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Un Samedi d'été au ciné...
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Un dimanche d'été devant la téle...
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L'été des rediff..! Tranches de vie
Je trouve ce blog superbe.
Il n'est plus mis à jour depuis longtemps
Dommage.
Il méritait une rediffusion.
Il méritait une rediffusion.
NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
Episode I
Cela fait trois ans que je ne satisfais plus Nadine, mon épouse de 37 ans, et un an que je ne la touche plus; après dix ans de mariage, notre relation a changé de nature lors d’une soirée chez des amis où elle a rencontré un homme qui est devenu son amant.
Depuis ce jour, elle m’a fait comprendre qu’elle ne m’appartenait plus et que son corps était devenu la propriété de Thierry. Ce dernier en dispose donc à sa convenance et il a marqué son territoire en lui imposant un tatouage sur chaque sein et un piercing au niveau du clitoris.
Au fur et à mesure qu’elle s’est abandonnée à cet homme marié, elle m’a soumis à ses envies, ce qui lui permet d’être disponible pour lui dès qu’il a une disponibilité. Il n’est pas rare qu’après s’être disputé avec son épouse, il vienne passer la nuit à la maison; je lui cède alors ma place dans le lit conjugal et rejoins le canapé du salon.
J’ai toujours été par nature assez soumis; elle n’a donc eu aucun scrupule à me présenter très vite son amant aussitôt après leur rencontre. Un peu éméché, je ne m’étais pas rendu compte le soir même qu’elle s’était isolé un moment et avait quitté la soirée avec lui pour aller faire l’amour dans sa voiture.
Dès le lendemain elle m’a raconté ce moment en détail et m’a demandé ce que je ressentais. Alors que je lui expliquais que c’était douloureux pour moi, elle a mis la main sur ma braguette; en un instant elle avait tout compris !
Bien sur j’avais mal, mais quelle excitation aussi ! Peu de temps après elle l’a invité à la maison et me l’a présenté. Elle l’avait mis au courant de la situation et il n’a ressenti aucune gêne. Le couple c’était eux: tendres baisers, mains balladeuses, mots doux dans l’oreille; ils se sont assis côte à côte pendant le repas et j’ai vu leurs mains disparaître sous la table à plusieurs reprises. Curieusement je le trouvais sympathique et nous avions une discussion amicale, je n’arrivais pas à le considérer comme un rival.
Nadine a cru bon de m’expliquer très vite la situation :
- Tu vois, Nicolas, je tiens plus que tout à notre mariage mais j’ai besoin de Thierry ; si tu acceptes la situation, notre couple n’est pas en danger mais je comprendrais que tu demandes le divorce
Il n’était pas question de ça, je ne l’imaginais même pas. J’ai répondu un timide
- Si tu en as besoin…
Sentant que j’allais accepter, elle a enchaîné plus fermement:
- Il faut que tu comprennes bien avant de te décider: je suis maintenant avec Thierry, et je refuse la moindre crise de jalousie
Puis elle m’a demandé de me déshabiller et de me mettre debout contre un mur ; elle a ensuite amoureusement déshabillé Thierry et il est venu se positionner à côté de moi.
La situation était claire : certes son sexe était bien plus gros (mais le mien n’est pas ridicule) mais j’ai tout de suite compris que son torse musclé et imberbe l’avait fait craquer; plus grand que moi, il avait un corps d’athlète, le rêve pour une femme.
- Maintenant dis- moi Nicolas, si tu étais à ma place, lequel des deux voudrais- tu dans ton lit ?
Là encore je n’ai pas trouvé la force de me défendre et j’ai répondu « Thierry ». Je venais d’accepter la situation.
- Alors pour toi ce sera abstinence et obéissance, parfois un câlin avec préservatif, c’est tout
Après m’avoir redemandé si j’étais sur d’accepter la situation, ils sont partis vers la chambre, comme s’ils voulaient me tester sans attendre, en me laissant débarrasser la table et faire la vaisselle.
Ce soir là je me suis rendu compte de ma nature de soumis : je me suis collé à la porte pour les entendre faire l’amour et après son départ, j’ai vite rejoint le lit pour m’imprégner des odeurs et embrasser tendrement les pieds de mon épouse.
…...........................
Pendant plusieurs mois, elle a accepté que nous fassions l’amour de temps en temps puis Thierry n’a plus voulu. Depuis un an environ, je ne la touche plus. Par contre elle s’occupe de moi et consacre chaque semaine une dizaine de minutes à me masturber.
J’aime ce moment car c’est le seul moment où je sens sa main sur moi : je suis debout, elle attrape mon sexe et le masturbe de manière rapide et régulière jusqu’à l’éjaculation. Le simple contact de sa main me raidit, elle ne se déshabille pas je n’ai pas le droit de la toucher.
Il faut dire que nos rapports sont très codifiés, je sais ce que j’ai le droit de faire et ce qui m’est interdit. Le seul contact qu’elle m’autorise est de poser mes mains sur sa taille pour l’embrasser dans le coup et de lui effleurer rapidement sur les lèvres lorsque nous sommes en famille. Ces moments de tendresse comptent néanmoins beaucoup pour moi, et j’ai beaucoup souffert lorsque j’en ai été privé trois mois après avoir été surpris en train de me masturber.
La masturbation est un problème ; je n’ai pas le droit de le faire mais elle sait que j’aime ça. Elle a trouvé la solution :
- Tu vas écrire un journal intime et tu n’auras le droit de te masturber qu’en racontant ton plaisir d’être soumis
…...........................
En ce qui concerne Thierry, il est chez lui à la maison ; lorsqu’il vient, je dois m’effacer aussitôt et, quand on me le demande être à leur disposition. Nadine, qui est d’ordinaire assez négligée, s’enferme une demi- heure dans la salle de bain avant son arrivée et elle en ressort transformée, élégante et sexy pour son amant.
J’aime beaucoup ces situations où, je pense qu’elle le sait, je colle mon œil au trou de la serrure. Je profite alors de sa nudité mais il y a une porte entre nous. Elle se douche, se rase les jambes et la chatte, elle met des bas, parfois un string, parfois rien, un soutien- gorge à balconnet, jupe, talons, chemisier. Puis elle se sèche les cheveux et se maquille. Depuis peu, avant de sortir de la salle de bain, je la vois s’enfoncer un petit plug dans l’anus, elle a donc découvert la sodomie avec Thierry.
A la maison, je dois assumer les tâches ménagères quand il est là car elle veut être entièrement disponible pour lui. Je prépare le repas et range la maison. Ils m’autorisent parfois à rester avec eux et lorsqu’ils ont envie d’être seuls, je dois aller au cinéma ou dans la voiture et ils me fixent une heure de retour. Je pense que ces soirées sont assez chaudes car il m’est arrivé de retrouver des préservatifs pleins dans la poubelle de la maison or Thierry n’en met pas quand il est avec elle. Pas plus tard que la semaine dernière, il y avait 4 verres dans l’évier quand je suis rentré. Imaginer que ma femme a plusieurs partenaires me rend fou d’excitation mais elle refuse de m’en parler.
De manière générale, ils m’associent peu à leurs ébats sans pour autant se cacher : je n’ai pas le droit de rentrer dans la chambre et je dois là aussi me contenter du trou de la serrure ; par contre, alors que nous sommes parfois tous les trois sur le canapé à regarder les informations à la télé (Thierry et moi assis à chaque bout du canapé, Nadine allongée, la tête sur ses jambes, les pieds sur les miennes), elle n’hésite pas faire une fellation à son amant pendant que je lui caresse tendrement les pieds.
Elle ne me raconte pas ce qu’ils font au lit et n’accepte pas de questions. Je pense qu’elle s’amuse à me laisser reconstituer un puzzle qui me fait fantasmer. Et cela marche : combien de fois j’ai fouillé les poubelles en quête d’indices sur leurs soirées ! Je vais jusqu’à sentir le sperme restant dans les préservatifs pour savoir combien de partenaires ont pénétré mon épouse. Elle a l’air très heureuse depuis que Thierry s’occupe d’elle.
Thierry est d’un tempérament dominateur et bien que nous nous entendions plutôt bien, il souhaite que Nadine intensifie sa domination sur moi.
Week- end
Thierry a réussi à se libérer ce week- end.
Mon épouse est rayonnante, enfin deux jours de suite avec son amant qu’ils souhaitent passer à Paris. A ma grande surprise, elle m’a annoncé ce matin que nous allions partir à trois. Bien entendu, deux chambres d’hôtel seront réservées, une pour eux et une pour moi. Je lui ai demandé la raison de ma présence à leurs côtés, elle m’a répondu « surprise ! ».
Nuit parisienne pour un cocu.
Voilà une soirée que je ne suis pas prêt d’oublier. Nous sommes partis samedi matin en voiture ; j’étais au volant, mon épouse était à l’arrière avec son amant. Le trajet a duré trois heures pendant lesquelles nous avons parlé de choses et d’autres mais on ne m’a rien dit du programme à venir. Ils sont restés très sages, quelques baisers mais pas plus.
Pour le déjeuner, j’ai eu droit à un sandwich dans la voiture car ils ont eu envie d’un peu d’intimité au restaurant. Nous avons ensuite déposé nos bagages dans un petit hôtel près de la porte d’Orléans. Thierry avait réservé deux chambres à des étages différents. La mienne était agréable, des tons de rose, un grand lit, la télévision ; je n’ai pas été autorisé à voir la leur.
En début d’après- midi, mon épouse est venue me dire que j’avais quartier libre jusqu’à 18 heures et que pour la remercier, je devais déposer un baiser sur chacun de ses pieds.
Elle n’était pas très à l’aise pour me dire cela et j’ai bien deviné que c’était en fait les consignes de Thierry. Je l’ai déchaussée et j’ai embrassé tendrement chaque pied. De la manière dont elle a dit « encore ! », j’ai vu qu’elle prenait plaisir à me dominer comme cela.
Elle n’a pas voulu me dire en détail ce qu’ils allaient faire cet après- midi mais comme je la sentais moins souriante que pendant le trajet je lui ai demandé si cela allait :
- Je suis un peu anxieuse, nous allons passer l’après- midi dans un club coquin avec Thierry et je ne sais pas bien ce qui m’attend ».
Reprenant mon rôle de mari, je lui ai dis que rien ne l’obligeait à y aller si elle ne le souhaitait pas. Elle a pris ma main et, soulevant sa jupe, l’a posée sur sa culotte: pas de doute possible, elle était anxieuse mais elle avait envie.
J’ai eu droit à une bise sur la joue et elle m’a laissé en me disant que Thierry avait prévu une soirée qui comblerait ma nouvelle situation de soumis.
J’ai marché tout l’après- midi dans Paris, un peu au hasard, sur les bords de Seine, sans profiter pleinement du paysage, l’esprit ailleurs ; j’imaginais mon épouse dans les bras de nombreux hommes, délires érotiques où mon imagination et mes fantasmes dépassaient sans doute de loin la réalité.
Et puis moi ; quel serait mon sort ce soir ? Depuis plusieurs semaines, Thierry incitait ma femme à m’humilier chaque fois un peu plus et il lui faisait bien remarquer comme j’aimais ça. Prendrait- il lui- même les choses en main ? Assisterais- je enfin à leurs ébats ? Je suis passé devant la Tour Eiffel sans m’en rendre compte, j’ai du revenir sur mes pas pour contempler le monument incontournable. Vers 17 heures, j’ai commencé à me rapprocher de l’hôtel et j’ai senti mon cœur battre très fort.
De retour dans ma chambre, je me suis allongé sur le lit et j’ai attendu.
Thierry et Nadine sont arrivés peu après. Mon épouse était radieuse. Son après- midi avait été bonne visiblement. Ils m’ont dit avoir beaucoup marché eux aussi. Nadine a ôté ses chaussures et ses bas et m’a demandé de lui masser les pieds. Je me suis exécuté ; elle s’est assise sur le bord du lit et je me suis mis à genoux sur la moquette.
De ma position, j’ai osé quelques coups d’œil sous la jupe et j’ai pu voir qu’elle n’avait plus de string. Thierry qui était vigilant m’a repoussé du pied, il m’a ordonné de baisser les yeux devant mon épouse puis il m’a dit :
- C’est ça que tu cherches ? lèche !
Il a sorti le string de sa poche et m’a ordonné de le nettoyer avec la langue. Je me suis régalé ; j’ai reconnu l’odeur intime de ma femme que je n’avais plus sentie depuis longtemps.
Comme je m’appliquais, Thierry a poursuivi :
- Chérie, regarde comme il est content, on a bien fait de l’emmener ta lopette de mari» ; et mon épouse d’ajouter :
- Oui chéri, j’ai passé le plus bel après- midi de ma vie et je pense que lui aussi
…... ;
Peu avant le repas, Nadine m’a annoncé le programme de la soirée. J’avais le choix entre un nouveau quartier libre ou une soirée dans leur chambre dans le rôle de table de nuit. J’avais 30 secondes pour me décider.
Je ne m’explique pas ce qui m’attirait à ce point vers une situation qui allait sans doute me faire souffrir mais je n’imaginais pas un instant choisir le quartier libre. Je voulais être auprès de mon épouse et j’avais envie de partager ce nouveau bonheur qu’elle découvrait.
A la fin des trente secondes, mon épouse m’a attrapé les cheveux, ce qui m’a surpris :
- Alors tite couille, on n’a pas toute la nuit, tu as fait ton choix ?
J’ai ressenti une pression forte sur la poitrine, comme du trac intense, un frisson de bien- être aussi : jamais elle ne m’avait parlé de la sorte. Le qualificatif de tite couille datait d’un mois environ mais à l’époque c’était dit de manière affectueuse lorsqu’elle me masturbait ; mais là, d’un coup, j’étais devenu tite couille, un sous- homme soumis à sa femme et son amant.
Sans attendre j’ai répondu « table de nuit ».
Heureux comme s’ils sortaient de chez IKEA, le couple d’amant est allé installer immédiatement son nouveau mobilier ; pour moi il n’y aurait pas de repas du soir. Thierry avait tout prévu.
Avant de pénétrer dans leur chambre, un foulard noir épais m’a été posé autour des yeux. Nadine m’a pris par la main et m’a conduit à la tête du lit. Ils m’ont déshabillé et fait mettre à genoux ; une paire de menottes a relié mes deux chevilles, une autre paire mes deux poignets.
Nadine m’a mis un bâillon en forme de boule dans la bouche.
Je me suis retrouvé en position, les pieds passant sous le lit, à genoux, l’épaule appuyée contre le mur sur la gauche, le ventre posé sur la vraie table de nuit pour que la position soit moins douloureuse.
Sur mon dos nu, Thierry a posé un cendrier, une boite de mouchoirs et une lampe de chevet. Ils se sont changés pour aller diner. De temps en temps, Nadine avait une caresse pour moi, peut- être culpabilisait- elle. Thierry en profitait pour enfoncer le clou me faisant dire que j’aimais ma condition de soumis à mon épouse et que j’en voulais plus encore.
Ils sont partis manger après m’avoir dit qu’au moindre objet renversé, ils me renverraient aussitôt dans ma chambre. Je regrette de ne pas avoir pu voir la tenue de mon épouse, il lui a dit qu’elle était sublime. Je ne sais pas combien de temps a duré le repas, j’ai trouvé le temps très long (et douloureux pour les genoux).
La première personne à rentrer dans la chambre n’a pas dit un mot ; j’ai senti un objet lourd et gelé se poser sur mon dos (j’apprendrai après qu’il s’agissait d’un seau à champagne) puis cette personne est ressortie aussitôt. J’ai été horrifié à l’idée qu’il pouvait s’agir d’une personne de l’hôtel mais qui était visiblement au courant du relooking récent de la pièce.
Peu de temps après, j’ai entendu la voix de Nadine dans le couloir, cela m’a fait du bien et j’ai rebandé instantanément. Au ton de sa voix, j’avais la certitude que le repas avait été bien arrosé.
J’ai reconnu la voix de Thierry et un autre homme était avec eux. Ce dernier connaissait la situation car il n’a fait aucune remarque me concernant. C’est étonnant comme on développe tous les autres sens dès qu’on n’a plus la vue, j’étais attentif aux bruits, aux odeurs, je les sentais me frôler.
Comme on le fait sur une table de chevet, Thierry a jeté les clés de la chambre sur mon dos, il a allumé la lampe de chevet et a enlevé le seau à champagne qui me pesait et qui m’avait donné mal à la gorge tant il était gelé.
Tout en parlant du tournedos qui était succulent, du dessert un peu lourd, la bouteille de champagne a été ouverte. Ils ont enlevé leurs chaussures et me les ont collées sous le nez. J’entendais surtout Nadine et Thierry, moins l’autre homme qu’ils appelaient Maxime.
A la voix de ce dernier, je l’imaginais assez mur, la cinquantaine peut- être.
Personne ne s’occupait de moi, je n’avais pas plus d’importance que la table de chevet d’une chambre. Ils ont bu en échangea les banalités habituelles sur Paris, que c’était vraiment magnifique mais qu’il ne faut pas y vivre, que personne ne respecte les feux rouges, qu’on se demande comment les vélib ne disparaissent pas plus … .
Puis on est entré dans le vif du sujet. Thierry a pris la parole.
- Ma chérie, ce soir tu es la star, je t’ai acheté une tenue pour l’occasion, Maxime est là pour une séance photo et si tu nous offres un strip tease, nous ferons de notre mieux pour te remercier comme il se doit
Nadine qui avait décidément bien bu a répondu :
- Eh bien les mecs il va falloir être en forme parce que j’ai le feu ce soir » , elle rigolait toute seule.
Pendant qu’elle se préparait dans la salle de bains, Thierry a pris plaisir à m’humilier en parlant de moi comme si je n’étais pas là :
- Nadine est une femme super ; tu verras, elle aime tout et elle se rattrape de plusieurs années d’insatisfaction. Elle tient à son mari mais elle m’a dit n’avoir jamais pris son pied au lit avec lui ».
- Et elle reste avec lui ?» a demandé Maxime.
- Elle l’aime bien, il est gentil, il ramène de l’argent alors elle s’est adapté »
- Tu es son amant depuis longtemps ? »
- Plus d’un an » a répondu Thierry... Mais elle avait eu auparavant deux aventures et un amant régulier pendant sept mois
J’ai cru que j’allais m’effondrer ; je ne m’étais rendu compte de rien; était-ce vrai ou une provocation dans le but de m’humilier. Il a enchaîné :
- Pour nous il est au courant et il accepte bien la situation, c’est un cocu content ; tu sais comment l’appelle Nadine ? Tite couille ! .. J’espère qu’elle en fera son esclave et qu’elle prendra un peu plus de bon temps à l’avenir.
J’avais très mal aux genoux et aux épaules, je me souviens avoir pleuré mais à aucun moment je n’ai perdu mon érection.
Lorsque mon épouse est ressortie de la salle de bain, ils ont sifflé tous les deux. Elle a demandé à Thierry de l’aider à attacher la guépière ; il a proposé à Maxime de le faire. Ce dernier ne s’est pas fait prier. J’aurais donné cher pour voir la tenue de ma femme. Je savais que ce ne serait pas pour moi, deux autres allaient en profiter.
Ils ont mis une chaine musicale et le strip- tease a commencé. Les deux hommes étaient assis sur le lit et profitaient du spectacle en faisant des commentaires. Maxime l’a félicité pour la taille de ses seins puis sur son pubis rasé.
J’entendais régulièrement le bruit de l’appareil photo. J’espère que je verrai un jour ces photos. Maxime était le plus proche de moi. Nadine s’est approchée de lui, au bord du lit, sans doute pour lui permettre de faire des gros plans. J’ai senti son pied se poser sur mon dos. J’étais forcément sur les photos, Maxime était face à mes fesses.
Thierry est venu la rejoindre et a commencé à la caresser. Maxime lui demandait
- Ecarte un peu ses lèvres » ; puis il prenait une nouvelle photo.
Le photographe s’est ensuite adressé à mon épouse :
- Vas- y ma belle, déshabille ton amant, montre lui que tu veux te faire baiser
Je sentais les mouvements juste à côté de moi. Thierry m’a soudain attrapé les cheveux pour me faire relever la tête puis il a déposé ses vêtements dessus ; il m’a enfilé son slip sur la tête puis a posé le pantalon, sa chemise et sa veste. Il m’a mis un petit coup sur les fesses avec sa ceinture.
Les deux amants étaient nus à présent. Maxime dirigeait les opérations l’appareil photo à la main :
- Suce le bien, tu aimes sa grosse queue ? ».
- Ouiii gloussait Nadine, surtout ses grosses bourses ».
Je pense que mon surnom de tite- couille vient de là ; j’ai toujours eu des bourses peu volumineuses et Nadine m’avait dit être un peu frustrée de ne pas avoir le plaisir de prendre en main des bourses bien pleine. Thierry en tout cas avait l’air de combler ce manque.
La fellation a duré quelques minutes. Thierry a prévenu qu’il allait jouir, il s’est tourné vers moi et j’ai senti son sperme chaud sur mes fesses. J’en ai conclu que Nadine ne souhaitait pas avoir de sperme dans la bouche, c’était déjà le cas lorsque j’étais son partenaire. Là encore, j’ai entendu Maxime mitrailler en rafale, sans doute mon postérieur.
Après une nouvelle coupe de champagne, mon épouse s’est allongée sur le lit et à invité Thierry entre ses cuisses. Il lui a bouffé la chatte et j’ai entendu Nadine jouir comme jamais avec moi. J’ai toujours été maladroit dans mes cunnilingus, trop impatient, trop brusque ou pas assez. Je le regrettais aujourd’hui en constatant dans quel état cela pouvait la mettre. Elle avait choisi un amant remarquable et j’étais parfait dans le rôle de table de nuit.
Puis il l’a pénétrée. Nadine semblait éprouver un grand bien- être, loin de la violence de son précédent orgasme ; elle ronronnait de bonheur en demandant à son amant de prolonger ce va- et- vient :
- C’est bon, …, oui, encore,…, ne t’arrête pas
Maxime était au spectacle, il prenait toujours des photos. Au bout d’un moment, des bruits de sucion m’ont indiqué que Maxime avait sorti son sexe et que Nadine était en train de le sucer. Des gémissements m’ont confirmé cette crainte. Nadine s’occupait des deux hommes. J’ai éjaculé.
Pendant plus d’une heure je pense, ils se sont succédés, prenant ma femme à tour de rôle ; lorsque Maxime faisait l’amour à ma femme, Thierry fumait une cigarette, laissant parfois échapper des cendre brûlantes à côté du cendrier, sur mon dos (volontairement ?).
Lorsque Maxime avait terminé, il venait déposer son préservatif visqueux sur la table de nuit. J’avais, par moment, du sperme froid qui me coulait le long des côtes. J’ai entendu jouir mon épouse à de nombreuses reprises. La pièce commençait à sentir la transpiration.
Mon épouse était inépuisable ; je me souviens qu’elle me demandait parfois de me dépêcher de finir quand je lui faisais l’amour et que je prenais trop mon temps. Ce soir elle en redemandait sans cesse.
Lorsqu’elle est enfin partie se doucher, Maxime l’a accompagnée. Thierry, resté dans la chambre, s’est occupé de moi. Il m’a enfoncé le bouchon de champagne dans l’anus. J’avais une telle excitation que c’est rentré tout seul. La tête du bouchon était à l’intérieur et la base à l’extérieur ; dès leur retour, il s’est vanté de son exploit :
- La poignée de la table de nuit était tombé, je l’ai remise en place
Nadine a ajouté :
- Oui, c’est beaucoup mieux comme ça
Maxime a repris son appareil photo.
…..
Peu de temps après, Maxime s’est rhabillé, il les a salués et il est parti. Thierry est alors venu vers moi, il a débarrassé mon dos et m’a enlevé les menottes et le bâillon. Il m’a laissé le foulard, si bien qu’a aucun moment je n’ai pu voir le couple et leur chambre. Constatant que j’avais éjaculé sous moi, Thierry m’a dit que je le décevais et qu’il allait falloir que je les implore pour avoir de nouveau ma place dans leur chambre.
- Nicolas, avais- tu déjà entendu Nadine prendre son pied comme ce soir ? »
- Non » étais- je forcé de répondre.
- Le seul plaisir que tu lui donneras désormais, c’est en t’occupant de ses pieds avec ta langue ; tu ne mérites pas plus que çà et elle mérite bien mieux que toi ».
Nadine s’est approché et a descendu ma tête jusqu’à ses pieds :
- On va te ramener dans ta chambre, tu vas te laver et aller dormir un peu. Nous sortons en boîte avec Thierry et je pense que j’aurai bien besoin d’un massage de pieds vers deux ou trois heures du matin ».
Thierry a ajouté :
- Au fait, tu gardes le bouchon de champagne cette nuit, je te l’enlèverai demain matin .
Ils m’ont enfilé un peignoir et je suis sorti de la chambre pouvant enfin enlever ce foulard. De retour dans ma chambre, je me suis précipité aux WC, cela faisait une heure que j’avais très envie d’uriner.
La soirée avait laissé des traces en moi : des genoux presque en sang, des douleurs aux chevilles et une grande excitation. Je me suis beaucoup masturbé avant de m’endormir, le bouchon dans l’anus me procurant beaucoup de plaisir.
Ils ne sont pas venus me réveiller dans la nuit et je n’ai rien su de leur soirée.
Semaine ordinaire
Dimanche matin, ils sont venus me chercher vers 10 heures ; Thierry m’a serré la main et j’ai du m’agenouiller pour déposer un baiser sur les pieds de mon épouse ; j’ai eu le droit d’enlever le bouchon de champagne avant d’aller prendre un petit déjeuner.
En arrivant en bas, j’avais l’impression que tout le monde me regardait. Thierry tenait mon épouse par la taille et je marchais derrière.
Après un quartier libre en fin de matinée et pour le déjeuner, nous avons repris la voiture pour le retour. Pendant le trajet, Thierry m’a interrogé de nouveau.
- Es- tu sur d’accepter cette situation, de vouloir rester avec Nadine à qui tu ne feras plus l’amour et que tu devras servir ?
Et de nouveau j’ai répondu « oui ». J’étais forcé d’admettre que j’avais aimé ce qu’ils m’avaient fait subir et ils le savaient; à aucun moment je n’avais manifesté une quelconque révolte. Il a ensuite posé la question devant moi à Nadine.
- Et toi, est- tu sure que la situation te satisfait ? »
- Sans aucun doute a- t’elle dit joyeusement, un mari soumis à la maison et un amant exceptionnel, c’est parfait.
La semaine se passe bien. Nous avons beaucoup discuté avec Nadine et cela m’a fait du bien. Je craignais qu’elle soit forcée par Thierry dans cette démarche de domination mais elle m’a expliqué qu’elle en tirait beaucoup de plaisir. Elle s’est rendu compte de mon penchant pour la soumission alors que son amant représente pour elle l’image de l’homme viril qui la fait fantasmer. Elle peut à la fois assouvir ses envies de défoulement et de domination par rapport à moi et des pulsions érotiques où elle se laisse aller complètement pour satisfaire un homme dominant.
Ses rapports avec moi sont en train de changer, elle intègre ma nature de soumis et me laisse de plus en plus de tâches ménagères. Alors que j’ai des responsabilités à mon travail (je suis cadre dans une PME), c’est avec plaisir que je prends le tablier et que j’obéis à la maison.
Nous n’avons pas vu Thierry de la semaine et les jours passant, Nadine est nerveuse et moins patiente avec moi. Hier, devant la télé, elle espérait un coup de fil de sa part, elle m’a demandé de lui masser les pieds et m’a reproché ma maladresse :
- Tu n’es même pas bon à ça !
Lorsque nous sommes tous les deux, elle ne m’appelle plus Nicolas ou chéri mais de plus en plus souvent tite couille. Et je suis comblé…
NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
Episode II
Vendredi 8 mai 2009
Une nuit avec mon épouse
J’adore la nuit. C’est un moment où je suis proche de Nadine, je sens son odeur, sa chaleur. Je n’ai pas le droit de la toucher, au risque de finir la nuit sur le canapé.
Nadine dort en pyjama, probablement une demande de Thierry, elle ne se déshabille plus devant moi ; par contre j’ai droit à un bisou sur la joue avant de se coucher. Parfois, elle pose ses pieds sur les miens, pour se réchauffer en général. Ce simple geste me donne instantanément une érection. Je sais que les choses ne peuvent pas aller plus loin et je me contente de ce contact. Sentir ses pieds nus sur les miens m’excite beaucoup et je suis comblé quand elle me demande de lui réchauffer les pieds avec les mains.
Je dois me tenir prêt si elle a besoin de moi dans ce rôle, c’est pourquoi elle me demande de m’endormir après elle et de me réveiller avant. Bien souvent, je passe du temps à la regarder, dans l’ombre, et j’aime sa silhouette, je rêve d’une étreinte qui m’est désormais interdite. Je suis bien conscient qu’elle prend beaucoup plus de plaisir dans les bras de Thierry. Une fois qu’elle est endormie, je vais me mettre tout contre elle, sans la toucher, et je suis bien.
La vie au quotidien
On ne peut pas dire qu’il y a eu un grand changement dans les tâches ménagères car je l’ai toujours aidée ; elle s’occupe des repas (sauf lorsque Thierry est présent), des courses, de la lessive et du repassage ; je fais le ménage et la vaisselle. Depuis peu, elle ne veut plus laver mes sous- vêtements donc c’est à moi de faire une machine.
S’il est un domaine où elle a pris le pouvoir, c’est celui de la télévision. Alors que je l’ai longtemps ennuyée en lui imposant mes programmes, elle m’a expliqué récemment que c’était terminé. Si quelque chose l’intéresse, je n’aurai pas de commentaire à faire ; dans le cas où il n’y a aucun programme qui lui plaît, je devrai lui en proposer un et lui demander la permission de le regarder. Ce fonctionnement est entré en vigueur depuis plusieurs jours et la négociation pour regarder un match de foot me coûte parfois une heure de massage et léchage de pieds.
Pendant les repas, les rôles sont clairs, je dois la servir et être attentif à ses désirs : veiller à ce que son verre ne soit pas vide, lui redonner du pain sans qu’elle n’ait à le demander, amener les plats et débarrasser la table. Elle trouve cela fort agréable et me félicite lorsque je la sers bien.
Coup de téléphone
Ce soir Thierry a appelé. Il ne pourra pas voir Nadine ce week- end. C’est une mauvaise nouvelle pour moi car je sais que je vais devoir subir plusieurs jours le défoulement de Nadine, frustrée de ne pas voir son amant. Cela a commencé aussitôt après le coup de fil :
- Il y en a marre des hommes, cette soirée était pour moi normalement ! Et toi ne comptes pas dormir dans le lit ce soir !
