↧
Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
↧
Les rediff de l'été... Enfin de l'humour
Un petit chef d’œuvre à relire...
SYLVAIN
Un Chef d’œuvre d’humour
Je m'appelle Sylvain, j'ai 35 ans, châtain clair, divorcé et remarié. Hétéro, mais aimant bien les petites perversités et ne refusant pas de nouvelles expériences.
Je bosse dans une société de services à domicile, je fais donc des dizaines de rencontres par jour et je vois donc toutes sortes de gens. Hier, j'avais rendez-vous toute la journée avec une femme, Madame Morgane S…qui avait des problèmes avec sa piscine en banlieue ouest.
Il s'agit d'une superbe maison bourgeoise avec des domestiques.
La journée était chaude, une jeune asiatique en tenue de soubrette (qui, je le saurais plus tard, se prénommait Suzy) me fit entrer dans les lieux, je vis une superbe bombe d'une trentaine d'année en monokini sur le bord du bassin.
Elle vient vers moi, sans se cacher ses seins, se présente, c'est elle Morgane. Je ne vous dis pas dans quel état je suis de voir cette merveille à cinquante centimètres de moi !
Elle est toute désolée de ne pouvoir faire trempette, elle me demanda si je pouvais me dépêcher pour qu'elle puisse jouir des plaisirs de la baignade rapidement. Je lui répondis que je ferais mon possible pour la satisfaire. Ma réponse dû l'amuser car elle me sourit puis me dévisagea lourdement de la tête au pied, fit demi-tour puis et disparut dans la maison.
J'avais prévu la journée entière pour cette intervention, mais l'affaire fut plus rapide que prévue. Il était inutile de faire trainer puisqu'elle avait accepté par courrier un devis qui ne dépendait pas du temps de travail.
Alors que la réparation était presque terminée, elle vint me voir, me proposa de prendre un verre, je lui répondis que je préférais finir et boire un coup ensuite, curieusement, cela parut la contrarier mais me laissa finir.
Une fois tout remis en état et les outils rangés dans la camionnette, je retourne la voir, elle me demande alors si je ne peux pas en profiter pour vérifier le robinet d'arrivée d'eau de la maison qui est, me dit-elle, difficile à manier.
- Oui bien sûr !
- O.K. Suivez-moi, et ne vous étonnez pas si vous voyez des choses bizarres.
Je vais chercher une pince multiprise dans la camionnette et suis la dame qui se dandine en tortillant ses fesses, je m'en fous plein la vue et ne me fais pas de soucis pour les "choses bizarres".
Des choses bizarres, j'en ai vu pas mal dans mon métier et je crois bien que pour me surprendre il faudrait y mettre le paquet.
On descend au sous-sol. Et pourtant là le choc!
On entre dans une salle complètement surréaliste, avec des chaines, des instruments pour sado maso… et une croix de Saint André sur laquelle est attaché un beau jeune homme, complètement nu, imberbe, plutôt bien monté et qui donne l'air de se trouver très bien dans cette situation.
- Ah, ben ça alors ? Ne puis-je m'empêcher de m'exclamer.
- Je vous avais dit de ne pas vous étonner !
- Je vois qu'on s'amuse bien ici ?
- Je ne vous le fais pas dire… Nous sommes un petit club, mais parfois on joue avec des invités… Si ça vous intéresse, il suffit de me le dire.
- Non, ce n'est pas mon truc… Enfin je ne crois pas…
- Hummm… vous n'avez pas l'air très sûr de vous…On dirait bien que ça vous intéresse un petit peu quand même… Petit cochon… On va en parler après si vous voulez, mais pour l'instant si vous pouviez vous occuper de cette arrivée d'eau.
Je suis troublé de chez troublé. L'arrivée d'eau se trouve dans un petit placard bas dans cette pièce. Je desserre très légèrement l'écrou du robinet. C'est tout ce qu'il y a à faire.
- Et voilà !
- Quelle efficacité ! Quelle rapidité ! Je vous remercie. Mais dites-moi votre trouble quand on est arrivé ici, c'était pourquoi ? Vous voudriez être à la place de ce charmant jeune homme ? Ou vous voudriez faire des choses avec lui ?
- Ben…
- Ben vous ne savez pas, ou vous n'osez pas le dire… Dites-moi : Vous aimez qu'on vous domine ?
- Non, enfin, très légèrement.
- Je vois… Vous voudriez que je vous domine, là tout de suite !
J'hésite, je regarde ma montre…
- Ne me dites pas que vous n'avez pas le temps ?
- J'hésite ! Je ne m'attendais pas à ce genre de proposition…
- Alors je compte jusqu'à 10. Si à 10 vous n'êtes pas décidé, on n'en parle plus et vous pourrez regretter d'être passé à côté de quelque chose… 1, 2..
- D'accord !
- On dit "Oui maîtresse !"
- Oui maîtresse !
- Mets-toi à poil !
- Là tout de suite ?
Je reçois une gifle !
- Bien sûr que c'est là tout de suite, tu en as d'autres des questions idiotes ?
Je me déshabille et range mes vêtements sur une chaise qui à la bonne idée de se trouver là.
- Tu vas te pencher sur le chevalet, je reviens m'occuper de ton cul de salope.
Comment qu'elle cause, la bourgeoise ?
Me voilà semi couché sur le machin tandis qu'elle quitte la pièce. Elle revient plusieurs minutes après. Elle s'est changée, un blouson de cuir noir fermé devant avec une fermeture éclair, des grandes bottes, mais la chatte (rasée) et le cul à l'air. Elle s'empare d'un martinet et commence à me chauffer les fesses.
Je pousse des petits cris de douleur.
- Je ne veux pas t'entendre, si tu veux tout arrêter tu dois prononcer deux fois le mot "alouette", et à ce moment là je te vire, sinon le reste, tu peux gueuler, je n'en tiens pas compte.
Les coups continuent à dégringoler, mais je m'habitue, j'ai vite le cul en feu. Elle me détache.
- A genoux et ouvre ta bouche, je vais te cracher dans la gueule !
- C'est peut-être pas indispensable !
- Je crache toujours sur mes esclaves, ils adorent ça. Ouvre ta bouche !
Je n'aime pas trop ça, mais que voulez-vous, il faut bien qu'elle s'amuse aussi.
- Dis-moi, que préférerais-tu ? Sucer la bite de cet esclave ou me lécher mon trou du cul !
- Euh, votre trou du cul, maîtresse.
- Mauvaise pioche ! Tu vas d'abord sucer l'esclave.
Et bé! Il y a bien longtemps que je n'ai pas sucé une bite, moi !
Mais ça ne me dérange pas, je la prends en bouche et la suçote pour lui donner une vigueur qu'elle ne tarde pas à acquérir, puis je commence une fellation en règle, en fait je me régale, l'occasion de faire ce genre de chose ne se renouvellera peut-être pas de sitôt, à moins de revenir ici.
- C'est bon la bite, hein ?
- Hummmm ! Répondis-je la bouche pleine.
- Je crois qu'on va bien s'entendre, j'adore les hommes qui sucent des bites… Bon assez ! Je ne veux pas que tu le fasses jouir.
- Bien maîtresse !
- Tu te rends compte de ce que tu viens de faire, tu viens de sucer la bite d'un mec, tu es pédé ? Rigole-t-elle.
- Non maîtresse, mais j'aime bien essayer des trucs.
- Et bien, on ne va pas se gêner, lèche moi le cul, maintenant.
Je lui écarte les fesses, et approche mon visage. J'ai un léger mouvement de recul: Son cul ne sent pas vraiment la rose ! Mal essuyé ? Mal lavé ? Ou alors elle vient de péter ?
Après un instant d'hésitation et d'accoutumance, je lèche son anus, le goût est âcre, mais pas désagréable du tout, on s'habitue à tout.
- Il est comment mon cul ?
- Il est bon maîtresse !
- Ça je le sais bien, mais il a quel goût ?
- Eu un peu fort ?
- Un peu fort ? Je ne comprends pas, il a une odeur alors ?
- Oui, mais ça ne me dérange pas.
- Je vois bien que ça ne te dérange pas, mais dis moi l'odeur c'est quoi ?
- Ben disons que ça sent un tout petit peu le caca…
- Ah, oui, j'aurais donc oublié de m'essuyer ce matin… Je suis tellement distraite… Mais en fait ça m'arrive souvent, j'adore que mes esclaves sentent l'odeur de mon cul et me servent de papier toilettes… Bon c'est bien nettoyé, où il faut que tu continues ?
- Je ne sais pas, mais je veux bien vous lécher encore…
- Mais si qu'il y prend goût ce petit salopard… Non, pour le moment on va faire autre chose, j'ai une idée, tu n'es pas pressé au moins ?
- Non, non.
- Je vais faire une surprise à mon mari, il ne devrait pas tarder à entrer, je vais te préparer et il va t'enculer…
- C'est que…
- C'est que quoi ? Il a une très belle bite, et toi tu es un suceur de bite, quand on suce des bites, on ne doit pas avoir peur de se faire enculer…
- C'est que je ne l'ai jamais fait…
- Et bien justement il va te dépuceler, ce sera encore plus excitant.
Elle appelle alors deux domestiques, Suzy, l'asiatique qui m’a fait entrer tout à l'heure et Melissa, une blackette et leur demande d'apporter le matériel nécessaire afin de me raser intégralement…
- Ce n'est peut-être pas nécessaire… Balbutiai-je, et puis que va dire ma femme…
Je reçois une gifle !
- UN ! C'est nécessaire, mon mari n'encule que des mecs complètements rasés, il a horreur des poils ! Quant à ta femme, ne t'inquiètes pas, je t'expliquerais ce qu'il faut dire, tout se passera bien, je ne suis pas là pour briser ton ménage…
Les deux nanas reviennent avec le matériel, cuvette, gel de rasage, après rasage, serviette… Puis se déshabillent intégralement. Elles commencent par le torse, les jambes puis ma queue et mon anus. Je ne vous explique pas dans l'état où se trouve mon sexe, je suis bandé à fond. Morgane contemple le résultat…
- Humm… Pas mal du tout… Les filles, allez lui chercher des collants, un porte-jarretelles, une perruque blonde, et de quoi le maquiller… Allez plus vite que ça… Si Monsieur arrive dites-lui de ne monter que dans une demi-heure, vous lui expliquerez que je lui prépare une surprise.
Manquait plus que ça, mais je ne réagis même pas…
- Tu les trouves comment mes soubrettes ?
- Mignonnes !
- N'est ce pas ! Si nous devenons amis, tu pourras faire des trucs avec, elles sont très obéissantes et pas farouches du tout… mais faut le mériter…
On me fait enfiler les bas, on me maquille, on me perruque…
Mon image dans le miroir renvoie celle d'un inconnu, je ne me trouve décidément pas mal en travelo…
- Je te fais grâce des escarpins, c'est la première fois, tu risques d'être plus ridicule qu'autre chose et ce n'est pas le but recherché… Par contre je vais te rougir un peu les fesses, je n'ai pas assez tapé tout à l'heure, elles sont vraiment trop pâles. Allez, cambre-toi........................
SYLVAIN
Un Chef d’oeuvre d’humour
Fin
Je ne proteste même pas, j'espère simplement qu'elle ne va pas frapper trop fort… Non ça va… Ca va, mais c'est juste. Au bout d'une vingtaine de coups de martinet, elle s'arrête, me fais me retourner, et me fixe deux pinces sur le bout des tétons, curieuse sensation qui me fait rebander comme jamais.
- Quelqu'un t'a autorisé à bander ?
- Non, maîtresse...
- Tu fais ce que tu veux, alors, si je comprends bien ?
- C'est ce que vous me faites qui me fait bander, maîtresse !
- Bon, alors ça va !
- Monsieur est arrivé, il attend dans le salon ! Viens dire Suzy, la petite asiatique.
- OK, tu lui a dis que je lui préparais une surprise ?
- Oui, madame !
- Demande-lui qu'il se déshabille avant de descendre, et suce-lui la bite avec Melissa, je veux qu'il arrive ici bandé et excité.
- Comptez sur nous, madame !
Quelle maison de dingue !
Morgane m'attache les mains au plafond à l'aide de poulies, puis Norbert (le mari) fait son apparition.
- Bonsoir chérie ! J'ai vu que la piscine était réparée, et la surprise, je suppose que c'est cette tantouse, dit-il en me désignant !
- Il te plait j'espère ? Sinon, c'est pas grave, on le vire…
C'est humiliant tout de même cette façon de parler de moi…
- Il a l'air mignon !
Juge le Norbert qui me contourne et me pelote les fesses…
- Joli cul en tout cas… il a du en voir passer des bites par là !
- Ben, non justement, il m'a dit qu'il était puceau du cul !
- Il est puceau de la bouche aussi ?
- Non, il a sucé mon client tout à l'heure, il avait l'air de se régaler…
Hein ? Quoi ? Elle a parlé de client ! Ce serait donc une professionnelle ? Une fois le trip fini, elle va me demander de l'argent ou alors une réduction sur la facture de la réparation… Ça me paraissait bizarre aussi cette affaire de "club" ! Je décide d'en avoir le cœur net.
- Vous avez parlé de client vous êtes une pro ?
Elle à l'air étonné de ma question, mais ne se défile pas.
- Nous en parlerons tout à l'heure, je suis une semi pro, je fais des choses avec des clients et avec des non-clients… Comme toi par exemple… Si ça te pose un problème de savoir que je fais la pute, tu es libre de partir, je ne te demande rien.
- Non, je veux bien rester !
- Ok, tu ne le regretteras pas !
Du coup, Norbert prend alors conscience de la présence du mec attaché à la croix dans le coin obscur de la pièce.
- Heuh, et celui là, tu le laisses attaché ?
- Pour l'instant oui, mais si tu ne veux pas qu'il te voit faire des choses avec ce jeune homme, je peux lui bander les yeux.
- Non, non, plus on est de fous, plus on rit.
Morgane me détache et me fait mettre à genoux devant Norbert.
- Suce, salope !
Je l'aurais parié. Cette queue était plus grosse que celle de l'esclave, mais tout aussi agréable à prendre dans la bouche, je m'efforçais de sucer de mon mieux, me disant que plus il serait excité moins la sodomie serait longue.
- T'aime ça sucer des bites ?
- Oui, maîtresse ! Répondis-je interrompant un instant ma fellation.
- Ne répond pas à ses questions idiotes, on voit bien que tu aimes sucer des bites, pas la peine de demander, suce-moi encore !
Je suce encore, je vais finir par me faire mal à la mâchoire…
Puis l'ordre tant redouté intervint :
- A quatre pattes…
Le mec se capote, me fout du gel sur l'anus, puis m'enfonce un doigt qu'il fait aller et venir.
- Il est étroit, tu aurais du le préparer avec un gode ! Dit Norbert.
- Je n'y ai pas pensé, et puis je n'ai pas eu tellement le temps.
- Fallait te débrouiller… Ca mérite une punition…
- Ben voyons !
- Tu ne veux pas jouer ? S'inquiète le mari.
- Si, si punis-moi !
- OK, vous les deux boniches, vous allez m'attacher Madame sur la seconde croix et vous lui donnerez chacune dix coups de martinet sur le cul…
Ça devient du délire, bien sûr Morgane se laisse faire, même qu'elle a l'air de prendre son pied en se faisant fouetter son joli petit cul.
- Laissez-la attachée, Suzy, tu prends un gode, le plus petit modèle et tu encules ce travelo avec, Melissa tu en prends un plus gros et tu passeras après, moi je passerai en troisième...
J'ai donc droit à un premier gode qui me trifouille le fondement, j'avoue que la sensation n'est pas désagréable sauf cette impression de gêne que le plaisir n'arrive pas à faire disparaître complètement, question d'habitude probablement, avec le deuxième je me sens déjà mieux rempli… Ce n'est pas vrai que l'accoutumance se fait déjà ? Puis sans transition la bite de Norbert m'encula…
- Alors c'est bon ?
- Ça va !
- Je ne t'ai pas demandé si ça allait, je t'ai demandé si c'était bon !
- Oui, c'est bon !
- Ah, je savais bien !
Au bout de 10 minutes, il ressort de mon cul sans avoir joui, j'ai l'anus en marmelade et j'ai surtout envie de me reposer, mais voilà qu'il me tend sa bite toujours encapotée et pas très nette. Pourvu qu'il ne me demande pas de la nettoyer. Pas tout le même jour quand même…
Effectivement le mec est intelligent, il a du voir ma tronche, et se tourne vers Melissa qui lui nettoie tout ça sans aucun problème.
- Détachez Madame ! Toi, me dit-il, tu mérites une récompense, tu vas enculer ma femme, et moi je vais regarder le spectacle pendant que ces deux petites putes vont me sucer la queue. Mais avant, je vais gouter ta bite…
Il me suça donc quelques instants, très bien d'ailleurs et sans doute mieux qu'aucune femme… La suite était pour moi complètement inespérée, je me demande si ça ne cache pas un piège…
En fait non, Morgane se met gentiment à quatre pates, on me passe une capote, et je m'enfonce en elle avec une facilité déconcertante. Je suis tellement excité que je jouis en elle en moins de cinq minutes, tandis que Norbert décharge dans la bouche de la petite asiatique.
Bon je suppose que c'est fini, je vais pouvoir me rhabiller et repartir avec plein de souvenirs inénarrables dans la tête.
- Ça donne un peu soif tout ça ! Dis-je espérant qu'on m'apporte à boire.
- C'est vrai, je t'avais proposé un verre tout à l'heure, ça m'est sorti de l'idée. M'indique Morgane.
- Ce serait bien volontiers, maîtresse !
- Alors, couche toi sur le dos, ouvre ta gueule de porc, je vais te pisser dedans.
Pour avoir déjà fait ce genre de choses, ce ne fut pas une corvée, je m'efforçais de boire tout ce joyeux liquide, Melissa et Suzy furent invitées à la rejoindre, j'étais littéralement trempé dans une marre de pisse et me surprenait à rebander….
Mais je fus un peu plus inquiet quand je la vis s'accroupir différemment de façon à ce que son anus soit à quelques centimètres de mon visage.
- Et maintenant un bon gâteau au chocolat !
Je vois avec stupeur son trou du cul qui se dilate. Mais rien ne sort ! Elle laisse tomber ! Je crois pourtant que vu l'état d'excitation dans lequel j'étais de nouveau, je n'aurais eu aucun recul devant cette pratique extrême !
- Ce sera pour une prochaine fois ! Me dit-elle. Nettoie-moi la chatte.
Bien sûr que je lui nettoie la chatte dont les plis sont encore imbibés de son urine.
- Bon je vais te laisser partir… il faut que je finisse cet esclave.
On se quitte, à mon grand regret elle ne me propose pas de revenir, elle redevient distante, elle me donne congé avec une poignée de main accompagnée d'un merveilleux sourire, j'aurais aimé un petit bisou, tant pis !
A 19 heures j'étais chez moi, j'embrasse ma femme
- Alors Sylvain, cette journée ?
- Bof un gros problème avec une piscine, j'y ai passé un temps fou…
- La routine quoi ?
- Ben oui, la routine
Putain, comment vais-je faire pour lui cacher mes fesses ? Quelle explication vais-je trouver pour expliquer le rasage de mon corps ? Morgane m'avait dit qu'elle m'en reparlerait, elle a oublié…
Et voilà mon téléphone qui sonne.
- Allo !
- Je suis le docteur Martin ! Entendis-je
Mais c'est la voix de Morgane.
- J'ai oublié de vous donner le nom du produit pour vous badigeonner le corps, vous notez ?
Je note et elle raccroche. Ma femme m'interroge, je lui explique alors que j'ai dû aller au dermatologue suite à une allergie inconnu et qu'on a été obligée de me raser les poils… L'explication passe comme une lettre à la poste.
Et voila que ça sonne de nouveau
- Il me semble que vous ayez oublié votre pince multiprise ! Me dit Morgane
- Pas bien grave, j'en ai d'autres, gardez là en souvenir.
- Non, tu vas venir la rechercher mercredi prochain à 14 heures très précise. Je recevrais un couple d'amis et nous aurons besoin de toi pour nous amuser.
- D'accord !
- Et si tu veux je te ferais un bon gâteau au chocolat…
- D'accord
- Ce n'est pas comme ça qu'on dit !
- D'accord Maîtresse !
- A qui tu parlais, me demande ma femme ?
- Oh, à une maîtresse d'école…
D'après une nouvelle signée James 007 et publié sur le site de Sophiexx en 1999
↧
↧
Un Samedi d'été au ciné...
↧
Un dimanche d'été devant la téle...
↧
L'été des rediff..! Ici Clochard..!
Uu texte d'amour que je trouve magnifique.
Prenez le temps de le redécouvrir et le déguster
Prenez le temps de le redécouvrir et le déguster
CLOCHARD
Notre rencontre fut des plus ordinaire. J’ai rencontré ma Maîtresse chez des amis. On s’est sourit, on a discuté, on s’est revu, et on est sorti ensemble, tombant amoureux l’un de l’autre très rapidement. Classique !
Elle est brune avec les yeux verts. Son regard dominant m’avait séduit immédiatement, sans que je sache vraiment pourquoi. C’est plus tard que je le découvris.
Une jolie femme que beaucoup d’homme ont certainement rêvé d’avoir un jour dans leurs lit. D’ailleurs il suffisait de voir leurs regards quand nous marchions dans la rue, elle habillée sexy pour en être convaincu.
Moi-même, je ne m'en remets toujours pas. Quand je la voie habillée ainsi, j’ai à chaque fois envie de me serrer contre elle, et de lui faire l’amour pendant des heures, m’occupant de ce corps de rêve avec mes mains et ma bouche. Les hommes la rêvaient dans leurs lits, moi je l’avais dans ma vie. Quel bonheur !
Pourtant au départ, il n’était nullement question de domination. Même si j’avais largement alimenté mes masturbations en position de bon soumis, ce n’était pour moi qu’un fantasme. Un fantasme très excitant certes, m'amenant des érections d’une incroyable force, mais rien qu’un fantasme.
Ce n’est pas que je refusais d’entrevoir la réalisation de ce rêve, mais cela me paraissait difficile à mettre en place. D’abord, parce que le passage entre l’imaginaire et la réalité n’est pas forcement chose facile, ensuite parce que je n’avais pas du tout l’intention de passer une vie de soumis.
Dieu sait où ce genre de pratique vous emmène. Ensuite, il faut bien le dire je n’étais pas du tout sûr que cela me plaise vraiment. J’étais quand même plutôt du genre à refuser l’ordre…
Et pour finir, comment avouer ce genre de fantasme à la femme que l’on aime, au risque de peut être la décevoir fortement. Bref, cela ne devait rester qu’un fantasme.
Ce n’est que quelques mois plus tard que tout bascula. Nous étions tous les deux dans le canapé, nus, les corps encore imprégnés de transpiration de notre plaisir. Nous nous caressions tendrement en buvant du champagne profitant de cette accalmie pour reprendre nos forces avant le deuxième actes.
Dans ces moments là, nous parlions souvent de sexualité. Nous étions assez libre sur le sujet, et nous aimions beaucoup nous exciter avec les mots, commenter une scène érotique ou une histoire de sexe lu dans une certaine presse ou sur Internet. Mais nous n’avions jamais parlé directement de soumission.
Ce jour là, nous échangions quelques idées de fantasmes. Et je ne sais pas pourquoi, sans réfléchir, j’ai dit tout naturellement ;
- Je ne serai pas contre une « petite fessée » !
Ma Maîtresse me regarda, afficha un demi-sourire, puis ses yeux verts se fixèrent sur mon sexe. Je venais de me trahir. A peine avais-je prononcé le mot fessé, que mon sexe se mit à gonfler à une vitesse incroyable.
Devant cette belle érection soudaine, elle l’enserra puis commença doucement quelques va et vient. La douceur de sa main était magnifique. On avait tout de suite envie de s’abandonner complètement.
J’étais sur mon nuage, quand soudain elle arrêta, puis me dit d’une voix douce tandis qu’elle fixait mon sexe enveloppé dans sa petite main;
- Moi, j’aimerai bien que tu goûtes à la soumission…
Et là, deuxième trahison. Mon sexe se mit à durcir encore. J’avais l’impression que sa main serrait fort, mais non, c’était bien mon sexe qui se dressait davantage. Ma Maîtresse enfonça le clou ;
- Et bien mon chéri, tu es bien dur aujourd’hui !
Elle reprit alors ses mouvements, affichant un énorme sourire qui en disait long.
Le mot soumission avait été prononcé. Alors, pendant que la femme que j’aime me caressait, mon esprit voyageait vers d’autres images. Je ne pouvais m'empêcher la voir, habillée tout de cuir, un martinet à la main, moi à ses pieds, nu à quatre pattes répondant au moindre de ses ordres.
Et plus ces images défilaient, plus mon sexe devenait dur à me faire mal. Je n’arrivais plus à me contrôler.
Je voulus alors reprendre la situation en main. Je posai délicatement ma main sur son épaule pour lui signifier que je voulais lui faire l’amour. D’habitude, elle se laissait guider avec docilité. Mais là, sa main restée libre chassa la mienne, puis elle se posa sur mon torse et me poussa doucement en arrière, d’un mouvement souple mais déjà autoritaire.
Elle voulait aller au bout, me faire jouir ainsi. Je compris à cet instant là que désormais, il faudrait que je gagne ce privilège de pouvoir lui faire l’amour. Je ne tardai pas à jouir.
Elle avait l’habitude de me voir jouir. Aussi, elle connaissait parfaitement les caractéristiques de mon éjaculation. Et là, elle a dû être surprise. J’ai explosé sur mon ventre. De longs jets puissants qui n’en finissaient pas. J’avais l’impression de me vider complètement.
Je crois bien que je n’ai jamais joui aussi fort.
Elle lâcha mon sexe et redressa la tête, puis nos yeux se fixèrent. Je crois qu’à cet instant, on avait tout compris. On s’est souris. Une sourire de complicité. Je crois que c’est à cet instant qu’elle est devenue ma Maîtresse. Alors elle me lança;
- Moi aussi je suis plus excitée que d’habitude ! Alors lèches-moi vite….
Elle s’est allongée sur le dos, écartant largement les jambes pour m'ouvrir son sexe. Je n’ai pas eu à réfléchir. Ma langue s’est posée sur ce trésor. J’ai léché comme un fou, et on a fait l’amour toute la nuit.
Ce n’est que le week end suivant que tout débuta réellement. On était dans la cuisine entrain de préparer le repas. Soudain elle changea la conversation et me dit le plus naturellement du monde.
- Au fait, tu as pensé à ce que je t’ai proposé l’autre jour ?
Je faisais mine de ne pas comprendre. Alors elle me précisa les choses, toujours d’une voix douce collée à un grand sourire.
- A propos de ta soumission !
- Bah, je ne sais pas trop…
- Tu dois bien savoir si tu as envie ou si tu n’as pas envie ! !
- Oui, je crois que j’ai envie… Mais…
- Mais quoi ? Tu as peur ? Et de quoi ?
Je gardais le silence. Je ne savais pas quoi dire. Difficile d’avouer ce genre de désir à la femme qu’on aime. Et puis, entre le désirer et l’avouer, il y a toujours un pas à franchir.
- Tu sais je ne suis pas folle… reprit-elle après quelques minutes, je ne veux pas te transformer en meuble de salon.. Ni te torturer.. Tu es l’homme de ma vie, je t’aime et je veux que tu sois heureux.. Que nous soyons heureux. C’est juste une autre façon d’aimer une femme, la plus belle, pour notre plaisir.
- Et si ça ne me plaît pas de le vivre réellement ?
- Et bien on arrêtera… c’est pas compliqué ! Je ne vais pas te forcer… si tu n’aimes pas. Mais je sais que tu vas aimé… Tu me l’as déjà dis !
- On n’en a jamais parlé ! M’inquiétais-je aussitôt.
Elle posa son couteau, puis vint se collé à moi. Elle affichait un énorme sourire. Je crois que c’est à lui que je voulais obéir. Si elle avait eu le visage dur et froid d’une femme autoritaire, je n’aurai jamais accepté.
- Tu ne me l’as pas dis avec ta voix, tu me l’as dis l’autre jour avec ton sexe et le désir que tu avais !
Et elle posa sa main sur mon sexe, complètement dressé. Je ne pouvais plus rien dire. Flagrant délit de désir…
- On essaye ! Et si cela ne te plaît pas, on arrête. OK ?
- Si tu veux ! M’entendis-je répondre d’une voix troublée.
- Alors je vais t’apprendre ta première position de bon soumis. Une position classique d’ailleurs, que tu as dû maintes fois imaginer dans tes fantasmes… Mets-toi nu, et agenouilles-toi devant moi…
Elle avait raison. Position on ne peut plus classique pour un soumis que de s’agenouiller nu devant sa maîtresse. Pourtant, je restai là, sans bouger. Incapable du moindre mouvement. Une chaleur me brûlait soudain le visage.
J’en avais terriblement envie, pourtant quelque chose me freinait encore. Une dernière barrière à faire sauter.
- Quoi ? C’est si difficile que ça ? enchaîna-t-elle sans même lever les yeux. Sa voix était légèrement plus directe. Allez, un effort ! Il faut bien commencer par quelque chose…
Alors, comme dans tous mes fantasmes, je m'exécutais. Lentement.
La sensation était bizarre. J’étais à la fois le plus heureux de vivre enfin ce rêve qui avait bercé toutes mes masturbations, et puis venait aussi se mélanger un sentiment de honte de me rabaisser ainsi.
Mais voilà, mon sexe était plus dur que du béton. Il me faisait mal. Mon gland était énorme. J’ai cru que j’allais jouir sur place, comme ça, sans même y toucher. Après cela, comment dire à la femme que l’on aime que l’on veut arrêter parce que ce n’est pas notre truc ! ! !
Ma Maîtresse avait raison, elle n’avait pas besoin de ma voix pour répondre à ses questions. Elle avait déjà vu dans mon désir l’envie d’être à elle.
- Maintenant me fit elle, tes mains dans le dos, la tête baissée et le regard au sol. Et tu attends…
Elle passa derrière moi, me caressa les cheveux.
- Redresse les épaules et sort un peu tes fesses… Je serai exigeante sur l’esthétique de ton corps. Je veux que tu sois beau, comme un soldat. Que tu sois fier d’être à moi et fier de m’obéir. Pour être un bon soumis et bien servir la femme que l’on aime, il faut être un soumis heureux. C’est primordial.
Je bombais le torse, me cambrais davantage, et mes yeux se fixèrent sur le sol.
Après quelques minutes, elle se plaça devant moi, puis s’agenouilla. Sa tête plongea ensuite vers mon sexe. Je ne comprenais pas. J’ai même cru d’abord qu’elle allait me prendre dans sa bouche, chose qu’elle n’avait jamais faite, me disant que c’était dégradant pour une femme. Mais non, elle posa une question à mon sexe.
- Tu es heureux ?
Sa main l’enserra alors. Elle testa sa rigidité puis commença à me masturber doucement.
- Oui, je vois bien que tu es heureux. Mais je vais arrêter. Je crois que tu jouirai tout de suite.
Ma Maîtresse se releva puis continua tranquillement de préparer le repas. Je restai un bon quart d’heure ainsi, nu et à genoux, attendant l’ordre suivant. Finalement, j’étais bien. Heureux. J’étais aux pieds de la femme que j’aime. J’avais confiance en elle à 200 %. J’étais détendu. Calme.
Il ne pouvait rien m'arriver d’autre que du plaisir. Pour moi, il n’était pas question d’exploitation, d’esclavage, de perversion, de sadisme ou encore de vengeance sur la race masculine. Non. C’était tout simplement de l’amour.
Tout donner à la femme que l’on aime. Se dévoiler complètement. L’aimer. La servir. Etre à sa disposition pour son plaisir. Et tant qu’il en serait ainsi, je serai à ses pieds. Mon sexe lui avait donné son accord pour être à elle.
Au bout d’un quart d’heure, qui me sembla néanmoins une éternité, elle reprit la parole. Enfin !
- Tu as bien retenu ta position ? A chaque fois que je te demanderai de venir aux pieds ou d’aller à ta place, tu devras te mettre ainsi, et le plus rapidement possible bien sûr, et sans poser de question, évidemment. C’est compris ?
- Oui chérie, répondis-je d’une petite voix hésitante.
- Bien, alors rhabilles-toi, on va passer à table.
Je me rhabillais dans le silence. Un silence bizarre. Mélange de fierté et de honte. Je ne savais pas quoi dire. J’étais comme un poisson entre deux eaux. J’étais à la fois content que cela se termine, et aussi très frustré qu’elle ne m'ait pas appris autre chose.
Tandis que je passais près d’elle pour sortir au plus vite, et aller noyer mon malaise dans un verre de whisky, elle posa sa main sur ma poitrine et m'arrêta. Nos regards sont tombés l’un dans l’autre. On s’est souris comme au premier jour.
Elle était magnifique ma Maîtresse. Puis sa main s’est posée sur mon sexe.
- Mais dis donc, tu es encore très excité…. On dirait que ça te plaît bien tout ça !
L’homme que j’étais a repris le dessus. J’ai posé ma main sur ses hanches. Elle a compris que j’avais à cet instant une envie folle lui faire l’amour. Elle m'a souris largement, puis à poser ses mains sur les miennes. Elle les retira alors de ses hanches.
- Non mais, en voilà des manières petit homme… Il va falloir que je t’apprenne à honorer une femme correctement. Ça ce sont des manières de macho… Mets toi nu et allonges-toi par terre.
Je n’ai pas hésité longtemps. J’étais comme captivé, happé par son sourire et sa volonté. Je me suis mis nu rapidement et me suis allongé sur le sol.
J’ai vu alors ma Maîtresse se déshabillé lentement. Elle me dévoilait son magnifique corps tandis que ses yeux restaient planté dans les miens. Elle avait pris le pouvoir.
Elle s’est ensuite allongée sur moi et nous nous sommes embrassé passionnément, des baisers doux et sauvage à la fois. Je n’osais rien entreprendre. A chaque fois que je risquais une caresse elle reprenait mes mains, me soufflant tendrement à l’oreille d’être patient.
Puis elle se redressa et se pénétra elle même. Elle mena alors la danse, contrôlant le rythme avec ses hanches, ses mains posées sur ma poitrine. Je lui caressais les jambes, remontait vers ses fesses, puis à chaque fois que je tentais de reprendre le contrôle en essayant d’accélérer le rythme, elle s’arrêtait net.
Pendant une seconde, son regard devenait sévère. Alors je la laissais reprendre le contrôle, redevenant passif, à sa disposition. Sans que je m’en rende compte vraiment, ma Maîtresse commençait mon éducation.
Puis d’un coup, c’est la crainte qui s’empara de moi. J’étais déjà conditionné, et j’avais peur tout d’un coup de jouir trop vite, avant que ma Maîtresse eu pris son plaisir. Tout d’un coup le sentiment de la décevoir était plus fort que tout.
J’essayais alors de me contrôler le plus possible. Puis quand les gémissements de ma Maîtresse s’accélérèrent je me détendis et suivis alors la force de sa jouissance inscrite sur les traits de son visage.
Ensuite je n’ai pas résisté très longtemps. Ça été rapide et fulgurant, et nous avons crié en même temps.
Nous avons repris nos souffles dans les bras l’un de l’autre. On s’est embrassé tendrement. Puis elle m'a glissé dans l’oreille d’une petite voix douce et amoureuse ;
- Tu verras mon amour, on va bien s’amuser tous les deux. Je vais bien m’occuper de toi, et tu verras, je te promets que bientôt tu ramperas à mes pieds, et que tu seras heureux de le faire.
- Je t’aime lui ai-je répondu, d’une petite voix, et je veux être à toi…
- Moi aussi je t’aime. Je ferai de toi un bon petit mâle soumis, pour notre plaisir à tous les deux.
Le reste de la journée se déroula comme à l’accoutumer. Je m'occupais du jardin, tandis que ma Maîtresse allait en ville traîner les magasins avec une amie. Vers 19h, sortant de la douche, je me dirigeais en sifflotant vers notre bar pour préparer l’apéro. Je demandais alors à ma Maîtresse ce qu’elle voulait boire.
- Un rhum citron, me criait-elle de la cuisine.
Quelques minutes plus tard, je me retournais avec un verre dans chaque main. Elle m'attendait, à quelques mètres de moi. Pendant plusieurs secondes, il y eut comme un blanc. Puis, mes yeux descendirent le long de son bras. Ses doigts claquèrent, et son index resta droit en direction du sol.
- Aux pieds ! me dit-elle avec toujours cet immense sourire qui me plaisait tant.
Il me fallut quelques instants pour réagir. Je reposais alors les verres sur le bar, puis me déshabillait en essayant d’aller au plus vite. Mon sexe avait une nouvelle fois gagné la course. Il était déjà dressé et bien dur comme un vrai totem. Une fois nu, je me dépêchais de me mettre à genoux respectant bien les consignes quant à l’esthétique de mon corps.
Elle me caressa les cheveux, puis passa derrière moi. Elle commença à boire tranquillement me caressant la nuque et les épaules. Comme la première fois, je restais dans ma position un bon quart d’heure, sans que rien d’autre ne me soit demander. Je trouvais ça bizarre qu’elle ne profite pas davantage de la situation. Bizarre et finalement très frustrant.
Au bout de ce quart d’heure, elle prit la parole ;
- Mon chéri, il faut que nous soyons pleinement d’accord sur un point…. Si l’on joue à ce jeu, il faut y jouer sérieusement, sinon, ce n’est pas la peine d’aller plus loin. D’accord ?
- Oui chérie, je suis d’accord…
- Alors il y a deux choses que tu dois apprendre pour commencer. D’abord, je veux t’enlever toutes formes de résistances quant à ma domination sur toi. Je veux que tu répondes instantanément à ma voix. Je veux que tu arrêtes immédiatement ce que tu es entrain de faire pour te mettre à ma disposition et me servir. Et je veux voir de l’amour, de la dévotion, de la servitude, de l’empressement pour te mettre à ma disposition. C’est clair ?
- Oui, chérie.
- Deuxièmement, tu pensais à quoi ?
- Et bien, je pensais à ce qui allait m'arriver ! A ce que tu pourrais me demander !
- Justement, je ne veux plus que tu penses à rien. Un bon soumis n’a pas à penser. La seule chose qu’un bon soumis doit faire, c’est de bien obéir à la femme qu’il a choisit de servir. Un mâle obéit et c’est tout. La deuxième chose que tu dois apprendre, c’est l’attente. L’ordre que tu as reçu, c’est de te mettre à ma disposition. Une fois que tu es en place, la seule chose que tu as à faire, c’est d’attendre que je me serve de toi. Et la seule chose que tu dois penser, c’est de tenir correctement ta position, et de guetter l’ordre suivant pour bien obéir quand il tombera. Et pour toi, peu importe la nature de cet ordre. Ce qui est important, c’est tout l’amour, et toute la dévotion que tu mettras pour me satisfaire. Compris?
- Oui Chérie.
- Tu es heureux ?
- Oui Chérie, très heureux.
- Ce n’est pas à toi que je parle, c’est à ton sexe.
- Pardon Chérie.
Ma Maîtresse s’approcha de moi, puis se plia en deux pour saisir mon sexe. Il était bien tendu, bien dur, prêt à exploser. Elle fit quelques va et vient.
- Oui, je vois que tu es très heureux. Je suis contente !
Puis, elle stoppa net. Elle me fit ensuite un bisou sur la joue.
- Allez, rhabilles-toi et viens boire un coup. J’ai soif.
Quelques minutes plus tard, j’étais assis à coté d’elle. Je me sentais bizarre. Comme la première fois entre deux eaux. J’étais heureux, honteux, frustré, excité. Tous les sentiments se mélangeaient.
Et puis, il y avait son sourire, et cette lueur dans ses yeux verts. Je levais mon verre, et on trinqua pendant que ma main se posa sur sa cuisse.
- Non mon chéri, on ne va pas faire l’amour à chaque fois que je te domine. Sinon, cela va être l’enfer. Et puis tu dois aussi apprendre la frustration sexuelle. C’est bon pour un mâle soumis.
En fait, ce petit jeu va durer pendant un mois complet. Ce sera le seul exercice qu’elle m'imposera pendant cette période. Répondre instantanément à l’ordre, me mettre à sa disposition et attendre. Et cela pouvait tomber à n’importe quelle moment de la journée.
Quand je sortais de ma douche, au milieu du dîner, dans le garage, au réveil, pendant un film, n’importe quand. Et l’ordre pouvait tomber plusieurs fois par jours. Jusqu’à dix fois pendant les week end.
Dans les premiers jours de ce petit jeu, alors que nous sortions dîner en ville avec des amis, je l’attendais pour partir. J’étais fin prêt, et comme souvent elle nous mettait en retard. Elle arriva enfin. Je m'impatientais.
- C’est bon, on peut y aller ? Fis-je quelque peu agacé.
- Non, me répondit-elle. J’ai oublié quelque chose. Ah oui…
Et elle claqua des doigts.
- Aux pieds ! Vite !
J’étais tellement surpris que je restais figé plusieurs secondes. Puis enfin, je commença à me déshabiller. Je râlais à moitié. Je ne savais pas trop où posé mes vêtements. Ma belle veste, ma belle chemise blanche. Je ne voulais pas la salir. En fait tout cela m'énervait. Ce n’était vraiment pas le moment pour jouer à ça ! Et enfin, je fus à ses pieds, le sexe bien raide comme d’habitude.
- Tu sais ce que j’en pense ? Me dit-elle d’une voix douce et lente, mais néanmoins direct.
- Oui chérie.
- Et je pense quoi ?
- Que c’est beaucoup trop long.
- Ça tu peux le dire. Et pourquoi tant de temps ?
- Je ne m'y attendais pas. On est déjà en retard, et je pensais…
- Voilà, tu penses encore !
- Pardon chérie.
- C’est si important qu’on soit en retard ?
- Non chérie.
- Et qu’est-ce qui est important alors ?
- Que je réponde instantanément à ton ordre.
- Bien. Et toi qu’en penses-tu ? dit-elle à mon sexe en le faisant balancer du bout de son index.
- Tu es heureux ! Enchaîna-t-elle, c’est bien… Allez rhabilles-toi, cette fois on va vraiment être en retard, et dépêche toi !
Ma Maîtresse me connaissait parfaitement. Elle avait compris mon fonctionnement, et savait exactement comment procédé pour tirer le maximum de mon potentiel. Elle ne voulait pas que je sois un soumis du dimanche, elle voulait que je devienne un parfait petit mâle soumis, prenant mon rôle à cœur.
Elle ne voulait pas hâter les choses. Et elle avait raison. Si le premier ou le deuxième jour, elle m'avait mis un collier, une laisse, qu’elle m'avait promené dans le jardin, voulut me sodomiser et me fouetter, je crois que je n’aurai pas compris et j’aurai vite abandonner ce genre de jeu.
Alors elle procédait avec méthode. Elle voulait d’abord me préparer psychologiquement à l’obéissance, me convertir tout doucement à mon rôle de soumis. Elle ne voulait pas m'imposer sa domination, elle voulait que moi je lui offre ma soumission. Ce n’était pas pareil. Elle m'attendait pour aller plus loin. Je me rappelais souvent cette petite phrase, « on mettra le temps qu’il faudra, mais je te promet que tu ramperas à mes pieds, et que tu seras heureux de le faire ». J’en avais maintenant la certitude.
Il y eut cependant quelques petites évolutions. D’abord dans sa façon de donner l’ordre. Au début j’avais le droit au claquement de doigts plus les deux mots magiques ; « aux pieds ». Au fil des semaines, les mots furent remplacés par un sifflement. Puis bientôt, il n’y eut plus que le claquement de doigts.
La durée de mon attente évolua également. Au début je restais un bon quart d’heure. Puis au fur et à mesure des semaines, les minutes s’additionnaient les unes aux autres. J'apprit alors à supporter la douleur. Celle de mes genoux.
A la fin de ce premier mois, je commençais à être fier de moi. Elle claquait des doigts, et je répondais. En quelques secondes, j’étais à ses pieds. Cela devenait mécanique. J’étais heureux. Je commençais à être à l’aise, à accepter totalement l’idée de lui obéir sans chercher à comprendre. Je voulais de plus en plus être un bon soumis. Son mâle soumis… pour son plaisir!
Je sentais l’envie qui montait de plus en plus, comme une logique implacable. J’étais impatient d’aller plus loin, de lui offrir davantage. Je voulais qu’elle s’amuse avec moi. Je commençais à trouver insupportable l’idée de mal faire. Oui, un jour prochain je ramperais à ses pieds et j’en serai très heureux.
Cependant ma frustration devenait de plus en plus énorme à force qu’il ne se passe rien d’autre que d’attendre. Mais je savais qu’un jour prochain, l’ordre viendrait. Alors j’attendais, heureux d’être là, à sa disposition, prêt à répondre dès qu’elle aura envie de se servir de moi.
Et je ne raterais pas le rendez vous. Elle pourra me demander de lécher ses doigts, ses chaussures, le pied de la table ou la moquette. Quelle importante. Je répondrais, trop heureux qu’elle ai besoin de moi pour son plaisir. Enfin, qu’elle m'utilise !
Ma Maîtresse me mettait en condition. Elle me dressait avec un seul exercice. Terriblement efficace.
Au début du deuxième mois, elle me fit passer un petit test, (que j’ignorais bien sûr), afin de vérifier si ce premier exercice était parfaitement acquis. Elle voulait être sûr que mon obéissance était devenu un vrai réflexe de bon soumis.
Pour ce faire, elle choisit un moment particulièrement dur pour ma condition d’homme. Un moment où je croyais sincèrement qu’elle n’oserait jamais me dominer.
C’était un vendredi soir. Nous avions tous le week end pour nous. Il était presque minuit, et nous faisions l’amour. Un bon missionnaire, bien tendre, les yeux dans les yeux, après une bonne heure de caresses et de léchages. Nous étions seuls au monde, comme tous les amoureux voyageant dans l’univers du plaisir charnel.
Mais pour me tester complètement, elle poussa le vice à d’abord se rabaisser elle-même et à flatter ma virilité afin de mieux surgir ensuite.
- Mon chéri, sois fort… Va plus vite, montre moi ta puissance d’homme. J’aime beaucoup tes grands coups de reins puissants… Ça me fait toujours jouir très fort d’être pénétré ainsi, avec force et virilité. Possède moi complètement…
On peut raconter tous ce qu’on veut, mais quand une femme vous parle ainsi dans ces moments là, votre degré d’excitation passe en surchauffe.
Je n’ai pas résisté très longtemps. Je me suis enfoncé dans le bonheur, et le spectacle qu’elle m'a offert avec son corps et ses cris n’a fait que de décupler encore plus mon sexe déjà fort tendu.
Je voyais sa tête tournée dans tous les sens, emportant ses cheveux dans une valse endiablée, le tout au rythme de ses cris. Elle était proche de la jouissance. Je regardais le plus beau spectacle du monde, attendant que la femme que j’aime prenne son plaisir avant de lâcher le mien.
Elle cria dans une respiration bruyante et rapide. Ça y est, ma femme était heureuse et j’allais pouvoir la rejoindre dans notre plaisir.
Mais voilà, ma Maîtresse attendit encore quelques instants, surveillant mon départ vers le septième ciel. Puis tout alla très vite. Je vis son bras se déplier et ses doigts claquèrent en direction de la descente de lit. Et là, miracle, je ne sais pas comment j’ai fais, mais j’ai répondu, instantanément.
Pratiquement au même moment où ses doigts claquèrent, j’ai quitté le ventre de ma femme sans chercher à comprendre, et j’ai filé, comme un bon chien à la place qui m'était réservé.
Pendant mon trajet, trois bons mètres, mon sexe avait lâché sa semence. On aurait pu me suivre à la trace. Je venais de jouir. Mais pas physiquement, car je n’avais presque rien senti. Non, je venais de jouir cérébralement, car j’avais parfaitement réagi, comme un bon soumis se doit de réagir.
J’étais fier de moi, j’étais le plus heureux des hommes. Alors je bombais le torse, je sortais bien mes fesses, je soignais ma position. Et mon sexe, dans des derniers soubresauts, dans un dernier souffle, finissait de lâcher ses dernières gouttes sur le tapis, comme si il pleurait.
Au bout de dix minutes d’attente ou rien ne se passa, je sentis Ma Maîtresse se redresser d’un coup sur le lit.
- Ben alors ?
Je m'inquiétais subitement. Pourtant, je n’avais pas bougé, et ma position me semblait correct.
Elle fit ramper son petit corps sur le lit, puis s’approcha de moi. Elle se trouva bientôt au bord, à une vingtaine de centimètre de mon sexe. Il était tout mou, recroquevillé. On aurait presque dit qu’il était vexé.
- Et bien? On n’est plus heureux? On va devoir arrêter de jouer?
Et là, deuxième miracle. Je n’ai jamais vu mon sexe se dresser aussi vite. En quelques secondes il a quitté sa mollesse pour reprendre une dureté incroyable. C’est comme si lui aussi répondait instantanément à son ordre.
- Ah bon, j’ai eu peur ! Merci petit sexe de me répondre avec autant d’empressement. Ça fait plaisir à voir…
Puis elle se mit à rire.
- Mon chéri, si tu veux un jour arrêter ce jeu, je crois qu’il faudra que tu négocie avec ton sexe! Et c’est pas gagné.. Regarde le comme il est obéissant et bien droit…. Je crois que je ne l’ai jamais vu aussi tendu ! ! Je me demande même si à force de bander aussi fort il n’a pas gagné en volume…
Puis elle se mit à la nettoyer avec un mouchoir.
- On ne peut pas la laisser aussi sale !
Ma Maîtresse ne se contenta pas de me nettoyer le gland tout gluant. Elle commençait à le caresser avec douceur, le serra ensuite en entama quelques des vas et vient. De l’autre main, elle me caressait les fesses, les cuisses, les testicules.
J’ai eu la naïveté de penser qu’elle voulait me récompenser pour avoir si bien obéis, pour avoir préférer l’obéissance à ma jouissance. Mais non, elle stoppa net, laissant mon sexe si dur à son triste sort. Après l’obéissance, j’apprenais l’humiliation. La pire pour un homme.
- Oh excuse-moi mon chéri. Je me suis laissée emporter… Tu es en petit mâle soumis, j’avais oublié… C’est dommage, je me régalais d’avance de te faire jouir, mais pas en soumis, tu n’as pas le droit,… Zut c’est trop bête..
Puis elle se laissa tomber à la renverse. Elle écarta ses cuisses, puis commença à jouer avec son sexe, à moins d’un mètre de ma pauvre carcasse au garde à vous. Elle écartait ses lèvres, se frottait avidement son clitoris, puis plongea ses doigts dans sa grotte toute humide. Elle ne m'épargna rien. Ni ses cris, ni ses mouvements de hanche. Le spectacle fut complet.
Grâce au radio réveil que je pouvais apercevoir de biais, j’ai pu constater que je suis resté une petite demi heure en position, avec mon humiliation et ma frustration.
- Je suis très contente de toi, me fit elle en s’asseyant au bord du lit et en me caressant le torse. Franchement, je ne croyais pas que tu aurais si bien répondu. Tu es génial ! !
- Merci chérie !
- Vraiment, tu m'as épatée ! Maintenant, j’ai la certitude que tu as toutes les capacités et la volonté à devenir un parfait soumis. Mon parfait petit mâle soumis… Un gentil toutou à sa Maîtresse, bien obéissant.
- Oui chérie, je veux être ton parfait soumis..
- Bien, je crois que tu as mérité une petite récompense.. Qu’en penses-tu ?
- Comme tu veux chérie !
- Tu veux jouir ?
- Oh oui chérie, répondis-je d’une petite voix plein de tendresse.
- Alors caresse-toi.. Je t’autorise…
- Merci chérie. Tu es trop gentille !
- C’est normal. Quand un petit chien obéis bien, on lui donne un gâteau. Quand un dauphin travaille bien, on lui donne du poisson. Tu as bien obéis, tu mérites toi aussi une récompense.
Et j’attrapais mon sexe, et m'astiquais. Je crois que je n’ai jamais été aussi heureux de pouvoir me masturber. Ma Maîtresse écarta les jambes, puis de deux doigts agiles, écarta tendrement ses lèvres. Mes yeux se fixaient sur ce trésor merveilleux que je connaissais tant.
Des centaines de fois, je l’avais léché, pénétré, doigté, embrassé, caressé. Mais aujourd’hui, c’était comme une récompense de simplement pouvoir le voir. Alors, je me masturbais comme un fou. Comme un adolescent qui ne résiste à aucune vision féminine.
- Alors ça vient ?
- Oui chérie..
- Dépêches-toi, sinon, je te fais arrêter ! !
- J’arrive chérie..
- Bien, alors viens te vider dans ma main…
Je fis marcher mes genoux pour m'approcher de cette main magnifique que me tendait ma Maîtresse. Et sans tarder, je lui déposai de longs jets de sperme bien chauds, dans un grand soupir de soulagement. Elle resta de marbre, me regardant jouir, tout seul, dans le creux de sa main.
