! Regarde- moi jouir, regarde- moi comme je ne suis plus rien si ce n'est la somme fantastique des plaisirs honteux. Hooooo mon fils… mon Justin… je… t'aime.
- Chuuuuut… tout va bien Hélène. Tu t'es effondrée et tu as dormi une bonne
heure.
- Ho mon Dieu… et… Justin, je l'ai vu quand…
- Il est en bas avec Isabelle, ils regardent la télé. Tu lui as fait peur, il ne pensait pas
qu'une femme puisse avoir un tel orgasme et j'avoue que, même moi, tu m'as
étonnée. Je ne te savais pas si… fougueuse dans le sexe.
- Hoooo Mon Dieu… je me sens si…
- Si reposée ?
- Oui… aussi… mais…
- Mais le reste n'a pas d'importance, oublie ces restes de préjugés qui
t'encombrent.
- Facile à dire… Comment est- ce que j'ai pu me laisser aller comme ça devant mon
fils ?
- C'est lui qui a tout fait pour que t'y arrives, prends le plutôt comme un cadeau
qu'il t'aurait fait.
- C'est toi qui m'as offert ce cadeau.
- Tu m'en as fait un très joli aussi ma belle, je ne t'aurais jamais crû si bonne
amante tu sais…
- Merci Marie mais…
- Chuuuuut… prends le temps de te reposer, tu as beaucoup de choses à remettre
en ordre dans ton esprit je suppose. Ce n'est pas facile d'accepter le sexe
homosexuel quand on l'a toujours vu comme une déviance.
- S'il ne s'agissait que de sexe, Marie, je saurais comment le gérer. Je n'ai jamais eu
de problème à digérer mon aventure avec Alain, le paysagiste.
- Oui mais là c'est avec une autre femme, ton amie qui plus est.
- Là il ne s'agit pas que de sexe. J'ai baisé avec Alain mais toi, à toi je t'ai fait
l'amour, et cela faisait si longtemps avec Pierre….
- Hoooo ma belle, tu es vraiment incroyable tu sais. Tu t'es toujours montrée
réservée, réfléchie, et t'entendre maintenant parler ainsi est un tantinet
déroutant.
- Je t'ai choquée ? Désolée, je n'aurais pas dû…
- Chuuuuut… Ho si tu as bien fait ma belle. Je n'avais juste pas osé espérer une telle
chose, c'est tout. Mais dors maintenant, je vais m'occuper des enfants.
- Tu es sûre ?
- Oui, t'avoir vu jouir comme ça, a eu plus d'effet sur ton fils que la pire des
corrections. Alors ne t'inquiète pas. Dors et repose- toi, je resterai près de toi.

A suivre....

Histoire du net. Auteur: Malice. Justin... Fin

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Ou tout se déchaîne.... Puis s'enchaîne... 
Et devient évidence... 
Cauchemar ou presque…
Fin
Chapitre VI
Rhoooooo dégage le soleil ! Sors de ma chambre ! Laisse- moi encore un peu dormir à
l'abri dans mes rêves. Bonjour Marie, bonjour mon amie. Quelle étrange situation, me
réveiller dans le lit conjugal à tes côtés. Vraiment bizarre. Et ce tendre baiser, si doux, si
plaisant. J'ai presque l'impression de vraiment trompé Pierre maintenant. Pourtant je suis
certaine que dans sa certitude machiste il me tuerait pour le jardinier et me demanderai de
regarder pour toutes les deux. Je ne lui ai pourtant pas dis « je t'aime » au jardinier. Je ne l'ai
pourtant pas embrassé ce substitut phallique.
Ben voyons, mon fils et Isabelle qui nous apportent le petit déjeuner au lit. Ca n'a pas
dû lui arriver depuis qu'il avait huit ans. S'il te plait Marie, ta main, pas devant… ho et puis
si... Excuses- moi ma chérie, après tout c'est ce qu'il a voulu, alors qu'il se le prenne en pleine
figure maintenant ! Et oui fiston, j'ai bien vu que tes yeux se bloquaient sur la bosse sous le
drap, Marie a bien sa main sur mon pubis, ça te gêne ? TAMPIS POUR TOI !
Toi, par contre Isa, ton sourire est radieux. Comme si tu avais réussi à avoir une
espèce de couple dont tu rêvais. Tu le voulais vraiment de nous voir, ta mère et moi, dans le
même lit, un dimanche matin, dans une espèce de famille improbable.
- Ca fait plaisir de te voir aussi radieuse maman…
- Tu me trouves radieuse ?
- Oui, et plus reposée que jamais.
- C'est ce que tu voulais Justin ? Vraiment ?
- Plus ou moins, oui.
- Et bien pourquoi as- tu l'air si gêné dans ce cas ?
- Pour rien… juste l'impression de retrouver la sensation d'empiéter sur un
territoire intime et un peu interdis comme quand j'étais enfant et que je venais
vous retrouver, toi et papa.
- Ca fait un bail que tu n'es pas venu nous apporter le petit déjeuner au lit…
- Vous êtes toujours levé aux aurores maintenant.
- C'est vrai… D'un autre côté je te ferai signaler que tu es toujours un enfant.
- Si tu le dis… je ne suis pas certain qu'Isabelle partage ton point de vue mais…
- Isabelle est aussi une enfant, n'est- ce pas Marie ?
- Oui, tout à fait.