Je n’y étais pour rien mais j’ai baissé les yeux et je n’ai rien dit.
Il y a une demi- heure Nadine s’est préparée, puis elle est sortie. Je ne sais pas où elle est ce soir, peut- être un cinéma pour se consoler de ne pas voir Thierry. Je me masturbe en écrivant mon journal, je suis devenu son soumis, même plus bon à réconforter mon épouse lorsqu’elle est triste.
….......................;
Samedi: mise au point!
Nous avons encore franchi un pallier dans la domination que ma femme exerce sur moi ; j’ai l’impression que tout s’accélère depuis la soirée du week- end dernier.
Ce matin , Nadine m’a appelé :
- Tite couille viens voir là ! »
- Oui ma chérie »
- Toute à l’heure, pendant que j’étais à la salle de bain, je t’ai vu m’observer par la serrure ; est- ce vrai ? »
- Oui c’est vrai » répondis- je, convaincu que de toute façon, elle le savait depuis longtemps.
- C’est terminé !.. Qu’est- ce qui te permet de croire que tu mérites de voir mon corps ? tu as mes pieds et c’est déjà beaucoup ! »
- Oui ma chérie »
- Arrête de m’appeler ma chérie, je ne supporte plus, tu sais ce que disent les vrais soumis ?».
- Oui, je crois, ils disent Maîtresse » dis- je, fier de moi.
Mais elle n’était pas satisfaite.
- J’ai horreur de ça aussi, pour toi ce sera Nadine ou alors Madame dès que tu es en situation de soumis, c’est- à- dire presque tout le temps, c’est compris ? »
- Oui Madame »
Puis elle est revenue au sujet qui la préoccupe.
- Alors maintenant je t’explique : dès que je serai dans la salle de bain, tu seras menotté à un radiateur et ce jusqu’à ce que je puisse avoir confiance en toi ! ».
Je ne peux pas dire que ça m’a perturbé car être attaché par ma femme m’excite beaucoup mais sa mauvaise humeur est perceptible et je suis pressé qu’elle revoie Thierry car je n’aime pas la sentir triste.
Demain nous avons un repas chez mes parents, nous allons devoir faire tous les deux un effort pour ne rien laisser paraître des modifications importantes dans nos rapports.
Dimanche en famille
Rien à signaler. Nadine avait un peu l’esprit ailleurs mais elle ne l’a pas trop montré. Nous n’avons jamais débordé d’affection en public donc nous avons pu donner le change facilement.
Par réflexe j’ai beaucoup servi à table, ce qui a surpris agréablement ma maman. Mon père a eu ce mot magnifique :
- Nadine, vous l’avez bien dressé, félicitations.
Mon épouse s’est fait un plaisir de répondre
- Ce n’est qu’un début ! ».
Piégé
Thierry est passé à la maison ce soir; nous regardions la télé Nadine et moi. J'ai dû quitter la pièce pour les laisser s'embrasser tranquillement; très vite, ils sont passés à autre chose et je les ai entendus faire l'amour.
Bien sur j'étais excité et jaloux, mon épouse manifestait bruyamment sa jouissance. Lorsque le calme est revenu, c'est Nadine qui m'a appelé:
- Viens là ma tite couille; au pied! tu sais quoi? Thierry m'emmène en week- end samedi, nous retournons à Paris. Nous nous disions que nous en profiterions mieux avec un esclave pour nous faciliter la vie, es- tu partant?"
- Oui Madame"
- Très bien, c'est décidé. Nous avons beaucoup parlé de toi avec Thierry, du fonctionnement à trois qui satisfera tout le monde. Es tu sur d'apprécier cette situation? Veux tu aller plus loin dans la soumission pour mon plaisir?"
- Oui Madame"
- Je suis contente de toi; tu mérites une récompense et elle sera de taille: pendant une semaine, tu pourras effectuer tous les jours ma toilette intime avec la langue
- Es- tu content?"
Depuis un an je n'ai vu le sexe de mon épouse que par le trou de la serrure, j'ai répondu joyeux:
- Oh oui Madame!".
Sans plus attendre elle m'a donné l'ordre de m’exécuter:
- Mon amant m'a fait jouir plusieurs fois, nous avons transpiré d’excitation, au boulot!"
Je me suis approché et tendrement j'ai posé la langue sur sa chatte. J'ai adoré tous les goûts différents que je découvrais, ses sécrétions, le sperme, la sueur, j'étais aux anges. Pendant dix minutes, je me suis appliqué pour la satisfaire; elle ronronnait et Thierry, silencieux était au spectacle.
Puis elle a poursuivi sa domination:
- Maintenant que j'ai trouvé un homme, un vrai, tu vas prendre soin de lui, vas lui nettoyer le sexe"
Je n'ai pas d'attirance particulière pour les hommes et j'ai manifesté mon désaccord. Nadine m'a poussé du pied, furieuse:
- Parce que tu crois que tu as le choix? Tu n'as pas bien compris ce que j'attends de mon esclave, avoue que tu prend ton pied à me satisfaire, à être un sous- homme! Et puis il y a autre chose, Thierry, montre lui les photos"
Thierry a sorti les photos de la soirée à Paris, celle ou j'avais joué volontairement le rôle de la table de nuit.. Les gros plans sur moi dépassaient ce que j'avais pu imaginer. Nadine est allée s'asseoir sur les genoux de son amant et ils ont rigolé en regardant les photos puis elle m'a menacé d'envoyer ces clichés à mes collègues de travail si je la décevais. Piégé.
- Ma tite couille, nous allons réécrire notre contrat de mariage pour notre bonheur à tous les deux mais si tu tiens à notre union, il ne faudra pas trop me décevoir, c'est compris?"
- Oui Madame " ais- je répondu ... et j'ai nettoyé le sexe de Thierry.
Pour la première fois, ma femme avait mené seule les débats, elle prenait plaisir à me soumettre et savait que j'étais heureux ainsi. Très excités par la situation, ils ont refait l'amour dans la chambre toute la soirée, il vient juste de repartir.
Vendredi 15 mai 2009
Préparatifs
J’organise le week- end de mon épouse et son amant. J’ai réservé l’hôtel, le même que la dernière fois ; toujours deux chambres, une pour le couple, une pour moi. Je leur ai trouvé un restaurant pour un dîner romantique en bord de Seine. J’ai fait réviser la voiture ce matin et j’ai fait le plein. Je sais que je serai leur chauffeur ; contrairement au séjour précédent, ils ont décidé de voyager tous les deux à l’arrière. Ils ont envie de profiter de chaque minute de leur week- end en amoureux.
Ma femme aime cet homme. Maintenant elle l’aime plus que moi, c’est certain. Elle a de l’affection pour moi et n’envisage pas de divorcer mais je me demande ce qui pourrait se passer si Thierry quittait sa femme. En tout cas, Nadine m’a dit que je n’avais pas le choix. Si je lui demandais de choisir, elle me quitterait. La seule solution c’est d’accepter cette situation qui me convient mais me fait terriblement peur. J’aimerais rester à ses pieds pour la vie. J’ai peur que cela s’arrête un jour.
Lorsque Thierry n’est pas là, Nadine est agréable avec moi, elle satisfait mon désir de soumission en douceur. Dès qu’il est présent, elle devient plus sévère et aime montrer à son amant comment elle traite sa lopette de mari.
Je ne sais pas comment va évoluer cette relation à trois. Je suis à la recherche de conseils si vous avez vécu une situation similaire. Ais- je raison de me plier à toutes leurs envies ? Dois- je tout accepter juste parce que cela satisfait mon désir de soumission ?
Que va- t- il se passer ce week- end ?
Dimanche 17 mai 2009
week- end décevant
Notre week- end à Paris ne me laissera pas un souvenir aussi fort que le précédent. Je n'ai pas pu assister aux ébats de mon épouse.
Samedi matin, Thierry et Nadine m'ont expliqué pendant que je conduisais ce qu'ils attendaient de moi. Mon rôle allait être de tenir leur chambre impeccable. Pas de quartier libre, je passerais le week- end à l'hôtel.
Pendant ce temps, leur programme à eux a été restaurants, clubs érotiques, rencontres.
Mais contrairement à l'autre fois où j'avais été témoin de leur soirée du samedi, je les ais très peu vus à l'exception d'un moment le samedi soir vers 23 heures où ils sont passés à l'hôtel pour se changer avant de repartir en club.
J'ai alors dû lécher les pieds de mon épouse et lui faire une toilette intime qui m'a permis de constater qu'elle avait déjà passé de bons moments.
Puis plus rien de la nuit; j'ai appris lors du trajet retour qu'ils ont été hébergés par une de leurs rencontres. Satisfaits de la manière dont j'ai tenu la chambre, j'ai eu l'autorisation de me tenir sous le lit de leur chambre pendant leur sieste coquine, cet après- midi.
Le week- end m'a tout de même paru très long, Nadine s'en est aperçu et ce soir elle m'a permis de me coucher à ses pieds pendant une bonne heure; j'ai pu lécher et caresser, je suis un soumis heureux.
…..............................
Mystère...
Thierry sera là ce soir avec un ami. Nadine vient de l’avoir au téléphone. Elle m’a dit aussi que je ne serai pas déçu de la soirée. L’ami en question est un homme qu’ils ont contacté sur internet. Je suis assez inquiet.
Hier, j’ai dit à Nadine que j’avais été un peu frustré par le déroulement du week- end dernier. Je ne suis pas sur d’avoir bien fait car elle m’a annoncé e Thierry avait une idée pour rattraper le coup. Je crains que l’invité de ce soir soit là autant pour moi que pour Nadine. D’autant que curieusement, elle m’a dit que je serai à table avec eux …
Mystère … .
Maître Gaël
Thierry est arrivé à 20 heures accompagné de Gaël, un homme brun d’une trentaine d’années, grand et maigre, moustachu, au regard sévère. Il m’a salué d’un signe de la tête et à fait un baisemain à ma femme. Thierry et Nadine se sont embrassés fougueusement, je suis allé servir l’apéritif.
Thierry avait un costume sans cravate et mon épouse avait mis une robe moulante rouge et des talons. Gaël n’était pas là pour se parler de la pluie et du beau temps, nous sommes vite entrés dans le vif du sujet.
C’est Thierry qui a pris l’initiative :
- J’ai contacté Gaël à la suite d’une discussion avec lui sur internet ; c’est un dominateur qui habite près d’ici et je lui ai demandé s’il voulait bien te former et nous aider à faire de toi un bon soumis ; Nadine ne sait pas toujours comment s’y prendre et moi non plus....... Notre but est que tu puisses développer ta nature d’être inférieur et obéissant, pour ton plaisir et pour notre bien- être »
Mon inquiétude ne faisait qu’augmenter, je ne voyais pas en quoi j’avais besoin d’un prof pour être aux pieds de ma femme.
Encouragée par les deux hommes, Nadine a enfoncé le clou :
- Tu n’es pas un bon coup au lit, ton sexe ne me fait pas rêver, tu es bien quand tu ne fais pas de bruit et que tu rampes à mes pieds alors comme ce week- end tu as trouvé que ce n’était pas assez, on a décidé de passer à la vitesse supérieure... Mon petit mari, on va s’occuper de toi » a- t’elle ajouté affectueusement.
Puis le ton a changé.
- Tite couille au pied !... Ta vie sera désormais consacrée à me servir et me vénérer, y es- tu prêt ? .
- Oui Madame » ais- je répondu.
Nadine s’est tournée vers Gaël et l’a remercié de son aide :
- Tu obéiras sans discuter aux demandes de Maître Gaël qui se chargera de ton éducation de soumis, c’est compris ? »
Je ne trouvais pas la force de dire non et sans savoir même à quoi je m’engageais je répondis « Oui Madame ».
- Oui quoi tite couille ? »
- Oui j’obéirai sans discuter aux ordres de Maître Gaël »
Mon nouveau Maître a alors pris la parole :
- Pour moi vous êtes un esclave ; nous nous sommes mis d’accord avec Nadine et Thierry sur les objectifs à atteindre avec vous et les limites de l’éducation que vous recevrez, mais il faudra respecter les règles qui seront fixées :
Il a arrêté ses explications puis a pris un ton solennel :
- Nicolas, es- tu prêt à devenir le serviteur de ta femme, l’esclave de ses moindres désirs ? »
- Oui » ais- je répondu.
Le repas qui a suivi a été spécial pour moi, Gaël et les deux amants ont fait connaissance ; ils ont beaucoup parlé de moi comme si je n’étais pas présent. Gaël a expliqué qu’il est un dominateur amateur, qu’il n’a pas trop l’habitude. Ils ont parlé de ce qu’ils souhaitaient pour moi, m’amener à la docilité, pas de SM, humiliation à volonté, respect de ma vie professionnelle et familiale…. .
Après manger Gaël m’a fait mettre nu pour inspecter en détail son élève.
- Tu mérites bien ton surnom de tite couille
Puis il m’a fait asseoir sur une chaise et m’a attaché avec de la corde de cuisine. Il m’a posé deux pinces à linge sur mes bourses et s’est amusé à tirer dessus. Mes cris de douleur ont eu l’air de lui déplaire mais il n’a pas insisté.
- Ta femme et Thierry prennent leur pied ensemble. Tu dois en être bien conscient et pour cela, tu vas les regarder faire. Regarde sans baisser les yeux et tu pourras peut- être faire leur toilette intime ».
- Oui Maître » m’a- t- il fait répondre.
Les amants se sont installés sur le canapé, face à moi, et ont commencé à s’embrasser ; pendant dix minutes ils ont mélangé leurs langues, je bandais comme jamais. Puis ce fut un long 69 pendant lequel ils gémissaient tous les deux. Nadine suçait avec gourmandise ce beau sexe. Pendant plus d’un quart d’heure, Thierry a pris ma femme, la mettant dans un état de transe que je ne connaissais pas. A plusieurs reprises, Maître Gaël a fait dire à Nadine que jamais je n’avais été capable de lui donner du plaisir, que Thierry est un vrai homme, qu’elle aime sa bite bien dure. Je n’ai pas baissé les yeux, je n’en avais pas envie, fasciné par le spectacle qui se déroulait devant moi.
J’ai du demander à plat ventre devant ma femme en lui embrassant les pieds en signe de soumission l’autorisation de faire la toilette du sexe qui lui avait fait tant de bien. J’ai alors pu lécher le gland de Thierry, avec moins de gène qui la première fois.
Par contre je n’ai pas pu approcher ma femme. Maître Gaël m’a expliqué que pouvoir toucher le sexe de mon épouse est un grand honneur pour un sous- homme comme moi, que cela se mérite et n’arrivera pas souvent.
Pour finir la soirée, Maître Gaël m’a ordonné d’aller remplir mon blog puis il nous a quitté. J’ai dû me mettre à genoux devant lui ; en me tenant la nuque, il a appuyé ma figure sur sa braguette puis il m’a repoussé du pied.
Depuis que j’écris ce rapport, j’entends Nadine et Thierry qui se font du bien dans la chambre conjugale. J'aime la sentir heureuse.
Ma place sera sur le canapé cette nuit.
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Soirée tranquille.
Je ne reverrai plus Gaël, il ne correspond pas à ce que mon épouse et son amant recherchent pour moi. Cela ne me fâche pas, bien au contraire, je n'ai jamais pensé qu'il était nécessaire de me donner un professeur pour m'apprendre à ramper devant ma femme; c'est une chose naturelle pour moi.
Tous les soirs elle sait que je suis en attente et elle m'offre ses pieds à lécher. elle me parle de plus en plus de Thierry comme s'il était le maître de maison (Thierry veut ci, Thierry n'aime pas cela...). La garde robe de Nadine change en fonction des goûts de son amant et je n'ai rien à dire; ça me va.
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Éjaculation
J'ai éjaculé ce soir, cela fait deux semaines que je n'y avais pas eu droit et ça me manquait.
Nadine m'a fait mettre nu à genoux, elle s'est mise derrière moi pour me branler. Des va et vient violents, réguliers qui ont eu leur effet: au moment où j'allais jouir, elle a enfilé une de ses chaussures à talons sur le sexe et j'ai éjaculé dedans.
J'ai léché l'intérieur de sa chaussure puis elle est partie au restaurant avec son amant.
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Attente
Thierry et mon épouse sont au restaurant ce soir et ils devraient venir passer la nuit à la maison. Je prépare la chambre pour leur nuit amoureuse.
J'espère qu'ils viendront dormir ici et que je pourrai enfin poser les lèvres sur la chatte de Nadine même si ce n'est que pour en faire la toilette. J'ai demandé à pouvoir dormir au pied du lit, je n'ai pas encore leur réponse.
Nadine et Thierry m'ont dit d'utiliser mon blog pour proposer mes services d'esclave si cela peut intéresser quelqu’un. Ils étudieront les propositions.
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Samedi 13 juin 2009
Explications
Bien sur il n'est pas facile pour tous de comprendre ce que je vis.
Il faut vous dire que je suis marié à une très belle femme, qui fait de l'effet aux hommes par son charme et sa beauté. Je sais qu'elle m'aime beaucoup et elle est capable d'une grande tendresse avec moi.
Nous avons toujours parlé librement de nos envies mutuelles et je suis fier d'être à ses côtés même si je ne la satisfais pas et si elle a besoin d'un autre partenaire pour s'épanouir sexuellement. Notre relation est d'ailleurs bien meilleure depuis qu'elle a un amant et des aventures.
Je ne la touche plus mais elle s'applique à maintenir mon désir, à s'occuper de moi, à me laisser rêver d'elle. Je sais que c'est difficile à comprendre mais je suis prêt à goûter au sperme de ses amants si cela me donne l'occasion d'embrasser le sexe de mon épouse. Je sais aussi que certains le comprennent.
Merci de vos commentaires, ils m'encouragent à tenir ce journal plus régulièrement.
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Les jours se suivent ...
Nous nous installons, Nadine et moi dans un train- train qui nous convient à tous les deux : tous les jours je quitte le travail très tôt pour être présent à son retour et ma première tâche est de lui administrer un long massage des pieds qui est la seule partie de son corps qui m’est encore accessible. Selon son envie, je masse avec les doigts, la langue, ou les deux.
Ce moment est très important pour moi. Nadine l’a bien compris. Mon inquiétude est de la voir me quitter un jour ; en m’accordant ce moment quotidien qui est un moment tendre, elle me rassure et me montre que je compte encore pour elle, ne serais- ce que pour soulager ses pieds. Elle me dit très souvent qu’elle ne souhaite pas me quitter pour peu que j’accepte sa relation avec de vrais hommes et que je sois capable d’accepter cette situation d’homme de maison entièrement à son service .
Depuis quelques jours je n’ai plus le droit de lui dire non. Son avis s’impose à moi en toute chose. C’est tout particulièrement vrai pour les dépenses alors que j’ai passé des années à faire la chasse à son coté cigale. Maintenant les choses sont claires, j’ai une reine à la maison, je dois satisfaire tous ses désirs. A commencer par de la lingerie : il y en a eu pour 600 euros ce mois- ci pour des sous- vêtements que je ne verrai jamais.
Sa menace proférée il y a plusieurs semaines déjà a été mise à exécution : lorsqu’elle se fait belle pour aller retrouver Thierry, elle m’attache à un radiateur le temps qu’elle est à la salle de bain pour ne pas que je la regarde par le trou de la serrure.
Sa relation avec Thierry est au beau fixe. Comme il est marié, leurs rencontres ne sont pas régulières. Il arrive qu’il passe à la maison sur 10 minutes, parfois pendant le repas. Il me serre la main puis embrasse ma femme et ils vont prendre du bon temps dans la chambre. Par contre il est rare que je puisse faire la toilette intime de Nadine après (2 fois depuis début mai).
Avec moi Thierry est sympathique et autoritaire, il ne méprise pas pour peu que j’accepte sa supériorité et que je ne touche plus Nadine sans son autorisation. Comme je lui ai dit que les relations sexuelles me manquent, il souhaite que je trouve sur internet une autre lopette dans la région Auvergne avec qui je pourrai me faire du bien de temps en temps. En ma qualité de sous- homme, il ne conçoit pas que je prétendre satisfaire une femme.
J’ai rédigé une annonce dans ce sens : « lopette de l’Allier cherche un autre homme soumis pour plaisirs mutuels, pelotages, jeux de langue, sodomie protégée une à deux fois par mois. Propreté et discrétion assurées ». Si certains d’entre vous connaissent un site où je pourrais mettre mon annonce en valeur et avoir des chances de trouver, je vous remercie de me laisser le lien en commentaires.
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L'été des rediff..! Tranches de vie
Suite et fin de ce témoignage.
NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
Episode III
Thierry s'installe...
L’amant de ma femme est passé à midi.
Le but : prendre un peu plus possession des lieux. J’ai ainsi perdu l’un des deux lavabos de la salle de bain, je ferai désormais ma toilette au lavabo du garage. Symbole de ce changement, sa brosse a dent a remplacé la mienne, mon rasoir a évacué les lieux, la salle de bain m’est désormais interdite.
Nadine ne m’a pas caché la raison de cette mesure : elle souhaite en effet ranger dans la salle d’eau leurs affaires et leurs jouets intimes qu’il ne peut pas emmener chez lui à cause de sa femme ; de plus, ils aiment visiblement prendre le bain ou la douche ensemble et ils ont des souvenirs très forts dans cette pièce .
Des changements notables ont aussi lieu dans la chambre. Une commode m’y est réservée et l’armoire a été vidée de mes affaires pour accueillir quelques unes des fringues de Thierry. Bien sur, ces nouveaux lieux réservés au couple adultère sont fermés à clé et me sont inaccessibles.
Cette situation me trouble énormément. Je pense que Nadine laisse volontairement des indices destinés à maintenir mon excitation en permanence. Ce matin par exemple elle m’a demandé de faire les comptes. Dans les tickets de caisse, il y en avait un d’un sex- shop de la ville qui mentionnait l’achat d’ «accessoires»pour un montant de 189 euros. Je lui en ai parlé à midi et j’ai eu droit à un bisou très tendre sur la joue pour me remercier de lui offrir une vie sexuelle épanouie. Mais je n’ai pas eu le droit de savoir quel type d’achat le ticket concernait.
Thierry a déposé ses pantoufles dans l’entrée. Lorsqu’il vient dormir la nuit, ce qui est assez rare, je dois cirer ses chaussures. Il est chez lui à la maison.
Vacances
Plusieurs d’entre vous m’ont reproché de ne pas être assez régulier dans mes messages ; il faut vous dire que j’ai traversé une période de doutes voire de déprime au début de l’été ; maintenant cela va mieux. Je crois que je me sentais délaissé par ma femme qui est folle amoureuse de Thierry et ne prenait plus assez de temps pour s’occuper de moi ; elle était même assez agressive quand elle ne le voyait pas de 48 heures.
Heureusement, le couple m’a permis de les accompagner en vacances. Nous avons fréquenté les plages naturistes du Cap d’Agde. Ma serviette, à quelques mètres de leur parasol m’a permis de partager leur intimité et de redécouvrir celle de Nadine ; je ne l’avais plus vu nue depuis longtemps.
Plusieurs moments forts ont ponctué notre séjour et je vais vous en parler dans les jours qui viennent.
Une confirmation toutefois, Thierry ne semble pas devoir quitter sa femme ce qui me laisse pas mal d’espoir de conserver la mienne et de ne pas me faire jeter de la maison si je suis assez obéissant pour la satisfaire.
Vacances au Cap(1)
Une semaine, cela passe très vite. J’étais très heureux lorsque Nadine m’a annoncé ce séjour en me disant que je faisais partie du voyage. Mon épouse n’étant pas naturiste au quotidien (en dehors des moments sur la plage), elle a choisi une location en dehors de la zone réservée.
Vendredi soir avant le départ, je lisais au garage comme souvent lorsque Thierry est là. Ils m’ont appelé pour me dire quels étaient leurs projets :
Mon rôle sera de leur permettre de profiter pleinement du séjour : je me lèverai avant eux pour leur amener le petit déjeuner au lit, je me chargerai des courses, de faire les repas, la vaisselle, le repassage et les machines. L’après- midi, je serai libre de les rejoindre à la plage mais ma serviette sera au moins à 10 mètres d’eux. Nous logerons dans une pièce unique ce qui me permettra de profiter de leur intimité mais je devrai faire en sorte de ne pas les déranger. Le programme me plaisait, j’ai accepté immédiatement.
Comme je montrais de la bonne volonté, j’ai eu droit à une récompense. Le sexe fraîchement rasé de Nadine avait besoin d’un nettoyage et j’ai eu le droit de nettoyer le sperme qui en sortait.
Puis Thierry m’a fait mettre à genoux, il a pris mon sexe et l’a branlé jusqu'à l’éjaculation. Après avoir léché le sol, j’ai été renvoyé dans mon garage.
Plus tard, Nadine est passé me voir et a déposé un baiser furtif sur mes lèvres ; j’étais comblé … .
Départ le lendemain matin.
Journée à la plage.
Dès la première journée, la plage est la principale activité. Je suis très étonné de constater qu’il y a vraiment du monde sur cette plage naturiste et que chacun y est à l’aise, ma femme la première. Je ne connaissais pas cet aspect exhib de son tempérament.
Dès l’accès à la plage, je laisse comme prévu 10 mètres entre le couple et moi, Thierry s’amusant de cela en posant une main sur la fesse de ma femme pour affirmer un peu plus sa domination que je ne conteste pas de toute façon. J’installe ma serviette à dix mètres sur leur droite, Thierry prend soin de se mettre de mon côté pour gâcher ma vue sur Nadine ; en revanche, j’ai une vue superbe sur son sexe, décidément plus gros que le mien même au repos. Très excité, je me couche sur le ventre pour dissimuler une érection impossible à calmer.
Dimanche et Lundi sont ainsi consacrés à la bronzette, les deux amants allant peu à l’eau. Le lundi, un jeune surfeur que nous avions déjà vu la veille est venu poser sa serviette à quelques mètres sur leur gauche. Allongé en parallèle à Nadine, il a une vue privilégiée sur ses jolies formes. J’ai l’impression que cela amuse Nadine et surtout Thierry qui, comme moi, voit depuis un moment les regards appuyés du jeune brun vers cette femme nue. Le couple décide d’aller plus loin ; Nadine s’asseoit, faisant admirer ses beaux seins puis se lève, met sa serviette à la perpendiculaire de Thierry et s’allonge sur le ventre en appuyant sa tête sur le dos de son homme. Ses yeux coquins me regardent maintenant et elle offre une vue imprenable sur son entrecuisse au jeune surfeur, tellement troublé qu’il n’ose presque plus regarder. L’invitation est claire, osera- t’il ? Quelques minutes passent, le jeune mate de plus en plus mais ne bouge pas. C’est Nadine qui prend l’initiative et va se tremper dans l’eau. Thierry, habillement, ne bouge pas. Sans surprise, le surfeur file se baigner, sans sa planche, et peu à peu, se rapproche d’elle jusqu’à engager la discussion.
Peu de temps après, Nadine revient à sa serviette, glisse quelques mots dans l’oreille de Thierry. Celui- ci satisfait lui prend la main, me fait signe de ne pas bouger et l’emmène dans les dunes, suivi, comme par hasard par le beau brun. Je sais que c’est le début des réjouissances ; imaginer ce qui se passe dans les dunes m’excite au plus haut point, je reste sur le ventre. Le surfeur à un très joli physique, elle doit prendre plaisir à embrasser son torse musclé et imberbe ; son sexe n’a pas l’air exceptionnellement gros. La ballade dans les dunes dure bien 20 minutes, cela me semble très long ; puis je vois tout ce petit monde revenir, visiblement hilares. Pendant que le surfeur installe sa serviette juste à côté de ma femme, Nadine me rejoint rapidement, officiellement pour faire un bisou à son mari adoré, en réalité pour me faire constater que du sperme coule de son sexe et qu’elle en a aussi sur ses seins. Elle se couche alors sur moi pour me déposer sur le dos la semence de ses amants. Puis elle part se baigner, avec son nouvel amant ; ils passeront pas mal de temps dans l’eau enlacés.
Je comprends vite que nos vacances à trois vont sans doute devenir des vacances à quatre, de quoi combler Nadine.
Soirée avec Marc
En effet, le soir même, le jeune prénommé Marc nous rejoint à l’appartement avec une forêt noire pour le dessert. Puis ils partent marcher pour digérer pendant que je fais la vaisselle.
A leur retour, je suis convoqué à la table du trio pour recevoir les nouvelles consignes. Dorénavant, à la maison, je serai nu en permanence tandis qu’eux seront habillés. Je laisserai la banquette à Marc pour la nuit et dormirai par terre sur une couverture. Pour montrer à ce dernier que cela ne pose pas problème et qu’il est le bienvenu, je dois immédiatement lui faire une fellation complète.
Marc s’approche, je me mets à genoux devant lui et nous voilà partis. Cette fellation m’a été très désagréable ; je ne sais pas comment Marc se comporte avec ses copines mais visiblement, son plaisir est d’enfoncer le sexe le plus loin possible dans la bouche ; j’ai cru qu’il allait me rendre malade ; il me tient la tête et me pilonne sans ménagement ; je me fais la réflexion que c’est une chance qu’il n’aie pas un sexe de vingt centimètres.
Les quelques fois où j’ai sucé Thierry, c’était beaucoup plus agréable mais après tout … on n’est pas là pour mon plaisir à moi. Le sexe n’est pas très gros mais les couilles sont bien pleines et lorsqu’il éjacule en me tenant la tête pour maintenir son sexe bien au fond, c’est comme une explosion ; je m’étouffe, du sperme est expulsé de ma bouche, et j’ai tout le mal du monde à avaler tout ce que j’ai dans la bouche tandis que Marc se retire dans un râle de satisfaction. Fier de moi d’avoir tout avalé, je me retourne vers Nadine qui, au lieu de me féliciter, me tourne une gifle en me disant que si elle a changé son mari en esclave, ce n’est pas pour que celui- ci dégueulasse la moquette. Il y avait du sperme un peu partout autour de moi et j’ai du le lécher jusqu’à laisser place propre avalant quantité de poils de moquette au passage.
Notre petit appartement comportant une seule pièce, ma présence devient une gêne pour leurs ébats. Ce n’est pas la première fois que je suis présent pour entendre mon épouse prendre du plaisir mais c’est en général sur de petits moments puis on me renvoie au garage.
