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Channel: Chez Andre 112
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Le mois des Cocus soumis... en vidéo

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Un bon petit mari cocu soumis doit savoir déguster
 les élixirs de vie de nos amants.
Prenez quelques leçons mes amis cocus soumis!








La production de votre serviteur.

Histoire du net. Auteur inconnu. L'explosion... des sens!

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Quand une nouvelle rencontre
nous met face à nos imperfections masculines.

Le beau voisin qui fit exploser notre couple
1 - Je finis par sucer notre nouveau voisin en espérant qu'il laissera ma copine tranquille.
Je m'appelle Jean, j'ai 25 ans et je vis depuis quatre ans avec ma petite amie
Charlotte, âgée de 23 ans. Charlotte est ce qu'on appelle une jolie fille. C'est une
vraie blonde aux yeux noisettes. Elle mesure 1m64 pour 50 kg. Elle a la chance d'avoir de très belles formes : ses hanches sont bien dessinées, elle a un joli petit cul rebondi et est dotée d'un bonnet 85D, ce qui pour sa taille donne l'impression qu'elle possède une énorme poitrine.
Je suis conscient d'avoir énormément de chance d'être avec une fille aussi belle et
désirable, mais je dois avouer que côté sexe, je n'en profite pas au maximum.
Charlotte n'est pas très demandeuse en la matière, mais je pense que c'est un peu de ma faute, car je suis loin d'être le coup du siècle.
Je sais pourtant qu'elle aime
faire l'amour et qu'il lui arrive d'être en manque, car j'ai déjà trouvé dans
l'historique de son ordinateur la trace de sites pornographiques. Toutes les vidéos
consultées montraient des mecs bâtis et montés comme des taureaux (je ne mesure qu'1m75 pour 68kg, et mon sexe mesure 15cm en érection...), défonçant des femmes qui hurlaient leur plaisir. Cela m'avait fait un choc et m'avait même un peu vexé...
Cela faisait quelques jours que nous avions emménagé dans notre nouvel appartement, situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de deux étages. Charlotte travaillait dans un magasin de prêt-à-porter, elle faisait beaucoup d'heures et rentrait tous les soirs vers 20h.
Moi, j'avais récemment perdu mon emploi d'informaticien, j'occupais donc mon temps libre à chercher du travail et, depuis le déménagement, à faire toutes les démarches nécessaires auprès des impôts, de notre banque, de notre fournisseur
d'accès internet...
Il était 17h et je rentrais du supermarché où j'avais fait quelques courses. Nous
n'avions pas encore croisé notre voisin de pallier, et nous nous étions demandé à quoi il pouvait bien ressembler. J'eus la réponse alors que j'arrivais dans le hall de
l'immeuble.
Au moment où je sortais la clé de l'appartement de ma poche, j'entendis la porte d'à côté s'ouvrir. Je me retournais pour saluer notre nouveau voisin, et j'eus un choc en le découvrant. Un homme noir d'une trentaine d'années, qui devait bien mesurer 1m90 pour une centaine de kilos de muscles, se tenait à quelques mètres de moi. Il était habillé de façon très cool et sportive, avec un pantalon de survêtement et un t-shirt qui moulait ses imposants pectoraux. Son crâne était rasé et ses yeux étaient d'un marron très clair, ce qui lui donnait un regard pénétrant et
déstabilisant. Je me sentis tout de suite intimidé face à lui.
- Bonjour ! me lança-t-il joyeusement.
Il avait un accent africain assez marqué, ce qui me fit dire qu'il n'avait probablement pas grandi en France.
- … Bon... Bonjour, balbutiai-je. Comme vous voyez, je suis votre nouveau voisin !
- Enchanté, répondit-il. Je m'appelle Baakari, j'entraîne l'équipe de foot' de la
commune ! Et vous ?
- Euh... Je m'appelle Jean, je... je suis content de vous rencontrer. On ne s'était
pas encore croisés depuis notre emménagement.
- C'est vrai ! Mais je vous ai aperçu avec votre camionnette de location l'autre jour, vous et votre... amie. C'est votre femme ?
Cela me dérangea qu'il pose cette question, car en l'apercevant quelques secondes
auparavant, j'avais justement pensé à Charlotte, en me disant qu'un tel homme allait beaucoup lui plaire...
- Nous ne sommes pas mariés, Charlotte et moi, rétorquai-je. Mais nous sommes ensemble depuis 6 ans.
Je rajoutais volontairement du temps à notre relation, pour qu'il comprenne qu'entre Charlotte et moi, c'était du sérieux !
- Charlotte... C'est un joli prénom. Je l'ai trouvée très jolie, en tout cas ! Tout à
fait mon genre de femme...
Je fus frappé par la franchise de Baakari. « Pourquoi ne pas me dire que tu t'es
branlé en pensant à elle, connard ? » me dis-je en mon for intérieur.
- Merci, c'est vrai qu'elle est charmante... Et... Et vous, vous avez une femme ?
- Oh non ! S’exclama-t-il instantanément. Moi et les femmes, ce n'est jamais sérieux. Je les aime trop pour n'en avoir qu'une, si vous voyez ce que je veux dire !...
Je voyais tout à fait ce qu'il voulait dire. Même si je savais que Charlotte n'était
pas une femme volage, ces quelques mots m'avaient suffi pour considérer Baakari comme un rival potentiel. Un rival face à qui, bien sûr, je ne faisais pas le poids...
- Ok, Chacun son truc ! Moi et Charlotte, nous préférons les relations sérieuses...
- Je comprends, mais vous savez, les goûts peuvent évoluer... Il suffit de rencontrer la bonne personne pour vous faire changer d'avis !
Je ne savais pas vraiment à quel jeu jouait mon interlocuteur, mais j'étais déjà
troublé par le peu qu'il m'avait dit, et j'eus soudain envie de me débarrasser de lui.
- Tout à fait, tout à fait... Veuillez m'excuser, Baakari, mais je suis un peu pressé,
j'ai des choses à mettre au frais et un repas à préparer pour ce soir ! Nous aurons
certainement l'occasion de nous recroiser pour discuter.
- Pas de problème, dit Baakari. De toute façon, je dois être au stade pour 17h30. Je demande aux jeunes d'être à l'heure à l'entraînement, alors ce ne serait pas normal que moi, je sois en retard... A bientôt alors, Jean !
Je le vis, lui et ses épaules incroyablement carrées, sortir du hall d'immeuble et
s'éloigner à travers le parking.
Une fois rentré dans l'appartement, je ne parvins pas à me sortir ce Baakari de la
tête. Je l'avais trouvé bien trop séduisant, et surtout bien trop intéressé par ma
copine ! Je me demandais également ce que Charlotte allait penser de ce nouveau
voisin. Malgré toutes ces questions qui se bousculaient dans mon esprit, je dus
revenir à des considérations plus pragmatiques, et au repas que j'avais promis à
Charlotte pour son retour ! J'ouvris grand les fenêtres qui donnaient sur la terrasse
pour aérer, car nous avions repeint l'appartement avant d'emménager, et l'odeur
n'avait pas complètement disparu. Puis je me dirigeai vers la cuisine pour me mettre à la tâche...
…………………………………
Un peu avant 20h, alors que je rêvassais en regardant la télé depuis la cuisine, je
fus interpellé par un éclat de rire qui venait de l'extérieur. Après quelques
instants, je crus reconnaître les intonations et le timbre de ma petite amie
Charlotte. Heureux de la savoir de retour, je me dirigeai vers la fenêtre pour tenter de l'apercevoir. Même si nous habitions au rez-de-chaussée, notre terrasse était un peu en retrait par rapport au parking, ce qui me permit de voir ce qui s'y passait sans être vu.
Charlotte était bien là, à côté de sa voiture qu'elle venait de garer, mais elle n'était pas seule ! La personne avec qui elle discutait en riant aux éclats n'était autre que notre nouveau voisin Baakari ! J'eus instantanément la boule au ventre. Ce salaud devait rentrer de l'entraînement de football, et profitait de mon absence pour faire connaissance avec ma copine.
Je ne parvenais pas à discerner les mots qu'ils prononçaient, mais cela semblait réjouir Charlotte, qui avait le sourire jusqu'aux oreilles. Elle passait son temps à se toucher les cheveux et à se trémousser. Peut-être me faisais-je des idées, mais j'avais l'impression qu'elle faisait tout pour aguicher ce beau black. Leur conversation dura un bon quart d'heure.
Au moment de se quitter, ils sortirent chacun leur téléphone portable : je compris
qu'ils étaient en train de s'échanger leur numéro ! J'étais fou de rage, mais je me
rendis compte que les avais épié 15 minutes durant sans oser intervenir. Quelle
lavette j'étais ! Quand j'entendis la clé dans la serrure, je me précipitai dans la
cuisine pour reprendre ma position initiale.
- C'est moi, chéri ! annonça Charlotte en pénétrant dans la pièce. Ca sent rôlement
bon, c'est la dinde que tu m'as promis ?...
Nous échangeâmes quelques banalités. Je pris soin de ne pas parler de ce que j'avais vu, pour voir si elle allait oser aborder le sujet. Elle ne toucha pas un mot de sa rencontre avec Baakari ! Pire, lorsque j'annonçai innocemment avoir fait la
connaissance du nouveau voisin dans le hall, un « grand black imposant », elle prit un air surpris et me dit qu'elle avait hâte de le croiser pour voir à quoi il
ressemblait ! J'étais de plus en plus vexé. Je n'osai évidemment pas lui dire ce que
j'avais vu même si je me sentais trahi.
Nous passâmes une soirée ordinaire. Moi dans le bureau, sur l'ordinateur pour
rechercher des offres d'emploi, Charlotte dans le salon, sur le canapé devant la
télévision. Même si je repensai à Baakari toute la soirée, je finis par relativiser :
Charlotte avait sûrement eu peur de ma réaction, sachant que j'étais d'un naturel
jaloux et qu'elle s'était très bien entendue avec notre nouveau voisin. Je décidai
donc d'oublier cette histoire. Nous ne fîmes pas l'amour au moment du coucher, mais alors que je la prenais dans mes bras pour lui souhaiter bonne nuit, il me sembla que Charlotte avait le sexe humide. Mais peut-être, encore une fois, avais-je rêvé...
……………………
Le lendemain matin, Charlotte partit travailler à 8h. J'avais rendez-vous à Pôle
Emploi à 14h, ce qui me laissait la matinée libre. Je m'installai devant l'ordinateur
pour traîner sur internet, vêtu d'un simple t-shirt et d'un caleçon. Au bout d'une
heure, je fus dérangé par la sonnette de l'appartement.
C'était la première fois que je l'entendais retentir. Pris de court, j'enfilai en vitesse ma robe de chambre et me dirigeai vers la porte d'entrée. Un rapide coup d'oeil à travers le judas : c'était Baakari ! Décidément, cet homme devenait encombrant ! L'immeuble n'était pas très bien isolé, il m'avait donc forcément entendu me déplacer dans l'appartement : j'étais obligé d'ouvrir, où j'allais passer pour un malotru. A regret, je tournai le verrou et entrouvris la porte. Le sourire impeccablement blanc de Baakari m'attendait.
- Bonjour Jean ! Désolé de vous déranger, mais je viens de m'apercevoir que je n'ai plus d'oeufs chez moi, et il m'en faudrait deux pour ce midi. Comme nous avons fait connaissance hier, je me suis dis que j'allais passer vous en demander ! C'est important l'entraide entre voisins.
Je n'étais pas ravi de le revoir aussi vite, mais après tout, il ne s'agissait que de
quelques œufs.
- Ah ! Eh bien, justement j'en ai racheté hier. Entrez, je vais vous donner ça.
Baakari pénétra dans l'appartement à ma suite. Il avait la même tenue « sportive » que le jour précédent. J'engageai la conversation pendant que je cherchais les œufs dans le frigo. Lui se tenait debout dans le salon, de l'autre côté du bar de la cuisine américaine.
- Vous allez bien depuis hier ? L'entraînement s'est-il bien passé ?
- Parfaitement bien, me répondit Baakari. J'ai aussi passé une belle soirée, qui avait bien commencé puisque j'ai rencontré Charlotte...
Mon sang se glaça lorsque j'entendis ces paroles. Baakari les avait prononcées d'un air tellement satisfait, on aurait dit qu'il me provoquait... J'avais toujours la tête dans le frigo, mais je sentais son regard pénétrant dans mon dos.
- Ah ! C'est très bien ! répondis-je d'un air faussement détaché. Et... vous vous êtes bien entendus ?
- Vous n'avez pas idée ! Elle me plaît encore plus de près que depuis ma fenêtre ! Et j'ai eu le sentiment que c'était réciproque... D'ailleurs, nous avons échangé des
textos toute la soirée ! J'espère que ça ne vous dérange pas !
A ces mots, je fis volte-face pour le regarder dans les yeux. Cet homme allait
décidément trop loin ! Je restais très intimidé par sa carrure, mais je ne pouvais
plus supporter ses allusions lubriques. Dans le même temps, j'étais choqué par ce
qu'il venait de m'annoncer. Des textos toute la soirée ! C'était peut-être une
provocation, mais il est vrai que je n'avais pas pu surveiller Charlotte, puisqu'elle
avait regardé la télévision dans le salon jusqu'à minuit.
- Vous... vous m'ennuyez avec votre petit jeu, osai-je lui lancer. Vous essayez
manifestement de casser mon couple, mais je ne crois pas à vos mensonges ! J'aime Charlotte, et vous ne parviendrez pas à nous séparer !
- Je vois... Le numéro des amoureux fidèles, ironisa-t-il. Dans ce cas, pourquoi ne
pas vérifier par vous-même... Regardez !
Baakari sortit son portable de sa poche de survêtement, appuya sur quelques touches, puis me tendit l'appareil. Je ne voulais pas entrer dans son jeu, mais la curiosité me poussa à y jeter un œil. Il s'agissait bien d'un échange de textos avec une certaine « Charlotte », et le numéro correspondait à celui de ma copine ! Il commençait par lui avouer qu'il l'avait trouvée charmante, ce à quoi elle répondait par des remerciements gênés.
Mais à mesure que les messages s'enchaînaient, la conversation devenait de plus en plus chaude. Il lui demandait si elle était toujours restée fidèle, la réponse était oui (ce qui me soulagea grandement), mais elle finissait par lui confier qu'elle
se touchait régulièrement en pensant à d'autres hommes.
Il se vantait carrément d'avoir un sexe de 25cm et de donner énormément de plaisir aux femmes, et Charlotte lui répondait « Hmmm... Arrête ça tu me troubles... ». Et la conversation continuait ainsi de 20h45 à 23h30 !
Tout s'effondrait autour de moi. Ma petite amie avait flirté toute la soirée avec un
homme bien plus viril et séduisant que moi ! Si je n'avais pas été là, dieu sait ce
qui aurait pu se passer entre eux ! Je n'osais maintenant plus regarder Baakari dans les yeux. J'avais le sentiment d'être une proie en face d'un mâle dominant, satisfait d'avoir gagné son combat et prêt à me voler ma vie et ma copine. Je sanglotais, de honte et de tristesse. Lui ricanait en me toisant du regard. Lorsqu'il reprit la parole, son ton n'était plus du tout le même.
- Ecoute-moi, Jean. Je vais te tutoyer, puisque je tutoie déjà ta copine. Charlotte
est beaucoup trop belle pour toi, tu le sais. Tu pensais pouvoir faire toute une vie
avec elle sans pouvoir la satisfaire ? Ce genre de femme a besoin d'un vrai mâle, d'un homme comme moi qui lui donne du plaisir et en fait une petite chienne affamée de bite. En à peine 5 minutes de conversation, je l'ai compris, et elle aussi. Je n'ai plus qu'un mot à dire pour qu'elle se jette à mes pieds et me supplie de lui bourrer la chatte. Tu l'as déjà perdue, tu dois l'accepter...
- Non... non, je t'en supplie... On s'aime, laisse-la tranquille... Je te donnerai
tout ce que tu voudras, mais ne bousille pas mon couple, s'il-te-plaît...
J'en étais réduit à supplier un homme pour qu'il ne baise pas ma copine. J'étais
pitoyable. Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi soumis et impuissant face à
quelqu'un. J'étais complètement pris au piège : d'après les textos, il avait réussi à
séduire Charlotte, je ne pouvais que le reconnaître.
- Tout ce que je veux ? Mais c'est le corps de ta copine que je veux ! Non, non... Si je renonçais à Charlotte, il me faudrait autre chose pour compenser... Elle m'a
drôlement excité hier soir, la petite salope... Je suis sûr que c'est un bon coup, je
ne peux pas m'asseoir dessus sans contrepartie !
Naïvement, j'eus l'impression qu'il ouvrait la porte à un possible compromis. Je me jetai dessus avec l'énergie du désespoir.
- Une contrepartie ? Oui, dis-moi ! Tu veux que je te paye une escorte ? C'est comme tu veux, je te paye qui tu veux !
- Hmmmm, tu n'as pas l'air de comprendre, me lança Baakari avec condescendance et mépris. Je voulais baiser la bouche de ta copine et lui dépuceler le cul. Elle m'a dit qu'elle en mourait d'envie. Si je ne peux pas avoir ça, c'est TA bouche et TON cul que je veux ! Avec ton tempérament de soumis, je suis sûr que tu serais foutu d'aimer ça !
J'étais loin de m'attendre à ça ! Je me sentais encore plus humilié par sa demande. Je dois bien avouer que le sentiment de soumission que j'avais ressenti en lisant les textos faisait de Baakari une sorte de surhomme à mes yeux, contre qui je ne pouvais absolument pas lutter. L'humiliation qu'il m'infligeait en séduisant ma femme quasiment sous mes yeux instaurait entre nous un rapport de virilité presque sexuel.
Mais de là à me laisser abuser par lui ! Je n'avais jamais eu d'expérience
homosexuelle, même s'il m'était arrivé d'y penser pendant mon adolescence. Si je le laissais me prendre la bouche et le cul, je le laissais en même temps aller au bout de son entreprise de soumission, car je m'offrais complètement à lui. Et force m'était de constater que sa demande, qui me poussait à abandonner toute forme de virilité, avait quelque chose d'excitant.
- Tu... tu es sérieux ? lui demandai-je. Si je fais ce que tu demandes, tu laisseras
Charlotte tranquille ?
- Il ne te faut pas longtemps pour envisager de passer à la casserole ! s'exclamât-
il. J'étais sûr qu'il y avait deux femmes dans votre couple ! Qu'on soit bien clair :
si tu te laisses aller entre mes mains, peut-être que j'oublierai ta copine... Tout ce
que je veux, c'est une salope à baiser !
- … Alors c'est d'accord, dis-je en gardant les yeux baissés. Je vais le faire...
J'avais dit oui. A cet instant précis, j'avais définitivement accepté la victoire de
Baakari. Désormais, il était le mâle, et moi sa chose...
Et ce uniquement pour garder Charlotte...
- Très bien, Jean, voilà qui est raisonnable. Enlève-moi cette robe de chambre et
mets-toi à genoux, et vite !
Je m'exécutai et me retrouvai en caleçon et en t-shirt, ce qui me donnait vraiment
l'air d'une crevette à côté de Baakari et son imposante silhouette. Il ôta son t-shirt
et libéra un buste excessivement musclé. J'aurais tellement aimé être bâti comme lui !
- Approche-toi de moi en tordant du cul ! Fais la salope, vas-y ! Par terre,
maintenant ! Ma bite attend qu'on s'occupe d'elle !
J'obéissais à ses ordres et je me tortillais sur place, en essayant d'imiter les femmes que j'avais vu faire dans les pornos. Je me cambrai au maximum avant de
terminer à genoux, la visage à quelques centimètres de son paquet.
Visiblement, mon petit numéro lui avait plu, puisqu'une bosse énorme s'était dessinée au niveau de son entrejambe. Je ne voyais pas encore son sexe, mais je me disais qu'il n'avait finalement pas menti en se vantant auprès de ma copine !
- Commence par me la gober à travers le survêtement... Oui... N'avale pas ta salive, laisse tout couler comme une vraie femelle ! Aaaah...
A travers le tissu, je pouvais sentir un léger goût salé. Sa verge devait déjà
commencer à suinter...
Soudain, Baakari s'écarta de quelques centimètres et fit tomber son pantalon et son caleçon au niveau de ses chevilles. Il libéra alors un pénis absolument magnifique. Noir comme l'ébène, il était décalotté et mesurait effectivement 25cm. Les veines apparentes qui courraient le long de la verge et le gland extrêmement large (environ 6cm selon moi) donnaient à l'ensemble un air
incroyablement puissant.
Je fus estomaqué devant ce qui m'apparut être la quintessence de la virilité. A ce moment, je me sentais comme n'importe quelle femme se serait sentie devant un tel engin : totalement excité. Alors qu'il était encore penché pour ôter complètement son survêtement et son caleçon, Baakari m'attrapa la tête de ses
deux mains et me pinça le nez. J'ouvris la bouche par réflexe, et mon amant en profita pour y engouffrer violemment son chibre.
Surpris, je déglutis violemment et je crus un moment que j'allais vomir. Au lieu de ça, je déversai une quantité impressionnante de salive, qui dégoulina sur le sexe en érection et sur mon menton. Baakari me maintint un moment le visage sans bouger, puis commença des va-et-vient qui s'accélérèrent rapidement. Il me baisait littéralement la bouche. Si je ne me sentais pas homosexuel quelques minutes auparavant, j'étais désormais une suceuse, soumise au fantasme et au
rythme de son mâle dominant. Je le suçai ainsi pendant de nombreuses minutes. Aux soupirs de plaisir qu'il lançait, je compris que Baakari prenait de plus en plus son pied. Moi même, qui avait si longtemps ignoré ma vraie nature, je commençais à me prendre au jeu de la soumission. La scène était terriblement excitante : mon amant était debout, complètement nu excepté ses chaussures et ses chaussettes qu'il avait gardés aux pieds ; moi, j'étais à genoux, son sexe en bouche et de la salive plein le cou et le t-shirt, ce qui me donnait l'air d'une salope de film porno. Sans m'en rendre compte, je m'étais moi-même mis à bander.
La vérité était que je souhaitais satisfaire Baakari : je voulais qu'il connaisse la meilleure fellation de sa vie ! Je me mis donc à imprimer mon propre rythme pour pomper au mieux la verge d'ébène qui m'était offerte. Je tournais frénétiquement ma langue autour du gland qui remplissais ma bouche. Baakari était aux anges.
- Oh putaaaiiiin... Mmmhhhhhhhhhhh... T'es une vraie salope toi ! Suce-moi bien, ma petite Jeanne ! Ca te va mieux que Jean, hein ? T'es une petite femelle qui s'ignore, voilà la vérité ! Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi !
J'obéis, en prenant la liberté de baisser mon caleçon jusqu'aux genoux. Je me cambrai une nouvelle fois, pour donner à mon cul la plus belle forme possible.
- Waaooh ! renchérit Baakari. Même ton corps est digne des plus belles femelles ! On se demande comment une femme comme Charlotte peut être attirée par une pédale comme toi ! Souriiiiiis !
J'entendis un bruit d'appareil photo. Relevant les yeux vers Baakari, je vis qu'il me visait avec son portable. Il venait d'immortaliser ma position humiliante, sa bite en bouche et les fesses ressorties au maximum. Au fond de moi, je voulais protester, lui demander de supprimer la photo qu'il avait prise, mais l'excitation me faisait complètement perdre la tête. Je n'avais plus aucune notion des réalités. Plus Baakari m'insultait, me traitait de salope, de traînée, plus j'avalais sa verge avec envie. En me tirant par les cheveux, il me traîna jusqu'au salon, sans que son chibre ne quitte un seul instant ma bouche.
Il s'assit dans le canapé, et m'ordonna de continuer ma besogne. Il avait toujours son téléphone à la main.
- Dire que c'est sur ce canapé que ta copine s'est doigtée hier soir en pensant à
moi ! Je crois qu'on va changer les règles du jeu, ma petite Jeanne. Tu es une très
bonne suceuse, mais j'ai vraiment très envie de baiser Charlotte, et sous tes yeux en plus !
Je me libérai un instant de sa bite pour lui répondre. Il en profita pour me donner
des petits coups de verge sur le visage.
- Comment ça ? protestai-je. Tu m'avais promis ! Je suis une bonne salope, je te suce depuis au moins dix minutes !
- Ne réponds-pas, petite pute ! m'asséna-t-il. Tu préfères peut-être que ta copine et
toute ta famille reçoivent des photos de toi en train de me pomper ? Alors tu vas être bien sage et continuer à me sucer pendant que je donne rendez-vous à Charlotte... Et j'ai une petite idée pour que tu profites du spectacle sans qu'elle s'en aperçoive !
J'étais encore une fois pris au piège. Mais j'étais loin d'être aussi révolté que
quinze minutes auparavant, lorsque Baakari m'avait annoncé qu'il avait réussi à
séduire Charlotte.
Dorénavant, je me sentais la pute de ce beau noir, et après tout, il était normal qu'il ait également le droit de soumettre ma copine... D'ailleurs, j'avais machinalement recommencé à lécher la bite de Baakari, pendant qu'il me menaçait de publier les photos. Une vraie salope !
- Et puis tiens, j'ai une meilleure idée, s'exclama soudain Baakari. C'est toi qui vas
lui écrire le message que je te dicterai, pendant que tu me pompes !
Mon homme me tendit une nouvelle fois son portable, et me dicta le message suivant : « J'ai croisé ton copain impuissant qui partait faire des courses. Arrange-toi pour t'absenter du boulot, je t'attends à mon appart dans 20 minutes. Tu vas prendre la bite dont tu as rêvé toute la nuit... »
Baakari m'ordonna de garder son téléphone pour lui lire moi-même la réponse. Elle ne tarda pas à arriver. Le message de Charlotte disait : « Je pars tout de suite. J'ai hâte ».
Cela excita encore plus Baakari, qui me confia qu'il était sur le point de jouir. Il sortit sa verge de mon trou oral et se masturba frénétiquement à quelques millimètres de mon visage. Dans un râle puissant, il déversa ce qui me sembla être des litres de sperme sur « ma gueule de salope », comme il l'appelait. Au fond de moi, j'étais heureux : cela signifiait que je l'avais satisfait.
- Ooooouh ! C'est trop booooon, lâcha Baakari. Mais vu ton attitude, on dirait que toi aussi tu as aimé, ma petite Jeanne ?
En me disant cela, il me caressa tendrement le front avec sa bite. Elle commençait
déjà à débander, mais gardait une taille impressionnante. Moi, j'avais le visage
recouvert de sa semence, et je ne pouvais plus ouvrir mon œil droit, collé par le
sperme. Le jus de mon amant commençait à goutter sur le tapis du salon. J'avais tout d'une traînée, et pourtant, à cet instant précis, je me sentais incroyablement bien.
- Oui... J'avoue que j'ai aimé être ta petite femelle en chaleur...
Je n'en revenais pas de prononcer des paroles aussi indécentes. Mais c'était vrai :
Baakari m'avait rendu fou de sa bite en seulement 15 minutes.
- Tu n'as pas de chance, ta copine est tellement affamée qu'elle accourt pour se
prendre mon chibre ! Mais ne t'inquiète pas, ton petit cul ne m'échappera pas
longtemps...
Je fis le sourire le plus lubrique possible en regardant dans les yeux ce beau noir au corps puissant et musclé. Je me demandais ce qui allait se passer avec Charlotte, mais plus encore, je me demandais si j'allais un jour aller jusqu'au bout avec Baakari, qui venait de m'initier à un plaisir nouveau et intense. Plus rien ne comptait à part le sexe et la virilité de mon nouvel amant. Pas même le fait que manifestement, il était sur le point de dévergonder ma copine
……………………..
2 - Ma copine Charlotte s'offre sans retenue à notre voisin et à un de ses potes !
Le plan de Baakari pour que j'assiste à son rendez-vous avec ma copine
Charlotte était simple. Il m'expliqua qu'il me suffirait de me cacher dans sa chambre d'ami, et qu'il allait recevoir « son plan cul » dans le salon.
En gardant la porte entrouverte, je pourrais sans difficulté apercevoir ce qui allait se passer entre eux. Nous étions toujours dans mon salon, lui entièrement nu, moi recouvert de sa semence, et Charlotte devait arriver d'ici une petite demi-heure. Baakari se rhabilla puis m'ordonna de le suivre jusque chez lui, sans me laisser me changer ni me nettoyer. Je dus traverser le hall de l'immeuble en t-shirt et en caleçon, le visage badigeonné du foutre de mon amant.
J'eus une peur terrible en imaginant que nous risquions de croiser un voisin, mais heureusement nous ne fûmes pas dérangés : il était 10h30 du matin, à cette heure la plupart des habitants étaient déjà partis travailler.
L'appartement de Baakari faisait à peu près la même taille que le nôtre. Il était décoré « à l'africaine », avec des couleurs chaudes et des bibelots africanisants. Une boîte de préservatifs XXL était posée, en évidence, sur la table du salon. Peut-être allaient-ils servir après l'arrivée de Charlotte ?...
Mon hôte ouvrit la porte d'une petite chambre et m'enjoignit d'y pénétrer.
- Voilà ta planque ! Le canapé tourne le dos à la porte, tu vas pouvoir tout observer sans que Charlotte ne s'en rende compte ! Tu peux te branler ou chialer, mais t'as intérêt à rester discret, si ta copine s'aperçoit que tu es caché là, tu passeras pour la pire des lavettes !
Baakari me mit une petite claque sur les fesses pour me pousser à l'intérieur
de la pièce. Me branler ou chialer ? Peut-être allais-je faire les deux ! Avec le
recul, toute cette histoire commençait à me dépasser, et je ressentais à nouveau la
peur irrésistible de perdre Charlotte.
D'un autre côté, la fellation que j'avais faite à mon voisin m'avait vraiment excité, et je n'avais toujours pas joui, contrairement à lui ! C'était donc un mélange d'inquiétude et de tension sexuelle qui me traversait, quand Baakari referma presque entièrement la porte derrière moi.
- Maintenant, ferme ta gueule, et attends ici pendant que je me prépare ! La petite
cochonne ne devrait plus tarder...
Par l'entrebâillement de la porte, je pouvais effectivement observer le salon et le canapé. J'entendis Baakari siffloter et faire couler de l'eau dans sa salle de bain. Je décidai de m'asseoir sur le lit de la chambre en attendant l'arrivée de Charlotte. Je pus me contempler dans un grand miroir qui était accroché au mur d'en face : j'étais dans un état lamentable, mes cheveux étaient complètement décoiffés car
Baakari les avait tirés pour m'imposer son rythme pendant la pipe, et le sperme ur
mon corps commençait déjà à sécher. Je ressassais dans mon esprit les vénements
récents. Après tout, peut-être Charlotte n'allait-elle pas venir...
Peut-être allait-elle prendre conscience que j'étais son seul amour, et qu'un énorme sexe de black n'allait pas la rendre plus heureuse...
Je m'accrochais à ces faux espoirs en rêvassant quand la sonnette de l'appartement retentit. Raté ! Il était encore tôt, mais c'était certainement Charlotte ! Pour avoir accouru en si peu de temps, il fallait vraiment qu'elle soit en manque ! J'entendis les pas lourds de Baakari qui se dirigeait vers l'entrée. Il ouvrit la porte à son visiteur.
- Me voilà ! Je ne suis pas trop en retard ?
- Hey ! Pas du tout, elle n'est pas encore arrivée ! Entre, mec !
C'était une voix d'homme que j'avais entendue. Un autre homme venait d'arriver
à l'appartement ! Je ne comprenais plus rien, et je fus soudain pris de panique. Mais impossible de sortir dans le salon pour demander à Baakari des explications : j'étais pieds nus, en t-shirt et en caleçon, le visage recouvert de sperme ! Je me précipitai donc vers la porte pour tenter d'apercevoir le mystérieux visiteur.
- Rien que de lire ton texto, j'avais déjà la trique ! continua le nouvel arrivant. Cette histoire, c'est vraiment sérieux ? J'espère que je ne suis pas venu pour rien !
- T'inquiète, rétorqua Baakari. Je l'ai chauffée toute la soirée, et elle vient de
quitter son boulot juste pour ma bite ! On va se faire plaisir, tu peux me croire !
L'excitation initiale commençait à me quitter, à mesure que je comprenais ce qui se passait. Mon voisin avait manifestement l'intention d'offrir à Charlotte un plan à trois ! La situation dégénérait, je ne contrôlais plus rien ! Je finis par apercevoir l'ami de Baakari quand il vint s'installer dans le canapé.
Encore un monstre ! C'était un métis, un tout petit peu plus petit que mon voisin, mais encore plus costaud ! Ses épaules carrées lui donnaient l'air d'une armoire à glace. Lui aussi avait le crâne rasé, et il me sembla, avant qu'il s'assoie et me tourne le dos, apercevoir des grands yeux verts qui auraient fait craquer n'importe quelle femme...
Ils ressemblaient à deux joueurs de basket, grands et musclés, qui attendaient en
riant une groupie pour un plan cul. Les deux salauds se racontaient des anecdotes
sexuelles en buvant des bières que Baakari venait de sortir du frigo. Je n'eus pas le temps de me remettre de mes émotions, car la sonnette retentit à nouveau. Cette fois, je savais qui attendait derrière la porte...
- Regardez qui voilà ! Entre, ma belle, ça me fait plaisir que tu sois venue !
J'entendis un petit rire et des bruits de talons. Je ne pouvais pas encore apercevoir la femme en question, mais j'avais déjà reconnu le timbre de Charlotte...
- Waoh ! s'exclama Baakari, tu es magnifique ! Tu travailles vraiment dans cette
tenue ?
- Hihi, merci... Mais non, non, comme tu m'as dit que Jean était absent, je suis
passée en vitesse me changer ! J'espère que ça te...
Charlotte interrompit sa phrase lorsqu'elle aperçut l'ami de Baakari, toujours
assis sur le canapé. Visiblement, cette présence l'étonna grandement, et elle parut
tout de suite très gênée. Comme elle s'était avancée dans l'appartement, je pouvais
enfin l'observer. « Petite salope ! » pensai-je en mon for intérieur.
Charlotte était
en effet passée se changer à l'appart', et avait enfilé sa robe-bustier la plus courte
et la plus sexy. Elle était rouge et offrait une vue plongeante sur son imposante
poitrine. En plus de cela, elle avait mis une paire de talons de 10cm : l'ensemble la rendait incroyablement désirable, mais aussi incroyablement vulgaire...
- Tu... tu ne m'avais pas dit que tu avais de la visite... repris timidement Charlotte, en fixant le beau métis du regard.
Elle commençait à rougir, et mit ses bras le long du corps pour tenter de cacher le fait que sa robe était excessivement courte.
- Ne t'en fais pas, Charlotte, répondit Baakari. C'est un ami de longue date à qui je
voulais te présenter ! Voici Denis, il est au courant de tout, alors reste naturelle,
tu ne crains rien...
Denis se leva et s'avança vers ma copine pour lui faire la bise. Elle semblait minuscule et très fragile à côté de ce monstre, qui fit exprès de se coller à elle et de lui passer la main dans le dos.
- Enchantée, mademoiselle, déclara mielleusement Denis. Baakari n'avait pas menti, vous êtes superbe !
- Mer... Merci... Mais vous n'êtes pas mal non plus, répliqua Charlotte, qui semblait aussi troublée qu'intéressée par cette nouvelle rencontre.
- Alors ! les interrompit Baakari, tu as pu quitter le travail en pleine matinée ?
Comment as-tu fait ?
- Eh bien... J'ai... J'ai dit que Jean avait eu un accident... Et que je devais le
rejoindre au plus vite aux Urgences... Ils m'ont laissée filer sans faire d'histoires !
Autant dire que cette phrase termina de m'achever. Elle était manifestement
prête à tout pour me faire cocu ! Cette perversité, que je ne soupçonnais pas chez
Charlotte jusque là, parvint tout de même à raviver une forme d'excitation en moi.
- Ha ha ! Tu es une vraie coquine, toi ! lui lança notre voisin. Te servir de ton
copain comme alibi pour mieux te jeter dans la gueule du loup... Je n'en reviens pas !
- Je n'y peux rien, j'ai toujours été attirée par les loups ! répondit ma copine, avec
un air aguicheur qui ne laissa aucun des deux bougres indifférents.
- Hmmm... On va passer un très bon moment, je le sens ! Et comme tu vois, je t'ai fait une petite surprise, annonça Baakari en se tournant vers Denis. Tu auras deux mâles pour le prix d'un ! Installe-toi dans le canapé, on va commencer par boire un petit coup...
Je vis notre voisin passer sa main autour de la taille de ma copine, et l'inviter à prendre place dans le sofa. Elle s'assit au milieu, bientôt entourée par Denis et Baakari, qui avait pris soin de sortir des verres et une bouteille de whisky.
- Du whisky ! s'exclama Charlotte. Vous êtes fous, ça me fait perdre tous mes moyens !
- C'est bien le but, ma belle, ironisa Denis.
Ils éclatèrent tous les trois de rire en trinquant pour une première tournée.
Les deux pervers étaient totalement à l'aise, ils passaient leur temps à omplimenter ma copine sur sa tenue et sa beauté, et à plaisanter sur « le pauvre Jean » qui faisait naïvement ses courses pendant qu'eux s'amusaient.
Charlotte était visiblement aux anges, elle riait énormément et devenait de plus en plus réceptive aux allusions grossières de ses prétendants. Il se servirent plusieurs verres, et bientôt ma chérie fut complètement saoule.
De mon côté, je ne perdais pas une miette de ce spectacle humiliant. Je voyais
tout : les mouvements de plus en plus indécents de Denis et Baakari, qui maintenant n'hésitaient plus à passer leurs mains sur le cou, les hanches et les cuisses de ma copine, et en retour les provocations de plus en plus marquées de Charlotte, qui ondulait son corps et allait parfois au-devant des caresses de ses prétendants.
Cela faisait déjà une heure qu'ils passaient du bon temps, et que j'étais scotché contre la porte de la chambre d'amis. Mon sexe était complètement en érection, j'attendais maintenant que ma copine se donne entièrement à ces beaux gosses. J'avais compris depuis longtemps qu'elle ne m'appartenait plus.
Baakari finit par pousser du pied la table basse du salon, pour faire place nette sur le tapis. Il se tourna ensuite vers sa proie.
- Et si tu nous faisais un petit strip-tease, Charlotte ? Si tu veux qu'on s'occupe de
toi, il va falloir y mettre du tien pour nous exciter ! Il est temps de passer aux
choses sérieuses !
Charlotte pouffa et se redressa aussitôt. Elle dirigea lentement son visage vers celui de Baakari, et échangea avec lui un baiser langoureux. Puis, elle se rapprocha de Denis, qui accepta le même traitement. Elle passa ses mains sous leurs t-shirts pour caresser leurs tablettes de chocolat.
- O.K. les mecs, je vais vous montrer...
La petite cochonne entreprit de se lever, non sans mal puisque l'alcool la faisait tituber. Elle se tint droite sur le tapis du salon, en face de Denis et Baakari qui étaient toujours affalés dans le canapé. Sa nouvelle position la plaçait exactement en face de moi, je me retirai donc précipitamment de mon emplacement par peur qu'elle m'aperçoive.
Tiraillé par la curiosité, je revins toutefois quelques secondes après vers l'entrebâillement de la porte, en glissant prudemment un œil vers le salon. En réalité, il n'y avait aucun risque que Charlotte me voit, car elle était trop saoule et trop absorbée par la tâche qui l'occupait actuellement : tenter d'exciter au maximum Denis et Baakari. Elle était terriblement sexy. Ma copine était
en train d'onduler sur place, en se caressant d'une main les cheveux, de l'autre la
poitrine, qu'elle avait libérée en faisant tomber sa robe à sa taille.
Elle avait déjà abandonné ses talons. Elle jouait avec ses seins et passait régulièrement sa langue sur ses tétons. Parfois, prise d'un frisson, elle laissait tomber sa tête en arrière, comme transportée par le plaisir et la concupiscence. Je ne l'avais jamais vu comme ça : Charlotte était entrée dans une transe sexuelle qui la métamorphosait ! Soudain, elle lâcha ses cheveux et tourna le dos au canapé. Elle se pencha en avant et fit glisser la robe rouge jusqu'à ses pieds.
Elle offrait maintenant à l'assistance la vision de son petit cul rebondi, traversé au centre par un minuscule string noir. Lui aussi glissa rapidement jusqu'à terre. De sa main droite, elle se donna une fessée énergique, écarta une de ses fesses pour laisser entrevoir son anus et, plus bas, ses lèvres luisantes de mouille. De la main gauche, ma copine entreprit de flatter langoureusement son clitoris. Ce petit jeu dura plusieurs minutes.
Bruyants quelques instants plus tôt, Denis et Baakari étaient maintenant silencieux, absorbés par ce spectacle électrisant. D'où j'étais, je pouvais constater que des bosses impressionnantes s'étaient formées à l'entrejambe des deux lascars, qui se masturbaient déjà à travers leur pantalon.
Charlotte se redressa finalement et se retourna, pour retrouver sa position
initiale. Elle était désormais complètement nue. Sa main droite retrouva rapidement le chemin de son vagin, dans lequel elle pénétra deux doigts. Elle fixait Baakari du regard : l'alcool lui avait visiblement redonné toute son assurance !
- J'ai rarement vu une femme aussi chaude ! lança Denis à son voisin, tu es sûr que c'est la première fois qu'elle fait cocu son copain ?
- En tout cas, c'est ce qu'elle m'a dit, répondit Baakari. Mais c'est vrai qu'elle est
encore plus chaude que les salopes qu'on ramasse en boîte le week-end...