- Alors disons que nous sommes des enfants qui ont réussi à t'apprendre ta liberté
d'adulte.
- Liberté ?
- Oui, la liberté d'être à nouveau une femme, et pas juste au foyer. La liberté
d'accepter et assouvir tes pulsions. La liberté de ne plus voir le monde avec tes
oeillères, tes préjugés, mais comme il est réellement.
- Parce que tu crois que c'est la réalité normale de venir porter le petit déjeuner à
ta mère et son amante ?
- Amie… ton amie maman, et tu as eu une relation sexuelle avec ton amie parce
que tu en éprouvais le désir. Ca ne t'empêche pas d'aimer papa ou moi, mais au
moins tu ne seras plus en manque…
- Manque… tu parles comme s'il s'agissait d'une drogue ou d'un besoin essentiel.
On peut vivre sans sexe, tu sais Justin ?
- Survivre maman, vivre c'est autre chose. Maintenant tu vis, hier soir tu vivais
quand tu as crié de plaisir.
- Peut- être… mais que crois- tu que ton père penserait de tout ça ? Excuses moi
Marie mais il faut dire que c'est un peu nouveau et, surtout, étrange comme
situation.
- Ce n'est rien Hélène, tu as toujours été assez franche et directe. Et puis tu as
raison, il est bon de savoir où on en est et si ton fiston compte tenir sa langue ou
non.
- Je tiendrai ma langue ! Je ne suis pas une balance !
- Pourtant tu ne t'es pas gêné pour me faire chanter…
- C'était pour ton bien ma chère petite maman…
- Que pour le mien ? Fais- moi rire !
- Aussi pour le tien, c'est vrai… Mais tu avoueras que le résultat n'est pas si mal.
- Je ne juge pas les résultats, juste les moyens.
- Disons qu'il me faut encore apprendre dans ce domaine…
- Ben voyons, c'est bien le moment de jouer les gentils garçons.
- Mais je suis tout prêt à apprendre maman…
- A apprendre ? Apprendre quoi ?
- Tout.
- Tout quoi ?
- Tout sur tous les sujets… je ne pense pas qu'au cul tu sais ?
- Ho ? Vraiment ?
- Ha ha ha… très drôle… Mais toi aussi, il te reste des choses à apprendre…
- Comme ?
- Comme le fait que tu te caches sous le drap alors que Marie ne semble pas plus
gênée que ça de se redresser pour boire son café.
- La pudeur n'est pas vraiment en cause tu sais mon chéri… mais comment veux- tu
que je ne sois pas impressionnée par une poitrine comme la sienne quand tu vois
la mienne…
- Hoooo… dis pas ça ma belle, elle est trop jolie ta poitrine.
- Oui moi aussi j'adore vos seins Hélène, vous ne devriez pas en avoir honte…
- Tu vois maman… tout le monde est d'accord…
- Ben voyons, je suis surtout entourée d'une bande de voyeurs !
- Pas faux…
- Et alors ?
- Tssssssss…
- Haaaa tu vois maman ? C'est pas mieux ?
- Pour qui ?
- Pour vous Hélène, on aurait dit que vous alliez vous étrangler avec votre café…
- Et puis si ta te déplaisais tu n'aurais pas les bouts qui pointent…
- Tu sais fiston il va falloir que tu apprennes à interpréter certains signes. Les tétons
qui pointent peuvent être le signe d'un courant d'air, d'une excitation, mais aussi
d'une gêne, d'une tension, d'un vêtement qui frotte… en gros de tout un tas de
chose comme quand tu te réveilles…
- Et que j'ai la gaule… oui je sais, mais avoue que d'exhiber ta poitrine et avoir la
main de Marie sur ton minou peut aussi créer une certaine excitation non ?
- Touchée…
- Ma main te gêne ma belle ?
- Non… Du tout.
- Et vous Marie ? Contente que j'aie pu faire changer ma mère ?
- En un sens oui mais je suis bien d'accord avec ta mère, les moyens étaient
ignobles. Je sais très bien que tu penses que je suis une sorte d'objet sexuel, de
traînée qui passe son temps à coucher avec d'autres hommes et femmes et qui,
en plus, ne se gêne pas pour impliquer sa fille dans sa libido débordante. Mais tu
te trompes du tout au tout…
- J'avoue que j'y suis allé un peu fort mais de votre côté avouez que vous êtes
plutôt du genre libertine et vous rêviez de vous taper ma mère.
- Libertine ? Cela fait plus de trois ans que nous n'avons pas fait de soirée avec
d'autre couple, Bernard et moi. Quant à ma fille, t'a- t- elle expliqué que ça n'est
arrivé que trois fois entre nous et qu'à chaque fois c'est elle qui fait le premier
pas. Ca ne m'excuse pas, tu as raison, mais rien n'est arrivé de plus qu'une
stimulation mutuelle et m'a fille ne m'a amenée à jouir qu'une seule fois, et
encore, elle n'était qu'à côté de moi pendant que je me caressais moi- même.
- Et Bernard ? Hein ?
- Bernard n'a, à ma connaissance, jamais vraiment fait l'amour à Isabelle, je ne
pense même pas qu'il l'a touché réellement.
- Il l'a fait maman, une fois, la fois où vous aviez pris un apéro un peu trop corsé…
- Oui, je me souviens de cette fois là…
- Par contre maman a raison, papa n'a jamais couché avec moi…
- Et ta virginité alors ?
