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Une scène d'un Cadinot est toujours une merveille de sexe...
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Mieux vaut un dessin qu'un discourt.
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Histoire du net. Auteur Inconnu A nos mamans...
Un superbe texte qui montre qu'en toute maman
peut aussi sommeiller une femme
Émotions d'un souvenir.J'avais un ami, Luc, avec qui je me rendais au lycée tous les jours. J'avais l'habitude d'aller chercher mon ami à son domicile tous les matins, il habitait très près de chez moi, et nous nous rendions ensemble au lycée. Cependant Luc avait la fâcheuse habitude d'être souvent en retard.
Aussi quand je me présentais à la porte de sa maison, c'était toujours sa mère, Chantal, qui venait m'ouvrir. Son père, routier, était absent la plupart du temps, ne rentrant chez lui qu'a la fin de la semaine seulement. Lorsqu'il lui arrivait d'avoir une journée de repos, il en profitait pour la passer en compagnie de son fils, qu'il amenait généralement à la pèche. Ce qui me déplaisait car cette journée là je me sentais abandonné et ne savais comment passé mon temps.
Lors de mes visites matinales, la mère de mon camarade se montrait toujours très gentille avec moi, me complimentant sur mes habits, ma coupe de cheveux, et même sur mes yeux bleus.
Chaque matin elle me recevait toujours vêtue du même peignoir vert olive, qui lui arrivait juste au-dessus des genoux. À quarante-cinq ans, elle avait l'âge de ma propre mère, Chantal était une très belle femme pour l'adolescent que j'étais. De souche italienne, elle possédait de soyeux cheveux noirs qui lui descendaient jusqu'aux épaules, de grands yeux vert irisés, une grande bouche aux lèvres charnues.
Et surtout, le plus important à mes yeux, elle possédait une poitrine fort ronde qui déformait le devant de son peignoir. Lorsqu'elle me tournait le dos pour me précéder jusqu'à la cuisine, je ne pouvais détacher mon regard de ses larges hanches qui mettaient en valeur sa croupe rebondie.
Chaque matin je m'arrangeais pour me présenter largement en avance, afin de demeurer quelques instants, seul avec la mère de mon ami. Au fil des jours je m'étais pris d'une véritable adoration pour cette femme si séduisante. Dans ces moments privilégiés, Chantal me parlait comme si j'étais un ami intime, se confiant aisément, comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Tout en l'écoutant d'une oreille attentive, je profitais des moindres mouvements qu'elle faisait, pour essayer de distinguer par l'ouverture de son peignoir, un coin de chair nue.
Parfois lors d'un geste un peu plus brusque qu'elle faisait, son vêtement s'ouvrait assez largement pour que je puisse entrevoir une bonne partie de ses seins. Quelques fois, plus rarement, c'était un peu de ses cuisses que je pouvais entrapercevoir, pour mon plus grand bonheur. Comme j'étais persuadé que la mère de mon ami ne portait aucun sous-vêtement sous son peignoir, je me sentais rougir comme une tomate chaque fois que le bas du vêtement s'écartait plus qu'il n'aurait dû.
J'éprouvais un réel plaisir à découvrir fugacement les merveilleux appas de la séduisante mère de Luc. Or au fil des jours, à surprendre, soit une partie des cuisses, soit le bombé d'un sein, il m'arrivait d'être victime d'une fâcheuse érection. Érection qui déformait de façon vraiment indiscrète le devant de mon pantalon, me procurant une effroyable gêne. Fine mouche, Chantal ne tarda pas à s'apercevoir du trouble qui m'habitait et de ce qui le créait. Ses discrets, mais appuyés coups d'œil en direction de cette protubérance qui m'embarrassait ne fit qu'accentuer mon embarras. Même si le regard qu'elle me lançait ensuite était plus amusé, qu'outré.
Pourtant, malgré mon innocence, je constatais avec un émoi certain, que plus les jours passaient, plus les incidents avec son peignoir se multipliaient ; celui-ci s'ouvrant de plus en plus largement et de plus en plus fréquemment.
Au fil des jours, je devins follement amoureux de la mère de mon ami. Aussi, chaque matin, sitôt mon petit déjeuner avalé, je m'empressais de me rendre chez mon ami Luc, sachant pertinemment que ce dernier serait, soit encore couché, soit sous la douche. Le cœur battant la chamade, je me faisais une joie de passer quelques instants en tête à tête avec Chantal, espérant au fond de moi, d'avoir l'occasion de découvrir encore un peu plus de ses appas affolants.
Un matin, alors que selon l'habitude, nous nous trouvions seuls à la cuisine, Luc faisant sa toilette, Chantal se plaignit qu'il fallait qu'elle fasse le lit et qu'elle range la chambre de son fils chaque matin. Aussitôt, afin de lui donner une bonne image de moi, je me vantais de faire mon lit moi-même tous les jours, et de ranger mes affaires avant de partir, ce qui n'était pas vraiment la réalité.
- C'est vrai ? s'exclama Chantal… Tu es vraiment un garçon parfait, ce n'est pas comme Luc… Tu ne veux pas m'aider à faire le lit de ton copain, pendant que monsieur se prélasse sous la douche ?
Évidement que je le voulais, espérant fortement que lors de cette tache je pourrais percevoir de nouveau quelques parties de ce corps féminin qui me faisait tant fantasmer.
Placé chacun d'un côté du lit de Luc, nous nous escrimâmes à tendres draps et couverture. Cependant, je ne tardais pas à me rendre compte que Chantal se penchait en avant plus souvent qu'il en était besoin. C'était soit pour tirer le drap, ou bien pour le défroisser longuement de la main, ou même pour retirer une poussière imaginaire.
La gorge sèche, je profitais au maximum de l'affolant spectacle qu'elle m'offrait alors. Par l'échancrure de son peignoir, dont les premiers boutons étaient défaits, je pouvais voir ses gros seins blancs, qu'aucun soutien-gorge ne comprimait, se balancer mollement. Par moment, je pouvais même apercevoir une partie de ses mamelons brun foncés.
Si cette vue me ravissait au delà de tout, elle m'excitait aussi terriblement. Très vite j'éprouvais un terrible embarras au niveau du bas-ventre. Sous les différentes visions des lourds appas mammaires, mon sexe s'était raidi et avait largement doublé de volume, formant une protubérance fort disgracieuse sur le devant de mon pantalon. Comme je tachais maladroitement de cacher cette excroissance indiscrète, Chantal surprit mon geste :
- Eh bien, que t'arrive-t-il me lança-t-elle en riant… On dirait que tu as quelques ennuis. Ce n'est quand même pas moi qui te met dans un tel état ?
- Je m'excuse, murmurais-je terriblement confus…
- Ce n'est pas grave, tu sais… C'est normal à ton âge… Tu me trouve si… séduisante ?
- Oh oui ! M'exclamais-je soudain rassuré.
- Tu es un amour ! Viens la que je t'embrasse !
Et comme pour me prouver qu'elle ne m'en voulait pas de mon indécente et inconvenante érection, Chantal m'enlaça tendrement, comme l'aurait fait une mère vis-à-vis de son fils. Mais, alors qu'elle déposait ses lèvres contre mes joues, dans un tendre baiser, je sentis avec émoi son bas-ventre se plaquer et onduler imperceptiblement contre ma virilité gonflée. Ce qui ne fit qu'aggraver un peu plus mon état. Mais avant que je ne puisse faire le moindre geste déplacé, ce que j'aurai bien été incapable, Chantal se recula précipitamment, m'abandonnant , moi et mon érection.
Me souriant tendrement devant mon embarras, Chantal me reconduisit jusqu'à la cuisine, où Luc nous attendait en grignotant une biscotte. Ce jour là, en me disant au revoir, la mère de mon ami me tendit la main que je m'empressais de serrer amoureusement. Chantal, elle me pressa les doigts avec insistance en me demandant :
- Demain matin, si tu veux tu peux venir plus tôt, on pourrais prendre un café ensemble… Luc n'en bois pas, et comme je déjeune toujours toute seule, ça me ferais plaisir d'avoir un invité, quand penses- tu ?
- Certainement m'empressais-je de répondre. Je viendrais plus tôt avec plaisir…
Luc enchaîna :
- Si tu acceptes de prendre un café avec ma mère, tu es condamné à le prendre tous les matins.
Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui répondre que cela ferait bien mon bonheur.
Le lendemain matin, qui était un mercredi, je me présentais une demi-heure plus tôt que j'en avais l'habitude. À peine dans le hall d'entrée, l'odeur du café me caressa agréablement les narines. Chantal, portant son éternel peignoir, m'accompagna jusqu'à la cuisine où elle me pria de m'asseoir à la table :
- Tu veux bien m'attendre quelques minutes ? me demanda-t-elle d'une voix suave. Le temps que le café passe. Je vais ranger ma chambre en attendant…
Moi qui était si heureux de me trouver en tête à tête avec cette femme si sensuelle, je ressentis une immense déception à l'idée de me retrouver seul. La chambre de Chantal se trouvait pratiquement en face de la cuisine, et immédiatement je remarquais que d'où j'étais j'avais une vue parfaite sur les activités de mon hôtesse.
Pour l'instant cette dernière avait entreprit de plier du linge sans faire attention à moi. Tout à sa tache, elle ne se rendait certainement pas compte que son peignoir par moment s'ouvrait d'une manière des plus indiscrète, suivant les mouvements qu'elle faisait. Le cœur battant à cent à l'heure, je ne manquais pas un des gestes et déplacements de Chantal.
La vision même fugace de ses gros seins qui ne voulaient pas rester à l'intérieur de son peignoir me rendait malade d'excitation.
A un moment donné, elle se présenta près de la porte, à environ deux mètres de moi, et afin de ramasser quelques vêtements qui traînaient à même le plancher elle s'accroupit face à moi. Les cuisses largement écartées, dans la position d'une femme qui urine, la mère de mon ami m'offrait sans s'en douter la vue de son sexe extrêmement poilu.
Dans mon slip soudain trop étroit, ma verge se redressa vigoureusement, sans que je ne puisse l'en empêcher. Je commençais à avoir très chaud et je devais avoir le visage cramoisi.
Au bout de cinq minutes, son rangement terminé, Chantal revint vers moi en replaçant son peignoir sur son corps sensuel que je convoitais de plus en plus.
- Voila, j'ai fini, me lança-t-elle. Tu ne t'es pas trop ennuyé, tout seul ? me demanda-t-elle en affichant un large sourire qui me parut plein de promesses.
Une fois le café servi dans les tasses, Chantal s'installa à mes cotés devant la table de bois cirée. Tout en tenant ma tasse fumante, je lorgnais en douce du coté de ses cuisses dont la rondeur provoquait un écartement du peignoir, jusqu'à quelques centimètres de son entrejambe.
Mais au moment de boire son café, la mère de Luc s'aperçut qu'elle avait oublié les cuillères et le sucre sur le bahut. Voulant les attraper, sans se lever de sa chaise, elle étira le bras en direction des couverts. Dans ce geste, sa jambe droite suivit le mouvement de son tronc et s'écarta largement par rapport à la gauche. Je demeurais tétanisé par le spectacle qui s'offrit alors à mon regard. Le peignoir s'étant complètement ouvert au niveau du bas-ventre, j'eus sous les yeux le sexe abondamment poilu de la mère de mon ami.
Je sentis mes joues et tout mon visage s'empourprés. Je demeurais sans voix, la bouche soudainement asséchée. Découvrant la fixité de mon regard en direction de son entrecuisse, Chantal me murmura d'une voix chaude :
- Elles te plaisent tant que ça mes cuisses ?
Je n'osais lui avouer que ce qui me plaisait surtout, était placé plus particulièrement entre ses cuisses. Je n'osais même pas la regarder dans les yeux. Comme elle n'avait pas fait un geste pour refermer son peignoir et reprendre une tenue plus correcte, je ne pouvais détacher mon regard de l'épaisse touffe noire qui lui couvrait le bas-ventre.
- Je ne pensais pas qu'à mon âge je pouvais intéresser un beau jeune comme toi, me murmura-t-elle d'une voix extrêmement douce.
C'est le moment que choisit Luc pour sortir de la salle de bain. Chantal referma alors vivement son peignoir, me privant du spectacle affolant de son affolante fourrure. Avant que son fils nous rejoigne dans la cuisine, elle me murmura tout bas :
- Demain c'est le jour de repos de mon mari. Il va amener Luc à la pêche. Ils vont partirent à cinq heure du matin, si tu n'as rien à faire, tu peux venir me tenir compagnie. Tu peux même venir prendre ton café avec moi. Puis après tu feras ce que tu veux !!
Je m'empressais pour répondre que j'étais d'accord. Je ne pouvais laisser échapper une telle occasion de me trouver enfin vraiment seul avec cette femme si désirable et qui m'avait déjà tant offert.
- Tu sais, je ne veux pas te gâcher ta journée, si tu as autre chose à faire ne sois pas gêné pour le dire, insista Chantal d'un ton qui sonnait faux.
- Non, non, demain je n'ai rien à faire me hâtais-je de répondre. Je viendrais prendre le café avec vous.
Je vidais ma tasse au moment où Luc s'approchait de la cuisine. Je me levai avec regret de ma chaise pour me diriger vers la sortie en bavardant avec mon ami. Chantal nous suivit jusqu'à la porte. Pendant que Luc plaçait ses livres dans son sac, me faisant face, je lançais un regard discret en direction de sa mère. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine.
Chantal, qui n'était pas dans le champ de vision de son fils, avait prestement écarté le bas de son peignoir, m'offrant fugitivement la vision de ses deux cuisses nues. Je me sentis rougir encore une fois à un point que Luc s'exclama :
- Tu es tout rouge ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
- C'est le café qui m'a donné chaud je crois.
Cette réponse fit rire Chantal qui me fixait du regard avec insistance. Il était clair que cette femme me montrait volontairement son corps, cela devait l'exciter au plus haut point et moi je l'encourageais par mon côté voyeur.
Le lendemain matin vers huit heure je me présentais chez mon ami Luc, que je savais être absent. Chantal m'accueillit toute souriante. Refermant la porte derrière moi, elle s'approcha pour me faire une bise sur la joue, je pensais déjà à la suite de la matinée. Surpris je constatais qu'elle portait ce matin une chemise de nuit bien fermée jusqu'au cou et assez longue ; mais qui se gonflait généreusement au niveau de son opulente poitrine. Une fois arrivée à la cuisine elle me dit :
- Je ne t'attendais pas si tôt, le café n'est pas prêt.
- Je m'excuse, bafouillais-je, déçu. Je ne veux pas vous déranger, je peux revenir plus tard.
- Mais non, reste.Je dois t'avouer que je sui s bien heureuse que tu sois venu à cette heure-ci, c'est moi qui n'ai pas pensé préparer le café, mais on a tout notre temps ; Assied-toi je vais te laisser quelques minutes, je vais me changer ; Ce n'est pas correct de recevoir un jeune homme en chemise de nuit ; Alors ne bouge pas, je reviens…
M'abandonnant, la mère de mon ami Luc se dirigea en direction de sa chambre. Je m'empressais de m'installer à la place que j'occupais la veille, sachant qu'à cet endroit je pourrais suivre les activités de mon hôtesse. Un côté de la chambre où était entrée Chantal était caché par un mur et c'est dans ce recoin qu'elle se plaça pour se changer, à ma grande déception. Heureusement pour moi, face à ce recoin où s'était isolée la mère de mon ami, se trouvait une armoire dotée d'un immense miroir. Ce dernier me renvoya les moindres gestes de mon hôtesse.
C'est ainsi que je pus voir Chantal retirer sa chemise de nuit. Entièrement nue, elle me tournait le dos. Je pus très facilement admirer ses fesses rondes et dodues, séparées en leur centre par la profonde raie, ses cuisses bien et ses jambes un peu fortes mais très bien faites.
Elle avait le bas des reins très cambré, ce qui mettait en valeur la rondeur de sa croupe. Je trouvais cela très extrêmement excitant, et je na tardais pas à ressentir une phénoménale érection. Semblant complètement ignorer ma présence, Chantal prit le temps de plier sa chemise de nuit avant d'enfiler son éternel peignoir. Pour accomplir ce geste elle pivota sur elle-même, faisant ainsi face au miroir. Je la découvris alors dans son intégrale nudité.
Ses seins volumineux, avec leurs gros bouts rouges presque bruns, tombaient mollement sur son torse étroit, semblable à deux outres auxquelles j'aurai aimé m'accrocher. Son ventre légèrement rebondi s'ornait d'un épais triangle de poils noirs, que j'avais pu découvrir la veille.
Je sentis mon visage s'irradier, mon sang me monter à la tête et m'incendier les joues. Les battements de mon cœur se ressentaient dans ma tête comme des coups de marteaux. Lorsque enfin Chantal sortit de sa chambre en serrant la ceinture de son peignoir autour de sa taille, elle s'aperçut immédiatement de mon émoi.
Mon visage devait tiré sur le violet et comme je portais un short assez court, elle n'eut aucune peine à constater que j'étais en proie à une fabuleuse érection.
Me fixant avec un large sourire, elle me lança :
- Bon, on va prendre un bon café... J'ai l'impression que tu en as rudement besoin.
- Tu sais, je te trouve très gentil. Et tu me plais beaucoup, ajouta-t-elle au bout d'un moment de silence.
- Moi aussi je vous trouve sympathique et, aussi très jolie, parvins-je à articuler, la bouche sèche.
- C'est vrai ? Tu me trouves jolie ? Tu es vraiment adorable !
Le café étant prêt, ma séduisante hôtesse, se pencha pour remplir ma tasse, me dispensant de répondre. Son peignoir n'étant pas complètement fermé, s'écarta légèrement, me permettant de contempler ses deux grosses mamelles laiteuses. Ignorant l'objet de ma curiosité, Chantal continuait de me parler de chose et d'autres. Se rendant compte soudain de l'intérêt que je portais à sa poitrine, la mère de Luc me sourit gentiment et me demanda :
- Tu as une petite amie ?
- Non… Je… Je n'ose pas approcher les filles, avouais-je gêné.
- Et Luc ? A-t-il, lui une petite copine ?
- Je ne sais pas… je ne crois pas !
Je ne pouvais lui avouer que son fils, contrairement à moi, était plus particulièrement attiré par les garçons. J'en avais fait l'expérience lors d'une après-midi passé dans sa chambre. Luc avait tenu à me montrer des revues pornos qu'il avait dénichées je ne sais où. J'avais été étonné de constater qu'il y en avait un certain nombre montrant uniquement des garçons se caressant.
Evidemment nous étions terriblement excités à contempler tous ces corps nus se procurant du plaisir, et Luc ne tarda pas à frotter sa main le long de sa braguette. Victime moi-même d'érection, je ne tardais pas à imiter mon ami.
Luc, plus excité que moi, avait vivement déboutonné son pantalon et repousser son slip, pour libérer sa virilité tendu et sans se soucier de ma présence, il entreprit de se masturber vivement. Puisque mon ami me montrait l'exemple, je l'imitais et nous nous trouvâmes tout les deux à nous branler de concert. J'avais bien remarqué que mon compagnon fixait mon sexe bandé avec insistance, mais je n'y apportais pas d'intérêt particulier. Pas plus d'ailleurs lorsque Luc me proposa de nous branler simultanément. J'avais accepté, plus par curiosité que par réel désir. Assis l'un en face de l'autre, nous nous sommes alors masturbé en cadence, moi branlant la queue de Luc, alors que celui-ci en faisait de même avec ma verge.
Je dois avouer qu'à ce moment là j'y prenais un certain plaisir. Luc avait une façon bien particulière de presser mon gland, me procurant un élancement voluptueux dans toute ma verge. C'était beaucoup plus suave que lorsque je me masturbais en solitaire, le soir dans mon lit.
Pas habitué à me faire ainsi branler par une main étrangère, qu'elle soit masculine ou féminine, je sentis la jouissance monter depuis mes couilles jusqu'à ma verge sur le point d'exploser. Je tins alors à prévenir mon ami de l'imminence de mon éjaculation.
La réaction de Luc me surprit énormément. Mon ami se pencha vivement sur mon bas-ventre pour saisir dans sa bouche ma virilité sur le point d'exploser. Le mouvement avait été si prompte, que je ne pus repousser le visage de Luc, mais le voulais-je vraiment ? Lorsque les lèvres de mon ami coulissèrent le long da ma queue, à la place de ses doigts, une douce béatitude m'envahit. Je savais que ce que nous faisions n'était pas bien, que j'aurais dû repousser mon trop entreprenant camarade, mais c'était la première fois qu'une bouche s'activait ainsi autour de mon gland.
Le plaisir devenait de plus en plus intense et dans un violent soubresaut de tout mon être, sans que je ne puisse me contrôler, je déchargeais ma semence au fond du gosier de mon camarade. Cette éjaculation dépassait en ivresse toutes celles que j'avais connues lors de mes masturbations solitaires.
Mais lorsque Luc me demanda de lui en faire autant, je refusais nettement, éprouvant un certain dégoût pour ce genre d'attouchement. Je le fis quand même jouir d'une main rapide. Là s'arrêta notre complicité sexuelle, mais pas notre amitié. Je savais que Luc continuait à s'adonner à ce genre de pratique, avec des garçons plus jeunes que lui.
- Alain !
La voix de Chantal me tira de mes songes.
- A quoi pensais-tu ? Je te disais que je pourrais peut-être t'aider à te guérir de ta timidité ! Qu'en penses-tu ?
- Je veux bien m'empressais-je de répondre, tout heureux de l'aubaine.
Déplaçant alors sa chaise, Chantal vint s'asseoir face à moi. Ses cuisses, qu'elle tenait assez écartées, provoquaient un écartement important de son peignoir. Ses genoux se trouvaient à trente centimètres des miens.
Comme je baissais mon regard en direction des cuisses dévoilées, Chantal, dans un mouvement naturel croisa puis décroisa ses jambes dans un large mouvement, ce qui m'offrait une vision plus indiscrète de son entrecuisse. Je commençais vraiment à transpirer et à rougir.
Extrêmement troublé j'avais du mal à avaler ma salive. Je me sentais réellement mal à l'aise, et je remarquais bien vite que Chantal se rendait compte de mon tourment et semblait prendre du plaisir à me voir dans cet état.
- Tu veux un biscuit avec ton café, me demanda-t-elle mettant ainsi un terme à mon émoi.
Avant que j'aie pu répondre, elle se leva pour aller chercher la confiserie promise. Comme elle tentait de passer derrière moi, et que l'espace entre moi et le buffet était restreint, je tentais de me lever pour lui laisser le passage. Mais aussitôt Chantal m'appuya sur les épaules de ses deux mains m'obligeant à me rasseoir :
- Reste assis. Je suis capable de passer, je ne suis quand même pas si grosse !
Comme elle s'approchait de moi, une folle idée me traversa l'esprit. Je laissais mon bras dépasser nonchalamment de la chaise sur laquelle j'étais assis, raccourcissant le passage déjà fort étroit.
Lorsque la mère de mon ami, malgré l'étroitesse de l'accès, passa dans mon dos, je sentis ses cuisses se frotter sur mon coude. Elles me semblèrent extrêmement fermes. J'attendis son retour avec impatience, le cœur battant. Lorsqu'elle revint, le paquet de biscuits à la main, mon coude accrocha le bord de son peignoir, l'écartant largement.
Aussitôt je sentis la douceur de sa cuisse sur mon bras nu. Me laissant guider par mes sens en ébullitions, je remontais mon bras. Mon coude se trouva automatiquement au beau milieu des deux cuisses chaudes et veloutées de mon hôtesse, la pointe enfoncée dans ses poils pubiens. Etonné, je sentis un liquide chaud, mouiller mon avant-bras, alors que Chantal poussait un étrange gémissement.
Nous restâmes immobiles quelques secondes. Etonné par mon audace, je n'osais faire un geste, m'attendant à un reproche mérité de mon hôtesse. Ce qui se passa alors me laissa sans réactions. Le visage empourpré, la mère de Luc me saisit brusquement le visage pour poser sa bouche brûlante sur la mienne. J'avais le cœur dans la gorge. Je ne résistais pas lorsque sa langue agile força mes lèvres à s'écarter, pour s'infiltrer entre mes dents, et finalement s'enfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parut étonnamment fine et humide vint frôler mon palais, me procurant un étrange plaisir. D'abord surpris par ce baiser encore inconnu pour moi, je me laissais faire, passif.
Mais au bout d'une minute ou deux, Chantal cessa son baiser pour se reculer :
- Tu n'as jamais embrassé de filles ? Me demanda-t-elle.
- Non… Avouais-je timidement.
- Je suis la première ? Continua-t-elle en me fixant d'un air extasié.
- Ou… oui…
Ma sensuelle hôtesse me couva d'un regard plein de tendresse :
- Toi aussi, tu dois enfoncer ta langue dans ma bouche, me conseilla-t-elle… Allez essayes !
Cette fois, c'est avec énormément de douceur que Chantal se saisit de mes lèvres. Même sa langue qui tenta de rencontrer la mienne, s'agita dans ma bouche avec délicatesse. En bon élève, je tentais cette fois de suivre les conseils de mon initiatrice.
Je m'appliquais à imiter les mouvements de l'organe féminin qui frétillait dans ma bouche. Peu à peu, je pris une certaine assurance. J'arrivais à infiltrer ma langue dans la bouche féminine, me régalant de la salive sucrée de mon initiatrice.
- C'est bien, me félicita Chantal en reculant son visage. Maintenant à toi de commencer. Il faudra bien un jour que tu embrasses une fille…
Comme la mère de Luc, me regardait en souriant, attendant que je prenne l'initiative de ce baiser, je collais mes lèvres aux siennes et tentais de mettre en pratique ce qu'elle m'avait enseigné. Le fait de fouiller de ma langue la bouche parfumée de la femme passive, me donna un sentiment d'assurance.
Comme Chantal me laissait œuvrer à ma guise, j'osais alors avancer une main dans l'ouverture de son peignoir, pour me saisir d'un sein. Un trouble intense m’envahis en sentant sous mes doigts cette chair si douce et extrêmement moelleuse, que j'entrepris de malaxer maladroitement.
Je réussis à saisir un téton étonnamment raide entre mes doigts, qu'aussitôt je pinçais doucement. Il était dur et certainement sensible, car sous cette pression, Chantal poussa un petit gémissement.
Jamais je n'avais bandé aussi fort. J'avais l'impression que ma verge allait jaillir de mon short. Soudain Chantal échappa à mes attouchements. Le visage aussi congestionné que le mien, elle me tira à elle pour me forcer à me lever de ma chaise. Une fois debout l'un contre l'autre, ma sensuelle hôtesse repoussa les pans de son peignoir et s'emparant de mes deux mains, elle les posa sur ses magnifiques seins à la peau si soyeuse.
- Caresse mes seins, gémit-elle.
Je m'exécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien les tétons étaient durs et énormes. Nous haletions tous les deux. L'excitation était à son comble.
- Ho oui !... gémissait Chantal en pressant fiévreusement mes mains contre ses seins gonflés… C'est bien mon chéri… Continue comme ça !
Soudain, alors que je venais accidentellement de pincer plus fortement l'un des boutons de chair durci, Chantal se jeta sur ma bouche pour m'embrasser fougueusement. Tout en me fouillant presque rageusement l'intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur la bosse que faisait mon membre viril gonflé.
Avec passion elle me caressa par-dessus le tissu de mon short. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Chantal me regarda dans les yeux :
- Tu veux, que je t'apprenne comment un homme doit se conduire avec une femme ?
Comme si j'allais refuser une telle offre. Je n'avais pas lâcher les lourdes mamelles que je continuais à presser des mes dix doigts. Se reculant pour échapper à mes attouchements, Chantal me repoussa, me forçant à m'asseoir sur ma chaise.
- Je suppose que tu n'as jamais vu de femme nue ? Alors regarde, me dit-elle.
Continuant à me fixer d'un drôle de regard, la mère de mon ami fit deux pas en arrière et dénoua la ceinture de son peignoir, qu'elle retira lentement, faisant encore grimper mon excitation.
Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce merveilleux corps féminin si proche de moi. La mère de Luc n'était peut-être pas un canon, mais pour moi, qui n'avait jamais vu de femme nue, elle m'apparut merveilleusement belle, dans sa plénitude de femme mure.
Me faisant face, Chantal entreprit de se caresser les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Presque machinalement je posais une main sur ma verge gonflée que je pressais avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, ma sensuelle hôtesse approcha sa chaise pour y déposer son pied droit.
Sa cuisse largement écartée m'offrit une vue parfaite sur son sexe broussailleux. Démêlant les abondantes bouclettes de sa toison, elle écarta les grandes lèvres qui s'y cachaient à l'aide de ses doigts, pour me montrer sa vulve rose et luisante.
Subitement, comme pris d'une ferveur païenne, je tombais à genoux aux pieds mon initiatrice. Se trompant sur mon geste, Chantal me demanda d'une voix soudain changée.
- Tu veux embrasser mon minou ?
Je savais par ouïe dire que ce genre de baiser se pratiquait entre amants, mais jamais évidemment je ne l'avais pratiqué moi-même. Je ne savais pas vraiment comment je devais m'y prendre. Heureusement pour moi, Chantal ayant décidée de faire mon éducation, m'agrippa la tête et poussa mon visage contre sa vulve extrêmement poilue.
- Embrasse là, me commanda-t-elle d'une voix hachée.
Timidement, je posais alors ma bouche contre les lèvres humides du sexe féminin. Une odeur étrangement épicée, me monta aux narines. C'était la première fois que je voyais un sexe féminin de si près. Même si j'avais follement rêvé d'un moment pareil en contemplant certaines photos érotiques, je me trouvais totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m'y prendre. Heureusement pour moi, Chantal me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente, elle m'encouragea d'une voix rauque :
- Embrasse ma petite chatte, mon chéri… Je l'ai parfumé pour toi ce matin…
Mes lèvres baignaient dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lançais à l'eau. Timidement, je commençais à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.
- Oui, c'est bien, m'encouragea Chantal… Lèche-là… Enfonce ta langue à l'intérieur…
Ne voulant pas passer pour un idiot, je m'exécutai, tachant de faire de mon mieux. Je promenais ma langue à l'intérieur de cette faille humide, l'enfonçant légèrement à l'intérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Chantal commença à s'agiter au dessus de moi, frottant sa chatte trempée contre mes lèvres. Puis, sans que je comprenne son geste, elle m'agrippa la tête de ses deux mains, m'immobilisant contre son sexe poilu.
Alors, comme prise de frénésie, elle agita son bas-ventre d'avant en arrière, frottant avec fougue la totalité de sa fente contre ma bouche et mon menton. Je ne tardais pas à me rendre compte que son sexe était de plus en plus dégoulinant de sécrétion au goût bizarre. Le jus brûlant qui s'échappait abondamment de la vulve de ma compagne, me poissait le bas du visage.
Au moment où je me posais la question de savoir ce que je devais faire, Chantal cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Je restais prisonnier de ses cuisses tétanisées qu'elle avait resserrées autour de mon visage. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes, qu'elle me libéra enfin.
- C'était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire… Assied-toi !
La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s'était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, je me réinstallais sur ma chaise. Le sexe effroyablement bandé, j'éprouvais une vive curiosité quand à ce qui allait se passer.
Comme elle pivotait, afin de ramasser son peignoir à terre, Chantal me dévoila sa croupe agréablement rebondie. Deux blocs charnus, séparés en leur centre par la longue et mystérieuse raie des fesses. S'apercevant de l'intérêt que je portais à ses appas fessiers, Chantal me lança :
- Elles te plaisent mes fesses ?…
Comme je ne répondais pas, ne sachant pas vraiment comment lui dire mon admiration, la mère de Luc se cambra toute, faisant encore ressortir sa plantureuse croupe. Empoignant ses fesses de ses deux mains, elle entreprit de les caresser doucement en me fixant intensément.