Lorsque vers 23 heures ils décident de prendre du bon temps dans le lit, Thierry me met un bandeau sur les yeux et m’ordonne de me tenir debout dans un coin jusqu’à nouvel ordre. Cette situation, excitante au début, tourne vite au calvaire ; j’entends Marc et Thierry s’occuper de Nadine pendant plus de deux heures ; la fatigue et la douleur m’envahissent. J’ entends Nadine s’éclater, je ne saurai dire combien d’orgasmes elle a.
Quand ils font une pose, Thierry explique la situation à Marc, celle d’une épouse insatisfaite, qui avait eu un orgasme en dix ans jusqu’à leur rencontre. Même si je sais que ce n’était pas vrai, je souffre d’entendre Nadine confirmer que j’avais plein de qualités mais surement pas celles qu’on attend d’un homme.
A partir de ce moment, Marc s’est montré insolent avec moi, disant que des gars comme moi devraient être castrés, ce serait dans l’ordre des choses, il commence lui aussi à m’appeler tite couille. Quoique j’apprécie de constater que cet inconnu met un préservatif pour s’occuper de ma femme, cela a un inconvénient de taille, c’est qu’il prend plaisir à venir le vider dans ma bouche en me traitant de bonne salope. Cela s’est produit 8 fois sans mentir. Je ne sais pas quelles sont ses habitudes sexuelles mais je suis surpris à chaque fois de la quantité de sperme dans le préservatif.
Ce Marc, je ne l’aime pas. Nadine a pourtant l’air de beaucoup l’apprécier, au point de lui offrir son cul, un cul magnifique auquel je n’ai jamais eu droit. Au cours de leurs ébats, ils ont pris une position plus difficile qui a fait jouir Nadine très fort, mais je n’ai pas réussi à savoir si elle avait une queue dans la chatte et une dans le cul ou les deux dans la chatte.
Deux heures de baise intensive, je le sais car j’ai entendu Marc dire qu’il était une heure du matin, puis des bruits de douche, un long moment de caresses et d’embrassades dans le lit, puis plus rien pendant un long moment.
M’auraient- ils oublié ? Je ne supporterai pas de passer une heure de plus debout, la nuit j’imagine même pas. Puis la délivrance, le bruit de la chasse d’eau, des pas qui s’approchent et la voix de Marc qui me chuchote à l’oreille :
- Ils se sont endormis, on a failli t’oublier salope, tu veux retourner à ta couverture ?
Je ne l’aime pas mais il me délivre et j’ai répondu
- Oh oui, s’il te plait ».
C’était une erreur, ce mec est un sadique :
- D’où tu me tutoies, chien ? ».
Il me prend alors les tétons entre deux doigts en prenant soin de me faire très mal et me met au sol. Il m’attrape les cheveux et me fait lécher ses pieds, puis ses aisselles, puis son cul et pour terminer il me fourre de nouveau son sexe dans la bouche et me prévient :
- Une goutte par terre et tu dors debout !
Je dois alors subir une nouvelle fellation brutale et angoissante : je suis à l’écoute de ses gémissements, de ses spasmes, pour ne pas me faire surprendre et sentir son éjaculation arriver. Par bonheur, il a envoyé la sauce avec le sexe un peu en retrait et non au fond de la gorge, ce qui m’a permis de bien refermer mes lèvres sur son sexe et de tout avaler, en laissant juste couler un peu sur mon menton que j’ai récupéré par la suite. Sans un mot, il m’a pris par les cheveux, m’a couché sur la couverture et m’a enlevé mon bandeau.
Nadine et Thierry s’étaient effectivement endormis, elle sur lui, son sexe en elle, ma femme était très belle.
Que faire?
Ce Marc, je ne l’aime pas.
J’y ai pensé une bonne partie de la nuit. Je ne suis pas homo. Il m’arrive de satisfaire Thierry pour le bonheur de ma femme et parce que j’accepte ma soumission à ce couple mais je sens bien qu’au fond ils ont de la sympathie pour moi (Nadine est parfois très tendre).
Mais Marc me méprise, il se défoule sur moi et je ne sais pas jusqu’où ça peut aller. Devrais- je en parler à ma femme ? Thierry et elle ont- ils fait exprès de le laisser s’occuper de moi hier soir ? Je ne sais pas quoi faire.
Comme tous les matins, le réveil de mon téléphone sonne à 6h30. Je dois être sur que tout soit prêt à leur réveil, petit déjeuner et la presse du matin. Je sors faire les courses.
A mon retour, tout le monde dort encore. J’en profite, chose interdite, pour aller me caresser dans les toilettes, une éjaculation, la première depuis notre arrivée, c’est toujours ça de pris, j’en avais très envie.
Marc se réveille en premier et les brimades se poursuivent. Les insultes viennent naturellement chez lui. Sa dernière lubie, c’est que je tienne son sexe pendant qu’il urine, il dit que ça convient bien à une lope comme moi. Et bien sur, sans surprise, j’ai dû nettoyer son sexe à la fin. Comme l’effet de ma langue sur son gland n’a pas tardé à se produire, nous voilà parti pour une nouvelle fellation, de bon matin, à jeun.
Cette nouvelle séance de pilonnage intensif réveille le couple qui vient assister et pense que j’y prends goût. Pour augmenter le plaisir de Marc, Nadine encore nue s’approche et se met à lui passer des coups de langue dans le cou, sur les oreilles, sur le torse. Marc roucoule de plaisir et éjacule avec cette expression savoureuse :
- Vas- y salope prend tout ce bon yop » ; En plus c’est un poète !
Les femmes sont décidément plus fines que nous. A plusieurs reprises pendant la fellation, mon regard a croisé celui de Nadine et elle a compris que les choses allaient trop loin pour moi. Elle en a parlé par la suite à Thierry et, comme par miracle, le beau Marc n’est plus réapparu.
Je veux voir dans sa démarche une preuve de l’affection qu’elle a pour moi. Le lendemain elle me confiera que j’étais très beau, soumis et obéissant de la sorte mais que j’avais raison, ce Marc est une brute.
Mes rapports avec ma femme me comblent en ce moment ; je sens qu’elle tient à moi, elle se confie parfois comme elle ferait avec une copine, me dit ce qu’elle aime chez Thierry, ce qu’elle aimerait voir changer. Elle me dit qu’elle est heureuse. Dimanche soir, ils sont sortis et elle a pris beaucoup de plaisir en se faisant caresser sur un parking.
Elle est étonnée de faire tout ça mais y prend un plaisir immense et elle est folle amoureuse de Thierry qui lui permet d’explorer ses fantasmes. Elle me dit aussi qu’elle aimerait qu’il quitte sa femme mais qu’elle n’y croit pas beaucoup. Ce rôle de confident me comble, m’excite, me fait souffrir, tout à la fois. Elle n’oublie pas son rôle de dominante et pendant cette semaine, elle s’est souvent confiée en me caressant la tête, pendant que je lui léchais les pieds.
Le monde est petit
Mardi, la plage du cap était encore plus fréquentée que la veille. Nous reprenons notre fonctionnement habituel, moi à dix mètres d’eux.
Alors que je m’étais assoupi, quelqu'un me tape sur l’épaule et, stupéfait, je vois face à moi Jean- Marc, un collègue de mon entreprise qui est venu dîner quelques fois à la maison.
- Ca alors, si je m’attendais, je n’aurais jamais cru ça de toi ! Nicolas naturiste ! Tu es venu sans Nadine ?
J’ai failli répondre que oui mais de peur qu’il ne la voie je n’ai pas osé.
- Non, elle est là, à côté, avec Thierry, un ami ».
Alors que je tends le doigt dans sa direction c’est la stupéfaction, Nadine est bien allongée à côté de Thierry mais elle a une main sur le sexe de Thierry qu’elle caresse tendrement et l’autre sur le sien qu’elle caresse avec la même douceur. Visiblement elle n’a pas vu Jean- Marc.
Ce dernier ne se démonte pas, appréciant peut- être cet élan libertin, il va vers elle, lui fait la bise, serre la main à Thierry avant de revenir vers moi. Il me fait un clin d’œil, me dit « à bientôt » et poursuit son chemin.
Je suis rouge de honte. Il ne peut pas imaginer que je suis soumis à un couple d’amants, il pensera juste à une aventure libertine.
En soirée, Nadine me dit qu’elle est désolée. Je lui réponds que c’est comme ça, que Jean- Marc me semble plutôt être un gars discret, en tout cas je l’espère. En fait je suis terrorisé qu’une rumeur ne se développe sur mon lieu de travail.
Fin de séjour
La suite du séjour s’est déroulée beaucoup plus calmement pour moi.
Se rendant compte que l’aventure avec Marc m’avait perturbée, Nadine et Thierry ont décidé de moins m’associer à leurs ébats.
A partir de mercredi jusqu’à notre départ samedi, je ne suis plus autorisé à aller à la plage naturiste avec eux, je dois me rendre sur une plage grand public en prenant garde de rentrer suffisamment tôt pour que tout soit prêt pour leur bien- être quand ils reviennent de la plage.
Curieusement, cette décision m’a touchée comme une punition. Les ais- je déçu en gâchant leur rencontre avec Marc ? Une autre forme d’excitation s’est emparée de moi, plus douloureuse, l’imagination de ce que mon épouse est en train de vivre en mon absence.
Les journées sont effectivement plus calmes ; c’est la première fois que je suis à la plage tout seul, sans famille ni copains, et je m’y sens perdu, au point de rentrer très tôt au studio les après- midi.
Le jeudi en soirée, Thierry m’informe que Nadine a tapé dans l’œil d’un jeune hollandais avec qui elle a passé beaucoup de temps cet après- midi et qu’il passera la nuit avec eux.
A l’inverse de la dernière fois, je devrai dégager et aller dormir dans la voiture après les avoir servi à table. Une fois de plus, être ainsi écarté me peine et je regrette ma position de porte- manteau les yeux bandés du début de semaine. Je décide d’en parler à Nadine dès le lendemain.
Le hollandais s’appelle Dennys, il parle étonnement bien le français, il est comme on imagine les hollandais, grand et blond, les yeux bleus et un sourire magnifique.
Connaissant bien Nadine, je sais qu’il est à peu près le type d’homme de ses rêves et qu’elle va se donner corps et âme à ce nouvel amant. Dennys n’a pas besoin d’explications compliquées sur la situation, Thierry me présente comme le domestique et je me contente donc de faire le service à table sans diner avec eux. Une fois la vaisselle accomplie, alors qu’ils sortent prendre un verre en ville, je prends une couverture et vais dormir dans la voiture.
Le lendemain matin, par chance, Nadine se réveille la première et nous avons le temps de discuter un peu. Elle commence par me dire que la soirée a été très intense et qu’elle a pris beaucoup de plaisir.
Je lui dis que je souhaite faire le point sur la situation. Elle me rappelle les règles avant toute discussion : Son homme est maintenant Thierry et nous ne discuterons pas d’égal à égal ; si j’ai une demande à formuler, je le ferai couché à ses pieds. Je ne me fais pas prier.
Je lui caresse tendrement les pieds tout en lui parlant. Je lui explique que j’ai mal vécu d’être écarté ces derniers jours et que je suis désolé si je l’ai déçue lors de la rencontre avec Marc mais que je ne suis pas homosexuel. La réponse de Nadine est très claire :
- Je te comprends mon petit chéri mais il va falloir t’y habituer car il n’est pas question que tu aies une relation avec une femme, je ne le supporterais pas. De plus, j’ai pu constater pendant des années ton incapacité à me satisfaire. Ne le prends pas mal, ce n’est pas méchant, mais je peux te dire que comparé à ce que je vis actuellement, je n’ai pas l’impression d’avoir eu un homme dans ma vie avant ; je ne demanderai pas le divorce, tu le sais, mais uniquement si tu acceptes ta situation d’esclave qui convient bien à ton tempérament soumis. Nous en avons discuté avec Thierry ; si c’est vraiment ce que tu veux, nous ne t’imposerons pas de relation avec des hommes mais dis- toi bien que les femmes c’est fini pour toi et que refuser de satisfaire des hommes te conduira peu à peu à une abstinence totale.
Que répondre à cela ? Je sens de la déception dans les propos de Nadine, ce qui me conduit à lui dire que je ferai ce qui lui fait plaisir. Je me suis mis à lui lécher les pieds tendrement pour la détendre.
Elle m’a caressé la tête en me disant que les choses se feront progressivement et qu’elle n’a pas l’intention de me faire du mal. Reprenant son attitude dominante, elle me dit alors que Dennys passera la nuit de vendredi au studio, elle compte profiter de lui au maximum.
Puis c’est le coup de massue sur ma tête : Nadine m’apprend que le mercredi et le jeudi, Jean- Marc, mon collègue, a posé sa serviette près de la leur et qu’il est au courant de la situation. Nadine, pour me protéger, l’a rejoint dans les dunes pour lui demander d’être discret ; elle affirme qu’ils se sont un peu caressés mais que ce n’est pas allé plus loin, qu’il doit la rappeler à la rentrée. Elle espère qu’il n’osera pas poser des conditions à sa discrétion.
Je suis anéanti. Je me sens dépassé par la situation ; j’aime la nature de ma relation avec Nadine voire avec Thierry, mais tout ce qui se passe autour m’effraye.
Pensez- vous que je dois me laisser entraîner dans cette relation d’esclave sexuel acceptant tout ?
Certains d’entre vous ont- ils connu cela, comment le vit- on ?
Aurais- je du accepter de continuer à être le larbin de Marc ?
Comment dois- je me comporter avec Jean- Marc ?
Devant mes interrogations, Thierry et Nadine souhaitent que je trouve sur internet un modèle de contrat qui corresponde mieux à ma condition de soumis et qui encadre ma nouvelle condition par rapport à Nadine ; je cherche depuis quelques jours et j’ai du mal à trouver, j’appelle les lecteurs du blog à l’aide s’ils en connaissent.
Je suis un peu perdu et tous les conseils seront les bienvenus, merci à tous.
Soumis au quotidien
Je sais que je ne suis pas très régulier dans mes messages et vous avez raison de me le reprocher. En fait il ne sa passe pas grand- chose dans notre quotidien en ce moment et je ne sais pas trop quoi raconter.
Nadine voit Thierry une ou deux fois par semaine, parfois à la maison, parfois ailleurs, je ne suis pas présent sauf lorsque je les sers à table et ma femme ne me raconte pas ce qu’elle fait avec son amant. Lorsqu’ils se voient, je suis à la recherche du moindre indice (odeur de sa petite culotte dans la panière le lendemain, tickets de caisse pour savoir où ils sont allés…). Ma paye continue à alimenter leurs soirées, le plus souvent il s’agit de factures de restaurants et de boites, de magasins de lingerie, plus rarement de sex- shops.
Le plus souvent je dors au garage et lorsque Nadine n’a pas envie d’être seule, je suis accepté au pied du lit.
Je n’ai pas la force de me révolter, je pense que je n’en ai pas envie vraiment, j’ai décidé d’accepter ma situation dans l’espoir de satisfaire ma femme et de la garder. Elle me l’a dit l’autre jour : son côté soumise s’épanouit avec Thierry, son goût pour la domination s’exerce sur moi.
Je me rends compte qu’elle me protège de Thierry qui souhaiterait qu’elle soit beaucoup plus dure avec moi ; j’y vois une marque d’affection qui me fait du bien. Cela ne l’empêche pas d’être très exigeante avec moi par moment, notamment lorsque Thierry lui manque.
C’était le cas hier : il m’a fallu plus de trois heures pour la détendre, elle assise sur le canapé devant la télé, moi à genoux à ses pieds à lui caresser et masser les pieds ; dès que je faiblissais, elle me rappelait à l’ordre d’un coup de pied léger mais douloureux dans mes tites couilles.
Ces soirées où ma seule occupation est de m’occuper de ses pieds sont à la fois agréables et frustrantes car je peux la toucher mais je sais que je ne peux rien attendre de plus. Les jours où elle n’est pas bien, elle ne supporte pas que je croise son regard, alors je baisse les yeux.
En famille, elle laisse de plus en plus apparaître son autorité sur moi et nos proches ont compris que ce n’est pas moi qui commande à la maison. Personne ne m’en parle… .
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Septembre
Pour répondre à certains d’entre vous, il m’est difficile de tenir une sorte de journal quotidien, c’est une habitude que je n’ai pas, je travaille la journée et Nadine me laisse très rarement l’ordinateur qui est un peu son domaine réservé à la maison.
Je vais lui demander ce qu’elle en pense et essayer, comme le suggère Petit- soumis de laisser deux ou trois posts au moins pas semaine. Par contre je n’ai pas réussi à trouver comment on s’y prend pour référencer des personnes. Est- ce une option payante ?
La période actuelle est assez difficile pour moi. Alors que je connais et accepte la relation de ma femme avec son amant, ce dernier doit pour sa part être discret car son épouse n’est, semble- t’il au courant de rien. Alors qu’il avait pu trouver du temps libre cet été (elle devait travailler et pas lui), Thierry a du mal à se libérer depuis quelques semaines et cela rend Nadine nerveuse voire carrément agressive.
Elle m’en parle un peu mais en me laissant toujours à ma place. La seule caresse qu’elle accepte de moi est le massage ou le léchage des pieds ; je ne suis capable que de ça dit- elle. Dans ces périodes où elle est énervée, mon surnom de tite couille est pour elle un moyen de se défouler. Visiblement, elle n’a pas d’autre amant que Thierry quand il est absent et il lui manque vraiment. Je suis désolée pour elle.
Il me semble qu’une femme belle comme elle mérite plus d’efforts de la part de son amant. En ce qui me concerne, la regarder suffit à mon bonheur et elle le sait. C’est pourquoi elle a recommencé à me menotter au radiateur pendant qu’elle prend sa douche pour éviter que je l’observe nue.
Régulièrement elle me demande si je suis satisfait de ma situation. Pour le moment, je ne prends pas de risques et je lui dis que tout ce qui lui fait plaisir me convient. Elle est attentive à me garder à ses côtés je pense car je gagne beaucoup plus d’argent qu’elle et même que Thierry ; ma paye est consacrée au bien- être de ma femme.
Je sais cependant que si Thierry quittait sa femme, ma situation deviendrait beaucoup plus compliquée, c’est pourquoi je m’emploie à me rendre indispensable de toutes les manières possibles. Peu à peu, toutes les tâches ménagères me reviennent, je me suis même mis au repassage depuis quelques jours, ce qui permet à Nadine de se défouler en me faisant remarquer que je n’ai jamais su me servir de ma bite et que je suis aussi maladroit au fer à repasser.
Je sais qu’elle fait le nécessaire pour entretenir mon désir, c’est ce qui lui permet de me tenir à sa botte. Quand elle m’amène la panière à linge au garage pour que je fasse tourner le linge, elle sait que je vais passer du temps à sentir ses strings. Elle est devenue inaccessible pour moi, pouvoir sentir ses odeurs est déjà beaucoup et j’espère qu’elle ne me privera pas un jour de ce bonheur.
NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
Episode IV…........................
Automne
Nadine accepte l’idée de me laisser la machine quelques soirs par semaine pour vous tenir au courant de mon évolution de soumis. Comme elle me l’avait demandé pendant les vacances, elle me demande de lui fournir un contrat de soumission précisant mes engagements et mes devoirs.
Une fois encore, je vous demande de m’aider à trouver un modèle que je pourrais personnaliser, je cherche sur internet mais sans succès.
L’automne arrive, la grippe aussi et Thierry toujours pas.
Hier, Nadine a vu un reportage sur la SPA au journal, ça lui a donné l’idée d’adopter un chien pour avoir un peu de compagnie et elle m’en a parlé à midi. Bien entendu, je devrai m’occuper de ce chien pour qu’il soit heureux à la maison, je le sortirai matin et soir.
Je ne sais pas si c’est une idée de Thierry mais elle m’a dit que le chien dormirait dans la chambre, ce qui lui ferait de la compagnie puisque je dors dans le garage. Comment me montrer plus clairement que dans la hiérarchie de la maison, je passe après ma femme, son amant et son chien.
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Après le calme la tempête
Thierry a réussi à se libérer 24 heures pour passer du temps avec ma femme. Il est arrivé à la maison samedi à 18h et en est reparti hier soir. Dès son arrivée, le visage de Nadine s’est éclairé, son amant lui ayant beaucoup ces derniers jours. Pendant que je leur sers à boire, ils s’échangent un baiser torride pendant près de dix minutes.
Le programme du soir : restaurant puis boite. Curieusement, alors que je m’apprête à passer une soirée télé tout seul, Nadine me propose de les accompagner :
- Tu choisis ; tu nous accompagnes ou tu restes à la maison ; si tu viens, tu resteras dans la voiture pendant que nous serons au restaurant mais tu pourras venir danser un peu à condition de ne pas nous déranger
Le choix n’a pas été difficile, trop heureux qu’elle pense à m’associer à ce bon moment pour elle.
Souvent, dans vos commentaires, je lis que vous êtes inquiet d’une relation qui semble à sens unique. Cela ressemble à ça parfois mais pas systématiquement et je pense qu’elle a de l’affection pour moi.
Après l’apéritif, ils filent dans la chambre pour faire ce qu’ils attendent tous deux depuis trop longtemps puis ils se préparent pour la soirée.
Thierry est très élégant, comme à son habitude. Je comprends ce qui en lui peut plaire aux femmes, sa beauté, son assurance, son sourire.
Lorsque Nadine sort de la salle de bain après s’être préparée, je suis fasciné par sa beauté. Elle ne porte pas de soutien- gorge et son body de couleur vert d’eau, transparent, laisse voir nettement les auréoles sombres de ses seins ; une jupe cuir noire et des talons, des bas noirs. Elle enfile un chemisier blanc pour aller au restaurant.
Me voilà chauffeur du couple d’amants qui en 1 heure ont rattrapé deux semaines de baisers manqués. Je passe environ 3 heures dans la voiture devant un restaurant chinois dont ils ne ressortent que vers 23h30. Puis nous allons vers une discothèque pas très loin de Clermont- Ferrand. Pendant le trajet, je constate que Nadine a beaucoup bu et est très excitée.
Comme je le redoutais, Nadine pose son chemisier au vestiaire en entrant ; tout le monde va pouvoir profiter des superbes seins de mon épouse.
Pour moi la consigne est claire : je ne m’approche pas d’eux et je ne dois pas leur parler, je peux danser mais tout seul, je ne bois pas, je dois surveiller ce qu’ils font pour me tenir disponible dès qu’ils veulent partir.
Sans surprise, ma femme a beaucoup de succès, les regards des hommes sont insistants. La musique est forte, trop techno à mon goût. Nadine est en grande forme, elle ne quitte pas la piste de danse.
Thierry est là mais un peu en retrait, il semble d’humeur prêteuse et laisse Nadine constater comme elle plait aux jeunes hommes qui s’approchent de plus en plus d’elle.
Pendant une heure, je vois les corps se frôler, des mains se poser sur ses fesses qu’elle repousse gentiment, des bras frotter ses pointes de seins, les bassins se toucher. Visiblement elle adore, elle s’éclate, elle a souvent les yeux fermés et ne semble pas trop s’intéresser à ces attouchements déguisés, elle profite du moment.
En fait, je le saurai après, elle ne perd pas une miette de ce qui se passe autour d’elle, elle observe, elle laisse ses sens la guider, elle choisit. Lorsqu’une vague de slow arrive, plusieurs hommes viennent lui parler à l’oreille mais elle a fait son choix.
Thierry ne se rapproche toujours pas.
Nadine se met à danser avec un superbe blond d’une vingtaine d’années, tee- shirt blanc, bras musclés, visiblement bon danseur. Elle s’abandonne à lui, il la guide superbement, ils dansent très bien. La tête appuyée sur son torse, elle semble apprécier son assurance.
Je n’en perds pas une miette et je suis fou d’excitation. J’aime cette femme, même quand elle prend du plaisir dans les bras d’un autre. Ce que lui offre ce jeune danseur, je n’ai jamais pu lui offrir, je suis beaucoup moins beau, je danse très maladroitement, je n’ai aucune assurance.
Dès la fin du slow, ils rejoignent Thierry dans un coin équipé de canapés et ils boivent un verre tous les trois. Je suis très surpris de voir que Thierry se tient en face d’eux. C’est le jeune danseur qui passe le bras autour du cou de ma femme et qui laisse un doigt se promener sur sa poitrine pendant qu’ils discutent. Thierry est visiblement décidé à laisser Nadine prendre du bon temps avec un autre partenaire. Pour mon plus grand bonheur, Nadine pense à jeter un œil vers moi de temps en temps et me sourit pour me montrer qu’elle est heureuse.
Un peu plus tard dans la soirée, Thierry vient vers moi pour me dire de ne pas bouger et de les attendre. Ils sortent alors de la boite et n’y reviennent que 30 minutes plus tard. Je ne sais pas ce qu’ils ont fait pendant ce temps même si je m’en doute.
Ce sont toujours des moments d’émotion forte que ces longues minutes où l’on imagine sa femme s’abandonnant à deux hommes, découvrant le bonheur d’être prise par deux sexes vigoureux. Un danseur comme ce jeune blond doit divinement faire l’amour.
A leur retour, le blond s’éloigne d’eux et Nadine rejoint la piste de danse. Un long moment encore, elle accepte les caresses déguisées, les mains posées furtivement sur ses fesses, les genoux qu’elle laisse remonter entre ses cuisses, quelques baisers dans le cou… . Elle est clairement dans un état second et prête à trouver un nouveau partenaire.
Bien sur dans ces cas- là, tous les mâles se déchaînent et les commentaires vont bon train. Passant derrière quelques- uns, j’entends des réflexions criées de bouche à oreille pour passer par- dessus la musique.
- Tu as vu la chaudasse au milieu de la piste ?
- J’ai un pote qui y a mis la main, elle n’a rien sous la jupe
- Elle doit être sacrément bonne, on tente notre chance ? Te dégonfles pas, tu crains rien, là mon gars ya une salope de compétition .
Vers les deux heures du matin, Thierry vient me dire qu’on s’en va. Nadine a trouvé un homme à son goût et elle veut en profiter à la maison. Toujours un jeune, blond encore une fois mais beaucoup moins beau que le premier et pas très bien habillé, je suis presque étonné du choix de mon épouse.
Thierry passe à côté de moi dans la voiture, pendant que Nadine fait connaisance avec Simon, son nouvel ami.
Sitôt arrivés à la maison, Thierry me confie que Nadine a choisi Simon car elle a senti en dansant un sexe énorme dans son pantalon. Il me demande de regagner le garage et y enferme aussi Câline, le chien de Nadine.
J’ai essayé de dormir un peu mais je n’ai pas réussi. J’entendais des bruits, les cris de ma femme, parfois des bruits de chasse d’eau, de la porte du frigo.
Vers cinq heures, Thierry vient me chercher et le moment tant attendu arrive enfin, je vais faire la toilette intime de ma femme.
En fait non. Thierry me dit que Simon a un sexe vraiment anormal, que ma femme a adoré et qu’ils ont convaincu Simon de m’en faire profiter aussi!
Après une gifle en réponse à mes protestations, il me met un foulard sur les yeux et me conduit dans la chambre où il y a une odeur animale. Je suis mis à genoux et ma femme vient déposer une bise sur mes lèvres, de quoi me faire accepter n’importe quoi.
Puis elle m’ordonne de lui lécher les pieds pendant que Simon va me montrer comment on traite une chienne comme moi. En effet, je sens le gland appuyer sur mon anus. Pendant dix minutes, il essaye en vain de trouver une position pour me pénétrer, Thierry m’enduit de quelque chose de gras, puis je sens des mains qui travaillent à élargir mon trou. Dès que je me contracte trop, je prends un coup entre les cuisses.
J’ai très mal, je pleure et je me raccroche à ma branche de survie, le pied de ma femme dont j’aime l’odeur, que je ne cesse de lécher et embrasser. D’un coup il parvient à entrer et se met à me limer. J’imagine la forme curieuse de ce sexe qui n’a pas l’air long car je sens le ventre de Simon contre mes fesses mais qui est très large, j’ai l’impression qu’on m’a mis un bras dans l’anus. Je pense que c’est surtout son gland qui est énorme.
Simon s’amuse à sortir d’un coup puis entrer de nouveau, je sens mon anus qui se contracte au début puis plus du tout au bout d’un moment et j’imagine mon trou ouvert et offert à la vue de ma femme.
A- t- elle eu droit elle aussi à une sodomie comme celle- là ?
Simon accélère le rythme et, pauvre de moi, les frissons me prennent, je me mets à gémir, le plaisir arrive. Thierry en profite alors :
- Tu vois bien ma chérie que c’est une tapette, depuis le temps que je te le dis ! Tu veux que je te le prouve ?
Il prend alors mon sexe et en moins de dix secondes me fait éjaculer.
Simon est lui aussi sur le point de jouir, il sort de mon cul , me fait ouvrir la bouche, la pénètre non sans peine et m’envoie une quantité énorme de sperme que j’ai du mal à avaler. Je passe dix minutes a lécher le sol pour nettoyer mes saletés.
Avant de me renvoyer au garage, Thierry me demande de lui lécher l’anus ainsi que celui de Simon. Sans surprise, je n’ai pas le droit de plonger entre les cuisses de Nadine, les seules que j’espérais vraiment.
Pour terminer je dois leur lécher les pieds puis les remercier et quitter la chambre.
Je repars dépité, sale, l’anus en feu, des goûts désagréables dans la bouche et honteux d’avoir pris du plaisir. Malgré tout, j’ai été associé au plaisir de ma femme et je n’arrive pas à me sentir malheureux, je suis même impatient de recommencer.
Couché à 6 heures, le réveil a été difficile, à peine deux heures plus tard, pour être sur d’avoir le temps de me doucher puis préparer le petit déjeuner. Je passe la tête par la porte de la chambre et je vois sur ce lit qui était le mien il n’y a pas si longtemps, Nadine dormant entre ses deux amants, tous les trois nus. Même au repos, le sexe de Simon est très impressionnant.
A mon retour de la boulangerie, tout ce petit monde est réveillé et les ébats ont repris. Par la porte laissée entrouverte, je vois nettement ma femme et Simon dans un 69 fougueux. Même comme ça elle est très belle.
Thierry m’aperçoit, me rejoint et me dit alors
- Rêve pas tite- couille, elle n’est plus pour toi, il lui faut de vrais hommes ; allez, va bosser !
Ils passent la journée dans la chambre. C’est Thierry qui en sort le premier, en sueur, vers 17h. Il m’annonce qu’il va prendre une douche puis doit filer mais que Simon, qui est étudiant, dormira ici pendant quelques jours, Nadine en a envie pour être moins seule.
