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Channel: Chez Andre 112
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Lles rediff de l'été... Erreur...

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On peut toujours se tromper.
Je le trouve super bien écrit...
Il y a un côté réalité ...

A relire avec plaisir.

CAROLINE
Je m'appelle Caroline (bien sûr je change tous les prénoms pour éviter qu'on ne m'identifie). Il y a longtemps que j'ai envie de confier à quelqu'un une expérience qui m'est arrivée pour en soulager ma conscience.
Je suis mariée depuis douze ans et mère de deux enfants dont un garçon de mon mari et une fille du premier « homme de ma vie » que j'ai eue à vingt ans. Je ne peux pas parler de cette histoire à mon mari, j'ai trop peur de salir l'image qu'il a de moi, alors j'ai pensé tout raconter par écrit.
J'ai quarante-deux ans et je suis une grande blonde (naturelle) aux yeux verts. Mon seul défaut est la taille de mes seins : j'ai toujours fait du « A », sauf pendant mes grossesses. Mais malgré ce côté « plate », je suis plutôt « canon », à ce que m'en ont dit la plupart des hommes.
Avant mon mariage, j'ai eu une vie sexuelle plutôt remplie. Dès l'adolescence, j'étais courtisée de toutes parts et je n'ai pas mis longtemps avant de céder (j'avais un peu plus de 17 ans lors de mon dépucelage) mais les premières expériences s'avérèrent assez fades jusqu'à ce que je rencontre David, à 19 ans.
Le premier grand amour de ma vie, et je le considère toujours comme l'homme de ma vie. J'étais tellement folle de lui que je me suis laissée mettre enceinte pour le garder.
Ça n'a pas marché et il m'a plaquée pour revenir avec moi après la naissance de ma fille. Nous avons filé le parfait bonheur pendant cinq ans avant qu'il ne me plaque à nouveau.
Enfin le parfait bonheur... avant mon mari, j'ai toujours eu le don pour tomber sur des salauds irrésistibles. David me faisait jouir comme les autres n'avaient pas su le faire avant, mais il était volage. Il lui est arrivé de revenir au milieu de la nuit et de me prendre avec le sexe encore humide d'une autre sans éprouver le moindre remord en voyant mes larmes. Il me faisait jouir et pendant mon orgasme, il me disait « ça vaut bien quelques larmes ».
Le pire c'est qu'il me trompait avec des femmes quelconques, sans rapport avec moi, enfin celles que j'ai vues.
Bref, à 25 ans, me voilà seule avec ma môme. Heureusement que j'avais bossé dur pour me trouver une petite place dans la fonction publique. Avec mon petit mi-temps et la pension pour ma fille, je ne m'en sortais pas trop mal, d'autant que j'habitais chez ma grand-mère, un petit pavillon de banlieue, donc pas de loyer.
J'en ai « essayé », des mecs, jusqu'à ce que je tombe sur Michel, un beau brun grand et mince rencontré par hasard dans le RER, sur lequel j'ai tout de suite flashé. Il m'a suivie, abordée, le lendemain soir nous dînions ensemble et la soirée se termina à l'arrière de sa voiture dans un parking souterrain.
Tout de suite, question sexe, il m'a fait « décoller ». Encore mieux qu'avec David. J'en étais folle. Un sourire... ça me pique encore l'entrecuisse d'y penser, il me souriait pendant l'orgasme et ça me faisait un effet...
Pourtant j'ai vite compris que j'étais encore tombée sur un macho. Il venait chaque soir de la semaine coucher avec moi. Il arrivait après le dîner (il faut dire que ma grand-mère l'avait tout de suite catalogué « sale type » et lui sortait des réflexions pas vraiment agréables, donc il avait dîné une fois avec nous et n'avait jamais recommencé).
Le week-end, il disparaissait, j'étais folle. Il m'assurait qu'il n'y avait pas d'autre femme, mais bon... Impossible de savoir de quoi il vivait, j'ai compris plus tard...
Au lit, c'était du sexe non-stop jusqu'à minuit-une heure tous les soirs. Il se retenait comme aucun mec n'en est capable. Après une heure d'amour ou plus, il éjaculait pour repartir de plus belle un quart d'heure plus tard. J'étais morte !
Et je devais me lever à six heures trente ! Heureusement que je ne travaillais pas le mercredi, pour récupérer, mais il en profitait pour me prendre le matin, une fois dès cinq heures trente et jusqu'à ce que ma grand-mère frappe à la porte en disant :
- Ta fille est réveillée, j'aimerais mieux pas qu'elle entende vos cochonneries.
Et dominateur, avec des réflexions qui voulaient dire « T'as qu'un droit : te faire sauter ». Mais en dehors du lit, il était gentil. Et pas trop exigeant au lit, il suçait comme un dieu, mais ne me l'avait pas demandé.
Du coup, je le lui avais fait de moi-même au bout de quinze jours. Mais, comme je m'étais arrêtée en cours de route, j'avais eu le droit à une réflexion :
- La fellation, c'est frustrant si tu ne vas pas jusqu'au bout.
J'avais répondu que j'avais horreur du sperme et il m'avait dit que donner du plaisir à son homme, c'était le rôle de la femme - sans le moindre humour ! Et pour bien me faire comprendre mes torts, il m'avait fait jouir yeux dans les yeux et avait réussi à éjaculer sans donner le moindre signe de plaisir.
J'en avais pleuré. Il exigeait aussi que je lui raconte toute ma vie sexuelle passée. Un jour que je refusais de lui parler de David que j'aimais encore (et que j'aime encore un peu malgré tout), il sortit du lit et commença à se rhabiller.
- Si c'est comme ça, je me casse.
Je dus lui raconter comment David aimait me faire l'amour et il m'en fit autant. En plein orgasme, ce salaud-là me fit avouer que je ne jouissais pas si fort avec David qu'avec lui.
C'était vrai, mais j'avais honte de salir l'homme que j'aimais encore et pourtant, malgré moi, j'aimais sa façon de me traiter de la sorte, ce salaud. Par contre, la seule fois où j'avais voulu qu'il me raconte la sienne (de vie sexuelle), je me suis fait rembarrer.
Au bout de quatre semaines, il s'est pointé un lundi et m'a dit que son anniversaire tombait le mardi ! Je lui ai dit qu'il aurait dû me prévenir, que je prenne le temps de lui trouver un beau cadeau :
- J'aime pas les cadeaux, si tu veux me faire plaisir, le cadeau, ce sera toi.
Il m'a donné une lettre d'explications et m'a planté là, en me disant qu'il me prendrait en voiture le lendemain, à la sortie du boulot. J'essayai de le retenir, mais il me déclara :
- T'inquiète pas, c'est pas une lettre de rupture, et puis avec un jour d'abstinence de plus, tu seras super-chaude.
La lettre expliquait que je devais m'offrir à lui pour une nuit de soumission sexuelle absolue, me laisser faire et obéir à ses ordres et caprices. Si j'étais d'accord, je devais aller au boulot avec un sac comportant une tenue «hyper-sexy» pour sortir et de quoi loger à l'hôtel le soir.
Tout ce qu'il demandait c'est une réponse par oui (dans ce cas, je devais « aller jusqu'au bout ») ou par non. Après avoir pesé le pour et le contre, je décidai de refuser, je sentais qu'il abuserait de moi excessivement.
Le lendemain, il m'attendait à la sortie du boulot.
- T'as pas de sac ?
J'expliquai mon choix, mais il me coupa la parole :
- Tant pis, je ne suis qu'un ersatz de David.
Il faut dire que lors de mes « aveux forcés », je lui avais expliqué que David était très exigeant et que je m'étais plusieurs fois laissée faire. J'avouai avoir avalé une fois le sperme de David et avoir été profondément dégoûtée (après Michel, je n'ai jamais accepté à nouveau qu'on éjacule dans ma bouche) et j'avais aussi avoué avoir été sodomisée une fois par David et en avoir eu une douleur atroce.
J'espérais ainsi le décourager. Peine perdue... (Après lui, je ne me suis laissée sodomiser qu'une fois par mon mari, pour ses quarante-cinq ans, il y a trois ans, j'ai eu mal, c'était horrible... aucun plaisir, sauf pour lui, qui m'a même remerciée d'un beau diamant).
Il m'emmena au cinéma, puis au restaurant, mais je voyais bien que le cœur n'y était pas. Il me ramena chez moi vers vingt-deux heures, sans m'avoir laissé prévenir ma grand-mère que je rentrais tard.
Ma fille était couchée et on eut droit aux reproches de mémé. Il éluda et m'emmena dans la salle de bains où on se lava les dents avant de revenir dans la chambre sans se laver.
Une fois au lit, lui qui d'habitude me préparait pendant longtemps, me monta dessus dans la position dite de la bête à deux dos et me pénétra ainsi. J'étais assez excitée et il me tint la tête fermement entre ses mains tout en me regardant.
Je lui demandais d'arrêter de me tenir, mais il continua sans rien dire. Cela m'excitait et bien qu'il ne fit aucun effort pour me faire jouir, je jouis après l'avoir supplié de me lâcher je ne sais combien de fois. Il se retira sans même avoir éjaculé et se retourna pour dormir.
Je me lovais contre lui, en pleurant qu'il ne fallait pas qu'il le prenne comme ça. Il ne répondit rien et je plongeai sous les draps dans le but de le sucer, espérant le « défâcher ». Il me repoussa en disant :
- Fellation, plaisir réservé à David.
J'étais en larmes et nous passâmes la nuit ainsi.
Le lendemain soir, il revint comme si de rien n'était à son heure habituelle. Il me fit l'amour une fois et alla cette fois jusqu'à l'éjaculation, mais ne fit aucun effort pour me faire jouir.
Lorsque je voulus parler avec lui, il me dit qu'il était fatigué. Le lendemain matin, il partit tôt et m'embrassa en me disant qu'il ne reviendrait pas avant lundi.
Je passai les pires jours de ma vie : jeudi, vendredi, samedi, dimanche et lundi sans aucune nouvelle, j'étais sûre qu'il ne reviendrait jamais. J'avais bien un numéro de téléphone, mais je tombai sur un de ses amis qui l'avait logé quelques jours et ne savait pas où il était.
Il arriva le lundi après le dîner. Je sortis devant le petit pavillon pour l'accueillir et lui sautai au cou :
- Je t'aime, je t'aime, je t'aime, ne me quitte plus, je te ferai ton cadeau demain, tu le mérites, il n'y a que toi qui comptes, je serai ta maîtresse soumise et obéissante comme tu me l'as demandé.
Il me donna rendez-vous le mardi et partit comme la semaine passée. J'étais si folle de désir que je dus me masturber, ce soir-là (ce que je n'ai fait que rarement dans ma vie).
Le lendemain, je sortis du boulot largement en avance, vers les trois heures comme il me l'avait demandé. J'avais mon sac, cette fois ! Je le posai dans le coffre de la voiture et il m'emmena dans un magasin de lingerie, car je n'avais guère que des collants.
David m'avait offert des tas de bas, porte-jarretelles... dont il était friand, mais je les avais jetés après son « plaquage ». Nous achetâmes des bas résilles avec une large jarretière en dentelle, une jolie petite culotte en dentelle assortie et une guêpière en résille qui ne maintenait rien, mais qu'importe, cela suffisait à mettre en valeur mes petits seins. Toute cette lingerie était de couleur noire.
Nous prîmes l'autoroute direction Cabourg. On s'installa dans un hôtel assez classe et il prit une douche avant que je ne prenne un bain. Je pensais qu'il allait m'y rejoindre, mais il attendait le soir pour déclencher les hostilités.
Il s'était habillé très classe (veste et cravate chic, qu'il avait amenées dans une valise où je vis aussi des cordelettes...). Je mis mes dessous et en constatai l'effet à une bosse sous son pantalon.
Je mis un chemisier noir très joli avec une jupe très courte rouge flash. J'avais un blouson assorti (rouge) et bien sûr un rouge à lèvres assorti. J'étais plutôt sexy mais la longueur de la jupe était à peine suffisante pour cacher les jarretières.
On était en mai, il faisait très beau et nous dînâmes de homard et de champagne!
Après, balade au bord de l'eau avec « roulage de pelles » à qui mieux mieux. Cela ressemblait plus à une sortie en amoureux qu'à une séance de soumission absolue. Retour à l'hôtel vers minuit, avec changement de régime dès la fermeture de la porte de la chambre.
– Déshabille-moi.
Son regard était terrifiant, c'était celui d'un prédateur pour sa proie et j'en eus un frisson de peur. Jamais je n'avais croisé un tel regard et je me demandai si je n'avais pas accepté à la légère d'être la proie. En même temps, cela m'excitait et la soirée au restaurant m'avait déjà bien mis le feu au cul.
Je le déshabillai lentement. Ah ! son torse nu et son ventre tout plat ! Celles qui n'ont jamais eu d'homme sans ventre n'imaginent pas ce que c'est. Ne pas sentir un ventre gras collé à ses fesses quand on est prise par derrière, caresser des abdominaux durs... j'en rêve encore, je l'avoue.
Je me suis baissée alors pour retirer son pantalon et son slip. J'étais accroupie devant son sexe en érection et je m'attendais à ce qu'il me demande quelque chose. Au lieu de cela, il me fit ranger ses vêtements et me demanda de lui faire le plus beau strip-tease que je n'avais jamais fait.
Il bandait déjà bien avant que je ne commence par enlever mon blouson, puis mon chemisier en lui tournant d'abord le dos pour le laisser descendre sur mes épaules. Je me retournai alors pour qu'il admire mon buste sous la résille de ma guêpière et défis la fermeture sur le côté de ma jupe.
Je me retournai à nouveau le temps de faire descendre lentement ma jupe le long de mes cuisses en me penchant en avant pour qu'il puisse se régaler du spectacle de mon cul et de mon entrecuisse.
Arrivée aux genoux, la jupe glissa à terre et je l'envoyai plus loin avec le pied. Je me retournai alors et constatai à son regard que je m'étais acquittée de ma tâche fort correctement.
Il me demanda d'en rester là – je portais encore ma guêpière, mes bas et ma culotte – et m'ordonna de m'allonger sur le lit pour me masturber. Je m'exécutai et, à sa demande, je dus lui avouer que j'avais déjà donné un tel spectacle à David : toujours cette obsession d'en vouloir plus que son rival.
Il se tenait au pied du lit, le sexe dressé et les mains sur les hanches, contemplant sa « chose » à lui. Il grimpa alors sur le lit et se tint debout. Quand on voit quelqu'un comme ça, d'en bas, il paraît plus grand, plus fort. Son sexe me paraissait démesuré.
– Ça t'excite, avoue-le, regarde-moi, regarde mon sexe et fais-toi jouir en pensant à tout ce que je vais te faire subir.
J'étais assez excitée par son comportement très dominateur, je l'avoue, et je commençai à avoir des secrétions largement suffisantes pour me faire pénétrer, et pour qu'elles humidifient ma culotte sous laquelle mes deux mains s'activaient. Je me doutai toutefois qu'on n'allait pas passer tout de suite à une banale pénétration.
Il descendit alors du lit et me demanda de me mettre debout. Il se plaça derrière moi, collant son sexe à ma culotte et m'enlaça en me recommandant de garder mes mains actives pour le moment.
– À genoux, ordonna-t-il.
Je me mis à genoux.
– Tu as déjà été à genoux devant un homme ?
J'avouai m'être agenouillée à plusieurs reprises devant David pour le sucer.
– C'est lui qui t'a mise à genoux ?
Non, je l'avais fait de moi-même, mais il avait apprécié, je n'avais été « mise à genoux » par aucun homme avant lui. Cette « virginité » le ravit.
– Et tu l'as sucé jusqu'où ?
– Jusqu'à son orgasme.
Et je précisai bien maladroitement que c'était la première fois que j'avais essayé d'avaler et que j'avais été dégoûtée à jamais. Il vint se placer devant moi.
– Qu'est-ce que ça te fait, d'être à genoux devant moi ?
Je ne savais pas trop quoi répondre. La vérité est que je me sentais à la fois humiliée et excitée, d'ailleurs je continuais à me masturber et j'étais bien mouillée. Je n'osai le regarder et il releva mon menton.
– Alors ?
Je lui dis exactement ce que je pensais et j'ajoutai que je l'aimais, pour me justifier d'accepter cette humiliation. Sa réponse fut :
– Suce.
Et pour bien me montrer où nous allions, il saisit ma tête pour l'amener à son sexe. Son autre main attrapa mes bras l'un après l'autre pour amener mes mains, l'une sur ses couilles l'autre sur son sexe.
Cette fois, c'était son plaisir qu'il fallait assurer, et pour bien assurer sa prise et ma soumission totale, il me tint la tête avec sa main droite sur le crâne, juste en dessous de ma queue-de-cheval, et sa main gauche sous mon cou.
Je n'avais plus qu'à sucer. Jamais un homme ne m'avait fait subir ça. J'étais pourtant du genre à ne pas me laisser faire par un macho mais là, je restai soumise et suçai du mieux que je pouvais.
Que voulez-vous ! j'étais amoureuse, et excitée de surcroît.
– T'en as recraché, la première fois avec David ?
Je répondis oui avec la tête.
– Non seulement jamais un mec, même pas David, ne t'a mise à genoux, mais en plus tu vas faire ce que fait une femme soumise quand son homme jouit dans sa bouche. Avaler tout. Tu sens comme je te domine ? Tu suces, t'es une bonne soumise, hein ?
Et il me demandait d'acquiescer à chaque question par un hochement de tête. Lui d'habitude si long à éjaculer ne mit que quelques minutes, qui me parurent pourtant une éternité, ponctuée par des propos salaces du genre de ceux que je viens d'écrire. Je fus prévenue par un :
– Avale et recrache rien.
C'est avec la troisième giclée que j'eus le plus de mal. Je n'avais pas réussi à avaler toute la seconde et là, je me sentis débordée, prête à vomir. J'ai réussi malgré tout et aussitôt après les spasmes de sa jouissance qui s'accompagnèrent d'un long cri rauque, il me dit :
– Continue à sucer doucement, c'est le meilleur, et fais tout couler dans ta bouche pour avaler ce qui reste, femme soumise.
Je m'exécutai sans rien dire, au bord du dégoût. Je sentais que cette scène avait accru l'humidité de ma petite culotte; j'étais trempée de désir.
– Tu suces comme une pro.
Je m'en rendais compte : l'excitation, l'humiliation et le dégoût décuplaient mon ardeur « fellatrice ». Il s'extirpa de ma bouche lorsqu'il commença à débander, ce qui prit encore quelque temps, et m'ordonna de m'allonger au bord du lit et d'écarter les cuisses
– Tu vas te laisser sucer et masturber sans chercher à te soustraire à mes caresses, on n'est plus chez toi, tu peux crier tant que tu veux sans craindre les réflexions de ta grand-mère.
Il me roula une pelle qui atténua un peu le goût du sperme et s'agenouilla au bord du lit. En écartant ma culotte sur l'état de laquelle il fit une remarque, il me suça le clitoris.
J'ondulai sous cette caresse qu'il accompagna bientôt de deux doigts dans mon vagin. Ils trouvèrent instantanément mon point G, alors qu'auparavant, jamais je n'avais été convaincue de son existence. C'était à la limite du supportable. Il m'ordonna de tenir mes cuisses avec mes mains et de cesser de gigoter. Je devais jouir et obéir, selon ses propres termes.
Cela devint terrible, j'avais des contractions comme si j'allais enfanter. J'ai eu un orgasme tellement violent que mon bas-ventre se souleva sous l'effet des contractions pendant que mes cuisses se resserraient.
J'avais désobéi et je fus punie.Il se plaça alors à califourchon sur moi et me força à sucer son sexe, encore mou et gluant, tout en me tenant par les poignets.
– Chaque fois que tu désobéiras, il faudra sucer pour te faire pardonner, et chaque fois que tu auras un orgasme, il faudra sucer pour remercier. T'en as eu un ?
Je fis oui de la tête.
– Chaque fois que tu auras un orgasme, tu me le diras, je veux aussi t'entendre réclamer par des « Encore », des « Baise-moi », des « Saute-moi »... seulement quand je te baiserai.
J'ai horreur de ces mots vulgaires et il le savait. Là, il faisait exprès de les utiliser en me fixant droit dans les yeux. Il se replaça à genoux et recommença le cunnilingus.
J'aurais préféré être pénétrée, je n'y tenais plus. Certes, j'ai eu un nouvel orgasme avec ses doigts et sa langue mais ce n'est pas pareil. Rebelote avec son sexe dans ma bouche, pour « se payer de mon orgasme », puis il me retourna et m'ordonna d'écarter les cuisses et de me cambrer, après m'avoir extirpé ma culotte sans ménagement.
– Tu ne les resserreras que lorsque je te le dirai.
J'étais ainsi offerte à sa pénétration. Il s'allongea sur moi et je sentis d'abord son corps chaud sur le mien, puis il mit ses mains sur mon sexe. L'une écartait doucement les lèvres, tandis que les doigts de l'autre caressaient de manière experte mon clitoris. Je fondais de plaisir et j'attendais son sexe.
– Demande-moi de te sauter comme une femme soumise.
– Saute-moi comme une femme soumise, s'il te plaît.
Ah ! ce coup violent par lequel il entra en moi, je m'en souviens encore!
Il lui suffit que quelques va-et-vient pour déclencher un orgasme d'une violence jamais connue, et qu'il fit durer pendant un temps que je ne saurais pas évaluer.
– Tu vas devoir me sucer si tu désobéis, ce serait dommage, en plein orgasme.
Je ne comprenais pas ce qu'il voulait et il me rappela que je devais réclamer et je me déchaînai alors avec des « Encore », des « Vas-y », des « Baise-moi », des « Saute-moi », des « Je suis ta soumise », des « C'est bon » et même des « Défonce-moi ».
Jamais je n'avais employé ces mots, qui m'excitaient autant que lui. Je dus aussi lui dire que jamais David ne m'avait fait cet effet-là... J'avais de telles contractions que je cherchai à resserrer mes cuisses, mais il était plus fort que moi et les maintenait par ses genoux au creux des miens.
Mon clitoris était en feu.
Il me redressa alors à quatre pattes et reprit sa « défonce », agrémentée d'une masturbation en bonne et due forme du clitoris. Il ajouta une savante caresse de la main gauche sur mon anus.
Au début, j'eus un mouvement de retrait. À aucun moment je n'avais pensé à la sodomie quand il m'avait parlé de nuit de soumission. Quelle naïve ! Il sentit bien mon retrait et déclara :
– T'as promis d'être parfaitement soumise, me déçois pas.
Finalement, la caresse s'avéra rapidement agréable ! Je sentis une nouvelle sensation de jouissance terrible. Je poussai comme pour pisser et je crus pisser ! En réalité, j'avais fait, pour la première fois de ma vie, la « fontaine ».
C'est incroyable, la giclée qui partit et atterrit sur une glace située sur un genre de placard en face du lit. Ses couilles étaient trempées comme si on y avait versé un seau d'eau, sauf que c'était glaireux.
Il en prit sur ses mains qu'il porta à sa bouche. Il aimait ça, je n'en revenais pas ! Moi, toutes ces glaires, le sperme, la mouille, ça me dégoûte plutôt. Après qu'il m'ait expliqué ce qui m'était arrivé (j'étais sûre d'avoir fait pipi), je lui dis :
– J'ai joui comme jamais, tu peux venir dans ma bouche.
Il se mit à genoux sur le côté et me plaça la tête sur sa cuisse droite. J'étais sur le côté et il me fit écarter les cuisses.
– Défense de les resserrer.
Je le suçai et le branlai en même temps de la main droite. Sa main droite maintenait ma tête, quant à sa gauche, il avait pénétré de deux doigts mon sexe et se contentait d'appuyer sur mon point G.
Il ne bougeait pratiquement pas et ça me faisait un effet terrible. Il y a quelques temps, j'ai réussi à ce que mon mari y arrive (quatorze ans plus tard – je n'avais plus refait la fontaine depuis Michel), c'est divin mais à la limite de l'insupportable.
Je giclai toutes les dix secondes environ le même genre de glaire, en quantité moins importante que la première fois, mais suffisante pour ça trempe sa main qui dégoulinait sur mon sexe, puis coulait sur ma cuisse gauche (l'état de mon bas et de la jarretière !) et sur mon aine.
Le drap en était trempé. Cette mouille achevait de me rendre folle. Je suçai comme jamais – il m'a déclaré après « J'en ai connu des suceuses, mais aucune ne l'a jamais fait avec autant d'ardeur que toi à ce moment-là » – tout en gémissant de plaisir et en poussant des cris, étouffés naturellement par son sexe qui emplissait ma bouche. Je cherchai à me retirer pour lui dire à quel point c'était bon, mais il me tenait fermement.
J'étais convaincue qu'il allait éjaculer dans ma bouche et je crois que s'il l'avait fait, j'aurais avalé sans peine, cette fois, ça serait passé tout seul. Mais il finit par se retirer et me reprendre à quatre pattes.
– Lâche-toi, crie.
J'avais déjà crié assez fort mais là, me tenant par les hanches, il me défonça sans ménagement. C'était un mélange de plaisir, car son sexe me ramonait là où il faut, et de douleur, car il allait trop creux et trop fort.
Je hurlai à la fois de plaisir et de douleur et je me demande encore comment les gendarmes ou les employés de l'hôtel ne sont pas intervenus. Cela ne dura heureusement pas très longtemps, car n'ayant pas su « réclamer », je fus prise en flagrant délit de désobéissance.
La sentence fut exécutée à quatre pattes, lui à genoux devant moi, il me saisit la tête (une main sur le crâne et une sous le cou) et fit lui-même les va-et-vient:
– Tu t'es déjà fait baiser par la bouche comme ça, ma belle soumise, ma suceuse championne du monde ?
Je fis non tant bien que mal de la tête.
– Alors même ce salaud de David ne t'a pas prise comme ça ? C'est pourtant bon, surtout avec une femme qui me disait au début qu'elle était plutôt du genre dominatrice, au lit.
C'est ce que je lui avais dit pour le décourager de jouer au macho. Je n'ai jamais laissé un homme recommencer. C'est la pire des humiliations, surtout lorsqu'il se lâche à prononcer les pires « salaceries », dont je ne me rappelle plus tant il y en eut. Cela se termina par un :
– Allonge-toi.
Il se plaça à califourchon sur moi et me demanda de le branler. Son sexe était au-dessus de mon visage, mes mains le branlaient en alternance, celle inoccupée caressant ses couilles. Il me dit :
– Je t'aime, je t'adore en femme soumise, je vais jouir sur toi, je veux que tu en aies partout, sur tes seins, sur ton visage, dans ton cou.
J'étais affolée par l'état dans lequel il se trouvait. Lorsqu'il gicla, je m'en mis partout et j'éclatai en sanglots tant j'étais tendue. Au lieu de me consoler, il me suça et me doigta, déchaînant un nouvel orgasme qui éclata aussi fort que mes sanglots.
Après, il se fit plus câlin, me remercia (incroyable) et me dit que jamais il n'avait eu du plaisir comme avec moi. Il fut d'une grande gentillesse et je lui susurrai des « Je t'aime », mais il refusa que je m'essuie.
Il m'embrassa alors que mes lèvres étaient souillées de son sperme. Cela ne semblait pas le déranger. Il y avait du sperme collé dans les mailles de la résille de la guêpière et dans mes cheveux.
Nous restâmes un long moment lovés l'un contre l'autre et je m'endormis après avoir lu une heure quarante-cinq à la pendulette, mais il rebanda et me réveilla.
La pendulette marquait trois heures trente du matin, j'étais morte. Comment pouvait-il avoir encore de l'énergie ? J'étais recouverte de sperme, mes cheveux étaient collés sur la droite, j'en avais dans le cou, sur la guêpière, sur les épaules, il y en avait qui avait coulé sur le drap et je m'étais vautrée dedans en dormant
Ça sentait le sperme froid. Michel en rajouta en étalant sur mon corps ce qui traînait sur le drap. Pendant qu'il faisait cela, il avait mis ma main sur son sexe pour que je le masturbe.
Il était incroyablement dur, comme son regard d'ailleurs. Je m'efforçai de sourire et il recommença à me sucer. Je me demandais comment il pouvait faire, tant c'était répugnant de glaire, mais il avait l'air d'aimer.
J'étais apeurée à l'idée qu'il me mette le sien dans la bouche, avec son goût de glaire et de sperme froids. C'est pourtant ce qu'il fit en se plaçant en 69 dès que son cunnilingus eut suffisamment réveillé mon plaisir.
Je m'aperçus qu'il avait eu la délicatesse d'aller se laver et son sexe avait même un léger goût de savon qui piquait un peu. C'était quand même meilleur que le goût du sperme froid. Je vis sur le côté l'une des cordelettes aperçues dans son sac.
Après le 69, qui me fit beaucoup moins d'effet – dans cette position, je trouve que l'homme est incapable de caresser comme il faut la zone sensible, cela ne m'a jamais rien fait –, il m'attacha les mains dans le dos avec la cordelette puis me mit à genoux.
Il se plaça derrière moi et me pénétra. Il me baisa ainsi tout en caressant mon clitoris. Je n'avais jamais été prise dans cette position qui était délicieuse. Évidemment, je dus avouer avoir déjà été attaché (au lit) mais pas avec David.
Je dus raconter cette aventure – à 19 ans pendant ma grossesse, après le premier « plaquage » de David, avec un pompier revenu le soir après que j'ai appelé les pompiers dans l'après-midi, officiellement pour une souris dans la maison, officieusement parce que j'avais le spleen, ma grand-mère étant partie pour deux jours à l'enterrement d'une lointaine cousine en province.
Je jouis assez rapidement et il agrémenta mon orgasme d'une caresse anale avec pénétration de son index. C'était très bon mais ça dégénéra :
– Depuis que tu me connais, combien de fois m'as-tu trompé ?
– Jamais.