Je devais avoir les yeux hors de la tête et le visage cramoisi, car Chantal me souriant d'un air moqueur, se pencha en avant en écartant largement ses jambes. Immédiatement mes yeux purent contempler son anus rose et les grandes lèvres de sa longue vulve. Courbée en avant, le crâne effleurant presque le sol, me fixant entre ses jambes largement écartées, Chantal lança ses deux mains entre ses cuisses afin d'écarter les bords ourlés de sa chatte broussailleuse.
J'eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de l'intérieur de sa vulve. Je mourais d'envie d'enfoncer mes doigts à l'intérieur de ce sexe féminin, de sentir les chairs palpitantes enserrer mes phalanges. Combien de doigts pourrais-je y enfoncer ? Ainsi maintenu écarté, la chatte broussailleuse me paraissait immense.
- Tu n'as pas envie d'enfoncer ta queue dans ma chatte ? Regarde tu serais bien à l'intérieur de mon ventre!…
N'attendant même pas ma réponse, qui de toute façon ne pouvait qu'être positive, Chantal se redressa et me saisissant la main elle m'entraîna dans le couloir qui desservait les chambres :
- Viens ! m'ordonna-t-elle d'une voix changée.
Me guidant par la main, la mère de mon ami m'entraîna jusqu'à sa chambre. Là, debout l'un en face l'un de l'autre, elle se colla à moi, frottant vicieusement son bas-ventre au pelage abondant contre la bosse que faisait mon membre gonflé. Ses lèvres s'emparèrent des miennes dans un baiser plein de fougue.
Ayant perdu toute timidité, je profitais de cet intermède pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, frôlant les larges hanches évasées, pétrissant les fesses rebondies, les écartant largement l'une de l'autre. Est-ce le fait de mes caresses, pourtant bien maladroites, Chantal, accrochée à mon cou, s'agita de plus en plus vivement contre mon corps. Son pubis dénudé écrasait douloureusement ma verge à l'étroit dans mon slip.
- Déshabille-toi, grogna soudain Chantal en se reculant.
Avec des gestes désordonnés, elle voulut m'aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes je me retrouvais aussi nu que le jour de ma naissance. Au bas de mon ventre, ma bite se dressait orgueilleusement, tandis qu'une douleur me tordait les entrailles.
Sans un mot, Chantal grimpa sur le lit conjugal où elle s'allongea sur le dos. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissait pas, elle écarta largement ses cuisses, me dévoilant son sexe abondamment poilu.
- Viens ! M'appela-t-elle. Viens entre mes jambes mon chéri. Je veux que tu prennes le temps de découvrir ma chatte, je veux que tu saches dans quoi tu vas enfoncer ta queue, tu vas voir, c'est très doux et chaud…
Tout en me parlant, elle avait écarté les longs poils qui me cachaient l'entré de son sanctuaire, et de ses deux mains elle ouvrit sa longue fente cramoisie. Du fait de ma position agenouillé entre ses cuisses, je pouvais contempler la magnifique vulve. Je remarquais à la brillance des parois internes qu'elle était excessivement humide.
À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles je découvrais une énorme excroissance rose, que je devinais être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l'avoir vraiment vu. J'étais terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m'offrait généreusement la mère de mon ami. Ecartant encore plus largement l'entré de son vagin, Chantal m'invita à la pénétrer d'une voix oppressée.
- Viens !... Mets-la moi !... Enfonce ta queue dan ma chatte, regarde je l'ouvre bien pour que tu puisse entrer dans mon ventre. Viens mon chéri ! Prends-moi !
Je n'en croyais pas mes yeux. Ce merveilleux sexe féminin m'était offert, était à ma disposition. Pressée de sentir mon membre dans son ventre, Chantal se saisit de ma bite pour diriger mon gland à l'entrée de sa faille sexuelle. Alors je me laissais aller et m'allongeais sur elle, m'appuyant sur mes coudes.
Avec une énorme émotion je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d'une extrême onctuosité. J'étais terriblement excité par cette situation.
C'était la première fois que j'enfonçais ma queue dans le sexe d'une femme. J'en avais tellement rêvé. Une fois mon membre enfoncé entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne. Alors que j'ondulais des hanches, afin d'investir au mieux la chatte brûlante, Chantal, sans que je comprenne pourquoi, se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.
J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde. Avec ivresse je fis coulisser mon dard dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes le long de ma verge. J'éprouvais un plaisir énorme.
- Plus vite ! Gémit soudain Chantal… Va plus vite mon chéri… Baise-moi bien à fond.
Puisqu'elle me le demandait, j'accélérai alors les mouvements de mes hanches. Les lents va-et-vient de mon membre viril à l'intérieur du vagin de Chantal devinrent de violents coups de boutoir qui me projetaient sauvagement dans la chatte incandescente.
Plus mes coups de reins se faisaient rageur, plus Chantal se cambrait en poussant de petits cris de plaisir. Haletante, elle s'accrochait à mon cou pour m'embrasser avec fougue. Nos langues se caressaient dans un bain de salive parfumé.
J'étais au paradis. Depuis le temps que je rêvais de faire l'amour à la mère de mon ami, mon fantasme s'était réalisé. La si sensuelle mère de Luc, m'appartenait enfin, je la possédais, elle était là, entièrement nue, impudique, dans mes bras.
Ma langue lui fouillait la bouche, pendant que ma queue lui pistonnait allègrement le vagin. Des gémissements, des râles s'échappaient de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s'arquait, s'offrait à la pénétration de ma bite. Ses doigts me griffaient le crâne, ses cuisses m'encerclaient nerveusement les hanches, son bas-ventre se projetait furieusement au devant de mes coups de boutoir. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je voyais et sentais ma queue entrer et sortir de cette forêt de poils noirs dans un bruit de clapotis terriblement excitant. Chantal avait fermé les yeux, comme pour mieux savourer les va-et-vient de mon membre dans son sexe ruisselant. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents qu'elle aimait ça, que je la rendais enfin heureuse.
- Oh oui !... C'est merveilleux !... Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre… Oh oui, baises-moi profondément… Défonce bien ma petite chatte… Elle est à toi…
Son souffle devint de plus en plus puissant et bruyant. Malgré mon innocence, je compris que mon initiatrice jouissait grâce à moi. Au début, devant les marques évidentes de jouissance, je pensais que Chantal me jouait la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver.
Mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que ma partenaire sexuelle ne jouait en aucun cas la comédie. Sa jouissance était bien réelle, et elle m'offrait son orgasme sans pudeur, sans retenue. Encouragé par ces différentes marques de plaisir, je baisais la mère de mon ami de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon gland congestionné. Sa chatte fouillée par mon dard dégoulinait d'un jus chaud et poisseux qui nous trempait les cuisses, avant de souiller les draps du lit.
Mais ayant présumé de ma résistance, je sentis le plaisir monter subitement en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais.
Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et à l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds. Je demeurais douloureusement cambré durant tout le temps de mon éjaculation. Sous l'inondation subite de son vagin par mon sperme, Chantal se raidit convulsivement en émettant un long râle déchirant.
Tout son corps se mit à trembler, comme pris de convulsions. Je découvrais là, ce qu'était un véritable orgasme féminin. Ça dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait de joie et de fierté.
Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire pendant plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits. Je n'avais pas retiré ma verge de la chatte devenue brûlante et dégoulinante d'un jus poisseux où se mêlaient intimement nos deux jouissances. Au bout de quelques minutes, Chantal ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
- Oh oui, répliquais-je comblé.
Chantal me sourit tendrement :
- Tu es sûr que c'est ta première expérience ?
- Oui, c'est la première fois.
- Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
M'attirant à elle, Chantal m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée.
Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant qu'elle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives, ce n'était pas propre. Comprenant mon émoi, Chantal tint à me rassurer :
- Tu sais, en amour, rien n'est sale… Ton sperme ou mon jus, mon foutre, comme certain l'appelle, sont des liquides savoureux… Regarde je vais sucer ta queue et crois moi, je vais me régaler.
Tout en étant ravi de l'initiative de Chantal, je ne pus m'empêcher de songer amusé, qu'elle s'apprêtait à me dispenser le même type d'attouchement que son fils m'avait offert un certain après-midi. Joignant le geste à la parole, ma sensuelle partenaire se mit à me sucer la verge avec ardeur. Si bien qu'en un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force qu'avant mon éjaculation. Je n'en revenais pas.
D'habitude, lorsque je me branlais, le matin dans mon lit, il suffisait que je me fasse jouir et j'étais tranquille pour la journée. Or sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que me procurait Chantal, mon sexe s'était durci de nouveau, dix minutes après qu'il eut déchargé sa réserve de sperme.
Profitant que ma sensuelle partenaire était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me sucer d'une bouche experte, je tendais le bras pour pouvoir lui caresser les fesses. Avec ferveur, je pétris les masses charnues, les malaxant fiévreusement, mais surtout les écartant largement l'une de l'autre afin de contempler le minuscule orifice brun qui s'y cachait.
Mais découvrant aussi la longue fente broussailleuse, dans laquelle je venais de m'épancher, l'envie me prit d'y coller mes lèvres pour en goûter le bouquet. Me contorsionnant habilement, je réussis à infiltrer mon visage entre les deux cuisses à la chair si douce de ma suceuse.
Le nez enfoui entre les opulentes fesses, je me mis alors à fouiller la vulve nacré de ma langue. Je trouvais les lèvres vaginales étonnamment collantes et dégageant une odeur bizarre qui me rebuta quelque peu. Mais ne voulant pas montrer à ma compagne ma répulsion pour sa chatte pleine de ma semence, je changeais d'objectif. Je m'attaquais alors à son anus, petit œillet rose et plissé qui réagit aussitôt aux caresses de ma langue. Quelques minutes se passèrent ainsi, où nous nous léchâmes de concert, nous procurant un indicible plaisir. Soudain Chantal abandonna ma verge frémissante pour me demander :
- Tu aimes que je suce la bite ?
- J'adore, lui répondis-je.
Que pouvais-je répondre d'autre.
- Moi aussi, j'aime que tu me lèches le cul ! Ronronna-t-elle. C'est rudement bon !
Un moment passa, avant qu'elle reprenne la parole :
- Tu aimerais enfoncer ta queue entre mes fesses ?
J'en restais sans voix. C'était trop beau. La mère de mon meilleur ami m'avait déjà offert ce que tout adolescent espère, mais que très peu obtienne : faire l'amour avec une vraie femme, Et voila qu'elle me proposait de l'enculer, comme on disait entre nous au lycée.
Devant mon silence, Chantal continua :
- Tu sais qu'un homme peut faire l'amour à une femme de ce coté là aussi ?
- Ouuui répondis-je soudainement gêne.
- Tu veux essayer ?… Ça te ferais plaisir ?…
- Oh oui, réussis-je à bégayer.
- Alors, attends-moi !
Étonné, je suivis des yeux ma volcanique initiatrice qui s'était dirigée vers la salle de bain. Elle en revint très vite, tenant un tube à la main. S'installant de nouveau à mes cotés elle me précisa :
- Ça aidera. Pour ton âge, tu est déjà bien monté !...
Elle ouvrit le tube pour s'enduire la main d'une crème translucide avec laquelle, elle me massa la verge.
- Avec cette crème, ça glissera plus facilement, tint-elle à me prévenir. Je suis plus étroite de ce coté là…
Sous le prétexte de m'enduire le membre de cet onguent, Chantal me branla d'un mouvement des plus suave, faisant encore grimper le désir dans mon bas-ventre. Enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, mon ardente initiatrice, me tendit le tube et se couchant sur le ventre, lança ses mains dans son dos pour écarter largement ses fesses.
- À toi, me demanda-t-elle… Passe-moi de la crème dans mon petit trou.
Je n'en revenais toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, Chantal, la mère de mon meilleur ami, celle qui quelques jours plus tôt m'accueillait comme son fils, m'offrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul légèrement poilu. La gorge sèche, j'approchais l'embout de l'orifice anal, et je pressais le tube. La crème incolore en jaillit, pénétra l'anus relâché, avant de déborder de chaque côté du minuscule cratère.
- Fais-la bien pénétrer à l'intérieur avec ton doigt, me conseilla Chantal, m'offrant son cul dans une position des plus obscène.
Reposant le tube, j'étalais la crème à l'aide de mon majeur de la main droite, tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glissa jusqu'au centre du mini cratère de chair pour y pénétrer lentement. Lorsque ma première phalange se fut enfoncée dans le conduit anal, il me sembla que celui-ci s'ouvrait, s'écartait de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continuais donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouva fiché dans le cul féminin, sans que cela ne m'ait posé de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur était loin d'atteindre le volume de mon sexe bandé.
- Oh oui, frotte bien ! M'encouragea Chantal en cambrant ses reins au maximum.
Puisqu'elle me le demandait avec une réelle insistance, j'activais mon doigt dans l'orifice anal. J'éprouvais un certain plaisir à explorer ce cul féminin étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve, que j'avais fouillé de ma bite quelques instants plus tôt. Comblé, je fis coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
- Oh oui, c'est bon gémit Chantal au bout d'un instant… Continu mon chéri… Branle-moi bien le cul… Huummm…
Étonné qu'elle puisse ressentir un tel plaisir à l'exploration de son anus, j'accélérais mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à l'esprit. Accolant mon index à mon majeur, j'enfonçais mes deux doigts dans le cul féminin copieusement lubrifié par la crème que j'y avais versé et les activais fébrilement. Chantal eut un sursaut, lançant furieusement son derrière au-devant de mes doigts explorateurs : :
- Oh oui, c'est encore meilleure… Viens maintenant ! Je veux sentir ta queue dans mon cul !… Mets-la moi !
D'un coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et lançant une de ses mains dans son dos, elle se saisit de ma bite qu'elle dirigea entre ses fesses. Le bout arrondi de mon gland s'appuya sur son œillet rose, qui me semblait extrêmement petit.
- Là, tu y es, me prévint Chantal d'une voix sourde… Va maintenant !… Pousse !...
Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, que la position rendait encore plus denses, je poussais pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à l'introduction vaginale, qui s'était déroulée dans un glissement, l'orifice anal résista à ma poussée, faisant ployer ma verge pourtant rigide. Chantal poussa un petit gémissement.
- Vas-y, pousse ! M'encouragea-t-elle. Ça va rentrer !
Bien que me posant des questions sur le résultat, j'exerçais une nouvelle pression, en tirant à moi Chantal que je tenais fermement par les hanches. Celle-ci poussa un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui m'arrivait, je me retrouvais fiché jusqu'aux couilles dans le cul féminin qui venait de s'écartelé brusquement.
- Oui, oui, ça y est grogna Chantal. Je sens ta queue dans mon cul… C'est terrible, j'ai l'impression de la sentir jusqu'au fond de mon ventre. Tu es bien ?
Son anus .était tellement serré que j'avais l'impression que mon gland était divisé en deux par un élastique trop petit, je sentais le bout de ma bite gonflé à l'intérieur des intestins de ma folle partenaire. Je demeurais immobile, ivre de joie. J'enculais une femme. Quand je raconterais ça aux copains, j'allais tous les estomaquer. Cependant, devant mon immobilité, Chantal s'impatienta :
- Vas-y, commanda-t-elle. Encule-moi !
Je commençais alors à agiter mes reins, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées. Chantal avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris en poussant des petits gémissements
- Oh oui ! Vas-y mon chéri, encules-moi bien à fond, défonce moi…
Tout en faisant coulisser ma verge dans le minuscule orifice anal, je me régalais à contempler le merveilleux cul que j'admirais depuis des mois. La raie des fesses était assez large et remplie de poils noirs. Je voyais ma bite entrer et sortir de l'anus dilaté.
J'étais excité comme jamais je ne l'aurais imaginé et les gémissements amoureux de ma compagne m'encourageaient à continuer. J'accélérais peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Chaque pénétration de ma verge dans les profondeurs de ses intestins arrachait un véritable cri à Chantal. Si bien que je me demandais si elle éprouvait vraiment du plaisir ou de la douleur.
Mais d'un seul coup je senti mon sperme monter de mes couilles gonflées. Sans que je puisse me retenir je lâchais mon sperme dans les intestins de la mère de Luc, mon ami. J'eus l'impression de me vider entièrement les couilles, tant l'éjaculation dura. Chantal se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille
Epuisé par cet acte intime, je retirais ma verge de l'anus inondé. Elle était extrêmement sensible. De petites plaques brunâtres témoignaient sans aucun doute de l'endroit où je l'avais plongé. Se redressant, Chantal me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir qu'elle venait de vivre et partager avec moi.
- Tu sais, pour la première fois que tu encules une femme, tu t'es conduis en artiste. J'ai jouis comme une folle, tu m'as procuré énormément de plaisir. Et toi, tu as aimé ?
- Oh oui !
Devant ses compliments, je me sentais très fier d'avoir pour la première fois de ma vie, donné autant de plaisir à une femme mûre et expérimentée. Puis la journée passa, en grignotant des biscuits, nous avons continué à faire l'amour en s'embrassant.
Cette journée bien remplie était le début d'une relation qui dura quatre ans. Elle fut la femme de ma vie, et même aujourd'hui, à 52 ans, je pense encore à cette femme qui m'a tant donné. Sa personnalité, son corps m'ont marqués pour la vie. Aujourd'hui vivant en Amérique du nord, j'ai connu plusieurs femmes avec le sexe rasé, et je dois dire que le sexe de Chantal très poilu m'excitait bien plus, je suis devenu, grâce à elle, un amateur de sexe naturel. C'est avec beaucoup d'émotions que j'ai rédigé ce récit, car je crois que je suis encore amoureux de cette femme qui n'est peut-être plus de ce monde.
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Complaisance maritale...
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Bonne fête Maman..!
A l'occasion de la fête des mères:
lisez les aventures de Sylvie.
Je vous le dit moi:
Toutes des putes même ma mère lol...
Pensez à faire de gros gros bisous à vos chères Maman...
Un fils qui aurait mieux fait de s’occuper de ses oignons
A 50 ans, ma mère est ce que l’on appeler quelqu’un de provocatrice dans le sens où elle aime mettre en valeur ses charmes. Cela a posé des problèmes de couple avec mon père mais elle a toujours réussi à ne jamais aller trop loin et ne l’a jamais trompé.
Hélas, elle sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme car elle fréquentait des amies à elle, portées sur la bouteille et la fête à la différence qu’elles étaient toutes divorcées et donc libres. Chaque samedi soir, en fin de semaine, elle sortait avec ses amies pour se détendre soit disant après le travail (elle est caissière).
Mon père était blasé et la laissait faire à la fin, sans plus rien dire. Ses tenues raccourcissait au fur et à mesure et il arrivait que cela frise l’indécence. Puis, à force , ce qui devait arriver arriva et, sous l’effet de l’alcool, elle finit par coucher avec un mec de mon âge (28 ans). Ce n’est pas un canon mais Sylvie (son prénom) a des atouts qui font flasher les hommes.
Des cheveux noirs, des yeux bleus avec un visage sans trop de rides. Une grosse paire de loches natures et des lèvres digne d’une suceuse. Comme elle mettait des minijupes et des talons aiguilles sans bas, on avait l’impression de deux jambons. Certes pas très beaux mais suffisamment vulgaires pour ne laisser aucun mâle indifférent.
Ses coucheries se surent mais ma mère nia et devant l’incertitude mon père ne voulut pas divorcer. Moi, ayant été viré de mon job et viré par ma copine, je dus retourner vivre dans le petit appart de mes parents.
C’est à ce moment que je découvris le véritable visage de Sylvie qui je savais être provocante mais jamais aussi salope. A ce moment là, je fréquentais une arabe non musulmane qui avait un frère avec qui je m’entendais plus ou moins bien. Je lui confiais les problèmes de chez moi et me dit qu’il l’avait déjà croisé en boite.
Nadir m’avoua qu’il avait pas voulu m’en parler de peur de me faire honte. Il confirma ses états d’ébriétés et le nombres incroyables de mecs qui tournaient autour d’elle à ces moments là. Je ne savais pas quoi faire et il me dit :
- Le mieux est de lui donner une leçon de savoir vivre!
- Mais comment ?
- En lui faisant peur !
- Tu veux que je lui fasse peur ?
- Pas toi, mais tu peux dire à des mecs de faire croire qu’ils veulent la violer !
- Pas question, Nadir ! Ça va la traumatiser.
- Dans ces cas là, elle sera toujours une salope et déjà sa réputation fait le tour du quartier. Je crois qu’il vaut mieux pour toi et surtout pour elle qu’elle arrête ses conneries.
- Tu as raison, mais on peut faire quoi ?
- J’ai des potes qui vont se faire une joie de la faire flipper mais en échange ils vont demander du fric, environ 60 €uros.
- J’ai pas trop de fric mais je leur donnerai.
- Alors c’est bon ! Je suppose qu’elle sort toujours au même endroit ?
- Oui
- Bon, je te garantis que c’est le dernier week-end où elle fera des conneries. Dés Lundi, elle redeviendra normale.
- Merci mon pote mais je veux être là pour le cas où
- Pas de soucis mais reste planqué, ok !
J’étais soulagé à l’idée que tout puisse rentrer dans l’ordre et de calmer ma mère. On mis au point un plan. Parmi les potes de Nadir, il y avait un mec beau gosse, 25 ans à peine et sa mission était de séduire ma mère et de l’entraîner au dehors. Là, les autres feraient mine de l’agresser pour la violer et au dernier moment la relâcherait en lui faisant la morale.
Mais ça s’est pas passée comme prévu. Le samedi suivant, j’accompagnais Nadir qui m’avait présenté les fameux mecs en question. Ils semblaient réglos. Sylvie se pointa une demi heure plus tard avec ses amies. Ma mère avait mis une minijupe en cuir les cuisses à l’air, des talons hauts et un top au large décolleté. Je me suis dit qu’elle avait pas honte de s’habiller ainsi et jubilais presque à l’idée de lui montrer que sa façon de se vêtir était honteuse.
Les potes en question entrèrent en scène et le gars chargeait de la séduire entra dans la boite. Il semblait connu vu qu’il rentra gratos. Ma mère était déjà saoule et désinhibée. Il fut facile de la draguer. Au bout de trois quart d’heure, le gars sortit avec elle et l’emmena dehors. Un peu plus loin, il y’avait un parc où la journée, les familles venaient se promener. Je me mis en retrait et tentais de les suivre en me cachant.
Ma mère était bien ivre et elle disait de belles bêtises en riant. Elle ne se rendait même pas compte que le jeune gars la trimballait afin de l’attirer dans un traquenard. Et voilà que la bande sort. Ma mère ne réalise pas sur le coup. Puis le beau gosse la poussa vers les autres qui la saisirent par les bras. Tout en l’insultant, ils lui administrèrent deux claques et lui arrachèrent son top en tirant sur l’échancrure comme des fous. C’est à ce moment que je sus que tout allait dégénérer. Lui arracher ses vêtements ne faisait pas parti du contrat. Je n’osais pas intervenir car j’avais encore plus honte que ma mère, bien que saoule , me reconnaisse et comprenne que je suis en partie responsable de ça.
Là, celui qui lui avait arraché le top lui extirpa les seins du soutient gorge et se mit à les malaxer. On lui ôta ensuite sa minijupe en tirant dessus. Puis ce fut le tour de son string rouge. En un clin d’œil, elle fut nue en plein milieu du parc, au milieu d’un tas d’homme qu’elle ne connaissait pas. Mais elle ne semblait même pas réagir. Ses copines de leur coté avait vu Sylvie sortir de la boite en compagnie de ce jeune mec encore plus jeune que moi, son fils. Elles ne s’inquiétaient même pas pensant qu’ils prenaient du bon temps tous les deux. Rapidement, les hommes sortirent leur pines que ma mère engouffra tour à tour dans sa bouche. Je fus surpris qu’elle le fasse sans réagir comme si c’était une habitude. Elle les suça copieusement en léchant le gland de ces hommes. On aurait dit une sorte de film de cul tourné par un mauvais cinéaste du genre. Sa bouche pompait et pompait avec une incroyable dextérité. Les hommes prenaient leur pied et continuaient à l’insulter de plus belle. En fait (avec l’aide de l’alcool), elle avait accepté de baiser tout ces mecs. Une folie. Deux d’entre eux giclèrent dans sa bouche. Elle en avala une partie mais le reste avait été trop rapidement projeté et coula sur elle en collant ses cheveux et son visage. Elle sentit un doigt qui s’insinua dans son anus puis dans son vagin. Le doigt dans le vagin l’excita et elle se mit à mouiller. Ses deux orifices furent mis à contributions. L’un la souleva et la pénétra par l’anus tandis qu’un autre la pénétrait en même temps par la foune.
Les sexes limaient les deux orifices arrachant des gémissement de plaisir à Sylvie, à moitié consciente. Les mains du beaux gosses malaxaient la paire de loches gluante aux longs tétons. Un groupe de jeune qui sortait de la boite passèrent prés du parc et virent l’attroupement. Ils crurent que Sylvie était une pute ayant fait un prix de groupe.
La bande qui baisait Sylvie les firent payer et a leur tour, se mirent à la prendre par tous les orifices et à plusieurs dessus. Ma mère suintait le sperme de partout et sa peau luisait sous la pleine lune. Elle commença à hurler très fort attirant d’autres mecs qui payèrent à leur tour. Ils déversèrent une quantité de foutre extraordinaire entre les deux nibards. Elle se l’étala copieusement tout en suçant la moindre verges se présentant à porté de sa bouche.
Deux amies qui s’inquiétaient de ne pas la voir revenir sortir et le videur leur indiqua en souriant qu’elle se trouvait dans le parc. Là, elles virent le manège de Sylvie. Elles la virent en pleine action, prenant son plaisir à se faire baiser comme la dernière des putes. Pourtant, chaudes, elles furent choquées de la voir se comporter comme ça. Même elles n’auraient jamais eu l’audace de se faire prendre par autant de personne à la fois. Elles rentrèrent dans la boite un peu en colère.
Finalement, après s’être bien vidé, ils la laissèrent à même le gazon entièrement nue, épuisée et recouverte de sperme de la tête au pied. Le beau mec l’insulta et lui dit que dorénavant, elle devrait cesser de se comporter comme une pute sous peine d’avoir de gros ennuis.
Sylvie s’endormit, nue, ivre et fatiguée jusqu’à ce que ses copines viennent la chercher et la ramène chez elles en piteux état.
Deux jours après Nadir m’appelle apeuré et me dit :
- Putain, ils veulent à nouveau se taper ta mère ! On est dans la merde ! Je leur ai proposé du fric mais ils ont rigolé et on dit que ça vaut pas son cul ni ses nibards.
J’ai compris que j’avais fait une belle connerie en essayant de ne pas m’occuper de mes oignons. Au lieu de la rendre normale, j’en ai fait une pute. Et donc à ce jour, celle qui se fait le plus baiser dans l’affaire, c’est ma mère.
Depuis la dernière fois, mes parents sont toujours ensemble et les potes de Nadir ont lâché la grappe à ma mère. Je pensais que la leçon lui aurait suffit mais Sylvie sort toujours et en plus dans la même boite. De toute façon, elle rentre gratuitement car selon les rumeurs, ce serait une femme facile et cela attire les clients. Les patrons l’encouragent même à s’habiller de plus en plus court et lui offre ses consommations la plupart du temps. Cela ne l’a pas aidé à se détacher de la bouteille et cela la rend imprudente et naïve. Du coté de mon père, je crois qu’il ne veut pas le voir de même qu’il ferme les yeux sur le fait qu’elle boive un peu trop. Les tenues sexy de ma mère ne le dérange pas trop car elle s’habille comme ça depuis des années. Mais ce qu’il ignore, c’est que les tenues sexy qu’il voit non rien à voir avec celles qu’elle met pour sortir.
Enfin bref, l’été est arrivé et mes parents décident de partir en vacance en m’y invitant. Je n’avais rien à faire ce mois ci car toujours au chômage et ayant rompu avec la sœur de Nadir, je me disais que le camping serait une aubaine pour trouver des nanas. Mais là, pas de terrain de camping mais un de mes oncles nous prêtait sa caravane dans un petit terrain qui lui appartenait prés de la mer.
A 28 ans, comme un gros Tanguy, je filais le train à mes parents tout ça pour essayer de me taper une nana à la plage alors que j’aurai pu rester à l’appart et en profiter. Mais ce qui me motiva, c’est sans doute la semaine avant le départ. Ma mère, en vacance pendant un mois, avait picolé un peu histoire de se détendre. Mon père travaillait toujours dans son entreprise (mais il est patron). Donc elle était dans le salons et moi, je regardais du tennis à la téle. Je l’ai vu se verser deux verres et les boire en vitesse. Elle sait que je sais mais comme je dis rien, elle ne se cache pas avec moi. Voilà qu’elle va à sa chambre et qui au bout de cinq minute m’appèle. Je suis intrigué et j’y vais. C’est là que je tombe sur le cul. Ma mère est en bikini et un bikini noir horriblement court avec une culotte de bain qui ressemble plus à un string.
- Alors tu en penses quoi ?
- C’est chouette mais un peu provoc non ?
Elle me regarde et secoue la tête.
- Tu es bien prude toi !
- Ben, je sais pas , les femmes de ton age évite de montrer leur charme
Je savais que ce que je disais était faux et que de plus en plus de femme proche de la cinquantaine n’hésite plus à se mettre en valeur.
- De mon age ? tu me trouves trop vieille ?
Je sens qu’elle le prend mal et en plus, il est clair que ma mère ne fait pas son age. Elle fait femme la petite quarantaine. Elle a quelques formes, pas très grande 1m57 mais de très gros seins. Le haut de bikini noir aux bretelles fines les met bien en valeur voire même de façon indécente.
Sylvie a des cheveux noirs, des yeux bleus avec un visage sans trop de rides. Sans oublier ses lèvres pulpeuses et naturelles qui donne l’impression qu’elle aurait pu faire carrière dans le porno. Mais là, je commence à me sentir un peu chauffé à la voir comme ça car même si c’est ma mère, c’est une femme aussi. Ses seins débordent de partout et c’est affolant. Son bikini ressemble plus à des dessous de charme qu’autre chose.
- Non, pas vieille et d’ailleurs tu fais pas ton âge mais un peu délurée
- Bon ben , je vais mettre mon monokini si tu veux
- Non, non, m’an, il te va bien ce bikini même très bien , mais je n’ai pas l’habitude de te voir comme ça.
Elle sortit comme a de la chambre et se servit un autre verre puis se retourna vers moi. Je savais que l’alcool la rendait désinhibé et là, je la vois qui se prend les seins et me dit :
- Et mes seins, tu les trouves comment ?
- Euh, ils sont gros
- Je voudrais faire une opération de chirurgie esthétique tu sais. Je trouve qu’ils tombent.
C’est vrai qu’ils étaient si gros qu’ils ne pouvaient échapper à la loi de la pesanteur mais au moins ils étaient vrais.
- Surtout pas, m’an , ils sont très beaux et bien gros
- Merci, mon chéri, mais si je te demande ça , c’est parce que ça fait des années qu’on est pas allé à la plage et je ne suis plus sure de moi
- rassure toi, non seulement tu fais pas tes cinquante ans mais en plus, bien des jeunettes t’envieraient.
Elle me sourit rassurée et se rhabilla. Le soir même , je me branlais comme un fou en repensant à la scène qui venait de se produire. J’avais donc hâte de partir et de voir les réactions des hommes sur la plage, à la vue de ce bikini de fou. Mais avant de partir , coup de théâtre, mon père nous apprend qu’il doit rester jusque Mercredi pour son boulot et mieux encore, nous incite à partir tous les deux avant lui. Etonnant mais suspect (des fois qu’il aurait une maîtresse mais pourrait on le blâmer ?) , ceci dit, nous fîmes nos bagages et on n’y alla. On arriva donc après presque trois heures de route.