- Le vibromasseur de maman avec Virginie, la fille de terminale qui m'a donné des
cours en math…
- Quoi ? Cette garce qui faisait du charme à ton père ? Mais tu avais…
- Tout juste onze ans maman… Mais j'en avais vraiment envie, elle ne m'a pas
forcée.
- Bon… De toute façon ce qui est fait…
- Est fait, et je vous fais toute mes excuses Marie, j'ai un peu trop crû les rumeurs
malgré ce que me disait Isa.
- Oui, je le suppose, au moins si ça peut t'éviter de propager des rumeurs à ton
tour.
- Attends Isabelle, je te fais un peu de place.
- Merci Hélène. Plus confortable avec un oreiller dans le dos… hihi…
- Et moi ?
- Toi tu restes où tu es, au pied du lit… Tu as voulu que j'accepte mon côté bisexuel
alors maintenant tu vas devoir accepter la solidarité féminine.
- Ben tiens… manquait plus que ça…
- Nan, nan, nan… Tu restes au pied du lit c'est comme ça…
- Pfffffffff… En tous cas Marie vous pouvez pas dire que vous appréciez le résultat
même si mes moyens n'ont pas été très honnêtes.
- Pas très honnêtes ? C'est le moins que l'on puisse dire. Quant aux résultats, si tu
parles de la nuit avec ta maman alors oui, j'avoue que c'était quelque chose sur
lequel je fantasmais depuis un certain temps. Par contre, le fait de me retrouver
au lit avec deux enfants qui sont bourrés d'hormones… ça je ne suis pas certaine
de vraiment y être préparée.
- Bah, vous n'avez qu'à prendre ça comme un bonus… hihihi…
- Bonus ? Je crois t'avoir déjà dis que je n'ai jamais fait l'amour avec des gamins. Il y
a quand même certaines choses que ma morale m'interdis, vois- tu.
- Pourtant vous êtes à poil devant moi et ça ne vous dérange pas plus que ça…
- La nudité n'a pas un rapport directe avec la sexualité, as- tu envie de toutes les
filles à moitié nue sur la plage pendant l'été ?
- Toutes non, mais un gros paquet quand même !
- Tsssssssss… Un vrai ado gouverné par ses testicules.
- Et alors ?
- Et alors ? Disons que je ne suis pas sûre de vraiment vouloir continuer cette
conversation, surtout si ça doit te mettre dans cet état…
- Hey j'ai devant moi trois belles femmes… Je serais pas normal si je bandais pas. Et
puis vous devriez changer d'avis sur les jeunes, à ce qu'il parait on a plus de
ressources que les vieux…
- Merci de t'en inquiété mais je n'ai jamais eu à me plaindre des ressources de
Bernard, et puis, vois- tu, j'ai bien peur que la taille de ton sexe ne puisse satisfaire
une femme comme moi…
- Ouch… cassé… A ce qu'il parait c'est pas la taille qui compte…
- Oui mais il faut quand même un minimum…
- Double cassé ! Hey… Z'êtes pas cool au réveil…
- Tu n'as qu'à pas exhiber ta petite quéquette devant moi si tu ne veux pas que je
fasse des remarques dessus.
- Je suis désolé Marie, je ne voulais pas "l'exhiber" comme vous dîtes mais j'ai du
mal à me contrôler, vous avez vraiment des nichons trop beaux… Et puis vous
pouvez prendre un air offusqué, je vois bien qu'il n'y a pas que votre main sur le
minou de ma mère.
- Oups…
- Isabelle ? Et bien ma fille, tu es bien délurée en ce moment…
- Ben tu sais maman c'est difficile de rester à côté d'Hélène et ne pas me souvenir
de… heu…
- De?
- Rien maman, oublie…
- Vous avez déjà fait l'amour toutes les deux ?!?
- Oui, Marie… Je suis désolée mais la semaine dernière j'étais sous le choc de ce
qu'avait fait et dit Justin et ta fille s'est montrée, pour le moins, persuasive.
- Quoi ? Tu es venue te taper ma mère pendant que je dormais ?
- Oui Juju… j'avais trop envie… Et j'ai pas regretté… c'était ma première fois, je
veux dire pour de bon, avec une femme…
- Et bien Hélène, j'ai du mal à y croire… Toi et ma fille ? Toi et une enfant ? Tu
caches bien ton jeu…
Ca n'est pas ce que tu crois Marie, j'étais encore sous le choc et… ce n'est pas
qu'elle m'ait forcé mais elle ne m'a pas laissé vraiment le choix non plus.
- C'est vrai Isabelle ?
- Oui, mais c'était juste pour commencer, j'avais pas encore massé ses jambes
qu'elle mouillait comme une folle… un peu comme maintenant…
- ISA !
- Isabelle ! Hoooooo… S'il te plait !
- Maman, je t'en prie… Je suis comme toi, j'aime aussi les filles. Pas que Juju,
j'adore ta queue et hier tu m'as fait avoir un vrai orgasme du tonnerre dans le
salon… Mais j'avais trop envie de goûter au minou d'Hélène… Avec Virginie,
c'était pas pareil, c'est elle qui menait la danse. Là c'est moi qui contrôlais et
c'était vraiment trop top.
- Et tu as aimé maman ? Je veux dire… vraiment ?