– Menteuse, j'ai parlé avec ta fille, quand David te l'a ramenée le week-end, il y a quinze jours. Vous l'avez couchée et vous êtes allés vous promener ensemble. Bizarre, pour un couple séparé avec perte et fracas. Tu me prends pour un con ?
En pleine jouissance, j'étais sidérée. Évidemment c'était vrai. Depuis trois ans que David m'avait plaquée, il trouvait régulièrement le moyen de me prendre. La plupart du temps je le laissais faire, pensant ainsi le reconquérir.
Ma grand-mère me demandait souvent pourquoi je ne me remettais pas avec lui, parce qu'elle l'appréciait. La raison était simple: il ne voulait pas. C'était des coups furtifs, dans la voiture, dans la cuisine une fois, et même chez sa nouvelle, un vendredi où j'avais amené ma fille pour le week-end, alors que Madame était à une réunion politique!
Il y a quinze jours, on s'était promenés le dimanche soir et au milieu du parc, il m'avait forcée. Je lui avais pourtant dit que j'avais quelqu'un et que je ne voulais pas. Ce salaud m'avait rétorqué :
– Encore un mauvais coup que je vais te faire oublier.
Je n'avais pas su résister et le lundi soir, j'avais même pensé à lui en jouissant avec Michel. Évidemment, je dus tout avouer (sauf que je pensais à David pendant l'amour avec Michel).
Il me déclara que je devais choisir ma punition: si elle était à la hauteur de l'humiliation subie par le cocu – il insista pour me faire dire plusieurs fois que je l'avais fait cocu –, ça continuerait entre nous après cette nuit, sinon « Adieu salope ».
Il disait cela tout en me baisant et me masturbant l'anus. C'était clair. Je compris et lui proposai de me sodomiser. Il me dit qu'il ne me l'aurait jamais imposé car il n'était pas un sadique mais que ça valait bien que j'aie mal au cul pour le payer de son « cocufiage ».
Il se mit d'abord debout et me baisa par la bouche.
– Salope ! Une femme qui trompe son mec n'est bonne qu'à se faire baiser par la bouche.
Cela dura un bon moment. Je faillis vomir car avec mes mains attachées dans le dos, rien ne le retenait d'aller très creux jusqu'à ma gorge. Puis il me détacha les mains du dos, et me les rattacha au lit au moyen de deux cordelettes, chacune liée à un pied du lit. La punition pouvait commencer. Il s'y ajouta un bâillon et un bandeau sur les yeux. Il me dit :
– Je suis tout sauf sadique, redis-moi si tu es consentante par un signe de tête.
J'acquiesçai.
– Redis-moi si tu mérites cette punition.
J'acquiesçai à nouveau. Il me prit en fait en levrette, par la chatte, en me masturbant le clitoris. J'eus à nouveau du plaisir. Il utilisait ma mouille pour lubrifier mon cul qu'il prépara à l'élargissement avec ses doigts.
Ces caresses m'excitaient et me donnaient du plaisir. J'étais au bord de l'orgasme lorsqu'il se décida à changer d'orifice.
Il me pénétra avec une grande douceur, en lubrifiant autant qu'il pouvait. Je ressentis un peu de douleur mais aussi une grande satisfaction d'être ainsi emplie (plus tard, la fois où j'ai accordé cette faveur à mon mari, je lui ai raconté l'avoir été trois fois, une fois douloureuse et deux fois agréables; je lui ai demandé d'être agréable, mais il ne sut pas y faire).
Une fois bien pénétrée et bien lubrifiée, ses doigts de la main gauche allèrent sur mon point G pendant que ceux de la main droite caressaient mon clitoris. Je mouillais comme une folle, et il prenait régulièrement ma mouille pour lubrifier encore son engin qui maintenant allait et venait dans mon cul.
Pour la première fois de ma vie, je jouissais du cul, et pas que du cul, en fait. Je pense que la pénétration anale ajoute une sensation, mais que le vagin et le clitoris doivent être sollicités pour qu'il y ait jouissance. En tout cas, je pus aller jusqu'à un violent orgasme. Avant que je n'éclate, ce beau salaud m'avait dit :
– Jouis et pense à David qui n'a jamais été assez doué pour ça !
Après mon orgasme, il se retira, sans avoir joui, me détacha, me retira bandeau et bâillon, me cajola, me caressa, me demanda si j'avais eu mal – je répondis que non –, si j'avais eu du plaisir – je répondis beaucoup.
Il ajouta que ma dette n'était pas encore payée, ce qui me fit froid dans le dos. Il me câlina encore un bon moment et nous nous endormîmes ainsi. Il était près de quatre heures trente, je crois.
Je me réveillai la première vers dix heures trente. J'avais un peu mal à la tête mais je fis le point pendant qu'il dormait encore comme un bébé sage. Il y avait un bon côté. Je m'étais « lâchée », pour mon plus grand plaisir, dans une soumission sexuelle dont je n'imaginais pas, ayant été élevée dans une ambiance féministe, qu'elle pouvait procurer autant de plaisir.
Je ressentais une certaine douleur à l'anus, qui me rappelait toutefois que j'avais pris pour la première fois mon pied par-là. Autre point, je n'étais pas tombée sur un sadique, une chance...
Il y avait aussi le mauvais côté : je l'avais vu tel qu'il était. Difficile de voir des sentiments amoureux dans son attitude, seule la recherche du plaisir sexuel le guidait. Je ne pouvais surtout pas m'empêcher de penser que j'avais dépassé le point de non-retour: j'étais devenu son jouet sexuel.
Il avait employé l'expression lorsqu'il m'avait « baisée par la bouche », volontairement car je l'avais utilisé la première dans les débuts de notre relation en affirmant « Je ne suis pas un jouet sexuel » – c'était plutôt raté. Il y avait eu aussi des humiliations, des larmes qu'il n'avait guère cherché à consoler.
Il se réveilla, et comme il fallait rendre la chambre, nous n'eûmes que le temps de nous laver (c'est surtout moi qui dus me battre pour décoller le sperme de mes cheveux et la résille collée de sperme de ma peau). Nous rentrâmes «à la maison» (de grand-mère) vers seize heures et il me dit simplement « À demain ». Je n'étais pas fâchée d'avoir toute la nuit pour récupérer.
À ma grande surprise, il revint le jeudi en ayant un comportement normal. Aucune allusion à une quelconque soumission sexuelle. Il me suça, me pénétra, me fit jouir tellement fort que je dus mettre mon oreiller sur ma tête pour étouffer mes cris, puis éjacula en moi.
Comme il l'avait toujours exigé – en se vexant la première fois où j'étais allée aux toilettes –, je conservai son sperme toute la nuit. En fait il finissait par me couler sur les cuisses ou le drap dans la nuit. Après un petit repos, j'eus droit à une deuxième séance et nous nous endormîmes vers minuit.
Il revint comme d'habitude le lundi suivant et tous les autres jours de la semaine. Il ne me demanda aucune fellation, aucune sodomie, rien de particulier même si sa façon de faire l'amour était déjà très dominatrice, privilégiant les positions par derrière, me tenant par une main au moins, l'autre caressant les zones sensibles, «défonce » de forcené..
Ce n'est que le jeudi qu'il me demanda de réserver le week-end en huit pour lui.
– Si je compte bien, ta fille sera chez David, tu seras parfaitement libre.
J'en étais très surprise, en sept semaines, je ne l'avais jamais vu entre le vendredi matin et le lundi soir. Après m'avoir fait l'amour, il me dévoila son « plan » : une nuit avec lui et un de ses amis ! Ma réponse fusa :
– Salaud, compte pas sur moi pour ta sale partouze !
Au lieu de se démonter, il répliqua :
– Moi, un salaud ? Je t'ai trompée ? Salope !
Évidemment, j'étais mal à l'aise pour répondre et il ne m'en laissa pas le temps. Il m'expliqua que ni son copain ni lui n'étaient des sadiques (j'avais pu le constater), que c'était son fantasme et peut-être un moyen de « payer ma dette ». Il ajouta que si je préférais, on pouvait le faire avec David.
– Ça m'exciterait de lui montrer que tu jouis mieux avec moi ! Avec la honte qu'il se taperait, il n'oserait plus te proposer la bagatelle, ajouta-t-il.
J'étais sciée. Je me rendais bien compte que « Monsieur » n'aimait pas qu'on lui refuse quelque chose, il était assez charmeur pour obtenir ce qu'il voulait. Depuis le début, je n'arrêtais pas de me dire que j'allais refuser pour finalement me laisser faire. Il s'en rendait parfaitement compte, ainsi que du fait que j'étais folle de lui.
– Tu y prendras autant de plaisir que nous.
Difficile de rester dans le rejet catégorique. J'essayai pourtant mais sa réponse fut cinglante :
– Dans ce cas, je te laisse t'éclater tout le week-end avec ton ex, si sa grosse pute (c'est comme ça que j'appelais sa nouvelle, que je trouvais assez boudin) te le permet.
J'ai essayé de négocier, lui déclarant que je n'aimais que lui et ne voulais pas d'un autre. Il me moucha en me rappelant que je l'avais pourtant fait cocu, et j'eus l'air très bête. Je lui demandai alors s'il avait déjà fait ce genre d'expérience.
Pour la première fois, il me raconta partiellement sa vie sexuelle. Il avait déjà plusieurs fois pris une femme à deux, notamment une femme de la haute, de quarante-cinq balais, avec son mec – un baron ! –, et une fois il avait participé à une partouze. Il n'aimait que les trios, pas les partouzes :
– Il y a toujours des tarés, et puis une femme peut satisfaire plusieurs hommes alors que le contraire est plus difficile.
Je lui demandai d'y réfléchir tous les deux et d'attendre encore un peu. C'était trop demander !
– Une femme soumise obéit ou bien elle n'est plus soumise, or c'est ça que je veux.
C'était on ne peut plus clair, je devais dire oui ou me faire plaquer! En dix jours, il s'était comporté normalement, me confortant dans mes sentiments amoureux pour lui, pour mieux me rappeler que j'avais effectivement franchi le point de non-retour.
Avec lui, j'étais une femme soumise et obéissante ou je n'étais plus avec lui ! Il ne me laissa pas lui répondre et me refit l'amour. Au moment où j'allais décoller, il me dit :
– Alors, c'est oui ?
Je trouvai la force de dire non et ce salaud se retira en disant :
– Alors passe-toi de plaisir.
Je fondis en larmes et le suppliai de recommencer en lui promettant de faire tout ce qu'il me dirait.
– Même mon plan à trois ?
Il s'était retiré pile au moment le plus frustrant, alors je n'ai même pas cherché à réfléchir, j'ai dit oui... et il me fit jouir avec ses mains aussitôt, mais me refusa son sexe en guise de « punition ».
Bref, j'avais cédé, une fois encore. Je suis une faible.
La semaine s'écoula sans fracas. Il vint lundi, me baisa, mardi sans me baiser – première nuit sans sexe avec lui, qu'il expliqua par la nécessité de me mettre en manque pour le vendredi.
Il ne vint effectivement ni mercredi ni jeudi, où il appela pour me demander à quelle heure il pouvait passer me prendre. Ma guêpière étant restée tachée au niveau des seins et ma petite culotte aussi, il m'avait offert le mardi des bas à motifs « Tulle », une culotte et un porte-jarretelles en dentelles, le tout blanc immaculé.
Il m'avait dit de me trouver un soutien-gorge assorti, parce que c'était un truc qu'il ne pouvait acheter à ma place mais j'avais ce qu'il fallait. J'étais gênée de mettre de tels atours de mariée vierge. Il y a longtemps que je ne pouvais plus porter du blanc virginal !
Pour moi, la semaine fut toutefois une semaine d'inquiétude: n'étais-je pas allée trop loin ? Je craignais qu'il n'ait de la suite dans les idées au sujet de David. C'eut été la honte de ma vie qu'il aille lui proposer ça, et il en était capable.
David aurait immédiatement accepté, ce salaud, vu qu'il m'avait proposé une fois de faire ça avec une de ses maîtresses. Je pensais à la honte de ma grand-mère si elle apprenait tout ça, et j'avais honte également.
Je me rendais compte qu'il avait suffi à ce salaud de me «rendre heureuse au lit», comme il disait, pour que je néglige ma fille, ma grand-mère, toutes mes convictions, mon éducation... Pour me laisser complètement faire. Je me doutais que m'envoyer en l'air avec deux types, ça dépassait les bornes.
Et ça les dépassa hélas largement.
Vendredi, après avoir confié ma fille à David qui en profita pour me glisser des bisous dans le cou et me peloter comme si j'étais encore à lui, je me lavai, me maquillai, me parfumai et m'habillai : dessous blancs, jupe mi-longue fendue assez haut qui laissait entrevoir certaines choses lorsque je marchais, chemisier et gilet en coton, le tout très sexy.
Michel vint me chercher vers vingt heures. Il y eut pas mal de circulation et nous ne trouvâmes place dans un parking du seizième que vers vingt et une heures quarante-cinq. À vingt-deux heures, on sonnait à la porte d'un appartement bourgeois du côté d'Auteuil.
Un homme d'un trentaine d'années, pas vraiment beau mais bien bâti, nous accueillit. Il s'appelait Philippe. J'avais très faim et pas du tout envie de sexe, malgré quatre jours d'abstinence. Michel m'avait tout juste embrassée.
Dans la pièce principale, il y avait un buffet de traiteur avec du saumon fumé, du caviar, du foie gras... et nous bûmes du champagne. Cela me grisa assez vite: je ne tiens pas du tout l'alcool et Michel me forçait un peu.
Je n'avais jamais mangé de caviar et ils me racontèrent que c'était le plus puissant des aphrodisiaques. Avec mon mari qui est très riche, j'ai refait l'expérience, cela me paraît faux.
Par contre, le champagne me tourna la tête et ils se mirent à me peloter sans ménagement. J'essayai de les empêcher. J'aurais encore pu échapper à leur étreinte, du moins le croyais-je, mais Michel me fit rapidement comprendre que je devais me laisser faire.
Je me dis qu'après tout, autant y passer, cela serait peut-être aussi agréable que la nuit de soumission à Cabourg. Philippe passa sa main sous ma jupe, par la fente. Il était vert d'excitation.
Michel déclara que j'étais la reine du strip-tease, ce que Philippe demanda à vérifier. Je m'exécutai avec la même grâce qu'à Cabourg : je commençai par enlever mon gilet, puis mon chemisier, en leur tournant d'abord le dos pour le laisser descendre sur mes épaules, je me retournai alors pour qu'ils puissent admirer mon buste et défis la fermeture de côté de ma jupe.
Je me retournai à nouveau le temps de faire descendre lentement ma jupe le long de mes cuisses en me penchant en avant pour qu'ils se régalent du spectacle de mon cul et de mon entrecuisse.
Ma jupe arrivée au bas de mes pieds, je l'envoyai plus loin. Je me retournai alors et constatai que j'avais encore réussi mon affaire. Je demandai alors à Michel si je devais retirer ma petite culotte et il me répondit d'enlever mon soutien-gorge, ce que je fis
Ils se déshabillèrent alors et Michel me fit asseoir sur le canapé. Philippe et lui avaient des sexes de tailles à peu près égales. J'avais toujours été à peu près incapable de comparer les sexes de mes amants différents, et pour la première fois je constatais sur un exemple que la plupart des mecs avaient des sexes à peu près identiques.
Quand j'entends parler de petit sexe ou de gros sexe, je suis dubitative, j'en ai pourtant vus pas mal, vingt-deux précisément, car je me souviens exactement de tous les hommes avec qui j'ai eu des relations sexuelles
Ils s'agenouillèrent chacun d'un côté. Philippe me caressa le clitoris sous la petit culotte alors que Michel passait sa main sous ma cuisse pour entrer dans mon sexe avec son pouce.
Ils avaient pris chacun une de mes mains pour que je les branle, et leurs mains libres flattaient mes seins. Je les regardai à tour de rôle. Leurs regards étaient inquiétants et j'étais partagée entre l'excitation et la peur, un peu comme à Cabourg.
Je commençai à être bien excitée quand ils m'annoncèrent une décharge imminente. Ils s'approchèrent de moi et m'éjaculèrent à tour de rôle sur les seins en m'ordonnant de diriger leurs jets.
Après cet apéritif sexuel, ils m'emmenèrent dans l'une des chambres à coucher où un grand lit nous attendait. Ils me firent allonger et Philippe se plaça entre mes cuisses pour me sucer.
Excitée comme je l'étais, cela me fit un peu d'effet, mais il n'avait pas le savoir-faire de Michel. Je mouillai toutefois assez pour être pénétrée, mais leurs deux sexes venaient de se vider et je dus patienter un peu trop longtemps à mon goût.
Philippe reprit de la vigueur le premier et m'ordonna de me mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette. Je lui répondis qu'il n'était pas mon mec et que je n'avais pas à lui obéir.
– Moi je te le dis, et tu le fais, rétorqua Michel, qui ajouta que désormais, je lui obéirais comme à lui-même.
Michel m'empoigna pour me mettre à quatre pattes en précisant que j'allais me «faire mettre, et à chaque extrémité, en plus . C'est ce qui arriva, car Michel se plaça devant moi pour me «baiser par la bouche».
Pendant qu'ils me «baisaient par en bas et en haut», Michel signala à Philippe que je jouirais mieux s'il me branlait le clitoris, ce qu'il se mit à faire. S'il n'était pas doué pour le cunnilingus, il me pilonnait suffisamment vigoureusement et me masturbait assez adroitement pour que je me mette à gémir.
– Ah ! la belle salope, elle aime ça, dit ce sale type, pour s'exciter encore plus.
Michel ne le contredit pas, il s'en donnait à cœur joie dans ma bouche au risque de me faire tirer au cœur. Je me mis à jouir vraiment et le sexe de mon homme dans ma bouche ajoutait à mon excitation.
Ils décidèrent alors d'échanger les rôles en se retirant et en me faisant littéralement pivoter comme un aiguillage. Je n'eus bien évidemment pas mon mot à dire, mais j'avoue que j'étais totalement consentante, car je préférais me faire prendre par Michel dont je savais qu'il allait transformer ma jouissance en orgasme forcené.
Cela ne traîna pas: son savoir-faire sexuel dépassait de très loin celui de son copain et je « décollai » rapidement avec une intensité terrible. Cela décupla mon ardeur « fellatrice » car Philippe, beaucoup plus fainéant, me laissait le sucer au lieu de me « baiser par la bouche ».
Je lui prodiguai donc une pipe magistrale comme je crois n'en avoir jamais fait de pareille, étant donné tout le temps qu'elle dura, dans un état d'orgasme aussi prolongé qu'intense. J'avoue que jamais une pipe ne m'avait fait autant d'effet !
Philippe éjacula dans ma bouche en m'ordonnant d'avaler, ce que je fis pour une fois sans difficulté, tellement j'étais en extase.
– La chaude ! J'en ai jamais eu une pareille ! s'exclama-t-il après avoir lâché son sperme en hurlant de plaisir.
Il était ressorti de ma bouche et Michel en profita pour me redresser à genoux et me prendre dans cette position qui m'avait tellement fait d'effet à Cabourg, juste avant la punition.
La bouche libérée du sexe de son copain, je pus crier à loisir le plaisir qu'il me donnait par le vagin et le clitoris, et par l'anus qu'il caressait en le lubrifiant de ma mouille. Je criai tellement fort que Philippe, qui s'était affalé sur un coin du lit, mit ses mains sur les oreilles pour ne plus m'entendre.
Michel se retira et se planta debout devant moi. Je le regardai un instant et le vis dans un état d'excitation qui lui provoquait un rictus terrible. Il me dit :
– Suce, salope, et avale.
Et je dus m'exécuter, encore toute tremblante de l'orgasme dont je sortais à peine. Il me déchargea je ne sais combien de giclées, que j'eus le plus grand mal à avaler tant son sperme était abondant et les giclées rapprochées.
Il me maintint la tête sur son sexe pendant de longues minutes, et avait déjà bien débandé lorsqu'il me libéra la bouche. J'étais écœurée et très mal à l'aise, partagée entre la satisfaction des plaisirs interdits mais intenses que je venais de vivre, et un sentiment de dégoût de moi-même, ainsi livrée à la perversité de deux types, dont l'un me rendait folle alors qu'il n'éprouvait manifestement aucun sentiment pour moi.
J'avais envie de fondre en larmes mais il ne me laissa pas le temps de m'appesantir sur mon compte en me couchant, la tête près de Philippe, les cuisses écartées pour un nouveau cunnilingus, qui m'enleva rapidement toutes mes idées noires.
Philippe en profita rapidement pour placer son sexe, gluant et mou, sur mon visage puis sur ma bouche. Il ne fut pas long à bander et eut alors l'idée de vouloir une branlette espagnole. Avec la meilleure volonté du monde, je n'aurais pu le satisfaire, mes seins étaient désespérément trop petits !
Michel durcit à nouveau et se coucha sur le dos en me demandant de m'empaler sur lui. J'aimais beaucoup (et j'aime toujours beaucoup) cette position où c'est moi qui domine et j'étais heureuse de venir sur lui. Je m'affairai à aller et venir sur son sexe.
L'une de ses mains caressait mon clitoris et je commençai à prendre sérieusement du plaisir lorsque Philippe se mit à me caresser l'anus. Je sentis très bien que ses doigts étaient enduits de quelque chose. Je compris qu'il utilisait un lubrifiant spécial pour me préparer. Michel me prévint :
– On va te prendre en sandwich, tu vas voir, pour une femme c'est le bonheur suprême.
Telle était bien sa conception de la femme: son bonheur ne pouvait être que dans l'orgasme et il m'en promettait un à tout casser. Philippe me caressait assez mal et je demandai à «mon homme» de me préparer lui-même.
Tout en continuant d'une main sur mon clitoris, il me massa d'abord la «rosette», puis l'un de ses doigts se fit plus insistant. Philippe lui remettait du gel sur le doigt chaque fois qu'il le ressortait de mon cul. Il y mit ensuite deux doigts qui tournaient dans l'anus comme pour le dilater. Je finis par réclamer :
– Allez-y, j'en ai envie...............
Michel prévint Philippe d'y aller en douceur.
– On n'est pas là pour lui faire mal mais pour qu'elle y prenne goût.
À ma grande surprise, Philippe sut rentrer en douceur et se mit à me limer tout doucement puis plus fermement. Ils s'activèrent alors à deux, en cadence. Leurs sexes étaient comme des tenailles qui se serraient et s'écartaient.
Je jouis d'une manière très différente mais très forte. Je me déchaînai sans retenue, je voulais qu'ils y aillent à fond, et c'est ce qu'ils firent. Philippe était affalé sur moi et je passais en hurlant d'une bouche à l'autre, leur roulant à tour de rôle des pelles endiablées.
Philippe finit par m'éjaculer dans le cul et se retira, me laissant comme un grand vide que Michel combla en me sodomisant à son tour. Je sentis mon cul refouler non seulement son sperme mais autre chose et pourtant je la voulais, cette sodomie.
Michel s'en donna à cœur joie à son tour dans mon anus tout en me doigtant le point G, comme à Cabourg. Je hurlai de plaisir quand il éjacula à son tour.
Lorsque je fus apaisée, je m'aperçus que j'avais souillé tout le drap, mes bas et tout mon bas-ventre. Michel me dit d'aller me laver et me tendit une serviette. Tout ce que je portais était irrécupérable et j'avais terriblement mal au cul.
Ils vinrent également se doucher puis retournèrent dans la chambre. Après ma douche, je pris un bain chaud dans une baignoire gigantesque pour m'apaiser et faillis m'endormir dedans.
Ils m'y laissèrent un bon moment avant de venir me rejoindre dans la salle de bains. Ils bandaient tous les deux et entrèrent dans l'eau. Je protestai :
– J'ai très mal, laissez-moi s'il vous plaît.
Michel me donna un médicament, me disant que c'était ce qu'il fallait prendre après une sodomie aussi violente pour que ça passe. Puis ils se placèrent, Philippe devant moi, Michel derrière moi.
J'étais sûre qu'ils allaient me reprendre en sandwich mais leur intention était différente: ils pénétrèrent à deux dans mon vagin! Je croyais la chose impossible et ils eurent beaucoup de mal à y parvenir.
De plus la position n'autorisait guère de mouvement et cela s'avéra finalement plus désagréable que jouissif. J'avais le sentiment d'être déchirée. Quand on entend parler d'hommes avec de très grosses bites, ce que je n'ai personnellement jamais vu, je dois dire que je n'ai aucune envie d'essayer. C'est surtout à l'entrée du sexe que j'avais mal, car malgré la difficulté, ils tenaient à rentrer «en entier».
Michel abandonna et s'en alla se coucher dans une deuxième chambre, précisant à son copain :
– Elle est à toi pour la nuit, mais pas de trucs qui font mal et plus de sodomie. Par contre, puisque tu adores ça, n'hésite pas à te faire sucer.
Il parlait de moi comme d'une marchandise et ne crut même pas nécessaire de me dire quoi que ce soit en partant, se contentant de me rouler une pelle en ajoutant :
– Jouis bien.
Philippe m'a retournée pour me prendre dans la même position que Michel. Il avait bien retenu la leçon et me caressait simultanément le clitoris, mais dans l'eau, le contact était moins agréable.
J'ai quand même joui et il m'a embrassée avec la langue pendant tout le temps du coït. Au début, ça me gênait de me laisser embrasser comme ça par un autre homme que Michel mais après je me suis laissée aller.
Il avait déjà suffisamment éjaculé et n'a pas pu finir. On est sorti du bain et il m'a essuyé lui-même en me câlinant.
J'avais besoin de tendresse et je me donnai à lui sans retenue, l'embrassant sur la bouche avec ardeur. Après, je l'essuyai. Lorsque je me suis baissée pour essuyer ses jambes, j'ai pris son sexe dans la bouche pour le remercier de ses câlins.
J'en avais assez, j'avais mal aux muscles des joues tellement ils m'avaient possédée par là, mais j'ai dû quand même garder son sexe un bon moment.
Ensuite, nous sommes retournés dans la chambre où ils avaient changé le drap et il m'a prise dans la position de la bête à deux dos, en exigeant que je le regarde bien dans les yeux.
Il s'activait drôlement et même si cela ne me faisait pas trop d'effet, ça m'essoufflait et je haletais. Il en conclut que j'aimais ça et me fit ses commentaires :
– T'aimes ça, hein ! Michel m'avait prévenu que t'étais une vraie salope. Dis-moi que t'aimes ça...
J'ai dû lui dire tout ce qu'il attendait et il me roulait pelle sur pelle. Il a fini par se fatiguer sans avoir éjaculé, et nous nous sommes endormis vers les trois heures du matin.
Le lendemain matin, Michel vint me chercher dans la chambre vers huit heures. Philippe en écrasait et n'avait plus l'air décidé à consommer à nouveau, tant mieux.
Nous déjeunâmes tous les deux et il me demanda de me rhabiller sans culotte et de l'attendre en bas de l'immeuble. Il revint quelques minutes plus tard et m'emmena au parking. Après avoir ouvert les portes de la voiture, il me fit monter à l'arrière en me déclarant :
– Maintenant, je vais te reprendre en main. Chaque fois qu'un autre te baisera, tu y passeras.
Dans la voiture, il me mit à quatre pattes, releva ma jupe et me pénétra. Il me fit jouir ainsi en levrette en me défonçant comme un forcené. Il exigea que je commente le plaisir que j'avais pris avec Philippe, que je lui dise si j'avais joui autant qu'avec lui, autant qu'avec David.
Cela l'obsédait complètement. Après mon orgasme, il se plaça devant moi et me baisa par la bouche. Lorsqu'il fut sur le point d'éjaculer, il m'ordonna :
– Avale tout, ma salope soumise qui vient de s'envoyer toute la nuit en l'air avec un autre.
Je dus m'exécuter pour la troisième fois – et la dernière de ma vie– et le sucer après son orgasme pendant encore quelques minutes.
Nous reprîmes nos places dans la voiture où il m'embrassa et me remercia :
– Merci pour cette nuit, j'adore ça et tu es le meilleur coup que j'ai jamais connu. J'espère qu'on va continuer longtemps ensemble tous les deux.
Je ne savais pas trop quoi répondre. Nous sommes allés ensuite dans le centre de Paris et avons flâné. À un moment, il m'a enserrée et j'ai senti une grosse bosse dans son blouson, à l'endroit du cœur. Quelque temps plus tard, nous sommes entrés dans une bijouterie, parce que j'avais vu une montre à la devanture qui me plaisait.
– Je peux bien t'offrir ça.
La montre valait quand même deux mille francs, et il sortit de sa poche intérieure une liasse de billets comme je n'en avais jamais vue.
Sortant du magasin, j'étais inquiète de tout cet argent. Je flairai du louche et je lui fis la remarque :
– Quand je t'ai embrassé hier, je n'ai pas senti tout cet argent dans ta poche, tu le sors d'où ?
Sa réponse m'assassina :
– C'est toi qui l'a gagné cette nuit !
Je suis tombée dans les pommes.
Quand je suis revenue à moi, plein de gens m'entouraient et le SAMU est venu m'emporter. Je suis restée huit jours à l'hôpital en dépression. Je ne mangeais plus.
J'ai tout raconté à ma grand-mère. Enfin, je lui ai raconté qu'il m'avait obligée à me prostituer, mais pas les détails sexuels. Il est venu me voir une fois, mais grâce à ma grand-mère j'ai eu la force de le traiter de salaud et les infirmières sont venues le faire sortir.
Ma grand-mère voulait que je porte plainte, moi pas. Après quelques semaines, il a fallu de plus que je me rende à l'évidence : peu soucieuse de ma pilule, j'étais tombée enceinte. J'ai dû me faire avorter.
Je ne les ai plus jamais revus, ni l'un ni l'autre. J'ai mis deux ans avant d'accepter qu'un homme me touche à nouveau. Cet homme, c'était enfin le bon, mon mari, qui est tout sauf un salaud.