La soirée a été plus calme. A l’aise comme si je n’étais pas là, Nadine et Simon se sont mis sur le canapé pour regarder la télé. Ces deux- là ne s’embrassent pas (une demande de Thierry ?) mais ils se caressent énormément, c’est une soirée très câline à laquelle j’assiste tandis que je range la maison et que je fais un peu de repassage. Puis je retourne au garage.
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Simon s'installe
Depuis le retour de Thierry dans ses foyers, Simon est comme chez lui à la maison. Il passe son temps à donner des tapes aussi vigoureuses qu’affectueuses sur les fesses de Nadine .
Quant à moi il m’appelle le cocu. Il n’a que ce mot à la bouche et il le prononce avec jubilation. C’est une humiliation qui ne me perturbe pas trop car cocu c’est mieux que rien, il y a quelque chose d’officiel dans ce titre. Je me faisais hier la réflexion que ce terme n’est jamais employé par Nadine ni Thierry alors que Simon l’adore.
Comme beaucoup de jeunes, il est extrêmement vantard en ce qui concerne ses exploits au lit et j’ai droit à des remarques du style :
- Ta femme a plus pris son pied en trois nuits avec moi qu’en dix ans avec toi ».
Le pire c’est que Nadine répond en me caressant la joue:
- Tu es un bon mari mais il n’a pas tord, c’est très fort avec lui ».
Nadine m’a dit que Simon doit partir aujourd'hui. Elle a prévu de le revoir mais en dehors de la maison, Thierry préfère apparemment, il doit avoir peur de le voir s’installer un peu trop.
Ce matin, en faisant le lit et rangeant la chambre, j’ai trouvé sept préservatifs usagés. Pas si vantard que ça le bougre !
Commentaires
Vos commentaires dont le but était de me mettre en garde m’ont plutôt perturbé et je les ai fait lire à Nadine.
Elle a su être rassurante. Elle m’a dit qu’elle n’est pas du tout indifférente à l’avenir de notre couple, qu’elle envisage de poursuivre cette relation qui satisfait ma nature soumise et son goût pour l’aventure. Elle se dit incapable de vivre avec Thierry, ne l’envisage pas du tout et ma présence à ses côtés est importante pour elle.
Elle me confirme que si je suis prêt à poursuivre une relation affective quoique à son service, elle n’a pas de raison de rompre car ma présence lui fait du bien. Mon argent lui permet de satisfaire certaines envies mais elle dit pouvoir s’en passer ou se contenter de peu si je le souhaite.
Ces jours derniers, elle a fait des efforts, je passe du temps à lui caresser les pieds, elle m’a masturbé tendrement à deux reprises et nous parlons beaucoup ; la relation de couple est presque normale si ce n’est qu’elle s’arrête à la porte de la chambre et que je fais presque tout à la maison, au service de ma petite reine.
Thierry est passé en coup de vent à plusieurs reprises et il est vrai que dès qu’il est là je n’existe plus et qu’on me traite comme quantité négligeable mais j’en prends mon parti. Dimanche j’ai eu le droit de faire la toilette intime de Nadine après le passage de son amant. C’est avec beaucoup d’excitation et un plaisir immense que j’ai passé ma langue sur son sexe chaud ; j’ai adoré les goûts et les odeurs, j’étais bien entre ses cuisses ; je vois son sexe si peu souvent que pouvoir le regarder est pour moi un émerveillement et boire le sperme qui en coule comme le jus d’un fruit est un plaisir ; tant pis si ce sperme n’est pas le mien.
Je vous remercie de l’inquiétude que vous avez pour moi et de vos conseils, je ne crois pas vouloir quitter mon épouse même si je comprends vos arguments ; j’ai besoin de la voir, j’aime m’occuper d’elle, je sais qu’elle a de l’affection pour moi et je sens qu’elle est heureuse dans la vie que nous menons actuellement. Thierry lui fait découvrir beaucoup de choses que je n’aurais jamais su lui montrer, je sais que je ne peux pas rivaliser avec cet homme dont le physique, l’assurance, le charme, la font craquer.
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L'eau à la bouche
La bouche de ma femme est devenue un élément de fascination pour moi, je la trouve magnifique, sensuelle, toujours mise en valeur par un maquillage bien étudié. J’ai confié à Nadine combien je serais heureux si elle m’autorisait à reposer juste une fois mes lèvres dessus.
Comme vous le savez, cela fait de nombreux mois que je ne l’embrasse plus ; je crois que c’est ce qui me manque le plus, plus encore que ne plus faire l’amour. Parfois, elle fait preuve de tendresse et me dépose une bise sur la joue ; le simple contact de ses lèvres sur ma peau me procure une érection immédiate.
Elle est très belle quand elle embrasse et elle le fait très sensuellement. Même si je sais que certains lecteurs auront du mal à le comprendre, il m’arrive de la regarder accueillir son amant, l’embrasser fougueusement, je suis figé, admirant les mouvements de sa bouche contre celle de Thierry. Je la regarde quand elle mange, quand elle parle, tout le temps.
Nadine sait que je la regarde comme une déesse et elle se plait à me montrer qu’elle est inaccessible. Lorsque je lui ai demandé de m’accorder un simple baiser, elle l’a pris de haut tout naturellement : « N’y songe même pas, ou alors il faudra le mériter et être très patient ». Elle m’a ensuite redit que je suis bon à m’occuper de ses pieds, que je ne mérite pas plus que ça et que pour tout le reste, elle a ce qu’il faut. Craignant de perdre le peu que j’ai et auquel je tiens, je n’ai pas insisté et j’ai dit être content de mon sort.
Je vous remercie de vos commentaires. Depuis que Nadine les a lus, j’ai l’impression qu’elle fait plus attention à moi ; cela ne fait que deux jours, il faut voir par la suite.
Par contre elle continue à me maintenir excité en me laissant imaginer des choses. Hier soir, elle m’a demandé d’aller lui acheter quelques boites de préservatifs ; je ne sais pas si c’est pour entretenir mes fantasmes ou pour ses besoins ces jours- ci, peut- être les deux d’ailleurs.
Elle ne sort pas le soir en semaine mais elle porte tous les jours de la lingerie coquine (je continue à explorer le panier à linge) et elle met du vernis rouge vif sur ses ongles de pieds. A- t- elle des aventures en journée ? Je n’arrive pas à le savoir.
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Panier à linge
Je ne sais pas si Nadine est au courant qu’il ne passe pas une journée sans que j’aille explorer le grand panier en osier de la salle de bain ; en général j’y vais le soir, quand elle est dans la chambre.
La lingerie, c’est les seules lessives qu’elle fait elle- même, ce qui m’oblige à cette surveillance quotidienne. C’est très agréable et c’est en général le moment où je me masturbe, une culotte ou un soutien gorge à la main. Je retrouve les odeurs perdues de son intimité.
La culotte est le menu de choix, incontournable, c’est le vêtement qui est le plus marqué et qui me raconte la journée de ma femme. Je sais en portant sa culotte au visage si sa journée de travail a été fatigante, si des choses l’ont excitée, si elle a été obligée de se retenir longtemps, bloquée par une réunion, pour aller aux toilettes. Tout ce qu’elle ne me raconte pas, sa culotte le fait. Il m’arrive très souvent d’en prendre une pour dormir avec.
Le soutien- gorge c’est un peu la même chose mais de manière plus douce ; en fonction de la journée de Nadine, des touches de transpiration effacent parfois son parfum, c’est souvent une odeur nuancée, légère, agréable.
Les bas ou les collants c’est encore autre chose, c’est une odeur que je connais bien, je passe toujours beaucoup de temps à lui caresser les pieds, à les embrasser, à les lécher, parfois avant même sa douche du soir alors je ne découvre rien de plus avec ses bas.
Tous ses autres vêtements me permettent d’en savoir plus encore sur sa journée, la tâche de café sur la jupe, des boutons disparus (arrachés ?) sur son chemisier,… .
Sensation
Ceux qui suivent ce blog sont au courant de ma situation de couple.
Nadine, mon épouse, a un amant régulier, Thierry, et plusieurs amants occasionnels. Thierry a une emprise totale sur elle, il la domine et l’encourage à me dominer.
Ma vie est donc aux pieds de ma femme, à son service, et cela me comble.
Les commentaires de certains d’entre vous ont eu un effet positif sur notre relation. Elle prend plus soin de moi, m’accorde du temps. Je continue à faire la plupart des tâches ménagère, à veiller à son bien- être ; elle adore quand je lui lèche les pieds et cela peut durer de très longues minutes. Elle fait désormais attention à maintenir mon envie d’elle toujours intacte : elle me masturbe deux fois par semaine environ et la semaine dernière, en accord avec Thierry, elle m’a autorisé à lui faire l’amour.
Cela faisait dix- huit mois que je ne l’avais pas pénétrée. Elle s’est allongée sur la table du salon, j’ai mis un préservatif, j’ai approché mon sexe et je suis entré. C’était une sensation fabuleuse, des frissons ont parcouru tout mon corps. Bien sur cela n’a pas duré, j’ai éjaculé en moins de trente secondes.
Nadine s’en est un peu amusé :
- Je ne m’attendais pas à plus, ce n’est pas grave, je vois Thierry demain».
Assez souvent, elle me raconte qu’il met un point d’honneur à ne pas jouir avant elle et qu’il est capable de la prendre longtemps et plusieurs fois de suite. Si l’on ajoute à cela la taille de son sexe qui est bien plus gros que le mien (bien que je n’aie pas un tout petit sexe), il est clair que je ne suis pas à la hauteur. Mais je l’ai remerciée, je lui ai dit que c’était fabuleux pour moi.
Elle m’a promis que nous le referions si je le méritais.
Le lendemain soir, Thierry était en effet à la maison. Quand ils se sont mis au lit, je me suis approché de la porte de la chambre et j’ai pu vérifier les dires de Nadine quant aux performances de son amant.
Ces derniers temps ils ne m’associent pas à leurs ébats, je n’ai plus droit à la toilette intime de ma femme ; cela me manque un peu. Je me rattrape en m’imprégnant des odeurs lorsque je change les draps du lit.
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De la visite.
J’avais toujours pensé que l’histoire de l’épouse s’envoyant en l’air avec le plombier était un cliché tout droit sorti du fantasme des hommes ; mon épouse m’a prouvé le contraire samedi matin.
Comme chaque année au début de l’hiver, la société en charge de l’entretien des chaudières nous envoie quelqu’un ; cette année un grand gaillard de presque deux mètres s’est présenté à la maison pour effectuer cette tâche. Nadine l’a pris en charge, lui montrant les lieux, lui donnant une bassine, à aucun moment je n’ai pensé qu’elle pouvait être attirée par cet homme dont la combinaison n’était pas très propre.
Alors que je bricolais dans le garage, j’entends ma femme qui me demande de venir. Je m’exécute, pensant que l’ouvrier avait peut- être besoin d’un coup de main. Ce n’était pas le cas, tout allait très bien pour lui. Joli tableau dans la cuisine : Nadine à genoux devant l’ouvrier avait sorti son sexe de la combinaison et passait des grands coups de langue dessus. Ne me laissant pas le temps de réagir, elle prit un ton très gentil dont j’ai peu l’habitude :
- Mon chéri s’il te plaît, tu veux bien aller me chercher un préservatif, tu en trouveras dans mon sac à main.
Bien sur j’y suis allé sans rien dire.
Lorsque je suis revenu, elle était en train de lécher les bourses de l’homme, les prenant dans la bouche l’une après l’autre. Le brave ouvrier qui, au début, était aussi mal à l’aise que moi, commença à prendre de l’assurance en constatant ma soumission :
- Vas- y, enfile le sur ma queue, je vais faire du bien à ta femme ».
Pour finir de le mettre à l’aise, Nadine ouvrit ma braguette pour montrer que la situation me faisait bander.
- Tu vois, Nicolas adore être cocu, alors je suis à toi, prends moi bien ! »
Je fus invité à quitter la cuisine et j’ai suivi le reste du salon, Nadine se lâchant bruyamment pour me montrer qu’elle avait trouvé un homme à son goût.
Une fois l’ouvrier parti, ce que j’osais à peine espérer est arrivé. Assise sur une chaise de la cuisine, Nadine m’a appelé à ses pieds.
- Tu viens me faire un peu de toilette tite- couille ? »
Je me suis précipité à ses pieds et je l’ai léchée longuement, avalant un sperme au goût fort et amer puis lui donnant un orgasme pendant qu’elle me caressait la tête.
Après un orgasme que j’étais fier d’avoir provoqué, elle m’a fait nettoyer le sol puis nous avons fait un moment de télévision, moi couché à ses pieds, la caressant tendrement.
Pour me récompenser, elle m’a fait mettre à quatre pattes et m’a masturbé vigoureusement, me faisant jouir en quelques secondes mais me soulageant de toute l’excitation accumulée.
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Résolution
Mon épouse, Nadine, me trompe de manière régulière depuis plusieurs mois. Son amant, Thierry, passe très régulièrement à la maison, il s’y sent chez lui et je m’efface en sa présence pour ne pas déranger le couple d’amants. Nadine me domine et ma vie est surtout consacrée à veiller à son bien- être et à la servir.
J’aime cette situation et mon bonheur est de la sentir détendue chaque soir lorsque je lui lèche les pieds. Mon surnom est titecouille mais elle l’emploie peu en ce moment.
Notre vie est de moins en moins compliquée car de plus en plus de personnes sont au courant de la situation et nous n’avons presque plus à la cacher (juste avec mes parents où Nadine accepte de donner le change d’autant que nous les voyons très peu).
J’ai parfois un peu souffert à des périodes où ma femme s’est éloignée et m’a délaissé. Vos remarques ont été salutaires pour moi car elle a pris conscience de la nécessité de m’accorder plus de temps et cela se confirme avec ses résolutions pour la nouvelle année :
Elle m’a dit ce matin qu’elle a décidé de s’occuper de moi de manière régulière. Sa vie libertine et la relation adultère avec Thierry la comblent, lui n’envisage pas de quitter sa femme et elle veut donc me consacrer du temps avec un planning bien défini :
• Deux fois par semaine, le lundi soir et le mardi soir, Nadine a décidé de me masturber et de me faire éjaculer.
• Deux fois par mois, le premier et le troisième mercredi, je serai autorisé à la pénétrer, avec un préservatif bien entendu mais elle sera habillée et aura juste enlevé sa culotte sous sa jupe. Aucune caresse ne me sera autorisée sauf demande de Nadine.
• Le léchage et le massage de ses pieds sera quotidien.
• Une fois de temps en temps, je serai autorisé à assister à ses ébats avec Thierry ou un autre de ses amants.
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Mise en pratique.
Mardi, j’ai eu droit à ma masturbation hebdomadaire. Ma femme n’avait pas pris le temps de le faire lundi soir, c’est pourquoi elle m’a dit :
- Ne t’inquiète pas, tu y auras droit deux fois aujourd’hui ».
Elle m’a fait mettre nu et à genoux. Elle s’est assise à côté de moi, a enlevé chaussures et chaussettes et a pris mon sexe dans sa main droite. Elle a fait un va et vient régulier pendant que je lui embrassais les pieds.
J’ai éjaculé en moins de deux minutes je pense.
Comme j’avais droit à une deuxième fois, elle m’a demandé de rester en position jusqu’à ce que je recommence à bander. Là non plus ça n’a pas été très long.
Dès que je me suis remis à bander, elle a de nouveau pris mon sexe en main, tout en s’amusant à me dire que celui de Thierry fait la même taille au repos que le mien en érection (ce qui n’est pas tout à fait vrai).
Cette fois, cela a duré plus longtemps. Elle s’est amusé avec mes testicules en claquant ses doigts dessus comme on fait quand on joue aux billes ; c’était assez douloureux et a stoppé mon érection. Plusieurs fois elle m’a demandé si je souhaitais qu’elle arrête. Je n’ai pas osé dire oui de peur de ne pas avoir droit à ma deuxième éjaculation.
Elle avait décidé de faire durer le plaisir. Un peu plus tard, alors que j’étais sur le point de jouir, elle a arrêté la masturbation, m’a bandé les yeux avec une serviette de table et a quitté la pièce. A son retour je n’ai pas été déçu : elle était sortie récupérer de la neige qu’elle m’a étalé entre les fesses et sur le sexe. Une minute après, elle se moquait de mon organe tout recroquevillé, devenu minuscule.
Puis elle a dit "on termine pour ce soir", elle s'est remise à me branler sans ménagement jusqu'à ce que je jouisse dans un cri de bonheur. Elle m'a alors demandé de nettoyer mes saletés par terre puis de venir lui masser les pieds tandis qu'elle regarderait la télé. Je l'ai fait pendant plus d'une heure pour mon plaisir.
NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
FIN…......................
La séance du lundi.
Ma séance de lundi m’a de nouveau procuré beaucoup de sensations.
Ma relation avec Nadine est en train de changer ; ma femme a bien décidé de s’occuper de moi mais pas uniquement pour me soulager : encouragée par Thierry, elle fait des expériences destinées à m’humilier ou a accentuer mon côté soumis.
Certains d’entre vous me conseillent de laisser tomber cette vie. Je comprends ces conseils mais à aucun moment je ne l’envisage. Ma femme est si fascinante pour moi que je n’imagine pas de la voir loin de moi ; de plus, je suis bien obligé de reconnaître que j’aime ce qu’elle me fait subir. Du moment qu’elle passe un peu de temps à s’occuper de moi, je suis prêt à finir ma vie à ses côtés même si je dois me contenter de lui masser les pieds. Je sais qu’elle prend son plaisir avec Thierry, elle le dit assez ; je sais qu’elle se donne à plusieurs hommes de temps en temps et elle semble en tirer une vraie jouissance ; je sais aussi qu’elle a eu une relation avec un de mes collègues de boulot, rencontré cet été sur la plage, dans le seul but de faire courir des bruits dans mon entreprise. Elle n’hésite pas à afficher sa domination, j’ai de moins en moins peur de dévoiler ma soumission.
A aucun moment Nadine ne m’impose les choses et elle le dit clairement :
- Soit tu acceptes cette situation et tu n’as rien à dire, soit tu t’en vas, je le comprendrais, et c’est le divorce
Ce week- end, ma femme et son amant sont sortis ; je n’ai rien su de leur soirée mais j’ai eu droit à lui faire la toilette intime à deux heures du matin ; son sexe et son anus étaient très rouges et beaucoup d’odeurs s’en dégageaient. J’ai essayé d’apaiser toute cette zone qui visiblement venait de subir un traitement vigoureux. Elle m’a remercié puis est allée dormir avec Thierry.
Je pense que Thierry lui donne beaucoup de conseils ; il est lui- même dominateur et il l’encourage à me soumettre de plus en plus.
Lundi soir, Nadine m’a dit que j’aurais droit à mes deux masturbations hebdomadaires à la suite, comme la semaine dernière. Je connais le mode opératoire, je me suis déshabillé et je me suis mis à genoux par terre dans le salon. Je savais un peu ce qui m’attendait : un peu plus tôt, après le diner, Nadine m’avait demandé d’aller faire un lavement. Ma séance de ce soir serait assortie d’une sodomie.
A ma grande surprise, Nadine m’a immédiatement saisi le sexe et s’est mise à me branler, très rapidement, jusqu’à l’éjaculation. Puis elle m’a demandé de ne pas bouger et d’attendre sagement ma deuxième masturbation. Elle est allée s’asseoir dans le canapé et a allumé la télé. Heureusement que l’appartement est bien chauffé parce que j’ai passé 1 h30 nu sur le sol du salon.
Lorsque la sonnette de la porte d’entrée a retenti, j’ai eu un nœud au ventre, d’autant que ma femme m’a ordonné de ne pas bouger. Je vis entrer Simon, que nous n’avions pas vu depuis plusieurs semaines et j’ai compris qu’il était là pour moi.
Ce jeune, rencontré en boite, avait été choisi par Nadine pour la taille impressionnante de son sexe et son côté bi. A l’époque, il n’avait pas hésité à s’occuper de moi. Je compris tout à coup que j’allais sans doute subir une sodomie douloureuse.
Fidèle à ses habitudes, Simon ne m’appelle ni Nicolas ni tite couille ; son truc à lui c’est de me dire « le cocu » ; J’y ai droit toutes les trente secondes. Nadine l’a salué et, sans attendre plus, afin de s’assurer que son sexe atteigne une taille respectable, elle s’est agenouillée devant lui, a sorti son engin et s’est lancée dans une superbe fellation.
Ma femme est rarement aussi belle que quand elle suce un homme, elle dégage une sensualité fascinante et on n’a aucun doute sur son goût pour la pipe. Après une minute de ce spectacle excitant, ils se sont tournés vers moi et Nadine m’a fait remarquer qu’un homme c’est çà, en se caressant la joue avec ce sexe énorme.
Simon s’est approché de moi et j’ai commencé à me concentrer pour me détendre le plus possible au moment de l’introduction. J’ai été soulagé lorsque j’ai senti les doigts de Nadine m’appliquer de la vaseline sur l’anus ; j’ai pris cette attention pour une preuve d’amour.
- Tu vas voir comment un cocu prend son pied a dit Simon en présentant son gland entre mes fesses.
Délicat comme à son habitude, il a essayé de me pénétrer d’un coup et m’a fait très mal ; je l’ai repoussé d’une main et me suis couché par terre. Vexé, il m’a posé un pied sur le dos pour me maintenir au sol et a demandé à Nadine d’aller lui chercher la laisse de Câline.
Il m’a mis un collier au cou, y a attaché une laisse puis m’a fait remettre à genoux. Ma femme me caressait les cheveux, presque compatissante ayant sans doute elle- même quelques souvenirs de sodomies douloureuses. Simon a repris sa pénétration, plus doucement cette fois.
Pendant ce temps, ma femme a saisi mon sexe et a entamé une nouvelle masturbation. Le problème c’est que j’avais si mal que je n’ai pas eu d’érection. La douleur qui me tenait le ventre et les testicules se doublait de l’étranglement que me faisait subir Simon en tirant sur la laisse chaque fois que je bougeais un peu trop à son goût. Bien membré mais aussi endurant, le pilonnage en règle a bien duré dix minutes.
Nadine s’est agacée de voir mon sexe sans réaction ; elle s’est mise à le presser, un peu comme on trait une vache, me faisant assez mal à son tour. Les commentaires de Simon allaient bon train :
- Ton mari c’est une vrai lope …, comme vide- couilles il se débrouille plutôt bien…, s’il était castré on ne verrait pas la différence.
Nadine en rajoutait:
- C’est un bon mari sauf au pieu…, que veux- tu qu’il fasse avec un outil comme çà…, il est fait pour obéir ».
Simon entrait et sortait de mon cul, provoquant des bruits assez désagréables. D’un coup, il a déchargé dans mon ventre en me traitant de petite chienne.
Il ne m’a pas demandé de lécher son sexe, ce que je redoutais un peu et a filé à la salle de bain.
On m’a dit de rester en position comme je n’avais pas été foutu d’éjaculer. Après une rapide douche, il est revenu dans le salon. Nadine m’a expliqué que pour la suite, elle allait se mettre nu donc je ne verrai rien ; elle m’a bandé les yeux et ordonné de ne pas bouger. Ils se sont déshabillés mutuellement en se servant de moi comme une table basse pour poser les vêtements (comme par hasard, le slip, la culotte et les chaussettes ont été mis sur ma tête). Ils se sont installés sur le canapé, à moins de deux mètres de moi et ont commencé à se faire du bien ; les bruits m’indiquaient clairement qu’ils faisaient un 69 et qu’ils aimaient çà.
J’ai immédiatement retrouvé mon érection ce qu’a remarqué Nadine qui m’a alors dit :
- Allez, branle toi sans rien faire tomber et prends ta deuxième éjaculation.
C’est allé très vite comme vous vous en doutez mais là encore, j’ai reçu l’ordre de ne pas bouger pour les laisser finir tranquillement. Ils sont d’ailleurs partis dans la chambre pour faire l’amour plus tranquillement.
J’ai trouvé çà très long, j’ai entendu Nadine jouis trois fois. Simon n’a pas dormi à la maison ; ils m’ont rejoint pour se rhabiller, toujours en se moquant de moi.
Quand nous nous sommes retrouvés à deux, Nadine m’a testé de nouveau :
- Franchement, as- tu aimé çà ?
Et là, oubliant la douleur et les humiliations, emporté par une soirée ou l’excitation a été bien plus grande que si je m’étais contenté d’une masturbation rapide et sans émotion, j’ai répondu « oui », acceptant ainsi mon statut d’homme soumis et autorisant ma femme à disposer de moi comme elle l’entend.
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Explications
J’ai enfin pu avoir une discussion sérieuse avec Nadine sur la nature de nos rapports ; pendant plusieurs jours je n’ai pas osé le lui demander puis enfin, samedi, je me suis lancé et cela s’est très bien passé.
Nadine est très satisfaite de la situation. De nos premières années de mariage, elle conserve un véritable amour pour moi et n’imagine pas que nous puissions divorcer.
Lorsqu’elle m’a dit l’autre jour qu’elle comprendrait que je souhaite divorcer, elle veut dire qu’elle est bien consciente de m’imposer sa relation adultère avec Thierry ainsi que ses aventures d’un soir et qu’elle respecterait que je ne veuille plus de cette vie là.
Mais elle est très claire sur ce qu’elle souhaite pour l’avenir. Elle dit avoir découvert le plaisir sexuel avec Thierry et ne pas pouvoir se passer de lui. Son côté sur de lui, dominateur même la comble, elle a besoin de se sentir toute petite dans les bras d’un homme et ma nature soumise ne m’a jamais permis de la satisfaire sur ce point. Elle a besoin de son amant.
En ce qui me concerne, elle sent que vivre à ses pieds me procure du plaisir et elle me dit qu’elle me préparera régulièrement des séances comme l’autre jour avec Simon pour que je puisse satisfaire mon goût pour la soumission.
Elle me dit qu’elle est fière des efforts que je fais, du sacrifice que j’accepte pour elle et qu’elle m’aime d’autant plus.
Je pense qu’elle est sincère car cette discussion a eu lieu samedi, que nous l’avons commencée à deux et que lorsque Thierry est arrivé pour l’emmener en soirée, nous avons poursuivi la discussion à trois et elle a tenu les mêmes propos devant lui.
L’arrivée de Thierry a été la parfaite illustration de ce que nous vivons : J’étais assis à la table du salon face à Nadine et il s’est mis à côté d’elle. Pendant que sur la table Nadine me tenait la main pour être rassurante, Thierry, sans aucune gêne, explorait sous le pull de ma femme et lui caressait les seins.
Nous avons discuté un bon moment, cela m’a fait du bien. Thierry a peu parlé. Je le sens sans pitié mais très respectueux ; nous nous entendons plutôt bien ; il est tout à fait dans le rôle du mâle dominant et tant que je reste à ma place nos rapports seront bons. Ils m’ont confirmé que je pourrai désormais pénétrer Nadine qu’une fois par mois, avec préservatif.
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Vite expédié
Comme chaque semaine j’ai eu droit à mes deux masturbations et comme chaque semaine j’ai eu les deux l’une à la suite de l’autre. Ce soir, Nadine m’a demandé de me mettre nu après le repas et m’a dit « ce soir on fait ça vite, je n’ai rien prévu de spécial ».
Elle m’a demandé d’entrer dans les WC. Elle s’est alors positionnée a côté de moi et a commencé à me masturber debout au dessus de la cuvette. Elle a effectué des va- et- vient pendant quelques minutes et j’ai éjaculé.
Si on peut appeler ça éjaculer : je ne sais pas si c’est la position debout ou le manque d’érotisme de la situation mais deux tout petits jets sont sortis, provoquant les moqueries de ma femme :
- Ah ben là c’est un record, un hamster ferait mieux.
Puis elle en a rajouté en me parlant des jets épais et puissants de Thierry qui sont très excitants pour elle.
Voulant gagner du temps pour me faire rebander, elle m’a autorisé à poser la main sur son sein (par- dessus le tee- shirt). Comme cela ne m’était pas arrivé depuis plusieurs mois, le contact de son téton dans le creux de ma main m’a remis en forme instantanément. Comme je ne l’ai pas vu se changer en rentrant, j’en ai conclu qu’elle avait passé la journée sans soutien- gorge.
Elle a saisi mon sexe et s’est remise à l’astiquer. Cette fois encore, quelques gouttes sont tombées dans la cuvette provoquant son irritation :
- Ce n’est pas possible, si tu avais attendu une semaine il y en aurait plus que ça ! Avoue que tu t’es masturbé tout seul ! ».
Effectivement, samedi soir, pendant sa sortie avec Thierry, je n’ai pas tenu et j’ai passé la soirée le sexe entre les mains à les imaginer faire je ne sais quoi.
Cela ne l’a pas trop fâché (elle devait s’en douter de toute façon) mais elle m’a rappelé que cela m’est interdit et qu’en l’occurrence, mon imagination a dû dépasser la réalité car sa soirée de samedi a été très classique, restaurant cinéma jusqu’au retour à la maison où elle a bien apprécié sa partie de jambes en l’air avec Thierry.
Elle a tout de même ajouté qu’elle ne se fatiguerait pas pour 3 gouttes à l’avenir et que j’ai intérêt à faire mieux que çà si je souhaite qu’elle continue à s’occuper de moi. La masturbation solitaire c’est fini !
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Anthony
Mon épouse m’a montré un de ses seins aujourd’hui. Bien sur, il y avait une raison à cela : m’exciter et m’humilier.
Ce matin, Thierry (son amant) lui a présenté Anthony, un jeune du quartier où il habite et lui a demandé de le dépuceler. Ce n’est pas encore fait, elle doit lui téléphoner demain je crois.
Au moment de leur rencontre, il faut croire que personne n’avait de papier car le jeune (Nadine ne m’a pas dit son âge) a écrit son numéro de téléphone sur son sein droit, bien au milieu puisque le O de Anthony entoure le téton de ma femme. J’imagine qu’écrire le prénom et le numéro de téléphone n’a pas été chose aisée et qu’il a dû maintenir le sein pour y arriver.
Comme c’est le jour de ma masturbation, Nadine a décidé de me montrer cette œuvre d’art, étant sure de me faire bander instantanément. Bien conseillée par Thierry, elle avait même préparé son discours :
- Je suis sure qu’un puceau saura mieux s’y prendre que toi, je suis toute excitée à l’idée d’être sa première expérience, j’ai envie de le sentir s’appliquer et s’activer entre mes cuisses, je vais profiter au maximum d’une vraie éjaculation... Toi tite couille tu ne t’améliores toujours pas, je n’ai rien senti mercredi
Il faut vous dire que Nadine m’autorise à la pénétrer une fois par mois. Ce n’est pas très érotique car elle ne se déshabille presque pas et m’impose le port du préservatif mais cela me fait quand même beaucoup de bien. Pour elle apparemment c’est différent.