- C’était bon ?
- Oh oui chérie…
- Alors maintenant nettoie ma main avec ta langue…
Et ma tête tomba sur sa main. Et pour la première fois de ma vie, je gouttais à ma propre semence. Ce n’est pas quelque chose qui m'excitait beaucoup. Pour tout dire, j’ai toujours été très étonné de voir des femmes se délecter de notre plaisir.
Mais je n’ai pas eu à réfléchir sur mon acte. Ma langue s’est posée immédiatement dans le creux de sa main, et j’ai léché. Ce n’était ni bon ni mauvais. J’obéissais. C’est tout.
Quelques minutes plus tard, quand sa main fut parfaitement nettoyée, je repris ma position. Ma Maîtresse me caressa la tête, comme un bon chien. Son sourire était immense. Je crois qu’elle était heureuse et fière de moi.
- C’est bien mon chéri, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.. Je vais pouvoir commencer à t’apprendre plein de choses amusantes. On va commencer ton dressage. Et à partir de maintenant, tu as gagné le droit et le privilège de m'appeler Maîtresse ! !
Et mon sexe se redressa.
J’avais gagné le droit de l’appeler Maîtresse. Je pris ça comme une victoire. J’étais fier de moi. C’était une récompense, et j’avais hâte de m'entendre enfin m'adresser à elle en utilisant ce mot magique et fascinant.
Mais je dû attendre le week-end suivant pour retrouver mon rôle de soumis qui commençait à me plaire vraiment. Cela me plaisait tellement que je guettais à chaque instant cette main malicieuse qui détenait maintenant le pouvoir de me mettre nu et à ses pieds, telle une télécommande qui dirige son avion.
Mais ma Maîtresse se rendit compte de cette attente qui envahissait mon esprit, et qui sans doute, par voie de conséquence influençait ma vie d’homme. Elle prit aussi conscience de la dangerosité de l’affaire. Elle devenait la maîtresse du jeu, avec toutes les responsabilités qui cela incombe.
Notamment, celle de bien à veiller à ce que ce jeu reste un jeu, et n’influence en rien la réalité. Quand on goûte à la soumission, et qu’on découvre que l’on aime ça, ce jeu peut devenir vite dangereux. Aussi, en ce début de semaine, elle recadra les choses. Nous faisions l’amour, et soudain, alors que j’étais sur elle, elle pris mon visage entre ses mains.
- Chéri, je fais l’amour avec l’homme de ma vie…. Alors oublie tout le reste… Je ne te dominerais plus pendant que nous faisons l’amour… La dernière fois, c’était juste pour te tester… Mais je ne veux pas tout mélanger, OK ? Quand j’aurais besoin de mon mâle soumis, je saurai l’appeler, et il aura intérêt à répondre ! Le reste du temps, je veux vivre avec l’homme que j’aime… C’est compris ?
Je répondis oui de la tête. Et tandis que je passais ses jambes sur mes épaules, je regardais avec passion cette femme merveilleuse. Une femme pleine de bon sens et d’intelligence, qui prenait son rôle de dominatrice à cœur, mais qui n’en oubliais pas moins sa vie de femme. Ma femme. Ma maîtresse.
Quelques minutes, plus tard, elle attira ma tête vers son cou. Je sentais qu’elle décollait, alors j’accélérais mes coups de reins. Elle me mordillait le lobe de l’oreille, puis entre deux gémissements me chuchota tendrement ;
- Samedi chéri, après midi,… j’aurai besoin de mon soumis, il faut que je commence à le dresser,… j’ai plein d’idée pour lui…
Ces mots ne firent qu’accentuer mon désir pour elle. J’avais de plus en plus envie de tout lui donner.
Jusqu’au Samedi il ne se passa rien de particulier, hormis deux mises à disposition, comme elle aimait nommer cette façon de me présenter à elle, nu et à genoux, la queue bien dressée de désir et les yeux bien rampant sur le sol pour bien lui signifier que je me soumettais humblement à ses envies.
La première fois fut un soir de la semaine. Nous finissions de dîner, et comme je n’avais plus faim, elle me fit mettre à ses pieds. Je restais planter devant elle un bon quart d’heure, tandis qu’elle finissais tranquillement son repas. Elle demanda rien de plus.
La deuxième fois fut le vendredi, en fin d’après midi, la veille de ma première séance de dressage. Elle devait partir faire des courses. Quelques achats nécessaires pour commencer à dresser mon petit soumis, m'avait-elle précisé. J’étais dans le garage. Je bricolais devant mon établi. Elle passa me faire un bisou avant de s’en aller. Mais juste avant de partir, elle se retourna ;
- Oh et puis zut, je peux bien souffler un peu… J’en ai marre de courir aujourd’hui.. J’ai bien le temps de m’offrir un petit spectacle pour me détendre ! !
Mon visage s’est tourné immédiatement vers elle. Qu’elle était belle ma Maîtresse, dans sa petite robe bleue, laissant apparaître le haut de sa poitrine et le bas de ses cuisses. Elle approcha ses lèvres des miennes, puis sortit sa petite langue coquine pour appeler la mienne à la rejoindre dans une petite danse humide et langoureuse.
Puis elle se décrocha, et me fixa de ses yeux verts et d’un large sourire.
- Allez, mets-toi au pieds et caresses-toi mon chéri… j’aime bien te regarder faire !
J’étais parfaitement rodé à ce genre d’exercice, et il ne me fallut que quelque secondes pour être en position. Et comme mon sexe était déjà bien dur, je n’avais plus, sitôt les genoux posés sur la froideur du béton, qu’à poser ma main dessus et commencer mon va et vient. Je me masturbais, les yeux baissés, regardant les jambes de ma Femme.
A cet instant, j’aurais bien aimé qu’un courant d’air traverse le garage, remonte d’un souffle cette petite robe pour m'offrir la vue du haut de ses cuisses. A moins, que dans un geste de bonté, elle remonte elle même sa robe, écarte délicatement le bout de tissu pour me dévoiler ce trésor que l’homme chasse en permanence, et qui devait déjà luire de plaisir…
Oh, ce petit sexe tendre et délicat, ce que j’avais envie de le voir ! Mon sexe était bien dur, et je m'activais en pensant à elle… Des milliers de fois je l’avais vu… mais une fois de plus.. Encore ! Oh oui… je suis prêt à le quémander s’il le faut…..
- Tu ne veux pas me montrer quelque chose, pour m'aider un peu ?
- Tais-toi ! me coupa-t-elle d’un ton sec. Un soumis n’a rien à demander, ni même à espérer…. Tu es un mâle soumis, tu obéis, c’est tout ! Et puis, il n’y a pas beaucoup de spectacle ! ! Je m'ennuie ! On dirait un vieux qui a la tremblote ! Fait quelque chose, sers-toi de ta main qui fait rien.. Masses-toi les bourses, caresses-toi les cuisses, le ventre, les seins, suces tes doigts… Ce que tu veux, mais fait quelque chose qui m'excite un peu ! !
Une chaleur m'envahit soudain le visage. C’était la première fois que ma Maîtresse élevait la voix, et surtout qu’elle marquait son mécontentement envers moi.
- Comme dans un peep show, ajouta-t-elle. Sauf que pour moi c’est gratuit, et que c’est autant de fois que je veux ! Ajouta-t-elle cette fois en riant.
Ma maîtresse s’accroupit à mes cotés, puis continua à m'encourager tandis que sa main descendit le long de mon dos. Quand elle arriva sur mes fesses, elle commença à me distribuer des petites claques.
- Allez, accélère ! Masturbe-toi plus fort. C’est trop beau à regarder un homme qui se caresse tout seul. Surtout sur la fin, quand vous vous astiquer comme des malades pour vous faire cracher ! ! Je te jure, vous êtes trop mignons..
Je ne sais pas si j’étais beau à voir, mais je n’allais pas tarder à jouir. Je me caressais de partout, je gémissais en exagérant même un peu, histoire de lui donner un beau spectacle. Une douleur s’emparait de mon poignet tellement mon mouvement était rapide. Mais je ne voulais surtout pas ralentir. Surtout pas la décevoir. Le spectacle devait être complet.
- Je viens chérie..
- Alors crache dans ta main.
Et sur ces mots, je lâchais tout. Je regardais ma main se remplir tandis que je laissais échapper quelques grognements de plaisir. Puis ma Maîtresse attrapa mon poignet, et porta ma main à ma bouche. Je léchai tout mon sperme, en prenant soin de bien passer ma langue entre mes doigts afin de ne rien laisser. Puis elle me regarda, les yeux brillants.
- C’est bien mon chéri, me dit-elle en me claquant les fesses comme l’on fait sur un chien pour le féliciter d’avoir bien travailler. Je suis contente, et je penserai tout le temps à toi pendant que je ferais mes petits achats pour demain….
Elle me fit un bisou, puis disparut. Et je suis resté là pendant quelques minutes, reprenant mon souffle, à poil au milieu de mon garage. Putain que c’était bon ! Vivement demain…
Le samedi arriva enfin. La matinée se déroula normalement. Ma Maîtresse était même plus douce et plus docile que d’habitude. Elle ne laissait rien paraître de la dominatrice qui allait émerger dans l’après-midi pour me mettre à ses pieds et commencer mon éducation.
Après le repas, je commençais même à être quelque peu nerveux. Je m'impatientais même, trop pressé de commencer. Puis arriva 14h, et rien. 14h30, 15h. Toujours rien. Je regardais la pendule. Et je ne pouvais même pas me fixer un compte à rebours. Vers 15h30, elle disparut dans la salle de bains. Bien sûr je n’osais rien demander. Je grillais cigarette sur cigarette, attendant l’heure fatidique, tournant comme un lion en cage qui n’attend plus que de pénétrer dans l’arène pour s’exprimer. 16h10 mon portable sonna. C’était elle. Enfin ! Un texto.
- Mets-toi à disposition devant le canapé.
Je ne fus pas long à me mettre en position. Je ne savais pas à quel moment elle sortirait de la salle de bains, mais je ne voulais pas risquer de ne pas être à ma place.
20 minutes plus tard, je l’entendis sortir. Elle passa plusieurs fois près de moi, m'ignorant comme si j’étais un simple meuble. Ce n’est qu’au bout de vingt minutes qu’elle se présenta devant moi. Elle était superbe. Elle avait mis une petite jupe qui lui moulait ses petites fesses rebondis, si désirables.
Je ne voyais pas bien le haut, ma vue restant accrochée sur ses chaussures, mais il me semblait qu’elle avait mis son petit bustier blanc que j’aimais tant, qui lui découvrait les épaules et le dos.
- Regarde moi toute entière..
Je levais les yeux. J’avais raison. Mais elle n’avait pas mis de soutien gorge, et je pouvais voir ses petits seins en formes de poires, et ses tétons qu’elle avait du faire durcir pour mieux m'exciter. Elle était toute maquillée, et parfumée de la tête aux pieds de son parfum qui enivrait mes sens.
- Comment tu me trouves ?
- Tu es très belle ma chérie !
- Comment ? Tu m'as appelé comment ? J’ai pas bien entendue..
- Tu es très belle maîtresse, m'empressais-je de corriger en allongeant le dernier mot.
- Bien, et tâches de ne plus oublier…. Quand tu es à genoux, à poil avec le sexe en l’air, c’est à ta Maîtresse que tu t’adresses… plus à ta femme, plus à ta chérie. Tu n’es qu’un p’tit mâle soumis qui est là pour me servir et pour me vénérer ! ! Rien d’autres… C’est compris ?
- Oui maîtresse !
- Bien, d’ailleurs il va falloir que je te trouve un autre petit nom.. qui corresponde à ton statut.. Je vais t’appeler p’tit soumis, ou p’tit chien… c’est mieux que Médor ! Au moins, ça te rappelle ta condition !
- Oui maîtresse… m'entendis-je répondre sans trop savoir pourquoi.
- bon, tu as envie d’être un gentil petit chien ! ! Ça t’excite ?
- Oui maîtresse, je veux être un petit chien !
- Bien, va pour p’tit chien… Et tu sais comment ça se déplace un petit chien!
- Oui maîtresse, à quatre pattes !
- Bon, et bien tu vas me montrer ! J’ai hâte de voir ça !
J’ai alors commencé à arpenter l’appartement dans mon nouveau mode de déplacement. Ma Maîtresse s’était confortablement installer dans le canapé. Elle me regardait sans rien dire. Puis au bout de deux tours, elle commença à corriger ma démarche.
- Mets y un peu de grâce.. Là on dirait un sac de pomme de terre qui
A chaque tour, j’avais le droit à une petite claque sur les fesses et à un se promène.. Mets bien tes fesses en l’air, cambre-toi, et dandines-toi un peu.. Soit beau ! commentaire.
- Tu peux faire mieux… redresse la tête, soit fier, et penses à tes hanches qui doivent bien rouler, mais pas trop..
Après une dizaine de tour elle me rappela à ses pieds.
- C’est bien le chien. Pour un début, ça va… Allez je vais te faire ton premier cadeau.
Je vis la main de ma Maîtresse disparaître sous un des cousins.
- Ferme les yeux, p’tit chien !
J’obéissais instantanément. Puis quelques secondes plus tard, elle me demanda de les ouvrir. Et je découvris à une vingtaine de centimètres de mon visage, posé à plat sur ses deux mains, un collier.
- Ça tombe bien que tu sois un petit chien, car je l’ai acheté hier dans une animalerie.
Sans que rien me soit demandé, j’approchais alors mon visage, la langue en avant avec le désir urgent d’embrasser et de lécher cet objet symbolique de ma soumission. Ma Maîtresse me laissa faire, jubilant du spectacle que je lui offrais. Au bout de quelques minutes, elle ouvrit le collier. Et là non plus, sans que rien me soit demander, je précipitais mon cou à l’intérieur. Nos regards se sont accrochés. Nos deux sourires étaient rayonnants.
- A quatre patte le chien !
Je m'exécutais aussitôt, tandis que Maîtresse sortait une laisse et l’accrocha à mon collier. Puis, elle flatta ma croupe d’une série de petites claques.
- Allez, je vais te promener un peu..
Et je suis reparti en promenade. Mais cette fois à travers toutes les pièces de la maison et en marchant fièrement aux pieds de ma Maîtresse. Elle n’avait de cesse de corriger ma démarche, insistant bien sur mes hanches qui devaient bien rouler, mais sans exagération.
Puis arrivé dans le garage, elle m’apprit la position assis, couché, en position du fœtus, la tête posée sur le sol à cinq centimètres de ses chaussures. J'apprit également à faire le beau.
Bref, toute la panoplie d’un parfait petit chien. Le plus dur pour moi fut la montée et la descente de l’escalier, et ensuite, le clou du spectacle, de boire de l’eau dans mon bol. Essayez vous, vous verrez, laper n’est pas vraiment un réflexe d’homme.
- Je sais que ce n’est pas facile me disait-elle. C’est une première pour toi ! Mais fait un effort pour vider un peu ton bol… On n’a jamais vu un petit chien boire de l’eau dans un verre… Alors il faut que tu apprennes !
Quand je me redressai pour me remettre aux pieds, j’eus alors le grand plaisir de poser mes yeux sur le plus beau tableau qui puisse être. Ma maîtresse, se caressait. Tandis qu’une main tenait sa jupe relevée, l’autre se promenait sur son sexe qui ruisselait le long de ses jambes. Deux doigts frottaient ses petites lèvres, les écartaient puis faisaient jaillir son clitoris. Des gémissements commençaient à se faire entendre.
- Tu m'excites trop à te voir si beau et si soumis…. Tu me donnes trop envie de jouir, passes-moi une banane, que je me donne du plaisir avec un fruit !
Je saisis alors la plus belle banane dans la coupe à fruit, et la tendit à ma maîtresse.
- Mieux que ça ! me dit-elle assez sèchement. Je ne suis pas ta copine… Je suis ta Maîtresse…. Là, on dirait un mécano qui tends une clé de 12 à son ouvrier. Alors vénères moi un peu mieux… mets y un peu plus de passion, de dévotion… La banane, tu me la présentes posée sur tes deux mains, l’une contre l’autre et bien à plat, et à la hauteur de tes yeux… comme une offrande envers ta Maîtresse ! Faut tout t’apprendre ! ! !
Je m'exécutais aussitôt, les yeux essayant de passer néanmoins entre mes mains pour voir cette petite chatte bien ouverte entrain d’être caressée par les doigts agiles de ma Maîtresse.
- Allez pénètre moi, t’en meurs d’envie p’tit chien.
Je pris alors la banane, et la fit pénétrer dans son vagin tout humide. Je réglais la cadence en fonction des gémissements profonds qui arrivaient à mes oreilles, tandis que son index tournait comme une toupie sur son clitoris.
Je regardais ce fruit disparaître, tandis que mon sexe criait à l’injustice, jalousait ce vulgaire fruit qui prenait sa place. Ma maîtresse s’agitait de plus en plus. Ses halètements redoublaient. Et bientôt elle se mit à crier tandis qu’elle enserra mon poignet pour accélérer les va-et-vient de fruit. Elle cria…
Elle mit cinq bonnes minutes à reprendre ses esprits tandis qu’elle me caressait tendrement la tête. Puis, elle attrapa ma laisse et me fixa la poignée entre les dents.
- File au le salon.. Soit un bon chien et va reprendre ta place.
J’étais un bon chien et j’aimais ça. Alors je tournai sur moi-même, et à quatre pattes, je pris soin de bien me cambrer et de bien rouler mes hanches, et je regagnais ma place dans le salon.
Dix minutes plus tard elle arriva, puis s’effondra dans le canapé. Elle me regardait, elle souriait.
- Allez, c’est ton tour de te masturber. Mais tu vas te mettre de manière à te faire jouir dans ta bouche, sur ton joli visage de petit mâle bien soumis. Tu imagines la position. Tu te retournes, tu montes tes fesses bien en l’air en appuyant ton dos contre le canapé, et tu ramènes tes jambes vers le bas en essayant d’amener ton sexe le plus près possible de ton visage….
La position était inconfortable. Je n’étais pas des plus souple, mais j’arriva néanmoins à approcher mon sexe à une vingtaine de centimètres de ma bouche. Je commençais à me masturber, tandis que ma Maîtresse enserrait mes testicules entre ses doigts.
Elle avait passé ses jambes de chaque coté de mon corps et de son autre main elle me caressait les fesses. Puis son index commença à se promener à l’intérieur de ma raie. Et bientôt, elle se mit à me masser l’anus. Puis elle fit couler sa salive qu’elle s’empressa d’étaler avec son index.
- Dis donc, on n’en a jamais parlé, mais à part un thermomètre, il y a eu quoi d’autre dans ce petit trou ?
- Rien Maîtresse, répondis-je d’une petite voix.
Sitôt ma réponse, un gros cri sortit de ma bouche. Ma Maîtresse venait de déposer sur ma fesse droite une grosse claque qui devait avoir marquer ma peau blanche de tout ses doigts.
- T’avise pas de mentir à ta Maîtresse, c’est indigne d’un soumis et c’est me manquer de respect … Alors, un doigt, deux, trois, un goulot de bouteille, un gode, un sexe ?
- Deux doigts Maîtresse.
- Pas plus ?
- Non maîtresse
- Un petit soumis comme toi ! ! Tu n’as pas essayé de te mettre autre chose ?
- Non maîtresse, je te jure..
- Bien, alors il va falloir qu’on y mette un peu plus gros dans ce petit trou !
Et comme je ne répondais pas, ma Maîtresse enchaîna ;
- C’est pas une proposition ni une question p’tit chien, c’est une affirmation. Toutes les maîtresses sodomisent leurs soumis… Et tu ne feras pas exception… Et puis j’ai envie moi aussi.. Il n’y a pas que les hommes qui rêvent de sodomiser leurs femmes. Nous aussi on aimerait bien… Et maintenant que tu es un petit mâle soumis, je ne vais pas me gêner !
Je pouvais voir entre mes jambes le visage radieux de ma Maîtresse s’amuser avec son nouveau pouvoir. Elle prenait un malin plaisir à m'expliquer sa domination, tandis que son doigt s’immisçait de plus en plus dans mon anus.
- Ben quoi ? Continua-t-elle en souriant ! Ne me dis pas que tu n’as jamais fait ça à une Femme… Tu as bien dû t’amuser avant, alors maintenant c’est tout tour ! Parité oblige mon gaillard…..
Mon regard devait être curieux, mélange d’inquiétude, de résignation devant ces arguments, ainsi que de plaisir qui montait en moi.
- J’arrive Maîtresse ! Je vais bientôt jouir…
- Pas maintenant p’tit chien. Tu jouiras sur mon ordre. Pour l’instant, je joue avec tes fesses ! ! ! Laisses-moi m'amuser un peu…..
Et sur ces mots, elle enfonça son index qui me pénétra sans aucune difficulté. Elle me sodomisa avec son doigt et ça la faisait rire. Elle faisait des va-et-vient pendant que je me masturbais. Elle alla de plus en plus vite.
- Et ben, ça rentre plutôt bien ! Ton petit anus a l’air d’aimer ça… Il va falloir qu’on envisage de lui donner beaucoup plus gros !
Tous ces mots m'excitaient davantage, et je sentais mon plaisir qui montait de plus en plus. Alors, pour ne pas jouir sans son ordre, je ralentissais ma cadence pour essayer de me calmer un peu. Mais ma Maîtresse s’en aperçut. Et une autre claque s’abattit sur mon autre fesse. Je criai, plus de surprise que de douleur.
- Qui t’as dis de ralentir ? Reprends le même rythme et attends mon ordre pour jouir… Je veux que tu jouisses quand je le décide… C’est compris p’tit chien ?
- Oui Maîtresse…
Mais malgré ma volonté à bien lui obéir, je ne résistai pas. Et mon sexe, excité depuis plusieurs heures explosa. J’ouvris la bouche pour recueillir un maximum de mon sperme. Mais je ne pus empêcher la plus grosse quantité d’échouer sur mon visage. Entre mes jambes, je pus voir le visage mécontent de ma Maîtresse. Elle ne tarda pas à réagir.
- Sale petit chien, tu désobéis….
- Pardon Maîtresse, j’ai pas fais exprès.. C’était trop dur ! Implorais-je d’une voix honteuse.
- Aux pieds, et vite sale chien ! me cria-t-elle dessus.
A peine avais-je repris ma position qu’elle m'attrapa par les cheveux et me força à me coucher en travers ses jambes.
- Tu vas voir sale chien…. Tu vas regretter de m'avoir désobéis. Tu as gâché mon plaisir !
Et avant que je puisse dire quoi que ce soit, elle commença à me claquer les fesses. Elle frappait avec une régularité redoutable. Chaque fesse avait le droit à son cota. Au début, c’était plutôt agréable. Chaque claque me faisait poussé un petit gémissement de contentement. Mais bien vite, la douleur a pris la place du plaisir. Je recevais une véritable correction. J’avais les fesses en feu, et bientôt des larmes firent leurs apparitions. Je n’osais pas protester. Alors je criais et je pleurais. Mais rien n’empêchait ma Maîtresse de continuer à me rougir les fesses. Et puis, soudain ;
- Va au coin et file sale chien. Un quart d’heure pour méditer sur ta faute. Si je vois un seul muscle bouger ou que j’entends un seul mot, je rajoute des tranches de cinq minutes…
Je ne demandais pas mon reste. Je filais au premier coin à ma disposition.
- J’n’ai pas entendu ? cria-t-elle…
- Oui Maîtresse, répondis-je d’une petite voix tremblante. Je ne bougerais pas Maîtresse.
Un quart d’heure plus tard elle me rappela à ses pieds. Je parcouru la distance à quatre patte, la tête basse, la queue entre les jambes.
- Je te pardonnes mon p’tit chien… me fit elle en me caressant les cheveux.
- Merci maîtresse, et pardon pour ne pas t’avoir obéis.. J’ai honte Maîtresse !
- Ce n’est rien… de toute façon tu avais perdu d’avance… Je ne t’aurais jamais donné l’ordre de jouir ! !
Je levais les yeux vers ma Maîtresse. Ses pupilles brillaient et son sourire était immense. Puis elle se mit à prendre ma tête entre ses bras. Elle me déposa des milliers de bisous, me caressa de partout, puis attrapa mon sexe de sa main libre. Elle commença alors à me caresser doucement.
- Tu es un bon petit soumis mon chéri… Mais tu obéis presque trop bien.. Alors il me fallait bien une excuse pour te punir et de donner ta première fessée…
Je la regardais amoureusement.
- J’en avait envie… me fit elle en souriant. Et puis, c’est toi qui me l’as demandé le premier jour !
- Je t’aime Maîtresse.
- Moi aussi je t’aime mon petit soumis adoré…
Suite à cette première séance, nous décidâmes d’un commun accord, qu’il me fallait une séance de dressage par semaine. Du moins tant que je ne serais pas un parfait petit mâle soumis. « Tu as tellement de choses à apprendre pour bien jouer à ce jeu, me disait-elle avec un long sourire ».
Nous avions choisis le jeudi soir. Ainsi, comme certains vont au sport, à la gym ou à la piscine, moi, j’allais une fois par semaine au dressage. Et je dois avouer que j’attendais impatiemment ce jour, comme d’autres attendent le week-end. Bien sûr, hormis cette séance de travail, ma femme me dominait à sa convenance. Principalement le samedi, quelque fois le dimanche, et dès fois pas du tout. Autant elle voulait que je sois un bon petit chien, un bon mâle soumis quand elle avait envie de jouer avec moi, autant elle voulait que je reste son homme au quotidien.
Le jeudi suivant, à 21 heures précises, j’attendais donc ma Maîtresse dans le salon, nu et à genoux, le regard posé sur le sol. Elle arriva 5 minutes plus tard. Elle s’habillait le plus sexy possible afin de mettre mes sens en éveil.
A cette deuxième séance, elle m'apprit à la vénérer davantage que je ne le faisais.
- Bien, aujourd’hui tu vas apprendre à me rendre tes hommages, et à dire bonjour à ta maîtresse avec un maximum de révérence. Je te préviens, je veux voir en ce geste beaucoup d’amour et beaucoup de dévotion. Si tel n’est pas le cas, si je ne voie plus tes yeux qui brillent et ton sexe bien dur de désir, on arrête tout. C’est compris ?
- Oui Maîtresse.
- Dans ta voix aussi je veux entendre ta soumission.
- Oui Maîtresse, répétais-je d’une voix plus lente et plus soumise, portée par un souffle profond.
Ma Maîtresse me tendit alors le dos de sa main, telle une reine devant ses sujets. Je me pencha légèrement puis déposa sur cette main des dizaines de petits bisous amoureux. Quand elle jugea que cela suffisait, elle fit pivoter son poignet, puis me proposa le creux de sa main.
- Maintenant avec ta langue, tu lèches bien, tu me manges dans le creux de la main.
Comme elle gardait sa main légèrement fermée, je tirais ma langue au maximum. Je fermais les yeux et je léchais avec amour. Pour terminer, elle ferma sa main sur mon museau et me caressa la joue.
- Bien, et maintenant, tu sais quelle autre partie du corps de la Maîtresse un bon soumis doit embrasser ?
- Oui Maîtresse, tes pieds !
- Alors vas-y.. Je te regarde.
Et ma tête plongea droit vers le sol. Ma bouche se posa sur ses pieds nus et je commençai à les embrasser avec passion. Pour tout homme fantasmant de soumission, embrasser les pieds d’une femme représente un moment important et très excitant. Alors je m'appliquais, et je me délectais de poser ma langue sur ces pieds. Pourtant, la voix de ma Maîtresse claqua comme un coup de fouet.
- A quatre pattes p’tit chien, et vite !
Sans réfléchir davantage je prenais la position demander. Puis elle s’approcha de moi, posa une main dans le creux de mon dos pour m'obliger à bien me cambrer, et d’un coup l’autre main se mit à s’abattre sur mes fesses. Elle me claquait avec vigueur, sans faiblir, me faisant à chaque fois pousser une cri.
Cela a été très vite. Une dizaine de claques correctement administrées. Une chaleur s’empara immédiatement de mes fesses qui devaient être marquées de dizaine d’empreintes de doigts.
- Remets-toi vite aux pieds ! me fit-elle toujours aussi sèchement.
Je m'exécutais, l’air penaud, honteux, comme un enfant puni qui ne comprend pas la nature de sa faute.
- Tu te fous de moi le chien ?
- Non maîtresse, répondis-je d’une petite voix faible et plaintive.
- Tu appelles ça de la révérence ? De l’amour ?
- Pardon maîtresse…
C’est tout ce que je trouvais à dire.
- Pour un mec qui s’est masturbé des centaines de fois en rêvant d’être aux pieds d’une Maîtresse ! ! ! Tu ne devais pas avoir beaucoup d’imagination ! ! ! Bon, alors je vais t’apprendre p’tit chien !
Un silence plana quelques instants dans la pièce. Elle devait jubiler de me prendre en faute, de me fesser et de me dresser correctement…. Elle reprit sa petite voix toute douce et son sourire.
- Bon, remarque, je me suis laissée emporter. Il est vrai que c’est la première fois que tu embrasses mes pieds.. Mais quand même, l’esthétique de ton corps, tu y penses ou quoi ? On aurait dis un cadavre effondré devant moi…
Un nouveau blanc, un peu plus court… Puis elle me caressa les cheveux en me regardant me mordiller les lèvres.
- Allez c’est pas grave. Je t’explique. D’abord tu fais attention à bien te prosterner, en mettant tes fesses bien en l’air, bien offert, bien cambrer. Il n’y a pas que le fait que tu embrasses mes pieds qui est important, tu dois aussi être beau à regarder.. Je dois être fière d’avoir un bel homme qui m'embrasse les pieds. OK ?
- Oui maîtresse…
- Je vais te donner un truc… Tu dois toujours penser qu’il peut y avoir un homme qui passe derrière toi… Et qu’est-ce qu’il doit voir cet homme ? Et bien il doit voir un beau cul, bien offert, bien ouvert.. Il doit avoir envie de sortir son sexe tout de suite, de t’attraper les hanches et de te prendre. Il ne doit pas pouvoir résister… OK ?
- Oui Maîtresse… je ferais attention…
- Bon, ensuite je ne t’ai pas demandé de me titiller les pieds avec le bout de ta langue… Je veux que tu les embrasses bien, que tu lèches à grand coup de langue avec ta tête qui doit suivre le mouvement. Que tu sois beau à voir.. Et puis après tu passes ta main sous mon pied pour le prendre délicatement, et tu suces chaque orteil avec amour ! Compris p’tit chien !
- Oui Maîtresse, j’ai bien compris… Je ne te décevrais plus…
- Bon, alors recommence !
Et ma tête retomba de nouveau sur le sol. Et cette fois je m'appliquais, respectant bien les consignes. Je dévorais les pieds de ma Femme, prenant autant de plaisir que lorsque je m'occupais de ses seins, de son sexe, de son corps tout entier. Ma langue toute entière léchait toute la surface de ses pieds. Puis, délicatement, je la passais entre chaque orteil, prenant un soin tout particulier à aspirer chaque petit doigt dans ma bouche. Je n’oubliais pas cette fois de bien relever mes fesses. Et rien que de penser qu’un homme pouvait passer, et que moi je faisais tout pour lui donner envie de me prendre, cela m'excitait, et je sentais mon sexe durcir de plus en plus.
- C’est bien p’tit chien. Je vois que tu fais des efforts. C’est quand même plus beau à regarder. Maintenant ça suffit ! Reprends ta place, aux pieds…
Et je me redressai… Cette fois fier de moi.
- Bon, autre chose… On va changer… Maintenant tu vas poser ton regard sur mes hanches. Je veux que tes yeux se fixent sur mon sexe quand je serais de face, sur mes fesses quand je serais de dos. Quand je disparais, tu remets ton regard au sol, et quand je reviens dans ton champ de vision, ton regard se fixe automatiquement sur mes hanches. Tu ne dois jamais les quitter du regard. C’est à ça que tu obéis… Comme ça, tu n’oublieras jamais que tu es un homme soumis au sexe faible… Compris p’tit chien ?
- Oui Maîtresse….
- Oui Maîtresse quoi ?
- Oui Maîtresse, je suis un homme soumis au sexe faible…
- Tu es un homme ? Toi ?
- Non Maîtresse.
- Alors tu es quoi ?
- Je suis un petit chien soumis à sa Femme. .
- Bon, alors puisque tu es une petit chien, on va aller se promener !
Ma Maîtresse me remit mon collier, attacha ma laisse, puis nous partîmes à travers la maison. Je refaisais le même tour que la dernière fois avec les mêmes exercices. Puis, alors que nous passions devant la porte d’entrée, elle m'ordonna de m'asseoir en tirant légèrement sur ma laisse.
- J’irai bien te promener un peu dans le jardin…. Tu crois que les vieux d’à coté sont couchés? Onze heures, ils doivent dormir à cette heure…
Nous avions un assez grand jardin qui faisait tout le tour de la maison. Et les seuls voisins qui avaient vu chez nous étaient un couple de retraité. Je sentais les battements de mon cœur qui se mirent à battre. S’ils me voyaient ainsi, mes charmants voisins avec qui nous avions d’excellents rapports, je n’aurais pas fini d’avoir honte.
- Allez, me fit-elle avec un grand sourire, il faut braver les dangers… Et puis s’ils nous voient, on leur expliquera que ce n’est qu’un jeu… et que tu aimes bien être à mes pieds à jouer les petits toutous…
Nous sortîmes dans le jardin. Inutile de vous dire que je rasais les murs. Je n’étais plus du tout fier de moi. Mon cœur s’emballait, et mes oreilles et ma vue étaient en alerte maximum pour détecter le moindre danger. J’étais en territoire inconnu, plus de tout à l’abri des regards, bien au chaud à l’intérieur des murs de ma maison.
J’accélérais pour aller plus vite, et ma Maîtresse n’avait de cesse de me faire ralentir en tirant sur ma laisse. Je voulais tellement aller vite, qu’au bout de cinq minutes une douleur vive me traversa les fesses. Ma maîtresse venait de frapper avec le bout de ma laisse.
- Ça suffit maintenant ! il n’y a personne… Et si tu continues on va faire un tour dans la rue !
Cette menace me calma net. Il est vrai que nous arrivions dans le fond du jardin, et à moins d’un cambrioleur, il n’y avait aucune raison de rencontrer quelqu’un. Je commençais donc à me calmer. Puis je ne pus m'empêcher de penser à ma charmante voisine, Hélène, si elle pouvait voir un tel spectacle. Elle verrait une jolie femme, entrain de promener son homme dans le jardin, à nu et à quatre pattes au bout d’une laisse. La pauvre, elle serait scandalisée… Les jeunes sont détraqués, penserait-elle. Mais cette pensée me fit sourire..
Quand on arriva devant le cerisier, Maîtresse me fit asseoir dans l’herbe fraîche, puis attacha ma laisse au tronc. Elle me regarda ensuite, et pointa son index dans ma direction.
- Je te laisse là cinq minutes.. Si tu bouges, je divorce ! C’est compris p’tit chien!
- Oui Maîtresse, répondis-je l’air un peu surpris.
Et je la regardai s’en aller. Je restai seul attaché à mon arbre, à l’abri de tout regard. Un petit vent frais venait me caresser le corps ainsi que le bas ventre. J’étais heureux, et tandis que je surveillais l’arrivée de ma Maîtresse, j’attrapais mon sexe et me masturbais. J’en pouvais plus.
Je ne sais pas combien de temps je suis resté là. Peut-être une bonne demi-heure. Je commençais à m'impatienter, quand j’entendis du bruit venir en ma direction. Qui donc que ma maîtresse pouvait venir?
Pourtant, mon cœur se remis à battre et je surveillais assidûment le moindre mouvement, comme le chien assis à un poteau qui n’a de cesse de chercher son maître du regard. C’était bien elle… et quand elle arriva je lui souris. Il ne me manquait plus qu’une jolie queue en panache pour la remuer et ressembler à un véritable chien qui fait la fête à sa Maîtresse. Je devais être beau à voir.
- Ben oui, c’est moi ! Qui veux-tu que ce soit andouille… Mon petit chien a eu peur ? Comme c’est mignon !
Puis elle me tendit un paquet.
- Tiens.. Un cadeau pour toi..
J’attrapais le paquet, remerciait humblement ma Maîtresse, puis commençait à l’ouvrir. C’était une boîte rectangulaire, et le dessus était en plastique transparent. Je levais alors mes yeux sur ma Maîtresse et je tomba sur un énorme sourire.
- Et bien, tu joues les timides ! Tu ne l’ouvres pas…
- Si Maîtresse, dis-je alors tout bas d’une petite voix intimidée.
Je retirai l’emballage et je pris entre mes mains un gode d’une bonne taille. C’était la première fois que j’avais ce genre d’engin entre les mains. J’étais impressionné.
Mon regard n’arrivait pas à se détacher de ce sexe en plastique, de couleur chair, avec un beau gland bien découpé. Des frissons me parcoururent dans tous le corps quand je pensai soudain à son utilité. Bien sûr, dans tous mes fantasmes de soumis, j’avais imaginé être sodomisé. Et cela m'excitait. Mais là, ce n’était plus l’imaginaire.
Ce gode était bien réel. Et il n’y avait plus de doute à avoir. Dans deux minutes, deux heures, ou dans deux jours, j’aurais ce bel engin bien planté entre mes fesses. Ma Maîtresse ne plaisantait pas. Elle avait bien l’intention de me sodomiser. Et elle y prendrait du plaisir.
- Et bien ! me fit-elle en souriant.. Tu n’es pas content ? C’est pour toi…
Je levais la tête et lui souris de nouveau. Et tandis que nos regards se plantaient l’un dans l’autre, je portais le gode à ma bouche. Je commençai à déposer sur le gland des petits bisous. Puis bien vite, je sortis ma langue. Je l’enroulais autour du gland, et je pris soudain un plaisir à lécher le gode.
Mon sexe en demi érection se redressa d’un coup. Ma Maîtresse s’en aperçut. Et je ne sais pas pourquoi, l’instinct féminin sans doute, elle s’approcha puis posa sa main dessus. Mon gland était encore tout gluant. Elle se frotta ensuite le pouce contre son index, puis elle posa son doigt sur sa langue.
- Sale petit chien, tu t’es masturber pendant mon absence, me dit-elle d’une voix neutre.
Je baissais les yeux. Je ne répondais pas, ma bouche étant occupé par le gode..
- C’est ça p’tit chien, suce bien ta queue… Tu ne perds rien pour attendre… Tu seras corrigé en rentrant ! En attendant, mets-toi à quatre pattes et présente moi tes fesses…
Je retira le gode de ma bouche, et me mis en position. Ma Maîtresse s’assit alors sur mes hanches juste au dessus de mes fesses. Au bout de quelques instants, je sentis quelque chose de froid sur mon anus. Son index commença à me masser, puis très vite elle me sodomisa avec son doigt. Elle entama des va-et-vient.
- Tu mériterais que je te mette tout de suite le gros.. Mais je suis trop bonne. Je t’ai acheté deux plug de taille intermédiaire pour habituer tes petites fesses.
Malgré tout, c’était une bonne nouvelle. Cela me confirma ce que je savais déjà. Ma femme et Maîtresse ne voulait pas me faire de mal. Elle voulait me sodomiser, certes, mais je suppose que beaucoup de femme aimerait secrètement le faire à leurs mecs. Et elles n’osent pas leurs demander, alors que les hommes eux, ne se gênent pas.
Et tandis que j’étais dans mes réflexions, je sentis quelque chose me pénétrer. Ce premier plug de petit diamètre prenait sa place en douceur. Je le sentais bien en moi.
C’était bizarre. Une sensation plutôt agréable, même si une petite gène se faisait sentir. Elle fit quelques aller retour, puis me ficha l’engin entièrement dans l’anus, bien à sa place. Elle ponctua cet exercice par une bonne claque sur la fesse.
- Allez ! c’est bien… Tu vas le garder un moment pour t’habituer.
Et tandis que je me remettais aux pieds, elle enchaîna ;
- T’inquiètes pas mon p’tit chien. Au début tu ne vas penser qu’a ça ! Tu n’arrêteras pas de le sentir… … Mais dans quelque temps, tu ne feras même plus attention à ce que je te mettrais dans les fesses…
Elle reprit la laisse, alluma une cigarette, puis elle continua de me promener. Cela me fit bizarre de marcher à quatre patte avec cet engin planté dans le derrière. Mais ce n’était pas douloureux, tout juste une petite gène pour bien rouler des hanches. Ma Maîtresse avait bien lubrifié.
- Il paraît que les hommes se sentent encore plus soumis lorsqu’ils ont une belle bite en plastique dans les fesses.. Qu’en penses-tu p’tit chien ?
- Je crois que oui Maîtresse, répondis-je d’une voix effectivement plus soumise.
De retour sur le devant de la maison, mes sens se remirent en alerte. J’avais la tête haute, mes yeux tels des radars, scrutant attentivement les alentours, et surtout en direction des fenêtres de mes voisins. Mais une pensée me traversa soudain l’esprit…
Est-ce que finalement, au fond de moi même, je n’aimerai pas que ma charmante voisine me surprenne ? Je sentis mon sexe durcir un peu plus… Je m'étonna de cette remarque.. En dix jours, j’étais passé du fantasme à la réalité. Et cela me plaisait de plus en plus…
Je m'étonnais même de cette progression si rapide. Et la question suivante fut de savoir jusqu’où je pourrai aller ? Si ma Maîtresse me montrait à d’autres, (des gens initiés, il va sans dire), est-ce que je serai couvert de honte, ou est-ce que je serai fier de leur montrer à quel point j’aime ma Femme ? Et ce que je suis prêt à faire pour elle ?
Je me promenais dans le jardin, à quatre patte, un plug fiché dans mes fesses, tenu en laisse par ma femme, et moi tout naturellement, comme si nous étions un jolie couple se promenant main dans la main, j’étais parfaitement à l’aise et je laissais mon esprit penser librement. Moi, un homme à principe… Et puis zut, pensais-je aussitôt, ce jeu m'amuse. Je suis heureux d’être le petit chien de ma femme. C’est tout !
Quand nous arrivâmes prés de la porte, j’engageais mon nez comme le ferai un vrai chien dans l’angle de la porte, attendant que ma maîtresse ouvre celle-ci !
- File à ta place, me dit-elle en détachant ma laisse.
Et j’obéissais. Je pris immédiatement ma position, grimaçant légèrement car mes genoux commençaient à me faire mal. Et puis je fatiguais. Elle arriva quelques minutes plus tard. Elle était complètement nue. Elle s’affala dans le canapé, les jambes repliées ce qui ouvrait son sexe.
Elle était humide, et ma Maîtresse commençait à se caresser. J’étais content de cette nouvelle règle qui m'obligeait à fixer mon regard en permanence sur ses hanches. Je pouvais donc à loisir me régaler de cette vision. Elle écarta délicatement ses petites lèvres, fit jaillir son clitoris, et son doigt commença à tournoyer autour.
Elle soupirait de contentement. Et je bandais un peu plus fort encore. L’envie de me saisir de mon sexe devenait forte elle aussi. Mais la suite allait me refroidir !
- Tu m'as déçu ! p’tit soumis.
- Pardon Maîtresse, répondis-je humblement. Je ne le ferais plus…
- Je te l’ai dis, si on joue, on joue sérieusement. Et là, ce n’est pas une petite faute, tu as triché ! Délibérément triché ! ! Tu t’es masturbé volontairement. Vous êtes incorrigibles ! Les hommes ne pensent vraiment qu’à ça ! Se vider…. C’est plus fort que vous ! !
- Pardon Maîtresse, répétais-je inlassablement.
- Bon alors tu vas être puni comme il se doit. D’abord tu vas recevoir une bonne correction sur le cul.. Mais tu aimes ça les fessées, je sais que ça t’excites. Alors pour que la punition soit complète, tu seras privé de plaisir deux semaines. Ni sexe, ni branlette ! Soit tu acceptes, soit on arrête le jeu !
- J’accepte Maîtresse, répondis-je sans hésiter, ni même contester.
- Mais moi, je n’ai aucune raison d’être puni. J’ai le droit de jouir. Alors pose ta langue, et tu as intérêt à te surpasser !
Sans réfléchir ma tête tomba entre ces deux belles jambes bien ouvertes. Ma langue commença à lécher, délicatement sur chaque lèvre, puis amoureusement sur son clitoris qui se dressait, tout fier, avide de caresses et de douceur. Je m'appliquais comme jamais.
Et pour la première fois depuis notre rencontre, elle me dirigea plus précisément, m'indiqua comment elle aimait être léché. Elle profitait de son pouvoir pour m'apprendre, ce qu’elle n’aurait peut-être pas oser faire en temps normal… L’orgueil des hommes ! !
Ses hanches remuaient de plus en plus, tandis que ses gémissements montaient en puissance.
- Prête-moi ton gode, et fait moi l’amour avec. J’ai trop envie d’être pénétré et léché en même temps.. Ce qu’un homme seul ne peut jamais faire !
J’allais chercher cette belle bite en plastique, exciter moi aussi de lui offrir ce plaisir. Je la pénétrai. Et je vis disparaître le gode, aspiré, dévoré par ces petites lèvres toutes trempées de désir. J’étais son instrument de plaisir. Elle donnait ses ordres, j’exécutais.
Elle dirigeait la cadence, ma main, ma langue. Et tandis que ses râles devenaient profonds, elle me plantait ses ongles dans ma nuque. Elle se perdait dans le plaisir. Et dire qu’après ce spectacle, je n’allais même pas jouir, alors que mon sexe était dressé au maximum.
Et puis zut, au diable ma petite jouissance masculine ! J’étais entrain de transporter ma Femme sur une autre planète. J’étais heureux !
Puis elle cria en désarticulant son corps dans tout les sens…
Elle mit dix bonnes minutes avant de reprendre son souffle. Je lui apportais un verre d’eau, et je restais là, à ses pieds. Mes yeux devaient briller.
- Bon, tu sais ce qu’il reste à faire ?
- Oui Maîtresse, ma punition ! fis-je d’une petite voix empruntée.
- Bon, alors en place, mon vilain petit soumis.
Je me mis en travers ses jambes. Elle me caressa longuement mes petites fesses qui allaient bientôt rougir. Puis, elle commença. De bonnes claques bien placées, espacées, entre deux caresses. Puis la machine se mit en route. Elle faisait des pauses, caressait encore ma peau rougit et brûlante. Puis elle reprenait.
Ma maîtresse m'infligea une bonne correction que je ne suis pas prêt d’oublier.
Pour finir, j’ai été envoyé au coin, une demi-heure, les mains sur la tête, les fesses exposées à la vue de ma Maîtresse. Je ne tricherais plus ! C’est juré ! !
- Et soit sage, me fit-elle d’une voix toute douce. Et je vais peut-être me resservir du gode. Il faut bien que j’apprenne à le connaître, vu qu’il va te remplacer pendant quinze jours ! !
Ma punition était complète !
Pendant ces deux semaines, ma femme ne m'a pas dominé. Par contre, elle se donnait du plaisir chaque soir avec cette belle queue en plastique qui assurait l’intérim. Bien sûr, punition oblige, je devais assister au spectacle. Néanmoins, j’avais le droit de me servir de ma langue et de mes mains. Mais en aucun cas je ne devais toucher à mon sexe, gonflé à l’extrême. Cette frustration forcée eut pour effet de décupler mon désir pour elle.
Aussi, quand ma punition fut enfin terminée, ma Maîtresse m'ouvrit de nouveau ce passage merveilleux qui échauffe tant les sens masculins. On passa une nuit torride à faire l’amour aussi passionnément que les premières fois.. C’était divin. Je ne savais pas comment la remercier d’être devenu Ma Maîtresse.
Bien sûr, il me restait encore beaucoup à apprendre pour devenir un parfait mâle soumis. Mais j’étais sur le bon chemin. Mon éducation était progressive, et j’avoue que je prenais beaucoup de plaisir à servir ma femme. De son coté, je la savais heureuse de pouvoir me dominer ainsi
Quand certaine semaine, le travail, famille ou amis nous empêchaient de «jouer» à notre jeu favori, j’éprouvais un sentiment de manque. Et quand ma mauvaise humeur se faisait trop sentir, il n’était pas rare que je prenne une fessée et que je passe le temps du film couché à ses pieds, nu bien sûr, en train d’embrasser et de lécher ses deux jolis pieds. Je crois que c’est dans ces instants là que l’idée d’acheter une paire de menotte pour m’attacher lui est venue.
- Ça te fera du bien mon chéri, me disait-elle avec toujours ce joli sourire et cette voix douce. Un bon soumis doit apprendre l’attente. Ça sera très bien pour ton éducation. Le petit placard du premier fera l’affaire.
Nous évoluions ensemble dans cette relation Maîtresse soumis. Nous parlions souvent et échangions toutes nos idées sur le sujet. Elle ne désirait pas faire de moi un esclave au propre sens du terme. Moi non plus du reste.
Son désir était que je devienne un bon soumis obéissant parfaitement, et surtout complice de ma soumission. Elle insistait beaucoup sur le fait que je devais être heureux pour bien la servir.
Aussi, il fut une période où nous naviguions beaucoup sur Internet à la recherche d’idée, et bien sûr nous lisions toutes les histoires d’hommes soumis. Cela se passait toujours de la même manière. Je mettais ma tenue de petit chien, c’est à dire nu avec mon collier, ma laisse pendant dans mon dos, et le plug dans mes fesses.
J’étais à genoux devant l’ordinateur et je faisais la lecture à ma Maîtresse, qui s’installant confortablement les cuisses ouvertes, se caressait longuement. Quand elle était trop excitée, j’allais à quatre pattes la rejoindre et je la faisais jouir humblement avec ma langue.
Nous avons pris beaucoup d’idées dans toutes ces histoires. Nous en avons rejeté beaucoup aussi.
Chaque séance de dressage apportait ses petites nouveautés. Ma Maîtresse me faisait progresser doucement mais sûrement. Mais s’il y une chose à laquelle elle ne voulait pas perdre de temps, c’était mon éducation anale. Ma Maîtresse voulait que je sois sodomisé rapidement.
- Tous les soumis le sont ! Me disait-elle en souriant. Si tu veux faire plaisir à ta Maîtresse, il faut vite que tu sois engodé correctement. C’est un sentiment de soumission que tu dois ressentir, et que tu te dois de m’offrir !
Je ne sais pas pourquoi, mais c’est devant le cerisier, là où elle me mit le premier plug qu’elle désirait poursuivre mon éducation anale.
A la fin d’une séance où j’avais répété tous les gestes incombant à un bon petit chien, je vis ma Maîtresse enfiler un gilet et retirer son string. J’étais assis aux pieds, la regardant faire avec étonnement.
- Allez p’tit chien, on va aller dehors. On va jouer un peu, et après, je m’occuperais de tes petites fesses
- Oui Maîtresse, répondis-je sans trop comprendre le mot jouer
Elle attrapa ma laisse puis ouvrit la porte. Les premiers mètres étaient toujours un peu embarrassant. Même s’il y avait une chance infime d’être vu, je n’étais pas tellement fier de moi, et j’avais tendance à tirer sur ma laisse. Ma Maîtresse s’amusait de voir ma crainte.
Alors elle me faisait plutôt ralentir. Une petite série de coucher, assis, debout ne m’amusait guère dans cette portion du jardin. Quand nous passions derrière la maison, hors de vue, je pouvais me détendre. Maîtresse avait placé un transat près du cerisier. Elle m’y attacha avec la laisse, puis s’installa, but un verre en me regardant.
Au bout de quelques minutes, elle sortit d’un sac un petit os en plastique rouge. Elle éclata de rire.
- C’est pour qui ça ! Me faisait-elle en secouant l’os. Pour mon petit chéri qui va jouer comme une bon petit chien !
Je compris alors qui allait jouer. Je dois dire que cela ne m’enchantait guère. Seulement voilà, mon sexe était bien au garde à vous. Et plus ma petite Femme m’humiliait avec le jouet, plus il durcissait davantage. J’aimais ça. J’étais un petit chien obéissant.
- Allez va chercher, fit ma Maîtresse en lançant l’os à quelques mètres.
Je compris très vite qu’il valait mieux jouer le jeu. Je partis alors chercher le jouet en plastique. Toutefois, pour marquer le peu d’intérêt que je portais à ce jeu, je partis à une vitesse normale. Je ne voulais pas me précipiter, mais je ne voulais pas non plus être trop lent. Il n’était pas dans mon intérêt d’offenser ma Maîtresse.
Je revenais au pied, et avant même qu’elle me le demande, je fis le beau, les deux poignets collés sur mes seins.
- C’est bien mon chien… je vois que tu aimes jouer !
Elle mit sa main sous ma gueule, et je déposais le jouet. Celui-ci ne tarda pas à repartir en l’air, et moi à sa poursuite.