A suivre

HOMMAGE POUR ORLANDO ET LES DISPARUS DU PULSE... RIP

Histoire du net. Auteur inconnu. L'explosion... des sens!... Fin

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Quand tout part en déroute 
pour servir des biroutes..!

Le beau voisin qui fit exploser notre couple
Fin
Charlotte ne semblait pas offensée par ces réflexions grivoises. Au contraire, elle se mit à quatre pattes, se cambra au maximum et se rapprocha du canapé. Elle posa ses mains sur les paquets de Denis et Baakari, qui tressaillirent d'excitation. Elle malaxa tendrement les deux verges à travers le tissu.
- J'ai menti ! annonça-t-elle, avec un brin de fierté dans la voix. Je t'ai écrit ça
au moment où Jean passait dans le salon, j'ai eu peur qu'il y jette un coup d'œil ! Il
ne m'excitait déjà pas beaucoup, mais depuis qu'il a perdu son boulot, j'ai perdu tout désir pour lui ! Cela fait un mois que je me tape mon patron dans la réserve du magasin... C'est bon de se sentir femme après autant de temps !
Les deux compères éclatèrent de rire. Une nouvelle fois, je faillis m'effondrer. Cette journée était décidément riche en révélations ! Charlotte venait d'avouer qu'elle me trompait avec Greg, son supérieur de 35 ans que j'avais récemment
rencontré. C'est vrai qu'il était plus beau gosse, avec sa barbe de trois jours et son
teint halé, mais j'étais loin d'imaginer qu'il se tapait ma copine ! Je pensais à
Baakari, qui me savait caché dans la chambre d'amis.
Il devait bien se marrer au fond de lui !
Je me dis que cette matinée allait rester gravée dans ma mémoire toute ma vie. Je passais par tous les stades émotionnels possibles : de la colère à la soumission, de la jalousie à l'excitation...
Et quelle frustration de voir Charlotte succomber de tout son être à l'appel du plaisir, alors qu'elle ne s'était jamais lâchée à ce point avec moi ! Je tremblais de froid, de tristesse et de nervosité sexuelle dans cette petite chambre, alors que ma copine s'apprêtait à s'offrir à deux autres hommes, à quelques mètres de là...
Le canapé tournait le dos à ma cachette, je ne pouvais donc pas distinguer
l'intégralité des corps de Baakari et de Denis. Je les vis toutefois s'agiter, et chacun libéra de son pantalon de survêtement un sexe déjà dressé vers le ciel. J'avais eu l'occasion de faire connaissance avec celui de Baakari en début de matinée, et je constatai qu'il semblait de nouveau prêt à un rapport sexuel. Par contre, je découvrais pour la première fois la verge de Denis. Elle aussi était surdimensionnée !
Couleur café, elle devait bien mesurer 20-22 cm, et elle était aussi large que celle
de Baakari. C'était deux matraques qui se présentaient à quelques centimètres du
visage de Charlotte.
Celle-ci ne resta pas indifférente et sembla totalement scotchée par le spectacle qui s'offrait à elle. Baakari eut un rire satisfait et attrapa ma copine par les cheveux, pour la rapprocher encore un peu plus des deux sucettes.
- Alors, ma coquine, nos jouets te plaisent ? lui demanda-t-il en maintenant fermement son emprise sur la crinière blonde.
- Waaooh ! Putain ! Je n'en ai jamais vu d'aussi grosses ! s'écria Charlotte. Même
celle de mon patron, qui me ramone super bien, paraît minuscule à côté des vôtres !
Ma copine salivait d'envie devant les mandrins de Denis et Baakari. Elle ne
résista pas longtemps à l'envie d'y toucher, et les agrippa énergiquement en les
fixant du regard : elle semblait littéralement émerveillée par cette vision. Dans la
main droite Baakari, dans la main gauche Denis. Tous deux soupirèrent de plaisir
lorsqu'ils sentirent l'étreinte des petites mains habiles de leur nouvelle traînée.
- Aaaaah ! C'est toujours aussi bon ! lâcha Denis. Vas-y Charlotte, branle-nous et
suce-nous comme une affamée, ta chatte et ton cul n'en seront que mieux récompensés !
Autant dire que la petite salope obéit à la lettre aux ordres de ses amants. A quatre pattes, les fesses mises en évidence par sa cambrure excessive, Charlotte entreprit d'offrir aux deux bites la fellation de leur vie ! Elle léchait les tiges, suçait les glands, gobait les testicules comme si son existence en dépendait.
Elle passait d'une verge à l'autre en laissant s'échapper des filets de salive, qui finissaient par goutter sur son menton, ses seins et le tapis du salon. Comme son
voisin, Denis avait fini par agripper une touffe de cheveux blonds, ma copine était
donc dirigée dans ses mouvements par ses deux amants, qui seuls décidaient du rythme de la pipe et de l'alternance entre les deux chibres. De longues minutes furent consacrées à la lubrification de ces engins sexuels. On n'entendait plus que les gémissements lubriques de Charlotte et la forte respiration de Denis et Baakari, parfois interrompue par des remarques salaces. « Ooh ouais ! », « Ha ha ! Mais quelle salope ! », « T'es vraiment une affamée, toi ! »...
De mon côté, je n'avais pas pu résister à l'envie de me masturber. J'avais fait tomber mon caleçon à mes pieds, et je me donnais du plaisir en observant ma copine en donner à ces deux veinards. Malheureusement, l'excitation était trop forte et je jouis à mes pieds en quelques
minutes à peine.
- Je crois qu'il est temps de passer aux choses sérieuses ! déclara finalement Baakari en se relevant. On va te rendre la monnaie de ta pièce...
Notre voisin ramena la table basse au centre du tapis et força sa proie à se relever, la tenant toujours par la chevelure. Il installa sur la table quelques coussins pris sur le canapé.
- Allonge toi sur le dos ! lui ordonna-t-il.
Charlotte obéit et se mit en position. La table basse ne mesurait qu'1m20 de longueur environ, ce qui était trop court pour que ma copine y repose omplètement.
Elle se retrouva finalement avec le bas des jambes et la tête qui dépassaient des deux côtés. Son visage partait complètement en arrière. Baakari lui maintint des deux mains et vint se positionner devant lui à genoux, ce qui plaçait son sexe exactement en face de la bouche de ma copine. Les yeux de Charlotte étaient au niveau des couilles du beau black, et ses cheveux tombaient jusqu'au sol. Il 'attendit pas pour enfoncer sa verge dans le trou qui s'offrait à lui.
- A toi l'honneur, dit-il à Denis. Je te laisse inaugurer sa chatte !
Denis ne se fit pas prier et sortit du canapé pour venir se positionner de l'autre côté de la table basse, au niveau des jambes de Charlotte. Il les releva et installa les pieds de ma belle sur ses épaules musclées, ce qui lui laissa la voie libre jusqu'aux petites lèvres luisantes d'excitation. Je vis son visage s'enfoncer vers le vagin qui s'offrait à lui. Ma copine fit elle-même un mouvement de bassin pour
entrer plus rapidement en contact avec la bouche de son amant. Au puissant gémissement que laissa échapper Charlotte, je compris que Denis avait commencé à lui lécher l'entrejambe.
La scène était merveilleuse et devait satisfaire les deux compères : ma copine, allongée sur la table basse, suçait Baakari d'un côté et offrait son vagin à la langue experte de Denis de l'autre. Elle aussi semblait apprécier. La tête en arrière, elle avait du mal à déglutir devant les assauts de Baakari qui lui baisait
littéralement la bouche (j'avais subi le même traitement un peu plus tôt), et
relâchait énormément de salive sur le sexe et les testicules d'ébène.
Les caresses buccales de Denis lui faisaient frétiller le bassin : elle enserrait et étreignait de ses jambes le visage qui lui visitait la zone intime, comme pour l'obliger à la lécher avec toujours plus d'ardeur. Evidemment, elle gémissait abondamment et manifestait son plaisir à chaque instant.
Charlotte finit par se libérer du sexe de Baakari et s'adressa à Denis d'un
ton à la fois autoritaire et supplicateur.
- Allez, range ta langue et remplace-la par ta bite ! Je te veux en moi, vite ! J'en
ai trop envie !
Baakari éclata de rire en entendant ces mots. Il tapota sa verge sur le visage
de ma copine, qui répondit en embrassant le gland dès qu'il passait à portée de ses
lèvres.
- Eh bien, lui dit-il, on peut dire que tu sais comment exciter un homme ! Quand il s'agit de baise, on dirait que tu oublies complètement ton copain, n'est-ce pas ?
- Arrête de me parler de lui ! rétorqua-t-elle. C'est de vrais mecs comme vous, avec des longues sucettes au chocolat dont j'ai envie ! Je veux les sentir en m...
Haaaaaaan !
Charlotte interrompit sa phrase au moment où Denis, qui avait bien reçu le
message, pénétrait de son large priape le vagin de sa femelle. Il entra en elle d'un
coup, sans précautions et surtout sans préservatif, largement aidé par la quantité de mouille impressionnante qu'elle avait déversée. Ma copine fut immédiatement prise d'un frisson qui lui parcourut tout le corps, et se remit à gémir de plus belle.
- Han ! Han ! Nous les salopes, on les baise sans capote pour qu'elles nous sentent
bien en elles ! Ca te plaît, petite cochonne ?
En prononçant ces mots, Denis imprimait déjà un rythme impressionnant à ses
coups de butoir. Il ôta la chemisette qu'il portait, libérant un corps puissant déjà
luisant de sueur. Son physique et son assurance, comme pour Baakari, me faisaient penser aux acteurs des films pornographiques. Et ma copine était entre leurs mains !
Elle entoura la taille de Denis avec ses jambes et avança une de ses mains pour
caresser les tablettes de chocolat de son amant. La tête redressée et crispée par
l'excitation, elle criait maintenant sa jouissance, comme possédée par le plaisir.
- Ooooh ! Oui ! Oui ! Greg aussi me baise sans capote, je te sens mieux... comme ça ! Vas-y ! OUIII !
J'avais dû attendre deux ans avant d'avoir droit au sexe sans préservatif, et
cette petite salope s'offrait tous les jours à Greg sans précaution, alors qu'elle le
connaissait à peine ! Je savais qu'il lui arrivait régulièrement d'oublier sa pilule : si ça se trouve, elle allait se faire enfanter par un de ses amants !
Après quelques minutes que je n'aurais pas su compter, puisque je commençais à
perdre toute notion du temps, les trois amants changèrent de position. Charlotte se
releva et se mit à quatre pattes sur la table basse, offrant cette fois-ci ses fesses
et son vagin à Baakari.
Elle caressa tendrement le torse de Denis, qui venait de lui offrir un plaisir intense, et les deux amoureux s'embrassèrent langoureusement pendant de longues secondes. Ce geste sensuel me fit très mal au cœur, car on aurait dit qu'ils formaient un couple, au-delà de la dimension sexuelle de leur relation.
Surtout, comme j'avais joui très rapidement pendant la fellation de ma copine,
l'excitation s'était peu à peu estompée et je redevenais jaloux. Charlotte se détacha finalement de Denis et tourna la tête vers Baakari, la provocation sexuelle dans le regard.
- Alors, qu'est-ce que tu attends, beau gosse ? Tu me la mets, ta matraque ?
Elle colla elle-même son cul à la verge de notre voisin et le bougea d'une manière terriblement sensuelle, de telle sorte qu'elle masturbait l'imposant mandrin, coincé entre les deux fesses. Dans le même temps, elle avait repris une fellation sur le sexe de Denis, qui grognait de plaisir. Baakari agrippa des deux mains la taille de
Charlotte et s'enfonça profondément dans son antre. Une nouvelle série de gémissements et de jouissances s'ensuivit.
- Tu l'aimes, ma queue ? demandait Baakari. C'est autre chose que la petite bite de Jean, hein ?
- Ooooh oui ! criait ma copine. Ce sont vos bites que je préfère ! Baisez-moi... la
bouche et la chatte ! Je veux votre sperme partout en moi, lâchez-vous dans mes trous quand vous aurez bien pris votre pied !
C'était terrible à entendre et incroyablement excitant à voir. Charlotte avait le cul en l'air, les jambes écartées au maximum pour laisser Baakari aller et venir dans son vagin. Ses pieds étaient pointés vers le ciel, je les voyais tressaillir à chaque coup de butoir de son amant. Les fessées répétées du beau noir donnaient des
frissons chaque fois plus puissants à ma copine, qui n'était plus qu'une chatte sur
pattes, ne vivant que pour les deux belles verges qui se présentaient à elle.
Il est clair que Denis et Baakari étaient de véritables athlètes du sexe, j'aurais été incapable de faire l'amour aussi longtemps et aussi franchement. Mais ma
copine, qui délirait de plus en plus et se montrait à chaque coup de bite un peu plus lubrique et provocatrice, eut finalement raison de leur endurance.
Dans un râle de plaisir, Denis se déversa le premier dans la bouche et sur le visage de Charlotte. Elle le remercia en lui nettoyant tendrement le gland, avec lequel elle continua de jouer pendant que Baakari poursuivait sa performance. Ce-dernier, quelques minutes après, annonça à l'assistance qu'il allait également jouir.
- Tu veux sentir mon foutre en toi, petite salope ? Demanda-t-il à ma copine.
- Ouui ! répondit-elle sans hésiter. Déverse-toi en moi, possède-moi ! Engrosse ta
petite pute ! Ma chatte t'appartient, c'est TA chatte !
Ce cri du cœur électrisa encore davantage l'ambiance de l'appartement. Je me
remis à bander, et je vis que le sexe de Denis reprenait aussi du poil de la bête.
Baakari tira Charlotte par les cheveux pour qu'elle se redresse et se colle à lui. Il
entoura sa taille de ses bras et commença à l'embrasser dans le cou. Ma copine,
entièrement conquise, jeta sa tête en arrière et la reposa sur l'épaule du beau black.
Alors qu'il la prenait par derrière, ce-dernier passait ses mains épaisses et noires
sur le corps de Charlotte. Il lui caressait les seins, le ventre, le clitoris. Le
spectacle était insensé tant il était bandant. Ma copine hurlait son plaisir, elle
suppliait cette bête de sexe qui la besognait de se vider en elle.
- Haaaaan ! Haaaaan !... Vide-toi !... Engrosse-moi !... Prends-moi toute entière !
- Je vieeeens ! cria Baakari. Aaaaaaahhhhh !
Dans un ultime soubresaut, notre voisin se vida intégralement dans le vagin de
Charlotte. Celle-ci eut l'orgasme le plus violent qu'il m'ait été donné de voir
jusqu'à ce jour. Puis elle resta là, tremblante de plaisir, le dos collé au torse
musclé de Baakari. La sueur coulait sur leurs corps fourbus et satisfaits. Baakari
relâcha finalement le bras qui maintenait ma copine contre lui et la laissa s'écrouler sur les coussins. Elle était manifestement épuisée.
- Quelle baise ! s'écria Denis. Tu t'es pas foutu de moi, mec !
Il s'approcha de Baakari et lui tapa dans la main. Ils eurent deux ou trois
réflexions grivoises que je ne compris pas bien (sûrement des délires entre amis),
puis ramassèrent les vêtements éparpillés un peu partout pour se rhabiller. Charlotte se caressait doucement les seins et souriait en observant ses deux mâles dominants. Notre voisin ramassa la robe rouge tombée près du canapé et lui tendit.
- Rhabille-toi, petite coquine ! C'est fini pour aujourd'hui ! J'avais prévu de
dépuceler ton petit cul, mais ce sera pour la prochaine fois !
Ma copine se releva et entreprit de remettre sa robe. Manifestement l'alcool
faisait toujours son effet, car elle mit un moment pour y parvenir. Puis elle vint se
coller à Baakari et lui embrassa langoureusement le torse, encore dénudé.
- La prochaine fois ? Ce sera très vite, j'espère ! S’inquiéta-t-elle. Vous venez de
m'offrir la baise de ma vie ! Sérieusement, je ne vais pas tenir longtemps avant de
vouloir recommencer ! Mais Jean est chômeur, c'est compliqué, il est toujours là !
- Ne t'inquiète pas, je vais arranger ça, la rassura Baakari. En attendant, dépêche-
toi de retourner au boulot, tu es sûrement attendue ! On reste en contact par
textos...
- Ah oui ! J'avais oublié le travail, le temps est passé si vite avec vous !... Je
passe à l'appartement prendre une douche et j'y retourne !
Charlotte retrouva ses talons sous la table basse, les enfila et embrassa
Denis et Baakari avant de se retirer. Notre voisin lui mit une petite claque sur les
fesses avant de lui ouvrir la porte.
- Essaye de tenir jusqu'à nos retrouvailles, Jean ne doit pas se douter de ton petit
manège...
- Ne t'inquiète pas, ce mec est vraiment con, il est super naïf ! Je vais me faire
sauter par Greg avant de rentrer ce soir, ça me fera du bien ! Mais à côté de vos
bites, je ne sais pas si je sentirai grand-chose...
Les trois amants éclatèrent de rire comme un seul homme. Charlotte remercia
une nouvelle fois les deux compères pour « cette baise inoubliable » et sortit de
l'appartement. Denis et Baakari se retrouvèrent seuls, le plaisir que leur avait
procuré ma copine encore en tête.
- C'était tout bonnement incroyable ! s'exclama Denis. Je crois que je n'ai jamais
baisé une femme aussi affamée de bite ! Son copain doit vraiment être un gros naze !
- Tu ne crois pas si bien dire, ironisa Baakari en regardant vers ma cachette.
- Par contre, j'aurais pu la baiser une deuxième fois ! Elle m'a trop excité quand
elle t'a demandé de te vider dans sa chatte !
- Si tu as encore envie de baiser, on peut peut-être s'arranger, proposa mon voisin.
J'ai un autre plan cul tout prêt d'ici...
- Sérieux ? Ben écoute, carrément ! Je n'ai rien de prévu cet après-midi, alors ce
serait avec plaisir ! Quelle journée !
- Très bien, déclara Baakari. Mais crois-moi, tu n'es pas au bout de tes surprises...
C'est ainsi qu'ayant assisté, impuissant et complice, au dévergondage de ma
copine Charlotte par un beau black et un métis tout aussi séduisant, j'eus le
sentiment que cette histoire était loin d'être terminée. Déboussolé, apeuré et troublé d'avoir assisté à un tel déchaînement de plaisir, je me retirai de l'entrebâillement de la porte et m'assis sur le lit de la chambre, redoutant et désirant tout à la fois la suite de mes nouvelles aventures sexuelles...
………………………….
3 - Mon voisin Baakari offre mon cul à son ami Denis, qui m'initie au plaisir anal!
Assis sur le lit de cette petite chambre d'amis, mon esprit bouillonnait et ressassait en boucle les récents événements. Du salon me parvenaient les rires de Baakari et de Denis, dont je ne discernais plus la conversation, perdu dans la brume de mes pensées. A travers le mur, l'appartement mitoyen laissait échapper un bruit d'eau qu'on faisait couler.
C'était mon appartement, et c'était certainement Charlotte que j'entendais prendre sa douche. Elle lavait la souillure que venaient de lui infliger ses deux amants. Peut-être se touchait-elle en repensant au plaisir insensé qu'elle avait pris ?
Un peu à l'ouest, je fus bientôt ramené à la réalité par une agitation nouvelle qui régnait au salon. Les deux compères, qui quelques temps plus tôt avaient volé ma copine, étaient en mouvement.
- Tu es sérieux ? demandait Denis. Il est juste là, derrière ?
- On ne peut plus sérieux ! rétorquait Baakari. Et il est entièrement à toi ! Cela
fait déjà deux fois que je me vide depuis ce matin, je ne me sens pas la force de
recommencer aussi vite...
- Comme tu veux, mec ! répondit Denis. Je vais me faire plaisir en le rassasiant...
- Bonne idée ! l'encouragea mon voisin... Ah ! Attends, prends-ça avec toi, je suis
sûr que ça va lui plaire...
Je compris en moins d'une seconde ce qui se passait. Baakari venait de trahir
ma cachette ! Qu'allait-il encore m'arriver ? Humilié, bouleversé, je m'enfonçai un
peu plus vers le fond du lit, espérant ainsi échapper aux deux mâles dominants qui rôdaient dans l'appartement.
Des pas lourds se rapprochèrent de la chambre, une ombre large et inquiétante se dessina dans l'entrebâillement de la porte. Recroquevillé sur la couette, je retins mon souffle et attendis. D'un coup, ce grand panneau de bois, qui m'avait tout ce temps protégé et permis d'assister au dévergondage de Charlotte, fut grand ouvert. Dans l'encadrement de la porte, grand et fort, se tenait Denis. Il posa sur moi un regard de feu, qui me figea sur place autant qu'il m'excita. Il était encore plus impressionnant de face.
Pieds nus, le survêtement enfilé à la va-vite et la chemisette encore entrouverte, Denis tenait dans la main droite un bout de tissu noir. Je reconnus très vite le string de Charlotte ! La salope était partie en laissant aux deux compères un petit souvenir de leur baise...
Apeuré par la présence de Denis, qui me fixait toujours des yeux, je restai immobile alors qu'il pénétrait dans la pièce. Baakari le suivait de près.
- Salut, Jean ! déclara le beau métis avec entrain. Je suis ravi de te rencontrer !
Baakari m'a dit que tu n'étais pas farouche... Tu m'intéresses !...
- C'est le moins qu'on puisse dire ! renchérit mon voisin. Il a assisté bien sagement à son cocufiage, sans intervenir ! Un vrai petit soumis...
Je me sentais évidemment honteux devant ces deux bêtes de sexe, qui avaient visité le vagin de Charlotte, et m'observaient maintenant avec amusement et mépris. D'autant que mon accoutrement était loin d'inspirer le respect.
- Je t'avais promis ta première sodomie, m'annonça Baakari. Finalement, c'est Denis qui va s'en charger ! Cela fait deux fois aujourd'hui que je promets à quelqu'un de l'enculer, sans mettre mes menaces à exécution. D'abord Charlotte, maintenant toi... Mais ne t'inquiète pas, je réglerai ça très prochainement... Crois-moi !
A vrai dire, je ne doutais pas des intentions de Baakari. Dès la fellation que je lui avais offerte dans la matinée, j'avais senti qu'il finirait par m'avoir ! Ce n'était que partie remise... Pour le moment, il m'offrait comme une pute à son ami Denis, et je n'avais aucun moyen, ni d'ailleurs aucune envie d'y échapper !
Mon beau voisin vint s'installer sur le lit, légèrement à l'écart. Il laissait ainsi le champ libre à son pote et à sa future femelle. Soumis, acceptant mon sort, je tournai les yeux vers Denis. Toujours debout près du lit, ce-dernier me fixait avec insistance. Je lisais déjà la lubricité et l'excitation sur son visage. Je n'avais aucun moyen de m'observer, mais je pense que ma position, ma tenue, et même le regard que je portais sur ce métis incroyablement musclé trahissaient également mon attirance pour lui...
Il avait donné énormément de plaisir à ma copine, et cela me rendait jaloux. Il me
fallait moi aussi goûter à la puissance et à la virilité de cet homme magnifique ! Je le vis me faire un clin d'œil, ce à quoi je répondis en me passant la langue sur les lèvres. Je ne sais pas d'où me vint cette idée folle, mais je ressentais un
irrésistible besoin de le chauffer, de me comporter comme une femelle en chaleur pour mieux provoquer son désir. C'était manifestement réussi : son pantalon était
complètement déformé au niveau de l'entrejambe. La bite de mon homme m'appelait de ses vœux !
- Il paraît que tu suces comme une reine, me lança-t-il soudainement. J'attends de
voir ça ! Descends du lit et viens entamer ton dessert... Vite !
Je n'attendais que cet ordre pour m'abandonner totalement à l'appel du sexe.
Denis et Baakari m'avaient très bien cerné, ils avaient su voir la petite salope qui
sommeillait au fond de moi. Chacun de leurs ordres, chaque marque de domination m'électrisait un peu plus. J'arrachai rageusement mon t-shirt blanc, pour me retrouver vêtu d'un simple caleçon, encore souillé par la branlette qui avait accompagné mon cocufiage, puis je me laissai tomber au sol depuis le lit.
A quatre pattes, je rampai vers Denis en faisant danser mon petit cul. Si Charlotte avait vu ça, je crois qu'elle m'aurait immédiatement quitté ! Arrivé à hauteur de mon homme, je me mis à genoux et leva les yeux vers lui.
- Sors ta bite, implorai-je avec lascivité. Je vais la bouffer toute crue...
- Oouuuh ! souffla Denis. Continue comme ça, et je vais t'offrir la baise de ta vie !
Mais avant, tiens ! Enfile ça ! Cela conviendra mieux à une salope comme toi...
Mon homme fit tomber à mes pieds le string noir qu'il tenait dans sa main.
Celui de Charlotte. Je m'empressai de retirer mon caleçon et d'enfiler ce dessous
féminin à la place. Je n'avais encore jamais porté de string, j'éprouvai donc une
sensation étrange, sentant mon entre-fesse violée par cet indécent fil de tissu. A la
fois, je me rendis compte que cette tenue faisait ressortir mes deux petites fesses
rebondies, ce qui décupla mon excitation. Je rapprochai mon visage du corps de Denis et le suppliai une nouvelle fois de libérer son sexe puissant.
Le survêtement fut écarté et le caleçon tomba aux chevilles. Toujours à genoux, je me retrouvai nez à nez avec l'instrument du plaisir de Charlotte. Cette belle queue, épaisse et bronzée, éveillait en moi des sentiments jusque là inconnus. Elle était encore luisante et recouverte d'un léger liquide, mélange du sperme de Denis et de la mouille de ma copine.
Je ne fus pas rebuté par cette apparente saleté, bien au contraire. D'un mouvement décidé, j'ouvris la bouche pour accueillir la belle bite qui m'était offerte. Ce n'était que ma deuxième fellation, mais je me sentais déjà expert en la matière ! Je commençai par enrouler le gland de ma langue, en libérant sur cette verge un premier flot de salive. J'entrepris de nettoyer la bûche de Denis avec application,
passant mes lèvres alternativement sur la tige et l'énorme champignon qui la
surplombait. Je n'oubliai pas non plus de m'occuper des testicules, les gobant et les aspirant à l'envie.
J'agrippais de mes mains les cuisses puissantes de mon amant, et je m'efforçai de faire ressortir mon petit cul au maximum. Ce traitement dura de nombreuses minutes, pendant lesquelles mon nouveau compagnon sexuel m'arrosa d'insultes, trahissant le plaisir qu'il prenait en me baisant la bouche.
- Oh putain ! Salope ! Vas-y... Ouais ! Même ta chienne de copine ne m'a pas aussi bien sucé !... Petit pédé, tu vas la prendre ma queue, et tu t'en souviendras !
Comme j'ondulais mon corps tout en suçant Denis, le string que je portais
frottait mes testicules et mon anus avec un rythme de plus en plus soutenu. Je fus
surpris de constater que cela m'excitait énormément ! N'y tenant plus, je me sentis
soudain prêt à faire le grand saut, à abandonner ce qui me restait de virilité en
offrant mon antre à mon amant. Libérant ma bouche de sa verge, je le regardai droit dans les yeux et lui lançai ces paroles pleines d'obscénité :
- Si tu veux me casser le cul, je suis prêt ! Je veux être ta pute !
- Tu n'auras pas à le dire deux fois ! s'exclama Denis, lui aussi électrisé par
l'énergie sexuelle qui régnait dans la chambre. Reste par terre, le cul en l'air ! Je
vais commencer par te prendre comme la petite chienne que tu es !
Obéissant aux ordres de mon maître, je me plaçai à quatre pattes, pointant mes
fesses vers le ciel. Les jambes écartées et la croupe cambrée au maximum, j'allongeai mes bras vers l'avant et posai ma tête sur le sol, offrant ainsi le meilleur accès possible vers mon anus.
Denis avait raison : j'avais naturellement pris une position de chienne, attendant impatiemment la saillie de mon mâle dominant. Malgré mon envie irrésistible de me faire baiser, ramoner, siphonner comme jamais, les dimensions impressionnantes du sexe de Denis m'inquiétaient.
Comment allait-il entrer dans un si petit trou ?
- Tu n'iras pas trop fort au début, hein ? m'inquiétai-je auprès de mon amant.
- Ne t'inquiète pas, me rassura Denis, des petits culs comme le tien, j'en ai brisé
des dizaines ! Je commencerai doucement, et après cinq minutes tu me supplieras de tout te donner...
Comme il finissait sa phrase, mon homme plaça mon string sur le côté et m'écarta les fesses de ses mains expertes. Son souffle chaud se rapprocha de mon intimité. Je sentis alors l'humidité et la froideur de sa langue entrer en contact avec ma rondelle. Tout mon corps frissonna d'excitation, et je ne pus retenir un petit
cri de surprise. Le plaisir grimpa progressivement en moi, à mesure que la langue de mon homme détendait, par l'effet de ses lapements, l'entrée de mes entrailles.
- Ton cul est magnifique, souffla Denis. Pour le moment, il est tout serré... mais
plus pour longtemps !
- Hmmmmmmm, gémis-je avec insistance. Bouffe-le ! Bouffe-moi la chatte ! Je suis ta femme, ta femelle !... Mon trou t'appartieeeent... !
La fin de ma phrase se perdit dans un gémissement aigu et sensuel. La langue experte de mon beau métis accélérait ma transformation en petite traînée. Je crois
qu'il me mangea ainsi le cul pendant dix minutes, mais je perdis rapidement la notion du temps sous l'effet du plaisir.
Par moments, je relevais la tête et apercevais Baakari, sur le lit, qui nous bservait avec envie. Il avait sorti sa verge pour se masturber devant le spectacle de ma soumission. Finalement, Denis libéra sa bouche de mon entre-fesse et se redressa. Toujours immobile, j'attendais sagement qu'il vienne à la rencontre de mon anus, ce qu'il fit très rapidement. Le souffle bruyant du fait de l'excitation qu'il ressentait, mon amant vint se positionner derrière moi, à genoux, et m'infligea une violente fessée.
La claque provoqua en moi une onde de plaisir, qui se répercuta jusque dans mon anus. Je me rendis compte que moi aussi, je respirais très bruyamment : j'avais terriblement envie de la queue de cet homme !
- Allez ! Déclara solennellement Denis. Il est temps que tu rejoignes officiellement la famille des femelles... Ta vraie famille !
Une main m'attrapa fermement une fesse, l'autre m'appuya dans le bas du dos our me forcer à me cambrer. Soudain, je sentis une pression contre ma rondelle. J'y étais ! Denis guida son champignon pour qu'il force, tout doucement, l'entrée de mon anus. J'étais totalement crispé et attendais calmement la suite, de peur qu'un geste brusque ne m'empale sur la verge de mon amant.
Finalement, Denis donna un ultime coup de rein et pénétra entièrement en moi ! Je sentis ses couilles claquer contre mes fesses.
- Haaaaan ! criai-je, secoué par la douleur qui me paralysa sur le coup.
- Doucement, ma belle ! me lança mon amant en me caressant les fesses. Attends
quelques secondes, tu vas te détendre naturellement...
La bite de Denis était enfoncée de moitié dans mon antre. J'avais le sentiment que chaque millimètre de mon cul était occupé par cette énorme verge, qui menaçait e
me transpercer à tout moment. Puis, après quelques secondes d'immobilisme, je sentis mon sphincter se détendre, et Denis put commencer à entreprendre de légers mouvements de bassin.
- Voooilàààà, me rassura-t-il avec tendresse. Ton cul est cassé ! On va pouvoir passer aux choses sérieuses, ma petite Jeanne... Tu es ma femme, maintenant !
Effectivement, j'étais à présent la traînée de Denis. Pour la première fois de ma vie, une bite allait et venait dans mon anus, dont la douleur s'estompait peu à peu. Mes jambes étaient écartées au maximum et mon string noir était déjà en train de se distendre.
S'en apercevant, mon amant, qui commençait à s'épanouir dans mon antre, tira sur le tissu et l'arracha très facilement. Quelle virilité ! Je me sentais totalement possédé, et la force avec laquelle mon assaillant me maintenait les hanches me rendait totalement folle de lui... Le frottement de sa bite dans mon cul arracha mes premiers gémissements de femelle.
- Alors ? me demanda-t-il. Han !... On y prend vite goût, hein ?
- Oui !... Je commence... Han !... à bien te sentir... en moi ! confiai-je à Denis, le
souffle court.
Après quelques minutes de ce traitement, la douleur des premiers instants avait laissé place à une vague indicible de plaisir. De plus en plus sûr de lui, mon homme me donnait maintenant de violents coups de boutoir, ponctués par ses insultes et ses puissantes fessées.
- Traînée ! Pute ! Tu la sens bien, ma bite de cheval, hein ? T'es fait pour la baise,
t'es fait pour les grosses queues de black !
- Ouiiii ! répliquai-je, envoûté par ces paroles incroyablement viriles et
humiliantes. Je suis une affamée, une salope !
Plus je m'humiliais en reconnaissant ma soumission et ma condition de petite pute, plus je prenais mon pied. Je m'abandonnais complètement entre les mains de Denis, qui faisait de moi sa compagne docile et amoureuse. Je sentais dans mon anus la chaleur et la jouissance provoquées par les assauts de mon amant. Je n'avais qu'une envie, être baisé de la sorte pendant des heures et des heures. Et manifestement, cette envie était partagée par mon partenaire.
- Ton cul est génial à baiser ! s'exclama-t-il. On dirait une petite chatte détrempée,
j'entre dedans comme dans du beurre !
- J'aimerais tant être une femme ! Han !... Une petite femme à tes ordres, Denis...
Han !
- Hmmm ! Tu m'excites à mort, Jeanne ! Suis-moi sur le lit, je vais te baiser comme une femme, puisque c'est ce que tu veux !
Me tirant par les cheveux, Denis me força à me relever. Encore secoué par le
traitement que je venais de subir, je tenais à peine debout ! Mon amant me donna une claque sur les fesses et m'invita à m'allonger sur la couette. Installé sur le dos, je fis comme les femmes que j'avais vu faire dans les films pornographiques. J'écartai les jambes et tendis les bras vers Denis, pour l'inviter à venir en moi. Il ne put résister au spectacle de débauche que je lui offrais, et se jeta littéralement sur mon corps. En bonne petite pute, j'enroulai naturellement mes cuisses autour de sa taille, alors qu'il dirigeait une nouvelle fois sa bite vers mon anus. Je fus soulagé de le sentir à nouveau dans mon cul, et l'accueillit avec un soupir de satisfaction !
Perdant la raison, j'agrippai le visage de mon amoureux et l'embrassai fougueusement. D'abord surpris, Denis finit également par sortir sa langue, et nous partageâmes alors le moment le plus sensuel que je vécus dans ma vie. Amoureuse, j'embrassai l'homme qui me donnait un plaisir indescriptible à l'aide de sa bite, me fourrant et me remplissant le cul en véritable bête de sexe. Je sentais contre mon torse son corps musclé et viril, ruisselant de sueur. J'étais à deux doigts de délirer complètement.
- Je... Han !... vais te faire crier comme une chienne ! me confia alors Denis. Et je
jouirai en toi ! Je suis sûr que tu pourrais tomber enceinte, j'ai vraiment
l'impression... Han !... de baiser une petite femme !
Mon amant accéléra le rythme de ses coups de bite. Je l'enserrais toujours de
mes jambes, le forçant à entrer chaque fois plus profondément en moi. Je lui caressais le dos de mes mains, j'allais au-devant de ses assauts en avançant mon bassin vers sa queue. J'étais aux anges ! Sans m'en rendre compte, je m'étais mis à crier des obscénités et des encouragements à l'attention de mon partenaire. Cette fois, je délirais pour de bon ! « Plus fort ! », implorais-je, « Prends ta chatte ! »...
« J'aime ta queue ! »... Je ne vivais plus que pour le plaisir de sentir cette grosse
bite me défoncer le cul. Je pense que j'aurais fini par m'évanouir, si Denis n'avait
pas finalement lâché prise. Dans un ultime râle viril, il se vida en moi. Je sentis la
pression du foutre qui envahissait mon anus. J'avais l'impression qu'il y en avait des litres !
- Aaaaaaaaah ! Aah ! Je t'ai rempli, salope ! Jeanne, tu m'as complètement vidé !!
Mon homme resta de longues minutes sur moi. Je pus sentir sa verge débander
doucement dans mon antre. Il m'embrassa dans le cou, sur le front, sur la bouche. Il remerciait tendrement sa femelle après avoir bien profité de sa chatte ! Moi, heureux d'avoir enfin connu le plaisir au féminin, je lui rendais ses baisers et lui caressais les fesses rebondies et musclées, qui me fascinaient tant.
- Tu ne me feras pas croire que tu es hétéro ! ironisa-t-il. Tu as pris trop de
plaisir pour aimer les femmes ! C'est pour te faire enculer que tu es née, Jeanne !
- Oui... dus-je reconnaître. J'avoue qu'après ça, j'aurai du mal à me passer de
queue... Mais j'aime aussi les femmes ! Charlotte est très belle, elle...
- Charlotte n'est plus à toi ! nous interrompit soudain Baakari. Tu le sais aussi bien que nous ! Tu es une pute, Jeanne, et tu es faite pour faire plaisir aux hommes. Mets-toi ça dans la tête !
J'avais fini par complètement oublier la présence de mon voisin, qui s'était
masturbé à quelques centimètres de nous pendant tout ce temps. Je restai coi devant ses provocations, rouge de honte, incapable de réagir aux humiliations que
m'infligeaient Baakari et Denis.
J'avais certes pris un plaisir incroyable en offrant mon corps à un mâle dominant, mais je n'étais pas pour autant prêt à laisser tomber Charlotte...
Dans l'idéal, j'aurais souhaité qu'elle ne soit jamais au courant de cette histoire. Mon amant se redressa finalement et partit à la recherche de ses affaires, abandonnées çà et là dans la chambre. Puis mon voisin reprit la parole d'une
voix autoritaire.
- Maintenant, rhabille-toi et dégage ! m'ordonna-t-il. Demain soir, tu viendras avec Charlotte prendre l'apéro. 19h chez moi, est-ce que c'est clair ?
- … Ou... oui, balbutiai-je timidement. Comme tu voudras, je... je le dirai à
Charlotte ce soir.
Je me relevai et descendis du lit pour me rhabiller. A ce moment, je sentis le
sperme de Denis couler le long de mes cuisses, en même temps qu'une grande douleur au niveau de l'anus. J'arrivais à peine à marcher ! Le contrecoup de cette baise mémorable était pour le moins violent...
De son côté, le pote de Baakari ne s'était toujours pas remis de ses émotions.
- C'était vraiment dingue ! s'extasiait-il. Jeanne, tu fais partie de mes meilleurs
coups ! Et pourtant, je préfère largement les femmes d'habitude... Je sais où tu
habites, alors je passerai certainement te voir de temps en temps, pour qu'on remette ça !
- Haha ! ris-je d'un air gêné. En journée, alors ! Parce que le soir, il y a
Charlotte...
Titubant, sali par cette journée de débauche, je me dirigeai vers la porte
d'entrée. Baakari m'ouvrit la porte en me rappelant l'apéro du lendemain. « Tu n'auras pas de mal à convaincre Charlotte de revenir me voir, je pense ! », ironisa-t-il en guise d'au revoir.