Il faisait super chaud et j’en pouvais plus. J’étais blasé mais ma mère à peine arrivée se bu deux verres de whisky coke qu’elle avait mis dans une glacière bien au frais et se mit en bikini. Chaussée de tongues, elle se mit à faire le ménage dans la caravane. Je trouvais son bikini encore plus hard que la première fois et franchement, cela cachait juste l’essentiel. On voyait ceci dit la déformation au niveau de l’entrejambe faites par les lèvres de la foufoune de Sylvie et en ce qui concerne les seins, on voyait un tout petit peu , le haut des auréoles de ses seins. Elle voulait vraiment se faire remarquer, y’a pas de doute mais même si j’appréciais, c’était trop, beaucoup trop. Puis on dîna. Elle n’avait pas trop bu, ça allait mais elle était contente. Le lendemain, le jour que j’appréhendais arriva : la plage.
Nous somme à a peine deux km à pied. Pour venir, elle avait mis sa grande serviette, des tongues et ses lunettes de soleil donc, elle passa plus où moins inaperçue mais lorsqu’elle alla se baigner, on sentit tout de suite qu’elle devenait le centre d’intérêt. Non seulement à cause de son bikini mais en plus par les atouts honteusement provocant qu’elle mettait en valeur. Ses seins bougeaient de haut en bas et le summum fut atteint lorsqu’en évitant une vague en sautillant, l’un des ses nichons saute trop haut et se retrouve à l’air. Elle le remis presque aussitôt faussement honteuse. Voilà qu’elle revient toute trempée.
- Pff, tu devrais aller te baigner ?
- Non, je préfère bronzer.
En fait j’avais un peu honte de son exhibition même si j’en éprouvé une certaine fierté. Puis elle fit quelque chose d’inattendu mais logique la connaissant. Elle se mit seins nus. Sa grosse poitrine au soleil , elle s’allongea avec ses lunettes de soleil et se mit à bronzer. Je sentais le regard des hommes la mater et surtout ses seins. Gêné, j’allais piquer une tête mais je ne pouvais pas détacher mon regard de ses gros seins. Vers 17h, on se rentre non sans passer par un supermarché pour se ravitailler en alcool. La journée avait passé très vite et ma mère était contente de son bronzage. Elle resta en bikini pour mon grand bonheur. Elle siffla quelques verres et se trouva pompette.
- si on sortait ?
- Moi je suis fatigué m’an !demain !
- Eh ben, dire que c’est censé moi la plus âgée et pourtant j’ ai plus la forme que toi.
- Tu n’as qu’à y aller, il y’a une boite à quatre ou cinq km d’ici prés de la plage.
- tu crois que je le savais pas.
Elle rigola. C’est vrai que j’aurai du me douter qu’elle aurait remarqué le truc. Elle fit sa toilette et s’habilla. Enfin s’habiller est un grand mot. Elle avait une mini jupe à ras les fesses et un tee-shirt blanc moulant et transparent où l’on voyait son soutient gorge noir. Elle se maquilla . On aurait dit une pute avec ses talons haut, ses cuisses à l’air et ses seins énormes moulés dans le tee-shirt. Elle s’avala un dernier verre et entrepris de prendre la voiture. Je lui pris les clés et malgré son début d’ivresse, compris qu’elle allait faire une bêtise.
- Je vais t’emmener !
- Merci , mon chéri
Elle m’embrassa. Sur le chemin, elle n’arrêta pas de parler et je fus content de la lâcher devant la porte de la boite. Ca semblait être une boite huppée du moins à l’extérieur. Attifée comme elle était, Ma mère entra gratuitement . Puis je me rentra. Je m’endormis rapidement bien que l’air soit chaud. Vers trois heures, ma mère appela au portable comme convenu pour que je vienne la chercher. J’entendais la musique derrière elle et elle était bien saoule et festive. Elle me dit qu’on allait la raccompagner un peu plus tard : une bande de jeune à peine plus vieux que moi.
Je compris immédiatement ce qui allait arriver. Ma mère comme à son habitude, allait se faire avoir. Au bout d’une bonne demi heure, je décidais d’aller voir ce qu’il en était. J’appelais son portable mais rien. Une fois, deux fois toujours rien. Je pris la voiture. Et à deux km , je remarqua deux voitures garées sur le coté mais sans plus faire cas, je continuais vers la boite. Elle était fermée et plus personne. L’instinct peut être me dis d’aller voir ce qui se passait du coté des véhicules. Je me gara a une bonne centaine de mètres.
Puis je décidais d’approcher à pas de loups. J’entendis des rires et un vocabulaire ordurier. En m’approchant des voitures, je vis prés d’un bosquet , un attroupement d’une bonne dizaine de mecs. Je vis autour des vêtements répandus de partout. Je reconnus la minijupe , le soutient gorge, le tee-shirt blanc déchiré et les talons haut de ma mère. Ils avaient déjà commencé à s’occuper d’elle. Je reconnus un cri que je ne pourrai décrire comme un cris de plaisir où d’appel à l’aide. Puis je la vis à poil , maintenue au sol par quatre gars, deux lui écartant les jambes pour offrir le sexe et deux autres les bras écartés. Un autre avait sorti sa bite et la secouait devant la bouche de ma mère. Ils riaient mais attendant leur tour.
- C’est elle , la bonne femme de la plage qui se dorait la pilule avec son fils ?
- Oui, je la reconnais et matez moi cette paire !
- Mais quelle pute !
Le gars qui secouait sa bite lui malaxa les seins devant tous le monde. Il le fit de façon bien lente et provocante. Ma mère ne disait rien et semblait même apprécier. Je ne savais pas si elle était consentante ou pas. Elle ne se débattait pas et paraissait calme. Puis elle gémit aux caresses de ses seins. L’homme les lui goba et lécha les tétons.
- Elle est complètement ronde ! on va bien en profiter les gars.
- De toute façon, elle a suffisamment allumer les mecs pour savoir qu’elle était en manque.
Ma mère tenta de dire quelque chose :
- Ramenez moi s’il vous plait mon fils va s’inquiét…
En guise de réponse, l’homme qui était sur elle lui enfourna son sexe dans la bouche. Elle le suça goulûment tout en étant maintenue à terre. Mais voyant cela , les deux qui lui maintenaient les bras la lâchèrent et sortirent leurs sexes en manques. Les deux qui lui tenaient les jambes aussi et tous se mirent autour d’elle et précisément son visage pour avoir leur plaisir. Avec 5 bites en érection, elle avait de quoi faire. Elle s’empara d’une chaque main et se mit à les branler. Sa bouche pompait, pompait , pompait dur et avec un bruit gluant. De là je pouvais entendre sa bouche qui y’allait sec.
D’un coup elle se mit à gémir, un des mecs s’était mis à lui lécher le minou. Le mot, c’était bouffer car à voir l’ardeur avec laquelle il s’acharnait, on avait l’impression qui lui dévorait le sexe. Ma mère gémissait de plus belle tout en pompant dur. Rapidement, elle se mit à mouiller et voyant ça, l’homme sortit sa bite et la pénétra. Les autres lui éjaculèrent dans la bouche et sur le visage. J’avais l’impression d’un film porno dans un bosquet. Ma mère en avait plein le visage et cela fit couler son maquillage. Je la vis s’étaler du sperme sur ses seins tout en gémissant.
Mais voilà que les 5 autres décident d’entrer dans la danse. Celui qui la baisait a finit par jouir et , les couilles bien vides, se retira et laissa la place aux autres. Un à un , les hommes la prirent attendant chacun leur tour. Tout ça se passa rapidement, de la baise d’alcoolique car bien sûr, ces mecs étaient tout aussi ivre que Sylvie. Ma mère écartait les cuisses et jouissait pendant qu’on la besognait. On avait l’impression d’une succession de lapins en rut , la baisant rapidement mais avec fougue. Ce qui était sûr , c’est que les mecs s’étaient bien vidés et avait pris leur plaisir. Plaisir rapide mais bon, qu’attendre de plus de ce genre de soirée. Avant de partir, l’un des deux lui enfonça lentement une bouteille de bière vide :
- Voilà, un p’tit souvenir, toi qui aime la bibine !
Deux hommes lui écartèrent les cuisses tandis qu’on lui mettait la bouteille dans le con. Ma mère se laissa faire et l’homme put à loisir s’amuser à la goder devant ses amis dont certains retrouvaient leur vigueur. De temps en temps, Sylvie lâchait un petit cri car visiblement, il semblait s’y connaître dans l’art de masturber une femme avec ce genre d’objet. Puis comme si de rien était , ils la laissèrent là en riant nue, saoule et souillée avec cette bouteille enfoncée dans le sexe. Les voitures démarrèrent et le silence retomba sur le bosquet. Après une bonne demi heure, il me fallut me résoudre à intervenir. Ma mère s’était endormie du sommeil de l’ivrogne avec sa bouteille dans la chatte. Je rassemblais ses affaires en constatant qu’effectivement son teeshirt avait été furieusement arraché. Puis lui ôta la bouteille. Je la mis dans la voiture puis on rentra. En la sortant du véhicule, toujours nue, pour la coucher dans la caravane, mon regard s’arrêta sur ses seins qui dégoulinaient encore. Elle avait aussi encore du sperme sur le visage. Je l’essuyait et voilà que je fus pris d’une pulsion perverse. En lui essuyant les seins, je me dis que pourquoi pas tâter la marchandise . Après tout, j’y avais eu droit étant petit.
Je me mis donc à jouer avec les seins maternels en les triturant et en m’amusant avec les tétons. Qu’elle superbe poitrine bien grosse et naturelle. Je les empoigne, les malaxe, les soupèse. Ma mère dormait et je jouais avec ses deux nichons. J’avais le sexe bien dur maintenant. Je me mis à caresser son corps en entier : les cuisses , le ventre , le visage. Elle ne remuait toujours pas. Alors, je me dis pourquoi ne pas aller plus loin. Je sors mon sexe gonflé à bloc et entreprend de me masturber. Mais là, coup de théatre, ma mère émerge de son sommeil. Je me retrouve la bite à la main devant elle à poil. Elle était encore bien saoule et ne devait pas se rendre compte qu’elle n’était plus avec ses amants.
Elle empoigna mon sexe et commença à le masturber. Puis comme je m’avançais, elle le pris dans sa bouche et j’eu droit pour mon bonheur , à une pipe magistrale. Elle me décalotta et avec sa langue, me lécha le sexe. J’évitais de justesse de me lâcher dans sa bouche. Le plaisir était trop bon, je voulais faire durer. Bien que je la savais à moitié endormie, je m’étonnais de la vigueur avec laquelle elle me pipait. Le plaisir atteint son paroxysme et au dernier moment, je retire mon sexe de sa bouche assoiffée. Mais ma gaule est trop monstrueuse et je voulais aller au terme de cette histoire. Alors je la pris, sans ménagement, la bourrinant comme un sauvage. Elle écarta ses jambes et commença à me dire des insanités.
Elle voulait entre autre que je la prenne comme une pute ou que je la défonce comme si c’était une truie. Son vocabulaire m’étonna fortement mais avec de tels encouragements, je ne pouvais qu’en vouloir plus. Je la limais de plus en plus vite, encore et encore le tout sous les cris de plaisir de cette femme qui dés lors , n’était plus ma mère mais une femme comme les autres. La caravane devait tanguer tant j’étais excité et l’effet des coups de reins devait fortement faire bouger la caravane. Jamais je n’avais juté autant. Les couilles vidées, crevé , je dus me coucher. Ma mère se rendormit aussi sec, sur sa couchette, toujours à poil. Nous nous sommes réveillés tardivement, vers 13h00. Ma mère avait un terrible mal de crâne à cause de la quantité excessive d’alcool. Elle sortit de la caravane à poil avec seulement des lunettes de soleil, sans gène et devant moi. Je fis celui qui était outré.
- Maman, fais attention, si une voiture passe on va te voir !
- C’est vrai ! Cela pourrait choquer !
Elle s’approcha de moi.
- Mais tu sais mon chéri, maintenant, je n’ai plus besoin de me cacher de toi.
- Pardon, mais pourquoi ?
- Tu as oublié hier, moi pas !
Le ciel me tombait sur la tête. Je la croyais ivre, dans les vapes mais non. Elle était bien consciente. Pour justifier le tout, elle posa sa main sur mon maillot. Je me mis à bander comme un fou. Elle extirpa mon sexe et le mis en bouche. Elle me pipa si fort que je crut que mon sexe allait être dévoré. J’en eu limite mal. Je ne put m’empêcher d’éjaculer dans sa bouche. Elle avala tout. Elle alla ensuite dans la caravane et vida les restes de la bouteille. Chauffée a à peine 13h00 et malgré un horrible mal de crâne, elle me fait un beau sourire et enfile son maillot provoquant. Elle passe devant moi en roulant des fesses et en faisant rebondir ses seins.
-Allez, on va à la plage, maintenant.
Ce fut encore là une chaude et longue journée
.............................…
Les vacances à la plage sont terminées et la venue de mon père à incité ma mère à se calmer un peu. Je suis partis au bout de trois jours, incapable de supporter la promiscuité et surtout un peu gêné par ce qui c’était passé. J’ai trouvé un job de serveur dans un bar grâce au videur de la boite ou va régulièrement ma mère. En fait d’avoir trouvé, c’est Sylvie qui avait arrangé le coup et je suis même persuadé qu’elle a couché avec pour ça. J’en eu la preuve quelques jours plus tard où Jacques, le videur, venait prendre un café et se renseigné pour savoir si j’avais fait l’affaire.
Je sentais qu’il avait bu un peu mais cela le désinhibé. Je le questionnais sur la manière dont avait procédé ma mère pour le convaincre. Il esquissa un sourire en coin. Je lui proposais de lui payer un verre. Il accepta. Je lui fis un jolie cocktail pour le faire parler. Je sentais qu’il voulais m’en dire beaucoup à ce sujet de toute façon. A cet heure de l’après midi, il n’y a personne dans le bar et ça facilite les discussions.
- Tu te plais ici, alors ?
- Oui, merci de m’avoir dégoté ce boulot au fait !
- Tu remercieras ta « maman », plutôt.
- Elle est très persuasive, je sais !
- Je te le garantis mon bonhomme mais …
- Mais quoi ?
- Fais gaffe à elle ! un jour, avec ses écarts, elle risque d’avoir de gros soucis !
- Des soucis, mais de quel genre,
- Un jour, elle va tomber sur des gens pas nets. Elle risque de se faire violer, se trouver à faire le tapin voire pire encore, sur des psychopathes.
- Elle est grande quand même .
- Oui, mais ça ne l’empêche pas d’être trop confiante et surtout à cause de l’alcool. En plus, tu m’excuseras mais elle s’habille vraiment comme une prostituée des fois.
- Ça me dérange pas !
- Moi, non plus mais il y’a beaucoup de gens qui sont friands de femmes mûres comme elle. Il y’a des fois, quand je la vois, j’ai l’impression qu’elle fait tout pour attirer les ennuis.
Il finit son verre.
- Voilà, je t’aurai prévenu. Allez bosses bien, bye.
Il s’en alla. Il n’avait pas parlé de sa sauterie avec maman mais juste une mise en garde. Vers 19h00, j’eu la surprise de voir ma mère venir au bar pour voir comment j’allais.
- Alors mon chéri, ça va ? le travail te plaît.
- Oui, man et tu remercieras Jacques hein.
- Rassures toi, je l’ai remercié à ma façon.
Elle rit en me faisant un clin d’œil complice. Maintenant, cela n’était plus tabou de parler de ses adultères. Elle ôta sa veste qu’elle posa sur une chaise à coté d’elle et s’assit sur le tabouret de bar. Je vis alors qu’elle était une fois de plus habillée de façon très provocante. Elle avait des talons haut et mis une minijupe avec des bas résilles. Elle avait aussi un tee-shirt au décolleté monstrueux. Maquillée de façon abusive , elle donnait vraiment l’impression d’aller faire le tapin. Je regardais sa bouche avec laquelle elle m’avait sucé. Elle avait mis un rouge à lèvres brillant. Elle avait des lèvres charnues mais avec ce rouge à lèvre, ça accentuait encore plus le coté suceuse. Elle commanda un whisky coca. D’une certaine manière, je pouvais m’estimer heureux voire être fier d’avoir une mère aussi sexy et provocante. A 50 ans, elle était pas mal foutue. A part peut être ses cuisses un peu grosse à cause de l’âge et surtout enroulées dans des bas résilles comme des saucissons. Par contre elle avait de sacré nichons et de son décolleté, ça débordait sacrément bien. C’est tout ce déballage et cet étalage de chair qui attirait les hommes.
- Tu sors ?
- Oui, je vais à une fête organisée par un ami rencontré en boite. J’espère que ma tenue est assez sexy.
- T’inquiète pas pour ça , tu t’es une fois de plus bien mise en valeur. On dirait que tu vas à une partouze.
Elle rit à cette remarque.
- Tu sais, je sais comment ça va se terminer. Ils vont me faire boire et ils vont tous me baiser.
- Mais tu es la seule femme ?
- oui, je suis la seule qui est voulue y aller.
- tu devrais faire attention très sérieusement. Tu y vas toute seule, comme ça et papa ne dit rien ?
- Ton père et moi passons une mauvaise passe. Je pense que nous allons divorcer !
Je m’y attendais tôt ou tard, mais bon, c’est bizarre de voir ses parents se séparer au bout de tant d’années.
- Quand tu es partis, on a pas cessé de se disputer dans la caravane. Je n’ai pas osé mettre mon bikini et hors de question de faire les seins nus à la plage. Non, je veux pouvoir faire ce que j’ai envie. Ce soir, il n’y a pas eu de discussion au sujet de cette sortie. J’ai fait ce que j’ai voulu.
- C’est sur que vous n’êtes plus sur la même longueur d’onde tous les deux. Mais pour en revenir à notre sujet , fais attention , on rencontre des gens pas net.
Elle s’offusqua
- tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. A mon age, on sait ce qu’on doit faire. Que veux-tu qu’il m’arrive. Je suis entourée d’hommes dont je connais la plupart. Je ne risque rien.
De toute façon, que pouvais-je faire, elle semblait bien déterminée et savait parfaitement ce qui l’attendait. Elle savait pourquoi on l’avait invité et comment cela allait se terminer. Elle s’était habillée pour et était parfaitement consentante. A partir de là, je n’avais rien à dire. Elle avala son verre, m’embrassa et partit. Je fus un peu triste d’avoir voulu la sermonner . J’aurai du davantage la féliciter sur sa tenue, l’encourager à aller à cette soirée et de s’éclater surtout si elle divorce bientôt.
Mais j’étais encore sous le choc des commentaires de Jacques. Déjà, j’imaginais ma mère entre les mains de psychopathes lui faisant subir les pires outrages et ça me rassurait pas. Aussi, je décide donc, après le boulot , d’appeler Jacques afin qu’il me renseigne sur cette fameuse soirée, à condition bien sur, qu’il soit au courant. Au téléphone, il me rassure car il est au courant de cette fête à laquelle il a été convié mais il n’avait pas pu aller pour son boulot de nuit. Il connaît le gars en question et il me donne même l’adresse de sa maison. Je suis un peu plus rassuré mais je me sentais l’obligation d’aller voir ce qui se passait . Jacques me dit pour terminer que cette fête était prévue depuis longtemps et que je n’avais pas à m’en faire.
Pourtant, ma mère avait bien dit que toute les filles avaient refusé. Il me dit que c’était à cause de la partouze prévue et que seule Sylvie avait accepté quitte a être partagée par les nombreux invités homme. Je remerciais Jacques et fonçais à la fameuse maison qui en fait était une belle villa. Je me garais en retrait et allais à pied. J’entendais la musique et des rires. J’escaladais le mur et j’essayais de me rapprocher le plus près possible de la piscine où il n’y avait que des hommes.
Près de la piscine , une pièce énorme avec une partie des invités à l’intérieur. J’essayais de chercher ma mère du regard mais rien. Mais j’entendis un rire. C’était elle. Je m’approchais un peu plus à l’abri en rampant prés du tronc d’arbre. L’attroupement d’hommes à la porte et passant devant la piscine masquait l’intérieur de la salle. Finalement au bout d’un moment, ils sortirent et je pus voir Sylvie, déjà bien entamée par l’alcool, sortir. Elle semblait tout à fait à l’aise pour une femme qui allait se faire baiser par une bonne vingtaine de mecs. Un homme d’une cinquantaine d’année sortit et hurla :
- Allez à poil, la putain !!
Ma mère sembla étonnée.
- Déjà, mais c’était prévu pour plus tard dans la nuit !
- Peut-être, mais bon, n’oublie pas qui te donne des euros !
- C’est vous qui voyez ! vous avez loué mes orifices et mes seins pour ce soir !
- Voilà comment il faut parler ! J’ai tout de suite vu que vous étiez une pute née !
Je suis stupéfait d’entendre ça. En fait, elle avait été payé, non, louée par ce porc. Je comprenais pourquoi maman voulais y’aller à tout pris. Je compris aussi pourquoi Jacques avait parlé de prostitution possible en parlant de Sylvie. C’était une allusion à cette soirée. Ma mère était une chaudasse mais de là à louer son corps.
Dans la salle, l’un des hommes monta le son et ma mère commença à faire un strip tease. Elle ôta son teeshirt lentement offrant à tous la vue de sa grosse poitrine pressée dans le soutif soir. Elle enleva sa minijupe aussi. Elle se retrouvait donc en string, soutient gorge, avec ses bas résilles et ses talons hauts. Elle ondulait son corps en essayant de suivre le rythme de la musique. Elle arbora un sourire de salope et se pressa ses seins énormes.
Elle s’avança vers les hommes qui se mirent à la ploter avidement. On lui tâtait ses seins en virant petit à petit son soutient, on enfonçait les doigts dans son anus et sa chatte après lui avoir enlevé ses bas résilles , ses chaussures et son string. On lui enfonçait aussi les doigts dans sa bouche. Sylvie se retrouva donc rapidement à poil, ses trois orifices explorés par des doigts avides. Ils étaient à 5 sur elle en train de la tripoter et de profaner ses trous. Ses seins étaient malaxés avec vigueur.
Déjà, le cinquantenaire tapait dans ses mains en demandant à tout ses invités de se mettre en cercle autour de Sylvie. Ils baissèrent et leur slip ou caleçon. Ils étaient 20 autour d’elle et tous bandaient tout comme moi d’ailleurs. Ma mère savait ce qu’elle avait à faire. Elle était complètement nue et, ses gros seins ballottant, se mis bien au centre et s’agenouilla. Le cercle se rapprocha d’elle , les bites des hommes en avant toutes dressées vers Sylvie qui s’empressa de les sucer. Ils se mirent à alors l’insulter afin qu’elle s’occupe de leur bites mais elle ne pouvait que d’un coté, sucer un gars et de l’autre branler de chaque main, un sexe.
L’alcool avait trop atteint certains qui ne purent se retenir d’éjaculer à cause des mains expertes de Sylvie. Elle les avait astiqué trop vite et bien sûr, les volontés affaiblies, les mecs n’avaient pu se retenir. Mais je pensais aussi que c’était une tactique utilisée par les prostituées pour enchaîner les passes. Bien branler vigoureusement les sexes afin que les mecs soient soulagés et passer à un d’autres clients. Je commençais à me poser de sérieuses questions car, en effet, j’avais l’impression que ma mère s’y prenait un peu trop bien et j’ajouterai même de façon professionnelle. J’avais l’impression aussi qu’elle devait avoir un passé douteux, qu’elle aurait caché. Avait-elle déjà fait le tapin avant de connaître mon père? Peut être même des films pornos où pourquoi pas les deux. A la voir s’activer, on pourrait jurer de voir une professionnelle du sexe capables d’enchaîner les passes à une vitesse folle. L’idée d’avoir une mère prostituée ou actrice porno , loin de me dégoûter, durcit encore plus mon sexe. Je luttais pour pas gicler. Du sperme avait donc jaillit et dégouliné sur son visage mais cela ne l’empêchait pas de sucer et de branler d’autres clients. Elle avait réussit à en avaler car l’un des gars avait sa bite dans la bouche de Sylvie lorsqu’il éjacula. Un quatrième larron parvient à glisser son sexe entre les gros nichons de ma mère. Elle se retrouva avec une bite dans chaque main, une dans la bouche et une autre entre les seins. La bouche de maman faisait un bruit de succion visqueux pendant sa fellation.
Le quatrième pressait les mamelles entre son membre et commença à se branler. Les autres sexes se faisaient pressant et exigeaient leurs gâteries. Mais déjà, elle eut droit à une double éjaculation : entre les seins et dans la bouche. Elle eut juste le temps d’avaler que déjà, un sexe s’engouffrait dans sa bouche. Elle dut à nouveau pomper. Un autre se mit derrière elle et s’allongea. Il la tira vers lui et elle s’emballa sur sa queue. Cela n’empêcha pas Sylvie d’avoir les sexes dans les mains et dans la bouche pendant que l’homme la baisait.
Celui-ci inspira ses collègues qui se mirent en tête de tous la sodomiser à la chaîne. Naturellement une queue se forma devant et derrière elle. Elle se mit à quatre patte et déjà sa rondelle était mise à mal quoique pas vraiment car cela faisait longtemps que des sexes avaient élargi le conduit culier. Le ballet commença.
Les hommes la ramonaient, jutaient et cédaient leur place. Cela pris une bonne heure et je me demande encore comment le ventre de ma mère avait pu contenir autant de sperme. Pris par son intense activité, elle n’avait pas picolé et elle avait presque dessaoulée. Le cinquantenaire s’était branlé devant le spectacle tout comme moi. On était deux misérables voyeurs. Ma mère s’allongea sur l’herbe pour récupérer un peu mais déjà, un cercle se forma au dessus de son corps.
Ceux qui avaient encore de l’énergie (et du sperme) , se masturbèrent au dessus d’elle et éjaculèrent presque tous en même temps. Elle fut recouverte de liquide blanc de la tête au pied. Une vraie douche de foutre. Elle ne réagit même pas tant elle était épuisée. On avait l’impression d’une loque recevant du sperme à foison. Ma mère eut quand même le réflexe de se malaxer les seins pour bien étaler ce précieux jus. Deux hommes la prirent et la lancèrent dans la piscine en riant. Cela redonna des forces à Sylvie qui nageait déjà vers le bord. Le cinquantenaire tendit alors une liasse bien remplit de billets.
- Tu l’as bien mérité salope ! Je comprends que ton mari ne puisse tenir la marée.
Elle se rhabilla et mis les billets entre ses nibards.
- Bon, je suis toute à votre disposition dorénavant.
- A mon avis, tu manqueras pas de travail dans le coin !
Ma mère se dirigea vers une voiture où l’attendait un chauffeur. Je décidais qu’il était temps pour moi de me barrer vite fait et de rentrer.
Le lendemain, elle se réveilla tardivement. Elle avait dormi dans la chambre d’ami à poil bien sûr. Mon père était barré au boulot. Il s’en fichait qu’elle soit rentrée tard ou pas. Sylvie se fichait que je la vois nue et donc , n’hésitait plus à se balader à poil dans la maison en ma présence. J’aimais voir ses gros seins bouger quand elle se déplaçait. Elle me parla de sa soirée car je la cuisinais bien sur. Elle me cacha par contre qu’on l’avait payé pour ça. J’aurai aimé pouvoir lui dire que j’avais tout vu mais il valait mieux pas. Le soir arriva et déjà , elle se préparait à sortir. Toujours fringuée comme une pute mais de toute façon, n’en était pas t’elle devenue une ?
Ainsi pendant quinze jour non stop , elle sortit le soir et rentrait vers trois quatre heure. Je savais pourquoi. Mon père ne lui parlait plus. Je savais qu’ils allaient pas tarder à divorcer. Mais le destin risquait hélas d’être plus glauque que prévu. Au bout de la quinzaine de jour, mon père et moi fûmes surpris de voir de ne pas la voir rentrée.
Au bout d’interminables quarante huit heures, toujours pas de nouvelles. Nous dûmes signaler la disparition de ma mère au flics. Mon père révéla aux flics leur difficultés de couple et ceux-ci lui dirent que probablement, elle avait désertée le foyer pour aller ailleurs. Mais on savait que non. Trois semaines s’écoulèrent pas de nouvelles et les flics se pressaient pas car ils apprirent lors de leur enquête les mœurs de ma mère. Pour eux, elle n’était qu’une pute de plus qui disparaissait sans laisser de trace.
Déjà, je me souvenait de ce qu’avait dit Jacques : qu’un jour , il lui arriverait malheur à force de jouer avec le feu. Des images horribles me venaient à l’esprit: j’imaginais ma pauvre mère, nue entre les mains de psychopathes pervers de la pire espèce.
Mais peut être qu’au fond, elle avait tout simplement déserté le foyer comme disait les flics. Elle avait tapiné puis cumulé assez de fric, trouvé un autre mec et était parti avec refaire sa vie. Mais la deuxième solution était difficilement plausible car elle aurait prévenu. Nous étions, mon père et moi dans l’incertitude.
En tous les cas, le mois s’écoula mais ma mère ne réapparaissait toujours pas…
Pas de suite
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Pour la fête des mères. Ma femme a promis de me faire jouir ce soir..! J'ai hâte!
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Article 0
BONNE FÊTE A TOUTES LES MAMANS;
QUI NOUS AIMENT,
NOUS PROTÈGENT,
NOUS DÉFENDENT.
UN MILLION DE BISOUS A VOUS
ET UNE GROSSE PENSÉE ÉMUE
AUX MAMANS DISPARUES
DANS LES ATTENTAS
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Histoire du net. Auteur: Erotipaul. La chute..Fin Attention: Chef d'oeuvre!
A la limite de l'irréversible...?
Auteur :Erotipaul
5/5
Viktor était dans l'embrasure de la porte, entièrement nu, cette montagne de chair et de poils ruisselant de sueur, le souffle court, cet air goguenard au visage en me voyant, et son sexe trempé de je ne sais quoi, campé comme une grappe de chair sur ses énormes couilles, tête en avant, prépuce à mi-gland, le méat juteux me fixant avec provocation... J'étais venu pour ça, et apparemment il était déjà en mains... J'en ressentis une jalousie immédiate, et faillis me mettre à pleurer... est-ce qu'il le sentit? Toujours est-il qu'il me fit mine d'avancer et me colla contre son torse, souleva son bras et me plaqua la figure dans son aisselle... Ma température monta de plusieurs degrés et mes oreilles bourdonnèrent... Mais je l'entendis malgré tout me parler tout bas ...
- Désolé, ma chérie, je ne peux pas, là... tu reviendras, tu reviendras et tu auras ce que tu es venu chercher, tu m'auras pour toi tout seul... En attendant...
Il me laissa le temps de me décoller de sous son aisselle, ce que je fis non sans l'avoir embrassé, puis il se dégagea de mon étreinte et attrapa un enveloppe dans le porte documents accroché au mur dans son entrée.
- Le concierge s'est trompé. Descends-donc lui rapporter cette lettre ...
Et sur un sourire ambigu il me referma la porte au nez.
*Viktor m'avait laissé sur le palier come une âme en peine. Enivré par son odeur de mâle, je repris l'ascenseur machinalement. J'étais déboussolé, je m'étais résolu à venir le retrouver, à abandonner toute raison, me livrer à lui, et il n'était pas disponible, avec quelqu'un d'autre, je ne voulais même pas savoir qui, homme ou femme, ça me faisait souffrir.
Il m'avait envoyé chez le concierge pour lui rendre une lettre remise par erreur. Arrivé à la loge, je continuais sur ma lancée et sonnais. Le concierge, vint m'ouvrir. L'arabe me regarda par en dessous - il était plus petit que moi - de ses yeux marrons foncés et perçants. Il avait un sourire aux lèvres et je me rappelai soudain qu'il m'avait vu dans une tenue et des circonstances des plus équivoques, en petite culotte de femme. Tareq.
- Entre, entre, me dit-il chaleureusement avec son accent maghrébin et le tutoiement facile. J'ai fait du thé, tu en prends une tasse avec moi, vite fait...
Voyant mes gestes de dénégation, il insista, un air contrarié au visage...