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L'été des rediff... Severine

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CEDRIC
Cela faisait six ans que je vivais avec Séverine.
Cette jeune femme blonde de vingt cinq ans aux cheveux longs, au regard de braise, à la taille fine, possédait une élégante poitrine mise savamment en valeur par de jolis décolletés, des tenues sexy mais jamais vulgaires, et une démarche à faire se retourner dans la rue un nombre considérable d’hommes.
J’avais d’ailleurs à mainte reprise constatée l’effet qu’elle produisait sur eux, et même sur certaines femmes, qui imaginaient probablement à quel point ce serait agréable de partager sa couche. Je m’estimais donc être un sacré veinard d’avoir cette femme à mes côtés.
Au niveau de la couche justement, cela faisait un certain temps que nous vivions dans la routine. Sans aller jusqu’au seul câlin du samedi soir, nous faisions l’amour entre cinq et dix fois par mois, et cela se résumait à peu près toujours à des préliminaires relativement courts, suivis de pénétrations classiques.
Séverine n’aimait pas la sodomie, qu’elle avait essayée avec son ancien petit ami mais jamais avec moi, ayant décrété que cela ne lui plaisait pas. Elle se révélait plutôt réservée sur la fellation, ne me faisant ce plaisir que rarement, bien que pour ma part je pratiquais sur elle de longs cunnilingus.
Je me satisfaisais de cette situation, mais depuis quelques temps j’écumais Internet la nuit, pendant le sommeil de ma douce, et collectionnais des images pornographiques sur mon ordinateur portable pour me masturber.
J’avais des sites favoris, sur lesquels j’allais régulièrement, et je dérivais de plus en plus fréquemment vers des sites de Domination/soumission et des sites de cocus, à la recherche de belles images ainsi que de bons récits.
De plus en plus souvent, je m’imaginais soumis à une femme, à ses moindres désirs, je devenais son objet…
Je ne fantasmais pas sur l’idée que Séverine puisse devenir cette femme, je m’imaginais plutôt avec une femme brune, dure, m’humiliant par divers moyens, et me cocufiant régulièrement...
Je sauvegardais les images et textes dans un répertoire de mon portable, dont j’étais le seul utilisateur, Séverine disposant de son propre ordinateur portable bien que ne comprenant pas grand-chose à l’informatique.
Il va de soi que j’avais déjà essayé par le passé de faire entrer Séverine dans la peau de ce genre de personnage au cours de nos jeux sexuels, mais sans réussir. Elle se plaisait plutôt à jouer elle-même la soumise, et encore, en de rares occasions quand son humeur s’y prêtait.
Je fis de nouvelles tentatives en ce sens, qui se soldèrent évidemment par des échecs. Je ne voulais pas non plus être trop entreprenant, de peur qu’elle me considère comme un sordide pervers ou comme un sous-homme, surtout que j’aimais quand même également la dominer quand elle jouait la soumise.
Mon travail me prenait du temps, je rentrais généralement vers vingt heures, tandis que Séverine travaillait à temps partiel et disposait de plusieurs après-midi dans la semaine. Elle en profitait pour voir ses amies, et notamment Nathalie, une voisine âgée de quarante cinq ans disposant d’un certain charme.
Aussi ne fus-je pas étonné quand un soir, rentrant du boulot, je trouvais chez nous une Nathalie hilare, qui s’empressa de s’en aller dès que j’arrivais, sur un «allez, je vous laisse, vous avez des choses à vous dire » énigmatique …
Quand je questionnais Séverine à ce sujet, elle éluda la question, et servit le dîner. Je la sentais tendue, hésitante, très pensive… Et très attirante, dans son petit top décolleté crème et sa belle jupe jaune mi-longue.
Après le dîner, elle s’offrit même un digestif, ce qui me fit définitivement penser qu’il se tramait quelque chose. Je décidais de la laisser y venir, ce qu’elle fit deux minutes après s’être servi un deuxième verre.
- Mon ordinateur est en panne, Cédric … J’ai dû me servir du tien avec Nathalie pour aller sur Internet, nous avons commandé des fringues…
Je respirais… Elle avait encore mauvaise conscience d’avoir dépensé des fortunes en vêtements, rien de bien alarmant…
- Bien ma chérie, à combien s’élève la note ? répondis-je.
- Elle est beaucoup plus élevée que tu crois, mon cher Cédric… Tu sais, Nathalie me disait que tous les hommes qui ont un ordinateur ont du porno dessus, sans exceptions … Nous rigolions bien, et elle qui s’y connaît en ordinateurs a cherché sur le tien, comme ça, pour rire…
- Ah … Euh…
Je changeais probablement de couleur à ce moment précis tandis qu’elle reprenait en changeant de ton :
- Je comprends que tu sois mal à l’aise, avec toutes les cochonneries que nous avons trouvées!
- Oh écoute, Séverine …
- NON !
me coupa-t-elle, l’air énervée...
- Je peux te dire que je ne te vois plus du même œil, espèce de petit pervers, je sais vers quoi vont tes fantasmes maintenant, tu es un gros dégueulasse ... Je croyais que tu jouais et que c’était sans importance quand tu voulais que l’on joue à ça, mais tu aimes vraiment ça, être le larbin d’une femme …
- Ecoute Séverine, ce ne sont que des images et des textes comme ça, sans importance, téléchargés un soir où je m’ennuyais…
- C’est ça, prend-moi pour une conne, nous avons vérifié les dates des fichiers, ça dure depuis des mois !
Là-dessus, j’essayais de baragouiner des excuses et des explications, sans succès, à une Séverine très énervée contre moi…
- Puisque tu aimes être un larbin, fais donc la vaisselle, et après tu viendras me faire un massage pour me détendre, je suis très énervée contre toi, Cédric !
Autant vous dire que je ne fis pas mon malin, et que je m’exécutais prestement. Lorsque j’eu fini la vaisselle et nettoyé la table, je me dirigeais vers la chambre, dans laquelle avait migré Séverine, et la trouvais totalement nue, allongée sur le ventre. Je m’installais immédiatement en me plaçant sur elle pour lui faire un massage, mais elle ne le vit pas de cet œil :
- Non, pas comme ça, je ne veux pas sentir ta queue de pervers dans mon dos, tu te mets à côté de moi et tu masses, et sans insister sur mes fesses comme tu le fais d’habitude !
Aussi me mis-je à côté d’elle, penaud, reprenant le massage, d’une façon très professionnelle … Je dois bien dire que cette façon de me traiter commençait à me faire de l’effet, et que je bandais fort.
Je passais un quart d’heures à la masser, puis tentait une approche au niveau de ses fesses…
- Non mais tu délires ! Tu ne crois quand même pas que je vais te laisser me toucher après ce que je viens de découvrir ! Quoi que…
Elle se retourna, révélant sa splendide poitrine (95B), écartant impudiquement les jambes…
- Allez, mets-toi au pied du lit, et lèche-moi, c’est tout ce que tu auras, autant te dire que si tu veux gicler tu le feras avec ta main, en me léchant !
Cette vulgarité de sa part m’excitait… Je m’installais au pied du lit, sur les genoux, et commençait à la lécher doucement … Je la sentais très excitée, trempée, et commençait à me régaler de ses jus…
Je saisissais ma queue dans ma main, et commençais à me masturber tandis que ma langue l’explorait …
- Et tu n’as pas intérêt à cracher ton foutre avant que je ne jouisse, pervers !
A ces mots je la léchais plus rapidement, très excité, me masturbant de plus belle. Pendant un bon quart d’heures je jouais de ma langue et de mes lèvres sur les siennes, avant de l’entendre enfin exploser et jouir en silence, serrant ses jambes autour de ma tête au moment de son orgasme…
Je jouis immédiatement moi aussi, très content de l’orgasme que je venais de lui procurer.
- Bien, maintenant je vais dormir… Mais je t’en veux encore, Cédric, ça ne se passera pas comme ça, attend-toi à ce que je te mène la vie dure, je n’ai pas digéré les images que j’ai vu aujourd’hui !
- Oui Séverine… Bonne nuit, je t’aime…
Elle ne me répondit pas, et je sombrais moi aussi dans le sommeil après avoir nettoyé ma semence sur le tapis.
Les jours suivants je fus très pris par mon travail, rentrant très tard, trop tard pour voir ou discuter avec Séverine qui était déjà couchée lorsque je rentrais. Enfin, le week-end arriva, et le samedi se déroula dans une ambiance normale, me donnant l’impression que Séverine avait tout oublié, ou qu’elle me pardonnait.
Le samedi soir, de retour à la maison après une sortie au restaurant et un cinéma, je tentais de la prendre dans mes bras pour un câlin, mais elle me repoussa :
- Tu crois que j’ai oublié à qui j’ai à faire ? Ce n’est plus à toi de décider de quoi que ce soit concernant les câlins, mais à moi. Je décide, et dorénavant tu m’obéiras pour me satisfaire en priorité. Et ne te branle pas en douce, ça non plus je ne le tolèrerais plus.
- Oui Séverine …
me contentais-je de répliquer, n’osant pas discuter devant son air sévère qui je dois bien l’avouer m’excitait plutôt…
Nous nous sommes donc couchés ainsi, Séverine avec son air satisfait, moi avec une énorme érection que je n’avais pas le droit de calmer.
Le lendemain, Séverine passa la plupart de sa journée chez Nathalie, revenant tard et de très bonne humeur.
- Tu sais, Cédric, Nathalie a beaucoup ri quand je lui ai raconté ton air surpris et soumis de l’autre soir … Elle m’a décidé à vraiment te prendre en charge, et m’a donné plein de conseils amusants… Dis-moi, tu voudrais me baiser maintenant ?
A nouveau, cette vulgarité inhabituelle dans sa bouche m’excitait … Mais il fallait que je clarifie les choses…
- Oh oui Séverine, mais tu sais, ce n’étaient que des fantasmes, tout ce que tu as vu… Je ne veux pas te perdre ou que notre vie change, je t’en prie…
- Ca mon grand il fallait y penser avant… Tu ne me perdras pas, mais notre vie va changer. Pour tout le monde nous continuerons à être un couple normal, mais maintenant je crois que j’ai envie de me servir de toi comme soumis, du moins sexuellement …
- D’accord Séverine.
- Je ne te demandais pas ton accord de toute façon… Alors, reprit-elle en souriant, tu as envie de me baiser ?
- Oui Séverine…
- Eh bien je suis d’humeur à recevoir ta queue, mais… avant ça, dit-elle en se retournant et en cherchant dans un tiroir, tu vas être une gentille petite salope et mettre ce string …
Je vis alors qu’elle me tendait un string qu’elle venait de prendre dans son tiroir, j’étais très surpris et je ne savais plus quoi faire … Je n’aurai jamais imaginé que Séverine puisse être aussi perverse… Et ce n’était que le début… Je devins probablement cramoisi, mais je prenais le string, me déshabillait, et l’enfilai.
J’avais déjà porté de la lingerie féminine par le passé, seul un soir, appréciant le contact de ces sous-vêtements fins et excitants, la sensation ne m’était pas inconnue.
- Hmmm quelle belle petite salope tu fais, Cédric … Je suis persuadée que tu serais encore mieux avec ceci… tiens… » dit-elle en me tendant… une paire de bas auto fixant que je m’empressais de mettre, avec néanmoins quelques difficultés qui la firent rire à gorge déployée…
- Il va falloir que tu t’habitues, ma salope…
- Oui Séverine …
La situation m’excitait malgré moi, j’étais presque nu, portant un string de femme noir et des bas noirs, et je bandais tellement que ma queue dépassait du string tandis que Séverine retirait ses vêtements et restait debout.
- Allez ma salope, à quatre pattes, viens lécher ta Maîtresse…
Je m’exécutais aussitôt, venant me placer aux pieds de Séverine et commençant à lui embrasser les jambes, pour m’approcher de son sexe que je sentis immédiatement trempé…
Je la léchais ainsi, elle soulevant une jambe qu’elle posa sur le lit pour que je puisse mieux la déguster, pendant quelques minutes délicieuses où elle se mit à haleter bruyamment… Puis elle se tourna, restant toujours debout :
- Allez, bouffe-moi le cul maintenant, je sais que tu aimes ça, lécher un bon trou de balle…
Je ne répliquais rien, j’étais très excité, je m’appliquais à bien lui lécher l’anus, que je savais être très propre (Séverine était capable de tout mais certainement pas d’être négligée sur son hygiène) et j’y prenais du plaisir.
Moins qu’elle qui gémissait, en murmurant des « ooooh oui » ou des « hmmm quelle petite salope » ou encore des « hmmm enfonce bien ta langue ».
Enfin, elle jouit, dans un gémissement sauvage et puissant, en s’enfonçant deux doigts dans la chatte alors que je lui léchais toujours l’anus. J’attendis qu’elle se remette de son orgasme, puis elle s’allongea :
- Finalement, je n’ai pas envie de ta bite, ma chérie… Peut-être un autre soir… Mais tu peux me regarder et te branler, je t’y autorise
me dit-elle en écartant les jambes, allongée sur le dos, passant un doigt sur ses lèvres et ouvrant bien sa chatte pour me l’exposer impudiquement… Et de mon côté, évidemment, je plaçais le string que je portais sur le côté pour libérer ma bite sur le bord d’exploser, et je commençais à me branler furieusement en la regardant…
Elle était si belle, me défiant du regard, dans cette position si obscène, que je ne tardais pas à jouir, inondant le pied du lit où je me trouvais…
- Bien, nettoie ça, puis va te coucher sur le canapé, je n’ai pas envie de toi dans mon lit cette nuit.
- Tu ne crois pas que tu pousses, là ?
- Tu ne crois pas que tu auras envie de jouir les prochains jours ?
Cette menace implicite me fit quitter la chambre … Je l’entendis cependant crier de la chambre:
- Ah et au fait, Cédric, dorénavant dès que tu rentreras le soir, tu te mettras en string et en bas, et tu y ajouteras un porte-jarretelles !
Séverine prit rapidement goût à la domination. Je la sentais plus sûre d’elle, encore plus femme qu’avant. Tous les soirs quand je rentrais du travail je devais me mettre en string ou en petite culotte féminine et en bas, avant de servir l’apéritif de Madame.
Car je devais depuis quelques jours l’appeler Madame. Elle m’avait en outre dit qu’elle racontait tout à Nathalie, notre charmante voisine quadragénaire, mais je ne savais pas si c’était du lard ou du cochon.
Quoi qu’il en soit elle trouvait ça très amusant, et je dois bien dire que cela me plaisait.
Séverine était plus excitée que jamais, elle avait lu tous les textes pornographiques et récits érotiques que j’avais trouvé sur Internet, et régulièrement rajoutait des éléments à ma soumission.
C’est ainsi que non seulement je portais ses sous-vêtements de femme le soir, mais en plus je devais porter ceux qu’elle avait mis toute la journée. Avant de les enfiler, je devais les sentir et en lécher l’intérieur, ce qui me faisait bander très dur.
Côté sexe, je n’étais plus que très rarement autorisé à la pénétrer, et je n’avais plus le droit de jouir dans sa chatte. La plupart du temps je me caressais et jouissait en la léchant longuement, ce qu’elle aimait par-dessus tout et qui lui convenait à merveille.
Un matin, alors que je m’apprêtais à partir pour le boulot, je constatais qu’elle mettait plus de temps qu’à l’ordinaire pour se pomponner dans la salle de bains. Elle en ressortit plus maquillée qu’habituellement, dans son tailleur des grands jours, très sexy, que je lui avais offert moi-même quelques temps auparavant.
Je l’avais choisi parce qu’il mettait bien ses seins en avant, et que la jupe qui composait le bas était plus courte que le standard en la matière. Elle était magnifique, une vraie déesse, la femme dans toute sa splendeur et montée sur de grands escarpins noirs qui la mettait encore plus en valeur.
Je notais aussi qu’elle avait mis des bas.
Il était convenu que pour les discussions habituelles et hors cadre sexuel nous continuions à nous parler normalement, aussi lui demandais-je :
- Tu es rayonnante ce matin, où vas-tu ?
- Je n’ai pas de compte à te rendre, mon cher… File bosser, tu vas être en retard!
Son ton ne supportait pas la discussion, et j’étais déjà en retard, aussi quittais-je précipitamment les lieux pour m’engouffrer dans les transports en commun. J’avais cependant remarqué une lueur très coquine dans les yeux de Séverine et je me demandais ce qu’elle mijotait.
La journée passa lentement, j’avais hâte de rentrer du boulot, et finalement j’étais de retour vers dix neuf heures. Séverine m’observa attentivement à mon retour, un sourire vicieux sur les lèvres, toujours vêtue de son tailleur.
Elle était assise sur le canapé, et comme tous les soirs après une discussion au cours de laquelle je lui parlais un peu de mon travail du jour, je m’attendais à ce qu’elle retire sa petite culotte portée pour que je l’enfile. Au lieu de quoi elle me dit simplement :
- Je n’ai pas de culotte à te faire mettre aujourd’hui… J’ai passé la journée sans culotte.
- Oh …
- Mais je ne suis pas chienne, ou du moins pas pour le moment… J’ai téléphoné à Nathalie et elle t’attend. Tu vas aller la voir et lui demander gentiment, en la vouvoyant bien évidemment, de te prêter sa petite culotte de la journée. Et si elle te demande quelque chose, obéis-lui comme si c’était moi ! Allez, ouste, dégage, je n’ai jamais vu quel genre de sous-vêtements elle porte et je suis curieuse !
Je devins rouge pivoine, excité à l’idée d’aller voir Nathalie, mais aussi incroyablement honteux. Je comprenais mieux le sourire vicieux de ma belle Séverine. Je ne savais que faire, et me voyant si hésitant Séverine me dit :
- Allez, vas-y, tu auras droit à une surprise après...
- Bien Madame … dis-je, résigné.
Je me rendais donc chez Nathalie, et après un court moment d’hésitation je frappais à sa porte. Elle m’ouvrit en peignoir, les cheveux humides, elle venait vraisemblablement de se doucher.
- Cédric, quelle bonne surprise… Entre, qu’est-ce-qui t’amène à cette heure-ci ?
- C'est-à-dire que… Enfin… Séverine ne t’a pas prévenue ?
Je la vis sourire aimablement, gentiment, mais je ne m’attendais pas aux paroles qui sortirent de sa bouche :
- Elle m’a prévenu, et tu devais d’ailleurs me vouvoyer, ce que tu n’as pas fait…
- Pardon Nathalie, je suis désolé, je ne vous tutoierais…
- Silence, en plus tu oses me couper la parole, et m’appeler par mon prénom, petite salope?
- Excusez-moi, Madame… Je suis désolé.
- Je devrais te punir pour ton impertinence ! Retire tout de suite ton pantalon ! dit-elle alors en s’asseyant dans un fauteuil.
- Euh… Oui… Madame…
Je retirais mon pantalon, restant planté devant Nathalie, en slip… Ma queue commençait doucement à se relever, ce qui n’échappa pas au regard de Nathalie bien évidemment.
- Eh ben ma cochonne, ça t’excite en plus ? Enlève ce slip et montre-moi ta bite… bien… voyons ça … Ah mais Séverine ne m’avait pas parlé d’une bite aussi petite, comment peux-tu la satisfaire avec ce petit bout de chair ridicule?
Je savais que ma bite avait une taille normale, mais les propos de Nathalie, si humiliants, si désirés depuis des mois, me faisaient curieusement un bien fou.
- Viens, salope, tu vas la recevoir ta punition pour ton impertinence… Allonge-toi sur mes genoux !
- Oui Madame, tout ce que vous voudrez Madame…
J’imaginais bien ce qui allait suivre, et je ne fus pas déçu… A peine étais-je installé, si honteusement allongé en travers des genoux de Nathalie, que je sentis sa main se promener sur mes fesses… Puis aussi soudainement que sa main était apparue, elle commença à me fesser durement.
- Voilà, tiens, prends donc ça, salope, et compte les fessées!
- Ahhh… Oui Madame… un … deux … ahhh… trois…
Elle me fessa ainsi jusqu’à vingt… Mes fesses douloureuses devaient être rouges, mais Nathalie me les caressa ensuite de façon tellement sensuelle et experte que j’en oubliais la douleur et commençait à nouveau à bander, contre sa jambe…
J’entendis un tiroir s’ouvrir tandis qu’elle continuait d’une main à me caresser les fesses, puis je sentis quelque chose de liquide et froid sur ma rondelle… Elle était en train de m’appliquer du gel …
J’avais beaucoup fantasmé sur la première utilisation de mon anus par une femme, et j’attendais la suite avec impatience, bandant totalement maintenant contre sa jambe.
- Salope, tu vas aimer ça, je te sens toute excitée… Je vais commencer par te fouiller le cul, tu vas adorer…
- Allez-y Madame, fouillez-moi, faites de moi ce que vous voulez…
Je sentis alors un doigt s’enfoncer doucement dans mon petit trou, faire quelques aller et retour dans mon cul, puis un deuxième doigt vint se joindre au premier… Je me faisais enculer pour la première fois par les deux doigts de Nathalie, plantés en moi…
La sensation n’était pas désagréable, mais pas jouissive… J’aimais beaucoup plus l’idée d’être en train de me faire prendre par ses doigts que l’acte en lui-même…
Rapidement, mon anus fut totalement détendu, et Nathalie en profita pour sortir un gode de bonne taille de son tiroir…
- Allez, suce le gode comme la grosse pute que tu es, et suce-le bien, parce qu’il va aller directement dans ton cul ensuite…
Avant que j’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, le gode était sur mes lèvres, puis je le gobais… Je le suçais comme une bite, je le léchais en essayant de l’humidifier un maximum…
Au bout d’une minute, Nathalie le planta au fond de mon cul en riant, d’un coup sec. Je grimaçais de douleur mais réussit à ne rien dire, et me laissait enculer, le gode commençant à aller et venir dans mon cul…
Je me faisais baiser par un objet en plastique tenu par ma voisine, et je bandais comme jamais. Elle me baisa ainsi cinq bonnes minutes, puis ressortit le gode, et me libéra de cette position en me poussant.
- Ca suffit pour aujourd’hui, tu es une vraie pute, une pure salope, j’ai bien vu que tu aimais ça…
- Oui Madame, je suis une salope… dis-je pour la première fois de ma vie.
- Bien, je n’oublie pas pourquoi tu es venu… Tiens, prends !
Joignant le geste à la parole, je la vis retirer sa petite culotte de sous son peignoir et me la tendre. C’était un tanga relativement transparent, de couleur bleu, plutôt sexy.
- Allez, fais comme à la maison devant ta Maîtresse, vite !
Docilement, je reniflais donc sa petite culotte, m’enivrant de l’odeur musquée de la chatte d’une autre femme que la mienne … Puis je léchais l’intérieur de sa culotte, ce qui la fit rire, et l’enfilais devant elle, mon gland et une partie de ma queue dépassant du tanga.
- Tu es aussi chienne et cochonne que Séverine me disait… Allez Cédric, file maintenant, avant que je ne décide de te garder ici !
- Bien Madame… Merci Madame… » bredouillais-je en partant.
Il s’était écoulé environ une demi-heure depuis mon départ … Je regagnais mon appartement, et me retrouvais face à Séverine à nouveau… J’avais l’impression cependant que ses cheveux étaient en désordre, et son tailleur moins bien ajusté.
Mais je n’eus pas le temps d’y réfléchir, elle me fit immédiatement ôter mon pantalon, pour que je puisse lui montrer la petite culotte que je portais.
Elle téléphona devant moi à Nathalie, pour la féliciter de son choix, alors que je devais me tenir debout devant elle et tourner sur moi-même plusieurs fois. Au cours de la conversation j’entendis que Nathalie lui racontait tout, un grand sourire illuminant le visage de ma Séverine… ou plutôt, de ma Maîtresse… Puis elle raccrocha.
- Bien, tu as bien obéi à Nathalie, elle est contente de…tes services. Tu as mérité ta surprise, alors mets-toi à quatre pattes devant moi, et viens me bouffer la chatte, ma petite enculée…
Ne comprenant pas en quoi cela constituait une surprise, je m’exécutais
A quatre pattes devant Séverine, je la vis relever complètement sa jupe pour que je puisse la lécher. C’est à ce moment que je vis qu’elle était trempée, mais à sa mouille était mêlé un autre liquide, d’un blanc ne me laissant aucun doute: du sperme. J’eus un mouvement de recul et d’énervement.
- Espèce de salope, tu t’es faite baiser pendant que je me faisais enculer, et par qui d’ailleurs?
- Cela ne te regarde pas… Ne fantasmais-tu pas à l’idée d’être non seulement soumis, mais aussi cocu, mon cher Cédric ? N’as-tu pas toujours désiré ça ?
J’étais désarçonné. A bien y réfléchir, cette idée m’avait effectivement toujours fait rêver… J’imaginais facilement Séverine avec un autre, se faisant prendre la chatte en jouissant furieusement, je la voyais se faire bourrer par une grosse bite. Elle sentit mon hésitation et sentit également qu’elle avait gagné la partie.
- Allez ma salope, ne fais pas la gueule, viens déguster ma chatte brûlante, ma chatte qui vient de se faire défoncer par une énorme bite… Si tu avais vu ce qu’il m’a mis, j’en suis encore toute tremblante… Et pendant qu’il me défonçait, je pensais déjà au moment où tu viendrais me nettoyer la chatte de son sperme avec ta langue… Allez viens… allez, LECHE-MOI SALOPE !
A nouveau, quelque chose se rompit en moi et je m’approchais docilement de son entrejambe que je fixais depuis qu’elle me l’avait révélée…
Et je commençais à la lécher, je la léchais goulûment en me disant qu’elle venait de se faire baiser comme une chienne par un vrai mâle en rut …
Le goût n’était pas agréable, mais j’arrivais néanmoins à l’avaler, nettoyant le sexe de Séverine progressivement… Elle en rajoutait à mon humiliation :
- Hmmm tu me lèches bien, salope, petite pute, il va falloir t’habituer, je me ferais baiser par qui je veux à l’avenir, si tu es gentille je te laisserais peut-être même voir un vrai mec me défoncer… Lèche aussi mon trou de balle, grosse chienne, il se pourrait bien qu’ici aussi il y ait du foutre bien chaud à l’avenir… hmmmm…
Je continuais à la lécher profondément, sa chatte désormais propre, dégoulinante de sa mouille tandis qu’elle haletait plus fort et finalement hurlait dans un orgasme dévastateur …
La semaine suivante, je dus m’absenter. Pris par mon travail, je devais me déplacer à un congrès assommant, et j’avais également quelques rendez-vous professionnels planifiés en province auxquels je ne pouvais me soustraire
Séverine m’avait fait promettre avant que je parte que je ne me toucherais pas. De son côté, elle m’avait sournoisement dit qu’elle allait peut-être « se faire sauter par un vrai mâle ».
J’en profitais pour faire le point de ma relation avec elle. Elle réalisait tous mes fantasmes de soumis, mais voulais-je vraiment vivre ainsi ? Je bénéficiais de tous les avantages : elle ne m’obligeait à rien au niveau de l’entretien de l’appartement, je n’avais aucune tâche particulière et astreignante, tout ce qu’elle exigeait de moi c’était une soumission sexuelle absolue.
Finalement, cela rendait ma vie beaucoup plus colorée et intéressante, quoi que parfois inquiétante. J’aimais Séverine, et nous avions encore des moments plutôt câlins lorsqu’elle n’avait pas d’envie sexuelle …
Je décidais donc que cela m’allait, et que nous devions continuer sur cette voie curieuse mais si excitante pour tous les deux.
Je devais appeler Séverine tous les soirs, et la plupart du temps nous discutions agréablement et « normalement ». A peine un ordre ou deux en fin de discussion, du genre « caresse-toi trente secondes » ou « mets-toi un doigt pendant que je te parle » … C’était suffisant pour m’exciter et me frustrer, et elle le savait bien.
Un soir, je l’appelais un peu plus tôt que d’habitude, et je sentis immédiatement que je la dérangeais :
- Cédric, je ne peux pas te parler maintenant, je ne suis pas seule …
- Tu es avec un mec ?
- Hmmm je suis avec quelqu’un, qui hmmm ohhh … qui est en train de me glisser un doigt dans le cul … hmmm je te rappelle plus tard ma petite salope …
Je l’entendis poser le combiné du téléphone, mais sans raccrocher … Etais-ce intentionnel de sa part ? J’entendais tout … J’entendais Séverine gémir :
- Ohhh mon salaud, fouille-moi bien le cul avec tes doigts … Hmmm oui comme ça… Approche ta bite que je te suce, elle est tellement grosse … Tellement plus grosse que celle de ma lopette de mec …
Le silence qui suivit était ponctué de bruits de succion, je bandais comme un fou à l’idée que ma nana était en train de sucer une grosse queue… Malgré moi je posais la main sur ma bite pour me calmer un peu. Séverine reprenait en haletant et gémissant :
- Ohhh arrête tu me rends dingue … Mets-la moi, encule-moi bien profond, bourre-moi le fion, salaud …
J’entendis alors Séverine gémir encore plus fort, tandis qu’elle se faisait enculer… J’étais choqué, surtout qu’elle continuait :
- ohhh c’est si bon une belle grosse bite dans le cul … Tu me déchires le trou de balle hmmm … Tu sais, ma salope de mec n’y a jamais eu droit et n’y aura jamais droit … ohhh encore…
Je comprenais alors qu’elle avait laissé le téléphone décroché pour que j’entende tout. J’étais vraiment surpris qu’elle offre son cul à un autre homme, et cela m’excitait encore plus. Alors qu’elle était encore en train de se faire prendre, le téléphone fut raccroché.
Lorsque plus tard Séverine me rappela, elle ne fit pas de mystère :
- Alors, tu as aimé ce que tu as entendu ? Ta bite a grossi comme jamais je parie?
- Oui Madame, j’ai bandé très fort mais je ne me suis pas touché.
- Tu es une bonne petite salope, ce soir tu as le droit de gicler, en te branlant dans ton caleçon, que tu garderas plein de ton foutre toute la nuit. Maintenant je vais te laisser, je suis crevée, si tu avais vu ce que j’ai pris, et dans tous les trous… Je suis vannée.
La semaine s’acheva sans nouveauté, et je rentrais de mon déplacement pour trouver une Séverine rayonnante, tellement belle, tellement femme, au comble du bonheur.
Dès mon retour, évidemment, les nouvelles règles s’appliquant à moi reprirent : je dus à nouveau renifler et enfiler la petite culotte qu’elle avait porté toute la journée, mais cette fois-ci je détectais un mince filet de sperme à l’intérieur, ce qui me fit de l’effet, je dois bien l’avouer.
Elle m’annonça ensuite calmement que le lendemain nous aurions quelqu’un à dîner, sans me donner plus de détails. Le lendemain soir, je rentrais du boulot, et constatais que Séverine avait préparé une belle table d’apéro et un bon dîner.
- Jérôme arrive à vingt heures trente, mon chéri… Il sait évidemment tout sur toi, et il est même curieux de te voir … Mais cela ne change rien à nos habitudes, au cours de tout le repas tu m’appelleras Madame, et lui tu l’appelleras Monsieur. Par contre tu ne mettras pas de petite culotte, mais tu vas aller chercher et mettre la tenue que je t’ai posée sur le lit : bas et porte-jarretelles, courte jupe fendue noire et chemisier blanc. C’est normal vu que tu feras le service, ma chérie…
La tenue faisait très bonniche, et c’était la première fois que je mettais toute une tenue féminine, ce que je n’étais pas sûr d’apprécier. Je m’y pliais néanmoins.
Jérôme arriva à l’heure. Plutôt quelconque, il était brun, de taille moyenne, vêtu correctement mais sans plus, je me demandais ce qu’elle lui trouvait. Par contre il avait un regard très lubrique. Séverine quant à elle avait mis un petit haut moulant, et sa minijupe préférée. Je savais déjà qu’elle ne portait pas de petite culotte en dessous.
Jérôme embrassa Séverine à pleine bouche en arrivant, une galoche qui dura environ dix secondes, avant de la laisser et de m’être présenté par Séverine :
- Jérôme, voilà la salope dont je te parlais…
- Enchanté Monsieur,
dis-je, alors que je ne cessais d’imaginer ce mec en train de sauter Séverine. Il prit le temps de me dévisager, puis me dit tranquillement :
- Séverine m’a parlé de toi, je te voyais plus… femelle…
Je les laissais s’installer sur le divan tandis que j’allais en cuisine pour apporter les petits fours et les verres d’apéritif. Je les trouvais très proches l’un de l’autre en revenant, riant ensemble, l’air très complices. Je remarquais également la main de Jérôme sur la cuisse de Séverine, la caressant à peine, ce qui eut pour effet désastreux de me faire bander…
Sans culotte, avec cette petite jupe que je portais, debout en train de les servir, j’étais plutôt embarrassé, ma queue faisant une énorme bosse
- Regarde-moi cette pute, avec sa petite bite déjà excitée rien qu’en te voyant me toucher la cuisse, Jérôme… Imagine si tu étais en train de me tripoter la chatte … D’ailleurs je t’ai dit que je ne portais pas de culotte?
La main de Jérôme s’empressa de vérifier, passant sous la minijupe qui ne cachait plus grand-chose de la chatte de ma femme. Puis il la retira, me souriant, et me demandant de me retirer pour retourner en cuisine chercher les glaçons que j’avais oublié.
- Bien Monsieur, pardon Monsieur… J’y retourne de suite.
La situation était étonnamment calme à mon retour de la cuisine, et le dîner se déroula normalement, Jérôme et Séverine dînant face à face, parlant de choses et d’autres…
Après le dîner, Jérôme commença à peloter les seins de Séverine à travers son haut, sous mes yeux, en l’embrassant. Elle l’emmena alors dans notre chambre, accompagnant son mouvement d’un « allez salope, viens donc avec nous, je sais que tu aimes mater » à mon intention.
Je les regardais donc, sur le lit conjugal, Jérôme retirant tous les vêtements de Séverine qui se retrouva totalement nue, et totalement trempée à ce que je vis très vite.
Elle se mit à quatre pattes devant Jérôme, qui était assis sur le lit, et lui retira à son tour tous ses vêtements. Je fus époustouflé par la taille de la queue qu’elle extirpa de ses fringues : elle était énorme, d’environ vingt centimètres.
La vue de ma femme, accroupie devant cette grosse bite, me faisait tellement bander que je commençais à me caresser, en soulevant la jupe que je portais. Ma femme me regarda, regarda Jérôme, et déclara :
- L’autre soir je t’ai sucé la bite, Jérôme, pour bien l’humidifier avant que tu ne me baises, mais ce soir j’ai ma salope pour faire ce sale boulot ! dit-elle en ricanant.
- Je ne me suis encore jamais fait sucer par un mec mais bon… Si c’est ce que tu veux… Allez salope, viens sucer ! dit Jérôme.
- Oui, viens sucer une vraie bite, salope, pour qu’elle me défonce bien ensuite, viens préparer cette queue pour qu’elle baise bien ta femme, allez !
Je n’osais rien dire… Mes pensées se bousculaient dans ma tête, j’y avais déjà pensé mais je n’avais jamais songé être confronté à la situation…
Je m’approchais, me mit à genoux, et pris doucement cette bite dans ma main… Je commençais à la branler doucement pour bien la faire bander, Séverine était tout à côté de moi et me regardait lubriquement, visiblement très fière de sa salope…
Alors que je branlais cette queue, Séverine me sourit et appuya doucement sur ma tête, approchant ma bouche vierge de ce membre … que je me mis à lécher d’abord … je le léchais sur toute la longueur, puis Séverine me fit ouvrir la bouche et je pris le gland, puis toute une partie de cette bite dans ma bouche.
Ce n’était pas désagréable, au contraire, c’était très doux et les petits mouvements nerveux le long de cette tige la rendaient très vivante… Séverine me regardait avec passion, surtout que je continuais à branler la bite de Jérôme tout en la suçant.
- Oh mon dieu cette pute me suce mieux qu’une femme ! soupira Jérôme.
- Je te l’avais bien dit que cette grosse salope aimait la bite et qu’elle serait une bonne suceuse! répondit Séverine.
Et moi, pendant ce temps, je suçais, et léchais, et branlais cette bite qui allait bientôt finir dans la chatte ou le cul de ma femme. Elle en mourrait d’envie et ne me laissa pas le faire jouir, elle me poussa sur le côté pour s’empaler directement sur Jérôme en gémissant de plaisir.
J’étais juste à côté, je voyais la chatte de ma nana se faire défoncer copieusement par cette grosse queue, j’étais hypnotisé par ce spectacle. Cela dura dix bonnes minutes, pendant lesquelles Séverine eut deux orgasmes avant que Jérôme ne jouisse au plus profond d’elle.
Il se rhabilla aussitôt, et nous quitta rapidement.
Séverine, toujours allongée sur le lit, était encore excitée :
- Je suis très fière de ma suceuse de bite, tu as été fantastique… Viens me baiser toi aussi, tu l’as bien mérité.
Autant vous dire que je ne me fis pas prier. Je m’installais immédiatement sur Séverine, en missionnaire, et la pénétrais doucement. Pour la première fois je sentis ma bite glisser dans sa chatte remplie du sperme d’un autre, et notais que Séverine gémissait moins qu’avec Jérôme…
Nous eûmes néanmoins un orgasme chacun, en nous embrassant, fous amoureux et si heureux............

Rediffusion cet été de l'almanach du cocu


Rediffusion cet été de l'almanach du cocu

Les redif de l'été... Par amour

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Quand une femme aime un homme
Un grand classique sur l'acceptation par amour.