Au bout de quelques allers-retours, je compris pourquoi Maîtresse avait retiré son string. Je restai plusieurs minutes à faire le beau, l’os dans la bouche. Je regardais ses hanches. Elle avait relevé sa jupe, et son index massait tranquillement sa petite chatte libre de toutes entraves. Elle me laissa l’observer, écarta davantage ses cuisses.
- Le spectacle te plaît on dirait ? Hein, petit chien vicieux ! Tu aimes voir ta Maîtresse caresser sa petite chatte. Elle est belle ?
Et en même temps, elle attrapa mon sexe de sa main libre. Elle commença à me caresser doucement.
- Tu n’imagines pas comment tu es excitant à voir mon amour ! D’ici je vois ton petit derrière bouger dans tous les sens quand tu cours pour aller chercher ton jouet. J’imagine ton plug qui doit bien se frotter à l’intérieur… Hum… Quel plaisir tu me donnes… Un beau mâle comme toi, courant à quatre pattes pour récupérer son os..
Ma Maîtresse lâcha mon sexe.
- Tu ne crois pas que tu vas jouir ? Tu es là pour me distraire, pour être un bon petit chien qui joue avec sa Maîtresse adorée. Et ne t’inquiète pas pour moi, je vais me faire jouir toute seule. Je suis assez grande. Allez, excite-moi encore, va chercher !
Et mon os reparti à quelques mètres. A regret, je dus lâcher la vision de ces doigts pénétrant avidement ses petites lèvres, pour aller chercher mon os. Je me dépêchais de revenir pour assister à sa jouissance.. Elle avait maintenant dégagé ses deux seins qu’elle massait tendrement.
Comme ses deux mains étaient prises, je pus rester quelques instants à contempler ma déesse se donner du plaisir. Ses gémissements progressaient, sa respiration haletait, de ses pieds elle soulevait ses hanches tandis que ses doigts disparaissaient dans son vagin.
Puis d’un coup, sa main lâcha son sein, attrape mon os, et le lança de nouveau. Je repartis. A mon retour, son corps était apaisé. Ses yeux brillaient sur un sourire immense. Je regardai vite fait son sexe encore luisant. Elle rebaissa alors sa jupe
- Dis donc, petit vicieux… Tu arrêtes de mater ta Maîtresse… Allez lâche ton os, j’ai mieux pour toi.
Et elle me tendit alors ses doigts, encore tous mouillés de son plaisir. Je les léchais aussitôt avec passion. J’aimais mieux ce jeu là. Me délecter de l’odeur de ma Femme, lécher son plaisir, son jus intime.
- Lèches bien ! Après on va s’occuper de tes fesses… Hein, il faut les ouvrir davantage, pour qu’elles avalent tout ce qu’on leurs donnera. Et je pourrai enfin faire l’amour à mon petit homme qui pourra gémir comme une gentille femelle.
- Allez, maintenant, retire ton plug, fait le sortir doucement…
Je me plaçai sur le dos, repliant bien mes jambes pour offrir un beau spectacle à ma Maîtresse. Je fis sortir le plug. Depuis le temps qu’il était en place, toute trace de lubrifiant avait disparu. Puis en forçant, mon anus s’ouvrit enfin, libérant le plug. J’étouffais mon cri le plus possible en me mordant la lèvre inférieure. Maîtresse me tendit ensuite le tube de vaseline.
- Allez chéri, met de la crème… Lubrifie bien tout ça et après sodomise toi de nouveau… Dilate bien ton petit anus si tu ne veux pas avoir trop mal avec le gros..
Je ne me fis pas prier pour enduire le plug de vaseline. Puis je le remis en douceur à sa place. Mon anus s’ouvrit plus facilement, puis aspira l’engin.
- Allez chéri, sodomise-toi bien. Mets-toi à quatre pattes…
Sans réfléchir, j’obéissais. Je me cambrais le plus possible, et d’une main j’écartai une fesse. Je retirai de nouveau le plug, avant de l’enfoncer à nouveau. J’accélérais le rythme. Mon anus se dilatait bien. Je commençai à me sodomiser avec rapidité. Cela plaisait à ma Maîtresse.
Puis d’un coup, je la sentis près de moi. Elle posa sa main sur ma croupe pour la caresser, puis enserra mon sexe. Elle commença alors à me traire doucement. J’avais les yeux fermés, me laissant bercer par cette pénétration anale qui me faisait du bien. Puis je sentis une forme frotter mes lèvres. D’instinct, en bon chien soumis, j’ouvris la bouche et léchais l’objet. C’était le nouveau plug. Avec mes lèvres, je pouvais percevoir son diamètre, bien plus gros que le précédent.
- Oui mon amour, suces le bien… Apprends à le connaître… Il va bientôt faire partie de toi-même…. Je te laisse le temps de bien l’apprécier, après je te le mettrais tout entier dans ton petit derrière…
C’était une sensation particulière que je n’avais jamais ressentit auparavant. Je me faisais sodomiser par le plug, en suçant avidement un autre, tandis que mon sexe durcissait encore et vibrait dans la main de ma Maîtresse.
- Allez, c’est bien p’tit chien. Laisse moi faire maintenant.
J’abandonnais toute activité. Maîtresse retira le petit plug. Mon anus restait cependant ouvert. Ma maîtresse s’occupait d’enduire le nouveau plug de vaseline. J’avais subitement une sensation de manque. Je n’avais plus qu’une envie, que mon anus soit de nouveau rempli.
Si on m’avait dit ça quelques semaines auparavant, je crois que j’aurais pu être violent. Mais voilà, il faut bien se rendre à l’évidence, mon sexe bande comme un taureau, et mes fesses ne demandent plus qu’à combler ce vide.
- Reste calme mon chéri, soufflait ma Maîtresse qui voyait mes fesses dandiner d’impatience. Je vais te le remettre ton plug. Et tu vas être servi, il est plus gros. Tu vas le sentir passer… Ecarte tes fesses… Offres-toi bien !
Je ne me faisais pas prier. Le nez dans le gazon, j’écartais au maximum. Maîtresse plaça le bout du plug contre mon anus, qui s’était légèrement refermé. Mais je sentais qu’il était prêt à s’ouvrir de nouveau. Pourtant, elle se contenta de me masser l’anus.
- Alors ? Me dit-elle en souriant.
- Je t’en prie chérie, mets-moi-le !
Pour toute réponse, elle retira le plug, me serra contre son corps, et de sa main libre me fessa avec vigueur. Elle me claqua les fesses sans faiblir, comme à chaque punition. J’ai du rougir très vite tellement les claques s’abattaient avec fermeté. Je me rappela soudain qu’on était dans le jardin, alors je retins au maximum mes cris.
- Tu dois certainement oublier ton statut pour me parler ainsi… Sale chien !
- Pardon Maîtresse, implorais-je sans m’arrêter.
Elle s’arrêta net.
- Reprend ta position, écartes bien tes fesses, offres-toi, je t’écoute….
Je compris alors qu’elle voulait que je la supplie, que je m’humilie moi-même.. Je ne résistais pas à la volonté de ma Maîtresse adorée.
- Sodomise-moi maîtresse, je t’en supplie, mets-moi le plug, je le veux !
- C’est bien, mais tu peux faire beaucoup mieux. Fait marcher ton imagination… Tu es quoi, tu veux quoi et où ?
- Je suis ton petit chien maîtresse, enfonce moi ce plug dans mes fesses de mâle soumis... S’il te plaît maîtresse, sodomise-moi comme tu le désires. Encule moi ! Je suis à toi !
A peine avais-je finis, que Maîtresse enfonça d’un coup le plug.
Il rentra sans aucune résistance.
- Et bien tu vois mon chéri, il suffit de demander poliment !
Je fus étonné avec quelle facilité ce plug de diamètre supérieur pénétra mon anus. Il est vrai qu’il était bien dilaté. Il est rentré d’un coup, aspiré, dévoré avec avidité. Un long frisson m’a parcouru tout entier quand il a forcé mes chairs, un gémissement plaintif s’est échappé en même temps de ma bouche, mais mes fesses avaient accepté cette nouvelle queue en plastique sans grand problème. Cependant, une petite douleur s’emparait de mes hanches. Elle se mélangeait à celle de mes fesses qui avaient été claqué quelques minutes avant.
- Allez petit chien, on va marcher un peu, histoire que tu fasses connaissance avec ton nouvel amour.
Maîtresse remit ma laisse, puis nous commençâmes le retour vers la maison. Il était plus gênant que le premier. Normal, il était bien plus gros. Je le sentais bouger à chacun de mes mouvements. Heureusement que ma Maîtresse avait lubrifié abondamment. Cela évitait tous frottements douloureux.
De retour à la maison, je repris ma place, à genoux devant le canapé. Maîtresse arriva dix minutes plus tard. Elle avait passé une nuisette bleu nuit. Pendant qu’elle se versait une bière, je pouvais me régaler en posant mes yeux sur ses jambes, longues, fines et musclés et un peu mat de peau. Elle était belle ma Maîtresse. De temps à autre, une bretelle s’échappait de son épaule. Mes yeux se fixaient alors sur ce sein magnifique qui apparaissait. Elle capta mon regard.
- Ils te plaisent mes seins, hein ?
- Oui Maîtresse, répondis-je d’une petite voix.
- Si tu es sage, tu les suceras tout à l’heure. Tu voudras ?
- Oh oui Maîtresse.
- Je suis contente, tu as été un bon chien ce soir.. Comment vont tes fesses ?
- Ça va Maîtresse…
- Ton plug te fait pas mal ?
- Non, Maîtresse. Il me gêne un peu, mais je crois que c’est normal.
- Oui, dans quelques jours, tu n’y feras plus attention.. Et la semaine prochaine, je te sodomiserais avec le gode..
Elle souriait, puis me caressait la joue avant d’y déposer un bisou.
- Tu es vraiment un bon soumis mon amour.. Je suis contente de toi.
- Merci, mais tu es aussi une bonne Maîtresse qui sait bien s’occuper de moi.
- Bon, tu mérites bien de jouir ! Comment est ton sexe ? Il est dur au moins.
- Oui Maîtresse, répondis-je en balançant mes hanches en avant.
Elle l’enserra, puis me caressa doucement, tandis que son autre main attrapa le plug pour le faire bouger un peu. Je ne pus m’empêcher de gémir en grimaçant légèrement.
- On va laisser ton petit cul s’habituer. Je suis fatiguée ce soir, je n’ai pas envie de faire l’amour. Alors tu vas te masturber, d’accord ?
- Oui Maîtresse. Je suis tellement excité que je n’en aurai pas pour longtemps.
Maîtresse fit passer ses deux mains sous ses bretelles. D’un geste rapide elle dégagea sa nuisette faisant jaillir ses deux petits seins en forme de poire. Elle plaça ensuite ses mains sous chaque sein pour les soutenir et mieux les relever.
- Puisque tu veux sucer mes seins, tu vas éjaculer dessus.. Comme ça tu pourras ensuite tout nettoyer avec ta langue.
Je ne me fis pas prier. Je me mis debout sur le canapé, puis me pliais un peu pour mettre mon sexe à la hauteur de sa poitrine. Je me masturbais avec force et rapidité. Mon excitation était telle, que je ne résistai pas longtemps. Je lâchais de longs jets de sperme qui allait s’étaler sur ses seins. Je savais que j’allais ensuite les lécher, alors je visais ses tétons.
- Allez, nettoie mes seins maintenant…
Là non plus, je ne me fis pas prier. Je m’assit sur elle, puis avec délectation, je nettoyais tout mon sperme. J’insistais sur ses tétons. Je la savais sensible de ce coté là. Peut-être qu’ensuite je pouvais espérer autre chose. Elle me caressait la tête, et ses dix doigts grattaient amoureusement mon crâne.
- Maîtresse ?
- Oui, me répondit-elle en se redressant et en plongeant ses yeux verts dans les miens
- Est-ce que le petit mâle soumis que je suis peut lécher la petite chatte de sa Maîtresse ? Et ensuite lui faire l’amour avec douceur ?
- Tu ne profiterais pas de la situation toi par hasard ? …Hein ?.
- Non pas du tout.. J’arrête si tu veux !
- Humm, maintenant que tu m’as mis dans cet état ! Allez, vas-y venges-toi. Je suis à toi ce soir..
La dernière séance avait beaucoup plu à ma Maîtresse. Elle m’avait confié, blottit contre moi dans le lit, employant sa petite voix douce tandis qu’elle me caressait le torse, qu’elle avait beaucoup aimé me faire jouer dans le jardin avec l’os en plastique.
Il paraît que j’étais très excitant à quatre pattes courant après mon jouet pour lui ramener ensuite entre mes dents. Elle m’avoua que son orgasme avait été plus puissant que tous ceux obtenu jusqu’alors avec la masturbation.
- Grâce à toi mon chéri me disait-elle tout bas. Tu es tellement beau en petit chien !
Maîtresse déplia ses bras et glissa son corps bouillant sur le mien. Puis elle commença à déposer sur mon visage de milliers de petits baisers. Son bas ventre se frottait délicatement sur mon sexe qui ne tarda pas à répondre à cette provocation.
- Oui tu étais tellement beau, me soufflait-elle entre deux bisous. Il faudra qu’on recommence mon chéri, mais en mieux… Oui, en beaucoup mieux…
Elle me regardait droit dans les yeux tandis que son ventre se frottait davantage.
- Tu aimes bien être le bon toutou à sa Maîtresse ? me souffla-t-elle de sa petite voix envoûtante.
Je n’osai pas répondre. Je cherchais à comprendre le sens du mieux. Comment peut-on faire mieux pour un homme que de jouer avec un os en plastique, de courir à quatre pattes et de le ramener ensuite.
- Alors ? Insistait-elle tandis qu’elle jouait avec mon sexe, s’amusant à le frotter contre ses petites lèvres brûlantes et trempées d’impatience.
Je n’en pouvais plus. Ses yeux étaient plantés dans les miens portés par un large sourire, tandis que mon sexe restait désespérément à l’entrée de son sexe. Comment résister davantage ?
- Oui j’aime bien.
- Tu aimes bien quoi mon chéri ? Dis à ta petite Maîtresse ?
- J’aime bien être un bon toutou, le gentil chien à sa Maîtresse ! !
- Oui, j’ai bien vu que tu aimais ça. Et jouer ? Tu aimes jouer avec ton os ?
- Oui aussi.
- Dommage que c’était un faux…. non ?
Sur ces mots, elle se laissa tomber de tout son poids sur mon sexe. Elle s’empala complètement et commença à me faire l’amour lentement, puis accéléra à sa guise, contrôlant son plaisir. Je me laissai emporter par la chaleur de son ventre, et j’étais loin d’imaginer les futurs jeux qui germaient dans sa tête.
C’est en milieu de semaine suivante que tout se mit en place. Je reçu un Email le mercredi après-midi. Elle me disait qu’elle avait eu une idée sublime. Puisque j’aimais bien être son petit toutou, et qu’elle y prenait beaucoup de plaisir, elle me proposa simplement d’augmenter le temps de jeu.
Elle me demanda si j’étais prêt à être son petit chien une journée entière. Bien sûr avec tout ce que cela comporte. Si j’étais d’accord, je devrai lui faire savoir par retour de mail. Mais il n’était pas question d’en parler autrement, surtout pas le soir à table.
Cela risquerait de casser le jeu. Je m’empressais alors de lui renvoyer un mail avec quelques questions, disons d’ordre pratique. La réponse fut immédiate. Quelques minutes plus tard un mail arriva, et pour toute réponse, il y avait marqué, « tu verras bien, et je ne répondrai qu’à ta première question idiote ; A-t-on déjà vu un chien manger à table avec des couverts ? »
Le message était clair. Il était vrai que ma question était stupide. J’avais déjà bu dans une gamelle, il me restait plus qu’à essayer le repas. C’est la vision qui m’apparut aussitôt. Manger à quatre pattes dans une gamelle. Et bizarrement, je sentis une chaleur envahir mon sexe.
Au lieu de m’effrayer, cette image avait tendance à m’exciter. Je commençai donc à chercher tout ce qu’un chien pouvait faire dans une maison. Mais de toute façon je ne trouvais rien de pire que de jouer avec un os en plastique dans le jardin, et de faire le beau pour le donner à ma Maîtresse. ......
Quand on en est là, on peut bien continuer, car de toutes façons, ma Maîtresse avait raison, il ne s’agissait en fait que d’allonger le temps de jeu. En conclusion, je renvoyais un mail donnant mon accord.
Le jeudi je reçu un nouveau mail me donnant les dernières consignes ;
« Le jeu commencera samedi à 14 h et finira le dimanche vers 18 h. Samedi après manger, je partirai faire quelques courses quittant mon mari, et à mon retour je veux trouver mon petit chien. Je te précise que bien sûr, tu devra rester nu avec ton collier, et qu’il ne faut surtout pas que tu oublie qu’on n’a jamais vu un chien parler, ni marcher sur deux pattes, ni boire dans un verre, ni répondre au téléphone. Pour terminer, j’ai réfléchis à plusieurs chose. D’abord il te faut un petit nom. Et plus j’y pense, plus je me dis que c’est vraiment ridicule que je te féminise. Tu es un homme mon chéri. Alors je ne vois pas pourquoi tu n’assumerai pas ton rôle de gentil mâle obéissant à sa femme. Donc pas conséquent, j’ai pensé à un nom masculin pour toi. Tu te rappelle bien sûr de la belle et le clochard, et bien comme je suis la belle, je te vois très bien en Clochard. Ça t’ira très bien. A samedi. »
Ce qu’il y a d’assez merveilleux dans l’attente, c’est l’imagination débordante que s’agite en vous. Pendant les deux jours précédents le début du jeu, je n’arrêtais pas de penser à Youpi, le chien que avait accompagné mon adolescence.
J’essayai alors de repenser à tous ses comportements. Dans la rue, dès que je voyais une femme promener son chien, je ne pouvais éviter de m’imaginer à la place de l’animal. J’essayai d’entendre ma Maîtresse appelé Clochard dans la maison.
Et presque aussitôt, mon bas ventre s’échauffait. Comme à chaque fois les sentiments se mélangeaient, celui du ridicule remplacé par l’excitation, l’envie de fuir puis soudain d’obéir, l’espoir que ce jeu n’aura pas lieu puis le désir qu’il commence tout de suite. Puis le jour J arriva.
Nous avons déjeuner comme si de rien n’était, parlant du prochain week end où nous devions partir chez des amis. Puis après son café elle se leva puis partit s’habiller.
- Je file, je vais être en retard. J’ai rdv chez le coiffeur. A dimanche soir mon chéri, et passe un bon week end !
Elle claqua la porte. Effectivement, le jeu était commencé. L’homme ne reviendrait que dimanche soir, et il fallait maintenant que le chien se prépare.
Après avoir remis la cuisine en ordre, je suis allé me déshabiller, rangeant mes affaires qui n’auraient plus aucune utilité avant dimanche soir. J’ai ensuite mis mon collier, puis je ne sais pas pourquoi, d’instinct sans doute, je me suis mis à quatre pattes dans la chambre. Même si ma maîtresse n’était pas là, j’étais déjà dans mon rôle. Je suis allé au salon, puis me suis assis devant le canapé.
Heureusement ma Maîtresse n’a pas trop tardé. J’ai entendu les clés dans la serrure et j’ai accouru. J’ai essayé de lui faire la fête du mieux que je pouvais. Car j’étais tout de même bien content qu’elle arrive. J’avais attendu presque une demi heure, nu et assis par terre. J’ai compris à cet instant là le bonheur du chien quand enfin il voit ses maîtres revenir. J’ai posé mes deux pattes sur ses hanches tandis qu’elle me caressait la tête.
- Bonjour le chien… Oui tu es beau Clochard ! me fit-elle avec son grand sourire
Je tournai alors ma tête pour lécher sa main. Elle me la laissa quelques instants, alors j’en profitais pour mettre des grands coups de langues dans le creux de sa main. Elle semblait contente. J’avais bien commencé.
- Allez suffit, c’est bon Clochard, sois sage maintenant !
Je suivis ma maîtresse dans la cuisine, puis dans la chambre. Je m'assit à la porte. Elle se changea, puis attrapa ensuite une couverture dans l’armoire. De retour dans le salon, elle la plia en quatre puis la posa devant la fenêtre. Elle s’agenouilla puis de la paume de la main frappa légèrement sur la couverture.
- Clochard vient ici, à ta place.
Je rentrai sur ce mètre carré qui m’était attribué, puis dirigea directement mon museau vers sa main. Elle me caressa de nouveau la tête et comme dans l’entrée je cherchais à lécher. Puis comme sa main se déplaça pour aller me caresser la croupe, j’eus alors l’idée géniale de me mettre sur le dos, comme le font tant de chien pour se faire caresser le ventre.
Mais si j’avais bien pensé à garder les jambes repliées et ouvertes, je n’ai pas pensé aux mains que je mis le long du corps. Mais ma maîtresse eut vite fait de corriger cette erreur.
- Tes pattes Clochard !
Je compris très vite qu’un chien à toujours ses pattes sur son ventre. Je repliai alors mes poignets que je collai à ma poitrine. Maîtresse me caressa alors le ventre et les flancs pendant quelques minutes.
- Allez c’est bon. Sois sage maintenant.
Je passa l’heure suivante couché sur mon tapis roulé en boule. Enfin comme je pouvais. Je regardais ma Maîtresse vaquer à ses occupations. Elle téléphona, puis fit un peu de lecture. Comme j’en avais marre de ne rien faire je me risquais à aller la trouver. Je m’approcha du canapé, puis tendrement je lui léchai les pieds. Elle ne disait rien, alors je continuais. Il faut dire que j’avais l’habitude et que cela ne me déplaisait pas du tout. Puis, je me hasardais à lécher ses genoux.
- Suffit Clochard ! Les pieds si tu veux mais pas plus haut.
Alors pour ne pas retourner sur ses pieds, je me risquais à poser une patte sur son genou. Elle posa alors son magazine.
- Qu’est-ce que tu veux mon chien ? Hein, t’as pas envie de faire dodo ?
Elle me regardait dans les yeux, attendant ma réponse. Elle voulait que je m’exprime. Mais en pensant à l’aboiement, j’ai du devenir tout rouge.
- Tu veux aller promener ? C’est ça ?
Je la regardais. J’avais soudain un blocage pour l’aboiement. Mais visiblement, elle semblait attendre. Alors je risquais un timide ouaf, ouaf. Cela n’était pas très convainquant, mais elle s’en contenta, heureuse de mes efforts. Elle se leva, alla chercher ma laisse, puis me fit faire le tour de la maison.
- Ce soir on ira dans le jardin… Mais là, il fait encore jour
Nous avons fait plusieurs fois le tour de la maison, puis une fois de retour au salon, j’eus le droit pendant au moins une bonne demi-heure à la séance des assis, couché, debout, faire le beau, donner la patte. Comme j’avais tendance à me lasser un peu de répéter toujours les mêmes choses, elle se saisit de sa cravache pour me motiver un peu.
Et quelle motivation. Une fois avoir cinglé ma croupe histoire de me rappeler à l’ordre, je me remettais alors sans faiblir à exécuter chaque mouvement. On repartait, puis d’un coup, elle me faisait couché, avant de repartir la cravache entre les dents. La fin de cet exercice s’est terminée dans la cuisine. Ma Maîtresse m’a donné ma gamelle d’eau. Bien sûr j’ai du la mériter en faisant le beau et en donnant la patte.
J’avais déjà lapé dans un passé proche, et même si cela restait difficile, j’avais bien besoin de me désaltérer après cette promenade pleine d’exercice. J’aurais mieux fait de me tenir tranquille. Je me recoucha sur mon tapis sans demander mon reste, fatigué, les genoux endoloris, les fesses encore chaudes et rouges. Mais à peine je fus installé que la voix de ma Maîtresse se fit entendre.
- Clochard, viens aux pieds !
Ne voulant plus trop risquer la cravache pour aujourd’hui, je repartis dans la cuisine. Ma Maîtresse était assise, m’attendait avec un sourire. Je me plaçais devant elle, commençait à lécher ses genoux. Je sentis petite une tape sur la tête.
- Pas les genoux j’ai dit ! ! Assis, de donne la patte !
Je me suis alors assis sur mes talons, gardant ma patte droite par terre tandis que je levais la gauche.
- C’est bien mon Clochard ! Tiens j’ai un joli joujou pour toi.
Elle me présenta alors une souris en plastique. Puis, devant mon regard stupéfait, elle appuya sur le jouet.
- Regarde, il couine quand on appuie dessus ! !
Je l’attrapa avec ma gueule, puis me força à secouer la tête en le faisant couiner au maximum. Comme la dernière fois dans le jardin, je trouvais cela relativement humiliant. Beaucoup plus que de marcher à quatre pattes. Je ne sais pas vraiment pourquoi. Toujours est-il que pour satisfaire ma Maîtresse et pour éviter de prolonger trop ce petit jeu, j’eus ma minute de folie. Puis, je partis sur mon tapis, mâchant allègrement mon jouet pour qu’il fasse le plus de bruit possible.
Elle me laissa tranquille une bonne heure, puis je la vis aller vers le canapé, un verre de porto à la main. Elle mis la télé, buvant tranquillement, en mangeant des biscuits apéritifs. Je ne pu m’empêcher de m’approcher.
- Tu veux un gâteau ?
Je lâchais un timide aboiement. Dans le creux de sa main, elle me donna un biscuit que je m’empressais de manger.
- C’est tout, me dit-elle, j’aime pas les chiens qui quémandent. Après tu ne mangeras pas ta gamelle ! Je regarde les infos, et on ira manger. Allez couche toi aux pieds. Sois sage !
Je m’allongeai, posant ma tête sur ses pieds. Puis, comme je m’ennuyais un peu, je me mis à lécher ses doigts de pieds tout en écoutant les infos.
Quand le journal fut terminé, ma Maîtresse se leva pour gagner la cuisine. Je la suivis. Alors que je m’attendais à prendre mon premier repas dans ma gamelle, elle mit la table puis se prépara une pizza. Je restais à ses pieds. Elle se servit un verre de vin puis commença à manger.
De temps en temps elle me donnait un bout de pizza dans le creux de sa main. Je ne me faisais pas prier. Puis, avant d’entamer son dessert, elle prépara enfin mon repas. Une bonne boite de ravioli. Elle posa ensuite ma gamelle dans un coin de la cuisine, sur un set de table représentant la belle et le clochard. Je posa mes coudes au sol, puis commença à manger.
C’était beaucoup plus facile que de laper l’eau. Une fois terminé, je pris grand soin de bien tout lécher pour qu’il ne reste aucune trace de sauce tomate. Je bus ensuite un peu d’eau, puis parti sur mon tapis. En passant devant elle, ma Maîtresse m’arrêta puis me nettoya le museau avec sa serviette.
Elle termina de ranger la cuisine, puis ensuite se mit devant la télé. Elle regarda un film qu’elle avait loué. Moi, je restais sur mon tapis, écoutant les dialogues du film. Cela m’aidait à passer le temps.
Vers onze heures et demi, elle éteignit la télé, puis disparut quelques instants dans la chambre. Quand elle revint, elle agita alors ma laisse.
- Clochard, viens vite, on va promener !
Je me levais puis me dirigea directement vers la porte. De toute façon, je n’avais guère le choix, à part refuser et déclencher la colère de ma Maîtresse.
Elle arriva bientôt, me fixa la laisse, puis ouvrit la porte. Comme j’en avais l’habitude, le plus dur était la première partie, ouvert à des regards potentiels. Une fois derrière j’étais plus tranquille. J’éprouvai un certain plaisir quand on gagna le gazon.
Mes genoux étaient douloureux, et se retrouver sur l’herbe tendre devenait un peu plus confortable. Comme à son habitude ma Maîtresse se posa dans le transat, fumait sa cigarette, puis jouait avec moi. Elle lançait ma souris pour que j’aille la chercher, et si elle resta plus discrète que la dernière fois, je pu tout de même m’apercevoir qu’elle avait passé sa main sous sa jupe et qu’elle se caressait. Qu’est-ce qu’elle était belle ma maîtresse !
Depuis que j’étais à quatre pattes, je n’avais même pas pris le temps de l’admirer. Après un énième retour, je restais planté à faire le beau, la souris dans la gueule, à observer ma Maîtresse prendre son plaisir. Elle portait une petite jupe flottante arrivant à mi cuisse.
Un petit chemisier blanc était légèrement ouvert, laissant apparaître la naissance de ses seins, qu’une main caressait avec délicatesse. Mon érection prit alors un peu plus de volume. Mais je n’eus guère le temps d’apprécier le spectacle. Elle tendit sa main pour que j’y dépose ma souris.
Et elle l’envoya de nouveau assez loin pour que je reparte la chercher. Je ne pu voir sa jouissance, à mon grand regret. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés dans le jardin.
L’avantage d’être Clochard, c’est que je pu échapper à pénétration anale. On ne sodomise pas son chien. Mais, bon, on ne lui donne pas non plus de plaisir. Alors je suis rentré frustrer, le sexe gonflé à bloc....
Une fois dans la maison, ma Maîtresse me laissa aller boire dans ma gamelle. Puis je la vis attraper ma couverture. Je la suivis dans la chambre. Elle la déposa aux pieds du lit. Je n’avais pas pensé à ça. Il y a tellement de femme qui font coucher leurs chiens dans leur lit.
Mais visiblement, ce n’était pas l’intention de ma Maîtresse. Instinctivement, je me posais sur ma couverture. Mon regard devait être celui d’un chien triste. Je devais être beau à voir, le regard perdu, un sexe plus dur que du béton. Et bien sûr, un chien ne se masturbe pas.
Et une femme ne s’abaisse pas ainsi à masturber son chien. Peut-être certaine femme, mais pas Maîtresse. Je ne pouvais en douter. Quand elle sortit de la salle de bains, elle était nue, et portait dans sa main un gode. Ce qui ne risquait pas de calmer mes ardeurs. Elle me caressa la tête.
- Allez sois sage mon Clochard. Faut dormir maintenant. Si tu fais trop de bruit, je te soigne à la cravache, et tu vas dormir dans le garage ! Compris ?
Pour toute réponse, je fis un petit aboiement. Il était inutile que j’essaye de négocier. Je n’avais nullement envie de dormir dans le garage. L’humiliation aurait été complète. Ma maîtresse se coucha, et le gode n’était pas là pour faire décoration. J’entendis dans le noir de la nuit ses gémissements que je connaissais tant. L’envie de me masturber était si grande.
Mais la voix de ma Maîtresse arrêta net mes intentions.
- Si je vois une seule trace de sperme, c’est cinquante coups de cravache, alors maintenant couché !
Vu la douleur des quelques coups que j’avais reçu dans la journée, je n’osai imaginer cinquante coups de cravache sur mes fesses. Je me roulais en boule, essayant de trouver la meilleure position pour dormir. Pour oublier un peu mon érection je me mis à penser à nos vacances, mon boulot, bref à tous ce qui pouvait m’éloigner cérébralement de ma situation. Mais les gémissements de ma Maîtresse ne m’aidèrent pas à trouver le sommeil.
La nuit ne fut pas la plus confortable que j’ai passé. Je me réveillais toutes les heures, sous la douleur soit du dos, soit des épaules. Je me retournais à chaque fois, attendant le prochain réveil.
Puis le matin est arrivé. Le jour transperçait les volets, et les douleurs de mon corps m’empêchaient de me recaler pour retrouver le sommeil. De temps en temps je risquais de lever un œil vers le radio réveil. Je pouvais voir ma Maîtresse enroulée dans la couette, baignant dans la chaleur, dormir d’un souffle tranquille.
Néanmoins, vers 9 heures, je me risquais à me présenter au bord du lit. Je commençais alors à aboyer doucement. A force d’insister, ma Maîtresse se réveilla doucement. Je posai alors les deux pattes sur le bord du matelas. Puis, quelle ne fut pas ma joie quand ma Maîtresse tapota doucement à coté d’elle.
- Allez viens mon Clochard…. Tu as le droit exceptionnellement !
Je ne me fis pas prier. Je sautais sur le lit, et comme mon chien me l’avait fait si souvent, je me précipitais sur elle, et donna de grands coups de langues sur le visage de ma Maîtresse.
- Pouah, hurla-t-elle… Pas la figure, c’est dégueulasse ! Clochard, arrête !
Elle me tendit la main, alors pour ne pas interrompre ce grand moment, je me mis à lécher sa petite main, comme un chien trop content de retrouver sa maîtresse. Puis le jeu se termina. Elle me renvoya à mon tapis, se leva puis rejoignit la cuisine. Je la suivis en bon toutou.
Elle prépara son petit déjeuner, sortant du congélateur plusieurs croissants. L’odeur du café arrivait à mes narines. Je me demandais si j’allais avoir un bol de café. Puis je me dis l’instant d’après qu’on n’avait jamais vu un chien boire du café. Elle se prépara un petit plateau, puis gagna le salon, moi toujours derrière elle. Je lui fis face en me mettant en position assise, une patte levée. Ma Maîtresse déjeuna, puis de temps en temps brisa un petit morceau de croissant qu’elle posa par terre devant mes pattes. J’avais trop faim, je mangeais. Quand elle eu terminée, elle mit son bol dans le lave vaisselle, me servit une gamelle d’eau fraîche, puis dans mon autre gamelle mit quelques gâteaux sec qu’elle coupa en petits morceaux. Je déjeuna.
Ma Maîtresse prit sa douche tandis que j’avais regagné mon tapis. Une demi heure plus tard, je l’entendis sortir de la salle de bains.
- Clochard, viens vite mon pépère !
J’allais la voir. Quand j’arrivai dans la salle de bains, je vis la baignoire à moitié rempli, débordant de mousse.
- Allez Clochard, ça te fera du bien.
Comme je pus je rentrai dans l’eau, restant bien à quatre pattes. Maîtresse commença alors à me nettoyer avec une éponge, frottant vigoureusement. J’avoue que c’était le meilleur moment de ma vie de chien. Elle me lavait partout. Quand je fus propre elle vida l’eau, puis me rinça au jet. Elle me frotta ensuite avec une serviette qui sentait bon la lavande. J’étais un chien heureux.
Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Vers 10h30, je vis soudain Maîtresse prendre ma couverture et gagner le garage. Je la suivis alors, quelque peu surpris. Elle installait mon tapis aux pieds de l’établi. Je restais assis à la porte de la cuisine, commençant à me dire que les heures suivantes allaient être moins drôle que le bain. Puis elle m’appela.
Je restai à la porte, bien assis. Si j’avais pu baisser les oreilles je ne me serais pas priver. Mon regard devait être triste. Sans rien dire elle se leva, passa devant moi puis revint quelque minutes plus tard la cravache à la main. Avant même qu’elle n’arrive à ma hauteur, je partis timidement vers ma couverture, la tête basse. Elle n’eut aucun mal à me rattraper. Deux coups de cravache me tombèrent sur les fesses.
- Dis donc Clochard, qu’est-ce que ça veut dire ces manières ? Quand je dis quelque chose tu obéis !
Je roula en boule sur mon tapis, baissa les yeux, puis couina légèrement.
- Je vais au marché, j’en aurais pas pour longtemps.. Allez assis, donne ton cou !
Je me relevais. Ma Maîtresse m’enleva mon collier, puis passa une chaîne autour de mon cou. Elle referma avec un cadenas. L’autre extrémité de la chaîne était attachée au pied de l’établi.
Elle me caressa la tête, puis parti vers la cuisine. La porte se referma. J’ai dû rester dans le garage au moins deux bonnes heures. Pour combler mon ennui, j’imaginais tous les travaux que pourrai faire dans ce garage. Puis je pensais à ma semaine de boulot, à mes rendez-vous. J’essayais d’occuper le temps comme je pouvais.
Ma Maîtresse est rentrée vers 13h30. Quand elle passa me voir, j’étais trop content de la retrouver. Je n’avais pas besoin de mimer la fête. C’était réel. Elle s’approcha de moi. Je me précipitai sur ses jolies bottes que je m’empressais de lécher. Elle me flatta la croupe, me caressa le dos. Après quelques minutes, sous mon regard interrogateur, elle me laissa puis regagnât la cuisine. J’allais donc encore rester là, nu et à quatre pattes dans mon garage enchaîné à mon établi. Je restais assis, fixant mon regard sur la porte, les oreilles attentives au moindre bruit. Mais rien.
Je me sentais alors comme un vrai chien, attendant, espérant à chaque instant que la porte s’ouvre. Ce n’est que vers trois heures que je vis ma maîtresse réapparaître enfin. Nouvelle joie. Nouveau sourire. Elle m’enleva enfin la chaîne, remit mon collier avec la laisse. Elle me promena de nouveau dans la maison. Quand je rentra à l’intérieur une odeur de cuisine arriva immédiatement à ma truffe, rappelant la faim à mon estomac.
Cela sentait bon la viande. En passant devant ma gamelle, je tirais un peu sur ma laisse pour aller boire. Ma Maîtresse me laissa faire. Puis pour bien faire voir que j’avais faim, je léchais ensuite la gamelle vide.
- Après Clochard ! Si tu obéis bien, j’ai une surprise pour toi !
On repartait en promenade dans la maison. Tandis que je marchais aux pieds, je me demandais ce qui pouvait encore me surprendre. Plusieurs fois ma Maîtresse me fit couché, puis asseoir. Malgré la fatigue générale qui commençait à me tomber dessus, je redoublais mes efforts.
Encore quelques trois heures à tenir, me répétais-je pour oublier mes genoux qui me faisaient souffrir de plus en plus. Mais ma Maîtresse s’aperçut que je n’étais pas aussi frais que la veille. Alors elle réduisit le parcours.
- Allez Clochard, encore un petit effort ! Assis…
On était dans la salle de bains. Je me suis assis, puis ma Maîtresse a pointé son index devant mon museau.
- Pas bouger Clochard ! Tu restes là.
Comme seul réponse que je pouvais lui donner, je me mis à lui lécher son doigt. Elle se mit à rire. Puis elle partit rejoindre la cuisine. J’ai du rester assis cinq bonnes minutes. Puis elle m’appela.
- Viens aux pieds Clochard !
Je partis la rejoindre dans la cuisine.
- Assis me dit-elle dès mon arrivée. Assis et donne la patte !
Je m’exécutais. Puis elle se retourna tenant à la main un os de gigot. Elle me le glissa entre les dents et me pria d’aller le ronger sur mon tapis, pour ne pas salir la maison. Je comprenais mieux cette odeur de viande dans la cuisine.
- C’est dimanche, t’as bien le droit à ton os ! me dit-elle avec un sourire.
Je repartais sur mon tapis, l’os dans la gueule. Comme ma Maîtresse était gentille, elle avait laissé beaucoup de viande sur l’os. Le plus dur n’était pas de sucer l’os, mais de ne pas me servir de mes doigts. Comme ma Maîtresse n’était pas folle, elle s’est mise à l’ordinateur à quelques mètres de mon tapis. Et de temps en temps elle jetait un coup d’œil. La seule chose que je pouvais faire était de poser la patte sur l’os pour le maintenir.
Quand mon repas fut terminé, elle m’ordonna de venir me coucher à ses pieds sous le bureau. Elle s’écarta pour me laisser passer, puis ensuite se remit en place, posant ses pieds nus sur mon ventre. Elle me caressait, puis un pied est venu jouer avec mon museau.
Je me suis mis à lécher ses pieds, le dessus, le dessous, puis comme un bon chien qui joue avec sa Maîtresse, j’ai commencé à mordiller ses petits doigts. Je les prenais entre les dents, puis les suçais, les léchais. Je suis resté une bonne heure ainsi, à jouer avec ses pieds.
Il devait être à peu près six heures quand ma Maîtresse s’est levée. Elle a mis son manteau. Je l’ai accompagné à la porte, puis me suis assis. J’ai levé la patte. Elle m’a alors caressé la tête.
- Au revoir mon Clochard, à bientôt, j’espère !
Puis sur un immense sourire elle est sortit. Le jeu était fini. Je suis allé me vautrer sur le canapé. Mais chose curieuse, j’y suis allé à quatre pattes. Je me suis servi un petit whisky, et repensant à tous ce week end, je me suis masturbé. J’ai ensuite pris une longue douche, et j’ai rejoins le salon avec ma sortie de bains.
Ma Maîtresse est rentrée à ce moment là. Elle est venue dans mes bras me faire des gros bisous.
- Bonjour mon chéri, t’as passé un bon samedi ?
Je n’eus pas le temps de répondre que déjà elle retirait mon peignoir. J’étais de nouveau nu, mais cette fois elle m’attira vers notre chambre.
↧
↧
Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
↧
Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
↧
Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
↧
Les rediff de l'été... Transformations
Quelques témoignages a relire...
Brève: Katie
Voilà cette histoire c est passée il y a environ dix ans.
J ai commencée à me travestir des l‘âge de cinq ans, et depuis le plaisir n’a cessé de grandir en même temps que je grandissais j’avais toujours envie de plus.
Arrivée à l‘âge de 15 ans je passais énormément de temps dans la chambre de ma mère à essayer toutes sa lingerie et tous ses vêtements.
Je passais des week-end entier a être une fille une jeune femme et je pouvais prendre tout le temps que je voulais car ma mère travaillait pour une société de cosmétique donc pas souvent à la maison et l’avantage produit maquillage et perruque à volonté.
Et comme je le disais le plaisir ne cessait de grandir je voulais toujours plus je voulais me montrer, que des personnes me voient. Alors je me suis faite une promesse qu’à la prochaine soirée style hallowen, carnaval j’irais en fille.
Et voilà que la prochaine soirée avait lieu dans une semaine le bal masqué du lycée. J étais impatiente que passe cette semaine et j avais une certaine peur que l’on puisse me découvrir, alors j'hésitais.
Mais voilà, la jeune fille qui était en moi ne demandait qu’à s’extérioriser.
Arriva ce fameux vendredi le matin.
Pour aller au lycée je m’habilla normalement mais sous mon jeans un collants.
La journée passa assez vite, après les cours je me dépêchais de rentrer à la maison. Je commença à me préparer: épilation, douche, vernis à ongle, maquillage et perruque blonde.
Enfin la lingerie je choisi une guêpière blanche rembourrée avec des faux seins en silicone et avec string assorti et une paire de bas blanc.
Vêtements: jupe noire, blouse noire transparente et veste assortie à la jupe ainsi qu’une paire d’escarpins noire Enfin le moment arriva.
Je mis un imper et je pris mon sac, je mis le masque et le chapeau pour le bal dedans et comme il pleuvait je pris un parapluie et je partis de chez moi
Une fois dans la rue et le parapluie ouvert cachant une partie de ma tête, j’avais une certain confiance et le trajet jusqu’au lycée durait environ 5 à10 minutes.
Arrivée aux abords du lycée je mis le masque et le chapeau je passa par les casiers poser mon imper et me dirigea vers la salle du bal.
La soirée battait son plein, il y avait plein de monde. Je pénétrais dans la salle me dirigea vers le fond, là il y avait les boissons, pris une sangria et me posa a proximité des coulisses.
Apparemment personnes ne faisaient attention à moi . Je mis a marcher dans les coulisses prenant des poses et oups je ne sais pourquoi mais je mis a bander et comme une chienne je n arrivais plus arrêtée le plaisir qui montait et je décidais de partir de la soirée.
Passer par les casiers et arrivée à l extérieur du lycée, j’enleva le masque et le chapeau et pris la direction de la maison vu l’heure qu’il était je pris mon temps passant par les bois me posent sur un banc pour fumer un joint.
Alors que j’allais partir deux jeunes du lycée qui m avaient suivie m'accostèrent.
Je reconnu mes camarades de classe et l’un deux était aussi mon voisin.
- Salut moi c est Marc et lui c’est Marco, tu ressembles à mon voisin
- Salut je suis Katie une cousine de ton voisin.
Je crois qu’il ne m’a pas cru car...
- Ecarte les cuisses salope je veux vérifier si tu es bien fille!
Et là je luis avoua que j’étais bien son voisin. Ils me posèrent toutes sortes de questions alors pour éviter de répondre dans le vide je décida de tout leur raconter de A à Z.
En échange ils décidèrent de me raccompagner. Arrivé dans l'ascenseur mon voisin me proposa de venir boire un verre chez lui avec son pote.
- Voulez-vous que je vienne comme ça ou que j aille me changer?
- Moi j ai bien envie de connaître Katie
- Moi aussi
- Alors OK
Une fois chez lui au salon, il nous offrit du champagne, mis la télévision et les questions recommencèrent à pleuvoir. Le champagne aidant je commença a dévoilée tous mes fantasmes.
Et plus particulièrement pour la première fois que j’avais envie de deux hommes et qu’ils me pénètrent en même temps.
Ils se regardèrent
- Et mais ont est 2 !!!
- Tu serais prèle a te faire dépuceler maintenant?
- Oui mais avant je veux vous faire une fellation à chacun de A à Z
- OK salope viens sucer tu verras tu ne va pas le regretter
Je me mis a genoux entre ses jambes et commença à sortir le sexe du pantalon.
Et là!!! Quelle vision!
Elle était magnifique, grosse et longue, ce sexe a demi en érection. J’approcha ma bouche lui fit quelque bisous sur toute la longueur et commença a lui lécher le gland avant de le prendre en bouche.
Quel plaisir que de sentir ce sexe palpiter et grossir dans ma bouche maintenant je suçais un sexe en pleine érection
- Putain tu suce bien petite pute aller continue salope vas-y à fond je ne vais pas tarder à jouir chienne continue oui c est bonnnnnnn!!!!!!!!!!!
- AVALE espèce de salope et pas une goutte à coté
- Alors tu aimes espèce de chienne
- Oui c est délicieux !
- Aller petite pute va sucer ton deuxième amant
- Oui avec plaisir...
Toujours à genoux et je me mis a sucer mon deuxième camarade alors que l autre avait relevé ma jupe et préparait mon petit trou tout en continuent de m’insulter de CHIENNE TRAINEE SALOPE PUTE PUTAIN CATIN cela dura environ 5 minutes.
- Vas y à fond je vais jouir, avale salope
- T’aime ça salope?
- Oui j aime cette liqueur cette crème cette texture visqueuse ce picotement dans la bouche oui c’est délicieux
- T’es une sacrée chienne toi
- Aller déshabille toi salope
Je me mis debout et commença à me déshabillèrent la veste la jupe la blouse et je restais en lingerie avec mes talons.
- Mets toi à quatre pattes salope.
Une fois ainsi, ils se mirent devant moi et je commença à les sucer pour leur redonner de la vigueur.
Après une ou deux minutes, ils bandaient très fort. L’un d’eux passa derrière et mit son gland contre mon petit trou et il me pénétra en regardant son pote. Une nouvelle sensation envahi mon corps et je me mis à trembler et je jouis seul sans même me toucher...
- Putain elle jouit la salope
- Tu aime te faire défoncer petite chienne
- Oui j aime
Et je me mis a dire que j étais qu’une chienne une salope
- Baisez la putain que je suis oui faite moi jouir
Là ils se mirent à me baiser voilement j ai crus qu’ils me déchiraient. Je voulais crier mais le sexe qui me baisait la bouche m’en empêchait. Au bout de quelques minutes, la douleur fit place au plaisir. Ils changèrent de position, celui que je suçais passa derrière et l’autre me mis son sexe en bouche.
Je fus ainsi prise pendant une bonne heure et je me suis retrouvais dans toutes les positions inimaginables et aux moment de jouir ils ont décidé de jouir ensemble pour mon plus grand plaisir.
Et quand je senti cette liqueur venir s éclater au fond de mes entrailles et mon autre amant qui me remplissait la bouche je fus pris de spasme et me mis a jouir sans m être branler
- Putain c est une bonne chienne cette Katie
- Oui faudra qu’on recommence
- Tiens donc je suis sur qu’elle serait prèle a recommencer
- N est ce pas petite pute?
- Oui se serait avec plaisir d être de nouveau votre pute votre chienne, oui je veux me faire baiser et vu que c était mon voisin je lui dis c est quand tu veux ou tu veux.
A bientôt pour de nouvelle aventures........
Brève: Féminisation
Je m'appelle Sophie et suis une femme de quarante-deux ans.
Je me suis mariée vierge à vingt-deux ans avec Georges, un homme qui m'a plu parce qu'il était très doux. II m'a comblé par sa douceur, ses longues caresses, mais avait un tout petit sexe, et les rares fois ou il me pénétrait, je ne ressentais rien.
Nous nous amusions souvent, mais il ne me prenait qu'une ou deux fois par mois. J'avais beaucoup de plaisir lors de nos étreintes, surtout à cause des longues caresses réciproques, et je connaissais de bons orgasmes sous ses doigts et sa langue.
Je le caressais sur tout son corps et il a vite apprécié mes caresses sur son torse, dans sa raie et surtout mes pinçons sur ses tétons. Je sentais qu'il me manquait quelque chose mais n'osais imaginer d'avoir une aventure, et encore moins de quitter mon mari.
J'avais remarqué un homme de dix ans plus âgé que moi, qui était médecin dans notre immeuble et se montrait prévenant avec moi. Discrètement, il me lançait quelques compliments et allusions auxquels toute femme est sensible. Petit à petit, je me faisais a l'idée de céder à cet homme séduisant.
Un jour que j'étais plus réceptive, il le sentit, vint vers moi, me prit dans ses bras sans que je le repousse vraiment. Il glissa une main sous ma jupe, le long de mes jambes et m'embrassa.
Je le laissai m'emmener chez lui et il me fit merveilleusement bien l'amour. J'ai tout de suite aimé être possédée par sa queue de bonne taille que je sentais bien vivre au fond de moi.
Apres quelques après-midi dans les bras de Jacques, mon amant, je décidai d 'en parler a mon mari. Je lui glissai innocemment que j'aimerais connaître un autre homme ayant un sexe plus gros que le sien pour voir ce que ca faisait.
Je le rassurai en lui disant que je l'aimais et que je désirais rester toujours avec lui. Petit à petit, Georges se fit a cette idée, et le jour ou je lui dis que ce médecin me plaisait beaucoup, et lui demandai si je pouvais l'inviter pour lui faire l'amour devant lui, il me donna son accord.
Je prévins mon amant et l'invitai pour le vendredi soir. Je m'étais vêtue d'une robe courte, évasée, sans soutien-gorge, d'un porte-jarretelles, d'un slip a dentelles, de bas et d'escarpins à talons hauts. Jacques fit comme si nous ne nous connaissions pas.
A l'apéritif, il commença a me faire la cour, puis demanda à mon mari si j'étais amoureuse et bonne maîtresse. Georges répondit qu'il pouvait s'en assurer, s'il le voulait.
Dès cet instant, mon amant se fit plus pressant. J'étais assise face à lui et son regard plongeait sous ma robe. II me dit::
- Sophie, vous me plaisez, et j'aimerais admirer vos dessous ! ”
Je me surpris a lui obéir et d'écarter mes genoux. II avait maintenant une vue complète sur mes bas et ma culotte de dentelle.
Au bout d'un moment de conversation et pour vérifier l'accord de Georges, il me dit:
- Pour que j'admire vos trésors, enlevez votre culotte qui les cache ! ”
Je me levais, retirais ma culotte et repris ma position assise, cuisses largement écartées. Mon mari qui me regardait offrir ma fente a la vue de Jacques n'avait aucune réaction.
Mon amant me dit alors de venir m'asseoir sur ses genoux. Sa main gauche passa sur un sein, l'autre main me fit des petits pinçons sur les tétons à travers le fin tissu, puis elle glissa vers mes genoux et remonta sous la robe.
La bouche de Jacques s'empara de mes lèvres dans un baiser profond. Je commençais à me sentir bien. II m'écarta lentement mais fermement les cuisses, me caressa la fente et me fouilla avec plusieurs de ses doigts.
Apres m'avoir procuré ainsi plusieurs orgasmes violents, il s'assit sur le canapé. Je retirai ma robe pour ne garder que porte-jarretelles, bas et escarpins. Georges nous regardait, toujours sans réagir. Je reculai vers Jacques qui se mit à caresser ma croupe d'une main, tandis que l'autre s'emparait de ma fente, ce qui me fit gémir de plaisir.
J'écartai les jambes et les plaçai de part et d'autre de celles de mon amant. Face à mon mari, les yeux dans les siens, je saisis la queue tendue de Jacques et, tout en la caressant, la promenai sur mes grandes lèvres. Je dis alors a mon mari :
- Regarde, mon chéri ! ta petite femme va se faire planter le sexe d'un autre homme dans la moule, pour son plaisir et le tien. ”
Je descendis lentement, et m'empalai a fond sur ce pieu qui me faisait du bien. J'eus plusieurs orgasmes devant mon mari avant que mon amant n'explose en moi.
En accord avec Georges, Jacques revenait me faire l'amour de temps en temps. Un jour, il me fit remarquer que mon époux n'était pas viril, et que son manque de réaction de le voir me posséder devant lui le prouvait.
Un jour, il dit a Georges que, s'il était d'accord, il devrait nous servir quand il venait passer la soirée chez nous. De mon coté je lui suggérai qu'une tenue de soubrette lui irait bien ! II ne répondit rien.