Pas de suite....

Un Jeudi en vrac... Tofs

Un vendredi de brèves...

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Expériences dans les îles
Vs expériences dans le  Nord
A vous de voir. Mais quelques chose me dit 
que les  gagnant ne sera pas celui qu'on croit.

 Océan Indien
Août 1985, nous sommes ce soir-là en train de prendre l’apéritif chez Catherine et Pierre, un couple d’amis que nous connaissons depuis notre arrivée dans cette île de l'Océan Indien il y a un an. Ils ont comme nous 24/25 ans et nous nous entendons particulièrement bien.
Nos conversations sont très libres et bien souvent nous plaisantons sur le sexe.
Ce soir, contrairement à l’ordinaire, la discussion prend une tournure un peu plus sérieuse ; nous parlons des fantasmes en général, puis, petit à petit, de ceux qui nous intéressent plus particulièrement. Je suis quelque peu étonné d’entendre Patricia, mon épouse, participer à ce dialogue. Mon étonnement va grandissant quand je l’entends révéler à nos amis :
- Le fantasme de Pascal est de me voir faire l’amour avec une autre femme. »
S’il est vrai que nous avons déjà parlé de nos fantasmes, jamais je n’aurais imaginé qu’elle s’en ouvrirait à des tiers, même proches amis. C’est alors que Pierre lui révèle que Catherine est bi. Celle-ci demande alors à Patricia :
- Tu aimerais essayer avec moi ?
- Je ne sais pas…
- Si tu veux, tu me laisses juste te caresser et te lécher et toi tu ne fais rien. Tu aimes qu’on te suce le minou ?
- Oui, bien sûr…
- Alors, laisses moi faire, si ça ne te plaît plus, tu me dis et j’arrête de suite…
- Euh… oui … d’accord …»
A ce moment, je crois rêver ! Non seulement Patricia ne se fâche pas mais en plus elle accepte cette proposition. Est-ce l’effet de l’alcool ou en avait-elle secrètement envie ? Qu’importe car, si je suis très surpris, je suis surtout très heureux et très excité. Enfin je vais réaliser mon rêve ! Patricia et Catherine vont se rafraîchir ; Patricia reviens la première, je la prends dans mes bras et lui demande :
- Tu es bien sûre d’en avoir envie ? Tu es sûre d’aimer ?
- Humm … Oui, ne t’inquiètes … De toute façon, ça ne peut être qu’agréable. »
Je l’embrasse tendrement, passe une main sous sa jupe. Je remonte le long de sa cuisse, insinue un doigt sous l’élastique de son slip et découvre sa chatte trempée comme jamais. Elle est donc vraiment excitée ! Je l’accompagne alors jusqu’au salon, la fais asseoir dans un fauteuil…
Je m’agenouille devant elle et retrousse lentement sa jupe sous le regard intéressé de Pierre. Mes mains caressent ses jambes et remontent vers sa chatte …elle me demande d’un air innocent ce que je fais tout en écartant les cuisses. Je passe une main sous son slip et caresse doucement ses lèvres gonflées de désir, sa chatte est toute chaude et son bouton gorgé de sang …
Je me relève, regarde Pierre, lui prends la main et la pose sur le slip de Patricia. Sa main s’insinue sous le fin tissu, il caresse un peu les lèvres puis introduit doucement un doigt dans sa chatte et entame des caresses qui font gémir Patricia ;
il se penche vers elle, leurs lèvres s’unissent tandis que, de son autre main, il déboutonne le chemisier, passe sous le soutien-gorge et lui caresse les seins. Je regarde, ou plutôt j’admire, pour la première fois ma femme frémir sous les caresses d’un autre…
Je n’aurais jamais cru que cela me procurerait autant de plaisir… je prends une main de Patricia et la pose sur la braguette gonflée de Pierre lui indiquant de le branler à son tour… Ce qu’elle fait.
Catherine entre à son tour, s’approche de moi en les regardant. Nous nous enlaçons et nous embrassons. Je la déshabille lentement, découvrant sous un fin slip rouge sa chatte rasée.. je m’agenouille et la suce, ses mains dans mes cheveux appuyant ma bouche contre son sexe. J’entends bientôt Patricia jouir puis demander :
- On ne devait pas faire quelque chose, Catherine et moi ? »
Je laisse donc celle-ci et rejoins Pierre, un peu à l’écart. Elles s’approchent l’une de l’autre, Catherine prend Patricia dans ses bras et lui caresse doucement la poitrine et le dos… elles se retrouvent très vite sur la moquette en position de 69, Patricia dessus Elle gémit sous les caresses de notre amie mais se contente de caresser la chatte devant son visage, sans oser y porter la bouche.
Catherine, elle, lèche ce sexe que j’aime tant. Je regarde sa langue passer sur le clito et parfois s’enfoncer entre les lèvres. Cela dure un bon moment puis Patricia jouit une seconde fois…
Pierre enlace de nouveau Patricia et je fais de même avec Catherine que j’emmène sur le canapé où je la caresse encore un peu avant de la pénétrer doucement. Je la baise un bon moment puis elle propose de me sucer, ne voulant pas que je jouisse en elle car elle a arrêté la pilule.
Je m’assieds donc, elle vient prendre ma queue dans sa bouche et me fait une admirable fellation pendant que je lui caresse les seins. Je lui arrose la gorge une première fois sous le regard de Patricia qui jouit sous la langue et les doigts de Pierre…
Après un petit moment de récupération, Catherine, assise sur le canapé, me dit :
- J’ai envie que ta femme me suce elle aussi »
Je regarde Patricia, lui prends la main et l’attire vers nous, elle hésite un peu puis caresse presque timidement le sexe qui lui est offert. Elle se décide enfin et pose sa bouche sur le sexe humide de Catherine qui l’accueille en gémissant.
Je regarde ses deux femmes excitées, dont la mienne, à quatre pattes, lèche maintenant avidement un autre sexe féminin, jamais je n’ai vu plus beau spectacle!
Je caresse les fesses de Patricia, je voudrais la prendre ainsi en levrette mais je patiente car Pierre s’approche et pose sa bouche sur sa chatte, elle abandonne Catherine après l’avoir fait jouir et se retrouve allongée avec la langue de notre ami qui la fouille.
Catherine et moi les regardons en nous caressant lentement. Un peu plus tard, nous sommes, Patricia et moi, en 69 ; je la fouille de mes doigts, elle me demande d’aller toujours plus loin, de bien la branler, ce que je fais avec grand plaisir, je la prends enfin, elle est comme déchaînée, je la baise un bon moment avant de me répandre en elle pendant qu’elle jouit…
La soirée s’est poursuivie ainsi jusqu’à 5 heures du matin. Je n’avais jamais autant joui ni autant bandé. J’étais vraiment hyper excité, au point que, de retour chez nous, nous avons refait l'amour. Nous avons vécu une soirée identique quelques jours plus tard avec nos amis puis sommes rentrés en Métropole.
Nous avons failli, 3 ans plus tard, vivre une expérience similaire.
Aujourd'hui encore je regrette que cela ne se soit pas fait. Nous étions allé passer une semaine à Belle Ile à l'invitation d'un couple d'amis. Dès le premier jour, notre amie propose à Patricia d'essayer un vêtement. Je suis un peu surpris que celle-ci, sans aucune hésitation, se retrouve en slip et soutien-gorge devant nos amis. Le soir, nous nous couchons; nous étions dans une caravane, chaque couple de son côté.
Après quelques instants, la caravane commence à avoir des mouvements "bizarres".
Je me rapproche de Patricia, l'enlace… nous faisons ce soir là l'amour comme cela ne nous est pas arrivé depuis longtemps.
Le lendemain, Patricia va faire les courses avec notre ami. Sa femme et moi restons à la caravane et je propose de lui raser les jambes : nous avons auparavant évoqué le plaisir que j'éprouve à raser celles de Patricia et j'ai proposé à notre amie de le lui faire. Je suis donc à genoux devant elle, qui est en slip. Nous discutons de tout et de rien; petit à petit, notre conversation dévie sur le sexe.
Elle m'avoue fantasmer sur une partie à quatre, surtout intéressée par une expérience avec Patricia. Malheureusement, son ami n'est vraiment pas partant... quel dommage !
L'après-midi, Patricia me demande :
- Ce soir, tu me laisses dormir tranquille, OK ?
- D'accord, mais tu dors toute nue."
Nous nous couchons donc et voilà que la caravane se remet à bouger. Je passe ma main sur le corps de ma chérie, elle écarte les cuisses, me permet de la caresser. La suite est une répétition de la veille. Toutefois, je remarque que ce soir là, contrairement à la veille, Patricia ne se prive pas d'exprimer son plaisir, sans doute excitée d'entendre nos amis s'aimer. Cela me persuade que si le collègue avait bien voulu ....
Nous avons eu une dernière expérience, de triolisme celle-ci, avec un ancien collègue de boulot. Nous l'avons invité à dîner; en fin de soirée, bien (trop?) arrosée, il me demande si je n'ai pas un film X à montrer. Je mets donc une cassette en route. Nous regardons sans qu'il ne se passe rien. Après un moment, Patricia nous dit qu'elle va se coucher.
J'avoue que j'espérais qu'elle serait un peu plus excitée. Je lui demande si notre ami peut rester dormir chez nous, vu l'heure et les verres bus. Elle n'y voit pas d'inconvénient et va chercher de quoi l'installer dans le canapé. Je lui propose de le faire dormir avec nous, ce qu'elle refuse. Nous nous couchons donc. Au lit, je lui dis que j'ai très envie que notre ami dorme avec nous, elle ne répond pas, je lui explique qu'il dormira à côté de moi, qu'ainsi elle ne craignait rien , toujours aucune réaction.
Je file donc dans la salle le chercher; lui explique la situation et lui dit de me suivre. Arrivés dans la chambre, nous voyons que Patricia s'est endormie, je soulève les couvertures, elle est sur le ventre et nous pouvons admirer ses fesses. Je fais signe à notre ami qu'il peut la toucher. Il s'approche alors, passe la main dans le dos, la descend puis écarte les jambes de Patricia.
Celle-ci ne bouge toujours pas
Il essaye d'entrer en elle mais la position ne s'y prête guère. il me regarde, je lui fais comprendre que, visiblement, il ne se passera rien cette nuit. Je suis très déçu mais toujours très excité. Il se couche à mes côtés… sans trop réfléchir, j'envoie ma main vers son sexe et commence à le caresser. Il bande puis me rend la caresse. C'est la première fois que j'ai ce genre de rapport, que je suis loin de trouver désagréable.
Ma bouche remplace alors ma main. Je trouve agréable le contact de cette queue dans ma bouche, je le suce un moment et me retire juste quand il joui. Lui-même m'a fait jouir avec sa main.
Je change de place et m'installe de l'autre côté de Patricia. Elle dort toujours, je la tourne afin qu'elle soit sur le dos et commence à lui caresser le pubis, elle ne bouge pas. Je vais alors chercher la main de notre ami et lui indique de la caresser également.
Après un moment, je sens une main sur mon sexe. C'est celle de Patricia, elle est maintenant réveillée. J'allume la lampe de chevet et vois qu'elle nous caresse tous les deux. Je l'embrasse puis notre ami la prend. Je les regarde en me caressant.
Il se retire et joui sur le ventre et les seins de Patricia. Je prends sa place et pénètre cette chatte toute chaude. Il est assis à côté de nous et maintenant embrasse Patricia en lui caressant les seins. J'aimerais qu'elle le suce mais elle n'en n'a pas envie…
Elle joui, à la fois des caresses et de ma pénétration. Le lendemain, notre ami nous quitte.
Depuis, notre vie sexuelle n'a plus ce piquant et je le regrette. Patricia n'aime plus trop faire l'amour et bien souvent, j'en suis réduit à me masturber en repensant à ces trois expériences ou en imaginant des situations semblables. J'aimerais énormément revivre ce genre de moments. Malheureusement, pour Patricia, il n'en n'est pas question.
A chaque fois que je évoque le sujet, elle change de conversation. Pourtant, je suis sûr que si l'occasion se présentait et que les conditions étaient réunies pour passer un moment agréable avec quelqu'un qui lui plaise, elle ne dirait pas non. Mais ce n'est pas toujours facile d'orienter la conversation sur ce sujet avec des amis dont on ne sait pas comment ils réagiront.
Je suis confiant et reste patient.