ELIZABETH ET LIBERA
Je m'appelle Elizabeth, j'ai 37 ans et 2 enfants. Je veux vous raconter le début de mon histoire avec Libéra, mon mari.
Il y a 17 ans, en octobre, je redoublais ma première année de fac. J'étais fermement décidée à travailler mais j'ai revu Libéra. Grand (1,90 m), longiligne, africain, il était au masculin la reproduction de Grace Jones, la célèbre mannequin de l'époque.
Moi, petite (1,58 m), peut-être un peu ronde (des seins imposants, une taille fine mais des hanches larges), brune , très blanche de peau, j'étais son opposée.
Nous avions été copains l'année précédente, parmi toute une bande.
Mes bonnes résolutions disparurent rapidement, je désirais cette homme comme jamais, et pourtant j'en avais connu au point d'avoir une réputation ...
Libéra était bosseur, il rageait d'avoir raté son année précédente, lui dont la famille en Afrique était fier mais dont son père avait réduit les moyens de vie du fait de cet échec.
Je me rapprochais de lui pour le travail en groupe, mais ce que j'appréciais le plus, c'était d'être avec lui le soir, dans les bars que nous fréquentions tous.
Cela se voyait, et tous nos amis riaient de tous mes efforts pour l'attirer alors que lui ne réagissait pas !
Puis, à la soirée du Réveillon, après que j'ai tout fait pour le séduire, m'habillant à la limite de la décence, robe courte sans sous-vêtement et m'exposant outrageusement à son regard, il m'a dit, ' viens '. Nous sommes partis chez lui, j'étais troublée dans la voiture.
En arrivant, à peine le seuil franchi, il a fait glisser les bretelles de ma robe et je me suis retrouvée nue. Il m'a embrassée fougueusement, je mouillais comme une folle. Il m'a prise dans ses bras et transportée sur le lit. Allongée, j'ai bientôt senti son souffle sur mon sexe, puis sa langue sur mes lèvres. J'étais devenue fontaine.
Ses doigts sont venus remplacer sa langue. Un doigt, puis deux, puis trois m'ont pénétrée ; sa langue sur mon clitoris me faisait oublier où j'étais. J'ai crié.
C'est nu qu'il s'est retrouvé sur moi, il m'a pénétré immédiatement: J'avais fantasmé sur la grosseur et sur la longueur de son sexe mais j'avais l'impression là que tous mes fantasmes étaient dépassés. J'ai encore joui. Et encore.
Il me limait alternativement doucement et rapidement, j'ai eu le sentiment de ne plus toucher terre tant c'était fort. Il m'a retournée sur le ventre à un moment, m'a fait remonter les genoux et s'est placé derrière moi.
Son sexe m'a transpercé en me pénétrant dans cette position mais très vite il est ressorti pour revenir sur mon anus. Ma seule pratique de la sodomie était alors solitaire, avec de petits vibromasseurs, j'eus peur un instant mais cambrai les reins.
Libéra s'introduisit avec peine, venant chercher ma mouille pour lubrifier son vit, mais bientôt, je sentis ses couilles : il était entré totalement. Il reprit alors ses va-et-vient, j'hurlais quand ses doigts venaient caresser mon bouton. Après un n-ième orgasme provoqué par sa jouissance, je m'écroulais, lui sur moi.
Le lendemain matin, je me réveillai dans ses bras. Il dormait. Je me mis à lui caresser le torse, aucun poil ne venait chatouiller ma main.
Comme il commençait à remuer, je descendis sur son ventre et je trouvai son gland à hauteur du nombril : jusqu'alors, je n'avais pas touché ni vu son sexe, je frissonnais devant la grosseur et la longueur de ce que j'avais maintenant en main. En caressant les couilles, je fus surprise de ne trouver encore aucun poil mais Libéra se réveillait. J'arrêtai ma caresse.
Ouvrant un oeil, il me sourit, m'embrassa sur le front et bondit hors du lit pour partir en direction de la salle de bain. Dix minutes après, je le vis réapparaître en peignoir, j'étais encore couchée, il s'approcha et tira sur le drap. Ma nudité exposée ainsi me parut honteuse.
- Tu sais Elizabeth, j'ai aimé la façon dont tu t'es donnée hier soir, mais maintenant je veux tout. Mets-toi à quatre pattes.
Je ne discutais pas et me mettais dans la position demandée, je tremblais de honte et d'excitation. Il s'agenouilla derrière moi, je sentais les pans de son peignoir.
Son sexe vint toucher mes lèvres qui s'écartaient mais il remonta plus haut, vers mon anus. J'entendis le lubrifiant couler, le froid sur mon petit trou me fit frissonner mais la pénétration qui suivit, comme la veille, m'affola et me fit perdre la tête.
En même temps qu'il me limait, il me dit qu'il faudrait faire disparaître très rapidement les poils de ma chatte, il était habitué aux femmes africaines épilées et souhaitait garder la sensation. J'acceptai sans réserve tant je jouissais à ce moment-là.
Je passais le reste de la journée nue dans son appartement et deux autres fois il me sodomisa, se réservant ma chatte quand elle serait sans poil.
Le lendemain, j'allais chez l'esthéticienne et elle ne put terminer tant j'avais mal. Le soir, il se refusa à moi et je dus rentrer chez mes parents dormir.
Une semaine après, il était midi quand j'arrivais à la fac.
Enfin mon sexe était totalement imberbe et j'avais hâte de le montrer à Libéra. Je me jetai sur lui à la sortie de l'amphi et lui expliquai à l'oreille qu'il pourrait toucher si nous nous isolions dans les toilettes.
- OK, dit-il, va dans les toilettes pour homme, choisis une cabine, et mets-toi nue.
Je m'exécutais et cinq minutes après il m'appelait. J'ouvris la porte, il entra et me demanda de monter debout sur la cuvette. Il se baissa.
- Tiens-toi aux parois.
Et il se passa ma jambe gauche sur son épaule. Je sentais son souffle sur mon pubis.
- Oui, c'est bien ', dit-il,
Puis il me lécha le clitoris et les lèvres qui n'attendaient que çà.
Il me fit redescendre, me retourna, me demanda de me baisser, j'entendis sa braguette s'ouvrir, il sortit son vit et me pénétra d'un seul coup. Je criais de bonheur. Il me lima longtemps, j'avais l'impression de n'avoir jamais été pénétrée comme cela.
Quand il éjacula, je le suivis dans la jouissance. Il me demanda alors de lui nettoyer le sexe avec ma langue, j'avais espéré déjà le faire mais il ne m'en avait jamais laissé l'occasion.
Je le fis avec avidité, léchant le gland et chatouillant le méat, puis avalant le long sexe tout en caressant les couilles.
- Désormais, tu laisses tomber tes jeans, tu seras toujours disponible en jupe ou en robe, sans culotte.
Je ne pouvais répondre mais je redoublai d'action pour lui signifier que j'étais d'accord sur tout.
J'emménageai bientôt chez Libéra, nos journées de fac étaient excitantes à chaque instant et le retour à la maison était une fête. Je savais que j'aurais droit au plaisir maximum.
Nous faisions l'amour plusieurs fois par jour, chez nous le matin et la nuit, à la fac dans les toilettes, dans les bars et les boîtes que nous fréquentions.
Libéra avait cependant gardé un jardin secret, celui du jeu, et quand le mardi j'allais dîner chez mes parents, lui allait faire sa partie de poker.
Un soir, il m'annonça que sa prochaine partie aurait lieu chez lui, qu'il souhaitait que je sois là. Je pris çà pour une nouvelle étape dans notre relation, j'allais connaître ses copains de ' débauche ', ils me connaîtraient aussi.
Je me souviendrais longtemps de ce mardi.
Vers 20h00, ses trois amis arrivèrent et je me rendis compte qu'ils étaient bien plus âgés que Libéra : deux avaient la quarantaine, le dernier était plus proche de la cinquantaine. Tous noirs, Georges était le plus petit, 1m70, tout en muscles ; Jérôme, 1m80, était plutôt bedonnant, mais exprimait la joie de vivre, un sourire permanent aux lèvres ; celui qui m'impressionna fut Désiré, tant par sa carrure (1m85, 80kg), que par sa prestance, renforcée par ses tempes grisonnantes.
Ils commencèrent de suite, pendant que je leur apportais de quoi grignoter. Je sentais que ma présence les dérangeait et j'essayais de me faire toute petite.
Je compris bientôt que les jetons qu'ils lançaient sur le tapis de jeu représentaient de grosses sommes et que Libéra devait déjà beaucoup d'argent.
Vers 23h00, ils firent les comptes et Libéra m'appela.
- Elisabeth, j'ai perdu beaucoup ce soir, beaucoup plus que de raison : j'ai besoin de temps pour rembourser et Désiré accepte de ne pas faire courir d'intérêts si tu t'engages à travailler pour lui dans son club.
Je comprenais mal leurs relations tant j'étais convaincue qu'il s'agissait de copains et j'essayais de discuter
- Tu ne m'as pas compris, ce n'est pas négociable, je me suis engagé.
- Tu ne peux pas décider pour moi, je n'ai jamais travaillé dans un club et je n'ai jamais ambitionné d'être serveuse !
- Tu ne seras pas serveuse, intervint alors Désiré, mais entraîneuse.
- Il n'en est pas question, lui dis-je en me tournant vers lui.
A ce moment là, Libéra, qui était décomposé sur sa chaise, se leva et me gifla.
- Tu feras ce que je te dirai.
On aurait dit un ' mac ' menaçant la fille qui travaille pour lui. J'ai ravalé mes larmes, impuissante. Je l'aimais et n'avais pas envie de le perdre.
- Déshabille-toi, dit Désiré d'une voix égale.
- Pardon !
- Tu as bien entendu.
- Mais...
- Fais ce que je dis.
Je regardais Libéra qui s'était rassis, il me fixa sévèrement. J'ai alors obéi, j'ai ôté mon gilet, fais glisser les bretelles de ma petite robe. Je frissonnais après avoir eu une bouffée de chaleur qui m'avait rendue moite.
Mes seins se balançaient, durs, gonflés. Mes bouts étaient devenus très longs.
Les quatre hommes autour de la table me fixaient.
- Approche-toi, dit Désiré.
Je fis les deux pas qui me séparaient de lui, je restais les bras ballants, il avança sa main et la posa sur ma cuisse puis la remonta jusqu'à toucher mon sexe. Il a trouvé mon clitoris, je me suis ouverte, j'ai senti mon jus couler. Il m'a pincé le bouton entre le pouce et l'index. J'ai crié de douleur et de bonheur je crois.
- Je t'attends vendredi à 19h00. Ne sois pas en retard.
Je compris que la séance était terminée et je m'enfuis dans la chambre.
Je les entendis tous partir et Libéra vint me retrouver. J'étais allongée, nue, il perçut que je faisais semblant de dormir. Il fut très calin, sans un mot nous fîmes l'amour.
Les trois jours qui passèrent furent comme ceux qui avaient précédé, pleins de notre relation torride. Mais le vendredi après les cours, Libéra et moi retournèrent à l'appartement directement, comme conscients que la soirée nécessitait une préparation particulière.
- Tu sais, Elizabeth, je sais ce que tu vas faire pour moi ce soir. Je t'aime et tu me donnes là une grande preuve d'amour !
Je commençai à pleurer.

La suite, c'est comme si quelqu'un d'autre l'avait vécu ...
Le club n'était pas facile à trouver. Il se trouvait dans une ruelle étroite et était fermé. Elle tapa et un homme chauve et barbu au visage désagréable lui ouvrit. Elle recula devant cet homme à la mine peu avenante.
-J'ai rendez-vous avec Désiré.
-Oui, répondit l'homme en dévoilant un sourire malsain. Il vous attend.
Elle suivit cet homme d'assez petite taille et assez gros portant un tablier de cuisinier. Le bar était assez grand. Il y avait une vingtaine de tables organisées en ovale autour d'une petite scène.
Dans le fond se trouvait un comptoir en chêne où une jeune serveuse rangeait des bouteilles. Elle portait une belle tunique mauve mais ce qui surprit Elizabeth fut son expression qu'elle trouva affreusement triste.
Désiré était assis à l'une des tables. Il se leva en la voyant et vint l'accueillir en lui serrant la main. Il avait la quarantaine et il lui parut vraiment baraque. Malgré ses tempes grisonnantes, il n'était pas séduisant, sa peau était tannée comme celle des hommes qui avait longtemps dû travailler dans des emplois subalternes ce qui ne cadrait pas avec son mode de vie actuel.
-Asseyons-nous donc, lui proposa-t-il. Je vous offre du vin ?
-Oui, hésitais-je, troublée par le vouvoiement.
Il se tourna vers le comptoir.
-Muriel! Un verre de bordeaux pour la demoiselle et pour moi comme d'habitude.
Elizabeth eut immédiatement un sentiment étrange dans cet endroit mais elle voulut rester concentrée sur son objectif : obtenir un abandon de la dette de Libéra.
-Je sais que c'est une somme d'argent importante, reconnut-elle, mais je peux vous la rembourser. Comme vous le savez mes parents ...
-Refuseront de vous aider, ils n'aiment pas le noir, la doucha Désiré.
Belle image, non ? Elle serra les dents.
-Comme vous le voyez cet endroit est sur le point d'ouvrir, expliqua Désiré. C'est un petit bar sans prétention mais pour attirer une clientèle très sélect, je veux notamment des serveuses de grande qualité, pas les habituelles idiotes que l'on rencontre dans les autres établissements. Alors vous allez travailler ici pour rembourser votre dette.
-Vous... vous voudriez que j'abandonne mes études pour devenir une simple serveuse?
-Je ne suis pas aussi déphasé voyons. Je vous propose de travailler ici en plus. La paye serait en conséquence et vous permettrait de rembourser en quelques soirées.
-Quelques soirées... C'est une blague... la paye d'une serveuse n'est pas aussi...
-C'est qu'il ne s'agit pas d'un bar comme les autres. Muriel!
A ce moment, il claqua des doigts et la jeune fille qui se trouvait au bar accourut à son appel. A sa grande horreur, Elizabeth put détailler sa tenue alors que jusqu'alors elle n'avait vu que le veston de sa tunique.
En réalité, elle ne portait que ça et des petits escarpins noirs. Elle était totalement nue en dessous de la taille. Elle portait un plateau avec leur commande qu'elle déposa sur la table en se cambrant en avant dévoilant à Désiré ses parties intimes.
Ce dernier en profita alors pour plonger ses doigts dans son entrejambe et commencer à lui triturer le clitoris. Elizabeth vit la jeune fille se mordre les lèvres. Le plateau trembla et la moitié de son verre de vin se renversa. Elle posa rapidement le verre sur la table et se redressa, la main de Désiré toujours figée dans son intimité.
-Vous voyez, il y avait des bars topless, expliqua Désiré, moi j'ai inventé le bar cul nu. Mes serveuses se baladeront entre les tables vêtues de cette façon, les clients pourront y mettre les mains... mais rien de plus.
Elizabeth restait terrassée devant ce spectacle affligeant.
-Vous voudriez que je... Que moi, je me laisse tripoter de cette façon?
-Pourquoi pas. Vous croyez que Muriel était volontaire pour faire cela? En réalité, elle aussi rembourse une dette. Comme vous, ce n'est pas la sienne mais celle de sa famille. Son père est un homme d'affaire qui n'est malheureusement pas aussi doué que moi. Il me devait des sommes énormes. Je lui ai mis le marché entre les mains, soit je lui prenais tout et j'envoyais toute sa famille à la soupe populaire soit il me donnait sa fille aînée. Devinez l'option qu'il a choisie.
Elizabeth regarda la jeune fille, elle devait avoir dans les 20 ans, comme elle. Elle n'était pas très grande et avait des cheveux châtains foncé mi longs. Avec cette tenue dont le haut évoquait les majorettes et toutes ses parties intimes exposées à la vue de tous, elle faisait affreusement obscène.
Elizabeth eut envie de vomir. Désiré retira sa main du vagin de la jeune fille qui prit cela comme un signal pour s'échapper. Alors qu'elle s'éloignait, il se pencha vers Elizabeth.
-Le meilleur est que le père de notre jeune ami a recommencé ses bêtises et qu'il me doit à nouveau une belle somme d'argent. Heureusement pour lui, il possède une seconde fille à peine plus jeune.
Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase pour Elizabeth.
-Vous n'imaginez pas une seconde que je m'abaisserais à cela, hurla-t-elle en se levant. Je ne deviendrais jamais votre pute dans cet endroit sordide.
Alors qu'elle voulait quitter sa place, il la rattrapa par le poignet.
-Libera sera mort demain !
Le cœur de Elizabeth s'arrêta de battre et elle se figea. Désiré sourit en voyant sa réaction, il savait qu'il avait visé juste.
-Je pense que tu as compris maintenant, rajouta-t-il devant son silence.
Elle se rassit, consciente qu'elle n'avait plus le choix que de se plier à la volonté de cet homme. Le bruit d'une claque la tira de ses pensées et elle porta son regard vers le comptoir. L'homme gras qui lui avait ouvert était en train de tancer vertement la serveuse.
-Mais c'est pas vrai! criait-il sans se soucier du fait qu'on pouvait s'offusquer de son ton. Tu as encore renversé la commande!!! Quand vas-tu arriver à remplir correctement ton rôle? Nettoie!!
Sans essayer de se défendre, la jeune fille baissait les yeux. Elle prit alors une petite éponge et entreprit de nettoyer son plateau qu'elle avait posé sur le comptoir. Pour se faire, elle se pencha en avant.
En même temps, Elizabeth, effarée, vit l'homme gras défaire le nœud de son pantalon pour en sortir sa queue en pleine érection. Sans autre forme de procès, il embrocha la pauvre fille jusqu'à la garde.
Elle s'agrippa des deux mains aux rebords du comptoir pour résister au remous que l'homme lui imposait. Elizabeth la vit se mordre les lèvres et retenir des larmes alors que cet homme obscène qui devait avoir au moins 20 ans de plus qu'elle était en train de la prendre sans vergogne.
-Je vais t'apprendre à servir les consommations, moi! répétait-il au rythme de ses coups de boutoir.
Elizabeth détourna les yeux de ce spectacle qui l'horrifiait mais ce fut pour tomber sur la mine réjouie de Désiré.
-Ah! Il est de plus en plus difficile de trouver du petit personnel de qualité, lança-t-il. Heureusement Humberto est un excellent professeur et Muriel est entre de bonnes mains.
Elizabeth avait l'impression de se retrouver plongée en plein cauchemar. Elle voulait se persuader qu'elle allait se réveiller rapidement en se disant qu'elle avait imaginé tout cela. Il restait encore deux heures avant l'ouverture de l'établissement.
- Je vais te faire visiter, dit Désiré, et il l'entraîna à sa suite pour une visite éclair.
Alors qu'ils étaient revenus à leur point de départ, Désiré indiqua le vestiaire en indiquant un endroit au fond.
-Ta tenue t'y attend.
Elizabeth resta figée, incapable de bouger. Elle sentait le regard d'Humberto posé sur elle et ce fut ce qui lui donna la force de se diriger vers le vestiaire. Le vestiaire était une petite pièce sombre où l'on avait aligné des casiers en fer. Sur le côté, se trouvait un couloir de douche et l'attention de Elizabeth fut attirée par le bruit de sanglots.
Elle se dirigea vers cette pièce et elle y trouva Muriel, assise dans un coin, nue, les genoux remontés contre son ventre et sa tête appuyée contre eux. Gênée d'assister à ce spectacle dont elle comprenait facilement la raison, Elizabeth ne savait pas comment réagir quand la jeune fille releva vers elle son regard nimbée de larmes. Soudain, toute trace de souffrance disparut pour laisser la place à une expression dure comme si elle lui reprochait sa présence.
-Quoi? Lui lança - t-elle alors. Tu te crois peut-être meilleure que moi.
Complètement désarçonnée par la réaction de la jeune fille, Elizabeth resta sans voix. Muriel se releva alors sans la quitter des yeux.
-Suis-moi, lui ordonna-t-elle.
Elle quitta alors les douches et Elizabeth lui emboîta le pas sans rien ajouter. Elle ne voulait pas augmenter encore la nervosité de la jeune fille qui subissait des sévices sans noms. Muriel ouvrit un des casiers et en sortit une veste mauve.
-Voici ta tenue de travail, lui expliqua-t-elle. Quand tu viendras ici, tu rangeras tes vêtements dans ce casier et tu ne mettras que ça. Pendant la soirée, les clients pourront mettre les mains partout où ils le voudront mais seulement les mains. Pour le reste, seul monsieur Désiré peut disposer de nous.
-Je n'ai pas accepté d'aller plus loin, répliqua Elizabeth qui eut droit alors à un sourire ironique de son interlocutrice.
Muriel lui tendit alors la clé du casier et s'en écarta pour s'approcher d'un autre qu'elle ouvrit pour en sortir une autre tenue mauve qu'elle s'empressa d'endosser. *Elizabeth quant à elle resta de longues secondes à fixer ce vêtement horrible qu'elle était condamnée à porter pour toute la soirée.
-Magne-toi! grogna Muriel. Nous avons la mise en place à réaliser.
Elizabeth sursauta et commença à se déshabiller. Les premiers clients arrivèrent dès l'ouverture des portes. Uniquement des hommes comme c'était prévisible. Elizabeth estima à leur tenue qu'ils étaient plutôt aisés.
Désiré les accueillaient en souriant et semblaient en connaître la grande majorité. Cependant, elle ne put pas vraiment déterminer si elle les connaissait à cause la faible luminosité de la salle. D'un certain côté, cette situation la rassurait car ainsi elle ne pouvait pas non plus être reconnue par une personne qui la connaissait.
Humberto dirigeait la manœuvre depuis sa cuisine pendant que Muriel et elle devaient faire le service en salle et ce fut un véritable enfer. Montée sur des talons inconfortables, Elizabeth circulait entre les tables bien garnies.
Son entrejambe et ses fesses nues constituaient des cibles de choix pour les mains exploratrices des clients qui n'avaient aucunes retenues. Quand elle s'immobilisait pour prendre une commande, les plus audacieux n'hésitaient pas à enfoncer leurs doigts dans sa fente ou à triturer son clitoris ; si jamais elle devait se pencher pour ramasser des verres vides, c'était son anus qui subissait le même genre d'exploration.
Certains clients poussaient la perversion jusqu'à glisser des pourboires dans son intimité mais le pire fut qu'après un certain temps passé à subir un tel traitement, elle constata avec horreur que son entrejambe était humide.
Quand les clients s'en rendirent compte, ce fut la curée, ils redoublèrent d'activité et les commentaires scabreux firent leur apparition. Elle fut traitée de « fontaine », de « petite salope » et de tant d'autres termes qu'elle tenta d'oublier sitôt entendus.
Le club ne ferma qu'à 4 heures du matin et Elizabeth termina son service littéralement épuisée autant physiquement que psychologiquement. Elle n'avait plus qu'une envie : rentrer au plus vite retrouver les bras de Libera mais elle ne savait pas Désiré n'en avait pas encore fini avec elle.
Elle nettoyait l'une des tables, toujours seulement vêtue de sa seule veste de majorette mauve quand elle sentit soudainement une présence massive dans son dos.
Elle voulut se retourner mais elle n'en eut pas le temps. Les mains puissantes de Désiré la plaquèrent violemment contre la table. Elle se débattit de toute son énergie contre lui mais il était bien trop fort pour elle. Il se colla contre ses reins nus et elle sentit alors la force son érection comprenant ce qu'il lui réservait.
-NON!!! Hurla-t-elle. JE NE VEUX PAS!!! CE N'EST PAS CE QUI ETAIT PREVU!!!
-Ta gueule, salope, répondit-il. Je décide de ce qui était prévu dans le contrat et ton cul en fait partie.
Epuisée par sa soirée et en dépit de l'horreur qui l'attendait, elle manquait de force pour résister à la volonté de cette force de la nature. Il la maintint dans sa position de dominée de sa main droite et fit glisser sa main gauche jusque à sa chatte.
Une nouvelle fois, elle fut manipulée dans son intimité mais elle savait que cette fois, il ne se contenterait pas cela ; ce n'était que les préliminaires à son viol. Contre sa volonté, elle sentit les muscles de son vagin qui se détendaient et son intimité s'humidifier une nouvelle fois.
La main de Désiré se retira alors pour diriger son pénis de la meilleure des façons. Il la pénétra alors brutalement en lui arrachant un cri de douleur et d'affliction. Il ne lui fallut que deux coups de rein pour l'embrocher jusqu'à la garde puis entama alors un mouvement de va et vient.
Totalement mortifiée, Elizabeth renonça à résister, pliant sous le poids de l'homme qui s'appuyait sur son dos tout en la besognant sans pitié. Il continua son acte pendant de longues minutes, déchirant littéralement son vagin par la violence de ses saccades.
Puis soudainement, il se retira et dans un râle de plaisir, il éjacula sur le dos de sa victime. Des jets de foutre inondèrent ses reins nus mais aussi sa tunique et sa nuque. Il essuya sa queue dans sa chevelure brune et s'éloigna en la laissant toujours allongée sur la table.
-Va te changer, ordonna-t-il, tu es dégueulasse. Et ensuite tu rentreras chez toi.
Une lumière s'illumina dans l'esprit ravagé de Elizabeth. Elle rassembla ses dernières forces et se releva pour rejoindre les vestiaires. Elle se rua sous les douches pour éliminer toute trace du sperme qui maculait son corps.
Après quelques minutes, elle rangea sa tunique souillée de la semence de Désiré et se rhabilla pour s'enfuir de cet endroit. Quand elle ressortit des vestiaires, Désiré était assis à une table et lisait un document.
Elizabeth vit avec dépit que Muriel se trouvait installée entre ses jambes en train de lui prodiguer une fellation. Elle voulut se contenter de passer devant lui sans rien dire mais il ne comptait pas en rester là.
-Tu prends la pilule? Demanda-t-il.
Elle se fixa outrée par cette question.
-Je suis un homme marié et il n'est pas question que je fasse des bâtards avec toutes les putes qui passent, rajouta-t-il, alors dans deux jours quand tu reviendras bosser, n'oublie pas de prendre ta pilule.
Elizabeth s'enfuit alors mais elle était bien consciente qu'elle ne pouvait pas échapper à ce monstre.

Un Samedi d'été au ciné...

Un dimanche d'été devant la téle...

L'été des rediff... Différence

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Quelques fois l'âge est important...
Un sujet qui mérite une rediff.

IL AVAIT 19 ANS
J’ai 48 ans et j’ai découvert ma bisexualité il y a une quinzaine d’années en allant dans un sauna. Mais ce n’est pas l’histoire que je veux vous raconter car elle est banale et vécue par pas mal d’entre vous.
En fait, une des rencontres qui m’a le plus marqué, c’est celle avec Louis, un jeune homme d’à peine 19 ans, un soir de juin. Elle s’est déroulée à un rythme et une sensualité que j’aime et je tente dans ce récit de vous faire vivre cette rencontre, ces sensations que d’aucuns jugeront banales car il n’y a souvent que la description des actes sexuels qui les intéressent.
Cela faisait une bonne heure que j’étais revenu à l’hôtel. Je descends toujours au même depuis des années, du côté de la Gare de Lyon. Grand, fonctionnel, anonyme, avec des chambres spacieuses, propres pour un prix raisonnable.
C’est certainement l’un des endroits où je regarde le plus souvent la télévision.
Que faire dans Paris le soir seul sinon déambuler des heures sur les avenues, faire du lèche-vitrines avant de finir seul devant une assiette dans un restaurant bruyant ? Ce n’est pas mon truc.
Habituellement, j’en profite pour travailler un peu. Je vais me sustenter dans une de ces brasseries parisiennes où le va et vient des consommateurs est continuel, créant une ambiance bruyante. Je passe mon temps, en dînant, à regarder les personnes, souvent seules, qui dînent comme moi.
Certaines marmonnent, d’autres lisent, d’autres scrutent autour d’elles…
Bref, un spectacle à ne pas entretenir trop longtemps sous peine d’ennui fatal.
Ma montre marque un peu plus de 20 h et d’un bon, je saute du lit où je me suis affalé – la vie parisienne est épuisante pour moi – et je décide d’aller dîner à quelques mètres de l’hôtel.
Je fais un tour rapidement à la salle de bain pour jeter un dernier œil à ma présentation. Rien ne cloche sinon qu’il est vrai que mes cheveux d’un blanc immaculé ne me rajeunissent plus.
Je me fais un clin d’œil en m’encourageant à haute voix sur mes capacités à plaire.
Muni de mes papiers et ma carte bleue, je traverse le hall de l’hôtel, vide à cette heure-là, et longe la file des voitures en stationnement. Du côté des taxis, la foule se presse. Je regarde amusé un grand noir tenant sa casquette de la main gauche comme pour attendre une obole et d’un geste ample ouvrir la portière du taxi à une charmante clientèle qui ne fait aucun geste pour le récompenser.
Ce quartier brasse un monde de la nuit parfois amusant mais aussi inquiétant.
Comme je continue à regarder le manège de notre boy, j’entre en contact durement avec la vitre d’une cabine téléphonique que je n’ai pas bien située durant mon périple pédestre et mes pensées lointaines.
Je me frotte le front pendant qu’une jeune fille amusée pouffe de rire au téléphone. Cela me vexe un peu, mais comme pour montrer que c’est bien là où je veux aller, j’entre dans une des cabines disponibles.
Je ne vois plus la jeune fille que je soupçonne dans une des trois cabines qui composent le pool téléphonique.
C’est alors que je me demande à qui je vais téléphoner. Je me souviens d’un numéro vert qu’on m’avait donné et qui permet des contacts gays par téléphone.
Ce qu’on appelle communément le réseau. 1,14 F la minute, ce qui n’est pas donné, mais enfin, qui sait. Cette chaude soirée d’été ne m’invite pas à me coucher de bonne heure et si par hasard.
Je fais le numéro lentement pour ne pas me tromper. J’entends une musiquette et une voix m’annonçant que je suis sur le premier réseau gay de France et le moins cher. Puis j’ai 10 secondes pour me présenter en exceptant toute présentation licencieuse qui me jetterait hors réseau comme me l’indique mon interlocuteur à la voix métallique.
« Mike, fin de quarantaine, bi très actif, cherche jeune homme moins de 30 ans maintenant dans le 12ème ».
Il est temps car on m’invite à valider mon annonce ou à la recommencer.
Comme je la valide, une voix m’annonce que le service se réserve le droit de me jeter si mon annonce ne correspond pas à l’éthique du réseau. En revanche, cette précaution me fait rire.
Ethique ? quelle éthique. Puis la liste commence à s’égrener :
« qui ? Dans le 13 veut se faire sucer ? » je passe au suivant en tapant sur la touche 2.
« Eric, à poil, veut se faire défoncer » suivant car je n’aime pas l’obscénité, la vulgarité.
Je passe ainsi la cinquantaine de correspondants avant d’entendre ma propre annonce.
Soudain :
« tu as un message. Si tu veux l’écouter … » patati patata, et instructions pour appuyer sur la bonne touche.
Après le rappel de l’annonce de mon correspondant j’entends une voix:
- Salut mec, t’es comment, t’es bien monté, qu’est-ce que tu cherches. Moi 28 ans, 1m78, 70 kg, yeux bleus, cheveux courts, j’aime jouer les salopes, sucer un mec. As-tu des chaussettes noires, car j’aime lécher les chaussettes …
J’interromps le discours. Rien que de penser qu’un mec me sucerait les chaussettes ne me donne plus envie de poursuivre ma quête.
« tu as un message. Si tu veux l’écouter … ». J’enclenche la bonne touche
- T’es où dans le 12ème ? Moi j’habite dans le 11 et cherche un mec mûr
J’appuie sur la touche étoile de mon téléphone pour lui répondre.
- Côté gare de Lyon et toi tu es comment que cherches tu ?
Je dis que je vais quitter cette cabine après avoir reçu sa réponse car il fait une chaleur humide à l’intérieur et une odeur mélangée de tabac, d’urine et de vomi commence à me porter sur l’estomac.
J’égrène les correspondants en attendant d’avoir ma réponse. C’est alors que j’entends « Louis, 19 ans, sans expérience, cherche … ».
Le message fut certainement trop long ou du moins dit trop lentement, car je n’en sais pas plus. Je veux intercepter ce message, mais je me mélange dans toutes les combinaisons existantes pour finir par perdre mon correspondant. Je me traite d’idiot au passage.
«tu as un message de… ». J’appuie cette fois sur la bonne touche.
- Je m’appelle Luc, j’ai 27 ans, 1m80, 100 kg, passif. J’aime me faire défoncer et sucer. J’aime branler mon partenaire et qu’il me jute sur la gueul
Je ne prends même pas la peine de lui répondre, je passe à la liste une dernière fois. J’entends à nouveau le message de Louis, Et cette fois, je fais ce qu’il fallait.
« Bonjour, je m’appelle Mike, j’ai 48 ans, je fais 1m83, 82 kg, poilu normalement, yeux bleus, cheveux blancs, mais malgré mon âge, je ne suis pas bedonnant mais encore bien foutu. J’aime la tendresse, la douceur, les caresses et j’adore initier. Tu es où ? Merci de ta réponse quelle qu’elle soit ».
Je ne sais pas quand ça a coupé et j’espère qu’il a entendu mon message dans sa totalité. Le compteur du téléphone indique déjà plus de 20 fr. Je sais que sur ce genre de serveur au bout de 30 mn, le service se coupe automatiquement.
Cela m’est déjà arrivé et je veux au moins, avoir une réponse de mon jeune correspondant avant de quitter définitivement et aller dîner.
Le temps s’égrène doucement avant d’avoir un retour.
« vous avez un message de … ». Nerveusement je tapote sur la bonne touche.
- Bonjour monsieur, je m’appelle Louis, j’ai 19 ans et je cherche une première expérience et vous ?
Le « monsieur » me fait sourire. Au moins, ce jeune homme ne fréquente pas ce genre de réseaux. Je prends la peine de lui répondre.
- Je suis entièrement d’accord pour te donner cette première expérience. Je suis à la gare de Lyon et toi ? Qu’attends-tu de cette première expérience afin que j’en tienne compte. Mon âge ne te gêne pas. Je souhaiterais qu’on quitte le réseau car c’est cher et tu m’appelles sur mon portable
Je lui communique le numéro à 2 reprises, même si je sais que sur les réseaux, je prends le risque que ce numéro ne lui arrive pas car l’intérêt du serveur c’est de faire le plus de temps de communication possible.
Le service est cependant bien encombré et il ne doit pas être facile pour les quatre ou cinq superviseurs d’écouter tous les messages.
Le temps continue de s’écouler doucement quand je ressens une vibration dans ma poche de pantalon. Je ne sais pas si je dois raccrocher le téléphone ou attendre pour savoir qui m’appelle.
Maladroitement je me mets en quête rapidement de mon équipement. Les portefeuilles, le mouchoir,la monnaie, tout soudain me gêne. J’entends des pièces tintinnabuler sur la plaque en ferraille de la cabine.
Mais il faut que je fasse vite car à la cinquième sonnerie, c’est ma messagerie qui se met en route et dans ce cas, souvent, les correspondants ne laissent aucune coordonnée de rappel.
- Oui allo !
- Oui
Peu bavard mon correspondant.
. Louis ?
- Oui
Décidément.
- Tu es où ?
- Dans une cabine
- Je veux dire dans quel arrondissement ?
- Le 8ème.
- Tu as entendu ma description ?
Je ne savais plus trop quoi dire, pris entre l’envie de ne pas brusquer les choses ce qui pourraient effrayer mon interlocuteur et d’en savoir plus.
- Oui
- Mon âge ne te gêne pas ?
- Non. Ça dépend comment vous êtes.
Aïe, il y met quand même des conditions. Ce n’est pas la recherche de l’expérience à tout prix.
- Difficile de te dire si je suis bien ou moche car on ne peut pas être juge et partie
- Oui.
Une fois encore la conversation se fait rare.
- Tu es intimidé
- Oui.
- Excuse-moi mais puis-je te poser des questions parfois embarrassantes ?
- Moui …
- Tu as quel âge exactement ?
- Je vais avoir 19 ans au mois d’août.
- C’est vraiment ta première expérience
- Oui
- Qu’est-ce que tu recherches ?
- Sucer un homme
- C’est tout
- Dans un premier temps, oui
- Et dans un deuxième ?
- Je ne sais pas
- Tu ne sais pas ou tu as peur d’en parler ?
- J’sais pas trop comment dire
- Tu veux que je t’aide.
Un silence long au bout du fil.
- Tu m’entends ?
- Oui
- Tu cherches à te faire sodomiser ?
- Oui mais j’ai peur
- De quoi ?
- D’attraper la maladie et que ça fasse mal
- Pas si tu es protégé. Pour le reste, c’est une question de douceur de la part de ton partenaire.
- Oui.
Cela devenait presque fatiguant d’entendre toujours oui.
- Tu veux qu’on se rencontre ?
- J’sais pas
- Qu’est-ce qui te fait hésiter ?
- C’est la première fois
- Oui et alors ?
- Si on se plait pas, je veux partir
- Pas de problème. Je te propose qu’on prenne un verre et qu’on parle. Si on se plaît on décide, sinon tu t’en vas.
Grand silence à nouveau. Je le laisse bien réfléchir. J’entends son souffle dans le combiné.
- Alors ?
- J’sais pas
- Louis, si tu as pris la peine de téléphoner, c’est que tu as vraiment envie
- Oui
- Sinon il ne te restera qu’à te masturber. Au fait, ça t’arrive
- De me branler ? Oui
- Combien de fois ?
- Souvent, 2 à 3 fois par jour
- A ce point
- Oui
- Tu penses à quoi dans ces cas.
Il fallait bien que je trouve un moyen de le faire parler.
- A ça !
- Quoi ça ?
- A sucer quelqu’un
- Et à te faire sodomiser ?
- Oui
- Tu as déjà fait pénétrer des choses dans ton anus ?
- Oui
- Quoi par exemple ?
Silence à nouveau. Le souffle se fait plus court, les méninges travaillent, l’excitation commence à monter chez lui.
- Mon doigt
- C’est tout ?
- Le manche de ma brosse à dent, un stylo
- C’est tout ?
- Oui, mais ça brûle parfois
- C’est pour cela que tu as peur que ça te fasse mal ?
- Oui
- Ca fait longtemps que tu as envie ?
- Oui
- Tu n’as jamais eu d’expériences avec d’autres garçons
- Non, j’ai vu des mecs se branler c’est tout
- Et toi ?
- J’avais honte de la montrer
- La montrer ? ta queue ?
- Oui
- Et maintenant ?
- Elle a grossi. T’es monté combien toi ?
- Je ne sais pas vraiment, mais elle est assez grosse
- Moi 19
- Oh la la ! tu es sûr. Comment tu fais pour la mesurer ?
Il décrit ses critères de mesure et comme d’habitude, il y a facilement 2 ou 3 centimètres de trop. Il est remarquable de voir combien de mecs ont l’obsession d’avoir une grosse queue, même si la mienne n’est pas mal et que la nature l’a bien dotée.
Quand on sait que la moyenne est entre 13 et 16 cm, on imagine qu’à entendre que ça frise ou ça dépasse systématiquement les 18 ou 19 cm, sont des choses assez rares. Mais bon, chacun fait comme il l’entend.
- Ok, mais que fait-on maintenant ?
- J’sais pas
- Veux-tu prendre un pot ?
- Dans ta chambre ?
- Pourquoi pas ?
- Je préfèrerai dehors d’abord
- Comme tu veux, mais tu sais j’ai un mini bar et puis ce serait plus facile de parler sexe dans ma chambre qu’à la terrasse d’un café où tout le monde peut nous entendre
Silence. Il réfléchit à nouveau.
- Alors ?
- Mouais
- Oui quoi ?
- Je veux bien venir. Mais tu me rappelles comment tu es ?