Un soir, Jacques apporta une valise et dit a Georges aller se changer pour nous servir le repas. Une ” serveuse ” adorable apparut au bout d un moment.
Sa tenue comportait un soutien-gorge et des faux seins, un serre taille, des bas, des chaussures à talons, une robe boutonnée devant, un tablier une perruque. J'étais surprise de l'aisance de mon mari dans cette tenue. II avait vraiment l'air d'une femme, avec son corps imberbe et son 1,68 m.
Il-elle fit le service pendant le repas, puis Jacques et moi avons fait l'amour. J'avais l'impression que mon mari avait toujours été une femme ! Surtout quand Jacques passe une main sous la robe de Georges, qu'il la déboutonne et qu'il abaissé le slip de notre ” servante ” '
Apres avoir ri de son sexe d'enfant, Jacques a ordonné à Georges de se retourner et de se pencher en avant pour qu'il puisse lui caresser les fesses. J'allai vers Georges et pris son petit cul rond en y enfonçant doucement plusieurs doigts.
A ma demande Jacques approcha sa queue. Je la pris en mains et c'est moi qui ai dépucelé le cul de mon mari avec la queue de mon amant. Puis, pendant que Jacques possédait Georges j ai sucé la petite queue de mon mari qui était aux anges et m'a explosé dans la gorge.
Apres cette première expérience, j 'ai vite imposé à mon mari de n'être plus qu’habillé en femme et maquillé dès qu'il était à la maison.
Très vite, il n'a plus pensé qu'en femelle soumise et s'est comporté comme telle.
Mon amant et moi en avons profité. Jacques a fait prendre des pilules à mon mari pour le rendre encore plus femme. Par la suite, il lui a même fait avec son accord, des piqûres de progestérone qui ont arrondi ses hanches et fait pousser ses seins.
Depuis quatre ans, il-elle vit en femme, se maquille et pense surtout à être désirable.
Jacques l'a complètement asservi(e) à assouvir ses désirs et le-la possède dès qu’il en a envie. Moi même, je suis assez docile devant Jacques qui, en fait, est devenu notre amant à tou(te)s les deux.
Quand il n'est pas là, Georges et moi, nous nous caressons comme deux gouines de façon merveilleuse. Lorsqu'il y a des invités (dans le coup) à la maison, ma “copine” et moi devons passer la soirée torse nu, en mini jupe, bas, escarpins et sans culotte.
Ainsi nos hôtes peuvent pincer nos seins, passer leurs mains sous nos jupes…
Et naturellement, nous devons satisfaire tous leurs désirs. Nous aimons bien cette vie Malheureusement, Jacques va partir en province. Les deux ” nanas ” que nous sommes pourront s 'assumer financièrement car nous avons de bons jobs.
Pour le sexe ca va aussi, nous nous gouinons toutes les deux, et nous nous possédons l'une l'autre ou ensemble, avec un double gode que je plante dans le cul de Georges et en moi devant ou derrière. Pourtant, nous sommes un peu perdues sans un patron et surtout sans une vraie queue qui se plante en nous.
Je passe de superbes soirées de caresses réciproques avec mon mari transformé mais il me manque une bonne bite. De son côte, mon transsexuel a besoin d'être rappelé à l'ordre et enculé. ......
Brève: Clotilde
Aujourd'hui, c'est à mon tour de venir confesser mes penchants sexuels sur ce site que j'apprécie particulièrement.
Je m'appelle Jean, j'ai trente-huit ans et je suis cadre dans la banque. Je vis avec une jolie jeune femme divorcée de trente-deux ans, Clotilde. Notre relation amoureuse s'est bâtie sur une très forte attirance physique réciproque et un goût commun pour les choses du sexe.
Cela ne s'est jamais démenti depuis bientôt quatre ans que nous nous fréquentons. Clotilde a deux charmants enfants issus de son mariage, que j'élève avec elle comme si c'était les miens. Nous formons une famille unie.
Le week-end, les garçons sont le plus souvent chez leur père, tout comme durant les vacances scolaires. Ces jours là nous pouvons aisément laisser libre cours à nos pulsions les plus intimes et nous ne nous en privons pas.
D'ailleurs, le dimanche, c'est mon jour, celui où je deviens la petite femme de la maison.
Ca commence généralement dès le réveil par une séance d'habillage qui m'excite déjà beaucoup. Après ma douche, je dois enfiler la lingerie fine que Clotilde m'a préparée la veille au soir.
Tout y est, je suis même obligé de passer des collants ou, de temps en temps, des bas avec porte-jarretelles. Je dois bien sûr me vêtir devant Clotilde qui ne perd pas une miette du spectacle. Elle reste allongée sur le lit et me regarde faire.
D'abord, j'enfile la petite culotte qu'elle a prévue pour moi. Avec ma grosse bite, le string ficelle m'est bien sur interdit. Ma compagne a choisi un slip confortable qui me moule bien la pine et les couilles. Mes fesses sont bien serrées, à l'aise dans le sous-vêtement.
Je glisse le pied dans le collant ou le bas, puis, je remonte délicatement le nylon sur mes longues jambes, préalablement rasées. Je fais du vélo et ça me fournit une excellente excuse pour avoir des jambes toujours parfaitement nues.
Il ne me reste plus qu'à passer les bras dans les bretelles du soutien-gorge que Clotilde m'a offert. Elle a veillé à en rembourrer les bonnets avec du coton bien compacté. Ainsi, j'arbore une magnifique paire de seins qui ne me quitte pas de la journée.
Avec perversité, mon amie a décidé d'installer un miroir face au lit. Ca me permet de me regarder dans la glace tout en m'habillant et d'ajuster au mieux mes atours.
Pour terminer, je place sur ma tête l'une des perruques de ma panoplie, blonde ou rousse. Je suis alors prêt à enfiler les vêtements prévus pour moi par Clotilde.
Souvent, pendant cette séance d'habillage, ma compagne se touche. Elle est sur le lit, les jambes écartées et se passe un doigt en m'observant. Elle se contente de douces caresses et ne va jamais bien loin dans son plaisir, préférant se réserver pour les moments plus intenses qui ne manquent pas de survenir dans la journée.
Parfois, tout de même, un léger tressaillement la trahit et je sais alors qu'elle a joui, mais c'est assez rare. Quand j'ai fini d'enfiler mes vêtements féminins, je suis à la disposition de Clotilde pour la journée.
La semaine dernière, j'ai du lui servir le petit déjeuner en tenue de soubrette. Ce jour là, je portais des bas noirs attachés à un porte-jarretelles. Je devais marcher avec des escarpins, sur des talons de trois centimètres.
Ce n'était pas la première fois et je commence à avoir l'habitude de me trouver haut perché. Ma fausse chevelure blonde, coupée au carré me donnait un air de salope. C'est ce que Clotilde apprécie par-dessus tout. On voyait mes cuisses sous la courte jupe et le petit tablier blanc.
Je portais un chemisier blanc qui moulait parfaitement ma grosse poitrine. J'ai déjeuné seul, dans la cuisine, comme une bonne domestique et ensuite j'ai fait le ménage, toujours dans ma tenue de bonniche.
De temps en temps, Ma compagne passait derrière moi pour me toucher le cul sous ma jupe. Elle me caressait les fesses à travers le nylon de ma petite culotte puis glissait les doigts entre mes cuisses pour venir, par derrière, me tâter les couilles ou la bite.
J'aime ces attouchements furtifs et elle le sait. Dès qu'elle pose sa main sur moi, je reste immobile et je creuse les reins pour bien lui donner ma croupe. J'écarte un peu les jambes pour faciliter le passage de ses doigts et leur ouvrir le chemin de ma queue. Mais elle ne va jamais plus loin.
Son but, à ce moment là, n'est pas de me faire jouir mais d'augmenter ma tension sexuelle pour mieux la faire culminer plus tard.
Le repas de midi s'est déroulé à peu près comme celui du matin. J'ai fait le service pour satisfaire ma " patronne ". Après le dessert, elle en a eu assez de ce petit jeu.
Elle m'a traîné dans la chambre pour me changer. J'ai du enfiler une vraie tenue de pute : des bas résilles, un petit short à carreaux et un top très échancré qui laissait apparaître mon soutien-gorge. Pour finir, j'ai mis des bottes hautes qui couvraient mes jambes jusqu'au genoux.
Ensuite, nous sommes allés devant la coiffeuse. Là, elle m'a maquillé outrageusement, les yeux et les lèvres. J'avais vraiment une touche de salope. Quand elle a eu fini de me travestir, elle m'a admiré et un nouveau jeu a commencé :
- Vous prenez aussi les femmes ? C'est combien pour un broutage de minou ?
Elle voulait jouer à la cliente qui se paie une pute. En fait, quand elle me déguise, je crois que c'est surtout pour pouvoir étancher son besoin d'amours lesbiennes. Je la soupçonne d'être un peu bisexuelle et qu'au fond, elle use de cet artifice plus pour se donner l'impression de jouir avec une femme que pour réellement dominer un homme.
J'ai joué le jeu et nous sommes tombés d'accord sur le tarif. J'essayais d'être aussi vulgaire qu'elle le souhaitait. Quand elle me demanda mon nom, je lui répondis :
- Je m'appelle Candy Sex et je vais bien vous sucer la chatte.
Je la poussai sur le lit, face au miroir. Ainsi, elle pourrait voir toute la scène au fur et à mesure de son déroulement. Je sais que ça augmente son plaisir dans des proportions inouïes.
Je l'ai léchée longuement. J'ai lapé sa moule avec ma langue, en surface et dans les moindres recoins. J'ai cherché son petit bourgeon que j'ai bien mangé avec mes lèvres barbouillées de rouge. J'avais vraiment l'impression d'être une gouine. Ca a duré une bonne partie de l'après-midi. Clotilde apprécie la manière dont je pratique le cunnilingus. Ca la fait beaucoup jouir.
Ce qu'elle aime aussi beaucoup, c'est quand je lui enfile un ou deux doigts dans la chatte pendant que je lui tète le bouton. De toute manière, sur une longue durée, il faut que je varie les plaisirs, autant pour moi que pour elle. Au début, elle était redressée sur ses avants-bras et me regardait dans le miroir. Elle ne se privait pas pour me relancer quand je faiblissais :
- Vas-y sale gouine, bouffe-moi le chat, fourre ta langue dans mon con ! Je vois ton cul de salope qui remue derrière toi. Ca t'excite de me manger la vulve ? Tu peux te toucher le minou si tu veux, mais ne compte pas sur moi pour te tripoter. C'est toi la pute !
Elle n'avait pas besoin de le préciser. Je savais bien qu'elle ne me toucherait pas durant cette phase de notre jeu de rôle. C'était une clause non-écrite de notre contrat.
Tout ce que je pouvais espérer, c'était une petite branlette rapide, ce soir, quand les enfants seraient rentrés et que nous aurions retrouvé chacun notre place respective dans la famille. Mais cela m'importait peu en fin de compte, car je voulais lui donner du plaisir et je savais me contenter de mes propres caresses sur ma queue. J'étais moi-même très excité de me voir habillé en pute, en train de lui sucer le sexe.
Je laissai donc aller ma main droite sous mon petit short. Au passage, je me caressai les cuisses. Je passai les doigts sur le côté de la culotte de satin et sortis ma queue toute raide et bien dure. Tout en continuant de lui sucer la chatte, je me masturbai, le rythme de ma main sur ma tige se calant sur celui des deux doigts qui lui fouillaient la vulve.
- Ca y est, tu te touches la chagasse, vieille lesbienne ! Tu te fais du bien en buvant mon jus ! Continue, rince-toi le gosier avec ma mouille !
Ses paroles m'excitaient. Elle était animée de soubresauts et gigotait de plus en plus, soulevant son bassin pour mieux venir s'empaler sur mes doigts. Cet après-midi, elle a joui plusieurs fois sous mes coups de langue. Moi aussi, j'ai juté dans ma main, deux ou trois fois.
J'étais heureux de pouvoir lui donner tant de plaisir et c'est à regret que j'ai du m'interrompre après qu'elle ce soit évanouie à la deuxième reprise.
Le soir, j'ai retrouvé ma vraie personnalité et, comme je l'espérais, j'ai été récompensé de mes efforts par une bonne masturbation.
Pour le week-end prochain, Clotilde m'a déjà annoncé qu'elle prévoit une surprise. J'ai hâte d'y être et je viendrai sûrement vous raconter ce qui se sera passé....
↧
↧
Un Samedi d'été au ciné...
↧
Un dimanche d'été devant la téle...
↧
L'été des rediff... Militaires
N'oublions pas de mettre à l'honneur les militaires.
KOSOVO
Episode I
Je suis un militaire de l’armée de Terre, une quarantaine d’année très bien portée, 1,74 / 68kg, très sportif. Corps ferme et très musclé, entraîné par des années de sport et d’exercice, gueule virile et coiffée en brosse.
En dépit de ce cliché très actif, je suis plutôt passif, même si l’inverse ne me déplaît pas. J’ai un physique très harmonieux, un cul particulièrement sexy qui à reçu de nombreuses queues mais qui est toujours très demandeur voire insatiable et une queue très ferme de bon calibre.
J’ai toujours essayé de ne jamais mélanger mon métier et le sexe malgré les envies et les tentations de ces centaines de mecs plus sexy les uns que les autres qui m’entourent…
Pourtant, cette année là, c’est l’été et je suis en mission pour quatre mois au Kosovo. Il fait une chaleur à crever et voilà déjà bientôt deux mois que nous sommes sur place à remplir notre mission d’interposition entre les serbes et les albanais.
La situation est plutôt calme et cette absence de stress alliée à la chaleur ne fait qu’accentuer mon envie de sexe et de queue. Je n’arrive plus à me satisfaire de mes masturbations et de mes fantasmes et les soirées sont vraiment difficiles d’autant plus que les mecs qui m’entourent se baladent en permanence à moitié à poil…
Cet après-midi là, je suis de patrouille dans une enclave serbe, écrasée par le soleil, et je me prépare à rendre visite à un responsable reconnu de l’enclave. Je l’ai déjà rencontré précédemment.
Assez méfiant au départ, il est devenu franchement sympathique au cours de nos différentes entrevues, maintenant qu’il est convaincu de notre bonne volonté de les protéger.
Il m’ouvre la porte en short et débardeur et son visage s’éclaire d’un large sourire en me voyant. Il à entre 35 et 45 ans, difficile de lui donner un âge. Il est à peine plus petit que mois, costaud sans être massif et sans un poil de graisse.
Très musculeux, il à des épaules et des bras impressionnants. Probablement résultat de son activité de bûcheron qu’il à exercé de nombreuses années. Son short bien qu’assez large semble particulièrement bien rempli au regard de la bosse qui le déforme et que j’ai déjà de nombreuses fois imaginé en érection.
Mais jamais je n’aurai pu imaginer les moments que nous allions vivre au cours des deux mois qui allaient suivre…
Il est marié mais vit sans sa famille qui est retournée en Serbie depuis les événements et il reste là pour occuper sa terre et sa maison qu’il se refuse à abandonner, espérant toujours un possible retour au calme et retour de sa famille.
À aucun moment, je n’aurai pu soupçonner ses envies et rêver qu’il puisse arriver ce qui s’est produit cet après-midi là. Le savait-il lui même au moment où il m’accueille avec ce sourire illuminant son visage assez buriné par le climat continental.
Ses yeux sont très noirs et son regard particulièrement vif et perçant. Ses dents sont incroyablement blanches. Comment fait-il pour qu’elles soient aussi belles ? Une excellente hérédité probablement. En tout cas elles le rendent terriblement excitant et sa bouche virile est un appel au baiser…
Il m’invite à rentrer et je fais signe à mon conducteur de rester dans son véhicule à l’ombre, ce qu’il fait, trop heureux de pouvoir piquer une sieste en m’attendant.
Alexis, je connais son prénom mais l’appelle évidemment par un « sir » respectueux, me demande des nouvelles en anglais qu’il maîtrise de façon élémentaire mais suffisante pour pouvoir nous passer d’interprète.
Il me propose un café dans sa salle à manger qui, bien qu’à l’ombre, est étouffante. Nous échangeons quelques paroles pendant qu’il prépare le café et je l’observe discrètement.
Il se dégage de lui une très forte sensualité. Il à chaud mais transpire peu. Il se déplace sans bruit. Je perçois chez lui quelque chose d’inhabituel. Une certaine gêne est palpable entre nous.
Je ne l’avais jamais encore ressentie et pourtant je perçois aussi un plaisir certain de me voir. Il se sent probablement très seul et ma venue lui fait réellement très plaisir. Il me le dit de façon un peu maladroite :
- Thank you to come to see me.
Devant mon commentaire sur le temps et la chaleur, il me propose de sortir sur l’arrière de sa cour et de nous asseoir sur deux chaises à l’ombre d’un arbre.
Avant de s’asseoir, il retire son débardeur et je vois son torse pour la première fois. Il est un peu plus pâle que ses bras. Ses muscles sont très découpés, ses pectoraux sont carrés et recouvert sur le haut d’une rangée de poils qui se rejoignent sur le sternum et descendent en une ligne très harmonieuse jusqu’au nombril qu’ils dépassent et se perdent dans son short.
Ses abdominaux sont impressionnant et rendraient jaloux un gymnaste. Il se dégage de lui une grande force, un peu animale : une sorte de sensualité puissante et sauvage d’un homme en pleine force de l’âge en manque de sexe. Il s’assoit face à moi, un sourire un peu gêné et les deux mains pendantes, appuyées sur l’intérieur de ses cuisses, il ne sait visiblement pas quoi en faire.
Il à suivi mon regard applicateur sur son physique et un petit sourire toujours peu gêné s’installe sur son visage. Je rêve peut-être mais j’ai vraiment l’impression que la bosse de son short est plus grosse que tout à l’heure et que ses mains cherchent justement à la cacher maladroitement.
Je veux en avoir le cœur net et après l’avoir complimenté sur son physique – bien que je ne sois pas certain qu’il ait tout compris – je lui demande si je peux moi aussi retirer le haut de mon treillis car j’ai très chaud, ce qu’il empresse d’accepter.
Je procède avec beaucoup de lenteur et un très faux air de naturel et de décontraction. Je ne le regarde pas mais m’arrange pour lui présenter le meilleur angle.
Après avoir retiré ma veste de treillis, je retire mon tee-shirt Kaki en croisant les bras, saisissant le bas et remontant le long de mon torse jusqu’à la tête. Je fais volontairement semblant d’avoir des difficultés à le faire passer par la tête et me mettant de profil, je serre mes abdominaux très plats et bien dessinés, cambre les reins et fais ressortir mes fesses moulées dans mon pantalon que je garde toujours très ajusté.
Je le gratifie d’un large sourire en reposant mon tee-shirt et en lui disant que cela fait beaucoup de bien. Je n’ai pas de plan. Je suis juste complètement surexcité par la situation et le regard de ce mâle qui n’en peut visiblement plus de sa solitude mais qui n’ose pas braver un interdit avec un militaire étranger.
A- t-il déjà seulement fait l’amour avec un homme ? Probablement jamais, mais je n’en jurerai pas… Son envie est palpable et la tension monte sensiblement entre nous.
Cette fois j’en suis sûr, il bande de plus en plus, sa bosse est maintenant énorme et il ne sait comment la cacher. Il se lève soudain et se dirige vers le bas de son jardin. Je le suis, ne sachant que faire. Je suis très excité, mon sexe commence à réagir mais j’essaye de me raisonner car j’ai encore très peur de ce qu’il peut penser et je serai incapable de cacher mon érection dans mon treillis hyper moulant.
Arrivé au fond de son jardin, je sens qu’il à réussi à dominer son excitation et qu’il se sent plus détendu. Il me montre un bassin alimenté par de l’eau de pluie et qui lui sert à l’arrosage de son jardin mais aussi de piscine lorsque l’eau est propre.
Il à justement plu les deux jours précédents et le bassin est rempli et très attirant. Il est abrité par un rideau de feuillage et bien isolé. Je me mets exprès juste à coté de lui pour regarder le bassin et nos épaules se frôlent. Il s’écarte légèrement et me demande soudain comme pour briser l’excitation que je sens toujours chez lui, si je veux me baigner.
Avec plaisir je lui réponds, mais je n’ai pas de maillot de bain. Accepte-t-il que je me baigne nu ?
- C’est ce que je fais, me répond-il.
Le prenant au mot et sans attendre un instant, je commence à délacer mes rangers. Il s’écarte un peu plus et faisant semblant de faire le tour du bassin, je le vois me regarder à la dérobée.
Je suis éclairé par le soleil, sur le bord en ciment. Mes rangers retirées, je descends mon pantalon, gardant mon slip. Pendant quelques secondes, les mains sur les hanches, lui tournant presque le dos, je ferme les yeux et offre mon corps et mon visage au soleil.
J’y mets beaucoup de sensualité et je souris en l’imaginant me regarder. Je retire enfin mon slip lui offrant la vision de mes fesses totalement imberbes comme toute la surface de mon corps et que je sais particulièrement bandantes. Mon sexe est un peu gonflé mais il ne le voit pas là où il se trouve.
Les yeux de nouveaux fermés, je m’étire naturellement mais très langoureusement, faisant saillir mon cul de façon très candide mais terriblement intentionnel à son égard.
Je sais que son regard est totalement fixé sur moi à ce moment. Je le sens glisser sur mes hanches et mes cuisses et je sais que son désir est revenu encore plus fort que tout à l’heure.
Mince et souple, j’ai un corps à la fois viril et très excitant. Je le sais très harmonieux. Les courbes de mes fesses et de mon dos sont un véritable appel au sexe et je sais en jouer avec l’air de ne pas le savoir.
Mais je sens qu’à mon tour, je commence sérieusement à bander et il va m’être impossible de le lui cacher maintenant. Comment faire ?
..............
KOSOVO
Episode II
Tant pis, je le joue franco et m’accroupissant, je me retourne et m’assois sur la bordure rugueuse qui m’égratigne les fesses. Il à juste eu le temps de détourner son regard et fais semblant de ne pas me voir.
J’en profite pour me glisser dans le bassin et l’eau me recouvre jusqu’aux hanches. Le fond est un peu glissant mais l’eau est divinement agréable sans être trop froide.
Le bassin est parfaitement circulaire, pas très grand, environ 3 mètres de circonférence. L’eau étant un peu trouble, en m’accroupissant je peux cacher mon érection qui est maintenant totale.
En fait, j’ai intellectuellement totalement basculé et je suis prêt à tenter ma chance avec lui. Je ne réfléchi plus à aucune conséquence car j’ai maintenant senti, qu’il était lui aussi arrivé à un point d’excitation et d’envie où tout est possible…
- Tu viens avec moi ? Je lui demande.
Il hésite et je comprends pourquoi : il bande complètement et cache difficilement son érection en mettant ses deux poings dans ses poches. Il est complètement partagé entre son envie démesurée de sexe qui transparaît dans l’adrénaline qui lui bas les tempes et sa gêne de montrer son érection.
- Viens, c’est vraiment formidable !
Lui dis-je d’un ton très désinvolte et pour l’aider, je lui tourne le dos et m’appuie au bord, face au soleil. En me remettant debout, je lui montre mon dos et la naissance de mon cul qui j’en suis certain devrait finir de le décider.
Je ne crois pas si bien dire et en l’espace de quelques secondes très rapides, je l’entends se mettre à l’eau. Je me retourne et je le vois complètement accroupi. Seule sa tête sort de l’eau. Il se cache toujours mais il sourit. Ses épaules puissantes affleurent à la surface et ses bras sont vers l’avant, servant à l’équilibrer.
Cette fois-ci je n’en peux plus. Mon sexe est tendu à l’extrême. Je sens l’eau tiède onduler sur mon cul, sur mes couilles et entre mes jambes. Je rêve de ce mec qui bande comme un fou, qui à l’air d’être monté comme un âne et qui est en manque de sexe depuis des mois.
J’ai trop envie de lui et de lui donner ce que j’ai de meilleur : ma bouche et mon cul accueillant.
Je m’approche de lui en le fixant droit dans les yeux. Il me fixe en retour. Nos yeux sont plantés les uns dans les autres et nous rassurent l’un l’autre. Je suis maintenant à un mètre de lui. Je lui souris toujours, je lui dis par mon regard que j’ai moi aussi terriblement envie de lui. Que je veux lui donner le plaisir qu’il espère et qui le fait triquer.
Je suis maintenant à cinquante centimètres de lui, je m’avance entre ses deux bras qui flottent de part et d’autre. J’approche mon visage du sien de plus en plus près mais je sens instinctivement que si je cherche à l’embrasser je risque de le rebuter et de casser son envie qui m’a l’air plus bestiale que sensuelle.
Je m’arrête, mes yeux toujours dans les siens et je pose ma main sur sa cuisse. Il frissonne mais se laisse faire. Elle est puissante et tremble légèrement. Je le sens terriblement excité et très tendu à la fois.
Je glisse ma main sur sa jambe et descend vers son entrejambe. Il à un léger réflexe de recul mais il est pratiquement collé contre le bord du bassin et je touche enfin ce sexe que je n’ai pas encore réussi à entrevoir vraiment. Il est énorme.
Ma main à du mal à en faire le tour et sa longueur est supérieure à 20 cm. Il est dur comme de la pierre et aussi noueux que ses muscles. Je sens son relief noueux sous la peau fine qui le gaine. Son diamètre est impressionnant et j’ai l’impression de tenir un énorme bâton.
- Great, je lui murmure, Your dick is fantastic !
Cette phrase à l’air de le rassurer définitivement et il se détend soudainement. Il avance son bassin au devant de mes mains qui s’occupent maintenant complètement de son sexe.
Je le caresse de toute sa longueur, je le décalotte et lui caresse les couilles sans m’aventurer plus loin afin qu’il comprenne bien que je n’en veux pas à son cul. Il vibre d’envie retenue et je le sens rempli d’une vie et d’une tension qui traduit toute l’attente et la frustration de ce mec plein de vie qui n’a pas dû baiser depuis des mois.
Je commence à le branler doucement tout en lui caressant le corps avec mon autre main. Ses bras jusqu’à présents inactifs se rejoignent et enserrent ma taille. Je sens ses mains larges, assez calleuses mais très sensuelles descendent vers mes fesses qu’il caresse d’abord doucement puis de plus en plus rudement. Il m’enserre soudain les deux globes de mon cul et je sens ses doigts chercher mon anus.
Je lui offre immédiatement le passage en gémissant légèrement pour lui montrer que nous sommes bien sur la même longueur d’onde.
J’ai envie de coller mon corps contre le sien et de profiter de son excitation afin de faire monter ses sensations mais il à visiblement trop attendu et avec une force surprenante, il me retourne soudain et se met debout.
Il prend son sexe à la main et essaye de me l’enfoncer brutalement dans le cul avec une maladresse touchante mais une envie terriblement forte et trop longtemps contenue.
Sur le moment, moi même terriblement excité, je le laisse faire et ouvre mes fesses à sa queue magnifique qu’il pousse vers l’avant. Ca y est, son gland à trouvé mon anus et je me prépare à l’introduction quand il se met à pousser d’un coup violent.
Je suis tellement surpris par sa tentative que je n’ai pas eu le temps de me décontracter et la douleur est fulgurante!
Je pousse un cri de douleur que j’arrive heureusement à maîtriser pour ne pas alerter l’entourage. C’est terriblement douloureux et je suis complètement crispé maintenant. Il pousse toujours.
Son gland force et progresse un peu mais il ne passe pas. Il doit avoir terriblement mal lui aussi. Il faut dire que l’eau n’est pas un très bon lubrifiant et que j’ai perdu un peu l’habitude depuis deux mois de sevrage.
J’ai le sphincter en feu. Il pousse toujours. Rien à faire, j’ai vraiment trop mal.
Je me retire brusquement et avant qu’il n’ait eu le temps de réagir je lui prends la main et le conduit vers le bord opposé du bassin qui remonte légèrement. L’eau nous arrive maintenant à mi cuisse.
- Attends deux minutes, lui dis-je, laisse moi faire.
Je crache dans mes mains et m’enduit largement le cul de salive. J’en profite pour me glisser deux puis trois doigts dans l’anus pour me décontracter et faire le passage car je sens qu’il ne va pas attendre longtemps.
Puis je mouille encore mes mains et enduit le plus possible son chibre énorme de ma salive en insistant sur le gland qui doit tracer la voie. Ce geste accentue encore son envie, car il laisse échapper un soupir.
Je prends une grande respiration et je me retourne et lui offrant mon cul.
- Va y doucement, lui dis-je.
Je lui prend la queue par derrière et la guide vers mon cul. Je le veux en moi mais je suis partagé entre la douleur toujours présente et l’envie de se faire défoncer par une si belle queue.
Il faut que le passage se fasse. Je sais par expérience que le plus dur c’est le passage du gland et que ca ira mieux une fois qu’il sera complètement rentré en moi.
Je le positionne à l’entrée de mon cul et pousse très légèrement pour le sentir venir. Ca à l’air de pas mal coulisser pour le moment. Puis je le lâche et élargi au maximum les deux globes de mes fesses.
Pendant que je me penche en avant pour faciliter l’intromission, il me prend par surprise et pousse soudain d’un seul coup de rein. Il force avec une telle violence que son gland transperce brusquement mon trou et le franchit d’un seul coup.
Alors que je suis encore cambré et cul offert, attendant tranquillement, il m’encule instantanément de toute sa longueur. D’une seule poussée !
Le choc est terrible!
Je pousse un hurlement de douleur et me cambre pour échapper au mal qui me prend jusque dans les jambes. J’ai l’impression d’être transpercé par un pieu brûlant. Il à pris appui sur mes hanches qu’il à tiré vers lui en même temps qu’il poussait.
Je geins comme un gosse en cherchant à me dégager de cette bite monstrueuse qui me défonce. Mais il me tient solidement. Son corps est plaqué contre le mien. Il est brûlant. Il tremble d’excitation.
Il halète dans ma nuque et s’apprête à ressortir pour me défoncer de toute sa force. Je lui attrape violemment les hanches à deux mains et le tient plaqué contre moi en lui disant en haletant :
- Attend, attend, s’il te plaît attend.
Je reprends mes appuis en écartant les jambes. Même ce mouvement est douloureux. Je cherche à m’habituer à sa présence. J’ai rarement encaissé un si gros calibre.
Mon anus est tendu à l’extrême. Je glisse ma main pour sentir sa queue à l’entrée de mon cul. En temps normal, j’adore ce toucher. Là je veux d’abord m’assurer que je ne suis pas complètement déchiré car je ne sens plus mon cul.
C’est à hurler. Il est totalement planté en moi. Il m’a littéralement empalé !...
KOSOVO
Episode III
J’entoure la base de sa queue de mes deux doigts. Je m’imagine la vision de ce pieu de chair planté dans mes reins. Ce toucher m’aide à retrouver une partie de mon envie et mon désir de me faire défoncer longuement par ses hanches viriles malgré ma douleur.
Je passe mes doigts sur ses couilles qui sont plaquées contre mon cul. Elles sont lourdes, pleines et trapues. En me retournant légèrement j’ai la vision particulièrement excitante de ses hanches puissantes collées contre les miennes.
Nos deux bassins sont serrés l’un contre l’autre comme deux amants. Cette vision me refait bander car sous la douleur j’avais perdu de ma superbe.
Ses larges mains tiennent toujours solidement mes hanches. Je le sens impatient et fébrile mais j’ai encore besoin de gagner du temps. J’ai encore très mal. Je souffle très fort. Je lui prends les mains et les promènent sur mon corps.
Il se laisse faire et me caresse. Après quelques instants, je commence à récupérer et je le sens s’impatienter. Je me décide à lever ma tête en arrière et lui dis:
- OK, tu peux y aller mais va doucement et surtout ne jouis pas, tu n’as pas de capote
Pris dans l’excitation, je viens de réaliser que j’ai pris un gros risque et je ne veux pas aller trop loin.
Ses premier aller et retour sont assez softs. Il sort et rentre assez doucement au début car je lui tiens les hanches par derrière mais il commence rapidement à s’exciter et entame un véritable pilonnage en règle.
Je perds mon équilibre sous ses premiers coups. Pour ne pas tomber, car je glisse, je suis obligé de m’appuyer des deux mains sur le bord du bassin devant moi, lui laissant toute la liberté pour se déchaîner.
Je suis partagé entre la jouissance de sentir sa queue me ramoner en profondeur, me procurer des sensations de plus en plus fortes qui gagnent tout mon bassin et la douleur qui me déchire toujours les entrailles à chaque fois qu’il me percute de ses coups de hanches.
Non seulement il me défonce de ses mouvements de cul, mais maintenant il fait bouger mon bassin qu’il éloigne et ramène contre ses couilles à chaque mouvement. Je suis complètement désarticulé et m’accroche pour ne pas m’étaler au fond du bassin. L’eau gicle autour de nous.
Je nous imagine vu de l’extérieur: deux mecs à poils en train de s’enculer comme des fous dans un bassin d’eau de pluie en plein Kosovo.
Nous poussons tous les deux des « han » dans l’effort, lui à chaque fois qu’il s’enfile en moi, et moi à chaque fois qu’il se plante dans mes reins. Je sens alors son gland gonflé me heurter le rectum. Il va me défoncer les intestins!
Il commence soudain à gémir et je sens qu’il ne peux plus se retenir. Il va me jouir dans le cul !
Dans un instant de lucidité que me permet la douleur lancinante de ses coups de bite, je profite d’un mouvement de recul pour donner un mouvement de bassin vers l’avant et sa queue me sort brutalement du cul dans un bruit mouillé.
J’ai l’anus en feu ! Je me retourne vers lui. Il à les yeux exorbités. Il n’en peut plus.
- S ‘il te plaît, encore, gémit-il.
- Non, tu vas jouir.
- S’il te plaît, continue-t-il…
- Viens, lui répondis-je.
Je lui prends alors la queue dans la main, je la lui nettoie dans l’eau car, n’ayant pas pu me préparer avant, elle est pleine de merde, ce qui n’a pas l’air de le déranger.
- Viens, lui dis-je encore. Et je le force à s’asseoir sur la bordure. Je suis face à lui.
Je me mets alors à genou devant lui et lui prend avec beaucoup de sensualité sa splendide queue dans la bouche. Elle est brûlante. Elle est violacée des efforts fournis mais elle est toujours aussi dure.
Je glisse mes lèvres le long de sa hampe de chair et sent son gland heurter le fond de ma gorge. C’est un vrai bonheur cette bite. J’entends un gémissement et levant mes yeux vers lui, je rencontre son regard écarquillé.
Ce n’est pas vrai, ce type n’a jamais été sucé ! Il n’en revient pas !
Je m’attache à lui donner le meilleur de ma bouche et je commence mes aller et venue sur son sexe toujours aussi chaud. Il gémit de plus en plus fort. Son bassin commence à onduler et il le projette vers ma bouche. Il veut me baiser la gorge.
Il à mis ses deux mains sur la bordure de part et d’autre de ses hanches et se laisse sucer tout en participant à la pipe. Mes lèvres entourent son gland. Il sent l’homme et je m’excite avec lui. Nous sommes parfaitement à l’unisson mais il heurte ma bouche de plus en plus fort. Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme.
Et soudain, alors que je ne m’y attendais pas, il pousse un râlement de jouissance et explose dans ma bouche. Son sperme me remplit instantanément la bouche et la gorge.
Je me recule alors que sa queue continue à cracher des jets blanchâtres qui m’atterrissent sur le cou et le torse. J’en suis inondé. Je suis hypnotisé par son gland violet qui éjecte son sperme sur moi de façon continue.
Je passe ma langue sur mes lèvres. Son goût est âcre et très fort et j’aurais avalé avec plaisir son sperme lourd et épais si j’avais pu être sûr de lui mais je préfère me rincer la bouche pendant qu’il termine sa jouissance et que sa queue continue de frémir et de gicler les dernières gouttes, astiquée par ma main libre.
Je le regarde jouir, il est dans la même position, assis sur la bordure, appuyé sur ses mains et la tête totalement en arrière. Il gémit doucement. Il est débordant de sensualité.
Sa queue est toujours complètement bandée. Je la nettoie avec un peu d’eau et la reprend dans ma bouche. Elle est toujours aussi dure. Je recommence ma pipe pendant qu’il continue à gémir.
Je me branle de mon autre main. Je ferme les yeux et me laisse envahir la bouche par ce sexe si viril, presque vivant, qui glisse dans mes joues et se cale sur ma gorge.
Je pousse sa queue au fond de ma gorge, j’appuie de plus en plus fort pendant que je me branle de plus en plus fort. Je sens mon sperme monter et ma jouissance venir.
Sa bite s’enfonce ma gorge et m’empêche presque de respirer. Je la veux encore plus loin. Je sens cette colonne de chair plantée dans ma gorge. Ma jouissance monte d’un seul coup. J’ai quasiment le nez sur son pubis.
Alexis gémit encore plus fort. Sa queue est maintenant complètement enfoncée. Il est à l’entrée de mon œsophage. Je ne peux plus respirer. C’est à ce moment que j’explose!
Je me recule pour ne pas suffoquer et continue à sucer ardemment cette queue toute luisante de salive pendant que mon sperme tombe en gouttes cotonneuses dans le bassin.
Quelques secondes plus tard, je me redresse et regarde Alexis. Il est encore sous l’effet de sa jouissance et quand je lui souris il me répond d’un magnifique sourire dévoilant ses dents parfaites et ses lèvres si sensuelles.
C’est toute ma récompense…
Je m’assois alors à coté de lui. Son sexe est violacé et commence à débander doucement. Je lui demande :
- Tu as aimé ?
- On ne m’a jamais fait cela, c’était fantastique.
- Je sais faire des tas d’autres choses, tu sais.
- Tu aimes les hommes ?
- J’aime les hommes et le sexe, et tu as une queue extraordinaire. Mais j’aime aussi faire l’amour et pas seulement baiser.
Je ne suis pas certain qu’il comprenne la différence entre les deux choses car il ne répond pas. Je poursuis
- J’ai adoré moi aussi, même si tu m’as vraiment fait mal au cul, puis j’ajoute:
- Si on recommence un jour, tu me laisseras faire OK ?
Il me sourit de sa façon si craquante et si sensuelle. Je sens le regard d’un mâle qui vient de prendre son pied et dont l’esprit est déjà prêt à de nouveaux ébats très sexuel. La façon dont il regarde mes reins ne trompe pas.
Plusieurs minutes passent. Je m’allonge sur le dos. Je vois son dos et ses muscles noueux et sans graisses. Des deltoïdes magnifiques que je ne peux m’empêcher de caresser du bout des doigts. Il se retourne et me dit
- Peux-tu m’attendre un peu s’il te plaît ? Je reviens tout de suite
J’acquiesce et il se lève, enfile son short et disparaît dans la maison. Je l’entends sortir. Resté seul je passe quelques minutes au soleil et fini par renfiler mon bas de treillis et mes rangers.
Mon conducteur serait capable de venir voir ce qui se passe s’il à vu Alexis sortir. Je remets mon tee-shirt et jette un coup d’œil à l’extérieur. Il n’a pas bougé et dort comme un bienheureux. C’est vraiment un bon conducteur, je vais le garder pour les prochaines fois !
Je retourne près du bassin et m’allonge au soleil.
Alexis prend du temps. Un bon quart d’heure passe et je commence à somnoler quand je le vois revenir dans le jardin un large sourire de contentement éclairant son visage. En me voyant il semble déçu.
- Tu pars ?......
KOSOVO
Episode IV
- Non, je t’attendais.
Alors d’un air victorieux, il me sort une capote de sa poche !
- J’en ai trouvé une, si t’es toujours d’accord.
Je comprend que ce me mec est vraiment en manque. Il ne sait pas quand je reviendrai. Aujourd’hui il à un cul sous la main et il à l’air décidé à en profiter au maximum.
Je ne dis pas non. J’ai moi aussi très envie de lui. Même si mon cul est encore douloureux du traitement subi, je suis frustré de ne pas avoir joui de sa queue jusqu’au bout. Mais cette fois-ci, c’est moi qui vais poser mes conditions.
- C’est OK, mais tu me laisses faire.
Je recommence à me déshabiller. Il me regarde avec le même regard que tout à l’heure et toujours cet extraordinaire sourire. Je suis maintenant à poil et m’approche de lui.
Lentement je me rapproche. Face à lui je passe ma main sur sa nuque.
J’approche sa tête de la mienne et nos lèvres se touchent. Il est surpris mais se laisse faire. Je l’embrasse et cherche à ouvrir sa bouche. Il semble hésiter. Je plaque mon corps contre le sien. Il est brûlant.
Je pose ma main sur sa queue à travers son short. Il comprend et répond à mes sollicitations. Il m’offre sa langue et sa bouche. Elles sont fraîches et nos salives se mélangent. Je recommence instantanément à bander.
Ce premier baiser est d’abord un peu hésitant. Puis, il se prend au jeu.
Jusqu’alors inactif il me prend dans ses bras et accentue son baiser. Ses mains caressent mon dos et descendent déjà vers mes fesses. Je sens son sexe qui bande de plus en plus. Sa respiration s’accélère.
Je quitte sa bouche et descends le long de son torse. Cette fois ci c’est moi qui tremble. Ce baiser m’a surexcité. Je sens mon anus s’ouvrir et se dilater d’impatience. J’ai terriblement envie de lui. J’ai envie de sa queue, de son sperme, de sa virilité et de sa sensualité.
Je descends lentement son short sur ses jambes, dévoilant sa queue toujours aussi puissante. Je n’en reviens pas. C’est un véritable manche de pioche. Je le reprends dans ma bouche avide. Je crois que je pourrai la sucer des heures.
J’y mets mes mains et je monte et descend sur sa hampe de chair qui sent bon le sexe et vibre d’excitation. Je l’enduis de ma salive, je glisse ma langue dans son trou de bite. Il gémit.
Puis je remonte vers sa bouche et reprend mon baiser humide. Cette fois-ci il ne se fait plus prier. Il à l’air d’aimer ça. Je le sens de plus en plus chaud. Sa bouche est grande, comme la mienne et nous nous roulons une pelle fantastique. Je lui lèche le menton, embrasse son visage, revient sur sa langue et dans un bruit de succion aspire sa salive dans ma bouche.
Je tremble de plus en plus. J’ai trop envie de lui. Ce type me fait complètement flipper. J’ai soudainement envie qu’il me défonce le cul comme tout à l’heure et tant pis s’il m’explose l’anus.
Son sexe de plus en plus brûlant se frotte contre mon ventre. Il est tellement chaud que cela en est à peine supportable ! Il commence à faire des mouvements du bassin. Il est complètement surexcité !
Je m’écarte de lui et le fais asseoir. Il s’allonge. Il est superbe. Sa queue est dressée et plaquée contre son ventre. Elle paraît encore plus grosse vu d’ici. Il l’a prend dans sa main et le redresse vers le ciel.
Il m’attend en me regardant impatiemment.
C’est une colonne rose foncée, tellement tendue de désir que son trou de bite est largement ouvert prêt à gicler sa semence. J’y glisse une nouvelle fois le bout de ma langue. Il râle.
Puis je prend la capote et la déroule sur sa bite. Il gémit de plaisir. Puis je recommence ma succion. J’ai heureusement plein de salive et j’enduis largement la capote. Je fais de même avec mon cul. Je glisse mes doigts pour détendre mon trou. Il s’élargit plus facilement.
Il est déjà très chaud. Mon anus est encore douloureux mais je veux absolument ce mec au fond de moi une nouvelle fois.
À cheval sur lui je me positionne et sens son gland se poser à l’entrée de mon trou. Dans cette position c’est moi qui guide et décide de tout. Je sais que je peux l’avaler. Je me penche vers l’avant et reprend possession de sa bouche tout en appuyant légèrement vers l’arrière. Je suis tellement excité que je sens mon cul s’ouvrir immédiatement.
Mon anus se distend, son gland force doucement mes sphincters qui l’entourent et le recouvre peu à peu. La salive faire glisser sa hampe lentement au fond de mes reins.
La peau de mon cul recouvre peu à peu sa bite qui progresse. La sensation est fantastique. Rien à voir avec la violence de tout à l’heure. Je le sens me remplir peu à peu complètement le bassin. C’est un vrai bonheur. Je pousse un râle de plaisir en même temps qu’il me pénètre et il râle lui aussi. Je suis toujours à genou sur lui.
Cette énorme tige de chair, dont je sens la chaleur malgré la capote, me transperce en douceur. Il progresse centimètre par centimètre. Ca n’en finit plus. Je sens qu’il est presque à fond.
Je suis plein de sa chair dure qui se dresse dans mes intestins. J’en veux encore. Je veux sentir son gland me remplir le fond du ventre. Alors je me mets accroupi sur lui et m’enfonce encore plus profond sur sa queue.
Il gémit plus fort. Je suis à fond maintenant. Je commence à avoir mal mais c’est une douleur de plaisir. Je sens les poils de ses couilles contre mon cul. J’ai plus de 20 cm de chair calés au fond de mes reins et la sensation est démente.
Je l’attire vers moi. Il se redresse en position assise. Je l’embrasse avec passion. Il répond avec la même bestialité. Il souffle de plus en plus fort. Il à envie de baiser maintenant, je le sens.
Alors je commence avec lui ce qui est une de mes spécialités : j’ondule du bassin en prenant appui sur mes cuisses et en creusant le ventre ce qui à pour effet de resserrer mes intestins et de frotter sa queue et son gland dans mon ventre.
C’est une véritable succion intérieure. Je sais que mes amants ne résistent pas longtemps à ce traitement. J’ondule de plus en plus fort. Pour moi la sensation est indescriptible.
Par ce mouvement, je sens sa bite sur toute sa longueur dressée au fond de mon ventre lorsque je resserre mes abdominaux en avançant le bassin. Je sens ce barreau vivant planté dans mon cul qui me frappe le ventre.
Il râle de plus en plus fort. Il me dit des mots en serbe que je ne comprends pas mais qui doivent me traiter de tous les noms de salopes qu’il connaît. Je le chevauche pour lui donner le maximum de plaisir.
C’est tellement fort que je sens mon sperme commencer à me monter dans les couilles alors que je ne me touche même pas.
Je le ressens tellement présent en moi que j’ai l’impression de sentir les pulsations de son cœur se répercuter dans mon cul. Je le vois lui aussi au bord de l’explosion.
J’arrête d’onduler pour reprendre mon souffle et le calmer. Je veux faire durer le plaisir avant de jouir. J’ouvre les yeux que j’avais fermés. Il me fixe de son regard gourmand. Sa bouche est entrouverte. Nous sommes immobiles.
Il respire fort. Il en veut encore.
Je l’embrasse et en même temps bascule avec lui sur le coté, puis sur le dos. Dans le mouvement j’ai accroché mes jambes autour de sa taille et il est resté planté en moi.
Il est maintenant au dessus de moi. Ses bras prennent appui de part et d’autre de ma tête. Il à compris que j’avais envie de lui et de ses coups de reins. Je suis devenu un vrai chien en chaleur et j’ai envie qu’il me défonce de toute sa puissance virile.
Sa bite ressort d’abord doucement. Je relâche la pression de mes jambes et il peut sortir presque complètement. Il coulisse en moi, bien que ma salive ait été abondante, je sens sa bite dure comme de l’acier frotter et racler mon anus. La sensation est démente.
Puis il rentre d’une seule poussée puissante mais sans violence. C’est extraordinaire. Ce mec à un sens du sexe qui me rend fou : il à tout compris et recommence. Il ressort doucement et rentre de nouveau en soufflant plus fort.
- Oh yes, fuck me, fuck me hard, je lui souffle dans l’oreille. Viens jouir en moi.
Encouragé, il accélère ses mouvements avec la même amplitude. Il sort presque complètement à chaque fois et de toute la longueur de sa queue il me lime d’un seul coup en s’enfonçant dans mon cul maintenant complètement ouvert à lui.
Je le vois au dessus de moi. Ses bras sont tendues et bandés. Je tiens ses épaules et sent ses muscles bouger pendant qu’il me baise. En baissant les yeux je vois son ventre monter et descendre, ses abdos sont complètement serrés. Son corps superbe d’animalité et de virilité me fait bander encore plus fort. Il transpire abondamment maintenant. J’aperçois une partie de sa queue quand il ressort de mon cul. Je relève les jambes encore plus haut pour faciliter la pénétration.
Ses couilles viennent caresser mon cul à chaque fois qu’il s’encastre en moi. Il accélère. Je n’en peux plus et je me prends la queue. La chaleur qu’il dégage, les coups de reins qu’il me donne se répercute dans tout mon bassin et je perds le sens de la mesure. Je crie en français, incapable de traduire :
- Va y, défonce moi le cul, enfonce moi ta bite jusqu’au fond, encule moi plus fort !.....
KOSOVO
Episode V
Je m’astique en même temps. Il halète. Maintenant il me pilonne le bassin à coups réguliers. Je pousse des gémissements d’animal. Mon plaisir est fantastique. Sa queue entre et sort, labourant mon cul de mec en chaleur sans ménagement.
Nous sommes deux mecs virils qui baisons comme des bêtes. Je me fais défoncer par un bûcheron serbe en rut monté comme un âne avec un bonheur démentiel. Je voudrai que ça dure encore et encore. Je jouis littéralement du cul. Le plaisir m’inonde tout le bassin. Je sens mon sperme bouillonner et monter dans mes couilles. En même temps je resserre mon anus autour de sa queue.
Il à fermé les yeux alors qu’il me défonce le cul de plus en plus fort. Au moment où je n’en peux plus d’attendre, je l’entends rugir comme un fauve. Il se plaque contre mon cul et jouit longuement en haletant.
Je sens son sexe se contracter et projeter son sperme dans la capote par de longues éjaculations violentes. Il refait quelques mouvements qui continuent de faire monter ma jouissance mais je n’ai pas encore éjaculé et j’en veux encore !
Je lui crie :
- Don’t stop ! Again ! Fuck me again !
Ce qu’il fait en reprenant ses mouvements de va et vient et quelques coups de bite plus tard j’explose en criant. Je gicle un sperme liquide et tiède. Mon jus se répand en gouttelette sur mon ventre. J’ai giclé jusqu’au menton. Je suis en extase. J’ai le cul et les couilles en feu.
Les spasmes continuent de me secouer, je me vide lentement. J’ai rarement connu une telle jouissance. Depuis le temps que j’attends. Je m’arrête. Je suis rassasié.
Lui, continue de me pilonner et je lui fais signe que c’est bon. Il s’arrête et s’effondre sur moi, toujours planté en moi. J’ai remis mes jambes autour de ses hanches et je laisse nos cœurs se calmer. Son visage est dans mon épaule. Il reprend ses esprits.
Je le prends dans mes bras. Je caresse son dos puissant, ose des caresses sur son cul légèrement poilu. Je lui prends ensuite la tête à deux mains. Je lui roule une pelle de reconnaissance. Puis je le pousse et nous roulons l’un sur l’autre. Je bascule sur lui.
Je reste empalé sur sa queue que je sens encore raide. Je profite de ce moment où il à les yeux mi-fermés, un sourire de plaisir sur les lèvres. Il à de la salive sur le menton et je me penche pour le lécher.
Mais je commence à avoir l’anus qui brûle et qui se resserre. Je ressors doucement sa bite et retire la capote pleine de merde à l’extérieur et de sperme à l’intérieur.
Je la retourne et la jette au loin. Des grandes traces de son jus blanc se répandent alors sur l’herbe tant il à éjaculé. Je remarque soudain qu’il à le ventre plein de mon sperme lorsqu’il s’est plaqué contre moi.
J’entreprends alors de lui nettoyer le torse de mon jus. Avec ma langue tiède, je lèche consciencieusement toutes les traces de sperme sur sa poitrine, courant autour de ses tétons, léchant ses poils, savourant ma semence que je connais bien.
C’est gluant et j’en ai rapidement plein la bouche car il y en à une bonne quantité. Je le goûte et je me régale. J’ai toujours été un amateur de sperme, frustré à cause du sida et là je me fais plaisir.
Je rêve que c’est le sperme d’Alexis et je l’avale avec délectation. J’arrive à sa queue. Elle commence à débander. Elle est luisante de son sperme. Une goutte blanchâtre pointe sur son gland.
Et là, je craque et je la prends en bouche pour la nettoyer. Je mélange nos deux saveurs. Je retrouve son goût particulier entrevue tout à l’heure. Son bassin à un mouvement de recul sous ma succion et je lui arrache un nouveau gémissement de plaisir.
Je le suce quelques minutes alors qu’il débande. Puis épuisé et reconnaissant, je pose ma tête sur sa hanche, ma joue contre sa queue et laisse passer un moment.
Alexis ne bouge plus. Je remonte vers lui. Il à les yeux ouverts et me regarde avec gourmandise.
- C’était super Alexis, je lui dis.
- Oh oui, c’était fantastique, me répond-il, j’en avais tellement envie.
Je lui rétorque qu’il peut m’appeler Bruno.