Il faut dire que ses rapports avec Thierry sont très hard, un peu comme dans les films X si vous voyez ce que je veux dire et le peu de fois où j’ai pu y assister, à genoux au pied du lit ou les yeux bandés, j’ai bien compris que je n’étais pas à la hauteur de ce que son amant lui apporte.
Elle m’a donc montré son sein, assurée de me faire bander, afin de pouvoir s’occuper de ma masturbation hebdomadaire.
J’ai demandé l’autorisation d’embrasser ce sein qui est d’une beauté rare. Elle a refusé en me disant que ça se mérite et qu’on verra dans quelques temps. Elle m’a proposé de m’approcher tout près pour le regarder avec interdiction absolue de le toucher. Je me suis approché jusqu’à sentir son odeur, c’était bon.
Après, c’est le rituel habituel, je me dénude et me mets à genoux, Nadine me prend le sexe et me masturbe jusqu’à l’éjaculation. J’adore sentir sa main s’occuper de moi.
Ce soir, j’ai eu droit à un bonus. Après ma deuxième masturbation, Nadine m’a demandé si j’avais envie de la lécher un peu. Je croyais rêver et vous vous doutez que je n’ai pas mis longtemps à répondre. Elle m’a alors demandé de la suivre aux WC en restant à quatre pattes. Elle s’est assise sur la cuvette et a commencé à uriner. J’aurais dû me douter qu’il y avait un piège. En se relevant elle m’a dit :
- Allez tite couille, je veux une chatte toute propre
Obéissant sans un mot, je me suis mis à lécher, m’appliquant à faire disparaitre les dernières gouttes d’urine et les odeurs de toute une journée, urine, sueur, excitation de sa rencontre avec Anthony … . Cela sentait fort et m’enivrait mais je n’aurais pas laissé ma place pour tout l’or du monde.
Là encore, je pense qu’il s’agissait d’une idée de Thierry mais qu’importe. Je buvais à la fois son nectar intime et ses paroles :
- Bravo mon chéri, tu te débrouille très bien, une vraie lingette... ne cherche plus, tu as trouvé ta vocation, c’est comme çà que je t’aime.... Il faut absolument que Thierry essaye ça ! Tu le fais trop bien !
Me voilà promu grand spécialiste du nettoyage de sexe promis à d’autres expériences de la sorte.
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Rebellion matée
Je n'ai pas été autorisé à assister au dépucelage d'Anthony.
Tout juste ai- je eu le droit d'en avoir un petit compte- rendu. Cela s'est passé samedi matin, à la maison, pendant que j'étais aux courses. Thierry, l'amant de ma femme était présent et guidait les ébats.
A mon retour de Cora, C'est Thierry qui est venu m'aider à décharger la voiture.
- Ca s'est bien passé" m'a- t- il dit; "Nadine est en train de se doucher".
Je n'ai pas vu Anthony qui était déjà reparti; Thierry, par contre, est resté manger à midi.
Pendant que je faisais le service à table, Nadine a abordé le sujet que j'attendais avec impatience:
- Pour une première fois je crois qu'il n'a pas à se plaindre!".
- C'est clair" enchaîna Thierry "moi pour ma première fois je n'ai pas eu droit aux trois trous"
- Tu as vu comme il était appliqué pour me faire du bien! Surtout au moment ou je te suçais, il me limait en rythme, c'était super, vous étiez synchro, j'ai pu me concentrer sur mon plaisir, c'était fort!"
Thierry profita de l'occasion:
- Tu entends ça tite couille? Ce puceau a su faire du bien à Nadine alors que toi qui la connais depuis longtemps, tu es incapable de l'amener au plaisir! Et quand il lui a envoyé la purée sur les fesses, c'était une vraie éjaculation, pas tes trois gouttes!".
- Et tu en sais quoi! " ai- je répondu dans ma barbe.
Nadine est alors intervenu fermement, peut- être pour éviter que Thierry ne se mette en colère:
- Tu as tort de la ramener mon chéri parce que sur ce sujet il a raison à 100%"
Elle m'a fait mettre à genoux devant Thierry et m'a ordonné de m'excuser.
- Pardonne moi Thierry, je sais que tu as raison, c'est que cela ne fait pas plaisir à entendre."
Thierry ne m'a pas donné l'occasion de me relever:
- Oui j'ai raison, et tu vas pouvoir le mesurer! Ouvre ma braguette"
J'ai descendu la braguette et j'ai sorti du pantalon son beau sexe (il ne porte pas de slip).
- Je n'ai pas pris de douche moi alors on va commencer par une petite toilette puis tu me branleras et me fera jouir; une fois que tu auras tout dans la bouche, tu verras ce que c'est une éjaculation".
C'est la première fois que Thierry me demandait cela, ma remarque l'avait énervé visiblement. Je me suis mis à sucer et j'ai senti son sexe grossir dans ma bouche, une sensation pas désagréable. Chaque fois qu'il sentait mes dents, il me tapait la joue.
- Avec la langue, applique toi!
Au bout d'un moment, il m'a repoussé la tête:
- Laisse tomber bon à rien, je vais le faire!
Il s'est alors masturbé très fort puis m'a dit d'ouvrir la bouche. J'ai senti plusieurs jets chauds et lorsque j'ai refermé la bouche j'ai pu constater qu'elle était pleine en effet. Thierry était visiblement content de lui.
- Reste là 5 minutes pour bien te rendre compte puis tu avaleras".
Après une intervention de Nadine, peut- être habituée à ce traitement et souhaitant mettre fin à cette humiliation, j'ai été autorisé à aller cracher aux WC.
Mais, pour Thierry, le principal était fait, la rebellion était matée.
….......................
Surprise!
Vous n’avez pas de nouvelles de moi depuis quelques temps car je n’ai pas grand- chose à raconter. J’ai l’impression que nous trouvons notre équilibre, ma femme et moi, cela se passe plutôt bien.
Elle est très tendre avec moi du moment que je reste à ma place et que je la traite comme une reine. Ma masturbation hebdomadaire devient une sorte de rituel et j’arrive à y prendre du plaisir.
Nadine voit Thierry une à deux fois par semaine mais en ce moment, il a du mal à se libérer pour dormir à la maison. Curieusement, Nadine le supporte plutôt bien alors que ça la mettait à cran il y a quelques semaines encore.
Là où les choses évoluent c’est à mon travail.
Il y a deux semaines, un jeudi, j’ai vu ma femme arriver en voiture vers 11h50. J’ai pensé qu’elle avait envie de manger en ville plutôt qu’à la maison et qu’elle passait me prendre. Je l’ai rejointe dans le parking où elle attendait dans la voiture.
- C’est gentil de me faire une surprise
- Salut chéri. Oui c’est une surprise. En fait j’ai oublié de t’en parler hier, je déjeune avec Jean- Marc ce midi, on a réservé en ville
J’ai senti un frisson me traverser...
- Mais ne t’inquiète pas, je t’ai tout préparé sur la table de la cuisine, tu n’as qu’à mettre les barquettes au micro- ondes
Je vous ai déjà parlé de Jean- Marc je pense, un de mes collègues de boulot que nous avions rencontré sur une plage l’été dernier et qui avait rapidement compris la nature du couple à trois que nous formons, Nadine, Thierry et moi. Depuis un certain temps je me doutais qu’il se passait quelque chose avec ma femme.
Stupéfait, je n’osais plus bouger. Ma femme a levé le ton, sans aucune gêne, alors même que certains collègues étaient en train de sortir de l’entreprise.
- Tu fais quoi ? Je viens de te dire que ce n’est pas toi que j’attends ! Tu sauras retrouver ta voiture ? ».
La tête basse, je suis parti et je suis rentré à la maison. Je n’ai pas vu Jean- Marc sortir, je ne sais pas combien de personnes l’ont vu partir en compagnie de ma femme, se sont- il embrassés ?...
Vous imaginez dans quel état j’ai pu retourner au boulot l’après- midi. Angoissé au possible, j’ai marché tête basse jusqu’à mon bureau en essayant de ne croiser personne.
Je n’ai même pas osé en parler à Jean- Marc depuis. Personne ne me fait de remarque ; les collègues ont décidé, semble- t- il d’être discrets mais je ne me fais pas d’illusion, tout le monde sait.
J’en ai un peu parlé avec Nadine. Elle s’est excusée pour s’être emportée devant mon travail. Elle m’a dit que Jean- Marc est très doux, et que même si ils font l’amour de temps en temps (avec préservatif pour ne pas vexer Thierry) elle vit plutôt ça comme un flirt bien agréable.
Selon elle, il n’a pas du tout l’intention de m’humilier, il est plutôt compatissant et devrait pouvoir devenir un vrai ami. Nous aurons l’occasion d’en discuter, elle l’invite à l’apéro la semaine prochaine.
…........................
Enceinte
Je reprends le blog après une longue période sans donner de nouvelles. En effet, le contexte de mon couple est en train de changer.
Ces dernières semaines, Nadine a été très douce avec moi, m’autorisant à la pénétrer une à deux fois par mois, en me demandant tous les soirs de m’asseoir à ses pieds devant la télé pour lui caresser tendrement les pieds, et me masturbant régulièrement. Elle est plus douce avec moi, me caressant souvent a tête, comme on fait avec un chien fidèle.
Pour ma part je me suis fait une raison, j’accepte ma condition, je suis aux petits soins et je me fais discret lorsque Thierry, son amant, vient passer du temps à la maison.
Coup de tonnerre hier : Nadine m’annonce qu’elle est enceinte. Elle a l’air satisfaite, ce qui me donne à penser qu’elle a délibérément arrêté de prendre la pilule bien qu’elle m’explique qu’il s’agit de deux ou trois oublis. Depuis que nous sommes ensemble, elle n’a jamais souhaité avoir un enfant.
Nous en avons parlé hier soir. Elle ne peut pas exclure totalement qu’il soit de moi parce que le mois dernier elle m’a laissé éjaculer sur ses fesses et le sperme a un peu coulé entre ses cuisses.
Le plus probable est qu’il soit de Thierry car ils font l’amour plusieurs fois par semaine mais elle n’est pas en mesure de l’affirmer catégoriquement car elle me parle d’une soirée où elle s’est un peu lâchée le mois dernier. Son plus grand soulagement est le suivant :
- Par bonheur, je ne me suis pas offerte de black depuis un bon bout de temps !».
Pour ce qui est du père, elle a des espoirs bien arrêtés :
- Je prie pour qu’il soit de Thierry.
Elle me dit qu’elle a lu que la virilité du géniteur a un impact sur la qualité du spermatozoïde.
Lorsque je l’interroge sur les intentions de Thierry, elle est très claire également.
- Je ne veux pas l’embêter avec ça, ce sera mon bébé et je compte sur toi pour assurer, tu voulais bien être papa il y a quelques temps !
Et de m’expliquer longuement que je dois comprendre, que c’est dans l’intérêt de cet enfant d’avoir des gênes performants…, que le père pour l’enfant c’est celui qui l’aime et lui accorde du temps ce que Thierry ne pourra pas faire, et puis que dans le fond il existe une infime possibilité que je sois le vrai père. Elle ne peut pas affirmer de toute façon que Thierry est le géniteur ; en effet, en réponse à une curiosité intéressée de ma part, elle répond avoir eu 7 ou 8 partenaires ces deux derniers mois.
Cela a été assez douloureux mais j’ai senti Nadine très proche de moi pendant son exposé. Bien que conscient des risques et incertain sur ma capacité à assumer sur la longueur, je lui ai dit qu’elle pouvait compter sur moi.
- Merci mon chéri, tu es un amour !
A- t- elle crié joyeuse avant de me déposer une bise sur la bouche, plaisir que je n’avais plus connu depuis très longtemps.
…...........................;
Bonne nouvelle.
Bonne nouvelle aujourd’hui. Thierry a offert à Nadine des huiles de massage ils ont prévu de m’associer à leur projet de relaxation, je serai le masseur. C’est une bonne nouvelle car cela va me permettre de voir ma femme nue (ce qui ne m’est plus arrivé depuis bien longtemps) bien qu’elle m’ait dit qu’elle garderait une culotte ; la perspective de pouvoir la masser ma ravit.
Ils me laissent une semaine pour me renseigner sur les techniques de massage et être performant. Ils veulent un massage de la tête aux orteils.
C’est une nouvelle étape pour moi dans un asservissement volontaire. Moi le mari, je vais devoir contribuer au bien- être de mon épouse et de son amant.
Je vais avoir sous les yeux cette femme que je désire tant et cet homme au corps mieux dessiné que le mien qui depuis des mois lui procure un plaisir que j’ai été incapable de lui donner pendant des années.
Blog de Nicoculas
Pas de suite......
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Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
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Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
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Les rediff de l'été... Les loubard.
Des loubards dévergondent une gentille fille.
C'est bien écrit, fautes comprises.
Relisez, c'est vraiment sympa..
C'est bien écrit, fautes comprises.
Relisez, c'est vraiment sympa..
Débauche...
Comme promis voici comment y a 4 ans avec des potes on a fait d'une fille de 21 ans sage timide et fidèle, une pute a temps complet en quelques jours
Bonne lecture
Je bossais en interim rien d'extra de l'archivage dans une grande société.
On étaient 2 dans un genre de grand sous sol a classer des papiers. Bref l'autre mec me saoulait un peu mais bon, autant faire des efforts pour bien s'entendre le temps de la mission.
Il me saoulait avec sa copine fille parfaite gentille sérieuse sage fidele.....
Il m'a tellement saouler que me suis dis faut que je la baise.
Après avoir vu son visage en photo d'identité je me suis renseigné sur elle. Ou elle habitait, ou elle sortirait etc...
C’était pas gagner dans le sens ou elle avait vraiment l'air d’être comme il disait. Mais bon c 'est sympa les défis et jen ai parlé a un pote et on a mis un plan en route.
Un lundi suis venu bosser le matin mais pas l'apres midi direction avec mon pote chez elle (on savait que lui finissait a 19h) donc on avais 5h.
On sonne, elle était en jupe prête a sortir apparemment.
Elle nous dit:
- Oui c'est pourquoi
- Je bosse avec ton copain il m'a dit de passer chercher des jeux pour la ps2.
Pour la rassurer je lui donne tout les renseignements sur son copain lieu de boulot....
- Ok mais la je dois aller a la poste
Coup de chance on lui dit:
- Ben on va t'amener avec la chaleur (c'etait en juillet) tu vas pas marcher.
Hésitante:
- Non ca va ben si aller y en a pour 5 minutes.
Elle finis par accepter. Elle etait plutot froide, trés mefiante je pense. Elle parler peu. Le truc c'etait de la mettre en valeur (compliments...) sans trop en faire non plus en essayant d'obtenir un sourire et tout faire pour ne pas revenir chez elle sinon c'etait le plan du genre vous avez choisi vos jeux aller bye.
On a profité de la chaleur pour lui proposer d'aller se baigner dans un petite base de loisirs sympa elle nous dit:
- J'ai pas de maillot puis du menage a faire...
- Ben on repasse tu prends ton maillot le ménage c bon fais 40 degres la tu le fera ce soir a la fraiche
Elle finis par accepte sans etre trop emballée non plus.
Arrivés sur place elle nous dit:
- Ben on va pas sur le cote plage de la base
- Euh non c'est payant l'entree lol.
On contournait dans un petit chemin pour se retrouver dans un coin tranquille, et la de plus fallait l'isoler. Elle se mit en maillot dans la voiture en ayant bien pris soin de nous écarter. On a rien vu d'elle, si juste une fois en maillot 2 pieces pour info elle etait blonde foncée petite mince, petits seins mais beau cul
Apres une 1ere baignade sans conviction elle est parti de son coté.
Obliger sa seviette fut positionner entre nous 2.
- Tu enleves pas le haut pour bronzer ?
- Non j'aime pas
- C'est pas joli les traces de maillot et puis bon y a personne et t'inquietes pas on a deja vus des seins lol c'est juste que les traces c'est vraiment pas genial
Apres de longue minutes elle accepta d'enlever le haut
- Ben voila en plus sont jolis 90b non?
- Oui c'est ca ,
- Ha tu vois je connais (ils etaient bien fermes avec de gros tetons) sont tres beaux tu devrais pas etre genée de les montrer tu veux un peu de creme je te la mets sans mauvaise pensées t'inquietes pas.
Elle a preferé se la mettre seule et hop 1er revers lol
- Sinon t'aime bien les rebeux?
- J'ai rien contre
- Ok tes deja sorti avec un?
- Non
- Ok et imagine t'as pas de copain, tu nous trouves comment bien ou bof tu peux dire bof ...
- Non ca va ,
- Ca va c 'est bien alors
elle fit un sourire mais pas de oui franc
- T'es timide lol t'ose pas dire oui nous en tout cas on te trouve tres bien
Petit sourire et un merci
- Mais tu es bien avec nous la non?
- Oui ca va la
Elle se mit sur le ventre
- Attends vais te mettre de la creme la tu peux pas
Elle accepta (elle avait un cul terrible)
- Ben tu devrais enlever le bas sinon trace aussi
- Non tes fou!
- Ben non y a personne c'est bon et puis sur le ventre on vois rien je te l'enléve.
On la bien saouler elle finit par enlever le bas mais en restant sur le ventre
- Voila t'es mieux la tu vas etre toute belle pour ton copain pas de trace blanche inutile
J'ai pu apercevoir qu'elle etait rasée integrale
- Tu es rasée non?
- Oui
- Ok c'est plus joli et agreable et ca te va bien... Attends je reviens
Je m'isole 2 minutes avec mon pote qui me dit:
- T'a vu on a reussi a la faire mettre nue... Il est presque 16h faut qu'à 16h30 on soit en train de la baiser sinon c'est presque foutu
- Ben attends trouve un truc laisse moi seul 30 minutes avec et c'est bon elle est quand meme a poil vais la provoquer un peu ok
Je retournais la voir. Elle me dit:
- Il va ou ?
- Telephoner plus loin appel familial... Ok on va se baigner un peu
- Ok
Elle commencais a remettre le bas
- Non c'est bon t'en a pas besoin on te verra pas avant d'arriver a l'eau... Attends arrete toi
- Quoi ???
- Ha ouais t'es bien rasée! Attends tu me laisse toucher juste pour voir
- Voir quoi
- Ben comme cest bien lisse voir si c'est agreable a toucher. Attends viens sur la serviette 2 minutes
Là, je me suis lancé. J'ai mis la main; pas comme un sauvage; doucement. Elle n'a rien dis. J'ai carressé son clito. Elle ne disait rien. Je lui disais
- C'est super doux, c'est clair!
De l'autre main j'ai carressé un sein. Elle n'a rien dit non plus. J'ai plu sinsisté sur la chatte en rentrant un doigt.
- C'est bon? Tu aimes?
- Oui
Je continuais à la doigter. Quand j'ai sentis la mouille j'ai à nouveau demandé:
- Tu aimes?
La j ai eu droit a un ''oui'' plus franc plus chaud
- Attends releve toi un peu tu vas me sucer
Elle l'a la fait sans trop parler. Mon pote est arrivé. Moi debout l'autre en train de me sucer
- Ben ta pas perdu de temps !
- En plus elle suce bien... Je ldi à la fille... Tu vas le sucer et moi vais te prendre
Elle n'a pas repondu mais s'est laisser penetrer sans resistance.
Elle a commencer à sucer mon pote et on la prise chacun notre tour. Elle a jouie 3 fois c'etait 18h
- Ecoute ma jolie, je te propose un truc, tu telephone a ton copain et tu dis que tu passes la soiree et nuit chez tes parents tu viens avec nous on va chez moi et on passer la soiree ensemblent
- Je sais pas
- C'etait pas bon? T'as pas envie que on te rebaise ?
- C'est pas çà, j'ai fait une connerie là
- Ha bon! La connerie t'a fais jouir quand même... Là, si si je te dit suce tu le fais pas?
- C'est pas çà
Sans lui laisser finir lui dit:
- Ben voyons tiens suce moi
- Maintenant!
- Ben oui! Vas y... Aller
Elle s'executa sans rien dire.
- C'est bien... Tu apprends vite donc telephone a ton copain et dis lui que tu es chez tes parents cette nuit diner de famille improvisé...
Elle obéit.
Pendant qu'elle était au téléphone, j'en profitais pour la doigter. Faut dire qu'elle était déjà bien dilatée. Elle mouillait comme une salope mon pote me dit discrétement:
- Prends la cette salope
Elle était toujours au téléphone quand je la pénétrais fortement. Un régal à baiser! Elle se retenait de crier dans l'appareil. A peine elle a raccroché qu'elle a eu unorgasme terrible.
On avait affaire à une bonne jouisseuse...
Dans la caisse, on l'a un peu provoqué:
- Tu sucee comme une salope tu devrais faire du x.... Ecoute, on va faire venir des potes
Combien,..
elle me dis combien
- Cinq, six, je sais pas mais je dis pas qu'ils viennent te baiser ca on verra par la suite
- Suis pas une pute
- J'ai pas dit ca (meme si tu allais le devenir ma petite) enfin t'es quand meme une salope sinon on t'aurais pas baiser finalement t'es une salope non?
Elle repondais pas
- Tu veux pas dire... Je te laisse reflechir vais telephoner
J'ai réussi à réunir quatre potes. C'était déjà bien. Me tournant vers elle:
- Ils seront la dans une demi heure.....
Arrivés à l'appart, la fille n'était pas super à l'aise.
En temps normal, on aurait sûrement continué à la pousser en douceur et l'après-midi prouvait qu'elle se laissait bien faire mais j'avais envie d'y aller à fond.
J'ai donc continué à la chauffer gentiment
- T'es belle, toi, t'as un beau corps et autres conneries en lui caressant tranquillement les cuisses pendant que mon pote Hakim roulait un bon pétard après avoir mis un cd de reggae.
Elle nous dit:
- J'ai pas l'habitude de fumer'.
- T'inquiètes pas, ma belle, c'est super léger', je lui réponds en faisant discretos un clin d'oeil à Hakim pour qu’il charge le truc à mort.
Je commence à lui peloter ses nichons bien fermes:
- T'as fumé des plus gros pétards, cet aprem, non ?
Comme elle rougit, je la pousse:
- Tu rougis comme une gamine, t'étais moins timide avec une teub dans la bouche
Hakim allume le pet et lui passe avant qu'elle ne puisse répondre.
Bien sûr, la miss tousse et je l'engueule:
- Attends, c'est de la super bonne que tu gâches, recommences, il faut bien inspirer....
Pendant qu'Hakim nous propose un truc à boire. je commande pour moi - une heineken bouteille - et pour elle qui inhale - 'prends donc le bailey's, hak'.
Ca la fait marrer - ' le bailey's, c'est un truc de gamine' ; elle a les yeux bien rouges, le truc commence à agir.
- Attends, ma chérie, je vais t'aider...
Je lui prends le pet et je l'inhale pour lui souffler la fumée dans la bouche en terminant en baiser pendant qu'hakim lui sert un énorme verre et allume la télé.
- Regardes ton verre, ça te rappelle rien, ce liquide blanc, visqueux ?'
Elle rigole en disant: ''ouais mais celui-là il est sucré''
C'est gagné : elle est bien partie et embraie dans les vannes de cul
- Et t'en jamais eu de sucré ?
- Quoi, du sperme ?'
- Ben oui, cochonne, pas du bailey's'
- Euh, non. Et hakim, pourquoi t'allumes la télé, elle est sympa la musique' dit-elle, trop fort, en buvant une bonne rasade.
- Je vais pas mettre le son, ç'est tout à l'heure, quand tu m'as sucé, tu m'as rappelé une fille dans un film. Je voulais le retrouver pour comparer'
- Ouais, c'est vrai que moi aussi tu m'a fais penser à une actrice de cul
J'embraie en recommençant à la peloter, une main sur les nichons et une dans la culotte.
- C’est sa façon de sucer qui m’y a fait penser' précise Hakim en sortant un dvd elle bave sur la queue comme une pute.
- C’est vrai, ça. C'est ton copain Antoine qui t'a appris à sucer comme une grosse pute, cochonne ?
Elle est toute gênée. C'en est presque touchant, ma queue rebondit.
- Oh, non, je lui ai jamais fait à lui'
- Tu suces pas ton mec ?’
Elle me regarde vicieusement : ‘non’.
- Tu suces comme une pute que d'autres mecs, alors ?
Je lui rentre direct un doigt tout au fond- elle est trempée, gémit et reprend une gorgée d'alcool. Hakim, qui mis son dvd dans le lecteur, vient s'asseoir sur le canapé de l'autre côté d'elle.
- C'est au lycée que t'as appris ça, cochonne ?' lui demande-t-il en lançant son film.
Je reconnais de suite le logo d'un bon gang bang interracial us bien hardcore, du démontage d'actrices de l'Est par des malabars blacks west coast.
Je lui redonne le pet avant qu'elle ne bafouille de réponse. Piano pour la remettre en confiance :
- Et t'es avec Antoine depuis combien de temps ma douce ?'
Elle, en toussant : ''Euh, le lycée, la seconde''
Hakim, pas fin, tout sourire :
- Alors, c'est avant que t'as appris à sucer comme une pute ? T’as pas perdu de temps, toi !'.
Une superbe blonde fine apparaît sur l'écran dans une chambre anonyme.
- Mais non, elle est fidèle, Virginie, pas vrai ?' Je mets un deuxième doigt.
- Voui. OH !. Enfin, normalement, je veux dire..'
- Oui, bien sûr, ma chérie, je comprends, on t'as trop tenté avec nos grosses queues, c'est pas de ta faute'
Je lui colle la main sur ma braguette ; trois blacks entourent la gonzesse sur l'écran.
- Et, au lycée, t'as du être tentée parfois aussi ?'
Je caresse ma queue avec sa main.
- Ça a pu arrivé’, confirme-t-elle ‘vraiment de temps en temps’
- Et Antoine, il l’a sû ?’
- Non, non’ elle semble rêvasser, je doigte un peu plus vite ‘Mais c’était des bricoles au lycée ou en vacances’
- Vous passiez pas vos vacances ensemble ?’
- Ben, non, pas toujours’
- Ah, ben, oui, alors forcément, ç’était dur pour toi’
Elle me regarde avec un petit sourire
- Oui, forcément…’
- Et c’était quoi, le plus dur, chérie ?’
- Je crois que c’était en boite, tu sais, quand les mecs se frottent.’
Je rajoute un deuxième doigt et j’enchaîne:
- Qu’ils se frottent et que tu sens leurs queues ?’
- Oui’
Hakim intervient:
- Eh, mais t’étais pas obligée de passer tes soirées en boîte à laisser tous les mecs te frotter comme des clebs ?’
- Obligée, non, c’est sûre... Elle soupire et prends mon poignet pour enfoncer davantage mes doigts... Mais j’aime bien danser, moi. Après, s’il y a toujours des mecs qui y ont faim et qui me chauffent, c’est pas vraiment ma faute, non ?’
- Ca dépend, ça. Les mecs, tu t’occupais d’eux après ?’
- Ben, des fois.’
- Des fois ou à chaque fois, salope ?’
- Ben, souvent, quoi…’
- Et t’étais toujours dans la même boite, en vacances ?’
- En général, oui... Elle caresse mon poignet... Tu peux y aller, tu sais, un peu fort, quoi’
Je mets quatre doigts et je commence à pistonner.
- Donc tu te faisais troncher tout l’été tous les soirs en boîte, salope ? Et tous les mecs de la boîte le savaient et beaucoup avaient déjà du en profiter, non ?’
Elle gémit
- Oui’
- Et après, tu t’étonnes de te faire chauffer ?’
Hakim reprend :
- Ce qui m’étonne, moi, c’est que ça soit limité à la boîte’
- Len des fois, je les retrouvais à la plage, aussi’
- Les mecs de la boîte ?’
- Voui, et leurs copains.’
- Et ?’
- Et je les chauffais un peu, des fois’
- Racontes, salope, allez, ça te fait mouiller et regardes nos bites’
Elle s’exécute en se passant lentement la langue sur les lèvres.
- Disons que je mettais un maillot un peu court. Ou que je leur demandais de me mettre de la crème. Ou de me payer une grosse glace à la crème. Des trucs de fille, quoi. C’était rigolo, surtout quand leurs meufs étaient dans le coin et que les mecs pouvaient rien faire. Ca les rendait fous. ’
- Et le soir, en boite, tu payais la facture ?’
Elle opine doucement. Le portable d'Hakim sonne.
- Y a aussi eu le voyage linguistique en Angleterre' rêvasse-t-elle ;
Hakim : 'kad, comment va ? t'as eu mon sms ?'
- Ta langue a bossé les anglais ?',
- Ils m'avaient fait boire, en boite'
- Ils, mais y en avait combien ?' intervient Hakim.
- Euh, cinq'
- Ah, ben, on va battre ton record alors ma pute réplique Hakim, puis reparlant dans son téléphone : ''une bonne blonde beec beeg ; oui, aucun problème, top chaudasse, et prends ton cam'.
- Et c'est quoi ce truc ?
Le regard de la biche a accroché l'écran de la TV où la fille est à genoux entre trois monstres blacks.
- Un film US. ils font venir des putes de l'Est et ils les défonçent tant qu'elles peuvent encaisser. Tu va voir, c'est hallucinant' lui réponds-je distraitement en me demandant combien d'autres mecs Hakim est en train d'inviter.
- T'est toute mouillé, ma chérie, c'est les grosses queues ?
Hakim, qui a rangé son tel, prends une latte et lui redonne le pétard :
- Ouais, tu m'as l'air d'aimer les grosses, toi. T'es une bonne gourmande
Je déboutonne sa robe et je lui mets les seins à l'air.
- Remarques, moi aussi, j'aime bien les grosses, les grosses loches'
Hakim quitte son fute:
- Ouais, t’as une bonne paire de pute, toi’
Sur l'écran, les blacks baisent la blondasse par la gorge à fond à tour de rôle.
- Et alors, en Angleterre, qu'est-ce qui t'est arrivé, ma belle ?'
- Ben, ils m'ont fait boire
Elle nous branle tous les deux un peu mécaniquement.
- Et ils t'ont baisé ?'
- Euh, oui"
Un flash de lucidité
- Eh...il faut que j'appelle ma maman pour qu'elle me couvre si Antoine appelle".
- Bien vu"
Je lui tends son sac en montant doucement le son de la télécommande de la télé. Elle lèche ma queue et prend son portable en continuant à branler Hakim.
- Il est super beau et tout neuf... je lui dis, en lui prenant des mains... Il prend des photos ?"