Je recommence ma description en me décrivant le moins possible pour ne pas qu’il se ravise.
- Ca te va ?
- Mouais
- Alors ?
- Je viens. On se retrouve où ?
Je lui décris l’hôtel. Je lui indique le numéro de ma chambre.
- Tu amènes ce qu’il faut ?
- Quoi ?
- Des capotes et de la crème.
- J’ai pas
- Moi non plus
- Tu peux en acheter, je te rembourserai.
- J’ose pas
- Tu n'oses pas aller chercher ça dans une pharmacie ?
- Eh ben non, j’ai jamais fait.
En soupirant, je prends l’engagement de le faire pour lui. Le panneau d’une pharmacie clignote à quelques pas de ma cabine. Je peux bien faire cela.
- Dans combien de temps es-tu là ?
- Une demi-heure ?
- Ok, je t’attends. Si tu as un problème, appelle-moi sur mon portable
- Ok, bye.
Je suis en sueur. Cette cabine sent vraiment de plus en plus mauvais. Je me dirige vers la pharmacie car il est presque 21 h. Pour les préservatifs, le pharmacien n’a aucune réaction.
Pour la crème, il me demande si c’est pour lubrifier le vagin. Je ne lui dis pas que c'est pour un anus et je lui explique en souriant et le plus bas possible que je veux quelque chose d'universel ! Il doit comprendre que je pratique les deux et il va me chercher une crème spéciale.
Le prix lui aussi est spécial.
C’est en rentrant à l’hôtel que je réalise qu’il m’a donné une boîte de 50 préservatifs. Que vais-je en faire ?
Pas question de ramener cela dans mes bagages.
J’ouvre les fenêtres de ma chambre d’hôtel pour faire entrer un peu d’air. La pièce sent encore l’odeur de la savonnette et du shampooing que j’ai utilisés lors de ma douche, prise deux heures auparavant.
J’allume la télé. A cette heure-là, il y a le choix entre un match de football, du music-hall ou un feuilleton. Je mets en sourdine la télévision bien que le bruit soit déjà couvert par celui de la circulation qui s’écoule à quelques étages en dessous
Vingt et une heure vingt
Je commence à avoir la bouche sèche, ceci m’arrive régulièrement quand je suis prêt à réaliser « un coup ». Si j’ai des doutes sur la personne et je me suis fait souvent avoir par des lapins en bonne et due forme, je n'ai pas ce genre de réactions.
Ça me prend au niveau du plexus. Je sens comme une sorte de gargouillis pas désagréable d’ailleurs. Ma bouche s’assèche et je ressens comme une vibration particulière dans tous mes membres.
C’est un signal de bonne baise, comme m’avait dit un jour un de mes partenaires à qui j’expliquais ce phénomène.
La demi-heure est largement dépassée. J’ai déjà bu une bière qui accentue le phénomène d’assèchement. Viendra-il ? Le doute commence à m’envahir. Je prends le temps d’aller uriner.
Au moins cela sera fait me dis-je, car c’est aussi une réaction induite par ce genre de situation allant même jusqu’à des envies d’aller à la selle.
J’entends un vague bruit sourd. Par la fenêtre ouverte, la circulation extérieure masque les bruits du couloir. Je prends à peine le temps de remonter la fermeture de mon pantalon. Quelques gouttes se répandent dessus. Je jure.
J’entrouvre la porte. La lumière du couloir est un peu sombre à cet endroit et j’entr'aperçois un garçon tout habillé de blanc, longiligne, les bras le long du corps comme s’il ne savait pas ce qu’il devait en faire.
- Salut. Lui dis-je
- Bonjour monsieur. Répondit-il.
- Entre.
Il reste quelques secondes sur le pas de la porte, comme s’il réfléchissait à ce qu’il allait faire. J'insiste :
- Entre.
Il pénètre dans la chambre et se fige complètement. Je ferme la porte.
- As-tu trouvé facilement ?
Quelle question ! Mais il faut bien que je meuble la conversation
- Oui
- Viens, assieds-toi ! Lui dis-je en lui tendant un tabouret.
Il s’assied tout près du téléviseur. Je lui demande :
- Ca t’intéresse ?
- Non ! je la regarde jamais.
- Que fais-tu dans la vie ?
- Etudiant
- En quoi ? Excuse-moi, mais je vais te poser toutes sortes de questions, à toi de savoir si tu veux y répondre
- Ca ne me gêne pas
- Etudiant en quoi ?
- Première année de philo
. Ok. Et alors ?
- Alors ?
- Ca se passe bien ?
- Oui, je viens de passer mes derniers partiels
- Ca a marché ?
- Je crois
Il ne bouge toujours pas. Il est habillé d’un polo blanc de marque, d’un jean blanc ou quelques traces de passage dans le métro se voient sous forme de rayures noires sur les jambes. Il porte des tennis blancs et des chaussettes blanches de sport.
Son jean est très serré au point que je ne peux m’empêcher de regarder l’entre jambe qui me semble bien fournie.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Je veux bien
- Alcool ?
- Non, j’en bois pas. Un verre d’eau si vous avez.
- Ne m’appelle plus monsieur et tu peux me tutoyer
- J’sais pas si j’y arriverai
- Tu fais comme tu veux.
Lui dis-je en lui servant un verre d’eau minérale.
- Il fait chaud
- Oui, j’ai fait vite.
Il boit tranquillement en scrutant la chambre et en s’attardant sur les photos qui décorent l’endroit.
- L’hôtel te convient ?
- Oui, ça doit coûter cher ici ?
- Assez, mais ça reste raisonnable pour Paris. Tu vis chez tes parents ?
- Oui
- Ils habitent où ?
- Dans le 15ème
- Ils ne s’inquiètent pas quand tu sors ?
- Non ! je sors pas souvent, mais je peux rentrer tard.
- Tu n’as donc pas de problème d’horaires ?
- Non.
- Que fait-on ?
- Je ne sais pas dit-il
- Je ne te fais pas peur ?
- Non
- Je ne suis pas trop vieux pour toi ?
- Non
Après les oui, ce sont les non.
- Tu ne parles pas beaucoup
- Non
- Veux-tu qu’on aille prendre une douche ?
- Mouais
- Mais avant, je voudrais avoir le plaisir de te déshabiller, tu veux ?
Pour toute réponse, il se lève, toujours aussi raide.
Je m’approche de lui, l’entoure au niveau des épaules de mes bras. Il est à peu près de ma taille. Il ne bouge pas. Je le regarde droit dans les yeux et je lui dis:
- Tu as de beaux yeux tu-sais !
Comme pour parodier le film avec Michèle Morgan . Il me fixe, même si de temps à autre, il essaie de quitter mon regard. Je le sens médusé.
- Ca va ?
- J’essaie
- Tu as peur de moi ?
- Non, de moi
- De toi ?
- Oui, c’est la première fois.
- Je sais, tu me l’as déjà dit, mais décontracte toi, tu verras ça ira très bien.
Il reste cependant raide et sans réaction. Je m’avance vers lui pour l’embrasser.
Il a un recul.
- Tu n’aimes pas ?
- Je n’ai pas l’habitude. J’ai jamais fait...
- Tu veux essayer ?
Il se laisse faire. J’approche mes lèvres des siennes. Il a la bouche fermée. Je lui applique des baisers rapides bouche fermée.
- Tu aimes ?
- Mouais
- As-tu déjà embrassé quelqu’un ?
- Une fois, une copine
- Tu n’as jamais eu de rapports auparavant ?
- Non
- Ni avec une fille, ni avec un garçon ?
- Non
-Pourquoi ?
- Mes parents ont toujours voulu que j’étudie et puis je suis timide
- Tu as quand même embrassé une fille ?
- Une fois et rapidement.
- Viens-là,
lui dis-je en l’obligeant à s’étendre sur le lit. Il se laisse faire. Je me mets sur lui, et tout en le dominant, je le regarde droit dans les yeux et approchant mes lèvres je lui dis :
- Tu es beau
Il esquisse un sourire. J’en profite alors pour appuyer mon baiser et d’un petit coup de langue, je lui caresse l’intérieur des lèvres. Il entrouvre la bouche. Je pénètre alors ma langue doucement et cherche la sienne que je sens en retrait.
Je lui fais comprendre par mes mouvements de langue que je souhaite qu’il ouvre la bouche un peu plus grandement ce qu’il fait. Nos salives se mélangent alors. Des bruits de bouche se font entendre. Je sens son corps se détendre. Ses muscles sont moins tendus.
- Tu aimes ?
- Oui.
Dit-il très doucement, comme s’il ne voulait pas trop répondre. Je reprends l’initiative, mais il commence à son tour à me pénétrer de sa langue. J’en profite alors pour la sucer doucement. Il semble aimer.
Durant ces jeux de bouche qui durent quelques minutes, je mets mon corps au-dessus du sien, mon ventre à la hauteur de son sexe pour ne pas qu’il sente que le mien commence à durcir. Je sens que sous ce jean, la petite protubérance entraperçue lors des premières minutes a pris de l’ampleur.
- Tu érectes ?
- Pardon ?
- Tu bandes si tu préfères !
- Un peu
- Tu as envie ?
- Oui
Je l’embrasse à nouveau tendrement, tout en le serrant fort. Nous roulons sur le côté. Il se met sur son épaule gauche et me regarde.
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Rien. Je te regarde...
- Et alors ?
- Je n’aurais jamais pensé être dans les bras de mon père
- C’est sympa
- Non je dis cela gentiment. Ça me fait plaisir.
- Pourquoi tu n’as pas choisi de rencontrer quelqu’un de ton âge ?
- J’avais peur ...
- De quoi ?
. que ce soit mal fait
- Je te remercie, mais qu’est-ce qui dit que je le ferai bien ?
- J’sais pas. Tu sais embrasser et puis j’aime ta voix.
- On me l’a déjà dit.
- Déjà au téléphone, c’est ta voix qui m’a attiré et puis tu n’étais pas vulgaire
- Je n’aime pas, ce qui ne m’empêche pas de parler de sexe et d’actes sexuels dans toutes ses dimensions.
- Moi je ne peux pas
- Eh bien tu vas essayer avec moi
Il sourit.
- Si je te dis, j’ai envie de te prendre
- Trop tôt
- Bien répondu
Je m’approche de lui à nouveau, l’embrasse longuement. Ma main gauche caresse son plexus. Je sens qu’il frémit. D’un doigt, je fais sortir le bas du polo du pantalon où il est coincé. Il veut tirer lui-même.
- Non, laisse, j’aime prendre mon temps
Il se laisse faire. Il porte un ceinturon marron à grosse boucle. Je le détache, les lanières tombent de chaque côté. Le bas du polo remonte plus facilement laissant entrevoir un ventre blanc où les premiers poils noirs, légèrement en dessous du nombril, apparaissent.
D’un doigt, je le caresse en remontant doucement vers le torse. Là encore, je sens les prémices des premiers poils du torse.
- Tu es poilu ?
- Pas trop et ça dépend où, me répondit-il.
J’appuie mon doigt sur son torse.
- Là, pas trop, quelques uns qui se battent en duel.
Je souris à cette remarque. Je l’embrasse à nouveau en continuant de passer ma main sous son polo. Le corps est chaud, même si à l’endroit du plexus, ce dernier est froid. Cela dénote un certain stress de sa part.
Je cherche le sein gauche que je pince très légèrement entre mon pouce et mon index. Je le sens durcir. Il a encore cette petite boule sous le sein qu’ont les adolescents durant leur période de puberté. Il faut donc y aller délicatement. Sous mes caresses, il a la chair de poule.
- Tu aimes ?
- Oui
Je remonte le polo jusqu’au-dessus de ses seins et j’entreprends de l’embrasser sur le torse et le ventre.
- Ne me fais pas de suçons
- Non, pourquoi ?
- Parce que ça se verrait
- Tu pourrais dire que c’est une fille
- Non, j’aime pas de toute façon
- N’aies crainte
Je le caresse ensuite sous les aisselles. Les poils sont plus nombreux et humides. Je sens cette odeur de mâle qu’on cherche à couvrir ou supprimer avec des déodorants.
Cependant, c’est une sueur récente, l’odeur est attirante, excitante. Je fais glisser son polo. Il soulève la tête pour laisser passer le vêtement. Je peux admirer ce long corps blanc, maigre, où, les bras étendus en arrière font apparaître les côtes.
- Il va falloir prendre du gras ! lui dis-je
- J’suis pas maigre, je pèse 70 kg pour 1m80.
- Je n’ai pas dit que tu étais maigre, mais qu’il faut te remplumer un peu.
Il sourit.
- Je mange pourtant…
Je l’arrête dans ses explications en l’embrassant à pleine bouche. Il rit. Nos dents s’entrechoquent. Je lui caresse les cheveux en mettant mes doigts comme un grand peigne pour tracer des sillons dans sa chevelure noire.
Puis je lui masse l’occiput. Il adore, soulevant la tête comme pour me montrer qu’il faut que je continue.
- Tu aimes ?
- Oui, j’aime bien tes caresses
De la main gauche, je mets mon index entre son pantalon et la chair de son ventre. Il frémit à nouveau. En descendant légèrement le doigt, je sens la ceinture de son sous-vêtement. Je fais passer mon index tout le long de son ventre et de son dos, suivant la ceinture du pantalon.
Cela parfois le chatouille et je sens que ses abdominaux se crispent. Puis, je défais le premier bouton de son jean. Les bords se tendent laissant apparaître la ceinture blanche tissée du nom d'une grande marque, de son slip. Le second bouton ne tarde guère à subir le même sort.
Je vois juste en dessous de la ceinture du slip, un renflement, légèrement sur le côté. Le troisièeme bouton suit laissant apparaître le tissu blanc. Une petite tâche fait son apparition.
- Tu prends du plaisir ?
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que je vois que tu commences à tacher ton slip
- Je n’ai pas « craché » pourtant
- Craché ? quel drôle de mot !
- Qu’est-ce que tu dis toi ?
- Ejaculer
- Eh bien j’ai pas éjaculé.
Il se met sur les coudes pour constater qu’il a effectivement une petite tache. Comme il veut tirer sur son slip afin de voir ce qui se passe dessous, je lui retire la main.
- C’est tout à fait normal, c’est un liquide qui vient lorsqu’on est excité.
Il se recouche en arrière, tout en soufflant
- Tu es fatigué ?
- Non, au contraire, je me sens bien, détendu.
- Tu ne l’étais pas tout à l’heure
- C’est vrai, mais tes caresses …
- Qu’est-ce qu’elles ont mes caresses ?
- Elles sont … bonnes !
- Attends, tu n’as pas tout vu
Le 4ème bouton saute mettant fin à l’ouverture du jean. Je lui soulève le bas du dos de ma main droite et fais glisser le pantalon jusqu’aux genoux. Je me lève. Il me regarde, comme s’il ne comprenait pas pourquoi j’arrête.
- Je t’enlève le pantalon et en même temps les chaussures et les chaussettes car j’ai horreur d’un homme en chaussettes
- Ah bon !
- Oui, ne me demande pas pourquoi, c’est comme ça.
Il se laisse faire, se tenant relevé sur ses avant-bras. Cela semble l’amuser.
Son slip est tendu à l’extrême. Mieux même, il connait certains soubresauts car il doit contracter ses muscles péniens sous l’excitation.
- Tu me parais bien excité
- Pas toi ?
- Si, au contraire tu me donnes envie
- Tu bandes ?
- J’érecte
- Monsieur fais dans le langage classe ?
- Je parle français point.
Je me recouche sur lui. Je sens maintenant son sexe sur mon ventre. Je me dégage sur le côté. Il est allongé les mains sous la nuque, les yeux regardant le plafond. Il attend la suite.
Son ventre se soulève de plus en plus vite. Il doit attendre que je lui enlève le sous-vêtement d’un coup. Mais j’entreprends, comme avec le pantalon de passer un index entre la ceinture et sa peau en suivant tout le tour.
Au premier passage, rien que des muscles abdominaux qui se tendent sous l’effet de ma caresse. Au second passage, mon doigt descend de quelques centimètres supplémentaires et vient buter sur son gland. Sous l’effet, il a une forte contraction pénienne et son sexe se redresse sortant légèrement de la ceinture de son slip que mon doigt soulève Il lève la tête car il a bien senti ce mouvement.
Il doit sûrement s'interroger sur mes intentions.
Je me penche alors et du bout de ma langue, je titille son prépuce. Ses muscles se tendent un peu plus. Je fais descendre légèrement le slip dont la ceinture s’arrête à mi hauteur du membre turgescent.
De la main gauche, je retire le prépuce pour voir paraître un gland humide et bien rose. Délicatement, je passe des petits coups de langue sur le frein. Je l’entends soupirer.
- C’est bon ! finit-il par déclarer
Le slip a vite fait de se retrouver à terre.
Son membre bien droit est bien proportionné, entre 15 et 17 (évaluation au pifomètre). Il est relativement gros. Les poils du pubis sont d'un noir geai, longs et soyeux.
Ses bourses sont très pendantes dans une peau rose et poilue. Ses testicules sont bien rondes et je ne suis pas étonné qu'elles apparaissent au travers des pantalons. Je prends délicatement son sexe à deux doigts pour le porter à ma bouche.
A peine je commence à lui sucer le gland qu’il soupire longuement.
- N’éjacule pas maintenant
- Mais tu m’excites.
- Je sais, mais il faut apprendre à se retenir
- Je ne pourrais pas longtemps
- Dis-le moi quand tu sentiras que ça viendra
Le membre disparait complètement dans ma bouche où il reste, le temps que ma langue fasse le tour entre peau et gland, puis sur le frein et cela à plusieurs reprises. Il râle.
De ma main gauche, je « patine » ses testicules d'une très légère et à peine perceptible caresse du creux de la main le long des bourses. C’est en fait ses poils qui le caressent. Il tressaille.
- Continue ! Dit-il
Je prends dans ma bouche un testicule car installé comme je le suis, je risque à vouloir prendre les deux, de lui faire mal. Il s’est soudain mis en attente de quelque chose.
Peut être a-t-il peur que ça lui fasse mal. Enfin, rétablit sur mon ventre, je peux prendre les deux boules dans ma bouche
- Ahhhhhh.
Est sa seule réaction à mon action. Je vais ainsi du gland aux testicules en passant par un léchage en règle de sa hampe de bas en haut et de haut en bas. J’attends le moment où il va éjaculer, mais je fais tout pour qu’il ne le fasse pas, il nous reste encore tellement de choses à faire.
Je lui caresse l’intérieur des cuisses. Sans lui demander, il les entrouvre comme s’il attendait quelque chose. Ma main se balade doucement le long de ses poils de cuisse. Puis, d’un mouvement délicat, je lui caresse la chair entre cuisses et testicules. Il écarte un peu plus sa jambe gauche.
Je vois ses fesses poilues ainsi que son entre fesses, du même noir que son pubis contrastant avec ses fesses très blanches. Un petit bouton rouge ressort de ce corps blanc et noir.
De mon index, je lui caresse le pli des fesses. Il les soulève légèrement en pliant ses jambes. Cette caresse le fait bouger à chaque passage.
Je mouille alors mon index et me mets à peigner du bout du doigt, ce paquet de poils noirs qui cachent son anus. Il n'attend que cela car chaque fois que j’arrive à la hauteur de son anus, il soulève le bas de son dos.
- Tu veux que je te pénètre
- Hummm.
Ne sait-il que répondre. Il n’a pas envie de dire oui ouvertement, gêné peut être d’admettre qu’il demande à ce que je le pénètre. Plus je le caresse à cet endroit, plus le bout de mon doigt disparait dans cette petite touffe serrée de poils noirs
Je sens cependant que j’arrive au but. La chair granuleuse entourant l’anus est à portée de mon ongle, puis du gras de mon doigt. Je fais des cercles avec mon doigt dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
Il avance ses fesses comme pour m’indiquer qu’il attend que je le pénètre. Chaque fois je recule mon doigt faisant durer le plaisir jusqu’au moment où il me surprend en descendant un peu plus bas.
Ses deux jambes pendent sur le bord du lit, ses fesses sont à la limite de se retrouver dans le vide. Alors, délicatement, je le pénètre pour répondre à ses attentes.
Il serre son sphincter. Je lui enfonce légèrement le doigt et lui fais faire des tours réguliers. Cela détend la chair et mon doigt pénètre toujours un peu plus, jusqu’à disparaître complètement.
- C’est bon ?
- Ouiiiii.
Dit-il en laissant traîner la fin du mot. Je mouille alors mon majeur et tout aussi délicatement, les deux doigts se retrouvent enfouis. Quand je veux attaquer le troisième, il me fait comprendre que cela le brûle un peu.
J’arrête, me met debout et lui dis en rigolant.
- Et moi ? tu y penses.
Il se lève. Il est encore plus gêné de se retrouver ainsi debout, les bras le long du corps, le sexe en érection.
Pour couper court à sa gêne, il se précipite sur mon pantalon pour défaire la ceinture.
- Oh là ! doucement ! lui dis-je. J’ai besoin de tendresse moi aussi.
Il manque sérieusement d’expérience car à la vitesse où il ôte ma chemise, mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes, il me semble retrouver ma mère quand elle me mettait au lit, lorsque j’étais petit.
Je reste debout à mon tour, en mini slip, le sexe complètement raide et couché sur le côté, à la limite de dépasser l’élastique de la jambe gauche. Mon slip est blanc avec une ceinture noire. Il me palpe le sexe au travers le tissu.
- Ouahou ! il est gros dit-il en le pressant.
Il est à la limite de me faire mal.
- Va doucement petit, prends exemple sur ce que je t’ai fait.
Il se met à genoux et me suce au travers du tissu. Je sens ses dents serrer avec précaution ma hampe dure. D’une main, il me caresse les bourses, là encore au travers du tissu,. Il a réduit la pression de sa main et c’est plus agréable. Il passe l’autre main du côté où mon sexe penche et je sens qu’il me prend le gland à pleine main.
- Il est gros …
- Il te plaît ?
- Oui, mais pour le reste
- Quel reste ?
- Tu sais bien.
Il a toujours de la peine à parler des choses du sexe sans passer par des allusions.
- Pour te sodomiser, c’est cela
- En quelque sorte oui
- Tu verras ça rentrera tout seul.
- Ca me fait peur
- Pourquoi ? puisque c’est toi qui te sodomisera.
- Moi ?
- Oui, tu feras cela à ton rythme.
Il fait descendre mon sous-vêtement jusqu’aux chevilles. Sa bouche est à la hauteur de mon sexe. Il le scrute, comme fasciné.
- Prends le dans ta bouche
- Je peux ? Interroge-t-il
- Bien sûr, mais va doucement
Il lèche d’abord mon sexe comme une sucette, comme pour connaître le goût ou découvrir la texture.
- Alors ?
- C’est bon, ça fait tout drôle de sucer
- Pourquoi ?
- C’est bizarre, ce goût, c’est tendre et dur à la fois
Il prend alors une partie de mon sexe avec précipitation et comme s’il voulait se convaincre qu’il faut qu’il en passe par là, il le met entièrement dans sa bouche.
Déséquilibré, je fais un mouvement du bassin qui a pour conséquence de lui enfoncer mon membre au fond de sa gorge. Je sens son haut le cœur et il se retire rapidement, sans lâcher mon sexe de sa main.
- Tu vois, il faut aller doucement avec ce genre d’engin.
Il rit, mais tousse longuement. Il comprend qu'il faut y aller doucement. Alors délicatement, Il suce longuement, sa main serrée juste en dessous du gland, suit les mouvements de bouche, ce qui me masturbe d’autant plus.
Il n’a pas d’expérience mais il le fait vraiment bien au point que quelque chose commence à me chatouiller dans le creux de mon ventre. S’il continue ainsi, je vais éjaculer. Je le prends par le bras, le relève et lui dis :
- Si on allait prendre une douche non ?
- Si tu veux
On se dirige dans la petite salle de bain. Il s’installe dans le fond de la baignoire debout. Je tire le rideau de douche. L’eau se met à « fumer ».
- Aïe ! aïe c’est chaud dit-il en sautant d’un pied sur l’autre.
- Tu vois, tu vas trop vite pour toute chose. Prends ton temps.
Je lui règle la température, je prends la pomme de douche d’une main, la savonnette de l’autre et je le savonne tout en le caressant. Il se tortille.
Je lui fais lever les bras pour le savonner correctement. Sous l’effet de l’eau ruisselant sur sa chevelure, il ferme les yeux, j’en profite pour regarder son sexe qui a commencé à se ramollir.
Je dirige alors le jet sur les testicules. La pression de l’eau et la distance de la pomme évitent de lui faire mal.
Je le savonne de la main gauche et il pose un pied sur le rebord de la baignoire pour me faciliter le passage entre cuisses et testicules. La peau devînt plus blanche encore enduite de mousse toujours plus abondante à chaque passage.
Il tend un peu plus la jambe, ouvrant un peu ses fesses. J’engouffre ma main entre ses fesses et le pénètre de trois doigts. Le savon m’y aide. Il gémit et fait un mouvement de bassin. Les trois doigts s’enfoncent doucement comme aspirés jusqu’à mi phalange.
Je reste ainsi, sans bouger le laissant maître de sa propre jouissance. Il bouge son bassin retirant puis enfonçant chaque fois un peu plus mes doigts serrés. Il finit par me prendre le bras et retirer ma main.
- Le savon me brûle dit-il sans ouvrir les yeux.
Nous restons ainsi, longuement à nous caresser, nous sucer, nous pénétrer manuellement car il en fait autant avec moi, même s’il n’est pas très doux dans sa manière d’enfoncer ses doigts.
Quand nous décidons d’arrêter, nous constatons que le rideau de douche a bougé et que l’eau s’est répandue en grosses quantités sur le carrelage du sol. On s’essuie longuement puis j’éponge le sol avec les serviettes déjà très trempées.
- Je peux me servir ? Interroge-t-il
- Bien sûr, tu prends ce que tu veux.
Quand je reviens, je suis rouge par la chaleur et l’humidité qui régnait dans la salle de bains. Je suis surpris de constater qu’il tient un verre contenant un liquide jaunâtre.
- Qu’est-ce tu bois ?
- Un whisky ?
- Je croyais que tu ne buvais pas d’alcool ?
- Exact, mais je n’avais jamais baisé avec un homme non plus dit-il en souriant
- D’abord on n’a pas encore baisé, mais ça va te faire du mal ?
- Tu me garderas auprès de toi si je suis saoul
- Pourquoi pas.
Il boit à petites gorgées, se rinçant la bouche avec le liquide.
- C’est fort dit-il
- Et peut être pas bon pour la première fois
- Je croyais que le whisky c’était bon
- Eh non ! Et on se demande pourquoi on en boit
- C’est comme le sperme !
Sa comparaison me surprend.
- Ah bon ! dis-je interloqué
- C’est salé et visqueux
- Et alors ?
- J’ai goûté plusieurs fois.
- Je croyais que tu n’avais jamais rencontré quelqu’un
- Ouais, mais le mien
- Ah bon !
- J’aime bien me masturber couché par terre, le cul et les jambes le long d’un mur, ça me permet ensuite quand je sens que je vais jouir, de basculer mon ventre vers l’avant et de mettre ma bite en ligne avec ma bouche. Je n’arrive pas à me sucer tout seul et toi ?
- Moi non plus et il y en a peu qui peuvent
- C’est un de mes fantasmes
- Et alors ?
- J’en fiche un peu partout, mais j’arrive à avoir du foutre qui me tombe dans la bouche et je me dépêche à l’avaler sinon après je ne peux plus, ça me dégoûte.
- J’ai déjà fait cela
- Tu as avalé toi aussi ?
- Oui, mais ça me brûle la gorge.
- Tu as déjà avalé le foutre d’un autre
- Non, dans la bouche, oui, mais pas avalé, ça craint déjà suffisamment dans la bouche
- Et le tien ?
- Oui, quelquefois quand je suis très excité et que je pense qu’il s’agit de celui de quelqu’un d’autre
- Je comprends et alors ?
- Trop salé. Ça a un goût pas très intéressant
Il se tait et regarde la télé. Je me suis assis sur le bord du lit à quelques centimètres de lui. Je porte ma main sur sa cuisse. Il se retourne et me sourit.
- Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
- L’amour petit, mais prends ton temps. Bois !
Je me sers une bière pour l’accompagner. Je prends le temps de regarder son corps. Il a des petits boutons dans le dos. Manque de soleil. Il est légèrement voûté sur lui-même. Ses jambes sont longues et fines, un peu maigres.
Ses fesses sont bien rebondies, fermes, blanches. Des sortes de tonsure sur le sommet de ses fesses paraissent, là où les poils ne poussent pas ou difficilement.
- Tu me regardes ? dit-il en se retournant
- Oui ?
- Et alors ?
- Alors ? je me dis que j’ai envie de te pénétrer doucement
- Me fais pas peur
- Peur ?
- Oui, j’ai peur quand même. Normal non ?
- Normal
Je lui passe la main sur le haut du sexe à l’état de repos. Je fais du creux de la main des cercles sur son pénis qui repose sur les bourses. Peu à peu, sous l’effet du massage, il se redresse.
Louis se retourne, observe sa hampe se soulever, puis me regarde.
- Tu aimes ?
- Oui j’aime ta queue
- On y va.
- Oui petit on va y aller. Installe toi.
Il pose son verre, se met debout. Son pénis s’est tendu parallèle au sol. Il installe les oreillers et se couche. Je sors un préservatif, enlève l’opercule du tube de crème et les laisse ainsi sur la table de nuit, prêts à être utilisé.
Nous restons un instant couchés l’un face à l'autre, chacun se tenant la tête. Nos yeux se noient dans les yeux de l’autre. Je suis d’un coup troublé par ce regard bleu-vert qui ne quitte pas le mien.
J’ai l’habitude de jouer à ce jeu mais là, je sens une fois de plus mon ventre m’avertir que ça risque de ne plus devenir un jeu. Je prends le parti de tendre le bras, d’attirer sa tête vers moi. Il se laisse faire. Je l’embrasse furtivement.
- Je t’aime ! lui dis-je surpris moi-même par cette déclaration
- Déjà ?
- Je voulais dire, je suis heureux d’être avec toi.
Je me récupère vite sachant que cette phrase est venue seule sourdre de mes lèvres sans effort, sans préméditation.
A nouveau, je l’embrasse. Il glisse sur le côté et se met à plat ventre. Son sexe se durcit et se plante presque verticalement sur ce ventre plat et blanc. Ce petit gland rose jure parmi cette blancheur.
Alors tout va très vite. Je me mets sur lui, érectant fortement. Il bouge son ventre, me massant le sexe au passage. Je l’embrasse fougueusement, mes mains caressant tout son corps, de haut en bas.
Je sens mon excitation monter, comme si elle allait m’échapper, je le retourne sur le ventre, lui caresse les épaules, puis d’un ongle, je le force à creuser le dos en démarrant mon jeu du bas de la nuque à la raie de ses fesses.
Je le laboure de mes ongles, lui tapote les fesses, le pince, toujours le plus délicatement possible. Je passe ainsi de la douce caresse à celle de l’égratignure. Son dos se zèbre de traits rouges, mais il ne le voit pas.
Je l’embrasse sous les bras. Il a sa tête posée sur l’oreiller comme s’il fixait en direction de la porte, mais il a les yeux fermés. Il apprécie tantôt ces massages, tantôt ces caresses.
C’est un enfant qui se laisse caresser. Je lui embrasse les pieds qu’il bouge car ça doit le chatouiller. Je lui masse la plante des pieds, les mollets, le caresse au niveau du pli des fesses, lèche ses fesses, égratigne son dos, masse ses clavicules … puis j’écarte ses fesses.
Je vois la petite touffe noire briller sous l’effet de la sueur qui perle à cet endroit. J’écarte encore plus jusqu’à apercevoir la chair rose de son anus. Du bout de ma langue, je dégage les longs poils qui l’obstruent et enfonce le bout de ma langue dans sa rosette.
Notre douche nous a permis de bien nettoyer l’endroit car si c'est négligé on perd vite le plaisir au détriment …. Il râla. J’engage quelques centimètres de ma langue. Je sens la chair tendre. Je le pénètre au rythme d’un va et vient du bout de ma langue, judicieusement étudié, comme si je le pénétrai avec mon sexe.
- Encore ! encore ! n’arrête-t-il pas de dire . Puis
- C’est boooooooooonnnnnnnnnnnn
Il soulève ses reins comme pour que je le pénètre un peu plus, mais je commence à avoir une crampe à la langue.
- Tu veux ?
- Quoi ?
- Qu’on essaye ?
- Oui, mais va doucement
- Je te le promets. Ne bouge pas.
Je prends le tube. Le bruit que fait la crème en sortant ressemble à une sorte de bruit de défécation. L’analogie et les circonstances me font sourire.
Je pose une noix de crème sur le bout de mon doigt et le masse autour du sphincter, longuement.
Je vois l’anus s’entrouvrir et se fermer. Puis, je mets le tube à quelques centimètres de son anus et fait couler l’équivalent de deux ou trois noisettes de crème.
- Tu vas m’en mettre partout
- Oui, mais ça ne tâche pas. Bouge pas.
J’introduis doucement un doigt, de plus en plus profondément. Puis un autre pour passer l’équivalent de trois doigts suffisamment profondément pour que la crème pénètre.
- Va doucement
- Je vais doucement. Tu m’arrêtes si ça te fait mal.
Je remets de la crème. Quand il me semble que mes doigts ont suffisamment détendu le sphincter, je place mon sexe recouvert du préservatif près de son anus.
- Je vais y aller doucement. Tu me diras
- Ok
- Je te recommande, quand tu le sentiras, pousse comme si tu allais à la selle, ça facilitera la pénétration
- Ok
Il retourne sa main droite et me prend la cuisse. Il appréhende car il me serre de plus en plus. Le gland touche son anus.
- Va doucement ! Répète-t-il
Mon gland est très gros et doit lui faire peur, je l'enfonce doucement. Il disparait à moitié. Alors je sens qu’il me serre plus fort.
- Ca fait mal.
- Attends, je reste et je ne bouge plus. Dès que la douleur aura disparu, tu me le diras
- Ouais.
J’attends quelques secondes. Sa main se détend. C'est le signe qu'il sent moins mon gland. Je reprends la progression. En trois petits mouvements, mon gland disparaît complètement, mais cela représente trois ou quatre centimètres sur les dix huit.
- Ca va ?
- Oui, ça fait tout drôle...
- Quoi ?
- Difficile à expliquer. Tu ne connais pas toi ?
- Non jamais fait.
- Je te le ferai après
- Si tu veux.
Je continue à le pénétrer de quelques centimètres puis me retire de moitié et ainsi, peu à peu je commence à voir disparaître ma verge. Le moment où elle est happée complètement arrive. Je ne bouge pas.
- Ca va ?
- Oui ! me répondit-il
- Et alors ?
- Ca fait drôle, mais ça commence à me faire moins mal
- On essaie ?
- Quoi ?
- De faire des va et vient
- Ok mais doucement
La crème joue son rôle et mon pénis commence à sortir d’une dizaine de centimètres pour à nouveau disparaître.
- Ahhhh !
- Je te fais mal ?
- Non au contraire, j'ai de drôle de sensations, vas-y
J’augmente le rythme et j’appuie ma pénétration. Comme je me retire un peu vite, ma verge sort. La poche d’air du préservatif bouge au bout de ma queue.
Nulle trace de selle ne macule le préservatif. Je m’enfonce à nouveau. La main se serre sur ma cuisse. Je reste ainsi quelques instants puis je le re pénètre.
Il se redresse, se met à genoux tout en étant pénétré, se cale les deux oreillers sous la tête.
- Tu as mal ?
- Non je te sens mieux maintenant
Son sexe a sérieusement ramolli.
- Tu n’as plus envie ?
- Pourquoi ?
- Parce que ta queue est molle
- La douleur et l’anxiété du début
Il se masturbe.
- Laisse je vais faire les deux en même temps.
Il se laisse faire. Je passe une main sous ses testicules et l’autre saisit sa hampe turgescente et je le masturbe pendant qu’il tire son corps vers l’avant puis le pousse vers l’arrière, ce qui joue le rôle de va et vient. Je n’ai qu’à prendre le temps de le caresser.
Cela dure de très longues minutes. Tantôt il geint, tantôt il râle, tantôt il se plaint quand il va trop vite.
- Ca me chauffe finit-il par me dire
- Tu tiens ou j’arrête ?
- Vas-y c’est tellement bon au-delà de la douleur
On prend diverses positions, mais je m’arrange toujours à tenir son sexe d’une main et je caresse ses bourses de l’autre.
- Je sens que ça vient me dit-il
J’arrête alors de le masturber.
- Je vais te finir avec ma bouche
- Tu avales ?
- Non, mais je peux recevoir ton sperme sous ma langue.
- Oh ! Oui
Il se met sur le dos. J'enlève la capote qui a commencé à se brunir. L’effet pompe des va et vient finit toujours par faire descendre quelques selles des intestins.
Puis je lui prends le sexe dans la bouche. Son gland est devenu sensible car à chaque coup de langue, il râle.
- Ca vient, ça vient … dit-il
Je sens effectivement plusieurs jets chauds dans ma bouche.
- Arrête, arrête !
dit-il en me prenant la tête pour la retirer Ma bouche recrache l'éjaculât qui glisse le long de sa verge et inonde ses poils. Ma bouche a un goût salé mais pas aussi acide que je le croyais. Je me lève et vais me rincer rapidement.
Quand je reviens, il est allongé sur le dos, la main devant ses yeux comme pour se protéger de la lumière. Son sexe pend le long de sa cuisse. Il est long, fin, le prépuce recouvre le gland, mais le sperme semble encore couler de son membre. La tige est pleine de sperme qui continue à couler le long.
- Ca va ?
Il ne répond pas.
- Ça va ?
Je vois alors qu’il a comme des soubresauts. Je lui prends le bras et tente de lui enlever la main qu’il a portée sur ses yeux.
- Laisse-moi
- Tu pleures ?
Il sanglote.
- Tu as mal ?
Un long silence s’installe entre nous. Je m’assois sur le lit et le regarde ainsi, ce grand enfant qui vient de faire sa première expérience. Il s’essuie les yeux, a un petit sourire.
- Je suis con non ?
- Pourquoi tu dis ça ?
- De chialer ?
- Non pas du tout
- J’ai eu tellement de plaisir. Je n’ai jamais connu ça avant. J’étais tendu depuis plusieurs jours, depuis le jour où j’avais décidé de faire le saut. Mais je ne pouvais pas en parler autour de moi, prendre conseil. J’avais envie et peur à la fois.
- Et maintenant ?
- Bordel, c’était bon, c’était extra, c’était super ! J’ai jamais connu de telles sensations
Il se met sur le coude.
- Embrasse-moi ! Dit-il
Je l’embrasse du bout des lèvres, mais il m’oblige à entrouvrir mes lèvres. Il me fait basculer sur le lit.
- Je vais m’occuper de toi maintenant.
Je me laisse faire. Ses gestes sont plus précis, moins gauches. Il est évident qu’il avait envie de faire plaisir et qu’à ce titre, il sait quelle intensité il faut qu’il donne à ses caresses.
Cela dure un long moment. Je ne veux pas qu’il me pénètre Je ne suis pas prêt et j’appréhende qu’il me gâche mon plaisir.
Dès qu'il me suce, je sens très rapidement mon envie monter.
Je l’avertis une fois : il continue, je l’avertis deux fois en faisant un énorme effort de ne pas éjaculer avant qu’il se retire. Mais je comprends vite qu’il veut aller jusqu’au bout. Je me mets alors à gigoter dans tous les sens tant sa langue officie de manière fabuleuse.
J’ai trois ou quatre soubresauts. La seule chose que je sens, c’est la chaleur de sa bouche.
- Va cracher ! lui dis-je
- Pourquoi ? dit-il en relevant la tête.
Un filet de sperme coule au coin de sa lèvre droite.
- Tu as avalé ?
- C’était pour te dire merci
- T’es con ou quoi ? ne fais jamais ça avec n’importe qui
- Tu n’est pas n’importe qui, tu es mon « premier » et je pense qu’un mec marié ça prend des précautions
- Ne pars jamais de ce principe dis-je en colère.
- Fais pas la gueule.
J’approche ma bouche de la sienne. Mon propre sperme colle à ses lèvres. Il a quelques gouttes mélangées à sa salive qu’il me fait partager. Nous nous levons.
J’entends sonner minuit. Cela fait quelques heures que nous sommes ensemble.
Il n’arrête pas de dire que c’était super.
Une fois la douche prise, il se rhabille après avoir attendu quelques instants. Il souhaite certainement qu’on dorme ensemble.
Je sais qu’une deuxième séance va m’accrocher un peu à lui. Son regard angélique m’attire.
- Si je comprends bien
- Oui, tu as compris lui dis-je
- On se reverra
- Non Louis.
Il relève la tête, les yeux un peu embrumés.
- Pourquoi ? j’te plais pas ?
- Si trop
- Justement
- Non Louis, tu as ta vie, j’ai la mienne et je ne veux pas m’attacher
- Mais on se verra quand tu reviendras
- Non Louis.
Nous n’échangeons plus un mot. Quand il a fini de s’habiller, il vérifie son portefeuille, sort un ticket de métro et se dirige d’un pas ferme vers la porte
- Louis ?
Il ne répond pas.
- Bonne nuit Louis !
Ma voix est couverte par le bruit de la porte qu’il fait claquer en partant.