Ma féminisation
Tout a commencé en Mars 2008.
A cette époque cela faisait déjà 8 ans que j'étais avec ma compagne et 2 ans que nous étions libertins. Elle est bi depuis toujours et moi j'étais complètement hétéro bien qu'adorant me faire sodomisé par ma douce et ses amis.
Lors d'une sortie en club j'avais insisté pour qu'elle agrémente sa tenue en vinyle d'un collier et d'une laisse qui tombait dans son dos. Elle accepta mais me fît promettre de lui obéir aveuglément quand elle en ferait la demande. Ce que je fis sans difficultés.
Ainsi, un vendredi en mars nous devions nous rendre près de Lille pour une soirée d'anniversaire d'une amie libertine. Je précise que c'était une soirée déguisée, non libertine. La soirée libertine était prévue en club le lendemain.
Quand je rentrai dans à midi, je trouvai Sarah en robe de chambre. Je vis une nouvelle tenue de soubrette sur le lit.
- Tu ne va pas mettre ça ce soir?"
- Non me rebondit elle, c'est toi qui va la mettre!! "
- Tu plaisantes?"
- Tu te souviens que tu as promis de m'obéir quand je le demanderai? c'est maintenant!!
Je ne sus quoi répondre et finalement je me suis dit que de serait amusant, je m'étais déjà déguisé en marquise à nouvel an 2005.
Elle avait tout préparé: une perruque de longs cheveux noirs, la tenue de soubrette assez courte, les faux seins en silicone, un ensemble string porte jarretelle et soutien gorge en dentelle rouge des bas résilles noirs, un collier serre cou en dentelle blanche une coiffe assortie, des gans en dentelle blanche
elle avait même trouvé des escarpins talon aiguille 6 cm Pointure 43 qu'elle me demanda de mettre de suite afin d'apprendre à me déplacer avec.
Ce ne fut pas facile mais à 16h00, je n'éprouvais plus de difficultés et je trouvais même cela amusant. A cette heure là, Sarah revêtit sa tenue de french cancan, ma réaction ne se fit pas attendre. L'érection fut instantanée. J'allai me mettre un peu de lubrifiant sur le sexe et vint la sodomiser sans autres préliminaires, elle adore être prise ainsi par surprise.
Après ce petit intermède, vint l'heure de me préparer. Elle s'occupa d'abord de mes ongles. Elle me colla de faux ongles longs qu'elle vernit en rouge vif. A mon grand étonnement, elle décida de vernir également les ongles de mes orteils.
- Pourquoi? on ne les verra pas!!
- Je veux te féminiser jusqu'au bout des ongles dit-elle d'un ton malicieux.
Cela aurait du me mettre la puce à l'oreille ... mais respectons l'ordre chronologique.
Elle décida ensuite de s'occuper de mes jambes pendant que le vernis séchait.
- Trop de poils mon bonhomme" elle me rasa les jambes et le torse (mais bon le torse, il n'y avait pas grand chose à faire)
Je revêtais enfin cette tenue que j'aurais adoré la voir porter. Elle avait pris soin de choisir le string très serré afin qu'il me rentre bien dans les fesses. Elle me mit la perruque, la coiffa puis me maquilla : fond de teint sur toutes les parties apparentes ("décolleté", bras,..) rouge lèvre rouge vif, faux cils.... Elle enleva mes petits anneaux d'oreilles pour les remplacer par des boucles d'oreilles argentées en forme de disque de 5 cm de diamètre environ j'étais prêt, prête pardon à partir.
Je mis son long manteau noire et nous partîmes pour Lille.
Nous sommes passé à l'hôtel F1 pour que Sarah récupère le code de la porte puis nous sommes partis à la soirée. Nous nous sommes garés à une centaine de mètres de la salle. Cette petite centaine de mètre à parcourir dans cette tenue ne fût pas très difficile. Il faisait déjà noir et la rue était déserte.
Autant vous dire que nous avons fait sensation dans nos tenues mais il y avait un autre homme en drague queen et notre amie était déguisée en maîtresse SM.
La soirée se passa le plus normalement du monde et se termina vers 3 h00.
De retour à l'hôtel, je filais au toilette tandis que Sarah rentrait dans la chambre.
Quand je l'eus rejoint, je la découvris avec un de ses gods ceintures.
- Allez ma belle, en position, montre moi ton cul.
Je m'exécutais et me laissais enculé(e) dans cette tenue pendant une bonne demi heure et deux orgasmes.
Le lendemain, à mon réveil, Sarah n'était plus là.Machinalement je regardai par la fenêtre et la vit donner ma valise avec mes vêtements d'homme à Eva, notre amie libertine qui reparti aussitôt tandis que Sarah revenait vers la chambre, je m'aperçus qu'il y avait une tenue de femme sur la table.
- Ça veut dire quoi ça?
- Le week-end n'est pas fini mon chéri, tu dois encore m'obéir. Ta féminisation ne fait que commencer.
Mon cœur s'accélérait, je commençais à ressentir une certaine peur mais j'étais coincé. Je commençais par revêtir une guêpière rouge et noire avec porte jarretelle et bas noire. Je mis le string assorti par dessus et ajustai les faux seins. Sarah m'avait trouvé des bottes noires à lacets, talons aiguilles de 8 cm. Je mis une jupe noire étroite et fendue à gauche, et une chemisier en soie mauve qui se fermait jusqu’au cou avec un nœud : genre bourgeoise. Eva revint et s'occupa de mon maquillage.
Une fois prête, mes maîtresses , il faut bien dire ce qui est, s'équipèrent de godes ceintures et m'enculèrent violemment avant de m'attacher à la chaise pendant qu'elle s'occupaient l'une de l'autre.
Une fois leurs ébats achevés, nous partîmes dans le centre de Lille. Nous nous sommes garés dans le parking du centre commercial près de la gare et là j'ai compris. J'allais me mêler à la foule dans cette tenue. Angoisse et excitation se mêlaient en moi.
- Allez mon chéri, tu sors. allez allez.
Je sortis mais je n'étais pas fièr(e). On est remonté dans le centre commercial que l'on a quitter immédiatement. Nous nous sommes rendu dans une boutique de lingerie où elles m'ony fait acheter un ensemble string, pj et soutien gorge en soie noire. Ensuite, nous sommes allé m'acheter un tailleur blanc.
Imaginez-moi, travestie, au milieu de ces femmes. Je me suis aperçu que certaine avaient remarqué que j'étais un homme et curieusement à la honte se mêlait l'excitation et à plusieurs reprises, j'eus un début d'érection.
Le plus difficile fut à chaque fois le passage à la caisse, où ma voix me trahissait.
C'est au restaurant que je ressentis le plus de honte et d'excitation. tous les autres clients nous regardaient du coin de l'oeil. La serveuse semblait tout faire pour me mettre mal à l'aise, me posant beaucoup de question, se penchant vers moi me faisant admirer son décolleté…
Finalement, nous quittâmes Lille pour Bruxelles.
Là-bas nous nous somme rendues dans une boutique spécialisées dans les tenues sexy et fétichiste. Encore une fois, elles se sont arrangées pour me faire marcher 2 km dans les rues de Bruxelles avant d'y arriver.
Elle me firent essayer toutes sorte de tenues pour finalement en retenir 2.
L'une était une tenue fétichiste pour femme.des bas résilles, une mini jupe cuir un corset en cuir avec porte jarretelle, des bracelets en cuir avec anneaux d'attache et les chaînes qui vont avec, un collier de chienne et une laisse, une perruque bleu vif brillante.
L'autre tenue, je la portai en sortant. bas résille à très grosse mailles, porte jarretelle en vynil, une culotte compressant mon sexe et laissant mes fesses libérées. Une mini jupe noire et n corset noir et blanc.Eva l'agrément de sont gros collier en forme de disque qui s'accordait avec mes boucles d'oreilles, un petit gilet en voile noire très transparent finissait le haut. Enfin j’enfilais des cuissardes noire à lacets, talons 13 cm. là j'ai eu du mal, surtout dans la rue sur une chaussée irrégulière. Par dessus, je mis un petit imper en vynil rouge.
Eva pris soin en sortant d'en enlever la ceinture et les bouton afin que je ne puisse le fermer. J'étais exhibée en pute.Terrifiée et excitée (je parle désormais au féminin, c'est plus approprié).
Nous repartîmes vers 19h00. Nous sommes allées dans un club où les travesties sont les bienvenues, Eva y avait ses habitudes.
En arrivant, Sarah me dit :
- Conduit toi comme une femme, si on t'embrasse, tu te laisse faire, homme ou femme compris?
- Quoi?
- On poursuit ta féminisation!
Je me rendais compte que je devenais soumis à ces 2 femmes. Arrivées dans le club, elle m'abandonnèrent pour aller danser. Je ne tardais pas à me faire abordée. Rapidement un homme assez costaud me caressa les fesses et entama la conversation. Dix minutes plus tard il enfonça sa langue dans ma bouche et releva ma jupe pour caresser mes fesses.
Un autre se joint à lui dans mon dos et ils me pelotèrent ainsi quelques minutes m'embrassant a tour de rôle. Je ne sais s'il l'avait fait volontairement, mais une de mes boucle d'oreille se détacha. Je m’accroupissais pour la ramasser mais ne put me relever, en relevant la tête j’aperçus la queue de cet homme qui avait mangé ma langue. Je n'eus pas le temps de réagir, il plaqua mon visage sur sa queue et me l'enfonça dans la gorge. J'eus es haut de coeur, j'étais écœurée puis il se retira pour me retourner vers son ami que je suçai à son tour.
Comprenant que je pouvais me défiler, je décidai de m'activer et de le pomper avec attention pour vite finir.Mais quand il fut sur le point de jouir, il maintien ma tête contre lui et déversa son jus dans ma gorge. Je n'eus pas le temps de reprendre mon souffle que le premier revint dans ma gorge et fit de même mais ne laissa que son gland dans ma bouche afin que je sente bien son foutre dans ma bouche.
Eva et sarah s'étaient rapprochées et me regardaient en souriant. Elles me relevèrent et m'embrassèrent. Regardant autour de moi je vis plusieurs hommes et femme qui avaient la main sur le sexe, visiblement excités par ma prestation.
Bien que honteux et salis, je ressentais de l'excitation liée à l'exhibition.
Eva me remit du rouge à lèvre puis je me rendis au toilettes.
Alors que je me lavais les mains, je senti ma jupe se lever. Regardant dans le miroir, je reconnu la serveuse du restaurant mais n'eut le temps de rien dire que je sentais un membre me fendre la rondelle. quelques seconde plus tard, elle activa les vibrations de son god . Elle m'encula comme une pute appuyée sur le lavabo.
Bien sûr , il y eut des spectateurs et je ne pus contenir un orgasme découpé par l'exhibition.
Nous passâmes ensuite à table ou l'ambiance était sympathique comme c'est souvent le cas dans les clubs libertins.
Après le repas, nous sommes allées changer de tenue.
Eva et Sarah étaient habillées de la même manière. Bottes en cuir, bas résille, guêpière en cuir noir avec bretelle qui se nouaient autour du cou,, sans culotte, comme habitude.
Je revêtis ma tenue de soumise et ces dames m'attachèrent les mains dans le dos. Sarah sorti alors un bâillon boule qu'elle m'apposa avec malice et elles me ramenèrent en laisse.
Elles me promenèrent ainsi dans le club, annonçant que mon cul serait bientôt en libre service. Elles m’emmenèrent ensuite dans une alcôve ou attendaient 3 hommes très très bien membrés. Je leur fut offerte attachée et bâillonnée sous le regard de ma chérie et d'Eva et d'autre clients qui venaient mater.
Je jouissais sous les coups de ces empileurs, je me sentais violée mais j'aimais ça, j'avais honte, je deviens PD?
A la fin, de cette séance, Sarah savait ce que je ressentais. Elle me dit en me débâillonnant:
- Tu commences à te sentir PD?
- Je sais pas, un peu , ca me fait peur mais j'y ai pris du plaisir.
- C'est pas la réponse que j'attendais. Alors on continue.
On retourna sur la piste de danse et Eva me montra 2 hommes seuls.
- Aborde les, allume les, qu'ils te baisent!! Sinon on t'attache ici et on offre ton cul a tout ceux qu'ils le veulent.
J'obéis avec une certaine crainte. Je m'approche d'eux, me trémousse maladroitement, me glisse entre eux. Quand ils commencent à me caresser, je me surprends à passer mes mains sur leurs bites. Très vite , ils m'embrassent, j'y prend plaisir. Je comprends quelle réponse Sarah attendait.
Je ne deviens pas Pd, je suis dans la peau d'une femme, je me sens femme. Je deviens une femme.
Un 3eme homme se joint à nous. Au bout de 10 minutes, je les emmène dans une alcôve. Ils me baisent, je les suce, j'avale le sperme pendant que les autres m'enculent à tour de rôle.
L’alcôve est grande, je remarque que 2 autres hommes sont rentrés, ils se masturbent et finissent pas me caresser. Je remarque Eva et Sarah à l'entrée.
Le plus gros jouit dans mon fion.
Je m'assois sur le 3eme et invite les 2 nouveaux dans ma bouche. Eva et Sarah me sourient en se caressant. Je suce, je me fais baiser, je jouis j'hurle comme une femme. Mon cul n'a même plus besoin d'être lubrifié.
Quand nous sortons de l’alcôve, Sarah me demande si j'ai une autre réponse à lui donner
- Je deviens une femme?
- Presque , tu es sur la bonne voie, mais je vais encore devoir t'instruire.
Elle me prend en laisse et m'emmène sur la piste. Elle attache la laisse à une barre et me retourne, lève ma jupe et montre mon anus dilaté.
Rapidement, je sens une queue s'y glisser, une autre se présente devant moi, je suce goulûment encore plus excitée par cette exhibition. Je passe les 2 dernières heures ainsi.
A la fin de la nuit, je ne sais pas combien de queues je me suis enfilé, pour ma première expérience homo ça a été très fort.
Quand nous sortons, Eva et Sarah me demandent :
- Comment te sens-tu?
- Je suis une pute dis-je sans hésitation.
- Bravo mon chéri, dit Sarah. Si tu avais dit que tu étais notre pute soumise, tu avais tout bon. Il te faudra donc une dernière punition.
Ces mots qui auraient du me faire peur m'excitent. Nous rentrons chez Eva. Nous faisons l'amour à 3, elles ne pensent qu'à mon plaisir.
Le lendemain, je suis toujours femme. Je remets ma tenue de bourgeoise. Sarah en revêt une quasi identique mais le chemisier est noir.
Eva nous emmène dans une salle dont le sol est recouvert d'une bâche. Elle me dit
- J'ai prévu quelque chose de spécial pour Sarah et toi.
Nous sommes attachés les bras en croix et à genoux. 30 minutes plus tard, entrèrent une quinzaine de couples, nus. Sarah est très excitée, elle dit avoir peur. Moi aussi.
Trois hommes s'approchent de moi, trois autres de Sarah. Eva me tire la tête, une autre femme en fait de même pour Sarah. Les hommes prennent leurs sexes en main, les dirigent vers nous... et pissent !
Je sens la pisse chaude sur mon visage et sur le chemisier en soie qui me colle à présent. ils ont du se retenir longtemps tant leurs jets durent.
On nous détache mais on nous tiens bien. On nous allonge, on nous encule, on suce, on nous pisse dessus, c'est brutal, c'est un viol. Pourtant, Sarah jouit, puis c'est mon tour. On nous pisse dans la bouche. Eva se fait pisser dans la bouche puis la vide dans celle de Sarah. Elle renouvelle avec moi.
A aucun moment nos anus ne sont tranquilles. Eva nous pose des écarteurs pour maintenir la bouche ouverte. Une femme se place au dessu et me bouche le nez. je ne peux respirer que par la bouche, jusqu'à ce qu'un flot d'urine ne l'inonde. Je suis obligée d'en avaler. Sarah subit le même sort.
A présent que nos corps sont trempés d'urine, ceux qui en ont encore la déverse dans des entonnoirs enfoncé dans nos bouches, on avale, on ne peut pas faire autrement.
On nous appelle salope , chienne pute.. On jouit de honte…
Une fois toutes les vessies vidées, on nous détache. On reste à genoux. Eva se place au dessus de Sarah
- Délecte toi ma puce.
Sarah hésite puis ouvre sa bouche et boit le liquide dorée qui s'échappe de notre bourreau commun. Eva s'interrompe et me propose de prendre le reste. Je suis excitée, je m'exécute et à ma surprise, savoure ce curieux nectar.
On nous relève, Sarah est prise par trois hommes, elle s'allonge sur le premier qui la pénètre, suce le second, et le troisième l'encule sous mes yeux.
C'est sa première double pénétration.
Moi je peux rien faire, on m'a plaqué sur une table et attachée. On me suce puis je sens un doigt fin dans mon cul puis deux. Puis je ne sens plus de doigt.
Une femme veut me fister, Ca fait mal, J'hurle, j'ai l'impression d'être déchirée mais je crie encore!!!encore!!
Sarah jouit, hurle, miaule..
Autour de nous, ça baise!!
Celui qui encule Sarah jouit et se retire, un autre se présente mais ne prend pas sa rondelle. Elle subit également une double vaginale, sa première !
Beaucoup de de premières ce week-end!!
Je jouis à mon tour. La femme qui a fouillé mes entrailles me montre la main qui m'a ravagée. Son mari lui demande
- Crois tu que la mienne passerait?
- Faut essayer dit elle … et de s'exécuter.
Curieusement je n'ai plus peur, je suis excitée et écarte bien mes fesses.
- La salope y prend goût on dirait dit la femme.
Il me pénètre lentement, c'est douloureux et excitant. A peine sa main m'a t elle totalement pénétrée que je tressaille de bonheur, je jouis. Ma prostate et mon anus ont tellement été stimulé, qu'un courant d'air pourrait me faire jouir.
Elle me détache.
- Encule moi me dit elle.
J'obéis. Quand j'ai défoncé sa rondelle son homme m'encula à son tour. C'était magnifique.
On a baisé comme ça pendant encore 1 heure. Quand nous nous sommes retrouvés à 3, j'appris que Sarah ne savait pas ce qui allait se passer. C'était une idée d'Eva, et ne pas savoir, c'est ça qui l'excitait.
Depuis, Sarah et moi découvrons les plaisirs de la soumission avec Eva qui est une maîtresse raffinée. Je dispose d'une garde robe assez fournie, aussi bien sexy que bcbg.
Et moi, je deviens une pute un week-end par mois au minimum.

Le mois des Cocus soumis... en vidéo

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Un bon mari doit savoir dynamiser l'amant!


Le mois des Cocus soumis... en vidéo

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Bonne fête Chéri.
Les enfants viennent pour le déjeuner.
Ils ont dormis chez des amis 
pour qu'on te fasse ton cadeau Julien et moi.


La production de votre serviteur.

Histoire du net. Auteur inconnue. Education.

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 C'est dur pour une étudiante de suivre 
deux cursus en même temps.
Études de droit ... Et de salope!

L'éducation d’une salope.
Je m’appelle Victoria, et voici mon histoire.
J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires du sexe. J’avais eu quelques flirts et même un amant qui avait perdu son pucelage en même temps que moi. Nous ne sommes pas restés très longtemps ensemble et je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de cette première expérience sexuelle.
Puis j’ai quitté ma province pour la capitale afin d’y poursuivre mes études supérieures. Comme mes parents n’étaient pas très aisés, je devais absolument trouver un job qui me permette des payer mes études et mon logement. Je ne suis inscrite dans une association qui «plaçait» les étudiants. J’ai atterrie dans une famille qui contre quelques heures de ménage laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière.
Il s’agissait de la chambre de leur fils qui faisait ses études à l’étranger. Ce studio était au rez-de-chaussée de la villa et avait une entrée individuelle. Une porte de communication permettait l’accès dans leur appartement (sur deux niveaux)
Ce couple était un peu plus jeune que mes parents. Lui était avocat et elle juge d’instruction et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit.
Mon travail n’était pas trop pénible. Sophie et Bertrand n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur étude, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations.
Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. Sophie m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noir aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguiser.
Mais Sophie et Bertrand étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issue tous les deux d’une famille de la grande bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Madame.
Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Leur villa se situait au milieu d’un grand parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. Comme ils partaient quasiment toujours en week-end dans leur maison de campagne, Sophie et Bertrand m’avaient autorisé à l’utiliser durant leur absence. Ils rentraient en général vers 19 heures et s’occupaient eux même du repas du soir, la cuisinière n’étant à la maison qu’en semaine.
Je passais donc tous mes week-ends dans la dépendante au fond du parc. J’avais l’impression d’être aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, j’allais me baigner nue dans la piscine. J’aimais le contact de l’eau sur ma peau, et comme à cette époque je n’avais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Ce jour là c’était mon anniversaire. Le matin j’avais été chez le traiteur où mes «patrons» se servaient pour m’acheter un demi-homard mayonnaise, un soufflet au foie gras et une bouteille de champagne. Puis chez le pâtissier, je m’étais offert un gâteau au chocolat.
Vers midi, mes parents m’avaient appelé pour me souhaiter un bon anniversaire. Après avoir parlé un moment avec eux, je me suis préparée un plateau avec mon repas fin et je me suis installée au bord de la piscine. J’ai dégusté mon homard, mon foie gras et enfin mon gâteau au chocolat, le tout bien arrosé de champagne.
- A toi, Victoria, à tes 21 ans.
Dans l’après midi, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois d’octobre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et j’ai plongé dans l’eau pour me changer les idées.
Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas. Alors j’ai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton d’amour que je me mis à caresser avec ardeur.
Je prenais tout mon temps, mes doigts s’égaraient parfois dans ma caverne mystérieuse et reprenais ensuite leur danse folle sur mon clitoris. Je voulais faire durer le plaisir, ne pas jouir tout de suite, aussi sans ouvrir les yeux, mes doigts remontaient parfois jusqu’à ma bouche et je les suçais. J’aimais et j’aime toujours le goût de mon suc intime.
A ce rythme là, je ne parvins à l’orgasme qu’au bout de vingt minutes environ. Mais je n’étais pas pressée, personne ne m’attendait. Sophie et Bertrand ne seraient pas là avant deux heures.
- Humm, c’est bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ? Tu aimes ça te masturber hein ? Bien sur tu préférerais un homme mais faute de mieux … ! Allez ma fille fais toi du bien… hummm
C’est alors que je sentis une bouche s’emparait de mon sein pendant qu’une main prenait possession de l’autre. J’ouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, Sophie qui ne titillait la poitrine… Je n’avais entendu personne rentrer. J’allais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et j’entendis la voix de Bertrand :
- Ne crie pas ! de toute façon, personne ne peut t’entendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi une femme. Tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Peut-être que tu ne l’as pas fait non plus avec un homme ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Victoria m’a l’air d’une sacrée salope, dit Sophie en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas… elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis qu’elle à un potentiel de salope et crois moi, je m’y connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lila avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils sont exigeants sur la qualité de la marchandise.
Bertrand avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par Sophie qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec son mari. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de Sophie venant juste après les miennes m’avait enlevé de ma vigueur, elle reprit :
- Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher toute neuve dans un de nos diner mensuel. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances dans le Sud, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie.
- C’est vrai on a eu de la chance, Maître de Chazot me le disait encore hier :
«Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout Sophie. Elle les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. Sophie et moi y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maitre.»
- Voilà un sacré cochon ce de Chazot. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi aussi tu l’aimes bien la queue de Maître de Chazot ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier.
Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit Gilles personne ne m’aurait entendu. Sophie a du le sentir, car elle a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! nos histoires ont émoustillaient cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Touche !
- Tu as raison ! Alors sale petite vicieuse ! ça t’excite les histoires de cul ! tu as envie de gouter à ma bite ou tu préfères le con de Madame la Juge ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Victoria, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! tu vas voir le sien va te remplir la bouche.
Comme je n’ouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois Sophie, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement. Elle est pure !
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, j’ai déjà eu un copain il y a un an et demi, mais nous n’avons jamais fait ça.
- Montre lui comment on doit s’y prendre.
Sophie ne mit à genoux devant son mari et après qu’elle lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, elle commença par lui léchait la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Gilles fut bien raide, Sophie se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration.
-A toi maintenant.
J’allais me mettre à genoux à mon tour.
- Non, reste allongée Gilles se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que ma patronne ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, Vicky. Ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Elle me parlait comme une mère parle à son enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant à Gilles :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant des quasis inconnus. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? qu’y a-t-il de plus beau dans la vie ?... Allez, viens…
Entre chaque phrase d’encouragement elle reprenait sa succion. Bientôt elle ne s’arrêta plus et c’est Gilles qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je t’apprendrai, je t’expliquerai ce qu’un homme attend de la fellation. Pour aujourd’hui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne Madame la Juge. Elle est parfaite, toutes nos amies le disent. Elle suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raison de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je n’en avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt à un désert.
- Ouiii ! c’est bon, encore Sophie, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête… Ahhh ! ahh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais Madame la Juge ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Gilles m’encourageait et Sophie ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et j’aime ne faire sucer par Madame la Juge»
- Je suis une petite pute… Ahhhh ! et j’aime que Madame la Juge me suce. Ahhh !…
Ma tête était en train d’exploser quand Sophie vint me rouler un patin où se mêlait le goût de sa bouche et celui de mon nectar. J’étais vidée, je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais. Mon esprit m’avait quitté. Ma personne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si j’ai entendu les râles de Gilles que Sophie finissait d’astiquer avant qu’il ne la prenne là devant moi et qu’elle jouisse à son tour.
Puis doucement, ils m’aidèrent à me relever et chacun à leur tour ils m’embrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre le peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée automnale, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras l’un de l’autre, Sophie et Gilles m’entourant de leurs bras oserai-je dire protecteur.
Mon éducation de salope commença dès le lendemain
Le lendemain au petit déjeuner, Sophie et Bertrand firent comme si rien ne s’était passé. Moi, par contre j’étais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je n’osais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme s’il s’agissait d’un matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que d’habitude. J’étais au supplice. Comment après ce qui c’était la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils deviser de tout et de rien, avec futilité. J’avais sucé mon patron pendant que sa femme se régalait de mon intimité, ils avaient fait l’amour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
-Un croissant, Vicky ? dit Sophie.
-Non, merci, je n’ai pas faim.
Et en plus elle m’appelle Vicky ! La honte s’empare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
-Ecoute, chérie, reprend Sophie, ce qui c’est passé hier soir dans la maison du fond du parc, n’est que le début d’une grande aventure qui commence pour toi… et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne t’en rends pas compte, parce que personne ne te l’a jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je t’ai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir, les femmes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien qu’en agitant ton joli petit cul de pute. N’est-ce pas chéri ?
-C’est sur, et si je n’avais pas eu peur de te faire fuir, je t’aurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
-Tu vois mon avocat de mari est d’accord avec moi… et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maître de Chazot et sa femme ne tarissent pas d’éloge sur toi. Le substitut et Madame ne rêvent que de ton cul. Depuis la petite Lila, aucune de nos soubrettes ne leur avait fait cet effet, même pas cette chienne de Katy. Il faut que tu te fasses à cette idée, tu es une salope en puissance.
Elle s’approche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Elle me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette.
Bertrand se colle à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton d’amour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier soir. Je ne suis vraiment qu’une fille de rien, qui se met à gémir dès qu’on lui astique le bonbon. Les caresses de Sophie se font plus pressentes. Elle a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me torture le bout d’un sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
-Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour le sexe, insiste Sophie. Cela fait déjà trois semaines que Bertrand et moi on rentre plus tôt le dimanche soir et qu’on t’observe quand tu t’occupes de ton joli fruit juteux. Bertrand a même pris des photos qu’il a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Bertrand et moi on va d’abord tout t’apprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes du tout Paris. Mais attention, il faudra nous obéir, au doigt et à l’œil ! Tu devras faire tout ce qu’on te dit, accepter tout ce qu’on ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur l’ordre de Bertrand ou sur le mien. Pour cela, aucun sous vêtement dans la maison. Dès que tu seras rentrée de la fac, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je ferai posée sur ton lit dans la journée. C’est pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et s’enlève plus facilement. Tu porteras des bas up en résille noire et des escarpins vernis rouge. Ne proteste pas, je sais que tu auras l’air une pute avec cet accoutrement, mais c’est le but recherché. La porte de ta chambre devra toujours restée grande ouverte pour que l’on puisse t’observer, même pendant tes moments d’intimité. Ne t’inquiète pas pour la cuisinière, elle travaille pour nous depuis plus de dix ans et elle participe régulièrement à nos petites… Comment dire cela… à nos petites sauteries.
-Tu peux dire partouze, ma chérie, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
-Est-ce que tu as bien compris tout ce que l’on vient de te dire.
-Oui.
-Ah ! J’oubliais, durant ton apprentissage, il n’y a plus de Bertrand ou de Sophie qui tiennent, tu devras dire Maître et Madame. C’est clair ?
-Oui.
-On dit oui Madame ou oui Maître.
-Oui, Madame.
-C’est bien, tu es une bonne fille. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, j’en suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions… L’esthéticienne va arriver d’une minute à l’autre. Tu verras elle est très sympa… Elle repassera pour t’épiler, chaque fois que cela sera nécessaire...
Fini les galipettes pour ce matin. Bertrand et moi partons au palais ce matin, nous rentrerons vers 17 heures, tâche d’être prête car ta première leçon de salope commence ce soir. D’accord ?
-Oui Madame.
-Au fait tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes d’éducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. J’ai juste le temps de prendre une douche et l’esthéticienne sonne au portail. La cuisinière lui ouvre. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles sont bras dessus, bras dessous, et s’arrêtent souvent pour s’embrasser à pleine bouche. Elles se touchent sans pudeur, et rentrent dans ma chambre en riant de ma mine ébahie.
-Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur à prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte et elle sera encore mieux, une fois que Rose l’aura débarrassée de tout poil. Et puis tu verras, une chatte bien épilée, c’est beaucoup mieux pour le broute minou… et pour tout le reste d’ailleurs ! N’est pas Rose ?
-Tu as raison, et pour la vue, c’est plus agréable, on voit bien le bouton se gonfler. Viens, suis-nous. On va dans le salon privé de
Madame la Juge. Il y a tout le nécessaire pour faire une beauté à mon mont de Vénus. Après pour te détendre, je te ferai un bon massage.
-Bien Madame.
-Tu peux m’appeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maitre Bertrand et de Madame la Juge forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
-Vrai, ma chérie.
Et elles s’embrassent à pleine bouche, et elles se caressent … Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin d’enfer. Je me laisse faire, Madame m’a demandé d’obéir à la cuisinière… Ce baiser me trouble et j’y réponds avec ardeur.
-Ils ont raison, les patrons ! tu as un vrai potentiel de salope, à peine quelqu’un te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne. Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à son tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, d’autant plus vite que Marie s’est placée derrière moi et me triture les tétons :
-Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui son baiser, enlace-la. Entends, je t’enlève ce peignoir qui nous encombre plus qu’autre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi.
Tout en parlant Marie s’est agenouillé derrière moi. Elle m’écarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui s’égaille entre mon œillet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose m’embrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, m’allonge et se positionne à cheval sur moi, son con au bord de mes lèvres.
-Lèche-moi, goûte comme c’est bon une figue complètement épilée. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. C’est bon, tu aimes ça. C’est la première fois que tu suces une femme ? …
Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue.
- Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
- Madame la Juge ne s’y est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas qu’il lui faille plus de quinze jours avant d’offrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sure qu’elle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant qu’elle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma Vicky !!! Bon maintenant assez jouer, passons aux choses sérieuses. Rose tu n’es pas venue ici pour te faire brouter la pelouse, mais pour débroussailler le buisson de cette chienne en chaleur.
Je trouve de plus en plus excitant d’entendre parler de moi, devant moi, comme si j’étais un simple objet. Je me sens l’âme d’une soumise. De toute façon qu’est-ce que je pourrais être d’autre, je n’ai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de m’éduquer, de faire de moi une experte de l’amour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre. Le jeu en vaut bien la chandelle.
Il y a à peine deux mois, j’arrivais de ma province, naïve comme une oie blanche et aujourd’hui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements sont un peu de travers. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé. Elles me guident vers le salon particulier de Madame la Juge, en devisant entre elles sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope… La situation est absolument folle… mais je crois que j’aime ça.
On arrive devant la porte du salon de Madame. Je n’y suis jamais rentrée, en général c’est toujours fermé à clef, mais il semble que Marie est accès à toutes les pièces de la maison.
Au centre de ce salon trône une table comme on en trouve chez les médecins avec des étriers pour pouvoir lever les jambes. Un drap blanc recouvre le skaï. Sur les étagères des pots de crème, des bâtons de cire sont bien alignés.
Dans un coin de la pièce se trouve un espalier et juste à côté un vélo d’appartement dont la scelle me paraît étrange sans que je puisse dire pourquoi : elle est trouée ! Dans cet endroit tout semble surprenant, jusqu’à ce rideau épais qui semble cacher encore quelques bizarreries.
-Allonge-toi sur la table. Je vais d’abord t’épiler les jambes, puis les aisselles et enfin Marie t’aidera à passer les pieds dans les étriers, pour que je te fasse le maillot intégral. La position n’est pas des plus agréables, mais c’est plus pratique pour moi. Il faudra recommencer environ toutes les trois semaines, tu es blonde, les poils repoussent moins vite. Je te préviens la première fois c’est un peu douloureux. Mais tu n’as pas le choix : Monsieur et Madame n’aiment pas les poils. Ils trouvent qu’une chatte bien lisse c’est plus présentable.
Tout en parlant Rose en profite pour me taquiner le pistil qui réagit au quart de tour.
-Vraiment Rose, tu es incorrigible. Tu es là pour bosser ! on est déjà en retard avec ses conneries toute à l’heure dans la chambre de la petite ! Alors au boulot !
-Si on ne peut plus flatter la marchandise maintenant, et puis toi non plus tu ne crachais pas dans la soupe. Tu l’as bien astiqué la petite pute, tu t’es bien régalé avec son jus, ose dire le contraire ?
-Bien sur, mais si elle n’est pas prête quand les patrons rentrent je vais encore être punie ! J’aime plutôt bien ça, mais là je ne voudrais pas prendre à cause de toi !
Punie, mais qu’est-ce qu’elle veut dire. Déjà ce matin, Madame m’a parlé de sévir si je n’obéissais pas ! En plus Marie dit qu’elle aime ça, les punitions. Ce ne doit pas être si terrible car elle a l’air de ce plaire dans cette maison. Rose me tire de ma réflexion en tirant d’un geste rapide sur la bande de cire qu’elle avait placée sur ma jambe.
-Aie !
-Je t’avais prévenu, et encore les jambes ce n’est rien. Quand on en sera aux aisselles et surtout au maillot, je te passerai une crème anesthésiante, ça n’est pas efficace à cent pour cent, mais ça soulage bien.
Avec application, Rose s’occupe de rentre mon corps quasiment libre de tout poil. On arrive a moment crucial. Marie prend mes jambes pour les attacher dans les étriers.
-C’est pour éviter les coups de pied intempestifs.
Elle m’attache aussi les mains
-Ça, c’est pour éviter les baffes. On n’est jamais assez prudente.
Comme elle l’avait fait pour mes aisselles, Rose me badigeonne le mont de Vénus de la crème supposée prévenir la douleur.
C’est un peu froid… Elle étale la bande, l’applique bien avec le plat de la main et tire d’un coup sec. Avant que je n’aie eu le temps de crier, Marie m’a fourré sa langue dans la bouche. Elle caresse aussi mes nichons avec douceur.
-Il faut détourner l’attention. Si je parviens à te faire jouir, tu oublieras la douleur.
Durant toute la séance, j’essaie de me concentrer sur la langue de Marie, qui se promène de ma bouche à mes seins. Ses mains prennent parfois le relais de ses lèvres. Elle est vraiment très forte, car je ne sens presque plus rien au niveau de mon pubis.
Quand tout est terminé, Rose passe sa langue chaude sur toutes les parties de mon anatomie intime qu’elle vient de maltraiter… comme pour se faire pardonner.
-C’est bien, ma Vicky, tu as été courageuse, tu mérites une récompense.
Et sans me détacher, Rose et Marie prennent possession de mon corps qu’elles couvrent des caresses jusqu’à déclencher un orgasme torride. Elles m’embrassent avec fougue. Je suis arasée de jouissance.
Elles me raccompagnent dans ma chambre, me couche délicatement dans mon lit et après un dernier baiser, elles me laissent seule. Je passe le reste de ma journée à dormir. Cette première journée dans ma nouvelle vie de salope, m’a épuisé… pourtant je ne suis pas au bout de mes surprises…

A suivre...