- Heu… oui… oui… c'était vraiment très particulier…
- Moi qui croyais être ta première partenaire femme…
- Et moi alors ? J'ai jamais imaginé que je partageais ma copine avec ma mère !
- Ho hé c'est bon hein ! Tu voulais que ta mère se libère sexuellement, ben je me
suis dit que je pouvais aussi participer, c'est tout…
- Et si je peux me permettre, ça n'a été qu'une fois, une sorte d'accident…
- Accident ? Et dire que je n'osais pas toucher ma fille de peur de trop la perturber
et c'est toi qui lui a fait l'amour pour la première fois. Vu comme elle en parle
c'était pas juste du sexe…
- Disons que ça a été une sorte de révélation, je l'avoue mais rien à voir avec toi
Marie…
- Je ne veux pas de comparaison et je ne t'en veux pas, rassure- toi… C'est juste que
j'aurais juste voulu le savoir, pouvoir le partager, avec toi ma fille et toi mon
amie…
- Pardon maman… Je sais mais… Enfin c'était si…
- Intime… Je sais… Et je sais à quel point Hélène est une amante particulière…
- Mmmmmh… Dîtes… Si vous pouviez éviter de me toucher vous deux… C'est pas
que mais…
- Mais ? Tu as l'air d'effectivement aimer ma belle…
- Oui mais…
- Mmmmh… et vous avez vraiment très bon goût Hélène…
- Mais mon… hooooooo…
- Au lieu de la goûter que sur tes doigts ma puce tu veux…
- Ho oui maman… ho oui !
- Mais qu'est- ce que… Mais non… mon… Hoooooooo
- Je ne savais pas que tu aimé autant les caresse orales Isa… Tu ne cesseras pas de
m'étonner…
- Mmmmmm…. Mmmmmmffff….
- Mais arrêtez… mon fils…
- Justin a déjà vu ta poitrine Hélène…
- Mais… mais pas… Pas… Nnnnnnnnngh…
- Mais si je t'ai déjà vue entrain de jouir. Cette nuit maman, je t'ai vu cette nuit…
- Hooooo… Justin… S'il te plait…
- Quoi maman ? C'est ma copine entre tes jambes à te faire un broute- minou alors
tu crois pas que j'ai au moins le droit de regarder ?
- Mais… mais…
- Chuuuuuut ma belle… embrasse- moi… laisse- toi faire… J'aime tellement ta
langue.
- Mmmmmmh… mmmmmmmh
- Tu vois maman, tu vois que tu le voulais… Tu vois…
- Nnnnnngh….
- Tu peux dire ce que tu veux sur ce que j'ai fait mais en tous cas, une chose est
sûre, tu as plus découvert de trucs ces derniers temps que les dernières années à
vouloir jouer les femmes au foyer pudibondes…
- Mmmmmh… NNNNNNNNGH…
- Le téléphone sonne… Je reviens
- C'était papa, il voulait te dire qu'il ne viendra pas pour manger à midi. Bernard et
lui vont à un match de foot. J'ai dû dire que j'avais des devoirs à faire pour ne pas
aller avec eux mais je ne voulais pas louper ça…
- Quoi ? Tu n'as jamais fais un 69 Justin ?
- Ho si Marie mais je n'ai jamais vu deux femme en faire un, encore moins ma
propre mère…
- Mmmmmmmh…. mmmmmfffff
- Et tu aimes la voir me lécher ? Tu aimes la voir comme ça ?
- Pour ça oui ! Et puis vous avez un putain de cul Marie… Vous êtes trop bonne
vous aussi…
- Merci Justin… mmmmmh ouiiiii Hélène… ouiiiiiiiii… Wow Isa, tu es vraiment plus
délurée que je ne le pensais ma fille… Je ne savais pas que tu aimais lécher cet
endroit aussi…
- Mmmmh ho si tu savais maman… Et puis j'adore enfoncer ma langue ou mon
doigt dans son ptit trou du cul… Elle se contracte à chaque fois et se détend pour
m'avaler encore plus en elle…
- Nnnnnnnnnnngh…. MMmmmmmmfffff…
- Et vu comme elle s'acharne sur mon clito, elle apprécie vraiment… ho ouiiiii…
lààààààà
- Elle aime ça aussi Isa… Hein bébé… Tu aimes quand je mets mon doigt dans ton
cul comme ça hein ?
- Nnnnnnnngh… doucement Juju… oui… Hooo ouiiiiii….
- Ho ma fille… Tu es si belle… quand… tu…
- Oui… Vous êtes si belles quand vous vous embrassez toutes les deux… J'ai jamais
vu quelque chose d'aussi bandant !
- Hey… T'arrête pas Justin !
- Awwwwww Hélène… Hooo oui j'aime aussi quand on me lèche là…
- Attendez… Je vais m'occuper de vous aussi… Vous êtes toutes les deux sur la
chatte de ma mère… Pourquoi ne pas être à deux sur votre cul…
- Oui Juju… vas- y… branle le cul de ma mère, elle adore ça !
- Hoooo ouiiiiiiiii… Nnnnnnngh… Oui plus loin Justin… Enfonce ton doigt plus fort…
- Vous aimez vraiment ça hein ? Vous aimez qu'on vous perfore le cul…
- Nnnnnnnngh… Oui… Mets m'en deux ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
- Putain quel pied ! Vous avez vraiment un cul du tonnerre ! Oui maman, écarte- lui
bien les fesses… Mais… Qu'est- ce que tu fais maman ?