- OK, Bruno, répond-il avec un terrible accent.
Je l’embrasse une nouvelle fois. Il répond gentiment mais je sens qu’il reprend ses esprits et qu’il est un peu gêné maintenant. Il regarde autour de lui et semble réaliser que l’on vient de baiser dans son jardin et que n’importe qui aurait pu nous surprendre. Il semble pressé de se rhabiller.
Je réalise aussi que cela fait presque une heure que je suis chez Alexis et que mon conducteur est peut être réveillé. Je m’habille à mon tour. Je m’approche de lui et lui serre virilement la main.
- À bientôt Alexis.
- Tu reviens quand ? Me demande-t-il immédiatement.
Il n’a visiblement pas perdu le nord. J’ai envie de lui répondre
- Quand mon cul aura bien récupéré…,
Mais je lui dis :
- Dans 3 jours, exactement à la même heure, si tu veux.
- Avec plaisir me répond-il en souriant, et cette fois, j’aurais plein de capotes !
Je lui rend son sourire et sors de chez lui, ahuri de ce qui vient de se passer, la bouche encore imprégné de l’odeur de sperme, le cul douloureux mais complètement rassasié et impatient de revenir dans trois jours retrouver un mâle à la queue si active et si doué pour la baise.
Si j’avais su ce qui m’attendait la fois suivante, je serais probablement reparti moins gaillardement… Par rapport à cette future baise, ce qu’a vécu mon cul aujourd’hui, c’est vraiment une promenade de santé…
Mais cela, je vous le raconterai la prochaine fois si vous me le demandez
Trois jours plus tard, je reviens sur les lieux de ma dernière baise prêt pour une nouvelle partie de sexe et pleins de fantasmes en tête. Je n’ai évidemment pas arrêté de penser à ce qui s’est passé avec Alexis, mon serbe à la bite en feu… et les semaines qui m’attendent vont me paraître bien courtes maintenant.
J’ai continué à rêver de sa queue magnifique et mon cul aujourd’hui frémit de la sentir lui creuser les reins. Avec de bons lavements, j’ai passé un long moment à me préparer le cul pour qu’il soit nickel et que nous puissions baisers à couilles rabattues avec le maximum de plaisir…
J’ai aussi apporté des capotes au cas où les approvisionnements d’Alexis n’auraient pas pu être fait – ce dont je doute d’ailleurs.
Je me gare devant chez lui. Je suis venu seul, sans mon conducteur, bien que les consignes soient de toujours rester en binôme car aujourd’hui je veux prendre mon temps et baiser longuement avec Alexis.
Je frappe chez lui. J’ai le cœur qui bat plus fort d’excitation. Il m’apparaît. Toujours aussi excitant. Belle gueule virile. Dents blanches éclatantes. Cheveux très noirs, mâchoire carrée, pas rasé. Encore plus bandant que la dernière fois...
Et pourtant, son sourire est un peu crispé et je le sens immédiatement un peu distant, ou plutôt un peu tendu, voire gêné. Je lui serre la main sur le pas de sa porte en insistant longuement pour lui montrer mon impatience. Il répond mais n’insiste pas.
- Comment vas-tu Alexis ? Tu es en forme ?
- Tout est OK, me répond-il, entre.
Puis il disparaît très vite dans sa salle à manger. Je le suis et je comprends alors les raisons de sa gêne : il n’est pas seul.
Deux hommes sont assis sur deux chaises le long du mur. La table est à deux mètres devant eux. Ils attendent et me regardent fixement lorsque je rentre.
- Je te présente mon voisin et son fils, me dit-il, ils ne parlent pas anglais.
Je leur serre vigoureusement la main.
Le premier est impressionnant. C’est un vrai géant serbe. Grande gueule, crâne presque rasée, épaules de taureau. Massif. Il ne doit faire pas faire loin des deux mètres.
Ce n’est pas facile d’estimer sa taille car il est assis. Son regard n’est pas amical et je sens immédiatement une tension. Il porte un tee-shirt noir et un pantalon de treillis kaki. Ses cuisses sont impressionnantes. Il à bien une cinquantaine d’année mais une impression de force démesurée se dégage de lui. Il ne doit pas faire bon le mettre en colère !
Le second est beaucoup plus longiligne et paraît presque maigre à coté. Plus clair de peau, il doit avoir 25 ans. Son regard est un peu fuyant, il à l’air un peu gêné.
Je suis évidemment extrêmement déçu de constater que notre partie de baise est fichue. Je le dis à Alexis sachant les deux Serbes ne comprennent pas l’anglais :
- Pourquoi sont-ils là ? C’est vraiment dommage, on ne va pas pouvoir baiser aujourd’hui.
Alexis paraît encore plus embêté et me regarde ne sachant que répondre. À ce moment le géant s’adresse à lui en serbe d’une façon, me semble-t-il, un peu agressive. .....
KOSOVO
Episode VI
Alexis ne lui répond pas et s’adressant à moi :
- Bruno, je suis désolé mais il y à un problème… La dernière fois, Marko, le fils d’Ivan, nous à vus dans le jardin… Il en à parlé à son père et ils veulent te baiser à leur tour.
Il à dit la dernière phrase d’une traite. Sans me regarder. Les yeux baissés. Il ajoute :
- Ivan est assez violent et ne te laissera pas partir sans baiser. En plus, il est veuf, il n’a pas d’argent pour aller voir les putes et se contente de baiser sa vieille jument depuis des années. Il veut vraiment te baiser.
La situation à singulièrement changé en l’espace de quelques secondes. Je comprends soudain leurs attitudes respectives depuis le début. Je suis devenu le centre de leurs préoccupations sexuelles.
À tout dire, je trouve cela plutôt excitant. J’ai toujours rêvé d’être le centre d’un gang bang, même si ici l’idée de remplacer une vieille jument ne m’était jamais venue à l’esprit
Ce qui me gêne un peu, c’est l’attitude peu amicale des deux nouveaux, mais je la mets sur le compte de l’impatience et de l’envie et je réponds à Alexis
- OK, dis leur que je suis d’accord mais à condition qu’ils mettent des capotes et qu’ils y baisent sans violence. Mon cul n’est pas aussi large que celui d’une jument.
En disant cela, je réalise un peu tard que si Ivan, le géant serbe, à une queue en proportion de sa taille au regard de celle d’Alexis, je suis vraiment mal ! Je risque de passer un sale moment !
Mais il est maintenant trop tard pour reculer.
Alexis, qui semble soulagé de mon attitude, vient de traduire ma demande et après un bref échange entre eux s’approche de moi un léger sourire aux lèvres.
- Ils ont compris et sont d’accord, mais ils veulent d’abord voir comment tu me suces. Les femmes serbes ne font pas cela.
Et en disant ces mots, il défait sa braguette et sort son sexe qui pend à l’extérieur, complètement débandé. Visiblement, Alexis était inquiet de la situation et n’a pas eu le temps de s’exciter.
Je me mets à genoux devant lui et prends délicatement dans ma bouche la pine qui m’a si bien fait jouir il y à 3 jours. Je parviens à la prendre en entier dans ma bouche. Je vois du coin de l’œil les deux autres qui ne ratent rien du spectacle et nous fixent l’air ébahis.
Je sens sous mes lèvres qu’Alexis réagit immédiatement à l’action de ma langue qui se glisse partout et sa queue se tend et prend du volume à une vitesse sidérante.
En quelques secondes, elle à repris ses 20 et quelques centimètres et palpite d’envie dans mes joues. Je caresse ses couilles et profite de ce moment de calme avant la tempête.
Je veux leur donner un peu de spectacle. Je caresse les cuisses d’Alexis, remonte mes mains sur ses fesses et les glissent sous son tee-shirt, caressant ses abdominaux et remontant jusqu’à son torse musculeux. Son short tombe à ses pieds et il le retire.
Tout en continuant à engloutir son gland en creusant les joues pour lui donner un maximum de sensation, je défais ma veste de treillis et la retire. Je me mets torse nu et en profite pour me relever.
Je retire à Alexis son tee-shirt et prends sa bouche d’autorité. Il n’a pas l’air très d’accord. La présence de ses voisins encombrants semble lui donner des complexes et il m’appuie sur les épaules pour que je reprenne ma pipe.
Ivan, le géant, dit alors quelque chose d’une voix sourde.
- Il veut que tu le suces aussi, traduit Alexis
J’ai compris que le gang bang commençait et, plutôt excité, je me tourne vers Ivan qui est toujours assis. Je suis à genoux et fixe sa braguette pour la première fois.
Son treillis moule son bassin qui est assez étroit au regard de sa stature. Je constate qu’il bande déjà car son sexe est clairement visible, tendu sur l’intérieur de sa cuisse vers le bas.
Je suis relativement soulagé car il me paraît environ de la même taille que celui d’Alexis. Si ces deux queues doivent me labourer successivement le fion, je devrais m’en sortir sans trop de dommage et je vais même pouvoir prendre un super pied.
Je prends donc les choses en main et défait le bouton du pantalon du géant qui se laisse faire et avance son bassin vers l’avant pour faciliter mon action. Je défais les boutons de la braguette et il se lève pour laisser tomber son treillis à ses pieds. C’est alors que je réalise que quelque chose ne va plus !
Ce que je prenais pour une érection n’est est absolument pas une ! La bite de ce mec au repos pend vers le sol parfaitement molle et elle est bien de la taille de celle d’Alexis en pleine érection.
Je n’en reviens pas ! Putain, je suis mal, vraiment mal !
Ivan attend toujours, debout devant moi. Je me décide donc à prendre son énorme serpent de chair dans mes mains. Mon cœur s’est accéléré. Que va –t-il devenir quand je l’aurai sucé ? Peut-être ne bandera-t-il pas, me dis-je… Pour me rassurer… Sans y croire vraiment...
En effet, même si son érection se fait plus lente que celle d’Alexis, je sens très vite sa bite palpiter, gonfler et durcir dans ma bouche. Bientôt je ne peux plus la garder en bouche. Elle est devenue trop grosse.
Son gland surtout se gonfle de sang démesurément. Sa bite est tendue à l’horizontale maintenant. Et elle continue de grossir. Une odeur de sexe monte dans la pièce. J’ouvre la bouche en grand.
e parviens in extremis à enfourner son gland. Il est chaud et violet. Il progresse de quelque centimètre mais est très vite stoppé par son encombrement. Ivan à beau pousser, impossible d’aller plus loin. Je tiens sa tige avec mes deux mains. Je suis terrifié.
Elle me fait penser à … un gros concombre. J’ai quelquefois vu des bites de cette taille sur Internet, mais j’ai toujours pensé qu’il s’agissait de trucages. Aujourd’hui, j’ai la preuve que c’est possible et je suis aux premières loges !
Je sors son gland de ma bouche et suce sa tige jusqu’aux couilles. Elle doit faire 10 cm de plus que celle d’Alexis que j’ai déjà eu du mal à encaisser: facilement 30 cm !
Son gland est monstrueux. Sa bite se rétrécie juste derrière le gland et repars en grossissant comme un cône vers la base. À la base, ma main n’en fait pas le tour! Je comprends la raison de la jument. Il faut un cul comme un garage pour encaisser une teub pareille !
Ses couilles sont à l’image de sa queue, grosses comme la moitié de mon poing. Je les soupèse et les malaxe, ce qui à pour effet de tendre encore sa queue et de le faire soupirer.
Je continue de le sucer en espérant le faire jouir et éviter l’enculage que je n’ose imaginer. Il pourrait s’en satisfaire. Mais sa bite est si monstrueuse que je n’arrive pas à la prendre correctement en bouche et que je ne peux qu’essayer de le branler en le suçant au mieux.
Soudain il me repousse et parle à Alexis d’une voix rauque.
- Bruno, il veut baiser maintenant…
Je commence à paniquer. C’est impossible. Je dois gagner du temps.
- Alexis, dis-lui que c’est pas possible, il à une queue trop grosse. Il va me tuer s’il me baise !
- Je ne peux pas lui dire ça. De toute façon, il peut te frapper jusqu’à te tuer si tu refuses maintenant.
Un coup d’œil vers son regard sombre me fait vite comprendre que ce type est maintenant capable de tout et ne se contentera pas d’une branlette ni d’une pipe dont je suis au demeurant incapable. J’ai d’ailleurs déjà la mâchoire à moitié bloquée.
- Bon OK, mais dis-lui que c’est toi qui vas d’abord commencer pour m’habituer. Il est trop gros !
Après quelques secondes d’échange en serbe, Alexis me répond qu’il est d’accord.
- Met une capote, je lui réponds.
Ce qu’il fait.
Pendant ce temps, je m’enduis le cul de salive. J’ai du mal car je ne vois pas comment je vais me sortir de cette affaire et je commence à baliser sérieusement. Je vois le plus jeune qui est resté assis et qui à sorti sa bite à son tour.
Il se branle doucement. Sa bite est magnifique. Une colonne de chair rose et droite d’un très beau calibre. Rien à voir avec le monstrueux chibre d’Ivan et la bite noueuse d’Alexis. Mais je m’en détourne car Alexis s’approche et se positionne derrière moi, capote enfilée.
Je me retourne pour le sucer et enduire au maximum sa capote de lubrifiant naturel. J’ai un peu de mal. Il crache à son tour dans ses mains et m’aide dans cette préparation.
Je décide de m’allonger sur le dos, sur la table qui est à bonne hauteur et offre mon cul que j’avais pris le soin de raser de prêt à Alexis qui approche sa superbe queue de mon trou. Je cherche à me décontracter au maximum, comme la dernière fois et lui souffle :
- Doucement Alexis, doucement, OK ?...
KOSOVO
Episode VII
- OK, OK répond-il.
Et il commence à pousser. Putain j’ai déjà mal ! Je suis trop tendu ! Je le repousse et prends sa bite dans mes mains pour mieux la guider. Je souffle fort pour me décontracter et recommencer l’intromission.
Cette fois, elle force le passage et même si j’en chie encore, elle passe sans trop de mal mon sphincter et commence à s’enfiler dans mes reins. Je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir !
Cette bite est vraiment trop bonne ! Je retrouve les sensations de plaisir de la dernière fois et je le maintien plaqué contre moi en croisant mes jambes derrière ses reins.
- Alexis, j’adore ta bite ! Oh oui, baise-moi !
Et je le laisse commencer ses vas et viens. Il est trop beau face à moi. Je vois son pubis aller et venir, son buste est puissant et la vision de ce mec me fait bander encore plus fort. Il me baise maintenant régulièrement.
J’en ai complètement oublié les autres et ne pense qu’à cette queue qui coulisse en moi et me transporte de jouissance. Je ferme les yeux et ondule du cul pour aller au devant de lui.
- Baise-moi plus fort Alexis !
Mais soudain, il se retire brutalement!
J’ouvre les yeux et vois Ivan apparaître dans mon champ de vision. C’est une vraie bête de catch. Il est massif, il à toujours son tee-shirt noir et entre ses cuisses musclées et poilues son sexe oscille lourdement.
Une impression de force se dégage de cet homme pourtant d’un certain âge. Son sexe est tendu à l’horizontal. Il me paraît encore plus monstrueux de loin. C’est sûr, il va me couper en deux.
Jamais son gland ne percera mes sphincters, mêmes s’ils ont quelques expériences passées de bites de tailles respectables. Je ne suis pas un adepte du Fist et il faudrait avoir l’habitude ce genre de traitement pour pouvoir encaisser sa pine démentielle.
Et pourtant, quelque part, je suis terriblement excité par cette bite qui attend de faire jouir quelqu’un depuis si longtemps…
Je suis terrifié mais je bande dur comme du bois. Ma pine est tendue sur mon ventre et j’ai les jambes écartées maintenant repliées et posées sur la table. Ivan regarde le trou de mon cul qui vient d’être libéré et approche sa bite vers lui..
Il à mis une capote qui est tendue au maximum. Je ne la distingue que par le bourrelet qui entoure sa queue au deux-tiers car elle ne va pas jusqu’à la base. Elle brille car il à du l’enduire de salive comme nous avons fait. Je n’ai pas le temps de faire quoique ce soit et Ivan positionne son gland devant mon trou et commence à pousser.
Je sens immédiatement que ça ne passera jamais ! Il force et commence à me déchirer le cul. La douleur me prend les reins d’un seul coup mais le gland ne progresse pas. Ca ne glisse de toute façon pas assez. Je vois que le géant s’impatiente et ne comprend pas.
Il m’attrape les hanches et je le sens s’apprêter à forcer d’un seul coup. Il va me couper en deux ! !
- Stop! Hurles-je ! Ca ne glisse pas assez ! ! C’est impossible ! Alexis, est-ce que tu as quelque chose pour faire glisser ?
Alexis comprend immédiatement et sort une bouteille d’huile de consommation. Je la prends et en me redressant en verse sur mes mains pour m’enduire largement le cul.
Je sais que ce n’est pas recommandé pour une capote mais je n’ai pas le choix. J’en enduis toute la queue d’Ivan qui me paraît encore plus démesurée qu’avant. Je me dis que si le gland passe, je peux peut-être m’en sortir. Pas indemne mais le moins mal possible.
Je m’allonge à nouveau, jambes en l’air. Cette fois-ci, le géant serbe me prend les hanches d’autorité. Il se positionne et recommence à pousser. Je sens immédiatement que l’huile fait son effet et que son gland glisse et commence à s’enfoncer dans mon anus.
Mais très vite mes sphincters arrivent à la tension maximale et le gland reste coincé. Ivan donne un coup de rein. Je hurle! La douleur est atroce! Il va me défoncer!! Je cherche à me dégager!
Tout sauf cette douleur et cette queue qui me transperce ! Mais il me tient tellement fort que je ne peux pas bouger mes reins d’un centimètre. Il continue de pousser et son gland progresse en forçant le passage.
La douleur est indescriptible ! Je recommence à hurler, sans discontinuer cette fois. Je ne sens plus mon cul ! Mon bassin est complètement irradié ! Je gueule !
-Alexis, arrête ! Arrête-le ! Haaaa ! Arrête ! ! !
Je vois Alexis s’approcher. Il semble terrorisé ! De quoi ? De savoir que je peux me faire défoncer les intestins et crever chez lui d’une hémorragie ou de voir que son voisin n’arrive pas à m’enculer !
Il à les yeux fixé sur mon cul qui doit être distendu voire déjà en sang !
Mai Ivan recommence à pousser. Je hurle encore plus fort et me cambre de douleur. Je suis tendu comme un arc. Mais impossible même de bouger mes jambes qu’il à emprisonnées sous ses bras.
Mon cri est atroce et va alerter tout le village ! Soudain, je sens une main qui se pose sur ma bouche et étouffe mes cris. C’est Alexis ! Son visage est à deux doigts du mien.
- S’il te plaît, ne crie pas !
Mais Ivan pousse toujours et je sens le gland me déchirer les entrailles millimètre par millimètre. J’ai perdu tout sens commun sous la douleur. Je râle de douleur en essayant de me dégager. Rien n’y fait.
Je bouge la tête de droite à gauche en gémissant. Alexis à du mal à contenir mes cris. Et soudain, alors que je suis à deux doigts de tourner de l’œil, je sens la bite d’Ivan franchir d’un seul coup mon sphincter.
Mon cul s’est refermé sur sa hampe de chair enserrant la base de son gland.
- Oh putain, oh putain !
C’est tout ce que j’arrive à dire en haletant comme un chien !
Ivan, s’est arrêté. Il à compris que j’avais besoin d’une pause, ou peut-être Alexis lui à fait comprendre car visiblement il s’engueule maintenant. J’en profite pour récupérer.
Je vois le jeune Marko, les yeux écarquillés qui ne perd rien du spectacle et continue de s’astiquer. Il s’est mis debout pour mieux voir. Je sens le gland d’Ivan qui me remplit le ventre. J’ai terriblement mal partout ! Je ne bande plus du tout ! Je n’en peux plus ! J’attrape Alexis par le bras et lui dis en haletant :
- Aide moi… Embrasse moi…
Et je lui montre ma queue complètement ramollie.
Maintenant moins embarrassé que tout à l’heure, il me prend la bouche et comme pour me remercier de mon effort me roule un patin fantastique. Il enroule sa langue dans la mienne, ouvre sa bouche en grand et échange toute sa salive avec moi.
Je lui prends la tête dans mes mains comme j’aime le faire. Il en profite pour me prendre ma queue et chercher à me branler pour me redonner de la vigueur. C’est la première fois qu’il me touche la queue et son contact me permet d’encaisser une partie du traumatisme subi et me refait rebander peu à peu.
Le baiser se prolonge. Je prends Alexis dans mes bras. Il est allongé sur moi, légèrement de coté. Nos torses se touchent. Je rebande à fond maintenant même si je ne sens plus mon cul. Je me sens toujours aussi vidé mais une certaine envie remonte dans mes couilles.
C’est alors qu’Ivan commence à s’enfoncer en moi. Je sens mon cul s’élargir sous sa poussée et sa queue monstrueuse progresser. Mon anus s’agrandit encore et la douleur revient d’un seul coup. Puis au moment où je n’en peux de nouveau plus, je sens son gland buter sur ma prostate. Il est à fond en moi, il ne peut plus aller plus loin même si sa queue n’est pas complètement rentrée !
Alexis se relève et Ivan en profite pour commencer à me baiser. La sensation est indescriptible. Heureusement que je bande car je peux m’astiquer et entretenir un peu de plaisir dans la douleur qui me paralyse les reins. Quand il ressort, je sens son gland buter contre mon anus qui le retient prisonnier et quand il s’enfonce, je sens son gland buter violemment contre mes intestins.
Ses mouvements sont assez forts mais supportables. Je continue à me branler pendant qu’il m’encule de plus en plus vite. Il halète ! Je gémis ! Je continue à mes branler doucement pour entretenir le plaisir dans ma queue et empêcher la douleur de m’envahir le bassin et l’esprit.
Ivan le géant ne quitte pas sa queue des yeux qui entre et sort de mon cul distendu. Maintenant il me baise avec régularité et malgré son physique, avec une certaine lenteur voire douceur. Il à maintenant les yeux fermés et doit imaginer en train de pénétrer une femme lascive.
Il entre et sort de mon cul avec application alors que mon bassin est complètement irradié de douleur et de plaisir mélangé. À chaque coup de rein, je ne peux m’empêcher de pousser un cri rauque qui ponctue l’avancé de sa bite au fond de mes reins et le frappement de son gland dans mon ventre.
Jamais quelqu’un n’est allé aussi loin au fond de moi. La sensation est indescriptible. Son sexe vit en moi et occupe une place énorme. J’ai une impression d’être complètement ouvert et de ne plus avoir d’anus..
Je sens mon désir monter assez violemment pendant que je me branle mais je me retiens car je ne veux surtout pas jouir avant qu’il ait fini. Je ne pourrai jamais supporter un tel traitement après avoir éjaculé, quand mes sens s’apaiseront…
Ivan continue ses mouvements dans mes reins.
Sa toison pubienne ne parvient pas encore à toucher mes fesses tant son sexe est gros. Sa queue coulisse heureusement parfaitement. Ses mouvements m’aident à me relâcher complètement.
Cette action cumulée avec le relâchement total de mon cul qui n’en peut plus, fait peu à peu évoluer mes sensations. Je sens la douleur évoluer en une sorte de délire jouissif. Un mélange de mal irradiant et de jouissance brûlante. Cette sensation doit être proche de ce qu’éprouve les sado masochistes !
Je suis devenu une salope qui commence à en redemander. J’en veux encore !
Je gémis toujours mais le plaisir monte maintenant de plus en plus fort. Jamais je n’ai connu cela ! J’ai mal et je jouis de ce mal ! Oh oui baise-moi encore ! Et Ivan halète de plus en plus fort. Je me redresse légèrement et vois sa queue monstrueuse entrer et sortir.
Il la rentre presque à fond maintenant! ....
KOSOVO
Episode VIII
Je le sens accélérer et je me branle encore plus fort.
Je vais jouir ! Baise-moi encore !
Et soudain j’explose littéralement ! Mon sperme monte à la verticale à une hauteur démente et je jouis sans discontinuer de longues secondes ! Ivan pousse un râlement à son tour et déverse son sperme par grandes giclées !
À chaque éjaculation il redonne un coup vers l’avant. Je sens sa bite énorme se contracter convulsivement dans mon cul et propulser une quantité impressionnante de sperme dans la capote. Il se vide à grande giclée pendant de très longues secondes alors que je reprends doucement conscience de l’environnement, le ventre constellé de gouttes blanches.
Il s’arrête enfin. Il reste planté en moi. Il reprend son souffle et laisse passer un long moment. Puis il commence à se retirer. Je sens son sexe glisser lentement hors de moi comme un énorme alien quittant son lieu de naissance.
En ressortant son gland massif bute contre mon anus qui s’est resserré, mais après une traction heureusement supportable, mon cul le laisse passer et sa bite ressort avec un bruit particulièrement mouillé.
Il à déjà en partie débandé, ce qui à permis son retrait sans trop de difficulté. J’ai l’impression d’être libéré mais en même temps j’ai le cul tellement endolori que j’ai la sensation d’avoir toujours quelque chose en moi.
Je sens soudain quelques chose me couler entre les jambes. Un moment paniqué, je porte la main à mon cul et sens un liquide s’écouler. Je ramène ma main, persuadé de la trouver pleine de sang et je ne ramène que … du sperme !
Je me redresse d’un seul coup, je m’assoie et regarde la bite du géant. La capote à explosé et pend lamentablement en lambeau de latex. Elle n’a pas supporté l’huile et la dimension du morceau. Il à vidé toutes ses énormes couilles dans mon ventre.
Ceci explique la sensation de chaleur ressentie tout à l’heure. Je sais aussi pourquoi j’ai encore le sentiment d’être rempli… je le suis…
Alexis à suivi mon geste et mon regard paniqué. Il me redit :
- T’inquiète pas, je t’ai dis qu’on n’a pas d’argent pour aller voir les putes et qu’on n’a pas de maladie. Depuis qu’il est revenu de l’armée il y à 15 ans, Ivan n’a plus baisé que sa femme et sa jument.
Je commence à connaître le couplet et je n’ai de toute façon pas d’autres alternatives que de le croire, ce qui ne m’étonne d’ailleurs pas beaucoup. Les paysans du coin sont vraiment de pauvres hères qui se contentent de peu.
Et puis, il y à 15 ans c’était les tout début du SIDA en Europe...
Je m’en sors plutôt bien…
Pendant ce bref échange, Ivan s’est rhabillé sans un mot et à quitté la pièce me laissant le cul dégoulinant de son sperme et les deux autres mecs la bite à la main face à moi…
- Alexis, je ne peux pas baiser. Je n’en peux plus. J’ai trop mal. Désolé.
Je le regarde et son air frustré me fait vraiment pitié. Le jeune Marko est debout juste derrière lui, sa bite toujours fièrement dressée, attendant visiblement que quelque chose se passe.
Alors je m’agenouille et attire les deux hommes l’un à coté de l’autre. Je prends leurs deux sexes dans mes mains et commence à les branler tout en les portant successivement à ma bouche. Je veux leur donner un peu de plaisir avec ma langue, à défaut de le faire avec mon cul.
Marko à vraiment une queue splendide. Une perfection. Une colonne de chair d’un rose uniforme, au toucher très doux, surmonté d’un gland d’une parfaite taille par rapport à sa tige. Il est luisant, gonflé de désir retenu mais terriblement appétissant.
Elle doit mesurer 18 cm environ et son calibre est en proportion. Un vrai sucre d’orge. Je le prends en bouche et la laisse se glisser jusqu’au fond de ma gorge. Elle est de taille idéale et coulisse sans problème.
Elle est très douce et lorsque j’appuie un peu elle passe l’obstacle de ma gorge et s’engage sans difficulté plus au fond. Cette action fait vibrer Marko qui gémit doucement.
Celle d’Alexis est toujours aussi excitante. Plus grosse, plus chaude, plus puissante. Epaisse et noueuse, brûlante comme la dernière fois et elle me chauffe les joues alors que je passe de l’une à l’autre, débordant de salive.
Après quelques minutes, Marko s’éloigne et s’appuyant contre le mur reprend ses propres caresses en nous regardant. Il à l’air plutôt voyeur et semble se repaître du spectacle.
Il retire son tee shirt car il à visiblement très chaud. Son torse est un peu maigre mais très excitant. Il luit de sueur faisant ressortir ses muscles fins et sa peau douce. Il est longiligne et il à un cul musclé comme le mien, très attirant.
Alexis et moi sommes aussi entièrement nus. Je le pousse contre la table et il s’y adosse. Ses hanches sont très sensuelles. Elles sont des promesses de sexe et d’envie.
Elles sont puissantes et harmonieuses à la fois. Il sourit légèrement pendant que je le suce consciencieusement et il tient maintenant ma tête avec ses deux mains et une certaine douceur.
Il s’est complètement assit sur la table et je suis penché sur sa bite, le cul en arrière alors que je sens le sperme d’Ivan continuer à glisser à grosses coulées sur l’intérieur de mes cuisses ; il à du éjaculer des litres ! Ca n’en finit pas. L’odeur est très forte et recommence à m’exciter.
Je m’applique sur la bite d’Alexis. Je le branle en même temps que je le suce et je sens sa respiration s’accélérer. Maintenant, j’ai une terrible envie de le recevoir dans ma bouche.
J’ai vraiment envie de goutter à nouveau à sa semence d’homme, virile et forte. Je me suis libéré de ma crainte, maintenant convaincu de ne pas prendre de risque et veux sentir son méat laisser gicler sa semence à loisir dans ma bouche.
Tout à ma pipe, je n’ai pas entendu Marko bouger et je sens soudain des mains me saisir les hanches et sa pine pousser mon anus. Il me prend par surprise. Il à visiblement préparé son coup et veut lui aussi profiter du cul accueillant du militaire français.
Il ne me laisse pas le temps de réagir et pousse sa queue d’un seul coup. Il à été très vite. Heureusement, le passage est largement fait et il pénètre mon cul aussi facilement que ma bouche tout à l’heure.
Je ne pensais pas que je pourrais le supporter. Je suis effectivement très irrité et son premier coup de rein est d’abord très douloureux mais la quantité de sperme que j’ai dans le cul, lubrifie complètement sa queue et rend la chose supportable.
Rapidement elle devient même agréable. Je me retrouve dans une de mes positions préférées. Le cul rempli par une belle queue et la bouche de même. Je recommence déjà à bander sous l’action des deux bites qui vont et viennent en moi par les deux extrémités.
Alexis tient ma tête de plus en plus fermement à mesure qu’il s’excite. Il commence à haleter. Je tiens sa queue dans ma main et resserre son gland entre mon pouce et mes doigts à chaque fois qu’il ressort de mes lèvres. Il ne tient pas longtemps à ce rythme.
Je le sens se tendre. Il respire de plus en plus fort. Il enfile sa queue dans ma bouche par de longs mouvements de hanche ponctués de ses cris. Sa queue vibre. Je n’en peux plus d’attendre son sperme. J’avance ma langue à chaque mouvement pour le goûter.
Et soudain il s’immobilise et explose enfin. La première giclée vient heurter mon palais. Elle est très chaude et abondante. Je la prends sur la langue alors que je m’excite sur sa queue en le serrant encore plus fort dans mes mains.
Une deuxième giclée arrive très vite derrière et me remplit immédiatement la bouche. Soit j’ouvre la bouche, soit j’avale car sinon j’étouffe. Dans mon cul, je sens Marko qui accélère ses mouvements et me défonce de plus en plus fort. Je bande à fond maintenant et je n’en peux plus. J’avale une première gorgée de sperme avec un bonheur et une excitation extrême.
J’en veux encore. Alexis continue à jouir et se vider dans ma bouche. Une troisième et une quatrième giclée suivent. Je les avale très vite. Puis les jets de sperme se ralentissent.
Marko, lui, commence à son tour à haleter, je garde en bouche les derniers jets d’Alexis et les mélange dans ma langue sous mes lèvres. Je suis complètement ivre de son goût, de son odeur et de son sperme fort qui me remplit maintenant complètement. Je prends ma queue et me branle de toutes mes forces pendant que Marko continue ses allers et retours.
Je sens très vite mon sperme monter dans mes couilles douloureuses. J’ai rarement joui aussi vite une deuxième fois et je me branle de plus en plus fort. Marko pousse soudain un long feulement et se déverse en moi à son tour par longues giclées.
Son jus se mélange à celui de son père dans mes reins. Je sens ma jouissance monter pendant qu’il continue ses derniers coups de reins. Je me redresse, abandonnant la queue d’Alexis, pompée jusqu’à sa dernière goutte et au moment où j’éjacule j’avale les dernières gouttes de son jus en poussant un râlement de plaisir.
J’ai plaqué mon dos contre Marko et mes jambes flageolent. Je m’appuie en arrière contre lui et il recule jusqu’à toucher le mur. Là collé contre lui, la tête en arrière, le cul remplit de sa queue et de sa jouissance, j’attire Alexis par la main que j’ai juste attrapée en reculant et je le prends dans mes bras pour l’embrasser. Il est visiblement surpris du goût de son sperme qui imprègne ma langue.
Mais mon baiser est tellement chaud qu’il l’accepte et échange sa salive avec la mienne. Notre baiser se prolonge alors que nos sens retombent peu à peu. Je me penche sur le coté et attire la tête de Marko vers les nôtres. Je parviens à réunir nos trois bouches quelques secondes.
Nous haletons tous les trois en nous embrassant, puis je commence à lâcher prise, épuisé. Alexis me sent m’alourdir dans ses bras. J’en joue un peu et me laisse aller. Il recule et me tenant.
Le sexe de Marko glisse hors de moi. Je le sens à peine. Je n’en peux plus. Alexis me conduit dans sa chambre et m’allonge sur son matelas qui est à même le sol.
- Thank you Alexis, I need some rest…
Et je ferme les yeux quelques minutes.
Ma bouche est pleine de son odeur. Mon cul est rempli de sperme qui continue à couler. Trois mecs m’ont défoncé par tous les trous et je ne suis pas prêt d’oublier cette baise… Et pas prêt de recommencer aussitôt ma défonce avec Ivan…
J’ai bien cru y laisser mes intestins… Mais quel pied !
J’ai joui deux fois de suite avec une rare violence et je suis calmé pour un moment… Alexis revient et s’assoit sur le lit à coté de moi.
-Marko est parti, me dit-il.
Alors, les yeux à moitié ouverts, je l’attire vers moi, je l’allonge à mes coté et me colle contre lui. Je glisse ma tête sous son bras, me tourne vers lui et colle mon corps contre le sien.
- OK, reste avec moi quelques minutes s’il te plaît.
Ce qu’il fait avec, semble-t-il, un certain plaisir protecteur, ce qui n’est pas sans me déplaire. Je m’endors ensuite d’un seul coup.
Lorsque je me réveille, il n’a toujours pas bougé. J’ai l’impression d’avoir dormi un bon moment. Ma main est sur son sexe. Est-ce moi qui l’ai mise ? Il bande déjà à moitié…
Je sens qu’il à déjà repris des forces et n’attend qu’un signe pour recommencer… Je ne bouge pas savourant ce moment d’attente empreint d’une certaine tendresse…
Je vois son torse, sa queue et ses jambes d’où je suis. Il respire lentement. Sa poitrine se soulève régulièrement faisant jouer la lumière sur ses muscles sans graisse. Ce type est vraiment un mec fait pour le sexe…
Il se dégage de son corps une sensualité torride qui me met dans tous mes états…
L’histoire finit ainsi...
↧
Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
↧
↧
Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
↧
Rediffusion cet été de l'almanach du cocu
↧
Les rediff de l'été. Formation
Un texte bien écrit et original.
Quand Monsieur assiste
à la formation de sa femme.
Rue des halles
- Bonjour. C’est bien ici le 34 rue des Halles?
- Oui c’est là. Entre et ferme la porte.
- Ok…
- Si t’es venu c’est que vous êtes vraiment décidé ? T’es au courant qu’on fait pas dans le soft ici. Si c’est du romantique que vous voulez il est encore temps de rentrer chez vous.
- Oui oui, on sait.
- C’est ça que tu nous amènes ?
- Oui.
- Ta femme ou ta pute ?
- Ma femme.
- Elle a une belle gueule. L’air un peu conne mais son cul a l’air potable. Tourne, qu’on voie ce que ça donne.
Luce me regarde sans comprendre tout de suite que c’est à elle qu’on s’adresse.
- J’ai dit tourne, on veut voir la marchandise.
Elle obéit, un peu subjuguée.
- Le cul est pas mal… Elle est comment au pieu ?
- Pas mal non plus.
- Tu fais tout avec ?
- Et bien… pas mal de trucs, en tout cas.
- Tu l’encules ?
- Oui.
- Facile ?
- Je la prépare un peu et j’y vais mollo…
- Elle aime ça ?
- Elle se laisse faire en tout cas.
- Bien. On en demande pas plus… T’es le seul ?
- Le seul quoi ?
- A l’enculer ?
- Oui… Enfin j’imagine haha.
Le gars derrière son bureau ne sourcille pas.
- Ses nichons sont pas mal. Ils sont vrais ou c’est de la gonflette ?
- Pardon ?
- Je te demande si ses nibards son naturels.
- Cent pour cent naturels.
- Et ça tient tout seul ? On dirait qu’elle a pas de soutif.
- Elle en a pas. Y tiennent bien. Même qu’elle en est fière…
- Fais voir.
Luce va pour ôter son chandail.
- Je t’ai pas dit de te foutre à poil comme une pute ! Montre juste comme ça tient… Fais bouger… Voilà. Pétris bien tout ça.
- Bien. Maintenant sautille sur place, qu’on voit ça en action… Putain, ça remue là-dessous… Bon arrête, tu vas nous faire du beurre haha… Maintenant ouvre la bouche. Elle suce ?
- Oui.
- Comment ?
- Moyen.
- Ah bon ? Elle a pourtant une belle petite gueule de suce-bittes avec ses lèvres épaisses… Je t’ai dit d’ouvrir la gueule, connasse ! Qui t’a dit de la refermer… Comment ça, moyen ?
- Elle a tendance à suçoter.
- On va la mettre au dresser… Et j’imagine qu’elle avale pas?
Je vais pour répondre mais ma femme intervient.
- J’aime pas ça. Question de goût, c’est tout.
- On t’a sonné poufiasse? Tu ouvres ta gueule quand on te pose une question ou pour sucer. C’est vu? Tu te branles ?
Mais Luce reste avec la bouche ouverte, sans répondre.
- Là, je te pose une question, alors tu réponds ! Tu te branles souvent ? Ton bonhomme m’a dit que t’étais cochonne.
- S’il vous l’a dit…
- Sois pas arrogante. J’en sais déjà pas mal sur toi et tes vices de ménagère inassouvie, mais ça me fait bander si tu me racontes toi-même… Paraît que tu te plantes des trucs dans le con pour te faire jouir. C’est vrai ?
- Oui.
- Quoi par exemple ?
- Je savais pas que je venais ici pour répondre à un questionnaire, s’irrite Luce.
- Tiens donc... ! Et tu es venue ici pour quoi alors ?
- Bin pour… de l’action.
- Haha, tu veux dire pour baiser ? La salope se réveille et veut sa dose de bitte, c’est ça ? Rassure-toi, tu vas en avoir de la bitte et de l’action. Mais ici, c’est moi qui décide. Alors tu vas commencer par la mettre en sourdine et ravaler tes airs de pimbêche. Pour le moment, tu réponds à mes questions et tu fais ce que je te dis… Tout ce que je te dis. C’est vu ?
Je vois le visage de ma femme s’empourprer, surprise qu’elle est de ce haussement de ton. L’homme quitte son bureau et vient se coller à elle. D’une main, il saisit fermement le bas de son visage et ses doigts s’insinuent dans sa bouche, comme un palefrenier qui vérifie la dentition d’une jument. Le geste est spécialement vulgaire.
- Il faut que tu saches, petite ménagère mal baisée, que pour moi tu ne représentes rien d’autre qu’un tas de viande tiède.
Ses doigts s’insinuent plus loin, écartèlent la bouche, tentent de saisir la langue. Luce a des haut-le-cœur et se met à baver.
- Ce morceau de viande molle comprend des orifices comme celui-ci qu’il me plaît d’explorer pour ensuite décider avec lequel je jouerai en premier. Est-ce que c’est clair ?
L’homme a ponctué sa question d’une tape sur la joue de ma femme.
- Est-ce que c’est clair ? Insiste-t-il cette fois en lui balançant une vraie gifle.
Luce semble un peu affolée et me cherche du regard. Voyant que je ne réagis pas, elle semble se résigner et je l’entends répondre un oui timide.
Il la gifle encore.
- C’est très bien.
Il plonge délibérément la main dans le chandail de ma femme et fait jaillir ses seins l’un après l’autre par l’encolure.
- Putain elle a de sacrée beaux nibards ta monture. On doit bien s’amuser avec ça.
Il se met à frapper violemment les seins avec le plat de la main.
- Et c’est vrai que c’est plus ferme que ça en a l’air.
Il a saisit Luce par les cheveux et lui tire la tête en arrière.
- Cambre un peu qu’on voit ce que ça donne.
Il lui frappe encore plusieurs fois les seins puis, tirant plus fort sur ses cheveux la force à se mettre à quatre pattes sur le sol.
- Et ça donne quoi quand tu te mets en position? Ouai c’est pas mal. Ça pend juste ce qu’il faut mais pas trop. Bouge pour voir.
Et il lui administre un violent coup de pied dans le derrière.
- J’ai dis bouge, grosse vache !
Je me dis alors que cette fois le jeu est vraiment commencé. Rouge de honte, ma femme s’agite de gauche à droite, faisant ballotter sa poitrine pendant que l’homme tourne autour d’elle en ricanant.
- Putain tu parles d’une femelle !
Nouveau coup de pied dans les fesses, encore plus violent. Luce pousse un cri et manque de perdre l’équilibre. Je ne peux m’empêcher de réagir.
- Hé allez-y mollo quand même.
L’homme me regarde avec un sourire.
- T’inquiète, elle aime ça. Tu sens pas comme ça pue la femelle ?
Il se baisse et saisit la robe de ma femme et la rabat sur ses reins.
- Écarte un peu qu’on admire le paysage!
Luce, devenue très docile, écarte les genoux. L’homme presse du pied sur sa tête pour la faire se cambrer puis, sans gêne, passe un orteil dans sa culotte à la descend à mi-cuisses.
- Vise un peu dans quel état elle est déjà cette cochonne !
En effet, il n’est même pas nécessaire de m’approcher pour constater qu’elle est excitée. Enivré par cette vision, l’homme se penche et se met à la tripoter sans vergogne. Résigné par une telle vision, je vais m’installer dans un coin de la pièce, curieux de voir la suite.
- Si t’es dérangé, va faire un tour et tu reviens la récupérer dans deux heures.
- Non, ça va.
Penché sur ma femme, il lui fouille l’intimité de façon très obscène, la faisant gémir.
- T’emballe pas la truie, on a encore à faire alors si tu veux un conseil, ne gaspille pas ton jus haha.
Il fini par la laisser et s’empare de nouveau de ses cheveux, d’abord en faisant mine de s’essuyer les mains, puis pour l’obliger à se relever.
- Fous-toi à poil, dit-il en retournant à son bureau.
Luce semble hypnotisée. Elle retire prestement son chandail et dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle va pour retirer sa culotte, restée au-dessus du genou.
- Laisse-la où elle est, ça fait plus trash.
Elle se retrouve ainsi totalement désarmée. L’homme la dévisage des pieds à la tête.
- Tu sais que t’as l’air conne, comme ça ?
Ma femme ne sait pas trop comment réagir. Elle baisse la tête en gardant les bras ballant.
- Mais bon, t’aime ça, hein… ?
- Quoi donc… ?
- Qu’on te traite de conne… Ou tu préfères grosse cochonne ?
Luce relève la tête.
- Grosse ?! Cochonne, je veux bien admettre, mais grosse, je ne sais pas ce qu’il vous faut… !
- Hahaha… Une femme c’est toujours une grosse cochonne même si elle n’a que la peau et les os. T’aime pas ça, n’est-ce pas, qu’on te traite de grosse.
- Non, pas vraiment.
- Haha… La fierté, chez une femme, c’est aussi désagréable qu’injustifié… C’est ce qu’il faut briser en premier… Branle-toi !
Cette fois, Luce obéit immédiatement.
- Tu mouilles ?
- Oui.
- Ca se tripote la moule devant quelqu’un qu’on connait à peine et ça joue les fière. Y a qu’une énorme cochonne qui peut faire ça. C’est ta perversité qui est énorme, même si t’as un petit cul. Tu comprends ça, grosse cochonne ?
- Oui, je crois, répond-elle dans un souffle.
- Alors dis-le, que t’es une grosse cochonne et une grosse salope. Je suis sûr que ton mari aimerait l’entendre.
Luce hésite, visiblement gênée par la présence de son mari.
- Allez bordel ! Hurle le type. Dis-le ce que tu es ! On t’écoute.
- Je suis une grosse cochonne… et une grosse salope.
L’homme rigole.
- Parfait, dit-il en s’approchant de Luce. T’es une docile toi, hein…
Il a saisi le bout des seins de ma femme entre ses doigts et s’amuse à les tirailler dans tous les sens,
- Le genre de conne qui fait tout ce qu’on lui dit et qui accepte tout sans broncher, c’est ça… ?
Luce gémi sous la torture infligée à ses seins. Le type lui balance deux gifles à la volée qui manquent de lui faire perdre l’équilibre.
- Réponds, pouffiasse… !
- Oui, balbutie ma femme, quand je suis excitée…
Il plaque sa main entre les cuisses de Luce.
- Ah ça, excitée, on peut dire que tu l’es haha..
Et il se met à la fouiller sans vergogne, enfonçant profondément ses doigts dans sa chatte.
- Écarte… !
- Hoooo Doucement s’il vous plait… Je… Vous allez me…
- Tu te retiens grosse cochonne, sinon je te balance dans la rue à poil… Écarte, je t’ai dit… ! Et fléchis les jambes, c’est plus vicieux… Voilà, comme ça… Bonne bête… Tu aimes ça, hein ma salope… ?
Puis, s’adressant à moi.
- Vise un peu, mon vieux. J’y rentre presque toute la main, dans ta pute.
De voir ma femme s’offrir avec tant d’indécence me procure une très forte érection. Luce gémit et tremble de tout son corps, luttant comme elle peut contre l’orgasme. Le type retire sa main et pousse brutalement sa victime, la faisant choir sur le tapis.
- Fous-toi à 4 pattes comme une chienne avec le croupion bien relevé…
Elle ne répond visiblement plus d’elle et se contente d’obéir aux ordres qu’elle reçoit. Lorsqu’elle se trouve dans la position demandée, l’homme reprend ses odieux attouchements. Je le vois enfoncer trois, puis quatre dans la chatte de Luce sans aucune difficulté. Lorsqu’il les ressort, ils sont luisants de cyprine et il les lui présente devant le visage.
- Lèche ton foutre, grosse cochonne… ! T’as pas honte de te mettre dans de tels états ?
Docile, ma femme se met à laper avec avidité avant qu’il ne replonge en elle et ne revienne, la main à nouveau chargée du jus de son excitation.
- T’aime ça ma garce, haha… Je sens qu’on va bien s’amuser, tous les deux.
Il l’empoigne par la chevelure et l’embrasse a pleine bouche.
- Elle me plaît ta femme, dit-il à mon intention. T’as bien fait de me l’amener. Je vais en faire ma chose.
Puis, sans lâcher ses cheveux, il commence à arpenter la pièce de long en large en la traînant derrière lui.
- Mesdames et messieurs… ! Se met-il à crier hilare. Je vous propose aujourd’hui une pouliche de premier choix. Regardez un peu comme elle bouge bien.
Et il poursuit ses vas-et-viens dans la pièce, forçant toujours plus son allure, sans lâcher ma femme qui galope derrière lui de manière un peu grotesque, sa petite culotte toujours roulée à ses genoux.
- Approchez ! Approchez ! Poursuit-il en s’adressant à un public imaginaire, elle est a vous pour pas cher… ! 50€ la saillie, par le trou que vous voulez… !
Luce fini par trébucher et se retrouve à plat-ventre. Le type la traîne encore sur plusieurs mètres puis, toujours en la manœuvrant par les cheveux, il la force à se mettre à genoux et se recule de quelques pas..
- Mais à 50€ le trou, il faut de la marchandise qui fonctionne. Tu dis qu’elle suçote ?
- Disons que je trouve qu’elle ne fait pas beaucoup d’effort.
- On va voir ça, dit l’homme en dégrafant son pantalon.
Il sort son pénis qu’il agite devant les yeux de ma femme.
- Viens me sucer, grosse salope.
Luce avance sur ses genoux et saisit le sexe bandé avec sa main. Au moment où elle approche sa bouche pour commencer à sucer, le type lui balance une mandale qui la fait tomber sur le côté.
- Je t’ai pas dit de me branler, connasse ! Reviens ici, mets tes mains dans ton dos et sers-toi uniquement de ta gueule… C’est compris ?
Ma femme obéit sans protester. Je la vois engloutir la bitte raide et commencer à sucer.
- Pas si mal, pour une tocarde. Regarde comme elle douée. Elle t’a déjà fait ça?
- Jamais aussi bien, je dois dire.
- C’est juste une nouvelle bitte, qu’il lui fallait à cette pute. Pas vrais qu’il te fallait une nouvelle bitte, la ménagère?
Ma femme acquiesce d’un discret mouvement de tête.
- D’ailleurs elle est déjà accro de mon braque. Tu veux une démo ?
Il commence à reculer. Ma femme se met alors à avancer tant bien que mal sur les genoux, sans lâcher sa proie.
- Vise un peu cette salope ! Jubile le type. Tu commences à comprendre, vieux ? Une bonne femme, dès que tu la respectes elle devient conne et à la première occasion elle te file entre les pattes et va se faire saillir par le premier qui saura s’en occuper comme elle en a besoin.
Il s’arrête de marcher et lui saisit la tête à pleine main pour s’enfoncer plus profondément. Surprise, Luce a un haut-le-corps.
- Ouvre la gueule, grosse conne ! Dit-il sans la lâcher.
Ma femme se met tousser et baver. Le type s’arrache alors d’elle et la gifle plusieurs fois avec violence.
- T’arrête de foutre ta langue en travers, espèce de connasse !
Il enfonce plusieurs doigts dans sa bouche pour l’écarteler.
- Tire la langue !... Tire la langue, je te dis. Comme une chienne.
Luce obéit. Son visage est grimaçant et luisant de salive. Le type lui pince le nez pour l’obliger à respirer par la bouche en l’ouvrant très grand.
- Tu restes bien comme ça, la chienne.
Et il enfonce à nouveau son sexe bandé au plus profond de la gorge puis commence un furieux va-et-vient en lui agrippant solidement la tête. Ma femme se débat, émet quelques cris et gémissement étouffés puis vomi. L’homme se met à râler vulgairement sans pour autant la lâcher prise.
- Ahhh que c’est bon… ! Vas-y, dégueule encore, connasse. C’est chaud sur ma bitte, je bande…
Puis il la lâche et la laisse reprendre sa respiration.
- Ton mari a quand même raison, ricane-t-il. T’es pas une championne.
Il la saisi à nouveau par les cheveux et l’attire sans ménagement contre lui.
- On reprend. Bouffe-moi un peu les couilles, pour voir.
Il lui maintient le visage contre son entre-jambes.
- Allez, poufiasse, ouvre la gueule et aspire mes couilles, je te dis! Voilà, comme ça. Prends-les bien en entier, c’est ça. Aspire bien. Charogne que c’est bon! Tu sens comme elles sont bien pleines?
Il se masturbe au-dessus de son visage pendant un moment en râlant vulgairement de plaisir, puis il lui tire la tête en arrière. Il se tourne et lui tend son postérieur.
- Maintenant bouffe-moi le cul. Lèche mon trou, grosse cochonne.
Lucre grimace et fait non de la tête. L’homme lui administre deux claques sonnantes puis tenant sa tête à deux mains, il lui plaque son entre-fesse sur le visage.
- Tu comprends ce que je te dis, saloperie?! Tu sors ta langue et tu me nettoies le trou, c’est vu?
Résignée une fois de plus, ma femme lui obéit.
- Ah que c’est bon.. Oui, vas-y, encule-moi avec ta langue. Ô que t’es vicieuse!
L’homme savoure l’odieuse caresse quelques instants puis se retourne.
- Maintenant, tu vas me finir, ma salope. Tu vas me sucer et faire ça cent fois mieux qu’avec ton mec, c’est compris?
Elle acquiesce d’un hochement de tête et entame une fellation en y mettant une ardeur que je ne lui connaissais pas.
- Voilà qui est bien. Tu vois que tu peux. Toutes les femmes sont des putes si on sait les prendre.
Je suis effaré de voir à quel point Luce met du cœur à l’ouvrage. A genoux devant l’inconnu, elle lui fait la plus belle fellation jamais vue. L’homme râle de contentement.