Il est en colère. Je suis apaisé. Quelques minutes après, je revois dans mon rêve les bons moments que nous avons partagés.
Il avait presque 19 ans et j’en avais 48........

Rediffusion cet été de l'almanach du cocu

Rediffusion cet été de l'almanach du cocu


Rediffusion cet été de l'almanach du cocu

Les redif de l'été... Tesxte historique

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Un des plus vieux texte du net.
Il n'a pas pris une ride...

MOURAD
Ma femme m' a demandé mercredi dernier de l'aider à lui raser la chatte. Surprise, c'était une vieille demande, restée sans suite et qui m'était complètement sortie de l'esprit.
Couple du milieu de la quarantaine, notre vie sexuelle est des plus calmes et c'est un euphémisme. Je me suis donc exécuté avec célérité et excitation pensant que c'était le prélude à une chaude soirée mais ce fut la douche froide.
"Ce n'est pas pour toi" me dit elle.
????Je bafouillais une demande d'explication et pour seule réponse elle pris son téléphone portable, fit un numéro et me le passa. Complètement étonné, je me contentais de bafouiller un a-allo.
"Salut, je suis Mourad et je baise ta femme."
- Hein? Quoi?
- T'as compris, je nique ta connasse de bonne femme.
- Mais
- Ecoute, si elle m'a appelé c'est qu'elle a la chatte à l'air et que tu la lui as rasée.
- Euh, ouui.
- Bien, t'es pas capable de la faire grimper aux rideaux et à son âge c'est normal qu'elle cherche à prendre son pied.
-!!!
- Réponds!
- c, c'est vrai.
- Bien, alors je suis d'accord pour m'en charger et gratuitement. je me paierai sur la bête. OK?
- Ououi.
- Je parie que ça te fait bander de savoir que j'enfile ta morue.
- Oui.
- Bien, je crois qu'on va bien s'amuser tous ensemble. Dis lui que je l'attends à la cité. Qu'elle se maquille et qu'elle oublie pas ses ongles mains et pieds, sa mini noire, bas, balconnet et string. Je sais qu'elle n'aime pas ça, la ficelle dans le cul mais faut qu'elle s'habitue, Non?
J'étais sonné, tétanisé et une fois encore je bafouillais un timide oui.
- Je vous attends dans une heure qu'elle oublie pas ses capotes.
Complètement sonné je regardai ma femme et lui demandai ce qui se passait.
- Ecoute, je n’y peux rien, c’est peut être le démon de midi mais j’avais tellement envie de me faire baiser et bien baiser que je n’ai pas pu dire non. C’est physique, je te dégoûte peut être mais…Allez, je me change et on y va. C’est juste physique, je suis ton épouse et souhaite le rester mais j’ai un homme maintenant.
Une heure plus tard nous sonnions à l’entrée d’une barre HLM. La porte s’ouvrit et je reconnus le fils de notre femme de ménage, un jeune beur d’à peine 17-18 ans !!!
Ma femme entra la première et sans autre forme de procès Mourad l’embrassa lui pelotant la poitrine et lui pognant le cul. Il était patent que ma femme répondait à ses assauts, sa langue s’activait et son bassin frottait le bas ventre de son amant.
Lorsqu’ils se séparèrent, Mourad affichait un sourire radieux et il me dit :
- Ca te plait de voir ta femme se faire tripoter ? je suis sur que tu bandes, allez désappe toi en vitesse.
Dans un état second, je me dévêtit, exhibant effectivement mon sexe en érection. Eclatant de rire, Mourad m’asséna :
- Je comprends qu’avec ta petite bite, j’ai pas eu de mal à me faire ta gonzesse. Même les pétasses de la cité sont plus difficiles à choper. Je parie que tu as envie que je la saute devant toi. Réponds !
Et je ne pus apporter d’autre réponse que d’éjaculer à mes pieds, déclenchant une cascade de rires des deux amants.
- Petite bite et éjaculateur précoce, tout pour plaire. T’es qu’une lopette hein ?
Ecarlate, les yeux baissés, la bite tressautante j’articulai piteusement :
- Oui, Monsieur, déclenchant un nouvel éclat de rire.
En moins de 5 minutes j’avais reconnu le mâle dominant.
- Dis moi ce que tu veux.
- Que vous la sautiez et la fassiez jouir.
- et toi salope ?
- Oui prends moi mon amour.
- Devant lui ?
- Comme tu veux. Je suis à toi, tu es mon homme.
- OK mais d’abord tu nettoies tes cochonneries connard.
Devant mon air ébahi, il ajouta :
- Avec ta langue abruti.
Je m’agenouillai et me mis à lécher mon sperme sur le carrelage sous les regards moqueurs des deux amants. Nous entraînant au salon, Mourad fit allonger Sandrine sur le sofa et me dit :
- Tu lui enlèves son string et tu lui écartes les cuisses.
Ce que je fis, passant derrière le canapé et saisissant les chevilles de ma femme. Mourad enfila une capote sur un sexe d’une longueur et d’une largeur sans commune mesure avec mes attributs et embrocha sa maîtresse sans délicatesse, lui arrachant un cri. Il commença à la pistonner, lui ordonnant de garder les yeux ouverts quand il la limait. Je vis le bas ventre de mon épouse se contracter, elle se mit à murmurer des oui, oui et des râles de plaisir de plus en plus bruyants. Je ne l’avais jamais vu dans cet état, l’orgasme approchait rapidement.
Et Mourad s’arrêta aussi soudainement qu’il était entré dans le con de mon épouse, lui arrachant un nouveau cri de dépit, cette fois ci.
- Encore, continue.
- Non, la capote me gêne. Je sens rien, tu vaux pas le coup.
Dans un éclair de lucidité je lui dis que le préservatif était indispensable.
- Je crois pas, je l’utilise que pour les putes de la cité. Je suis sûr qu’elle ne doit baiser qu’avec des petits blancs bien propres sur eux. Allez salope, si t’en veux encore, tu l’enlèves toi-même sinon tu te casses. Ma femme me regarda et dit :
- C’est trop fort, baises moi, baises moi à fond et toujours en me regardant je la vis enlever la protection de son baiseur.
- T’as vraiment le feu aux fesses toi. Y a que les bourges blanches et mariées de ton genre que l’on peut niquer à vif.
Ces mots et la nouvelle introduction de la bite de Mourad déclenchèrent l’orgasme de ma femme. Elle se mit à glapir des borborygmes, à pleurer, des traces de son mascara maculaient ses joues, de la bave apparaissait à la commissures de ses lèvres.
Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles mais curieusement j’étais plus qu’heureux de voir enfin ma femme prendre son pied après plus de vingt ans de mariage
Mourad aussi affichait un sourire satisfait, il ralentit sa cadence, laissant ma femme reprendre ses esprits.
- Tu la veux dans le cul ?
Ma femme m’avait laissé la sodomiser au début de notre union mais la première fois avait été la dernière, cette pratique l’ayant également laissée froide. Aussi fus-je surpris quand elle laissa échapper un oui.
- Oui, quoi ? répondit Mourad.
- Encule moi, mets la moi au cul, vite j’ai envie.
- Tu l’as déjà enculée, lopette.
Comparant, nos attributs j’apportai une réponse négative, ma petite bite n’avait pu casser le cul de Sandrine.
- Non, elle est vierge de ce côté.
- Alors, en voiture Simone.
- Attends, il faut la lubrifier, tu vas la déchirer.
Sans doute surpris par mon cri d’inquiétude qui révélait une crainte sincère et véritable, Mourad me lança :
- File chercher quelque chose dans la cuisine.
J’abandonnai les chevilles de mon épouse et trouvai la cuisine. J’en ramenai fissa un morceau de margarine. Mourad abandonna la chatte de mon épouse qui émit un bruit de siphon du plus bel effet. Je commençai des mouvements circulaires avec mon lubrifiant de fortune sur l’œillet de ma femme et rejouai le dernier tango à Paris. J’essayai d’introduire tant bien que mal la margarine dans son cul. L’exercice de m’apparut pas facile, n’est pas Marlon Brando qui veut;
Mon index ouvrit la porte, le pouce et le majeur poussant la matière grasse. Lorsque la plus grande partie fut à l’intérieur de son fondement, je repris les mouvements circulaires avec deux doigts. La bite de Mourad était à quelques centimètres de ma bouche et je levai les yeux, trouvant son sourire moqueur.
- Suce me lança t’il.
Timidement j’avançai et le pris en bouche.
- T’es vraiment une fiotte toi.
Il mit sa main sur ma tête chauve et imprima son rythme.
- Allez, on passe aux choses sérieuses.
J’abandonnai et son sexe et le cul de ma femme. Là encore sans ménagement, il s’y engouffra, lui arrachant un cri de pur souffrance. Il s’immobilisa, lui laissant le temps de s’acclimater à cette puissance étrangère.
- Reste pas à rien faire, fous toi des doigts dans le cul ! comme ça j’aurai deux enculés.
Je m’exécutai pendant qu’il recommençait son pilonnage. Petit à petit, Sandrine prit son rythme, partagée entre souffrance et plaisir.
- T’as mal ?
- Ouuui.
- Tu veux arrêter ?
- Noon, fais tout ce que tu veux, tout.
- Tout ?
- Oui, je t’aime.
- Tu m’aimes ? Tu parles, tu veux juste te faire ramoner par une grosse bite, oui.
- Ah je vais jouir par le cul.
Une nouvelle vague submergea ma femme alors que Mourad la pistonnait sans ménagement.
Il éjacula relativement rapidement, décula et finit de se lâcher sur l’anus béant de Sandrine.
- Viens me nettoyer et garde ton fion ouvert.
Une nouvelle fois agenouillé devant le nouvel homme de mon épouse, je le repris en bouche, absorbant son foutre, la mouille et la merde de Sandrine et les restes de margarine. Mon boulot achevé, Mourad se rhabilla, ma femme était dans un état catatonique et moi complètement perdu.
- T’es une belle salope, tu caches bien ton jeu sous tes allures BCBG et ton petit air supérieur.
Je suis sur que tu passes ton temps à te faire sauter par tout ce qui passe. Hein, raconte moi qui a accès à tes trésors, la liste doit être impressionnante.
- Non, j’étais fidèle, je sais pas ce qui m’a pris.
-Envie de bites, je t’ai dit. Je crois que t’as compris, t’as besoin de ta dose et pas d’une petite. Qu’est ce que tu fais comme boulot ?
- Directrice juridique.
- Et dans ta boite, y a personne qui te drague.
- Non.
- Menteuse, y a toujours le tombeur dans ces grosses boites, non ?
- Si.
- Qui ?
- Georges T., le responsable de la sécurité.
- Mais encore.
- C’est un ancien militaire de près de 60 balais, tout le monde sait qu’il saute les secrétaires et les femmes de service, ce type c’est la discrétion personnifiée.
- Il t’a draguée ?
- non.
- Allez.
- Au pot de nouvel an, on danse et au dernier, il m’ collé et caressé le derrière.
- Ca t’a excité ?
-…
- Réponds !
- Oui, j’y ai pensé, il est très viril et j’ai senti son sexe. Quand on baise, il m’arrive de penser que c’est avec lui.
- OK, si tu veux me revoir, c’est simple, je veux que tu te le fasses. Tu le prouveras à ton cocu qui me fera le rapport.
- C’est pas possible, si je le fais toute la boite sera au courant en 24 heures.
- C’est ton problème. Et puis tu vas faire plaisir à ton cocu. N’est ce pas ?
- C’est elle qui décide.
- Je sais connard je te demande si savoir que ta femme se fait sauter à son bureau t’excite, et je connais la réponse ducon.
- oui, je crois.
- Mais t’es vraiment con, si je le fais tout le monde sera au courant : à mon boulot, au tien, la famille, les amis, les voisins, tout notre entourage. Tu penses une bourgeoise avec le feu aux fesses, tous les cinglés vont vouloir en profiter et nous n’avons pas que des amis.
- Mourad, je t’en supplie reste discret, je ferai tout ce que tu voudras, je t’aime.
- Tu fais chier avec tes je t’aime, t’es une salope, tu le savais et effectivement du monde va le savoir mais j’en ai rien à foutre. De toute façon maintenant, il te faut ta dose et c’est pas ta lopette qui va fournir. Tu connais mes conditions. T’as une semaine pour t’envoyer ton type de la sécurité et peu importe si la planète entière est au courant. C’est pas la peine de rappeler si ton cocu n’a pas la preuve de ton adultère. Dégagez.
Nous commençâmes à nous rhabiller.
- Dégagez, je veux plus voir vos tronches de cakes.
Nous nous retrouvâmes sur le palier, moi complètement à poil et Sandrine avec ses seuls Dim-up et ses talons aiguilles.
Morts de peur, nous bâtîmes des records de vitesse pour nous revêtir.
Le retour fut silencieux.
Le lendemain matin, je vis que Sandrine portai un combiné SG-Slip rouge avec un tailleur gris habillé mais sexy.
- Alors lui dis-je.
- Tu verras bien, à ce soir.
Je vis. À mon retour il était évident que mon épouse avait beaucoup pleuré, ses yeux étaient rouges, ses cernes apparentes.
- Que s’est il passé ?
Elle remonta sa jupe et me dit : Vérifie.
Les traces sur son slip étaient explicites, je passai un doigt sur sa fente qui ressortit maculé.
- Putain, mais met leur des capotes.
- Y voulait pas. Mourad a raison, j’en pouvais plus dès que j’ai quitté le lit.
Je suis complètement accro à la queue.
- Raconte.
- J’ai croisé G. en fin d’après midi et je l’ai salué en lui serrant la main, ce qui l’a surpris car je me contente généralement d’un bref hochement de tête. Il m’a gardé la main plus longtemps que nécessaire et j’ai souri.
- Particulièrement en beauté aujourd’hui. C’est pour moi ?
- Pourquoi pas ?
- Rejoins moi au local photocopies du 6ème à cette heure on sera tranquilles.
Cinq minutes plus tard, j’y entrai. Il arriva aussitôt.
- Je savais que sous tes grands airs, t’étais une chaude.
Nous nous sommes embrassés, il m’a tout de suite peloté les seins.
- Tu mouilles, t’as envie.
- Oui, baise moi, j’en peux plus.
Il se recula : -Montre tes nibes et ta chatte.
Je dégrafai mon chemisier, j’avais mes tétons érigés qui me faisaient mal. Je le regardai toujours et j’ai relevé ma jupe sur mes hanches et j’ai commencé à descendre mon slip.
- Laisse le à tes genoux !
Dépoitraillée, le slip aux genoux, j’étais rouge de honte et d’humiliation.
- Retourne toi contre la photocopieuse et écarte les cuisses au max.
Je vais te baiser comme la dernière des salopes, Madame la directrice.
Quand je pense que je n’ai même jamais pu me faire une secrétaire et que je me tape un cadre sup.
Tu dégoulines, on dirait les chutes du Niagara, c’est vrai que tu la veux.
- Oui, oui, vas y baises moi, je suis une salope, j’aime ça, baise moi comme une pute.
Il m’agaca le con en y passant sa bite.
- Mets la moi, vite, oh s’il te plait, enfile moi.
Il s’engouffra et me lima avec force.
- Oui, oui oh c’est bon. A fond, a fond, oh.
Mes mains étaient crispées sur le capot de la machine et un premier orgasme me submergea.... C’est en rouvrant les yeux que je découvris Laurence, la secrétaire de mon adjoint, son portable à la main. Un sourire lui dévorait le visage.
- Bonjour Madame, je ne vous dérange pas, celle du 4ème est en panne, je ne fais que passer, continuez. Dites Georges, votre tableau de chasse s’améliore. Belle prise, si on peut dire.... Mais c’est conforme au règlement intérieur. On peut se faire mettre pendant et sur les lieux de travail ?
- Laurence, écoutez c’est un accident et…
Elle éclata de rire :
- Un accident ! Sa bite s’est jetée sur votre chatte qui n’a pu l’éviter. Ca arrive tous les jours.
- Laurence, s’il vous plait, vous êtes une femme..
- Oui mais pas une salope.
- Laurence on peut s’arranger.
- J’en suis certaine. J’aime bien ton slip, c’est dommage que tu l’élargisses comme ça, tu vas l’avoir aux chevilles la prochaine fois que tu vas vouloir le mettre. Enlèves le.
Toujours emmanchée sur la bite de Georges, je me contorsionnais pour l’atteindre et le faire descendre puis l’ôter.
- Donne le moi. A partir d’aujourd’hui, tu auras la chatte à l’air au bureau. Compris ?
- Oui.
- Ca va plaire à la sécurité, hein Georges.
- Sur, je crois qu’on a trouvé notre garage à bites.
- Madame acceptez vous vos nouvelles fonctions ?
- Je n’ai pas le choix.
- Si le choix dans la date.... Connasse, bien entendu que t’as pas le choix si ce n’est de te casser de la boite.
Elle s’approcha de moi et me cracha à la figure. Georges éclata dans mon ventre à ce moment.
- Avales salope.
Ce que je fis, Georges se retira, pris mon slip, le renifla, « Ca sent la marée » fit il finement remarquer, s’essuya et le jeta.
- N’oublie pas qu’elle t’a dit de garder ton minou à l’air. Mes collaborateurs et moi-même vérifierons.
-NON, je vous en prie ça doit rester entre nous..
-Ta gueule, un garage à bites, ça reçoit des bites. Point.
Vaincue, j’abandonnai toute résistance ou peut être l’avais je abandonnée depuis longtemps, depuis que Mourad m’avait fait découvrir le plaisir de se faire bien mettre.
- D’accord, je ferai ce que vous voudrez.
- A toi georges.
- Moi c’est simple. Accès illimité à Madame pour tout le service.
- C’est entendu mais ma petite Sandrine, ça va pas te laisser beaucoup de temps pour le boulot. C’est bien beau de se faire tirer toute la journée mais les dossiers n’avancent pas. Tu crois pas que tu devrais laisser la place à mon patron ?
- Sssi j’irais voir le DG et je lui proposerai mon remplacement demain matin.
- Tu comprendras que je ne vais plus prendre de directives d’un garage à bites.
- C’est d’accord, je m’arrangerai avec ma secrétaire.
- T’as pas besoin de secrétaire pour te faire mettre.
- OK, Ok.
- J’aime le café noir, tu t’en souviendras avec tout le foutre que t’as dans la tête.
- Oui.
- Alors à demain salope.
Georges me claqua le cul et me dit « Pas mal pour une vieille. N’oublie pas tes engagements pour mes gars. » Et il sortit aussi. Je récupérai mon slip et allai le remettre mais je n’avais enfilé qu’une cheville quand je m’arrêtai, l’enlevai et le mis dans ma poche. Je l’ai remis en arrivant à la maison.
Voici me dit elle, je suis le garage à bites de ma boite, j’ai perdu mon job et j’ai envie de Mourad, appelle le.
J’appelai immédiatement.
- Allo, Mourad, c’est X.
- Salut cocu, qu’est ce qui t’amènes ?
- Sandrine, c’est fait, elle s’est envoyée Georges.
- Déjà, elle a pas perdu de temps, elle est vraiment chaude, c’est pas le feu qu’elle a au cul, c’est l’incendie du siècle. Comment elle t’a montré ?
- Son slip et sa chatte étaient pleins de foutre.
- Putain, elle se fait tirer à vif cette conne, va vraiment falloir se protéger maintenant, quelle merde.
- Je sais je lui ai...
- Ta gueule, bon tu l’amènes j’ai une surprise pour elle.
Sandrine était toute excitée à l’idée de revoir son amant. J’étais sidéré, alors qu’elle venait de prendre une claque monumentale à son job, elle frétillait comme un gamin devant un sapin de noël ; je n’en revenais pas. J’avais du mal à analyser la situation. Jamais elle ne m’avait fait le moindre reproche sur mes évidentes lacunes sexuelles. Elle se disait elle-même frigide et affirmait que les deux personnes qui m’avaient précédé dans son lit n’avaient pas eu plus d’effets sur sa libido. Le devoir conjugal était un vrai devoir. Point.
La seule explication convaincante, du moins pour moi, était l’âge. A 45 ans, encore séduisante, elle avait peur de l’avenir et cette peur faisait tomber ses inhibitions. Arrivé chez, Mourad elle se pendit à son cou et l’embrassa langoureusement.
- J’ai envie.
- Je me doute, viens, j’ai une surprise pour toi.
Nous entrâmes dans la salle à manger, où 3 autres personnes, nous attendaient.
- Karim, Rachid et Mo. Tu peux les embrasser.
Sandrine s’avança et leur tendit la main. Karim la prit et attira mon épouse pour l’embrasser. Elle se rebella et refusa ses lèvres.
- Ecoutes, tu fais chier, lui dit Mourad. Tu viens te faire tirer et nous sommes là pour t’en donner de la bite. Alors, si c’est pas ce que tu veux tu te tires et t’arrêtes de m’emmerder.
Sandrine était blanche, les larmes aux yeux.
- Mourad, je
- Tu m’aimes, ouais, alors montres le moi. Caresses leur les amygdales.
Vaincue, elle se retourna vers Karim, mit ses mains sur ses épaules et lui tendit les lèvres.
- On va prendre ta gueule, ta chatte et ton cul, t’es d’accord ?
- Oui.
- Oui, qui ?
- Oui, Monsieur.
Ils s’embrassèrent, les deux autres s’approchèrent, commencèrent à la peloter à travers ses vêtements, elle quitta les bras de karim pour passer à ceux de Rachid puis de Mo. Petit à petit, ils la déshabillèrent, ses tétons étaient dressés, ils les léchaient, les pinçaient, les étiraient, arrachant à Sandrine des gémissements et des petits cris.
- Elle est bonne, ta femme, lança Mo. Elle mouille sacrément.
- Dis nous que tu veux qu’on te baise à trois.
- Oui, c’est vrai, j’ai envie, je veux vos queues dans tous mes trous, allez y baisez moi comme la chienne que je suis, à fond, je fais tout.
Ils ne se le firent pas dire deux fois et se dévêtirent.
Sandrine prit le premier en bouche, le deuxième se mit à lui bouffer la chatte et le dernier se faisait branler. A l’autre extrémité de la pièce, je profitais du spectacle avec Mourad à mes côtés.
- C’est une nympho, ta bonne femme. J’y croyais pas. Je pensais que les histoires de bourges folles du cul, c’étaient pour les branleurs mais là. Je vais en faire la vide couilles de la cité de ta meuf. Ca va être journées portes ouvertes à toutes heures.... Je te parie que dans moins de 15 jours, elle est au tapin.
J’étais rouge de honte et d’humiliation mais j’aimais ça. J’aimais voir ma femme se faire prendre par de parfaits inconnus, j’aimais savoir que j’avais épousé une femme facile, j’aimais la voir se donner, se comporter comme une parfaite salope, j’aimais la voir jouir comme une folle. Je l’aimais.
Je savais que Mourad avait raison. Je me disais que cela s’arrangerait et se tasserait avec le temps mais je savais qu’elle allait en passer par là. Je savais qu’elle accepterait de se vendre pour son amant. Je savais que c’était déjà une pute, sa pute.
Ses baiseurs s’étaient encapotés, à l’exception de celui qui se faisait pomper. Elle chevauchait Mo et Rachid vient se placer derrière elle.
- Ecartes ton cul, j’arrive.
C’est Mo qui écarta les fesses de mon épouse et ce coup-çi je ne me préoccupais pas de sa lubrification. Son enculeur, se positionna, appuya jusqu’à ce que son sphincter laisse passer l’envahisseur.
- Arrêtes, tu me déchires, ça éclate, arrêtes.
- Ta gueule et pompes, salope” répondit Karim en lui tirant les cheveux. “Ouvres ta gueule et suces”.
Elle ne pu que s’exécuter et c’est de vrais traits de souffrance qui s’affichait sur son visage déformé. J’allais m’avancer mais Mourad retint par le bras.
- Arrêtez.... Sandrine je ne te le demanderais qu’une seule fois. Décides, on arrête tout ou ils vont au bout.
Karim libéra la bouche de mon épouse, des larmes coulaient.
- Pa.... pardon, mais j’ai mal, il faudrait lubrifier. S’il vous plaît.
- Nous les salopes dans ton genre on les encule à sec. Alors stop ou encore ?
- En....encore laissa t’elle échapper...
C’était fini...
Ils se déchaînèrent, ne cherchant que leur propre plaisir. Karim éjacula le premier.
- Avale.
Elle s’exécuta, Karim lui tartinant le visage avec le sperme qu’elle laissait échapper. Rachid décula, se décapota et lâcha tout sur les fesses de Sandrine puis se fut au tour de Mo qui la renversa et lui aspergea les seins.
- Alors, heureuse lui lâcha Mourad et tous explosèrent de rires.
La fin de la soirée fut plus calme, ils se firent sucer et tous la sautèrent mais l’un après l’autre. Après l’entrée en matière, c’était de la vraie douceur.
- Je vais t’organiser une petite sauterie, vendredi soir. Une tournante, ça te dit ?
Sandrine, regardait son amant et d’une petite voix lui dit :
- Si tu veux.
Le lendemain soir, Sandrine me raconta évidemment sa journée alors que nous étions tous les deux au lit
- Je suis allé immédiatement voir Paul, mon DG. La soixantaine, c’est le parfait capitaine d’industrie. Il a réussi, il le sait, il le montre et indique qu’il n’a plus rien à prouver.
- Bonjour, Paul.
- Bonjour, Sandrine, que me vaut cette visite bien matinale.
- Euh, j’ai réfléchi sur la marche du service et je me suis dit que je prenais de l’âge et que Jean-Paul montait en puissance ; il est peut être temps que je prenne du recul et qu’il prenne le service en charge.
- C’est un jeune con et vous le savez. Que se passe t’il ?
- Rien, la fatigue sans doute mais je vous en prie réfléchissez à ma proposition.
- C’est tout réfléchi, j’ai vu Georges.
- ???
- Nous avons fait l’armée ensemble et nous ne nous cachons rien. Vous rougissez, c’est charmant. Je vous aime beaucoup, Sandrine, vous êtes efficace et avez beaucoup de charme(s). Vous préférez vous encanailler avec des hommes frustres, brutaux, ça vous regarde, tant que ça ne perturbe pas le bon fonctionnement de la maison. De toute façon depuis la fusion, le service juridique est surdimensionné. Alors, j’accepte votre demande mais puisque vous aimez l’humiliation, autant allez jusqu ‘au bout. Vous abandonnez vos fonctions à votre adjoint et vous devenez assistante de direction rattachée à Laurence. De la première vous passez à la dernière place, sans passer par la case départ. Je vais demander à Laurence de vous établir un nouveau contrat de travail, au SMIC, évidemment. Mais je vous aime bien, alors je m’arrangerai pour vous maintenir votre rémunération mais nous passerons par la filiale de Genève. Vous maintiendrez votre train de vie, je ne veux pas vous perdre mais pour tout le monde, vous serez la pétasse de service, attachée au café, photocopies et autres taches d’importance. Bien entendu, vous surveillerez les travaux de JP. Avec notre baisse d’activité ce ne sera pas un problème. Je suis sur que ça vous excite. Alors, j’ai votre accord ?
- C..., C’est d’accord.
- Vous êtes écarlate. Dites moi ce que vous ressentez.
- J’ai honte mais j’ai des frissons, je crois que vous entendre va me faire jouir, je mouille rien qu’en vous écoutant, c’est fou.
- Je vous préviens que Laurence vous a pris en photo avec son portable, vous savez ce qui vous reste à faire. Approchez.
Son pantalon était ouvert et un petit sexe flasque en sortait.
- Je n’ai plus 20 ans et le viagra n’est pas bon pour mon palpitant. Je crois que je peux bénéficier de vos nouvelles fonctions. Je crois que je vais opter pour une petite pipe matinale et quotidienne. Allez, dépêchez vous, y a du boulot et je n’ai pas la journée.
Il s’est reculé et je suis passée sous le bureau. Je l’ai embouché et j’ai commencé à le sucer, sans grand résultat. Il a appelé JP par l’interphone....
- JP, venez me voir avec votre équipe.
- Bonjour à tous, asseyez vous, j’ai vu Sandrine tout à l’heure, elle est repartie, un rendez vous extérieur impromptu, c’est pourquoi elle n’a pu vous prévenir Thérèse. Elle souhaite prendre du recul. Vous la remplacez JP, effet immédiat. Malheureusement, elle est très fatiguée, j’ai refusé sa démission mais je ne peux évidemment continuer à la rémunérer pour des fonctions qu’elle ne peut plus remplir. Le social a des limites. Elle occupera donc un poste d’assistante de direction de premier niveau, sous votre autorité Laurence, c’est tout ce que je peux faire.
- Mais et moi, j’ai été sa secrétaire, comment vais-je me positionner par rapport à une assistante de 1er niveau ?
- Thérèse a raison, M le directeur. Je partage votre préoccupation sociale et il est toujours triste de voir une collègue s’effondrer mais je doute qu’à son âge elle puisse se refaire. Ça risque d’être une charge pour moi et je pense que Sandrine doit être placée sous l’autorité de Thérèse. Nous procédons de la sorte avec les stagiaires.
- Ça vous va Thérèse ?
- Tout a fait Monsieur.
- Alors c’est décidé.
- Une question si vous le permettez. Bien sur.
- Son bureau ?
- Vous avez raison Thérèse. Que proposez vous ?
- Le local à photocopies dispose d’une fenêtre et vu ses fonctions ce serait le plus pratique.
Ma propre secrétaire, que je prenais si ce n’est pour une amie au moins pour une alliée, me renvoyait dans un placard à balais. Pendant cette discussion, le sexe de Paul s’était enfin rigidifié. J’accentuais mon pompage et il éjacula une très petite quantité de sperme que j’avalais sans difficulté.
- Très bien, la discussion est close, bonne journée.
Ils quittèrent le bureau et je sortis de dessous le bureau.
- Bon travail Sandrine, c’est un plaisir. Je conçois que vous soyez un peu frustrée mais suis sur que Georges et ses troupes sauront vous satisfaire. De plus, Sandrine et Thérèse me semblent tout à fait apte à s’occuper de vous. Je vous souhaite une bonne journée.
Arrivant à mon bureau, je vis qu’ils n’avaient pas perdu de temps et mes affaires perso avaient été empilées sans ménagement dans des cartons.
- Bonjour, Sandrine me dit Laurence. Paul nous a mis au courant de ta décision. Je te félicite de ta prise de conscience. Nous ferons tout pour t’aider.
La journée se passa tranquillement mais maussadement, tous m’évitèrent mais les sourires naissaient sur mon passage. La nouvelle de ma disgrâce avait circulé comme une traînée de poudre et elle n’attristait pas grand monde. L’entreprise, une grande famille certes mais avec ses moutons noirs et autres brebis galeuses.
Georges fit sa réapparition en fin de journée. Il m’appela et me demanda de le rejoindre au PC sécurité. Dès mon arrivée, il m’embrassa et commença à me doigter.
- Toujours aussi chaude. Je te propose une petite partie de jambes en l’air avec les deux blacks de l’accueil, partante?
- Pourquoi pas.
J’avais envie, du lever au coucher, toute la sainte journée, je ne pensais plus qu’à çà. Les deux blacks arrivèrent avant de prendre leur service. Georges fit les présentations.
- Bon les gars, je ne vous présente pas Madame X. En fait, je vous présente la folle du cul dont je vous ai parlé. Si çà vous dit, elle est très accueillante.
Sourires aux lèvres ils s’approchèrent et commencèrent à me peloter les seins et le cul. Nous nous déshabillâmes rapidement, leurs sexes étaient d’une longueur et d’une largeur supérieurs à la moyenne. Je tombais à genoux et commençais à les sucer l’un après l’autre.
- C’est vrai qu’elle est bonne, chef, une vraie pro.
Le premier s’allongea à même le sol après avoir mis une capote. Je l’enjambai et introduisit son sexe qui avait semble t’il pris encore de la dimension. Je le chevauchai sous ses encouragements.
- Vas y salope, prends du plaisir, c’est pas tous les jours que tu peux profiter de la bonne bite de nègre.
Le second, nous arrêta le temps de se positionner lui aussi dans ma chatte.
- Non, c’est pas possible, pas les deux en même temps, vous êtes trop gros.
- Cool bébé, tu vas voir dans cinq secondes t’en redemanderas.
Ils reprirent alternativement le pilonnage de ma chatte, parfaitement synchronisés, ils n’en étaient pas à leur coup d’essai. Ils accélérèrent et mon plaisir suivit.
- Oui, oui, oh oui, c’est bon, allez-y, à fond, à fond.
- Tu prends ton pied salope, lança Georges. T’es la plus grosse salope de la boîte, un vrai aspirateur à bites.
- Oui, je jouis, je jouis.
- Vas y, prends par le cul, elle a le fion particulièrement accueillant.
- Non, t’es trop gros.
- Fais pas ta mijaurée, dans 5 minutes tu vas en redemander. Allez monte ton cul.
Je m’exécutai et me cambrai au maximum. Il se positionna:
- Allez détends toi et pousse.
Je sentis son sexe envahir petit à petit mon conduit lubrifié par ma seule mouille.
- Putain, enculée à sec, y en a pas beaucoup des comme toi. On va te régaler.
Il s’immobilisa au plus profond de mes entrailles, me laissa m’habituer quelques instants et commença son va et vient. Je serrai les dents.
- Oh elle est bonne cette conne, elle est bonne.
Ils éjaculèrent presque en même temps. J’avais la chatte et le cul enfeu.
- Allez au boulot.
Je les quittai et remontai dans mon placard. Je finissais la journée quand Laurence arriva.
- Bonne journée Sandrine ?
- Ca va.
- Ecoute, j’aurai besoin de toi demain après midi. Je veux que tu m’accompagnes à la piscine.
- Hein ?
- Oui, je vais te présenter mon neveu. 25 ans, un petit génie des mathématiques et encore puceau. Je pense que tirer un coup lui fera du bien et lui évitera une surdité totale.
- Mais…
- Quoi, ne me dis pas qu’une queue bien fraîche, ça ne te tente pas, De toute façon et je me répète, tu n’as pas le choix. Alors à demain, mets un truc sympa pour mon petit neveu, qu’il puisse apprécier la cam.
Samedi matin je me rendis à la piscine à l’heure convenue. Laurence m’y attendait seule.
- Salut, tiens j’ai pensé à toi.
Elle me tendit un sac plastique et je découvris un bikini rouge.
- Mais c’est pas ma taille d’au moins deux
- Ta gueule, tu le mets, il mettra en valeur tes atouts. Vas y, on te rejoint, installe toi sur la partie gazonnée.
Je me changeais. Mes seins débordaient largement, dessus et dessous des balconnets. Itou pour mon cul. J'étais ridicule.
A grande allure, je longeais les murs, heureusement, il n’y avait pas grand monde à cette heure encore matinale de juin. Je m’installais et ils arrivèrent peu après.
- Salut, je te présente William. William, voici Sandrine dont je t’ai parlé.
C’était un grand boutonneux, des doubles foyers arrangeaient le tout. Je m’étais levée et nous nous fîmes la bise.
- Bon, je vous laisse.
Elle s’approcha de moi et me glissa à l’oreille :
- Dans une heure, tu en auras fait un homme, ou je passe tes photos sur l'intranet de la boîte.
Nous nous allongeâmes sur nos serviettes. Il n’arrêtait pas de me dévisager. Il faut dire que le spectacle était de choix avec mes seins qui jaillissaient pratiquement hors de mon soutien-gorge. Nous échangeâmes les banalités d’usage : temps, vacances, étude, boulot…
- Ma tante m’a dit que tu étais libre mais je vois que tu portes une alliance ?
-Oh, elle a raison. Nous sommes un couple très libre et comme nous travaillons dans la même boîte je lui ai fait quelques confidences.
- Ah oui, lesquelles ?
Je m’étais enferrée comme une grande.
- Oh, quelques aventures qui lui sont revenues aux oreilles, tu sais radio moquette dans ces boîtes.
- Et actuellement?
- Je suis libre comme l’air.
Il souriait béatement et je m’attendais à le voir se mettre à baver à tout instant. De toute façon, je n’avais pas le choix et puis je commençais à reconnaître le pouvoir de domination qu’exerçait Laurence comparable à celui de Mourad.
- Ils te plaisent ?
- ???Quoi ?
- Mes seins.
- Oui, bien sûr, ils sont gros.
- Normaux, mon soutif est un peu petit et les fait ressortir. Tu veux les toucher ?
Il s’approcha, je voyais clairement son érection. Il mit son bras droit sous ma tête, m’embrassa et commença à me peloter. Notre baiser s’éternisa et il abandonna mon sein droit pour trouver le chemin de mon slip.
- En fait ma tante m’a dit que tu étais un coup facile. Que sous tes airs de bourge, tu avais la cuisse légère et le feu aux fesses.
- Mmmh, continue, caresse moi, j’aime ça.
Il reprit l’exploration de ma bouche et de ma chatte.
- Eh, c’est un endroit public ici, il y a des gosses. Si tu peux pas attendre d’être dans un endroit privé, si c’est trop pressé, tu devrais aller tirer ta meuf dans les chiottes.
Le maître nageur était à un mètre, hilare, ne perdant pas une miette du spectacle. Plus loin nous avions d’autres spectateurs. William avait de la ressource.
- Pardon, vous avez raison. Allez viens.
Nous nous levâmes et nous dirigeâmes vers les toilettes. Mon amant avait gardé deux doigts dans ma chatte et continuait à me doigter.
- Chez les hommes.....
Nous rentrâmes dans des toilettes heureusement vides et nous nous enfermâmes dans un box. Il me fit mettre les mains contre le mur au dessus du chiotte et me rentra directement sa bite dans mon sexe trempé.
- Salope, salope, tiens , tiens.
En moins d’une minute, il éjaculait, je me serais cru avec mon mari.
- Nettoie.
Je lui fit une petite pipe qui n’eut pour ainsi dire aucun effet, il ne rebanda pas. Nous ressortîmes pour nous retrouver face à face avec l’instit de mon plus jeune fils. Je ne sais pas qui fût le plus surpris mais il retrouva la parole avant moi.
- Bonjour, Madame X. Belle journée.
Un franc sourire illuminait son visage.
- Euh, oui. Au revoir.
- A bientôt.
Les choses allaient de mal en pis et je devais retrouver Mourad ce soir pour la tournante promise Le coup de fil arriva vers 19h00.
- Salut, c’est Mourad. Je vous attends à la cité à 22H00.N’oubliez pas de vous graisser le cul tous les deux.
- Mais…
- Ta gueule, passe moi ta connasse.
Ils discutèrent 5 minutes et Sandrine raccrocha.
- Je crois que ça va être notre fête. Tu vas perdre ton pucelage mon chéri, si j’ai tout compris.Cat’excite de savoir que la cité va me passer dessus. Dis moi que tu veux que je le fasse.
- T’es une salope et t’aimes ça, alors fais pas chier.
- T'es qu'une lopette qui veut mater sa femme en train de se faire mettre par de vrais mâes. Tu me fais rigoler, sale fiotte.
Nous nous préparâmes séparément et mort de honte mais à la limite de l’éjaculation, je me tartinais abondamment le fion. J’avais envie de me faire mettre, de me faire baiser. Je n’y comprenais rien, je n’avais jamais eu d’expérience homo et n’avais jamais été tenté par l’expérience. Je me disais que Mourad me dominait et que je ne pourrais rien lui refuser et nous verrions bien…
Nous fumes à l’heure. Mourad précédait une bonne dizaine de beurs et de blacks, il y avait même 2 ou 3 jeunettes. Mourad nous accueillit.
- Salut. Et il embrassa goulûment celle qui était encore ma femme.
- Voici la pute dont je vous ai parlé. Allez présente toi.
- Je suis Sandrine, j’ai 45 ans et je suis mariée à çà. Approche.
Elle me prit la main gauche et commença à me retirer mon alliance.
- Ca fait 22ans que nous sommes mariés et il n’a pas été capable de me faire jouir une seule fois.
Les rires fusèrent.
- Devant vous, je reconnais être la femelle de Mourad et lui offre cette alliance.
Mourad là prit et retira son collier qui comportait déjà deux autres alliances.
- Et de trois. T’es ma pute, dis leur.
- Oui je suis une pute, je suis ta pute.
- Monsieur, ça ne vous pose pas de problèmes ? me dit-il en me regardant goguenard.
- Nnon,non, elle est à vous.
- Très bien et puisque tout le monde est d’accord, allons-y.
- Ce soir, elle vous fera tout à 5 euros. Allez au boulot.
Il fit descendre sa robe et Sandrine se retrouva avec ses seuls talons.
- A genoux.
- Quel est ton prénom ?
- Sandrine.
- Non, pour nous, ici, tu t’appelles sac à foutre.
- Quel est ton prénom ?
- S... sac à foutre.
- Très bien, allez suce.
Mourad lui baisa la gueule, les bruits de succion étaient audibles, il la tenait par les cheveux et accélérait son va et vient. Il lui baisa la gueule de longues minutes et éjacula.