- Le thé c'est sacré, entre, je vois que tu as une enveloppe, c'est Monsieur Viktor qui t'envoie? je me suis trompé je crois, tu viens de chez lui, il est occupé, hein? Ah ah, Monsieur Viktor toujours en forme, hein!
Il ne me laissa pas de répit, m'entraîna dans sa loge, la pièce principale était encombrée de meubles, une table avec une toile cirée trônait au milieu, encadrée par deux bancs de bois, il y avait des fauteuils dans un coin, une télé posée sur une commode au son un peu fort... Il m'invita à m'asseoir sur un des bancs, fila vers la cuisine, un instant, fouilla dans les placards...
- Assieds-toi, tu vas aimer le thé de Tareq, tu vas voir, une tasse et après tu t'en vas, on discute un peu et tu t'en vas... Pose l'enveloppe sur la table...
Il ne me quittait pas des yeux et je n'aimais pas trop son regard, qui ne fixait pas que mon visage... Je m'inquiétais soudain car je me rendis compte que je n'avais débandé qu'après être entré dans sa loge. M'avait-il vu? J'étais encore tout à ma rencontre avec Viktor... Mais là je n'avais plus la moindre excitation.
Il revint dans la pièce principale avec deux tasses de thé servies - je fus surpris car d'habitude on le sert devant l'hôte, avec un brin de cérémonial... il me le tendit sans attendre...
- Allez bois, goute-le, il est bon...
Je ne voulus pas le vexer et commençais à boire à petites gorgées. Il n'était pas mauvais mais il avait un arrière gout étrange qui me fit grimacer malgré moi. Il n'y prêta pas attention et s'assit en face. Il me dévisageait avec un sourire sous son épaisse moustache, sourire que décidément je n'aimais pas beaucoup. Ce quinquagénaire tout sec dans son jogging délavé, avec ses poils sortant de ses narines et de ses oreilles, me mettait mal à l'aise. Il continua son monologue en y glissant des questions brèves sur ce que je faisais dans la vie, dans quel coin de Paris j'habitais, et parlait du temps, du travail qui est difficile, des habitants de l'immeuble dans un discours sans intérêt et je ne voyais pas où il voulait en venir, je lui répondais laconiquement, par politesse, me dépêchant de finir le thé - pas assez vite cependant car il était brûlant... Je m'ennuyais tellement que me vint un bâillement que j'essayai de réprimer discrètement, sans succès. Le concierge le vit et son sourire s'élargit puis tomba soudainement comme un rideau.
Il se leva avec un air plus dur au visage et se dirigea vers la commode sans rien dire. Je ne comprenais plus rien, lui qui était si bavard et souriant l'instant d'avant. Je pensai à me lever mais le regardai sans bouger. Il se remit à parler, d'une voix plus sourde, nettement moins conviviale...
- Tu es venu voir Tareq, c'est bien... Tu as envie, hein, petit pédé? Tu es venu voir Tareq pour qu'il te calme la chatte, tu ne vas pas être déçu, Tareq il a un bon zob pour toi, mais d'abord tu vas me montrer quelle belle femelle tu es, hein?
Qu'est-ce qui lui prenait tout à coup? Le thé me brulait encore le palais et j'avais terriblement chaud, comme sous le coup de bouffées... Les jambes molles, fatiguées... Pourquoi me parlait-il comme ça? Mes oreilles bourdonnèrent un moment tandis qu'l s'approchait de moi avec dans une main une djellaba, d'un bleu turquoise, brodée aux manches, au col et dans le bas, mais transparente pour le reste, et dans l'autre main un bustier et une culotte dans les mêmes tons bleus nuit... tout ce qu'il y avait de plus féminin, dans un mélange oriental et occidental qui se mariait plutôt bien... Mais que voulait-il faire avec ça! Je ne comprenais pas ce qui se passait...
- Lève-toi, allez, ne m'oblige pas à me fâcher, dit-il en posant les vêtements sur la table
Il m'aida à me relever, je me sentais titubant, mais je me tins debout. A mon grand désarroi il commença à me déshabiller, me déboutonnant la chemise puis le pantalon, me caressant au passage la poitrine, ne manquant pas de me pincer un peu les tétons, ou de me donner de petites tapes aux fesses...
- Dépêche, dépêche, on va bien s'amuser tu vas voir, allez déshabille-toi...
Je lui obéissais sans comprendre, le cerveau engourdi... Y avait-il quelque chose dans le thé? Je sentais une certaine langueur m'envahir, et la chaleur ne me quittait plus et parcourait tout mon corps...
Tandis que je me retrouvais nu, penaud, au milieu de sa loge, il me flatta un peu les couilles de sa main noueuse et je me mis immédiatement à bander, et mon sexe m'envoya une décharge au cerveau... J'étais soudainement en un état d'excitation complètement paradoxal: je n'avais qu'une envie, c'était de sortir d'ici, mais se disputait celle de... de quoi? J'étais semble-t-il prêt à tout! Drogué, il m'avait drogué... Mais avec quoi bon dieu?!
- C'est ça, tu comprends, hein, petit pédé? Je t'attendais, Monsieur Viktor m'avait prévenu que tu passerais... Oh pas aujourd'hui spécialement mais un de ces jours, il m'a dit... C'est marrant que tu viennes aujourd'hui, on va faire ça en stéréo!
Je ne comprenais pas ce qu'il me disait, je grelotais malgré la chaleur... Il me tendit mes nouveaux vêtements et je les enfilais lentement, prenant un temps infini comme s'il s'était ralenti, j'essayais de maîtriser mes gestes et curieusement ils s'enchainaient avec une fluidité sensuelle... Le bustier, qu'il m'aida à serrer dans le dos, puis la culotte, puis la djellaba par dessus la tête... si lentement...
- tu es belle, regarde-toi, me dit l'arabe en me poussant vers la glace d'une armoire au fond de la pièce, après avoir baissé la lumière...
Dans la pénombre, je vis une femme, aux formes très marquées, sur un large torse une poitrine menue relevée par le bustier, hanches replètes, petite culotte gonflée par une bosse anachronique, longues cuisses musclées, le tout sous un voile diaphane... J'étais focalisé sur ce corps quand je sentis quelque chose se poser sur ma tête... je levais les yeux et me trouvai affublé d'une longue chevelure brune... sexy... Mon corps frémis longuement... mes sensations me rappelaient les descriptions d'Anaïs Nin, ces débauches de corps sous opium... Le frôlement de la djellaba sur mon corps, de la soie collée à mon sexe, de la ficelle du string frottant ma raie et mon petit trou, tout cela me provoquait un émoi adolescent...
- Tu as la croupe d'une jument, regarde-moi ça, me glissa Tareq à l'oreille en passant la paume de sa main sur le globe de mes fesses.
Je me cambrais sous la caresse en essayant de lutter contre ce que je faisais, l'allumer, sans vergogne, ondulant des hanches, me collant à lui... Le bruit de la télé se fondait en arrière plan et je n'entendais que ses chuchotements...
- Tu es une vraie cochonne, ce n'est pas bien de chauffer Tareq comme ça, tu ne sais pas ce qu'il peut te faire... Monsieur Viktor il veut que je t'apprenne, il veut que je te dresse... Tu ne devrais pas me faire ça, vilaine...
Il tira un fauteuil vers lui pour ne pas perdre de vue l'armoire à glace et attrapa une petite boite ronde qu'il avait ramené avec les vêtements et que je n'avais pas remarquée. Puis il s'assit et me coucha sur ses genoux avec autorité. J'avais le bassin sur ses cuisses et me retenais au sol des deux mains. Mes jambes pendaient en l'air et j'offrais mes fesses, à en croire mon reflet dans la glace, de manière obscène. Il commença à me les palper, délicatement d'abord, puis plus brusquement, les pinçant, les relevant entre ses mains, larges et puissantes pour sa petite taille, il me fit me relever un peu pour dégager la djellaba et pouvoir la relever sur mes hanches, me caresser les cuisses, remonter entre mes jambes, m'effleurer les testicules... J'entendis la boîte s'ouvrir puis quelques secondes après je sentis ses doigts s'immiscer entre mes fesses... Une matière grasse et tiède se colla à mon anus puis ses doigts l'étalèrent lentement tout autour et dessus, c'était chaud, ses doigts forçaient l'entrée et malgré moi je m'ouvrais, la caresse me procurant un plaisir incontrôlable qui se communiquait à mes couilles en courtes décharges, et ça chauffait encore, ses doigts me fouillant maintenant, deux doigts qui me tartinaient la rondelle dehors comme dedans, il m'attrapait les bords, en frottaient les contours, pivotait dans mon trou en massant les parois, je me trémoussais, gémissais, c'était affreux, cette chaleur qui ne cessait de monter, une brulure à présent...
- Tu es une petite salope, tu aimes que Tareq te travailles le trou, hein? Tu aimes offrir ton cul à des hommes murs, cochonne, tu les cherches, hein? Tu veux leurs mains sur ton corps, tu veux leurs zobs dans la bouche et dans ta chatte, qu'ils te pénètrent, qu'ils te prennent sans douceur, pour te faire crier, te montrer qui commande, être leur femelle soumise et obéissante, pour leur plaisir, tu vas me faire jouir avec ton corps petite salope... Tu vas voir, tu va me demander, et me redemander encore... Ca chauffe bien? C'est à base de piments, mais il n'y a pas que ça... Tu vas me supplier de te baiser, mais d'abord... je vais te punir de me faire cet effet, et te mettre en bonne conditions pour ma queue...
Je le sentais bander sous mon ventre mais ne pouvais deviner ce qui m'attendait là dessous. Vu sa taille je ne devais pas risquer grand chose, par contre sa crème me chauffait le conduit et me brulait l'orifice au point de me démanger. Il y passait le pouce et m'éraflait la chair de son ongle, ce qui me faisait sursauter à chaque passage...
Quand sa main s'abattit, je ne m'y attendais pas et criait quand elle frappa. Ma fesse droite chauffa juste après le choc.
- Mords là dedans, et ferme ta gueule. Tu vas aimer dans pas longtemps, me dit-il en me glissant dans la bouche le manche d'une cuillère en bois. Décidément il avait tout prévu!
Puis il se mit à me fesser consciencieusement, une fesse après l'autre, positionnant sa main pour qu'elle m'empaume bien à chaque fois, et qu'elle claque puissamment. Au début je ne pensais qu'aux coups, et à la douleur, puis petit à petit, face à son silence soudain, sa mine concentrée que je devinais dans la glace ou quand je me retournais sur un coup plus fort et qu'il me toisait d'un regard dur mais encourageant, je commençai à ressentir chaque coup comme une découverte, et des émotions nouvelles m'envahirent. C'était comme une caresse, cette chaleur que réveillait chaque coup, il alternait parfois par des mouvements circulaires, crachait sur mes fesses et étalait sa salive pour les humidifier et que les claques soient plus sensibles, et je me voyais dans la glace, cul relevé, soumis à cet étranger, allant au devant de ses coups en serrant les dents et bavant sur ma cuillère, en appui sur mes mains...
Après une vingtaine de minutes de ce régime, je grognais sans fin, et il changea d'approche, me taraudant d'une main le cul avec son pouce en me chopant les couilles par en dessous, il redoublait de violence dans ses coups de l'autre main. Je criais sourdement, encaissais avec plus de mal tandis que la brûlure me gagnait le fondement... Quelque chose montait, montait, inexorablement... J'hésitais encore à y mettre des mots, mais lâchai tout de même...
- ...itié...
Il me retira la cuillère de la bouche et me fit répéter.
- Pitié... S'il vous plait...
Il sourit d'un air vainqueur et me demanda.
- Pitié? pourquoi? Qu'est-ce que tu veux? Pas que j'arrête, je pense...
- Si, pitié, arrêtez...
- Qu'est-ce que tu veux, dis-le, insista-t-il en me fourrant trois doigts dans mon anus palpitant... Tu es brûlante, femelle... dedans c'est encore plus chaud que dehors... Qu'est-ce que tu veux maintenant?
- Je... je... Je veux que vous me preniez...
Je l'avais dit. Et c'était vrai, le cul me démangeait à un point qu'il me fallait quelque chose dedans, j'avais l'impression que ça me soulagerait, à la fois physiquement et psychologiquement... Je voulais que ça cesse mais pour passer à autre chose, quelque chose de supérieur, de plus plein, d'épanouissant, toutes ces idées flottaient dans ma tête, menaçant de me noyer...
- Tu peux répéter?
- Prenez-moi, s'il vous plaît, baisez-moi...
Je lâchai prise, avec un désir tout neuf qui s'emparait de moi. Jamais je n'avais eu envie de baiser comme ça mais au lieu de me prendre sous les couilles, ça traversait mes reins et venait irradier autour de mon anus, une sensation renforcé par les ecchymoses qui rougissaient mon fessier...
Tareq sourit et m'aida à me relever. J'avais les jambes flageolantes. Il repoussa le fauteuil et le remplaça par un banc, aligné perpendiculairement à la glace, et m'étendit dessus, sur le dos, les jambes tournées vers l'armoire...
Essayant de limiter le contact de mes fesses, ultra sensibles à présent, sur le bois rêche du banc, je prenais une position arqueboutée vers le plafond, sexe dressé dans ma culotte de soie et dentelles bleues... La perruque me donnait chaud au crâne mais je me sentais... femelle, de la tête aux pieds. C'est moi qui fit le geste d'attraper le sexe de l'arabe à travers son jogging, et la surprise me saisit: il avait un long membre épais, moins gros que celui de Viktor mais plus impressionnant vu sa taille... Il fit tomber son pantalon sans attendre et je le vis dans toute sa splendeur, se dresser à mi course, d'un brun profond au bord de larges couilles nues, plus clair sur la hampe et vers le gland, décalotté, un gland plutôt rond, impressionnant par sa taille, comme le bouchon d'une carafe à vin, d'un rose indécent...
- Lèche-moi les couilles, femelle, fais chauffer Tareq, il va te donner ce que tu veux, fais moi bien durcir avec ta bouche ma chérie, passe bien ta langue tu vas voir comme c'est bon...
Il s'avança en s'accroupissant légèrement pour me coller ses testicules frais et humides de sueur sur le visage, et je tendis instinctivement la langue... Il était propre, mais sentait fort le mâle en rut, avec une pointe de caramel qui se mêlait à sa peau... je léchais avidement ses couilles exemptes de poils et la sensation de chair sur mes lèvres, dans ma bouche, m'excitait follement... Il se frottait de temps en temps la raie sur mon nez et je disparaissais dans son cul, qui lui était extrêmement poilu, comme une dense forêt mais soyeuse, et riche en fragrance... Je reniflais sur son ordre et avais la tête qui tournait, je bandais de plus belle en me cambrant sur le banc, je frottais maintenant mon cul irrité sur le bois pour me provoquer d'intenses sensations, me faire mal tellement c'était bon, cet homme, cet arabe sans scrupule qui voulait juste profiter de moi, faire de moi sa chose au nom de Viktor, et je rendais les armes...
Il m'enfourna enfin son sexe dans la bouche, d'abord le gland, pour que je le suce et le lèche, puis enfonçant centimètres par centimètres en m'encourageant... je me sentais chavirer, le cerveau pris par la drogue et le désir croissant, je tétais ce nouveau biberon et repensais à ma femme avec le sexe de Viktor, sa mâchoire qui se distendait.. Bientôt je dus faire la même chose car il avait pris appui des deux mains sur mon torse, non sans avoir attrapé mes tétons à la lisière du bustier, et commençait à me limer, de plus en plus loin...
- Oh comme tu es belle avec mon zob dans la bouche, comme tu me fais du bien...
Il pesait de tout son poids pour s'enfoncer dans ma gorge et moi, la tête retournée, je me mettais dans son alignement pour mieux le recevoir, et cette sensation d'être possédé par la bouche, pris par la bouche, me retourna également le cerveau... j'y étais, comme une star du porno, à me mettre en quatre pour le gober sur toute sa longueur... je l'estimais à 25 centimètres au moins, et il progressait inexorablement, me faisant cracher et tousser, ça ressortait par mes trous de nez et en flots visqueux entre mes lèvres, ajoutant du lubrifiant pour qu'il puisse s'enfoncer plus encore... il me saisit un moment la gorge et je sentis ses mains frôler quelque chose de dur et d'étranger qui coulissait en moi... bon sang, sa bite me pénétrait le gosier au delà du possible, et pourtant... Il m'acheva en se couchant complètement sur moi, tête bêche, s'enfonçant plus profond encore... Mais il me goba lui-même la bite et la sensation fut terrible, lui se déhanchant sur ma bouche, et ma queue disparaissant dans la sienne... Ca dura un temps infini, le voile noir montait derrière mes yeux, j'agrippais ses maigres fesses et les sentais venir buter sur mon visage, ses couilles sur mon nez... Et lui qui me pompait avec frénésie, comme une machine qui s'emballe.
J'étouffais dans mon plaisir et m'évanouis un instant.
Quand je repris mes esprits il me calmait de caresses en murmurant...
- C'est bien, c'est très bien, tu m'as pris entièrement, comme une bonne pute, regarde comme je bande dur pour toi maintenant, tu vas voir comme il est bon mon zob dans ton cul, allez, tourne-toi, face à la glace que tu me voies te chevaucher comme une jument, je vais te dresser je t'ai dit, tu vas aimer Tareq, oui, tu vas aimer qu'il te baise...
J'obéis sans réfléchir, je voyais tout tourner autour de moi, mais la chaleur ne m'avait pas quitté. je m'ouvrais littéralement pour l'accueillir, rehaussant de la pointe des pieds mon cul au dessus de mon torse, plaqué sur le banc pour assurer ma pause, et mes bras jetés en arrières, m'écartant les fesses à pleines mains... Il cracha et cracha encore sur mon anus qui palpitait par anticipation, y plongea comme on touille un plat mijoté trois doigts, histoire de dire qu'il m'avait préparé, se positionna et fondit sur moi, son pieu comme une arme pour me porter l'estocade. D'entrée de jeu il voulait ma chute.
J'encaissai dans un cri silencieux, et comme s'il s'attendait à la suite, me fourra dans la gueule un slip, qui accueillit la suite de mes hurlements. Il n'y allait pas par quatre chemin et visait le fond, rien que le fond, n'ayant pour barrière que mes sphincters encore peu habitués à de tels traitements. Et il forçait, sortait, crachait encore et m'enfilait à nouveau, le fil dans le chas d'une aiguille, ou l'aiguille même, plutôt, eu égard à la douleur de l'écartèlement comme de la butée dans mon fondement. Sans doute aussi ce produit qu'il m'avait mis. Qu'allait-il lui-même ressentir?...
- Oh comme tu es brûlante, ça me remonte jusque dans les couilles! Et comme tu encaisses bien! Il t'a bien ouvert Monsieur Viktor, mais ce n'est pas fini, moi je vais plus loin tu sens? Je fais le chemin pour les nombreux zobs qui vont passer là dedans! tu reviendras voir Tareq, hein? Je t'emmènerai dans les caves, j'ai des choses pour bien s'amuser avec une pute comme toi, et j'inviterai des cousins... Ceux qui bossent sur le chantier de ta femme, ils aiment tous les culs et le tien est encore bon à tirer, tout vierge qu'il est encore... tant qu'on n'y met que des bites, hein! Prends-ça, chienne regarde-toi...
Je ne l'écoutais que d'une oreille distraite mais le sens me parvenait... ils étaient de mèche, peut-être avaient-ils tout manigancé ensemble depuis le départ, ils fonctionnaient en meute, et moi j'étais leur proie, peut-être même ma femme aussi, mais je me faisais prendre et seul cela comptait, je me voyais dans la glace, à pousser mes hanches vers son arbre pour qu'il s'y enracine, rêvant du sexe de Viktor, qui je le savais pourrait m'élargir plus encore, et je me voulais comme une fleur épanouie, offerte à son dard...
La sensation vira très nettement et je commençai à jouir comme une femme, focalisé sur ce sexe qui me taraudait la chatte, oui la chatte, car il glissait maintenant facilement et je me sentais mouiller, fasciné par cet arabe accroché à mes hanches, qui me procurait tant de plaisir. Comme s'il voulait rompre avec ce sentiment, ou me donner plus de plaisir encore qui sait, il entreprit de sortir sa queue, de me claquer les fesses sèchement, pour s'enfoncer à nouveau, forçant mon anus resserré sous les coups. Et comme il recommençait la manœuvre, encore et encore, je profitais pleinement et dans une délicieuse douleur de son gland, et me découvrais doté d'une muqueuse aussi souple que sensible. Fourré, le mot prenait toute sa saveur... Je me faisais fourrer et en bavais de plaisir dans le slip qui me remplissait la bouche...
La séquence dura longtemps... Tareq avait une endurance à toute épreuve, et appréciait visiblement de me chevaucher ainsi. Il suait, dégoutait dans mon dos et mon cou, me murmurait des saloperies à l'oreille, se laissait aller sur mon dos, avec juste les hanches qui me travaillaient en un mouvement de houle... Puissant, concentré, décidé à me donner plus que je ne pouvais supporter, il me mangeait les joues de baisers et je lui tendais malgré moi la langue, les lèvres, pour qu'il m'embrasse et me baise encore... La drogue s'était dissipée ou je n'en ressentais plus les effets spécifiques, la crème pimentée s'était diffusée partout et seule la bite de Tareq me procurait cette indescriptible sensation de chaleur brulante. J'étais tout entier à ce qui se passait et ne pouvait reprocher à personne ni à quoi que ce soit de m'y abandonner ainsi...
J'éjaculais une deuxième fois - quand était-ce la première ? sur le banc, en grognant de plaisir, puis plus tard une troisième, presque douloureuse tellement le foutre me fut arraché en profondeur, et je râlais comme une femelle épanouie...
Mon amant arabe se lâcha enfin, d'un puissant coup de reins final, son jus m'aspergeant les entrailles, et alors qu'il se retirait, me gicla sur l'anus et les reins, tant il avait à m'en donner, depuis des heures qu'il produisait son nectar... C'était chaud, délicieusement dégoulinant, et il m'en badigeonna le corps, en récupéra pour me le remettre dans le trou, et s'enfoncer à nouveau pour le touiller au fond... J'adorais ça et soupirai de bonheur... Et pensai à Viktor, quatre étages plus haut... Avec envie, et jalousie...
Tareq quant à lui se rhabillait -mais il n'avait pas même débandé!-
- Je te baiserai bien encore, mais on m'attend... Tu reviendras, petite pute... Et je te montrerai des trucs que tu ne connais pas encore... Tu as le cul très souple, Tareq il peut te donner beaucoup plus de plaisir...
Je me changeai également, abandonnant ma tenue de femelle avec honte er regret, et me dirigeai rapidement vers la porte...
- N'essaie pas de remonter. Il en a pour des heures encore ? lui aussi il fait une initiation!
Et il rigola d'un air qui me déplut profondément. Avec qui Viktor était-il? Tout d'un coup ça ne m'était plus indifférent. Je repartis néanmoins, si j'ose dire, la queue entre les jambes, et rentrai chez moi. Ma femme m'avait laissé un texto me disant qu'elle prolongeait sa sortie sur la soirée... J'en fus troublé...
La soirée passa lentement, et je me maudissais d'en être là, tombé si bas, à me donner à des inconnus, en y prenant du plaisir, à me dire que je ne le referai plus tout en sachant que devant eux, je ne saurai résister... A attendre de nouvelles opportunités... A me demander si... qui... Ils m'avaient sous leur coupe, et j'en souffrais.
Je me couchai pour essayer de m'oublier dans le sommeil mais celui-ci ne vint pas.
J'entendis donc ma femme rentrer tard, très tard... Elle passa la tête par la porte de la chambre mais je ne réagis pas. Comme elle ne venait pas se coucher, je me relevai et l'entendis chuchoter. N'était-elle pas seule? Si, elle était simplement au téléphone, mais à cette heure, c'était on ne peut plus étonnant. Elle était dans le couloir qui menait à la salle de bains, dans la pénombre, en contre jour entre la salle de bains éclairée et le salon, où je m'étais faufilé discrètement et la regardais par l'entrebâillement de la porte...
Sa silhouette se découpait dans la lumière, elle était en tailleur coupé court au dessus des genoux et en chemisier légèrement débraillé. Elle semblait avoir fait la bringue car sa coupe de cheveux n'avait plus son soigné habituel... Elle tenait un portable à l'oreille...
- Oui, non... (silence) Non il dort... (silence) Oui, oui bien sûr... (silence) Arrêtez, vous le savez bien... Oui... (silence) Oui c'était bon... (silence)
Elle s'était adossée et projetait son bassin en avant, épaules en appui sur le mur, un bras croisé sous la poitrine... Et sa voix se fit plus langoureuse...
- Oui... j'ai adoré... (silence) hein? Oh non, pas ça... (silence) Mais enfin, je ne peux pas, et si... (silence)... C'est dingue, oh mon dieu...
Je m'étonnais de son affolement soudain, mêlé d'excitation évidente... Mais je compris en la voyant se relever, se pencher en avant, et relever sa jupe sur ses hanches, dévoilant ses fesses nues - mais où était passée sa culotte? Mon estomac se nouait face à cette scène incroyable, ma femme, plutôt réservée sur le plan sexuel, qui se donnait à distance à... je n'osais l'imaginer...
Le téléphone coincé entre la joue et l'épaule, elle continuait sa conversation et s'était cambrée au maximum... Elle se doigtait ostensiblement par en dessous en soupirant...
- oui je le sens... (silence).. oui il y en a beaucoup... c'est encore chaud, oui comme moi à l'intérieur... oh espèce de salaud, qu'est-ce que vous me faites faire! (silence)... Non! Arrêtez de m'appeler comme ça... (silence)... Non... Non...
Ma femme se mit alors accroupie dans le couloir, me tournant le dos, et je voyais en contrejour les contours de son sexe écartelé, lèvres gonflées, avec des perles d'humidité accrochées à ses chairs... elle se pencha en avant en m'offrant son cul magnifique, et se crispa, une main glissée sous sa vulve... Et là... je vis avec effroi quelque chose couler, le long de ses cuisses d'abord, puis alors qu'elle se raidissait comme pour pousser, en un flot plus abondant directement dans sa main...
- Oh mon dieu ça sort, ça sort... (silence)... il y en a tant! Oh... hmmm ça me remplit la main, il y en a trop... (silence)... non! non, pas ça, je ne peux pas... c'est dégoutant!
Mais apparemment ses réticences ne restèrent que verbales: se retenant un instant de pousser elle ramena sa main et sa bouche et là, là... Ma femme se mit à lécher avec avidité le liquide qui poissait sa main, à l'aspirer, l'avaler, avec force bruits de bouche et gémissements de honte et de plaisir...
- Oui... oui... (silence) je suis votre salope.. Votre... oh non... Votre ... hmmm ... pute... à vous... à vous... encore...
Et un long frisson s'empara d'elle, accompagné d'un grognement de jouissance coupable, tandis qu'elle relâchait ses muscles et répandait plus de foutre encore sur le sol - il me sembla qu'il lui en sortait également par le cul... Elle vint en lécher les traces, toute à sa jouissance, sans même en avoir reçu l'ordre, comme une chienne lubrique, s'oubliant totalement...
- Oh Monsieur Viktor, monsieur Viktor! dit-elle prostrée, au téléphone qui gisait maintenant à terre... (silence)... Non, non... il ne faut plus!... (silence)... Si... Si... Merveilleux... (Silence)... D'accord.. Bonne nuit...
Je m'enfuis vers la chambre sans attendre la suite, les joues en feu, une excitation au ventre qui n'arrivait pas à me faire bander cependant.
Ma femme vint se coucher quelques temps plus tard. Elle avait pris une douche mais une odeur bien connue lui restait collée au corps. Elle n'osa pas se lover contre moi et me tourna le dos pour s'endormir, ce qu'elle fit comme une masse.
Je ne reconnaissais plus ma femme. Je n'osais imaginer ce qui s'était passé ce jour là, pendant que je me faisais prendre par Tareq, et bien plus tard après l'avoir quitté...
J'allais le savoir dès le lendemain.
Pas de suite.
Le texte s'arrête comme cela.
j'ai essayé de contacter l'auteur sans succés.
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Fais beau... Fais Chaud!
Aérons les salopes pour le plaisir de tous..!
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Histoire du net. Auteur inconnu. Baguette bien chaude...
C'est beau l'éclosion d'un amour juvénile...
Le fils du boulanger.
Cette histoire m'est arrivée alors que j'avais à peine 17 ans. Étant en été, j'ai eu l'occasion de passer deux semaines de vacances chez mes grands-parents, dans un petit village de province. Quelques années auparavant, j'avais fait la connaissance d'un gamin de mon âge, fils du boulanger. Un après midi, alors que je me promène, je le rencontre. Nous faisons un bout de chemin ensemble, discutons. Il m'invite à monter dans sa chambre pour écouter le dernier disque qu'il vient de se procurer. Je le suis.
Il me fait passer par une entrée de service de l'arrière boutique, on monte à l'étage. Sa mère est occupée avec des clients, son père se repose dans la chambre à côté. Il commence très tôt pour faire le pain et les croissants et ensuite faire sa tournée dans les villages alentours.
Arrivés dans la chambre, je m'assois sur le lit, le regarde. Il a l'air timide, me dit :
- C'est la première fois qu'une fille entre ici, je n'y amène que mon meilleur copain.
Il vient s'asseoir à côté de moi, à l'air quelque peu emprunté, ne dit rien. Je le repousse un peu pour qu'il me laisse la place, m'allonge. Il ne bouge pas, puis se tourne vers moi, se met à genoux sur le lit contre moi, me regarde, ne dit mot, je ne sais pas à quoi il pense.
Je lui prends la main, la tire, la plaque sur mon sein. Incrédule, il hésite, s'enhardit, la presse, ce qui le fait durcir et le téton s'ériger, ma respiration s'accélère. Je ne dis rien, ferme les yeux, attends la suite.
- Je peux les regarder ?
Sans attendre la réponse, sa main quitte mon sein, il déboutonne mon chemisier, l'ouvre. Je n'ai pas de soutient gorge, je n'en ai pas besoin, mes seins sont petits et fermes. ( 85 C ) Enfin il parle !
- Qu'ils sont beaux ! Je peux les toucher ?
- Suce mes tétons !
Il prend mes seins l'un après l'autre, les pétrit, agasse les bouts, les suce. Ma poitrine durcit, les mamelons s'érigent. Je remue le torse, le bassin, pousse des soupirs. Je sens que je mouille, laisse faire, c'est bon. Alors que sa bouche aspire un téton, je sens que sa main quitte mon sein, descend doucement sur ma peau, me caresse, passe sur la ceinture de la jupe, continue à descendre, appuie sur mon pubis. Pas de réaction de ma part. Elle arrive sur mon genou, remonte lentement sous la jupe, la soulève, ses doigts frôlent ma cuisse telle une caresse.
Que c'est bon de la sentir aller le long de ma cuisse, passer entre mes jambes. Je bouge, les écarte légèrement. Ca y est, elle est sur ma culotte, passe entre mes cuisses, appuie sur ma vulve, la caresse au travers du tissu, essaie de l'écarter pour y passer les doigts.
Je ne peux pas tenir plus longtemps, j'ai envie de sa bite. J'enlève sa main, me redresse, le repousse, il descend du lit, est debout, me regarde surpris. Je m'assois au bord du lit, ouvre la braguette, passe ma main dans le jean, cherche la queue. Il est tellement surpris par l'attaque qu'il en reste pantois. Il me laisse presser sa bite au travers du boxer. Il bande dur. Je cherche l'ouverture, la trouve, m'acharne à deux mains.
Il ne fait rien pour me facilité la tâche, j'ai du mal à la sortir tellement elle est raide ! Enfin la voilà, elle est belle, de taille moyenne, le gland nettement plus gros que la tige. Je la prends en main, tire sur la peau, le gland devient violet, je commence à l'astiquer doucement. Il ne bouge pas, se laisse faire, regarde mon doigt agacer le méat, incrédule, se demande ce qu'il lui arrive.