- Elle est comment, ta reum ? T'as qu'à lui dire de passer. Si elle aime la bite comme toi, elle va passer une bonne soirée, y en aura pour deux... rigole Hakim que je sais pourtant (au moins) à moitié sérieux.
- Oui, il prend des photos. C'est Antoine qui me l'a acheté quand on s'est fiancés'
- Super, ç’est un bon cadeau ça, tiens on va mettre mon numéro avec une vignette personnalisée...
Je lui désigne ma teub. Elle rigole et prends ma queue en photo zoomée puis enregistres le numéro et fais de même avec celle d’Hakim. Elle sourit :
- Pas la peine de mettre vos noms, hein, ç’est pas pour ça que je vous appellerai, je vais mettre plan Q’
Elle appelle sa mère. Je continue à monter lentement le son de la tv, qu'on entende juste un peu en fond les bruits de baise ; elle appelle.
- Allo, maman. Oui, dis-moi, ce soir, j'ai un plan avec Amélie mais je ne veux pas en parler à Antoine et je lui dit que j'étais avec Papa et toi. Oui. Elle est déprimée, tu sais'
Je me branle les jambes bien écartées et je sors tranquillement la télécommande pour monter franchement le son. Elle comprend le risque et je vois la panique dans ses yeux. Hakim, qui a mis ses doigts à la place des miens, commence à y aller franchement.
- Non, maman, faut que je te laisse. C'est rien, la télé. Allez, bises" Elle raccroche précipitamment.... Salaud ! Elle a failli entendre"
Je lui prends une pleine poignée de cheveux et je la fais descendre de force sur ma queue.
- Où tu te crois pour m'insulter, grosse pute. C'est de ma faute si sa fille est un garabe à bites ? Allez suces!
Je lui bloque la téte sur ma queue en me levant un peu pour aller bien au fond de la gorge. Elle meugle et Hakim se marre:
- Tu vas passer une super bonne soirée, toi' dit-il en récupérant son téléphone par terre.
Hakim passe derrière le canapé et me montre le tel avec un gros clin d'oeil. Je mets quatre ou cinq bon coups de bites dans sa gorge tandis qu'Hakim, debout derrière elle, me montre qu'il rappelle "maman" en bloquant du pouce le haut parleur. Je relève lentement la tête blonde de ma bite.
- T'arrêtes de m'insulter, maintenant, pétasse, ou je te fous dehors'
- Pardon, excuses-moi, j'ai flippé à cause de ma mère'
Je radoucis mon ton en gardant sa tête tout prés de ma queue.
- Bien sûr. Pas de problème. C'est moi qui m'excuses, c'était lourd. On est pas fâchés ? Tu me la resuces un peu ?'
Je la ramène sur ma bite en lui caressant gentiment la joue. Hakim, mort de rire, tient toujours le tel et intervient également:
- Allez, Virginie, montre nous comme tu suces bien sa grosse teub'
- D'accord'... Dit-elle avant de se remettre à sucer.
Hakim reprend:
- Et alors, pourquoi t'as flippée, ta mére, elle sait pas que tu te prends toutes les bites qui passent ?'
Moi, commentateur sportif, en bloquant à nouveau sa téte :
- Regarde ça, comme elle me suce bien. Bave bien cochonne. Allez, fais du bruit. T'es une bonne pute, toi'.
Hakim réplique:
- Tu nous a dis que tu faisais quoi, déjà, comme études ? du droit, non ? Tu devrais arrêter de t'emmerder. T'as un don pour autre chose. On t'installe dans une cave à la téci et tu vas pas t'ennuyer'.
- Ce soir, c'est son stage, Hak. Combien de queues elle va éponger ?"
- Une bonne dizaine. ça dépend si les mecs viennent avec des potes"
Elle relève la tête:
- Mais vous m'aviez dit quatre!
Je la fait répéter exprès pour que sa mère l'entende bien.
- Qu'est-ce que t'as dis, ma pute ?
- Ben; vous m'aviez dit qu'il y aurait quatre de vos copains, ce soir. Pas dix.'
Hakim, doctoral:
- J'ai pas dit dix, salope. J'ai dis une dizaine. Ils seront peut-étre quinze'
Moi, câlin, en lui caressant la joue :
- Mais y en aura jamais que trois ou quatre sur toi en même temps, ma chérie. tu vas voir, ça va être super-tendre (Hakim pouffe) Allez suce maintenant.
Je rabaisse sa tête. Hakim reprend:
- Ouais, ça va être super tendre. Tu vas de faire défoncer la chatte et le cul par quinze mecs très tendrement.
Elle gémit
- Tu vas voir, ma grosse pute, on va bien te respecter. Jamais plus de quatre ou cinq à la fois'
Moi, songeur, à Hakim:
- Exceptionnellement, on peut peut-être faire plus. On doit pouvoir lui en mettre deux dans la bouche, une dans chaque main et il reste ses deux trous. Y a de la place, qu'est-ce que t'en penses ?'
Elle grogne
- Y en aura demain matin en tout cas!'
On se tape dans la main et Hakim raccroche et éteint le tel.
Je lui relève doucement la tête en laissant ma queue poser sur la joue.
- Et alors, ces anglais, tu nous racontes la fin de l'histoire ?'
- 'Mais c'était pas des anglais, c'était en Angleterre mais c'était des mecs de mon lycée, des rebeux de la cité"
Hakim, toujours debout auprès du canapé, attrape une pleine poignée de cheveux blonds et lui relève la tête de ma bite pour lui fourrer d'un coup sa queue dans la bouche. Il lui tient la tête avec les deux mains et commence à littéralement se branler avec sa bouche.
- T'es con, elle peut plus parler, c'était intéressant, son histoire'
- Faut qu'on en profite avant qu'ils arrivent. Après faudra prendre un ticket'
- Mmmmphhhhh' fait la fille.
- Oui, moi aussi, je t'aime, ma chérie, on t'aime tous' ricane Hak en accélérant.
Je lui écarte bien les jambes et je lui caresse le clito en vitesse.
- T’as pas envie d'une bière, ma chérie, j'ai finis la mienne'
- Mmmmmmphhhh'
- J'en étais sûr. tiens, c'est pour toi'
Je commence à lui frotter le goulot de ma bouteille de Ken sur la chatte. Elle tressaille de froid et commence é se débattre. Hak lui lâche lentement la tête et, après un clin d'oeil, me sermonne:
- Arrêtes, t'es con. c'est pas une poubelle, sa petite chatte. Elle mérite d'être bien traitée, en douceur. Elle est sympa, notre Virgine, non ?'
Il l'attrape par les cuisses pour commencer à la fourrer.
- C’est super froid, arrête' miaule-t-elle.
- Tiens, j'ai un truc tout chaud pour toi, moi... lui susurre Hak en lui caressant la joue.
- Reprends donc une latte, ça va te réchauffer... j'ajoute en lui collant le pétard dans la bouche.
Hak commence à frotter lentement son gros gland sur la chatte de la petite. Il une bite moyennement longue mais très épaisse. L'inverse de la mienne et, en toute logique, j'aurai du passer d'abord pour la dilater mais je n'insiste pas : c'est vrai que c'est rigolo qu'elle la sente bien passer.
- Mais on va pas commencer maintenant' s'inquiète notre beauté 'vos copains vont arriver, il faut qu'on se rhabille'
- Bien sûr, c'est juste en attendant... la rassure Hak... juste un petit coup".
Il commence é pousser. La fille grogne.
- T’es drôlement serrée, ma poulette. il s'occupe jamais de toi, ton Antoine ?'
- Si, si"
- Ben alors ?'
- Elle est pas si grosse, la sienne'
- Oh, il a une petite queue, ton chéri. ça doit être dur pour une gourmande comme toi' compatit Hak en continuant à pousser.
Sa grosse bite s'enfonce lentement. J'interviens depuis la cuisine :
- Mais t'en as quand même pris d'autres ?'
- Mais oui, tu vas voir qu'elle va super-bien encaisser, pas vrai, ma grosse ?' dis Hak en rentrant jusqu'au fond d'un grognement.
- Mais pas par là, oh, va y doucement, elle est grosse.'
- Pas par là ? Tu préfères dans le cul, cochonne ?'
- Ou par la bouche, y a pas besoin de se déshabiller et puis les mecs veulent toujours me le faire par la bouche, surtout les mecs comme vous' précise-t-elle.
- Les mecs, comme nous, c'est-à-dire ?
Je me rasseois à ses côtés et je me branle avec sa petite main.
- Ben, les reubeux ou les blacks, quoi'
Elle commence à être bien essoufflée par Hak qui accélère.
- Ah bon ?'
- Ben, oui, surtout pour finir, en fait'
- Tu veux dire que les mecs te jutent dans la gueule, d'habitude ?' interroge Hak.
- Voui, ou dessus. Puis ça m'arrange, maintenant.'
- Et pourquoi ç'a t'arrange qu'on t'asperge, ma pute ?'
- C'est parce que, comme on va se marier le mois prochain, avec Antoine, je prends plus la pillule, alors vous comprenez, surtout avec les blacks...Y aura des blacks tout à l'heure ?'
- Bien sûr, ma belle, t'aura ta dose de blacks. Et puis, on va ressortir tout à l'heure. Y a une boite de zouk, à côté, on va te faire belle et on ira y faire un petit tour, ça va bien te plaire. Et là, tu vas en avoir, ma chérie, des mecs qui font vouloir se la frotter sur toi'
- Ouais, on l'habillera en gamine, avec des couettes et une petite robe blanche' s'excite Hak en continuant à la pilonner bien fort... une petite blonde, toute pure, tu vas avoir un putain de succès'
- Ouais’ J’enchaîne ‘Ils vont être affamés, les mecs, ils vont tous en vouloir un bout’
Hak ajoute:
- Au moins la toucher un peu ou lui faire sentir leurs queues... Et lui dire des trucs sales. Tu vas adorer, chérie. On va te lâcher dans la fosse aux lions... Ouais, comme la petite belge, tu te souviens ?’
- Et comment ! C’était mortel, t’aurais adorée, Virginie. Une autostoppeuse belge, qu’on a chopé sur la RN, blonde comme les blés, toute mimi, comme toi. Elle était bien en cloques, tu vois, genre 7 mois. On l’a fait bouffer, on l’a fait bien picoler et fumer. Elle savait plus où elle était, la petite, et on l’a lâchée dans la boîte’
Ça excite manifestement, notre petite, qui me dit:
- Super, allez racontes’ et se remet à me sucer.
- Elle a commencé à bien se faire peloter, tu vois, le cul et ses gros nibs, des vrais affamés, je te dis’
- Et ?’
- Nous, on était royals au bar et tu vois, et on matait, en lâchant des vannes. Et elle était trop paumée, elle venait nous voir à chaque fois pour rentrer et on l’envoyait chier’
Hakim intervient:
- Oui, Max, il l’appelait Marguerite parce qu’il disait qu’il lui fallait un nom de vache avec ses gros nibs et chaque fois, il lui disait ‘allez, fais meuh et on te ramène, allez fais meuh, chérie’ et la nénette le faisait à chaque fois comme une conne et Max à chaque fois la ramenait sur la piste en le pelotant un maximum devant tout le monde, pour que les autres mecs n’hésitent pas’
- Ouais et pour finir, on l’a foutu aux chiottes des mecs. Elle a du sucer tout se qui passait.’
- Ouais et Max ils les a laissé la troncher... complète Hakim avant de préciser pour Virginie... Il était encore dans son trip, tu vois, il s’était assis sur les chiottes et elle devait le sucer en faisant la vache pendant qu’elle se faisait enculer et qu’il s’amusait à lui gifler les nibs le plus loin possible. Putain, à la fin, elle était même plus capable de marcher toute seule.’
Un vrai gentleman, votre copain Max. Il va venir, ce soir ?’
Débauche...
Fin
- On l’a pas appelé.’ Hak accélère son pistonnage.
- C’est dommage, j’aimerais bien le rencontrer, tu veux pas l’appeler ?’
- Quoi, t’en envie de te faire maltraiter ?
- J’ai envie qu’on s’occupe de moi, quoi. Et les blacks, faudra qui mettent des capotes, hein, vous leur direz, faut pas le faire sans capote'
- Mais naturellement, on est pas des salauds, ma douce
Je lui fais un bisou sur la joue et je mets un SMS à Max '' J 1 soumise blonde gros nibs pour toi à la maison, rappliques''
- Mais moi, je suis pas black... dis Hak en sciant comme un malade... je peux te larguer au fond, hein, d'accordé'
- Oh, non, s'il te plait, ça me géne, par rapport à Antoine... sa voix commence à étre bien pateuse.
J’interviens :
- Allons, allons, imagine, si c'est un garçon, faut mieux qu'il en ait une bien grosse, comme Hak, c'est mieux pour lui, non ? les meufs préfèrent, regarde : toi-même, tu préfères les grosses queues, non ?'
- Voui. mais c'est pas que pour la taille.'
- Ah ?’
- Ben, c'est que les mecs qui en ont des grosses, en général, avec eux, c'est mieux'
- Et pourquoi ça, ma douce ?'
- Ben. ils savent comment traiter les meufs. Pas comme des princesses, quoi'
- Tu veux dire qu'ils te traitent comme une grosse pute et que t'aime ça ? Hein, c'est ça ?'
- Ben va falloir qu'on se lâche, alors, on doit être trop tendre pour mademoiselle, là' note Hak en la défonçant comme une brute.
Elle meugle:
- Non.......NON.......Là, c'est bien.......Comme vous faites.......c'est B......bien'
Je me relève pour mettre ma queue à hauteur de sa gueule :
- Sors ta langue, ma chérie. Regarde, on va faire un compromis, Hak peut plus s'arrêter là, tu comprends, alors il va tout te mettre bien au fond mais moi, je vais être sympa et au lieu d'en remettre une bonne dose, je vais tout te cracher dans la bouche, hein, comme tu aimes"
DRIIIIINNNNNNNNNNNNNNNG
- Putain, c'est encore Kader qui s'endort sur le bouton. Qu'il est chiant '
Je me relève pour aller ouvrir.
- Et attends......Tu vas pas.....ouvrir là alors que... miaule Virginie.
- Han. Han. Ta gueule. Han...
Hak continue à la bourrer en lui fourrant trois doigts dans la bouche pour la faire taire.
- Tiens suces, dis-toi que c'est une bonne queue'
J'appuie sur l'interphone et j'ouvre en grand la porte en me rebraguettant.
La vue depuis l'entrée est sympa : le cul velu d'Hak qui pistonne et les cuisses ouvertes de la fille. Hak fout d'ailleurs ses chevilles sur ses épaules pour aller plus loin. Elle gueule.
Kader, un pote à nous, petit, vraiment vicieux, se pointe avec un sac à dos, deux blackos qu'on connaît de vue l'accompagnent.
- Eh ben, on s'ennuie pas ici. Qui c'est votre pute ? demande Kader en entrant.
Avisant le sac à main de la petite sur la table, il s'en saisit.
- Salut les mecs. Excusez Hak, il est occupé'
Clap, clap, les cuisses claquent et Hak respire comme un bûcheron.
Les blacks me serrent la main et entrent. Ils sortent sur le champ leurs queues. Deux gros boudins noirs, encore mous.
- Allez, tiens, prends tout, cochonne, allez, je te lâche tout.'
Hak est manifestement en train de gicler au fond, tout enfoncé, immobile.
Kader sort le portefeuille de la fille. J'assume mon rôle de maître des lieux '
- Dites donc, les gars, je pensais qu'on pouvait s'amuser un peu ici..'
Un des blacks se rapproche du canapé en se branlant. Hak redonne quelques coups en grognant et sort sa queue. La chatte de la fille est complètement ouverte et le sperme en coule abondamment.
- Putain, ça sera au moins des jumeaux, regardez ce que je lui ai mis
Hak se relève hilare et va serrer les mains des arrivants.
- On vous présente Virginie, les mecs. C'est la meuf d'un collègue. on l'a tronchée tout l'aprem mais elle en veut plus. un vrai sac à foutre, pas vrai, ma belle ?'
Elle nous regarde hagarde, les yeux dans le vide, les cuisses toujours ouvertes et la chatte dégoulinante. Le black qui se rapprochait est maintenant à moitié dur et vient se positionner entre ses cuisses.
Kader, qui a sorti son portefeuille, regarde sa carte d'étudiante.
- Virgine Lemeunier, 15 allée des muriers"
Le deuxième black revient de la cuisine avec une bière et intervient:
- Allée des muriers, c'est cool, c'est pas loin de la téci. ça va être pratique.'
L’autre commence à fourrer la petite.
- Eh, non, attends, et la capote ?... gueule Virginie.
- Quoi, la capote ? Hak n'en avait pas, j'ai l'impression' gronde le black.
- Oui, mais toi, t'es black' précise la petite, pas fine, en m'implorant du regard.
Je pars courageusement me chercher une autre mousse.
- Quoi, t'es raciste, connasse, tiens prends ça, sale pute...
Le mec l'embroche à fond. Elle gueule et se débat. Le black en a rien à foutre et défonce.
- Non, non, pas sans capote, pas comme ça'
Kader, après avoir reposé le portefeuille en piquant la CB, sort sa queue et vient sur le canapé.
- T'as pris ton camescope, Kad ?' lui demande Hak.
- Oui, dans le sac, sers-toi. Tiens-la, Marco, c'est pénible, là'
L'autre black vient immobiliser la petite qui, calmée, notre blonde commence à apprécier les coups de piston et bouge les hanches en rythme.
- C'est bien, pouffiasse' approuve le black qui la bourre.
L'autre black commente:
- Elle a de bon gros lolos, c’est bon. '
J'abonde dans leur sens
- Ouais et avec sa taille bien fine, on voit qu’eux quand elle marche. On va passer un bon été avec elle. On t'emmenera à la piscine municipale, chérie, avec un bikini deux tailles trop petit, tu seras la reine"
- Ca sera la reine des chiottes des mecs, c'est sûr... précise Kader en sortant sa bite, trés courte mais épaisse comme une bouteille de pinard... comme la nouvelle instit de la petite soeur de Marco, la stagiaire, l'été dernier, vous vous souvenez ce qu'on lui a mis ? Elle a marché en crabe une semaine.'
- Ouais, mais c'est chiant, elles sont dégueulasses, ces chiottes" dois-je préciser.
- Tu t'en fous, toi, tu restes debout, c'est elle qui est à genoux dans le chiotte turc" rappelle Kad
Hakim se rapproche avec le caméscope tournant:
''Les débuts vidéo de Virginie Leumenier, 15 allée des muriers, première prise''
Je récupère le tel de la petite qui traîne par terre. Douze appels en absence de 'maman', deux d'Antoine. Kader tourne la tête de Virgine vers la caméra:
- Dis coucou à la caméra, chérie, et présente toi'
Toujours sous les coups de bite du black:
- Cou....Cou. Je m'appelle Vir....Ginie'
- Et je suis un vide-couilles... suggère Kader... allez dis-le, quoi'
- Et je suis....un vide...couilles' obtempère notre belle.
Appel entrant. Antoine. J'hésite, un instant de faiblesse.
- Dis merci au monsieur : merci pour cette grosse teub...'
C'est trop tentant. Je décroche le tel, haut parleur bloqué.
- Merci...pour cette gros...se teub' miaule-t-elle
J'interviens:
- J’ai rien entendu
Merci pour cette grosse teub'
- J’entends mal, je te dis'
Elle gueule :
- Merci pour cette...grosse bite qui...me bourre"
- Ben et moi alors ?... Intervient Hakim... t'as déjà oubliée la mienne, ingrate ?'
- Mer..ci, Hakim'
- C'est le minimum avec tout ce que j'ai juté dedans, pas vrai ?
Il continue à filmer
- Merci pour tout ton jus, Hakim'
- T’es trop bavarde, toi, tiens, mange ça’
Le deuxième black lui fout sa bite dans la bouche.
- Dites les gars, je pensais qu'on aurait pu se marrer un peu ici puis aller faire un tour avec notre miss au club'
Hakim enthousiaste:
- Ouais, on la maquillerait avant et on s'est dit qu'on l'habillerait genre collégienne"
Kader, dubitatif
- Quoi, vous voulez la foutre à l'abattage sur le parking après ?'
- Ouais, ça ferait de la thune... note Hakim, toujours très pratique... ou on la mettrait à sucer aux chiottes, genre 20 euros, en partant pas trop tard, elle peut facilement faire 30 mecs, ça fait du blé, non ?'
- Faudra peut-être baisser le prix, en fin de soirée... note Kader... elle sera moins appétissante, forcément...'
- Attendez, les mecs, c'est pas un objet. Faut lui demander ce qu'elle pense. Sort ta bite qu'elle puisse parler... j'interviens, diplomate... alors, Virginie, ça te dirait d'aller danser après ?'
- Euh.......ça.....dépend"
- Attends, mec, arrête deux secondes de la bourrer, qu'elle puisse parler"
Le mec sort sa queue et commence à s'astiquer. Kader fourre trois doigts pour compenser et reprend le portefeuille qui traîne par terre.
- Donc, ça dépend, chérie ?'
- Ben, je suis pas une pute, je veux dire pas pour l'argent'
- T'inquiètes, l'argent, c'est pour nous, toi, tu touches pas, t'es pas une pute... ' j'explique pédagogue... ce sera un superfantasme pour toi, non ? toutes les bites qui défilent ?'
- Ca serait des blacks ?' demande-t-elle songeuse.
- Ouais, presque tous, c'est une boite de zouk... Je pense au tel et à notre petit Antoine qui a lui aussi le droit de passer une bonne soirée... l'Africa night, aprés le Leclerc, on irait vers minuit'
Je me rapproche pour lui caresser, très doux, le visage;
- C'est une superoccase, Virginie, tu t'en souviendra toute ta vie"
Elle me regarde presque tendrement
- Oui, mais, tu sais, mon problème, tu sais, de pilule'
Je sens nos trois nouveaux arrivants se tendre sur le champ et d'immenses sourires apparaissent. Marco, avec un rictus, accélère son astiquage.
- Non, t'inquiétes pas, ma chérie, ça serait que ta bouche, lé bas, comme tu aimes'
- T’aimes les teubs dans la bouche, grosse pute ?' l'interroge Kader
- Ouais, c'est qu'elle nous disait tout à l'heure' précise Hakim
- Non, soyons précis' j'interviens 'c'est pas ce qu'elle a dit. Elle a dit qu'elle aimait les grosses teubs dans la bouche, pas vrai, Virginie ?'
- Voui'
- Et pourquoi, tu nous a dis ?'
- Parce que les mecs qui en ont des grosses, souvent, c'est des salauds, ils traitent mal les filles'
- Et les filles comme toi, elles aiment qu'on les traite mal, hein ?'
- Voui'
- Alors, on s'emmerde pour rien é te demander ton avis et on est parti pour l'Africa tout à l'heure. Allez-y les gars, finissez-vous '
Marco la refourre d'un coup et l'autre black lui colle la sienne dans la bouche.
- Et attention, Marco, t'as entendu madame, tu juttes pas dedans, hein ?' dis-je, responsable.
- Et hakim, c'est pas normal !' proteste-t-il
- C’est pas faux' note Kader
- Gruuumphhhh" grogne Virginie
- Tu vois qu'elle est d'accord" interprète Kader.
- Ah, si elle est d'accord, bien sûr, vous pouvez y aller... je relève... c'est vrai que ce serait plus sympa, hein, virginie, pour pas vexer, quoi'
Elle intervient, le boudin de Max au bord des lèvres:
- Je sais pas, c'est trop risqué'
- Attends, c'est ça qui est excitant, ma belle' j'interviens... en pensant toujours au tel... vous vous marriez quand ?’
- Le 10 juillet, dans six mois’.
- Génial, imagines, quand tu seras à l'église, t'auras peut-étre un petit black ou un petit rebeux dans le bidon, t'imagines sa tête à la maternité ?'
- Non, c'est trop risqué, je veux pas'
- Y a pas de risque, je m'y connais, je fais médecine, moi... dis Hakim (première nouvelle), toujours caméra au poing... t'as déjà pris une dose de foutre, les autres comptent pas'
- T’es sûr ?'
- Oui, si du sperme passe, c'est le mien... précise Hakim... si y a un bébé, y sera pas black, tu pourra lui dire que c'est le sien, à Antoine'
- Il sera peut-étre un peu crépu' je note, en pensant aux deux tourtereaux blonds
- Et il aura une grosse teub' dis Virginie en éclatant de rire.
Je jouis presque en pensant à Antoine au bout de son téléphone.
- Bon d'accord, alors, mais juste vous, pas au club, hein' conclut-elle avant de recommencer à baver sur la queue de Max.
DRIIIING.
Je jette un oeil à la fenêtre : Max. Je vais ouvrir.
Les deux blacks, l'un dans la bouche, l'autre dans la chatte, s'énervent sur Virginie, qui manifestement aime de plus en plus ça. Hakim, caméra au poing, les encourage poétiquement :
- Allez, défoncez-la, elle aime ça, hein, t'aimes ça, sale pute ?"
- Salut, les mecs
Notre pote Max, un black assez gros et franchement laid, arrive
- Super, une blonde, vous l'avez chopé où ?'
- Au boulot, c'est la meuf d'un collègue"
Je repense au téléphone toujours allumé et je le ramasse pour le tendre à Max
- Tiens, c'est son mec"
- Et tu t'es dégoté une sacrée pute, toi... entreprends Max sur le champ puis revient vers nous en me filant le tel de Virginie... il m'a insulté, ton pote' me dit-il 'alors que je le remerciais de nous filer sa meuf, pas sympa'
- Venges-toi sur elle... lui propose Kader... tu peux tout lui faire et, en plus, elle prends pas la pilule"
- Génial
Il touche sa queue et se joint autour de Virginie. Kader et moi les rejoignons également.
- Tiens Virginie, on te présente Max ?... Je lui précise... On lui a parlé de toi avec la petite belge’
- Ouais, ma petite vache, c’était top’ se rappelle Max avec un sourire vicieux.
Elle le dévisage, le regard fixe malgré les coups de bite qu’elle encaisse -
- Bonjour Max’
Le mec qui est dans sa chatte est clairement en train de gicler abondamment et le fait savoir:
- Tiens, prends tout ma pute'
Hakim commente:
- C'est la règle, ce soir : on finit tous dans sa chatte'
Le mec, qu’elle suçait, se positionne rapidement entre ses cuisses et, en trois coups, crache sa purée:
- Putain, j'ai failli lui gicler dans la gueule...
Se marre-t-il en se relevant et en tapant dans la main, high five, d'Hakim et Marco.
Virginie est toujours assise sur le canapé, nue, les seins un peu rougis par les manipulations viriles des mecs, les cuisses complètement ouvertes et la chatte béante, coulant de foutre. Elle nous regarde en se frottant le clito.
Je précise:
- C’est Virginie qui a voulu qu’on t’appelle, Max, quand on lui a raconté la petite belge’.
Le regard de Max brille. Il sourit méchamment.
- Elle devait avoir envie de tendresse, pas vrai, chérie ?
Il lui pince un téton. Elle gémit
- Oui, c’est ça, et d’un peu de cul, aussi’
- Tu vas pas être déçue, salope, ça va te faire des beaux, beaux souvenirs, tu vas voir’
Il claque son sein. Il désigne le jus qui coule de sa moule
- Et fais attention au canapé, cochonne, ramasses’.
Elle sort un peu de foutre de sa chatte et se lâche le doigt
- Hum, c'est bon, merci les gars, vous aviez les couilles bien pleines'
- T’aimes bien ça, le jus de couilles, hein, ma pute ?'
- J’adore ça, il m'en faut plein, tous les jours'
- Tu dois le vider, ton Antoine'
- Non, lui, en général, il met une capote... elle sourit méchamment... et je ne le suce jamais, il m'a demandé mais je lui ai dit que ça faisait pute'
- C’est vrai que c'est un truc de pute'
- Oui, c'est vrai' sourit-elle 'c'est pour ça que j'aime bien le faire'
- Et tu suces beaucoup ?'
Elle reprend une bonne dose de foutre de sa chatte en se pourléchant les doigts. Kader s'approche, la retourne et commence à la prendre dans la chatte par derrière, ses coudes posés sur le canapé. Elle continue quand même à chauffer les autres.
- Voui ' admet-elle ' je suce tous les mecs qui me la mettent dans la bouche. A la fac, les mecs du foot m'appellent pipa. L'autre jour, ils sont passés à la maison en pleine nuit. Ils sortaient d'une soirée, je crois, ils étaient bourrés, ils m'ont réveillé et ils m'ont dit "on a envie de se vider vite les couilles avant de rentrer voir nos meufs". En vingt minutes, j'ai pris six bonnes doses et ils se sont barrés'
- Et ton copain, il était pas là ?... lui demande Kader en commençant à lui doigter l'anus.
- Tu veux me prendre par le cul, toi ?... s'interrompt Virginie... tu peux, t'as l'air d'être un vrai salaud, toi, les salauds, j'aime bien qu'ils m'enculent... elle lui embrasse la main et frotte tendrement sa joue contre … on vit pas ensemble avec Antoine, j'ai un studio'
Elle s'écarte les fesses avec les deux mains:
- Allez encule-moi vite fait et on va au club, j'ai envie de danser avec plein de beaux blacks, moi'.
Kader prend une bière qui traîne sur la table, lui en renverse sur le cul - elle se marre - et commence à entrer laborieusement sa large bite:
- Tiens, chérie, puisque tu la demandes"
Un des mecs qui se branlaient debout se rapproche fébrilement et commence à gicler, lui maculant les cheveux et le visage.
- Oh, non, on avait dit dedans. Il faut que vous me jutiez dedans, d'accord ?' Elle halète, pistonnée par Kader.
- Ca t'excite maintenant, hein ? T’as envie de te faire engrosser en trompant ton mec, hein ?' lui dis-je
- Ouais... Elle a un grand sourire rayonnant... c'est le seul truc que je ne lui ai pas encore fait, une fois, il m'a même nettoyée après, sans le savoir, c'était génial.'
- Ca vient aussi, moi' intervient Hak.
- Passes dessous... lui dit Virginie... viens me juter dedans, faut que vous me jutiez tous dedans'
Hak se positionne sur le dos, sous elle, et ils la prennent brièvement en double avant qu’Hak lui en remette une dose en grognant. Max intervient:
- On va prendre notre temps avant de partir, chérie. Faut pas arriver trop tôt, quand c’est pas chaud.’
Elle le regarde, curieuse:
- Et en attendant ?’
- En attendant, on va s’occuper, chérie. On va discuter cool, s’occuper.’
Kader, qui continue à l’enculer, se marre:
- Eh, moi, je m’occupe déjà’.