Un Jeudi en vrac... Tofs

Un vendredi de brèves...

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Il y a plusieurs façons de perdre sa virginité...


SUIS PASSÉ A LA CASSEROLE
je m appelle Rachid J’ai 40 ans 1,72m 59kg vec un corps plutôt mince hétéro et de surcroîts marié avec 2 enfants. Je n’ai jamais été infidèle jusqu'au jour ou cela m’a été fatal et dû m’abaisser à obéir à un chantage.
Après chaque fin de travail je vais a la douche, là Kevin avec qui j’avais fais connaissance depuis quelque temps sur le chantier me rejoint. On papote tranquille puis dans la discutions il m’invite à prendre un verre chez lui. Étant donner que j’avais encore 3h devant moi avant que ma femme ne rentre du boulot j’accepte.
Arrivé chez lui il me propose une bière. Ne buvant pas je lui demande un jus de fruit à la place. On parle de nos vie respective de tout et de rien en fait lorsque peu à peu je me sens bizarre, comme mou et euphorique en même temps.
Kevin en profite pour me caresser la cuisse en remontant sur mon entre-jambe… A ce moment je ne contrôle plus mes faits est gestes et le laisse faire sans comprendre pourquoi. Il passe sa main dans mon jogg et me caresse la bite à travers mon calcif, je ne fait rien pour l’arrêter et commence à avoir une érection.
Très vite je me retrouve à poil devant lui et ma bite dans sa bouche. Malgré tout mes efforts à comprendre ce qui m’arrive sans rien pouvoir faire, lentement je m’abandonne à cette fabuleuse pipe qu’il me prodigue et puis c’est le trou noir dans ma tête.
Lorsque je reprends mes esprits je suis sur son lit encore à poil. Je ne comprends rien à ce qui c’est réellement passer et part à la recherche de mes vêtements. J’arrive dans le salon, Kevin est assis sur le canapé, me tend mes fringues et me rhabille.
Confus je lui demande ce qui m’est arrivé.
- T’inquiète… viens t’asseoir et regarde…
Il met en marche une vidéo et là, sous mes yeux ébahis je me vois en train de lui sucer la bite et me faire enculer dans plusieurs positions où visiblement je prenais un certain plaisir sans compter le son qui allait avec… je m’entends dire « hummm… Ouiii… c’est bon… etc.… »
- Mais mais qu’est-ce que ça veux dire ça ??????
- Bah les images parlent d’elles même non ?
- Putain ! mais c’est pas possible ça… Qu’est-ce que tu ma fait ? tu m'a droguer ou quoi ?
- Ouai mec…
Là je vois rouge. Furieux je l’empoigne pour lui foutre mon poing dans la gueule mais il réagit aussitôt en me faisant tombé à terre. La, tranquille, il me dit :
- Bon écoute. J’pense que t’es pas en position de force là alors, si tu ne veux pas que cette vidéo arrive dans les mains de ta femme tu va faire exactement c’que j’te dis ok ?
- Et qu’est-ce tu veux ?
- C’est simple. Vendredi prochain j’organise une petite fête avec 3 potes et on a envie (enfin, je dirais plutôt qu’on avait envie) de s’amuser en faisant venir une pute si tu vois c’que je veux dire. Mais apparemment je pense que tu feras l’affaire alors tu viens pour 20h précise et surtout ne soit pas en retard sinon…
- Espèce de connard, tu crois que j’vais me laisser faire comme ça ou quoi ? Pour qui tu t’ prends ? j’vais direct porter plainte…
- Ha ouai ? ok comme tu veux, mais réfléchis bien aux conséquences, ta femme et tes gosses seront au courant de ce qui c’est passer et lorsqu’ils verront la vidéo avec le visage souriant et prenant du plaisir à sucer une bite et te faire trouduculté je pense que t’auras plus qu’à divorcé et déménager loin d’ici…
Devant de tels arguments je ne su que répondre à part :
- Espèce de fils de pute, t’est qu’un connard et un enfoiré de merde…
- Ouai je sais, mais que veux-tu…
Arrivé chez moi, me sentant sali je me suis directement mis sous la douche comme pour me désinfecté mais rien ne pouvais effacer de ma mémoire le «viol» que j’avais subit.
Les jours de la semaine se sont passés sans que je me remémore ce que j’avais fait et ce qui m’attendait puis le jour fatidique arrive, je reçois un sms.
« N’oublie pas mec… à ce soir ou sinon… »
J’angoisse… j’essaie de trouver une excuse pour ne pas y aller mais le même message me reviens avec une photo de moi en train de sucer ou de me faire enculer
« excuse bidon… pense aux conséquences… rdv 20h »
Résigné j’invente à ma femme un excès de travail au bureau suivie d’un diner obligatoire avec mon patron. 20h, l’angoisse et la peur au ventre je sonne à la porte de Kevin, il m’ouvre avec un grand sourire.
- Salut !... Viens que je te présente…
Dans le salon, sur le canapé, ses 3 potes Alex, Julien, Paul entrain de siroter leur whisky.
- Voila les mecs… je vous présente Rachid le mec de la vidéo avec qui on va s’amuser…
Ils applaudissent tous en cœur en disant « ouaiiiiii…» me voyant complètement stresser paul me dit :
- Vas-y man… détend toi et prend un verre…
- Je ne bois pas…
Kevin me sert un jus d’orange en m’informant que cette fois-ci il n’était pas drogué affin que je puisse avoir tout mes esprits pour la suite de cette soirée. Puis Julien prend la parole.
- Bon ben c’est pas l’tout mais pour nous chauffé j’propose qu’avant qu’on s’occupe de lui faudrait qu’il nous serve de soubrette comme une bonne meuf, vous en pensez quoi les mecs ?
Tout le monde :
- Ouaiiii…. A poil, à poil….
Kevin :
- Bon ben tu sais ce qu’il te reste à faire maintenant…
Honteux et humilier je me retrouve à poil devant ces 4 mecs encore habillé et leur sers à boire comme des pachas.
Paul est le 1er à lancer les investigations en se caressant le paquet les cuisses écarté.
- Hey man approche…
Face à moi il sort sa bite et me dit :
- Allez suce ma queue…
Devant mon hésitation il m’enserre les couilles d’une main en me les étirant vers le bas pour me faire agenouiller.
- Allez man fait pas ta sainte ni-touche et suce moi le zob t’es là pour ça non ?
Dû à la douleur je me retrouve à genoux face à son pieu et me tenant par les cheveux me dit :
- Allez suce…
Non drogué je prends conscience que je suis en train de sucer une bite et que sans m’en rendre compte cela me donne une petite érection. Les sex sortent de leur calbute et je passe de bite en bite, curieusement la mienne me fait mal, machinalement je me touche et constate que si j’ai aussi mal c’est que je bande un max. Alex s’en aperçois.
- Putain !!!... Mais c’est qu’il bande ce mec hummm apparemment t’aime la bite hein ?…
Paul est le 1er à vouloir s’occuper de mon cul. Pendant que je suce Julien il m’écarte les fesses et me lèche le cul, ses coups de langue me fait peu à peu ouvrir le trou ce qui me fait lâcher quelques couinement de plaisir. Il me crache sur ma rondelle, y enfonce un doigt et me travail le fion, je me détends de plus en plus et enfonce un 2eme doigt.
- Ouaich mec t’es bon pour t’faire enculer…
Je suis passé à la bite de Kevin, Paul frotte son gland à l’entrée de mon trou, je sais qu’a ce moment je vais me prendre sa bite dans le cul, il force l’entrée et je cris de douleur, Julien me tend une petite bouteille, c’est du poppers il me dit :
- Tiens respire ça va te détendre…
En effet, après quelques snif je sens mon cul se dilater et la bite de Paul s’enfoncer dans mon trou. Pendant que je me fais enculer Kevin me remet sa bite dans la bouche, je me fais baiser par les 2 trous, Paul se retire de mon fion sans avoir joui et laisse la place à Alex qui me plante sa queue direct et me lime comme un malade.
Tour à tour me faisant changer souvent de position, une fois sur le dos, une fois à 4 pattes les bites se succèdes dans mon cul et dans ma bouche et n’ai aucun moment de répit, les mecs prennent leurs pieds à m’enculer et à se faire sucer plusieurs fois sans jouir pour faire durer leur plaisir.
La quantité de poppers qu’on me donne à snifer me détend de plus en plus, me rends encore plus chienne. Puis viens le 1er moment ultime. Julien est le 1er à lâché sa semence sur ma gueule en se branlant pendant que je suis toujours en train de me faire labourer le cul par Alex. Il se retire de mon cul laissant la place à Paul qui me déchire le fion avec violence en me disant :
- J aime ton petit cul et ton corps tout mince c est la première fois que je déchire un petit de beur.Tu va voir c’que ça fait d’engrosser une meuf…
Me tenant par les chevilles relever au dessus de ma poitrine il prend un malin plaisir à sortir et rentrée sa bite dans mon cul qu’il fini par m’enfoutré les entrailles dans un grand râle de plaisir.
Kevin prend sa place, sa queue se noie dans le foutre de paul pendant ce dernier me fait nettoyé sa bite. Je reçois une seconde dose de sperm dans le cul de la part de Kevin qui lui aussi m’ordonne de lui nettoyé la bite en laissant la place à Alex dans mon cul qui après quelque va et viens me fait mette à genoux m’ordonnant de prendre sa teub engluer de foutre de Paul et de Kevin dans la bouche pour me remplir de son sperm en me disant tout en me tenant la tête :
- Avale tout salope…
Kevin ma fait revenir le vendredi suivant pour une nouvelle tournante et comme promis il m'a remis la vidéo que j’ai détruit aussitôt en espérant qu’il n’en a pas fait une copie

Dévirginer. Le pied !
Auteure : Diedy
Je suis une fille de 16 ans et qui était encore vierge il y a deux jours environ. J'ai un chum depuis presque 2 mois et depuis quelque temps il mettais beaucoup de pression pour que l'on fasse l'amour.
Un soir puisque ses parents n'étais pas là il m'a invité a venir passer la nuit chez lui, et m'a dit d'inviter mon amie Marie puisque son copain Jérôme serait là. Alors le soir arriver, nous arrivons moi et Marie chez mon chum. Jérôme étais déjà là. Comme nous somme arriver un peu en retard les gars nous on vite dit d'aller se mettre en pyjama parce qu'ils avaient louer 1 film pour la soirée.
Après s'être mit en pyjama, on s'assoit sur le divan pour écouter notre film. Le film étais Pari cruel, et dans le film, il parle beaucoup de cul et même qu'il y a une scène de cul vers la fin. Après le film on se met a jouer à action, vérité. C'est un jeu ou chaque personne a tour de rôle pose une question ou demande a une personne de son choix de poser un geste oser. On commence donc a jouer: Jérôme me demande donc si j'ai déjà fais l'amour. Je lui répond que non. A mon tour, je lui demande s'il l'a déjà fait.
Et ainsi de suite, jusqu'à ce que sa devienne plus sérieux. On se posait de plus en plus des questions osé. Aussi, Jérôme m'a demander de sucer Brian, ce que j'ai fais puisque j'avais pas le choix. Plus ça aller plus la soirée devenais une soirée 18 ans et +.
Après les deux gars on commencer a nous déshabiller .Brian m'a enlever ma chemise de nuit et a commencer a lécher mes petits seins assez mignons(32c en soutien-gorge).J'étais toute exitée mes mamelons pointais vers le haut et je frissonnait. Après il s'est déshabiller a son tour et il a enlever ma culotte, je mouillais comme une folle, il s'est vite précipité sur mon clitoris. Je croyais que j'allais exploser, s'étais la première fois que j'avais un orgasme.
Pendant ce temps Jérôme fessait subir le même traitement a Marie. Juste que l'a tout aller bien, on étais consentante. Par la suite Brian m'a poussé sur Marie et il m'a dit de lui lécher la chatte, je ne voulais pas du tout mais j'eus même pas le temps de contester que ma tête étais déjà poser sur sa chatte, elle mouillais beaucoup.
J'ai commencer par faire des petits ronds autour de son petit clito et après Brian m'a dit de présenter ma chatte a Marie et de continuer a la licher. Nous avons donc fais un 69. Avant d'aller plus loin dans mon histoire je tiens a préciser que Marie aussi étais vierge comme moi.
Pendant se temps les gars ce branlais toute en admirant le spectacle. Ils ont jouit les 2 en même temps. Après tous s'est ébats nous sommes aller nous coucher. Vers 3 heure du matin j'avais envie de faire pipi, je me lève et me dirige donc vers la salle de bain et a ma grand surprise je vois Jérôme flambant nue entrain de pisser .
J'étais mal a laisse, il me regarde et me dis de m'approcher, mine de rien il me demande si j'aurais pas une petite faim, je lui répond que oui j'avait une petite fringale, il finit de pisser et me présente sa grosse bitte de 18 cm. La plus grosse que j'avais jamais vu, il me dit, met toi a genoux et suce. J'exécute sa demande, Vous pouvez pas vous imaginer a quel point il gouttais bon, surtout son sperme, j'ai tellement aimer que quand il est venu dans ma bouche j'ai toute avaler.
Après qu'il est jouit il me fit m'asseoir sur le bord du lavabo et écarter les cuisses. Il se pencha et commença me me licher la chatte, il entra un doigt puis 2 et 3 dans ma petite chatte toute serrer puisqu'elle n'avais encore jamais ou presque jamais été explorer. Je jouit bien sur .
Ensuite il me fit mettre a quatre patte et écarter les jambes, c'est comme ça que je reçu mon
premier pénis en érection dans la chatte, je jouit encore une fois et l'a il se mit sur le dos c'était donc a moi de monter sur lui et de faire les vas et vient.
Juste j'étais sur le bord de rejouir mon chum nous surprend. Furieux, il me prit de force par le bras et ordonna a Jérôme de le suivre. Il me traîna jusqu' au salon. Il fit coucher Jérôme sur le divan et moi par dessus avec sa bitte bien au font du con et il me monta dessus et essaya de déflorer mon petit trou noir encore jamais été explorer.
En ce servant de la mouille de ma chatte et nu aucune misère a me défoncer l'anus (comme il le dit si bien). Pour en faire une histoire courte, Il m'ont prise en sandwich. J'ai eu la peur de ma vie et j'avais terriblement mal mais j'ai quand même eu un orgasme. Mon chum me disait qu'il fessait pour me montrer que j'étais une salope de mette fait sauter par Jérôme. Il voulait me punir.
Ensuite, Brian est aller chercher le vibrateur a sa mère et Jérôme est aller dans le frigo chercher un concombre. S'en même les lubrifier, j'avais le concombre dans la chatte et la vibro dans le cul, j'avais super mal et je pleurais mais comme d'habitude j'ai finalement apprécier et j'ai jouit.
Ceci termine mon histoire, Si vous vous demander se qui est arriver a Marie, Elle a passer la nuit dans son lit entrain de ronflé. La pauvre si elle savait se qu'elle a ratée, elle m'en voudrais pour l'éternité. Pas besoin de vous dire que ça fais deux jour de cela et j'ai encore mal au cul quand je m'assoie. J'espère que mon histoire vous a plus, à la prochaine.

Virginité.
Auteur : Photographe.
Elle s'étend sur le lit, nue. Elle est jeune, blanche, jolie et menue. Elle appréhende ce qui va se passer dans les prochaines minutes. L'atmosphère est fébrile, la nervosité se lit sur son visage.
Isabelle sera bientôt femme. Elle offre sa virginité à cet homme qu'elle a rencontré plus tôt. L'homme devant elle l'admire et la convoite. Il sait qu'il devra prendre grand soins de la jeune femme étendue devant lui. Elle représente à ses yeux la pureté et cette pureté s'offre à lui.
Il enlève sa chemise lentement, défait son pantalon et le laisse glisser sur ses jambes musclées. Il lui sourit. L'homme se dénude complétement et les yeux de la jeune femme deviennent ronds comme des billes. Elle le voit nu lui aussi. Elle voudrait reculer, mettre un frein à cette aventure mais en est incapable. Elle a peur de souffrir.
Cet homme est décidément beau et représente tous ses fantasmes de jeune fille. Dans ses rêves d'adolescente, elle a mainte fois rêvée d'être prise par un Noir mais face aux événements, elle hésite.
Sa poitrine foncée est musclée, son ventre et ses cuisses de même. Son pénis a une taille immense. Tellement qu'elle ne peut imaginer le recevoir en elle. L'homme s'assied sur le lit à ses cotés et place sa main noire sur le ventre blanc d'lsabelle. Elle tremble. Il sait qu'il devrait s'arrêter, que c'est ce qu'elle désire, mais il a envie de baiser cette jeune vierge blanche.
Il remonte sa main vers ses petits seins fermes seins et prends le bout entre ses doigts. Elle force un sourire qu'il embrasse de ses lèvres charnues.
Il prends la main de la jeune femme et la place sur son membre flasque.
Elle tiens à sa main la verge noire et la caresse doucement. Elle ne peut même pas en faire le tour avec sa main. Il l'embrasse maintenant sur le cou puis les épaules. Le pénis de l'homme commence à grossir sous ses doigts, elle le regarde et n'en croit pas ses yeux. Elle avait bien vu quelques hommes nu auparavent, des blancs, mais rien d'aussi gros.
Il poursuit ses baisers sur le corps de celle qui deviendra un jour ma femme. Le Noir suce la pointe de ses seins puis couvre son ventre de baisers. Il écarte doucement les genoux de l'adolescente et regarde sa vulve offerte. Elle tremble doucement. Il pose ses lèvres sur le sexe vierge et pénètre son vagin avec sa langue. Elle tremble de crainte mais aussi d'excitation. Isabelle regarde cette tête noire entre ses jambes qui dévore son intimité. Elle prends peu à peu plaisir à ces caresses expertes et son bassin commence à onduler lentement.
C'est la première fois qu'un homme embrasse sa vulve et lui suce le clitoris, elle sent son vagin de mouiller, s'ouvrir. Il persiste et la fouille de plus en plus intimement, elle respire de plus en plus rapidement. Il la pénètre d'un doigt et caresse son vagin humide, prend son clitoris entre ses lèvres. Elle explose d'un voluptueux orgasme en serrant la tête du Noir entre ses cuisses.
Isabelle relâche son étreinte et il approche son pénis de son visage. Elle ouvre la bouche et prend le gland de l'homme entre ses lèvres. Il lui demande de le lècher, de le mouiller pour le lubrifier. Elle s'exécute, toujours impressionnée par la taille de ce pénis de fonte. Il laisse s'échapper quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire sur la langue de la jeune femme qui goutte du sperme pour la première fois. Il retire son pénis pour ne pas lui éjaculer dans la bouche et l'embrasse, mélangant leurs liquides d'amour. Il poursuit son baiser sur ses seins, ses hanches. Il la sait maintenant prête à le recevoir.
Il remonte entre ses jambes en l'embrassant sur tout le corps et place son membre immense à l'entrée du vagin de la vierge. Elle serre les poings et ferme les yeux, il entreprend de s'insérer dans son ventre. Elle a mal. Il la défonce littéralement. Il l'embrasse sur les épaules et arrête sa progression. Elle essuie une larme et l'embrasse fougueusement, lui commandant de la pénétrer d'un seul coup. Il s'exécute et, dans un cri étouffé, elle l'accepte entièrement en elle. Il s'immobilise encore une fois.
Il se sent terriblement serré dans ce tout petit sexe. Elle a le ventre remplis de cette queue et a l'impression que sa vulve va se déchirer. Ils s'embrassent, il masse ses seins et lui demande de se détendre. Il veut bouger en elle, il veut être le premier àrépandre son sperme dans le corps de cette jeune fille.
Elle bouge un peu, elle cherche une position confortable. Elle essaie de savourer les sensations que lui procurent le fait d'accueillir un homme en elle. Il commence à bouger lui aussi, lentement. Elle sent un léger filet de sang qui coule entre ses fesses. Il bouge en elle, le pénis immense lui pistonne le ventre. La douleur se mèle au plaisir, aussi à la fierté. Elle en croyait pas pouvoir accepter en elle une verge d'une telle grosseur, elle fait au moins 9 pouces et est large comme ses avants bras. Le Noir l'embrasse avidement, lui mange la bouche, bouge plus rapidement. Il va jouir, il va la remplir de sperme chaud, il sera le premier à le faire.
L'homme se cabre sur elle. Isabelle penche la tête et aperçoit la colonne de chair noire qui se perd en elle. L'homme s'immobilise d'un coup et laisse un soupir s'échapper, il vide sa semence dans le corps de l'adolescente. Elle ferme les yeux, elle est Femme maintenant. Femme blanche amateur de chair noire. Elle ne jouit pas mais sa satisfaction est palpable. Elle a perdu sa virginité en réalisant un fantasme, elle s'est créée un souvenir pour la vie, un souvenir immense, un souvenir d'ébène.
Elle sens l'immense queue ramolir en elle et il se retire se son ventre. Du sperme coule de sa vulve et se mélange à son sang virginial sur les draps blancs. Le Noir approche sa verge de sa bouche et lui demande de la nettoyer. Dans un geste de soumission, elle prends son pénis dans une main et en lèche le gland. Il bande encore une fois, il vient d'utiliser une jeune et jolie blanche comme esclave sexuelle. Isabelle s'affaire à le nettoyer, elle masse le membre de l'homme pour en faire s'écouler les dernières gouttes de sperme chaud. Décidément, elle aime le goût et la texture du liquide séminal.
Il la prends dans ses bras, elle l'embrasse doucement et s'endort, maintenant femme...

Le mois des Cocus soumis... en vidéo

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Pour finir ce mois, rendons aux blacks 
ce qui leur appartient..!

Le mois des Cocus soumis... en vidéo

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Et pour finir ce ciné-club du cocu soumis.
Une petite compile des souvenirs de maris trompés.


La production de votre serviteur.

Histoire du net. Auteur inconnu. Conditionnement.... Texte extrème.

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Apprendre avec joie ou forcé .
Obéir au plus fort.
Cinq jours en prison
Chapitre 1
Une fois obtenue mon diplôme pour entrer à l'université, je déménageai dans une autre ville,. Malheureusement les événements ne prirent pas à la tournure que j'avais prévu. Toutes mes économies disparurent dans le paiement des droits d'inscription aussi il ne me restait plus assez pour emménager dans autre chose qu'un taudis.
J'espérais trouver un travail avant que les cours commencent à la fin de l'été, mais, alors que j'étais sorti chercher du travail, on fractura ma porte et on déroba toutes mes affaires, y compris l'argent mis de côté pour payer le loyer.
J'étais littéralement sans ressources, ne possédant plus que les vêtements que je portais sur moi. Avec rien d'autre qu'une paire de baskets, un short et un tee-shirt, je ne ferai pas la meilleure impression auprès de mes employeurs potentiels. Je fus bientôt expulsé de mon appartement car je ne pouvais pas payer le loyer. Mes parents étaient loin en Europe pour trois semaines aussi je n'avait pas d'autres choix que de dormir dans la rue.
Au bout de quelques jours passés dans la rue, la situation ne s'était pas améliorée et comme je ne pouvais pas prendre de douche ou laver mes vêtements, il ne me semblait que je pourrais trouver rapidement un travail.
Mais voici ce qui arriva exactement. Je venais juste d'être expulsé d'un petit café où j'avais cherché du travail pour avoir un peu de nourriture, quand un homme s'approcha de moi. Il avait surpris la scène dans le café et il m'offrait 500 € pour faire une course pour lui. Je savais que cela était probablement illégal mais au point où j'en étais, je ne pouvais pas faire le difficile. Il me prêta aussi une voiture. Je devais prendre un paquet à un endroit et le livrer à un autre.
Les problèmes arrivèrent quand un policier m'arrêta pour avoir grillé un feu rouge. Il tourna autour de la voiture qui s'avéra être volée et après une rapide recherche il trouva le paquet qui contenait, comme c'était prévisible, de la drogue.
Je plaidais coupable, aussi je fus jugé immédiatement et la sentence tomba tout aussi rapidement. J'ai été condamné à deux années de probation et soit à une amende de 5000 € ou a passer cinq jours en prison. Mes parents étaient rentrés de leur voyage mais quand ils entendirent ce qui était arrivé, ils se désolidarisèrent de moi et refusèrent de payer l'amende. Il ne me restait plus qu'à faire mon temps de prison.
La cellule où j'avais été incarcéré avant le procès contenait deux lits pour environ 20 personnes, aussi quand je fus conduit dans une cellule avec seulement une autre personne cela me sembla une sorte de paradis.
En fait, il y avait maintenant près de trois semaines que je n'avais pas dormi dans un lit et pris une douche, aussi ces cinq jours me semblaient peu de choses et je savais que je serais très vite sorti. La suite, hélas, prouva que je me trompais.
Je me laissai tomber sur le lit vide avec l'espoir de pouvoir dormir tout au long de ses cinq prochains jours. Mais je n'ai pas eu cette chance. Mon compagnon de cellule s'approcha et voulut me parler. Je ne voulais pas mal commencer avec lui, aussi je me redressai de mon lit et je répondis à ces questions. Il me donna aussi quelques informations sur lui.
Son nom était John et il était là pour homicide involontaire. Il s'était bagarré quand il avait mon âge et avait littéralement battu à mort l'autre gars. Physiquement il semblait sûrement en être capable. Il devait mesurer 1mètre 80 et devait peser au moins 100 kilos de muscles.
Au bout de 10 ans il avait été transféré ici, dans une prison de basse sécurité pour terminer sa peine. Et maintenant il serait sorti deux jours avant moi. Je n'eus pas la prudence de me taire et je me mis à lui raconter tout ce qui m'était arrivé depuis que j'étais arrivé en ville. Il répondit que je ne devais pas être inquiet car il allait bien prendre soin de moi.
- Merci, répondis-je, mais je pense que je serai capable de m'occuper de moi tout seul."
Il s'approcha tout près de mon visage et me chuchota.
- J'ai dit que je prendrai bien soin de toi."
Et chacun de ces mots furent ponctuées par un coup de poing dans mes cotes. Je compris alors que j'étais en mauvaise posture. Il se tenait debout à quelques centimètres de moi, et même si je voulais lui échapper, nous étions enfermés dans la même cellule, et je n'avais nul endroit pour m'échapper.
- Tu vas faire que je te dit et tu le feras aussi vite que tu peux ou alors il t'en coûtera si cher que tu préféreras être mort."
Il se tenait toujours debout près de moi mais ne fit ni un mouvement ni un geste. - Déshabille-toi et reste en sous-vêtements."
Chapitre 2
Tout ce que je pus répondre fut, "je..., mais.…"
Et là Vlan ! Sans prévenir, il me donna une gifle magistrale.
- Dépêche-toi, plus vite."
Je restais assis hébété, à moitié assommé avec du sang qui perlait sur mes lèvres. Vlan ! Il me gifla avec violence l'autre joue.
- Laisse-moi t'aider salope.
Il me redressa en empoignant une touffe de mes cheveux et m'envoya frapper contre le mur. Il me prit par l'arrière de mon col et me poussa d'avant en arrière. En un instant tous mes boutons de chemise tombèrent sur le sol et ma chemise s'arracha aisément de mon corps. Il me retourna et plia ma jambe droite, la faisant reposer sur son genou, comme le ferait un maréchal ferrant avec un cheval. Ma chaussure vola à travers la pièce et il arracha ma chaussette tout aussi rapidement.
Il répéta la même procédure avec mon pied gauche, en m'écrasant contre le mur avec son postérieur. Quand cela fut fait, il se retourna encore et ne fit retourner pour que je sois face à lui.
Mes chaussettes roulées en boule s'enfoncèrent dans ma bouche puis il enleva ma ceinture d'une main experte et défit mon pantalon. Finalement, en me faisant pencher en avant, il me projeta sur son épaule avec ma tête en bas se balançant juste au niveau de ses fesses, abaissa mon pantalon et me l'enleva. Il me laissa tomber sur le lit, alors que je me portais plus rien d'autre que mon slip en coton blanc et les chaussettes roulées en boule dans ma bouche.
- Baisse la tête.
Il faut croire que j'avais compris la leçon car je me laissais tomber comme un chiffon et j'enfonçais mon visage dans le coussin. Le sang qui coulait de mes lèvres commençait à tâcher l'oreiller mais j'avais peur de bouger sans sa permission.
- Il y a un certain nombre de règles que tu vas devoir apprendre pour rendre ton séjour ici moins désagréable. Le fait de ne pas respecter ces règles signifiera que tu devras être puni. Tu viens juste de violer la règle numéro un : tout ce que je dis a force de loi. Je pense qu'une bonne fessée aidera à t'en souvenir."
Il s'assit et se plaça de telle manière que j'étais maintenant allongé sur ses genoux avec mes fesses en l'air et placées au niveau de ses genoux. En utilisant ma ceinture, il commença à donner des coups sur le slip en coton qui couvrait mes fesses. Les chaussettes roulées en boule dans ma bouche m'empêchèrent de crier mais la douleur était horrible.
Au bout de 25 coups, il dit :
- Tant que tu n'auras pas appris toutes les règles il y a un minimum d'autres choses que tu dois retenir. Premièrement, tu m'appartiens. Tu ne dois rien faire sans ma permission. Ton uniforme tant que tu es dans cette cellule est ce que tu es en train de porter maintenant (j'apprendrai plus tard que le règlement de la prison nous obligeait à être au moins partiellement habillé tant que nous étions dans nos cellules). Quand je t'autoriserai à sortir de la cellule tu portera ton pantalon et des chaussures mais pas de chemise. Il y a un certain nombre d'autres règles mais je te les enseigneraient et plus tard.
Je compris alors que ce n'était pas la première fois qu'il se comportait ainsi avec son compagnon de cellule. J'appris plus tard qu'il avait tout un harem de lopes quand il était dans le quartier de haute sécurité.
Il avait perdu le décompte des coups sur mes fesses mais il y en avait donnée au moins déjà 100 quand il s'arrêta. Un garde arriva pour éteindre les lumières. Il me vit allongé et se contenta de dire :
- Ainsi tu es le nouveau, Hein ? Tu sembles en être une bonne. John n'oublie pas notre marché.
- Pas de problème," répondit John et le garde s'en alla. "Encore une autre chose me rappela-t-il, une fois les lumières éteintes tu dois être complètement nu." (Apparemment, nous pouvions être nus autant que nous le voulions une fois que les lumières fussent éteintes).
Quelques minutes après il faisait noir dans la cellule et j'étais complètement nu, debout, au centre. John habillé seulement de son boxeur, marchait lentement autour de moi, prenant littéralement ma mesure. Je n'étais pas bien sûr aussi musclé que lui, mais j'avais une belle silhouette. Mais ce n'était pas ma silhouette qu'il était en train de palper en ce moment. C'était mon sexe et mes testicules. Il faisait rouler les boules entre ses mains, pour tâter leur poids. Puis il branla mon sexe un petit moment pour essayer de la faire bander. Mais il ne répondait pas.
- Mais toi en érection," ordonna-t-il.
- Je ne peux pas..."
Vlan ! Un coup de ceinture contre mes fesses.
Je commençais à masturber mon sexe pour le rendre aussi dur que je pouvais. Apparemment ce n'était pas assez puisque la ceinture continuait a me battre les fesses. J'essayais de les protéger en poussant mon bas ventre en avant. J'essayais en même temps de m'exciter. Je pinçais mes tétons, puis de frotter le point sensible, je pressurais même mes testicules en imaginant la bouche de ma petite amie en train de me sucer.
Mon sexe commençait à répondre lentement mais la douleur et l'humiliation étaient trop fortes et je n'arrivais pas à obtenir mieux qu'une nouille molle à moitié en érection. Je commençais à sentir les fesses me brûler a cause des coups donnés. Je fis encore un dernier effort. J'enfonçai deux doigts dans mon cul et je massais ma prostate.
Cette dernière action amena le résultat voulu et mon sexe était maintenant érigé, pointant en l'air ses 16 centimètres de longueur. Ce n'était pas le mieux que je n'avais jamais obtenu chez moi mais cela sembla le satisfaire et la flagellation de mes fesses s'arrêta.
- Je suis heureux de constater que tu aimes avoir quelque chose au fond de ton cul. Cela va s'avérer sûrement très utile.
Et comme je rougissais, virant au rouge vif, je réalisais que maintenant il savait où se trouvaient mes points sensibles.