- Mmmmmh nooooon…. Ne t'arrête pas mon chéri… Continuer de m'enfoncer tes
doigts… hooooooooo….
- Maman… Tu crois vraiment que… Attends je l'enlève mon caleçon… Mmmmh
ouiiiiiiii… hooooooo… comment papa il peut avoir renoncé à ça… hooooo… Ma
mère me suce… Ma mère suce ma putain de bite… J'y crois paaaaas…
- Ne t'arrête pas Isa… Fais la jouir pendant qu'elle suce son fils… Ils attendent ça
depuis si longtemps on dirait…
- Mmmmmh… Nnnnnnngh…
- Chuuuuuut Hélène… Ne t'inquiètes pas pour moi… Occupe- toi de ton fils… Moi je
vais m'occuper de ma fille…
- Ho ouiiiii mamaaaaaaan… Lèches moi la chatte… ouiiiii làààà… Putain t'es pas
comme Justin… Nnnnnnngh… ho mammmmaaaaan…. J'ai jamais eu deux doigts
dans ma chatte à part les miens… tu fais ça troooooooop bieeeeeeen
- Maman ! Nooon… pas mes… hoooooo… ho oui bouffe moi les couilles maman…
oui comme ça…
- MAMAN ! Hooooooo… Tu… Tu… TU vas me faire… ho ouiiiiiiiiii… ho putain !
Noooon… non !... ouiiiiiiiii… tes doigts dans mon cul… ouiiiiiii… Arrêtes… arrêtes…
j'en peux plus… OUIiiiiii… ho noooon… plus…. Plus… hooooooooooooooooooo
- Hey… elle… elle…
- Ce n'est rien Justin… Il faut juste la laisser retrouver son souffle, elle n'a jamais dû
être malmenée comme ça… Je t'apprendrai comment la faire jouir jusqu'au bout,
elle est jeune, elle peut jouir plusieurs fois les unes à la suites des autres avant de
s'effondrer comme ça…
- Hooooo… Je… Je vois mmmmmmh ouiiiiiii maman… Tu… tu es une reine !....
- Laisse- moi la faire jouir à son tour pendant qu'elle te suce…
- NNNNNNNNNGH….
- Oui ma belle… laisse- toi aller… Vas- y…
- Ho putain ! Ho putain ! Elle… Elle m'avale tout entier ! Ho putaiiiiiiin
- Là ma belle… Tu les sens bien mes doigts hein… Tu vas jouir ma belle…
- C'est trop booooooooon…
- Ouiiii… Comme ça Hélène… voilà…
- HOOOOOOOOOOO… Mamaaaaaaaaaan… je… je vais… haaaaaaaaaannn
- Mmmmmmmh….

Chapitre VII
Dimanche soir, nous sommes dimanche soir. Justin dans sa chambre finit ses devoirs
et Pierre a l'air rayonnant. Ce weekend aura fait du bien à tout le monde, on dirait. Il m'a
fallut du temps pour accepter que j'avais bien avalé le sperme de mon fils, que je l'avais
sucé. Et puis nous avons remis de l'ordre dans la maison et passé l'après midi à bronzer et à
nager. Il a bien fallut calmer les ardeurs des deux gamins mais il est hors de question de
renouveler cette expérience de si tôt. Hors de question que ça devienne une habitude cette
histoire là. Il y a une différence entre un accident, un moment d'oubli, et une histoire suivie.
Bon… Pierre est dans son fauteuil et pas à côté de moi mais il ne lit pas son journal
pour une fois. C'est peut- être une amélioration. S'il savait comme je peux avoir envie de lui.
Il ne s'est même pas aperçu que je ne porte rien sous ma robe. Autant son fils est un obsédé,
autant, lui, il est devenu un vrai moine. Enfin demain une nouvelle semaine, tout devrait
rentrer dans l'ordre maintenant. Oui mon amour, Justin est devenu un élève assidu, mais si
tu savais qu'il a rempli ma bouche de sa semence, que j'ai couché avec Marie et qu'on a
baisé tout ce matin avec deux gamins… Ho et puis après… personne de blesser si ce n'est
mon amour propre de ne plus pouvoir faire bander mon mari.
Et oui Justin, lundi soir et ce week-end semble être à des années de nous. Je prépare
le repas et ton père regarde les informations à la télé. En tous cas c'est sympa d'avoir son fils
pour donner un coup de main à la cuisine. Il se montre un peu collant mais je ne peux pas lui
en vouloir. Il est bien comme son père, il ne remarque rien ceci dit. Hé… Je trouve ça mignon
mais il ne faut pas abuser. Je veux bien me sentir coupable mais de là à me laisser me faire
tripoter par mon fils dans la cuisine, il y a une limite que je ne compte plus franchir.
Mais ils sont où ces verres, elle est gentille Isa mais si elle pouvait éviter de tout
déranger. JUSTIN ! Mais il est con ce gamin ! Son père est à côté et il met ses mains sur mes
fesses !
- Arrête s'il te plait… ton père est là…
Mais ce n'est pas vrai ! Il va arrêter oui… ho nooooooooon… Bon ben s'il n'avait pas
remarqué que je n'ai rien sous ma robe maintenant c'est fait. Et il en profite le salop !
Maiiiiiis ! Ha non ! Pas ça ! Mais il m'a enfoncé son doigt dans mon sexe ce con de gamin !