Je sorts ses couilles, les soupèse, tire sur la queue, dépose un bisou sur le gland, le mouille avec ma langue. Je m'allonge de nouveau sur le dos, remonte la jupe sur mon ventre, replie mes jambes et cette fois écarte les cuisses en grand.
- Aller, vient !
Il se glisse entre elles, s'allonge au-dessus de moi. Je saisis la queue derrière le gland. D'une main j'écarte ma culotte, de l'autre glisse le gland dans ma fente, l'amène au bord de mon trou, me cambre et d'un coup de rein l'engloutit jusqu'aux couilles.
Il réagit, fait deux ou trois va et vient, bute au fond de moi. Soudain il s'arrête, se crispe, je sens sa bite grossir, se raidir, se contracter. Je resserre mon vagin, il ne tient plus, décharge. A chaque secousse je sens ses jets de foutre m'inonder le ventre. Il me remplit le vagin, c'est bon, c'est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s'arrête lorsque le gland est passé, envoie une dernière giclée, se vide, puis s'enfourne jusqu'au fond, ne bouge plus.
Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, il roule sur le côté, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je ne veux pas salir ma jupe, me lève en vitesse, quitte la culotte, m'essuie avec. Elle est trempée, collante, il en coule toujours, je ne peux pas la remettre, la jette au pied du lit, une forte odeur de sperme envahit la chambre. Bon sang, qu'est ce qu'il m'a mis !
Il est là, allongé, jean ouvert, la bite à la verticale dépassant de la braguette, couilles à l'air, il bande encore, la queue retombe lentement sur le boxer. Je baisse ma jupe, referme mon chemisier, me penche sur lui, prends la queue, colle un bisou sur le gland, ouvre la porte, file en silence. Je passe par l'arrière boutique, personne, je suis dehors.
C'est drôle, je n'ai pas l'habitude de me promener sans culotte, j'ai peur que les gens que je croise s'en rendent compte, je rentre chez mes grands-parents, ils ne sont pas là, ils ne sont pas rentrés du boulot. Aujourd'hui j'ai perdu ma culotte, mon vagin est tapissé de sperme, il en coule le long de mes cuisses pendant le retour, j'en ai certainement encore plein le ventre. Ce coup de bite a été trop rapide, je n'ai pas eu le temps de jouir. Je sens le foutre, passe ma main entre les jambes, mon sexe est gluant, le haut des cuisses collant, j'ai besoin d'une toilette intime.
Je vais directement au lavabo. Heureusement qu'il n'y a personne dans la maison !
Je retourne dans ma chambre, m'allonge sur le lit, pense à ce qui vient de se passer. Il s'est laissé faire, n'a pris aucune initiative, il a fallu que je le guide pour qu'il m'enfile, je ne comprends pas Je le crois un peu timide, ou a t il eu peur de se faire surprendre pas son père qui dormait dans la chambre à côté.
J'ai besoin de me doigter, d'évacuer la pression qui est encore en moi, de me faire du bien. Je passe un doigt à l'intérieur, le sort, le goûte, il reste encore du foutre. Pourtant je croyais avoir tout vider dans les toilettes. Heureusement que je prends la pilule. Ce coup de bite m'a laissé sur ma faim.
……………………….
C'est hier que j'ai eu cette aventure avec le fils du boulanger. Je suis seule mes grands-parents travaillent. Je décide donc d'aller faire un tour dans le patelin ! Et je rencontre le garçon d'hier qui discute avec un copain. On s'embrasse, il me présente. On parle un peu, et le copain trouve un prétexte pour nous quitter. Restée seule avec lui, nous marchons tranquillement côte à côte, parlant de choses sans importance. Chemin faisant, on passe devant le domicile de mes G- parents.
- J'ai soif, pas toi ?
Je l'invite à entrer pour boire quelque chose, car il fait chaud. On entre, on s'installe dans la cuisine, il prend un jus d'orange comme moi. On reste debout, il est un peu gêné de se trouver seul avec moi. Il est devant moi, je regarde la bosse qui apparaît dans son pantalon.
- Attends, j'ai quelque chose à te montrer !
Je vais dans ma chambre. Je sens qu'il est derrière moi, me suit en silence. Soudain je me retourne, il est là, bras le long du corps, interdit, m'examine de la tête aux pieds.
- C'est là que tu dors ?
Je décide de le provoquer. Je m'approche de lui, me frotte, l'embrasse en cherchant sa langue, passe ma main dans son entrejambes, appuie sur les couilles. Je sens une bosse qui déforme de plus en plus son pantalon. Il me repousse
- Qu'est ce qu'y te prend, tes parents risquent d'arriver !
- Non, ça ne risque pas, ils sont au travail !
- J'ai plus rien à faire chez toi, je m'en vais !
Il se retourne et se dirige vers la porte. Je l'attrape par le bras, le retient.
- Pourquoi tu m'as suivi dans ma chambre ?
- Je ne sais pas, par curiosité!
- C'est tout, t'en est sur ? Je vois à la bosse de ton pantalon que c'est parce que tu as envie de moi !
Je m'avance, me colle contre lui, mais cette fois attaque directement la ceinture, puis la braguette. Il me repousse brutalement des deux mains.
- Fout moi la paix, j'avais soif, c'est tout !
Mais j'ai eu le temps de déboutonner la ceinture, d'ouvrir la braguette, le pantalon tombe à ses pieds, l'entrave. Il est tout penaud, prend un air gêné, surtout que le boxer ne dissimule rien !
- De quoi as tu peur, je ne te plais pas ?
- Si, bien sûr !
Je reviens à la charge, me plaque contre lui, frotte mon ventre contre son sexe, met ma tête sur son épaule, d'une main je comprime sa queue au travers du boxer. Il pose ses mains sur mes fesses, remonte ma jupe doucement, passe dessous. Il est sur ma peau, je n'ai pas mis de culotte. Il est surpris, j'écarte les jambes, il passe sa main entre, la met sur ma vulve, l'enserre, la caresse, je mouille.
- T'es toute mouillée !
- C'est parce que j'ai envie de toi !
Je le sens troublé par sa découverte, l'écarte de moi, attrape la ceinture du boxer, tire vers le bas. Son sexe est tellement gonflé et raide que j'ai du mal à descendre le boxer, mais il finit par rejoindre le pantalon. Il a l'air honteux de dévoiler son érection, cache sa bite avec sa main. Je lui dis :
- Approche-toi pour que j'enlève ton tee-shirt !
Il se dégage de l'entrave de ses vêtements, s'approche, me laisse faire, et le voilà à poil devant moi. Je descends mes mains le long de son corps, m'accroupit devant lui, attrape la queue rouge et raide comme du bois, sert la tige derrière le gland violacé, le prend en bouche.
- Qu'est ce que tu fais ?
Je ne réponds pas, absorbe la bite en entier, aspire le gland, le suce avec douceur, passe la langue sur les couilles, les soupèse.
- Arrête, arrête, je vais gicler !
Je continue à le sucer. Je sens le gland gonfler, la tige se raidir. Soudain il m'attrape par les cheveux, se cambre et m'enfonce sa queue en fond de gorge, ses mains bloquent ma tête. Il envoie tout par jets saccadés, c'est épais, j'étouffe, avale, déglutit, ça me coule sur le menton. Il me lâche la tête, recule:
- T'as eu c' que tu voulais, j't'avais prévenu ?
Je ne peux pas répondre, me relève, fonce au lavabo, recrache le surplus, me rince la bouche, lave le visage, soulage ma vessie, fait une petite toilette intime, me parfume un peu. Me voilà de nouveau présentable. Je reviens dans la chambre. Il s'est assis au pied du lit, toujours à poil, bite pendante entre les cuisses écartées, songeur. Ses vêtements traînent au sol, je ne sais pas ce qu'il pense, il a un drôle d'air.
- Tu te promènes toujours sans culotte ?
- Bien sur que non.
- J'ai envie de te voir nue !
- Déshabille-moi !
Il se lève, s'approche timidement, déboutonne mon chemisier, il est fébrile, ses mains tremblent. Le chemisier tombe au sol, la jupe suit. Je recule, me présente à lui d'abord de face, puis de dos, me retourne, me penche un peu en avant, écarte les jambes, glisse ma main entre mes cuisses, enserre ma vulve, enfonce un doigt dans mon trou.
- Comment tu me trouves ?
- Tu es belle ! Enlève ta main ! Laisse moi voir !
Je m'approche de lui, lui prends la main, la plaque sur ma vulve. Il presse mes lèvres gonflées, introduit un doigt dans la fente, le glisse jusqu'à mon trou dans lequel il entre. Je vais prendre une serviette dans l'armoire, l'étends sur le lit, m'allonge dessus, écarte les cuisses. Il regarde ma toison, ne quitte pas mon sexe des yeux.
- Viens !
Il hésite puis s'allonge à côté de moi, s'appuie sur un coude, regarde mon bas ventre. J'ai l'impression que c'est la première fois qu'il voit une chatte de près.
- T'as déjà fait l'amour ? Touché le corps d'une femme ?
- Non, hier c'était la première fois !
- Tu m'as juste pénétré et lâché la purée tout de suite! J'appelle ça baiser, pas faire l'amour !
- Je t'ai pourtant bien remplie !
- Aller, caresse mes seins, suce les bouts, tu vas voir comme c'est bon, ils vont durcir !
Je suis excitée, je sens que je mouille, lui ne rebande pas, il vient de se vider dans ma bouche. Son sexe est à ma portée, je le caresse pendant qu'il couvre mon corps de baisers. Il descend de plus en plus vers ma chatte, fourre son nez dans ma toison. Je remonte les jambes, les écartent au max, cambre et relève le bassin, m'expose. Sous l'action de ma main, la vue de mon sexe et des caresses qu'il me prodigue, sa queue se redresse lentement, devient de plus en plus raide, ça va être bon. J'espère qu'il pourra tenir plus longtemps qu'hier !
- Mets toi entre mes jambes !
Il passe par-dessus moi, se place à genoux entre mes cuisses, ouvre ma fente, mes grandes lèvres recouvertes de poils sont gonflées. Il a l'air de faire des découvertes. Il glisse un doigt à l'intérieur, s'arrête à l'entrée du vagin
- Ouvre-moi, mets deux doigts dans mon trou, fais les tourner !
Il entre ses doigts en entier, son pouce appuie sur mon clito. Un flot de mouille envahit ma fente
- Qu'est c' qui t'arrive ?
- C'est rien, continue, écarte bien les lèvres, enfonce bien tes doigts !
Il a comprit, les fait tourner dedans, les ressorts, tire sur les nymphes, remonte vers mon clitoris. Deux doigts le décalottent, il appuie sur le petit bouton rose qui émerge et durcit.
- C'est ça le clitoris ?
- Oui, caresse le petit bouton, dégage le bien !
Mon bas ventre se cambre, je pousse un cri. Il paraît étonné, recommence, insiste, le roule entre deux doigts, je ne tiens plus, couine de plus en plus fort. Je me redresse, relève la tête, regarde son sexe, il est de nouveau en érection, pointé vers moi. J'attrape sa tête, tire, la fourre entre mes jambes, appuie sa bouche sur mon sexe.
- Vas-y, lèche-moi !
Il glisse sa langue au fond de ma fente, suce les nymphes, titille le clito du bout de la langue, aspire ma mouille, passe sa langue à l'entrée du vagin.
- Viens, prends-moi !
Il se couche sur moi, je prends sa queue, l'appuie sur mon clito, la glisse dans ma fente, elle se bloque devant mon trou. Il pousse, l'entrée lubrifiée, déjà ouverte par ses doigts, se dilate, le gland passe sans peine, le reste suit, il est au fond de moi, s'arrête, ne bouge plus. Pourvu qu'il ne lâche pas la purée tout de suite ! Je remue doucement le bassin, me cambre, je sens ses couilles frotter contre mon cul.
Le voilà parti, il commence de lents va et vient, sort, rentre, va de plus en plus loin en moi.
C'est bon de le sentir à l'intérieur de moi, je goûte ces instants magiques, j'accompagne chaque coup de bite. Il va de plus en plus vite, je sers mon vagin, emprisonne ses reins entre mes jambes pour bien le maintenir sur moi. Ses coups de queue sont de plus en plus rudes, il me l'enfonce jusqu'aux couilles, je les sens taper contre mon cul, il me ramone terrible. La tension monte en moi, ma respiration s'accélère, mon cœur bat la chamade, je suis partie. C'est le nomment qu'il choisit pour m'envoyer plusieurs giclées au fond du vagin, ressort, entre de nouveau, finit de se vider. Je crie
- Ouiiiiiiiii, vas-y, plus fort, encore Oh ouiiiiiiiiiiiii, j'en veux !
Je me cambre, bloque sa queue au fond, défaille, j'ai chaud, retombe. C'est fort, quel orgasme. Cette fois il m'a fait jouir. Il ne bouge plus, est là, aplati sur moi, récupère. Sa queue est toujours à l'intérieur, je sers mon vagin pour bien la sentir, la garder en moi le plus longtemps possible. Je mets les bras sur son dos, je ne veux pas qu'il ressorte tout de suite..
La queue, toujours enfoncée jusqu'aux couilles, diminue, je sens le gland qui recule dans ma gaine, je contracte mes muscles du vagin, comprime le gland, relâche, recommence, je veux qu'il reste en moi.
Que se passe-t-il ? Je sens que le gland, augmente de volume. La tige gonfle et se raidit, s'allonge. Je la sens qui se redresse.à l'intérieur de moi Un soubresaut, le gland toujours en retrait, envoie une giclée au fond de ma gaine. Je n'en reviens pas, il en a encore !
Il sort de moi, donne un coup de rein, entre sauvagement, se rue au fond de moi, ressort, recommence, il s'acharne dans mon ventre. Voilà qu'il gicle de nouveau, c'est pas possible, c'est bon, c'est chaud. Chaque coup de piston me fait crier de plus en plus fort :
- Ohhhhhh, Ahhhhhhhh, Ouiiiiiiiiiiii, défonce-moi !
Je perds la tête, j'ai l'impression que mon cœur s'arrête, je respire difficilement, décolle, plane. Encore un orgasme, plus fort que celui de tout à l'heure Il m'a encore bien servi, je le repousse, sa bite quitte mon antre, le sperme coule dans ma fente, dans la raie des fesses, sur mes cuisses, sur la serviette tellement il y en a.
Je me lève, sorts de la chambre, vais dans la salle d'eau, il me suit. Je m'installe sur les toilettes, ouvre largement les cuisses, écarte les bords de mon trou, vide mon vagin, en profite pour me soulager la vessie, m'essuie. Il me regarde, intéressé.
- C'est la première fois que tu vois une femme pisser ?
- Oui, moi aussi j'ai envie que tu me regardes.
Je me lève, lui laisse la place, le regarde viser la cuvette, le jet est un peu dispersé, il arrose un peu les bords. Puis il vient vers moi, me dit :
- Laisse moi te laver !
- Si ça te fait plaisir !
Je lui donne un gant de toilette, il le mouille, l'enduit de savon, le passe entre mes cuisses, dans ma moule, le rince, recommence. J'ai besoin de plusieurs passages tellement mon sexe est enduit de sperme, il en coule encore. Il m'essuie, s'accroupit devant moi, m'écarte bien les jambes, dégage mon clito, y passe sa langue, le suce, l'aspire, il bande. Ses lèvres tirent sur mes nymphes, sa langue va jusque dans mon trou. Je mouille, c'est bon. Mais on a plus le temps, je le repousse :
- À moi maintenant, passe-moi ta queue, je vais la laver !
Il se met devant moi, je la prends en main, l'enduit de savon, fait coulisser ma main sur sa queue, la lave soigneusement, la rince, l'essuie. Voilà qu'il rebande, c'est pas vrai. Je donne une tape dessus. Il me retourne brutalement, me plaque le buste sur le lavabo, passe ses jambes entre les miennes, les force à s'écarter.
- Qu'est ce qui t'prend ?
Je sais ce qui va se passer, je remue le cul, place ma fente à hauteur de sa bite, il la glisse dedans et d'un coup de rein m'enfile. Il me burine sec, chaque coup est accompagné d'un : Han, han, han. J'ai chaud, je fatigue, donne un coup de cul, me dégage.
- On a plus le temps, ça fait deux heures qu'on baise, tu dois partir !
On retourne dans la chambre, on se rhabille, je vire la serviette au sale, ouvre en grand la fenêtre, la pièce a besoin d'air. On repasse dans la cuisine, on crève de soif.
- Tu sais, j'avais un peu peur, je n'ai jamais baisé, je t'ai déçu ?
- Non, pas du tout, tu m'as fais jouir deux fois.
- Je n'avais jamais fouillé un sexe de femme. Tous ces plis, ce petit bouton rose, la fente ! Ca a un drôle de goût !!.
- Tu apprends vite, j'ai mouillé terrible quand tu as introduit tes doigts puis fais bander mon clito ? Tu as goûté ma cyprine, t'aimes ça ?
- Non c'est âcre! Et toi mon sperme, fallait pas me sucer !
- Je ne voulais pas que tu gicles en entrant dans moi, comme hier ! Les préliminaires, ça t'a permis de connaître le sexe d'une femme, et à moi, d'avoir vraiment envie de me faire sauter. Aller, mes grands-parents vont rentrer du boulot, faut pas rester là ! Qu'est ce que tu as fais de la culotte que j'ai laissée chez toi hier ?
- Je ne savais pas quoi en faire, elle était toute collante, je l'ai mise à la poubelle.
- T'aurais pu la mettre dans un sac plastique et me la rendre !
- Je ne voulais pas que ma mère la trouve !
Je vais refermer la fenêtre, il retourne chez lui, les couilles bien vides. Je l'embrasse sur la joue, lui dit :
- À demain, entre nous, pour une première fois, tu baises pas mal. Qu'est ce que tu m'as mis ! Je sens qu'il en coule encore !
Il passe sa main sous ma jupe, touche ma vulve, elle est de nouveau collante.
- Remets une culotte, reste pas le cul nu ! Bye, bye !
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Un Jeudi en vrac... Tofs
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Histoire du net. Auteure: Charline88. Confession
Quand une femme raconte ses troublantes
découvertes sensuelles..
Ton ami Mario
Auteur : Charline88
Le temps est à la neige. Les nuages bas, lourds sont les reflets de mon âme ce soir. Mélancolie, toute la journée tu m'as accompagnée, amie indésirable, trop fidèle à mon goût et je n'espère plus qu'une seule chose, le retour de mon mari.
Il est parti tôt ce matin, pour traiter une affaire, comme de coutume, nous n'en avons pas parlé, sujet tabou que celui de son travail et je respecte cela comme il respecte le mien.
Je me languis de lui, je voudrais qu'il soit là, qu'il me prenne dans ses bras, qu'il me parle tout bas, qu'il me dise les mots que j'attends.
Il sait si bien trouver les phrases qui m'apaisent, si bien me faire oublier cette solitude que nos emplois respectifs nous imposent.
J'ai, depuis son départ ce manque en moi, comme si l'envie de lui allait tout arranger, comme si le fait de faire l'amour avec lui allait me permettre de me remettre d'aplomb.
Le téléphone vient me déranger dans ces pensées et voila que lorsque je décroche, mon cœur fait un bon dans ma poitrine, juste au son de la voix de cet homme que j'aime, de celui que j'ai épousé depuis seize années maintenant.
Michel me dit qu'il est sur la route du retour, qu'il m'aime et qu'il a envie de moi. Il m'explique aussi qu'il a rencontré en chemin, dans un restaurant où il a pris son déjeuner, un de ses amis de longue date. Il m'explique succinctement qu'il l'a invité et me demande s'il doit passer chez le traiteur avant de rentrer où si je veux préparer moi-même le repas du soir.
Je comprends donc que son ami est invité ce soir et pour que le temps me paraisse moins long, je décide de me mettre aux fourneaux.
Mon mari raccroche et je me mets à la popote, je veux l'éblouir par mes talents de cuisinière. Tout en m'affairant sur les plats que je confectionne, j'ai un vague regret de la venue de cet intrus, j'aurais aimé prendre Michel par le cou dès son retour et lui faire l'amour rapidement, comme pour épancher cette soif, cette faim de lui.
Je vais rester sur de la cuisine traditionnelle des Vosges, pâtés lorrains et salade verte en entrée, puis des viandes fumées, saucisses et pommes de terre rissolées, tarte aux myrtilles pour clore ce dîner.
A la cave, je trouve un petit « Pinot noir » Alsace, je sais que Michel affectionne tout particulièrement ce petit vin de terroir.
Un Bourgogne pour accompagner le reste de la soirée devrait mettre l'eau à la bouche de l'invité de mon mari.
Ensuite, je prends une douche, puis passe un temps infini à me rendre présentable, juste pour lui faire honneur.
Le creux au ventre que j'ai depuis ce matin ne m'a nullement quittée, juste qu'il s'est incrusté plus profondément en moi, en attente, comme tapis, guettant sans doute le meilleur moment pour renaître.
En attendant ton retour, je me glisse quelques minutes au dehors, sur la terrasse de notre chalet et l'eau du lac devient sombre avec la lumière du soir qui descend.
Le vent apporte cette odeur particulière des jours où il va neiger. Je suis certaine que cette nuit, les papillons blancs seront au rendez-vous de l'hiver.
Sur la surface de l'eau qui frissonne, il me semble que le vent courre et je rentre, transie, pour allumer la cheminée dans le salon. Je sais que tu aimes ce feu de bois et que tu seras heureux de prendre l'apéritif devant les flammes dansantes de l'âtre.
Vers vingt heures, j'aperçois les faisceaux des phares qui balayent la nuit déjà bien sombre de ce vendredi soir de décembre.
Un moment encore et le ronronnement du moteur de la porte du garage annonce ton retour. Un second bruit de moteur me laisse penser que ton ami, a lui aussi, remisé son véhicule, sans doute as-tu aussi senti que les flocons allaient tomber.
Je suis heureuse de ton arrivée.
Tu es là, devant moi, enfin. Derrière toi, un homme de ton âge, les cheveux bruns, me regarde maintenant et son regard me détaille, presque de manière impudique. Ces yeux viennent frôler mes courbes, en commençant par la poitrine pour courir sur mes reins et s'attarder le long de mon ventre, venant mourir sur mes jambes gainées par le nylon des bas que j'ai mis pour toi.
Ce déshabillage me crucifie un peu, me déstabilise, d'autant que lors des présentations courtoises que tu fais, l'homme que tu prénommes Mario ne quitte pas mes yeux.
La main qu'il me tend pour me saluer, me semble s'éterniser dans la mienne.
Toi, tu me donnes un léger baiser sur les lèvres, devisant gentiment sur la route, sur le temps qui est menaçant.
Ton ami me fait un compliment sur les bonnes odeurs qui nous reviennent de la cuisine. Il me dit aussi que je suis jolie, que tu as de la chance d'avoir une aussi jolie femme et toi tu éclates d'un rire communicatif.
Je vous débarrasse de vos manteaux, puis je vous dirige pour l'apéritif, vers le salon où les flammes virevoltent dans le foyer.
Vous êtes assis face à moi et nous buvons doucement les verres que je vous ai servis. Pour toi, je savais d'avance que tu prendrais un « Glenfiddisch », Mario s'est rallié à toi. Pour ma part, je me contente d'un « Bloody-Mary », auquel j'ai rajouté nombre de glaçons.
Je sens ton regard amusé sur moi, et quand je me lève pour aller jeter un œil sur le four que j'ai remis en marche pour mes pâtés lorrains, tu me suis.
Dans l'oreille, tu me glisses doucement :
- J’ai envie de toi, j'ai envie que tu sois un peu chaude, un peu salope ce soir !!!
Alors que je me tourne pour te regarder, ayant peur d'avoir trop bien compris ce que tu viens de me dire, tu clos toutes formes de questions en me posant tes lèvres sur la bouche, pour un baiser langoureux et tendre.
Puis, tu t'éclipses sans un mot, pour rejoindre ton invité. Tu viens de réveiller en moi cette bête qui sommeille.
De retour au salon, je vous trouve en pleine discussion sur l'état du temps et comme moi, tu as senti cette odeur de neige qui nous environne.
Assise face à vous deux, je te vois de temps à autre me regarder; à la dérobée, et de la main que ton ami ne voit pas, tu me fais des signes que je ne veux pas interpréter.
Deux de tes doigts, serrés l'un contre l'autre, s'écartent l'un de l'autre dans un V renversé. Je sais parfaitement que tu veux que j'écarte les jambes pour que Mario ait une vue plongeante sur mon entrejambe.
Je ne bronche pas, morte de honte par cette invitation à m'exhiber devant cet inconnu.
Mon corsage rouge et noir se soulève au rythme de ma respiration que tu accélères par tes gestes répétés.
L'apéritif se poursuit mais j'aimerais qu'il soit déjà terminé. Je sais que ton ami regarde sans arrêt vers moi, tentant de déceler la couleur de ma culotte, voir pire, tentant d'apercevoir ma petite toison sombre cachée entre mes jambes. Curieusement, cette situation m'excite, contre mon gré, mais c'est sans doute parce que depuis ton départ, j'ai envie de toi, de ton sexe et de faire l'amour avec toi.
Ouf, enfin tu veux passer à table et je suis soulagée de me mettre debout pour rejoindre la cuisine alors que vous, vous vous rendez dans la salle à manger.
Chacun de vous a pris place et je me retrouve en face de ton ami. Mes pâtés et mon Pinot ont un franc succès.
Vos langues se délient au fil de l'absorption de ce divin breuvage. Le plat de résistance lui aussi, est adopté à l'unanimité et c'est vos rires qui me disent combien vous appréciez ce dîner.
J'ai senti un pied frôler le mien que j'ai retiré précipitamment. Mario me fait des montagnes de compliments sur ma façon de me vêtir, sur ma cuisine, enfin il me trouve pleine de qualités et il en rajoute des tas, me mettant ainsi mal à l'aise.
Ensuite le dessert, puis un bon café, « Senséo » oblige.
Pendant que je dessers la table, vous repartez au salon pour un digestif que vous semblez apprécier.
Alors que je finis de ranger la cuisine, je te trouve soudain devant moi et tu as les yeux brillants.
- J'aimerais que tu sois juste gentille avec mon ami, que tu sois un peu… Chaude ce soir, juste pour nous allumer !!! »
Pendant que tu me dis cela, je te sens terriblement excitée et je vois la bosse qui déforme ton pantalon. Je ne sais pas quoi te répondre, du reste je n'en ai pas le temps que tu es de nouveau reparti vers le salon.
Je reviens au salon, vers vous deux, un peu tendue par ta demande. Vos deux regards me suivent alors que je viens reprendre ma place sur le fauteuil, près de l'âtre qui nous renvoie sa douce chaleur.
Tu as cependant réussi à me donner un petit point au creux des reins, et je me sens toute moite, je songe que je mouille ma culotte.
Mario, son verre de Cognac à la main te demande mille et un détails sur notre maison, sur l'hiver, mais son regard reste rivé sur moi.
Il y a tant d'insistance dans cette façon de me regarder que j'ai l'impression d'être plus que nue.
Tu te lèves pour mettre un peu de musique et enfourner une bûche dans la cheminée.
Sans rien demander, tu verses à nouveau un alcool fort à ton ami et d'autorité, tu me mets un verre de cognac dans la main. Mario lève son verre et porte un toast, je bois le breuvage qui me brûle instantanément le fond de la gorge.
Alors que tu passes devant moi pour reposer la bouteille sur le petit bar du salon, tu me fais à nouveau signe avec tes doigts d'écarter les jambes. Je m'enfonce d'avantage dans le fond du fauteuil, mais je ne bouge pas d'un millimètre les gambettes.
Je te sens nerveux, je vois bien que tu es contrarié par ce refus tacite d'une situation ambiguë.
Alors au lieu de revenir t'asseoir près de ton ami, tu longes mon fauteuil, t'appuies contre le dossier et tes mains viennent enlacer mon cou. J'ai droit à de petits bisous dans la nuque, pendant que tes mains glissent vers le décolleté que j'ai mis pour te plaire.
Je tente de les repousser mais elles insistent, et Mario qui me dit d'une voix ferme, qui ne souffre d'aucun recul possible :
- Laisse le faire, écarte tes jolies cuisses, pour que j'imagine ta grotte profonde !!! ».
Tes mains se sont crispées sur moi, comme pour me retenir, prisonnière de tes envies, de tes fantasmes.
Je cherche encore à échapper à ce que je devine comme inéluctable. Et mon corps qui marche à l'envers de ma tête, je le sens fondre, je le sens qui laisse monter cette impétueuse envie, cet impitoyable désir qui me chavire déjà.
Mon esprit dit non et mes cuisses s'ouvrent. Tu sais que tu viens de gagner le premier round.
Mario s'est déplacé, tu me tiens encore plus fort et tes lèvres cherchent les miennes. Ta langue les force à s'ouvrir alors que ton ami est à genou devant moi.
Dans un dernier sursaut d'orgueil, je tente de refermer les jambes, mais c'est trop tard, l'homme a déjà plongé sa main entre elles deux. Je ne peux plus qu'avancer mes doigts pour essayer de faire repartir l'aventurière qui se fraye un chemin en frottant l'intérieur de mes cuisses. Rien n'y fait, la main arrive à la limite extrême ; là où mes bas laissent apparaître un peu de peau.
Elle continue sa lente reptation et l'élastique de ma culotte est tendu, puis un doigt tente sa chance vers mon abricot doré et j'entends Mario qui te dit :
- Elle mouille bien ta petite cochonne, elle aime cela, je crois que tu as raison, elle doit être bonne ».
Il me tripote devant toi, et tu laisses faire, il me touche le sexe et je mouille, il me dit des mots orduriers et tu souris. Tes mains à toi se sont maintenant agrippées à mes seins et c'est sans façon que tu ouvres le chemisier rouge et noir, que tu dégrafes mon soutien-gorge.
Mes deux globes laissent apparaître leurs bouts sombres, tu t'empresses de les prendre, l'un dans ta bouche, l'autre entre les doigts.
Le dernier bastion de ma vertu s'envole en glissant le long de mes bas et je n'ai pas le temps de tenter quoique ce soit que la petite boule noire de ma culotte est au sol.
Mario, d'une main ferme, m'oblige à écarter largement les cuisses et tu me plaques contre l'accoudoir du fauteuil, à demie couchée.
L'autre profite de la situation et c'est maintenant sa bouche qui vient se poser sur mon sexe. Tu me tiens les mains pour que je ne repousse pas l'assaillant, mais en ai-je vraiment envie maintenant ?
Je cède sur tous les points, vaincue par votre force physique, mais surtout, par mon corps qui prend le dessus avec son désir latent depuis ce matin. L'alcool aussi doit m'être néfaste, enfin c'est ce que je pense.
La bouche qui entrouvre mon minou, lance sa langue en expédition et celle-ci arrive à remonter jusqu'à mon clitoris qui immédiatement m'envoie de petites décharges électriques, prémices de l'orgasme qui pointe à l'horizon.
Je gémis en vous traitant de « salauds », je glousse doucement sous la caresse savante et si bien ciblée.
Tu sais que je suis perdue, alors tu me lâches pour te déshabiller. Quand tu es nu, tu présentes ton sexe raide et dur à mes lèvres que j'ouvre pour le happer goulûment. Je suce ton pieu ; je lèche ces couilles qui me donnent tellement de plaisir et ton ami en profite pour se mettre nu lui aussi. Vous êtes dans le plus simple appareil et je suis en train de te faire une fellation alors que Mario me plonge un doigt tendu tout au fond de mon intimité. Je n'en reviens pas, en quelques minutes je viens de passer de l'épouse respectable et respectée à la salope lubrique que deux mâles en rut vont se taper.
C'est moi, moi seule qui avance mon bassin pour que la langue qui me fouille le bas ventre entre encore plus en contact avec mon bouton rose. C'est aussi moi qui tiens ta queue entre mes doigts pour lécher ce manche qui est dur comme un bâton.