- Tu vois, chérie... note Max... Kader s’occupe déjà. Tu vas voir, on va bien s’amuser.’
Elle se lèche les lèvres.
- Je ne voudrais pas qu’on s’ennuie’.
- T’inquiètes pas... Max continue... On va se trouver des petites activités. Tiens, j’ai une idée, filmes Hak’.
Il attend qu’Hak se mette en place puis reprend
- Alors, Virginie, là, tu te fais enculer comme une chienne, c’est ça ?’
- Oui’
- Et t’aimes bien te faire enculer ?’
- Oui’
- Tu sais ce que j’aime bien, moi ?’
- Non’
- Moi, j’aime bien me faire lécher le cul. Je suis sûr que t’es une bonne lécheuse, toi, non ? T’as une bonne bouche de lécheuse de cul. Allez, tu vas me le lécher un peu et après, t’auras une bonne sodo en récompense’.
Il s’asseoit sur le bord du canapé, écarte les jambes et empoigne la tignasse blonde de la petite.
- Vous allez voir les mecs, c’est top, ça fait super bander.
Nous explique Max en appuyant la gueule de Virgine dans sa raie. Elle grogne. Hak continue à l’enculer.
- Allez, ma pute, lèches, allez, mets la langue. Allez, comme quand tu fais un bisou, allez, penses à ton mec... Il me tape dans la main... C’est bon, ça’.
Il la relève.
- C’est bon, hein, t’aimes ça ?’
- OUI’
- Allez, expliques à la caméra, chérie, expliques’
- C’est bon’
- Non, expliques : j’aime lécher le cul des mecs’
- J’aime lécher le cul des mecs’
- Je veux que vous me fassiez des trucs bien crades’
- Je veux que vous me fassiez des trucs bien crades’.
- C’est bien, allez, refais le bisou, mets bien la langue, allez, bien au fond. Allez, entraîne toi, chérie, ce soir en boîte, je te le ferai faire dans les chiottes à tous mes potes. Comment il s’appelle ton mec, déjà ?’
- Antoine’ elle répond, la voix déformée.
- Eh bien, t’y penseras, chérie, la prochaine fois que tu l’embrasseras, Antoine, hein, tu penseras à tous les culs de blacks que t’as léchée comme une pute. Et tu prendras bien ton temps, en faisant bien tourner ta langue, hein’
- Mmmh’
Il lui ressort la tête:
- Tu l’avais déjà fait, chérie ?’
- Une fois. A un taxi. Pour rentrer de boîte, j’avais plus de thune. Il a voulu ça, ça et une pipe.’
- Et ça t’avait plu, hein ?’
- J’ai couru me branler en rentrant, je me suis enfoncé un concombre énorme ; J’étais en feu. C’était trop sale.
- Et t’aimes ça, quand c’est sale ?’
- OUIIIIIIIIIIIIIIIII’
Elle jouit sur la bite d’Hak qui l’encule toujours puis la sort et lui asperge le cul.
- T’en as mis partout, Hak, ça va pas, tiens, chopes moi le marqueur là’ dit Max.
- Toi, chérie, tu recommences à lécher et toi, Hak, mets un mode d’emploi. Ecris lui sur le cul : ‘tronchage ou sodo 10 euros, 5 euros de réduction en giclant dans la chatte’.
Virginie meugle. Max lui rebloque la tête avec ses cuisses et ses mains et se marre:
- Mais non, chérie, c’est pas trop cher, t’inquiètes pas, t’auras ta dose quand même’ A Hak ‘Et surtout précises : ‘no kpote’
Il la laisse ressortir la tête:
- Alors tu vois, qu’on s’ennuie pas, je te l’avais dis’
Elle relève la tête.
- Oh, Max, c'est trop bon avec toi. Tu vas continuer à t'occuper de moi, hein, dis?"
Il la gifle doucement à coups de bite.
- Bien sûr, ma pute. Tu sais quoi? Je peux rien refuser à une jolie blonde comme toi. Je vais m'occuper de toi à fond, vraiment à fond, ça te dirait?"
Elle le regarde fixement : "Voui"
- A fond, tu vois. Viens, amènes ta chatte, je vais t'expliquer".
Elle se retourne sur le canapé et Max s'asseoit à ses côté.
- Je vais m'occuper de ta petite chatte"
Il lui gifle méchamment la chatte, plusieurs fois. Elle gémit.
- C'est pas grave, hein, si ça fait un peu mal, hein, chérie?"
- Non, c'est bon aussi, vas-y".
Il lui triture le clito avec son gros pouce en lui parlant doucement.
- Tu sais ce que a veut dire pour moi à fond, salope? ça veut dire que je vais tout te faire, je vais te ruiner, salope. Quand j'aurai fini avec toi, tu seras plus bonne à rien. Je vais te ruiner la chatte "
Virginie gueule ; elle est manifestement en train de jouir
- Et ça te plait, en plus, sale pute"
Il lui pince méchamment les tétons "
- Et tes gros nichons, aussi, je vais te les ruiner, tu sais ça. Je vais te mettre des poids dessus, des gros poids bien lourds, t'as déjà eu des poids?"
Elle gémit
- Nooooon"
- Tu vas voir, c'est génial, tu vas adorer, cochonne comme t'es. ça va te détruire tes beaux nibards, ils vont tomber, ça va être super, à vingt ans, t'auras des seins de vieille salope qui te fourtont la honte"
Kader se marre:
- Ouais, génial, vas-y, Max".
- Salaud, salaud"
Virginie lui prend la main pour qu'il la doigte
- Et ma chatte, tu vas lui faire quoi, salaud?"
- T'as peur que j'oublie ta chatte, petite pute? T'inquiètes pas... Il lui met trois gros doigts... Tu t'es déjà faite fistée?"
- S'il te plait, non, fais pas ça, les mecs de la corpo, ils me l'ont déjà fait"
Il pistonne dur mais lentement, en se branlant
- Racontes, sale pute et filmez bien les mecs"
- Pour le week end d'intégration. ils me l'ont fait, ça ma fait mal, j'étais bourrée, c'était pendant la fête, ils ont voulu me mettre des trucs dedans, tous les trucs qu'ils trouvaient et y en un qui m'a mis sa main, toute sa main, putain, je gueulais mais les autres me tenaient en se marrant, y a une meuf qui les a fait arrêter, sinon, je sais pas jusqu'où ils seraient allés"
Max rajoute son petit doigt:
- Une seule petite main et t'as gueulée, chérie? t'es super-sensible de la chatte, ma petite chérie, attends, tu vas voir ce que je vais te rentrer moi. Tu vas me laisser faire, tu vas voir, tu vas déguster mais tu vas aimer. Je vais bien te la dilater ta petite chatte, tu vas voir et tu sais pourquoi tu vas aimer?"
Il lâche sa teub et commence à lui pincer le clito, bien fort.
Elle meugle:
- Aaaaaaaaah, salaud, oui, putain, vas-y, fais moi, allez, rentres plus"
- Voilà, bonne pute. C'est bien. Allez, demandes, bien"
- Rentres, putain, rentres plus, rentres ta main"
- Tssss. pas bien demandé, ça. Demandes, s'il te plait, max, mon chéri, dilates moi la chatte"
- Salaud, putain, salaud, allez, max, s'il te plait, dilates moi la chatte"
- Voilà, c'est mieux" Il rentre le pouce, tous ses doigts sont dedans.
- T'es ma petite chérie, pas vrai, et moi, mes petites chéries, je les fiste, d'accord? "
Kader intervient:
- Et moi aussi, je veux essayer"
- Bien sûr, les mecs, on va tous essayer, on va faire un jeu, t'es d'accord, Virginie, t'aimes bien les jeux, hein?"
Elle râle sans répondre, les yeux fermés.
- Bien, très bien, j'étais sûr que t'aurais envie, tu vas voir, c'est un super jeu, ça s'appelle 'on détruit la petite chatte de Virginie'"
Elle râle encore, tout le monde se marre. Max recommence à lui branler le clito.
- Il va y avoir deux épreuves, chérie. Celui qui va le plus loin et celui qui te l'ouvre le plus."
Les questions fusent : " Comment on joue?""Qu'est-ce qu'on gagne?"
- Alors, d'abord, le prix, ce qu'on gagne, voyons" Max réfléchit " un bon léchage de cul, d'abord. Celui qui t'ouvre le plus, tu lui lèches le cul, d'accord, allez, dis-le"
Elle gémit:
- Non, je veux pas"
Max arrête de la branler et bloque sa main :
- Alors, on arrête, tu veux qu'on arrête? allez, on arrête et tu rentres".
- Non,non, d'accord, je le ferai"
- Quoi? répètes, sale pute"
- Je lui lêche le cul, celui qui m'ouvre le plus, je lui lèche le cul"
- C'est bien" Il recommence à s'occuper d'elle.
- Et comment on décide qui gagne?"
- Et ben on va prendre un mètre pour mesurer d'un côté à l'autre"
J'interviens:
- On pourrait compter aussi en combien de temps ça se ferme"
Max rigole:
- T'emmerdes pas, ça servira à rien, avec ce qu'on va lui mettre, ça se fermera plus... Il sourit vicieusement......De toute façon, moi, j'arreterai pas avant"
Kad s'excite:
- Ouais, tant qu'elle se referme, on recommence à défoncer"
Un des blacks s'interroge:
- C'est nul, comme prix, de toute façon, elle nous lèche le cul, cette pute"
- Attends, mec, y a deux épreuves. Y aussi celui qui va le plus loin. Là, on va vraiment intéresser la partie. tiens, t'as du fric, Virginie? Hak, files moi donc son portefeuille"
Il le prend
- 30 euros, ouais, ç'est pas terrible, on va quand même mettre ça
Kader note :
- Attends, y a aussi sa carte, je l'ai prise tout à l'heure"
- Ah, très bien, bon, c'est quoi ton code, salope?"
- 8540"
- Voilà, ben très bien, celui qui rentre le plus loin, il chope la carte."
- Top, je vais acheter plein de trucs à ma meuf" espère le black.
- Attends, mec, t'as pas gagné. ça va être chaud"
Je précise:
- Ca va surtout être chaud pour elle"
Max se marre
- Oui, c'est l'idée. On va tous être supermotivés pour s'enfoncer le plus loin, ça va être super pour toi, chérie, on va tous forcer comme des malades"
Il lui branle le clito supervite en commençant à enfoncer la main, la fille gueule, elle manifestement encore en train de jouir.
- Tiens sale pute, prends ça. ça va être le superconcours de défonçe de ta chatte, tu vas voir. Et on va faire plusieurs tours, tu sais ça? Forcément, sinon, tu vois, moi, qui passe en premier, je vais être désavantagé. tu vois, là, c'est encore tout serré"
Il enfonce:
- Alors que tout à l'heure, tu vas voir, ça rentrera tout seul, chérie, je parie que ça rentrera jusqu'au coude"
Le plus grand des blacks, qui a des bras énormes, se marre:
- Ouais, jusqu'au coude".
- Tu vois que je pense bien à ta petite chatte aussi, tu vas voir, mes potes, il vont te la détruire... Et moi, je vais revenir te voir, chérie, après. Te mettre un bon fist tous les soirs, ma pute. Et t'iras en cours avec des trucs dedans aussi. Avant Noel, tu seras ouverte comme une vieille pute.... Et tu sais pourquoi je vais te faire ça, chérie?... Parce que je vais aussi te ruiner dans ta tête, salope. Je vais te faire tellement de trucs que tu penseras plus qu'à ça, chérie, tu penseras plus qu'à la bite mais, dans la chatte, tu sentiras plus que les mecs montés comme des ânes, ça sera comme une came pour toi, tu seras camée à la grosse queue, tu vas passer ton temps à en chercher, t'y penseras le soir et le matin, tu dessineras des grosses teubs sur tes cours et tu sais ce qui est top?... C'est que même les plus grosses, dans six mois, tu les sentiras plus, tu vois, quand je t'aurais mis mon bras dans la chatte tous les soirs, y a qu'un cheval qui flottera pas dedans, tu sentiras jamais plus rien par la chatte, tu seras obligés de demander aux mecs de t'enculer et de te fister, salope.... C'est toi qui va implorer le fist bientôt, ma pute. Bientôt, tu regarderas plus que les bras des mecs en te léchant les babines d'avance. Tu vas voir.... Et tu crois que ça va leur suffire les mecs de te fister sans rien sentir en te tronchant? Tu crois que quand ils verront ta chatte défoncée et que tu mendieras le fist, ils te feront des bisoux et ils t'offriront des fleurs?... Tu seras la dernière des putes, oui, la fille à qui on peut tout faire, tous les trucs crades qu'on n'ose même pas demander aux autres.... Putain, tu vas déguster à mort."
- Oui, je suis la dernière des putes, vas-y, fais-le...
C'était gagné! Une pute de plus à notre actif...
J'ai eu un peu de peine pour l'ami Antoine qui allait retrouver sa gonzesse aussi ouverte que la grande arche...
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Un Samedi d'été au ciné...
Bonus fin d'été.....
Mais non! Pas déjà lol
Elle est magnifique non?
Mais non! Pas déjà lol
Elle est magnifique non?
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Un dimanche d'été devant la téle...
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L'été des rediff... Les beurs
On ne peut pas ne pas parler
de la soumissions des mecs aux arabes...
Vaste sujet, et encore plus vaste avec ce texte...
Vaste sujet, et encore plus vaste avec ce texte...
PLAISIR DE LA QUEUE
J’avais 15 ans quand un copain m’a initié au plaisir de la queue.
On se branlait ensemble et de temps, il promenait sa belle queue sur moi. Elle était belle et très grosse, il avait déjà 18 ans.
Un jour dans le foin, il me l’a mise dans la bouche et naturellement, je l’ai sucée. Ce devait être inné chez moi. Il m’a rempli le bouche de son jus tout chaud et j’ai tout avalé.
Nous avons recommencé plusieurs fois, il en profitait pour me mettre un ou deux doigt dans les fesses. J’aimais ça; il s’en aperçut et en promenant sa queue tendue sur mes fesses, il s’est mis contre mon trou et s’est enfoncé d’un coup jusqu’au fond.
J’ai hurlé tellement ça chauffait dans mon cul! Il est resté sans bouger et il a déchargé son jus et il est resté dans mon cul. Je commençais à bouger pour me relever, ça l’a fait bander et il m’a limé le cul comme un grand.
Il entrait et sortait sur toute sa longueur. Je ne pus protester et comme j’appréciais de plus en plus, il se donnait à fond. Très vite, je sentis ma jouissance venir et je déchargeais sous moi et lui il me déchargeait dans le cul.
Nous avons continué souvent!
Un jour, il a même amené un copain et c’est comme cela que je suis devenu une bonne pute!
À 20 ans, seul à Paris, j’ai continuée à me faire baiser et un jour, j’ai rencontré Ali dans le métro. Il y avait beaucoup de monde, c’était l’été, j’avais un short moulant qui me faisait un cul d’enfer.
Très vite, j’ai senti sa queue se frotter contre mes fesses. Je mouillais; il a passé sa main sur ma queue à travers le slip et il m’a dit:
- Tu veux te faire baiser?
J’ai dit oui. Il m’a tiré au fond du wagon à travers le monde. J’étais contre le mur et beaucoup de monde regardait mais sans se douter. Il a baissé mon short et il a mis sa queue qui était énorme sur mon anus et j’ai tendu mes fesses.
La pénétration fut longue. Il me fendit en deux tellement il était gros et moi je jouissais sur lui, cela n’a pas duré longtemps car il avait très envie. Il déchargea un flot de sperme et s'est retiré.
J’ai remonté mon short et je suis descendu à la station.
Le sperme avait taché mon short, on pouvait deviner que j’en avais pris plein le cul!
Je n’avais pas vu qu’il était descendu aussi. Il vient vers moi et me dit que je suis une pute. Je lui dis qu’avec une queue comme la sienne, je résiste pas. Il me propose d’aller chez lui, je lui dis OK.
À peine arrivés dans le couloir, il enlève mon short et me tape sur le cul en me disant:
- Là où on va, tu n’as pas besoin de short!
J’étais à poil du bas dans le couloir. On a croisé trois arabes qui le connaissaient et ils lui ont demandé si sa pute était pour eux. Il a dit:
- OK, dans une heure.
Arrivés chez lui, il me couche sur sa table et il m’encule, les jambes bien relevées. J’en prends plein le cul, il est énorme, sa queue doit faire au moins 22cm sur 7!
Il me défonce comme une chienne. Je n’en peux plus, je jouis sur mon ventre et lui m’inonde les intestins.
- Tu aimes ça! me dit-il. Tu veux essayer mes copains?
- Oui, après un peu de repos...
- Je vais t’attacher sur mon lit, comme ça il te prendront pour une salope à tout faire, tu veux? Et après, on passera la nuit ensemble.
Rien qu’à l’idée de rester avec lui, j’ai accepté.
Me voilà attaché à genoux, les cuisses ouvertes, à quatre pattes sur le lit. Il appelle ses copains et leur dit:
- Ma pute est à vous!"
Ils se sont défoulés, les vaches!
J’ai été enculé, rempli de sperme partout, dans la bouche, le cul, puis ils se sont mis à deux, m’ont détaché et j’ai dû m’empaler sur une des queues.
Il y en un qui est venu devant moi. Il m’a pris les bras et m’a donné sa queue à sucer. Elle avait un goût de mélange de sperme car c’était le dernier à m’avoir enculé.
Je l’ai sucé pendant que je m’empalais sur la queue de l’autre. Puis un troisième est venu et il a mis sa queue sur mon trou dilaté par l’autre et il s’est enfoncé aussi.
J’avais la chatte comme un trou béant, ces deux queues qui me baisaient le cul faisaient de drôles de bruits de succion. Ils ont joui en moi ensemble, moi j’étais aux anges. Mon cul était resté ouvert et le jus coulait de moi.
Il y en un qui est parti en disant que j’étais une chienne en chaleur et qu’il fallait me défoncer autrement. Ses copains m’ont attaché sur le lit comme avant et ils ont attendu qu’il revienne.
Il est venu avec deux chiens, des molosses et il a dit:
- Pour une chienne, il lui faut des mâles!"
Un chien est monté sur le lit et il a senti ma chatte. Ils m’ont mis une couverture sur le dos et aidé le chien à me baiser. Sa queue était comme un os dur et il limait à toute vitesse.
Moi je tendais mon cul pour qu’il rentre bien à fond et il a joui en rentrant sa boule et en m’éclatant le cul. Pendent ce temps, Ali se faisait sucer par moi sa grosse matraque.
Quand le chien a déculé, l’autre est venu à sa place et il a recommencé.
J’étais tellement échauffé que je n’ai rien dit quand ils m’ont pissé dans la bouche et sur moi. Le chien a vite joui. Sa boule était très grosse, quand il est sorti mon cul a fait un bruit comme un bouchon de champagne.
Un gars est venu et m’a pissé dans le cul béant le sperme et sa pisse ressortait et coulait sur le lit puis ils m’ont détaché et amené à la douche. Je me suis lavé seul, j’étais crevé.
Ali, comme promis, m’a gardé toute la nuit et il m’a enculé au petit matin en me faisant promettre de revenir. D’ailleurs, il a pris mes papiers pour connaître mon adresse.
Je suis revenu plusieurs fois et j’ai servi de réceptacle à sperme pour eux.
Il m’a proposé de faire quelques photos chez des amis à la campagne.
Nous y sommes allés ensemble, il m’a présenté au maître de maison comme étant une bonne salope à baiser. Ils ont fait des photos avec leurs invités et moi, pris de partout, bouche et cul rempli!
Puis ils m’ont amené à l’étable pour faire d’autres photos.
Ils m’ont mis nu et le maître m’a demandé d’aller vers l’âne qui se trouvait dans un box. Il m’a dit:
- Touche lui sa queue, elle va sortir; on te prend en photo."
Je caresse l’âne, il devait avoir l’habitude: sa queue commençait à sortir. Elle était belle, grosse comme celle d’Ali mais plus longue. Il m’a dit:
- Suce-le un peu, il aime ça."
J’approchais sa queue de ma bouche et je lui donnais quelques coups de langue. Elle grossissait encore puis il a déchargé d’un coup; j’en avais partout dans la bouche. Les flashes m’ont mitraillé.
Ils m’ont demandée de rester sous l’âne et de le caresser encore et sa queue regrossissait de plus belle. Un lad est venu et m’a installé sur un banc à plat ventre puis ils m’ont attaché et ils ont placé le banc sous l’âne.
Je sentais sa queue battre sur mon cul. Ali vint vers moi et me dit:
- Je vais guider l’âne en toi, sois calme, tu ne risques rien."
Il m'a enduit avec une pommade et il a amené la queue de l’âne sur mon anus déjà bien ouvert puis il a entré la queue de l’âne un peu. Lui s’impatientait d'entrer et d’un coup, l’âne m’a enculé sur 25cm au moins!
Les invités étaient fous de joie, ils disaient:
- Encore! Elle peut en prendre plus!"
Mon cul était distendu au maximum. Ali laissa l’âne entrer encore puis il a commencé à me limer. J’étais enculé par un âne et j’aimais cela, incroyable!
L’âne a déchargé dans mon cul et sa queue est ressortie comme un ressort en me faisant évacuer un flot de sperme. Tous les invités m’ont félicité, certains m’ont léché le cul avec le sperme de l’âne; j’étais anéanti.
Le maître m’emmena dans une chambre et il me lava puis il me dit:
- Voilà ton lit, repose toi."
Le lendemain, je ne vis pas Ali.
Il était parti chez lui au Maroc et le maître m’avait acheté, m’a-t-il dit.....
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Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
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Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
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Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
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Les rediff de l'été. Arroseurs arrosés
Un de mes textes préférés...
Court mais bon....
LES COCUS
Le feu crépitait, envoyant ses flammes danser à plus d'un mètre de haut.
Tout en pelotant la brunette qui se lovait contre lui, Luc pensait que l'animateur du camp de vacances où il se trouvait chantait comme un pédé mais il fallait admettre qu'il savait faire un bon feu.
Beaucoup de gens croient que pour faire un feu de camp, il suffit de ramasser des bouts de bois et de craquer une allumette. Non, un feu s'apprivoise et doit se laisser allumer petit à petit.
En songeant à cela, il augmenta un peu plus la pression de ses doigts contre les cuisses chaudes de sa compagne. Celle-ci se détendit légèrement, laissant le passage à la main.
C'était le signe de reddition que Luc attendait depuis qu'il avait commencé à faire des avances à la brune (elle devait s'appeler Annie ou Annick, il ne savait plus tellement il avait bu mais de toute façon, qu'importe son prénom, puisqu'il quittait le camp de vacances le lendemain ?...).
Il jeta un coup d'œil à Henri, un type qu'il avait connu pendant les vacances. Une rencontre vraiment opportune car leurs épouses respectives s'entendaient parfaitement et passaient le plus clair de leur temps ensemble.
Luc et Henri avaient feint de se plaindre d'être abandonnés mais ce n'était que pure comédie car ils en profitaient pour draguer comme des malades du matin jusqu'au soir. Ils avaient même fait un concours à deux qu'ils avaient nommé " la chasse aux pouffes " pour savoir qui aurait le plus de succès.
En face de lui, par delà le feu, Henri lui retourna son sourire triomphant et lui adressa un signe en désignant le buffet. Ils se retrouvèrent quelques minutes plus tard près de la table couverte de boissons et d'amuse-gueules.
- Alors t'avances avec ta rousse ?
- Ouais, c'est dans la poche, elle vient de se plaindre qu'on était trop près du feu et qu'elle avait trop chaud.
- T'as raison, elle aurait pu te proposer d'aller un peu plus loin pour tirer un coup que ça n'aurait pas été plus clair.
- J'ai repéré un endroit tranquille sur la plage, on n'a qu'à y aller, ce sera plus cool que dans une chambre chacun. A la limite on pourra se les échanger, elles ont l'air d'être de sacrées salopes !
Un peu plus tard, cachés par des rochers, les deux couples dont les silhouettes enlacées se détachaient sur le blanc du sable fin de Turquie, se livraient à des ébats passionnés.
Une demi-heure après, quand la brune et la rousse furent parties précipitamment car leurs maris respectifs allaient bientôt rentrer de leur partie de poker, Luc et Henri, cigarettes à la main, discutaient de leur bonne fortune.
- Tu sais quoi ? demanda Henri, je crois qu'on a bien de la chance de ne pas aimer le poker !
- Ouais, moi je n'aime pas ce jeu, t'as remarqué comme dans les films les joueurs de poker sont toujours des gros durs ou des caïds ? Je suis sûr que c'est pour ça que les mecs qui jouent au poker se prennent pour des vrais hommes, nous on est juste des gus moyens mais on se fait leurs femmes !
Ils rirent en chœur puis Henri se releva en reprenant un air sérieux.
- Eh , debout mon vieux, ce n'est pas parce que nous nous faisons les femmes des autres qu'il faut délaisser les nôtres.
- Ouais, t'as raison, le devoir conjugal n'attend pas. C'est marrant hein, les nanas comme celles qu'on vient de se faire, je les trouve bien pour un coup vite fait comme ça mais je n'aurais pas aimé les épouser.
- Pourquoi ?
- Parce qu'on vient de se les faire !
La plage tranquille retentit de ce bon gros rire gras et trivial que chaque homme, même le plus civilisé, retrouve quand il est en présence d'un pair.
Ils longèrent lentement la plage pour rejoindre leurs bungalows qui étaient encore à six cent mètres. Soudain, alors qu'ils allaient franchir l'avancée rocheuse sur la plage, Henri posa sa main sur le bras de Luc en lui murmurant : " Ecoutes ! T'entend rien ? "
Ils se figèrent et tendirent l'oreille; oui, au gré du vent, leur parvenaient des soupirs sans équivoque mais contrairement à leurs étreintes de tout à l'heure, celles-ci étaient nettement plus bruyantes.
Sentant se réveiller une érection, Luc retrouva instantanément ses instincts de voyeur et fit signe à Henri de le suivre.
Ils remontèrent vers l'ombre des palmiers, puis s'approchèrent en se cachant d'arbre en arbre, précaution d'ailleurs inutile car les occupants de la plage étaient bien trop occupés pour les remarquer.
Parvenus à proximité, ils s'arrêtèrent faute d'ombre pour les masquer.
De cette distance, sous le clair de lune, ils ne voyaient qu'en noir et blanc, ou plutôt en noir et bleu. C'était comme de regarder un théâtre pornographique projeté en ombres chinoises sur un drap bleu.
Pour couronner le tout, comme ils étaient maintenant sous le vent, ils entendaient parfaitement ce qui se passait.
Ils assistaient enfin à une partouze! Ils en avaient entendu parler pendant leurs vacances sans jamais avoir obtenu plus de précision, ce qui leur aurait permis, sinon d'y participer, au moins d'y assister.
Et voici qu'ils tombaient pile poil (c'était le cas de le dire) sur une partie en plein air! Il y avait trois femmes et une dizaine d'hommes.
Les femmes ne disaient rien ou plutôt ne pouvaient rien dire car dès qu'un membre leur libérait la bouche, un autre prenait aussitôt le relais.
Les hommes par contre émettaient des commentaires d'une vulgarité rare: Luc et Henri avaient l'impression d'assister au tournage d'un mauvais film X. Pourtant, cette vulgarité semblait augmenter encore leur propre érection.
La femme la plus proche d'eux était couchée sur le dos, le bassin soulevé par un homme qui s'était mis à genoux entre ses jambes et qui lui écartait les cuisses au maximum tout en la pénétrant.
L'ampleur de ses larges et tranquilles coups de reins suggérait un sexe d'une taille peu commune. Un second homme lui suçait le bout des seins tandis qu'un troisième, les genoux de part et d'autre de sa tête, se faisait lécher les testicules.
Une autre femme sur la gauche était dans la position très classique, d'une qui est en train de se faire administrer une triple pénétration. Elle était à quatre pattes au-dessus d'un homme allongé sur le dos.
Celui-ci semblait s'être glissé un paquet de vêtements sous les reins et la baisait tellement fort qu'elle en tressautait, s'empalant encore plus profondément sur le sexe du deuxième homme qui lui avait investi les reins.
En même temps, un troisième homme à demi accroupi lui tenait fermement la nuque en lui enfonçant son sexe au plus profond de la gorge.
Il n'était pas rare de voir de tels exploits dans les films pornographiques mais dans la vraie vie, celle de monsieur tout le monde, ces choses là n'arrivaient que très rarement.
C'est qu'il fallait la dénicher la salope de haut vol qui aurait accepté un tel traitement en poussant des râles de bonheur!
Comparées à ses deux amies, la troisième femme semblait presque sage puisqu'elle se " contentait " de se masturber à genoux tandis que trois hommes se masturbaient devant son visage et lui donnaient à tour de rôle leur sexe à sucer.
Les hommes commentaient leurs performances tout en encourageant leurs copains à grands renforts de termes orduriers.
- Ouais, vas-y, défonce-la bien cette pute, elle ne demande que ça.
- Regarde celle-là, elle est toute heureuse de sucer une bonne paire de couilles... Vas-y toi, lèche bien, il te donnera une bonne récompense. C'est qu'il est reconnaissant mon copain, tu sens ces couilles bien pleines?
Luc et Henri avaient chacun machinalement sorti leur membre raide et commençaient à le secouer frénétiquement.
Tout était en parfaite harmonie pour donner à l'instant un impact érotique extraordinaire: le clair de lune, la plage, les ombres chinoises à la fois crues et suggestives et surtout, ces commentaires que Luc et Henri trouvaient incroyablement déplacés mais dont les érections qu'ils exhibaient attestaient l'indéniable efficacité.
L'un des hommes sur la plage se mit à jouir bruyamment. Ce fut comme un signal car les autres suivirent accompagnés par les cris plus perçant des femmes.
Luc et Henri éjaculèrent presque en même temps pendant que les trois hommes arrosaient plus que généreusement le visage de celle qui se masturbait si l'on en croyait les commentateurs.
Un journaliste sportif français, une seconde après le premier but de l'équipe de France en finale de coupe du monde, n'aurait pas montré plus d'excitation et d'enthousiasme.
- Ah ouais ! Putain les mecs, visez bien ... là ...
- Oui, tends bien ton mignon petit visage ...
- Ouais, comme ça, n'hésite pas, il paraît que c'est bon pour la peau ...
- Attends, en voilà encore ...
Un quart d'heure après, les hommes étaient partis.
Lorsqu'ils étaient passés près du rocher derrière lequel les deux amis se cachaient, ces derniers saisirent quelques unes de leurs paroles.
- ... se dépêcher parce que ma gerce me croit au poker .