Un Samedi d'été au ciné...

Un dimanche d'été devant la téle...

L'été des rediff... Pour finir un Coulybaca bien sûr...

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On ne peut pas finir cet été sans Coulybaca.
En trois épisodes les vacances d'une salope..!


TENERIFFE
Coulybaca / Vulgus
Episode I
Le long voyage depuis l'Angleterre était terminé, et nous avions une opinion juste des coutumes locales une fois débarqué à Tenerife.
J'avais été informé que les habitants se montraient inamicaux envers les anglais, bien qu'ils ne soient pas particulièrement amicaux en tout autre endroit.
Nous avions été avertis que les forces de police et les agents gouvernementaux ne servaient pas d'entremetteurs aux touristes. Si l'on avait quelque chose à leur demander, il valait mieux le dire en espagnol, parce qu'ils ne parlaient pas anglais et n'accordaient aucune patience aux touristes.
Nous avions été reçus bien plus cordialement par les membres de l'hôtel et servis rapidement.
Nous étions impatients de faire un tour pour observer les lieux, mais la journée avait été longue et nous avions deux semaines pour visiter les lieux, aussi avions nous décidé de se reposer un peu, et de partir en exploration qu'une fois que nous aurions mangé.
C'était au mois de juillet et il faisait très chaud à l'extérieur, l'air conditionné dans notre chambre était vraiment le bienvenu.
Les températures moyennes sur cet îlot volcanique avoisinaient les 90, c'était juste un peu plus chaud que sur l'île où nous résidions.
Jenny m'aida à défaire les bagages, on prit une rapide douche et une petite somme d'argent pour trouver un endroit où dîner.
La journée avait été longue et fatigante et de plus nous étions tous deux si excités par ce voyage que nous n'avions pas beaucoup dormi ces dernières nuits.
Je ne me lasserais jamais de me voir ma ravissante compagne se dévêtir, Jenny a 23 ans, c'est une ravissante blonde aux yeux bleus et elle mesure 1,72 m, une taille encore rehaussée par la longueur de ses longues jambes parfaitement galbées.
Sa poitrine est opulente et bien ferme, ses nibards sont surmontés de délicieux mamelons roses très sensibles. Son cul est bien rond, très avenant, tout au moins en ce qui me concerne. Elle se rase la chatoune, pour notre plaisir réciproque, la saveur de sa chatte n'en est que renforcée.
Quant à moi j'ai 24 ans, je mesure 1,75 m et je possède un membre viril d'environ 18 cm, et plus épais que la moyenne.
Nous formons un couple assez aventureux sur le plan sexuel, mais pas de façon forcenée et uniquement entre nous deux.Jenny n'avait couché qu'avec quatre autres hommes quatre avant moi. Je n'avais possédé que six femmes en dehors d'elle.
Nous avions, à l'occasion, fait l'amour en extérieur dans des endroits où l'on aurait pu être vu, dans des cinémas, dans notre voiture sur un parking, et même dans le hall de notre immeuble.
Nous aimions tous deux le sexe oral et Jenny n'hésitait pas à avaler la fumée.
Nous nous sommes aussi amusés à ce qu'elle allume, le chaland, elle le faisait à contrecoeur, mais sachant que j'aimais la voir provoquer d'autres hommes elle le faisait.
Elle le faisait plus facilement en vacances, là où personne ne nous connaît et ne nous reverra jamais, ça la gênait mais je pense que c'était une partie du plaisir que je prenais à la voir faire.
J'avais remarqué que bien qu'elle le fasse à contrecoeur, je le retrouvais toujours la chatte trempée que ce soit dans la rue où même au cinéma.
Je pense qu'elle aimait cela plus qu'elle le disait.
On nous dit souvent que nous sommes très séduisants et nous nous exerçons tous deux à charmer nos interlocuteurs.
Jenny travaille dans l'éducatif et moi dans une banque.
0Nous commençons à former un couple établi, un peu plus stable que la moyenne, de plus Jenny est très chaude.
Nous firmes un somme et lorsque nous étions affamés en nous réveillant.Nous sommes habillés et nous sommes descendus et avons pris la direction d'un restaurant proche. Comme il était fermé, nous avons été obligés de nous éloigner de notre hôtel tout en faisant un peu de lèche-vitrines.
Il était un peu tard pour dîner et trop tôt pour faire la fête aussi les rues étaient-elles assez vides, c'était une promenade plaisante. Nous remarquâmes soudain une chose à laquelle nous n'étions pas habitués, il semble qu'une large part de la population noire était dehors et nous environnait.
Nous habitons une très grande ville de prêt d'un demi-million d'habitants, mais la grande majorité de la population de la ville est blanche, on y trouve des pakistanais, une enclave indienne, et même une petite communauté asiatique.
Nous avons aussi une population grandissante de noirs venant du Nigeria, ce n'était pas comme si on pouvait se promener des jours entiers sans voir de noir dans notre ville il semblait simplement y en avoir beaucoup plus ici.
Je remarquais que Jenny ne se sentait pas à son aise, mais elle ne me dit rien, je fis de même.
Après tout nous n'étions pas beaucoup plus loin qu'un jet de pierre de l'Afrique, il allait simplement falloir que nous ajustions nos comportements à ces nouvelles données.
Nous avons trouvé un restaurant et nous nous sommes assis immédiatement.
Nous avons commandé des boissons et un dîner léger, la nourriture et le service étaient excellents.Tout se passait bien et nous sommes restés jusqu'à l'heure de la fermeture. Je payais et laissais un généreux pourboire puis nous partîmes rejoindre notre hôtel.
Nous avons regagné notre chambre et avons demandé une bouteille de vin au groom, lorsqu'il l'amena nous nous assîmes au balcon qui surplombait la piscine de l'hôtel et nous sirotâmes notre vin en nous relaxant. Alors que nous buvions notre vin je remarquais que notre balcon était quasiment fermé aux regards.
Il y avait quelques autres chambres qui avaient la vue sur notre balcon, mais il ne semblait pas que qui que ce soit nous observe.
Comme Jenny avait beaucoup bu durant la journée, je pensais qu'il me serait facile d'obtenir qu'elle se déshabille pour se décontracter entièrement nue, de la manière que je préférais.
-331Ne me faites pas dire ce que je ne veux pas, elle n'était pas saoule, mais nous avions bu quelques verres de vin dans l'avion, puis pendant le repas et maintenant nous sirotions nos verres de vin.
Je la taquinais, la mettant au défit de se déloquer, j'obtins gain de cause, elle était assise à mon coté dans le noir, je posais mes mains sur ses hanches et nous écoutions les bruits de l'océan proche les yeux rivés sur la piscine.
C'était une situation très romantique.
On vida la bouteille de vin, puis nous nous sommes couchés, et avons fait l'amour avant de tomber dans les bras de Morphée.
Ce premier jour s'avérait excellent.
Nous passâmes les quelques jours qui suivirent à explorer l'îlot.
Il était fascinant, je n'avais jamais vu autant de bananiers et de bananes! ....
Le tourisme et la production de bananes semblaient les piliers de l'économie de Ténériffe. Nous avons aussi fait quelques achats, mais pas énormément.
On avait acheté des cartes postales que nous avons envoyés à la famille, nos amis et nos proches et nous en en avons gardé quelques-unes unes comme souvenirs.
Nous avons aussi acheté quelques tenues sexy pour Jenny porter les soirs où nous irions traîner dans les boites de nuit, et bien sur une paire de bikinis plus provocants.
J'étais heureux de voir qu'elle était vraiment dans l'esprit du lieu et qu'elle inclinait à porter les fringues ultra légères et sexy que nous avions acheté.
Nous n'avons finalement hanté la plage qu'à partir du quatrième jour. Jenny jeta un coup d'oeil circulaire et vit que de nombreuses femmes avaient les seins nus, elle ôta immédiatement le haut de son bikini.
Ce n'était pas la première fois qu'elle se mettait seins nus à la plage, mais elle n'en avait pas si souvent l'occasion. J'avais des émotions mêlées, j'aimais la voir seins nus, ses nichons très blancs contrastaient nettement avec sa peau tannée.
J'adorais la voir s'exposer ainsi, j'aimais l'idée que les autres hommes sur la plage m'enviaient et admiraient ses formes somptueuses. Je savais aussi qu'en dépit de son apparent détachement, elle était très consciente d'être seins nus et d'allumer ainsi les spectateurs sans prendre aucun risque.
Le lendemain sa poitrine avait déjà perdu de sa blancheur initiale, mais elle contrastait encore avec le reste de ses appâts.
Nous tombions dans une certaine forme de routine journalière : on se levait tard le matin, puis on se douchait et on prenait un repas léger avant d'aller pour une paire d'heures sur la plage.
Après avoir passé une paire d'heure dans la chaleur étouffante du soleil on prenait un rapide lunch quelque part p^ès de la plage et nous rentrions nous doucher avant de chercher un endroit à la mode pour souper.
Après le repas nous avions pris l'habitude de rentrer à l'hôtel pour nous relaxer un moment, nous prenions souvent un bouquin et descendions le long de la piscine pour nous asseoir à l'ombre d'un parasol et nous lisons notre bouquin tout en nous décontractant et en regardant évoluer le gens qui nous environnaient.
Jenny en profitait pour enfiler les maillots de bain ultra sexy qu'elle s'était achetée plus tôt. Ils lui allaient parfaitement et nous trouvions que le service était excellent, certainement du fait de l'intérêt des serveurs pour sa tenue.
Après nous être bien relaxé nous remontions pour un petit somme puis nous étions prêts à entamer la soirée. Jenny enfilait une tenue légère et sexy et nous sortions pour souper et ensuite aller danser dans une boite de nuit.