Chapitre 3
Avant de me pousser sur mes genoux, John me chuchota à l'oreille :
- Débrouille-toi pour vider rapidement ce gros porc comme ça nous vous allons pouvoir revenir rapidement à ton dressage. Et afin de bien te motiver, pour chaque seconde qui se passera avant qu'il crache son sperme, tu recevras une claque supplémentaire sur les fesses. Vas-y maintenant. Un. Deux. Trois…"
Autant je le détestais en ce moment, mais je devais le servir, car il savait comment me motiver. Rien que le souvenir de mes fesses boursouflées me faisait m'activer et baver sur cette bite avec enthousiasme.
- Cette salope a l'air affamée, on en dirait," marmonna le garde.
Heureusement, cela ne prit pas longtemps avant que ma bouche soit remplie avec son sperme. Il m'avait empoigné par les cheveux et il branlait sa queue dans ma bouche, m'utilisant comme la tête d'une poupée gonflable, et souvent ne faisant cogner la nuque contre les barres jusqu'à ce qu'il se soit vidé jusqu'à la dernière goutte en moi.
Quand il eut terminé et il le repoussa avec tant de violence que je perdis mon équilibre et que je terminais couché sur le dos. Il remonta sa braguette et sorti de la cellule sans un mot.
John lui, avait plein de choses à me dire. Ma queue avait commencé à se ramollir et il n'aimait pas ça du tout.
- Qu'est-ce que c'est, putain ! Es-tu en train de me mettre en colère ? On dirait que tu aimes les coups de cette ceinture ! J'espère que tu vas changer en comportement un petit peu !"
Et en disant cela il commença à me donner des coups de pied dans les cotes et le ventre. Alors en une seconde, j'étais un nouveau en train de m'activer sur ma viande avec un doigt bien enfoncé dans mon cul. Heureusement, mon sexe ne s'était pas trop ramolli, et il était à nouveau érigé au bout de quelques instants.
- Tu as intérêt à le maintenir bien érigé quand tu es à côté de moi, ou alors tu vas avoir à vivre une expérience très douloureuse. (Comment, encore plus douloureuse, était-ce possible ?)"
En riant il s'avança vers le lit et s'assis dessus. En tapotant son lit avec un sourire il dit :
- Cette pipe a pris 20 minutes et 23 secondes. Qu'est-ce que cela signifie ?"
- Je pense que je vous dois 323 claques sur les fesses, Monsieur."
Se dirigeant vers lui que je me couchais moi-même sur ses genoux.
- Je vois que tu commences à comprendre. Peut-être arriveras-tu à survivre après tout. Je veux que tu comptes chaque coup, je veux que tu me remercies après chaque coup et je veux que tu me supplies de t'en donner un autre. Tu penses que tu arriveras à te rappeler de tout cela, lopette ?"
Je fis oui de la tête.
- Pas si mal pour un début. Quand je te pose une question tu dois toujours répondre et répondre avec beaucoup de respect. Le décompte commence à partir de 423. As-tu bien compris ?"
- Oui, Monsieur. J'ai compris."
Satisfait de ma réponse il commença à faire pleuvoir les coups sur mon derrière déjà brûlant. Après chaque coup je devais répondre en donnant un nombre et dire "merci beaucoup Monsieur, puis-je en avoir un autre s'il vous plaît." J'essayais de ne pas penser à la douleur et de me concentrer sur mon sexe. Je savais que cela serait encore bien pire si je ne pouvais pas le maintenir en érection.
Finalement il arriva le moment où je puis dire :
- 423, merci, Monsieur. Puis-je en avoir un autre."
"Peut-être plus tard," dit-il tandis que il me laissait me lever.
Je restai debout dans une sorte de garde à vous. Mon sexe était toujours érigé et pointé vers lui mais cela ne semblait pas suffisamment lui plaire. Finalement il dit :
- Tu viens juste d'avoir l'honneur de recevoir une correction de la main de ton maître et tu n'as même pas la décence de me remercier correctement ?"
- Merci à vous Monsieur."
- Insuffisant, et trop tard."
Il se leva et marcha à l'autre bout de la pièce et il prit un large livre sur une étagère. C'était un dictionnaire. En me le tendant, il dit, "regarde le mot 'gratitude'." Je tournais rapidement les pages, aussi que de le pouvais, dans la pâle lumière de la cellule, et je finis par trouver le mot.
- Lis la définition.
- Expression d'appréciation des avantages reçus ; remerciement."
- Juste pour être sûr que tu souviendras, place tes couilles sur la définition et referme le livre en le claquant."
Son ordre me pétrifia mais je savais que je n'avais pas le choix. Je plaçai délicatement mes testicules entre les pages du livre lourdement relié et alors, en serrant les dents, je claquai le livre. Pas assez fort apparemment car il marcha vers moi il prit le livre de mes mains et le comprima à tel point que je crus que mes couilles allait éclater.
- Je ne crois pas que tu as bien compris. Encore une fois."
Je répétais la procédure, cette fois en claquant aussi fort que je pouvais. La douleur incroyable et je crus que j'allais vomir. Je pris à nouveau sur moi pour surmonter la douleur et pour me concentrer sur mon membre et tenter de le maintenir érigé, sachant que s'il se ramollissait, la punition serait encore plus sévère.
- Maintenant le mot 'respect'. Lis la définition."
- Désir de montrer et de la considération ou de l'appréciation ; estime, admiration."
- Tu sais ce que tu dois faire.
Je m'exécutai à nouveau comme il me l'ordonnait. Aveuglé de douleur, je claquais ensuite mes testicules entre les pages de 'discipline', 'maître', 'esclave', 'punition', et 'dressage'. Finalement pris le livre de mes mains et le replaça sur l'étagère.
- J'espère que tu as compris la leçon."
Je l'avais comprise. En tombant à genoux, moitié par discipline, moitié par épuisement, je rampais jusqu'à ses pieds.
- Merci maître de m'avoir corrigé. C'est un très grand honneur pour moi que vous veillez pris le temps de me dresser pour que je sois un meilleur esclave pour vous.
Il sembla satisfait.
- Assez de discipline pour cette nuit. Cependant je pense que tu as besoin d'encore un peu de conditionnement corporel. Mets toi sur le lit, face contre le matelas, avec ton cul en l'air."
Il du voir la frayeur sur mon visage tandis que je rampais pour suivre les ordres, car il dit :
- Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te baiser, pas encore. Mais tu as besoin d'avoir ta chatte bien préparée pour quand j'en aurai besoin.
Il agenouilla derrière moi, pris mes fesses en main, les écarta pour mettre mon anus à jour. En utilisant ses deux pouces, il ouvrit mon trou autant qu'il le put. Je m'étais déjà doigté l'anus de multiple fois auparavant et j'avais même utilisé une ou deux fois un godemiché a avec ma copine de lycée aussi cette invasion ne fut pas très douloureuse, du moins encore. Cela changea quand il commença à travailler mon anus avec trois de ses gros doigts. Je commençais à gémir aussi il prit mon slip sale et l'enfonça dans la bouche en utilisant les chaussettes pour en faire un bâillon. Il me travailla ainsi l'anus de longues minutes, me faisant- gémir de plus en plus.
- Tu as un trou bien fait et bien chaud. Je vais dormir maintenant. Tu vas devoir conserver mon pouce dans ton anus toute la nuit. As-tu bien compris ?
Je tentais de marmonner un "oui Monsieur" mais le bâillon m'en empêcha. Et John se mit à rire.

Chapitre 4
La nuit fut troublée. Chaque fois qu'il voulait bouger dans son sommeil je devais faire bouger mon derrière vers lui pour conserver son pouce dans mon trou et l'empêcher de sortir. Finalement je pus trouver une position en dormant sur le ventre qui me permettait de jouer avec les muscles mon anus pour serrer son pouce en moi et qui n'était pas trop inconfortable.
Cette nuit d'insomnie me donnait beaucoup de temps pour réfléchir à ma situation. Demain nous serions lundi. Et mercredi après-midi il serait libéré. Et vendredi après-midi je serais libre moi aussi. Il était clair que la meilleure chose à faire pour moi qui était de me conduire du mieux que je pouvais pour tenter de lui plaire. Je ne pensais pas qu'il risquerait sa libération en me tuant ou en tentant toute autre action sérieuse contre moi. Tout ce cauchemar serait bientôt terminé.
Comme nous étions couchés tête-bêche, mon nez était à hauteur de ses pieds. Le bâillon m'empêchait de respirer par la bouche aussi je devais respirer par le nez ce qui m'obligeait à respirer l'odeur de ses pieds tout au long de la nuit. Ceci, combinée avec le goût aigre de mon slip et de mes chaussettes qui emplissaient ma bouche fit que les courts intervalles de sommeil que je pus obtenir furent peuplés de rêves de géants avec des pieds immenses que je devais lécher entre les orteils.
Je fus réveillé brutalement par John qui retira d'un coup sec son pouce de mon trou. J'aurais poussé un cri si je n'en n'avais pas été empêché par mon bâillon puant. Il donna une grande claque mes fesses avant de sortir du lit. Ceci réveilla toute la douleur de la nuit d'avant.
- Prêt pour un nouveau jour ensoleillé? " Demanda-t-il. "Bouge ton cul est mais toi à quatre pattes.
Je me levai avec précaution, du lit. La douleur irradiait tout mon corps. Mon derrière était en feu comme s'il avait été attaqué par un essaim d'abeilles et mes couilles palpitaient. Tandis que le souvenir des tortures de la nuit d'avant me revenait en mémoire, je me rappelais alors combien je m'étais concentré pour conserver mon sexe en direction tout le temps. Je lui jetai un coup d'oeil furtif et je réalisais alors que j'étais déjà en érection. Pendant une seconde cela ne rendit fier et que cela plairait à mon maître mais j'écartai rapidement cette pensée de ma tête.
Une fois que je me mis en position il s'approcha et enfonça brusquement le goulot d'une bouteille d'eau en plastique dans mon cul. Une rapide et forte pression et mes intestins furent inondés d'une eau chaude et savonneuse. Mon trou élargi eu quelques difficultés à contenir en lui l'eau chaude mais je fis de mon mieux.
- Tous les matins je veux que tu te nettoie toi-même avec ceci. Et à partir de maintenant tu devras être debout avant moi pour le faire. Je ne veux pas voir cela.
Je pris la bouteille de ses mains et je tentais de refaire son geste pour me nettoyer. Cela faisait vraiment du bien après tout ce que j'avais enduré la nuit d'avant. En fait j'en vins rapidement à apprécier ce rituel. Je recommençais encore et encore jusqu'à ce que l'eau évacuée soit claire.
Voyant que j'avais terminé, John ne tendit une serviette et me demanda de la mettre. J'enroulais rapidement la serviette autour de ma taille tandis que John s'approchait habillé d'un pantalon et une chemise déboutonnée. Il emportait avec lui ses chaussettes sales, et un change complet de linge propre pour lui et moi. Apparemment la prison fournissait à chaque prisonnier deux ensembles complets de vêtements : un ensemble pouvait être porté pendant que l'autre était à la laverie. Il me donna le tout. Ensuite il enleva le slip de ma bouche; j'avais oublié qu'il y était toujours.
- C'est l'heure de la douche. J'espère que tu es près pour nous faire un petit show."
Je ne savais pas qu'il voulait dire mais cela n'était pas de bonne augure.
La porte de la cellule fut ouverte et nous sortîmes en nous insérant dans la file des autres prisonniers qui se rendaient aux douches. Mon érection tendait le tissu de la serviette et me faisait immédiatement repérer parmi les autres prisonniers. En fait j'étais le seul qui ne portait pas de pantalon. Plusieurs d'entre eux ont vus les marques rouges sur mon dos, qui seraient totalement visible lorsque nous serions sous la douche et qui montrerait aux yeux de tous que j'avais été marqué en tant que lope.
John me poussait dans le dos tandis que nous suivions la file des hommes le long d'une grande zone pavée avec deux grands paniers au milieu de la pièce et des bancs posés tout au long des murs. À l'autre extrémité de la pièce se trouvait l'entrée des douches. Tout le monde s'étala rapidement sur les bancs pour commencer à se déshabiller et à se mettre en file en direction des douches. Je regardai autour de moi pour voir vers quel banc John voulais aller, mais au lieu de cela il me guida vers le centre de la pièce.
Il me demanda de poser les vêtements propres sur le sol et les vêtements sales dans le panier. Quand je revins vers lui il me demanda de laisser tomber la serviette puis de le déshabiller. Je savais qu'il valait mieux ne pas hésiter. Après un rapide coup d'oeil autour de moi, j'ôtais la chemise de ses larges épaules.
- Maintenant sens-la.
Je m'exécutais. Elle dégageait une forte odeur de transpiration, comme l'odeur qui régnait dans un vestiaire. Je la plaçais dans le panier et retournait vers lui.
- Enlève mes chaussures et mes chaussettes.
J'exécutai à nouveau son ordre, puis je les sentais comme il me l'ordonnait. L'odeur des pieds m'était familière comme j'avais passé toute la nuit à la connaître. En cet instant je trouvai excitant d'avoir une sensation familière et je m'attardai à le sentir pendant quelques secondes supplémentaires. Les chaussettes prirent aussi place dans le panier et les chaussures furent placées sous un banc. La même procédure se répéta avec son pantalon.
John maintenant se tenait au milieu de la pièce en ne portant que son boxeur. C'était la première fois que je pouvais le voir de la tête aux pieds avec un peu de recul car j'étais resté dans le noir la nuit dernière. Ce qui attira particulièrement mon attention toutefois fut ce qui dépassait de la jambe de son short. Il n'y avait aucun doute qu'il était beaucoup plus viril que moi et il était parfaitement clair qu'il était probablement plus épais que mon bras.
Apparemment je n'étais pas le seul qui lui montrait de l'intérêt et qui imaginait ce qui allait être révélé, toute la pièce nous observait maintenant. Ils attendaient tous ses prochains ordres. Ils vinrent finalement.
- Enlève mon sous-vêtement.
Je ne me mis et en face de lui et je posai mes mains de chaque côté de la ceinture de son short. Je fermai les yeux et je le descendis lentement.
Il leva les pieds pour que je puisse le retirer complètement et sans avoir reçu d'ordre je porte le sous-vêtement à mon visage et prit une profonde respiration. Lorsque l'abondante odeur musquée et de sa virilité emplit mes poumons, je levai les yeux et je le vis. Il faisait aisément 20 cm et n'était pas encore complètement en érection. De plus, il faisait au moins une 5 cm de diamètre et semblait tel un serpent mortel.
Tandis que je me levai pour ajouter le sous-vêtement au linge sale, je jetais un rapide coup d'oeil à mon dos dans le miroir. Depuis mon cou jusqu'à mes genoux j'étais marqué de rouges balafres en croix et de bleus noirs.
Mais ce qui attira vraiment mon attention fut mon derrière. Il était totalement rouge violacé est encore ouvert par le traitement que j'avais subi l'autre nuit. Je regardai à nouveau vers son membre et pendant un moment je fus reconnaissant de ce qu'il avait fait pour m'élargir avant que cette énorme chose entre en moi.
Tout le monde dans la pièce s'était retourné pour voir ce qui allait arriver ils savaient tous maintenant que j'étais une autre lope et que j'étais sa propriété. John, toutefois n'était pas encore prêt pour me faire subir une initiation publique complète.

Chapitre 5
- Avant de prendre une douche le matin, j'aime prendre un bain ; un bain de langue et tu vas me le donner tout de suite. Mais il doit bien nettoyer chaque parcelle de mon corps. Maintenant !
Il dit cela à voix très forte que tout le monde puisse l'entendre et observe ce qui allait arriver.
La nouvelle se répandit aussi parmi les douches et ceux qui étaient déjà dessous arrivèrent pour nous observer aussi. Tout le monde voulait voir si j'allais vraiment tomber si bas. Ils étaient tous familiers avec la structure de pouvoir de la prison, mais un établissement de sécurité minimale comme celui-ci n'offrait pas souvent un spectacle avec un tel niveau de dégradation.
La plupart des prisonniers seraient libérés dans moins de 30 jours. Certains d'entre eux étaient des violeurs en réunion mais aucun d'entre eux pouvait prendre le contrôle de quelqu'un aussi rapidement et aussi profondément. Diable je n'étais ici que depuis une journée.
Je pris une profonde respiration. Je savais ce que j'avais à faire. Je me rapprochais de lui, le regardais droit dans les yeux, puis je baissai la tête pour lécher son sein droit. Je pouvais goûter le goût salé de sa transpiration, puis je commençais à lécher le sein gauche.
J'entendais les autres prisonniers chuchoter entre eux en nous observant. Je savais que John pouvait maintenant déclarer une victoire totale et je savais que c'était seulement le début des tourments qu'il avait planifiés pour moi. Je sentais encore les coups de ceinture qu'il m'avait donnés dans mon dos.
Je savais aussi que dans deux jours il serait parti et que dans seulement quatre jours tout cet horrible cauchemar serait derrière moi. Deux jours, quatre jours, deux, quatre. Je continue mes lècheries et le comptage dans la tête tandis que je lapais ses pectoraux. J'arrivais bientôt à ses abdominaux et à son sexe maintenant dressé : 2,4. Puis je remontai le long de son côté droit tandis qu'il levait son bras pour que je puisse atteindre facilement son aisselle : 2,4 ; je passais ma langue et mon nez dans les longs poils gluant de transpiration de son aisselle puis je descendais le long de l'intérieur de son bras : 2, 4.
Tandis que je suçais les doigts de sa main droite, il commença à me parler d'une voix forte comme si personne ne pouvait l'entendre.
- Tu sais, je savais que tu allais arriver la nuit dernière aussi je n'ai pas pris de douche hier. Bien, maintenant change de côté et ensuite tu passeras à mon dos. Hier j'ai passé toute la journée dans la salle de gymnastique à transpirer. Je voulais être absolument certain que je sentirais bon quand tu arriveras. Es-tu heureuse que j'ai fait ça pour toi ?"
- Oui, Monsieur. Merci pour avoir pensé à moi de cette façon. Merci de me permettre de savourer toutes vos odeurs de male,"
Et tandis que je m'activai en descendant le long de son dos, il levais son bras gauche et je savais ce que je devais faire. Je répétais le traitement sur son côté gauche, sur son sein, ses aisselles poilues dont l'odeur était suffocante puis son bras et finalement ses doigts, en prenant bien soin de les sucer tous.
Quand John en eu assez, il me fit un geste en direction de ses pieds et je tombai en avant sur le sol en face de lui pour lui lécher les pieds et lui sucer les orteils. Il leva les pieds l'un après l'autre, ainsi je pus laver l'infecte puanteur de la plante de ses pieds. Puis je léchai les chevilles et je remontais jusqu'aux genoux. Je fus étonné, tandis que je continuais à m'activer sur son corps, que j'avais obtenu, sans m'en rendre compte, une érection dure comme l'acier. Finalement, chaque centimètre carré de sa peau était passé en revue avec ma langue.
Je me trouvais maintenant à un genou face à face avec son cul. Je sortis bien ma langue et je léchai chaque fesse bien ferme avec précaution. Ensuite je suis courir ma langue au creux de sa raie culière du sommet jusqu'en bas. Je me préparais moi-même à planter ma langue dans son trou mais il m'arrêta.
- Cet endroit est interdit, " dit-il doucement." Rappelle-toi de cela."
Et alors il se retourna et il me donna un coup de poing sur le front.
Comme je ne voulais pas perdre de temps, je commençais rapidement à le lécher sous ses testicules. Ensuite, je pris chaque couille dans ma bouche et je les suçais une à la fois. (Elles étaient beaucoup trop grosses pour pouvoir être mises ensemble dans ma bouche.) Finalement il ne me restait plus que le principal.
Son énorme membre était maintenant en pleine érection et se dressait bien dur. Il faisait au moins 30 centimètres de long et près de 7 centimètres de diamètre à la base. Je commençais à le lécher à la base et je remontais lentement le long de la tige, quand il dit
- Ca suffit. Maintenant n'as-tu rien à me dire ?
Je commençais à connaître non boulot maintenant.
- Merci beaucoup, Monsieur, de m'avoir donné le privilège de goûter votre corps. Le fait de sentir vos parfums de male m'a fait réaliser combien je vous suis inférieur, Monsieur."
Maintenant ils y avaient une file d'attente pour pouvoir entrer dans les douches, mais John l'ignora. Il me tendit un morceau de savon et passa devant la file des autres hommes nus qui étaient tous bouche bée et nous regardaient fixement avec leur sexe en pleine érection. John se mit rapidement sous le jet d'une douche qu'il se trouvait au centre de la pièce. Il semblait que le spectacle avait changé de pièce.
- Mousse," dit-il.
Je lui tendais le morceau de savon et fut récompensé par une claque sur la joue. Je savais ce qu'il désirait. Je passais le savon sur son corps du mieux que je pouvais puis je l'observais tandis il s'avança à nouveau sous le jet pour se rincer.
- Maintenant," dit-il quand il sortit du jet, "il est temps de marquer mon territoire. Mes-toi à quatre pattes sur tes mains et tes genoux."
Je m'exécutais.
- Je veux d'abord que tu me supplie de le faire. Dis le assez fort pour que tout le monde entendre."
Deux jours, quatre jours, pensais-je en moi-même. Alors je dis :
- Monsieur, s'il vous plaît, baisez-moi dans mon cul. Je savais que ce n'était pas assez pour lui aussi je continuais, "je veux sentir votre colossale virilité au plus profond de moi. Je veux être déchiré en deux par le symbole de votre pouvoir.
- Si tu insistes.
Ce fut tout ce qu'il dit avant de se placer derrière moi, pointant sa cible, et s'enfonçant en moi d'un seul coup. Il s'enfonça jusqu'aux couilles du premier coup et je crus qu'il allait me tuer. Je criais si fort que la garde arriva en courant. Quand il vit que c'était John il se contenta de sourire et reparti.
Il commença d'abord par un rythme lent, se retirant lui-même presque entièrement puis enfonçant brutalement toute la longueur dans mon cul. À chaque fois mon conduit anal était malmené et je commençais à devenir fou de douleur. Je regardai autour de moi. Tous les détenus étaient maintenant dans la pièce. Environ 30 hommes mouillés, nus, et tous ayant leur sexe en érection.
Il y avait apparemment d'autres lopettes dans la pièce en car je vis des mains claquées sur un jeune cul et un jeune garçon avec sa bouche violée par une énorme bite. Tous les regards se tournaient vers nous. À travers les vapeurs de la douche tout cela semblait si irréel que je croyais être victime d'une hallucination due à la douleur.
Le rythme dans mon cul devenait maintenant plus rapide jusqu'à ce que soudainement le piston fût retiré brutalement de mon trou. John fut rapidement en face de moi et je dus ouvrir la bouche pour le prendre au fond de ma gorge. Je pouvais sentir le goût du sang et du liquide séminal qu'il laissait suintaient en abondance et j'étais heureux qu'il m'ait ordonné de me nettoyer moi-même avant. Il était extrêmement épais, bien plus que le garde la nuit précédente, et j'étais continuellement en train de m'étrangler tandis qu'il violentait mon œsophage.
Heureusement, il ne fut pas très long avant de se retirer complètement et d'éjaculer sur mon visage. Le premier jet souilla mes cheveux, et le reste se colla sur mes épaules, mon dos et mon cul. Il devait avoir conservé une sacrée quantité de jus dans ses testicules de gorilles parce que j'avais l'impression d'être un beignet recouvert de gelée.
Je n'attendis pas son ordre. Bien que je soit à court de respiration je pris sur moi pour haleter un :
- Merci beaucoup, monsieur, pour avoir rempli mon cul et ma bouche avec votre magnifique membre. Et merci encore pour m'avoir donné votre crème virile. Je suis indigne de la recevoir."
Il m'interrompit en prenant ma tête et en empalant à nouveau ma bouche sur sa queue, ainsi je pus pomper le reste de son sperme tandis qu'il commençait à se ramollir. Finalement, comme une dernière humiliation il sortit de ma bouche et gicla innocemment un jet jaune et rance qui couvrit tout mon corps, y compris mon visage et les mes cheveux.


A suivre..