- Justin, ça me rappelle un peu trop ce que t'as fait à Isa pendant que j'étais sur le
canapé alors pour l'amour de Dieu, arrête.
- Un souci chérie ?
- Non Pierre, tout va bien… Je cherche les verres, impossible de mettre la main
dessus…
La main dessus ce n'est pas la main dessous Justin ! Mais il est con ce gamin ! Bon, il
faut me contrôler, ne pas faire de bruit sinon Pierre va péter une durite. On serait à moins
ceci dit, pendant qu'il regarde les infos sur le câble son fils trifouille l'intimité de sa mère.
Nnnnnnnnngh… Arrête ça de suite Justin, tu me fais mal ! Ho noooon… non, non, non pas
ça… Pas mon clito sale petit enfoiré. Comment l'obliger à s'arrêter alors que je mouille
comme une salope pendant qu'il s'acharne sur mon clito et m'enfonce deux doigts dans mon
conin. Il jubile l'enfoiré, il jubile. Je suis à sa merci.
Et si je me relève comme ça hein ? Et oui fiston il va falloir penser à grandir si tu veux
pouvoir me tripoter quand je suis debout. Héhé, tu ne fais plus rien, hein maintenant ? Ho tu
peux toujours passer tes mains sous ma jupe, tant que je suis comme ça contre le bar,
impossible de fureter entre mes jambes.
MAIS NON ! Justin ! C'est qui qu'il m'a foutu ce petit con ! Pourquoi faut- il qu'il soit
impossible alors qu'il peut être si mignon à d'autres moments… Je ne sais pas ce qu'il m'a
fichu mais c'est loin d'être agréable. Hooooooooo… J'y crois pas ! La plaquette de beurre sur
la table. Il a dû me mettre du beurre pour m'enfoncer ton son majeur dans mes fesses ! Bon
et bien tu l'auras voulu…
- Voilà ton verre chéri…
- Justin ? T'as l'air bizarre…
- Non ça va papa…
Il ne s'y attendait pas à celle- là le fiston. Mais il m'a eu à son tour. Je pensais qu'il
retournerait dans sa chambre, mais non, il préfère rester sur le canapé avec sa mère. Une
scène un peu trop commune maintenant. Son père dodeline de la tête, le nez dans son
journal alors que Justin tente comme il peut de glisser sa main sous mes fesses. Vérifier le
match sur l'autre chaîne pendant la pub ? Mais oui mon chéri. Mais quel con il peut faire lui
aussi. Je dois me lever pour prendre la télécommande et Justin n'a pas perdu de temps. Sa
main gauche s'est fourrée sous mes fesses et déjà son majeur appuie contre mon anus.
Hoooooooo… Je n'en peux plus. Deux doigts vont et viennent dans mon fondement
et Pierre ne s'aperçoit de rien. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas gémir. Et dire que je
n'ai jamais laissé Pierre me sodomiser. Je ne pensais pas que je pourrais autant éprouver de
plaisir ainsi stimulée. Nnnnnnngh… Aïe ! Non Justin, arrête… Trois doigts ça fait beaucoup là dedans ! Mmmmmffff… hoooooooo… Quel enfoiré ce gamin ! Il se régale de m'enfoncer ses doigts. Je dois me mettre un peu de côté et il ne s'est même pas rendu compte qu'en
frottant son visage comme ça j'ai ma nuisette presque en haut des cuisses.
Putain mais regarde Pierre ! Pour l'amour de Dieu ! J'ai presque mon minou à l'air et
je suis sur le point de jouir avec les doigts de ton fils dans mon trou du cul ! Et lui, il bande
comme un poney, il n'en peut plus. Je pourrais le sucer, là sur le canapé, que son père ne
verrait rien. Enfin la fin du film. Et pourquoi on le fait commencer à dix heures du matin dans
son collège, comme si je n'en avais pas assez avec le mardi et le weekend.
Mais oui mon chéri je m'en vais nous faire une tisane. Tu parles ! Il n'est pas gentil de
vouloir m'aider ton fils, il veut juste essayer de finir ce qu'il a commencé ! Et bien
évidemment que je suis obligée d'attendre que l'eau bout. Ho non Justin, mais ton père est
juste là, à quelques mètres sur son fauteuil alors retire tes mains de sous ma jupe. NON ! Ne
la remonte pas s'il te plair mais… mais qu'est- ce que… ho nooooooon… non pas çaaaaa ! Pas ton sexe dans mon… cul ! Ho nooooooooon… mais réveilles- toi Pierre ! Pendant que tu lis les nouvelles économiques ton fils m'encule !
Doucement ! Pas si fort ! Hooooooooo… Comment peut- il oser… Tout son sexe
s'enfonce en moi. Il n'est pas bien gros… heureusement mais… ho nooooooon… Il est tout en
moi ! DOUCEMENT ! Si tu t'agites comme un malheureux ton père nous verra… Ouiiiiiiiii… ho oui… Comme ça !... Nnnnnnnnnnngh… La première sodomie et c'est mon fils qui me l'offre…
Attends… attends… Voilà… Mais quelle traînée. La bite de mon fils va et vient lentement
dans mon cul pendant que je frotte mon clito… Non ! Non pas si vite ! Tu vas faire trop de
bruit ! Je… Je n'en peut plus… Mes jambes ! Elle ne me tiennent plus ! Il faut que je prenne
appuie… HAAAAN !