- Putain ce qu’elle est bonne ta femme. Vise comme elle me suce bien cette putain. Elle va me vider les couilles cette salope.. Oui… Oh ouii… Je sens que ça vient… Ouiii…!
Elle tente alors de se retirer comme elle le ferait avec moi mais Laurent ne le voit pas sous cet angle. Il lui plaque les deux mains sur la tête el la maintient fermement.
- Bouffe tout salope! Ahh que c’est bonn…!
Luce se débat et frappe du poing sur la cuisse du gars mais il ne lâche pas prise, tenant sa victime jusqu’à son dernier spasme de plaisir.
- Si tu recraches une seule goûte espèce de connasse, dit-il encore avant de la libérer, je te fais lécher le sol.
Elle avale tant bien que mal en grimaçant.
- Ouvre et montre si tu es obéissante.
Ma femme ouvre la bouche.
- Voilà qui est bien. Tu vois, petite conne que c’est facile. C’est la première fois?
Elle acquiesce en me jetant un bref regard gêné.
- C’est très bien, dit-il en s’essuyant le sexe à ses cheveux. Ca me plait.
Il la repousse brutalement du pied.
- Maintenant tu nettoies tout ce bordel et tu vas te doucher, tu pues. On reprend dans un moment.
Pendant que ma femme s’affaire docilement à remettre de l’ordre, l’homme s’approche de moi et se présente.
- Salut, moi c’est Laurent.
- Salut.
- Elle est pas mal ta femme. Bien foutue, tout. On peu en faire quelque chose. C’est toi qui as eu l’idée de venir me voir?
- C'est-à-dire.. On a décidé ensemble. C’est moi qui ai répondu à l’annonce, mais ça la travaille depuis qu’on se connaît.
- C'est-à-dire?
- Au début elle n’osait pas. Ou plutôt ne savait pas trop ce qui lui arrivait. Mais comme ça fait pas mal de temps qu’on est ensemble, elle a fini par me parler des trucs auxquels elle devait penser pour atteindre l’orgasme.
- Quoi par exemple?
- Bin.. Comme je t’ai dis dans mes messages.
- J’aime bien qu’on en parle de vive voix, ça met en confiance. Qu’est-ce qu’elle t’a dit, au juste?
- Bin que pour s’exciter elle devait penser à des situations où elle était humiliée et traitée comme une moins que rien.
- Comme je viens de le faire?
- Ouai.. Par exemple. Mais disons que c’est pas évident en vrai.
- T’es dérangé?
- Je sais pas. Un peu. Disons que je suis partagé. J’ai vu l’effet que ça lui fait… Ca surprend.
- Et tu n’es pas au bout de tes surprises. Les nanas comme elles sont plus nombreuses qu’on croit. Leur véritable nature de femelle qui refait surface. C’est prouvé par les sociologues. Seulement y en a peu qui se l’avouent. Elles ont honte, tu parles…
Puis, s’adressant à Luce qui est toujours accroupie sur le sol, à astiquer.
- Hein ça te fait honte, d’être aussi vicieuse?
Il n’attend pas de réponse. Le silence de ma femme qui frotte de plus belle confirme ses dires. Vu qu’elle se trouve à portée, il lui balance un nouveau coup de pied au derrière. Je suis surpris autant par la violence du coup que par la réaction, ou plutôt le manque de réaction de ma femme. Elle semble même apprécier particulièrement le geste, même s’il représente, à mes yeux, l’un des plus dégradants qu’il soit.
- Le secret, c’est que c’est justement cette honte qui les stimule. Le paradoxe, c’est que plus elles ont honte, plus elles s’excitent et plus elles sont excitée par cette honte, plus elles ont honte. Tu me suis? Une vicieuse prise dans un cercle vicieux. Intéressant, non?
Luce a terminé son nettoyage et ne sait pas trop quelle attitude adopter. Elle est toujours à quatre pattes sur le sol et semple un peu agacée. Impatiente qu’on en finisse avec nos palabres.
- Qu’est-ce t’as à nous regarder comme une conne? Tu veux quelque chose?
Elle le regarde sans savoir quoi répondre.
- T’as envie de prendre ton pied, c’est ça? Tourne-toi. Montre ton cul, que je voie si t’es excitée.
Toujours plus docile, elle nous présente son postérieur en cambrant les reins.
- Et bien ma grosse cochonne, t’as l’air en forme. Une véritable chienne en chaleur. Recule, je t’offre mon bas de pantalon.
Luce s’approche en reculant, sans trop comprendre où Laurent veut en venir.
- Voilà. C’est ça. Appuie ton cul contre ma jambe et frotte-toi. C’est comme ça que s’assouvissent les clébards dégueulasses dans ton genre.
Il abandonne ma femme à ses turpitudes et s’adresse de nouveau à moi.
- Quand elle t’en a parlé, elle t’a donné des détails? Par exemple de ce qu’elle entendait par "être humiliée et traitée comme une moins que rien"?
- Oui, un peu. Mais c’est pas évident. On n’y connait rien en sado-maso.
- Rien à voir.
- Quoi?
- Rien à voir avec ce monde là. Le masochisme est basé sur la peur, l’angoisse, la douleur. Une femme attachée et torturée est psychiquement mise en valeur. Les tenues de cuir ou de latex sont également étudiées pour mettre en valeur les "victimes". Ta femme, c’est l’inverse. Elle a besoin d’être rabaissée. Et cette particularité est tout à fait propre à la nature féminine. Preuve en est, contrairement à ce qu’on pourrait croire, la majorité des vrais masochistes sont des hommes.
- Tu m’apprends quelque chose.
- Je suis là pour ça. Quand elle t’a avoué ses fantasmes, tu n’as pas eu envie de tester par toi-même.
- Oui, nous avons essayé. Mais ce n’est pas évident dans un couple. Les sentiments etc..
- Normal. Tu l’as jamais flânée?
- Quoi?
- Tu lui as jamais foutu sur la gueule, sachant qu’elle aime ça.
- Non. Je n’imagine même pas. Dans la vie courante en tout cas pas.
- Et dans votre vie de cul?
- Non plus. Comme je te l’ai dit, c’est pas facile.
- Mais si que c’est facile. Regarde.
Laurent se baisse et saisit Luce par les cheveux et l’arrache à ses activités honteuses. Il l’oblige à se redresser et, tout en lui maintenant la tête en arrière, claque violemment ses seins de sa main libre.
- Vise un peu comme elle raffole de ça, cette connasse.
Avec son genou, il la force à ouvrir les cuisses.
- Écarte ça sale pute.
Elle obéit.
- Mieux que ça, charogne!
Il lui administre alors une série de claques sonnantes sur la chatte.
- Putain vise un peu comme ça gicle! Elle adore ça, cette morue. Elle pisse la sauce comme une fontaine. T’es vraiment une grosse dégueulasse, ma parole. J’en ai plein la main.
Sans lui lâcher les cheveux, il l’entraîne à travers la pièce. Luce fait quelques pas maladroits et s’encouble dans sa culotte qui lui entrave les chevilles. Elle chute mais il ne ralentit pas son allure pour autant et entreprend d’arpenter l’appartement en la traînant derrière lui. Il finit par la projeter sur le tapis où elle s’écroule.
- Fous-toi à quatre pattes et branle-toi. Je vais m’occuper de toi dans un moment.
Nous reprenons notre dialogue.
- Ca t’excite?
- Quoi?
- De voir ta belle se faire malmener?
- Je sais pas. Je suis partagé. Oui, je crois, mais il faut que je sois convaincu qu’elle aime vraiment ça.
- T’en as la preuve. Elle sait qu’elle peut arrêter ça quand elle veut et s’en aller. Pourtant elle reste là, bien docilement. Elle en veut encore cette vicieuse. Vise un peu comme elle ruisselle.
- Oui, en effet.
- Et bien tu vois, c’est la même chose pour elle. Il faut qu’elle se débarrasse de sa culpabilité. Et pour ça, elle doit à son tour être convaincue que tu aimes ça.
- Oui, je comprends.
Luce commence à respirer bruyamment sur le tapis.
- Eh..! Tu te tiens, espèce de dégueulasse. Tu te crois où? Arrête un moment ces cochonneries.
Elle obéit et se fige. Elle semble hypnotisée par l’excitation.
- Quand je m’en occupe, tu bandes?
- Pas au début, mais c’est vrai que ça commence.
- Alors n’hésite pas à te branler, ça lui rendra service.
- Comment ça?
- Tu sais pas te branler? Ricane Laurent.
- Oui heuu.. enfin je veux dire comment ça peut lui rendre service?
- Tu es le dernier obstacle avant qu’elle puisse se laisser aller pour de bon. Elle culpabilise devant toi, tu comprends?
- Oui.. je crois comprendre.
- Alors sors ta bitte et branle-toi. Montre-lui que tu es aussi vicieux qu’elle.
Je suis quand même un peu gêné par la proposition. Je n’ai pas l’habitude de faire ça devant ma femme et encore moins devant un inconnu.
- Ou alors tu participes.
- Quoi?
Il me désigne ma femme du menton.
- T’as vu comme elle adore morfler ta bonne-femme! On sera pas trop de deux pour la dérouiller alors vas-y, défoule-toi. Montre ce que tu sais faire.
Je reste sans bouger et sans répondre.
- Je vois, dit-il. Dans ce cas, t’es mieux d’aller faire un tour et de revenir la récupérer après.
- Non, je veux rester.
- Alors arrange-toi pour que ta pute de femme arrête de lorgner dans ta direction pour voir si ta morale s’accorde à ses besoins honteux. Tu piges?
- Oui. Je comprends.
Convaincu par ses arguments, je me dégrafe, sors mon sexe déjà dressé et commence à me caresser. Je suis un peu gêné par le regard de Luce qui en effet semble m’encourager.
Laurent va rejoindre ma femme et se place debout derrière elle.
- Vise-moi un peu cette chienne. Elle a l’air à point, non?
Puis, s’adressant à elle :
- Tu as vu ton cochon de mari. On dirait que ça l’excite de voir sa salope de femme entre les mains d’un vrai mec.
Il caresse son intimité avec le dessus de sa chaussure. Instinctivement, Luce commence à se frotter contre le pied de Laurent.
- Regardez-moi cette grosse cochonne! Quel spectacle honteux pour une honnête épouse.
Il donne un coup avec sa chaussure sur la chatte trempée.
- Dis encore que t’es une grosse cochonne!
- Je suis une grosse cochonne, gémit Luce. Prenez-moi.
- Comment cela, prenez-moi? Ricane Laurent en frappant encore avec sa chaussure. Tu veux que je te baise?
- Oui.
- Devant ton mari? T’as pas honte? C’est carrément dégueulasse, ce que tu me demandes là.
- J’en peux plus!
Il envoie un violent coup de pied dans sa chatte.
- Ouiii ouiii…! Encore..! Gémit-elle en se tortillant devant lui. Frappez-moi encore..!
Laurent ne se fait pas prier. Il frappe à nouveau avec son pied, visant le sexe béant de Luce.
- T’es vraiment une grosse cochonne, dit-il en ricanant. T’aime ça qu’on te cogne dessus, hein charogne!
Je n’en reviens pas. Mon épouse est en train de se faire brutaliser de manière abjecte devant mes yeux et je me masturbe honteusement en me régalant du spectacle.
Il la roue maintenant de coup de pieds, autant sur les seins que sur le cul. Plus il frappe, plus elle a l’air d’être au bord de l’extase.
- Dis-moi pas que tu vas prendre ton panard comme ça, ma salope!
- Ouiiiii encore..! Encore! Sanglote-t-elle en tendant ses fesses.
Laurent cesse de frapper.
- Ta femme c’est vraiment la pire des vicieuses perverse que j’aie jamais vu, dit-il à mon intention. J’ai bien envie de me la faire cette cochonne.
- Oui! Dit Luce dans un souffle. Allez-y.
- Ô là, du calme. C’est la bonne ménagère fidèle que je veux sauter en premier. Pas la chienne. Vas te foutre sur la table.
Luce se relève et va se coucher sur la table pendant que Laurent retire son pantalon.
- Dis donc, elle se fait pas prier ta bonne femme. Tu l’as déjà vue se faire baiser par un autre?
Je fais non de la tête, subjugué par l’indécence avec laquelle ma femme s’offre à ce type qui va vers elle, le sexe dressé.
- Approche, me dit-il encore. Viens lui tenir les guibolles.
Gagné par l’excitation, je me place à côté de la table et saisis les chevilles de ma femme qui s’est déjà docilement placée en position, les jambes écartées.
- C’est ça, parfait. Tiens bien ta femelle, je vais la baiser comme une pute.
La situation particulière excite Luce encore plus. Le regard fixé sur ma propre érection, elle semble sur le point de jouir. Laurent prend son temps et savoure l’instant. Il place son énorme sexe contre la chatte ruisselante.
- Maintenant les amoureux, regardez-vous dans les yeux, ça m’excite.
Et il s’enfonce en elle d’un seul coup, lui arrachant un cri de plaisir. Le pénis luisant ressort entièrement, puis plonge à nouveau. Laurent semble déguster sa conquête quelques instants puis se met à la besogner violemment, en proférant des insultes.
- Bon sang qu’elle est bonne cette salope! Souffle-t-il en donnant de furieux coups de reins. Vise comme elle aime la bitte, cette pute!
Jamais à ma connaissance Luce n’a été baisée avec autant de violence. A tel point qu’elle se met soudain à hurler son plaisir en nouant ses jambes autour du torse de son amant.
- Ouiiii… Je vais jouir….! Je vais jouiiiiiir…
- Tiens-toi putain..!! Hurle Laurent sans cesser de la besogner violemment. Qui t’a permis, salope…!?
Il se met à la gifler à la volée sans aucun ménagement. Mais les coups terribles qu’il lui porte excite ma femme encore plus. Elle se met à jouir comme je ne l’ai jamais vu. Un orgasme dévastateur et interminable auquel Laurent semble résister.
- La salope a failli m’avoir, souffle-t-il alors en se retirant.
Luce reste pantelante. Il la pousse sans ménagement en bas de la table et elle tombe lourdement sur le sol.
- Dégage-toi de là connasse.
Il s’acharne alors sur elle et la bat alors qu’elle tente de se relever.
- A quatre pattes salope!
Il lui botte le cul et la fait courir dans toute la pièce en lui criant les plus abjectes insultes.
- Grimpe sur le divan et tends-moi ton cul de salope.
Luce est devenue aussi docile qu’un animal de cirque. Laurent se place derrière elle et frotte vulgairement son sexe entre ses fesses.
- T’en veux encore salope?
- Oui, gémit-elle. Baisez-moi!
Puis il s’adresse à moi.
- Dis donc, le mari-branleur, ça te va si je l’encule?
Comme toute réponse, j’accélère ma branlette.
- Oh nonnn, réagit Luce. Vous être trop gros, je ne…
- Ferme ta gueule, gronde-t-il en lui plaçant son sexe entre les fesses.
Il commence à la pénétrer, mais ma femme se met à gigoter en pleurnichant. Laurent la saisit par les cheveux et tire violemment en arrière.
- Tiens-toi tranquille, salope! Vise un peu ton mari comme ça l’excite d’admirer sa femme chérie se faire troncher par le cul.
Il s’acharne pour tenter de la pénétrer, mais elle résiste encore.
- Desserre le cul charogne lui crie-t-il en frappant ses omoplates à coups de poings, ou je te le fais exploser.
Luce gémit alors que le sexe de l’homme s’enfonce inexorablement en elle.
- Oui c’est ça, relâche-toi ma grosse cochonne, tu vas adorer ça. Putain ce que t’es bonne!
Les hanches de Laurent sont maintenant collées au postérieur de ma femme.
- Tu la sens ma bitte, grosse salope? Tu sens comme je t’encule à fond?
Il reste profondément planté en elle un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de l’orifice distendu de ma femme qu’il tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en elle violemment. Luce pousse un cri que je reconnais comme étant plus de surprise que de douleur.
- T’aime ça hein ma cochonne? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie devant ton cocu? T’es une salope hein? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aime que je te bourre le cul.
Luce se masturbe comme une démente en encaissant les terribles coups de bélier de son amant. Pour moi s’en est trop et je me mets à éjaculer entre mes doigts. Ma femme ne perd pas une miette du spectacle et se met à jouir à son tour en criant et en sanglotant.
- Ouai c’est ça, se met à hurler Laurent. Serre ton cul salope! Essore-moi les couilles charogne!
Il se déchaîne carrément puis s’immobilise en maintenant ma femme tout contre lui et jouit bruyamment et grossièrement.
- Et maintenant disparaissez bande de pervers!
Il a ramassé les vêtements de ma femme et les jettes dans le couloir. Nous quittons les lieux précipitamment.
Un mois plus tard, Luce me suppliait de retourner au 34 Rue des Halles…
↧
Un Samedi d'été au ciné...
↧
↧
Un dimanche d'été devant la téle...
↧
L'été des rediff..! Conte cruel de Noël.
Un conte pour adulte.
D’une perversité exemplaire.
D’une perversité exemplaire.
Ne loupez surtout pas la fin demain.
Conte Cruel de Noël
Episode I
Chapitre 1
J’ai rêvé d’être cocu. Lorsque j’avais des relations sexuelles avec ma femme je fantasmais sans arrêt à l’idée qu’elle fasse l’amour avec un autre homme sa virilité pénétrant la chatte de ma femme. Évidemment j’étais forcé de regarder la chose puis après forcé encore de lécher sa chatte encore trempée du sperme de l’amant.
Mon moment favori c’était quand elle me forçait avec sa main sur ma nuque à nettoyer le sexe de son amant, puis lorsque j’avais fini que je devais la nettoyer jusqu’à ce que plus rien ne coule de sa chatte.
C’était toujours pour moi un excellent moyen de mettre le feu aux poudres. L’idée d’une queue d’homme dans ma bouche, suivie par une délicate mousse crémeuse était virtuellement le seul fantasme que j’avais, et comme j’aurais pu le prévoir il s’est développé jusqu’à l’obsession.
Je ne savais même pas que ma femme avait elle aussi commencé à partager le même fantasme, elle ne m’en avait jamais rien dit, comme je ne le lui en avais pas parlé.Ce qui brisa ce silence conjugal fut assez trivial comme souvent au début. C’est arrivé il y a un an et je ne l’ai jamais oublié.
J’y pense même sans arrêt me demandant si les choses seraient différentes aujourd’hui si ce n’était pas arrivé.
Comme beaucoup je surfais sur internet à la recherche de mon fantasme, j’ai trouvé un site qui offrait des milliers d’histoires, des photos, des vidéos, si je m’abonnais.
Le contenu me convenait admirablement, et c’est ce qui m’a incité à donner mon accord et en moins d’une minute j’étais membre.
C’était le mieux que j’ai vu jusqu’à ce moment, histoire après histoire, des hommes cocus racontaient, certains en avaient parlé à leur femme, d’autres avaient surpris leurs femmes avec des amants et aimaient regarder depuis une cachette. D’autres avaient accepté de devenir le cocu de leur femme.
Une histoire m’excitait tout particulièrement parce qu’elle rejoignait mon fantasme selon lequel Sandra – ma femme – me disait ne plus être satisfaite de mon petit pénis, et que soit je consentais à ce qu’elle ait des amants, soit elle me quitterait. Bien sûr j’acceptais avec dégoût,puis avec le même dégoût je faisais ce que je devais une fois que l’amant avait joui en elle.
Les photos et vidéos étaient « top », j’aimais celles qui montraient une femme étendue sur un lit où l’on voyait du sperme couler de sa chatte encore entrouverte, elle tenait la tête de son mari à deux mains le forçant à avaler la queue encore en érection de l’homme encore couverte elle aussi de foutre gluant.
J’ai au moins eu le bon sens de ne pas imprimer les photos, mais je n’ai pas pu m’empêcher de le faire avec certaines histoires. J’étais certain de pouvoir les cacher dans un coin de mon bureau, et je les avais sous la main lorsque c’était nécessaire, notamment lorsque ma femme utilisait l’ordinateur que nous partagions.
Vous vous doutez de la suite, Sandra est tombé dessus en cherchant une agrafeuse. L’histoire du dessus de la pile s’appelait « Sandra prend un amant », et ce nom avait attiré mon attention, et cela lui fit le même effet. Elle lut les premiers paragraphes, puis toute l’histoire.
99% des femmes auraient réagi de deux manières : certaines auraient été honteuses d’apprendre que leur mari avait de tels fantasmes et elles auraient fait de leur mieux pour passer sous silence leur découverte. Les autres auraient réagi avec colère, et fait face à leur mari. Sandra n’est pas comme ça. Sa réaction fut de chercher les autres histoires, et de les lire du début à la fin.
Elle m’a dit que c’est ce qu’elle a fait, et qu’elle était de plus en plus excitée à chaque nouvelle histoire. Elle comprenait que nous partagions le même fantasme mais que nous étions trop timides pour en parler. Elle résolut de mettre un terme à cette situation, et à sa façon, directement, c’est ce qu’elle fit.
Lorsque je suis rentré du boulot elle m’appela au salon, c’était surprenant, car d’habitude elle préparait le dîner à cette heure-ci.
En entrant dans la pièce je l’ai vu étendue sur le canapé et une pile de papier sur la table basse devant elle. Elle m’indiqua le coussin devant elle m’indiquant qu’elle voulait que je me mette là, ce que je fis.
J’ai jeté un œil sur les papiers, et mon cœur faillit cesser de battre, la page du dessus portait en titre “Sandra prend un amant”
Je devais être rouge comme une tomate, je me sentais comme un gamin pris la main dans le pot de confitures. Elle devait être en colère. Et elle commença simplement par me dire :
- j’ai trouvé ça dans ton bureau aujourd’hui, certaines sont excellentes, je pense que tu les aimes aussi sinon tu ne les aurais pas imprimées, celle du dessus est ta favorite ?
Elle me regarda droit dans les yeux attendant ma réponse. J’essayais de trouver une réponse qui prouverait que mon intérêt était totalement innocent. J’ai même imaginé lui dire qu’il s’agissait d’un projet de recherche pour mon boulot. Mais comme je ne suis pas dans cette branche je n’ai pas trouvé ça crédible.
J’ai opté pour ce que je méritais et j’ai dit “oui”.
Elle a souri, en partie à cause de ma honte, mais aussi par satisfaction de me voir répondre honnêtement. Sachant que la conversation dépendait d’elle elle m’a dit :
- En voyant mon nom dans le titre ma curiosité a été piquée, puis quand j’ai lu ce que faisait cette femme, et ce que son mari faisait, ça m’a paru très intéressant. C’est quoi ta partie favorite ?
Je ne pouvais tout bonnement pas me faire à l’idée de tout déballer comme ça, j’avais caché ça si longtemps, j’avais du mal à faire face à brûle-pourpoint, mais j’ai compris au bout d’un moment qu’elle n’était pas en colère, et que cela semblait même lui plaire. J’ai bredouillé :
- Je ne sais pas, toute l’histoire m’intéresse
Elle ne voulait pas que je m’en sorte comme ça, et elle a dit sur le ton de la conversation :
- Mon moment préféré c’est quand elle force son mari à nettoyer la queue de l’amant. Je trouve ça excitant de voir un homme faire ça. Si c’était nous dans l’histoire j’aimerais aussi quand tu as ta part dans ma chatte, ça doit vraiment être bon tu ne crois pas ?
J’étais aux abois, et j’ai répondu :
- Oui je pense qu’elle aimerait ça
Elle tenait le poisson bien ferré, et elle a continué :
- Je ne parle pas d’un autre homme où d’une autre femme, je te demandais ce qui nous plairait le plus si nous le faisions, ça m’excite de penser à toi en train de sucer la queue d’un homme, puis te sentir avaler son foutre dans ma chatte, c’est cette partie qui t’excite le plus aussi ?
Sandra a toujours été celle qui de nous deux avait la parole facile. Il était courant pour elle d’utiliser des mots comme queueou chatte, mais les utiliser dans ce contexte c’était différent. Elle mit un bras sur mon épaule, et commença à doucement me caresser, elle me demanda doucement :
- Je me demande si le foutre d’un autre homme aurait le même goût que le tien. Penses-tu que tu aimerais ça ? »
Elle me demandait ça parce que j’aimais la lécher après nos relations sexuelles, et j’étais familier avec le goût de mon sperme. Elle m’avait tout de suite dit que ses orgasmes étaient aussi importants que les miens, et elle m’avait fait promettre que si je jouissais le premier je l’aiderais jusqu’à ce qu’elle jouisse elle aussi.
Il y a eu bien des fois ou mon pénis refusait de coopérer après avoir giclé une fois, et c’est pour cela qu’elle pouvait insister pour que je descende à la cave. Les premières fois n’avaient pas été facile pour moi mais j’avais développé un goût pour la chose, et c’était devenu agréable pour moi. En regardant en arrière je réalise que lécher mon propre sperme dans sa chatte pouvait être la source de mon fantasme ?
Sandra m’a dit récemment avoir toujours fantasmé à ce moment-là sur le fait que je léchais le foutre de son amant. On était sur la même longueur d’ondes bien avant que je le sache.
Lorsque j’ai essayé de répondre à sa question j’étais incapable d’être aussi honnête et ouvert qu’elle, et j’ai rusé en disant :
- Je ne sais pas, c’est dans beaucoup d’histoires de ce genre, les autres hommes doivent trouver ça bien.
Elle se rapprocha encore et me dit d’une voix douce :
- Tu veux essayer, ou c’est juste un fantasme ?
C’était droit au but, et de nouveau je ne suis pas arrivé à répondre honnêtement. J’ai dit
- Je ne sais pas, j’aime penser à ça depuis longtemps, tu veux essayer ?
Si je pensais la tromper en lui retournant sa question, j’avais tort, elle répondit sans hésitations :
- Il y a longtemps que j’y pense, je pense qu’on devrait essayer si tu es capable de gérer ça, tu peux vraiment et honnêtement t’asseoir là et regarder un autre homme me faire l’amour ?
Elle me caressait depuis quelques minutes, mon cerveau coulait à pic jusqu’à mes couilles, c’était trop bon, et je ne voulais pas qu’elle s’arrête, j’ai dit tout doucement
- Je crois qu’on peut essayer, ce doit être quelque chose que tu veux toi aussi, je ne voudrais pas que tu fasses ça à cause de moi.
Elle a ri avant de répondre :
- Si je ne voulais pas que ça arrive ça n’arriverait pas tu peux être sûr de ça.
Puis elle passa une vitesse supérieure en me disant :
- Dans toutes ces histoires c’est la femme qui décide, et elle fait faire à l’homme des choses, c’est comme cela que tu vois les choses pour nous ?
Dans ma tête c’était toujours Sandra qui avait le pouvoir et elle me faisait faire ces choses. Admettre ça maintenant devant elle m’était difficile, j’ai dit :
- Je veux que ce soit ta décision, je ne pourrais jamais te forcer à faire quelque chose comme ça.
Elle a rigolé et a pincé ma queue en érection désormais en disant :
- Tu as sacrément raison tu ne pourrais pas, s’il y a quelque chose de forcé à faire je suis celle qui en décide !
Puis elle donna une chiquenaude à ma queue et dit :
- je vais voir où en est le dîner, il sera prêt dans une demie heure ne sois pas en retard.
Et sans autre mot elle me laissa seul avec tout ce qu’elle venait de me dire.
Dès qu’elle fut partie j’ai regardé les histoires qu’elle avait trouvée, comme elle n’avait pas mentionné quelque chose qui était la partie la plus importante j’espérais qu’elle ne l’ait pas trouvé.
Il y avait dans ces histoires un élément supplémentaire dans le cocufiage. Cela donnait à peu près ça, après être devenu cocu, l’amant de la femme devient jaloux du mari, et commence à insister pour qu’il ne soit plus un rival.
Chaque histoire avait un chemin différent, mais en définitive le mari perdait toujours quelque chose, en général d’ailleurs il perdait sa queue.
A la pensée de ma femme lisant de telles histoires sachant qu’elles m’excitaient, me plongea dans une honte terrible. A mon grand soulagement ces histoires n’étaient pas dans la pile, ce qui voulait dire qu’elle n’avait pas regardé le tiroir d’en dessous.
Soulagé je me suis assis et j’ai réfléchi à ce dont nous avions parlé.
Une telle conversation me semblait incroyable. J’en suis arrivé à la conclusion qu’elle voulait prendre un amant baiser avec lui pendant que je regardais, et puis que je fasse ma part ensuite.Beaucoup plus que ce que je pouvais gérer d’un coup, et en allant à la salle de bains avant le dîner j’étais dans le brouillard.
Conte Cruel de Noël
Episode II
Chapitre 2.
Elle était prête à prendre le taureau par les cornes si j’ose dire, ce fut évident lorsque nous fîmes l’amour cette nuit-là. D’abord il était peu fréquent que nous fassions l’amour le vendredi soir, habituellement c’était le samedi, avec une autre nuit durant la semaine selon les circonstances, celle-ci avait eu lieu la veille !
Après nous être douchés, et mis au lit, Sandie ne perdit pas de temps pour remettre sur le tapis le sujet qui ne m’avait pas quitté l’esprit depuis notre conversation quelques heures avant. Elle me choqua en me disant sans préliminaires :
- Tu dormiras à poil, désormais ce sera plus facile pour moi de t’exciter quand je rentrerai à la maison avec du travail pour toi. Commence par enlever ton slip.
J’ai toujours dormi en slip. Ses ordres me semblaient faciles à suivre elle m’avait excité en me caressant le pénis depuis que nous étions au lit. J’ai senti un frisson lorsque je l’ai enlevé, et que je l’ai expédié de l’autre côté du lit.
Que l’on me dise de faire quelque chose a toujours été mon désir secret, et ce désir soudain réalisé s’est révélé très excitant pour moi. Aussitôt ma queue était en érection complète.
Sandie a mis sa main dessus, et a commencé à me caresser doucement, me rendant plus excité à chaque seconde qui passait. Au bout d’un moment elle a dit :
- J’ai pensé à qui pourrait être mon premier amant. Ce n’est pas quelque chose que l’on doit prendre à la légère. Plein de mecs aimeraient me mettre la main dans ma culotte, mais on revient à la sécurité. Si un homme doit me baiser à cru, je dois savoir que je suis en sécurité en le laissant faire, tu es d’accord ?
Ce sujet vient rarement dans les histoires que je lisais, et encore moins souvent dans mes fantasmes. Même excité comme je l’étais je pouvais comprendre que si l’homme portait un préservatif, le principal objet de mon fantasme en serait pas présent lorsque je lécherais la chatte de ma Femme. Qu’elle ait prévue une réponse prouvait qu’elle était déterminée à continuer,
- J’ai tourné ce problème dans ma tête, et j’en suis arrivée à Jack, que penses-tu de lui ? »
Jack est le voisin d’à côté, plus âgé que nous d’environ 15 ans, il était enseignant, et a pris une retraite anticipée pour prendre soin de sa femme gravement malade. Lorsque celle-ci dût être pris en charge par un établissement spécialisé Jack a continué à vivre ici en rendant quotidiennement visite à sa femme.
Cela semblait un choix tellement inhabituel que j’ai hésité avant de lui demander calmement :
- Pourquoi choisirais-tu Jack ? Je pensais que tu aimerais un homme plus jeune.
Elle a ri avant de me répondre :
- Jack est un excellent choix, il n’a pas fait l’amour depuis au moins deux ans, et seulement avec sa femme, c’est une bonne assurance sanitaire, il habite à côté, et ce sera pratique pour lui de venir dans notre lit, et il a une grosse queue.
Dans d’autres circonstances cela m’aurait fait rire, mais tout ce que je trouvais à dire fut :
- Comment tu sais ça ?
- Il tondait la pelouse au printemps dernier, et je lui ai demandé de m’étaler la lotion solaire sur le dos, je l’ai regardé du coin de l’œil pendant qu’il m’étalait la lotion et je voyais sous son short une très grosse bosse, bien plus grosse que la tienne.
Je dois vous expliquer pourquoi ces circonstances ont été possibles. Je gagne très bien ma vie, Sandie n’a pas besoin de travailler, et pour éviter de s’ennuyer elle a pris des cours de cuisine, lorsque la femme de Jack est tombée malade Sandie a préparé les repas du couple, Jack nous a rendu le service en venant tondre la pelouse, et cet arrangement entre voisins a continué après le départ de sa femme. Nous sommes très proches y compris amicalement, et je suppose que c’est la raison pour laquelle Sandie n’a vu aucun inconvénient à ce qu’il lui passe la crème solaire sur le dos.
Au ton de sa voix je savais qu’elle avait fait son choix, je dis :
- On dirait que les jeux sont faits.
Elle répondit à brûle-pourpoint :
- Oui c’est exact. Depuis que je sais que je vais baiser je veux choisir avec qui. Je te ferais savoir quand ce sera à toi de faire ta partie.
Cela me permit de demander ce qui me trottait dans la tête depuis notre conversation, et j’ai demandé calmement :
- Et quand vas-tu faire ça ?
Elle m’a branlé plus fermement avant de me répondre :
- Lorsque je serais prête. Tu le sauras quand je te ferais goûter ta première tarte à la crème.
J’étais près de jouir, et sa référence à mon fantasme à fait fleurir l’idée dans ma tête, elle savait l’effet que cela avait sur moi, l’effet que ses mots crus avaient sur moi, et elle me donna le second ordre de la soirée :
- Je vais te montrer comment nous ferons à partir de maintenant, mets-toi sur le dos.
Sans réfléchir je me suis mis sur le dos, dans la lumière tamisée je la voyais accroupie sur le lit, presque nue, comme elle dormait habituellement en été, je l’ai vu guider ma queue dans sa chatte.
Etant donné l’excitation qu’elle m’avait procurée avec sa main, et le sujet de notre conversation, je savais que j’allais éjaculer très rapidement. C’est ce qu’elle voulait, elle me dit :
- Souviens-toi de ce que c’est, quand je commencerais à baiser avec Jack tu n’auras plus cette chance, si sa queue est aussi grosse que je l’ai vue je ne te sentirai plus, ce serait perdre notre temps, vas-y éjacules maintenant, et je te donnerais ta première leçon sur la bonne manière d’éjaculer hors de ma chatte.
Elle a accéléré le rythme et en moins d’une minute j’ai lâché mon sperme en elle, elle a continué à me monter jusqu’à ce que mes spasmes cessent, puis elle s’est soulevée, et a approché sa chatte de ma tête.
Cette façon de lui donner du plaisir avec ma bouche est la partie la plus excitante pour moi de mon fantasme, mais dans nos relations sexuelles normales je serais descendu entre ses jambes, elle était toujours sur le dos quand je léchais et suçais, et je n’aurais jamais pensé à lui demander de s’asseoir sur mon visage, alors que j’en avais tant envie.
Mais cette fois elle se mit en place comme si cela faisait des années, je commençais à lécher sa chatte, et elle me donna des instructions sur la bonne manière de lui donner du plaisir, à voix basse elle me dit :
- Ce sera plus facile pour toi de me bouffer la chatte, quand je suis sur le dos beaucoup de foutre se perd et tu ne l’as pas, de cette manière tu pourras avaler la moindre goutte... Je veux que tu fasse courir ta langue le long de ma fente, que tu prennes tout le foutre qu’il y a là, c’est la partie qui sort la première, tu dois le faire tout de suite, et vite. »
Puis elle ne dit plus rien jusqu’à ce que j’ai fini cette partie et que j’ai léché et avalé aussi vite que je le pouvais. Il n’y avait pas beaucoup de foutre dans cette partie de sa chatte, et en fait j’en récupérais moins dans cette position.
A un moment donné elle me dit :
- Arrêtes-toi là, tu sens ce point ? Oui c’est mon clitoris, rappelles-toi où il est, je vais juste bouger un peu pour mettre ma fente sur ta bouche, c’est là qu’il y a le plus de foutre, tu dois être capable de tout avaler. »
Elle s’est repositionnée doucement, je sentais son clitoris frotter contre mon nez, elle me donna des instructions :
- Vas-y je suis juste sur ta bouche, suces mon trou ».
Je fis comme elle l’ordonnait, et je fus surpris par la quantité de foutre dans ma bouche. Quand je bouffais sa chatte avant je n’avais jamais eu à traiter une aussi grosse quantité de foutre, et je voyais ce qu’elle voulait dire lorsqu’elle m’avait dit que j’en perdais une grosse quantité en route, au début ça a débordé de ma bouche, je l’ai fermée, et j’ai avalé, dès que la première livraison fut en route je me suis remis au travail, je n’avais jamais pensé qu’un homme de mon âge produisait autant de sperme.
Avec le temps ma queue était de nouveau en érection. Quand Sandie sentit que j’avais fini ma tâche, elle me dit :
- Maintenant je vais te montrer une autre façon que tu auras de me bouffer quelque fois.
Elle remonta d’un cran, et retourna son corps jusqu’à ce qu’elle soit face à mon entrejambe, après s’être mise en position elle me dit :
- Cela met mon clitoris juste sur ton pubis, tu dois te rappeler d’être toujours épilé avant de te mettre au lit, je ne veux pas frotter mon clitoris sur ta toison. »
Pendant qu’elle me donnait cette leçon elle avait commencé à pousser son bouton contre mon pubis, et je peux dire au ton de sa voix que ça l’excitait, ce qui m’excitait c’était que mon nez était enfoncé dans ses fesses et dans mon état d’excitation l’arôme me transportait. Sa respiration s’accélérait, et quand elle parla de nouveau c’était presque un murmure, elle cria :
- Quand je te dis de pousser ta langue dedans tu le fais le plus possible sois prêt..
Cet ordre me surprit alors que ma langue était enfoncée dans sa chatte aussi loin que je le pouvais, tout ce qu’elle voulait je le faisais, alors j’ai essayé de me concentrer en attendant son ordre, plutôt que sur ma queue.
Il arriva plusieurs choses à la fois, la première a été un cri explosif de sa part, suivi par son ordre “Maintenant, fais-le!”. En même temps qu’elle faisait cela je sentais une de ses mains travailler dans sa chatte qui était maintenant projeté au-delà de mon nombril, son autre main agrippait mes testicules et semblait faire de son mieux pour me l’arracher.
C’était inattendu, elle se déplaça, son anus devant ma bouche, et quand elle m’ordonna d’enfoncer ma langue le plus loin possible celle-ci plongea dans l’anus.
Vous pensez que c’est plus dégoûtant qu’excitant, quand je suis dans mon état normal c’est ce que je dis, mais là je commençais à jouir et tout ce que nous faisions me mettait dans tous mes états, ma langue dans son cul avait ajouté une nouvelle dimension à une situation déjà extrêmement érotique.
Je ne vous ennuierais pas par une éprouvante description de nos sessions pendant les deux semaines suivantes, sinon vous dire qu’elles étaient toutes du même acabit, ce qui était étrange c’est que c’était toutes les nuits, à la fin de ces deux semaines Sandie me complimenta sur ce que j’avais appris sur les tartes à la crème comme elle les appelait. Elle me dit que j’étais prêt à le faire en vrai, mais elle voulait que je continue à le pratiquer jusqu’à ce qu’on le fasse vraiment.
C’est ce que je fis.
Conte Cruel de Noël
Episode III
Chapitre 3
La nuit ou Sandie me fit des compliments était un mardi, je m’en souviens. Elle m’avait fait des allusions voilées au fait qu’elle était presque prête à aller voir Jack. Elle ne m’a jamais dit qu’elle allait essayer de séduire le voisin, juste que c’était pour bientôt. Étant donné la manière dont elle avait augmenté mon anticipation chaque nuit, je savais que ce ne serait jamais assez tôt pour moi.
Le samedi suivant a semblé parfaitement normal. J’ai travaillé sur la haie entre notre maison et celle de Jack et quand il m’a vu il m’a rejoint. La conversation fut difficile pour moi alors que la seule pensée que j’avais était ma femme au lit avec lui. Je suis sûr qu’il m’a trouvé distrait mais il n’en a jamais rien dit.
Sandie cuisinait pendant que je travaillais dans le jardin, et un arôme délicieux vint me chatouiller les narines alors que je retournais à la maison. Il était 18h, et elle me dit de me laver les mains, en m’annonçant que le dîner serait servi à mon retour.
Nous avons dîné une heure après que je sois rentré, et je restais assis attendant le dessert qu’elle avait cuisiné, j’étais sûr que c’était une de ses fameuses tartes, mais je n’arrivais pas à identifier son genre à l’odeur.
A ma grande déception le dessert qu’elle servit fut une boule de glace, mais je me suis contrôlé en pensant avoir de la tarte plus tard suivi d’une autre merveilleuse session au lit. Dès que le dessert fut fini, Sandie se leva de table, elle me dit :
- Je vais aller prendre un bon bain maintenant, tu vas débarrasser la table.
Et elle sortit de la pièce, me laissant nettoyer la pièce. Rien d’extraordinaire je prenais en plus en plus souvent la charge de ces tâches ménagères. D’habitude elle prenait un bain juste avant que nous allions au lit, ce soir c’était différent.
Assis dans le canapé je lisais le journal, lorsqu’elle revint du bain. Sa vision me coupa le souffle, j’aurais voulu la supplier de me laisser lui donner du plaisir.
Elle portait un short ultra-court, à part ses sandales son seul autre vêtement était un haut qui lui couvrait ses seins, si mince que l’on voyait ses tétons, d’un seul coup d’œil on les voyait dressés, et j’ai trouvé cette vision très stimulante.
Elle portait une boîte en métal qu’elle utilisait pour transporter la nourriture à nos voisins, et en réponse à ma question non dite elle dit :
- J’ai cuisiné une tarte pour Jack, et je pense en ramener une ici, je me demande de quel genre.
J’étais si distrait par son apparence que je n’ai pu lui répondre, mais j’ai dit :
- Elle est à la noix de coco ? C’est ce que ça sent.
Elle sourit en disant
- Non chéri, mais pas loin, c’est une tarte à la crème à la banane, je pensais cela approprié, comme ça tous les deux vous aurez une tarte à la crème ce soir, mais la tienne ne sera pas à la banane.
Elle marcha vers la porte, me laissant sans réactions. Son mot final fut :
- Maintenant tu es un gentil garçon, au lit à 23h, salut.
Elle quitta la maison, et je me suis retrouvé avec le cerveau en ébullition. Je me suis répété ce qu’elle avait dit encore et encore, me demandant si cela voulait dire
qu’elle avait décidé que le moment était venu pour elle de séduire Jack. Quand elle reviendrait ramènerait-elle un petit supplément dans notre lit où elle me le livrerait ?
Je ne pensais à rien d’autre de toute la soirée, et je ne sais absolument pas ce que j’ai fait pendant ce temps, j’ai dû essayer de regarder la télé, mais aucun souvenir, j’ai dû essayer délire, mais je ne me souviens de rien, je me souviens juste m’être battu avec ma main pour ne pas me branler, l’urgence de me masturber me submergeait et me rendait dingue.
Vers 22h je n’en pouvais plus de curiosité à propos de ce qui se passait de l’autre côté. J’ai songé plusieurs fois à aller fureter du côté de la maison de Jack. La peur que Sandie me surprenne m’a arrêté, la voir en colère après moi était plus que je n’en pouvais supporter, et je l’ai attendu, bien que totalement anxieux.
J’ai passé la dernière heure et demie avant de me coucher dans la baignoire, même là je ne pensais à rien d’autre, j’avais même peur de toucher mes parties génitales, je n’aurais probablement pas pu me retenir, je voulais plus que tout sauver mon orgasme pour Sandie, sachant que si j’éjaculais maintenant je perdrais tout désir, et je ne voulais pas de ça.
Peu avant 23h je me mis au lit, nu comme ordonné, je me suis étendu sur le dos, mon érection ne frottant pas ainsi, et j’évitais la moindre stimulation avec le drap, je n’avais jamais vu l’horloge tourner si lentement et lorsqu’une heure après j’ai jeté un œil sur l’horloge, une minute seulement était passée.
Vers 23h30 j’ai entendu la porte de devant se fermer, mon cœur à commencé à battre fort, j’étais dans l’anticipation, et j’ai entendu la dernière marche produire son craquement, mon regard était fixé sur la porte, et quand j’ai vu dans l’obscurité sa forme apparaître c’en était presque trop.
En entrant dans la chambre elle mit ses mains derrière son dos, et défit son haut, j’espérais qu’elle allume la lumière que je vois ses merveilleux seins, elle n’avait pas cessé d’avancer vers le lit et avait atteint son côté, j’ai vu ses mains toucher son côté, puis je l’ai vu enlever son short.
Je n’ai pu me contenir plus longtemps, et j’ai chuchoté d’une voix rendue rugueuse par l’émotion :
- L’as-tu fait ?
Elle n’a pas dit un mot, mais a grimpé dans le lit sur ses genoux, elle a balancé une jambe au-dessus de ma tête, quelque chose de blanc entre ses jambes et elle chuchota d’une voix aussi âpre que la mienne :
- Vois par toi-même
Je n’ai même pas pu attendre qu’elle baisse sa fente jusqu’à ma bouche, j’ai mis mes mains sur ses cuisses et touché, j’ai su alors pourquoi elle m’avait entraîné pour lui rendre le service qu’elle attendait, sans ces instructions je n’aurais pas réussi à le faire proprement dans ma frénésie.
Mon premier coup de langue me donna la réponse, le goût explosa dans ma bouche salé, l’odeur musquée de sa chatte me dit qu’elle avait baisé, c’était un goût différent du mien, l’odeur aussi était différente.
Ce qui était vraiment différent c’était la chaleur dans sa chatte, et la douceur des lèvres de sa chatte, lorsque j’ai passé ma langue dessus, son clitoris aussi était bien plus gros, tout était la preuve de son excitation, aussi grande que la mienne, et qui me menait à un plus haut degré d’excitation.
J’essayais de contenir mon impatience débordante et de la servir ainsi que je l’avais appris. Mais elle devait être encore plus excitée que d’habitude parce que j’avais léché par deux fois lentement autour de sa chatte, et elle chuchota vivement :
- Plus vite, lèche plus vite bon Dieu !
Cela augmenta mon désir, et ma langue travaillait le plus vite possible. Je léchais aussi vite que possible ramenant les trésors que je trouvais dans ma bouche, les
avalant, j’ai avalé tout ce que j’ai trouvé, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien, elle avait dû réalisé qu’il n’y avait plus de foutre pour moi, alors elle bougea rapidement plaçant son clitoris sur mon nez et sa délicieuse chatte sur ma bouche.
- Bouffes-là, maintenant, vas-y !
Mes lèvres se collèrent à son ouverture, et je récoltais tous ses jus mêlés et divins.
Un cri naquit dans sa gorge, j’ai senti ses cuisses se refermer sur ma tête, elle pressait sa fente contre mon visage avec tant de force que je ne respirais qu’avec peine, mais c’était sans importance, elle me dit brutalement :
- Bouffe-le ce foutre, bouffe-le salope !
Je n’avais besoin que de ça pour jouir, je n’ai même pas eu à toucher ma queue, à ses mots j’ai éjaculé. Rien à faire de savoir si j’étouffais, sa fente sur mon visage, tous ces jus aux senteurs et aux goûts mêlés ce devait être comme ça le paradis, plus la peine de mourir j’y étais !
Je ne sais pas si Sandie s’est soulevée ou si mon corps a réagi instinctivement, mais je me souviens avoir cherché de l’air en tournant la tête tout en essayant d’avaler ce que j’avais dans la bouche, le résultat fut que j’étais presque évanoui, cela me prit plusieurs secondes pour atteindre les deux buts, et Sandie était à mes côtés me tenant fermement. Sa respiration s’apaisait, elle me chuchota à l’oreille :
- Alors c’était aussi bon que tu le pensais ?
Le mot “bon” n’avait aucun sens dans ce contexte, et j’essayais de trouver les mots qui convenaient, finalement j’ai répondu :
- Je ne peux te dire combien ce fut merveilleux, j’ai lu depuis si longtemps là-dessus, mais ce que tu m’as fait ce soir n’a rien a voir avec ces histoires, aucune comparaison possible, c’est la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. »
Elle ajouta :
- On dirait que tu es prêt pour plus que ça
Elle rit doucement, et cela me prit un certain temps avant de réaliser qu’elle sentait mon érection en se pressant contre mon corps, jusque là je n’avais pas conscience de bander aussi dur, c’était déjà arrivé bien sûr mais lorsque j’étais plus jeune, ce qui se passait démontrait simplement combien cette soirée m’avait excitée. Elle me posa alors une question simple à laquelle je rêvais de répondre, mais sans que je puisse trouver de mots, elle me demanda tranquillement :
- Tu veux savoir ?
Je sus ce qu’elle voulait dire, et j’ai simplement répondu
- S’il te plaît
- J’ai amené la tarte à Jack, comme tu sais, quand il a vu ma tenue ses yeux lui ont sorti de la tête, il ne disait plus rien, je lui ai demandé si je pouvais entrer, il s’excusa de sa distraction et il m’ouvrit la porte. Il était juste derrière moi, j’essayais de remuer mon petit cul et ça a dû marcher parce que j’ai entendu clairement sa respiration s’accélérer, dans la cuisine je lui offert une part de ma tarte, et il était congestionné, il me sortit une assiette, me demandant si j’en voulais aussi, j’ai dit que non ; j’ai coupé la part et l’ai mis dans son assiette, il était assis à la table de la cuisine, et j’ai pris une position suggestive, je m’étais entraîné dans l’après-midi devant le miroir, je peux te dire qu’il faisait de son mieux pour ne pas mater ma chatte, après toutes ces années sans chatte le pauvre semblait désespéré, aucun moyen pour lui de louper ce que je lui offrais. Il a fini sa tarte, et j’ai suggéré qu’il range l’assiette dans le lave-vaisselle pour qu’il se lève, c’était si comique la manière dont il essayait de me cacher son érection, comme prévu il bandait, il avait un short, et la tente était énorme si tu vois ce que je veux dire, il essayait de tenir l’assiette devant et elle est tombée par terre, comme elle était en plastique elle ne s’est pas cassée, je me suis baissée pour la ramasser, ma tête était à quelques centimètres de la bosse, il était mort de honte il ne bougeait plus. En ramassant l’assiette j’ai caressé l’érection par inadvertance au passage, il a mis ses mains devant mais semblait si gêné, alors j’ai mis ma main sur la sienne et je lui ai demandé s’il était blessé là, il a eu une expression si comique ! Alors je l’ai embrassé, il a mis quelques petites secondes à réagir, mais quand il l’a fait, il était dedans, c’était très sérieux, il était enthousiaste. J’ai frotté mon corps contre le sien, et il a décollé. Et nous avons été dans la chambre, nous nous embrassions et nous caressions, et quand nous avons été au lit il a continué, il a dégrafé mon short, enlevé mon haut, et ses yeux étaient braqués sur mes seins, j’ai approché sa tête et il est devenu dingue, je n’ai jamais été aussi bien sucé sur mes tétons, c’était bon ! Il a passé un temps infini à les lécher, les sucer, et même les mordre et les pincer, puis ses yeux se sont rivés sur ma chatte, mon cul était en l’air à ce moment-là et j’ai dit mais ne t’arrêtes pas, j’ai ouvert mes cuisses, pris une de ses mains que j’ai posé entre elles, et il a semblé se souvenir de ce qu’il fallait faire, et il m’a doigté prodigieusement bien, j’ai remis sa tête sur mes tétons et je l’ai laissé faire, c’était génial. Je ne sais pas combien de temps il a fait ça mais j’ai décidé qu’il était temps de le voir nu, j’ai déboutonné sa chemise, lui ai enlevé, et après son short et son slip, et je dois te dire qu’en voyant la taille de la tâche humide dans son slip j’ai cru qu’il avait joui, sa queue était dure comme de la pierre, elle était encore plus grosse que je ne l’avais imaginé, le double de ce que j’avais vu dans le jardin, elle est deux fois plus grosse que la tienne. Je ne pouvais plus résister, je me suis étendue sur le dos, et je l’ai guidé en moi, je l’ai laissé faire le reste, il était nerveux, mais il a pris son temps, s’il m’avait prise comme un bélier je serais morte, j’ai perdu ma virginité à 15 ans, et je ne m’en souviens plus vraiment sauf que ça avait été bon et que ça m’avait fait mal en même temps. Maintenant je sais ce que ça veut dire que de la perdre une deuxième fois. Ses premiers coups de boutoir l’ont enfoncé plus loin que tu n’es jamais allé, c’était un territoire inexploré, jusqu’à ce soir j’ai été vierge toute ma vie, maintenant je sais ce qu’être baisée par une vraie queue veut dire, super ! Tu sais que tu éjaculais juste quelques secondes après être entré en moi ? Et bien Jack ce n’est pas ça, il devait avoir perdu la tête d’excitation, mais il arrivait à se contrôler, il m’a baisé lentement très longtemps, et quand j’ai été sur le point de jouir il a accéléré le mouvement, Dieu que c’était bon ! Il semblait savoir quand mon orgasme approchait parce qu’il s’est enfoncé si loin, si profond en moi, j’avais le feu au cul, c’était si bon que je pensais pouvoir mourir, et là il a éjaculé, mais à la vérité je ne m’en suis pas aperçue j’étais trop occupée par mon orgasme, rien d’autre n’avait d’importance. Je suis revenue à moi, et j’ai pris conscience qu’il me baisait à nouveau, cet homme est d’une vigueur, je me sentais trempée, je me suis dit que je devais lui dire d’arrêter, mais c’était si bon, et je ne l’ai pas fait, je te jure sur ma mère que sa queue était encore plus grosse, lorsqu’il a giclé la deuxième fois j’ai cru faire une crise cardiaque. Je n’ai pas eu d’orgasme la deuxième fois mais c’était bien, je me sentais vraiment bien d’avoir cette grosse queue en moi, je n’avais plus besoin de jouir pour l’apprécier, c’est la meilleure baise que j’ai jamais eue, j’espère que la prochaine sera encore meilleure. Je sentais son foutre couler en moi quand j’ai bougé, je ne savais pas qu’un homme pouvait décharger autant, mais bien sûr tu sais ce qu’il en est non ? Je lui ai dit que je devais rentrer, on s’est embrassés, tu sais ce qu’il y avait de drôle ? Il m’a remercié, cela peut sembler drôle mais j’ai aimé ça. Je me suis dépêché pour rentrer je ne voulais pas que tu en perdes une goutte, tu connais la suite.