Nous aimions tous deux danser et j'adorais mater les jolies danseuses évoluer sur la piste. Jenny dansait avec d'autres que moi.
Une fois qu'elle avait siroté une paire de verre d'alcool elle était même capable de flirter et cela m'amusait énormément de la voir allumer ses partenaires avant de les quitter sans rien leur accorder de plus.
Comme tous les autres males dans la salle, J'aimais la regarder se trémousser avec sa minuscule jupe et sa micro brassière. Ce spectacle ne manquait jamais de m'exciter comme un poux.
Elle adorait être le centre d'attention de tous ces hommes qui la reluquaient avidement.
Nous avions visité beaucoup de boites de nuit et nous y étions beaucoup amusés, au milieu de la seconde semaine nous cherchions un nouveau club, on attendait pour un taxi tout en discutant avec un couple de Grands Bretons, qui nous signalèrent un bon petit club fréquenté par les indigènes, où passait un des meilleurs orchestres qu'ils aient jamais entendu.
Ils étaient convaincus que c'était la meilleur boite de toute l'île, et celui où ils avaient pris le plus de plaisir. Il était trop tard pour y aller ce soir même mais ils nous donnèrent le nom du club, nous pressant de nous y rendre.
Je pensais qu'il valait mieux rester dans les endroits fréquentés par les touristes où nous étions en sécurité, mais Jenny était plus aventureuse et elle me pressait de nous rendre dans ce club.
A force de déambuler dans l'île elle finissait par se sentir partout en sécurité et elle voulait vivre une petite aventure sortant des sentiers battus par les touristes.
A contrecoeur je décidais que nous nous y rendrions la nuit prochaine.
C'est ainsi que la nuit suivante nous nous trouvions dans un taxi qui nous emmenait au "Banana's club", le chauffeur nous avait regardé tout sourire lorsque je lui avais dit le nom de notre destination.
Mais je n'en pensais rien, cela, ne m'alerta pas en tous cas...
La boite se tenait à l'extérieur de la ville tout au fond d'une sinistre route bordée de détritus. Nous avons entendu la musique bien avant de la voir. Nous ne nous sentions plus gênés de nous trouver entourer d'indigènes maintenant. Tous se montraient extrêmement amical et nous nous sentions en sécurité partout où nous allions.
Cependant je me sentis un peu mal à l'aise lorsque nous entrâmes et que je vis que bien plus de la moitié de l'assistance était constituée de noirs. Mais nous n'étions pas les seuls blancs, nous nous regardâmes dans les yeux et on décida de tenter le coup. Nous avons finalement trouvé une table et nous arrivâmes à nous commander quelques boissons.
L'orchestre était excellent et jouait devant une grande piste de danse.
Je jetais un coup d'oeil circulaire, nous semblions être les seuls touristes, mais tout le monde semblait joyeux, la musique était bonne, et bien vite nous nous sommes sentis comme chez nous.
Nous avons dansé un peu et j'ai vu à quel point Jenny attirait l'attention des mâles, et j'en étais assez fier. Elle reçut plusieurs invitations à danser dans entre deux de nos danses, elle commença par les décliner.
Mais elle aimait beaucoup plus danser que moi, je préférais la voir danser, aussi l'encourageais-je à accepter les invitations d'autres danseurs.
Son second verre vide elle se montra plus coopérante et finalement elle accepta de danser avec un grand noir qui présentait bien. Elle n'avait jamais dansé avec un noir auparavant, mais il dansait très bien et ils furent bientôt le centre d'attraction des danseurs.
Sa petite jupe flottait dans les airs et laissait entrevoir de tempes en temps des bribes de sa petite culotte, ainsi que ses longues cuisses bien galbées. Elle était vraiment très excitante, mais il me semblait étrange de la voir entourée de cette foule de noirs.
Ils firent trois danses puis l'orchestre fit une pause. L'homme ramena Jenny à notre table s'assit avec nous et se mit à discuter le plus souvent avec Jenny. C'était vraiment très convivial, je ne l'avais pas invité à se joindre à nous, il avait simplement suivi le mouvement.
On nous servit trois boissons, le noir se présenta lui-même, il y avait tant de bruit dans la salle que je ne compris pas son nom. Cela ressemblait à Harold, mais cela ne lui correspondait pas du tout.
Nous avons vidé nos verres alors que Jenny et Harold discutaient, je n'entendais pas ce qu'il lui disait, je me contentais donc d'observer les réactions de Jenny, elle semblait nerveuse de l'avoir à ses cotés, elle semblait souhaiter qu'il parte, mais elle n'avait pas le courage de le lui dire.
Elle me jeta plusieurs coups d'oeil significatif, mais nous nous trouvions dans une boite de nuit pleine de noirs et c'était un véritable colosse noir, je n'avais aucune envie de le froisser.
Ils terminèrent leurs verres et il invita Jenny à retourner sur la piste de danse pour y faire quelques tours. Apparemment il lui apprenait quelques danses locales qui semblaient très sensuelles.
Je les observais plus attentivement mais ils furent rapidement engloutis par la foule et à part de brèves apparitions de temps à autre, ils étaient hors de vue la plupart du temps.
Le visage blanc de Jenny était perdu dans un océan de figures noires.
Ils revinrent après plusieurs danses plus et s'assirent de l'autre coté de la table face à moi. Je ne savais pas pourquoi, mais sa tenue me semblait chiffonnée.
Elle avait beaucoup de peau d'exposée aux regards, et les triangles étroits qui couvraient ses seins me semblaient avoir rétrécis.
De nouveaux verres apparurent sur la table et deux noirs s'asseoir soudainement de chaque coté de moi, ils parlaient à voix forte avec Harold dans un langage que je ne comprenais pas.
Ils étaient tout sourires et me semblaient très amicaux. Les trois hommes semblaient au début de la trentaine, ils étaient tous trois grands et costauds, très imposants.
Je regardais Jenny et Harold boirent, se parlant dans l'oreille l'un de l'autre, ce qui indiquait à quel point ils étaient assis serrés l'un contre l'autre. Je voyais bien que les différents verres ingurgités commençaient à agir sur Jenny mais elle ne me semblait pas très décontractée.
Elle semblait terriblement nerveuse mais incapable de se décourager Harold. Harold avait un bras qui tombait derrière sa chaise, sa main était posée sur l'épaule de Jenny, mais cela semblait très naturel. Il semblait ne la serrer contre lui que pour pouvoir lui parler.
L'un des hommes assis à mes cotés dit quelque chose à Harold qui grimaça et hocha la tête et soudain il tendit la main et écarta le tissu qui couvrait l'un des nibards de Jenny, ils éclatèrent tous trois de rire.
Jenny repoussa sa main, il l'enleva et il se remirent à causer. J'essayais de me lever. Il était évident qu'il était grand temps de quitter cet établissement, de s'éloigner de ces trois hommes et de toute cette foule noire et de retourner dans un club sécurisé pour touristes.
Mais comme je me mettais debout, l'homme de l'autre coté de moi posa ses mains sur mes épaules et me rassit de force sur ma chaise. Ils me sourirent alors, ils ne semblaient pas menaçants. Mais j'étais incapable de me relever et je ne savais pas quoi faire. Je jetais un nouveau coup d'oeil vers Jenny et vit une forte anxiété se peindre sur son visage.
-331Juste à ce moment je la vis sursauter brutalement et je remarquais qu'une des mains d'Harold se trouvait sous la table à cet instant. Je hurlais à Harold et Jenny qu'il était temps que l'on parte. Harold me regarda fixement puis se remit à causer avec Jenny sans plus se préoccuper de moi, alors que sa main remuait sous la table.
L'un des hommes qui m'encadraient se pencha plus en avant et me dit d'une voix épaisse :
- Vous ne comptez pas nous quitter si tôt? La fête vient juste de commencer!
Je ne savais que faire. Je ne pouvais pas lutter contre ces hommes, ils me mettraient Ko trop facilement. J'étais forcé de rester assis, désarmé, et de laisser faire tout en regardant le spectacle.
Harold continuait à s'amuser des charmes de Jenny. L'heure suivante ils nous obligèrent à consommer de nombreuses boissons, je ne sais pas ce qu'on buvait, mais c'était drôlement fort.
Jenny dut retourner sur la piste de danse.
Elle était perdue dans cet océan de visages noirs, mais je suis sure de l'avoir vue à deux reprises et je pourrai jurer que sa brassière pendait misérablement sur sa taille, elle dansait une de ces danses sensuelles qu'Harold lui enseignait le torse nu au milieu de cette négritude.
Pendant qu'elle dansait j'arrivais à convaincre mes voisins que je devais me rendre aux toilettes pour hommes, ils m'y escortèrent puis me ramenèrent manu militari à notre table.
On venait de se rasseoir lorsque je vis Harold ramener Jenny à notre table. Elle affichait un air que je trouvais des plus douteux. A peine étions-nous assis qu'Harold sortit sa petite culotte de sa poche la tint en l'air l'étalant comme un trophée qu'il présentait à ses deux comparses qui m'encadraient.
Je jetais un oeil sur Jenny, elle avait l'air totalement désarmée et profondément humiliée, et je me sentais incapable d'intervenir. Mon désarroi s'accrut encore lorsqu qu'Harold se pencha et roula une pelle à Jenny.
Elle se débattit pour éviter ses baisers, mais il la tenait bien et je pus voir son épaisse langue explorer la bouche de ma femme alors qu'elle s'était résignée à le laisser faire.
Profondément choqué, je les regardais se rouler des patins, sa main se glissa entre tissu et peau et il empauma ses chauds nibards comme si elle lui appartenait.
Je luttais pour me lever avec le même pitoyable résultat que la première fois. Ils me renvoyèrent brutalement sur ma chaise et les deux colosses qui m'encadraient en me souriant secouèrent leurs têtes et se remirent à regarder Harold qui molestait Jenny.
Finalement Harold cessa de l'embrasser et enleva sa main au grand soulagement de Jenny, un de ses nibards restait exposé aux regards, elle tendit la main pour le recouvrir, mais Harold stoppa son geste.
Il se saisit de son verre et le lui tendit, elle en but une large rasade, Harold arrangea le fin tissu de sa brassière de façon à ce qu'elle exhibe maintenant ses deux nichons, non seulement pour nous, mais aussi la foule des noirs qui se pressait autour de notre table, beaucoup d'entre eux préféraient nous regarder plutôt que de mater les couples sur la piste de danse.
Je ne savais pas comment nous allions nous tirer de ce guêpier et j'étais affolé.
Bien sur j'aimais voir Jenny allumer ses voisins, j'aurai même admis, dans mon fort intérieur, qu'elle ait des rapports sexuels avec un autre que moi tandis que je les regarderais fou d'excitation, mais actuellement nous avions perdu tout contrôle de la situation, et personne ne viendrait à notre aide.
Ils m'apparaissaient maintenant bien plus menaçants, d'autant plus qu'ils parlaient de nous en usant d'une langue que nous ne comprenions pas. Nous savions qu'ils parlaient de nous, et plus spécialement de Jenny, mais nous n'avions aucune idée de ce qu'ils disaient et c'était follement angoissant.
Je regardais Harold tendre la main et jouer avec les mamelons de Jenny les amenant à se raidir, les étirant machinalement. Et elle ne pouvait que rester passive lui permettant d'user de ses appât à sa guise.
Harold et ses deux amis discouraient de plus belle, puis il vidèrent leurs verres et se levèrent brusquement. Pendant une seconde je pensais que notre épreuve se terminait, qu'ils partaient en nous abandonnant à notre sort!
Mais ce n'était pas terminé..
Harold fit relever Jenny et les nichons à l'air il l'entraîna vers la porte.
Un des colosses m'encadrant de chaque coté je dus les suivre. Je pouvais voir Harold guidant ma femme sa grosse patte posée sur ses fesses. Sa main était glissée sous sa jupe qui était bouchonnée autour de sa taille alors que nous sortions de la boite.
0Je tentais de leur dire que nous devions les quitter en m'interposant entre Jenny et Harold, mais j'étais tout autant sous leur contrôle que Jenny.
Nous marchions lentement vers le parking, nous nous sommes rassemblés autour d'une camionnette. Harold avait pris Jenny dans ses bras, il la serrait contre lui tout en lui roulant des patins passionnés tandis que ses mains inventoriaient ses charmes à son gré.
Elle avait lutté quelques secondes, mais, sachant que c'était en vain elle s'était résignée à le laisser faire. Tandis qu'il l'embrassait, il posa sa main dans son cou et il dégrafa le noeud qui retenait sa brassière.
De toute façon, ses nibards étaient à l'air depuis un bon moment mais cela nous mettait mal à l'aise bien que cela plut énormément aux comparses d'Harold.
Il devenait de plus en plus évident que Jenny allait se faire violer cette nuit même, et je réalisais que je n'avais aucune chance de l'empêcher quoi que je fasse. J'aurai eu une chance minime si seulement quelqu'un pouvait nous voir nous débattre contre nos agresseurs, ils auraient pu venir à notre aide ou appeler la police.
Je ne croyais pas vraiment que cela puisse arriver, et je savais qu'une fois dans la camionnette nous n'aurions plus aucune chance de leur échapper.
Je me ruais sur Harold, mais je n'eus même pas le temps de l'approcher vraiment. Les deux salopards qui m'encadraient m'empoignèrent, l'un d'eux me tint tandis que l'autre me frappait à l'estomac, si fort que j'en eus le souffle coupé. Je tombais à genoux en dégueulant, puis j'haletais douloureusement pendant quelques minutes.
Lorsque je repris mes esprits je me roulais en boule, mais ils m'empoignèrent, me remirent sur pied et l'un d'entre eux me dit :
-331- As-tu compris la leçon, ou bien doit-on te ligoter?.........
TENERIFFE
Coulybaca / Vulgus
Episode II
Je vis que Jenny me regardait en pleurant. Harold la tenait fermement, apparemment elle avait essayé de venir à ma rescousse et il l'en avait empêché. Je jetais à Jenny un regard plein d'angoisse, mais nous savions tous deux que ne pouvions rien faire.
Je leur dis que je me comporterais docilement, et ils me lâchèrent.
Je me tenais debout, frottant mon estomac douloureux alors qu'Harold reprenait Jenny entre ses bras. Nous nous trouvions dans un grand parking, un grand nombre de gens allaient et venaient à coté de nous. Parfois ils s'immobilisaient regardant un moment Jenny à demi-nue, d'autres se contentaient de hurler des encouragements à Harold et ses complices.
Je ne comprenais pas leurs mots, mais le ton suffisait à ce qu'on comprenne le sens de leurs encouragements. Finalement Harold enleva les derniers vêtements de Jenny, puis il ouvrit la porte du van et poussa jenny à l'intérieur.
Harold s'assit sur un des sièges au centre de la camionnette et jeta les clefs à l'un de ses deux comparses. Je fus poussé sur le siège passager avant. Le troisième noir s'assit à coté d'Harold alors que Jenny dut s'agenouiller sur le sol couvert de moquette.
Alors que le van démarrait lentement pour sortir du parking, Harold sortit son épaisse queue de son pantalon et Jenny entreprit de le sucer alors que nous reprenions le chemin bordé de détritus.
Je le savais parce que chaque fois que j'essayais de fermer les yeux, ou de détourner mon regard du spectacle que m'offraient Jenny et Harold à l'arrière du van, l'homme assis derrière moi me frappait violemment derrière la tête.
Le chauffeur matait le spectacle à l'arrière dans le rétroviseur tout en empruntant de petites routes étroites. Je fus forcé de voir Harold se vider les couilles dans la bouche de ma malheureuse femme. Elle s'étrangla, gargouilla et lutta pour avaler de larges doses de sa chaude semence, puis elle s'assit et recueillit de la pointe de la langue les quelques filets qui s'étaient étalés sur son menton.
Elle ramassa du doigt les reliefs qui s'écoulaient dans son cou et les lécha c'est alors que l'homme assit à coté d'Harold se redressa, saisit la chevelure de Jenny et l'attira entre ses cuisses. Je ne l'avais pas vu sortir sa bite de son pantalon, mais il se tenait prêt, ventre tendu en avant, elle ne lui résista pas alors qu'il pressait son visage contre sa bite érigée. Elle ouvrit la bouche, l'emboucha et se mit à le sucer tout de go.
Cet homme ne se montrait pas aussi doux et patient qu'Harold l'avait été et Jenny en voyait de dures. Comme elle se démenait pour le satisfaire cet homme avec sa bouche, Harold se posta à genoux dans son dos, et écarta ses cuisses en grand.
Il caressa quelques instants sa chatoune puis aligna sa bite sur l'entrée de sa grotte et la grosse bite noire fora son trou dans sa foufoune alors qu'elle continuait à sucer son suborneur de tête.
Le chevaucheur de tête ne put se contrôler bien longtemps et remplit rapidement la bouche de Jenny de son foutre crémeux. Mais il ne se retira pas pour autant. Il lui laissa sa bite en bouche tandis qu'Harold lui martelait la foufoune, c'était insoutenable de la voir sans défense, violées par deux colosses noirs qui discutaient entre eux à son sujet et riaient de sa déconfiture.
Le chauffeur ralentit et se gara face à une petite maison dans un quartier populeux de la ville. Nous regardions tous Harold continuer à baiser Jenny par derrière jusqu'à ce qu'il se tétanise, agrippe ses hanches et se vide dans sa chatte non protégée.
Il resta en place pendant presque une minute avant d'extirper sa bite de sa chatoune, puis il lui saisit les cheveux et la disposa de façon à ce qu'elle puisse lui nettoyer la queue.
Elle tenta encore de lui résister le repoussant à de ses deux mains posées sur son ventre, mais il dit quelque chose à ses acolytes, l'un d'eux se redressa et me frappa violemment. Jenny comprit le message et cessa de lui résister, embouchant la bite d'Harold pour la nettoyer à fond.
Les deux hommes dans le fond du van rangèrent leurs mentules dans leurs pantalons et sortirent du van, le chauffeur se releva, gagna l'arrière du véhicule et s'assit face à Jenny.
Il sortit son chibre, Jenny se posta face à sa bite frémissante sans même attendre qu'on le lui ordonne. Elle referma ses lèvres sur le braquemart déployé et alors que la porte de la camionnette était grande ouverte, à la vue des passants elle fit de son mieux pour le sucer correctement.
Alors qu'elle le suçait avec ardeur, il tendit la main et lui malaxa rudement les nichons, étirant douloureusement ses mamelons, il rit et parla avec ses copains jusqu'à l'instant où il s'assit bien au fond du siège ferma les yeux et se vida à gros bouillon dans sa bouche asservie.
Jenny déglutit et avala l'épaisse purée puis elle lécha son méat lapant les dernières gouttes qui en suintaient. Elle se rassit et il sortit du van remontant son pantalon à sa taille, les promeneurs passaient, ralentissaient, parfois même s'arrêtaient, regardaient attentivement Jenny et reprenaient leurs routes.
Ils nous poussèrent hors du van et, au lieu de nous emmener dans la maison devant laquelle la camionnette était garée, ils nous firent passer le coin de la rue pour gagner une petite maison qui avait été convertie en un petit bar de voisinage avec une terrasse.
Toutes les conversations cessèrent alors que nous nous dirigions vers la grille, Harold et ses amis s'assirent dans le petit espace clôturé. Il y avait environ deux douzaines de tables, presque toutes occupées, tous les consommateurs se turent et nous fixèrent Jenny et moi avec des yeux ronds comme des boules de billard alors que nous nous tenions de chaque coté d'Harold.
Je fuyais leurs regards, mais je jetais un coup d'oeil circulaire et constatais qu'il y avait une demi-douzaine de couples discutant et buvant mais la plupart des tables étaient occupées par des clients mâles.
Après quelques secondes, quelques consommateurs saluèrent Harold et ses amis et les conversations reprirent. Ils semblaient tous parler le même dialecte dont Jenny et moi-même ne comprenions pas un mot.
Un serveur s'approcha de notre table, Harold et ses deux complices commandèrent alors que l'homme gardait les yeux rivés sur Jenny. Dès qu'il nous quitta, un homme assis à une table proche se leva et nous rejoignit, il discuta un bon moment avec Harold et ses potes. Ils explosèrent de rire et l'homme s'approcha de Jenny et posa ses mains sur ses nibards, il demanda lourdement en anglais :
- J'espère que vous appréciez vos vacances? .
Tout le monde trouva cela hilarant. Jenny et moi nous étions figés, humiliés alors que l'homme retournait à sa table. Le serveur revint avec des consommations pour les trois hommes, ils la sirotèrent et discutèrent entre eux les yeux braqués sur Jenny, de temps à autre ils caressaient machinalement ses appâts.
On resta une bonne heure à cet endroit, de temps à autre des hommes se levaient et venaient inventorier les charmes de Jenny tout en discutant avec Harold et ses amis. Personne ne semblait avoir pitié de nous, même les femmes virent plaisanter avec Harold mais elles se gardèrent de toutes caresses indiscrètes.
Lorsque Harold et ses deux comparses eurent fini leurs boissons, ils se levèrent et gagnèrent dans la maisonnette pour payer leurs consommations. Harold tendit au serveur qui, je pense, devait être le propriétaire des lieux, une paire de billets de banque, puis il poussa Jenny sur ses genoux face à sa braguette.
Le propriétaire descendit son pantalon sur ses genoux et Jenny le suça consciencieusement dans l'encadrement de porte.
La foule fit de nombreuses remarques lorsque nous sommes partis, il n'était nul besoin de comprendre leur langage pour comprendre la teneur de leurs commentaires! ....
Jenny semblait choquée, égarée.
Je n'avais pas eu une seule chance de lui parler depuis qu'Harold s'était imposé comme notre maître. Je n'avais pas encore bien compris comment il s'y était pris, il ne nous avait pas menacés ni drogués, ni même abusés physiquement jusqu'à cet instant où nous avions quitté le parking de la boite de nuit.
Mais Jenny et moi comprenions qu'il nous dominait totalement et que nous n'avions aucun autre choix que de lui obéir aveuglément.
Chapitre 2 : petit séjour chez le père d’Harold.
Nous sommes sortis dans la rue, il n'y a pas de trottoirs dans ces quartiers de la ville. Les rues sont bordées de détritus et les maisons sont de bois et de tôles. Nous sommes retournés au coin de la rue où était garé le van devant une maisonnette en moellons.
Elle était très petite. La salle de séjour était pauvrement meublée, la cuisine servait aussi de salle à manger. Il y avait deux pièces débouchant sur la salle principale, leurs portes étaient toutes deux ouvertes et je pus voir que l'une était une minuscule salle de nain et l'autre une petite chambre.
Harold alla jusqu'au réfrigérateur, en sortit trois bières et en donna deux à ses amis. Tandis que chacun se mettait à son aise, enfin les 3 complices, pas Jenny et moi, un vieil homme sortit de la chambre et jeta un coup d’œil circulaire.
Il regarda attentivement Jenny et moi, et discuta avec Harold pendant plusieurs minutes, dans ce dialecte qui nous était inconnu. Le vieil homme avait tout d'abord semblé irrité de voir son somme perturbé, mais il sourit rapidement en nous reluquant, surtout Jenny, alors qu'ils discutaient son sourire s'élargit encore.
Il s'approcha finalement de Jenny et en fit le tour, inventoriant visiblement les charmes de son jeune corps. Harold attira mon attention et m'ordonna de m'asseoir sur une des chaises à dos droit de la cuisine. Il me recommanda le silence et de ne pas bouger si je voulais éviter que ses amis ne me donnent une nouvelle leçon de savoir-vivre.
Je me dirigeais rapidement vers la chaise et je m'assis, je me rappelais que je devais faire très attention à ce qui nous arrivait, juste au cas ou devrais relater ces évènements par la suite.
J'observais donc attentivement le vieil homme qui avait sortit sa vieille pine toute ridée et se mettait à malaxer les miches de Jenny. Il joua avec ses nichons pendant un temps assez long puis sa main descendit sur son ventre et il se mit à lui caresser les fesses, puis, après lui avoir fait écarter les cuisses il se mit à explorer sa chagatte.
Le vieil homme continuait à discuter avec Harold alors qu'il posait sa main sur elle. Je reconnus un des mots de la conversation et j'en déduisis que le vieil homme était le père d'Harold. Harold et ses deux acolytes semblaient le taquiner, finalement il retira son boxer-short, la seule chose qu'il avait sur le corps et il attira le visage de Jenny face à son entrecuisses, la taille de la bite de ce vieil homme m'ébahissait, bien que molle elle mesurait au moins 20 centimètres de long.
Il pressa le visage de Jenny contre ses parties génitales pendant quelques instants, puis la courbant en deux à hauteur de taille il la força à admettre sa mentule flasque entre ses lèvres purpurines.
L'odeur devait être infâme car je la vis avaler sa salive en blêmissant, je peux vous assurer qu'il ne devait pas laver très souvent. Il était dur de deviner l'âge de ces gens, je suppose que le vieillard avait un bon 60 / 70 ans, mais cela ne l'empêcha de bander somme toute rapidement, il eut très vite le plein usage de sa virilité.
Une fois qu'il fut bien dur, Il tourna Jenny de façon à ce qu'elle nous fasse face et après avoir frotté sa bite le long de ses lèvres pendant quelques secondes, il dit sèchement quelque chose dans son dialecte. Harold lui sourit démoniaque ment et traduisit :
- Il veut que tu prennes sa bite dans ta chatte chérie! ....
Jenny se redressa et empoigna sa mentule qui, bandée, faisait maintenant un bon 25 cm de long et elle la guida dans sa foufoune détrempée par les nombreux abus qu'elle avait subi ce soir.
Dès qu'il sentit son gland logé dans sa caverne inondée de foutre, le vieil homme s'enfouit violemment en elle lui empoignant fermement la taille d'une main alors qu'il lui claquait les fesse de l'autre. Tout cela sous le regard égrillard d'Harold et de ses deux comparses qui riaient à gorge déployée.
Le visage de Jenny affichait son angoisse, de grosses larmes ruisselaient sur ses joues et j'aurai voulu désespérément l'aider. Mais je savais que je ne pouvais rien faire contre ces brutes.
Le vieillard la secouait de violents coups de pines. Après un bon moment un des amis d'Harold se leva et vint lécher les larmes qui coulaient sur ses joues, il lui demanda si elle passait un bon moment.
Figée, elle le regarda fixement, alors qu'il tendait la main pour luit peloter les nichons. Elle grogna de douleur et haleta :
- Oui, oh oui je prends beaucoup de plaisir! ..
Il gloussa et reprit :
- C'est bien, l'industrie du tourisme est très importante pour nous! ..... On doit être sûr qu'on fait plaisir aux touristes et tout faire pour qu'ils gardent un bon souvenir de leurs vacances! ....
Le second copain d'Harold se leva à son tour et s'approcha d'eux. Pour la première fois je réalisais qu'il tenait une caméra digitale et qu'il enregistrait chaque scène. Il s'approcha pour prendre quelques gros plans et, tandis qu'il filmait le vieil homme et celui qui malaxait les nibards de Jenny tout en léchant ses larmes, se mirent à la tourmenter de plus belle.
Tandis que les regardais, je sentis que j'avais les yeux pleins de larmes.
Je me sentais d'autant plus coupable que je m'étais réjoui de voir Jenny encadrée par ces hommes en début de soirée et voilà que maintenant je ne contrôlais plus rien du tout, cela ne correspondait plus du tout aux fantaisies érotiques que j'avais espérées, ce n'était pas la folle soirée érotique que j'avais imaginée.
Je n'avais jamais voulu que Jenny en souffre.
Forcé de la voir violée, humiliée, et dégradée comme cela alors que j'étais incapable d'intervenir me dévastait tout autant. Je n'oublierai jamais cette funeste nuit. Nous nous trouvions en situation dangereuse, voire même périlleuse. Je ne pouvais que prier que dans la matinée, lorsqu'ils auraient satisfait leurs appétits lubriques, ils nous laisseraient partir librement.
Le vieillard qui labourait Jenny se mit à hurler, je n'avais aucune idée de ce qu'il criait, il cessa de s'amuser avec elle et la saisit à deux mains par la taille et s'enfouit plusieurs fois avec une extrême violence dans sa cramouille asservie, puis son corps se tétanisa et nous comprîmes tous qu'il se vidait à gros bouillons au fin fond de son utérus.
Quelques instants plus tard il s'effondra sur elle et resta enfouit en elle quelques instants avant de se retirer. Il se dirigea vers Harold sa grosse bite bringueballant de gauche à droite et se penchant sur lui il l'embrassa tendrement et tout excité, le remercia vivement. Puis il se rendit dans la cuisine prit une bière et revint s'asseoir sur le canapé les yeux rivés sur Jenny.
Jenny s'était redressée lorsqu'il était parti et se tenait debout sur ses jambes tremblantes attendant sa prochaine épreuve. Elle n'eut pas à attendre bien longtemps. Harold se leva et entreprit de se déshabiller tout en lorgnant Jenny.
Une fois nu, il s'approcha d'elle, prit son menton en main, releva son visage vers lui et lui roula une pelle passionnée. Elle se tenait passive, mais il n'insista pas bien longtemps. l lui attrapa les miches à deux mains, et e mit à les rouler et les étirer tout en lui chuchotant à l'oreille.
Elle posa ses bras autour de son cou et se serra contre lui et se mit à l'embrasser comme si c’était son amant. C'était ce qu'il voulait et ils s'embrassèrent pendant un long moment avant qu'il ne la repousse sur ses genoux lui faisant emboucher de force son épaisse mentule. Elle n'hésita pas une seconde. Elle entreprit immédiatement de le sucer comme si c'était ce qu'elle souhaitait le plus au monde.
Sa bite enfla rapidement, et lorsqu'il fut satisfait de sa tenue, il se posta dans son dos et planta son gros chibre dans sa petite chatte endolorie que son père venait tout juste de violer avec brutalité.
Jenny grogna de douleur, au début tout au moins c'était de douleur, et se prit la tête entre les mains. Harold la baisa violemment pendant plusieurs minutes, la caméra se promenait autour de nous prenant un grand nombre de plans rapprochés.
Mais, alors qu'il la chevauchait frénétiquement un de ses copains se déshabilla à son tour et dès qu'il fut nu, il s'agenouilla face à elle et lui saisit les cheveux. Il lui planta sa bite en bouche, et tandis qu'Harold la pistonnait de dos son ami tenait sa tête ente ses mains et entreprît de lui fourrer sa queue de plus en plus profondément en bouche jusqu'à l'instant ou, d'un dernier coup de boutoir furieux il s'immisça dans sa gorge.
Il lui tenait la tête pressée fermement contre son estomac et je pouvais voir ses lèvres serrées sur la base de sa pine alors qu'il déversait des torrents de foutre dans sa gorge. Elle commença par résister, mais finalement elle se résigna à les laisser faire ce qu'ils voulaient de son corps.
Harold les avait regardés la baiser et lorsqu'il avait vu la bite d'un de ses amis se glisser d'un seul coup de rein dans son arrière-gorge, celà l'avait tant excité que mois d'une seconde plus tard il giclait une bonne dose de foutre sur Jenny.
Lorsque jenny eut nettoyé la bite de son chevaucheur de tête, Harold lui saisit les cheveux et l'attira à lui, elle lui nettoya aussi sa mentule.
Le caméraman prenait nombre de plans rapprochés de Jenny suçant et nettoyant les bites de ses amis, c'est ainsi qu'il put prendre un filet de foutre s'écoulant de sa chatoune pour s'étaler sur ses cuisses.
Lorsqu'ils en eurent tous finis, elle s'effondra comme une masse sur le plancher et se mit à pleurer silencieusement. Mais tout n'était pas terminé pour autant.
Le man qui avait filmé ses viols tandis la caméra à un de ses copains et se déshabilla lentement les yeux rivés sur Jenny. Une fois qu'il fut nu tout reprit, elle suça et lécha son chibre et ses burnes jusqu'au moment où il banda.
Il la contourna alors et le fit mettre à 4 pattes, puis promena son bourgeon turgescent dans sa fentine dégorgeant de foutre, une minute plus tard il se retira et s'essuya la bite sur les joues culières de la ravissante Jenny et il entreprit de lui bourrer sa bite dans le trou du cul.
Jenny hurla et voulut fuir cet envahisseur, mais il la tenait fermement et continuait à presser son gland démesuré sur son œillet affolé. Elle hurla de plus belle lorsqu'il franchit le premier obstacle enfouissant son gland dans son boyau.
Nous avions déjà tenté l'expérience du sexe anal auparavant, une seule fois, mais cela avait fait tant de mal Jenny que nous avions tout de suite arrêté.
J'avais une envie folle d'enculer ma femme depuis lors, mais c'était une chose que nous n'avions plus jamais essayé. Ce gars se souciait peu de la meurtrir, non ce n'est pas même exact, il aimait la faire souffrir, et il n'était pas prêt d'arrêter.
Bien qu'elle hurla et le supplia, il continua à la bourrer enfouissant sa bite jusqu'à la garde dans son anus rétif. Sa bite ne mesurait guère que 3 / 4 centimètres de plus que la mienne, mais elle était bien plus grosse, la douleur de Jenny était incommensurable.
Elle sanglotait hystériquement en tapant sur le plancher tout en le suppliant d'arrêter, d'extirper sa grosse bite de son anus endolori. Pendant tout le temps de son enculage il garda un sourire épanoui sur son visage, il plaisantait avec ses copains qui l'encourageaient à lui casser le pot.
Je suppose qu'on devait être heureux que le fait de filmer ses compères l'avait grandement émoustillé, parce que grâce à cette excitation et à l'étroitesse de la gaine de Jenny il jouit rapidement.
Il demeura au chaud dans son intestin pendant un long moment mais finalement ils se retira et resta agenouillé dans son dos. Comme elle ne bougeait pas, il lui claqua brutalement la croupe, elle hurla de plus belle. Mais elle réalisa alors ce qu'il attendait, elle se retourna donc et entreprit de nettoyer sa mentule et ses burnes à grands coups de langue.
Une fois sa bite propre, il réclama la caméra et après une rapide discussion il ordonna à Jenny de ramper pour traverser la petite pièce et d'aller sucer à nouveau la bite du père d'Harold, pour achever la séance et la séquence du film.
Cela lui prit longtemps pour faire bander à nouveau le vieillard, je fus d'ailleurs surpris qu'il puisse jouir une seconde fois.
Bordel! .... J'étais choqué de voir qu'il était encore capable d'éjaculer.
Il remplit finalement la bouche de Jenny de sa chaude semence, elle avala docilement et le vieil homme se releva lui tapotant la tête comme on flatte une jeune chienne, et après un bref échange avec son fils, il regagna sa chambre et se remit au lit.
Les deux amis d'Harold se rhabillèrent puis nous quittèrent, j'attendais avec impatience d'être relâché. J'étais fou d'angoisse et d'impatience lorsque Harold se posta à coté de moi et me demanda si je voulais utiliser la salle de bain.
Je n'avais pas encore réalisé à quel point j'avais besoin de passer dans la salle de bain avant qu'il ne me le demande, je hochais de la tête et gagna la salle de bain que j'utilisais en laissant la porte ouverte.
Lorsque je revins au salon il m'enjoignit de me rassoir et il me menotta les poignets et me ligota les jambes aux pieds de la chaise. Lorsque je fus immobilisé selon ses vœux, il escorta Jenny jusqu'à la salle de bain
Je ne sais pas ce qui s'y passa, elle protesta vivement une paire de fois, puis il y eut un grand silence et ils revinrent dans le salon. Quoique lui ait fait Harold, cela s'avérait si gênant que Jenny n'osait pas me regarder.
Harold déplia le canapé puis poussa Jenny sur le mauvais matelas, il rampa sur elle, l'enveloppa de ses jambes et de ses bras et se prépara à dormir.
Je me réveillais plusieurs fois durant la nuit, à chaque fois Harold baisait Jenny, parfois en bouche, parfois en chatte et une fois même en trou du cul. Cet homme s'avérait un véritable satyre, il était insatiable.
La dernière fois que je me réveillais au petit matin, une odeur de café frais me chatouilla les narines et j'ouvris les yeux pour voir le père d'Harold se faisant Jenny.
Harold œuvrait dans la cuisine, il préparait du café et faisait griller des toasts. Ce n'est que quelques instants plus tard que je réalisais que je n'étais plus ligoté sur ma chaise.
Je jetais un œil au-dessus de mon épaule et demandais à Harold la permission de me rendre dans la salle de bain, il m'y autorisa placidement. J'y allais me rafraîchir le visage et me laver les mains et à mon retour dans le salon, le père d'Harold finissait de jouir profondément enfoui dans l'utérus de ma femme et s'effondrait sur elle.
Je retournais à ma chaise et Harold me tendit une tasse de café noir et un toast m'indiquant que je pouvais tirer ma chaise jusqu'à la minuscule table de la kitchenette.
Le vieillard resta longuement allongé sur Jenny, pressant son bassin contre son ventre. Je ne voyais que le visage de Jenny apparaissant au-dessus de son épaule. La regarder ainsi asservie me brisait le cœur. Elle pleurait à nouveau et étendue là sans défense sous ce vieillard puant.
Finalement il roula sur le flanc et Harold intima à Jenny de lui nettoyer la mentule. Elle se disposa à quatre pattes et emboucha la queue puante du vieillard et nettoya consciencieusement son chibre alors qu'il lui pelotait vigoureusement les nichons.
Puis Harold l'appela et lui versa une tasse de café et lui tendit un toast, il s'assit à coté de moi il commençait à puer véritablement.
Jenny s'assit sur le lit repliable, la tête entre les mains. Elle pleurait silencieusement. Je jetais un oeil vers Harold il affichait un sourire exaspérant sourire et haussa les épaules.
Je pensais que qu'il me donnait la permission d'intervenir, je me levais, et m'approchais de Jenny, la prit dans mes bras, et tentait de clamer ses larmes en la berçant tendrement contre moi. J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, j'aurai voulu dire quelque chose, n'importe quoi pour l'apaiser... Mais je me sentais aussi désarmé qu'elle, c'était elle qui supportait toute l'épreuve, c'était elle qui se faisait violer et devait parader nue en public, qui se faisait filmer ayant des rapports sexuels avec ces cueilleurs de bananes! .....
Mais je ne pouvais que la serrer tendrement dans mes bras en lui répétant que je l'aimais et à quel point j'étais navré. C'était là tout ce que je pouvais faire! ..... Et ce n'était pas énorme.
Une fois qu'elle se fut un peu calmée, elle posa sa tête sur mon épaule et soupira me demandant comment nous allions pouvoir nous tirer de ce traquenard. Je lui offrais une nouvelle tasse de café noir. Il semblait que ce fut la seule chose que je puisse faire à cet instant. Elle me répondit misérablement :
- Je t'en prie... N'importe quoi pour estomper cet horrible goût de sperme que j'ai en bouche! ... ..............
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