Putain que ça fait mal. Et ce con de Pierre qui me demande si tout va bien. Mais
n'écoute pas ton fils ! Non tout ne va pas bien ! Je ne cherche pas un truc qui a roulé sous le
buffet, j'ai la tête contre le sol, les fesses en l'air et ton fils enfonce sa petite bite dans mon
anus ! Comment je pourrais aller bien ?!? HO OUiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…. Nnnnnnnnnngh… Hannnn
Hannnn… Oui plus fort petit salaud… Baise mon cul, défonce moi ! Ho putain que c'est bon !
J'imagine la bite de Pierre à la place de celle de son fils, elle est tellement large… Elle me
ferait crier, hurler de plaisir.
NON JUSTIN ! Mais il est fou ! Dégrafe pas ma robe ! Nnnnnnnnnnngh… Il a de la
force quand il veut le gamin et un sacré coup de rein. Mais il se rend compte que j'ai les
seins à l'air maintenant ? Il s'en rend compte ? Je suis sa mère pour l'amour de Dieu ! Je suis
sa mère et je suis à quatre pattes, la robe froissée autour de ma taille, les seins à l'air qui se
balancent en rythme de ses va et vient dans mon cul. C'est ta mère que tu encules mon fils !
C'est ta mère que tu traites comme une chienne ! C'est ta mère qui recule fort ses fesses
contre ton pubis pour que tu t'enfonces plus loin encore !
Hoooooooo… C'est si booooooooon… Tu la sens ma main qui frotte ma chatte
dégoulinante ? Hein ? Tes sens mes doigts contre tes couilles ? Si tu m'entendais mon chéri,
si je pouvais te dire ce que je ressens ça te ferai tout lâcher dans mes boyaux petit salopard !
Si tu entendais ce que pense ta mère tu n'en croirais pas tes oreilles mon cher petit. Alors
VAS- Y ! DEFONCE- MOI MON PUTAIN DE CUL ! FOUS- MOI TA BITE JUSQU'AU FOND ! Ho ouiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Tu accélères, tu te tends et OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…VASYYYYYY ! Ouiiiiiiiiiii mon chéri déverse tout ton foutre dans le cul de ta mère… REMPLISMOI !!!! JE…. JE…. HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA…
NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!
- NON PAS CA ! PIERRE ! Ne me regarde pas Pierre ! Ne fais rien à notre fils ! Ce
n'est pas lui ! Ce n'est pas sa fauuuuuuuuuute…. Haaaaaaaaaan…. JE… C'est
MOI… Moi qui suis la fautiiiiive… hooooooo…. Nnnnnnnnnnnnnngh… HO MON
DIEUUUUUUUUUU !!! Ne me regarde pas !!! C'est… C'est un cauchemaaaaaar !!!!
- Chuuuuuut….

Epilogue
Je me suis évanouie. Pas que le plaisir m'est terrassée, mais de voir Pierre me fixer
alors que son fils enfonçait encore son pénis et sa semence dans mon arrière train m'a fait
comme disjonctée. A mon réveil j'étais dans ma chambre. Personne d'autre. Nue dans mon
lit. Aucun bruit dans le reste de la maison. J'étais terrifiée, je voulais savoir ce que Pierre
avait fait de notre fils. Quand j'ai voulu me lever, la douleur de ma récente première
sodomie m'a faite me contracter et dans le silence j'ai entendu la voix calme de mon mari
parler à mon fils. Je ne pouvais entendre ce qu'il lui disait mais la conversation avait l'air
amicale, paternelle.
Je me suis rendormie. Je ne savais pas comment tout ceci allait se régler. Je ne voyais
tout de même aucun dénouement joyeux pour moi. C'était peut- être la dernière nuit dans
cette maison. Je voulais m'endormir mais quand Pierre est venu se coucher j'étais toujours
éveillée. Je n'ai pas bougée, j'ai fait semblant de dormir et pour la première fois depuis bien
longtemps Pierre s'est penché vers moi pour embrasser mon épaule avant de s'endormir.
J'étais perdue, complètement perdue.
Samedi soir, les Bonerands sont venu passer la soirée à la maison. Marie, Bernard et
Isabelle, tous les trois sont enchantés de partager cette soirée avec nous. Marie et moi avons
passé un long moment sur la terrasse à profiter des derniers rayons de soleil. Quand l'air
devient un peu trop frais, nous rentrons et je reste plantée là.
Mon fils debout derrière le fauteuil balance ses hanches d'avant en arrière, savourant
la fellation qu'on lui prodigue. Je fais lentement le tour de la table basse et pendant que je
me dirige derrière mon fils je vois son père avaler son sexe de jeune garçon. Difficile
d'expliquer ce qu'une mère peut ressentir en découvrant son mari sucer goulument le sexe
de son fils. J'étais médusée, excitée, attendrie, un peu effrayée aussi, mal à l'aise.
Mon fils tel le petit homme qu'il devient a ses mains dans les cheveux frisés de son
père et lui intime la cadence de la caresse buccale. Marie s'approche de moi et passe sa
main autour de mes hanches. Sa main, un peu fraîche fait frissonner ma peau nue. Elle ne
s'attarde pas longtemps sur mon fils et son père. Son regard est rivé sur son mari qui
lentement enfonce son membre tendu dans les fesses de Pierre. Elle semble tout aussi
touchée que moi par ce spectacle.