Histoire du net. Auteur inconnu. Conditionnement... Fin Texte extrème

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Tout accepter parce qu’on a pas  le choix...
Cinq jours en prison
Fin
Chapitre 6
John s'agenouilla derrière moi et il chuchote quelque chose à mon oreille. Je marmonnais en moi-même "2,4" tandis que je me relevai sur mes genoux et, comme il me l'avait ordonné, j'ai annoncé à la foule :
- J'ai remarqué que je peux avoir causé à certains d'entre vous une certaine gêne pendant que je servais mon Maître. Je sais qu'il sera difficile pour vous de faire rentrer une certaine partie de votre corps dans vos vêtements sans avoir un peu de satisfaction. Quoique je ne puisse pas vous offrir l'usage de ce cul ou de cette bouche parce qu'elles sont la propriété exclusive de mon Maître, comme tous mon corps, mon Maître m'a donné la permission de pouvoir recevoir votre sperme sur moi. Ce ne sera pour moi un grand honneur car je suis un tel ver de terre, une telle lécheuse de merde que n'importe quelle dégradation que vous pourriez m'offrir ne sera rien comparée à ce que je mérite vraiment.
Ce discours déclencha une grande quantité de rires mais cela pris un certain temps avant d'obtenir une autre réaction. Finalement, un gros homme, vieux, probablement de 65 ou 70 ans, avec un petit sexe et une coupe de cheveux à l'ancienne s'avançant vers moi :
- Je veux voir ton regard de lope tandis que je vais cracher mon foutre sur la putain de face, espèce de sale tapette.
Je le regardais tandis qu'il se masturbait sur ma figure, et j'observais un sourire pervers qui s'étalait sur son visage. Je pris le premier jet en plein sur mes narines. Il dirigea le reste de mes cheveux et je sentis que cela dégoulinait sur mon front.
Après qu'il se soit éloigné je réalisais que d'autres s'étaient approchés tandis qu'il était en train de se masturber. J'étais maintenant complètement entouré et je ne pouvais pas voir où était John. Une main derrière moi me poussa à quatre ans et je commençais à sentir le sperme couler à flots.
Des mains ne couraient sur tout le corps mais ce n'était plus qu'une bouillie de chair et de sperme. Je vis deux des autres lopettes, l'une suçant une bite s'approcher avec son maître et l'autre commencer à lécher du sperme qui s'était répandu sur mon cul.
Une fois que tout le sperme m'eut aspergé, la foule se dispersa. Je pus voir alors John revenir vers moi. Il était resté debout dans un des coins à observer mon humiliation. Il m'ordonna de me nettoyer aussi je me précipitai rapidement sous nous une douche et tenter de rincer tout le sperme et la pisse. Quand il m'ordonna de revenir j'avais encore plein de sperme qui avait coulé dans les cheveux mais il ne voulait pas attendre.
John sortit une bombe de mousse à raser et un rasoir jetable.
- Je ne veux plus voir un seul poil sur toi de ton cou jusqu'à la pointe de tes pieds.
J'avais une quantité honorable de poils sur ma poitrine, sur mes jambes et sur les bras, et un buisson bien fourni autour de mon sexe et de mes couilles. Tandis que John m'observait et que les autres finissaient de prendre leur douche, je me mis au travail pour enlever tous les poils qui couvraient mon corps.
Tandis que je m'activais, je remerciais servilement John d'avoir laissé les deux autres hommes éjaculait sur moi et je lui demandai de me pardonner ma vulgarité d'avoir laissé autant de poils sur sa propriété.
- Bien," dit-il. "Je vois un endroit de ton corps qui semble bien gracieux et plein de reconnaissance.
En regardant plus bas je vis que mon sexe était dur comme la pierre. Non pas une érection comme celle que j'avais pu obtenir de force la nuit dernière, en me concentrant pour y parvenir, lorsqu'il me l'ordonnait, mais une érection terrible avec un sexe dur comme l'acier. J'étais maintenant heureux que mon maître ait finalement remarqué quelque chose de plaisant pour lui à mon propos et je souris.
J'avais terminé de me raser et après une rapide inspection et un rinçage sous la douche, nous passèrent dans l'autre pièce pour nous changer. Il me tendit la serviette que j'avais portée en arrivant et m'ordonna de me frotter soigneusement. Le temps qui nous a été accordé pour prendre une douche était maintenant terminé et les autres détenus nous ignoraient et tentaient de terminer leur toilette sans perdre de temps. Quand je fus bien sec, John qui avait l'air de s'ennuyer, m'ordonna de mettre la serviette humide pendant qu'il terminait de s'habiller avec ses vêtements propres. Je ne comprenais pas pourquoi John avait apporté mon change propre de vêtements si je devais attendre notre retour en cellule pour me changer.
Il m'apparut aussi que comme je n'avais pas mis mes vêtements sales dans le panier, ils ne pourraient être lavés. La réponse à cette question me fut donnée quand je vis John mettre mes vêtements propres dans le panier. Il prévoyait que je reste dans mes vêtements sales et puant ma transpiration (en fait, je devrais porter le même ensemble de vêtements durant tout mon séjour en cellule et ils seraient complètement sales et souillés à la fin de la semaine).
Tandis que j'attendais que j'en aie terminé je me regardais dans le miroir. C'était un bien étrange reflet. Je pouvais voir des marques de doigts sur mes joues là où je vais été giflé et ma lèvre inférieure était gonflée. Mes cheveux courts noirs étaient mouchetés de gouttes de sperme.
Et il y avait encore bien sûr, les brûlantes marques rouges de flagellation dans mon dos. Mais la pire marque de ma défaite était mon érection qui tendait le bas de la serviette de manière obscène. Je me dis que c'était à ce que je m'étais concentré pour rester érigé mais la vérité était que je n'avais absolument pas pensé à cela depuis que nous avions quitté la cellule.
Ma ceinture était autour de mon cou et était si serrée que je pouvais à peine respirer. Je fus conduit vers la fenêtre par cette sorte de laisse qui fut nouée au plus hauts barreaux de la fenêtre. Je devais me tenir sur la pointe des pieds pour éviter de me prendre moi-même. John regarda un mont bas-ventre et il vit que mon érection commençait à ramollir.
- Comment peux-tu me défier !" Cria-t-il. "Cette chose m'appartient. J'ai dit qu'elle devrait rester dressée pour moi et bon sang elle le sera ! J'espère que tu as retenu la leçon.
John me retourna, et ainsi je fis face au mur toujours en vue aux barreaux de la fenêtre. Il prit un gros livre et commença à me battre avec sur mes fesses, en l'utilisant comme une raquette. Après chaque je criais. "Merci, Monsieur, mais j'en ai encore besoin d'un autre ! " Et se jusqu'à ce que je fus capable de dire "merci, Monsieur. Votre propriété a appris à obéir à vos désirs au lieu des siens." Cela prit 37 coups qui se répercutent dans tout mon derrière et irradiait les points sensibles que John avait appris à connaître la nuit précédente.
Quand il eut terminé, il me fit faire un demi-tour sur moi-même et s'intéressa à ma poitrine. Il commença à sucer et à mordiller chaque mamelon. Il ne s'arrêtait pas de passer l'un à l'autre et la combinaison de douleur et du plaisir était une véritable torture.
- Parle moi comme tu dois le faire, ma lopette. Laisse-moi entendre quelle sorte de vide couilles tu es
Alors je me mis à dire tout ce qu'il voulait. J'ai fait la pire forme de suceuse de bites, une lope avec une chatte et j'avais besoin de ressentir le sexe de mon maître en moi. Et tout cela pendant qu'il ravageait mes tétons sensibles.
- Allonge-toi sur la couchette, sur le dos.
Je me dépêchais d'exécuter ses ordres tandis que je continuais à l'exciter verbalement, à faire son éloge et à me déclarer à la merci de son pouvoir.
- J'aime entendre raconter tout ça, continue," dit-il, "je crois que les autres prisonniers risquent d'entendre et de se plaindre.
Je n'étais pas certain que ce qu'il disait fût la vérité. C'était après l'extinction des lumières, mais il ne s'était jamais montré et qui est du fait que d'autres prisonniers pouvait entendre mes supplications. Ignorant ma confusion, il enleva à nouveau mes sous-vêtements sales et les mit dans la bouche et, en les maintenant en place au moyen d'un bâillon fabriqué avec mes chaussettes puantes.
Ensuite il rampas sur moi et enfourcha ma taille.
- Je vais partir demain, ainsi ce sera notre dernière nuit ensemble. Tu es une bonne esclave et tu apprends vite. Comme récompense pour les services, je vais te faire un cadeau grâce auquel tu sauras, et tout le monde ensuite, saura que tu n'est en fait que ma propriété.

Chapitre 7
Après avoir dit cela il chercha sous le lit et en sorti une petite boîte. Il la posa sur mon ventre et commença à fouiller à l'intérieur. Cela mis un certain temps avant qu'il trouve ce qu'il cherchait, et quand il le présenta à mon regard, je commençais à paniquer : c'était une aiguille.
- Je suis désolé de ne pas avoir des anneaux fantaisies pour toi, mais ne t'en fais pas. J'ai quand même trouvé des colifichets qui feront l'affaire.
J'étais hypnotisé tandis qu'il sortait de la boîte tout un tas de pièces en métal et le posait sur ma poitrine.
- Maintenant par où commençons-nous ?"
Saisissant un de mes tétons, qui était toujours érigé à cause de son suçon, il dit :
- Cela fait un peu cliché mais après tout…
Et immédiatement je fus transpercé par l'aiguille. Je comprenais maintenant pourquoi il m'avait bâillonné. Je criai de toute la force de mes poumons mais le bâillon étouffa mon cri que personne ne put entendre.
Il choisit un petit anneau dans la pile des pièces en métal et le poussa dans mon téton sanguinolent. La même procédure fut répétée avec un autre anneau sur mon autre téton. Cela continua avec un anneau placé sous mes testicules et un autre anneau plus fin et traversant mon sacrum. Le sang coulait et des gouttes de sang tachaient ma poitrine et mon aine.
- Je ne voudrais pas que cela tâche les draps," dit-il en tandis qu'il se pencha sur moi et commença à lécher le sang sur mon corps.
Après avoir nettoyé la poitrine il descendit vers mon sexe et les testicules. Après que tout le sang fut léché de la surface, il prit mon sexe entier est mes testicules dans sa bouche et commença à sucer le sang directement à la source comme un vampire. Quand finalement les saignements stoppèrent, il revint à ma poitrine et lécha le sang qui avait entre-temps coulé de mes tétons et qui finalement avait cessé de saigner.
John s'assit à nouveau et me fit un large sourire. L'intérieur de sa bouche était rouge cramoisi de mon sang.
- Ce n'est pas si mal mais c'est trop difficile pour moi de t'utiliser avec tes nouveaux accessoires. Mais ne t'en fait pas, je vais les fixer.
Et fouillant un nouveau dans la boîte vide il en sorti une petite chaîne en or. Il prit la chaîne et, après quelques manipulations il réussit à l'attacher aux anneaux de mes tétons. Il tira sur la fermeture en donnant un coup sec sur la chaîne. La fermeture tient bon, mais je crus que mes tétons n'y résisteraient pas. La chaîne était un peu plus longue que nécessaire et il arracha le surplus. C'était juste assez long pour connecter l'anneau de mon sacrum avec celui placé derrière mes testicules.
- Et maintenant, la touche finale.
Il enleva tous les objets qui étaient étalés sur mon estomac et retourna sur son lit. Il m'ordonna de me retourner sur le ventre et je m'exécutais. Je supposais qu'il allait maintenant à nouveau m'enfoncer sa bite dans le cul pour ensuite s'endormir une fois ses couilles bien vidées. La brûlure qui irradiait de mes nouveaux piercings était amplifiée par le fait que j'étais maintenant allongé sur le ventre et écrasé par le poids de John quand il grimpa sur moi.
En enjambant mes cuisses, John posa la boîte sur le bas de mon dos. Je supposais qu'il ne voyait pas bien dans la semi obscurité car je vis la lueur d'un briquet. Je devais rapidement m'apercevoir que cela n'avait rien à voir avec l'obscurité quand je sentis l'odeur de métal chaud. Je fus aveuglé par la douleur et l'air se remplit de l'odeur épaisse de ma chair brûlée.
- Voilà," dit-il, "c'est parfait. Je crois que je vais te laisser me remercier pour tout ce beau travail.
Il enleva mon bâillon. Il aurait tout aussi bien pu le laisser en place parce que je ne pouvais plus parler. Il n'aima pas cela et il commença à me donner une fessée avec sa main, en se concentrant sur le morceau de chair brûlée.
Je finis par bégayer :
- Merci beau coup, Monsieur, pour m'avoir marqué comme votre propriété. Je porterai désormais ses symboles de votre pouvoir avec fierté. Devenir votre propriété et tout ce que je pouvais espérer de mieux.
- Il se fait tard. Demain c'est un grand jour pour moi. Je ferais mieux de dormir.
Puis il rangea tout son matériel dans la boîte qu'il remit sous son lit :
- Veux-tu maintenant dormir à nouveau avec mes doigts dans ton cul ou préfères-tu que je te baise et ainsi que tu puisses dormir avec ma bite bien au chaud dans ton cul ?
- Tout ce que vous désire vais me faire me rendre heureux Monsieur," la meilleure réponse à laquelle je pouvais penser.
Vlan ! Il frappa à nouveau ma chair brûlée.
- Ce n'est pas la réponse à ma question.
Je ne savais que répondre. Si je faisais la mauvaise réponse je savais que je pourrais être puni et puis je pensais qu'après tout il n'avait pas le piège dans sa question et qu'il voulait réellement me laisser choisir. Quoi que sa bite soit plus grosse que je ne l'avais jamais vu, c'était sans doute le mieux pour mon anus que de subir sa main.
- Je désire que vous me baisiez avant de vous coucher, Monsieur.
Vlan !
- Si tu désires un cadeau de ma part tu as intérêt à le demander mieux que ça.
- S'il vous plaît, monsieur fait-moi l'honneur de baiser dans mon cul. Ma chatte de fille a le désir ardent de se sentir remplie par votre épieu depuis le premier regard que j'ai posé sur lui. Quand vous nous avez rempli mais les intestins avec votre semence ce matin ce fut le plus grand cadeau que j'ai reçu de toute ma vie et qui m'a fait sentir quelle était ma vraie place. Ce que je désire et d'être baisé à nouveau par vous.
Vlan !
- Pourquoi est-ce que je te donnerai ce que tu désires. Ce que je veux est à voir une main bien au chaud."
Je savais alors que quoi que j'aurais demandé cela aurais été la mauvaise réponse. Dans un instant je serai à nouveau rempli par la main de John.
- Maintenant je crois que j'ai droit à un remerciement.
- Pardonnez-moi, monsieur, d'avoir tenté de mettre mes désirs avant les autres. Je sais que votre plaisir doit toujours être le seul. Merci beaucoup de n'avoir corrigé.
J'ai essayé de trouver une position pour tenter de dormir le reste de la nuit mais je ressentais trop de douleur et mon esprit repassait sans cesse les images de cette journée dans ma tête. Non seulement j'étais terrifié par la douleur vive et la mutilation qui n'avait été infligée mais j'étais humilié et honteux d'avoir trouvé de l'excitation dans cela.
Je n'arrivais pas à réaliser les choses que j'avais faites et les paroles que j'avais dites. Au moins je tentais de me réconforter avec la pensée que j'avais été forcé de faire tout cela. Mais mes supplications étaient venues vraiment trop facilement à mes lèvres et mon discours de gratitude avait eu un ton un peu trop convaincant.
Toutes ces pensées et la fulgurante douleur dans les parties les plus intimes me gardèrent éveillé toute la nuit dans la crainte de ce qu'il pouvait avoir planifié et pour la grande finale.

Chapitre 8 et Fin
Le matin suivant vint rapidement comme le matin précédent. Cette fois, toutefois, je devais prendre une décision. John m'avait demandé d'avoir ma chatte bien rincée avant qu'il soit réveillé mais pour faire cela je devais retirer sa main de mon cul, ce qui, je savais l'énerverait aussi. Je savais que je me trouvais à nouveau devant une situation perdant -- perdant, aussi je tentais une sorte de tirage au sort dans ma tête et décidais de prendre le parti de subir un lavement.
Quand je me levais je pus voir une marque rouge sur le lit, là où mes piercings avaient recommencés à saigner encore. A nouveau l'eau chaude fit du bien à mon anus violé mais je ne pus m'asseoir sur les toilettes pour me soulager à cause de la marque au fer rouge. Je dus me contenter de m'accroupir juste au-dessus de la cuvette, ce qui marqua de quelques petites gouttes de merde sur le siège. Je ne voulais pas imaginer comment John me suggèrerait de nettoyer ces giclures sur le siège. Aussi je pris l'initiative et j'essuyais toute la cuvette avec mes mains nues. Alors que je tirais la chasse et John se réveilla et sortit hors du lit.
Ainsi que le craignait il était énervé parce ce que j'avais sorti sa main de mon cul, aussi il était en train d'inventer une nouvelle et originale punition pour moi. Il utilisa mes lacets et ma chemise pour faire une sorte de pochette. Il mit un livre dans cette pochette. Tandis que je tenais la pochette il attacha les lacets aux morceaux de chaînes de mes tétons.
- Laisse tomber."
Je m'exécutais. La douleur fut indescriptible.
- Maintenant, dis, 'je suis un minable esclave suceur de bites et je mérite d'être puni,' et relaisse le tomber."
Je dis ce qu'il me demandait et je laissais tomber la pochette.
- Non ce n'est pas assez fort," dit-il.
Il répéta cet ordre jusqu'à ce que je sois en train de crier assez fort pour être entendu de tout le bâtiment. Il me tourmenta encore et encore jusqu'à ce qu'il soit prêt pour aller aux douches et que tous les détenus du bloc nous écoutent.
Comme lors de la dernière fois lorsque nous nous sommes rendus aux douches, il s'approcha pour enlever mon pantalon et me donner ses vêtements sales à porter. Cette fois je devais aussi porter tous nos vêtements, le sale et le change propre qui était revenu hier de la laverie.
La seule chose que je n'avais pas encore récupérée était mon sous vêtement. Aussi, ne portant rien d'autre que la blanche serviette et mes nouveaux bijoux, je me mis à la file en route vers les douches, derrière John.
Une fois que j'avais enlevé ma serviette, tous les symboles de mon appartenance étaient visibles. John m'avait ordonné de placer tous mes vêtements propres et mes vêtements sales dans le panier à large, tandis que je dus disposer ses vêtements propres sur un banc. Tous les regards étaient fixés sur nous, tous attendaient une répétition de l'exhibition d'hier. Elle eut bien lieu.
J'enlevais ses vêtements, m'arrêtant à chaque fois pour sentir chacun d'eux avant de le mettre dans le panier à linge sale. Ensuite je léchais son corps entier de la tête aux pieds. Une fois dans la pièce des douches, je savonnai à nouveau son corps, et je fus récompensé par un enculage bien profond (pendant lequel, bien entendu, je le suppliait avant de me mettre en position devant lui, et le remerciais ensuite pour avoir déposé sa semence en moi). Une fois de plus les prisonniers eurent l'opportunité d'éjaculer sur moi. Cette fois il n'y eu aucune hésitation. Une fois qu'ils se furent tous vidés à leur tour, je me rinçais rapidement et rejoignais mon maître dans l'autre salle où l'on se rhabillait.
Nous avions accomplis ce rituel plus rapidement cette fois et nous avions ainsi un petit peu de temps devant nous avant de devoir retourner en cellule. John n'aimait pas rester debout à attendre sans rien faire, aussi il s'assit sur un des bancs et m'ordonna de m'allonger sur ses genoux.
Tandis que je le suppliai pour chaque coup, John claquait mes fesses encore et encore. Le banc faisait face à un large miroir et me donnait ainsi la possibilité de voir pour la première fois ce qui était marqué au fer rouge dans ma chair. C'était ses initiales "JP", les deux lettres étant entrelacées. Le tout était parfaitement formé et je me demandais combien de temps cela lui avait pris pour bricoler un fer a marquer aussi parfait. Je me demandais aussi combien d'autres devaient porter la même marque.
Une fois de retour en cellule je remis mon sous vêtement mais c'était le seul vêtement dont je disposais aussi je ne pouvais pas quitter la cellule. Je dus donc rester debout au milieu de la cellule tandis que John est tout tous les autres prisonniers se rendait au réfectoire pour aller déjeuner. Bien entendu mon érection était parfaitement visible à travers le mince tissu de coton de mon slip, pour le plus grand amusement de tout ceux qui passaient devant la porte ouverte de la cellule.
John m'avait ordonné de répéter encore et encore le discours suivant tandis que je restai immobile au milieu de la cellule, et de le dire d'une voix suffisamment forte afin de que tout le monde puisse entendre :
- John est mon Maître. Je suis son esclave. Il est un Homme. Je ne suis rien. À partir de maintenant j'appartiens à mon Maître. Il possède mon corps, mon esprit, et mon âme. Il peut m'utiliser de n'importe quelle manière en fonction de ses désirs. S'il prend du plaisir, son plaisir devient le mien, même si ce plaisir est causé par la douleur qu'il m'inflige. John est mon Maître. Je lui appartient.
Je dus répéter ce discours plus de 100 fois à la centaine de détenus et de gardes tandis que j'attendais le retour de John. Quand il revint, je compris pourquoi ils avaient mis autant de temps. Il avait fait un détour par la salle de gymnastique et il était complètement trempé de transpiration que je me mis immédiatement et servilement à lécher sur tout son corps.
Je le remerciai de l'opportunité qui me donnait ainsi en m'agenouillant devant lui et en embrassant ses pieds. Il m'ordonna de recueillir toutes ces affaires et d'en faire un paquet pour qu'il soit prêt à partir. J'obéis à cet ordre avec zèle.
Quand tout fut prêt pour son départ il m'ordonna de me mettre sur le lit pour une dernière baise. Il fit un trou dans mon slip pour lui donner accès à ma chatte. J'étais sur le dos avec mes pieds levés en l'air tandis qu'il utilisait les chaînes attachées à mes tétons et à mon sexe pour s'en servir comme des sortes de poignées pour piloter mes mouvements car je devais me baiser sur son sexe.
Pendant que j'étais ramoné bien à fond, je devais murmurer des choses comme :
- Baisez moi bien à fond Monsieur. Remplissez moi avec votre virilité. Enfilez moi bien à fond. Faites la moi bien sentir. Laissez moi avec un souvenir de vous au fond de moi."
Mon cul était encore empli de son sperme depuis la douche, aussi il décida de se retirer et de cracher son foutre sur ma poitrine t sur mon visage. Il y en eu une grande quantité, ce qui me laissa complètement souillé (bien sur mes cheveux étaient toujours salis avec le sperme des autres prisonniers. J'étais en train de devenir un réceptacle à jus d'homme.)
Quand il eut terminé et rajuster son pantalon, un garde arriva pour l'escorter et il sortit sans dire un mot. Je restai là, sans bouger. Il était difficile de croire que tout cela était terminé. Je réalisais bientôt pourquoi je ne pouvais croire à la fin de mon cauchemar : il n'était pas terminé.
Pendant toute la journée est la suivante, un flot constant de prisonniers entra et sorti de ma cellule. La plupart d'entre eux et les excités à l'idée de me baiser à cause de tout le sperme dont mon corps était souillé (je crois qu'ils pensaient que s'ils touchaient le sperme d'un autre homme, ils se rabaissaient à mon niveau) mais cela ne les empêchaient pas de se faire sucer la queue par ma bouche.
Je ne sais pas combien d'éjaculation j'avalais pendant ces deux jours mais je pense que j'avais également été souillé par plus de décharge de la part de ceux qui avaient choisis de se retirer au dernier moment et d'ajouter leur sperme dans à celui de tous les autres, sur mon visage, mes cheveux, ma poitrine.
J'ai même eu la lopette qui dans les douches, avait léché le sperme qui me recouvrait sur les ordres de son Maître. Tandis que je faisais une pipe à son Maître, la lopette a léché ma poitrine et mon ventre. Après que son maître se soit retiré et ait éjaculé partout sur nous deux, la lopette s'est mise à se masturber et a ajouté son propre sperme à mes souillures.
Je n'ai pas quitté ma cellule pendant tout ce temps. Ma seule pause eu lieu pendant la nuit après la fermeture des cellules et j'étais reconnaissant d'être enfin enfermé. Je devais passer toute la journée sur mes genoux, attendant avec impatience l'extinction des lumières hors de la cellule, pour pouvoir enfin me nettoyer et penser clairement à ce qui m'arrivait, mais je me trouvais toujours trop fatigué et je tombais rapidement endormi dans une piscine de sperme sur le plancher.
J'étais alors réveillé à l'aube par un garde excité ou deux avant que le flot des prisonniers ait commencé encore. Tous les gardes ont su ce qui arrivait mais ils n'ont rien fait pour l'arrêter. Un d'eux a dit que cela était bon pour le moral de prisonnier.Quand finalement le vendredi est arrivé, j'avais encore une queue dans ma bouche quand le garde est venu pour moi. Il fut assez poli pour laisser le type finir avant de me faire sortir.
Je n'avais toujours pas récupéré mes vêtements mais il a dit qu'il ne les avait pas apportés parce que je changerais de nouveau de vêtements dans la rue assez bientôt. Couvert de la tête aux pieds de sperme, j'ai été conduit dehors en ne portant rien d'autre que mon slip puant et réduit en lambeaux. La marque de James était clairement visible de même que les perforations et les chaînes. J'ai été soumis à une sérénade de sifflet et d'injures obscènes tendit que je voyais cette prison pour la dernière fois.
Après avoir rempli beaucoup de paperasse ont me rendit les mêmes baskets déchirés et le tee-shirt que je portais en arrivant. Mon corps encroûté de sperme séché ne faisait pas beaucoup pour améliorer l'odeur des vêtements fétides.
Mes contusions étaient maintenant presque guéries et je pouvais sentir que la douleur dans mon anus commençait à se calmer. Je ressentais désormais à peine la douleur de mes perforations, excepté quand j'attrapais et tirais accidentellement la chaîne. Je commençais à me sentir mieux avec moi-même.
Pendant que je passais les portes, et je me suis demandé ce que je ferais maintenant. Je pouvais aller à l'école parce mes frais d'inscription étaient déjà payés mais je n'avais aucun endroit pour vivre à vivre et le billet d'autobus et l'argent que la prison m'avait donné n'allaient pas me mener bien loin. Juste comme cette pensée commençait à me déprimer j'ai vu une chose étrange. Une limousine était garée en avant et le chauffeur me faisait signe.
Pendant que je faisais un pas pour me rapprocher il a ouvert la porte pour moi et a dit qu'il avait reçu l'ordre de venir me prendre. Je ne pouvais pas imaginer qui aurait envoyé un limousine pour moi mais je suis entré. Peut-être que mes parents m'avaient pardonné et c'était là leur manière de me le dire. Je ne pouvais pas imaginer ce qu'ils penseraient de moi quand ils verraient mon état mais j'étais simplement heureux qu'ils m'aient pardonné.
Tandis que la voiture roulait j'ai essayé de parler au conducteur mais le verre de séparation était monté et il ne pourrait pas m'entendre ou m'ignorait. J'ai décidé de me laisser aller et d'apprécier le trajet. J'ai regardé autour de moi dans la limousine et ai vu le réfrigérateur. Je l'ai ouvert et ai vu une bouteille de champagne.
J'ai supposé qu'elle était pour moi et que c'était pour célébrer ma libération aussi je l'ai ouverte et j'ai empli une coupe. Quand j'ai approché le verre de mes lèvres j'ai noté qu'il y avait un logo de firme sur le verre. Cette vision m'aurait fait pousser un cri perçant si la peur ne m'avait pas à nouveau figé d'un bloc. Le logo était une copie exacte de celui qui avait été marqué au fer rouge sur ma fesse droite.
Juste comme cela se produisait, j'ai senti la voiture s'arrêter et la porte s'est ouverte. John est entré et c'est assis près de moi. Il portait un costume trois pièces et des chaussures de luxe.
- Comme c'est bon de te retrouver, " dit-il pendant qu'il prenait la coupe de champagne de mes mains. "Je sens comme un air de retrouvailles."
FIN.....

Un Jeudi en vrac... Tofs

Les rediff de l'été. Rêve et réalité.

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 On va commencer cet été de rediff
 avec la Rolls des récits de cocus
Une des fondateurs français de ce type de texte..