Je connaissais la suite et c’est revenu en flash dans ma mémoire seconde par seconde, pas moyen d’expliquer combien c’était excitant d’entendre Sandie me raconter comment elle avait séduit notre voisin, et comment elle avait couru pour que je la nettoie.
Aucune histoire ne peut se comparer avec ça. Je lui ai dit que je l’aimais, et qu’elle était si précieuse pour moi. Sa seule réponse fut de mettre une main sur mon épaule de me pousser sur le dos et de me dire :
- Prouves-le
Je savais ce qu’elle attendait de moi. Sa chatte était devant ma bouche, et j’ai enfoncé ma langue aussi loin que possible, puis elle a mis ses mains sont venus sur mon entrejambe et elle a commencé à faire ce qu’elle m’avait appris à apprécier ces derniers jours, une main tenait mes testicules, l’autre pinçait ma queue centimètre par centimètre, et elle a continué comme ça jusqu’à ce que sa respiration s’emballe.
Elle est descendue plus bas à ce moment-là, et a mis une main sur son clitoris et a commencé à le caresser furieusement, son mouvement avait placé son anus sur ma bouche et je fis mon travail en poussant ma langue profondément en elle.
Comme nous approchions de notre second orgasme elle s’est concentrée sur la punition de mon pénis avec la main qui lui restait, j’avais appris à aimer cette sorte d’attention et cela m’excitait encore plus, quand elle a gémi pour signaler son orgasme j’ai soulevé mon cul pour pousser de force ma queue contre sa main espérant que cela renforcerait ses efforts.
Et c’est ce qu’elle fit, elle pinça la peau tendre juste sous le gland, et la tira de toute sa force, en même temps elle dit d’une voix enragée
- Dieu j’aimerais que tu sois aussi grosse que celle de Jack
Et j’ai giclé, et j’ai poussé ma langue encore plus loin en elle. Après son second orgasme en moins d’une heure, elle en eut un troisième très rapidement,
Sandie était rassasiée, elle se laissa revenir à la réalité, en deux minutes elle se coucha près de moi sur le ventre, en me disant - bonne nuit ».
J’étais sûr qu’elle dormait, mais je lui ai répondu :
- Bonne nuit, je t’aime, merci pour ce que tu as fait aujourd’hui ».
Rien ne me laissa entendre qu’elle avait entendu, mais je me sentais mieux de l’avoir dit, j’avais noté mentalement d’être plus courtois envers elle à l’avenir après sa remarque sur les remerciements de Jack. Elle est la personne la plus importante du monde pour moi, et je devais le lui prouver par mes mots et mes actes. Avec cette résolution ancrée dans mon cerveau je l’ai rejoint dans son sommeil satisfait
↧
L'été des rediff..! Conte cruel de Noël.
Conte Cruel de Noël
Episode IV
Chapitre 4
Si j’avais attendu de ma femme qu’elle aille voir son amant tous les soirs puis qu’elle revienne dans notre lit pour le service qu’elle attendait de moi j’aurais été déçu. Elle m’avait déjà dit que si elle réalisait mon fantasme, elle serait la seule à décider. Elle attendait de moi que je respecte mon engagement, ce fut évident le lendemain.
Je me suis réveillé le premier, et je suis resté étendu quelques minutes, regardant son visage, mon amour pour elle me subjuguait, et j’avais une envie folle de la prendre dans mes bras pour lui dire combien elle était spéciale pour moi.
La seule chose qui m’arrêta de le faire était le simple fait qu’elle n’était pas du matin, et elle ne voulait rien de moi, ni de personne d’autre, avant de s’être réveillée par elle-même, et d’avoir bu une tasse de café.
Je suis sorti du lit tranquillement, j’ai pris ma douche et je suis descendu vaquer à des tâches diverses. Quand j’ai entendu Sandie descendre je me suis rué dans la cuisine pour préparer son café et le lui apporter dans le salon dans lequel nous discutions habituellement le dimanche matin.
Nous nous sommes salués comme habituellement, nous sommes assis, et avons discuté, au bout d’une demie-heure elle a changé de vitesse, et lorsqu’elle a commencé de parler je pouvais dire que nous allions avoir une discussion sérieuse.
- Je ne me souviens pas avoir eue de nuit aussi reposante. Bien sûr trois orgasmes ne font pas de mal. En parlant de mal, ma chatte n’a jamais été comme ça, Jack est allé deux fois plus loin que toi, et je le sens aujourd’hui. Elle a poursuivi d’un ton pensif Plus j’y pense, mieux c’est, en me concentrant je sens sa queue forcer pour entrer.
N’ayant rien à ajouter à ce qu’elle disait je la regardais en attendant la suite. Au bout de quelques instants c’est ce qu’elle fit :
- Je pense que nous devons réfléchir sérieusement à ce qu’on fait là. Étant donné la forme que me donne le fait d’avoir été baisée seulement deux fois par Jack et la façon dont tu sembles plus excité que jamais à l’idée d’avaler son foutre en moi, je pense que nous allons devenir accros à cette situation. On devrait voir plus loin, et réfléchir un peu avant de continuer. »
Cela la fit rire, voyant que je n’avais pas saisi la blague elle arrêta de rire suffisamment pour me dire :
- Loin, et raide. C’est tout Jack ça.
Son rire éclata et je me joignis à elle. Une fois que nous fûmes calmés j’ai demandé :
- Tu veux dire que tu ne veux pas recommencer ? C’est ce que tu veux dire ?
Elle a un peu réfléchi et répondu :
- Non, tout le contraire, j’aimerais y retourner maintenant, et qu’il me baise toute la journée, c’était chouette cette grosse queue en moi, et si je pouvais je la garderais tout le temps en moi. … Elle se tut semblant réfléchir à ce qu’elle voulait dire, puis continua : c’est ce que j’essaye de dire, ça va devenir une habitude si ça continue, ce qu’il m’a fait c’est génial, et ce qui est arrivé ensuite n’était pas mal non plus. L’idée de te nourrir avec le foutre de mon amant doit déclencher une réaction nerveuse je suppose.... Quand j’étais assise sur toi la nuit dernière, j’ai pensé à des choses effrayantes, tu te souviens comment j’ai traité ta petite queue quand j’ai eu mon deuxième orgasme ?
Elle s’arrêta longuement, j’ai hoché la tête en me souvenant de la douleur de ses pincements et quand elle étirait ma peau.
- Si tu savais à quoi je pensais, tu aurais peur, ou tu devrais avoir peur... Elle sembla réfléchir et poursuivit.. Pour faire bref, si on décide de continuer nous allons y aller de plus en plus profondément, tu peux faire usage de ton imagination sur ce que ça veut dire pour nous deux, nous devons décider maintenant ce que nous faisons.
Elle attendait que je dise quelque chose, en repensant à ce qu’elle avait dit j’ai réalisé que ma queue bandait. C’était la première fois que sa présence se faisait sentir, j’ai souri en pensant que j’avais déjà voté et j’ai dit :
- La seule chose que je peux dire est que la nuit dernière fut la plus excitante de ma vie, penser à ça maintenant m’excite encore, si je dois voter maintenant je te dis que nous ne devons pas arrêter, le choix final t’appartient, c’est selon ta décision.
Elle acquiesçait de la tête même avant que j’ai fini, et elle dit sans hésitation :
- Accord conclu, je connaissais ma décision dès que sa queue est entrée en moi, je veux le baiser à chaque fois que je peux, et comme je sais maintenant comme c’est excitant de te nourrir de son foutre je veux le faire souvent. Je te donne juste une chance d’avoir ton mot à dire.... Elle a ri et dit : après ça tu n’auras plus rien à dire du tout, ta bouche aura mieux à faire.
j’ai ri avec elle. J’ai ressenti une telle excitation que je savais qu’aucune autre décision n’était possible pour moi.
Après cette conversation Sandie décida qu’elle ne baiserait pas avant samedi, c’était mieux pour elle disait-elle elle avait des batteries à recharger. Comme je lui avais donné le pouvoir de décider je ne pouvais qu’acquiescer. Une autre partie de la décision était plus difficile pour moi à observer, elle me dit :
- Tu ferais mieux de comprendre que pas de sexe signifie ça. Je veux que tu me promettes que tu ne joueras pas avec ton engin derrière mon dos. Tu peux le
faire ?
J’étais sûr que ce n’était pas difficile, même si en pratique il allait en aller autrement.
Nous avons passé la semaine suivante de la manière habituelle, moi travaillant, elle s’occupant de la maison. Elle ne donna aucun signe d’excitation, ou même d’y penser. Tout ceux qui nous connaissaient n’aurait rien remarqué d’inhabituel.
J’avais noté un changement cependant, la manière dont Jack me remercia lorsque je l’ai croisé dans le jardin. Il a d’abord paru honteux, puis deux jours plus tard il me traitait comme un de ses étudiants. Difficile de donner un exemple, mais c’était l’impression que j’avais. Il semblait penser qu’il était en responsabilité, et que je devais le respecter.
Samedi est arrivé et j’étais complètement excité, avant on faisait l’amour deux fois par semaine, je me masturbais quotidiennement, le plus souvent pendant la douche du soir, et de ne pas avoir pu le faire me rendait dingue, j’ai bandé pendant toute une journée, et Sandie qui l’avait remarqué m’a fait des références voilées au besoin de faire quelque chose pour résoudre ce problème, j’espérais que cela voulait dire qu’elle allait rendre visite à Jack et revenir ensuite me faire avaler son foutre.
A ma surprise, et pour mon excitation immédiate, elle annonça deux heures avant le dîner que nous avions un invité cette nuit. J’ai immédiatement demandé si ce serait Jack, mais elle me dit d’être patient, et que toutes mes questions trouveraient une réponse. Cet intermède fut le plus long de ma vie.
Une heure avant le dîner Sandie me dit de monter avec elle. Une fois en haut elle m’ordonna de lui préparer un bain et de l’assister. Cela ne fit qu’accroître mon excitation, cela confirmait mes soupçons, son amant allait se joindre à nous cette nuit. Je songeais à tout ce que cela impliquait, et j’étais coincé entre mes vraies sensations sur le sujet, c’était une chose de lire ça dans une histoire, et une autre de voir son fantasme être réalisé ; je me demandais si je pouvais y faire quelque chose, et à chaque fois la même réponse : je ne savais pas.
Lorsqu’elle fut prête à sortir du bain je l’ai aidé, et j’ai commencé à la sécher en devant selon ses ordres prêter particulièrement attention à sa poitrine, et à son entrejambe, ce qui augmenta mon excitation au point que j’avais peur de gicler même sans m’être touché.
Sandie avait étendu les vêtements qu’elle voulait porter cette nuit, je les ai vus sur le lit, et j’ai su que tous mes espoirs, toutes mes peurs seraient réalisées. Il n’y avait que trois choses : une culotte blanche, le short ultra-court qu’elle avait portée il y a une semaine, et un Marcel. Mes mains tremblaient en lui mettant ses vêtements, cela avait une puissance érotique très forte pour moi.
Lorsque nous descendîmes je me dirigeais vers la salle à manger et me suis astreint à des activités domestiques pour distraire mes pensées et en espérant tranquilliser mon érection. Cela semblait fonctionner à 19h je n’avais qu’une demie-érection.
Ce ne fut pas une surprise de trouver Jack dans l’entrée lorsque j’ouvris la porte. Nous échangeâmes les salutations, lui facilement, moi gêné, mais il avait apporté une bouteille de vin ce qui me donna une excuse pour aller à la cuisine et quitter ainsi la pièce.
Sandie était occupée par une préparation de dernière minute, et semblait avoir fini lorsque j’entrais. Lorsque je lui dis que Jack était arrivé elle sourit et me donna une petite accolade et dit :
- Je vais lui parler.
Elle sortit de la cuisine, me laissant sans savoir comment l’on servait un plat ce qui n’avait jamais été ma responsabilité, beaucoup de changements avaient eu lieu dans nos vies et c’était juste un de plus.
Je fis aussi bien que je pus transférant la nourriture sur des plateaux, puis les amenant à table. Lorsque tout sembla prêt je suis allé à la porte les appeler, et c’est là que le changement me frappa.
Jack était assis dans mon fauteuil, et il n’était pas seul. Sandie assise sur ses cuisses, et alors que j’entrais dans la pièce, ils s’embrassaient. Je regardais en silence pendant ce qui me sembla une éternité. Lorsqu’ils finirent de s’embrasser Sandie me remarqua debout là et dit :
- Oh chéri, le dîner est prêt ? Nous avons faim.
J’étais incapable de parler, et j’ai juste opiné de la tête. Ce fut le signal pour eux de se lever et de se diriger vers la salle à manger agissant comme si tout était parfaitement normal.
Le dîner se passa tranquillement. Jack avait beaucoup d’histoires et il ne se fatiguait jamais. Avant que je puisse réaliser le repas était fini, Sandie me dit de débarrasser, et qu’elle servirait le dessert.
Je me dépêchais de desservir et fut surpris quand Jack offrit de m’aider. Nous continuions à parler de sujets très ordinaires, et il était difficile pour moi de concilier ce qui se passait avec ce que j’espérais qui se passerait.
La table fut vite nettoyée, et juste comme Jack et moi reprenions place Sandie entra apportant le dessert. Elle mit une part de tarte devant Jack, une autre à sa place, et une petite crème glacée devant la mienne. Comme je la regardais interrogatif, elle me dit avec un adorable sourire :
- Ne t’inquiètes pas chéri, tu auras ta tarte à la crème plus tard.
J’ai entendu Jack étouffer un rire, et alors que je le regardais je le vis tenter de cacher sa réaction au commentaire de ma femme. Lorsque Sandie se fut assise, il recommença avec ses histoires, et bientôt nous conversions tous facilement.
Je mangeais ma crème glacée, ma tête me tournait ne songeant à ce qu’elle m’avait dit. D’après la réaction de Jack il était évident qu’il savait à quoi s’attendre cette nuit, et cela signifiait que Sandie lui avait parlé cette semaine, en lui racontant ma part dans cette affaire. Même avec l’effet apaisant de la crème glacée je savais que j’étais rouge de honte.
Lorsque nous eûmes fini le dessert, j’ai débarrassé. Sandie me dit d’apporter la bouteille de vin et les verres dans le salon, et je me suis rué dans la cuisine pour faire cela.
Comme la fois d’avant en entrant dans la pièce Jack était assis dans mon fauteuil, ma femme sur ses cuisses. Comme avant ils s’embrassaient, mais cette fois le niveau de passion était évident à voir.
J’ai ouvert la bouteille et rempli nos verres, puis je leur ai tendu deux verres, et je pris le mien sur le canapé. Sandie choisit ce moment pour dire :
- Mon dieu Jack, il y a quelque chose de dur comme la pierre dans ton pantalon, laisses-moi le sortir pour que ça ne me touche pas
Elle s’assit sur le rebord du fauteuil, posa son verre sur la table, et nonchalamment posa ses mains sur son pantalon. Je regardais comme hypnotisé ses mains sur sa braguette. Il avait une érection ça se voyait, et elle le caressait, puis elle dit que ce serait mieux qu’elle reprenne sa place.
Pendant un court espace de temps j’ai vu la bosse dans le pantalon de Jack, ma femme ne m’avait pas menti sur la taille de son pénis, étant donné la tente, la taille devait effectivement être du double de la mienne. J’étais écartelé entre des sentiments de jalousie et d’excitation.
Sandie devait penser à la même chose, entre des gorgées de vin ils s’embrassaient, et à chaque fois les baisers étaient plus longs, son excitation était facile à voir, et cela m’enflammait encore plus. Lorsqu’ils eurent vidé leurs verres je savais que dans mon pantalon on n’était pas loin de ce qui se passait dans celui de Jack.
Elle se leva, prit la main de son Amant, et alors que je regardais muet elle dit :
- Montons tous maintenant elle me regarda droit dans les yeux et dit : Tu es prêt chéri ? Je sais que Jack l’est.
Ils rirent tous les deux de cette petite plaisanterie, mais j’étais frigorifié, et je ne pouvais répondre. Ce fut seulement lorsqu’ils quittèrent la pièce bras dans les bras que je trouvais la force de me lever pour les suivre.
Conte Cruel de Noël
Episode V
Chapitre 5
Le temps que j’arrive à la porte ils étaient déjà en train de monter les escaliers, ma femme regarda par-dessus son épaule et dit :
- Dépêche-toi chéri, je ne veux pas faire attendre Jack
Ils continuaient à monter et j’ai accéléré pour les rattraper, ralentissant seulement lorsque je fus juste derrière eux à la porte de la chambre.
Une fois dans la chambre ils se tenaient près du lit s’embrassant passionnément. Jack passait ses mains sur le corps de ma femme, et les mouvements, et les gémissements qu’elles faisaient l’excitait encore plus. Elle se recula un peu, puis me dit :
- Chéri, déshabilles-moi pour Jack.
Puis elle attendit comme si elle n’était pas sûre de ma réaction, je n’en étais pas sûr non plus, mais pendant une seconde seulement, je fis les deux pas nécessaires pour l’atteindre, et mains tremblantes j’ai enlevé son haut. Comme il tombait au sol, Jack dit :
- Sandie, tu as les plus beaux seins que j’ai jamais vu.
Ses mains se sont posées dessus et il a commencé à les caresser, bougeant en cercles sensuels autour des tétons qui pointaient, puis les pinçant entre ses doigts. Ses gémissements croissaient en intensité, sa respiration s’accélérait, signalant ainsi le succès de son initiative, et je l’ai vue se tendre vers lui.
J’étais comme hypnotisé à nouveau, incapable de bouger jusqu’à ce qu’elle dise :
- Le reste chéri ! Dépêches-toi, j’ai besoin de lui.
Cet ordre sembla me réveiller, et j’ai abaissé son short, elle m’arrêta :
- Pas comme ça, à genoux !
Mon cerveau était dans ma queue, et ma queue était plus dure qu’elle ne l’avait jamais été. Sans pensée consciente je me suis agenouillé à son côté, et j’ai terminé le déshabillage de son corps magnifique. En quelques secondes elle se tenait nue devant son amant, et il lui redit à nouveau combien elle était belle.
Je m’étais attendu à ce qu’elle me demande de le déshabiller lui aussi, mais cela n’arriva pas. Au lieu de ça c’est elle qui déboutonna sa chemise et la lui enleva. Puis elle tomba à genoux, et délaça ses chaussures, rapidement enlevées, et suivies par ses chaussettes. Puis elle déboucla la ceinture, ouvrit la braguette, dégrafa le pantalon, et le fit tomber à terre lentement.
Je voyais la tente sous son sous-vêtement, elle était énorme, je sus ce qu’elle avait voulu dire en me disant qu’elle s’était sentie comme une vierge quand il l’avait baisé la première fois. Même si je ne voyais pas encore la taille réelle de son pénis, il était beaucoup plus gros que le mien.
Elle baissa le caleçon, me révélant la chose qu’elle aimait sentir entre ses jambes.
Sandie commença à caresser la queue lentement, elle me regardait, et m’a dit d’un ton très doux, presque rêveur :
- Il n’est pas beau ? Tu vois maintenant ce que je voulais dire ? Je me sens comme une vierge !
J’espérais qu’elle n’attendait pas de réponses de ma part parce que j’étais incapable d’en donner une. La vue de la main de ma femme caressant le pénis de son amant était tellement excitante à regarder. Sa queue semblait grossir encore lui rendant hommage, et je pouvais voir de petites gouttes foutre se former au sommet du gland.
Après l’avoir caressé pendant une éternité elle dit sans me regarder :
- Déshabilles-toi
j’étais incapable de lui désobéir, et j’essayais de me déboutonner alors que mes doigts et mes mains semblaient gourds et insensibles, je finis par y arriver, mes vêtements étendus au sol parmi ceux de ma femme et de son amant.
Elle le conduisit au lit, sans jamais lâcher son organe énorme, après lui avoir demandé de s’étendre au centre du lit elle lui grimpa dessus, écarta ses jambes, reposant légèrement sur ses genoux. Sans quitter des yeux sa queue elle me parlait doucement disant :
- Chéri, restes avec nous, je te veux à côté de Jack, ta tête juste ici
Elle m’indiquait le milieu du lit en disant cela, j’ai dû battre tous les records de vitesse en me dépêchant d’obéir.
Dès que je fus en place elle s’avança, caressant sa queue l’approchant de sa chatte, ma tête était à quelques centimètres de la chose, et je voyais son foutre pointer, et prêt à couler. D’une voix tendue Sandie dit :
- Chéri étales ça sur le gland de Jack cela va l’aider à entrer en moi
Comme ma main s’approchait pour obéir, je savais qu’ils me regardaient tous les deux, comme si, si je réussissais cet acte cela aiderait n’importe quel autre homme à baiser ma femme plus facilement.
Le simple fait de toucher son gland m’a dévoilé un nouveau côté en moi, et j’ai ressenti l’extrême douceur du gland, qui était aussi très dur. J’utilisais un doigt pour étaler le jus sur la chose, et j’étais presque dégoûté en retirant ma main lorsqu’elle dit :
- Ça suffit, c’est pour moi, pas pour toi
Elle avait mis sa main sur mon poignet en disant cela, et elle a retiré ma main de cette partie si fascinante en lui. Elle s’est positionnée au-dessus de son membre, et fit une pause avant d’ouvrir sa chatte pour l’accepter en elle, puis elle dit doucement :
- Mets-là en moi
J’ai placé une main sur la tige de la queue, et l’ai approché d’elle, elle a commencé doucement à abaisser sa chatte vers lui et je l’ai vue commencer à s’empaler sur lui.
Ils gémissaient tous les deux alors que son gland disparaissait de ma vue, j’étais incapable de prendre conscience des bruits, j’entendais les gémissements de plaisir alors que son membre s’enfonçait de plus en plus profond, je l’ai entendu lui dire combien elle était belle, ce qui me fit honte, jamais je ne l’avais complimenté ainsi.
Elle le baisa ainsi pendant cinq minutes, elle dit à court de souffle :
- C’est plus loin que tu n’as jamais été, je suis encore vierge ce soir
Je ne voyais que sa queue disparaître dans la chatte de ma femme, et quand elle dit cela à peine 1/3 de son membre l’avait pénétré. Plutôt que de vouloir le voir sortir d’elle, je devais lutter pour m’empêcher de l’aider à s’enfoncer encore plus loin en elle.
Je ne sais pas pendant combien de temps ils ont baisé, plus longtemps que lorsque je faisais l’amour avec elle, j’étais honteux, il était si évident que Jack était d’abord préoccupé par le plaisir de Sandie, pas par le sien.
Cela était démontré par sa façon de caresser ses seins, il lui répétait qu’elle était belle, et il utilisait un doigt pour stimuler son clitoris, tout montrait son intérêt pour son plaisir, et quand elle a senti l’orgasme déferler sur elle, elle le supplia de jouir en même temps qu’elle.
Aucun doute lorsque ce moment de plaisir ultime survint, tout en elle tendait à s’empaler sur sa queue, tout en rugissant un cri de plaisir, puis elle commença à dire des choses que je ne l’avais jamais entendu dire. Ses mots étaient simples mais si érotiques, et elle les a répété jusqu’à ce qu’elle jouisse,
- Jack, gicles en moi, fais-le dépêches-toi, remplis ma chatte
La passion dans ces mots était plus que je ne pouvais en supporter, et je sentais mon propre orgasme approcher. Il s’est encore plus enfoncé en elle, elle a crié une dernière fois de plaisir, j’ai vu sa tête se renverser si violemment qu’elle semblait brisée, son corps tremblait, leurs jus se mêlaient, il a mis ses bras autour d’elle, et ils se sont embrassés passionnément.
Toutes les bonnes choses ont une fin, et il en fut ainsi de leur baiser. Sandie reprit sa position, et me regarda en disant :
- Maintenant tu vois ce que c’est une vraie baise ?
J’avais perdu toute capacité à parler, je ne pouvais même pas hocher la tête, je savais la différence entre ma performance, et faire l’amour, on venait de m’en faire la démonstration. La honte que je ressentais cohabitait avec l’excitation extrême, et le désir qui me consumait.
C’est alors qu’elle se retira à demi, et s’assit sur ses genoux, elle mit une main entre ses jambes, et elle utilisait ses doigts pour pincer les lèvres de sa chatte ensemble. Pas besoin d’explication pour savoir pourquoi elle faisait ça, et je savais que le moment était venu que je fasse ma part.
Il n’y eut pas un mot lorsque j’ai commencé à lécher frénétiquement son membre en demi-érection comme si je mourais de faim, la main de Sandie sur ma tête ma langue le léchait, et elle me guidait avec sa main du sommet de sa queue à la base de ses couilles, la seule fois que sa main quitta sa position fut quand elle quand elle saisit son pénis pas besoin d’instructions pour que je sache que je devais ouvrir ma bouche, et compléter mes efforts.
Sa queue dans ma bouche si tôt après qu’elle ait été dans le vagin de ma femme me semblait la chose la plus naturelle au monde. Le goût n’était pas très différent de celui d’il y a une semaine. Il m’en offrait une petite portion en quantité de ce qu’elle m’avait rapportée la dernière fois, la chose la plus excitante était la texture de son pénis, je n’avais jamais imaginé que ce soit si doux, et le velours exquis du gland, la chose la plus merveilleuse était de sentir la queue grossir dans ma bouche quand elle répondait à l’attention que je lui donnais. Sandie retira ma tête, il bandait à nouveau, et n’avait plus besoin d’aide.
- C’est mon tour » dit-elle.
J’ai baissé la tête, et me suis étendu sur le dos, elle a placé ses genoux près de ma tête, sa chatte encore fermée par ses doigts centrée sur ma bouche. Ses seuls mots furent :
- Ton dessert est prêt.
Elle a enlevé sa main, me laissant voir la vue la plus délicieuse au monde. Ses lèvres s’écartèrent délicatement, et le trésor qu’elle portait commença à goutter lentement vers ma bouche grande ouverte.
Je l’ai vu me regarder, au moment ou la première goutte de sperme tomba sur ma langue, j’ai savouré le parfum, j’ai vu la suite du jus se former, et j’ai avalé rapidement la première goutte, j’ai ouvert aussi grand que possible, et je fus récompensé en ayant la bouche pleine.
Puis Sandie se plaça sur mes lèvres, et j’ai commencé à faire ce qu’elle m’avait enseigné. Toute ma concentration servait à suivre ses instructions, ma langue léchait autour de la fente, puis se concentrait sur le trou, bouchée après bouchée j’avalais, il n’y eut bientôt plus rien, même en pompant aussi fort que je le pouvais, mais j’étais totalement hors d’état de réfléchir, envahi par le plaisir, sans aucune idée de la quantité de foutre que j’avais avalé pour étancher ma soif.
Quand elle voulut se retirer, j’essayais désespérément de recueillir une dernière goutte, mais elle avait une autre idée, et elle demanda à son amant de la mettre en pratique, sa voix était vive et émue lorsqu’elle dit :
- Jack, tient ses jambes derrière sa tête
Je n’avais plus de pensées rationnelles, et je ne savais pas du tout à quoi elle voulait en venir, comme il fit ce qu’elle demandait, elle plaça sa main sur ma queue et en même temps m’ordonna :
- Ouvres la bouche
J’ai su ce qu’elle voulait, mais je ne pouvais désobéir, et ma bouche s’ouvrit le plus possible. Alors qu’il tenait mes jambes derrière ma tête, Jack poussa son érection contre mes couilles, il semblait inconscient de commencer à bouger sa chose contre moi, je pouvais sentir ses couilles pousser contre mon cul ouvert, ce qui aurait été dégoûtant pour moi dans un état lucide, ajouta à mon excitation sexuelle qui m’avait déjà envahi.
Je la sentais caresser mon pénis, et je n’oublierai jamais la vue de mon foutre perlant sur mon gland, et la première goutte de sperme explosant littéralement. Elle cessa de me branler, et amena ma queue vers sa cible, je ne prétendrai pas qu’un quart de foutre vint dans ma bouche, mais mon chargement complet m’atteint en une fois, je tenais ma bouche ouverte en attendant plus, mais lorsque ma femme vit que j’avais déchargé, elle dit doucement :
- Avale
Je ne vous ennuierais pas plus avec la description de ce que nous fîmes tous les trois cette nuit-là. Jack et ma femme avaient été excités par les attentions que je leur prodiguais, et dès qu’ils le purent ils refirent l’amour pour la deuxième fois, une heure plus tard, mes services furent à nouveau requis, et pendant qu’ils m’excitaient, mon second orgasme de la nuit ne me fut pas autorisé.
Je me souviens de Jack disant qu’il avait été comblé, et ayant besoin de rentrer chez lui pour du repos. Sandie accepta, et le regarda s’habiller.
Nous le raccompagnâmes en bas, et les amants s’embrassèrent, et Jack partit. Nous avons éteint les lumières comme d’habitude, et nous sommes retournés au lit comme d’habitude. Étendue sur le lit, Sandie dit avec une voix étouffée :
- C’était la meilleure chose qui m’est jamais arrivée. Je suis si heureuse d’être tombé sur tes histoires, pas toi ?
J’ai dû murmurer une sorte d’approbation, mais je n’en suis pas certain. Elle parlait très doucement, et je m’efforçais d’entendre, elle disait :
- J’aime te voir sucer sa queue, quand il s’est frotté contre ton cul pendant que je tenais tes jambes en l’air, je voudrais le voir en toi, la prochaine fois peut-être… , Puis elle fut calme, et je sus qu’elle s’était écroulée de sommeil vaincue par une dure nuit.
Je me suis endormi aussi, sans pensées consciente durant des heures. Je sais que j’ai eu des rêves excitants, et lorsque nous nous sommes réveillés j’ai dû rendre mon service à Sandie, j’aimais faire ça, et je commençais à croire que c’était ma destinée de faire cela pour toujours pour elle.
Conte Cruel de Noël
Episode VI
Chapitre 6
Ma femme et moi ne fîmes rien de nature sexuelle la semaine suivante, à moins que vous incluiez dans ces activités le fait d’en parler. Ses mots étaient excitants à mon oreille, sachant ce que j’avais appris dans les mois qui avaient suivi notre première expérience faisant de moi un cocu, j’aurais dû prêter plus d’attention en parlant à Sandie. Elle appréciait les compliments de Jack, et je pouvais dire qu’ils augmentaient son plaisir.
Je me souviens d’une conversation que nous avons eu le soir suivant la visite de son amant. C’était court, mais important dans notre relation. J’aurais peut-être dû penser un peu plus à ce qu’elle me disait et à ma réponse aussi.
Nous en étions au café, et elle commença par me dire, d’un ton de voix égale :
- Bien, maintenant tu sais ce que c’est que d’être cocu. C’est aussi excitant que dans tes histoires ?
j’ai hoché la tête, et dit :
- Dix fois plus excitant, quand j’ai vu sa queue disparaître en toi, ça a dépassé mon imagination, quand il a giclé en toi, et que je savais que tu le faisais pour moi, je ne pouvais penser à rien d’autre, c’était la meilleure des choses, t’en penses quoi ?
- Je ne peux l’expliquer, mais quand il m’a baisé pendant que tu regardais, cela m’a beaucoup plus excité que la semaine d’avant, c’est bizarre sans doute, mais c’est comme ça.
J’ai acquiescé, et elle a continué :
- Je crois que j’ai besoin de savoir vraiment si tu veux qu’on continue. Je sais tu as déjà répondu à cette question, mais c’était avant que tu le voies, et avant que tu ne suces Jack, tu en penses quoi maintenant ? »
Je n’ai pas pris le temps de réfléchir, j’ai répondu :
- C’est ce que nous devons faire, je n’imagine rien de plus excitant que la nuit dernière, et si tu veux continuer à le faire, je le ferais aussi.
Avec un air de conclusion dans la voix elle dit :
- Les choses sont dites. Souviens-toi juste comme tu es en demande maintenant au cas ou les choses qui arriveraient dans le futur n’iraient pas comme tu voudrais.
Cela mit fin à notre conversation, et j’ai débarrassé la table pendant qu’elle prenait un bain relaxant.
Je me rappelais encore et encore les détails de la nuit dernière, et ma part
particulièrement, et cela me semblait encore plus excitant à chaque image flashant dans ma tête. J’étais nerveux pour la prochaine session, et je ne comprenais pas pourquoi Sandie pensait que je pourrais avoir des réserves à le refaire.
Il était convenu que Jack se joindrait à nous pour le dîner de samedi prochain, et cela devint notre “rendez-vous”. Nous discutions par-dessus la haie lorsque nous nous retrouvions dans le jardin, et je savais qu’il allait tondre notre pelouse mercredi, ce qu’il faisait depuis plusieurs années. S’il avait des relations sexuelles avec ma femme pendant que j’étais au travail je ne le savais pas, et je lui faisais confiance sur ce point.
Le samedi suivant, dès que Jack fut entré, Sandie fut toute à lui. Elle portait à nouveau son costume de “voisine à baiser” comme elle les appelait, et dans la minute où Jack la vit habillée ainsi il ne put s’empêcher de la toucher.
Pendant ce temps j’avais servi le repas et les avait appelé dans la salle à manger, il l’avait dénudé entièrement. Ils sont venus à table bras dessus bras dessous, et ils ont mangé rapidement.
Si vous ne pensez pas que c’est excitant d’être assis et de dîner à table avec une femme nue, essayez ça. Ma queue bandait, et celle de Jack aussi.
Lorsque ma femme m’ordonna de servir le dessert, je savais ce qui était attendu, j’apportais une part de tarte à la banane à la crème pour chacun d’eux, et une boule de glace pour moi. Lorsqu’ils virent ça, ils rirent tous les deux, et Jack dit que j’étais facile à dresser.
Le dessert expédié ils ne pouvaient plus attendre, Sandie me dit de débarrasser, et nous nous dépêchâmes de monter dans la chambre.
Elle m’ordonna immédiatement de me déshabiller, puis de déshabiller Jack pour elle, je trouvais cela plutôt bizarre, mais l’excitation que j’avais ressenti depuis une heure m’entraîna à le faire. J’ai essayé de le déshabiller rapidement, mais ce fut plus difficile que pour moi, j’ai fini par réussir, et il y eut bientôt trois personnes nues dans la pièce, deux d’entre eux avec une érection pointant vers une femme attirante.
Sandie tomba à genoux devant son amant, et elle prit son pénis dans sa bouche, l’excitant quelques minutes, puis elle regarda sa queue. Elle dit sans me regarder :
- Viens à côté de Jack chéri, je veux voir si elle est aussi petite que dans mon souvenir.
J’ai obéi comme un robot, et fit ce qu’elle dit. Elle nous regarda, et rit franchement, en disant d’une voix forte :
- Elle est encore plus petite, on dirait un truc de gamin pour faire pipi, à côté d’une queue d’homme non ? On va la mesurer, va chercher mon mètre à côté de la machine à coudre chéri.
Et elle retourna à sa queue, semblant m’avoir éjecté de son monde, sûr du fait que j’obéirai. C’est ce que je fis bien sûr, la machine à coudre était dans la pièce voisine, je me suis dépêché, j’avais peur de ne pas trouver le ruban, mais il était bien visible sur la table comme s’il était placé là délibérément pour que je le trouve facilement. Je l’ai ramassé et suis retourné dans la chambre.
Ses attentions amoureuses pour la queue de Jack avaient grimpé d’un cran, et je fus surpris de la retrouver avec la queue de Jack en bouche, elle avait toujours refusé de faire cela avec la mienne. Je le lui avais demandé plusieurs fois, la suppliant même parfois, mais rien ne l’avait jamais persuadé de le faire, et cela m’excitait de la voir faire cela avec son amant, alors qu’elle l’avait toujours refusé à son mari. J’essayais de ressentir de la jalousie, mais il n’y avait que l’excitation.
Elle arrêta de sucer et lécher dès que je fus entré, prenant le ruban elle dit :
- Maintenant voyons ça. Tu n’as peut-être même pas la moitié de la taille de Jack. Elle plaça le ruban le long de ma tige: 12 centimètres dit-elle.
Elle n’avait pas mis le ruban tout à fait correctement, et j’étais certain qu’on devait être plus près de 15 centimètres, mais je n’ai rien dit.
Puis elle fit de même avec Jack en disant
- La moitié c’était peut-être trop généreux, il est plus petit que ça.... 23 centimètres annonça-t-elle, on dirait que j’avais raison, on a un pipi, et une queue, j’aime mieux les queues.
Et ils éclatèrent de rire tous les deux, mais j’étais trop gêné pour me joindre à eux.
Après ça la nuit fut la copie conforme de la précédente, le pénis de Jack entrait plus facilement cette fois, comme s’ils avaient fait ça toute la semaine, et que sa chatte s’était étirée pour mieux l’accueillir. Ils semblaient prendre leur temps pour atteindre l’orgasme mais ils y parvinrent.
Ce fut mon tour, le même que la semaine dernière, puis ils baisèrent une seconde fois, pendant que je regardais, et après quoi je remplis ma tâche.
La seule différence fut lorsque Jack tint mes jambes au-dessus de ma tête pour que ma femme puisse me masturber et que je gicle dans ma bouche grande ouverte, comme la fois d’avant il poussa contre moi et commença à bouger son pénis en petits coups contre mes couilles.
Quand j’ai giclé dans ma bouche, et avant que Jack puisse relâcher mes jambes, Sandie dit :
- Jack, mets ta queue plus bas
Il n’eut pas l’air surpris par la requête, et il commença à bouger de bas en haut lentement, elle redit :
- Plus bas, juste un petit peu plus bas ».
Au bout d’une minute j’ai senti le gland glisser dans mon cul, puis pousser dans l’ouverture, j’étais sûr qu’elle allait lui dire de me baiser, mais au lieu de cela elle dit :
- C’est assez pour cette fois, tu l’excites n’est-ce pas, je suis sûre qu’il aimerait ça, pas toi ?
La vérité c’était que la sensation de sa queue glissant dans mon cul, était excitante, je ne pensais pas une telle chose possible, Sandie aussi semblait excitée par la vue, et j’étais certain que nous explorerions cela bientôt.
Après ce petit interlude je dus le lécher et le nettoyer une fois de plus, et les amants retournèrent à ce qu’ils faisaient de mieux, baiser. Je revins à ce que je faisais de mieux, regarder. Lorsqu’ils finirent de baiser bien sûr, je devins un actif participant.
Cette nuit-là marqua le rituel pour plusieurs nuits de samedis à venir. Il y eut de légères variations bien sûr.
En quelques occasions je dus continuer à sucer la queue de Jack jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma gorge. Elle trouvait cela plus excitant que moi, parce que pour moi le goût n’était pas le même sans le mélange des jus. Comme cela entraînait que Jack ne pouvait alors plus baiser, elle me faisait faire cela avec parcimonie.
Elle continuait aussi à lui faire frotter sa queue contre mon cul, et une fois elle l’arrêta avant que j’ai un orgasme. Elle utilisa ses doigts pour essuyer mon gland du foutre qui était dessus pour l’étaler sur le sien et elle lui dit :
- Voyons voir si tu peux le pénétrer… »
J’étais sûr que le moment était venu de perdre ma cerise, mais cela lui prit beaucoup de temps pour faire pénétrer le gland dans mon anus, et elle dit :
- Ça suffit pour l’instant, la prochaine fois il en prendra plus
Puis elle me branla pour me faire gicler dans ma bouche. Et je dus le lécher pour le nettoyer avant qu’il ne la baise pour la seconde fois.
Je ne m’étais jamais demandé comment je me sentais à propos de la pénétration. Je n’avais jamais eu de pulsions homosexuelles, mais quand je pense que toutes mes histoires parlaient de maris nettoyant la queue de l’amant… Je sais que ce qu’il me faisait m’excitait beaucoup, mais j’étais dans le désir, je ne savais pas.
Au bout de six mois de ces rendez-vous réguliers, mon monde s’est écroulé. Je n’oublierais jamais cet instant, et ce repas de dimanche, avec juste moi et Sandie, fut mon heure la plus sombre.
Conte Cruel de Noël
Episode VII
Chapitre 6 suite et fin
On aurait dit un dimanche comme un autre, j’avais préparé un repas léger pour nous deux, c’était l’hiver, et nous regardions les oiseaux dans la mangeoire dehors. Tout aussi normal que possible, une journée pour un couple marié qui avait passé la nuit précédente à baiser et sucer le voisin.
Après un long silence mutuel, Sandie dit tranquillement :
- Chérie nous avons besoin de parler de quelque chose de sérieux.
Je pouvais dire à son regard que ce qu’elle avait à dire était certainement sérieux, parce que sinon elle aurait souri en me regardant avant de commencer. Elle poursuivit :
- Je devrais te dire ça devant Jack, et je suis très sérieuse, il me dit qu’il m’aime, et je ressens la même chose pour lui. Cela ne veut pas dire que je ne t’aime plus, parce que je t’aime. Je ne peux pas t’expliquer, c’est comme ça. Je vous aime tous les deux, mais j’ai besoin de lui d’une façon dont je n’ai pas besoin de toi. Tu peux le comprendre ?
Elle fit une pause, me donnant une chance de parler. Impossible pour moi de dire quelque chose, j’essayais d’organiser mes pensées suffisamment pour que je puisse dire quelque chose de sensé. J’ai bredouillé :
- Je pense comprendre, je ne peux pas te blâmer d’aimer ce qu’il te donne parce que je sais que tu l’apprécies beaucoup. Es-tu en train de dire que tu l’aimes d’une autre manière que celle-là ?
Elle parla avec sérieux dans la voix :
- Oui, je l’aime pour ce qu’il me fait au lit, et je l’aime en tant qu’homme. Comme je je dis, je t’aime encore, c’est juste que j’ai de très forts sentiments pour lui et nous ne pouvons pas l’ignorer.
Après avoir lutté avec mon cerveau j’ai dit :
- Qu’est-ce que cela signifie pour nous. Tu le veux plus que moi ? »
Je sentais mon monde s’écrouler.
Elle répondit doucement :
- Ce n’est pas que je le veux plus que toi, c’est que je le veux autant que je te veux toi. Dans un monde parfait je vous épouserais tous les deux et ce serait chouette. On pourrait continuer à faire ce que nous avons fait depuis l’été dernier, et tout le monde serait heureux.
Elle but un peu de café avant de poursuivre :
- Depuis que nous vivons dans une société dominée par les mâles la loi ne me permet pas d’avoir deux maris. Je ne peux rien y faire.
Elle arrêta de parler, semblant attendre une solution de ma part, mon esprit était chamboulé, et tout ce que je pouvais faire c’était de demander :
- Que penses-tu que nous devrions faire ?
Elle y avait pensé parce qu’elle répondit sans hésitation :
- Tu te souviens que je t’ai demandé il y a plusieurs mois quand tu es devenu cocu pour la première fois si tu voulais vraiment continuer ? En fait je te l’ai même demandé deux fois, parce que je voulais être sûre. Si tu te souviens bien, ta réponse était que tu voulais définitivement que je continue de baiser avec Jack, et tu pensais que c’était la chose la plus excitante au monde. Tu vois le résultat ? j’aime Jack, et je veux être sa femme ? je ne peux pas être plus honnête que ça.
J’ai été abasourdi par cette révélation, et n’ai pas pu prononcer un son. Elle a continué :
- Peut-être ne sais-tu pas que nous baisons presque chaque jour depuis que ça a commencé. Je n’ai jamais assez de sa queue, et il ressent la même chose pour ma chatte. Je suis prête pour lui à tout moment, cela m’a pris beaucoup de temps pour prendre conscience que baiser c’est bon, et maintenant que je l’ai-je veux que ça continue toujours. Je vais faire bref, Jack va venir s’installer ici, il dormira dans le lit avec moi. Tu peux dormir dans la chambre d’amis, ou ailleurs si tu préfères. Tu viendras dans notre chambre les samedis soirs, tu n’auras pas moins de sexe qu’actuellement, Jack dit que tu ne seras plus jamais autorisé à me baiser, ce qui n’a pas d’importance pour moi, et ne devrait pas en avoir pour toi, tu ne l’as pas fait depuis longtemps, et ça ne semble pas te manquer. Nous allons essayer comme ça quelques mois, pour voir si ça marche, qui sait, on décidera peut-être que nous ne nous aimons pas, et il rentrera chez lui, mais on peut aussi s’aimer de plus en plus, et l’on peut te demander de partir, si nous faisons cela cela veut dire un divorce, et je serais libre d’épouser Jack.
J’étais incapable de répondre, et elle continua :
- Il y a une troisième option dont nous avons discuté. Tu veux que je t’en parle ?
J’ai hoché la tête, je ne pouvais faire que ça, ma bouche était totalement sèche.
- Jack dit que tu peux continuer à vivre avec nous, même une fois mariés, à une condition. Sa condition est que tu ne sois plus jamais capable de me baiser. Tu vois il dit qu’il veut un enfant, et que je sois sa mère. Et moi aussi je peux porter l’enfant de Jack. On ne veut pas que tu me mettes enceinte, et je suis d’accord avec lui, si tu es d’accord aussi, il en sera ainsi, et tu pourras vivre avec nous, qu’en penses-tu ?
J’étais dans l’incapacité de penser, j’ai siroté un peu de café avant de répondre. On n’avait pas eu de relations sexuelles normales depuis plus de six mois, accepter un tel arrangement ne serait pas si difficile si je pouvais rester avec elle. J’ai dit :
- Je pense que ce serait la meilleure manière tout ce que je veux c’est être avec toi, et si cela signifie que je ne peux plus avoir de relations sexuelles avec toi, alors qu’il en soit ainsi, ne me quittes pas, je ne pourrais pas vivre sans toi.
Elle me sourit amoureusement avant de dire :
- J’en étais sûre, mais tu n’as pas bien compris ce que nous voulons Jack et moi, nous ne voulons pas que tu sois capable de me baiser, pas que tu ne me baises pas, tu vois la différence ?..... On tient cette idée des histoires que tu avais caché dans le tiroir du dessous, je les ai trouvés il y a quelques mois après les autres, et on les a lus, tu sais de quoi je veux parler ?
Je savais, je les avais lus et relus, et ce qui était arrivé aux maris dans ces histoires, c’était ce que ma femme et son amant voulaient me faire. Je me souvenais des paragraphes expliquant ce qui était arrivé aux hommes, lorsque je les avais lus elles étaient si excitantes, et c’était mon matériel masturbatoire le plus excitant que j’avais trouvé, lorsque je les vis sous cet angle j’ai eu une seconde pensée, j’essayais de comprendre si elle voulait dire ce que je pensais qu’elle voulait dire :
- Tu veux dire… tu veux…. Me castrer ?... M’enlever mon pénis ?.. C’est ce que tu veux ?
Elle dû trouver ça amusant, elle a ri avant de répondre :
- Oui chéri de mon cœur, c’est exactement ça, avec le nombre d’histoires que tu as caché cela doit plutôt t’exciter, tu n’auras aucune objection, n’est-ce pas ?
En vérité à cet instant mon cerveau faisait le grand 8, je n’avais pas d’opinion, c’était une chose de fantasmer sur ma castration, et une autre que ma femme et son amant me demandent de le faire si je voulais continuer à vivre avec eux.
Me voyant incapable de dire quelque chose elle continua :
- Jack veut que tu sois castré, mais une pénectomie serait suffisante, tu pourras garder tes couilles, je peux lui suggérer cela si tu décides que c’est ce que tu veux. Je sais que ta queue est minable comparée à Jack, ce ne serait pas une grosse perte, c’est ta langue ton meilleur atout, et je ne veux pas que ça change, j’ai peur qu’en te castrant tu ne sois plus aussi enthousiaste, c’est pourquoi je te laisse tes couilles.
- On ferait ça comment ? » dis-je.
Elle s’était préparée :
- Jack et sa femme utilisait une location au Mexique, près de Tijuana. Il y a là-bas beaucoup de cliniques médicales, et il en a vu plusieurs d’entre elles proposant de la
chirurgie péniale. Quand on a évoqué la troisième option, il a appelé là-bas, et ils proposent tout ce qu’on veut, castration, pénectomie, les deux !
Puis elle rit en se souvenant de sa réaction à cette conversation, mais elle continua:
- Ils m’ont dit avoir en moyenne une visite par jour de femmes américaines qui amènent leurs maris pour ce type d’opération. J’ai décidé d’être concise au téléphone, et je lui ai dit que je voulais une pénectomie pour mon mari, et que je voulais plus d’informations sur la procédure, ils m’ont dit qu’ils avaient une brochure, et m’ont donné les tarifs, j’ai donné ton adresse e mail, et elle m’a promis d’envoyer une brochure qui est arrivée il y a quelques semaines, nous l’avons lu Jack et moi, tu veux la voir ?
Je me sentais incapable de parler, j’ai acquiescé, elle ouvrit un tiroir près d’elle, et me tendit une belle brochure, je vis le titre : “ Chirurgie particulière”, et sous la photo une légende : “Castration et pénectomie expliquées en détail”.
Elle m’ouvrit la brochure à une page marquée, disant que c’était la seule qui prévoyait l’ablation du pénis. Je vis plusieurs illustrations qui montraient les étapes, puis sur la page suivante une photographie pleine page de l’entrejambe d’un homme après l’opération. Ses poils pubiens avaient été rasés, et le petit trou au-dessus des testicules était tout ce qui restait de son pénis.
Je regardais la photo, tentant de concilier ce que je voyais avec ce que Sandie m’avait dit, je l’ai entendu dire :
- Je pense que cette photo est la plus excitante, chaque fois que je la regarde, c’est comme si tu te tenais là, et que tu regardes ce qu’on t’a fait.
Puis elle vint droit au but me demandant
- Alors t’en penses quoi ?
Elle ne dit plus rien, me regardant. La décision m’appartenait, et elle avait tout dit. Je considérais les options qui s’offraient à moi, je savais que ma décision était prise, je ne pouvais pas vivre sans elle, et si je perdais quelque chose sans importance dans notre relation, elle continuerait, j’ai répondu simplement :
- Oui je veux le faire .
Ses yeux s’écarquillèrent, elle courut vers moi, s’assit sur le banc près de moi, elle m’embrassa ce qu’elle n’avait pas fait depuis longtemps. Elle éclaircit sa gorge, puis me dit :
- Merci chéri, tu ne sais comme j’avais peur que tu choisisses de partir, je t’aime beaucoup, et je n’imagine pas ma vie sans toi, merci. »
C’était un grand poids retiré de mes épaules, ma décision était la bonne. Dans mon cœur je savais que je pourrais vivre sans pénis, et cela serait mieux pour moi, peut-être que si je n’avais pas eu ça aurais-je été plus aimant envers ma femme. C’était mon espoir. Je voyais clair maintenant et j’ai demandé :
- On fait quoi maintenant ?
Elle me dit :
- Je savais que ce serait ton choix, j’ai appelé la clinique il y a deux semaines pour programmer le rendez-vous, nous y allons au milieu du mois prochain ce qui nous donnera le temps de finaliser tous les arrangements. Le rendez-vous est le 17 janvier, un jour spécial pour toi
Elle sourit machiavéliquement alors que je me rendais compte des implications de la date, c’était mon anniversaire, et j’aurais 36 ans. Lorsqu’elle vit que je comprenais elle continua :
- Je pensais que ce serait le bon moment pour toi de commencer une nouvelle vie, tu es né à cette date avec ce bout de viande inutile entre tes jambes, et tu vas renaître 36 ans après sans lui.... Jack et moi nous marierons dans une église à Tijuana, ils ne sont pas regardants sur le nombre de maris d’une femme, le mariage est planifié pour le jour précédent ton opération, tu pourras être là pour me donner à lui. Nous passerons la nuit dans un motel, et tu peux imaginer ce que nous ferons, le lendemain on t’amène à la clinique, l’infirmière va te préparer, puis t’emmènera en salle d’opération, Jack et moi seront là, je suis autorisée à procéder à l’ablation, c’est comme ça que font la majorité des femmes. Après tu seras en convalescence et Jack et moi nous irons à Baja, on y passera une lune de miel d’une semaine pendant que tu reposeras, on te reprendra en rentrant, et après nous serons une famille heureuse. »
Je n’avais rien à dire, même si j’avais été capable de formuler une réponse. Ma vie avait été planifiée pour moi. Et je me suis glissé dans ce cocon confortable. C’est pourquoi je n’ai pas d’autres objections lorsqu’elle m’annonça que d’autres menus changements auraient lieu dans un futur proche.