Je m'entends geindre sous les caresses de ton ami, je sais que je râle de plaisir sous cette langue inconnue qui me lape le jus qui coule de ma fente ainsi câlinée.
Puis, vous inversez les rôles et c'est un autre sexe qui m'arrive dans la bouche, mais là encore je ne me pose plus aucune question, je suis en chaleur et je prends un incroyable plaisir dans cette situation de soumission totale. Tu es mon mâle, mon maître, j'ai juste envie de jouir, de me faire mettre, d'être prise comme une chienne.
Je ne me rends plus compte de rien et c'est les mains attachées que je me retrouve à quatre pattes sur la moquette de notre salon, avec un Mario qui commence à me donner une fessée.
Vous m'avez mise en travers de tes genoux, et je reçois une volée, comme une écolière punie, alors que je rue un peu, le feu aux fesses.
Ensuite, je suis liée sur la table du salon, chacun de mes membres étant arrimés à un pied de celle-ci.
C'est avec une ceinture que vous jouez sur la peau tendre de mon dos, de mes cuisses, de mes fesses encore.
Le plus étrange de la chose, c'est que je commence à apprécier ce traitement. Oh !! Vous ne me faites pas vraiment mal, c'est juste un jeu, avec quelques caresses appuyées ; mais parfois, un coup est plus violent que les autres et je hurle comme une damnée.
Et je vois bien l'effet que cela vous fait puisqu'à tour de rôle, vous venez me mettre dans la bouche que je garde largement ouverte, vos bites qui ne se détendent plus.
Tu restes ainsi avec tout ton sexe enfoncé dans ma gorge de longues secondes et j'ai des haut-le-cœur qui vous font éclater de rire, tous les deux ensembles.
Puis c'est ensemble que vos queues se présentent à ma bouche qui ne peut pas les refuser, même si elle a un peu de problème pour les contenir les deux.
Je suis détachée de la table et Mario me couche sur le dos sur la moquette, son sexe s'enfonce en moi, entraînant une frénésie de gémissements qui font sûrement trembler les murs de notre logis.
Quand il est bien au fond de mon vagin et que ses va et vient m'emportent vers des cieux ignorés, posant ses mains sur mes fesses, il m'oblige à tourner sans sortir de moi. J'ai les fesses en l'air et c'est toi qui maintenant te couche de tout ton long contre mon dos.
Je sens tes doigts qui écartent ma raie et ton pieu de chair qui s'ouvre un chemin entre mes fesses. Je n'ai qu'un petit cri quand tu entres dans ce conduit étroit et j'ai l'impression que vos deux bites sont côte à côte en moi. Vous réglez vos allées et venues et un long pistonnage commence.
C'est un vrai délice que de sentir vos deux bites qui me liment en cadence. Je hurle de ce plaisir qui m'emmène vers des soleils aux couleurs indescriptibles, vers un feu d'artifice de plaisirs interdits, vers un bonheur inégalé.
Et la soirée ne fait que débuter pour vous, il me faut encore subir vos assauts répétés, mais tellement bons.
Je me découvre en femme tringlée par deux hommes, je deviens la salope dont tu rêvais, je suis la pute que tu donnes à tes amis, je suis la pute qui veux encore être baisée.
Je passe d'une bite à l'autre, sans plus aucune pudeur, sans me soucier de ce que maintenant tu peux penser. Tu as voulu me prêter et bien je vais jusqu'au bout de l'expérience, allant au devant des désirs de l'un ou de l'autre, sans savoir si c'est ce que tu veux.
Je suis mise dans des positions que je n'aurais même pas cru possible, je suis sans cesse avec un sexe en bouche, tantôt enculée, tantôt enconnée.
Et quand je sens que Mario est prêt à jouir, je garde son vit bien en place dans la gorge, alors que monte la semence qui le libère.
J'en avale une grande partie et avec le reste je viens chercher ta bouche. Le baiser que tu essaies de refuser, je te l'impose et accrochant mes mains derrière ta tête, pour que toi aussi tu boives le calice, jusqu'à la lie.
Finalement, c'est vous qui êtes les premiers à jeter l'éponge alors que moi, j'ai encore une envie folle de sexe et vous n'êtes plus en mesure de me servir.
Pendant que vous reprenez quelques forces, un verre que je vous ai servi en main, je prends une douche, encore très excitée par ce que je viens de subir. Comment as-tu pu ainsi m'offrir littéralement à cet homme, inconnu de moi il y a trois heures encore ???
Sous l'eau qui me revigore, sous les jets tièdes, je revois défiler le film de cette soirée, les images remontent en cascades à la surface.
Pourquoi mon corps n'est-il pas au diapason de mon esprit ? L'un dit non, l'autre exulte dans l'abjection et c'est toujours mon plaisir qui l'emporte sur ma raison.
Je frotte avec minutie chaque partie de moi que vous avez touchée, frappée aussi parfois, comme pour en effacer le souvenir.
Rien n'y fait et les clichés de ce que je viens de faire reviennent, avec une force insoupçonnable. Je vous revois me mettre les mains partout, enfin surtout sur les zones les plus érogènes de mon anatomie.
Je revois le sexe épais et long de ton ami qui se faufile dans le canal étroit de mon anus, je sens lorsqu'il pousse la porte de ce corridor sombre et je ressens le moment précis ou le gland s'enfonce dans cet endroit peu usité.
J'aurais pu croire qu'avec un pareil engin, j'allais souffrir, mais pas du tout, la lubrification par sa salive et les longs préliminaires dont vous m'aviez gratifiée ont fait leur effet. Rien, pas une petite douleur, juste la sensation d'une présence, que les va et vient ont vite atténué. Ensuite, ta langue à toi qui me fouillait la chatte pendant que j'étais sodomisée, c'est finalement là aussi le plaisir qui l'a emporté sur ma peur, sur cet étrange creux au ventre qui s'est finalement libéré en jets de cyprine incontrôlables.
La douche laisse fuser l'eau sur ces parties que ma main frictionne et les images appellent d'autres envies.
Je sens à nouveau la montée de chaleur qui fait frissonner mon épiderme et je sais que j'ai encore besoin d'être à toi, peut-être à vous, si tu le veux.
Alors que je me sèche, tu viens me retrouver, te colle à moi avec des mots doux, et tu me demandes « pardon ».
Tu me dis que tu aurais dû me prévenir, que tu aurais dû me laisser le choix, mais que sans doute la peur a accentué ma jouissance.
Je dois reconnaître que sur ce point, tu as entièrement raison.
Tu pénètres sous la douche alors que je sors de la salle de bains. Mario est toujours dans le salon, un verre à demi plein à la main.
Je reviens vers le feu pour remettre une bûche et il me passe la main sous la sortie de bain en éponge que j'ai passé pour revenir au salon.
Sa main frôle mes fesses et je fais mine de ne pas m'en apercevoir. Il me prend par le poignet dès que j'ai refermé la porte de l'âtre et il m'attire vers lui. Je ne sais qu'elle contenance adopter. Je n'ai pas le temps de m'en rendre compte que déjà sa bouche dévore goulûment la mienne.
Il me dit des mots crus, que je suis une belle salope, que je suis bonne, que je suis chaude et pendant que je réponds à son baiser, il me passe la main sur la moule, faisant entrer plusieurs de ses doigts dans ma fente littéralement liquéfiée.
Ma main touche dans un geste incontrôlé sa bite encore bien tendue et la sienne qui appuie sur ma nuque me force à baisser la tête. J'ai saisi, il veut une pipe et me voila encore une fois, lancée dans une sucette qui le ravit.
Il me couche sur le dos, et sa queue entre en moi, profondément, il me remonte les cuisses et les fait passer sur ses épaules.
La pénétration est sauvage, et je me mets à gémir, des cris, des soupirs que tu dois entendre jusque sous la douche. Mais je ne peux plus me retenir et mon bassin ondule sous la possession du mâle qui me baise.
J'ai les yeux fermés et sur mon front, je sens un objet qui vient se frotter. C'est toi qui es revenu et tu t'es agenouillé, de telle manière que ton sexe touche mes lèvres. Je commence à te lécher les couilles, mes mains sont sur la poitrine de ton ami et mes ongles labourent son poitrail, y laissant de longues traînées rouges.
C'est reparti pour une longue jouissance, je ne retiens plus rien, je m'appliquerais même à l'entretenir, c'est tellement bon, c'est presque magique et toi non plus, tu ne te contrôles plus. Ton sperme jaillit entre mes lèvres, coulant dans ma bouche, il descend dans mon gosier et j'avale ta substance un peu acre.
Mario, dans un grand soupir éjacule en se retirant. Il asperge la mini touffe poils que je garde pour n'être pas totalement lisse.
Sa main guide la mienne vers cette averse gluante et mes doigts étendent sur mon ventre et sa verge, le liquide qu'il a laissé gicler.
Je deviens comme folle et je crie, je ne veux pas être ainsi laissée vide, je veux que l'un de vous occupe mon vagin, je réclame, j'ai une envie folle de baise, je tremble en gueulant que je veux être encore bourrée par une de vos bites.
Tu te recules, sans doute légèrement apeuré devant cette débauche affichée, cette dépravation que tu as provoquée. Avec ma bouche, je tente de ranimer la flamme de ta bougie, qui est semi-molle.
Quand je la crois suffisamment dressée, je m'empale dessus et c'est ton ami qui maintenant me présente son vit pour une gâterie buccale.
Tu ne bouges que très peu et moi, comme une forcenée, je remue de partout mon joli cul pour satisfaire ce besoin impérieux d'être possédée par cette queue.
Nous avons fait l'amour jusqu'à l'aube, vous m'avez tringlée tour à tour, j'ai pris un pied d'enfer avec vos sexes et j'en ai redemandé.
Quand au lit, nous avons enfin pris un peu de repos, je ne sentais plus ces parties de moi que vous aviez si bien pistonnées.
A mon réveil, tu avais préparé mon petit déjeuner et ton ami avait disparu, mais tu m'as assurée qu'il avait apprécié cette partie de cul que tu m'avais finalement imposée.
Nous avons limé doucement une fois, juste avant que je me lève, mais la jouissance n'a pas été géniale, c'était juste pour me calmer les nerfs…
Finalement j'aime cela, et je t'aime pour me donner autant, voir pour me faire donner ce plaisir que tant de femmes voudraient connaître…
Alors tu sais bien que nous recommencerons souvent, enfin quand tu en auras envie, finalement, c'est toi qui décideras…
Baisers tendres à toi !!! Et à ton ami !!!
Claude !!!
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Que peut faire comme cadeau,
un mari à l'amant de sa femme?
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La production de votre serviteur.
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Histoire du net. Auteure inconnue. Payer de sa personne.
Vous savez ce que l'on dit du mariage?
Pour le meilleur et pour le pire.
Mais c'est quoi le meilleur ou le pire?
Mais c'est quoi le meilleur ou le pire?
Une terrible aventure
Je m'appelle Virginie, j'ai 31 ans, je suis mariée depuis 7 ans et je suis maman d'une petite fille de 4 ans. Je mesure 1m69, je suis brune aux cheveux courts au carré et sans fausse modestie, je suis assez jolie, si j'en juge par les regards insistants qui suivent mon passage quand je marche dans la rue. J'ai en outre fait une (courte.) carrière de mannequin. Nous habitons Paris, et je connais mon mari (qui a 34 ans) depuis 13 ans et nous nous aimons passionnément. C'est le premier homme que j'ai connu et ça a été le bon. Bref, nous sommes un jeune couple heureux et sans histoires.
Mon mari est cadre dans un groupe international spécialisé dans la construction de sites industriels, il est promis à une carrière des plus brillantes. Il y a quelque temps, nous avons été invités à une soirée élégante par un de ses clients qui était sur le point de conclure un contrat de très grande ampleur avec mon mari. Si ce projet se réalisait, mon mari serait propulsé au conseil d'administration de l'entreprise... son désir le plus cher.
Pour cette soirée et pour faire honneur à mon mari, je décidais de m'habiller très élégamment. J'avais opté pour une robe noire en satin très moulante, arrivant sous le genou et fendue jusqu'au milieu de la cuisse et avec un décolleté en V très profond dans le dos, le devant étant un ras du cou que j'ornais d'un rang de perles. C'est dans toute ma garde-robe, la seule tenue vraiment sexy, même si j'ai horreur de ce mot. Le regard que me lança mon mari quand il me vit sortir de la chambre ainsi vêtue était empreint de tendresse et de reconnaissance.
Il appréciait, je crois, que j'ai compris sans qu'il m'en parle que mon élégance, ma beauté et ma distinction (ce sont ses mots.) le rendraient plus fort pour mener à bien sa négociation. Je lui souris, heureuse de contribuer, ainsi, modestement à son succès. Et, en effet, ma tenue plût visiblement beaucoup au client de mon mari qui n'hésita pas à me complimenter plusieurs fois au cours de la soirée mais surtout à me jeter des regards furtifs qui en disaient long sur l'attrait que j'exerçais sur lui.
Il est vrai que cette robe mettait vraiment en valeur mon corps, ma poitrine aux volumes sensuels, ma taille extrêmement fine, mes reins cambrés, la courbe de mes hanches et mes fesses bien rondes. Le tissu élastique était si moulant qu'il ne permettait pas le moindre sous-vêtement. Etre nue sous mes vêtements est vraiment très inhabituel pour moi. Cette robe de prix m'avait contraint bien malgré moi à le faire, non sans ressentir à chaque fois beaucoup de gêne.
Tout au long de la soirée, je fus l'objet de regards insistants des invités, certains n'hésitant pas à me frôler dans la cohue qui s'était formé près du buffet. Les femmes présentes étaient, elles, pour le moins distantes et leur regard dépourvu d'aménité à mon égard. Je commençais à regretter mon audace.
Mon mari et son client se retirèrent dans un salon pour discuter de leur projet. En parfaite épouse, je restais près de mon mari tandis qu'ils se mirent à discuter du projet. Je les écoutais attentivement, sagement assise dans le canapé à côté de mon mari.
Les regards que le client de mon mari jetait sur moi finirent par me mettre mal à l'aise. Le sentiment d'être déshabillée du regard conjugué au fait d'être nue sous ma robe accrut mon malaise, d'autant plus que la gêne eût sur moi un effet inattendu : Mes tétons se mirent à durcir et pointaient impudiquement sous le tissu tendu de ma robe. Ma honte fût à son comble quand cet homme par son regard insistant m'en fît prendre conscience.
Ses yeux détaillaient mes seins moulés dans la robe, il pouvait les détailler pratiquement comme si j'avais été torse nu devant lui. Légèrement en poire et écartés sur les côtés, ils ne sont pas énormes, mais depuis ma grossesse, je porte des soutien-gorge 90 bonnet C. Le contour des aréoles, pas très larges était même perceptible. Je croisais mes bras devant ma poitrine, rouge de honte. Le client me regardait avec un étrange sourire aux lèvres.
Nous le quittâmes peu après, pour mon plus grand soulagement. C'était la première fois que je sortais ainsi vêtue pour aider mon mari à conclure une affaire. Intérieurement, je lui en voulais un peu, tant la soirée avait été désagréable pour moi.
…………………………..
Quelques jours après cette soirée, mon mari devint de plus en plus nerveux. Il ne comprenait pas pourquoi son client ne voulait plus signer dans l'immédiat. Il se posait beaucoup de questions et devenait invivable tant ce projet lui tenait à cœur. Le stress commençait à le ronger.
2 semaines plus tard, le téléphone sonna en pleine journée. C'était le client de mon mari qui désirait me parler en privé et ce, à l'insu de mon mari. Il me donna rendez-vous dans un hôtel car il était de passage à paris. Il me dit que c'était très important et que cela concernait directement mon mari. J'hésitais longuement à y aller sans en parler à mon mari. Finalement, je me suis résignée et je me suis rendue à l'hôtel Bristol juste après avoir conduit ma fille à l'école. Je portais un pantalon de Jersey beige et un pull en mohair blanc avec des mocassins à talons plats.
Il m'a accueillie dans le salon de sa suite et avisant ma tenue, il eût une petite moue peu engageante. Interloquée par cette mimique incroyable et si incorrecte, je le suivis néanmoins jusqu'au salon de la suite et là, avant même que je n'ai eu le temps de lui demander le pourquoi de ce rendez-vous, il m'a dit qu'il était prêt à signer le contrat mais uniquement si, en échange, j'acceptais de coucher avec lui. Offusquée, je l'ai giflé sans aucune retenue, et sans ajouter un mot, j'ai tourné les talons et je suis rentré chez moi.
Le soir même, mon mari est rentré à la maison dans un état épouvantable en m'annonçant que le projet ne se réaliserait pas. C'est là que j'ai compris que le gars ne bluffait pas. Je me suis sentie responsable de cet échec et, inexplicablement, j'avais honte de mon comportement, honte d'avoir ruiné les projets de mon mari. Lui se sacrifiait souvent pour nous, et là, je refusais d'en faire de même. Toute la nuit, je retournais dans ma tête ce cruel dilemme : J'avais le pouvoir de sauver le projet de mon époux. Le lendemain, en prenant mon courage à deux mains, afin de sauver la situation de mon mari, j'ai décidé de contacter le client, la mort dans l'âme. Je lui ai demandé d'une voix blanche s'il pouvait revenir sur sa décision si j'acceptais sa proposition. J'entendis un bref rire, puis il me demanda de le rejoindre dans sa suite immédiatement. J'allais raccrocher quand il ajouta :
- Tâchez d'être plus sexy qu'hier. Mettez une jupe et des bas. et mettez des escarpins à talons. j'aime les longues jambes et les jolies cambrures. Il raccrocha.
En proie à des vertiges, je me rendis dans ma chambre telle une automate. Là je choisis un tailleur bleu foncé avec une jupe plissée au dessus du genou, un chemisier blanc en satin, je revêtais des bas fumés auto-fixants, les seuls que je possède, une culotte brésilienne, dont le reflet dans la glace me fît d'avance regretter d'offrir à cet individu le spectacle de mes rondeurs si complaisamment dévoilées et mises en valeur, un soutien-gorge à balconnets qui rehaussait mes seins (dont la tenue naturelle, malgré leur volume, n'avait nul besoin), le tout de couleur Parme.
Je complétais ma tenue avec mes escarpins bleu foncé. Incapable de conduire, je pris un taxi pour me rendre jusqu'à l'hôtel. Je subissais le regard interrogatif et intéressé du chauffeur, certainement intrigué par cette jeune et jolie jeune femme mariée qui tremblait convulsivement et qui essuyait sans cesse ses jolis yeux qui s'emplissaient de larmes. Quand je le payais, arrivés devant le hall de l'hôtel, je vis son regard légèrement amusé aller de mon visage défait à ma main ornée d'une alliance.
Submergée de honte par ce qu'il devait penser, je quittais précipitamment la voiture pour m'engouffrer dans le hall de l'hôtel. je croisais le regard de quelques passants, étonnés de voir une jolie jeune femme avec les jambes gainées de Nylon sombre en plein mois de Juin, alors que mon visage et mes bras resplendissaient du hâle de mes premiers bains de soleil printaniers.
Je connaissais le numéro de la suite et l'étage, aussi, m'épargnais-je l'humiliation d'un passage par le concierge de l'hôtel, et pris directement l'ascenseur. Arrivée devant la porte de sa chambre, les jambes flageolantes, je frappais d'une main mal assurée. Il m'ouvrit, après un long moment, comme pour me montrer que j'étais assujettie à son bon vouloir.
Il me toisa un long moment dans l'encadrement de la porte, me détaillant des pieds à la tête, s'attardant sur le décolleté de ma veste, sur mes jambes gainées de Nylon sombre puis sur mes pieds cambrés par les escarpins à hauts talons. Il me fît signe d'entrer, s'effaça et me désigna le salon ou il m'avait accueillie la veille. Là, il s'est assis dans le fauteuil, me laissant debout devant lui, mes jambes tremblaient.
Nous restâmes comme ça un long moment. Je restais immobile, subissant son regard évaluateur, le rouge au joues. Puis, après un moment qui me parût interminable, j'entendis pour la première fois sa voix, empreinte d'une extrême courtoisie :
- Tournez-vous, je vous prie. Que je vois votre dos.
Lentement, tétanisée par l'étrangeté de la situation, je me tournais de façon à lui présenter le côté postérieur de mon anatomie. Il ajouta :
- Otez votre veste, elle cache ce que je veux voir.
Tremblant plus que jamais, j'ôtais ma veste et regardant autour de moi je herchais ou la poser. Il devina ma préoccupation et dit tranquillement :
- Posez la sur le tapis. à côté de vous et remettez vous dos à moi en vous tenant bien droite.
Le silence qui suivit fût un interminable calvaire, je sentais son regard qui devait jauger ma chute de reins, la rondeur de mes fesses. J'avais l'impression de sentir physiquement son regard sur mon corps, comme s'il me touchait. Puis, sa voix retentit à nouveau :
- La marque de votre culotte est parfaitement visible pour un œil exercé. jolie forme qui dévoile sans doute bien les fesses mais dont la marque sur la jupe est assez disgracieuse. Une prochaine fois essayez de sortir nue sous votre jupe. Vous en tirerez peut-être une agréable sensation. En tout cas, votre mari ou celui qui sera avec vous, aimera sûrement.
J'avais envie de lui hurler que seul mon mari avait le droit de me toucher, mais je n'eus pas le temps. D'une voix calme, il dit :
- Otez votre chemisier, je vous prie.
Toujours de dos par rapport à lui, je crus défaillir en entendant ces mots. Je restais tétanisée. Le silence avait envahi la pièce. Je poussais un profond soupir, et maladroitement je me mis à défaire les boutons des manches de mon chemisier, puis je dus m'y reprendre à plusieurs fois pour défaire le premier bouton tant mes mains tremblaient.
Ma vue se brouillait, j'étais prise de vertige mais je défis enfin le dernier bouton. Je sursautais et je poussais un petit cri quand je sentis deux mains se poser sur le col de mon chemisier. Dans mon désarroi, je ne l'avais pas entendu se lever et se placer derrière moi. Il fît glisser le chemisier sur mes épaules et le fît glisser, le posant près de ma veste. Il caressa de la paume la rondeur de mes épaules avant d'effleurer mes omoplates. Son majeur se posa à la base de ma nuque, juste sous le carré de mes cheveux et descendit le long de ma colonne vertébrale, jusqu'à la ceinture de ma jupe. Je m'étais raidie sous le contact et je tremblais à présent comme une feuille. Sa voix brisa à nouveau le silence :
- Tournez-vous, je vous prie.
Toujours ce ton suave, cette courtoisie ferme. Je me tournais en fermant les yeux, prête à défaillir. Je sentis un de ses doigts se glisser entre la lisière du bonnet et la chair de mon sein gauche, tout près de mon bras qui restait ballant le long du corps.
Le doigt progressa lentement vers le fond du bonnet puis progressa vers le centre de mon buste. Son geste eût pour effet de soulever mon sein et de le faire passer au-dessus du balconnet, sur lequel il reposa. Il renouvela l'opération sur l'autre sein, d'un geste froid, un peu comme on dégage un escargot de sa coquille. sans la moindre sensualité. Mes seins reposaient sur les bonnets affaissés, rehaussés, offerts. Leur forme naturelle en poire était accentuée par cette exposition si peu naturelle. Il effleura du bout de son majeur mes tétons et s'amusa à suivre les contours des aréoles minces et roses. Comme l'autre soir, la panique et la honte firent darder mes tétons. Je perçus entre mes yeux mi-clos un sourire dédaigneux. Les larmes coulaient sur mes joues. Sans s'en préoccuper, il dit simplement :
- Dégrafez votre soutien-gorge et posez le sur votre veste et votre chemisier, je veux voir la tenue naturelle de vos seins.
Réprimant des hoquets de panique, je pliais mes bras dans mon dos pour défaire l'attache. Mes tremblements m'obligèrent à m'y reprendre à deux fois avant que le soutien-gorge ne glisse le long de mon corps. Je le lâchais, en poussant un soupir haletant qui fît doucement bouger mes seins désormais totalement libres.Il approcha alors sa main en coupelle sous mon sein droit, et le fît rebondir ainsi durant un moment qui me parût interminable, à un tel point que mon sein commença à être douloureux. Il dit alors :
- C'est bien les globes sont fermes mais souples. C'est bien. Ils s'échauffent rapidement quand vous êtes émue comme l'autre soir, voyons leur élasticité. ajouta-t-il, parlant plus pour lui-même qu'il ne s'adressait à moi.
Mes tétons, effectivement, pointaient sur les aréoles elles aussi gonflées par la manipulation que je venais de subir. Il saisit délicatement un téton entre son pouce et son index et étira le globe vers le haut, me forçant à me dresser sur la pointe des pieds, en grimaçant.
Alors, sans se départir de son sourire, il posa sa main sur mon épaule me forçant à reposer mes talons au sol. Mon sein fût alors distendu à l'extrême, irradiant mon buste de douleur. Il relâcha alors le téton brusquement et le sein reprît sa position naturelle en ballottant quelques instants. Je fondis alors en sanglots convulsifs, tant en raison de la douleur qu'à cause de l'humiliation que me causait cet homme qui jouait si froidement avec mon corps qu'il l'aurait fait d'un vulgaire porte-clés. Ignorant mes pleurs, il dit laconiquement :
- C'est parfait, vos seins sont très élastiques, c'est important de savoir qu'on peut malmener les seins de la femme qu'on possède, cela fait partie du plaisir qu'on prend à utiliser son corps. Approchez-vous dit-il en attirant le fauteuil et s'asseyant au bord de celui-ci.
Je m'approchais d'un seul pas, sanglotant et reniflant convulsivement, agitée de hoquets qui faisaient bouger mes seins sur mon buste déjà recouvert d'une sueur d'angoisse.
Il détaillait mon buste en silence, semblant apprécier ma respiration saccadée qui faisant bouger mes seins. Je bredouillais, complètement perdue :
- Je vous en supplie. Laissez-moi. Laissez-moi partir. Je vous en prie.
Exactement comme il l'aurait fait s'il ne m'avait pas entendu, il défit d'un geste précis le bouton de la ceinture de ma jupe qui tomba à mes pieds. Sans me laisser un instant de répit, il posa ses mains sur mes hanches et me fît pivoter dos à lui. Insensible à mes suppliques, il posa une main sur mon épaule et l'autre au creux de mes reins, me forçant ainsi à basculer mon bassin vers 'avant dans une cambrure que je devinais impudique.
Je sentais ses mains effleurer le côté externe de mes cuisses, puis suivre le contour de mon slip brésilien qui laissait à nu la moitié de mes fesses. Son doigt se glissa ensuite sous l'élastique du slip et il repoussa le satin jusqu'à l'entre-fesses et renouvela l'opération sur l'autre fesse de façon à dégager complètement les globes fessiers. Tandis que je continuais à le supplier de me laisser, je l'entendis murmurer :
- Fesses splendides. globes harmonieux.. Ses doigts palpaient à présent mes globes fessiers comme s'il voulait y imprimer la marque de sa main. Texture ferme. Vous avez un corps fait pour le plaisir des hommes. pas pour celui d'un seul homme...
Ne pouvant supporter ces mots, je secouais la tête de droite à gauche et poussais une longue plainte de désespoir. Je n'eus pas le temps de réagir quand il empoigna l'élastique du slip placé haut de chaque côté de mes hanches. Il le baissa d'un geste jusqu'à mes chevilles. Et de son ton imperturbable, insensible à ma détresse, il ajouta :
- Enjambez votre jupe et votre slip, ils ne vous seront d'aucune utilité pendant un moment.
Tapotant d'un revers de main négligeant, il me fît enjamber le tas informe que composait ma jupe et mon slip. J'étais là, nue, portant uniquement mes bas et mes escarpins. Je sanglotais plus que jamais, le suppliant d'arrêter, en proie au plus profond désespoir. Imperturbable, il s'est levé et a ouvert la fermeture de son pantalon, puis, il s'est approché de moi.
Me fixant dans les yeux avec une telle fermeté, que je ne pus soutenir son regard, il me demanda de me mettre à genoux. Tétanisée, incapable du moindre geste, je sentis sa main se poser sur mon épaule, et sous la pression, je fléchis les jambes, pour tomber sur les genoux. Je me suis retrouvée le visage à quelques centimètres de sa ceinture. Là, il a ostensiblement sorti son sexe à demi rigide et le tenant entre son pouce et son index, il l'a décalotté et a commencé à le balader sur mes lèvres.
Toujours agitée de sanglots, mes joues littéralement baignées de larmes, je serrais mes mâchoires avec l'énergie du désespoir et je fermais les yeux, mon dernier rempart contre cette odieuse réalité. Je gardais néanmoins dans mon esprit la vision de son membre.
C'était la première fois que je voyais un autre sexe que celui de mon mari. Court mais très épais, il était surtout doté d'un gland très volumineux, d'un rouge très foncé. Maintenant entre ses doigts ce gland contre mes lèvres, il posa sa main sur ma nuque, fermement. Je l'entendis murmurer :
- Ouvrez la bouche, je vous prie, ne me rendez pas les choses plus difficiles.
J'entrouvris les lèvres sous la pression conjuguée de son gland et de sa main sur ma nuque et son sexe s'insinua dans l'étroit passage. D'un coup de reins puissant il fit entrer sa verge le long de ma langue et bientôt, il envahit ma bouche. Sa queue est rapidement devenue très grosse, butant contre mon palais.
Entamant alors un lent va et vient dans ma bouche, je fus contrainte de subir cette pénétration, les larmes coulant sur mes joues, je gémissais, je suffoquais sous l'assaut brutal. Ses mouvements dans ma bouche prenaient de l'ampleur, il se servait de ma bouche comme d'un sexe. Il allait presque à chaque fois buter au fond de ma gorge, m'arrachant des haut-le-cœur.
Pour éviter de suffoquer, je fus obligée de poser mes mains contre son ventre pour limiter ses mouvements, et pour reprendre ma respiration, je modulais la pression de mes lèvres le long de sa verge. Tout à coup, il éjacula en me maintenant la tête contre son ventre, son gland au fond de ma gorge. J'ai senti un flot de sperme envahir mon palais et couler dans ma gorge. Une semence épaisse et salée, si différente du sperme de mon mari, le seul que j'ai goûté à ce jour. et encore, très rarement et accidentellement, tant je déteste ça. Là j'ai dû en avaler une bonne partie et il me demanda de continuer à le sucer pour la rendre rigide à nouveau.
Comme un pantin désarticulé, je le laissais guider mon visage pour faire glisser sa queue toute molle remplie de sperme dans ma bouche inerte et entrouverte, il prenait plaisir à plaquer mon visage contre son bas-ventre pénétrant ma cavité buccale de toute l'ampleur de sa verge. Puis, il me repoussa légèrement, me maintenant néanmoins le visage près de son bas-ventre, et là, reprenant sa verge flasque entre deux doigts, il la promena contre mes lèvres, mes joues, mon menton et mon nez, les maculant sciemment d'un mélange de sperme et de salive.
Les yeux fermés, je sanglotais toujours convulsivement, mes larmes entraînant dans leur flot les traces de sperme, laissant mon visage ravagé, mon Rimmel n'ayant pas résisté à mes pleurs.
Visiblement, cette humiliation lui plaisait, sa verge reprenait rapidement vigueur. Dès qu'il eût une nouvelle érection, il se leva et me prenant aux épaules, me fît relever et me poussa pour me mettre à genoux sur le fauteuil et, appuyant fermement sa main en haut de mon dos pour me faire courber en avant, les seins écrasés sur le dossier.
Il posa ses genoux entre mes jambes, me fît fermement écarter les genoux et je sentis son gland, toujours guidé par ses deux doigts, se frayer un chemin entre mes grandes lèvres closes. Il me pénétra violemment sans fioritures. Je poussais un véritable hurlement tant la brûlure que je ressentis était vive.