Les débuts de la Carpette.
Ça a commencé comme ça
Depuis quelque temps, rien à faire, je désirais être cocu. J’avais beau me dire que c’était stupide, dangereux, qu’il n’était pas sain de se livrer à une expérience pareille, rien à faire.
Je lui faisais l’amour – plus exactement, comme elle sait si bien le faire, elle me caressait, m’arrêtant promptement dans mes caresses, et dès qu’elle me caressait, je ne maîtrisais plus rien, ni le glisser de ses doigts, ni les sensations, j’étais sa chose maintenant, elle faisait de ma queue ce qu’elle voulait, je bougeais, gémissais, et là, à coup sûr, juste avant, avant qu’elle ne prenne mon sexe entre ses doigts, qu’elle vienne sur moi – comment pourrait-il en être autrement – juste avant que je sente les lèvres de sa chatte murmurer à mon gland, je te prends, là, l’image était nette que sa chatte humide, ouverte, sa chatte prête, avalait une autre queue que la mienne, et là, je parlais, je décrivais l’homme, le mâle, à la queue sublime, et douce, l’homme qui la prenait, et elle dansait sur moi, engouffrait mon sexe, je perdais les pédales, elle savait quand, exactement quand me faire gicler, j’étais comme un godemiché vivant pendant que je lui décrivais son amant la faisant jouir, et là, au moment voulu, juste quand elle le désirait, je giclais.
Je me taisais alors. J’étais vidé, honteux, je pensais à sa chatte pleine de son sperme à lui. Mais je ne pouvais y goûter. Approcher mes lèvres. Pas le droit d’y toucher, pas le droit de lécher, juste ma queue objet qu’elle engouffre, et elle qui jouit, moi qui gicle, cocu déjà.
Je n’en pouvais plus de ce rêve, de ce désir, de ce besoin. J’imaginais des amants membrés, musclés, j’imaginais son désir, et son plaisir. Dès qu’elle évoquait un homme croisé par hasard où non, je voulais l’entendre dire qu’il lui plaisait. Vite découvert elle me rétorquait que non, ce n’était pas un amant.
J’avais beau dire, j’avais beau faire, bien avant que ce ne soit le cas, j’étais déjà plus que cocu.
Je n’imaginais pas ce que cela voulait dire. Je n’y arrivais pas, n’en avais pas idée. Jusqu’à ce jour, ou loin d’elle, puisque travaillant à l’époque assez loin, j’eus un soir, je m’en souviens, une conversation avec une collègue, seule elle aussi.
Belle femme, mais qui ne me plaisait pas, du genre de celles que j’évitais, très sûre d’elle, les yeux perçants, la voix dure. Là sur la terrasse ensoleillée de ce café, au détour de la conversation dont je ne me rappelle plus le sujet, elle me fixa de ce regard que j’avais déjà trouvé gênant, et me dit textuellement :
- Tu sais que tu es un soumis. .
Je n’ai rien dit d’abord, j’avais l’impression de manquer d’air, d’avoir soif, d’être
rouge tomate. Je ne savais pas ce que cela signifiait, mais je savais que c’était vrai. Avec les quelques neurones encore capable de fonctionner je dus lui demander d’une voix étranglée :
- C’est quoi un soumis ? ,
la réponse résonne encore :
- Un larbin… ,
- Ca veut dire quoi concrètement lui demandais-je essayant de sourire,
- Ca veut dire que tu fais ce qu’on te dit et point barre .
Mais comment pouvait-elle savoir ça ?
- Comment sais-tu ça demandais-je ?
- Ca se sent dit-elle en riant, tu ne bandes pas là ? ,
Oui exact, je bandais comme un cerf. Je ne dis rien.
- Donc tu bandes me dit-elle.
- Si tu n’étais pas soumis tu aurais ri, où bien même si tu bandais tu m’aurais pris la main pour que je touche, et qu’on passe la nuit ensemble. Là non. Tu attends les ordres.
Touché à vif. Déjà largement déployée ma queue fit un bond supplémentaire.
J’osais un :
- Mais je suis marié , qui fut suivi d’un :
- Et alors ça prouve bien que tu es une lavette. .
Je ne savais plus quoi dire. Ce fut elle qui prit la décision que nous irions manger un morceau et je l’ai suivi docilement. Nous avions repris une conversation à l’air normal au restaurant lorsqu’au dessert elle me prit à brûle-pourpoint :
- Alors ça fait quoi de savoir qu’on est un larbin ?
J’ai gardé le silence –
- Le mieux c’est que tu répondes sans réfléchir, il ne faut pas passer à côté de sa vocation
- Je pense que tu as raison ai-je dit en me sentant défaillir.
Si j’avais dû me lever à cet instant deux choses auraient été probable, que le restaurant tout entier apprécie mon érection, et que je tombe par terre sans forces.
- Tu vois, tu ne te sens pas mieux ?
- Si, ai-je dit, reprenant un peu courage.
- C’est normal d’avoir honte, mais il faut bien des soumis pour des femmes comme moi non ? ,
j’ai approuvé intérieurement. J’avais cependant un petit problème :
- Mais et ma femme dis-je.
Elle rit. Franchement. Puis me dit :
- Alors là, tu vois je pense qu’elle va être contente. .
J’étais étonné. Contente de savoir que je suis soumis ?
- Oui tu ne vas plus l’emmerder avec tes histoires de mâle.
et elle rit de plus belle. Je devais être livide en lui demandant ce que ça voulait dire.
- Là tu vois c’est trop pour ce soir, tu vas réfléchir à tout ça, t’informer, grandir un peu, et tu verras si tu veux vraiment savoir ce qu’il en est. .
La soirée était terminée, en rentrant je suis tombé de sommeil, non sans avoir de longues minutes durant, réfléchi à ce qu’être soumis voulait bien dire.
Nous pouvions passer la journée sans nous voir, ce qui tombait bien puisque je ne désirais pas la voir ce jour-là. J’ai entamé ma journée de travail normalement, avant de me surprendre pendant la pause du déjeuner à tâtonner des recherches sur internet.
Tombant sur certains sites j’étais effrayé, j’avais peur que l’on me voie, peur d’ailleurs que ce qu’elle avait vu elle, soit visible par tout le monde. J’étais sûr que ça se voyait, je voulais cacher ça à tout prix. La journée fut très confuse. Je l’ai croisé une fois dans la journée, j’ai baissé la tête en la saluant, et elle me lança souriante
- Alors ça réfléchit là haut en indiquant le crâne.
Réfléchir n’était pas le mot juste, emballer, oui, ça surgissait de partout. J’aimais les images que je voyais, et les mots. En à peine quelques heures j’avais l’impression d’avoir trouvé ce qui me manquait. J’étais pourtant loin du compte.
Le soir venu, chez moi, à l’abri, je me suis mis à l’aise, c'est-à-dire totalement nu devant l’ordinateur, j’en ai oublié de manger tant je fus pris par ce que je lisais et voyais.
Parlant couramment l’anglais, je fus rapidement pris par les sites américains sur le sujet. Une histoire m’avait particulièrement plue, d’un soumis que sa femme cocufiait à tort et à travers, puis qu’elle soumettait à la chasteté, puis… Cela n’avait pas de fin, je me voyais parfaitement dire oui à tout. Sauf que ma femme, ferait une drôle de tête en apprenant ça.
L’autre hic, était que je ne me voyais pas avouer tout ça à ma collègue.
Le lendemain un email de sa part m’attendait :
- Je viens chez toi ce soir, prépares-moi un repas, en me faisant une proposition avant, je ne mange pas n’importe quoi. Et puis il faudrait que tu sois nu pour me recevoir. .
J’ai refermé ce truc immédiatement. Mon coeur battait vite. Je fus incapable de me concentrer sur quoique ce soit toute la journée. Je n’avais pas répondu à 17h lorsque j’ouvris ma messagerie. Pas de nouveau message. La mort dans l’âme je lui envoyais un message :
- C’est d’accord ,
La réponse fut immédiate :
- Bien sûr que c’est d’accord, tu aurais déjà répondu non sinon, ou pire… .
J’ai ,réfléchi rapidement, et lui ai proposé un menu qu’elle a légèrement modifié, en indiquant le vin qu’elle voulait boire et à quelle température. J’ai filé faire les courses chez le traiteur – cela me semblait préférable mes talents en la matière étant proches de zéro – et également acquis des douceurs chocolatées dont je la savais friande.
Rentré chez moi j’ai fait le ménage. Impensable et pourtant. Puis j’ai réalisé qu’elle n’avait pas indiqué d’heure. Le dîner pouvait supposer aux alentours de vingt heures.
Mais… j’ai filé prendre une douche, me raser, m’habiller…. Suis retourné dans le salon, j’ai pris un journal, fait semblant de lire, mon coeur battait à cent à l’heure.
J’ai jeté le journal, et je me suis dénudé. Il devait être 19 heures. Ceci fait, nu, et en érection, j’ai préparé la table basse autour du grand canapé en cuir blanc. J’ai pris soin au vin et à sa température.
Je ne tenais pas en place. Dans ma tête c’était le vide, je n’imaginais rien, j’étais terrorisé au fur et à mesure que l’heure avançait.
Puis elle a sonné. J’ai manqué d’air. J’étais nu, bandant, et je devais aller ouvrir.
Quelle honte. Mais j’allais le faire, puis tout lui expliquer, lui dire que je m’étais trompé. Deuxième coup de sonnette, j’ai couru à la porte, j’ai ouvert, nu.
- C’est bien dit-elle en entrant,
- Maintenant à genoux c’est mieux, plus respectueux .
Et je me suis mis à genoux. Et elle m’a regardé un long moment. Un très long moment, terrible. J’avais une honte impossible à maîtriser.
- T’as raison d’avoir honte on ne voudrait pas de toi pour son 4 heures, tu t’en rends compte j’espère. ,
j’ai murmuré un faible oui.
- Oui sans Maîtresse c’est comme un cheveu dans la soupe, immangeable…. , o
Oui Maîtresse bien sûr comment n’y avais-je pas pensé. J’étais toujours là à genoux dans l’entrée,
- C’est bien tu ne bouges pas sans que je te le dise… ,
Ca me semblait tellement naturel,
- Et tu peux m’ouvrir le chemin à quatre pattes jusqu’à ma place ? ,
- Oui Maîtresse ai-je dit, fier de moi, et j’ai avancé à quatre pattes,
- Pas si vite, tu me forcerais à tirer sur la laisse s’il y en avait une… Tu aurais pu avoir l’idée quand même non ? ,
- Oui Maîtresse j’aimerais bien ,
- Je savais qu’on était fait pour s’entendre. .
je l’ai guidée jusqu’au canapé, et je suis resté là à genoux, dans l’attente, presque soulagé d’avoir trouvé une façon de me tenir, nu et à genoux devant ma Maîtresse.
- J’attends me dit-elle.
- Quoi ?.. dis-je brusquement.
- Le vin abruti ,
évidemment, pardon Maîtresse, je me suis levé,
- Non c’est mieux à quatre pattes, faut t’y habituer… ,
Bien sûr je suis bête, à quatre pattes, direction le frigo, la bouteille, je peux même rester à quatre pattes pour la sortir de là, et pour choper le tire-bouchon à tâtons dans le tiroir là haut, chance un verre dans le lave-vaisselle que j’ai lancé tout à l’heure, propre maintenant.
Je ne prends qu’un verre ? Oui un seul, tu verras bien ce qu’elle te dit.
Je prends un verre, j’ouvre la bouteille, difficulté, un verre une bouteille, quatre pattes ? tant pis, un verre dans une main, la bouteille dans l’autre, j’avance à genoux, ça rabote sur le parquet, mais j’aime assez me présenter ainsi devant elle. Le verre sur la table, je sers.
- Bien tu as déjà fait des progrès... Viens à mes pieds dit-elle me faisant signe, je m’approche,
accroupis-toi c’est ce qu’il y a de mieux, tu n’es pas encore un chien… rire de sa part.
Je suis à ses pieds accroupi.
- Tu t’es renseigné alors ?
Je m’apprête à répondre –
- Vas me chercher quelque chose à grignoter ,
J’y vais, à quatre pattes. Elle m’attend patiemment.
- Alors racontes . je raconte. Presque tout.
- C’est tout dit-elle amusée.
Je raconte l’histoire de l’homme cocu qui.
- Tu vois… ça te plait non ? -
- Oui, bien sûr et j’explique avec ma femme tout ça.
- évident dit-elle, va falloir passer à l’acte .
Ecran noir. Passer à l’acte ? Avec ma femme ?
- Oui évidemment, tu ne penses pas quand même que tu vas pouvoir t’amuser à jouer au soumis, pendant que ta femme s’emmerde non ?
Je n’avais jamais pensé à ça. Mais en fait dis-je, je ne peux pas lui dire comme ça que je suis un soumis.
- Tu en as accepté l’idée je vois me dit-elle.
Que pouvais-je dire, c’était l’évidence. Nu à ses pieds en train de la servir et de lui expliquer que je voudrais être le cocu de ma femme, j’aurais eu bien du mal à ne pas approuver. J’ai approuvé.
- Donc tu finiras par lui dire… .
Vrai, je ne voulais pas mentir à ma femme, ni la tromper, je voulais être près d’elle, lui obéir, je voulais son plaisir avant tout.
- Comment vas-tu faire ? .
Pour lui dire je suppose, et bien… je vais lui écrire.
- Oui il faut, ça amortit le choc.
- Le choc ?
- Oui si elle ne s’y attend pas ça va l’étonner. , alors, mais non, ce n’est pas parce qu’elle est étonnée qu’elle ne voudra pas de toi en soumis. Elle le sait probablement d’ailleurs, même si elle ne sait pas exactement de quoi il s’agit. .
Comme moi, ça me redonnait du courage.
- Où alors, elle le sait et elle attend.... Quoi ? Que tu te décides… triple buse… .
J’ai repensé aux nuits. A l’attitude de ma femme qui semblait à la fois indifférente à ce que je pouvais dire, et en même temps y prendre plaisir.
- Si tu ne dis rien c’est que tu te poses la question…
- Oui, mais non, ma femme…
- Ta femme est comme toute femme, elle aime sa liberté, et avoir un mari à ses pieds qui la traite comme une Reine, sûre que ça la branche, même s’il y a pour toi des désagréments…. .
- Désagréments dis-je ?
- Sers-moi à manger d’abord, et ressers-moi un verre, tu manques à tes devoirs… .
J’ai tout fait comme elle m’a dit, en essayant d’y mettre le style. Evidemment, nu, je ne bandais plus, je n’étais pas sûr que ce fut précisément appétissant.
- Ce qu’il y a de bien tu vois c’est que tu as pris un verre, et un couvert, tu ne t’es pas préoccupé de toi, c’est un bon début pour un chien, je dirais même que tu as des qualités innées, mais c’est pour ça que je t’ai repéré.
- C'est-à-dire ?
- C'est-à-dire que tu es un vrai soumis, fait pour ça, tu en trembles de joie à cette idée, tu transpires le bonheur d’avoir trouvé ta voie . c’était vrai.
Elle mangea en silence, j’attendais tranquillement.
- Lèches-moi dit-elle son dessert terminé.
- Quoi ?
- Broute mon minou tu comprends mieux ? ,
Elle avait écarté les cuisses. J’ai remonté la jupe, elle avait encore sa culotte, j’ai approché les doigts pour, mais..
- Stop, tu fais avec la langue only…. Tu vois un chien mettre les doigts toi ?
J'’ai donc lapé, et lapé encore, en m’appliquant. Mes partenaires précédentes m’avaient toujours félicité pour cette compétence. Elle fit de même.
- Tu te débrouilles bien dans cette partie dit-elle... Écoute moi, il faut que tu lui dises. Choisis la manière, mais ce doit être clair, sans équivoque, tu te sentiras mieux après. Ce serait dommage pour elle qu’elle ne découvre pas ce que c’est qu’un vrai mari.... J’ai opiné.... C’est bien, tu dois aussi continuer à te renseigner sur la soumission, et y penser souvent. Il ne faut pas que réfléchir, il faut agir, donc, chez toi, avec elle, tu vas être gentil comme avec moi, compris ?
- Oui Maîtresse.
- D’accord t’as du potentiel, tu vas aller loin tu vas voir.
Ca m’a fait frémir cette remarque.
- C’est bien que tu frémisses ça ne va pas être une partie de plaisir. .. Pourquoi ?.. T’as pas de chance tu vois, comme t’es un vrai soumis, plus on t’en demande, et plus t’es content, alors tu sais quand tu as une garce comme moi par exemple tu peux être sûr qu’on cherche à tout avoir. Le maximum. Et toi le maximum c’est tout sans limites.
- Sans limites ? –
- Oui, cocu pour commencer, frustré évidemment, tu vas aimer ça, et puis faire le ménage, obéir, tout ce qu’elle va vouloir, dommage pour toi le chien….
- Je ne pouvais cacher mon excitation –
- Je vois qu’il y a du concret derrière les mots…. On va voir jusqu’où ça va - jusqu’où ça va ?
- mets-toi là bas à quatre pattes, le cul en l’air -j’hésite, qu’auriez-vous fait à ma place – - je dois sévir ? - non Maîtresse, et je m’en vais à l’endroit indiqué.
- Tournes-toi , - Non tu ne dois pas me voir
Je me retourne je ne la vois plus, je sens son mouvement, proche de moi, je sens, oui c’est cela, sa chaussure qui vient toucher mon sexe
- Tu sais que tu as une petite queue quand même
Je suis vexé on m’a toujours dit qu’il était respectable, ce que je lui dis
- Respectable ? Tu veux rire - j’explique – on n’a pas voulu te faire de la peine.
Je garde mon opinion pour moi –
- Monsieur est susceptible ? Mais le chien lui, il adore ça qu’on le traite en chien non ?
Oui Maîtresse,
- Et ce chien a une petite queue ,
- oui Maîtresse,
- Et ce chien est une lopette ? - silence – Me dis pas que tu n’as jamais joué à toucher une queue ? - Si Maîtresse,
- Tu es une lopette alors ?
- Oui Maîtresse.
Sa chaussure vient frapper mon sexe, je me couche presque
- Sensible l’animal...
- Oui Maîtresse.
Une claque sur le derrière
- Et ça tu préfères ?
- Oui Maîtresse,
- T’es vraiment une belle salope tu sais ?
- Oui Maîtresse,
- Tu aimes qu’on te parle comme ça non ?
- Oui Maîtresse,
- Tu vas être un bon chien ,
- Oui Maîtresse,
- On t’a déjà dit que t’étais moche poilu comme ça ?
- Non Maîtresse,
- Voilà c’est fait alors, tu es laid….
Je l’ai pensé, mais jamais on ne me l’avait dit,
- On va raser tout ça non ? - silence – Tu ne veux pas être épilé comme une jolie petite femelle ? -aïe aïe aïe, j’aime trop ça – - Bien sûr, regardes ta petite queue elle en bave d’avance….
C’est vrai je sens trop de choses, je crois que je vais jouir sur place
- Attends un peu
Elle s’est approchée, je sens un doigt sur mon cul,qui glisse, jusqu’à la raie, je me raidis, me tends,
- T’as peur ?
- Oui Maîtresse,
- Mais tu en as envie hein, salope ? ,
- Oui Maîtresse.
Elle enfonce son doigt, je me cambre,
- Tu vois ça te fait du bien non ?
Je me mets à gémir et me trémousser,
- Voilà, à l’état de nature tu es mieux que quand tu fais semblant
- Oui je crie,
- C’est bien, tu es doué ma belle
Elle retire son doigt, je me couche presque, cul haut levé, et je sens qu’elle enfonce, qu’elle enfonce le goulot de la bouteille, et là je m’ouvre, j’écarte grand mes cuisses, et je crie : enculez-moi !!!
- Ben voilà, tu vois quand tu veux
- Oui Maîtresse,
- Et qu’est-ce qu’elle veut ma salope ?
- Etre une vraie salope Maîtresse,
- Mais ça se dresse une salope, ça s’éduque.
- Oui Maîtresse.
Elle retire la bouteille.
- Vas me servir un café maintenant.
Je rampe, y vais à quatre pattes, je reviens à genoux.
- Record battu elle me dit.
- Comment ?
- T’es certainement la salope la plus rapide à la réaction que j’ai connue
Je suis tout fier de ce qu’elle me dit.
- C’est vrai ?
- Oui, doué, réactif, spontané, sensuel, du potentiel, ça va plaire à ta Maîtresse….
- Ma Maîtresse ?,
- Ta femme salope…. Enfin, ta Maîtresse bientôt
Je ne dis rien j’en penses pas moins,
- Pas convaincu on dirait ?
- Je me vois mal lui avouer ça,
- Pourtant va falloir… .
Et je vois dans ses mains un polaroïd, et elle me prend en photo….
- Bouges pas...
- Je ne bouge plus,
- Attends.
Elle se lève va chercher la bouteille, s’approche,
- Lèves le cul.
Je le lève, elle l’enfonce à nouveau, et prend la photo,
- Une jolie collection non ? -silence- j’en ai plein des comme ça, si tu savais le nombre de mecs qui sont salopes… Tu n’es pas le seul, mais toi t’es vraiment doué… - fierté encore –
Toujours la bouteille dans le cul, je me trémousse,
- On dirait que tu bouges la queue dit elle.
Et elle boit son café.
- Je vais devoir y aller… Il est tard on bosse demain. Le programme : demain je
veux un message de ta part m’expliquant pourquoi tu as aimé être une salope ce soir… prochaine séance, même heure ici, dans une semaine, toujours à poil bien sûr, ne te rases pas, je sais que tu en auras envie, mais je veux te voir faire, donc tu le feras devant moi… Dernière chose, tu vas aller te mettre là-bas debout, tu ne dis rien et tu fais ce que je te dis d’accord…. d’accord bien sûr.
Je me lève, je vais à l’endroit indiqué, près d’un lampadaire, qu’elle allume.
- C’est bien tu es docile. Branles-toi
Je commence à me toucher
- Je ne t’ai pas dit de te caresser mais de te branler… .
J’empoigne ma queue, et je vais le plus vite possible tirant fort sur la peau, lorsque je fais ça je plie les jambes, j’essaye de rester droit debout,
- Tu me dis quand ça vient , elle regarde.
Je me branle, je ne vois rien,
- Regardes-moi , je la regarde,
- A quoi tu penses ?
- Que je suis une salope,
- Evidemment quoi d’autre ?
- Que j’obéis à ma Maîtresse,
- Bien, continues...
Je continue, je vais gicler.
- Je vais gicler Maîtresse,
- Continue
- Mais je vais gicler par terre !
- Oui
Je continue, je gicle par terre, gros flot de sperme blanc qui vient s’écraser sur le parquet, je me branle encore jusqu’à la dernière goutte, je gémis.
- Lèches !
Je la regarde.
- Tu as bien entendu, tu ne vas pas laisser ça par terre…. Lèches .
Je lèche, j’avale mon sperme. Elle photographie,
- Evidemment on pourrait dire que tu lèches du lait concentré… - elle rit,- mais c’est du foutre, -elle rit- tu es une vraie salope , elle rit, j’attends.
Elle passe sa main sur ma queue et mes couilles,
- En voilà une petite chose, tu me raccompagnes maintenant, tu ranges derrière moi, tu vas te coucher, et n’oublies pas ce que je t’ai dit
- Oui Maîtresse.
Rien oublié, j’ai fait exactement comme indiqué, en état de choc, les jambes coupées par la masturbation, j’étais vide à nouveau, mais dès que je fus dans le lit, une érection à nouveau, énorme, impossible de m’endormir, je pensais à la bouteille, aux photos, aux mots.
Je me suis levé, nu, encore, j’ai écrit un brouillon de message – pourquoi j’aime être une salope – j’ai fini la bouteille de vin encore aux trois-quarts pleine, dans le brouillard je me suis endormi.
Le lendemain en un j’ai envoyé le message à ma Maîtresse.
Réponse : - tu es bien une salope, je suis contente pour toi.
La semaine s’est passée à travailler, réfléchir, je me suis informé, j’ai lu. Et à l’heure dite, j’ai été lui ouvrir à quatre pattes.
- Ce sera rapide m’a-t-elle dit,on sait l’essentiel toi et moi.
- Oui Maîtresse.
- On va dans ta salle de bains. .
Nous y sommes allés.
- Tu as dû acheter du matériel ?
- Oui Maîtresse,
- alors ? .
J’ai sorti un rasoir pour dames, une mousse dépilatoire,
- Va pour la mousse mets-toi dans la baignoire.
J’y suis,
- Debout.
Je me lève,
- Vas-y !
J’ai appliqué la mousse,
- Sur tout le corps... Les bras aussi...
j’ai appliqué.
- Bouges pas....
Elle a regardé sa montre,
- Vas-y.
J’ai passé la spatule, tous les poils s’en allaient,
- Tu te sens comment ?
J’ai réfléchi :
- Femelle,
- Non lopette, tu ne peux pas être femelle voyons, tu es un mâle, tu as vu que tu as une queue, donc un mâle qui se sent féminin c’est une lopette
- Je suis une lopette,
- Voilà, branles toi maintenant.
- Comme la dernière fois ?
- Oui comme la dernière fois.
Même topo, le foutre sur le sol de la salle de bains,
- Et maintenant ?
- Je lèche Maîtresse,
- C’est bien lopette.
Et je lèche.
- Il faut que j’y aille.
- Déjà ! Vous revenez quand ?
- Mais je ne reviendrais pas.
Elle devine ma déception.
- Faut pas être déçu, avec tes pré-dispositions tu as besoin d’une vraie Maîtresse, et tu l’as c’est ta femme.
Regard interrogateur
- Tu vas lui expliquer ce que tu es, et tu seras son soumis – même plus que ça, mais à toi, de faire le boulot - silence – Ecris-lui, dis-lui ce que tu as découvert sur toi.
J’étais chagriné.
- Dans ton cas, c’est mieux comme ça. Tous les deux on s’amuserait, mais tu n’as pas besoin de ça, tu as besoin d’être vraiment une lopette soumise tu vois, ça me prendrait trop de temps et d’effort, surtout qu’en fait, tu rêves d’être soumis à ta femme.
- Mais ?...
- Mais si, avoue...
- Oui c’est vrai...
- Donc écris-lui et fais de beaux rêves.
Et elle me plante là, dans la salle de bains, moi nu, épilé, déjà me demandant comment je vais expliquer à ma femme pourquoi je n’ai plus de poils, et ce n’est pas parce que je fais du vélo.
Bizarrement le sommeil fut rapide à venir.
Et le lendemain, plus difficile, j’ai écrit à ma femme, une fois, deux fois trois fois, plus de vingt pages d’email, des explications, des définitions, mes envies, mes fantasmes, tout sauf elle. Réponse : - Sauras-tu être à ma hauteur ?.
J’ai traduit : décidément tu es tombé bien bas. Je n’avais rien compris mais j’étais perdu. J’ai envoyé copie de la réponse de ma femme à celle qui m’avait initiée,
Réponse : - Ca ne me regarde pas, fais pour le mieux, sois sincère .
J’avais la trouille. J’avais tout dit, je m’étais transformé en lopette, et j’étais lâché en rase campagne, face à ma femme qui allait me réduire en miettes.
Le surlendemain retour à la maison. Comme si de rien n’était. Le soir même le lit conjugal, et l’habitude de l’amant. J’ai senti ma femme plus en jambes, mais c’est une impression ai-je pensé, elle est contente que je sois quand même normal. Mais quand même, avant d’introduire ma verge dans sa chatte, pourquoi m’a-t-elle touché si longuement le pubis ?
La vie reprit donc son cours normal, j’avais essayé, mais par lâcheté, tout continuait comme avant, sauf que dès que je reprenais ma semaine de travail, je chattais le soir, étant seul.
J’avais trouvé un salon de discussion BDSM, je posais des questions, je me renseignais, pour être honnête il y eut quelques séances de domination par internet, et même deux fois avec ma webcam, je faisais ce que l’on me demandait, être ainsi devant l’objectif comme une lopette m’excitait.
Et un soir, je fis la connaissance de Blue Lola. Une switch, aussi à l’aise soumise que Dominatrice. Évidemment avec moi Dominatrice exclusivement. Elle-même me dit que c’était logique, je ne pouvais pas faire semblant.
Elle posa une règle immédiatement, d’abord en me demandant si j’étais marié. Je répondis honnêtement. Oui dis-je. « Bien me dit-elle, il ne pourra rien se passer entre nous de réel. » J’ai hurlé ma déception silencieusement sur le net, j’avais en tête ma toute première Maîtresse, et je rêvais de recommencer. « T’enflammes pas, je vais t’aider. »
Mais pour moi, Maîtresse / esclave – nous avions sauté un pas, et moi, après mes lectures, j’avais fini par admettre cela, j’étais un esclave pas un soumis « c’est définitif, pour la vie, et réel, toi tu es marié, tu aimes ta femme, c’est donc elle ta Maîtresse, je peux te guider, t’aider à aller avec elle vers cette voie, mais c’est tout ».
J’ai accepté. Pas franchement convaincu à l’idée de répéter ma première expérience. Et mon éducation commença. Avec elle je modifiai mon comportement. L’épilation était devenue permanente, et ma future Maîtresse à la maison constatait régulièrement l’état de mon pubis.
Dans nos dialogues avec Blue Lola j’explorais le coté féminin de ma personnalité, jusqu’à ce qu’un jour n’y tenant plus j’enfile un dessous de ma femme.
J’en fis part à ma Maîtresse virtuelle, qui m’engueula bien sûr. « N’as-tu pas honte ? C’est son intimité, tu veux des culottes de femme ? Achètes-en, mais pas les siennes, ça ne t’appartient pas, ce n’est pas ta chose ». Je restais coi, et j’ai acheté des culottes, et des bas, et des soutiens-gorges.
Puis Blue Lola m’annonça un jour que je devais maintenant voler de mes propres ailes, que je savais ce qu’il me restait à faire. Ma mission professionnelle se terminait également, je devais rentrer définitivement. Rentrer avec les culottes, les bas, les soutiens-gorges ? Hors de question, j’ai tout jeté.
En rentrant je pensais, fini tout ça, maintenant tout revient à la normale. C'est à dire que je suis un mari normal, aimant normalement ma femme, faisant normalement l’amour à ma femme.
Penses-tu, dès le premier soir, le cocu pointe son nez. Puis chaque fois que ma future Maîtresse m’introduit en elle. Je perfectionnais la technique, devenait de plus en plus lyrique, décrivant jusqu’à la queue de l’individu, ou des multiples individus qui se chargeaient de la jouissance de celle que j’appelais déjà ma Reine sans qu’elle le sache.
Je ne pouvais me contenter de ça, et après la séance d’épilation, je courais enfiler une culotte de mon épouse. Un court moment, avant de la remettre tout de suite en place. Puis un jour, je l’enfilai pour une journée. Puis une nuit, ma femme :
- C’est bizarre, il me manque des culottes
La nuit, elle avait attendu le moment, sur le moment comme d’habitude naïf comme je suis, je ne me suis pas demandé pourquoi elle avait attendu la nuit, juste au moment où nous allions faire l’amour à plusieurs, je veux dire elle, ses amants, et moi qui en profitait. Donc tenant ma queue, glissant lentement sa main, elle dit soudain :
- C’est bizarre, il me manque des culottes
Et là, à peine quelques secondes de réflexion, même pas de réflexion respiration, angoisse, je saute :
- Oui c’est moi ,
- Toi ?
Marque d’étonnement – je reste silencieux
- Et tu en fais quoi ?
Je n’avais pas prévu ça !
- Comment ça j’en fais quoi ?
- Oui une collection ?
- Non je les mets.
Et là, l’engueulade en règle, les mêmes termes que Blue Lola, et je savais qu’elle avait raison, je lui dis,
- On fait quoi ? dit-elle,
Sursaut de lucidité
- Je suis un soumis je dis...
- Ca ne m’arrange pas dit-elle
- Pourquoi ? ,
- J’ai épousé un mari pas un soumis...
- Oui je sais mais je ne veux pas te perdre,
- Donc ?
Là je ne comprenais pas !
- Que veux-tu lui demandais-je ?,
- Moi rien, c’est toi qui veut être soumis, pas moi
Elle avait encore raison bien sûr.
- Donc, je me soumets à toi, tu es libre de faire ce que tu veux..
- Libre ? –
- Oui libre ,
- Précises ,
- Libre d’avoir des relations sexuelles avec d’autres hommes, je ne peux pas te satisfaire comme mari, je suis un soumis, et je voudrais être ton soumis.
- Je veux bien t’aider -soulagement, moment de silence- j’accepte me dit-elle.
Je n’en croyais pas mes oreilles.
- Mais tu laisses mes culottes tranquilles
J’ai promis...
Voilà, ça y était tout commençait. Je pouvais masser ma Reine, les pieds chaque soir, parfois son corps quand elle en éprouvait le besoin, et je devais, elle me l’avait demandé montrer que je voulais me soumettre à elle, en effectuant des tâches.
Ce fut long, mais je m’y suis mis.
Petit à petit avec plus d’ardeur, puis j’ai créé la carpette, ma Reine m’ayant dit que ce serait bien, que cela m’aiderait, qu’il y avait des choses que les autres devaient savoir, que je serais utile aux femmes comme elles, et aux hommes comme moi.
J’étais d’abord réticent, mais je finis par me rendre à l’évidence, cette forme d’exhibition me convenait. Je pense aujourd’hui que ma Reine savait ce qu’elle faisait.
La dynamique, la situation s’approfondissait. Restait l’amant.
J’avais cela en tête, souvent. Je lui en parlais. Elle ne repoussait pas le sujet, répondait simplement :
- Ce n’est pas le moment
Un jour je lui adressais un message lui demandant la signification de - ce n’est pas le moment. . réponse sobre :
- Tout simplement tu n’es pas prêt. .
Je fus satisfait de cette réponse, je pensais souvent qu’en fait elle attendait que je redevienne normal. Je le lui dis.
- Mais non, tu es bien un soumis, mais on ne passe d’un claquement de doigts d’avant à après. Tu ne dois plus être jaloux.
Message reçu...
J'ai travaillé sur moi-même. Je m’efforçais de le lui montrer.
Le Saint Graal était à portée de main, je devais lui montrer ma volonté, ma constance.
Et un jour :
- Tiens j’ai eu un message de Frédéric.
Je n’ai rien dit, je pensais Frédéric qui, mais je n’ai rien dit. Puis le lendemain, ou le surlendemain : - Frédéric m’a dit…
Encore rien dit. J’ai attendu le lendemain, et dans un mail je lui dis : « Je ne veux pas paraître lourd, ni jaloux, mais tu as évoqué devant moi Frédéric, de qui s’agit-il ?
Une réponse simple à sa manière : « un ami de jeunesse au lycée – et lorsque je dis ami, c’était mon premier petit copain, on a toujours adoré faire l’amour ensemble, et même quand j’avais d’autres petits amis, on continuait à le faire » .
Vous imaginez la scène. J’étais certain. Mais je ne voulais pas trop en faire.
Comment ai-je répondu exactement, je pourrais faire l’effort de m’en souvenir, ce qui importe, c’est que je me trouvais langue pendante, ça y était, un amant potentiel, pas imaginaire, un vrai de vrai avec une queue, et qui lui répond.
Quelques jours plus tard, le ballet des « Frédéric » continuant, je reçois un mail de ma Reine dans l’après-midi « Je vais voir Frédéric après-demain, tu devras t’occuper des enfants, comme il a loué un gîte rural, je dors là-bas c’est plus pratique et je n’aime pas conduire la nuit »
Infernales quarante-huit heures transformées en soixante-douze, j’avais sous estimé le lendemain. En route j’avais perdu mon fantasme de la voir faire l’amour avec un amant. J’étais d’accord pour tout, prêt à tout, pourvu qu’elle ait un amant.
La fin de journée atroce, avec quelques masturbations à la clé, le lendemain j’ai rongé mon frein, surtout ne rien dire, ne rien faire qui compromette la nuit avec son amant, futur amant, mais en suis-je bien sûr ? le jour J de la nuit en question, docilité, douceur, gentillesse toute la panoplie sans exception. Avant son heure de départ, un mail : «  Je te souhaite une très bonne soirée ma Reine, je t’aime, prends du plaisir ». La réponse « Merci je t’embrasse »
Si elle m’embrasse c’est sûr, ils vont faire l’amour.
Le soir, occupations routinières dont le repas des enfants, le soir la télé sans la voir, je bandais comme un turc, je me suis branlé, une fois, deux fois, sans éjaculer, je ne voulais pas, je voulais sentir ce moment, le vivre pleinement.
Vers 22H30 au lit, un policier, que je n’arrive pas à lire, je m’endors, 23h probablement, je me réveille, 0h24 : ça y est, elle jouit me dis-je, je n’arrive pas à me rendormir jusque vers 1h passée.
Lendemain matin, la trique. Je bande. J’aime trop ça. J’espère être cocu. Je veux l’être. 10h pas avant un SMS : « Je rentre »... Rien de plus.
Charbons très très ardents, pas de branlette, je veux rester l’esprit clair, et surtout voir et revoir les images de sa queue qui s’enfonce en elle. 13h j’envoie un email «  Alors ma Reine ta soirée s’est bien passée ? » Rien. Je regarde en permanence ma messagerie.
15h15, ça y est, là devant mes yeux, la réponse. J’ouvre. Je lis : « Bonne soirée, restau nous avons fait l’amour » Je suis heureux, j’en gicle illico, là derrière le bureau, j’essaye de retenir, pas maintenant, là ici au bureau, discrètement direction toilette, je m’arrange comme je peux, j’ai joui, j’ai les jambes qui flageolent, la tête qui tourne, retour bureau, je réponds
- je t’aime ma Reine, heureux que tu aies eue du plaisir
La fin de journée approche, je vais acheter les meilleurs chocolats de la ville, elle adore ça, et un bouquet de fleurs phalliques, obscènes, colorées, je rentre à la maison, je lui souris de tout mon amour, de toute ma soumission, je lui tends les chocolats et les fleurs, elle sourit, ses yeux verts scintillent, deux fois heureuses, par son amant, par sa carpette, et moi ça y est c’est fait je suis cocu, vivement la prochaine fois !
La naissance de La Carpette.
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