- Au retour nous vendrons les deux maisons, nous déménagerons où personne ne nous connaît, Jack et moi pourront vivre franchement comme mari et femme, Portland serait un bon choix, ta boîte a un bureau là-bas. Tu m’as dit une fois que tu pourrais aller là-bas.... Puis Jack me mettra enceinte, je veux que ça arrive le plus vite possible, lorsque je serais proche d’accoucher tu auras du boulot, les femmes enceintes n’ont pas de relations sexuelles pendant 6 semaines avant la naissance, et six semaines après.... Pendant ce temps tu t’occuperas de Jack pour moi, je sais que ça t’excite quand Jack enfonce son gland en toi, tu devras vraiment aimer quand il te baisera pour de bon, et puis tu pourras le sucer. Je parie que tu auras plus de relations sexuelles que jamais dans ta vie. Ce sera drôle pour moi de regarder, ça change, tu ne trouves pas ? »
Elle me donna une chance d’ajouter quelque chose en disant :
- C’est comme ça que nous l’avons prévu, tu penses à autre chose ?
Je ne pouvais pas, même si je l'avais voulu. Ils avaient tout préparé avec précision, et je pouvais les remercier d'en faire partie. Cela me sembla plus simple de dire :
- Tout ce que tu veux, est le meilleur pour nous deux mon Amour
Episode IV
Chapitre 4
Si j’avais attendu de ma femme qu’elle aille voir son amant tous les soirs puis qu’elle revienne dans notre lit pour le service qu’elle attendait de moi j’aurais été déçu. Elle m’avait déjà dit que si elle réalisait mon fantasme, elle serait la seule à décider. Elle attendait de moi que je respecte mon engagement, ce fut évident le lendemain.
Je me suis réveillé le premier, et je suis resté étendu quelques minutes, regardant son visage, mon amour pour elle me subjuguait, et j’avais une envie folle de la prendre dans mes bras pour lui dire combien elle était spéciale pour moi.
La seule chose qui m’arrêta de le faire était le simple fait qu’elle n’était pas du matin, et elle ne voulait rien de moi, ni de personne d’autre, avant de s’être réveillée par elle-même, et d’avoir bu une tasse de café.
Je suis sorti du lit tranquillement, j’ai pris ma douche et je suis descendu vaquer à des tâches diverses. Quand j’ai entendu Sandie descendre je me suis rué dans la cuisine pour préparer son café et le lui apporter dans le salon dans lequel nous discutions habituellement le dimanche matin.
Nous nous sommes salués comme habituellement, nous sommes assis, et avons discuté, au bout d’une demie-heure elle a changé de vitesse, et lorsqu’elle a commencé de parler je pouvais dire que nous allions avoir une discussion sérieuse.
- Je ne me souviens pas avoir eue de nuit aussi reposante. Bien sûr trois orgasmes ne font pas de mal. En parlant de mal, ma chatte n’a jamais été comme ça, Jack est allé deux fois plus loin que toi, et je le sens aujourd’hui. Elle a poursuivi d’un ton pensif Plus j’y pense, mieux c’est, en me concentrant je sens sa queue forcer pour entrer.
N’ayant rien à ajouter à ce qu’elle disait je la regardais en attendant la suite. Au bout de quelques instants c’est ce qu’elle fit :
- Je pense que nous devons réfléchir sérieusement à ce qu’on fait là. Étant donné la forme que me donne le fait d’avoir été baisée seulement deux fois par Jack et la façon dont tu sembles plus excité que jamais à l’idée d’avaler son foutre en moi, je pense que nous allons devenir accros à cette situation. On devrait voir plus loin, et réfléchir un peu avant de continuer. »
Cela la fit rire, voyant que je n’avais pas saisi la blague elle arrêta de rire suffisamment pour me dire :
- Loin, et raide. C’est tout Jack ça.
Son rire éclata et je me joignis à elle. Une fois que nous fûmes calmés j’ai demandé :
- Tu veux dire que tu ne veux pas recommencer ? C’est ce que tu veux dire ?
Elle a un peu réfléchi et répondu :
- Non, tout le contraire, j’aimerais y retourner maintenant, et qu’il me baise toute la journée, c’était chouette cette grosse queue en moi, et si je pouvais je la garderais tout le temps en moi. … Elle se tut semblant réfléchir à ce qu’elle voulait dire, puis continua : c’est ce que j’essaye de dire, ça va devenir une habitude si ça continue, ce qu’il m’a fait c’est génial, et ce qui est arrivé ensuite n’était pas mal non plus. L’idée de te nourrir avec le foutre de mon amant doit déclencher une réaction nerveuse je suppose.... Quand j’étais assise sur toi la nuit dernière, j’ai pensé à des choses effrayantes, tu te souviens comment j’ai traité ta petite queue quand j’ai eu mon deuxième orgasme ?
Elle s’arrêta longuement, j’ai hoché la tête en me souvenant de la douleur de ses pincements et quand elle étirait ma peau.
- Si tu savais à quoi je pensais, tu aurais peur, ou tu devrais avoir peur... Elle sembla réfléchir et poursuivit.. Pour faire bref, si on décide de continuer nous allons y aller de plus en plus profondément, tu peux faire usage de ton imagination sur ce que ça veut dire pour nous deux, nous devons décider maintenant ce que nous faisons.
Elle attendait que je dise quelque chose, en repensant à ce qu’elle avait dit j’ai réalisé que ma queue bandait. C’était la première fois que sa présence se faisait sentir, j’ai souri en pensant que j’avais déjà voté et j’ai dit :
- La seule chose que je peux dire est que la nuit dernière fut la plus excitante de ma vie, penser à ça maintenant m’excite encore, si je dois voter maintenant je te dis que nous ne devons pas arrêter, le choix final t’appartient, c’est selon ta décision.
Elle acquiesçait de la tête même avant que j’ai fini, et elle dit sans hésitation :
- Accord conclu, je connaissais ma décision dès que sa queue est entrée en moi, je veux le baiser à chaque fois que je peux, et comme je sais maintenant comme c’est excitant de te nourrir de son foutre je veux le faire souvent. Je te donne juste une chance d’avoir ton mot à dire.... Elle a ri et dit : après ça tu n’auras plus rien à dire du tout, ta bouche aura mieux à faire.
j’ai ri avec elle. J’ai ressenti une telle excitation que je savais qu’aucune autre décision n’était possible pour moi.
Après cette conversation Sandie décida qu’elle ne baiserait pas avant samedi, c’était mieux pour elle disait-elle elle avait des batteries à recharger. Comme je lui avais donné le pouvoir de décider je ne pouvais qu’acquiescer. Une autre partie de la décision était plus difficile pour moi à observer, elle me dit :
- Tu ferais mieux de comprendre que pas de sexe signifie ça. Je veux que tu me promettes que tu ne joueras pas avec ton engin derrière mon dos. Tu peux le
faire ?
J’étais sûr que ce n’était pas difficile, même si en pratique il allait en aller autrement.
Nous avons passé la semaine suivante de la manière habituelle, moi travaillant, elle s’occupant de la maison. Elle ne donna aucun signe d’excitation, ou même d’y penser. Tout ceux qui nous connaissaient n’aurait rien remarqué d’inhabituel.
J’avais noté un changement cependant, la manière dont Jack me remercia lorsque je l’ai croisé dans le jardin. Il a d’abord paru honteux, puis deux jours plus tard il me traitait comme un de ses étudiants. Difficile de donner un exemple, mais c’était l’impression que j’avais. Il semblait penser qu’il était en responsabilité, et que je devais le respecter.
Samedi est arrivé et j’étais complètement excité, avant on faisait l’amour deux fois par semaine, je me masturbais quotidiennement, le plus souvent pendant la douche du soir, et de ne pas avoir pu le faire me rendait dingue, j’ai bandé pendant toute une journée, et Sandie qui l’avait remarqué m’a fait des références voilées au besoin de faire quelque chose pour résoudre ce problème, j’espérais que cela voulait dire qu’elle allait rendre visite à Jack et revenir ensuite me faire avaler son foutre.
A ma surprise, et pour mon excitation immédiate, elle annonça deux heures avant le dîner que nous avions un invité cette nuit. J’ai immédiatement demandé si ce serait Jack, mais elle me dit d’être patient, et que toutes mes questions trouveraient une réponse. Cet intermède fut le plus long de ma vie.
Une heure avant le dîner Sandie me dit de monter avec elle. Une fois en haut elle m’ordonna de lui préparer un bain et de l’assister. Cela ne fit qu’accroître mon excitation, cela confirmait mes soupçons, son amant allait se joindre à nous cette nuit. Je songeais à tout ce que cela impliquait, et j’étais coincé entre mes vraies sensations sur le sujet, c’était une chose de lire ça dans une histoire, et une autre de voir son fantasme être réalisé ; je me demandais si je pouvais y faire quelque chose, et à chaque fois la même réponse : je ne savais pas.
Lorsqu’elle fut prête à sortir du bain je l’ai aidé, et j’ai commencé à la sécher en devant selon ses ordres prêter particulièrement attention à sa poitrine, et à son entrejambe, ce qui augmenta mon excitation au point que j’avais peur de gicler même sans m’être touché.
Sandie avait étendu les vêtements qu’elle voulait porter cette nuit, je les ai vus sur le lit, et j’ai su que tous mes espoirs, toutes mes peurs seraient réalisées. Il n’y avait que trois choses : une culotte blanche, le short ultra-court qu’elle avait portée il y a une semaine, et un Marcel. Mes mains tremblaient en lui mettant ses vêtements, cela avait une puissance érotique très forte pour moi.
Lorsque nous descendîmes je me dirigeais vers la salle à manger et me suis astreint à des activités domestiques pour distraire mes pensées et en espérant tranquilliser mon érection. Cela semblait fonctionner à 19h je n’avais qu’une demie-érection.
Ce ne fut pas une surprise de trouver Jack dans l’entrée lorsque j’ouvris la porte. Nous échangeâmes les salutations, lui facilement, moi gêné, mais il avait apporté une bouteille de vin ce qui me donna une excuse pour aller à la cuisine et quitter ainsi la pièce.
Sandie était occupée par une préparation de dernière minute, et semblait avoir fini lorsque j’entrais. Lorsque je lui dis que Jack était arrivé elle sourit et me donna une petite accolade et dit :
- Je vais lui parler.
Elle sortit de la cuisine, me laissant sans savoir comment l’on servait un plat ce qui n’avait jamais été ma responsabilité, beaucoup de changements avaient eu lieu dans nos vies et c’était juste un de plus.
Je fis aussi bien que je pus transférant la nourriture sur des plateaux, puis les amenant à table. Lorsque tout sembla prêt je suis allé à la porte les appeler, et c’est là que le changement me frappa.
Jack était assis dans mon fauteuil, et il n’était pas seul. Sandie assise sur ses cuisses, et alors que j’entrais dans la pièce, ils s’embrassaient. Je regardais en silence pendant ce qui me sembla une éternité. Lorsqu’ils finirent de s’embrasser Sandie me remarqua debout là et dit :
- Oh chéri, le dîner est prêt ? Nous avons faim.
J’étais incapable de parler, et j’ai juste opiné de la tête. Ce fut le signal pour eux de se lever et de se diriger vers la salle à manger agissant comme si tout était parfaitement normal.
Le dîner se passa tranquillement. Jack avait beaucoup d’histoires et il ne se fatiguait jamais. Avant que je puisse réaliser le repas était fini, Sandie me dit de débarrasser, et qu’elle servirait le dessert.
Je me dépêchais de desservir et fut surpris quand Jack offrit de m’aider. Nous continuions à parler de sujets très ordinaires, et il était difficile pour moi de concilier ce qui se passait avec ce que j’espérais qui se passerait.
La table fut vite nettoyée, et juste comme Jack et moi reprenions place Sandie entra apportant le dessert. Elle mit une part de tarte devant Jack, une autre à sa place, et une petite crème glacée devant la mienne. Comme je la regardais interrogatif, elle me dit avec un adorable sourire :
- Ne t’inquiètes pas chéri, tu auras ta tarte à la crème plus tard.
J’ai entendu Jack étouffer un rire, et alors que je le regardais je le vis tenter de cacher sa réaction au commentaire de ma femme. Lorsque Sandie se fut assise, il recommença avec ses histoires, et bientôt nous conversions tous facilement.
Je mangeais ma crème glacée, ma tête me tournait ne songeant à ce qu’elle m’avait dit. D’après la réaction de Jack il était évident qu’il savait à quoi s’attendre cette nuit, et cela signifiait que Sandie lui avait parlé cette semaine, en lui racontant ma part dans cette affaire. Même avec l’effet apaisant de la crème glacée je savais que j’étais rouge de honte.
Lorsque nous eûmes fini le dessert, j’ai débarrassé. Sandie me dit d’apporter la bouteille de vin et les verres dans le salon, et je me suis rué dans la cuisine pour faire cela.
Comme la fois d’avant en entrant dans la pièce Jack était assis dans mon fauteuil, ma femme sur ses cuisses. Comme avant ils s’embrassaient, mais cette fois le niveau de passion était évident à voir.
J’ai ouvert la bouteille et rempli nos verres, puis je leur ai tendu deux verres, et je pris le mien sur le canapé. Sandie choisit ce moment pour dire :
- Mon dieu Jack, il y a quelque chose de dur comme la pierre dans ton pantalon, laisses-moi le sortir pour que ça ne me touche pas
Elle s’assit sur le rebord du fauteuil, posa son verre sur la table, et nonchalamment posa ses mains sur son pantalon. Je regardais comme hypnotisé ses mains sur sa braguette. Il avait une érection ça se voyait, et elle le caressait, puis elle dit que ce serait mieux qu’elle reprenne sa place.
Pendant un court espace de temps j’ai vu la bosse dans le pantalon de Jack, ma femme ne m’avait pas menti sur la taille de son pénis, étant donné la tente, la taille devait effectivement être du double de la mienne. J’étais écartelé entre des sentiments de jalousie et d’excitation.
Sandie devait penser à la même chose, entre des gorgées de vin ils s’embrassaient, et à chaque fois les baisers étaient plus longs, son excitation était facile à voir, et cela m’enflammait encore plus. Lorsqu’ils eurent vidé leurs verres je savais que dans mon pantalon on n’était pas loin de ce qui se passait dans celui de Jack.
Elle se leva, prit la main de son Amant, et alors que je regardais muet elle dit :
- Montons tous maintenant elle me regarda droit dans les yeux et dit : Tu es prêt chéri ? Je sais que Jack l’est.
Ils rirent tous les deux de cette petite plaisanterie, mais j’étais frigorifié, et je ne pouvais répondre. Ce fut seulement lorsqu’ils quittèrent la pièce bras dans les bras que je trouvais la force de me lever pour les suivre.
Conte Cruel de Noël
Episode V
Chapitre 5
Le temps que j’arrive à la porte ils étaient déjà en train de monter les escaliers, ma femme regarda par-dessus son épaule et dit :
- Dépêche-toi chéri, je ne veux pas faire attendre Jack
Ils continuaient à monter et j’ai accéléré pour les rattraper, ralentissant seulement lorsque je fus juste derrière eux à la porte de la chambre.
Une fois dans la chambre ils se tenaient près du lit s’embrassant passionnément. Jack passait ses mains sur le corps de ma femme, et les mouvements, et les gémissements qu’elles faisaient l’excitait encore plus. Elle se recula un peu, puis me dit :
- Chéri, déshabilles-moi pour Jack.
Puis elle attendit comme si elle n’était pas sûre de ma réaction, je n’en étais pas sûr non plus, mais pendant une seconde seulement, je fis les deux pas nécessaires pour l’atteindre, et mains tremblantes j’ai enlevé son haut. Comme il tombait au sol, Jack dit :
- Sandie, tu as les plus beaux seins que j’ai jamais vu.
Ses mains se sont posées dessus et il a commencé à les caresser, bougeant en cercles sensuels autour des tétons qui pointaient, puis les pinçant entre ses doigts. Ses gémissements croissaient en intensité, sa respiration s’accélérait, signalant ainsi le succès de son initiative, et je l’ai vue se tendre vers lui.
J’étais comme hypnotisé à nouveau, incapable de bouger jusqu’à ce qu’elle dise :
- Le reste chéri ! Dépêches-toi, j’ai besoin de lui.
Cet ordre sembla me réveiller, et j’ai abaissé son short, elle m’arrêta :
- Pas comme ça, à genoux !
Mon cerveau était dans ma queue, et ma queue était plus dure qu’elle ne l’avait jamais été. Sans pensée consciente je me suis agenouillé à son côté, et j’ai terminé le déshabillage de son corps magnifique. En quelques secondes elle se tenait nue devant son amant, et il lui redit à nouveau combien elle était belle.
Je m’étais attendu à ce qu’elle me demande de le déshabiller lui aussi, mais cela n’arriva pas. Au lieu de ça c’est elle qui déboutonna sa chemise et la lui enleva. Puis elle tomba à genoux, et délaça ses chaussures, rapidement enlevées, et suivies par ses chaussettes. Puis elle déboucla la ceinture, ouvrit la braguette, dégrafa le pantalon, et le fit tomber à terre lentement.
Je voyais la tente sous son sous-vêtement, elle était énorme, je sus ce qu’elle avait voulu dire en me disant qu’elle s’était sentie comme une vierge quand il l’avait baisé la première fois. Même si je ne voyais pas encore la taille réelle de son pénis, il était beaucoup plus gros que le mien.
Elle baissa le caleçon, me révélant la chose qu’elle aimait sentir entre ses jambes.
Sandie commença à caresser la queue lentement, elle me regardait, et m’a dit d’un ton très doux, presque rêveur :
- Il n’est pas beau ? Tu vois maintenant ce que je voulais dire ? Je me sens comme une vierge !
J’espérais qu’elle n’attendait pas de réponses de ma part parce que j’étais incapable d’en donner une. La vue de la main de ma femme caressant le pénis de son amant était tellement excitante à regarder. Sa queue semblait grossir encore lui rendant hommage, et je pouvais voir de petites gouttes foutre se former au sommet du gland.
Après l’avoir caressé pendant une éternité elle dit sans me regarder :
- Déshabilles-toi
j’étais incapable de lui désobéir, et j’essayais de me déboutonner alors que mes doigts et mes mains semblaient gourds et insensibles, je finis par y arriver, mes vêtements étendus au sol parmi ceux de ma femme et de son amant.
Elle le conduisit au lit, sans jamais lâcher son organe énorme, après lui avoir demandé de s’étendre au centre du lit elle lui grimpa dessus, écarta ses jambes, reposant légèrement sur ses genoux. Sans quitter des yeux sa queue elle me parlait doucement disant :
- Chéri, restes avec nous, je te veux à côté de Jack, ta tête juste ici
Elle m’indiquait le milieu du lit en disant cela, j’ai dû battre tous les records de vitesse en me dépêchant d’obéir.
Dès que je fus en place elle s’avança, caressant sa queue l’approchant de sa chatte, ma tête était à quelques centimètres de la chose, et je voyais son foutre pointer, et prêt à couler. D’une voix tendue Sandie dit :
- Chéri étales ça sur le gland de Jack cela va l’aider à entrer en moi
Comme ma main s’approchait pour obéir, je savais qu’ils me regardaient tous les deux, comme si, si je réussissais cet acte cela aiderait n’importe quel autre homme à baiser ma femme plus facilement.
Le simple fait de toucher son gland m’a dévoilé un nouveau côté en moi, et j’ai ressenti l’extrême douceur du gland, qui était aussi très dur. J’utilisais un doigt pour étaler le jus sur la chose, et j’étais presque dégoûté en retirant ma main lorsqu’elle dit :
- Ça suffit, c’est pour moi, pas pour toi
Elle avait mis sa main sur mon poignet en disant cela, et elle a retiré ma main de cette partie si fascinante en lui. Elle s’est positionnée au-dessus de son membre, et fit une pause avant d’ouvrir sa chatte pour l’accepter en elle, puis elle dit doucement :
- Mets-là en moi
J’ai placé une main sur la tige de la queue, et l’ai approché d’elle, elle a commencé doucement à abaisser sa chatte vers lui et je l’ai vue commencer à s’empaler sur lui.
Ils gémissaient tous les deux alors que son gland disparaissait de ma vue, j’étais incapable de prendre conscience des bruits, j’entendais les gémissements de plaisir alors que son membre s’enfonçait de plus en plus profond, je l’ai entendu lui dire combien elle était belle, ce qui me fit honte, jamais je ne l’avais complimenté ainsi.
Elle le baisa ainsi pendant cinq minutes, elle dit à court de souffle :
- C’est plus loin que tu n’as jamais été, je suis encore vierge ce soir
Je ne voyais que sa queue disparaître dans la chatte de ma femme, et quand elle dit cela à peine 1/3 de son membre l’avait pénétré. Plutôt que de vouloir le voir sortir d’elle, je devais lutter pour m’empêcher de l’aider à s’enfoncer encore plus loin en elle.
Je ne sais pas pendant combien de temps ils ont baisé, plus longtemps que lorsque je faisais l’amour avec elle, j’étais honteux, il était si évident que Jack était d’abord préoccupé par le plaisir de Sandie, pas par le sien.
Cela était démontré par sa façon de caresser ses seins, il lui répétait qu’elle était belle, et il utilisait un doigt pour stimuler son clitoris, tout montrait son intérêt pour son plaisir, et quand elle a senti l’orgasme déferler sur elle, elle le supplia de jouir en même temps qu’elle.
Aucun doute lorsque ce moment de plaisir ultime survint, tout en elle tendait à s’empaler sur sa queue, tout en rugissant un cri de plaisir, puis elle commença à dire des choses que je ne l’avais jamais entendu dire. Ses mots étaient simples mais si érotiques, et elle les a répété jusqu’à ce qu’elle jouisse,
- Jack, gicles en moi, fais-le dépêches-toi, remplis ma chatte
La passion dans ces mots était plus que je ne pouvais en supporter, et je sentais mon propre orgasme approcher. Il s’est encore plus enfoncé en elle, elle a crié une dernière fois de plaisir, j’ai vu sa tête se renverser si violemment qu’elle semblait brisée, son corps tremblait, leurs jus se mêlaient, il a mis ses bras autour d’elle, et ils se sont embrassés passionnément.
Toutes les bonnes choses ont une fin, et il en fut ainsi de leur baiser. Sandie reprit sa position, et me regarda en disant :
- Maintenant tu vois ce que c’est une vraie baise ?
J’avais perdu toute capacité à parler, je ne pouvais même pas hocher la tête, je savais la différence entre ma performance, et faire l’amour, on venait de m’en faire la démonstration. La honte que je ressentais cohabitait avec l’excitation extrême, et le désir qui me consumait.
C’est alors qu’elle se retira à demi, et s’assit sur ses genoux, elle mit une main entre ses jambes, et elle utilisait ses doigts pour pincer les lèvres de sa chatte ensemble. Pas besoin d’explication pour savoir pourquoi elle faisait ça, et je savais que le moment était venu que je fasse ma part.
Il n’y eut pas un mot lorsque j’ai commencé à lécher frénétiquement son membre en demi-érection comme si je mourais de faim, la main de Sandie sur ma tête ma langue le léchait, et elle me guidait avec sa main du sommet de sa queue à la base de ses couilles, la seule fois que sa main quitta sa position fut quand elle quand elle saisit son pénis pas besoin d’instructions pour que je sache que je devais ouvrir ma bouche, et compléter mes efforts.
Sa queue dans ma bouche si tôt après qu’elle ait été dans le vagin de ma femme me semblait la chose la plus naturelle au monde. Le goût n’était pas très différent de celui d’il y a une semaine. Il m’en offrait une petite portion en quantité de ce qu’elle m’avait rapportée la dernière fois, la chose la plus excitante était la texture de son pénis, je n’avais jamais imaginé que ce soit si doux, et le velours exquis du gland, la chose la plus merveilleuse était de sentir la queue grossir dans ma bouche quand elle répondait à l’attention que je lui donnais. Sandie retira ma tête, il bandait à nouveau, et n’avait plus besoin d’aide.
- C’est mon tour » dit-elle.
J’ai baissé la tête, et me suis étendu sur le dos, elle a placé ses genoux près de ma tête, sa chatte encore fermée par ses doigts centrée sur ma bouche. Ses seuls mots furent :
- Ton dessert est prêt.
Elle a enlevé sa main, me laissant voir la vue la plus délicieuse au monde. Ses lèvres s’écartèrent délicatement, et le trésor qu’elle portait commença à goutter lentement vers ma bouche grande ouverte.
Je l’ai vu me regarder, au moment ou la première goutte de sperme tomba sur ma langue, j’ai savouré le parfum, j’ai vu la suite du jus se former, et j’ai avalé rapidement la première goutte, j’ai ouvert aussi grand que possible, et je fus récompensé en ayant la bouche pleine.
Puis Sandie se plaça sur mes lèvres, et j’ai commencé à faire ce qu’elle m’avait enseigné. Toute ma concentration servait à suivre ses instructions, ma langue léchait autour de la fente, puis se concentrait sur le trou, bouchée après bouchée j’avalais, il n’y eut bientôt plus rien, même en pompant aussi fort que je le pouvais, mais j’étais totalement hors d’état de réfléchir, envahi par le plaisir, sans aucune idée de la quantité de foutre que j’avais avalé pour étancher ma soif.
Quand elle voulut se retirer, j’essayais désespérément de recueillir une dernière goutte, mais elle avait une autre idée, et elle demanda à son amant de la mettre en pratique, sa voix était vive et émue lorsqu’elle dit :
- Jack, tient ses jambes derrière sa tête
Je n’avais plus de pensées rationnelles, et je ne savais pas du tout à quoi elle voulait en venir, comme il fit ce qu’elle demandait, elle plaça sa main sur ma queue et en même temps m’ordonna :
- Ouvres la bouche
J’ai su ce qu’elle voulait, mais je ne pouvais désobéir, et ma bouche s’ouvrit le plus possible. Alors qu’il tenait mes jambes derrière ma tête, Jack poussa son érection contre mes couilles, il semblait inconscient de commencer à bouger sa chose contre moi, je pouvais sentir ses couilles pousser contre mon cul ouvert, ce qui aurait été dégoûtant pour moi dans un état lucide, ajouta à mon excitation sexuelle qui m’avait déjà envahi.
Je la sentais caresser mon pénis, et je n’oublierai jamais la vue de mon foutre perlant sur mon gland, et la première goutte de sperme explosant littéralement. Elle cessa de me branler, et amena ma queue vers sa cible, je ne prétendrai pas qu’un quart de foutre vint dans ma bouche, mais mon chargement complet m’atteint en une fois, je tenais ma bouche ouverte en attendant plus, mais lorsque ma femme vit que j’avais déchargé, elle dit doucement :
- Avale
Je ne vous ennuierais pas plus avec la description de ce que nous fîmes tous les trois cette nuit-là. Jack et ma femme avaient été excités par les attentions que je leur prodiguais, et dès qu’ils le purent ils refirent l’amour pour la deuxième fois, une heure plus tard, mes services furent à nouveau requis, et pendant qu’ils m’excitaient, mon second orgasme de la nuit ne me fut pas autorisé.
Je me souviens de Jack disant qu’il avait été comblé, et ayant besoin de rentrer chez lui pour du repos. Sandie accepta, et le regarda s’habiller.
Nous le raccompagnâmes en bas, et les amants s’embrassèrent, et Jack partit. Nous avons éteint les lumières comme d’habitude, et nous sommes retournés au lit comme d’habitude. Étendue sur le lit, Sandie dit avec une voix étouffée :
- C’était la meilleure chose qui m’est jamais arrivée. Je suis si heureuse d’être tombé sur tes histoires, pas toi ?
J’ai dû murmurer une sorte d’approbation, mais je n’en suis pas certain. Elle parlait très doucement, et je m’efforçais d’entendre, elle disait :
- J’aime te voir sucer sa queue, quand il s’est frotté contre ton cul pendant que je tenais tes jambes en l’air, je voudrais le voir en toi, la prochaine fois peut-être… , Puis elle fut calme, et je sus qu’elle s’était écroulée de sommeil vaincue par une dure nuit.
Je me suis endormi aussi, sans pensées consciente durant des heures. Je sais que j’ai eu des rêves excitants, et lorsque nous nous sommes réveillés j’ai dû rendre mon service à Sandie, j’aimais faire ça, et je commençais à croire que c’était ma destinée de faire cela pour toujours pour elle.
Conte Cruel de Noël
Episode VI
Chapitre 6
Ma femme et moi ne fîmes rien de nature sexuelle la semaine suivante, à moins que vous incluiez dans ces activités le fait d’en parler. Ses mots étaient excitants à mon oreille, sachant ce que j’avais appris dans les mois qui avaient suivi notre première expérience faisant de moi un cocu, j’aurais dû prêter plus d’attention en parlant à Sandie. Elle appréciait les compliments de Jack, et je pouvais dire qu’ils augmentaient son plaisir.
Je me souviens d’une conversation que nous avons eu le soir suivant la visite de son amant. C’était court, mais important dans notre relation. J’aurais peut-être dû penser un peu plus à ce qu’elle me disait et à ma réponse aussi.
Nous en étions au café, et elle commença par me dire, d’un ton de voix égale :
- Bien, maintenant tu sais ce que c’est que d’être cocu. C’est aussi excitant que dans tes histoires ?
j’ai hoché la tête, et dit :
- Dix fois plus excitant, quand j’ai vu sa queue disparaître en toi, ça a dépassé mon imagination, quand il a giclé en toi, et que je savais que tu le faisais pour moi, je ne pouvais penser à rien d’autre, c’était la meilleure des choses, t’en penses quoi ?
- Je ne peux l’expliquer, mais quand il m’a baisé pendant que tu regardais, cela m’a beaucoup plus excité que la semaine d’avant, c’est bizarre sans doute, mais c’est comme ça.
J’ai acquiescé, et elle a continué :
- Je crois que j’ai besoin de savoir vraiment si tu veux qu’on continue. Je sais tu as déjà répondu à cette question, mais c’était avant que tu le voies, et avant que tu ne suces Jack, tu en penses quoi maintenant ? »
Je n’ai pas pris le temps de réfléchir, j’ai répondu :
- C’est ce que nous devons faire, je n’imagine rien de plus excitant que la nuit dernière, et si tu veux continuer à le faire, je le ferais aussi.
Avec un air de conclusion dans la voix elle dit :
- Les choses sont dites. Souviens-toi juste comme tu es en demande maintenant au cas ou les choses qui arriveraient dans le futur n’iraient pas comme tu voudrais.
Cela mit fin à notre conversation, et j’ai débarrassé la table pendant qu’elle prenait un bain relaxant.
Je me rappelais encore et encore les détails de la nuit dernière, et ma part
particulièrement, et cela me semblait encore plus excitant à chaque image flashant dans ma tête. J’étais nerveux pour la prochaine session, et je ne comprenais pas pourquoi Sandie pensait que je pourrais avoir des réserves à le refaire.
Il était convenu que Jack se joindrait à nous pour le dîner de samedi prochain, et cela devint notre “rendez-vous”. Nous discutions par-dessus la haie lorsque nous nous retrouvions dans le jardin, et je savais qu’il allait tondre notre pelouse mercredi, ce qu’il faisait depuis plusieurs années. S’il avait des relations sexuelles avec ma femme pendant que j’étais au travail je ne le savais pas, et je lui faisais confiance sur ce point.
Le samedi suivant, dès que Jack fut entré, Sandie fut toute à lui. Elle portait à nouveau son costume de “voisine à baiser” comme elle les appelait, et dans la minute où Jack la vit habillée ainsi il ne put s’empêcher de la toucher.
Pendant ce temps j’avais servi le repas et les avait appelé dans la salle à manger, il l’avait dénudé entièrement. Ils sont venus à table bras dessus bras dessous, et ils ont mangé rapidement.
Si vous ne pensez pas que c’est excitant d’être assis et de dîner à table avec une femme nue, essayez ça. Ma queue bandait, et celle de Jack aussi.
Lorsque ma femme m’ordonna de servir le dessert, je savais ce qui était attendu, j’apportais une part de tarte à la banane à la crème pour chacun d’eux, et une boule de glace pour moi. Lorsqu’ils virent ça, ils rirent tous les deux, et Jack dit que j’étais facile à dresser.
Le dessert expédié ils ne pouvaient plus attendre, Sandie me dit de débarrasser, et nous nous dépêchâmes de monter dans la chambre.
Elle m’ordonna immédiatement de me déshabiller, puis de déshabiller Jack pour elle, je trouvais cela plutôt bizarre, mais l’excitation que j’avais ressenti depuis une heure m’entraîna à le faire. J’ai essayé de le déshabiller rapidement, mais ce fut plus difficile que pour moi, j’ai fini par réussir, et il y eut bientôt trois personnes nues dans la pièce, deux d’entre eux avec une érection pointant vers une femme attirante.
Sandie tomba à genoux devant son amant, et elle prit son pénis dans sa bouche, l’excitant quelques minutes, puis elle regarda sa queue. Elle dit sans me regarder :
- Viens à côté de Jack chéri, je veux voir si elle est aussi petite que dans mon souvenir.
J’ai obéi comme un robot, et fit ce qu’elle dit. Elle nous regarda, et rit franchement, en disant d’une voix forte :
- Elle est encore plus petite, on dirait un truc de gamin pour faire pipi, à côté d’une queue d’homme non ? On va la mesurer, va chercher mon mètre à côté de la machine à coudre chéri.
Et elle retourna à sa queue, semblant m’avoir éjecté de son monde, sûr du fait que j’obéirai. C’est ce que je fis bien sûr, la machine à coudre était dans la pièce voisine, je me suis dépêché, j’avais peur de ne pas trouver le ruban, mais il était bien visible sur la table comme s’il était placé là délibérément pour que je le trouve facilement. Je l’ai ramassé et suis retourné dans la chambre.
Ses attentions amoureuses pour la queue de Jack avaient grimpé d’un cran, et je fus surpris de la retrouver avec la queue de Jack en bouche, elle avait toujours refusé de faire cela avec la mienne. Je le lui avais demandé plusieurs fois, la suppliant même parfois, mais rien ne l’avait jamais persuadé de le faire, et cela m’excitait de la voir faire cela avec son amant, alors qu’elle l’avait toujours refusé à son mari. J’essayais de ressentir de la jalousie, mais il n’y avait que l’excitation.
Elle arrêta de sucer et lécher dès que je fus entré, prenant le ruban elle dit :
- Maintenant voyons ça. Tu n’as peut-être même pas la moitié de la taille de Jack. Elle plaça le ruban le long de ma tige: 12 centimètres dit-elle.
Elle n’avait pas mis le ruban tout à fait correctement, et j’étais certain qu’on devait être plus près de 15 centimètres, mais je n’ai rien dit.
Puis elle fit de même avec Jack en disant
- La moitié c’était peut-être trop généreux, il est plus petit que ça.... 23 centimètres annonça-t-elle, on dirait que j’avais raison, on a un pipi, et une queue, j’aime mieux les queues.
Et ils éclatèrent de rire tous les deux, mais j’étais trop gêné pour me joindre à eux.
Après ça la nuit fut la copie conforme de la précédente, le pénis de Jack entrait plus facilement cette fois, comme s’ils avaient fait ça toute la semaine, et que sa chatte s’était étirée pour mieux l’accueillir. Ils semblaient prendre leur temps pour atteindre l’orgasme mais ils y parvinrent.
Ce fut mon tour, le même que la semaine dernière, puis ils baisèrent une seconde fois, pendant que je regardais, et après quoi je remplis ma tâche.
La seule différence fut lorsque Jack tint mes jambes au-dessus de ma tête pour que ma femme puisse me masturber et que je gicle dans ma bouche grande ouverte, comme la fois d’avant il poussa contre moi et commença à bouger son pénis en petits coups contre mes couilles.
Quand j’ai giclé dans ma bouche, et avant que Jack puisse relâcher mes jambes, Sandie dit :
- Jack, mets ta queue plus bas
Il n’eut pas l’air surpris par la requête, et il commença à bouger de bas en haut lentement, elle redit :
- Plus bas, juste un petit peu plus bas ».
Au bout d’une minute j’ai senti le gland glisser dans mon cul, puis pousser dans l’ouverture, j’étais sûr qu’elle allait lui dire de me baiser, mais au lieu de cela elle dit :
- C’est assez pour cette fois, tu l’excites n’est-ce pas, je suis sûre qu’il aimerait ça, pas toi ?
La vérité c’était que la sensation de sa queue glissant dans mon cul, était excitante, je ne pensais pas une telle chose possible, Sandie aussi semblait excitée par la vue, et j’étais certain que nous explorerions cela bientôt.
Après ce petit interlude je dus le lécher et le nettoyer une fois de plus, et les amants retournèrent à ce qu’ils faisaient de mieux, baiser. Je revins à ce que je faisais de mieux, regarder. Lorsqu’ils finirent de baiser bien sûr, je devins un actif participant.
Cette nuit-là marqua le rituel pour plusieurs nuits de samedis à venir. Il y eut de légères variations bien sûr.
En quelques occasions je dus continuer à sucer la queue de Jack jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma gorge. Elle trouvait cela plus excitant que moi, parce que pour moi le goût n’était pas le même sans le mélange des jus. Comme cela entraînait que Jack ne pouvait alors plus baiser, elle me faisait faire cela avec parcimonie.
Elle continuait aussi à lui faire frotter sa queue contre mon cul, et une fois elle l’arrêta avant que j’ai un orgasme. Elle utilisa ses doigts pour essuyer mon gland du foutre qui était dessus pour l’étaler sur le sien et elle lui dit :
- Voyons voir si tu peux le pénétrer… »
J’étais sûr que le moment était venu de perdre ma cerise, mais cela lui prit beaucoup de temps pour faire pénétrer le gland dans mon anus, et elle dit :
- Ça suffit pour l’instant, la prochaine fois il en prendra plus
Puis elle me branla pour me faire gicler dans ma bouche. Et je dus le lécher pour le nettoyer avant qu’il ne la baise pour la seconde fois.
Je ne m’étais jamais demandé comment je me sentais à propos de la pénétration. Je n’avais jamais eu de pulsions homosexuelles, mais quand je pense que toutes mes histoires parlaient de maris nettoyant la queue de l’amant… Je sais que ce qu’il me faisait m’excitait beaucoup, mais j’étais dans le désir, je ne savais pas.
Au bout de six mois de ces rendez-vous réguliers, mon monde s’est écroulé. Je n’oublierais jamais cet instant, et ce repas de dimanche, avec juste moi et Sandie, fut mon heure la plus sombre.
Conte Cruel de Noël
Episode VII
Chapitre 6 suite et fin
On aurait dit un dimanche comme un autre, j’avais préparé un repas léger pour nous deux, c’était l’hiver, et nous regardions les oiseaux dans la mangeoire dehors. Tout aussi normal que possible, une journée pour un couple marié qui avait passé la nuit précédente à baiser et sucer le voisin.
Après un long silence mutuel, Sandie dit tranquillement :
- Chérie nous avons besoin de parler de quelque chose de sérieux.
Je pouvais dire à son regard que ce qu’elle avait à dire était certainement sérieux, parce que sinon elle aurait souri en me regardant avant de commencer. Elle poursuivit :
- Je devrais te dire ça devant Jack, et je suis très sérieuse, il me dit qu’il m’aime, et je ressens la même chose pour lui. Cela ne veut pas dire que je ne t’aime plus, parce que je t’aime. Je ne peux pas t’expliquer, c’est comme ça. Je vous aime tous les deux, mais j’ai besoin de lui d’une façon dont je n’ai pas besoin de toi. Tu peux le comprendre ?
Elle fit une pause, me donnant une chance de parler. Impossible pour moi de dire quelque chose, j’essayais d’organiser mes pensées suffisamment pour que je puisse dire quelque chose de sensé. J’ai bredouillé :
- Je pense comprendre, je ne peux pas te blâmer d’aimer ce qu’il te donne parce que je sais que tu l’apprécies beaucoup. Es-tu en train de dire que tu l’aimes d’une autre manière que celle-là ?
Elle parla avec sérieux dans la voix :
- Oui, je l’aime pour ce qu’il me fait au lit, et je l’aime en tant qu’homme. Comme je je dis, je t’aime encore, c’est juste que j’ai de très forts sentiments pour lui et nous ne pouvons pas l’ignorer.
Après avoir lutté avec mon cerveau j’ai dit :
- Qu’est-ce que cela signifie pour nous. Tu le veux plus que moi ? »
Je sentais mon monde s’écrouler.
Elle répondit doucement :
- Ce n’est pas que je le veux plus que toi, c’est que je le veux autant que je te veux toi. Dans un monde parfait je vous épouserais tous les deux et ce serait chouette. On pourrait continuer à faire ce que nous avons fait depuis l’été dernier, et tout le monde serait heureux.
Elle but un peu de café avant de poursuivre :
- Depuis que nous vivons dans une société dominée par les mâles la loi ne me permet pas d’avoir deux maris. Je ne peux rien y faire.
Elle arrêta de parler, semblant attendre une solution de ma part, mon esprit était chamboulé, et tout ce que je pouvais faire c’était de demander :
- Que penses-tu que nous devrions faire ?
Elle y avait pensé parce qu’elle répondit sans hésitation :
- Tu te souviens que je t’ai demandé il y a plusieurs mois quand tu es devenu cocu pour la première fois si tu voulais vraiment continuer ? En fait je te l’ai même demandé deux fois, parce que je voulais être sûre. Si tu te souviens bien, ta réponse était que tu voulais définitivement que je continue de baiser avec Jack, et tu pensais que c’était la chose la plus excitante au monde. Tu vois le résultat ? j’aime Jack, et je veux être sa femme ? je ne peux pas être plus honnête que ça.
J’ai été abasourdi par cette révélation, et n’ai pas pu prononcer un son. Elle a continué :
- Peut-être ne sais-tu pas que nous baisons presque chaque jour depuis que ça a commencé. Je n’ai jamais assez de sa queue, et il ressent la même chose pour ma chatte. Je suis prête pour lui à tout moment, cela m’a pris beaucoup de temps pour prendre conscience que baiser c’est bon, et maintenant que je l’ai-je veux que ça continue toujours. Je vais faire bref, Jack va venir s’installer ici, il dormira dans le lit avec moi. Tu peux dormir dans la chambre d’amis, ou ailleurs si tu préfères. Tu viendras dans notre chambre les samedis soirs, tu n’auras pas moins de sexe qu’actuellement, Jack dit que tu ne seras plus jamais autorisé à me baiser, ce qui n’a pas d’importance pour moi, et ne devrait pas en avoir pour toi, tu ne l’as pas fait depuis longtemps, et ça ne semble pas te manquer. Nous allons essayer comme ça quelques mois, pour voir si ça marche, qui sait, on décidera peut-être que nous ne nous aimons pas, et il rentrera chez lui, mais on peut aussi s’aimer de plus en plus, et l’on peut te demander de partir, si nous faisons cela cela veut dire un divorce, et je serais libre d’épouser Jack.
J’étais incapable de répondre, et elle continua :
- Il y a une troisième option dont nous avons discuté. Tu veux que je t’en parle ?
J’ai hoché la tête, je ne pouvais faire que ça, ma bouche était totalement sèche.
- Jack dit que tu peux continuer à vivre avec nous, même une fois mariés, à une condition. Sa condition est que tu ne sois plus jamais capable de me baiser. Tu vois il dit qu’il veut un enfant, et que je sois sa mère. Et moi aussi je peux porter l’enfant de Jack. On ne veut pas que tu me mettes enceinte, et je suis d’accord avec lui, si tu es d’accord aussi, il en sera ainsi, et tu pourras vivre avec nous, qu’en penses-tu ?
J’étais dans l’incapacité de penser, j’ai siroté un peu de café avant de répondre. On n’avait pas eu de relations sexuelles normales depuis plus de six mois, accepter un tel arrangement ne serait pas si difficile si je pouvais rester avec elle. J’ai dit :
- Je pense que ce serait la meilleure manière tout ce que je veux c’est être avec toi, et si cela signifie que je ne peux plus avoir de relations sexuelles avec toi, alors qu’il en soit ainsi, ne me quittes pas, je ne pourrais pas vivre sans toi.
Elle me sourit amoureusement avant de dire :
- J’en étais sûre, mais tu n’as pas bien compris ce que nous voulons Jack et moi, nous ne voulons pas que tu sois capable de me baiser, pas que tu ne me baises pas, tu vois la différence ?..... On tient cette idée des histoires que tu avais caché dans le tiroir du dessous, je les ai trouvés il y a quelques mois après les autres, et on les a lus, tu sais de quoi je veux parler ?
Je savais, je les avais lus et relus, et ce qui était arrivé aux maris dans ces histoires, c’était ce que ma femme et son amant voulaient me faire. Je me souvenais des paragraphes expliquant ce qui était arrivé aux hommes, lorsque je les avais lus elles étaient si excitantes, et c’était mon matériel masturbatoire le plus excitant que j’avais trouvé, lorsque je les vis sous cet angle j’ai eu une seconde pensée, j’essayais de comprendre si elle voulait dire ce que je pensais qu’elle voulait dire :
- Tu veux dire… tu veux…. Me castrer ?... M’enlever mon pénis ?.. C’est ce que tu veux ?
Elle dû trouver ça amusant, elle a ri avant de répondre :
- Oui chéri de mon cœur, c’est exactement ça, avec le nombre d’histoires que tu as caché cela doit plutôt t’exciter, tu n’auras aucune objection, n’est-ce pas ?
En vérité à cet instant mon cerveau faisait le grand 8, je n’avais pas d’opinion, c’était une chose de fantasmer sur ma castration, et une autre que ma femme et son amant me demandent de le faire si je voulais continuer à vivre avec eux.
Me voyant incapable de dire quelque chose elle continua :
- Jack veut que tu sois castré, mais une pénectomie serait suffisante, tu pourras garder tes couilles, je peux lui suggérer cela si tu décides que c’est ce que tu veux. Je sais que ta queue est minable comparée à Jack, ce ne serait pas une grosse perte, c’est ta langue ton meilleur atout, et je ne veux pas que ça change, j’ai peur qu’en te castrant tu ne sois plus aussi enthousiaste, c’est pourquoi je te laisse tes couilles.
- On ferait ça comment ? » dis-je.
Elle s’était préparée :
- Jack et sa femme utilisait une location au Mexique, près de Tijuana. Il y a là-bas beaucoup de cliniques médicales, et il en a vu plusieurs d’entre elles proposant de la
chirurgie péniale. Quand on a évoqué la troisième option, il a appelé là-bas, et ils proposent tout ce qu’on veut, castration, pénectomie, les deux !
Puis elle rit en se souvenant de sa réaction à cette conversation, mais elle continua:
- Ils m’ont dit avoir en moyenne une visite par jour de femmes américaines qui amènent leurs maris pour ce type d’opération. J’ai décidé d’être concise au téléphone, et je lui ai dit que je voulais une pénectomie pour mon mari, et que je voulais plus d’informations sur la procédure, ils m’ont dit qu’ils avaient une brochure, et m’ont donné les tarifs, j’ai donné ton adresse e mail, et elle m’a promis d’envoyer une brochure qui est arrivée il y a quelques semaines, nous l’avons lu Jack et moi, tu veux la voir ?
Je me sentais incapable de parler, j’ai acquiescé, elle ouvrit un tiroir près d’elle, et me tendit une belle brochure, je vis le titre : “ Chirurgie particulière”, et sous la photo une légende : “Castration et pénectomie expliquées en détail”.
Elle m’ouvrit la brochure à une page marquée, disant que c’était la seule qui prévoyait l’ablation du pénis. Je vis plusieurs illustrations qui montraient les étapes, puis sur la page suivante une photographie pleine page de l’entrejambe d’un homme après l’opération. Ses poils pubiens avaient été rasés, et le petit trou au-dessus des testicules était tout ce qui restait de son pénis.
Je regardais la photo, tentant de concilier ce que je voyais avec ce que Sandie m’avait dit, je l’ai entendu dire :
- Je pense que cette photo est la plus excitante, chaque fois que je la regarde, c’est comme si tu te tenais là, et que tu regardes ce qu’on t’a fait.
Puis elle vint droit au but me demandant
- Alors t’en penses quoi ?
Elle ne dit plus rien, me regardant. La décision m’appartenait, et elle avait tout dit. Je considérais les options qui s’offraient à moi, je savais que ma décision était prise, je ne pouvais pas vivre sans elle, et si je perdais quelque chose sans importance dans notre relation, elle continuerait, j’ai répondu simplement :
- Oui je veux le faire .
Ses yeux s’écarquillèrent, elle courut vers moi, s’assit sur le banc près de moi, elle m’embrassa ce qu’elle n’avait pas fait depuis longtemps. Elle éclaircit sa gorge, puis me dit :
- Merci chéri, tu ne sais comme j’avais peur que tu choisisses de partir, je t’aime beaucoup, et je n’imagine pas ma vie sans toi, merci. »
C’était un grand poids retiré de mes épaules, ma décision était la bonne. Dans mon cœur je savais que je pourrais vivre sans pénis, et cela serait mieux pour moi, peut-être que si je n’avais pas eu ça aurais-je été plus aimant envers ma femme. C’était mon espoir. Je voyais clair maintenant et j’ai demandé :
- On fait quoi maintenant ?
Elle me dit :
- Je savais que ce serait ton choix, j’ai appelé la clinique il y a deux semaines pour programmer le rendez-vous, nous y allons au milieu du mois prochain ce qui nous donnera le temps de finaliser tous les arrangements. Le rendez-vous est le 17 janvier, un jour spécial pour toi
Elle sourit machiavéliquement alors que je me rendais compte des implications de la date, c’était mon anniversaire, et j’aurais 36 ans. Lorsqu’elle vit que je comprenais elle continua :
- Je pensais que ce serait le bon moment pour toi de commencer une nouvelle vie, tu es né à cette date avec ce bout de viande inutile entre tes jambes, et tu vas renaître 36 ans après sans lui.... Jack et moi nous marierons dans une église à Tijuana, ils ne sont pas regardants sur le nombre de maris d’une femme, le mariage est planifié pour le jour précédent ton opération, tu pourras être là pour me donner à lui. Nous passerons la nuit dans un motel, et tu peux imaginer ce que nous ferons, le lendemain on t’amène à la clinique, l’infirmière va te préparer, puis t’emmènera en salle d’opération, Jack et moi seront là, je suis autorisée à procéder à l’ablation, c’est comme ça que font la majorité des femmes. Après tu seras en convalescence et Jack et moi nous irons à Baja, on y passera une lune de miel d’une semaine pendant que tu reposeras, on te reprendra en rentrant, et après nous serons une famille heureuse. »
Je n’avais rien à dire, même si j’avais été capable de formuler une réponse. Ma vie avait été planifiée pour moi. Et je me suis glissé dans ce cocon confortable. C’est pourquoi je n’ai pas d’autres objections lorsqu’elle m’annonça que d’autres menus changements auraient lieu dans un futur proche.
- Au retour nous vendrons les deux maisons, nous déménagerons où personne ne nous connaît, Jack et moi pourront vivre franchement comme mari et femme, Portland serait un bon choix, ta boîte a un bureau là-bas. Tu m’as dit une fois que tu pourrais aller là-bas.... Puis Jack me mettra enceinte, je veux que ça arrive le plus vite possible, lorsque je serais proche d’accoucher tu auras du boulot, les femmes enceintes n’ont pas de relations sexuelles pendant 6 semaines avant la naissance, et six semaines après.... Pendant ce temps tu t’occuperas de Jack pour moi, je sais que ça t’excite quand Jack enfonce son gland en toi, tu devras vraiment aimer quand il te baisera pour de bon, et puis tu pourras le sucer. Je parie que tu auras plus de relations sexuelles que jamais dans ta vie. Ce sera drôle pour moi de regarder, ça change, tu ne trouves pas ? »
Elle me donna une chance d’ajouter quelque chose en disant :
- C’est comme ça que nous l’avons prévu, tu penses à autre chose ?
Je ne pouvais pas, même si je l'avais voulu. Ils avaient tout préparé avec précision, et je pouvais les remercier d'en faire partie. Cela me sembla plus simple de dire :
- Tout ce que tu veux, est le meilleur pour nous deux mon Amour
↧