Il était d'une vigueur exceptionnelle et je sentais son gland écarter les parois de mon vagin. Il me tenait aux hanches et m'assénait de grands et violents va-et-vient qui m'arrachaient à chaque fois un cri de douleur masqué par ses ahanements de bûcheron.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, la douleur s'estompa, et littéralement horrifiée, je me suis rendue compte que mon vagin s'était lubrifié, comme si mon corps acceptait ce que tout mon esprit refusait avec la dernière énergie. Abattue, je posais ma tête contre le dossier du fauteuil, entre mes bras. Tout en me baisant, il disait que je n'étais qu'une putain prête à faire n'importe quoi pour son mari. Il avait en partie raison. J'en pleurais de honte, subissant avec des tressaillements de tout mon corps les coups qu'il assénait à mes muqueuses vaginales, essayant de maintenir mon équilibre en m'agrippant au dossier du fauteuil. .
Il malmena mon vagin pendant un interminable moment. Il me tenait par la taille. La finesse de celle-ci est telle que ses doigts en faisaient presque le tour. Parfois une main s'égarait le long de ma hanche, en soulignant la courbe, puis revenait sur le globe fessier qu'elle enveloppait, palpant la texture ferme de la chair avec brutalité.
Ses doigts progressèrent soudain vers le centre de mes fesses, s'insinuant dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers. Son majeur suivait le fond du sillon velouté. Je tressaillis quand je sentis le doigt toucher mon oeillet anal. Il appuya sur les contours de l'anus, comme pour en éprouver l'élasticité. Je tentais de me dégager, mais me plaquant d'une main contre le dossier du fauteuil, son sexe profondément fiché dans mon vagin, Il m'immobilisa.
Il préleva un peu de cyprine à l'entrée de mon sexe et la déposa consciencieusement sur l'anneau serré. Je le suppliais en sanglotant. Ignorant ma détresse, il appuya l'extrémité de son index contre le muscle. Le fragile orifice céda, et je sentis la première puis la deuxième phalange investir mon intimité la plus secrète. Il bougeait son doigt dans mon anus en écartant le plus possible le sphincter pour l'assouplir.
J'avais très mal, je gémissais, sanglotais, inerte. Il comprît alors que j'étais vierge de ce côté-là et que je n'avais jamais pratiqué la sodomie avec mon mari. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :
- Je vais forcer vos reins, votre souffrance et l'offrande de votre virginité anale vont m'obliger à signer avec votre infortuné mari. Je lui dois bien cette compensation. Vous allez être délicieuse. J'en suis sûr.
Ignorant mes sanglots de désespoir et mes dénégations véhémentes, secouant la tête en tous sens, mes cheveux collés par la sueur s'emmêlaient devant mes yeux, il caressait ma croupe d'une main enveloppante et évaluatrice.
Il dégagea son sexe de mon vagin et j'ai senti le gland brûlant se glisser dans le sillon de mes fesses. Il posa le gland contre mon oeillet anal. Il le guidait d'une main et poussait inexorablement.
Je sentis, horrifiée, le souffle coupé, le sphincter jouer et s'ouvrir pour laisser le gland écarter l'anneau pour entamer sa progression. Je sentais le gland progresser le long de l'œillet, millimètre par millimètre, forçant inexorablement mon anus. Je ne voulais pas, le suppliais d'arrêter, mais chaque mot prononcé faisait se contracter mon muscle anal autour du gland qui le distendait, faisant monter de mes entrailles une brûlure insoutenable. Mon souffle se bloquait dans ma gorge, j'étouffais. Mais rien ne l'arrêtait. Son gland avait franchi l'œillet et la douleur s'est faite moins vive. Je soufflais comme durant mon accouchement afin de détendre mes sphincters au maximum.
Je sentais le pieu de chair repousser les parois de ma gaine anale, la distendant à l'extrême, jusqu'à ce que je sente son gland buter au fond de ma matrice, son ventre était plaqué contre mes fesses. Sans me laisser un instant de répit, il m'a sodomisé sans aucune douceur. La douleur était très vive, j'avais des nausées et avais envie de vomir. Il a longuement forcé mes reins en prenant bien soins de se retirer presque complètement avant de donner un nouveau coup de rein qui me déchirait.
La violence de ses coups de butoir était telle que j'étais à chaque fois projetée contre le dossier du fauteuil, mes seins ballottaient en tous sens. Chaque coup était rythmé du claquement que son bas-ventre produisait contre mes fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir son gland de l'anneau me laissant pantelante un instant avant de me labourer à nouveau les reins. Je sentais mes sphincters anéantis, mon anus restait béant sans se refermer même lorsqu'il le libérait complètement. La douleur m'irradiait, me laissant inerte.
Lorsqu'il fût sur le point d'éjaculer, il se retira complètement, dans un bruit de succion obscène, il me retourna sur le dos comme une poupée de chiffon, l tête relevée par le bas du dossier. Il m'enjamba et s'assit littéralement sur mes seins et soutenant ma nuque de sa main, mît sa queue dans ma bouche, elle était congestionnée et maculée de tâches de sang provenant de la déchirure qu'il avait fait subir à mes reins. Il éjacula dans ma bouche.
Pour la deuxième fois de la soirée, je reçus son sperme épais dans la gorge, mais cette fois, le premier jet passé, il se retira, tenant son sexe à la main. Il le dirigea vers mon visage et je reçus plusieurs jets abondants sur les joues et le menton. Sa jouissance fût interminable. Le sperme recouvrait mon visage, me brûlant les yeux.
Il se releva et se rajusta. Il me regardait en souriant. Affalée sur le fauteuil, inerte, les jambes écartées, juste vêtue de mes bas et de mes escarpins, la vulve impudiquement exposée, mes grandes lèvres comme les petites étaient écarlates tant l'irritation avait abîmé la muqueuse.
Je sanglotais, le visage maculé de sperme, mes yeux cachés sous mes cheveux en bataille collés sur mon front par la sueur. Il me tendit sa pochette qu'il venait de retirer de la poche de sa veste. Craintive, je n'osais pas prendre le morceau d'étoffe qu'il me tendait. Il dit :
- Vous allez essuyer votre visage. Vous rhabiller et partir. J'en ai fini avec vous. Vous avez trois orifices délicieux j'espère avoir à nouveau l'occasion de les utiliser. Peut-être à l'occasion de la signature d'un autre contrat.
Je me levais péniblement, une terrible douleur montait de mes reins pantelants, je remis mon chemisier en reniflant, et j'allais remettre mon slip lorsqu'il me dit :
- Laissez votre slip, le contrat que je vais signer permettra à votre mari de vous en payer d'autres. Sauf s'il comprend un jour qu'une femme telle que vous ne doit jamais porter de dessous, des reins comme les vôtres doivent rester constamment accessibles.
Le feu aux joues, sanglotant nerveusement comme une gamine punie, je renfilais ma jupe sur mes fesses nues et pris ma veste en filant vers la porte sans un regard pour lui. Je sortis de l'hôtel comme une flèche, bousculant une vieille touriste américaine en sortant de l'ascenseur.
Je marchais de longues minutes pour reprendre mon souffle et mes esprits. Chaque pas faisait monter de mes reins une douleur terrible, comme si le sexe de cet homme était toujours fiché au creux de mes reins et continuait à me déchirer. L'air qui s'insinuait sous ma jupe, entre mes fesses nues et le long de ma vulve encore entrouverte apaisait à peine ma douleur.
Au bout d'un long moment, je me décidais à arrêter un taxi. Je m'engouffrais à l'arrière, pelotonnée le long de la portière, je donnais mon adresse au chauffeur d'une voix cassée et enrouée. Son sexe n'avait décidément rien épargné, ma gorge comme mes reins et mon sexe allait longtemps rappeler à ma mémoire les outrages que j'avais subis.
Arrivée chez moi, je téléphonais à ma mère, lui demandant d'aller chercher ma fille à l'école et de la garder pour la nuit, prétextant une migraine terrible. Je laissais sur la table de la cuisine un mot à l'intention de mon mari m'excusant pour la même raison de ne pas l'attendre. je me dévêtais en hâte et courait dans la salle de bains.
Je pris une longue douche pour me laver de tout ce que j'avais subi. Au souvenir de certains passages, je fus prise de nausées et j'eus juste le temps de courir aux toilettes pour vomir. J'enfilais un pyjama de coton et me glissais dans les draps. Je n'entendis même pas mon mari rentrer.
Il a signé son contrat le surlendemain et n'a jamais su pourquoi son client était revenu sur sa décision... Mais mon esprit n'est plus jamais tranquille et cette aventure me hante toujours. Cela fait six mois. J'ai peur…
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Histoire du net. Auteure: Femminconnue. Piégée.
Quelques fois notre corps nous trahi et
se soumet à plus jeune pour trahir son mari.
Auteur : Femminconnue
J’ai perdu la tête lors d’une soirée, j’ai complètement oublié ma condition de femme mariée, mes obligations et je me suis comporté comme une femme objet, une vrai salope … J’avais trop bu, c’est vrai, mais j’ai vraiment été trop loin.
Quelques explications s’imposent :
Un couple d’amis de nos âges (la quarantaine passée), nous ont invité à diner chez eux, puis à un petit concert local par la suite, leur fils participant à l’un des
groupes se produisant lors de cette soirée. Notre couple d’amis ayant peur de faire « taches » à la soirée de concert, compte-tenu de l’âge du public attendu sur ce type d’événement, ils ont trouvé l’idée judicieuse de ne pas s’y rendre seul, voilà pourquoi ils nous ont convié à cette soirée (on se sent moins isolé à plusieurs).
Nous avons donc dinés avec nos amis, mon mari et moi, puis vers 23h00, nous nous sommes rendu tous les quatre au concert à 20 km de chez eux.
Pour faire un aparté, mon mari n’est pas un fou de musique et encore moins de ce type de sortie, il n’était pas très « chaud » pour cette soirée, mais comme il s’entend très bien avec notre couple d’ami, et surtout avec lui, il a été assez facile de le sortir pour une fois (ce qui est assez rare). Tant qu’à moi, je suis plutôt une folle de musique et j’adore danser, même si ce type de musique « tournant » autour de la techno, n’est pas ma tasse de thé. Mon mari me connaissant bien, il savait que pouvoir danser et m’amuser un peu, était, pour moi une bouffée d’oxygène. Il a donc accepté de conduire, et ne pas boire (ou très peu) bien évidemment.
Arrivée à la salle de concert, surprise, on s’attendait à un public très jeune, mais
non, il y avait autant de personne de nos âges que de jeunes, en tout une petite
centaine de fans ou de curieux, le concert étant gratuit.
Le premier groupe ayant commencé à jouer, mais l’ambiance n’était pas spécialement festive, il faut dire qu’il ne fallait pas être devin pour savoir que ce groupe n’ira pas très loin dans le domaine musical. Donc on passe tous notre temps au bar à discuter avec des connaissances de nos amis, personnes que nous, nous ne connaissions pas, mais plusieurs d’entre eux étaient assez sympathiques. Ce qui n’était pas l’avis de mon mari qui est plutôt d’un tempérament « casanier » et n’est pas très à l’aise avec des inconnus, et comme il ne pouvait pas boire, je voyais que la situation commençait sérieusement à l’énerver.
A 23h45, vient enfin le tour du groupe auquel participe le fils de nos amis, on se
rapproche de la scène, les morceaux joués ne sont pas extraordinaires, mais l’alcool aidant, j’avais trop envie de me défouler et de danser. Je commence à me déhancher au rythme de la musique, mon mari restant à l’écart en faisant la gueule, la soirée le « pompait » sérieusement, et notre couple d’ami ne semblait pas très enclin à la danse (je ne les connaissais pas assez pour m’en être douté), ils regardaient avec une certaine fierté leur fils et se retournaient fréquemment sur la salle pour observer le public qui dansait, ça augmentait leur orgueil, je crois qu’il n’était pas nécessaire d’inscrire sur leur front « c’est notre fils », tout le monde pouvait le deviner, attitude, somme toute, tout à fait compréhensible pour des parents.
Heureusement pour moi, une autre femme qui faisait partie de notre groupe au bar, se lâchait totalement sur la piste, je n’ai pas réfléchi longtemps pour l’accompagner et en faire autant.
Dès la fin du groupe, 30 mn plus tard, mon mari m’interpelle et me dit que c’est fini, on part. Je voyais bien qu’il en pouvait plus, bien sur il n’était pas utile de tenter de la faire changer d’avis, à son regard, il était clair qu’aucune négociation ne pourrait aboutir.
A contre cœur, j’accompagne mon mari pour saluer nos amis et prendre congé. Ils ne peuvent que constater que je ne suis pas très enthousiaste à ce départ, ils le font remarquer, mais mon mari reste ferme sur sa décision.
Voyant mon désarroi, ils proposent de me raccompagner d’ici une demi-heure, une heure, le temps à eux d’aider le groupe de leur fils à « embarquer le matériel.
Mon mari, ne cherche même pas à discuter, la musique du nouveau groupe qui passait semblait l’énerver encore plus. Il acquiesce, et je le raccompagne à la voiture lui faisant plein de bisous pour le remercier.
De retour à la salle, je fais une petite pause cigarette à l’extérieur, dans l’espace
délimité pour les fumeurs. C’est là que j’ai rencontré Samuel, un jeune âgé de 20/25 ans et deux autres dans les mêmes âges, voir un peu plus jeune, au moins pour l’un d’entre eux. Il s’était approché de moi avec les banalités habituelles, sauf pour une remarque « au moins toi tu changes des autres grognasse » !!!! Bizarre comme remarque, si c’est pour âge, on peut pas dire que ce soit très élégant, et coté tenue, la mienne était plus soft au vu de la plupart des jeunes filles qui portaient des tenues assez provocantes, alors que moi j’étais vêtu d’un simple jean, près du corps c’est vrai, mais rien de provocant, d’un léger pull en haut légèrement échancré, mais sans plus, surtout si l’on compare aux autres filles qui étaient présentes, on pouvait apercevoir mon soutien gorges à travers, mais il fallait vraiment observer, la transparence du pull était loin d’être évidente, puis des chaussures noir très simples à talons, pas non plus des talons de 10 cm.
Donc drôle de remarque, mais bon, il était plutôt sympa, une drague un peu direct, mais il était beau gosse et ça me déplaisait pas de le voir essayer de me draguer, c’était même plaisant. Je lui répondais par des petits sourires, ça semblait lui donner de l’assurance dans son approche et ça m’amusait.
Bref, après quelques minutes je décide de le laisser à ses espoirs ou fantasmes avec moi et de retourner sur la piste.
Là je m’aperçois que la population avait changé ! Les « vieux » ayant été remplacés par des « jeunes » et en nombre bien plus important, il était dur de danser sans être bousculé, leur état alcoolisé amplifiait cette gêne, mais je m’en accommodais, j’avais vraiment envie d’en profiter et je n’étais pas sobre non plus, sans être bourré.
Après 30 mn de danse intensive et un peu violente à mon goût, il est nécessaire de
prendre l’air et donc une nouvelle pause clope s’impose. A peine arrivé dans le coin fumeur, je vois Samuel qui me suit de près, il n’a pas abandonné, il recommence sa drague et d’une façon un beaucoup plus direct, ses deux potes étant toujours avec lui pas très loin, les termes sont un peu direct « tu sais, je te trouve bonne », « c’est rare de voir des meufs de ton âge qui bouge comme ça », « t’es super bandante » …
Il avait sérieusement augmenté son taux d’alcoolémie depuis la dernière pause, ce qui lui donnait plus d’assurance et toutes précautions dans son approche de drague lui paraissaient certainement inutiles. Il est vrai que dans d’autres circonstances, je n’aurais pas accepté ce type de parole, mais là, je mettais ça sur le compte de l’alcool et de l’ambiance, notre précédent échange ayant été plus soft, en plus étant un peu enivré moi aussi, cette drague un peu « hard » me faisait un petit effet, c’était curieux, mais je me surprenais à ressentir de l’excitation, je le motivais même par mes petits sourires, voir y répondre par « ah bon, Mumm »
A ce moment, toute mon excitation retombe lorsque mon amie me retrouve enfin après m’avoir cherché un peu partout, elle me signale que les voitures sont chargées et qu’il faut partir.
Dure réalité, moi qui me retrouvais presque dans un rêve qui m’avait ramené 20 ans en arrière, au temps où j’étais libre et que je sortais pour draguer ou me faire draguer.
Fini tout ça, je n’ai plus 20 ans, contrairement à lui, je pourrais être sa mère et je
suis mariée, je ne vais pas recommencer mes bêtises, et les amis sont là pour ça,
heureusement.
Bon allez, il faut être lucide, mais là Samuel ne l’entendait pas comme ça, il
s’adresse à moi en me vouvoyant en plus ! Et de façon très respectueuse contrairement à ses dernières paroles, surprenant !!! :
- Nous on peut vous ramener si vous le souhaitez, c’est Christelle qui nous
ramène et elle ne boit pas.
Il finit sa phrase en nous montrant furtivement cette fameuse Christelle, elle discute gentiment avec un autre garçon à quelques mètres. Elle parait être dans les mêmes âges et semble effectivement n’avoir pas bu, elle est plutôt plaisante et habillée très simplement tout en étant attirante, une jeune fille assez jolie.
Mon amie parait surprise de l’intervention de Samuel et ne comprend pas vraiment ce qu’il vient faire dans notre conversation, elle me demande même si c’est un de mes anciens élèves (heureusement que non).
Elle est surprise de me voir en pleine réflexion et hésitant à la suivre, il est vrai que je suis tenté de resté, pas spécialement pour m’amuser, mais le revirement de Samuel me surprend, je suis curieuse de comprendre ce changement, sa drague plus que direct que j’avais attribué à son état alcoolisé, était-ce vraiment l’alcool, sa façon de m’interpeller, me prendrait-il pour une femme facile ?
A quoi joue t-il ?
Et en dehors de ces questions qui demandent
réponse, pourquoi ne pas retrouver cet état d’excitation quelques heures de plus, je suis folle certainement, mais j’accepte la proposition de Samuel et rassure mon amie en lui assurant que si je voyais que Christelle ne pouvais pas conduire, je ferais appel à un taxi et surtout que je souhaitais danser un peu encore.
Mon amie n’a pas insistée, elle a fait demi-tour rapidement, elle semble vexée !
Samuel, lui, ne perd pas de temps, et oubli vite le vouvoiement :
- T’as tout compris toi, tu viens boire un coup
Il ne me laisse pas le temps de répondre, me prend par la taille pour m’entrainer vers le bar, sa main ayant d’ailleurs tendance à descendre sur mes fesses. Pourquoi pas, je n’oppose pas de refus, mais je m’aperçois que je n’ai pas un centimes sur moi, mon sac à main était dans la voiture et mon mari ne m’a rien laissé ! Je ne vais pas me laisser « entretenir » par ce jeune mec, il va se croire avec une fille de son âge qui dit oui à tout !
Je suis gênée, je ne sais pas comment m’en sortir, une femme de mon âge sans un
centimes invité par un jeune, ça fait « couguar », c’est peut-être à la mode, mais moi je déteste cette image. En plus j’aperçois mon amie au fond de la salle en pleine discussion avec son mari, ils ne sont pas encore partis ?
Je ne me pose pas de question sur le sujet de discussion, facile à deviner.
Ça tombe bien, pas d’argent, plus mes amis encore là et qui pourrait se poser encore plus de question en me voyant au bar avec ces jeunes mecs, je dis à Samuel que j’ai trop bu, j’arrête là l’alcool et je veux profiter de la soirée et danser.
Je retourne donc sur la piste sans lui laisser le temps de réagir, chacun son tour.
Tout en dansant, je vois enfin mes amis quitter la soirée, ouf, je ne sais pas
pourquoi ? Je suis rassuré ? Comme une gamine en faute !!!
Mes pieds commencent à me faire mal, des talons c’est usant pour ce style de danse quand on n’en a perdu l’habitude. Je prends la décision d’ôter mes chaussures, ça peut paraitre surprenant, mais ça m’arrive souvent en boite, enfin ça m’arrivait souvent, aujourd’hui les sorties sont exceptionnelles. Je les pose dans l’angle de la scène, qui va voler des chaussures ? Et l’emplacement est discret.
Je retourne m’amuser sur la piste pendant une bonne demi-heure, il fait chaud, je
commence à être crevé et en plus j’ai hyper soif. Je fais une pause, mais au moment de reprendre mes chaussures, plus de chaussures !
Pas un centimes, plus de chaussures, ça commence à faire beaucoup.
Je regarde partout, observe la foule, recherche l’éventuel coupable, ça sent la
panique. Qu’est que je vois au fond de la salle, coté bar ? L’un des copains de Samuel, debout tout sourire, exhibant ma paire de soulier !
La blague me fait pas rire, mais je respire, je prends sa direction, arrivée à sa
hauteur, il se déplace vers Samuel et l’autre gars assis à une table. Je m’approche de lui, essaye d’attraper mes chaussures, mais ils les passent à son copain, et ainsi de suite, me faisant tourner en bourrique comme une gamine de cinq ans avec qui on s’amuserait.
Je m’aperçois même que je fais l’objet de moquerie et rire par les autres gamins qui regardent le spectacle. Je commence à m’énerver :
- Les gars, ça suffit, ça ne m’amuse pas, je ne suis pas une de vos copines, alors vous me les rendez tout de suite
Samuel se saisit de mes chaussures, les poses sur la petite table ronde, pousse la
chaise vide me faisant signe de m’assoir et me dit :
- C’était pour blaguer, t’énerve pas, allez pose ton jolie petit cul ici, tu veux boire quelque chose ma belle ?
Je m’assois, remet mes chaussures et lui répond :
- Merci pour le « jolie petit cul », mais je te l’ais dit je ne suis pas ta copine, ne te trompe pas, mais oui j’ai hyper soif, et je n’ai pas un sou, mon mari est parti avec, tu pourrais m’offrir un truc sans alcool stp ?
Pas très crédible quand même, je lui rentre dedans et après je lui demande qu’il me paie à boire, mais j’ai vraiment trop soif.
Samuel me donne un billet de 10 € et me dit :
- Prend toi ce que tu veux au bar, c’est moi qui offre
Il a un air suffisant, voir victorieux ? Je n’aime pas trop ce genre d’attitude, en
plus coté galanterie les temps ont changés, c’est à moi de me déplacer ! Bon, je ne fais pas la difficile, je prends un Perrier, revient à la table et lui remet la
monnaie.
Je bois mon verre, ça fait du bien, le copain de Samuel me regarde (celui qui avait
pris mes chaussures) et dit :
- Oh la meuf, ce n’est pas gratuit les pompes
Il désigne mes chaussures que j’ai remis depuis, met sa main sur son sexe de façon vulgaire et ils se mettent tous à rigoler comme des malades.
Je trouve qu’ils poussent là :
- Là, tu rêves mon grand.
Samuel prend la parole :
- Prend pas la mouche, mais pour le verre tu pourrais me remercier MOI
Je crois comprendre ce que veut dire remercier pour ce petit con, vu le geste de son copain, il me prend pour qui ce gamin
- Bien sûr, tu peux y croire, tu m’offre à boire et moi je te suce, tu es un grand malade toi, il faut grandir un peu.
- Mais non, un petit remerciement sympa, c’est tout, tu peux bien m’embrasser au
moins
Je me dis « si ça peut lui faire plaisir », ça ce n’est pas très compliqué. Je m’approche de lui, et je dépose un bisou sur sa joue gauche. Samuel est un peu surpris, pose sa main su ma cuisse droite et me dit :
- Ca c’est pour les gamins de 10 ans, moi je veux que tu me roules une pelle.
Je suis conne, j’aurais du m’en douter :
- Ca va pas, je n’embrasse pas les mecs comme ça ? Tu es en plein rêve, tu crois
vraiment que je vais t’embrasser ? En plus devant tout le monde !!
- Aucun problème, si ça te gêne, on va dehors à l’écart, tu vas aimer j’en suis
sur
- Ca va pas, pas devant tout le monde, mais pas du tout surtout, non hors de
question
Et là, le troisième copain, qui s’était fait plus discret, regarde Samuel et dit :
- Raté Sam, c’est ta tournée, allez allonge le fric.
Ce n’est pas vrai, ils avaient fait un pari sur moi, bande de gamin.
- Attend elle n’a pas dit non
- Lave toi les oreilles, elle a dit NON, allez sors ton fric.
Samuel est agacé par le ton de son copain, il me ferait presque pitié, et son copain
m’énerve, son ton est ironique, même méchant vis-à-vis de Samuel. Je ne sais pas pourquoi, j’ai eu envie de prendre sa défense avec son petit air malheureux, je me tourne vers Samuel, et ne sachant pourquoi là aussi, en mettant ma main sur la sienne toujours sur ma cuisse, je lui dis :
- Ok, j’accepte, mais pas ici, pas devant tout le monde
Les deux autres en restent bouche bée, Samuel lui arbore une l’attitude du petit con qui a gagné, mais je préfère ça, je rajoute :
- On y va tous les trois, comme ça la preuve sera faite.
Là je sais pourquoi j’ai dit ça, je me connais, et je ne suis pas sûre de s’avoir
m’arrêter si jamais il lui venait à l’idée de pousser l’expérience, ma faculté à dire
non est très limité dans certaines situations et surtout avec un mec qui me plait,
j’en ai déjà fait l’expérience. Avec les deux autres à côté, le jeu s’arrêtera au
baiser, du moins le pensais-je.
Samuel a tout de suite accepté, trop heureux de gagner, ses copains semblaient ravis également de ma proposition ?
On se dirige tous à l’extérieur, Samuel la main sur mes fesses, si ça peut lui faire
plaisir, ce n’est pas très grave. Nous voilà dehors à chercher un coin discret et à l’abri des regards, comme quatre gamins voulant se cacher de leurs parents, à mon âge quand même !
On trouve enfin un endroit, au coin de la salle de sport à proximité du bâtiment du
concert, un renfoncement peu éclairé par le lampadaire public et à l’abri des regards indiscrets.
On a l’air de quatre idiots se regardant, je prends l’initiative, et surtout je veux
leur montrer que je ne suis pas une gamine. Je pousse Samuel dos au mur, je
m’approche, passe ma main derrière son coup, l’autre sur sa joue, mes lèvre se collent aux siennes et je commence à l’embrasser comme une folle, les autres devaient en tomber à genoux derrière moi.
Je relâche mon étreinte, Samuel me sourit, met ses deux mains derrière ma tête et me rend mon baiser, tout en inversant nos places, je me retrouve dos au mur, je me laisse faire, j’adore sa façon de m’embrasser, fougueux et viril, je me sens vraiment femme.
Je sens sa main sur mon ventre, il relève mon pull jusqu’à la hauteur de mon soutien gorges, je ne suis même pas surprise, j’en ai envie, la présence des deux autres m’étant complètement indifférente, je ne suis plus moi-même, dans un tel état d’excitation que je ne suis plus capable de lui dire non.
Mon absence de résistance lui confirme qu’il peut me posséder comme il l’entend, ses gestes sont plus brusques, ses paroles moins douces, je lis une certaine fierté sur son visage.
Il m’empoigne par les cheveux, me regarde fixement avec son petit sourire de vainqueur et me dit :
- Enlève ton pull salope et baisse ton fute, je vais te baiser, tu attends que
ça, tu en as envie, hein, petite garce ?
Ma soumission est totale, je ne peux que lui répondre :
- Oui
Pendant que j’ôte mon pull, me retrouvant en soutien-gorge et dégrafe mon jean, je vois bien que Samuel s’érige en vainqueur en s’écartant légèrement pour que ses copains puissent me voir me déshabiller, il m’exhibe comme un trophée devant eux, et pour asseoir sa supériorité il rajoute :
- Je vous l’avais dit les mecs, les femmes mariées sont les plus chaudes, regardez cette salope, une vrai cochonne en chaleur
Ils semblent boire les paroles de Samuel, le plus vieux des deux (aux alentours de 25 ans certainement), pas spécialement moche, mais pas beau non plus, je dirais
quelconque, par contre très costaud, des cheveux rasés, un regard noir qui pourrait faire peur, il me regarde avec vulgarité, c’est en tout cas l’impression qu’il me donne, son sourire est ironique, il est le seul à répondre à Samuel :
- C’est une pute
Ses paroles confirment l’impression qu’il me donnait, il n’a aucun respect pour les femmes.
Le second, plus jeune (la petite vingtaine), on ne peut pas dire que ce soit une
beauté, il a un petit gabarit, assez frêle, il semble hypnotisé à la vue de mes seins
cachées dans mon soutien-gorge balconnet à dentelle noire, son regard est admiratif, voir « gourmand » tel un puceau, ce qui d’ailleurs ne me surprendrait pas.
Samuel ne perd pas plus de temps, il sort son sexe, se colle à moi, sa main écarte mon string, Mumm j’en peux plus, il me prend d’un coup sec, sans ménagement, sa seule parole :
- Salope
Il accélère, ses coups sont puissants, je ne peux m’empêcher de pousser des petits
cris, je me retiens, il me reste encore assez de lucidité pour penser au voisinage, je ressens toute sa virilité de ce jeune macho, ma seul pensée se fixe sur cet instant « vas-y, baise moi comme une salope, continu tu vas me faire jouir », mon excitation montait en même temps que mes pensées et là Samuel me fait redescendre :
- Tu prends la pilule ?
Oh non, de quoi me parle t’il ce petit con, baise moi, t’arrête pas !
Mais sans attendre de réponse, il se retire d’un coup, se recule de 50 cm et éjacule
entre mes pieds.
C’est pas vrai, il ne m’a même pas fais jouir ce con, ça n’a duré à peine une minute, je suis frustrée, j’ai même honte de moi, je remonte mon jean, réajuste mon string, je suis trempé, quel salaud.
Samuel referme son jean également, il s’est vidé, ça semble lui suffire, il se
retourne vers ses copains :
- Profitez en les mecs, c’est une vraie chienne
Et il se barre !!!!!!!!!!!
J’ai vraiment honte de m’êtes fait prendre comme ça, je me penche pour récupérer mon pull au sol, mais là je sens une main ferme qui m’oblige à me redresser, c’est le plus âgé des deux qui m’a agrippé et me dit :
- Oh tu fais quoi là ?
Il avait sorti sa bite et l’exhibait à mon regard, la tenant fièrement. Je n’ai pu
m’empêcher de la fixer, énorme ! Samuel était monté normalement, mais lui il était impressionnant, elle était longue et surtout très épaisse, il a tout de suite vu que j’étais impressionné, il s’est mis à rigoler :
- Ahahah… Elle te plait ma grosse bite salope, t’aime les grosses bites sale
pute… Ok c’est moi qui commence à me la taper
Les dernières paroles étaient adressées à son jeune copain, toujours aussi obnubilé par mon corps. Ce type était loin de m’attirer, malgré son engin impressionnant, il avait plus tendance à me faire peur et là je l’entends me dire :
- A genou salope, suce ma bite
Voyant que je ne réagissais pas, ne sachant quoi faire ou dire, il rajoute :
- Oh, t’es une pute à bite, magne-toi et viens gouter ma grosse teub, allez
grognasse.
Il ne voyait pas en moi une femme, mais une pute qui devait le satisfaire, ces paroles sont insultantes voir blessantes, mais oui je les ai suivi ici, oui je me suis laissé baiser par Samuel à leurs regards, oui je n’ais opposé aucune résistance, normal que je sois insultée…
Tout en étant dans mes pensées, mon regard redescend sur sa bite, quelle bite quand même ! Inconsciemment ou non ? Je me retrouve à genou devant lui.
- Regarde, elle demande que ça cette chienne
Il m’enfonce sa bite, j’ai de la peine à respirer, ça l’amuse
- Ca te change salope, hein ? Dit-le ?
Il me retire un instant, je reprends mon souffle, mais ce n’était pas ce qu’il
attendait
- Ca te change d’avoir une vrai bite, hein, bien grosse, dis-le que tu la veux
- Oui, c’est vrai
- Quoi qui est vrai, c’est mieux que la petite bite de ton mec, hein ?
Il avait besoin de se sentir supérieur aux autres, se comparer à mon mari, d’être le
vrai male, ça le mettait dans un état d’excitation maximum.