Ils ne bougeaient pas encore car la lune devenue entre-temps très claire les aurait tout de suite dévoilés.
Les trois femmes sortirent de la mer où elles s'étaient lavées, se rhabillèrent et s'en allèrent en passant tout près des deux compères.
Quelques minutes plus tard, Marc et Luc rentraient vers leurs bungalows respectifs par des chemins différents.
Pas par prudence mais plutôt pour digérer chacun de leur côté la vision qu'ils avaient eu des trois femmes qui riaient au clair de lune.
Leurs épouses et une amie !
Dans leurs crânes épais de machos tournait sans cesse la même idée, humiliante entre toutes: Les deux pros de la "chasse aux pouffes" s'étaient masturbés comme des voyeurs en contemplant leurs femmes en train de se faire prendre de la manière la plus triviale par plusieurs hommes!!! ..
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Un Samedi d'été au ciné...
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Un dimanche d'été devant la téle...
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Aprés notre liberté d'expression et notre musique, c'est notre fête nationale. Mais nous vaincrons. Nous sommes la Vie. Pas eux..!
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L'été des rediff..! Laure et Romuald
Un texte d'une perversité diabolique...
Laure
Voilà 6 mois que je connais Laure. Une fille superbe qui travaille comme chef de secteur dans la même entreprise que la mienne, mais dans l'agence de Grenoble, alors que je travaille dans celle de Paris.
Je la croise parfois lorsque je me déplace sur Grenoble. Nous entretenons une petite relation faite de profonde amitié, mais je ne peux pas nier que je suis fou d'elle.
Laure a 36 ans, c'est une grande brune aux cheveux longs, aux courbes magnifiques. Un visage énigmatique avec de grands yeux sombres, et un éclatant sourire. J'adore cette fille, qui sait alterner un look très sérieux et strict lorsqu'elle est en clientèle, et un autre beaucoup plus bohème chic lorsqu'elle reste à son agence. En tout cas elle a le don de toujours trouver le petit détail qui la rend sexy au possible.
Moi j'ai 40 ans, grand brun, plutôt pas mal.
Il y a quelques semaines nous nous sommes retrouvés à l'occasion d'un séminaire. Comme d'habitude, je loge chez elle quand je descends sur Grenoble. Et comme d'habitude j'espère toujours que notre amitié va enfin «déraper»…
Ce séminaire s'est super bien passé. Laure était rayonnante et particulièrement avenante avec moi. Un bon signe !
Le vendredi soir nous devions tous nous retrouver au restaurant pour fêter la fin du séminaire, avec notre boss et les cinq autres chefs de secteur.
Laure me proposa de prendre ma voiture.
Alors qu'on se préparait à partir, Romuald, un sale con d'arriviste de l'agence de Lyon, qui passe son temps à essayer de me piquer mes bons clients, s'approcha de Laure :
- Je pars au resto dans la voiture du boss, tu veux venir avec nous ?
- Désolée mais j'y vais avec Pierre.
Romuald fit la gueule, moi je rigolais intérieurement. Je ne supporte pas ce mec qui passe son temps à frimer et à jouer au play-boy. Il a la trentaine environ, plutôt sportif, toujours bronzé (les UV je suis sûr !).
- Tant pis, tu sais pas ce que tu perds… À tout à l'heure, répondit-il d'un petit sourire ironique.
Enfin on quitta le bureau.
- On passe vite fait à l'appart pour que me douche et que je me change ?
- OK c'est parti.
0Cinq minutes plus tard je me garai au pied de la résidence où vit Laure.
- Monte pas c'est pas la peine j'en ai pour pas longtemps, à tout de suite…
Trente minutes après Laure réapparut, superbe dans une robe noire longue très moulante, au décolleté ravageur. Un châle lui recouvrait les épaules que sa robe dénudait. Elle portait de fines bottes à talons.
Elle était maquillée à la perfection. Ses yeux plus sombres que jamais étaient soulignés par un trait de khôl et ses lèvres pulpeuses luisaient sous un vernis foncé couleur brique. À son bras droit elle portait un gros bracelet en argent, on devinait sous ses longues mèches brunes de fines chaînettes argentées accrochées à ses oreilles, un large collier de cuir rouge fauve et plusieurs bagues, toujours en argent, terminaient cet ornement troublant.
Enfin un parfum sauvage embaumât ma voiture. Ça promettait !!
- Tu es splendide Laure.
- Merci. Puis elle plaqua ses lèvres sur les miennes.
Pour la première fois je sentais la douceur de ses lèvres sur les miennes, ces lèvres dont je rêvais souvent.
- Ne dis rien, roulons, nous allons passer une très bonne soirée… dit-elle.
Je démarrai, et tout en conduisant je pouvais voir les pointes de ses seins qui perçaient le léger tissu de sa robe. Elle ne portait manifestement pas de soutien-gorge.
Un début d'érection s'empara de moi. Ca commençait !!
En entrant dans la salle tous les regards se tournèrent vers Laure. Le détour chez elle nous a fait arriver les derniers et tout le monde nous attendait. Romuald bavait presque. Il s'approcha d'elle pour la débarrasser de son châle. Je l'entendis murmurer à son oreille "Tu es resplendissante. J'envie l'homme qui peut caresser de si fines épaules".
Notre boss nous invita à prendre place. Tout le monde était déjà assis et on n'avait plus trop le choix.
- Venez à ma droite Laure" lui dit-il.
Elle me regarda un peu désolée et me dit :
- Pas le choix… à tout à l'heure
Et je me retrouvais, un peu contrarié, à deux places d'elle. Romuald avait trouvé le moyen lui de se placer juste à côté.
J'essayais de modifier le plan de table.
- Romuald ça te dérange si on échange nos places
- Désolé mon vieux il faut que je parle avec le boss ce soir, et là où tu es c'est trop loin. Fallait arriver à l'heure… me répondit-il avec un petit sourire narquois.
Et le repas commença. Je me retrouvais entre de 2 chefs de secteur qui passèrent leur temps à discuter de leur stratégie commerciale…
Au bout de la table, le boss, Romuald et Laure avaient l'air de beaucoup s'amuser. Plus le temps passait, plus les verres se remplissaient et se vidaient, et plus Laure parlait et souriait.
J'essayais de capter son regard mais c'était de plus en plus difficile. Romuald n'arrêtait pas de parler, en faisant de grands gestes. Et il partit, c'est sa grande spécialité, dans une série d'histoires « drôles » franchement sous la ceinture qui firent rire aux éclats Laure. Je mis ça sur le compte de l'alcool.
Elle semblait boire ses paroles. Il lui parlait tout doucement à l'oreille. J'avais un peu l'impression de vivre un cauchemar maintenant. Le dîner toucha enfin à sa fin, et je me dis que j'allais enfin pouvoir profiter un peu de Laure.
Quand Romuald reprit la parole :
- Et si on allait boire un dernier verre dans la boite qui est sous le restaurant ? Il faut que j'arrose ma nouvelle promotion.
Nouvelle promotion ? J'y crois pas…
Il a encore réussi à se faire mousser auprès du boss. Le boss, devant partir sur Londres tôt le lendemain, déclina l'invitation. Moi je n'avais pas trop envie de continuer la soirée avec cet emmerdeur.
- On va peut-être rentrer ? dis-je en questionnant Laure du regard.
- Moi je suis en forme, et je veux bien trinquer à ta promotion, répondit-elle, les yeux brillants.
- Ah enfin quelqu'un qui a la pêche ! Allons-y, répliqua Romuald.
Je me sentis pris au piège et fus obligé de rester de la partie pour ne pas abandonner Laure à ce type.
On descendit dans la boîte, et nous prîmes place dans un petit coin près de la piste de danse où s'agitaient une demi-douzaine de personnes.
Romuald commanda une bouteille de champagne et recommença à faire ses yeux doux à Laure. Elle était assise tout près de lui et ils reprirent leur discussion dont seules quelques bribes masquées par la musique me parvinrent. Tout le monde s'amusait bien…
J'arrivais enfin à parler un peu avec Laure quand soudain Romuald se leva et, lui prenant la main, lui proposa de danser un peu. Elle résista un instant en me regardant, mais sous l'insistance elle se leva à son tour.
- Viens danser avec nous, me dit-elle.
- Euh… c'est pas trop mon truc…
- Bon comme tu voudras. Si tu changes d'avis on est là.
Et la voilà sur la piste, avec le Travolta de service.
Sophie, qui travaille sur l'agence de Nice en profita pour se rapprocher de moi et commença à me parler boulot. L'horreur !
Tout en l'écoutant je regardais Laure se déhancher. On devinait son petit string sous sa robe moulante. Ses jambes longues et musclées se dessinaient sous le tissus de sa robe. Une série de rock démarra, évidemment Romuald adorait ça, et Laure aussi semble-t-il.
Entre deux séries, ils revinrent à notre table pour boire rapidement une coupe. Le corps de Laure était en sueur, et son parfum exhalait tout autour d'elle.
- Ca va ? me dit-elle. Romuald est un dieu du rock, j'espère que cela ne te dérange pas que je te fausse un peu compagnie mais je m'amuse comme une folle. On danse encore un peu et on rentre.
Son ivresse pouvait se lire au fond de son regard. Puis ils retournèrent sur la piste. Les slows arrivèrent. Pas le temps d'inviter Laure à danser que Sophie se proposa de danser en premier avec moi. Dur de refuser ! Je me retrouvais avec elle sur la piste. C'est une fille gentille mais je n'éprouve absolument rien pour elle.
Pendant ce temps Romuald avait déjà enlacé Laure. Il ne cessait de lui parler doucement et elle baissait la tête en souriant. Malgré le faible éclairage, il me semblait voir les mains de Romuald caresser discrètement les hanches de Laure. Elle plaça ses bras autour du cou de son cavalier et se laissa bercer par la musique. Je trouvais une excuse pour que Sophie vienne se rasseoir
- Romu est en train de faire une nouvelle conquête, me dit Sophie en riant, ne se doutant pas de ce que j'étais en train d'éprouver.
- À tous les coups ils finissent la nuit ensemble. Quel tombeur ! rajouta-t-elle pour m'achever.
Perdu dans mes pensées je vis Laure venir enfin vers moi.
- Tu veux danser ? lui dis-je.
- Euh… non… en fait je veux qu'on rentre, et comme tu es le seul à avoir une voiture, j'ai proposé à Romuald et Sophie qu'on les dépose à leur hôtel qui est juste à côté de chez moi.
- Ok allons-y.
Avant que je n'ai pu dire quoique ce soit Sophie se dirigeait vers la portière du passager avant. Laure et Romuald montèrent à l'arrière. Durant tout le trajet, Sophie, qui avait un peu abusé de champagne également, ne cessa de parler.
J'observais Laure et Romuald du coin de l'œil dans le rétroviseur, ils parlaient un peu à voix basse. Laure riait quelque fois. Voulant briser leur intimité qui m'énervait, je me mis à engager la conversation avec Laure.
Et nous voilà à parler tous les trois, Sophie, Laure et moi. Laure s'était assise sur le bord de la banquette arrière et s'était avancée entre les dossiers des sièges avant pour mieux nous entendre. Elle offrait son décolleté à nos regards, ce qui n'était pas sans me déplaire. Romuald semblait dormir. Enfin silencieux !
Laure rit beaucoup en nous parlant, et elle ne cessa de s'agiter comme si elle ne tenait plus en place.
- Tu veux faire pipi ? lui dis-je.
- Non non tout va bien Pierre.
Bien que la route fût droite et plane, tout le corps de Laure ondulait de manière imperceptible comme celui d'un serpent. Elle se mordillait les lèvres, s'arrêtait parfois en plein milieu d'une phrase, les yeux chavirés.
- Tu es sûre que ça va ? Tu n'es pas malade quand même ?
- Non non je te jure que tout va bien Pierre. Regarde bien la route quand même, toi aussi tu as bien bu.
Tout en nous écoutant parler, Laure posa sa tête sur ses bras qu'elle avait croisé sur l'arrière du dossier de Sophie. Cinq minutes plus tard elle dormait comme son voisin. Nous arrivâmes enfin devant l'hôtel de Romuald et Sophie. J'allais être enfin débarrassé de ce type. Je stoppai la voiture. Romuald et Laure étaient toujours endormis.
Me retournant vers Romuald pour le réveiller, je m'aperçus que l'arrière de la robe de Laure était relevé, dévoilant ses jolies petites fesses posées à même le cuir de la banquette. Son petit string lui pénétrait la raie des fesses, comme s'il avait été exagérément tiré vers le haut. Masquant mon émoi, je réveillai tout le monde :
- Ca y est nous sommes arrivés ».
Laure et Romuald se réveillèrent brusquement et reprirent leurs esprits.
- J'habite à 100 m, je vous offre un dernier café si vous voulez, ça nous réveillera, proposa Laure à ma grande stupéfaction.
- Super idée ! répondit instantanément Romuald.
- Moi je suis crevée, je rentre me coucher.
Sophie déclina l'invitation et rejoint son hôtel. N'ayant pas le choix j'allai me garer sur le parking en bas de chez Laure et nous montâmes dans son appart. Quand nous pénétrâmes dans l'appartement de Laure, elle et Romuald avaient retrouvé toute leur pêche.
- Tu n'aurais pas un petit digestif avant le café ? demanda-t-il.
- Si si bien sûr… Armagnac ? Cognac ? J'ai aussi de la vodka au congel si tu veux…
Romuald opta pour la vodka, moi je restais sur la proposition du café.
- Pierre, tu veux aller faire le café pendant que je sers les deux vodka ?
Pendant que je m'affairais dans la cuisine, j'entendis des rires venant du salon. Discrètement je passais ma tête dans l'entrebâillement de la porte de la cuisine. Romuald et Laure étaient assis côte à côte sur le canapé, Laure buvait une gorgée de vodka, et, s'approchant des lèvres de Romuald, lui déversa le liquide glacé dans la bouche tout en l'embrassant. Elle ouvrit ensuite sa bouche en grand tandis que Romuald lui envoya une giclée au fond de la gorge.
Cette vision me fit mal, pourtant je ne pus détourner mon regard, et je sentis mon sexe bander. J'eus tout juste le temps de rejoindre la cafetière quand Laure me rejoint dans la cuisine. Ses cheveux étaient en désordre, ses yeux brillaient étrangement.
- Tu veux de l'aide ?
- Non non ça va… dis donc tu t'entends bien avec Romuald…
Je n'avais pas pu m'empêcher de lâcher cette réflexion.
- Oui… tu me dis ça d'un drôle de ton… écoute je suis navrée. Excuse-moi pour le baiser toute à l'heure. Je pensais passer une agréable soirée avec toi, et je m'étais faite belle pour cela, et puis tu comprends… Romu a été… comment dire… très convaincant. Il m'a promis une belle partie de jambes en l'air, dans l'insouciance et la bonne humeur. Je n'apprécie pas plus que ça son caractère mais difficile de résister à la fougue d'un jeune trentenaire qui n'a pour seule envie ce soir que de me baiser. Je suis sûr que tu me comprends, toi qui es mon ami.
-331Voyant mon regard triste elle essaya de me changer les idées.
- Tiens bois un peu de vodka, tu verras tu te sentiras mieux. Je ne veux pas que tu fasses la tête. Romu va dormir ici, je vais t'installer le clic clac dans le salon, tu seras comme chez toi. Et demain on aura tout oublié… OK ?
- …
- OK ?
- Oui…
- Maintenant on va rejoindre Romu, je veux que tout le monde soit à l'aise. Alors ne boude pas. Romu sait que nous sommes amis, et je ne veux pas qu'il y ait d'ambiguïté dans notre relation. Tu dois accepter la situation si tu veux me prouver que c'est une vraie amitié qui nous lie. Chacun son rôle, toi tu es mon ami, Romu est mon amant de ce soir, un jour tu le seras peut-être.
Laure m'embrassa sur la joue.
Quand on arriva dans le salon Romuald était en train de se servir une autre vodka. Laure mit de la musique. Tout en servant un autre verre à Laure, Romuald la prit par la taille, sans se soucier de ma présence. Elle lui tendit ses lèvres qu'il mordilla doucement. Je savais qu'elle ne voulait pas me faire de mal, par contre j'étais sûr que lui profitait de la situation pour m'enfoncer un peu plus.
- Si j'ai bien compris le boss on va souvent travailler ensemble Pierre, car je vais superviser les ventes de l'agence de Paris. Tes résultats financiers sont pas géniaux il paraît, je sais pas comment tu te démerdes car tu as un secteur qui devrait bien tourner pourtant. J'espère que ta collaboration sera totale, ça m'embêterait beaucoup de faire remonter au boss les problèmes de ton secteur.
Quel salaud !
- Par contre toi Laure tu te débrouilles plutôt bien, il faudrait que tu donnes des conseils à Pierre, il en a bien besoin ! Belle et intelligente, tu es vraiment bandante Laure.
Tout en lui disant cela Romuald lui caressa les seins, taquinant ses tétons qui commençaient à pointer sous le voile léger de sa robe.
- Ecoute Romuald on parlera de tout cela une autre fois si tu veux bien !
Il allait baiser Laure presque devant moi, je n'allais pas en plus supporter toutes ses remarques concernant mon travail. Laure me soutint mollement :
- Allez Romu Pierre a raison, laisse ces histoires de côté pour ce soir, tu auras bien l'occasion de parler de tout cela à une autre occasion. Et puis il y a des choses plus intéressantes à faire…
- Ok tu as raison Laure. Ce soir je m'occupe de la responsable du secteur Grenoble, lundi matin je verrai le responsable du secteur Paris, et je pense qu'il sera moins à la fête que toi… ah mon pauvre Pierre t'as vraiment pas de bol en ce moment, t'es au bord du licenciement et qui c'est qui vient contrôler ton travail ?... Le mec qui va baiser Laure sous ton nez ! puis ils éclatèrent de rire en avalant leur verre de vodka et s'embrassèrent fougueusement.
- Dis moi au fait Laure, est-ce que Pierre t'a déjà vue à poil ?
- Non…
- Ça me ferait plaisir que tu te foutes à poil devant lui, je suis sûr qu'il en meurt d'envie depuis pas mal de temps. Tu peux bien lui faire ce cadeau, ça lui fera oublier tous ses soucis…
Romuald était mort de rire en disant cela. Je savais bien qu'il disait tout cela uniquement pour m'humilier et augmenter par là même son plaisir.
À ma stupeur Laure ne se fit même pas prier. Je compris alors qu'elle était vraiment dingue de sexe, et que, l'alcool aidant, plus rien ne la retenait. Elle se mit debout au milieu du salon.
- Romu chéri tu veux descendre la fermeture éclair de ma robe ?
- Mais avec grand plaisir !
Romuald se leva à son tour et fit descendre la longue fermeture. La robe tomba au pieds de Laure, d'un seul coup, découvrant son corps parfait. Ses petits seins pointaient à l'horizontale.
Elle enjamba sa robe, restant debout, les jambes légèrement écartées. Ses seuls ornements étaient désormais son petit string en dentelle noire, ses bottes et ses bijoux.
- Mets tes mains derrière ta nuque pour que Pierre admire tes jolis seins, voilà comme ça tu es superbe... Tourne sur toi même maintenant... Je ne sais pas ce que ça te fait à toi Pierre, mais moi la seule idée que je vais baiser cette fille toute la nuit me fout une gaule pas possible !... C'est vraiment con pour toi que tu n'aies pas pu finir le séminaire dans son lit comme tu l'espérais. Tu sais que j'ai failli ne pas venir, vraiment je m'en serais voulu ! Cambre un peu ton dos Laure, on dirait une danseuse du Crazy Horse.
Je regardais Laure, ne pouvant même pas détourner le regard devant ce corps qui m'aimantait. Laure me regardait aussi avec son sourire éclatant.
- Allez Pierre profite du spectacle, c'est la première fois que tu me vois comme ça. On dirait que je te dégoûte. Ça n'est qu'un jeu, tu n'as vraiment aucun humour. Je te l'ai déjà dit, ce soir c'est Romu qui a gagné, cela aurait pu être le contraire et j'aurais fait pareil devant lui. Ne me gâche pas mon plaisir.... Ca m'excite que tu me voies ainsi, que veux-tu c'est mon côté exhibitionniste. Il faut que tu le comprennes. En ce moment je mouille comme tu peux pas imaginer, ton regard décuple mon désir, je sais que je vais me faire sauter par tous les trous par un type fou de sexe qui m'a promis de s'occuper de moi pendant toute la nuit. Pendant que l'on dînait tout près de toi Romu m'a complètement retournée en me décrivant tous ses fantasmes.
Laure baissa ses bras et fit descendre le long de ses cuisses le string qui ne cachait au bout du compte plus grand chose.
Elle était maintenant entièrement nue, ses jambes musclées toujours cambrées par ses bottes à talon. Sa petite toison taillée avec minutie laissait apparaître un sexe bouillant déjà traversé d'écume.
Elle se tourna, caressa doucement ses fesses et les ouvrit délicatement avec ses deux mains pour dévoiler ce petit orifice vibrant, et pour quelques minutes encore reposé. Puis elle but un verre de vodka que Romuald lui avait tendu et reprit sa pause, jambes légèrement écartées, reins cambrés, mains derrière la tête.
- Pourtant c'est avec toi que je voulais passer cette nuit, et je l'avais dit à Romu. Ensuite il n'a cessé de revenir à la charge, avec une endurance et une volonté qui m'ont laissé imaginer celles qui seraient les siennes au lit. Pendant que nous dansions il a fait de moi sa chose, me murmurant à l'oreille des plaisirs inavouables. Tout est si simple avec un homme comme lui. Une nuit sans lendemain, ou presque…
Romuald s'était rassis et lui souriait. Lui aussi semblait envoûté par le charme de Laure.
- Dans ta voiture qui nous ramenait du restaurant, Romu a relevé ma robe. Mes fesses se sont posées sur le cuir froid et rugueux de la banquette arrière. Ses mains chaudes et expertes ont flatté ce cul que je lui offrais sans retenue, puis doucement, pour ne pas éveiller l'attention de Sophie et de toi, tandis que nous parlions de choses et d'autres, il a glissé une main entre mes fesses et la banquette. Je me suis légèrement relevée pour permettre à un de ses doigts de pénétrer mon sexe trempé, doigt qu'il a retiré au bout de quelques instants et avec lequel il s'est amusé à agacer mon petit trou du cul jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Est-ce que tu comprends le bien que cela fait Pierre ? Avant que je ne m'endorme dans la voiture il m'a dit « maintenant on va aller faire la même chose chez toi, mais là ce ne sera plus un doigts mais un sexe, une langue et deux mains, ce ne sera pas quelques instants mais quelques heures, et tu n'auras plus à te retenir mais tu pourras crier et jouir comme bon te semble ». .... Alors voilà pourquoi je suis bouillante et prête à m'offrir à cet homme que tu n'aimes pas et qui tient dans ses mains une partie de ton avenir professionnel. Et, que veux-tu que je te dise d'autre, ça m'excite au plus haut point !
Romuald se releva et s'approcha de Laure qui lui tendit sa langue chaude qu'il aspira goulûment.
- Laure tu es géniale et je mettrais ma main à couper que ton ami Pierre est fin excité et sûrement en pleine érection. Dommage pour lui qu'il ne puisse réserver cette érection qu'à la misérable petite branlette qu'il va sûrement se taper dans son clic clac quand nous serons en train de nous envoyer en l'air dans ta chambre. Mais bon c'est la vie, y a des gagnants et des perdants… Je crois qu'il faut qu'on le laisse dormir pour qu'il profite bien de son week-end avant l'examen des comptes de son secteur que l'on va faire ensemble lundi matin, n'est-ce pas chérie ?
Laure lui sourit et se plaqua contre lui en enlaçant ses bras autour de son cou. Elle écrasa ses seins sur son torse musclé et appuya son pubis sur son sexe manifestement en pleine forme.
- Oui Romu tu as raison. On va te laisser dormir Pierre. Bonne nuit, fais de beaux rêves et excuse nous si on fait un peu de bruit… Je te laisse déplier le clic clac. À demain, ne fais pas de bruit en te levant car je crois qu'on va dormir assez tard avec Romu.
Laure me fit un petit clin d'œil coquin et ils disparurent dans la chambre en riant. Le clic clac fut déplié rapidement et je me mis vite au lit, complètement assommé par cette soirée que je venais de vivre, à mon grand étonnement, de manière complètement passive.
Evidemment Laure, à moins que ce soit Romuald, n'avait pas refermé la porte de la chambre. J'eus donc droit à tous les détails de leur nuit, comme si j'y étais. Impossible de m'endormir. Laure sembla prendre un pied pas possible. Ses gémissements, ses cris même, envahissaient tout l'appartement. Puis cela se calmait, j'entendais parler, puis rire, quelques bruits de verres qui s'entrechoquaient, et ça repartait de plus belle, avec toujours la même énergie.
Dans la nuit j'entendis quelqu'un sortir de la chambre, c'était Romuald qui vint dans le frigo se servir sans doute une nouvelle vodka. Quelques minutes après Laure sortit à son tour, entièrement nue, pour aller dans la salle de bain. J'entendis une douche couler.
En sortant de la salle de bain Laure passa près de mon clic clac. Elle se doutait que je ne dormais pas. Elle s'arrêta un instant et s'accroupit au bord de mon lit.
- Ça va Pierre, tu dors ? Si tu savais ce qu'il m'a mis, c'est incroyable ! Et c'est pas fini, après cette douche je me sens comme toute neuve et prête à repartir pour la même série ! Ce type connaît mon corps mieux que moi, et il a vite compris ce que j'aimais. J'espère tenir le coup car il est hyper puissant. Sophie m'avait prévenu, et elle avait raison… Vraiment je suis heureuse que tu sois mon ami et que tu n'aies pas fait de problème. Je te promets que je ferai tout mon possible pour essayer d'arranger tes affaires à l'agence de Paris, mais ça va pas être facile. Je crois que je vais être obligée d'être très gentille assez souvent avec Romu pour qu'il se calme et te déteste un peu moins.
J'avais réussi, par fierté, à ne pas me masturber en entendant leur partie de jambes en l'air. Pourtant l'envie me démangeait sérieusement. Voyant à nouveau Laure devant moi, toujours aussi excitée et aussi chaude, je ne pus m'empêcher de lui demander une faveur :
- Dis-moi Laure, tu imagines dans quel état d'excitation je me trouve. Il y a une chose qui me ferait terriblement plaisir c'est que tu me fasses jouir… Tu vois je ne t'en demande pas trop... Juste m'apaiser un peu après cette soirée et cette nuit où j'ai plus d'une fois été au bord de l'explosion.
Laure sembla surprise par ma demande.
- Tu sais Pierre j'ai eu la même idée que toi. Je me suis dit que c'était pas juste que tu n'aies pas une petite compensation, après tout ce que moi j'avais pu recevoir ce soir comme plaisir. Et je voulais justement venir te voir. Tu veux savoir, j'étais même prête à te faire une petite pipe.
Mon visage s'illumina. Je découvris alors la couette qui me recouvrait et laissai apparaître mon sexe tendu au possible. Je pouvais voir parfaitement, malgré la pénombre, les lignes du corps de Laure.
Ses petits seins, qui pointaient moins que lorsqu'elle s'était mise nue devant moi à la demande de Romuald, étaient quand même toujours aussi fermes. Je pouvais deviner des traces foncées à leur surface, qui semblaient avoir été provoqués par des pincements. Son maquillage avait un peu disparu. Ses yeux étaient fatigués par l'énergie qu'elle avait dû fournir pour satisfaire son amant. Les muscles de sa bouche étaient encore marqués par les longues succions qu'elle avait dû également prodiguer au sexe intarissable de Romuald. Elle m'excitait toujours autant.
Je pris sa main et la dirigeai vers mon sexe. Elle l'enserra fortement, puis le lâcha soudain en reculant sa main. L'air désolée, mais sûre d'elle, elle me fit non de la tête.
- Je suis désolé Pierre, mais j'ai parlé de mon envie de te faire plaisir à Romu. Je ne voulais pas faire cela dans son dos… Et il m'a interdit de te donner le moindre plaisir. Tout ce qu'il m'a autorisé à faire, si tu le souhaites, c'est de me montrer nue devant toi, comme tout à l'heure, mais pour te montrer cette fois combien j'avais bien servi.... Je trouve que c'est une bonne idée aussi, tu pourras ensuite te branler à ton aise... Excuse-moi Pierre, mais c'est tout ce que je peux faire pour toi.
Mon sexe se ramollit bêtement devant cette superbe fille. Décidément Romuald allait m'avoir jusqu'à l'os et me pourrir toute ma nuit. Laure se redressa devant moi.
Comme elle l'avait déjà fait elle me montra ses seins, tendant leurs pointes avec ses doigts fins. Elle fit avec ses mains deux coupelles pour me les présenter et me montrer les traces que j'avais en effet déjà remarquées.
- Tu vois ces marques, je te laisse deviner ce que Romu a fait avec mes jolis seins.
Elle excita ses tétons avec ses ongles effilés pour leur redonner toute leur vigueur. Elle cambra à nouveau ses reins, et me présenta son petit trou, désormais dilaté.
- Pas la peine de te dire non plus ce que Romu a fait de ce côté-là !
Elle se retourna enfin et écarta doucement les lèvres de son sexe. Son clitoris rouge vif bandait encore. La douche n'avait semble-t-il pas fait disparaître toutes les traces du passage du sexe de Romuald.
- Là aussi il n'y est pas allé avec le dos de la cuillère, me fit-elle en souriant.
Partout son corps était marqué par l'empreinte des mains puissantes de Romuald, qui telles un étau avaient dû la maintenir pendant ses assauts. Enfin elle m'ouvrit en grand sa bouche, laissant apparaître ses dents éclatantes et sa jolie langue chaude.
- Tu vois cette langue a parcouru des kilomètres ce soir !.. Et elle n'est pas encore arrivée au bout du chemin... Bon Pierre il faut que j'y retourne maintenant. Romuald a dû retrouver toute son énergie et moi je sens les forces me reprendre. Il paraît qu'il ne m'a pas tout montré en plus, et je suis assez impatiente… Encore une heure de baise et je crois que nous pourrons enfin profiter d'un bon sommeil réparateur... jusqu'à ce que Romu ait une nouvelle envie car il paraît qu'il adore se réveiller pour refaire l'amour... Dors bien et à demain... Au fait Romuald m'a demandé si tu pouvais demain matin descendre à la boulangerie en bas pour nous chercher des croissants. Ça serait sympa car je pense qu'on se réveillera après la fermeture. Merci pour lui.
Et Laure repartit dans le baisodrome..
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Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
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Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
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