Nous restons là, nue, l'une contre l'autre pendant que les trois hommes de nos vies
s'ébattent sous nos yeux. Pas que nos yeux d'ailleurs. Isabelle, elle non plus, ne perd pas une
miette de la scène. Assise sur le canapé, les jambes bien écartées, elle frotte son petit conin
rougit par tant d'attention et d'excitation. Elle a même son majeur fiché dans son petit
derrière, la garce. Justin la fixe pendant que son père avale tout son sexe dans sa bouche.
Mon fils m'invite à prendre place son mon mari et me voilà, échangeant un 69 avec
l'homme que j'ai juré de chérir toute ma vie, le symbole de la virilité pour moi, son épouse.
Je suce la queue de Pierre, la lèche. Je remonte tout le long de sa hampe pour venir glisser
sur la verge de Bernard qui s'enfonce de plus en plus fort dans l'anus de Pierre. Mon fils a
rejoint son père, à quatre pattes entre mes jambes pour couvrir toute mon intimité de leurs
langues fébriles. Marie s'approche de son époux, le caresse et le détourne de Pierre. Il
grogne quand ce gros pénis se retire de ses fesses.
Je suce ce pénis qui m'a tellement manqué. Je parcours chaque parcelle de
l'entrejambe de mon mari. J'attendais ce moment depuis si longtemps et ne peut retenir un
petit ricanement en me disant qu'il faut que ce soit sous le regard de nos amis que ça arrive.
Pierre et moi roulons. Je fouille chaque centimètre carré de son intimité de ma langue, de
mes lèvres. Son sexe butte contre le fond de ma gorge et je l'entends gémir de retrouver
ainsi l'emprisonnement de mes lèvres.
Je gémis à mon tour, redressée, tendue, quand mon fils enfonce son majeur et son
index dans mes fesses alors que son père agite son majeur dans mon vagin. Du coin de l'oeil
je vois Bernard assis sur notre canapé et Isabelle, à califourchon sur son père, descendre
lentement pour que sa mère guide l'énorme pénis à l'entrée de son conin d'enfant. Je reste
à regarder cette gamine s'empaler sur le sexe dressé de son papa et ne remarque pas
vraiment que Pierre change de position sous moi. Mon mari attire mon visage entre ses
mains et m'embrasse longuement pendant que son fils, imitant Marie, guide son pénis dans
mon vagin détrempé.
Mon fils, notre fils, notre fils chéri, caresse les testicules de son père pendant que je
m'empale lentement sur son membre. Isabelle et moi suivons le même rythme, accélérant
peu à peu nos va et vient. Alors que Marie s'est redressée pour caresser les petits seins de
son enfant, mon mari attrape mes hanches pour ralentir notre cadence. Je commence à
croire qu'il a peur de venir trop vite quand je sens un liquide frais couler entre mes fesses. Je
tourne mon visage mais mon mari me rattrape et m'embrasse fougueusement pendant que
les doigts de Justin étale le gel sur mon anus puis dedans. Quand c'est son pénis qui pousse
contre la corolle froncée de mon anus, je souffle longuement. Mon mari ne bouge plus, il
laisse son fils le rejoindre dans le corps de sa mère.
Je crie, je hurle presque. Les deux hommes de ma vie vont et viennent profondément
en moi. Il m'a fallut un petit moment pour m'habituer à cette intrusion dans mes deux
orifices. Mais maintenant que les deux coulissent sans plus de retenue, je ne suis plus qu'une
poupée de chiffon secouée en tout sens par leurs assauts frénétiques. Seules les plaintes
aiguës d'Isabelle couvrent mes propres paroles. Je les invectives tous les deux. Je les veux
plus profond en moi, plus forts, plus fermes. Quand Isabelle se tétanise connaissant son
premier orgasme par un homme adulte je vois sa mère pleurer. Elle encourage son mari qui
avec l'agrément de sa fille se lève. La mère allonge sa fille et vient plaquer sa bouche contre
sa fentine alors que Bernard nous rejoint, son membre tout aussi dur que lorsqu'il s'est
retiré de mon mari.
Je comprends ce qu'ils souhaitent et embouche ce sexe dès qu'il est à ma portée. Un
pénis dans chacun de mes orifices il ne me faudra que peu de temps pour être ravagée par
un orgasme merveilleux. Justin a éjaculé dans mes intestins mais il lui faudra peu de temps
pour faire subir à Marie le même sort que le mien. C'est Isabelle par la suite qui subira les
assauts de mon fils et de son père combinés. La nuit est longue. Longue et pleine de
nouvelles expériences.
Dire que depuis un an mon mari assouvissait ce qu'il pensait être son homosexualité avec Bernard. Dire qu'il lui a fallut un an pour admettre qu'il ne devait plus avoir honte. Un an pour qu'il soit surpris par son fils qui, sans l'ombre d'une hésitation, s'est joint à lui pour sucer le sexe de Bernard. Cela faisait deux mois que mes deux hommes partageaient les faveurs du mari de mon amie. Deux mois que mon amie était perdue, triste de ne pouvoir me dire ce qui arrivait.
Cela fait presque un mois que mon fils, grâce à l'aide de mon mari, m'a surprise avec
le jardinier. Un mois qu'il a compris qu'il n'est pas homo. Un mois qu'il accepte sa bisexualité
et ne rêve que d'une chose : me prouver la mienne. Un mois de cauchemar. Une vie de rêve.
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