Je ne pouvais que répondre en son sens :
- Oui, ça me change de la petite bite de mon mari
Ma réponse l’a mis en transe, même si ce n’était pas totalement faux, il s’est mis à me baiser la bouche en m’insultant de tous les noms, aussi obscènes les uns que les autres. J’en avais des hauts de cœur, son traitement me faisait pleurer, ma tête obligé de suivre sa cadence.
Le plus surprenant ? J’étais aussi d’un un état d’excitation extrême, je mouillais
comme jamais, et ce malgré la grosseur de son sexe et ses coups violents. Ce n’était pas sa bite qui m’excitait, ni sa façon de me baiser la bouche, mais un ensemble, ses insultes, sa virilité de ses mouvements, cette supériorité qu’il avait sur moi, me sentir un objet sexuel, une salope à sa merci semblait me plaire, moi une femme mariée plutôt traditionnel avec le sexe, ayant eu quelques expériences adultérines, mais très peu, j’étais persuadé que ces quelques expériences (une et demi), m’avaient excité par le sexe, mais n’est-ce pas l’impression d’être traitée comme une garce qui me plait ?
Comment pouvais-je mouiller à ce point avec un mec qui me traitait avec si peu
d’égards ? Puis ses coups stop airent, sa bite toujours en bouche, il me soulève le menton pour voir mon regard, des larmes coulaient :
- Putain, ça te plait salope, dit le.
Je ne pouvais que répondre :
- Humm mm
Il retire son sexe :
- Tu vas me faire gicler et j’en ai pas fini avec toi, approche viens en profiter, lève-toi salope.
Il s’adressait à son copain et à moi
- Viens t’amuser avec elle, je la baiserais après…
Son copain s’approche, la main sur son sexe, toujours dans son jean, il pose l’autre sur mes seins, ses gestes étaient maladroits, mais doux, et j’entends l’autre :
- Excite-le salope, allez fais ta pute
Ok, j’ais compris, c’est bon, j’ôte mon soutient gorge, à la vue de mes seins, je fait du 95B, je n’est plus une poitrine de jeunette, deux enfants ça compte, la fermeté n’est plus là, mais lui il les dévorait, il se jette dessus, les embrasses, ne sachant lequel choisir, il passait de l’un à l’autre comme un enfant devant une glace trop grosse pour lui, ses deux mains caressant mes seins, mon ventre, mes fesses, mes cuisses …
Il était très maladroit, qu’il soit puceau ne faisait aucun doute, je décidais de l’aider et comme mon excitation me tiraillait, je voulait qu’il me prenne, peu importe qu’il soit maladroit, je voulais être prise.
Je déboutonne mon jean pendant qu’il s’afférait sur mon corps, le baisse, met la main sur sa bite et lui chuchote à l’oreille :
- Sors ta bite, tu vas me baiser
Il m’a regardé droit dans les yeux, j’avais l’impression de lui offrir le plus beau
cadeau de sa jeune vie, ça lui faisait plaisir, même si mon geste n’était pas dans ce but, je voulais égoïstement jouir, être prise.
Il déboutonne son jean, sors tant bien que mal sa bite, plutôt moyenne, assez fine, et comme il n’allait pas assez vite à mon goût, je lui dis, sans chuchoter cette fois ci :
- Baise-moi. Vas-y, prends moi
Telle une nymphomane en chaleur, ce que je ne suis pas pourtant, je lui prends sa
bite, écarte mon string, et je l’enfonce. Il est collé, sa tête sur mes épaules,
m’embrasse mon cou, donne des petits coups de reins, humm mm il va me faire jouir ce con. Je l’entends me dire doucement à l’oreille :
- Qu’est que vous êtes belle madame.
Madame ! J’avoue que mon excitation est légèrement retombée.
Sa tête me fait face, il m’embrasse, je le laisse faire sans vraiment participer, il
se colle à ma joue et je l’entends éjaculer :
- Aaaaa aarghhhh
Il a éjaculé sans se retirer ce con !
Il se retire, remet son sexe dans son jean, je suis là, appuyée au mur comme une
conne, toujours pas joui, maintenant stop, on arrête là, le jeu est terminé.
A peine ais-je eu le temps de réfléchir, que l’autre est déjà sur moi, sa bite en
main, prêt à me prendre :
- Je vais te montrer comment il faut baiser une salope mariée
Il rentre sa bite dans mon sexe, ohhhh ce n’est pas le même gabarit, ni la même
intensité, je ne peux m’empêcher de crier :
- Aaaahhhh,
- Cris salope, je vais te défoncer la chatte
Ses coups étaient violents, il me faisait jouir et crié comme une chienne, jamais je
n’avais autant crié en jouissant. Le petit jeune regardait sans en perdre une miette,
mes cris avaient même attirés des curieux, j’avais cru apercevoir deux têtes à
quelques mètres, mais ma jouissance étant telle que plus rien ne m’importait, ses
insultes ne faisant qu’enrichir cette jouissance :
- Espèce de garce, t’aime la bite toi, vas y, cris salope, t’aime ça hein, dit le que t’aime te faire baiser .
- Ouiiiiiiiiii c’est bon, continuuuu, ouiiiiiii
Il me regardait et voulais que j’en fasse autant, fière de son emprise :
- Ouvre les yeux salope, regarde moi faire cocu ton mec, t’aime le faire cocu petite chienne, hein, t’aime ça ?
Il pouvait dire tout ce qu’il voulait, je lui répondais favorablement tellement je
jouissais
- Baise moi, il est cocu, ouiiiii, mais baise moi salaud,
Il m’avait fait jouir, lui ce mec hyper bien monté, mais qui ne m’attirait pas du tout et en plus me traitait sans aucun respect, pourtant c’est lui qui me faisait jouir, c’est lui qui me possédait.
Il m’a laissé jouir et ameuter tout le quartier, il se retire, me prend par les
cheveux :
- Putain salope, t’es bonne, à genou !
Je tombe à genou devant lui, sa main sur ma tête, de l’autre il se branle devant mon visage.
Il fait pression sur ma tête en m’obligeant à me tourner vers ma droite, oh non !
J’aperçois six jeunes, quatre garçons et deux filles à quelques mètres qui rigolent en discutant entre eux, ils n’arrêtent pas de me regarder en souriant.
- Tu vois, t’es peut-être mariée mais pour eux tu n’es qu’une salope
Et il se met à me gicler dessus, j’en reçois sur le visage, sur les cheveux, sur les
seins, il ne lâche pas son étreinte voulant être sûr que je reçoive tout son jus,
j’entends en même temps des clameurs provenant du groupe de jeune, une voix féminine :
- J’y crois pas, elle est mariée !!!!
Je me retrouve à genoux, seins nus, en string, mon jean aux chevilles, le visage plein de sperme sous le regard amusé de ses six jeunes, de l’autre copain qui semble découvrir une nouveauté et lui qui referme sa braguette, debout face à moi, un petit sourire sur les lèvres semblant dire « je t’es baisé salope ». Il se retourne, dit à son copain :
- On y va, elle a eu ce qu’elle voulait cette salope.
Ils sortent de mon champs de vision, je n’est même pas bougé, mon regard toujours tourné vers les six jeunes qui m’observent en rigolant, la honte me monte aux joues, je ne sais plus quelle attitude avoir, ils m’ont vu me faire baiser, ils ne pouvaient que constater que j’aimais ça vu mes cris de jouissance, me faire jouir dessus comme la dernière des salopes, quelle honte pour une femme de mon âge !
Une des jeunes filles s’approche de moi, me tend un paquet de mouchoir et me dit :
- Ca sera mieux, non ?
Et en se penchant pour me remettre le paquet, elle me dit tout bas :
- Merci pour le spectacle, j’ai apprécié
Elle rejoint ses copains tout en leur disant :
- Mariée, faut le faire quand même !!!
Après quelques regards du groupe en ma direction, ils repartent
Qu’est qu’elle a voulu dire, apprécié de voir une baise en réel ou c’est moi qui lui
plaisait ?
Les jeunes d’aujourd’hui vacillent souvent sur la mode de la bisexualité ?
Je n’aurais jamais la réponse.
Bref, je m’essuie le mieux possible, me rhabille,
Une seule envie, rentré chez moi, me doucher, dormir.
Le plus drôle, c’est que mon portable était aussi dans la voiture, et la fameuse
Christelle qui devait me ramener n’était évidemment pas la copine de Samuel, juste une fille qui était là au bon moment pour servir d’excuse.
J’ai donc été obligé de retourner voir Samuel, c’était malgré tout le seul que je
connaissais, pour lui emprunter son portable, appeler mon mari pour qu’il vienne me chercher, ce qu’il a fait.
Bien évidemment je l’ai attendu assez loin de la fête pour éviter tout ricanement ou indélicatesse des jeunes de la soirée vis-à-vis de mon mari.
Depuis cette soirée, je me pose encore plus de question sur moi, sur ma sexualité, à plus de quarante ans je ne sais plus où j’en suis !
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Un Jeudi en vrac... Tofs
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Brèves de rêves...
Quelques fois tout se bouscule dans un cerveau...
Rêves, fantasmes ou réalité...
A vous de décider..!
Il est vingt heures quand on sonne à la porte. Cyril, jeune cadre de vingt six ans, très séduisant ouvre.
- Bonsoir, dit-il.
Un homme, vêtu d'un manteau et d'un feutre noir lui remet une enveloppe.
- C'est une invitation pour la soirée de samedi, ça se passe au château du grand patron, dit l'homme.
- Merci, répond Cyril.
- C'est pourquoi? demande Cassandre.
Cassandre est une superbe blonde platine de vingt quatre ans.
Elle forme avec Cyril, un couple magnifique.
- C'est une invitation pour une soirée samedi.
- Ah bon, on y va, ça te dit? dit Cassandre.
- Comme tu veux, répond Cyril, ce sont des soirées très chaudes, voire érotiques.
- C'est super, sourit Cassandre, je pourrai me payer d'autre mâles.
Elle prend le visage de son mari entre ses deux mains, et l'embrasse.
- Je plaisante, dit-elle, tu sais bien que tu es le mec de ma vie. Je vais m'habiller discret. Pantalon noir, veste noire et chemisier rouge.
- Ca va pas, il faut t'habiller plus sexy, que tu sois pas ridicule. Mets ta minijupe noire.
- Quoi, sursaute Cassandre, une de celle qu'on a acheté pour s'amuser le soir quand on est que tout les deux. Mais on va voir toute ma chatte.
- Achètes en une un peu plus longue si tu veux. On ira voir demain.
C'est mieux, la jupe est plus longue, avec la chemisier rouge, ce sera parfait.
Cassandre et Cyril arrivent au château vers vingt heures. Il y a une dizaine de voitures de garées dans la cour. Ils sont accueillis par Guy, ennemi juré de Cyril, aussi bien au niveau professionnel, que privé.
- Je me taperai bien ta femme, dit Guy.
Cassandre lui lance un regard vicieux, passant sa langue sur ses lèvres, puis tourne les talons. Elle a un déhanchement très provocateur. S'il y a des fantômes au château, ils doivent se retourner sur son passage.
- Je te le conseille pas, avertit Cyril, tu aurais à faire à moi.
Cyril se retourne, sa femme a pris les devants. Il part à sa recherche. Au bout d'un couloir, il arrive dans une salle. A gauche, deux femmes se gouinent, un peu plus loin, c'est un couple qui s'envoie en l'air. Partout, c'est l'orgie.
A droite, sous une applique, Cyril aperçoit Cassandre adossée à une colonne, en train d'embrasser un jeune homme, entièrement nu. Leurs langues se nouent, se fouillent la bouche dans un baiser torride.
Le chemisier de Cassandre est ouvert. Ses seins, superbes, se frottent contre le torse du jeune homme. Sa minijupe est enroulée sur sa taille. Le string a disparu.
Cyril est scotché devant la scène, sans voix. "Mais où suis-je, se dit-il"
Avec deux doigts, l'homme joue avec la chatte de Cassandre, forçant les lèvres
humides. La main de Cassandre descend, saisit le sexe énorme du jeune homme, et le fait coulisser dans sa main, partant des couilles jusqu'au gland. Elle murmure à son oreille.
- Prends moi maintenant, comme ça, droite.
Elle remonte une jambe sur la hanche de son partenaire. L'homme avance sa queue, joue avec la fente et le clitoris. Cassandre avance son bassin, et sa chatte avale les vingt centimètres de chair. Elle ferme les yeux en se pinçant les lèvres.
Elle aperçoit Cyril.
- Oh mon chéri, regarde comme je me le fais mettre. Si tu savais ce que j'ai dans la chatte. Mon amour, amuses toi, toi aussi.
Les yeux de Cyril sortent de sa tête. Sa femme prend un pied terrible, elle mord, embrasse son amant.
- Ha mon amour, comme tu me niques salaud, vas-y, fais moi crier, oui...oui.. je jouis.
Son cri traverse les voûtes de la salle. Cassandre prend la bouche de l'homme qui continue toujours ses va et vient dans sa chatte. Il lui souffle un mot à l'oreille.
- Mais bien sur mon chéri, dit-elle, ce que tu veux.
Le jeune homme se retire. Cassandre se met à genoux, et saisit le membre de son amant encore plein de mouille. Elle l'avale, et le suce tout en le branlant.
L'homme relève le tête et ferme les yeux.
Cassandre accélère sa branlette. Le jeune hurle, il jouit dans la bouche de la jeune femme, qui ralentit nettement ses mouvements de branle, pour finir de lui vider les couilles. La queue se retire. Cassandre nettoie le gland avec sa langue et se relève.
Pour remercier le jeune homme, elle l'embrasse farouchement en regardant son mari. Cyril s'appuie contre le mur d'en face, met les mains sur son visage, et se met à pleurer.
Ma rencontre avec la bisexualité et la domination....
Je viens de finir mon job. J’ouvre la porte de l’appart. La porte de la chambre à coucher est entrouverte. Des gémissements me parviennent. Je m’approche sans bruit. Je regarde et le spectacle me fait bander de suite…
Tu es couchée sur le lit, les jambes écartées, nue, un bâillon sur la bouche. Des menottes bloquent tes bras écartés et tes jambes sont attachées aux pieds du lit. Entre tes cuisses, je vois une tête avec des longs cheveux qui s’agite provoquant tes gémissements.
La fille qui te lèche tient un gros gode à la main. Elle l’approche lentement, remontant tes cuisses et, en te regardant dans les yeux, elle commence à l’enfoncer… Lentement d’abord puis d’un coup, elle te l’enfile à fond !
Tu sursautes !
Elle attache les lanières autour de son bassin. Elle prends les bouts de tes seins entre les doigt et commence à tirer dessus… Quand ils sont bien sortis, elle y place une pince et après seulement, elle commence à te baiser..
- Alors ma salope, c’est cela que tu voulais ? Te faire engoder à fond, attachée et bâillonnée par ta Maîtresse ?
Tu gémis en faisant oui de la tête. Soudain, même à travers le bâillon, je t’entends jouir pendant qu’elle tire sur les pinces…
- Bien, cochonne, maintenant, tu vas t’occuper de plus gros… Viens Jean.
Je vois alors arriver dans mon champ de vision un gars musclé. Il s’approche du lit, t’enlève ton bâillon et te glisse sa queue dans la bouche.
- Allez salope, fais-moi triquer !
Et il te baise la bouche. Petit à petit, la queue grossit et bientôt tu ne peux plus que lécher le gland. Elle est énorme, grosse, longue, avec un gland comme un abricot !
La femme retire le gode de ta chatte et l’homme se met en position entre tes cuisses.
- Han !
D’un coup, il vient de t’empaler ! Tu hurles.
La femme vient alors s’asseoir sur ta bouche, faisant face à l’homme.
- Lèche-moi, salope, fais-moi jouir pendant que tu te fais défoncer ta chatte de gouine !
Je vois ta langue sortir et s’attaquer à la chatte. Depuis longtemps , j’ai sorti ma queue et je me branle. Soudain, tu cries ta jouissance, le mec continuant à te défoncer la chatte.
- Alors, salope, c’est meilleur avec ma grosse queue qu’avec ton cocu de mari, hein ? Je suis sûr qu’il n’en a pas une aussi grosse !
- Non, elle n’est pas aussi grosse
- J’en étais sûr ! Et ton cul, il te l’a déjà ouvert ?
- Non mais vous allez me faire mal! Elle est trop grosse!
- Je vais me gêner!
Et il continue de te bourrer. Tu jouis une deuxième fois en même temps que ta Maîtresse. Celle-ci se relève et viens détacher tes jambes qu'elle relève sur ton ventre, dégageant ton cul.
C'est alors que le mec jouit, t'inondant la chatte de foutre. Il se retire. Immédiatement, la femme t'enfile ses doigts, récupérant le foutre du gars et commence à l'étaler dans et sur ton cul… Tu aimes. Pendant ce temps, le gars présente sa queue à tes lèvres.
- Lèche-moi et fais-moi rebander, salope!
Tu t'actives. La queue sent la chatte et le foutre et ne tarde pas à rebander! Il te semble qu'elle est encore plus grosse qu'avant! Lorsqu'elle est bien dure, le gars repasse entre tes jambes et pointe ton cul, guidé par la main de la femme.
- Non Noooon !
Mais lentement le gars pousse sa queue dans ton cul. Il te semble qu'il te déchire mais petit à petit, tu commences à accepter ce monstre et tu te détends. Il commence alors ses va et viens.
C'est à ce moment-là que la porte s'ouvre violemment. Je me retrouve avec la queue tendue, le pantalon sur les chevilles et les couilles dans l'autre main. A coups de cravache sur les fesses, elle me fait rentrer dans la chambre. L'homme t'encule en me regardant.
- Salut cocu! T'as vu comme j’encule ta femme? Tu n’as jamais pu lui faire mais elle adore ça! Et apparemment toi aussi à ce que je vois!
La femme me dit:
- A genoux cocu!
Je m'exécute et elle me passe des menottes, bras dans le dos. L’homme se retire de ton cul et s’approche de moi, la queue dressée. Se plaçant devant moi, il me dit :
- Après la femme, le cocu : suce ! Et fais-le bien sinon je te jure que tu vas le regretter !
Je me penche, prends le gland dans ma bouche et commence à sucer. Pendant ce temps, la femme vient près de toi et te détache.
- Alors ma chérie, de quoi as-tu envie maintenant ? Tu peux tout me demander après ce que je t’ai fait subir.
Tu lui réponds :
- Alors mets-toi à quatre pattes et écarte tes fesses.
Pendant qu’elle s’exécute, tu te harnaches du gros gode et appelle Jean.
- Jean, viens ici. Mon cocu t’a suffisamment sucé. Encule cette salope pendant que je me fais le cul de mon mari.
Je crie :
- Nooon ! Je ne veux pas !
- Toi tu te tais ou je demande à Jean de t’enfiler à sec ! Et je te préviens que sa queue est très grosse et te ferait très mal ! J’adore sa queue. D’ailleurs je crois que je ne me ferai plus enfiler que par elle. Elle est beaucoup plus grosse que la tienne .
- Allez viens sucer le gode que je vais te mettre !
Je m’approche à genoux et commence à te sucer. Pendant ce temps, Jean encule à fond ta maîtresse qui gémit dans le coussin.
- A ton tour, mets-toi à côté d’elle, les fesses en l’air.
Je m’exécute et immédiatement je sens ton gode s’enfoncer dans mon cul. Tu me prends par les hanches et commence tes va-et-vient. J’aime. Je me retourne, Tu roules une pelle à ton amant tout en me baisant… Je vois tes seins se balancer en rythme !
- Jean, viens te faire le cul de mon mari ! Je veux le voir se faire mettre par mon amant !
Il ressort du cul de ta maîtresse et se place entre mes fesses. Tu le guides et pousses d’un coup.
- Ouiii, vas-y encule-le ! Et toi viens me lécher !
La femme se glisse entre tes cuisses et te lèche si bien que tu jouis, une, deux trois fois… C’est à ce moment que ton amant me remplit le cul…
Ta maîtresse s’éclipse discrètement et tu dis à Jean :
- Viens Jean, on va se coucher. Toi, tu dors sur le canapé.
Pendant une bonne partie de la nuit, j’entendrai des gémissements…
Jean et sa grosse queue. Jusque tard dans la nuit, il t’enfilera, t’enculera en écartant tes fesses à fond, te baisant avec ses doigts en même temps, éjaculant dans ta bouche…
Pendant ce temps, je trouvai le sommeil avec peine. Je fus réveillé par un gros truc chaud sur mes lèvres.
- Suce, fais-moi bander, cocu !
Ce que je fais. Elle me semble encore plus grosse que la soirée d’avant. Elle sent le foutre, elle sent la chatte et le cul… Mais bientôt elle se dresse, dure, longue, épaisse…
- Je vais aller réveiller ta femme… Je suis sûr qu’elle va aimer ! Toi tu restes là.
Silence. Soudain, tu pousses un petit cri…suivi de gémissements. Toujours plus fort. Tu jouis en criant :
- Ouiiiii Jean, baise-moi, éclate-moi la chatte avec ta grosse queue ! Je ne pourrai jamais m’en passer ! Ma bouche, ma chatte, mon cul sont à toi ! Utilise-les quand tu veux !
Et tu jouis une nouvelle fois !
Une heure plus tard, il quitte l’appartement. Je me risque dans la chambre à coucher. Tu as les yeux fermés, les jambes écartées, du foutre plein la chatte. Mais tu m’as entendu.
- Viens ici. Viens entre mes cuisses, mets tes mains dans le dos et nettoie-moi la chatte avec ta langue. Et applique-toi !
Et je m’applique. Je te nettoie. J’aspire le foutre de ton amant et j’enfile ma langue dans ta chatte. Petit à petit, je sens que tu mouilles… Tes mains agrippent mes cheveux et plaquent ma bouche contre ton clito.
- Ne t’avise pas de t’arrêter avant que j’aie joui…
Je continue à m’appliquer et deux minutes plus tard tu jouis en écrasant ma tête entre tes cuisses. Je te laisse reprendre ton souffle.
- J’ai encore envie et tu as bien mérité une petite récompense. Viens me mettre ta queue dans la chatte et baise-moi.
Je me précipite et plonge avec délice ma queue tendue dans ta chatte trempée.
- Oui, baise ta salope de femme qui te fais cocu, qui se fait enculer et baiser devant tes yeux. Venge-toi, défonce-moi la chatte, baise-moi la gueule et remplis-moi la gorge de foutre ! J’aime me faire sauter par Jean mais je n’aime pas le goût de son sperme. C’est le tiens que je veux avaler ! »
Tu sens que je vais jouir. Tu t’échappes, prends ma queue dans la bouche et me branle à fond ! Je jute. Tu prends tout dans la bouche puis te précipites pour m’embrasser à pleine bouche! Je sens ta langue pleine de foutre s’enfiler dans ma bouche puis tu avales tout. Tu te calmes.
- Mmmhh c’était bon. A la douche.
Je viens avec toi. On se savonne mutuellement et on se rince. Insensiblement, je sens tes mains appuyer sur mes épaules, toujours plus bas. Une fois à genoux, tu approches ma bouche de ta chatte.
- Ouvre la bouche s’il-te-plaît….
Je m’exécute et un petit jet doré frappe mes lèvres.
- Je peux continuer ?
- Ouiiii !
Tu te laisses alors aller et j’avale tout. Quand tu as terminé, tu écartes tes lèvres et je te sèche.
La journée s’écoulera sans que nous ne parlions de toute cela.
Il est 19h et le téléphone sonne. Tu réponds :
- Oui, salut Jean.
- …..
- Bien sûr que je veux !
- …… »
- Sans problème, je lui donnerai tes instructions.
- …. »
- Il a intérêt à accepter. A toute à l’heure, Je mouille déjà !
Tu m’appelles :
- Chéri, ce soir nous avons rendez-vous au sauna avec Jean. Vas te raser les couilles et le cul. Quand ce sera fait, tu vas dans l’armoire et tu prends le gode spécial cul, le collier de chien et la laisse. Je t’attends.
Je fais ce que tu m’as demandé et je viens vers toi, nu. Tu prends mes couilles dans les mains et t’assures que tout est bien rasé.
- Tourne-toi et penche-toi en avant.
Tes mains écartent mes fesses et tes doigts tâtent mon trou.
- Bien, c’est propre. Maintenant je vais te préparer.
Tu enfonces le plug dans mon trou.
- Tu vas le garder jusqu’à ce qu’on soit au sauna. Mets un pantalon, sans slip et un t-shirt. On y va »
Arrivés devant le sauna, nous attendons. Tu es assise à l’arrière et moi au volant. La porte arrière s’ouvre et Jean entre dans la voiture. Il t’embrasse lentement sur la bouche pendant que sa main se glisse dans ton soutien-gorge, pinçant la pointe de ton sein. Tu gémis. Je regarde dans le rétro et je vois ta main sur la braguette de Jean. Tu lui masses la queue à travers le tissu. Il se retire et dit :
- Voilà comment va se dérouler la soirée : Yves tu vas rentrer dans le sauna en premier. Dans 15 minutes, nous entrerons à notre tour. Comme c’est un vestiaire mixte, quand nous entrerons, je veux te voir, à poil, avec une queue dans la bouche. Nous nous déshabillerons et nous irons dans le hammam. Après tu verras. Bon, maintenant vas-y et toi suces-moi.»
Au moment où je quitte la voiture, je te vois te pencher, me regardant dans les yeux, la pointe de ta langue posée sur le gland de Jean…
Je rentre en vitesse dans le sauna, entre dans les vestiaires, me déshabille et attend. Un homme arrive mais ne s’intéresse pas à moi, Le temps passe. Un deuxième homme entre. Je vois qu’il bande sous sa serviette mais une femme le suit.
Presque un quart d'heure de passé... 13 minutes exactement
Enfin un homme entre et s’approche du casier juste à côté de moi. Je vois sa bite par la fente du linge. Il bande légèrement. Sa jambe touche ma cuisse et y reste.
Je pose ma main sur son genou et commence à monter. 14 minutes.
Je prends mon courage à deux mains et je glisse mes mains sous le linge, empoignant la queue qui maintenant est dressée. Il enlève son linge et approche ma tête de son gland. Je le gobe. Il est temps, j’entends vos voix dans le hall d’entrée.
Je suce le gars maintenant en caressant ses couilles. Vous entrez dans le vestiaire et vous déshabillez. Je vois que Jean bande encore et que tes cuisses sont brillantes de mouille. Après un dernier regard souriant dans ma direction, vous quittez les vestiaires. Je continue à sucer et le gars ne tarde pas à juter sur mon visage. Puis il s’en va. Un autre homme se présente dans le vestiaire.
- C’est toi Yves ? »
- Oui c’est moi. »
- Il paraît que tu as deux objets dans ton vestiaire. »
Je l’ouvre et j’y prends la laisse et le collier que je remets au mec. Il me place le collier, le ferme avec un petit cadenas et y croche la laisse.
- Au fait, ton cul doit être suffisamment ouvert maintenant. Retires le plug et viens.
Nous traversons le club, lui me promenant en laisse, nu. Nous entrons dans le hammam.
- A quatre pattes, chien !
Je m’exécute et nous entrons. Il fait très sombre et il y a de la vapeur. Je vous vois quand même. Jean est assis sur le banc et tu es assise sur ses genoux, lui tournant le dos, les cuisses écartées. Je vois que sa queue est enfoncée dans ton cul et ta chatte est grande ouverte. A part vous, il y a trois hommes dans le hammam. J’entends ta voix :
- Alors ma petite chienne, prête à sucer ?
- Oui.
- Bien. Messieurs, si l’un d’entre vous veut se faire sucer, qu’il écarte les cuisses. Mais avant, je veux que tu viennes me lécher.
Je m’approche et je vois de près la grosse queue de Jean dans ton cul.
- Tu vois comme il me l’a mise profond dans le cul, c’est toujours aussi bon. Alors lèche-moi et profites-en pour lui lécher les couilles.
Je m’applique et après 2 minutes je t’entends jouir.
- Va faire ton boulot maintenant! Regarde Jean, il va sucer d'autres queues que la tienne et il a l'air d'aimer ça!"
Toujours à quatre pattes je me glisse entre les cuisses du premier et je commence à sucer. De temps en temps je jette un coup d'œil dans ta direction. Tu commences à monter et descendre sur la queue de Jean.
Un des hommes se plante devant toi, la queue tendue. Tu l'embouches aussitôt en lui caressant les couilles!
Celui que je suce jouit et je reçois son foutre sur mes seins puis il s'en va.
Tu me fais signe de venir et sans arrêter de t'enculer sur la queue de Jean, tu me montres les couilles de celui que tu suces pour que je les lèche.
Nous nous activons tous les deux. Après quelques secondes de ce traitement, l'homme éjacule. Tu laisses sa queue et m'embrasse à pleine bouche, nos langues jouant avec le foutre. C'est alors que tu jouis.
- Venez tous les deux allons dans la cabine avec les trous!
Vous marchez devant moi qui vous suis, en laisse. Après avoir fermé la porte de la cabine, Jean nous mets à quatre pattes, la bouche face aux deux trous dans la paroi. Immédiatement, il s'enfonce en moi et me pilonne en me tenant par les hanches. Tu mates en te branlant la chatte.
C'est alors qu’une queue sort du trou qui est devant toi. Elle est noire et bande déjà… Tu me regardes et lentement tu l’embouches. Je suis jaloux. Toujours en me regardant dans les yeux, tu lèches, suce mordille.
- Regarde comme j'aime sucer… Je le ferai quand je voudrai, avec qui je voudrai et où je voudrai. "
La queue noire est très dure et longue. Tu te retournes et en me regardant toujours, tu t'empales lentement. Tu la sens écarter tes lèvres et petit à petit progresser dans ton sexe trempé.
- Si tu savais comme elle est grosse! Je voudrais qu'il me prenne en même temps que Jean…"
En entendant cela, Jean sort de mon cul et dit :
- Venez on va lui proposer la chose!"
Je crie:
- Nooon!"
Mais rien n'y fait. Il ouvre la porte et va trouver le black qui est tout de suite d'accord. Nous allons dans la petite salle avec le grand lit au milieu. Il ferme la porte vitrée pour les mateurs et se couche sur le dos.
- Allez ma salope viens sur moi."
Tu te mets à cheval sur sa queue et le black se positionne derrière toi. Son gros gland rose se pose sur ton anus et il l'enfonce lentement. Une fois bien en place, tous les deux commencent à bouger.
- Oui, baisez-moi, enculez-moi plus fort! Regarde comme ils me défoncent bien! J'aime les grosses queues!"
Je vous regarde. Malgré moi, je commence à me branler tant ma queue est tendue.
- Regardez-le comme il aime voir sa femme se faire mettre par tous les trous! Jean, tu me permets de le sucer? J'ai envie d'une queue dans la bouche!"
- Oui vas-y mais il a interdiction de jouir"
Je me précipite et t'enfile ma bite dans la bouche! Tu suces à fond en léchant mes couilles, sachant très bien que j'adore cela et que je ne pourrai pas tenir très longtemps. Je me retire au dernier moment. Mais tu en veux encore et tu tires sur mes couilles pour garder ma queue dans la bouche. Et ce qui devait arriver, arrive. Je jute en criant. Tu avales tout en gémissant et en prenant ton pied avec les deux grosses bites:
- Vas t'asseoir dans un coin chien pendant qu'on finit ta gonzesse! Et gare à ta punition.
De ton côté, tu n'arrêtes pas de jouir et après quelques minutes, les mecs jutent dans ta chatte et dans ton cul. Après un peu de repos, tu viens t'asseoir sur ma bouche.
- Vas-y nettoie!"
Ce que je fais. Quand j'ai fini, nous ne sommes plus que les deux. Je lèche toujours. Tu te penches en avant et prends ma queue en bouche. Nous jouirons comme ça en 69…
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Le mois des Cocus... en vidéo
Garder des souvenirs pour les vieux jours!
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